Projet de Creation Centre de Formation [PDF]

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Zitiervorschau

PROJET DE CONSTRUCTION D'UN CENTRE D'ACCUEIL POUR LA REINSERTION DES ENFANTS DEFAVORISES « CAPRED »

Contacts :

[email protected] www.asawa.be

FICHE SYNOPTIQUE DU PROJET TITRE : Projet de construction d’un Centre d’Accueil pour la Réinsertion des Enfants Défavorisés « CAPRED » VOLET : Formation et insertion socio-économique des enfants défavorisés LIEU D’IMPLANTATION : Commune de NGUEKHOKH / Sénégal ORGANISATION RESPONSABLE : Association Des Sans Abris West Africa « ASAWA » DUREE DU PROJET : Trois (3) ans BUT : Ce projet de construction d’un CENTRE D’ACCUEIL POUR LA REINSERTION DES ENFANTS DEFAVORISES veut REDONNER ESPOIR à tous ces enfants et jeunes livrés à leur sort dans la commune de Nguèkhokh mais surtout les encadrer et les faire intégrer dans les milieux de prise de décision pour un développement durable. OBJECTIFS • Ouvrir un centre d’accueil à tous ces enfants et jeunes livrés à leur sort dans la ville de Mbour, précisément à Nguèkhokh • Contribuer à l’éducation et à la formation des enfants en situation difficile tout en les orientant vers un apprentissage de métier. • Former en moyenne 50 enfants et jeunes par semestre dans les secteurs très variés en vue d'améliorer leurs conditions de vie. • Apporter écoute et encadrement à ces groupes ciblés • Promouvoir les micro-réalisations et les activités génératrices de revenu pour leur autonomie. • Lutter contre l'illettrisme et renforcer les systèmes d'alphabétisation. • Promouvoir le bien être des enfants et des jeunes. • Lutter contre la marginalisation, la mendicité et la pauvreté

AMENAGEMENT • Zone d’Hébergement et Bureau • Zone de formation • Zone d’Education et de réinsertion socio-économique

COÛT DU PROJET : Coût total:

FCFA

Participation: FCFA Fonds sollicité: FCFA Taux de participation: 20% (environ)

CONTACTS INITIATEURS : E-mail : [email protected] / Site Web : www.asawa.be y ASAWA (Sénégal) : Adresse : Nord Foire Villa 443 Tel : (+221) 77- 431- 56 - 33 /

y ASAWA (Belgique) : Adresse : Wildemansweg 35, 3020 Herent Tel : +3216203544 / +3288587677

(+221) 77- 559- 71- 50

Fax: +3216434894

PRESENTATION DU PROJET TITRE : Projet de construction d’un Centre d’Accueil pour la Réinsertion des Enfants Défavorisés « CAPRED » I. / INTRODUCTION Selon Mr Mame Limamoulaye SECK, Directeur de l’apprentissage au Ministère de l’Enseignement Technique de la Formation Professionnelle (METFP "L’un des axes stratégiques de la politique

de la formation professionnelle et technique du Sénégal est l’intégration de l’apprentissage dans le dispositif national". Cette volonté du chef de l’Etat, fondée sur le vœu d’une grande frange des acteurs économiques et sociaux du pays, constitue une révolution dans le secteur de l’éducation et de la formation. Aujourd'hui, l'action de l'Etat se trouve complétée sur le terrain par d'autres structures techniques et Associations comme la notre. C’est dans cette optique qu’à vu le jour ce Projet de Construction d’un Centre d’Accueil pour la Réinsertion des Enfants Défavorisés « CAPRED » qui tant à offrir aux enfants et jeunes défavorisés un cadre de vie et une formation de qualité basée sur l’alternance atelier/école. En effet, « ASAWA » est une association humanitaire créée par des jeunes immigrés d’Europe et d’Afrique. Elle a pour objectif principal de promouvoir l’éducation des jeunes d’Afrique de l’Ouest, la réinsertion des enfants de la rue, de combattre la mendicité et de lutter contre le travail forcé des enfants. II. / CONTEXTE ET JUSTIFICATION Les crises socio-économiques qui frappent les états modernes n’épargnent pas les pays en voie de développement. Le Sénégal pays du tiers monde n’échappe pas à ces crises. Partout apparaissent des phénomènes nouveaux qui pèsent sur la vie des populations et qui mettent en cause l’équilibre traditionnel des familles. Il s’agit notamment de l’apparition de nouvelles formes de gestion des villes avec un développement rapide de l’exode rural; de l’apparition d’une forme de débrouillardise, pour survivre, caractérisée par la présence de nombreux mendiants et enfants talibés dans tous les coins et recoins des quartiers ; et surtout de l’apparition d’une forte émigration des jeunes. Ces derniers quittent leur territoire pour diverses raisons : - aller à la recherche de travaille, - chercher des conditions de vie plus humaines et plus respectueuses de la dignité humaine, - poursuivre leurs études supérieures universitaires, - fuir une pauvreté parfois latente ;…. Malheureusement beaucoup d’entre eux ne reviennent plus. Dans cette recherche effrénée et relativement logique de lendemains meilleurs, certaines catégories de la population sénégalaise traînent à s’adapter à

