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Sujet 01 : Il est temps que les parents arrête de décider à la place de leurs enfants Monsieur le rédacteur en chef ; Permettez-moi avant tout de saluer vos efforts consentis quotidiennement pour enrichir les pages du débat. Fidèle lecteur de votre journal, je vous écrits afin de réagir à l’article paru le 20-01-2021, signé Patrick Dupond et qui suggère aux parents d’arrêter de décider à la place de leurs enfants. A vrai dire, j’ai un avis mitigé sur la question : d’un côté il est nécessaire de préserver la personnalité de l’enfant en le laissant faire ses propres choix, et de l’autre les parents sont souvent jugés sur la réussite ou l’échec de leur progéniture. De ce fait, vis-à-vis de ce sujet, il est préférable à mon sens de se situer au juste milieu, au lieu de tenir une position radicale et extrême. D’abord, en choisissant à la place de nos enfants, on leur envoie un message extrêmement négatif qui va ensuite s’inscrire profondément dans leur subconscient et qui pourrait dans l’avenir constituer pour eux un blocage traduit par l’indécision lorsqu’ils seront tenus forcément un jour, à partir d’un certain âge, de prendre leurs propres décisions. Bien qu’il soit difficile d’illustrer cela par un exemple concret du fait de l’aspect abstrait de cette affirmation, Mais on connait tous des parents qui se retrouvent obligés de surveiller les choix de leurs enfants à l’âge adulte et les assister dans leurs prises de décision, du fait qu’ils soient conscients qu’ils n’ont pas étaient formés pour le faire seuls. Ensuite, cela peut également créer des tensions et une dégradation de la relation parent/enfant. Effectivement, on vit dans un monde qui change rapidement, et certains parents, noyés dans leurs obligations professionnelles et familiales ne tiennent pas compte des fluctuations sociales et culturelles ou ne les remarquent pas, voir même, les interprètes faussement. L’exemple le plus concret que je peux vous donner à cet égard sont ces parents qui forcent leurs enfants à se coiffer et de s’habiller d’une manière qui ne corresponde pas à l’entourage de leur enfant. Néanmoins, je soutiens l’opposition lorsqu’elle exprime l’obligation des parents de mettre leur expérience et toute leur clairvoyance au service de leurs enfants surtout en ce qui concerne les décisions les plus importantes, surtout d’ordre sanitaire et éducatif où les erreurs sont irréversibles. En effet, les enfants manquent souvent de sagesse et ont tendance à déambuler derrière leurs émotions, à être rétifs et rechigner aux besognes peu ludiques qui sont souvent au même temps les plus lucratives, préférant au lieu de cela musarder avec les copains aux jeux. En conclusion, je pense qu’il s’agit là d’un sujet très délicat où il est plus judicieux à mon sens prendre beaucoup de recul et réfléchir plus profondément à la question au lieu d’être si radical dans son jugement. Je crois que chaque parent se doit de prendre la personnalité et les penchants de son enfant en considération, de communiquer avec lui et de respecter son jeune esprit et ses désirs et de le concerter de peur de provoquer de sa part une réaction destructrice. Sujet 02 : Il faut continuer d’investir dans la recherche spatiale Monsieur le rédacteur en chef, Permettez-moi avant tout de saluer vos efforts consentis quotidiennement pour enrichir les pages du débat. Fidel lecteur de votre journal, je souhaite réagir à l’article paru le 20/01/2021, signé Patrick Dupond, et qui suggère qu’il est nécessaire que nos gouvernements continuent leurs investissements pour encourager la recherche spatiale. A vrai dire, j’ai un avis mitigé sur la question : d’un côté ce type de recherche a déjà montrer son énorme potentiel. Mais au même temps beaucoup d’endroits sur terre cri encore la misère dans notre ère et ont besoin de recevoir un support au développement plus important. Tout d’abord, grâce à la recherche spatiale nous pouvons aujourd’hui prédire la météo, ce qui nous permet de prévoir les catastrophes naturelles telles que les ouragans et les tempêtes et ainsi prendre des décisions importantes pour sauver des vies humaines, comme c’était le cas lors de l’ouragans Caterina aux Etats-Unis. Ensuite, La recherche spatiale nous a également permis d’avoir une vue panoramique sur notre planète, ce qui nous a aidé à comprendre tout ce que la terre subie à cause de la pollution. Par conséquent, beaucoup de mouvements se développe à travers le monde pour protéger la nature et la préserver. Cette démarche a déjà donner des résultats plus que positives dans beaucoup d’endroits de la planète, notamment en Europe et en Amérique, et surtout chez les industriels qui se sont retrouvés obliger de revoir leurs méthodes de fabrication. Toutefois, je comprends les opposants dans leur argumentation, également très logique, lorsqu’ils dénonce le fait que la recherche spatiale soit financée des poches des citoyens (dont beaucoup sont écologistes et n’ont causé aucun mal à la planète) à travers les impôts. Au lieu de cela, ils suggèrent que l’investissement dans ce type de recherche devraient être financé exclusivement par les industriels qui profitent des richesses de la terre et qui la détruisent en guise de remerciement. Pour conclure, je pense que la recherche spatiale a déjà montrer son utilité et son importance pour l’humanité. Par contre, ses sources de financement restent à revoir en impliquant d’avantage les centaines de milliers d’entreprises à travers le monde dans ce secteur en les incitant à plus d’engagement de leur part. Veuillez agréer monsieur, l’expression de mes sincères salutation.
Sujet 03 : les bandes dessinées sont mauvaise pour les enfants. Monsieur le rédacteur en chef ; Permettez-moi avant tout de saluer vos efforts consentis quotidiennement pour enrichir les pages du débat. Fidel lecteur de votre journal, je souhaite réagir à l’article publier le 20/01/2021, signé Patrick Dupond, et qui suggère d’éloigner les bandes dessinées des enfants. A vrai dire, je ne suis pas convaincu par les arguments avancés par l’auteur et je pense que beaucoup de lecteurs ne le sont pas également et cela pour de multiples raisons : D’abord, les bandes dessinées sont un excellent moyen pour introduire aux enfants à la lecture et les habituer à cette activité dont personne ne peux nier les mérites. Effectivement, les petits sont généralement rétifs à la lecture et préfèrent des activités plus ludiques car à jeune âge on ne sait pas encore savourer les mots. A cet égard, les bondes dessinés offrent un peu plus d’amusement à la lecture grâce aux images qui accompagnent les textes. Ensuite, cela développe la mémoire visuelle de l’enfant et stimule son imagination. En effet, afin de comprendre le contenu des bandes dessinées, l’enfant est tenu de relier les différent textes et images représentées. Ainsi, l’enfant peut développer ses facultés cognitives de manière inconsciente et sans le moindre effort. Finalement, les parents d’aujourd’hui sont confrontés à un monde où le travail et la réussite professionnelle prennent énormément de leur temps, jusqu’à même empiéter leur vie privée. D’où l’importance des bandes dessinées pour soutenir l’aspect éducatif de l’enfant du fait qu’ils contiennent (à condition de bien les choisir) beaucoup de leçons et d’enseignements nécessaires pour forger la personnalité et le caractère de l’enfant et le préparer à la vie. En plus de leur rôle pour éloigner les plus jeunes de la technologie, notamment les jeux vidéo et les réseaux sociaux qui représentent le réel danger. Pour résumer, les bandes dessinées sont à mon sens un excellent moyen, voir même le meilleur à disposition pour accompagner les années de jeunesse de nos enfants. Néanmoins, je comprends que certains lecteurs pourraient s’opposer à ce résonnement. C’est pourquoi je souhaiterais vous inviter à publier un sondage sur la question. Veuillez agréer monsieur, l’expression de mes sincères salutation.
Sujet 04 : La vidéosurveillance motive les employés Monsieur le rédacteur en chef, Permettez-moi avant tout de saluer vos efforts consentis quotidiennement pour enrichir les pages du débat. Fidel lecteur de votre journal, je souhaite réagir à l’article paru le 20/01/2021, signé Patrick Dupond, et qui suggère aux employeurs d’installer des systèmes de vidéosurveillance afin d’inciter leurs subordonnés à travailler plus sérieusement. A vrai dire, bien que je trouve l’argumentation de monsieur Dupond très logique, je n’estime pas que la vidéosurveillance soit le meilleur outil pour stimuler les employés. Tout d’abord, Bien que la motivation par « la peur » soit efficace, elle est souvent trompeuse. Effectivement, si le système de surveillance mis en place subirait un disfonctionnement pour une raison ou une autre, vous allez très vite remarquer une baisse instantanée de productivité. En plus du fait qu’aujourd’hui une très grande partie du travail est effectuée à domicile ou à l’extérieur du bureau où il n’existe aucun moyen de surveillance. Ajoutant à cela que le fait d’attacher les employés par la force à leur clavier d’ordinateur ne signifie aucunement une augmentation de leur efficacité. Ensuite, ce genre de control peut s’avérer très néfaste, du fait qu’il communique aux travailleurs qu’on ne les considère pas digne de confiance. En Effet, en plus que cela engendre des employés constamment stressés, les emmène à être déloyale à la première occasion venue. Comme le montre le taux de démission exceptionnellement élevé chez les entreprises qui font recours à ce type de gestion de personnel. Enfin, il existe bien d’autres moyens pour motiver ses employés et qui se basent sur l’influence positive et qui donne de meilleurs résultats sur le court terme comme sur le long terme. A titre d’exemple, l’entreprise peut mettre en place un système de rémunération basé sur la performance pour les inciter à être plus efficace et limiter les potins. Pour résumer, je dirais que la vidéo surveillance peut certes forcer les employés à rester attachés à leur poste de travail, mais ne peut surement pas les empêcher à musarder. Néanmoins, je comprends que d’autres lecteurs pourraient avoir un avis opposant. C’est pourquoi je souhaiterais vous inviter à publier un sondage sur la question. Veuillez agréer monsieur, l’expression de mes sincères salutation.
Sujet 05 : les parent n’ont plus aucune autorité sur leurs enfants Monsieur le rédacteur en chef, Permettez-moi avant tout de saluer vos efforts consentis quotidiennement pour enrichir les pages du débat. Fidel lecteur de votre journal, je souhaite réagir à l’article paru le 20/01/2021, signé Patrick Dupond, et qui affirme que les parents d’aujourd’hui n’ont plus d’autorité sur leurs enfants. A vrai dire, j’ai un avis mitigé sur la question. D’un côté, il est correct de dire que les enfants d’aujourd’hui se permettent de s’exprimer d’avantage, mais au même temps, il s’agit-là d’une faculté que les parents eux même vise à développer volontairement chez leur descendance. Je crois donc qu’il s’agisse peut être plutôt d’une nouvelle forme d’éducation. Tout d’abord, il est normal de penser que les parents ont perdu de leur autorité lorsqu’on prend en considération toutes les lois et réglementations récentes mises en vigueur et qui vise à protéger les enfants contre la violence et l’abus parental. En conséquence, les parents n’ont plus le droit de contrôler leurs enfants par la peur et à travers le châtiment. Et c’est tant mieux, vu qu’il n’est en aucun cas nécessaire de recourir à ces méthodes dépassées pour inciter les petits à se comporter d’une certaine manière. Ensuite, les enfants d’aujourd’hui ont plus connaissance de leurs désirs, du fait qu’ils ont à disposition tous types de moyens pour se découvrir et se laisser exprimer (de bonne ou de mauvaise manière) : télévision, internet, écart social … contrairement au passé ou il n’existait qu’un seul modèle d’enfant « exemplaire », de parent « parfait » et d’éducation « idéale ». Néanmoins, ce changement de paradigmes et de lois, ne signifie en rien une perte d’autorité. En effet, un parent intelligeant continuera tout de même à exercer un certain control sur sa progéniture et doit le faire car un enfant a toujours besoin d’être guider de peur de commettre des erreurs irréversibles. Toutefois, les méthodes changent et le doivent également. Ainsi, Etudier et s’informer sur la psychologie enfantine est la moindre le moindre effort qu’un parent peut faire pour apprendre à éduquer son enfant et lui enseigner certaines valeurs (que les parents doivent d’abord possédé pour pouvoir les transmettre) à travers l’influence et non pas la violence. Pour résumer, je pense que l’autorité que certains parents ont l’impression d’avoir perdu, peut toujours être récupérée à condition de se former soi-même. Néanmoins je comprends que certains lecteurs pourraient s’opposer à ce raisonnement. C’est pourquoi je souhaiterais vous inviter à publier un sondage sur la question. Veuillez agréer monsieur, l’expression de mes sincères salutation.
Sujet 06 : les jeunes de 20-30 ans vivent chez leurs parents pour des raisons de confort et de facilité. Monsieur le rédacteur en chef Permettez-moi avant tout de saluer vos efforts consentis quotidiennement pour enrichir les pages du débat. Fidel lecteur de votre journal, je souhaite réagir à l’article paru le 20/10/2020, signé Patrick Dupond, et qui affirme que les jeune demeure à la maison parentale pour des raisons de bienêtre physique et financier. A vrai dire, j’ai un avis mitigé sur la question car chaque cas est isolé et doit être étudier séparément. D’abord, beaucoup de jeunes ne choisissent pas de vivre chez leurs parents mais se retrouvent dans l’obligation de le faire afin de prendre soin d’eux. Effectivement, certains parents souffre de maladies physiques ou mentales qui nécessite une prise en charge spéciale incitant leurs enfants à demeurer à leurs côtés, spécialement s’ils ne sont pas couverts par la sécurité sociale. Ensuite, dans beaucoup de cas les jeunes prennent à leur charge les dépenses familiale, factures, loyer, nourritures… en guise de reconnaissance pour leurs parents et spécialement si leur allocation de retraite n’est pas suffisante. D’ailleurs, les statistiques indiquent que plus de 60% des jeunes installés chez leurs parents payent ou contribuent aux payements du loyer. Néanmoins, il aussi correct de dire que certains sont attirés par la facilité de la vie au foyer familial. Notamment face à la conjoncture économique et sanitaire actuelle. En effet vivre chez ses parents signifie entre autres moins de dépenses, et plus de confort. A titre d’exemple, un jeune vivant chez ses parents n’a pas à s’inquiéter pour sa lessive, ni de réfléchir à quoi manger le soir ce qui lui permet de se concentrer sur sa carrière pour atteindre plus facilement ses ambitions. En résumé, je pense que chaque cas est isolé et doit être pris à part, chacun vit une situation différente. Parfois il s’agit même de facteurs culturels comme chez les musulmans et les indous par exemple, ou les jeunes ne quitte la maison parentale qu’une fois marié. Toutefois, je comprends que certains lecteurs pourraient s’opposer à ce raisonnement. C’est pourquoi je souhaiteras vous inviter à publier un sondage sur la question. Veuillez agréer monsieur, l’expression de mes sincères salutations.
Sujet 07 : La place des femmes n’a pas évolué.
