Politique Fiscale [PDF]

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Zitiervorschau

Plan Introduction Première partie : La politique fiscale 1234-

Les recettes fiscales par rapport aux recettes ordinaires La structure fiscale : la part de l’IS, l’IR et TVA dans les recettes fiscales La pression fiscale Comparaison de la pression fiscale

Deuxième partie : La croissance 1- Evolution du PIB total et par secteur Conclusion

Introduction Ces dernières années, le Maroc a engagé plusieurs stratégies structurantes aussi bien sur le plan économique que social. Ces stratégies devraient lui permettre un meilleur positionnement sur la scène internationale, généralement par l’amélioration des performances économiques et des indicateurs sociaux. Egalement ces réformes ont été conduites en concertation et la participation du plus grand nombre d’acteurs. Pour réussir ces stratégies, il est ainsi primordial de renforcer la cohésion sociale, de développer l’environnement des affaires et de favoriser un climat de stabilité économique. Pour cela, il y a lieu d’œuvrer pour un modèle de croissance permettant une création de richesses suffisantes pour assurer simultanément le développement de la classe moyenne et de son pouvoir d’achat, et la progression du système de redistribution et de solidarité. Dans ce cadre, le système fiscal Marocain a connu parallèlement, de profondes réformes d’une ampleur exceptionnelle, issues principalement des effets de la globalisation financière (qui a impacté son fonctionnement et sa stabilité) tout en s’interrogeant sur l’équilibre économique de notre pays, en vue d’une insertion assurée dans l’économie mondiale. Ainsi, dans une économie ouverte, le niveau de la pression fiscal est un générateur fondamental pour la croissance de richesses, l’investissement et la création d’emplois.

Première partie : La politique fiscale Une politique fiscale désigne l'ensemble des mesures et décisions prises par un gouvernement et les pouvoirs publics en termes de fiscalité. Après avoir défini les objectifs à atteindre, les pouvoirs publics modifient, suppriment ou créent des mesures fiscales dans le but d'atteindre ces objectifs. Le principal but de l'État est d'encaisser suffisamment de recettes pour financer son fonctionnement, ses activités et sa gestion. Les recettes fiscales représentent la principale ressource de l'État. Chaque année, l'État détermine son budget et les ressources dont il a besoin. Si ce besoin est en hausse, la politique fiscale des pouvoirs publics consistera à créer ou augmenter un ou plusieurs impôts. La politique fiscale d'un État répond aussi à des objectifs complémentaires tels que : inciter les contribuables à respecter l'environnement, ou encore favoriser les dons aux œuvres. Par conséquent, la politique fiscale de cet État consistera à créer des avantages fiscaux pour les dépenses effectuées en faveur des économies d'énergie ou pour les dons versés au profit d'œuvres caritatives.

1- Les recettes fiscales par rapport aux recettes ordinaires  

Les recettes ordinaires : Elles sont constituées des fiscales et des recettes non fiscales Les recettes fiscales : sont les recettes provenant des impôts qu’ils soient directs et indirects

Tableau des recettes ordinaires et fiscales 2009-2020 en MDH 2009

2010

2011

2012

2013

2014

Recettes ordinaires

190 526

193 850

212 854

221 353

227 104

238 122

Recettes fiscales

169 008

173 909

184 356

196 444

195 760

199 948

Recettes fiscales/recettes ordinaires

88,71%

89,71%

86,61%

88,75%

86,20%

83,79%

2015

2016

2017

2018

2019

2020

233 759

241 167

254 265

259 788

276 286

264 500

205 788 83,03%

212 373 88,06%

224 914 88,46%

234 890 90,42%

238 245 85,23%

144 800 54,74%

Recettes ordinaires Recettes fiscales Recettes

fiscales/recettes ordinaires

Source HCP

Graphique de la part de recettes fiscales dans les recettes ordinaires

Recettes fiscales/Recettes ordinaires 100.00% 90.00% 80.00% 70.00% 60.00% 50.00% 40.00% 30.00% 20.00% 10.00% 0.00%