cette nouvelle évolution du pays. Sont plus concernés en l’espèce, les enfants et les jeunes. Les enfants sont laissés à eux mêmes et errent dans les rues sans soutien familial ni toit pour dormir. En réalité, soit ils ont des parents émigrés et qui, du fait des difficultés de la vie, ne sont pas en mesure d’accomplir leur devoir parental, d’éduquer et surtout de nourrir leur famille ; soit ils ont été confiés à des Marabouts, professeurs religieux chargés de les éduquer. Malheureusement la majeure partie d’entre eux se retrouve dans la rue pour mendier. Quant aux jeunes, en particulier les jeunes filles, on remarque une exclusion de ces dernières qui se fait de plus sentir dans les grandes villes ou le tissu familial et les valeurs d’entraides traditionnelles se perdent peu à peu sous l’effet de la « modernisation » de la société. Les jeunes filles deviennent mères parfois très tôt, bien avant même d’atteindre l’âge adulte. Ne bénéficiant pas d’une aide ou d’une protection particulière, elles luttent pour survivre à leurs manières. Consciente de leur avenir peu certain, notre organisation ASAWA (Association des Sans Abris West Africa) se propose de prendre des initiatives par la Construction d’un Centre d’Accueil pour la Réinsertion des Enfants Défavorisés « CAPRED » pour apporter sa contribution dans l'encadrement et la formation des enfants et jeunes défavorisés afin de mieux les préparer à leurs responsabilités futures. III. / DESCRIPTION DU PROJET Aujourd’hui, parler du processus de "développement, de lutte contre la marginalisation, la mendicité et la pauvreté" c'est passé nécessairement par le créneau de la préparation, de la formation des enfants et jeunes défavorisés au métier d’avenir. La présente initiative consiste à implanter une structure d’accueil, de formation, d'encadrement et d'éducation des enfants et jeunes en situations difficiles. Il s'agira concrètement d'aménager dans la région de Thiès, département de Mbour, précisément dans la commune de Nguékhokh, un Centre de Formation Processionnelle doté d'infrastructures adéquates devant accueillir divers groupes d’enfants et jeunes n’ayant pas les moyens et désireux de s'adapter aux exigences qu'imposent les mutations du monde nouveau. Cette structure devrait permettre la sensibilisation à la scolarisation, à l'alphabétisation, à la formation professionnelle et à l'initiation des enfants et jeunes à l'auto-création d'emploi. IV. / PRESENTATION DE LA COMMUNE DE NGUEKHOKH La Commune de Nguékokh, située à quelques 74 km de Dakar, a connu ses dernières années une évolution fulgurante aussi bien sur le plan démographique qu’économique. Cette croissance de la ville est à l’origine de l’émergence d’activités génératrices de revenus assez variées. Aussi, la croissance démographique a-t-elle permis l’extension de la ville, favorisant de plus en plus l’augmentation des espaces habités.