Monsieur le rédacteur en chef, Permettez-moi avant tout de saluer vos efforts consentis quotidiennement pour enrichir les pages du débat. Fidel lecteur de votre journal, je souhaite réagir à l’article paru le 01/01/2021, signé Patrick Dupond et qui affirme que la place de la femme dans la société ne s’est pas développée. A vrai dire je m’oppose totalement au résonnement de l’auteur. Les faits sont là et prouve de manière incontestable que le rôle de la femme et sa position dans la société moderne et en constante évolution sous bien sûr les mouvements de soutien, de revendication et de protection des droits de la femme. Tout d’abord, les femmes aujourd’hui ont accès aux études partout dans le monde et occupent tous les postes de travail possibles et imaginaires en adéquation avec leurs capacités physique. Effectivement, trente ans auparavant, dans l’Algérie des années 90s et bien avant, beaucoup de familles étaient rétives à l’idée de laisser leurs filles aller à l’université, voir même au lycée dans certaines régions. Cela était même aberrant aux coutumes établies à cette époque. Contrairement à aujourd’hui, où les parents encouragent leurs filles à suivre des études, à travailler et être indépendantes. Ensuite, les femmes occupent aujourd’hui le même statut que les hommes dans une famille ou dans un couple du point de vue de la société. En effet, les hommes veillent à concerter leur épouse avant de prendre des décisions importantes comme l’éducation des enfants, mais aussi celles de moindre importance telle que le choix de la machine à laver à acheter, et rechignent même de moins en moins à l’idée de partager les tâches ménagères. Finalement, les femmes ont acquis beaucoup de droits à travers le temps dans beaucoup de région du monde, et notamment au cours du dernier siècle. Bien qu’il soit difficile de l’imaginer aujourd’hui, les femmes n’avaient même pas le droit au vote aux Etats-Unis des années 50s, ni le droit de s’habiller comme elle le désirent en Europe. Récemment, même l’Arabie Saoudite commence à céder et à suivre le mouvement en octroyant à la gente féminine le droit de conduire une voiture. Pour résumé, Je ne présage pas que la position de la femme soit optimale à travers le monde. Du fait que dans certaines régions du monde, les violences commises contre les femmes sont toujours banalisées par la loi et la société. Mais globalement, il est clair que la place de la femme est en constante évolution. Néanmoins, je comprends que certains lecteurs pourraient avoir un avis opposant, c’est pourquoi je souhaiterais vous inviter à publier un sondage sur la question. Veuillez agréer monsieur, l’expression de mes sincères salutation.
Sujet 08 : les ONG ont un rôle important dans l’éradication de la pauvreté Monsieur le rédacteur en chef Permettez-moi avant tout de saluer vos efforts consentis quotidiennement pour enrichir les pages du débat. Fidel lecteur de votre journal, je souhaite réagir à l’article paru le 20/01/2021, Signé Patrick Dupond, et qui affirme que les ONG tiennent un rôle capital dans l’éradication de la pauvreté. A vrai dire, je ne suis pas tout à fait d’accord quant à la justesse de cette de cette information. En réalité, je pense que le rôle actuel des ONG et qui est relative au pouvoir qu’elle possèdent sur le terrain se limite à soigner le mal de manière temporaire et n’ont en aucun cas la capacité à extirper les communautés les plus défavorisées de leur situation. D’abord, donner à une famille de quoi se nourrir permet certes d’atténuer sa faim, mais ne l’aide guère à sortir de son état de pauvreté. En effet, tant qu’on ne met pas à disposition de cette famille une solution pour subvenir par ses propres moyens à ses propres besoins on ne fait que lui injecter un calment visant à la garder en vie une journée de plus. En d’autres termes, la charité et les dons ne constituent pas une solution durable. Ensuite, Les organisations non gouvernementales s’appuient sur le financement des grandes firmes internationales telles que « Appel » et « Microsoft »… Or ces entreprises ne sont pas à l’abri d’une nouvelle crise économique mondiale qui viendrait frapper leur stabilité financière les obligeant à réduire, voire couper leurs subventions. De ce fait, et face à une telle situation les ONG seraient contraintes de limiter leurs activités et leurs zones d’intervention. Finalement, les ONG n’ont pas la capacité d’éradiquer la pauvreté car il n’ont pas le pouvoir et le droit d’opérer sur ses causes et qui sont le résultat d’un système fétide et erroné mis en place par un gouvernement généralement corrompu, incompétent et peu coopérant comme il est le cas dans la majorité des pays où règne le fléau de la misère. A cet effet, en ignorant les cause et en agissant uniquement sur les effets de la pauvreté les ONG ne sont en mesure que de l’adoucir. Autant d’éléments, monsieur le rédacteur en chef, qui me pousse à être pessimiste quant à la capacité des ONG à éradiquer la pauvreté. Néanmoins, je comprends que certains lecteurs pourraient s’opposer à mon raisonnement. C’est pourquoi je souhaiterais vous inviter à publier un sondage sur la question. Veuillez agréer monsieur, l’expression de mes sincères salutations.
Sujet 09 : La société hyperactive ne peux pas faire de rencontre. Monsieur le rédacteur en chef ; Permettez-moi avant tout de saluer vos efforts consentis quotidiennement pour enrichir les pages du débat. Fidèle lecteur de votre journal, je souhaite réagir à l’article paru le 01/10/2020, et qui affirme que dans notre société actuelle, faire de nouvelle rencontre devient une mission presque impossible. A vrai dire, j’ai un avis mitigé sur la question, les dernières deux décennies ont apportées beaucoup de facilités à notre vie quotidienne qui nous permettent aujourd’hui de gagner beaucoup de temps mais que nous conduisent au même temps pour effectuer de plus en plus de tâches. Également, l’avènement des réseaux sociaux nous permet de rester en contact avec un très grand nombre de nos connaissances et d’apprendre de leurs nouvelles de façon instantanée. Mais parallèlement, diminue l’urgence et nécessité de les rencontrer physiquement. Tout d’abord, il est vrai que nous vivons dans un monde extrêmement concurrentiel, incitant les entreprises à demander toujours plus de leurs employés jusqu’à empiéter parfois leurs vies privées et sociale. Ces derniers, se retrouvent dans l’obligation de répondre aux exigences de leurs employeurs de peur d’être dépassés par leurs collègues, voir même congédié. Cette concurrence au niveau entrepreneurial et personnel nous jette dans un état d’effroi permanant et nous emmène à être constamment occupé et indisponible. Outre cela, et durant notre temps soi-disant « libre », nous nous occupons de nos obligations selon notre rôle d’époux / se et de parent : entre les devoirs et les entrainements des enfants, les achats, les petites bricoles, les journées et les week-ends s’envolent très vite. Stressé et épuisé, nous voilà sans énergie à octroyer à autrui. D’ailleurs, les statistiques montrent que 70% des individus choisissent durant leur temps libre de se reposer devant la télévision ou prendre soin de soi que de sortir. Cependant, notre lieu de travail, les supermarché, l’école des enfants ou leur terrain d’entrainement sont des lieux qui nous donne l’occasion de nouer de nouveaux contacts à condition d’être attentif à son environnement. Effectivement, les clients, les parents d’élèves et les inconnus aux supermarchés et aux cafétérias peuvent toutefois constituer un bon échappatoire de notre routine quotidienne. Pour résumer, je dirais que bien qu’il soit difficile aujourd’hui d’envisager de nouvelles rencontres à cause du rythme accéléré de vie que nous subissons, il est toujours possible pour celui et celle qui le veut, de faire de nouvelles rencontres agréables. Evidemment, sous condition de se détacher de ses soucis et ses craintes et de prêter plus attention à ce qui l’entoure. Veuillez agréer monsieur, l’expression de mes sincères salutations Sujet 10 : les cours d’informatiques aux plus âgés ne sont pas utiles Monsieur le rédacteur en chef Permettez-moi avant tout de saluer vos efforts consentis quotidiennement pour enrichir les pages du débat. Fidel lecteur de votre journal, je souhaite réagir à l’article paru le 01/01/2021 et qui suggère aux innés de ne pas prendre la peine de se familiariser avec l’outil informatique sous prétexte qu’ils soient d’aucune utilité pour eux. A vrai dire, je m’oppose totalement au raisonnement de l’auteur, et cela pour diverses raisons. Tout d’abord, Internet permet aux plus âgés de sortir de leurs solitudes et affronter la lassitude. Effectivement, la toile leur permet de rester en contact avec leurs enfants et petits-enfants et d’apprendre de leurs nouvelles. A travers l’écriture, le son et l’image, internet leurs offre beaucoup de facilités. Outre cela, A un âge avancé, nous avons moins d’énergie, et beaucoup souffre de maladie en plus qu’ils soient plus fragiles et la contracte plus facilement. D’où l’importance de l’outil informatique à travers lequel on peut effectuer des achats en ligne, et procéder au payement de ses factures sans le moindre effort. D’ailleurs 90% des innés qui utilise cet outil à cette fin s’estiment très satisfait. Enfin, l’apprentissage en lui-même est une activité préventive contre la vieillesse et qui préserve les facultés cognitives de l’être humain. En effet, en apprenant nous incitons le cerveau à faire des efforts nécessaires afin de nous éviter de subir une atrophie des méninges. A cet égard, l’ordinateur offre une multitude de jeux de mémoire de logique et de stratégie et des casse-têtes qu’on peut jouer seul ou en multijoueurs et qui ont pour effet de stimuler le cerveau et le préserver. Autant d’éléments pour dire, monsieur le rédacteur en chef, que l’apprentissage de l’outil informatique ne peut être que bénéfique, voire même nécessaire aux personnes âgés. Néanmoins, je comprends que certains lecteurs pourraient s’opposer à mon point de vue. C’est pourquoi je souhaiterais vous inviter à publier un sondage sur la question. Veuillez agréer monsieur, l’expression de mes chaleureuses salutations.
Sujet 11 : les personnes âgées doivent repasser le permis de conduire. Monsieur le rédacteur en chef Permettez-moi avant tout de saluer vos efforts consentis quotidiennement pour enrichir les pages du débat. Fidel lecteur de votre journal, je souhaite réagir à l’article paru le 20/01/2021, signé Patrick DuPont, et qui affirme que les personnes âgées doivent repasser le permis de conduire. A vrai dire, je soutiens totalement le raisonnement de l’auteur, et cela pour diverses raisons. D’abord, la conduite est une activité qui nécessite beaucoup de prudence et une prise d’attention constante de son environnement. Effectivement, conduire une voiture en ville ou sur une autoroute à des vitesses pouvant aller jusqu’à 120 km/h exige au conducteur d’avoir beaucoup de vigilance et un temps de réaction réduit. Or, les innés ont énormément perdu de leur capacité à repérer le danger et y réagir rapidement. Les statistiques d’ailleurs montre que ¼ des accidents de la route sont provoqués par des personnes âgé de plus de 65 ans sur un manque d’attention. Outre cela, la conduite peut être une activité très fatigante lors des trajets de longue distance. En effet, conserver une posture assise pendant plusieurs heures affecte les facultés motrices de l’être humain et entraine un malaise et des douleurs légères au niveau des articulations et des muscles, provoquant un manque d’attention beaucoup plus notoire chez les séniors qui en plus de cela souffrent dans certains cas de capacités visuelles insuffisantes. Enfin, l’ensemble de lois et codes de la route ont subi beaucoup de modifications les dernières décennies, qui est en soi une raison plus que suffisante à mon égard pour faire appeler les personnes âgées à un nouveau examen pour tester leurs connaissances des nouvelles lois. A preuve, en Espagne un examen est organisé tous les 10 ans pour les conducteurs, comportant des questions sur les modifications du code de la route. Pour résumer, je persiste à croire qu’il est plus sage de faire repasser le permis de conduire aux personnes âgées afin de les protéger ainsi que les autres usagers de la route. Néanmoins je comprends que certains lecteurs pourraient s’opposer à moi. C’est pourquoi je souhaiterais vous inviter à publier un sondage sur la question. Veuillez agréer monsieur, l’expression de mes sincères salutations.
Sujet 12 : Internet nous rend isolé de la société. Monsieur le rédacteur en chef Permettez-moi avant tout de saluer vos efforts consentis quotidiennement pour enrichir les pages du débat. Fidel lecteur de votre journal, je souhaite réagir à l’article paru le 20/01/2021 et qui affirme qu’internet nous isole de la société. A vrai dire monsieur, j’ai un avis mitigé sur la question, d’un côté internet nous permet d’avoir les nouvelles de nos proches et faire de nouvelles connaissances plus facilement mais au même temps, elle réduit l’urgence pour les rencontrer physiquement. D’abord, internet est un moyen de communication instantanée avec nos proches et nous permet de faire de nouvelles rencontres ayant les mêmes centres d’intérêts plus facilement. En effet, internet offre une multitude de solutions à travers les réseaux sociaux, les blogs et les forums qui nous permettent à travers l’image et le son de communiquer et de jouer avec nos proches et ainsi, développer nos relations et notre cercle d’influence social et professionnel. Par mon expérience personnelle, à travers Facebook j’ai connu la femme qui est aujourd’hui ma femme. Ensuite, internet nous informe sur les nouvelles du monde. Effectivement, tous les journaux et chaines d’informations possèdent aujourd’hui des sites internet à travers lesquels nous pouvons filtrer les informations qui nous intéressent et garder une fenêtre ouverte sur ce qui se passe autour de nous. A preuve, nous avons tous pu suivre l’évolution de la dernière pandémie à travers cet outil et être avertis sur son danger. Cependant, cette capacité à être connecter instantanément réduit l’urgence et la volonté d’interagir physiquement avec le monde. Cette vérité est irréfutable car depuis que nous nous somme ouvert à ce nouvel univers, nous nous rencontrons plus souvent comme avant. Internet a tué notre solitude et notre temps libre. Les statistiques de l’ONS le montrent d’ailleurs : 70% des internautes affirment se limiter à cet outil pour prendre des nouvelles de leurs proches et pour faire de nouvelles connaissances. Pour résumer, Bien qu’internet soit un moyen de communication à part entière facilitant considérablement la circulation de l’information, mais nous devons néanmoins être vigilants quant à nos habitudes d’utilisation de cet outil. Veuillez agréer monsieur, l’expression de mes sincères salutations.
