Ee Lettre Argumentative [PDF]

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Zitiervorschau

Section B : Lettre argumentative  1-la vidéo surveillance motive les employés

Monsieur le rédacteur en chef fidèle lectrice de votre journal, et comme l’indique l’objet du présent courrier, je voudrais réagir à l’article paru le premier septembre dernier, dans lequel vous déclariez que «  la vidéosurveillance motivait les employés », après lecture des réactions positives je voudrais à mon tour apporter quelques réflexions. De nos jours, la vidéosurveillance est de pratique courante. IL est vrai que les caméras dans les lieux de travail est un moyen sûr et bien éprouvé de contrôler les négligences. Cependant, je pense que son utilisation et son efficacité restent discutables, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, il est avéré que la vidéosurveillance n’est aucunement un moyen de motivation. c’est plutôt une atteinte à la vie privée et à la démocratie . en effet, en étant surveillé un salarié se sens géné, soumis, voire enchainé, et ne pourra jamais étre libre dans son espace professionnel. D’ailleurs, Le respect de la vie privée en temps et lieux de travail est préservé par la loi. En outre, les caméras de surveillances rompent la confiance employeurs-employés, ce qui se répercute négativement sur le rendement et le chiffre d’affaires des entreprises. En faisant fil de cet instrument de contrôle, l’employeur instalera la confiance chez ses employés disposés à prendre des initiatives louables et responsables. A preuve, La communauté Québecoise qui a observé des comportements positifs de la part des employés en leur faisont confiance. Enfin, ce mode de fonctionnement coércitif est une sorte de flicage des salariés, il augmente le stress et diminue le rendement. ne pouvant surmenté ce stress qui les brise,certains salariés finissent par penser au suicide. A cet égard, une étude menée par l’office national des statistiques affirme que le taux de suicides professionnels a considérablement augmenté depuis l’avènement de la vidéosurveillance. Autants d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent mon recul à l’égard de cet objet œil espion. Tout bien considéré, je suis convaincue qu’il n’est pas le bon procédé pour stimuler les employés. Toujours fidèle Veuillez accepter, monsieur, mes salutations les plus distinguées.

2-Les parents n’ont aucune autorité sur leurs enfants Monsieur le rédacteur en chef Je suis une fidèle lectrice de votre journal, et comme l’indique l’objet du présent courrier je voudrais réagir à l’article paru le premier novembre dernier, dans lequel vous déclariez que « les parents n’avaient aucune autorité sur leurs enfants », après lecture des réactions quelque peu outrées de nombres de vos lecteurs, je voudrais à mon tour apporter quelques réflexions. Certes, les parents ont toujours fait preuve d’autorité vis-à-vis de leurs enfants. Ces derniers ne peuvent prendre ni décisions, ni franchir un pas sans avoir l’accord de leurs parents despotes. Cependant, je pense ces manières arbitraires des parents, ces pratiques léguées par la tradition sont d’un autre temps révolu, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, les jeunes d’aujourd’hui adoptent une attitude de refus.Ils s’insurgent contre l’autorité de leurs parents, réclamant plus de liberté, ce qui engendre des conflis. Les parents pris dans ce mouvement de contestation ont conscience que leur pouvoir est ébranlé . A cet égard, Une étude récente affirme que plus de 70% des parents demandent au lieu d’exiger à leurs enfants. En outre, la société moderne en plain évolution a fait en sorte que les chefs de familles rennencent à leur autorité. Les parents d’aujour’hui déterminés à ne pas élever leurs enfants comme ils l’ont été, sont motivés par le desir d’élever leurs descendance de façon respectueuse, en tentant de les responsabiliser et leur cedant le contrôle de certains affaires. D’ailleurs on donne désormais le droit aux enfants de piquer une crise afin d’apprendre à gérer leurs émotions. Enfin, les parents d’aujourd’hui ont adopté une nouvelle méthode d’éducation bien loin de l’autorité de leurs ascendants. L’obéissance totale autrefois louangée, est aujourd’hui perçue comme dépassée. Beaucoup de familles encouragent leurs enfants à prendre la parole , et à exprimer librement leurs pensées. A preuve , les pédopsychiatres affirment qu’ un enfant obéissant est de nature à se laisser faire. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent les différents changements qu’a subit l’éducation des enfants.Veuillez accepter , monsieur , mes salutations les plus distinguées.

3-Les jeunes de 20-30 ans habitent chez leurs parents pour des raisons de facilité et de confort

Monsieur le rédacteur en chef Je suis une fidèle lectrice de votre journal, et comme l’indique l’objet du présent courrier, je voudrais réagir à l’article paru le premier septembre dernier, dans lequel vous déclariez que « les jeunes de 20-30 ans habitaient chez leurs parents pour des raisons de facilité et de confort », après lecture des réactions quelque peu outrées de nombre de vos lecteurs, je voudrais à mon tour apporter quelques réflexions. Aujourd’hui, nous parlons souvent dans les médias des différentes séparations au sein des membres d’une famille. Pour certains lecteurs, l’acquisition d’une maturité ne peut se faire que dans le cas ou le jeune vit seule. Je pense que cette idée est biaisée , et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, la santé des parents exige la présence continue des enfants à la maison. En effet , les ainées souffrent de maladies chroniques nécessitant une assistance et des soins à domicile. De par mon expérience personnelle, j’ai du m’occuper de ma mère atteinte de sclerose en plaque pendant plusieurs années. Outre cela, le foyer familial acceuille tous les membres de la famille quelque soit leur âge. Ainsi dans un tel climat de sécurité et de respect les enfants se sentent bien, et ressentent moins le besoin de se détacher du domicile familial. A preuve, Les psychologues soulignent que les jeunes n’ayant pas quittés le domicile de leurs parents entretiennent de meilleures relations avec eux. Enfin, j’adhère à l’idée que rester chez les parents n’est pas synonyme d’échec financier, au contraire certains jeunes habitent chez leurs parents afin de leur apporter un soutient picunière et morale en raison du montant insuffisant et dérisoir de leur pension de retraite. A cet égard, un sondage affirme que 60% des jeunes payent le loyer de leurs parents. Autant d’éléments. Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent les motivations des jeunes à rester chez leurs parents. Je suis convaincue que l’amour des siens ne peut être remplacé par aucune richesse picunière.