Recettes fiscales/Recettes ordinaires

09 1 0 11 12 1 3 14 1 5 16 1 7 1 8 1 9 2 0 2 0 20 2 0 2 0 20 2 0 20 2 0 20 20 20 20

D’après le tableau en haut, on constate que les recettes ordinaires ont connu une augmentation durant la période 2009 -2014 de 190 526 MDH à 238 122 MDH suivi d’une diminution de 1,83% en 2015. Et pour la période 2015-2019 on remarque une augmentation des recettes ordinaires passant de 233 759 MDH a 276 286 MDH, par la suite une diminution de 54,58% en 2020 dans un contexte marqué par la crise sanitaire liée au Corona Virus. En effet les recettes fiscales représentent généralement plus 83% des recettes ordinaires entre 2009-2019. Les recettes fiscales globales nettes de l'exercice en repli de 5,4% par rapport à 2019, selon la Direction générale des impôts (DGI). Cette performance correspond à un taux de réalisation de 106,5% de l'objectif cible actualisé de la Loi de Finances Rectificative (LFR2020), précise la DGI qui vient de publier son rapport d'activité 2020. Et d'ajouter qu'en dépit du contexte de crise sanitaire liée à la pandémie du nouveau coronavirus (covid-19), les recettes fiscales brutes ont atteint près de 156 000 MDH durant l'année écoulée.

2- La structure fiscale : la part de l’IS, l’IR et TVA dans les recettes fiscales La structure fiscale

L'analyse d'une politique fiscale doit au préalable être précédée d'une approche d'un modèle de système fiscale qui serait un type idéal, c'est à dire, une norme permettant de définir toute autre mesure qui s'en s'écarterait. Suite aux réformes menées dans les années 80, le système fiscal marocain, en reposant sur des objectifs de simplicité, d’efficacité et d’équité, s’est doté d’une architecture d’imposition semblable dans sa globalité à celle du monde occidental. Il repose fondamentalement sur trois grands impôts à savoir la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) en 1986, l’impôt sur les sociétés (IS) en 1988 et l’impôt général sur le revenu (IGR) en1990 devenu IR en 2006. Dans sa pratique, le système fiscal marocain repose sur le principe de déclaration pour la plupart des impôts (IS, TVA, Droits d’enregistrements, etc.) et sur la retenue à la source pour d’autres impôts plus simples à cerner (IR salarial et prélèvements sur les placements financiers). En tant qu’instrument économique d’incitation et d’encouragement, le système fiscal marocain accorde plusieurs avantages fiscaux sous forme d’exonérations, d’abattements ou d’impositions à des taux réduits. Ces mesures, en plus qu’elles représentent un coût important se chiffrant à des dizaines de milliards de DH, écartent le système des objectifs qui lui sont assignés. L’impôt sur le revenu (IR) : est un impôt direct, global, déclaratif et annuel calculé selon un barème progressif (c'est-à-dire un impôt unique à taux progressif et personnalisé avec des taux libératoires pour certains revenus).Il s’applique selon l’article 22 du code général des impôts aux revenus et profits des personnes physiques et des sociétés des personnes physiques n’ayant pas opté pour l’impôt sur les sociétés. Les revenus concernés sont : les revenus salariaux, les revenus professionnels, les revenus et profits fonciers, les revenus et profits de capitaux mobiliers et les revenus agricoles. L’impôt sur les sociétés (IS) : s’applique aux revenus et bénéfices réalisés par les sociétés de capitaux et autres personnes morales réalisant des opérations lucratives et sur option, à des sociétés de personnes. Le taux de l’IS est fixé à 30% depuis le 1er Janvier 2008, exception faite des institutions financières qui sont imposées au taux dérogatoire de 37%. D’autres taux spécifiques de 8.75% , de 10% et de 17.5% s’appliquent respectivement pour les entreprises qui exercent leurs activités dans les zones franches d'exportation, durant les vingt (20) exercices consécutifs suivant le cinquième exercice d’exonération totale et pour les sociétés de services ayant le statut "Casablanca Finance City" , pour les banques offshore (sur option) durant les quinze (15) premières années consécutives suivant la date de l’obtention de l’agrément et pour les entreprises exportatrices, hôtelières et minières après cinq années d’exonération totale. Ajoutons à ces taux, deux taux retenus à la source : 10 % du montant des produits des actions, parts sociales et revenus assimilés et 20 % du montant, hors taxe sur la valeur ajoutée, des produits de placements à revenus fixes. Un taux de 15% a été prévu par l’article 7 de la loi de finances n° 43-10 pour l’année budgétaire 2011 pour les sociétés réalisant un chiffre d’affaires inférieur ou égal à trois millions (3 000 000) de dirhams hors taxe sur la valeur ajoutée. L’IS marocain se caractérise par une