Sujet 13 : avec internet, un médecin ne sert à rien. Monsieur le rédacteur en chef Permettez-moi avant tout de saluer vos efforts consentis quotidiennement pour enrichir les pages du débat. Fidel lecteur de votre journal, je souhaite réagir à l’article paru le 20/01/2021 et qui remet en cause l’utilité d’un médecin à cette ère d’internet. A vrai dire, je suis interloqué par une telle affirmation, spécialement de la part d’un journal aussi réputé que le vôtre car elle met en danger l’intégralité physique de certains lecteurs influencés suite à la lecture de l’article en question. D’abord, il est difficile de décerner le vrai du faux sur internet. Effectivement, n’importe quelle personne peut créer un site internet et y publier des informations ce qui remet en cause la véracité des informations qui y circulent. D’ailleurs vous avez, vous-même publié le mois dernier un article informant que 45% des informations sur internet sont rédigées par des amateurs. Outre cela, certaines maladies nécessitent une intervention chirurgicale très complexe pour être effectuée suite à la visualisation d’une vidéo sur internet. En effet, ce type d’intervention exige des conditions précises bien définies au bloc opératoire pour être mené à bien. En plus d’un savoir-faire et des connaissances pointues. A titre d’exemple, je vois mal comment peut-on procéder en tant profane à des interventions qui dure parfois plus de 12 heures impliquant une équipe de 8 médecins et un équipement sophistiqué de plusieurs milliers d’euros. Enfin, l’échange entre patient et médecin et la consultation d’un expert est nécessaire pour comprendre et définir la source du mal. Les moindres variations de couleurs et de tailles sont prises en considération lors de la consultation et définissent le remède à prescrire au malade. Or, pour pouvoir les repérer et les interpréter correctement, des années d’expérience et de pratique sont nécessaires. En somme, je persiste à croire qu’internet ne peux en aucun cas remplacer le docteur, et que s’appuyer sur celle-ci revient à mettre sa vie et celle des autres en danger. C’est pourquoi je souhaiterais vous inviter à supprimer cet article de votre site web. Toujours fidèle à votre journal. Veuillez agréer monsieur, l’expression de mes sincères salutations.
Sujet 14 : Il faut apprendre les chinois aux enfants. Monsieur le rédacteur en chef ; Permettez-moi avant tout de saluer vos efforts consentis quotidiennement pour enrichir les pages du débat. Fidèle lecteur de votre journal, je souhaite réagir à l’article paru le 20/01/202, signé Patrick DUPOND et qui suggère aux parents d’apprendre le chinois à leurs enfants dès leur plus jeune âge. A vrai dire, je soutiens tout à fait le point de vue de l’auteur et j’estime qu’un tel investissement offre à nos enfants beaucoup d’opportunités dans l’avenir. Tout d’abord, la Chine est une force industrielle et culturelle qui ne cesse de se développer. Effectivement, la présence chinoise et son influence touche aujourd’hui tous les pays du monde et cela dans tous les domaines : technologie, construction, littérature, transport et j’en passe. Ainsi, apprendre le Chinois permet à l’individu de s’ouvrir à sa culture et avoir accès à sa philosophie qui par ses enseignements a fait de cette nation ce qu’elle est aujourd’hui. Outre cela, à un bas âge on a beaucoup plus de facilités à apprendre. En effet, l’enfant est un récepteur hors pair des informations. Cela parce que son jeune cerveau ne filtre pas les informations qu’il reçoit, il assimile tout très rapidement car il ne sait pas encore décerner ce qui est important à connaitre pour assurer sa survie de ce qu’il ne l’est pas. Finalement, le chinois aide l’enfant à développer ses facultés cognitives. Car le chinois compte plus que 3000 caractères et des dizaines de milliers de mots qui par leur apprentissage permet à l’enfant de développer son éloquence mais aussi sa mémoire et son esprit d’analyse utiles pour résoudre les problèmes dans d’autres domaines comme les mathématiques. Pour résumé, je persiste à croire qu’enseigner le chinois à nos enfants est un excellent service qu’on leur rend. Au même temps cela ne doit pas s’effectuer au détriment des autres langues comme l’anglais qui est encore aujourd’hui la langue qui offre le plus accès aux livres, aux documents et aux revues scientifiques d’importance majeur, et le français sans lequel il est quasiment impossible d’évoluer dans le domaine professionnel et celui des affaires dans un pays comme l’Algérie. Toujours Fidèle à votre journal, Veuillez agréer monsieur l’expression de mes sincères salutations.
Sujet 15 : Le télétravail est nocif. Monsieur le rédacteur en chef ; Permettez-moi avant tout de saluer vos efforts consentis quotidiennement pour enrichir les pages du débat. Fidèle lecteur de votre journal, je souhaite réagir à l’article paru le 20/01/2021, signé Patrick DUPOND et qui remet en cause l’efficacité du télétravail, expliquant que celui-ci est nocif pour la productivité des employés et donc à la santé financière de l’entreprise et à l’économie en général. A vrai dire, je m’oppose totalement à l’idée avancée par l’auteur et cela pour diverses raisons : D’abord, le télétravail renforce la confiance employé-employeur, ce qui a pour effet d’améliorer la productivité. Effectivement, en offrant la possibilité au salarié de travailler à la maison nous lui communiquons que nous lui faisons confiance pour assumer ses responsabilités d’accomplir ses tâches. D’ailleurs, une étude effectuée à l’université de Chicago indique un taux de démission trois fois inférieur chez les entreprises qui ont adopté ce mode de travail. Outre cela, ce système permet de réduire les coûts pour l’employé comme pour l’entreprise. En effet, le télétravail permet de diminuer les coûts relatifs à l’électricité, au loyer, et aux équipements ainsi qu’il réduit à néant les primes réservées au panier et au transport. A titre d’exemple, l’entreprise dans laquelle je travaille a réalisé une réduction de 56% des coûts durant les deux mois de confinement. Enfin, le télétravail contribue à la protection de l’environnement. Assurément, en limitant nos déplacements et en réduisant notre consommation d’électricité, nous agissons pour lutter contre la pollution et le gaspillage. A preuve, les chiffres montrent une diminution de la pollution de 15% liée au gaz à effet de serre depuis le début de la dernière pandémie et l’avènement du télétravail en masse. Pour résumer, je persiste à croire que le télétravail est un mode de fonctionnement qu’il faut adopter et en développer les outils et les mécanismes au lieu de le rejeter. Toutefois, je comprends que certains lecteurs pourraient s’opposer à ce raisonnement. C’est pourquoi, je souhaiterais vous inviter à publier un sondage sur la question. Toujours fidèle à votre journal, veuillez agréer monsieur l’expression de mes sincères salutations
Sujet 16 : L’anglais menace les autres langues et cultures Monsieur le rédacteur en chef ; Permettez-moi avant tout de saluer vos efforts consentis quotidiennement pour enrichir les pages du débat. Fidèle lecteur de votre journal, je souhaite réagir à l’article paru le 20/01/2021, signé Patrick DUPOND et qui affirme que l’anglais empiète les autres langues et cultures et menace leur développement. A vrai dire, j’ai un avis mitigé sur la question : d’un côté nous ressentons de plus en plus la nécessité d’apprendre et de maitriser cette langue, mais de l’autre il est inconcevable d’imaginer la disparition totale des autres langues est cultures. D’abord, l’anglais est enseigné dans tous les pays du monde. Effectivement, tous les pays du monde l’ont adopté comme deuxième langue dans leurs écoles primaires et l’apprennent à leurs élèves à très jeune âge. A titre d’exemple l’anglais est enseigné en Algérie dès la 3 ème année du cursus scolaire bien que le français soit officiellement la 2ème langue du pays Outre cela, l’anglais est la langue de la science, du tourisme, du commerce international et du divertissement. En effet, il est utilisé dans tous les domaines : Internet offre une très grande disponibilité de revues scientifiques rédigées en anglais beaucoup plus que celles en d’autres langues. De même, que ce soit pour communiquer avec des touristes, s’assurer une belle carrière professionnelle ou se divertir à la télévision ou sur internet à travers les films et les séries, nous nous retrouvons dans l’obligation de maitriser cette langue à l’oral et à l’écrit. Néanmoins, la réalité peut être totalement différente. Assurément, lorsqu’il n’est pas question de développer son business ou de faire des recherches scientifiques, nous interagissons instantanément et de manière très naturelle avec notre entourage dans notre langue maternelle. A preuve, nous n’avons qu’à effectuer un voyage à l’étranger hors de la haute saison touristique pour s’apercevoir que les locaux se sont très vite émergés de nouveau dans leurs cultures locales et leurs traditions ancestrales. Pour résumer, je dirais bien que l’anglais soit la langue la plus utilisé dans le monde en vue de son utilité, les autres langues gardent un espace d’utilisation assez large pour prétendre leur disparition dans un avenir proche. Cependant, je comprends que certains lecteurs pourraient s’opposer à ce raisonnement. C’est pourquoi je souhaiterais vous inviter à publier un sondage sur la question. Toujours fidèle à votre journal, veuillez agréer monsieur l’expression de mes chaleureuses salutations.
Sujet 17 : les tâches ménagères sont réservées aux femmes Monsieur le rédacteur en chef ; Permettez-moi avant tout de saluer vos efforts consentis quotidiennement pour enrichir les pages du débat. Fidèle lecteur de votre journal, je souhaite réagir à l’article paru le 20/01/2021, signé Patrick Dupont et qui affirme qu’à l’heure d’aujourd’hui, les tâches ménagères sont toujours strictement réservées aux femmes. A vrai dire, j’ai un avis mitigé sur la question du fait que dans beaucoup de foyers les femmes se réservent cette besogne, alors que dans certains autres, les hommes, voir tous les membres de la famille s’entraident pour venir au bout des diverses tâches ménagères. D’abord, beaucoup de femmes n’aiment pas déléguer préférant s’occuper elles-mêmes de tout ce qui concerne la maison. Effectivement, et malgré tous les efforts fournis par leur conjoint, elles ne trouvent jamais le résultat satisfaisant ce qui les pousse à s’approprier ce travail. D’ailleurs, les statistiques montrent que 30% des femmes choisissent de s’occuper des tâches ménagères par choix et non pas par obligation. Outre cela, les femmes sont plus prédisposées à effectuer cette tâche que les hommes. En effet, et durant l’éducation de nos enfants, nous octroyons les différentes tâches ménagères telles que faire la vaisselle aux petites filles, et le nettoyage du jardin aux garçons. Ainsi, elles grandissent avec cette idée en tête, qu’il est de sa responsabilité de s’occuper de la maison. Cependant, tel n’est pas le cas partout et dans tous les foyers, car les femmes ne peuvent pas toujours à elles seules assurer cette corvée. Assurément, beaucoup de femmes dispose d’un travail à l’extérieur qui consume énormément de leur temps et leur énergie ce qui fait qu’elles ne disposent plus d’assez de ressources pour encore se réserver de nettoyer, cuisiner et arranger. De par mon expérience personnelle, étant cinq personnes à la maison, il est de nos habitudes que chacun s’occupe de garder son petit coin propre et bien arrangé Pour résumer, je ne suis pas en mesure de trancher sur cette question, car bien qu’il soit tout à fait naturel et très répondu que les femmes s’occupent des tâches ménagères, il existe tout de même des exceptions du plus en plus fréquentes et nombreuses. Néanmoins, je comprends que certains lecteurs pourraient s’opposer à mon raisonnement. C’est pourquoi, je souhaiterais vous inviter à publier un sondage sur la question. Toujours fidèle à votre journal. Veuillez agréer monsieur, l’expression de mes sincères salutations.
Sujet 18 : la lecture des romans est une perte de temps, il vaut mieux lire les journaux Monsieur le rédacteur en chef ; Permettez-moi avant tout de saluer vos efforts consentis quotidiennement pour enrichir les pages du débat. Fidèle lecteur de votre journal, je souhaite réagir à l’article paru le 20/01/2021, signé Patrick Dupont à travers lequel il conseil aux lecteurs de privilégier la lecture des journaux à celle des romans. A vrai dire, je trouve le raisonnement de l’auteur insensé et dépourvu de logique au point où ça m’a traversé qu’il badinait, car ce sont là deux documents totalement différents d’usage ce qui fait qu’il ne devrait pas y avoir lieu de comparaison. D’abord, alors que les journaux sont principalement un support d’informations, les romans sont un moyen d’évasion intellectuelle. Effectivement, on lit les journaux pour connaitre l’actualité concernant divers domaines : politique, sport, économie. Alors, que la lecture des romans nous permet de vivre à travers les pensées de l’auteur une traversée imaginaire agréable qui a pour effet de nous déstresser et nous calmer. Outre cela, les journaux expriment des réalités incontestables, des chiffres tangibles et des prospectives possibles. Tandis que les romans, en plus qu’ils soient souvent imaginaires véhiculent à travers les pensées de l’auteur des idées abstraites dans un raisonnement philosophique, qui nous conduit à nous poser des questions et à réfléchir à des réponses. Ce qui nous permet entre autres de nous enrichir d’un vocabulaire diversifié et nous aide à développer notre éloquence. Finalement, les romans et les journaux s’adressent quelques fois à un public différent. En effet, au moment où les journaux intéressent un public adulte, en particulier masculin et actif. Les romans quant à eux attirent des personnes appartenant à toutes les tranches d’âge et représentent d’ailleurs un très bon moyen pour introduire les plus jeunes à la lecture et pour qui les journaux ne suscitent pas grand intérêt. A preuve, les statistiques montrent que 88% de vos lecteurs sont âgés de plus de 25 ans et que 60% d’entre eux sont des employés ou en recherche d’emploi. Autant d’éléments, monsieur le rédacteur en chef, qui font que les romans et les journaux ont chacun leur utilité et qu’il n’existe en effet aucune approche concurrentielle à ce sujet, ainsi on peut bien prendre un livre de développement personnel au petit matin, feuilleter un journal pendant la journée et saisir un roman avant de s’endormir. Néanmoins je comprends que certains lecteurs pourraient s’opposer à mes idées. C’est pourquoi je souhaiterais vous demander de publier un sondage sur la question . Toujours fidèle à votre journal, veuillez agréer monsieur, l’expression de mes sincères salutations.
Sujet 19 : avec les films et les séries TV, la lecture reste moins importante. Monsieur le rédacteur en chef ; Permettez-moi avant tout de saluer vos efforts consentis quotidiennement pour enrichir les pages du débat. Fidèle lecteur de votre journal, je souhaite réagir à l’article paru le 20/01/2021, signé Patrick Dupont et qui conseil aux lecteurs de privilégier les films et les série TV à la lecture. A cet égard, je suppose que l’auteur vise la lecture des romans en particulier en formulant sa suggestion, car je vois mal comment, à titre d’exemple « le loup de wall-street » pourrait remplacer un livre de finance ou de développement personnel et comment peut-t-on changer un hebdomadaire par une série TV. A vrai dire je suis en total désaccord avec l’auteur et cela pour diverses raisons. D’abord, les productions cinématographiques ne sont pas plus qu’un investissement commercial visant à générer le maximum d’entrées en offrant rien que du divertissement au spectateur. Effectivement, l’enrichissement s’il existe est insignifiant. Prenez à titre d’exemple un film tiré d’un livre relatant les faits d’une guerre mondiale à titre d’exemple. Vous allez très vite remarquer un manque flagrant de détails et d’enseignements. Outre cela, en plus que les livres sont remplis de détails nous permettant de voyager à travers notre imagination, ils nous poussent à nous poser des questions par le biais des pensées philosophiques profondes de l’auteur et de ses réflexions intrigantes laborieusement édifiées. En effet, un livre n’est pas uniquement une histoire dépourvue de sens, mais aussi une traversée spirituelle et émotionnelle sans égale. Finalement, les livres sont un excellent outil pour développer notre vocabulaire, et donc notre éloquence. Assurément, au moment où le cinéma vulgarise les mots et les expressions pour les rendre accessible à la majorité. Les livres à l’inverse, en quête d’exactitude et de détail, emploient un langage soutenu et précis pour décrire les paysages, les personnages et les sentiments. Autant d’éléments, monsieur le rédacteur en chef pour moi, pour rejeter complètement le raisonnement de monsieur Dupond. Néanmoins, je comprends que certains lecteurs pourraient s’opposer à mes idées. C’est pourquoi je souhaiterais vous inviter à publier un sondage sur la question. Toujours fidèle à votre journal, veuillez agréer monsieur, l’expression de mes sincères salutations.