D’ailleurs l’érection de Nguékokh en commune en 1996 (décret n° 96-752 du 5/09/1996) est en partie le fruit de cette dynamique qui y est notée. Aujourd’hui la population de Nguékokh tourne autour de 17 000 habitants d’après le dernier recensement de la population effectué en 2002. Cette population se répartit en quatre grands quartiers que sont : Keur Sidy, Ndalor, Diameguene et Pikine. Sur le plan socio-économique, Nguékokh présente des atouts certains. La proximité de la petite côte, avec le développement de l’activité touristique a permis de relever sensiblement l’économie Nguékokhoise. En effet, la ville est située à quelques kilomètres de Saly (10 km), Somone (12 km) où l’activité touristique a fini par ériger ses localités en véritables points d’attraction. L’environnement économique est dominé par trois activités essentielles : 1. Le transport qui occupe une place importante de l’activité économique des Ngékokhoises, surtout les jeunes. 2. L’élevage contrôlé par l’ethnie peuhl, qui occupe d’ailleurs une partie importante de la population, reste une activité qui mobilise pas mal d’actifs. 3. Le commerce devient l’une des activités les plus rentables dans la commune, toutefois la majorité des acteurs viennent de l’intérieur du pays, Les autres secteurs comme la couture, la menuiserie la maçonnerie mobilisent aussi beaucoup de jeunes. Par contre, l’Agriculture, quant a elle, perd du terrain d’année en année du fait de sa dépendance pluviométrique et de l’urbanisation qui a comme corollaire la réduction des surfaces cultivables. Beaucoup de jeunes ont tourné le dos à l’agriculture pour s’activer dans d’autres secteurs. Aussi, il est à noter à Nguèkhokh un taux élevé de chômage, d'incompétence technique et un manque d'organisation structurelle. Sur le plan psychologique, la population, en particulier les enfants et jeunes, est encore asservie, faible, exécutante et subordonnée. Sur le plan des infrastructures, Nguékokh souffre d’un manque criard d’équipement. La gare routière, le marché restent principalement les seuls ouvrages réalisés au cours de la dernière décennie. Les autres équipements et infrastructures brillent par leur absence. Sur le plan L’éducation, c’est un secteur en crise, comme d’ailleurs un peu partout dans le pays. Pour ce qui est de l’éducation élémentaire, l’évolution de la population scolarisable n’a pas été suivie par un accroissement des infrastructures scolaires. C’est pour cela que dans la plupart des écoles les responsables ont décrié les effectifs pléthoriques. D’autres problèmes existent également et sont généralement en rapport avec le cadre de travail aussi des enseignants que des élèves. Sur le plan de la formation, la situation est encore plus préoccupante dans la mesure où le Foyer d’Enseignement Moyen Pratique (F.E.M.P) qui se trouve être la seule structure publique de formation professionnelle rencontre aujourd’hui d’énormes difficultés. Il est confronté à des problèmes de matériels, de vétusté des locaux, de personnel, qui ont fini par faire perdre à la structure toute sa valeur. L’absence de lycée à Nguékhokh reste aussi une contrainte pour les élèves dans la continuité de leurs études. Les déplacements quotidiens sur Mbour ne manquent pas en effet de causer des problèmes aux élèves et influent sur leurs

performances. D’autres, du fait de la distance et de l’absence de moyens financiers pour supporter leurs études, abandonnent leurs cursus scolaires.

V. / BUT ET OBJECTIFS 1. But Ce projet de construction d’un CENTRE D’ACCUEIL POUR LA REINSERTION DES ENFANTS DEFAVORISES veut REDONNER ESPOIR à tous ces enfants et jeunes livrés à leur sort dans la commune de Nguèkhokh mais surtout les encadrer et les faire intégrer dans les milieux de prise de décision pour un développement durable. 2. Objectifs A court et moyen termes: • Ouvrir un centre d’accueil à tous ces enfants et jeunes livrés à leur sort dans la ville de Mbour, précisément à Nguèkhokh • Apporter écoute et encadrement à ces groupes ciblés • Contribuer à l’éducation et à la formation des enfants en situation difficile tout en les orientant vers un apprentissage de métier. • Développement des compétences méthodologiques, techniques, financières, direction d'équipe, organisation et logistique, des participants. • Formation technique adéquate aux enfants et jeunes dans les secteurs très variés en vue d'améliorer leurs conditions de vie. • Lutter contre l'illettrisme et renforcer les systèmes d'alphabétisation A moyen et long termes: • Renforcement des capacités de plusieurs dizaines d’enfants et jeunes défavorisés afin de leur garantir une véritable présence sur le marché de l’emploi et leur garantir une source de revenu pérenne • Promouvoir les micro-réalisations et les activités génératrices de revenu pour leur autonomie. • Création d’emplois valorisant au niveau national et régional • Promouvoir le bien être des enfants et des jeunes. • Lutter contre la marginalisation, la mendicité et la pauvreté • A terme il s'agira pour « ASAWA » de contribuer à poser les bases favorables à l’émergence de la formation professionnelle au Sénégal. Pour la structure initiatrice: • Diversifier l'offre de formations afin de répondre aux besoins des populations défavorisées.