4-La place de la femme n’a pas évolué Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé «  la place de la femme n’a pas évolué » paru à la une de votre journal, le premier septembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpelle vivement, je voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles sur ce sujet qui alimente de nombreux débats. Le statut de maitresse de maison a été préservé par la femme depuis plusieurs décennies. Plus de 50% des femmes de ma communauté estiment qu’être femme au foyer est aussi épanouissant qu’un travail rémunéré. Toutefois, je pense que les mentalités ont changé et qu’ une prise de conscience a été observée chez la nouvelle génération, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, Etant considéré comme une mineure à vie, la femme passait de la tutèle de son père à c’elle de son mari. Elle devait faire le ménage élevé les enfants et surtout obéir à son mari, alors qu’aujourd’hui les deux parents se partagent les tâches, que ce soit pour l’éducation des enfants ou encore les tâches ménagères. Une étude menée sur le sujet stipule que le nombre de père au foyer a considérablement augmenté ces deux dernières années. Outre cela, la femme d’hier, celle des années 40 ou 50 notamment, n’avait aucun droit au chapitre. Alors qu’ aujourd’hui , elle a frayé son chemin dans la société et a acqui, haut la

main, les même droits que l’homme grâce aux différentes lois qui ont été promulguées ces deux dernières décennies. Le droit au vote et à avoir un compte bancaire par exemple. Enfin, en compétition avec son confrère l’homme, la femme occupe maintenant tous les espaces, découvrant ainsi une nouvelle dimension de la vie. Grâce à son intelligence et ses initiatives ,elle a ôté des postes de hauts niveaux, autrefois réservé au genre masculin. A preuve, L’ex présidente de la Croatie a réussi à faire ses preuves malgré l’acharnement qu’elle a subi. Autant d’éléments, Monsieur, le rédacteur en chef qui expliquent l’évolution impressionnante de la femme au fil du temps. Toujours fidèle à votre journal, je vous prie d’accepter, Monsieur, mes salutations les plus distinguées.

5- Les ONG

Monsieur le rédacteur en chef Je suis une fidèle lectrice de votre journal, et comme l’indique l’objet du présent courrier, je voudrais réagir à l’article paru le premier septembre dernier, dans lequel vous déclariez que «  les ONG avaient un rôle important dans l’éradication de la pauvreté », après lecture des réactions positives, je voudrais à mon tour apporter quelques réflexions. le problème de pauvreté a toujours été une priorité pour les organismes non gouvernés. Ces derniers déploient chaque année des ressources humaines et des mannes financière afin d’éradiquer ce fléau. Cependant, je pense que leurs actions et leur efficacité restent discutables et pour cause. Tout d’abord, les indicateurs de pauvreté ne se limitent pas à un revenu monétaire d’un individu. En effet, la pauvreté est un enchainement de manques cruciaux qui se déclinent en termes de crise de  logement, de santé et de chômage  qui affectent les classes défavorisées. Ne pouvant faire face à l’intensité de ce fléau , et à la pression, toujours croissante ,des gens pauvres les efforts des ONG demeurent édulcorés. A preuve, Le taux de chômage dans les pays du tiers monde, n’a pas régressé depuis deux ans, en dépit des actions soutenues de ces organismes philantropiques. En outre, si le financement de ces organismes est assuré par des leaders du monde des affaires « Apple, Microsoft …… » , ces sommes d’argents aléatoires, qui ne sont ni garantie, ni fixes, ne sont guère un moyen éprouvé d’assurer un revenu mensuel, régulier et durable aux personnes fragilisées. A cet égard, une étude récente affirme que plus de 30% des entreprises qui assuraient le financement des ONG ont manifesté leur défection cette année. Enfin, les gouvernements sont les premiers responsables de leurs terres .les institutions non gouvernés ne peuvent pas mener des actions humanitaires sans l’accord de ces derniers. Elles ne possèdent ni le potentiel humain, ni les possibilitées financières afin de venir en aide aux personnes démunies vivant dans des conditions exceptionnelles. Les pays en guerre,l’exemple de la Syrie n’arrivent toujours pas à bénéficier des aides fournies par les ONG, en raison des difficultés de circuler sur leurs territoires. Autant d’éléments, monsieur le rédacteur en chef, qui me laissent paeplexe quant à l’éradication complète de la pauvreté par les ONG. J’incline à penser que ces organismes ne sont que des intermédiaires paliatifs qui atténuent, peu ou prou , l’intensité de ce fléau. En somme, c’est pour cela que je perciste à croire que le role de la femme ne cesse d’évoluer, et qu’elle est aujourd’hui loin des conditions qu’elle vivait il ya 100 ans. J’espère que mon article vous plaira en vue de le publier dans une prochaine édition de votre journal. Veuillez accepter, monsieur , mes salutations les plus distinguées.

5-Les ONG

Monsieur le rédacteur en chef

Votre long article intitulé « les ONG sont les mieux placées pour lutter contre la pauvreté » paru à la une de votre journal le premier septembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de lecteurs, m’interpelle vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles sur ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. A ceci d’abord, la pauvreté a toujours été une priorité pour les organismes non gouvernés. Chaque année des ressources humaines et financière sont déployées par les ONG afin de d’éradiquer ce fléau. Plus de 50 millions d’euro ont été mobilisés l’année précédente en faveur des plus démunies. Il n’en demeure pas moins que leurs actions et leur efficacité restent discutables. Les indicateurs de pauvreté ne se limitent pas à un revenu monétaire d’un individu, c’est plutôt un enchainement de précarités « logement, santé, chômage ». Ne pouvant faire face à l’intensité de ces précarités, les efforts des ONG demeurent édulcorés. A preuve le taux de chômage dans les pays du tiers monde n’a pas baissé depuis deux ans malgré les actions menées par les organismes non gouvernés dans ce sens. Le financement de ces organismes est assuré par des leaders du monde des affaires «  Apple, Microsoft ». N’étant pas garanties ou fixes, ces sommes d’argent ne peuvent pas étre un moyen éprouvé afin de verser un revenu mensuelle aux personnes dans le besoin. A cet égard une étude récente affirme que plus de 30% des entreprises assurant le financement des ONG se sont retirées cette année. Les gouvernements sont les premiers responsables de leurs terres, les ONG ne peuvent pas instaurer des actions humanitaires sans l’accord de ces derniers. Elles ne possèdent ni le potentiel humain, ni financier afin de venir en aide aux personnes démunies vivant dans des conditions exceptionnelles. Les pays en guerre comme la Syrie n’arrivent toujours pas à bénéficier des aides fournies par les ONG vu la difficulté de circuler sur leur territoire. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, me laissent perplexe quant à l’éradication de la pauvreté par les ONG, je suis convaincu qu’ils ne sont qu’ un facteur minimisant l’intensité de ce fléau, pour arriver à son éradication il faudrait plutôt collaborer avec les gouvernements. Veuillez a ccepter, Monsieur, mes salutations les plus distinguées.