multiplicité de taux et par de nombreuses exonérations totales ou partielles, qui peuvent être permanentes ou temporaires, régionales ou sectorielles. La taxe sur la valeur ajoutée (TVA) : est un impôt indirect de consommation, déclaré et payé à l’Etat par les entreprises mais supporté en dernier ressort par le consommateur final. Selon l’article 87 du code général des impôts, la taxe sur la valeur ajoutée est une taxe sur le chiffre d’affaires qui s’applique aux opérations de nature industrielle, commerciale, artisanale ou relevant de l'exercice d'une profession libérale, accomplies au Maroc et aux opérations d'importation. Les activités agricoles sont exclues du champ d’application de la TVA et un nombre important de produits de consommation intérieure sont exonérés. Le taux de droit commun de la TVA est de 20% mais Il existe trois autres taux dits taux réduits de 7%, 10% et 14%. Cette multiplicité de taux et d’exonérations compromet la neutralité et l’efficacité de la TVA. Tableau de la part de l’IS, l’IR et TVA dans les recettes fiscales 2009-2020 IS IS/Recettes fiscale IR IR/Recettes fiscales TVA TVA/Recettes fiscales

IS IS/Recettes fiscale IR IR/Recettes fiscales TVA TVA/Recettes fiscales

2009 43 532 25,67%

2010 37 153 21,37%

2011 40 250 21,83%

2012 43 206 21,99%

2013 40 417 20,65%

2014 41 260 20,64%

25 803 15,27%

24 912 14,32%

27 525 14,93%

29 121 14,82%

34 081 17,41%

34 325 17,17%

23 921 14,15%

27 599 15,87%

27 727 15,04%

27 906 14,21%

28 792 14,71%

28 566 14,29%

2015 41 319

2016 43 242

2017 4 997

2018 52 485

2019 54 004

2020 51 584

20,08%

20.36%

2,22%

22,34%

22,67%

33,68%

36 848

38 660

39 308

43 897

44 510

42 262

17,91%

18,20%

17,48%

18,69%

18,68%

27,60%

29 501

27 909

20 907

31 791

31 865

31 112

14,34%

13,14%

9,30%

13,53%

13,37%

20,32% Source DGI

Graphique de la part de l’IS, l’IR et TVA dans les recettes fiscales 2009-2020 40.00%

La part de IS,IR et TVA dans les recettes fiscales

35.00% 30.00% 25.00% 20.00%

IS/Recettes fiscale IR/Recettes fiscale TVA/Recettes fiscale

15.00% 10.00% 5.00% 0.00% 0 9 1 0 1 1 1 2 1 3 1 4 15 1 6 1 7 18 1 9 2 0 20 20 20 20 20 20 2 0 20 20 2 0 20 20

Le rapport fait ressortir que les recettes brutes de l'impôt sur les sociétés (IS) s’élève a 51 584 MDH en 2020 contre 54 004 MDH en 2019, ce qui représente un taux de réalisation de 113,% des prévisions de la LFR. Pour ce qui est des recettes brutes de l'impôt sur le revenu (IR), elles ont atteint 42 262 MDH, avec un taux de réalisation de 100%. En outre, la DGI fait savoir que les recettes brutes de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) se sont établies à 31 112 MMDH en 2020, soit un taux de réalisation des prévisions de la LFR de l'ordre de 117,9%.