• Faire du centre une plate-forme d'échanges de diffusion des bonnes pratiques professionnelles, un lieu de référence et d’encadrement des enfants et jeunes défavorisés au niveau régional et continental. • Fonctionner de façon autonome et générer ses propres revenus.

VI. / BENEFICIAIRE DU PROJET Les bénéficiaires sont les enfants et jeunes défavorisés voulant s’orienter vers un apprentissage de métier ou initier des activités génératrices de revenu. VII. / SELECTION DES PARTICIPANTS Pour les promotions à venir, la sélection se fera à trois niveaux : 1. Grâce à des conventions de partenariats, l'appel à candidature sera diffusé par le biais des réseaux de la commune de Nguékhokh, des groupements de promotion féminine, et des associations sportives et culturelles (ASC)… 2. Les dossiers seront ensuite étudiés par un comité de sélection composé de professionnels indépendants, des partenaires locaux et l’équipe coordonatrice du projet. 3. Sur étude de dossiers, les candidats seront retenus en fonction de leur moyens et parcours dans domaine scolaire et professionnel. Il s’agit d’encourager ceux qui sont déjà dans une démarche avancée de professionnalisation. VIII. / LIEU ET MOYENS Le projet dispose actuellement d’un terrain à Nguekhokh. Un bâtiment à deux niveaux y sera construit. Et sera composé de dortoirs pour les bénéficiaires et intervenants, de salles pédagogiques, de salle d’informatique, de documentation et de ressources, d’atelier de production et d’espaces administratifs. Le centre fournira aux bénéficiaires toute la logistique nécessaire à la formation (logement, restauration, équipements didactiques, salles de cours etc.) complétée par des stages pratiques, à travers des ateliers de productions qui seront mis à leurs dispositions. IX. / STRATEGIE INTERVENTION ET MOYENS 1. Stratégie globale Avant le démarrage proprement dit des formations il sera organisé un atelier de deux jours pour mener une réflexion globale sur le centre. Aussi le profil des personnes ressources, des thèmes et des personnes à former seront ensemble revus en vue d'une orientation stratégique adéquate. Les cours théoriques en salle seront systématiquement illustrés par des travaux pratiques.

2. Stratégie spécifique Objectif N° 1: Formation et renforcement des capacités des jeunes déscolarisés et de ceux qui n’ont pas eu l’opportunité d’accéder à l’éducation classique formelle.

Interventions: Théoriques o o o o o o o o o

Alphabétisation Initiation et renforcement de capacités à la langue Française et Anglaise Comptabilité et gestion Marketing Initiation en informatique Initiation en couture, en coiffure, en menuiserie et en technique de restauration Education environnementale Education sanitaire Education à la vie familiale

NB : Les cours théoriques en salle seront systématiquement illustrés par des travaux pratiques. Objectif N° 2: Mettre à disposition des bénéficiaires des ateliers de productions fonctionnelles dans le cadre de leurs insertions dans le monde du travail. Interventions: Pratiques o o o o

Mise à disposition d’un Salon de coiffure destiné à la Production et à la Formation continue sur le Métier de coiffure Production dans un Atelier de couture et Formation continue sur le Métier de couturier / Styliste Implantation d’un Atelier de menuiserie visant la Production et la Formation continue sur le Métier Mise à disposition d’un espace Multimédia destiné à la production

Dans l'ensemble le projet constitue une formation complète pouvant servir de moyens aux enfants et jeunes défavorisés de se réaliser pleinement en tant qu’individu, citoyens responsables. 3. Stratégies d'appui Les formées seront organisées pour des activités socio-économiques et seront suivies et évaluées par une commission de suivi.