6-la société hyperactive ne peut pas faire de rencontres 

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « la société hyperactive ne peut pas faire de rencontres », paru à la une de votre journal le premier septembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpelle vivement, je voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles sur ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. Nous savons tous que le monde est en accélération continue. La nouvelle génération a la possibilité de tisser de nouvelles relations avec des gens aux quatre coins du monde. Twetter, Facebook, Instagram sont des réseaux sociaux à l’origine de tas de relations amicales et amoureuses. Cependant, je pense que ces relations sont malheureusement virtuelles, et ne se concrétisent presque jamais, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, nous vivons dans un monde mobile qui change très vite, ou l’hyperactivité règne . Touchant ainsi tous les domaines : politiques, économiques, ou vie privée. Des transformations nombreuses s’opèrent dans cette société moderne , ce qui a permis l’émergence de nouvelles technologies qui favorisent les rencontres virtuelles et écartent le contact réelle. Rendant ainsi les vrais rencontres aléatoire voire quasi-impossibles. . De par mon expérience personnelle, je n’ai réussi à faire que des rencontres brèves et de courte durée via les réseaux sociaux ces deux dernières années. Outre cela, Pris par les enfants, les jeunes parents n’arrivent plus à consacrer un moment pour les loisirs personnels. Ils doivent jongler entre les activités des enfants, d’un cour de musique, à un entrainement de foot. le temps d’apprendre à connaitre de nouvelles personnes

n’est plus une sinécure .C’est dans ce sillage qu’une chronique a été publiée dans le journal « le monde » on y trouve des témoignages qui en disent long sue ce rythme soutenu des nouveaux parents. Enfin,La vie professionnelle est de plus en plus exigeante. Les employeurs demandent toujours plus aux salariés ne leur laissant aucun répit, et ces derniers s’y consacrent complètement. En passant des heures interminables au bureau, la vie sociale et privée sont mises de côté. A cet égard une étude menée par l’office national des statistiques affirme que 80% des personnes qui ont une belle situation professionnelle vivent un échec sur le plan social et privé. Autant d’éléments, Monsieur, le rédacteur en chef, qui expliquent l’impact de l’hyperactivité sur les relations humaines. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter, monsieur, mes salutations les plus distinguées

7-des cours d’informatiques aux plus âgées n’est plus utile 

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « donner des cours d’informatiques aux plus âgées n’est plus utile » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement, je voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles sur ce sujet qui alimente de nombreux débats. Habitués aux lettres et aux romans, les seniors n’ont pas accordé d’intérêt à la nouvelle technologie. Mes grands parents trouvent qu’en restant des heures devant mon ordinateur je passais à côté de ma jeunesse. Cependant, je pense que les outils informatique sont en mesure d’assurer un quotidien plus fluide aux ainées.et je m’appuie sur ce qui suit. Premièrement, les outils informatiques sont un excellent moyen pour combattre la solitude. Ils permettent de communiquer avec autrui à n’importe quel moment, et à n’importe quelle distance en ajoutant une image au song. Les seniors peuvent ainsi communiquer avec des amies et des proches tout en ayant l’impression d’être avec eux. En outre, l’état de santé des plus âgées limite leur habilité aux déplacements. En les initiant aux outils informatiques on leur permet d’écarter les difficultés. Ils peuvent AIeffectuer des payements bancaires, ou faire des courses via internet par un simple clic. Par ailleurs, les outils informatiques préservent les capacités intellectuelles. Les tablettes et téléphones portables disposent de logiciels et jeux permettant d’exercer sa mémoire. A cet égard, une étude menée à l’université de Harvard stipule que les jeux en ligne constituent un excellent exercice cérébral permettant de maintenir les capacités cognitives des seniors. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent mon point de vue quant à l’initiation des seniors aux outils informatiques, je suis convaincue que l’accès à la technologie est primordial quelque soit l’âge de la personne. Toujours fidèle à votre journal, je vous prie d’accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

8-les personnes agées de plus de 65 ans doivent repasser le permis de conduire

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « les personnes agées de plus de 65 ans doivent repasser le permis de conduire » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui alimente de nombreux débats. De nos jours, les accidents de la routes sont responsables de plus de 1,35 million de décés par ans. Certains lecteurs, pensent que l’insouciance des jeunes est à l’origine de ce taux élevé de mortalité. Cependant, je trouve que les personnes agées sont encore plus dangereuses que les jeunes et doivent être surveillées, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, les problèmes de santé chez les seniors se multiplient et se compliquent. La majorité des personnes agées soufrent de tension artérielle, de vertige, et la quasi-totalité voit leur acuité visuelle diminuée, induisant ainsi des malaises subits au volant. D’ailleurs, dans les pays Scandinaves, une visite médicale régulière pour les conducteurs de plus de 50 ans a menée à des résultats positifs sur le terrain En outre, le vieillissement entraine un manque de vigilance et un allongement du temps de réaction. En effet, le manque de concentration et la diminution des réflexes a fait en sorte que la prise de conscience du danger soit plus lente chez les seniors. Faisant ainsi d’eux un réel danger public. . A cet égard , une étude réalisée par l’assureur AXA affirme que les personnes agées sont à l’origine d’un accident mortel sur quatre par ans. enfin, imposer aux ainés de repasser le permis de conduire s’avère une décision importante afin de s’adapter aux nouvelles exigences impsées par la réglementation routière. Le code de la route a connu des modifications profondes ces dernières années, ainsi repasser le l’examen de par cette tranche d’âge est primordial afin d’assurer la sécurité routière. A preuve, en Espagne un examen est organisé tous les 10 ans pour les conducteurs, comportant des questions sur les modifications du code de la route Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui viennent appuyer votre affirmation. Je suis convaincue que nos ainés doivent être surveillés car ils constituent un réel danger pour eux-mêmes et pour les usagers de la route. Toujours fidèle à votre journal, je vous prie d’accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