Sujet 20 : les jeux vidéo développent la créativité des jeunes, on devrait les utiliser à l’école Monsieur le rédacteur en chef ; Permettez-moi avant tout de saluer vos efforts consentis quotidiennement pour enrichir les pages du débat. Fidèle lecteur de votre journal, je souhaite réagir à l’article paru le 20/01/2021, signé Patrick DuPont et dans lequel il suggère l’introduction des jeux vidéo aux institutions éducatifs sous prétexte qu’ils développent l’aspect créatif chez l’enfant et stimulent ses facultés cognitives d’analyse et de mémorisation. A vrai dire, de mon côté je m’oppose totalement au fait de les introduire dans le programme scolaire, et cela pour diverses raisons : D’abord les jeux vidéo sont très addictifs aux jeunes comme aux adultes. Effectivement, le monde réel n’est pas toujours excitant et amusant que ce monde fictif qui ne manque pas d’action et dans lequel il y’a toujours quelque chose à faire et à accomplir. Comme vous le savez, il est prouvé que le cerveau humain ne sait pas faire la différence entre ce qui est réel et ce qui est imaginaire, donnant ainsi à ces réalisations fictives un réel sentiment mensongère d’accomplissement. Un sentiment qui s’est accentué depuis l’introduction des jeux en ligne et qui donnent la possibilité d’interagir avec des autres joueurs partout dans le monde ce qui a augmenté le temps moyen de jeu de 33%. Outre cela, les jeux sur console encourage la paresse et l’inactivité. En effet, rester plongé dans ce monde virtuel développe la fénéantise et d’autres habitudes malsaines comme la passivité et le grignotage. A preuve, une étude récente de l’ONS montre que plus de 75 % des adeptes à ce genre de divertissement dorment après minuit et dont 25% souffrent d’obésité et seulement 7% font du sport. Enfin, certains jeux sont extrêmement violents et vont à l’encontre de toutes les valeurs humaines qu’on essaye d’installer dans ce monde. Assurément, beaucoup de jeux vidéo, à travers leur contenu banalise l’acte de voler, d’harceler et voir même de tuer pour le spectacle et le show ce qui a pour effet de faire apparaitre chez les individus des tendances de violence et de sadisme. Au point où, on en voit aujourd’hui sur internet des jeunes maltraitant des animaux sous l’influence de ce genre de jeux. A ce titre, les exemples ne manquent pas, et parmi lesquels on peut citer : CALL OF DUTY, GTA, GOD OF WAR, et beaucoup d’autres. Autant d’éléments, monsieur le rédacteur en chef qui me laisse perplexe quant à l’idée d’utiliser les jeux vidéo dans les écoles. Surtout qu’il existe beaucoup d’autres moyens pour développer l’imagination et la mémoire comme le dessin, la lecture et la musique. Toutefois, je comprends que certains lecteurs pourraient avoir un avis opposant. C’est pourquoi, je souhaiterais vous inviter à publier un sondage sur la question. Toujours fidèle à votre journal, Veuillez agréer monsieur le rédacteur en chef, l’expression de mes sincères salutations.
Sujet 21 : l’uniforme scolaire doit être obligatoire. Monsieur le rédacteur en chef ; Permettez-moi avant tout de saluer vos efforts consentis quotidiennement pour enrichir les pages du débat. Fidèle lecteur de votre journal, je souhaite réagir à l’article paru le 20/10/2020 dans lequel Monsieur Dupont suggère de généraliser l’uniforme scolaire dans l’intégralité des écoles. A vrai dire, je soutiens totalement le point de vue de l’auteur, et je me permets dans ce qui suit d’ajouter à son argumentaire divers éléments : Tout d’abord, l’uniforme scolaire dissimule les inégalités et les infériorités sociales. Effectivement, en plus que l’habillement soit un moyen d’expression de soi, il en parle énormément sur le statut financier et social de son porteur. Ce qui a pour effet d’engendrer beaucoup de pressions liées au sentiment d’infériorité et de manque, spécialement chez les jeunes les plus démunies n’ayant pas encore développé leur personnalité et leur force de caractère. A preuve, les études montre une bien meilleure intégration des élèves dans les écoles ayant adopté un uniforme. Outre cela, l’uniforme scolaire renforce la discipline et la concentration. En effet, étant habillés de manière convenable et adéquate aux valeurs établies dans une école ancre dans l’esprit des élèves et rappel à leur subconscient la raison de leur présence dans cet établissement qui n’est rien d’autres qu’apprendre et s’instruire. Finalement, l’uniforme scolaire développe le sentiment d’appartenance. Assurément, être habillés tous de la même manière augmente l’entraide et l’empathie entre les élèves de la même école et les emmène à préserver ses biens et ses installations. A preuve, les élèves appartenant à des écoles exigeant l’uniforme scolaires réalisent 3 fois de meilleurs résultats lors des compétitions intellectuelles et sportives. Autant d’éléments, monsieur le rédacteur en chef qui expliquent l’importance de l’uniforme scolaire dans les écoles. Toutefois je comprends que certains lecteurs pourraient s’opposer à ce raisonnement. C’est pourquoi, je souhaiterais vous inviter à publier un sondage sur la question. Toujours fidèle à votre journal, Veuillez agréer monsieur l’expression de mes sincères salutations. Sujet 22 : La télévision est une source d’appauvrissement intellectuel
Monsieur le rédacteur en chef ; Permettez-moi avant tout de saluer vos efforts consentis quotidiennement pour enrichir les pages du débat. Fidèle lecteur de votre journal, je souhaite réagir à l’article paru sur votre journal le 20/01/2021 et dans lequel monsieur Dupont expose de nombreux méfaits de la télévision sur nos facultés cognitives et affirme qu’elle est une source d’appauvrissement intellectuel. Force est de constater que ce moyen de communication lève actuellement beaucoup de débat sur internet et dans les journaux. De ma part, j’ai un avis mitigé sur la question, d’une part la télévision peut présenter des avantages irréfutables, et de l’autre il est néanmoins vrai que le vice qu’elle crée peut également être profond et néfaste. Tout d’abord, la télévision nous offre une fenêtre sur le monde à travers laquelle nous avons la chance de découvrir des endroits et des phénomènes sur la planète qu’on n’aurait jamais pu soupçonner l’existence. Effectivement, certaines chaines nous emmènent à travers des reportages et des documentaires à la rencontre de peuples et de civilisations très différentes de ce qu’on a pu connaitre. Ce qui, dans une société aussi endoctrinée où la discrimination règne comme la mienne, m’a permis de m’ouvrir l’esprit et me poser des questions sur tous ce qu’on a pu m’enseigner comme vérités absolues lors de mon enfance et de revoir ma façon de voir l’autre. Outre cela, la télévision nous permet de découvrir et de développer des passion autours de différents sujets. En effet, elle offre une multitude de chaines et de programmes dans tous les domaines possibles et imaginaires : politique, sport, économie, voyage et j’en passe. Cette diversité nous permet découvrir ce qui pourrait susciter l’intérêt en nous. De par mon expérience personnelle, à travers RMC et National Géographie j’ai pu nourrir un intérêt particulier à la natation et la randonnée. Cependant, il est vrai que quelques programmes télévisés transmettent ce qui est qualifié par certains de médiocre et de vulgaire. Assurément, certaines chaines sont dirigées par l’appât du gain de ses responsables, n’offrant rien d’autre que du spectacle et du show dans le but de capter l’intention d’un maximum d’adolescents et attirer ainsi les publicitaires à l’image des téléréalités qui peuvent être par leur aspect social très addictives. Pour résumer, je n’estime pas que la télévision soit forcément une source d’appauvrissement intellectuel en soi, car cela relève à mon sens en grande partie des choix des téléspectateurs. Néanmoins, je comprends que certains lecteurs pourraient s’opposer à ce raisonnement. C’est pourquoi je souhaiterais vous inviter à publier un sondage sur la question. Toujours fidèle à votre journal, veillez agréer monsieur l’expression de mes sincères salutations.
Sujet 23 : Avec le tourisme tous les pays se ressemble Monsieur le rédacteur en chef ; Permettez-moi avant tout de saluer vos efforts consentis quotidiennement pour enrichir les pages du débat. Fidèle lecteur de votre journal, je souhaite réagir à l’article paru le 20/01/2021, et dans lequel monsieur Dupont affirme que grâce au tourisme on ne ressent plus aucune différence entre les pays. A vrai dire, je comprends parfaitement le point de vue de l’auteur, c’est d’ailleurs l’avis de tous les touristes qui choisissent la facilité que propose les agences de voyage et mettent en avant leur bien-être dans des hôtels de 5 étoiles au détriment de l’aventure et la découverte réelle d’un pays. Assurément, si on refuse de quitter son confort, toutes les plages privées se ressemble. Or, il existe d’autres manière de voyager, ce qui fait que je ne suis pas totalement d’accord avec ce raisonnement. Tout d’abord, chaque pays a sa propre culture et ses propres traditions. Effectivement, on trouve même des différences entre les différentes régions du même pays à condition qu’on sorte de notre zone de confort et qu’on se permette d’interagir avec la population locale. A titre d’exemple, les fêtes de mariage en Algérie, au Maroc ou en Tunisie sont très différentes bien que les trois pays soient très proches culturellement parlant. Mais, on ne peut pas compter sur une agence touristique pour nous en donner accès. Outre cela, la faune et la flore diffèrent d’une région à une autre pour le petit plaisir des amoureux de la nature. En effet, plusieurs éléments très mineurs entre en jeu pour déterminer les caractéristiques naturelles d’une région, et ont créé à travers les millénaires une très grande diversité. A ce titre visiter la région du Sahel africain est une expérience totalement différente de celle du sud-ouest d’Asie. Finalement, le voyage a toujours été synonyme d’aventure, mais aujourd’hui les agences touristiques tendent à le sécuriser et à le faciliter, afin de susciter l’intérêt des plus vigilants à travers des programmes minutieusement établis pour assurer le bien-être et le confort de ses derniers ce qui par conséquent les prive de la réelle découverte d’un pays. Autant d’éléments monsieur le rédacteur en chef, qui me laissent perplexe quant à l’affirmation de l’auteur, et qui prouvent que chaque pays et unique et offre une expérience sans égale à condition qu’on sorte des sentiers battus par le tourisme moderne. Cependant, je comprends que certains lecteurs pourraient s’opposer à cet avis. C’est pourquoi je vous invite à publier un sondage sur la question. Toujours fidèle à votre journal, veuillez agréer monsieur l’expression de mes sincères salutations. Sujet 24 : Il faut interdire les portables à l’école Monsieur le rédacteur en chef ; Permettez-moi avant tout de saluer vos efforts consentis quotidiennement pour enrichir les pages du débat. Fidèle lecteur de votre journal, je souhaite réagir à l’article paru le 20/01/2021 et qui suggère l’interdiction des téléphones portables aux écoles. A vrai dire, j’ai un avis mitigé sur la question du fait que d’une part ces moyens de communication de dernière génération représentent une réelle distraction, mais au même temps peuvent quelque fois apporter beaucoup de facilités aux élèves. Tout d’abord, les téléphones portables déconcentrent les élèves et les distraient. Effectivement, ces outils modernes de communication, et depuis l’avènement de la 3G et la 4G, présentent beaucoup de distractions à travers les notifications et les alertes fréquentes qu’ils transmettent depuis les différents jeux et réseaux sociaux. Ce qui affecte négativement la concentration de l’élève et son engagement. A preuve, les études montrent qu’on reçoit en moyenne plus de 35 notifications par jours et conseillent de les désactiver pour une meilleure efficacité au travail et dans les études. Outre cela, ils représente une menace à la vie privée des élèves et encouragent la violence au sein de l’école. En effet, certains élèves sont tentés malmener leurs camarades et ensuite de partager fièrement ces harcèlements sur internet, ce qui a pour effet d’engendrer des troubles psychologiques profonds chez les victimes et affecter ses résultats scolaires. D’ailleurs, un incident pareil s’était produit l’an dernier à Guillot-ville et a provoqué une tentative de suicide, suite à quoi les portables ont étaient interdits dans toutes les écoles de la commune. Cependant, si les dangers relevant de l’utilisation de cette technologie sont bien contrôlés, Alors ils peuvent constituer un très bon support aux élèves. Assurément, ces « Devices » de 150 Grammes représente une source d’information sans égale : Il permettent l’accès à internet et d’y stocker des centaines de livres et de documents, ainsi que l’utilisation de certaines applications et logiciels éducatifs très utiles tels que WORDTHEM et EBOARD. Pour résumé, compte tenu des multiples méfaits de l’utilisation des téléphones portables aux écoles et de leur dangerosité, j’estime qu’il est peut-être plus judicieux de les interdire dans les institutions scolaires à moins qu’on trouve un moyen de les contrôler. Toutefois je comprends que certains lecteurs pourraient s’opposer à ce raisonnement. C’est pourquoi, je souhaiterais vous voir publier un sondage sur la question. Toujours fidèle à votre journal. Veuillez agréer monsieur l’expression de mes sincères salutations.