Des ateliers de productions et des encadreurs professionnels seront à leurs dispositions afin de les permettre de développer des activités génératrices de revues et surtout de s’insérer dans le monde du travail.

X. / ANALYSE TECHNIQUE Ici il est question des dispositions techniques à prendre pour le bon fonctionnement du projet. 1. Des activités de formation théorique Etablir: 1. 2. 3. 4. 5. 6.

Le profil des secteurs prioritaires de formation Le profil des enfants et jeunes à former Le profil des formateurs et encadreurs Les personnes et institutions ressources Le calendrier et période de formation Le calendrier de stage de terrain

2. Des activités de formation pratiques Elles concernent: 1. 2. 3. 4.

Les techniques et stratégies de formation pratique. La comptabilité simplifiée et la gestion L'encadrement technique des groupes ciblés Le marketing et la publicité

XI. / ORGANISATION TECHNIQUE ET GESTION INTERNE DU PROJET 1. Organisation des ressources humaines A/ Personnel technique fixe • • • •

Un (1) directeur: personne permanente responsable du centre Un (1) encadreur / formateur permanent Deux (2) moniteurs / animateurs Un (1) secrétaire comptable B/ Personnel technique contractuel

• •

Un (1) conseiller technique consultant Des formateurs spécialisés contractuels



Des facilitateurs ressources identifiés C/ Personnel d'appui

• • • •

Une (1) cuisinière Un (1) gardien Un (1) coursier Un (1) chauffeur (à long terme)

2. Le processus gestionnaire La gestion du projet est confiée à l'équipe de coordination avec l'appui de contrôle d'un cabinet d'audit externe. XII. / COLLABORATION TECHNIQUE Elles concernent pour l'essentiel : 1. des échanges d'expériences avec les centres similaires (Centre Abbé Davide BOILA de Mbour, Centre Litergique de Ngazobile etc.) 2. des séances d'animation rurales et sociales 3. des séminaires - ateliers 4. de l'assistance conseil XIII. / FAISABILITE : i. Le matériel et les infrastructures existent à prix acceptables. ii. Nous avons l’adhésion des populations. iii. Les compétences existent et les ressourcent humaines sont aux disponibles et motivés iv. Les sites d’accueil existent et les autorisations d’occuper nous ont déjà été délivrées. XIV. / DURABILITE : Le projet est viable et durable. Il contribue grandement au développement de chaque communauté en offrant aux enfants et jeunes défavorisés les moyens de se réaliser pleinement en tant qu’individu, citoyens responsables. En outre, la population augment, chaque année, les universités forment plus de 50 000 étudiants qui sortent pour les 90% sans emploi. Aujourd’hui, l’enseignement professionnel est en marche. Le marché est large et l’impact de nos actions sur les plans national et sous régional est réel. Le soutien des institutions et des organismes nationaux et internationaux sur les trois premières années du projet est capital et devrait nous permettre de poser les bases solides de ce projet en nous permettant d'accroitre notre auto-financement au fil des années et nouer de nouveaux partenariats. XV. / RISQUES : EVENTUELS OBSTACLES D’ECHEC

Les seuls obstacles identifiables dans la réussite de ce projet et la viabilité de ses résultats, demeurent dans la rapidité ou non des procédures financières. Une lenteur dans la mise en œuvre du budget ralentit les résultats et décourage la cible. Par conséquent, une certaine autonomie financière avec une mise à disposition suffisante et en temps réel de logistiques et moyens de fonctionnement, permettra une plus grande rapidité dans la production de succès de ce projet et surtout de son impact sur les populations. Ceci sera toutefois accompagné par un contrôle rigoureux.