9-internet nous rend isolé de la société 

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « internet nous rend isolé de la société » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais ici apporter quelques réflexions à ce sujet qui alimente de nombreux débats. Do nos jours, le problème d’addiction à internet fait souvent la une des médias. Certains lecteurs pensent qu’en surfant des heures sur le net, on a tendance à s’isoler , et à mettre de côté la vie privée et sociale. Je trouve que cette idée est biaisée, et je m’appuie sur ce qui suit. Premièrement, c’est un excellent moyen pour combattre la solitude. Internet permet de communiquer avec autrui à n’importe quel moment et n’importe quelle distance. nous rapprochant ainsi davantage de nos proches et amis. De par mon expérience personnelle, j’arrive à communiquer régulièrement avec ma meilleure amie qui réside au canada grâce aux réseaux sociaux. Par ailleurs, étant la première source d’information. internet nous permet de suivre l’actualité mondiale par un simple clic sans avoir à sortir de chez soi. A preuve, c’est ainsi que tout le monde a suivi l’évolution de la pandémie du coronavirus tout en étant confiné. Enfin, il ya des personnes qui souffrent de phobie sociale, autrement dit ils rencontrent des difficultés à créé de nouvelles relations. Internet leur donne la possibilité de faire de nouvelles rencontres sans sortir de leur zone de confort. A cet égard, les dernières études affirment que 80% des personnes ayant ce problème se sont mariées grâce à internet. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent que contrairement à ce que l’on croit, internet n’est aucunement un moyen d’isolement, c’est plutôt une fenêtre qui nous permet de s’ouvrir sur le monde. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

10- avec internet un médecin ne sert plus à rien 

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé «  avec internet un médecin ne sert plus à rien » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions d’un grand nombre de lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais ici apporter quelques réflexions à ce sujet qui alimente de nombreux débats. De nos jours, l’internet touche à tous les domaines y compris le domaine scientifique, il est vrai qu’on peut désormais consulter un médecin en ligne par un simple clic sans avoir à se déplacer. Livi .fr est un site internet qui propose des téléconsultations avec des médecins généraliste ou spécialistes. Néanmoins, je trouve que remplacer son médecin par internet est inconcevable, et je m’appuie sur ce qui suit. D’abord, il ne faut jamais faire confiance aux informations disponibles sur internet. Le contenu publié sur le net peut se baser sur des recherches scientifiques pointu, comme il peut être érronné ou complètement faux. A preuve, la mélatonine qui est un médicament toxique à fortes doses, mais présentée sur internet comme étant l’hormone miracle du sommeil. En outre, les actes chirurgicaux nécessitent la présence d’un chirurgien. Dans ce cas de figure internet ne peut que fournir des informations théoriques sur le déroulement de l’intervention. A titre d’exemple la célioscopie qui est décrite dans ses moindres détailles sur le web, mais sur le terrain elle nécessite un chirurgien et un bloc opératoire. Enfin, l’importance de l’échange entre le médecin et son patient ne peut pas être négligée. A mon sens, il est impossible de remplacer un diagnostic établi après consultation chez un médecin, par un diagnostic basé sur les résultats d’un questionnaire sur internet. L’angine, pour exemple, exige la vérification de l’aspect de la gorge et des amygdales pour pouvoir déterminer son origine ( virale ou bactérienne).

Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent mon recul à l’égard de votre affirmation, je suis convaincue qu’un médecin est irremplaçable quelque soit l’évolution technologique atteinte. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

11- apprendre le chinois aux enfants en bas âge »

Monsieur le rédacteur en chef Votre article intitulé « apprendre le chinois aux enfants en bas âge » paru le premier novembre dernier à la une de votre journal, ainsi que les réactions d’un grand nombre de vos lecteur m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui alimente de nombreux débats. Aujourd’hui, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux de l’importance de privilégier la langue maternelle aux langues étrangères. Certains lecteurs pensent qu’ un retard d’apprentissage de la langue maternelle survient lorseque l’enfant apprend une deuxième langue. je trouve que cette idée est biaisée , et je m’appuie sur ce qui suit. En premier lieu, la capacité d’assimilation diminue avec l’âge. Plus on est jeune , plus l’apprentissage est facile. Etant de véritables éponges les enfants absorbent les informations plus rapidement. Permettant ainsi une meilleure maîtrise de la langue. De par mon expérience personnelle, apprendre le chinois en bas âge m’a permis de le maitriser à la perfection. Outre cela, étant leader dans le monde des affaires, la chine est la destination de rêve pour les étudiants. Avec la montée en puissance de la chine surtout dans le domaine économique , il est bien normal de se préparer à l’avance. En apprenant le chinois aux enfants, on leur garantie une belle carrière professionnelle. A preuve, une étude menée par l’office national des statéstiques que 50% des directeurs des multinationales maitrisent le chinois depuis leur jeune âge. Enfin, parler chinois est un excellent exercice cérébral. Pour parler chinois, il faut apprendre plus de 3000 caractères, ce qui améliore la mémorisation et l’esprit de déduction chez l’enfant. A cet égard, une étude menée par l’université de Paris affirme que les enfants qui maitrisent le chinois ont une meilleure flexibilité cognitive. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent mon point de vue quant à l’importance d’initier les enfants aux chinois. Je suis convaincue que cette langue est le meilleur moyen pour améliorer le potentiel de l’enfant. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