3- La pression fiscale La pression fiscale est l’indicateur le plus utilisé pour déterminer le poids de la fiscalité dans une économie. Cet indicateur, qui met en évidence le degré de fiscalisation d’un pays, s’exprime à partir de deux agrégats macroéconomiques ; les prélèvements fiscaux et le produit intérieur brut. Ainsi le taux de pression fiscale est un ratio qui met en rapport les prélèvements fiscaux payés par les contribuables au numérateur et le PIB au dénominateur. La pression fiscale au Maroc découle d’un système fiscal qui a connu une profonde réforme, depuis le milieu de la décennie 80, qui s’est traduite par l’introduction des principaux impôts actuels : la Taxe sur la valeur ajoutée (TVA) en 1986, l’impôt sur les sociétés (IS) en 1987, et l’impôt sur le revenu (IR) en 1990.

Tableau de la pression fiscale au Maroc 2009-2020

P F

2009

2010

2011

2012

2013

2014

2015

2016

2017

2018

2019

22,96 %

22,75 %

22,97 %

23,72 %

22,43 %

21,62 %

20,95 %

20,9 %

21,15 %

21,22 %

20,7 %

Graphique de la pression fiscale au Maroc

La pression fiscale au MAROC 24.00% 23.50% 23.00% 22.50% 22.00%

Maroc

21.50% 21.00% 20.50% 20.00% 19.50% 19.00%

2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017 2018 2019

A la veille de la réforme fiscale (2009 -2011), la pression fiscale était d’environ 22,89%, Il a atteint une valeur maximale de 23,72 % en 2012, ensuite, il a changé de tendance pendant la période 2013-2019, en dépit d’une baisse généralisée des taux d’impositions.

4- Comparaison de la pression fiscale Tableau comparatif avec les pays comparables 2009-2019 2009

2010

2011

2012

2013

2014

2015

2016

2017

2018

2019

Maroc

22,96%

22,75%

22,97%

23,72%

22,43%

21,62%

20,95%

20,9%

21,15%

21,22%

20,7%

Egypt

17,60%

16,20%

15,80%

15,10%

16,20%

15,10%

15,60%

15,2%

17,10%

16,70%

16,7%

Tunisie

26,80%

27,20%

29,10%

29,10%

29,80%

30,90%

30,20%

29,6%

31%

32,10%

35,2%

Turqui e

24,6%

26,2%

27,8%

27,6%

29,3%

28,7%

29,8%

30,1%

30,1%

31,3%

31,8%

Source countryeconomy

Graphique comparatif de pression fiscale de 4 pays 2009-2019 40.00%

La pression fiscale de 4 pays

35.00% 30.00% 25.00%

Maroc EGYPTE TUNISIE TURQUIE

20.00% 15.00% 10.00% 5.00% 0.00%

2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017 2018 2019

D’après le graphique et le tableau on remarque que le ratio recette fiscale/PIB est généralement compris entre 20% et 25%, suivie par la Turquie qui atteint le seuil de 30%. Et la Tunisie considère comme le pays africains qui maximise ce ratio, et au dernier rang vient l’Egypte avec des pourcentages modeste qui n’atteint même pas le seuil moyen de 20%.

Deuxième partie : La croissance La croissance économique désigne la variation positive de la production de biens et de services dans une économie sur une période donnée, généralement une longue période. Elle assure la prospérité économique, sociale et humaine. Au Maroc la nécessite d’assurer une croissance économique forte, durable et inclusive s’impose comme une solution pour plusieurs problèmes sociaux du pays.  Mesures de la croissance L’outil principal pour sa mesure est le PIB : Il faut savoir que le produit intérieur brut est un indicateur qui détermine la valeur de la production de biens et de services à partir de leurs prix. C’est l’agrégat permettant de comptabiliser l’ensemble des activités de production dans une économie (un pays). Il inclut l’ensemble des valeurs ajoutées par tous les agents économiques. La valeur ajoutée est la différence entre la production réalisée et les consommations intermédiaires nécessaires à cette activité. C’est donc une mesure de la « richesse créée » par les agents économiques. L’addition de toutes les valeurs ajoutées par tous les agents économiques rend donc compte de la richesse créée globalement. Et le PIB est donc la somme de toutes les valeurs ajoutées par tous les agents économiques à l’intérieur d’un pays et ce quelle que soit la nationalité des agents (entreprises), et la variation annuelle du PIB qui est appelée « croissance économique » L'indicateur du PIB reste cependant imparfait comme mesure de la croissance économique car il s'appuie sur la comptabilité nationale, donc sur ce qui est déclaré à l'Etat. De ce fait, il ne prend pas en compte: 

Le travail non rémunéré, celui que l'on fait pour soi-même (le travail domestique par exemple)



Le bénévolat,



Ce que l'on produit pour soi-même (son verger, son potager, ...) encore appelée l'autoconsommation.