Sujet 25 : les 20 ans sont les meilleures années. Monsieur le rédacteur en chef ; Permettez-moi avant tout de saluer vos efforts consentis quotidiennement pour enrichir les pages du débat. Fidèle lecteur de votre journal, je souhaite réagir à l’article paru le 20/01/2021 et qui affirme qu’on n’est jamais aussi heureux que pendant nos 20 ans. A vrai dire, je ne suis pas tout à fait d’accord sur la question. D’après moi, il n’existe pas vraiment un âge précis pour être heureux et apprécier la vie. Cela relève à mon sens de nos choix et de l’état d’esprit qu’on décide d’adopter. En réalité, je pense que les années de jeunesse sont une période très délicate, instable, et stressante et cela à cause de diverses raisons. D’abord, les jeunes ressentent beaucoup de frustrations liées à leur situation financière. En effet, ils sont souvent pris entre le désir de dépenser afin d’expérimenter et l’obligation d’épargner pour assurer leur avenir. A ce titre, une étude menée par l’office national des statistiques révèle que plus de 70% des jeunes algériens ne sont pas satisfaits de leur mode de vie. Outre cela, ils subissent d’énormes pressions liées au fait que les erreurs sont parfois irréversibles durant cette période. Effectivement, à cet âge, les jeunes sont tenus à prendre beaucoup de décisions déterminantes, et ce malgré leur manque d’expérience comme par exemple, le choix des études à suivre et celui de leurs fréquentations. Finalement, vivre seul pour la première fois n’est pas tâche facile à gérer. Assurément, quitter la facilité qu’offre le foyer familial et prendre ses propres responsabilités est une expérience très difficile, tant du point de vue financier que moral. A cet égard, beaucoup de jeunes trouvent du mal à s’organiser entre les tâches ménagères, le sport, le travail, les études, les divertissements et le payement des factures. Autant d’éléments monsieur le rédacteur en chef qui me laisse perplexe quant à l’affirmation de l’auteur que les 20 ans sont les meilleures années et qui trouve sa source dans notre imagination sous l’influence des chansons et des poésies qui embellissent le passé. Toutefois, je comprends que certains lecteurs pourraient s’opposer à ce raisonnement. C’est pourquoi je souhaiterais vous inviter à publier un sondage sue la question. Toujours fidèle à votre journal, veuillez agréer monsieur l’expression de mes sincères salutations.
Sujet 26 : il n y’a pas de différence entre les jeunes d’aujourd’hui et ceux des générations précédentes. Monsieur le rédacteur en chef ; Permettez-moi avant tout de saluer vos efforts consentis quotidiennement pour enrichir les pages du débat. Fidèle lecteur de votre journal, je souhaite réagir à l’article paru le 20/01/2021 et qui affirme qu’ il n y’a pas de différence entre les jeunes d’aujourd’hui et ceux des générations précédentes. A vrai dire, je ne suis pas totalement d’accord sur cette question. Je crois qu’avant tout l’homme est l’enfant de son environnement, et compte tenu des multiples changements que notre société a connu durant les dernières décennies sous l’influence de la technologie, j’estime qu’il existent au contraire un grand vide générationnel. Tout d’abord, la génération passé a été éduqué de manière totalement différente. Effectivement, les enfants d’aujourd’hui possèdent plus de liberté d’expression de soi au sein de la famille et en société, ils sont écoutés et leurs choix sont plus respectés. A cet égard, les chiffres montrent que les violences commises contre les enfants ont connues une baisse de 85% depuis les deux dernières décennies grâce aux lois de protection de l’enfant, et qui ont conduit les parents et les instituteurs à corriger leurs méthodes. Outre cela, les deux générations ont une conception distincte du relationnel. En effet, les générations passées entretenaient des relations plus intimes avec leurs proches et leurs amis. Ce qui se montrait très clairement à travers l’entraide et la solidarité qu’ils partageaient. Cela est dû peut-être au fait que le secteur du SERVICING n’était pas assez développé autre fois et que chacun avait besoin des qualités et des compétences de l’autre. Finalement, la génération actuelle à des priorités différentes dans la vie. Assurément, il n’est pas rare aujourd’hui pour les jeunes de retarder le mariage afin de se concentrer sur leur carrière professionnelle. De même, le voyage et le divertissement détiennent également au temps actuel une grande part d’importance dans l’esprit de la jeune génération. A preuve, une étude récente menée par l’ONS révèle que 65% des moins de 30 ans n’envisagent pas encore le mariage. Autant d’élément, monsieur le rédacteur en chef qui me laisse perplexe quant à l’affirmation de l’auteur et m’emmène à croire que la génération actuelle est très différente des précédentes. Toutefois, je comprends que certains lecteurs pourraient s’opposer à mon raisonnement. C’est pourquoi je souhaiterais vous demander de publier un sondage sur la question. Toujours fidèle à votre journal, veuillez agréer monsieur, l’expression de mes sincères salutations.
Sujet 27 : Les jeunes n’accordent plus d’importance à la famille. Monsieur le rédacteur en chef ;
Permettez-moi avant tout de saluer vos efforts consentis quotidiennement pour enrichir les pages du débat. Fidèle lecteur de votre journal, je souhaite réagir à l’article paru le 20/01/2021 et qui affirme que les jeunes accordent peu d’importance à la famille. A vrai dire, je soutiens totalement le point de vue exprimé par monsieur Dupond , et ce pour des raisons psychologiques et socioéconomiques diverses. Tout d’abord, les jeunes d’aujourd’hui sont guidés par leur désir de réussir dans le monde professionnel. Effectivement, cet objectif nécessite beaucoup d’effort afin d’acquérir des compétences techniques et des qualités personnelles adéquates ce qui contraint la jeune génération à sacrifier leur vie de famille. A ce titre, une étude menée par l’ONS dévoile que plus de 45% des jeunes considèrent la réussite professionnelle comme leur première priorité. Outre cela, l’avènement des nouvelles technologies de l’information et de la communication a réduit énormément les interactions entre les membres de la famille. En effet, les ordinateurs, les consoles de jeux et les téléphones portables ont empiété sur nos relations avec les autres et notamment avec notre famille. A preuve, une recherche effectuée par l’institut national des sciences a indiqué que plus de 4/10 des moins de 25 ans passent plus de 6h par jour au contact de ces nouveaux « DEVICES ». Finalement, les jeunes s’émancipent de plus en plus tôt dans la société moderne. Cherchant une certaine forme de liberté et d’indépendance beaucoup d’entre eux quittent le foyer familial à très jeune âge, parfois même avant 16 ans. A cet égard, les psychologues estiment que ce phénomène et autant présent chez les familles aisées que chez les plus démunies, et l’expliquent par le désir d’expression et d’affirmation de soi. Autant d’éléments monsieur le rédacteur en chef qui expliquent que la famille n’a que peu d’importance dans l’esprit des jeunes d’aujourd’hui et qui me pousse à soutenir le raisonnement de l’auteur. Toutefois, je comprends que certains lecteurs pourraient s’opposer à cet avis. C’est pourquoi je souhaiterais vous demander de publier un sondage sur la question. Toujours fidèle à votre journal, Veuillez agréer monsieur l’expression de mes sincères salutations.
Sujet 28 : la vidéo-surveillance n’éradique pas la criminalité Monsieur le rédacteur en chef, Permettez-moi avant tout de saluer vos efforts consentis quotidiennement pour enrichir les pages du débat. Fidèle lecteur de votre journal, je souhaite réagir à l’article paru le 20/10/2021, signé Patrick DuPont qui remets en question l’efficacité des caméras de surveillance en ce qui est d’éradiquer la criminalité. De ma part, j’ai un avis mitigé sur la question, du fait qu’il est inconcevable d’extirper totalement le crime avec cet outil ni d’ailleurs à l’aide d’un autre. Cependant je ne suis pas d’accord avec la suggestion avancée par l’auteur qui est de retirer la vidéo-surveillance des rues. Tout d’abord, les caméras de surveillance apporte une aide précieuse aux services de police pour élucider certaines affaires. Effectivement, ni les témoins ni les agents de police ne peuvent être partout, 24h/24 et 7j/7. Or, cette technologie ne demande qu’une faible alimentation en électricité pour rester fonctionnelle tout le temps. A preuve, les chiffres fournis par l’ONS révèlent que la vidéo-surveillance à aider la sécurité nationale à appréhender 253 criminels l’an dernier, parmi eux des fugitifs dangereux et des contrebandiers. Outre cela, ces installations gênent l’activité des malfaiteurs et réduisent leur territoire. En effet, la présence de cette technologie et sa capacité à offrir des preuves irréfutables, retient les délinquants à passer à l’acte dans certains quartiers de peur qu’ils soient filmés. A ce titre, une étude menée par le ministère de l’intérieur dévoile une baisse notable de la criminalité aux endroits surveillés de 66%. Néanmoins, l’utilisation de la vidéo-surveillance n’est pas en soi un dispositif ayant pour utilité d’éradiquer la criminalité, à moins qu’elle couvre tous les coins de la ville. C’est d’ailleurs le point important sur lequel s’appuie l’auteur dans sa critique, et c’est le fait que la présence des caméras ne font que déplacer la délinquance vers d’autres zones non surveillées. Compte tenu des éléments précédents, je dirais que la vidéo-surveillance a déjà prouvé son efficacité et son utilité. Mais au même temps, il est vrai qu’elle présente certaines insuffisances qu’il est question de combler à travers d’autres moyens. Toutefois, je comprends que certains lecteurs pourraient s’opposer à ce point de vue. C’est pourquoi je souhaiterais vous inviter à publier un sondage sur la question. Toujours fidèle à votre journal. Veuillez agréer monsieur l’expression de mes sincères salutations.
Sujet 29 : donner l’argent de poche aux adolescents est un mauvais service qu’on leur rend Monsieur le rédacteur en chef, Permettez-moi avant tout de saluer vos efforts consentis quotidiennement pour enrichir les pages du débat. Fidèle lecteur de votre journal, je souhaite réagir à l’article paru le 20/10/2021, signé Patrick DuPont et lequel il affirme qu’il ne faut pas donner de l’argent de poche à l’adolescent. De ma part, je m’oppose totalement au raisonnement de l’auteur, car j’estime que réserver des allocations à son enfant relève d’un processus éducatif financier de grande valeur, surtout s’il s’agit d’une rémunération en récompense à un travail effectué. Tout d’abord, c’est un bon moyen pour apprendre à l’enfant de gérer un budget. En effet, cela devrait lui enseigner après quelques erreurs que l’argent à plusieurs d’autres fonctions que d’être dépensé et que celui-ci doit être géré entre les dépenses, l’épargne, l’investissement et le don comme l’indique le livre « père riche, père pauvre » de l’écrivain et l’entrepreneur américain Robert Kiyosaki. Outre cela, l’argent de poche améliore la relation entre les parents et leur adolescent. Effectivement, l’adolescence est une étape délicate à laquelle sont confrontés les enfants et qui nécessite une attention particulière. L’argent est dans ce cas un moyen pour manipuler positivement le comportement de son enfant en lui montrant du soutien et lui permettre de s’ouvrir et de s’exprimer. A ce titre, les psychologues révèlent que les adolescents qui reçoivent de l’argent de poche ressentent plus de reconnaissance envers leurs parents. Enfin, à cet âge l’enfant commence à développer certains besoin psychologique complexes. Assurément, cette période est marquée de changements hormonaux très visibles dans le comportement. Les jeunes deviennent alors moins expressifs, cherchant à s’affirmer, ressentir leur importance et agrandir leur cercle d’influence. L’argent est dans ce cas un outil qui leur permet de se sentir indépendant et plus sûr de soi. A cet égard, une étude menée par L’ONS dévoile une assurance et une confiance en soi plus importante chez les adultes ayant reçu de l’argent de poche durant leur adolescence. Autant d’éléments monsieur le rédacteur en chef, qui me laissent perplexe quant au conseil de Monsieur Dupond. D’après moi, il est nécessaire de réserver de l’argent de poche pour son adolescent que ce soit suite à un travail accompli ou sans. A condition qu’il y derrière une volonté de l’éduquer. Toutefois, je comprends que certains lecteurs pourraient s’opposer à ce point de vue. C’est pourquoi je souhaiterais vous inviter à publier un sondage sur la question. Toujours fidèle à votre journal. Veuillez agréer monsieur l’expression de mes sincères salutations. Sujet 30 : Il faut interdire aux jeunes de moins de 10 ans de regarder la télévision Monsieur le rédacteur en chef, Permettez-moi avant tout de saluer vos efforts consentis quotidiennement pour enrichir les pages du débat. Fidèle lecteur de votre journal, je souhaite réagir à l’article paru le 20/10/2021, signé Patrick DuPont. De ma part, je soutiens totalement le raisonnement de l’auteur. Je pense que ce moyen de communication n’est pas conçu pour les jeunes par son contenu et j’estime que les parents doivent prendre les avertissements de Monsieur Dupont très au sérieux. Tout d’abord, les chaines ne diffusent pas un contenu adapté aux petits, et lorsque c’est le cas, il n’est pas fructueux. Effectivement, la télévision est destinée par ses programmes à un publique adulte qui peut dépenser, afin d’attirer les publicitaires qui sont sa source principale pour réaliser des entrées. Ceci conduit la production à favoriser le show et le spectacle ainsi que les scandales sans réelle valeur ajoutée en dépit du contenu éducatif. A ce titre l’ONS a enregistré en moyenne plus de 18 scènes violentes et messages virulent par jour impliquants 82% des chaines télévisées. Outre cela, La télévision ralentie le développement de l’imagination de l’enfant et sa créativité. Assurément, en illustrant des images, cela inhibe l’imagination de l’enfant, ce qui est en soi une réelle menace à ses facultés cognitives d’analyse et de déduction. Au lieu de cela, les spécialistes conseillent d’introduire les enfants à la lecture, la music ou le sport. Enfin, la télévision est un outil vicieux qui encourage la passivité et la fénéantise. En effet, elle jette le cerveau dans un état de relaxation et de repos profonds et difficile de s’en passer. Cela attire généralement de nouvelles mauvaises habitudes, comme celle de se coucher tard et de grignoter. Provoquant ainsi une piètre hygiène de vie, qui a des conséquences néfastes sur la santé de l’individu et l’accompagne parfois jusqu’à l’âge adulte. Autant d’éléments monsieur le rédacteur en chef qui expliquent la nécessité d’interdire la télévision aux jeunes et la dangerosité de cet outil. toutefois je comprends que certains lecteurs pourraient s’opposer à cet avis. C’est pourquoi, je souhaiterais vous demander de publier un sondage sur la question. Toujours fidèle à votre journal, veuillez agréer monsieur l’expression de mes sincères salutations.
Sujet 31 : Les enfants apprennent plus sur internet qu’à l’école Monsieur le rédacteur en chef, Permettez-moi avant tout de saluer vos efforts consentis quotidiennement pour enrichir les pages du débat. Fidèle lecteur de votre journal, je souhaite réagir à l’article paru le 20/01/2021 signé Patrick Dupond, et dans lequel il affirme que les enfants apprennent mieux sur internet qu’à l’école. De ma part, j’ai un avis mitigé sur la question. D’un côté beaucoup de voix se soulèvent de plus en plus fort pour remettre en question l’efficacité des programmes scolaires. Et de l’autre internet présente également beaucoup d’insuffisance. D’abord, les établissements scolaires dépassent l’enseignement et jouent également un rôle éducatif. Effectivement, la fonction de l’école ne se résume pas à enseigner les différentes matières mais aussi d’ancrer chez l’enfant certaines qualité comme l’assiduité, la compétitivité positive, la discipline et le travail d’équipe. De plus, à l’école l’enfant apprend à agir et se comporter en communauté, ainsi que développer ses premières habilités sociales. Outre cela, les informations disponibles sur internet ne sont pas toujours fiables. En effet, n’importe qui peut créer un site internet, ce qui remet en question la véracité des informations y circulant. Ajoutant à cela l’absence de pédagogie dans le processus éducatif sur internet et le manque de méthodologie. A ce titre, les spécialistes indiquent que 80% du contenu sur internet est publié par des amateurs qui ne disposent que de peu, voire pas du tout d’expérience autant que formateurs. Cependant, il est vrai que sur internet l’enfant peut cibler l’information désirée et apprendre à son rythme. Assurément, A l’école par contre, l’élève est obligé de suivre le rythme plus ou moins lent ou rapide de sa classe, ce qui a pour effet d’inhiber son apprentissage. A preuve, une étude menée par l’école nationale de statistique révèle que 38% des élèves s’ennuient en classes à cause d’un déroulement estimé trop lent des cours par rapport à leurs capacités Autant d’éléments monsieur le rédacteur en chef pour expliquer qu’internet ne peut pas tout à fait remplacer la présence physique d’un instituteur. Au même temps je pense qu’elle est en mesure de compléter l’insuffisance que représente certains programmes scolaires. toutefois, je comprends que certains lecteurs pourraient s’opposer à cet avis. C’est pourquoi je souhaiterais vous demander de publier un sondage sur la question. Toujours fidèle à votre journal. Veuillez agréer monsieur l’expression de mes sincères salutations.