12- le télétravail est nocif 

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « le télétravail est nocif » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui alimente de nombreux débats. Aujourd’hui, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux sur l’impact négatif du télétravail. Pour certains, le télétravail est une pratique qui nuit au bon fonctionnement des entreprises, en induisant un manque d’intérêt et de rigeur de la part des salariés. Cependant, Je trouve que ce mode de fonctinnement révolutionnaire a permis de dépasser plusieurs obstacles, et d’augmenter ainsi le chiffre d’affaires de plusieurs entreprises, et je m’appuie sur ce qui suit. Premièrement, ce mode de fonctionnement permet une meilleure intégration des salariés handicapés. Les entreprises qui ne possédent pas de locaux aménagés aux personnes handiquapées, peuvent tout de même en recruter grâce au télétravail. A preuve, une étude

menée par l’office national des statistiques affirme que le taux de chômage au sein de cette catégorie a considérablement diminué après l’avènement du télétravail. Par ailleurs, la confiance employeurs-employés est maintenue. En effet en lui faisant confiance un employé donnera le meilleur de lui-même, et n’agira que dans l’intérêt de son entreprise. La majorité des entreprises Québequoises adoptant ce mode de fonctionnement ont réussi à se faire un noms dans le marché mondial grâce au serieux et à l’assiduité de leurs employés. Enfin, en offrant une meilleure flexibilité et permettant de concilier vie privée et vie professionnelle, le télétravail diminue le stress et augmente le rendement. Les travailleurs avancent dans leurs tâches sans avoir à subir la pression d’un supérieur. A cet égard, une étude menée à l’université de Lyon affirme que le taux de suicide professionnel a diminué de 60% depuis l’avènement du télétravail. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent la touche positive qu’a eu le télétravail sur plusieurs plans. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter monsieur l’expression de mes salutations les plus distinguées.

13-  l’anglais menace les autres langues et cultures »

Monsieur le rédacteur en chef Votre article intitulé «  l’anglais menace les autres langues et cultures » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui alimente de nombreux débats. Aujourd’hui, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux sur l’impact de l’anglais sur les langues nationales. En s’imposant en langue universelle, il détruit la diversité culturelle. A preuve, nous avons des chinois avec des noms anglais , qui ne savent même plus parler le cantonais. Cependant, je pense que l’anglais n’est pas en mesure d’effacer les langues et les cultures, et je m’appuis sur ce qui suit. Tout d’abord, il ne faut pas confondre universalité et capacité à communiquer. L’anglais est la langue la plus utilisée dans le monde des affaires, notamment dans le commerce international , mais pour pouvoir communiquer aisément avec les gens il faut maitriser d’autres langues que l’anglais. Demander son chemin dans un village en Espagne par exemple peut être compliqué si on ne parle que anglais. Outre cela, la langue n’est pas le seul véhicule des cultures, il existe également les dialectes. Même si l’anglais est enseigné au même titre que la langue nationale dans de nombreux pays, et peut avoir une certaine influence sur leur culture, cette dernière est largement diffusée à travers les dialectes. C’est le cas de ma culture amazigh qui a été transmise de génération en génération à travers le dialecte kabyle. Enfin, l’expansion de plus en plus importante d’autres langues. L’anglais figure à la deuxième place des langues les plus parlées dans le monde, mais il est tallonné de près par plusieurs grandes langues tel l’arabe, l’espagnole et le français. Selon l’office national de statistique , le nombre de personnes maitrisant une autre langue que l’anglais autant que deuxième langue a significativement augmenté ces deux dernières années. En somme, c’est pour toutes ces raisons, que je persiste à croire que malgré son universalité, l’anglais n’a pas réussi à effacer les autres langues et encore moins les cultures. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

14- il est inutile de connaitre une autre langue que l’anglais »

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé «  il est inutile de connaitre une autre langue que l’anglais » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles sur ce sujet d’actualité qui alimente encore de nombreux débats. Aujourd’hui, nous parlons souvent dans les médias sur la prédominance de l’anglais dans le monde. Par son universalité, cette langue a réussi à s’imposer dans tous les domaines. Cependant, je pense que ne pas se limiter à l’anglais et parler plusieurs langues permettera d’améliorer notre potentiel, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, le plurilinguisme constitue la clef de la réussite professionnelle. Le critère linguistique fait la différence entre deux candidats dans tous les domaines. Parler plusieurs langues permet de garantir une belle carrière professionnelle. Lors des recrutements des multinationales par exemple, les polyglottes sont favorisés par rapport aux anglophones. Outre cela, apprendre les langues étrangères est le meilleur moyen de se cultiver et s’enrichir. En effet comprendre plusieurs langues nous donne accès à des cultures que nous n’aurions pas pu comprendre sans traduction, telles la music et la littérature. Enfin, être polyglotte permet de garder le cerveau agile et rapide. Il s’agit d’un exercice cérébral de tous les jours permettant de modifier la structure du cerveau afin de le rendre plus efficace. A cet égard une étude récente réalisée à l’université de médecine à Lyon affirme que parler plusieurs langues permet de lutter contre l’Alzheimer. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent l’importance du plurilinguisme. Je suis convaincue qu’il ne faut surtout pas se limiter à l’anglais afin de se démarquer. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

15-  les tâches ménagères sont réservées aux femmes »

Votre long article intitulé «  les tâches ménagères sont réservées aux femmes » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet d’actualité qui alimente de nombreux débats . Aujourd’hui, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux sur la répartition des tâches dans les foyers modernes. Les sociologues affirment que les hommes s’impliquent davantage dans le quotidien familial. Cependant, je pense que cette mission est essetiellement assuré par les femmes , et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, les femmes ont du male à déléguer. Malgré tous les efforts fournis par leurs conjoints, ces dernières estiment que ce n’est jamais bien fait ou du moins pas comme elles le souhaitent. A preuve , un sondage récent affirme que 80% des femmes ne supportent pas la manière dont leur conjoint fait le ménage. Outre cela, j’adhère à l’idée que les femmes ont intériorisé le rôle de maitresse de maison. Elles sont soucieuses d’être de bonnes mères et de créé un espace harmonieux à leurs enfants, par contre les hommes préfèrent se concentrer sur leur carrière professionnelle. Plus d’un tiers des femmes de ma communauté estiment qu’être femme au foyer est aussi épanouissant qu’un travail rémunéré. Enfin, le rôle de l’éducation dans le sexisme des tâches. On a tendance à solliciter davantage les filles pour les tâches domestiques que les garçons , et la transmission intergénérationnelle a fait en sorte que ces pratiques soient préservées. Selon l’office national des statistiques, seulement un garçon sur dix est sollicité pour les tâches ménagère par les parents.

Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent que malgré les efforts fournis par une certaine catégorie d’homme, à l’heure actuelle les tâches ménagères restent réservées aux femmes. Toujours fidèle à votre journal veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

16-  la lecture des romans est une perte de temps, il vaut mieux lire les journaux » Votre long article intitulé « la lecture des romans est une perte de temps, il vaut mieux lire les journaux », ainsi que les réactions d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement, je voudrais ici apporter quelques réflexions à ce sujet qui alimente de nombreux débats. Aujourd’hui, le mode de vie actuel a fait en sorte que les romans perdent leurs lecteurs, ces derniers se sont tournés vers les journaux . certains lecteur estiment que contrairement aux romans, les journaux leur permettent de s’enrichir sans perdre beaucoup de temps. Je trouve que cette vision est biaisée, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, les romans s’adressent à toutes les tranches d’âge, d’un enfant de 4 ans à un sénior de 90ans . ils permettent également de développer l’immagination et la créativité grâce à leur aspect fictif. A preuve, Les pédopsychiatres conseillent de faire lire les romans aux enfants dès leur jeune âge afin de développer leur faculté cognitive. Outre cela, contrairement aux journaux, les romans utilisent un vocabulaire avancé. Compte tenu de la diversité des romans qui existent ( policier, scientifique, fantastique),  Leur lecture nous amène à adopter de nouveaux mots, de nouvelles expressions. Selon une étude menée par des étudiants à l’université de Lyon, les lecteurs de romans ont un vocabulaire plus avancé que les autres lecteurs. Enfin, la lecture des romans est un excellent antistress. En raison des journées qu’on endure, nous avons tous besoin d’un petit moment échappatoire, lire un roman contribue largement à cela. A l’opposé les journaux nous ramènent toujours à la dure réalité. Selon des chercheurs britanniques , après six minutes de lecture, nous somme plongés dans un état d’apaisement avec la diminution de la tension musculaire et du rythme cardiaque. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent la particularité des romans. Je suis convaincue que les journaux n’arriveront jamais à les remplacer. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées. , 17- avec les films et les séries tv , la lecture reste moins importante » Votre long article intitulé «  avec les films et les séries TV, la lecture reste moins importante » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier , ainsi que les réactions d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je vooudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui alimente de nombreux débats. Aujourd’hui, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux sur l’impact négatif des films et séries tv sur la lecture. Certains lecteurs pensent que regarder un film est aussi enrichissant que lire un livre. Je trouve que cette idée est biaisée, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, les films résument l’histoire dans une projection de deux heures maximum, alors que les livres décrivent le déroulement des évènements dans leur moindre détail, préservant ainsi la magie de l’histoire. La « Saga Twilight » par exemple a perdu toute sa magie lors de son adaptation en film. Outre cela, la lecture nous permet de de développer notre vocabulaire. Contrairement aux films et séries tv qui utilisent un vocabulaire basique, les livres emploient un vocabulaire

avancé , nous permettant ainsi d’adopter de nouveaux mots et de nouvelles expressions. De par mon expérience personnelle, mon vocabulaire s’est nettement amélioré depuis que je me suis mise au bouquinage. Enfin, la lecture est un excellent antistress. Elle stimule le cerveau et augmente l’espérence de vie. A preuve, des chercheurs britanniques affirme que après six minute de lecture nous plongeons dans un état d’apaisement avec une baisse de la tension musculaire et du rythm cardiaque. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent mon point de vue. Je suis convaincue que le bouquinage est le meilleur moyen pour améliore le potontiel de la personne. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

18- les jeux vidéos développent la créativité des jeunes, on devrait les utiliser à l’école »

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé «  les jeux vidéos développent la créativité des jeunes, on devrait les utiliser à l’école » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles à ce sujet qui alimente de nombreux débats. De nos jours, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux sur les aspects positifs des jeux vidéo et leur impact sur les facultés cognitives des enfants. Les psychologues affirment que les jeux vidéos augmentent la capacité de mémorisation chez l’enfant. Cependant je pense que les points négatifs sont plus important que les points positifs, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, les jeux vidéos ont un aspect addictif. Ils captivent et capturent l’attention de l’enfant et finissent par l’isolé dans un monde virtuel. Une étude menée par des pédopsychiatres de l’hôpital saint Anne affirme que plus d’un enfant sur deux n’entend rien de ce qui se passe autour de lui quand il est face à sa console de jeux. Par ailleurs, ces jeux encouragent la passivité. Les enfants sont capable de rester sédentaire et grignoter pendant des heures devant leur console de jeux, développant ainsi un risque d’obésité. Une étude publier par l’office national des statistiques affirme que le taux d’obésité est nettement plus élevé chez les adeptes de jeux vidéo que chez les enfants qui se dépensent en jouant à l’extérieur. Enfin, l’inconvénient majeur des jeux vidéos est la violence. A force de jouer à ces jeux les enfants se familiarisent avec des images violentes et des messages virulents , et les reproduisent dans la vie réelle. « god of war » est un jeux vidéo qui encourage l’agressivité sous tous ses aspects. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui me laissent perplexe quant à l’introduction de ces jeux dans les écoles. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

19- l’uniforme scolaire doit être obligatoire »

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « l’uniforme scolaire doit être obligatoire » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement . Je voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats.