ESTIMATION BUDGETAIRE XI. / BUDGETISATION Charges de mis à jour du projet 1- Budget global = 139.276.800 FCFA 2- Participation = 19.653.000 FCFA 3- Montant sollicité = 119.623.800 FCFA (en 3 phases) * L'encadrement post formation est un volet après les 3 ans de pilotage.

N° DE PARTICIPATION

FONDS SOLLICITES

2.440.000

10.440.000

12.880.000

1 Coordinatrice du projet

600.000

3.000.000

3.600.000

1 Encadreur/Surveillant

400.000

1.400.000

1.800.000

1 Animateur (Alphabétisation)

400.000

1.400.000

1.800.000

1 Secrétaire/Comptable

400.000

1.400.000

1.800.000

RUBRIQUES/COMPOSANTES

TOTAL

RUBRIQUE 1

PERSONNEL DE COORDINATION

1 Conseiller technique (ponctuel)

200.000

1.000.000

1.200.000

3 Formateurs (contractuels)

200.000

1.000.000

1.200.000

1 Gardien

120.000

620.000

740.000

1 Coursier 2

120.000

620.000

740.000

MOYENS LOGISTIQUES

5.750.000

14.700.000

20.450.000

- Local du centre (location aménagement)

3.500.000

10.000.000

13.500.000

250.000

1.200.000

1.200.000

2.000.000

1.200.000

1.450.000

1.250.000

1.250.000

1.000.000

3.000.000

10.963.800

11.476.800

90.000

90.000

- 2 Motos de liaison (carburant/pannes) - 5 Bureaux complets - 1 Véhicule de coordination (carb./pannes) - 50 Tables-chaises 3

EQUIPEMENT/MATERIEL

513.000

- 1 Radio-Cassette - 1 Télé-vidéo

20.000

450.000

450.000

- 50 Cassettes vidéo

20.000

55.000

75.000

- 25 Cassettes vidéo

50.000

80.000

100.000

- 5 Boîtes à image

148.000

250.000

300.000

- 5 Albums photos

50.000

250.000

250.000

225.000

1.552.000

1.700.000

1.150.000

1.200.000

550.000

775.000

986.800

986.800

5.550.000

5.550.000

8520.000

9.470.000

- Fourniture de bureau - Equipement de formation (tableauchevalet rouleau pade, etc.) - Matériel consommable - Matériel non consommable - Equipement de bureau (Ordinateur complet, matériel à écrire, photocopieur, reliures, etc.) 4

DIVERS BESOINS

950.000

- Frais de fonctionnement - Frais de rapports et impression

300.000

900.000

900.000

- Médiatisation, publicité

300.000

600.000

1.500.000

- Caisse de santé communautaire

350.000

1.200.000

350.000

350.000

3.310.000

- Vérification des comptes audit

5

2.160.000

- Etude du milieu (MARP)

3.310.000

FORMATION ET APPUI CONSEIL

10.000.000

10.000.000

- 5 Formations en atelier

2.500.000

2.500.000

- 2 Journées de réflexion

1.000.000

1.000.000

6

- 2 Cross-visites

1.000.000

1.000.000

- 12 Suivis des activités

3.000.000

3.000.000

- 5 Evaluations/Supervisions

1.250.000

1.250.000

- 2 Etudes intégrées

1.250.000

1.250.000

ENCADREMENT POST FORMATION

10.000.000

65.000.000

75.000.000

- Encadrement des sortantes

10.000.000

50.000.000

10.000.000

15.000.000

50.000.000

- Fonds d'AGR et Crédit/Epargne - Recyclage et appui technique

15.000.000

ANNEXE 1: PLANNING DES ACTIVITES N° OPERATIONS

ANNEE N° 1

ANNEE N° 2

ANNEE N° 3

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 1

Coordination du centre (1) Location bureau aménagement (2) Mise au point du personnel

2

Logistique et équipement du centre

3

Formation (1) (2) (3) (4) (5) (6) (7)

N° OPERATIONS

ANNEE N° 1

ANNEE N° 2

ANNEE N° 3

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 4

Appui-Conseils (1) Journées de réflexion (2) Ateliers (3) CrossVisites (4) Suivi (5) Evaluation (6) Supervision

(7) Orientation stratégique

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