Sujet 32 : Les voyages en solitaire c’est plus amusant Monsieur le rédacteur en chef, Permettez-moi avant tout de saluer vos efforts consentis quotidiennement pour enrichir les pages du débat. Fidèle lecteur de votre journal, je souhaite réagir à l’article paru le 20/01/2021, signé Patrick Dupond, et sur lequel il affirme que le voyage en solitaire est plus amusant. De ma part, je soutiens totalement le point de vue de l’auteur, et ce pour diverses raisons : D’abord, le voyage en solitaire est une fenêtre sur soi. En effet, se retrouver seul au milieu d’un environnement qui ne nous est pas familier, entouré d’étrangers regénère dans notre esprit les images de notre enfance où tout était nouveaux à nos yeux. Cette expérience unique nous fait redécouvrir notre personnalité et les coins perdus de notre caractère. D’ailleurs beaucoup d’écrivains dévoilent que leurs plus grandes inspirations ont eu lieu lors de voyages en solitaire. Outre cela, ça nous permet de programmer notre voyage à notre rythme. Effectivement, beaucoup de personnes pensent qu’il est plus amusant de voyager en groupe à travers une agence touristique ou en compagnie d’un ami. Or, ce cadre de voyage inhibe notre volonté à prendre l’initiative. Être seul revient à se déchainer des désirs des autres. Ainsi, cela nous donne la possibilité de visiter les endroits qui nous intéressent vraiment, de sortir quand bon nous semble et de manger dans les restaurants que nous choisissons en fonction de nos propres goûts. Enfin, voyager seul nous permet de sortir de notre zone de confort. Assurément, être en compagnie de quelqu’un nous retient de faire de nouvelles connaissances. A l’inverse vivre cette expérience en étant délivré à nous même nous oblige à entrer en contact avec les autres touristes et interagir avec locaux. Ainsi nous nous émergeons dans la culture locale ce qui nous conduit à vivre pleinement l’expérience. De par mon expérience personnelle, Mon voyage en solitaire en Inde m’a parmi de nouer d’incroyables amitiés avec lesquels je reste en contact à ce jour. Autant d’éléments monsieur le rédacteur en chef qui expliquent que prendre son envol seul quelque part dans le monde pour une certaine période est une expérience sans égale, et que chacun doit tenter au moins une fois dans sa vie. toutefois, je comprends que certains lecteurs pourraient s’opposer à cet avis. C’est pourquoi, je souhaiterais vous inviter à publier un sondage sur la question. Toujours fidèle à votre journal, Veuillez agréer monsieur l’expression de mes sincères salutations.
Sujet 33 : Une ville moderne où les magasins ne ferment pas. Monsieur le rédacteur en chef, Permettez-moi avant tout de saluer vos efforts consentis quotidiennement pour enrichir les pages du débat. Fidèle lecteur de votre journal, je souhaite réagir à l’article paru le 20/01/2021, signé Patrick Dupond et intitulé « Une ville moderne où les magasins ne ferment pas ». De ma part, je m’oppose totalement à cette idée en dépit de tous les arguments avancés par l’auteur D’abord, une ville qui ne dort pas est une ville où il est insupportable de vivre. Effectivement, le transport des personnes et des marchandises ainsi que les commerces et les différents travaux de bâtiment produisent énormément de nuisance sonore qui menacent la santé des habitants et rendent le quotidien dans une telle semblable infernal. A ce titre, les spécialistes dénombrent plus de 20 maladies cardio-vasculaires liées au stresse provoqué principalement par l’hyperactivité des métropoles. Outre cela, cela risque d’augmenter considérablement notre consommation d’énergie. En effet, plus de carburant est nécessaire pour assurer les déplacements. De même, les magasins ont besoin d’électricité pour pouvoir accueillir leur clientèle pendant la nuit. Or, beaucoup d’organismes mènent une lutte sans relâche afin de limiter notre consommation de ces ressources, et par la même occasion réduire son impact néfaste sur l’environnement. Enfin, avec l’émergence des technologies d’information et l’avènement du commerce électronique nous n’avons pas besoin d’une telle ville. Car aujourd’hui, nous pouvons acheter à travers les différentes plateformes sur internet toute sorte de produits et nous les faire livrer dans un temps record jusqu’à chez soi. A cet égard, l’office national des statistiques indique que le e-commerce et les solutions de livraison à domicile ne cesse de se développer. Autant de raisons monsieur le rédacteur en chef qui me laisse perplexe quant cette idée. Je trouve une telle démarche inutile et très négligente aux valeurs écologique qu’on essaye difficilement d’installer afin de protéger la planète. Toutefois, je comprends que certains lecteurs pourraient s’opposer à cet avis. C’est pourquoi, je souhaiterais vous demander de publier un sondage sur la question. Toujours fidèle à votre journal, Veuillez agréer monsieur l’expression de mes sincères salutations
Sujet 34 : nous devons changer nos habitudes alimentaires Monsieur le rédacteur en chef Permettez-moi avant tout de saluer vos efforts consentis quotidiennement pour enrichir les pages du débat, Fidèle lecteur de votre journal, je souhaite réagir à l’article paru le 20/01/2021 signé Patrick Dupond, qui nous suggère de changer nos habitudes alimentaires afin de protéger la planète. De ma part, je soutiens fondamentalement le point de vue de monsieur Dupond. Je suis convaincu que nos modes de consommation actuels sont la source principale de pollution sur terre, et ce pour diverses raisons. D’abord, notre consommation excessive de viande provoque la pollution de l’air. Effectivement, en consommant beaucoup de viandes nous encourageons les éleveurs de bétails à développer leur activité et multiplier leurs bêtes, qui représentent à travers le Gas de méthane qu’ils dégagent la première source de pollution de l’air. A preuve, les chiffres indiquent une pollution de l’air 60% supérieure à la normale en Floride, connue pour ses camps d’élevage de bétails. Outre cela, l’agriculture conventionnelle et les denrées hors saison dégradent la qualité de la terre. En effet, ce type d’agriculture fait appel à des pesticides et des entrants chimiques extrêmement néfaste à la terre. A cet égard, les spécialistes nous révèlent qu’en se tournant vers les produits bio et l’agriculture traditionnelle nous pouvons réduire énormément ce type de pollution. Finalement, nous devons réduire notre consommation afin de limiter nos déchets. Assurément, en se tournant vers le recyclage et les produits de seconde main, nous contribuons à réduire la machine productive et le transport de marchandise et par la même occasion nous préservons les ressources non renouvelables de la planète, ainsi que nous limitant les emballages et les gaz de dioxyde de carbone émis dans l’aire par les engins. A ce titre, On estime que 10 arbres sont abattus pour produire 1 tonne de cartons d’emballage, Or la consommation mondiale d’emballage est de 13 tonnes par jour. Autant d’éléments monsieur le rédacteur en chef qui confirment l’affirmation de l’auteur, et qui expliquent que nos habitudes de consommation sont les raisons principales de la dégradation de notre environnement. Toutefois, je comprends que certains lecteurs pourraient s’opposer à ce raisonnement. C’est pourquoi je souhaiterais vous inviter à publier un sondage sur la question. Toujours fidèle à votre journal, veuillez agréer monsieur l’expression de mes sincères salutations.
Sujet 35 : Le plus important c’est la vie professionnelle Monsieur le rédacteur en chef Permettez-moi de saluer vos efforts consentis quotidiennement pour enrichir les pages du débat. Fidèle lecteur de votre journal, je souhaite réagir à l’article paru le 20/01/2021 signé Patrick Dupond, et à travers lequel il affirme que le plus important dans la vie de chacun est de réussir sa vie professionnelle. De ma part, je m’oppose catégoriquement au point de vue de l’auteur. Sans vouloir désacraliser l’acte de travailler, je crois que mener une vie saine et heureuse implique un équilibre parfait entre l’épanouissement personnel et les objectifs professionnels. Tout d’abord, la vie de famille et la relation qu’on entretienne avec ses proches est d’importance égale. Effectivement, aucune personne ne regretterait durant les derniers instants de sa vie de n’avoir pas fait des heures supplémentaires. Ce qui est réellement important à ce moment-là c’est les personnes qui nous entourent et les moments passés en leur compagnie. A ce titre, une étude menée par l’ONS dénote que 70% des cadres supérieurs d’entreprises entretiennes des relations tendues avec leurs enfants. Outre cela, le divertissement, et le jeu est également un besoin fondamental ancré dans chacun de nous. En effet, tout le monde a besoin de se détendre par moments, et prendre le temps d’apprécier la vie et de s’amuser loin de la pression du travail. A preuve, MOSLOW accorde une grande importance aux divertissements dans sa pyramide de besoins naturels. Finalement, la santé est un élément auquel nous devons prêter beaucoup d’attention. Assurément, l’altération de nos facultés morales et physiques peut interrompre à tout moment le cours de notre vie et par la même occasion obstruer sur nos projets professionnels. Ainsi on doit prendre soin de notre santé en dormant suffisamment et en mangeant convenablement et faire du sport. A cet égard, les spécialistes révèlent que 30% des employés buralistes souffrent d’hypertension et de diabète à cause d’un mode de vie déséquilibré. Autant d’éléments monsieur le rédacteur en chef qui me laissent perplexe quant à l’affirmation de monsieur Dupond et qui expliquent qu’être heureux dépasse énormément l’accomplissement personnel et le simple fait de réussir sa carrière professionnelle. Toutefois, je comprends que certains lecteurs pourraient s’opposer à cet avis. C’est pourquoi je souhaiterais vous inviter à publier un sondage sur la question. Toujours fidèle à votre journal, veuillez agréer monsieur l’expression de mes sincères salutations.
Sujet 36 : dans le monde moderne de compétition, les gens sont devenus moins solidaire Monsieur le rédacteur en chef Permettez-moi avant tout de saluer vos efforts consentis quotidiennement pour enrichir les pages du débat. Fidèle lecteur de votre journal, je souhaite réagir à l’article paru le 20/01/2021 signé Patrick Dupond, par lequel il explique nous sommes devenus moins solidaires sous l’emprise de nos intérêts personnels et professionnels. De ma part, je m’oppose catégoriquement au point de vue de l’auteur. Il suffit juste de sortir du cercle du travail et de la compétitivité pour voir d’incroyables images d’entraide et de solidarité à travers le monde et spécialement durant les crises. Tout d’abord, les sans-abris et les routiers sont nourris durant tout le mois sacré de Ramadan en Algérie. Effectivement, des milliers de bénévoles financent et établissent des restaurants à ciel ouvert au bord des autoroutes afin de permettre aux routiers de rompre leur jeûne convenablement. De même, des centaines de restaurants se convertissent à ce qui est appelé « restaurants de la grâce » durant ce mois pour offrir gratuitement leurs services aux nécessiteux. Outre cela, des milliers d’enfants africains sont adoptés et pris en charge par des bienfaiteurs occidentaux chaque année. En effet, guidés par leurs sentiments d’empathie des milliers d’Européens et Américains se proposent pour prendre en charge un enfant africain afin qu’il puisse se nourrir et se vêtir et aller à l’école. A ce titre, les statistiques dénotent que plus de 320 000 enfants ont pu suivre des études grâce à cette forme d’adoption. Finalement, les associations et les organismes de bien faisances se multiplient à travers le monde. Assurément, offrir de son énergie, de son temps et de son savoir pour collecter des déchets, planter des arbres, protéger le patrimoine humain est également une forme de solidarité. A cet égard, l’office national de statistique révèle que les associations de protection de l’environnement ont augmenté de 230% durant la dernière décennie en Algérie. Autant d’éléments monsieur le rédacteur en chef qui me laisse perplexe quant à l’argumentation de monsieur Dupond que je trouve très restreinte, et limitée. De la même façon qu’on ne peut pas généraliser l’agressivité des sports de combat pour dire que l’humanité et devenue très hostile, on ne peut pas projeter l’égoïsme du monde professionnel pour dire que les gens sont moins solidaires.
Toujours fidèle à votre journal, veuillez agréer monsieur l’expression de mes sincères salutations.
Sujet 37 : l’intérêt de la sieste au travail Monsieur le rédacteur en chef, Permettez-moi avant tout de saluer vos efforts consentis quotidiennement pour enrichir les pages du débat. Fidèle lecteur de votre journal, je souhaite réagir à l’article paru le 20/01/2021, signé Patrick Dupond, A travers lequel il preuve l’importance d’une sieste au travail. De ma part, je ne peux que soutenir l’avis de l’auteur, et ce pour diverses raisons : D’abord, la sieste renforce la confiance et le sentiment d’appartenance chez les employés. Effectivement, cela prouve que l’entreprise prend en considération les besoins naturels de son personnel, qui de sa part dégage plus d’engagement au travail et de fidélité. A cet égard, la sieste fait partie intégrante de la culture interne des entreprises comme Google et Nike où le taux de démission est parmi les plus faibles au monde. Outre cela, prendre quelque temps de sommeil pendant la journée est bénéfique pour la santé. En effet, la sieste permet de se débarrasser partiellement du stresse accumulé durant la matinée, ce qui a pour effet d’améliorer le rythme cardiaque et de régler le métabolisme de l’individu. A preuve, une étude menée par L’ENSSEA révèle que 30% des personnes négligeant la sieste souffrent d’hypertension. Finalement, la sieste est un moyen pour stimuler l’énergie des employés. Assurément, ce temps de détente donne la possibilité au corps de se revigorer et permet au cerveau de se relaxer ce qui revient bénéfiquement sur la productivité et la créativité des employés. A ce titre, les spécialistes estiment qu’une sieste de 10 minutes permet d’augmenter l’efficacité des salariés de 20% à 35% durant l’après-midi Autant d’éléments monsieur le rédacteur en chef qui soutiennent le raisonnement proposé par monsieur Dupond dans son article et qui expliquent les multiples bienfaits de la sieste au travail. Toutefois je comprends que certains lecteurs pourraient s’opposer à ce point de vue. C’est pourquoi, je souhaiterais vous demander de publier un sondage sur la question. Toujours fidèle à votre journal, veuillez agréer monsieur l’expression de mes sincères salutations.