Aujourd’hui, nous parlons souvent dans les médias et les résaux sociaux de l’uniforme scolaire et son impact sur les écoliers. Pour certains, imposer une tenue vestimentaire aux jeunes, restreint l’expression de leur personnalité. Je trouve que cette idée est biaisée, et je tiens à vous résumer mon opinion qui s’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, j’adhère à l’idée que l’uniforme lutte contre les inégalité au niveau des établissements scolaires. Les classes sociales sont masquées, diminuant ansi le sentiment de jalousie et d’infériorité que certains élèves pauvres peuvent ressentir. Les psychologues affirment que l’uniforme a permis une meilleure intégration des élèves appartenant à une classe sociale inférieur. Outre cela, il crée un sentiment d’appartenance chez les écoliers. En reflétant l’identité de l’établissement, l’uniforme unis les élèves à l’extérieur de l’école. A preuve, lors des concours intellectuels entre écoles, on remarque une meilleure symbiose chez les élèves en uniforme. Enfin, l’uniforme lutte contre la violence. Du fait de l’image qu’il renvoie, il permet d’avoir un meilleur comportement de la part des écoliers, et favorise également un apprentissage de dicipline. Selon une étude récente, les incidents lié à la violence et l’harcélement scolair ont considérablement diminué depuis l’adoption de l’uniforme. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent l’importance de l’uniforme dans . Je suis convaincue que son adoption ne peut qu’être bénéfique pour les écoles et leurs élèves. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

20- les parents n’ont aucune autorité sur leurs enfants »

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « les parents n’ont aucune autorité sur leurs enfants » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. Aujourd’hui, les relations intergénérationnelles font souvent la une des journaux. Les parents ont toujours fait preuve d’autorité vis-à-vis de leurs enfants, ces derniers ne peuvent prendre ni discision, ni franchir un pas sans avoir leur accord. Avant l’âge adulte un enfant devera impérativement avoir l’aval de ses parents pour pouvoir voyager. Cependant, je trouve que la société moderne a fait en sorte que les modes d’éducations changent , et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, les jeunes parents veulent éviter les conflits. Motivés par le désir d’élever leurs enfants de façon respectueuse, ils finissent par leur donner le contrôle . A preuve, un sondage affirme que 70% des parents demandent au lieu d’exiger à leurs enfants. Outre cela, la priorité des parents d’aujourd’hui est que leurs enfants se sentent respectés , et entendus dès leur jeune âge. L’amour a fait en sorte qu’ils soient déterminés à ne pas élever leurs enfants comme ils l’ont été. D’ailleurs on donne désormais le droit aux enfants de piquer une crise afin d’apprendre à gérer leurs émotions. Enfin, les chefs de familles ont adopté une nouvelle méthode d’éducation bien loin de l’autorité de leurs ascendants. L’obéissance totale, autrefois louangée, est aujourd’hui perçue comme dépassée. Beaucoup de familles encouragent leurs enfants à exprimer librement leurs pensées. Les pédopsychiatres affirment qu’un enfants obéissant est de nature à se laisser faire. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent mon point de vue quant à l’évolution des méthodes d’éducations. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

21- la recherche spatiale aboutira un jour à des découvertes importantes »

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé «  la recherche spatiale aboutira un jour à des découvertes importantes » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs ,m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. De nos jours, les retombées de la recherche spatiale font souvent la une des journaux. Des sommes colossales sont investies dans ce domaine, sans aucun résultat satisfaisant. Cependant, je trouve que ce domaine de recherche ne peut qu’ être bénéfique pour l’humanité, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord , la conquête spatiale s’est invitée de différentes manières dans nos vies. Les avancées technologiqus apportées par cette conquête nous servent aujourd’hui. A preuve, le GPS, la télévision, l’IRM , L’airbag, font partie intégrante de notre vie. Outre cela, la recherche spatiale permet de minimiser les risques de catastrophes naturelles et les crises humanitaires qui en découlent. L’observation de la terre qui fait appel à des images satellites, permet de détecter et de suivre les risques des aléas naturels, et de mesurer leur vulnérabilité. D’ailleurs la précision des conditions météorologiques en 2017 a permis de gérer les évacuations et sauver des vies durant la saison des ouragans dans l’Atlantique. Enfin, les ressources sur terre sont limitées et la population ne cesse d’augmenter ,on a donc besoin d’un plan B afin de sauver l’humanité. La recherche spatiale permet d’explorer de nouvelles planètes susceptible de nous accueillir si la vie sera anéantie sur notre planète d’origine. Des missions de la NAZA indiquent que des ressources peuvent être minées à partir de régolithe afin de développer un habitat durable sur la lune. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent l’importance de l’exploration spatiale. Je suis convaincue que en relevant ce défi nous améliorerons nos connaissance et notre technologie. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

22-  la télévision source d’appauvrissement intellectuel »

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé «  la télévision source d’appauvrissement intellectuel » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. Aujourd’hui, nous parlons souvent dans les médias et réseaux sociaux de l’impact négatif de la télévision sur les facultés cognitives de la personne. Captivé, le téléspectateur passe des heures devant la télévision, mettant ainsi en péril son esprit critique. Il a été prouvé que les gens qui passent des heures devant la TV avaient les mêmes idées que les chaines suivies. Cependant, je trouve que par les différents programmes qu’elle propose , la télévision pourrait être un excellent moyen d’enrichissement intellectuel, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, la TV est une fenêtre qui nous permet de s’ouvrir sur le monde. Elle nous permet de voyager virtuellement à travers le monde afin de . L’émission « le tour du monde diffusée sur TF1 nous fait découvrir les coutumes et les traditions des autres pays. Outre cela, la télévision constitue un excellent moyen permettant d’acquérir des connaissances dans différents domaines. Compte tenu de la diversité des programmes qu’elle propose, la TV nous permet de développer notre culture générale. De par mon expérience personnelle , la chaine TV Ushuaia m’a permis d’enrichir mes connaissances dans le domaine écologique.

Enfin, la TV est une sorte de catalyseur qui incite les gens à la lecture. En regardant un documentaire, le téléspectateur aura l’appétit d’approfondir ses informations sur l’édit sujet. A cet égard, un article scientifique récent a souligné le rôle prépondérant de la télévision dans l’enrichissement culturel de l’individu. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent mon point de vue quant au rôle de la TV dans le développent culturel de la personne. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

23-  avec le tourisme tous les pays se ressemblent »