La production encaissée en liquide et non déclarée,



Le travail "au noir",



Les activités illégales...

Tableau du PIB 2009-2019

 

2009

2010

2011

2012

2013

2014

PIB primaire/PIB Pib secondaire/PIB PIB tertiaires/ PIB en MDHS

14,56% 25,37% 48,97% 736 206

13,84% 26,70% 49,47% 764 302

14,31% 27,98% 50,21% 802 607

13,35% 28,12% 51,31% 828 169

15,18% 26,13% 50,28% 872 791

11,64% 26,34% 51,85% 924 769

PIB primaire /PIB PIB secondaire/PIB PIB tertiaires/PIB PIB en MDHS

2015 12,80% 25,83% 49,76% 982 223

2016 12,02% 26,05% 50,10% 1 016 119

2017 12,38% 26,13% 49,96% 1 063 297

2018 12,26% 26,19% 50,01% 1 106 822

2019 12,16% 25,34% 50,93% 1 151 170 Source HCP

Graphique de l’évolution du PIB total

L'EVOLUTION DU PIB TOTAL 1,400,000,000,000 1,200,000,000,000 1,000,000,000,000 800,000,000,000

PIB TOTAL

600,000,000,000 400,000,000,000 200,000,000,000 0 20

0 9 01 0 01 1 01 2 013 014 015 016 01 7 01 8 01 9 2 2 2 2 2 2 2 2 2 2

On constate que le PIB total a connu une augmentation depuis 2009 il a passé de 736 206 MDHS en 2009 à 1 151 170 MDHS en 2019.

Graphique de l’évolution du PIB par secteur 700,000,000,000

L'EVOLUTION DU PIB PAR SECTEUR

600,000,000,000 500,000,000,000 400,000,000,000

PIB primaire PIB secondaire PIB tertiares

300,000,000,000 200,000,000,000 100,000,000,000 0 20

09 01 0 011 012 01 3 014 015 016 017 018 019 2 2 2 2 2 2 2 2 2 2

L’analyse des secteurs de l’économie marocaine sur les 10 dernières années révèle que la composition sectorielle du PIB reste marquée par l’importante domination du secteur des services (PIB tertiaires) (55,29 %) suivie du secteur industriel (PIB secondaire) (29,02 %) et enfin du secteur agricole (PIB primaire) (13,43 %).

Conclusion Nous rappelons que nous avons étudié indirectement la comptabilité de la croissance en analysant également les contributions des différents déterminants retenus inclus les recettes fiscales. Les résultats issus de ce travail confirment en dernier lieu, le postulat théorique de base à savoir que la fiscalité reste un moteur de la croissance même, si sa part reste variable d’une période à une autre. Cette situation peut être interprétée comme grave, mais peut être également vérifiée prochainement si elle se présente comme des potentialités d’accélération de la croissance au Maroc tout en sauvegardant son équilibre macroéconomique.

Webographie https://fr.countryeconomy.com/impots/pression-fiscale/ https://www.hcp.ma/ https://www.finances,gov.ma/dgi-recettes-fiscales/ https://www.memoireonline.com/02/13/6931/m_la-pression-fiscale-quels-impacts-sur-lesentreprises-marocaines-Cas-des-entreprises-de-la-region18.html https://www.jeuneafrique.com/768569/economie/imposition-au-maroc-80-des-recettesfiscales-sont-apportees-par-08-des-entreprises/ https://wecount.ma/fr/controle-fiscal-au-maroc-quels-sont-les-facteurs-susceptibles-dedeclencher-une-verification-comment-la-prevenir-tout-du-moins-en-limiter-lesconsequences-6