Sujet 38 : on ne se fie qu’aux grandes marques Monsieur le rédacteur en chef, Permettez-moi avant tout de saluer vos efforts consentis quotidiennement pour enrichir les pages du débat. Fidèle lecteur de votre journal, je souhaite réagir à l’article paru le 20/01/2021, signé Patrick Dupond à travers lequel, il affirme que les petites marques ne réussissent à avoir qu’une infime part du marché face aux grandes marques à qui nous faisons plus confiance. De ma part, je ne suis pas tout à fait d’accord sur la question. Je pense plutôt que nos comportements d’achat sont relatifs au produit que nous désirons acheter. D’abord, on fait confiance aux grandes marques uniquement lorsque cela concernent des produits techniques ou compliqués. Effectivement, lorsque nous voudrions acquérir une voiture, ou une machine industrielle il est normal de se tourner vers les grandes marques. Par contre lorsqu’il s’agit d’un achat habituel et ordinaire, on tend souvent à essayer plusieurs produits y compris ceux des marques moins connues à l’image des parapluies, du sucre ou du sel, des lingettes et des désodorisants. Ensuite, beaucoup de petites entreprises réussissent à s’affirmer grâce à leurs innovations. En effet, beaucoup de fabricants locaux de textile et de meubles par exemple, font appel à la créativité pour se différencier et attirer une niche particulière de clientèle. Ainsi il réussissent concurrencer avec les grandes marques. A preuve, la fabrique « BIANCO » a réussi à travers un design à la fois simple et original de chaussures à rivaliser avec les grandes enseignes telle que « NIKE » et « ADIDAS » dans le marché algérien. Finalement, les petites entreprises ont aujourd’hui la possibilité de communiquer à moindre coût avec des millions de consommateurs. Assurément, le développement du marketing digital et l’avènement des technologies de l’information et des réseaux sociaux offre à toutes les entreprises des chances égales pour faire connaitre leurs biens et services. De par mon expérience personnelle, j’ai découvert « BIOGO » qui est une startup spécialisée dans la production de boisson bio, sur Instagram. Depuis, je ne consomme plus que les produit de de cette marque. Autant d’éléments monsieur le rédacteur en chef qui me laissent perplexe quant à l’affirmation de l’auteur et qui expliquent que les petites entreprises locales ont également une part du marché à condition qu’elles soient créatives et proposent des produits de bonne qualité. Toutefois je comprends que certains lecteurs pourraient s’opposer à cet avis. C’est pourquoi, je souhaiterais vous inviter à publier un sondage sur la question. Toujours fidèle à votre journal, veuillez agréer monsieur l’expression de mes sincères salutations.
Sujet 39 : zéro déchet, zéro gaspillage
Monsieur le rédacteur en chef Permettez-moi avant tout de saluer vos efforts consentis quotidiennement pour enrichir les pages du débat. Fidèle lecteur de votre journal, je souhaite réagir à l’article paru le 20/01/2021, signé Patrick Dupond, qui à travers lequel il explique l’urgence d’encadrer nos comportements d’achat et de consommations afin de réduire nos déchets et limiter le gaspillage. De ma part, je soutien fondamentalement le point de vue de l’auteur. Je crois qu’il est grand temps de prendre des mesures sérieuses pour réduire notre impact sur la planète. D’abord, nous devons rationaliser notre consommation de produits alimentaires. Effectivement, on tend à acheter plus qu’on en a besoin. Étant donné que ce type de produits expire relativement rapidement, une grande partie de nos achats finissent dans les poubelles. Une étude menée par l’école nationale de statistique, révèle que 65 Kilos de déchets alimentaires sont produits par foyer chaque mois. Outre cela, il existe plusieurs solutions pour réduire nos déchets. En effet, nous pouvons échanger les sacs en plastique par d’autres plus régis afin de les réutiliser et privilégier les produits peu emballés ou en vrac pour inciter les entreprises à revoir leurs méthodes de packaging. A ce titre, les chiffres révèlent que dix arbres sont abattus pour produire une tonne de cartons. Or, la consommation mondiale est estimée à ce jour à 13 tonnes par jour. Finalement, il faut se tourner vers le recyclage et les produits de seconde main. Assurément, en donnant une nouvelle vie à nos produits nous contribuons d’abord à préserver les ressources de la planète, et nous économisons l’énergie nécessaire à leur transport ce qui revient à réduire les Gas de dioxydes de carbone émises dans les airs par les engins. A cet égard, beaucoup de sites internet proposent la vente et l’achat de produits d’occasion à l’image du BON COIN et de VINTED. Autant d’éléments monsieur le rédacteur en chef qui soutiennent la suggestion de monsieur Dupond et qui expliquent que nous devons effectivement revoir nos modes de consommation afin de protéger notre environnement. Toutefois je comprends que certains lecteurs s’opposent à ce raisonnement, pensant qu’il est trop tard d’agir maintenant. C’est pourquoi, je souhaiterais vous inviter à publier un sondage sur la question. Toujours fidèle à votre journal. Veuillez agréer monsieur l’expression de mes sincères salutation.
Sujet 40 : La publicité influence nos comportements d’achats
Monsieur le rédacteur en chef, Permettez-moi avant tout de saluer vos efforts consentis quotidiennement pour enrichir les pages du débat. Fidèle lecteur de votre journal je souhaite réagir à l’article paru le 20/08/2021, signé Patrick Dupond et par lequel il explique l’influence de la publicité sur nos habitudes de consommation. De ma part, je soutiens totalement le point de vue de l’auteur, et ce pour de multiples raisons : D’abord, la publicité nous incite à consommer d’avantage. En effet, les agents du marketing font recours à de multiples techniques commerciales pour nous conduire à acheter plus et nous donner l’illusion des bonnes affaires. A cet égard, les spécialistes affirment que des techniques telles que les promotions et les cartes de fidélité, permettent d’augmenter le chiffre d’affaires de plus de 50%. Ensuite, nos choix de produits sont affectés par la publicité. Effectivement, nous tendons à nous fier d’avantage aux produits qu’on est habitué à voir à la télévision. A ce titre, une étude de l’ONS démontre que les ventes des produits alimentaires augmentent en moyenne de 25% suite à une compagne publicitaire. Enfin, la publicité est un outil que les entreprises utilisent pour faire rejaillir nos besoins enfuis ou oubliés. Assurément, qu’il s’agissent de produits de première nécessité, de produits complémentaires ou luxueux les publicitaires savent que beaucoup de nos achats sont retardés à plus tard ou oubliés et utilise la publicité pour créer l’urgence de les acquérir. De par mon expérience personnelle, je reçois fréquemment des offres sur les réseaux sociaux concernant des produits dont j’ai manifesté l’intérêt par le passé. Autant d’éléments monsieur le rédacteur en chef qui soutiennent l’affirmation de monsieur Dupond et qui expliquent qu’au-delà du fait que les publicitaires veuillent nous informer, ils visent avant tout à nous convaincre d’acheter leurs produits et service ou du moins les tester. Toutefois je comprends que certains lecteurs pourraient s’opposer à cette idée. C’est pourquoi, je souhaiterais vous inviter à publier un sondage sur la question.
Sujet 41 : Internet, mails, réseaux sociaux, le mélange entre vie privé et professionnel est inévitable.
Monsieur le rédacteur en chef, Permettez-moi avant tout de saluer vos efforts consentis quotidiennement pour enrichir les pages du débat. Fidèle lecteur de votre journal, je souhaite réagir à l’article paru le 20/08/2021, signé Patrick Dupond, qui par lequel qu’il est impossible au temps d’aujourd’hui de dissocier la vie privée de la vie professionnelle. A vrai dire, j’ai un avis mitigé sur la question. D’un côté, internet s’est imposé comme une partie intégrante de notre vie par les nombreux avantages qu’elle offre, mais de l’autre rien nous nous force selon moi de ne pas s’en détacher lorsque cela nous semble nécessaire. D’abord, notre activité sur internet et notamment sur les réseaux sociaux sabote notre productivité au travail. Effectivement, les responsables de ces entreprises évoluant sur internet se nourrissent de notre dépendance à leurs plateformes. De ce fait, ils représentent une source de distraction réelle à travers les multiples notifications qu’on reçois à longueur de journée. A ce titre, l’office national de statistiques révèle une augmentation des entreprises interdisant les smartphones au bureau de 23% par rapport à l’an passé. Ensuite, les technologies de communication interrompent souvent notre vie privée. Assurément, supérieurs, clients et fournisseurs ne manquent pas l’opportunité d’utiliser ces outils modernes pour nous contacter à la moindre occasion hors les horaires de travail. Ce phénomène est devenu dans certains domaines insupportable comme dans le commerciale et l’administration, où 65% des fonctionnaires souffres d’anxiété selon les dernières études. Néanmoins, la technologie elle-même propose des outils pour contrôler cette situation. En effet, avec un peu de volonté et d’organisation, il nous est possible de remédier à cela, en adoptant des gestes simples au quotidien avec beaucoup de rigueur. A titre d’exemple, nous pouvons désactiver les notifications indésirables au cours de la journée, et déterminer des moments particuliers pour vérifier nos e-mails. Pour résumer, je dirais que les inquiétudes vis-à-vis cette question sont bien réelles, puisqu’il nous est impossible de nous détacher aujourd’hui de l’utilisation de ces outils du fait des multiples avantages qu’ils apportent. D’où l’importance pour nous d’apprendre à les maitriser. toutefois, je comprends que certains lecteurs pourraient s’opposer à ce raisonnement. C’est pourquoi, je souhaiterais vous proposer de publier un sondage sur la question. Toujours fidèle à votre journal, veuillez agréer monsieur l’expression de mes sincères salutation.
Sujet 42 : Avec l’ordinateur on n’a pas besoin d’apprendre l’écriture à la main aux enfants Monsieur le rédacteur en chef, Permettez-moi avant tout de saluer vos efforts consentis quotidiennement pour enrichir les pages du débat. Fidèle lecteur de votre journal, je souhaiterais réagir à l’article paru le 20/08/2021, signé Patrick Dupond, par lequel il affirme qu’il est inutile d’apprendre l’écriture à la main aux enfants. De ma part, je m’oppose totalement à cette idée et ce pour de multiples raisons. D’abord, l’écriture manuscrites est un exercice simple et agréable enseigné à très jeune âge. Un âge où l’enfant n’est pas encore en mesure d’apprendre des matières complexes telles que les mathématiques ou encore la physique. Alors selon moi sans tenir compte des avantages qu’offre l’écriture à la main, je dirais quel est le but de bannir cet apprentissage tant qu’il n’interfère aucunement avec l’acquisition de d’autres connaissance. Ensuite, la dactylographie nécessite des moyens qui ne sont pas toujours à la portée. En effet, il est inconcevable de prétendre avoir à sa disponibilité un outil d’écriture numérique à tout instant, en plus du matériel nécessaire pour imprimer le document écrit. Cela, sans évoquer le fait que certaines familles démunies n’ont pas la capacité financière d’acquérir un ordinateur pour chacun de leurs enfants. D’ailleurs, une étude de l’office national des statistiques démontre que trois enfants sur dix de moins de 15 ans ne possèdent pas un ordinateur. Enfin, l’écriture manuscrite n’est pas uniquement un exercice qui consiste à dessiner correctement des caractères à la main. Effectivement, elle permet d’améliorer la mémorisation, d’apprendre plus facilement l’orthographe des mots, et d’organiser les idées comme le confirme une étude de l’institut national des neurosciences daté de 2013 impliquant 1300 individus. Autant d’éléments monsieur le rédacteur en chef qui me laissent perplexe quant à la suggestion de monsieur Dupond et qui expliquent l’utilité et l’importance de l’écriture à la main. Toutefois, je comprends que certains lecteurs pourraient s’opposer à ce raisonnement. C’est pourquoi, j’aimerais vous proposer de publier un sondage sur la question. Toujours fidèle à votre journal. Veuillez agréer monsieur l’expression de mes sincères salutations.
Sujet 43 : Internet met en danger l’avenir du livre Monsieur le rédacteur en chef Permettez-moi avant tout de saluer vos efforts consentis quotidiennement pour enrichir les pages du débat. Fidèle lecteur de votre journal, je souhaite réagir à l’article paru le 20/08/2021, signé Patrick Dupond, par lequel il explique la menace que présente internet sur l’avenir du livre. De ma part, bien que je penche d’avantage à soutenir l’auteur dans son raisonnement, je garde un avis mitigé sur la question, et ce pour de multiple raison : D’abord, internet permet une meilleure accessibilité à l’information. Effectivement, en parlant de contenu éducatif ou instructif, une recherche sur internet peut être très ciblée selon les informations recherchées, ce qui permet de gagner énormément de temps. Contrairement à la lecture d’un livre qui peut prendre de longues heures. A ce titre, rechercher une recette de cuisine particulière ou même une formule mathématique par exemple est bien plus pratique sur internet que sur un livre. Ensuite, un livre numérique est plus facile à trouver. En effet, internet comprend des plateformes qui comptes des dizaines de milliers de livres ce qui évite au lecteur l’effort de se déplacer jusqu’à la bibliothèque tout en étant pas sûre de trouver l’ouvrage désiré. D’ailleurs, c’est pour cette raison que la plus part des auteurs ne manquent pas aujourd’hui de proposer une version digitale de leurs publications. Toutefois, certains lieux ne sont pas couverts par internet, au-delà du fait qu’elle nécessite pour son utilisation de matériel qu’on n’a pas toujours à disposition. Assurément, afin de profiter de cette technologie le lecteur doit être muni d’un ordinateur et avoir accès à l’électricité, ce qui n’est pas toujours le cas comme lors d’un camping à titre d’exemple. Pour résumer, il est clair que le livre numérique à gagner beaucoup de part de marché depuis les dernières années grâce à la facilité qu’il propose ce qui soutiens la thèse de monsieur Dupond. Au même temps, je ne penses pas qu’il met réellement en danger de disparition la version papier qui grade également une partie de son utilité, Mais surtout de son charme. Toutefois, je comprends que certains lecteurs pourraient s’opposer à cet avis. C’est pourquoi je souhaiterais vous inviter à publier un sondage sur la question.
Sujet 43 : On devrait réintroduire les véhicules à traction animale Monsieur le rédacteur en chef, Permettez-moi avant tout de saluer vos efforts consentis quotidiennement pour enrichir les pages du débat. Fidèle lecteur de votre journal, je vous écris afin de réagir à l’article paru le 20/08/2021, signé Patrick DuPont, et par lequel il suggère la réintroduction des véhicules à traction animale. De ma part, je m’oppose totalement à cette solution et ce pour de multiples raisons : Tout d’abord, nous devons prendre en charge les enjeux climatiques au lieu de les jeter sur le dos des animaux. En effet, les hommes sont l’unique responsable de la pollution sur la terre. Nous sommes par conséquent tenus à assumer pleinement nos responsabilités en réfléchissant à des solutions qui soient également et avant tout éthiques. A cet effet, je dirais qu’introduire les véhicules à traction animale nous mènerait à retomber de nouveau dans nos anciennes pratiques de maltraitance des animaux. Ensuite, les infrastructures actuelles de nos villes ne sont plus en mesure d’accueillir des animaux. En effet, afin de mettre en place une telle mesure, nous devons réadapter nos routes afin qu’elles puissent être utilisées par des chevaux. Sans évoquer le fait que cela nous conduirait sans aucun doute à l’élevage abusif de ces bêtes pour assurer le transport de millions de personnes et de milliers de tonnes de marchandises par jour ce qui aura des effets très néfastes sur la qualité de l’air à cause du gaz de méthane dégagé par ces animaux. Enfin, les enjeux économiques sont aujourd’hui d’autant plus importants que les enjeux climatiques. Assurément, remplacer les bus, les camions, et les trains par des animaux ne sera pas sans conséquence sur notre qualité de vie. Notre économie demande aujourd’hui de plus en plus de vitesse et d’efficacité que les animaux ne sont pas en mesure d’assurer. Autant d’éléments monsieur le rédacteur en chef qui me laissent perplexe quant à la solution proposée par monsieur Dupond, et qui expliquent toute sa complexité. Toutefois je comprends que certains lecteurs pourraient s’opposer à ce raisonnement. C’est pourquoi, je souhaiterais vous demander de publier un sondage sur la question. Toujours fidèle à votre journal, veuillez agréer monsieur l’expression de mes sincères salutations.
Sujet 44 : Aujourd’hui dans le domaine sportif, c’est l’argent qui est le maitre Monsieur le rédacteur en chef, Permettez-moi avant tout de saluer vos efforts consentis quotidiennement pour enrichir les pages du débat. Fidèle lecteur de votre journal, je vous écrits afin de réagir à l’article paru le 20/10/2021, signé Patrick Dupond, par lequel il affirme que l’argent est devenu le mot d’ordre dans le domaine sportif. De ma part, je soutiens totalement cet avis. Et ce, pour de multiples raisons : D’abord, les équipes de football dépensent chaque année des sommes exorbitantes pour se renforcer avec de nouveaux joueurs. Effectivement, depuis l’avènement du professionnalisme dans ce sport, il n’est plus devenu question de gloire mais d’entrée pécuniaire. Pour cela, l’équation est de toute simplicité : recruter les meilleurs joueurs afin de participer aux compétitions les plus prestigieuses et empocher les droits TV. Ensuite, les agents des athlètes n’hésitent pas à les transformer en produit marketing. Ce qui d’ailleurs, ne semble guère les contrarier. Cette constatation ne se limite pas malheureusement à un seul sport mais elle a touché toutes les disciplines. Du tennis, au sport de combat, les sportifs sont prêts à tout accepter pour avoir de plus en plus de fans et d’admirateurs afin d’attirer les publicitaires. Enfin, la corruption est un autre mal qui ronge le sport et qui trouve sa racine dans l’appât du gain. Effectivement, il est devenu presque banale aujourd’hui de découvrir à la une des journaux une nouvelle affaire de corruption. A l’image de ce qui est arrivé en Italie au début des années 2000 lorsque plusieurs têtes de dirigeants sont tombées dans ce qui fût appelé « le Calcio poli ». Autant d’éléments monsieur le rédacteur en chef qui soutiennent l’avis de monsieur Dupont, et qui expliquent que le sport aujourd’hui a perdu beaucoup de son éthique et son esprit à cause de l’argent. Toutefois, je comprends que beaucoup de lecteurs pourraient s’opposer à ce raisonnement. C’est pourquoi, je souhaiterais vous inviter à publier un sondage sur la question. Toujours fidèle à votre journal, Veuillez agréer monsieur l’expression de mes sincères salutations.
Sujet 45 : Les séniors et les jeunes n’ont plus rien à partager Monsieur le rédacteur en chef, Permettez-moi avant tout de saluer vos efforts consentis quotidiennement pour enrichir les pages du débat. Fidèle lecteur de votre journal, je vous écrits afin de réagir à l’article paru à la une de votre journal le 20/10/2021, signé Patrick DuPont, par lequel il met en lumière l’écart intergénérationnel dans notre société moderne. De ma part je soutiens totalement cet avis, et ce pour diverses raisons. D’abord, les jeunes d’aujourd’hui s’émancipent très tôt et quitte le foyer familial. Effectivement, alors que les générations précédentes gardaient un lien très solide avec la famille, la génération actuelle rêve de l’ailleurs et prend son envol à la première occasion venue. A preuve, Une étude menée par l’école nationale des statistiques et économie appliquée dévoile que 70% des moins de 30 ans cherchent à quitter leur ville natale. Ensuite, les dernières décennies sont marquées d’un changement flagrant du mode de vie. En effet, la conjoncture économique et culturelle d’aujourd’hui a imposé aux jeunes un certain mode de vie très différent de celui des innés. Alors que les vieux cherchent à mener une vie paisible est calme, les jeunes dans leur vaste témérité, sont en constante recherche d’émotions et de sensations fortes. Enfin, la technologie à favoriser l’écart entre les deux générations. Assurément, les nouveaux outils d’information et de communication ne favorisent pas l’échange entre les séniors et leurs petits-enfants. A cet égard, les jeux de société ont été remplacés par des consoles, et les histoires des grand-mères par des applications telles que Netflix et Audible. Autant d’éléments monsieur le rédacteur en chef qui soutiennent le raisonnement de monsieur Dupond et qui expliquent les raisons derrière cette coupure. Toutefois, je comprends que certains lecteurs pourraient s’opposer à ces idées. C’est pourquoi, je souhaiterais vous inviter à publier un sondage sur la question. Toujours Fidèle à votre journal, Veuillez agréer Monsieur l’expression de mes sincères salutation.
Sujet 46 : On devrait imposer la gratuité des transports
Monsieur le rédacteur en chef, Permettez-moi avant tout de saluer vos efforts consentis quotidiennement pour enrichir les pages du débat. Fidèle lecteur de votre journal, je vous écrits afin de réagir à l’article paru le 20/01/2021, signé Patrick Dupond, par lequel il suggère de rendre les transports en commun gratuits afin de protéger la planète contre la pollution des véhicules. De ma part, je m’oppose à cette solution et ce pour diverses raisons. D’abord, la gratuité diminue la valeur perçue du service. Effectivement, le neuro-marketing est clair là-dessous : on tend à mieux estimer les services qui nous demandent un sacrifice financier que ceux qui sont gratuits. De ce fait, la gratuité désacralise et banalise les lieux. A cet égard, une étude menée par l’école nationale de planification et statistique dévoile des coûts d’entretiens trois fois plus élevés dans les villes qui ont imposé la gratuité des transports. Ensuite, rendre les transports gratuits nuirait à l’expérience de l’utilisateur. En effet, cette mesure augmenterait la demande sur ce service qui connait déjà une très grande affluence et marque même parfois une insuffisance flagrante dans certaines périodes de l’année comme celle des fêtes ou lors de la rentrée scolaire. A cet effet, la solution proposée ne peut qu’empirer la situation en provoquant plus de retards et des bus plus encombrés. Enfin, cette solution conduirait à l’augmentation des dépenses publiques et couperait une source d’entrée importante. Assurément, cela ne sera pas sans conséquence sur les caisses de l’état. Du fait que la billetterie des transports est une source importante de financement qui assure l’entretien des bus et le payement des employés. A preuve, la ville de Lyon a enregistré l’an passé des dépenses liées aux transport supérieurs même à des celles de villes plus peuplées comme Berlin où encore Londres. Autant d’éléments monsieur le rédacteur en chef qui me laissent perplexe quant à proposition de monsieur Dupond et qui expliquent toutes les conséquences néfastes qu’elle peut engendrer. Néanmoins, je comprends que certains lecteurs pourraient s’opposer à ce raisonnement. C’est pourquoi je souhaiterais vous inviter à publier un sondage sur la question. Toujours Fidèle à votre journal, veuillez agréer monsieur l’expression de mes sincères salutations.
Sujet 47 : Les sites de rencontre éloignent plus qu’ils rapprochent Monsieur le rédacteur en chef, Permettez-moi avant tout de saluer vos efforts consentis quotidiennement pour enrichir les pages du débat, Fidèle lecteur de votre journal, je vous écrits afin de réagir à l’article signé Patrick Dupond paru à la une de votre journal le 20/10/2021, par lequel il affirme que les sites de rencontres nous éloignent et contribuent au détachement social. De ma part, j’ai un avis mitigé sur la question et ce pour diverses raisons : D’abord, il convient de dire que les sites de rencontre favorisent le phénomène de la phobie social. Effectivement, les personnes souffrantes d’un tel traumatisme trouvent refuge dans ce genre de plateforme. Il préfère se cacher derrière leur écran au lieu de confronter leur peur en sortant de leur zone de confort et aller à la rencontre des gens. Ensuite, les sites de rencontre sont addictifs. Assurément, la conjoncture économique et sociale de notre société moderne nous impose un mode de vie très chargé. Entre le travail, les études, des courses par-là, un bricolage qui attend là-bas, nous sommes constamment occupés. Nous faisons plus attention à notre entourage, car les sites de rencontre nous offrent beaucoup de facilité pour répondre notre besoin d’interaction sociale et combler ce manque. Toutefois, la toile offre beaucoup d’opportunités de rencontre pour certains profils et certaines communautés. Effectivement, il se trouve parfois que l’entourage dans lequel évolues certains d’entre nous ne leurs correspond pas forcément, ils se retrouvent marginalisés surtout que quelques régions et notamment dans les pays du tiers monde manquent de diversité culturelle et de tolérance. Je penses en écrivant ces lignes, à la communauté gay par exemple, aux artistes et aux personnes ayant des croyances religieuses différentes de celle de leur société Autant d’éléments monsieur le rédacteur en chef qui expliquent ma position quant à l’affirmation de monsieur Dupond, et qui se formule moins radicale et extrême. Néanmoins, je comprends que certains lecteurs pourraient s’opposer à ce raisonnement. C’est pourquoi, je souhaiterais vous inviter à publier un sondage sur la question. Toujours fidèle à votre journal, veuillez agréer monsieur l’expression de mes sincères salutation.
Sujet 48 : les séniors sont plus éduqués que les jeunes Permettez-moi avant tout de saluer vos efforts consentis quotidiennement pour enrichir les pages du débat. Fidèle lecteur de votre journal, je vous écrit afin de réagir à l’article signé Patrick Dupond, paru le 20/10/2021 par lequel il affirme que les séniors ont eu une éduction plus solide que les jeunes d’aujourd’hui. De ma part je suis totalement de cet avis et ce pour plusieurs facteurs. Tout d’abord, la conjoncture économique et sociale actuelle favorise l’individualisme. Effectivement, la société d’aujourd’hui impose aux parents à ne pas se contenter d’une vie paisible. Ils tendent à vouloir atteindre les plus hauts rangs du statut sociale et font passer l’exploit professionnel avant la vie familiale. Ainsi, ils ratent l’éducation de leur progéniture. Ensuite, les technologies d’information et de communication éloignent plus qu’il en rapprochent. En effet, le temps que les parents passent en compagnie de leurs enfants s’été beaucoup réduit depuis l’avènement du numérique. Autrefois, ils partageaient beaucoup d’expériences ensembles, ils leur transmettaient leur philosophie à travers la parole et les emmenaient même avec eux à leur lieu de travail. Hélas, la famille actuelle ne se réunie plus que pour manger. Finalement, les lois et les réglementations en vigueur pour protéger l’enfant encouragent l’insolence. Assurément, nos innés n’ont pas eu la liberté dont disposent les jeunes aujourd’hui, ils étaient plus enclins à apprendre et parfois de la manière forte. A l’inverse, protégée par la loi, la jeunesse d’aujourd’hui n’hésite pas à désobéir, elle déambule derrière ses émotions et agit sans tenir compte de ce qui relève de la bonne éducation. A preuve, les études montrent une recrudescence terrifiante de la délinquance chez les jeunes de moins de 18 ans depuis les dernières années. Autant d’éléments monsieur le rédacteur en chef qui soutiennent le raisonnement de monsieur Dupond et qui expliquent les raisons derrière ce phénomène. Néanmoins, je comprends que certains lecteurs pourraient s’opposer à cet avis. C’est pourquoi, je souhaiteraient vous inviter à publier un sondage sur la question. Veuillez agréer monsieur l’expression de mes sincères salutations.
Sujet 50 : l’expérience de vie et les voyages valent mieux que les diplômes
Monsieur le rédacteur en chef, Permettez-moi avant tout de saluer vos efforts consentis quotidiennement pour enrichir les pages du débat. Fidèle lecteur de votre journal, je voudrais réagir à l’article signé Patrick Dupond, paru le 20/09/2021, par lequel il affirme que les diplômes sont moins importants que l’expérience de vie et les voyages. De ma part, je ne suis pas tout à fait d’accord sur la question, car je pense que les deux sont nécessaires pour avoir une vie pleine, et je vais expliquer mon raisonnement dans ce qui suit : D’abord, les voyages sont une expérience unique et très riches d’enseignements. Effectivement, prendre son envol vers des contrés lointaines nous permet de sortir des valeurs établies par notre société d’origine et de les percevoir avec beaucoup de recule et d’objectivité. Ainsi, aller à la rencontre de d’autres peuples nous enseigne la tolérance. Ensuite, les expériences de vie nous permettent de développer notre propre philosophie. Assurément, afin de progresser dans la vie autant que personne, nous sommes dans l’obligation de sortir de notre monotonie quotidienne et notre zone de confort pour essayer de nouvelles expériences susceptibles de développer notre individualité et nous invite à voir le monde d’une nouvelle manière. Toutefois, les diplômes sont essentiels pour nous offrir une vie décente et utile pour nous et pour autrui. En effet, afin de venir à l’aide aux autres et répondre à leurs besoins nous devons acquérir des compétences et un savoir pointu et concret, loin des leçons abstraites et la spiritualité acquise par une approche expérimentale de la vie de manière générale. De cette manière, les diplômes nous permettent de trouver du travail et de créer de la valeur autour de nous. Pour résumer, je dirais que l’expérience de vie, les voyages et les diplômes sont complémentaires pour, d’une part, s’élever autant qu’être humain d’une autre part et être muni d’assez d’outils et de compétences utiles. Néanmoins, je comprends que certains lecteurs pourraient s’opposer à cet avis. C’est pourquoi, je souhaiterais vous inviter à publier un sondage sur la question. Toujours fidèle à votre journal, veuillez agréer monsieur l’expression de mes sincères salutations.