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé «  avec le tourisme tous les pays se ressemblent » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. De nos jours, les agences de voyages proposent des formules standard quelque soit le pays en question, masquant ainsi les cultures et les traditions qui font la typicité de ces derniers. A preuve, aujourd’hui voyager en Afrique ou en Europe demeure presque identique vu la ressemblance des formules proposées. Cependant, je pense que les points de divergence entre les pays sont plus fort qu’il en a l’aire, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, il ne faut pas confondre entre tourisme cmmercial et tourisme culturel et naturel. Même si on retrouve les mêmes chaines d’hôtels et les mêmes enseignes de commerces dans différents pays, la culture et les payasages diffèrent d’un pays à un autre et c’est ce qui les rends uniqueS. D’ailleurs, je cherche toujours à découvrir les traditions et les payasages des pays que je visite, car je trouve que c’est ce qui fait leur âme. Outre cela, l’avènement d’une nouvelle culture de tourisme. Le tourisme pour cause , ce type de tourisme est tributaire d’une cause précise. Une grande majorité de personnes voyagent afin d’accomplir un devoire, souvent dicté par une cause écologique, économique ou religieuse. A preuve, le brésil est visité chaque année par des milliers de VERT, ce sont des écologistes qui se déplacent pour lutter contre la déforestation de l’Amazone. Enfin, l’expérience humaine qu’on pourrait vivre en séjournant dans un pays est unique. Les rencontres inopinées font que l’escapade ait un charme spécial et surtout des souvenirs immortels. Une étude récente affirme que plus de 50% des touristes qui visitent un pays dont ils sont tombés amoureux, décident de s’y installer Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent les points qui font que chaque pays soit complètement différent d’un autre. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

24- il faut interdir les portables à l’école »

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « il faut interdir les portables à l’école » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent tellement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. Aujourd’hui, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux sur l’importance de l’intoduction des téléphones portables dans les écoles. Avec l’apparition des livres numériques, les portables donnent la possibilité aux élèves d’avoir tous les livres dont ils ont besoin en poche, évitant ainsi de les transporter chaque matin. Cependant, je pense que l’impact négatif des téléphones sur les écoliers est plus fort qu’il en a l’air, et je m’appuie sur ce qui suit . Tout d’abord, les téléphones portables encouragent l’harcèlement scolaire et la violence. Certains élèves s’amusent à filmer l’agression physique de leurs camarades et la diffuser sur

le net, induisant ainsi des troubles psychiques chez les victimes. D’ailleurs, les téléphones portables sont désormais interdit dans les écoles à Moutier à cause de ce genre d’incidents. Outre cela, les Smartphones encouragent la tricherie. La facilité d’utilisation des téléphones intelligents ainsi que leur capacité de stockage facilitent davantage le copiage. Selon l’office national des statistiques, plus de 59% des lycéens ont triché au moins une fois durant leur scolarité grâce aux Smartphones . Enfin, les portables sont une source de distraction. Ils impliquent une baisse significative de l’attention et de la concentration, perturbant ainsi le déroulement normal du cours. Les pédopsychiatres affirment qu au contact des téléphones portables, les capacités cognitives des enfants sont fortement perturbées. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui me laissent perplexe quant à l’introduction des téléphones dans les écoles. J’incline à penser que ces derniers doivent être interdit dans les établissements scolaires afin de maintenir un environnement saint pour nos enfants. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

25-  les vingt ans sont les meilleures années »

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé «  les vingt ans sont les meilleures années » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. Aujourd’hui, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux sur le jeunisme et le refus de vieillir. Vouloir rester jeune, heureux et en bonne santé est une aspiration tout à fait légitime. Selon un sondage récent ,plus de 40% des personnes affirment qu’ils n’ont jamais été aussi heureux que durant leurs vingt ans. Cependant, je pense que cette phase de vie pourrait être la plus compliquée qu’il en a l’air , et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, les meilleures années dépendent du vécu de la personnes. En effet on doit faire face à plusieurs expériences dans notre vie, et chaque personne grandi et vieilli à son rythme. Un individu qui a vécu une guerre à vingtt ans, ne considère pas cette période comme étant la meilleure. Outre cela, durant cette période la majorité des jeunes sont dépendants financièrement. Ils continuent à vivre chez leurs parents, limitant ainsi leur liberté pour la prise des décisions, concernant le mode de vie, les achats et les loisirs. Les psychologues affirment que la majorité des jeune âgés entre 20 ET 26 ans sont complètement frustrés de ne pas pouvoir subvenir à leurs besoins. Enfin, à vingt ans les jeunes sont soucieux de leur avenir. C’est l’âge des choix, de l’autonomie et des premiers pats dans le monde adulte, C’est également la période ou le sentiment de solitude s’intensifie . A cet égard une étude récente affirme que plus de 60% des jeunes âgés entre 20 et 28 ans souffrent d’anxiété. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent mon point de vue. Je suis convaincue que l’âge est loin d’être un indicateur de bonheur. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

26-  il ya pas de différence entre les jeunes d’aujourd’hui et les générations précédentes » Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé «  il ya pas de différence entre les jeunes d’aujourd’hui et les générations précédentes » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi

que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. Aujourd’hui, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux des relations intergénérationnelles. Certains psychologues affirment qu’il existe une rupture entre les deux générations en raison du fossé qui s’est installé au fil du temps. A vrai dire cela ne me laisse pas indifférente , voilà pourquoi je tiens à étayer cette opinion. Tout d’abord, les conditions socio-économiques ont complètement changé. Engendrant ainsi un changement de comportement et par conséquent de style de vie. A l’époque un jeune de 24 ans devait être responsable d’un foyer, alors que de nos jours il se concentre plutôt sur sa carrière professionnelle. Outre cela, l’avènement des nouvelles technologies a complètement bouleversé nos habitudes. Nous empruntons un train de vie plus intelligent à l’aide des différents outils mis à notre disposition. Désormais la notion de frontières physiques a pris un autre sens, c’est pourqoi nos relations et liaisons peuvent paraitre virtuelles pour l’ancienne génération. Enfin, la nouvelle génération est plus tolérante, et plus ouverte d’esprit que la génération précédente. Contrairement à l’époque de nos parents ou il y’avait pratiquement pas de mixité sociale, notre époque fait preuve de plus de civisme et de tolérance vis-à-vis des autres religions, et couleurs de peaux. A cet égard, une étude récente affirme que le taux d’incidents liés au racisme a significativement baissé ces dernières décennies. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent les différents points de divergence entre les deux générations. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

27-les jeunes n’accordent plus d’importance à la famille »

Votre long article intitulé « les jeunes n’accordent plus d’importance à la famille » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. Nous savons tous que le foyer familial a toujours été un endroit chaleureux ou tous les membres de la famille, quelque soit leur âge, se retrouvent dans un climat de sécurité et de respect. Cependant, je pense que le mode de vie actuel a eu un impact sur l’intérêt que porte les jeunes à leurs familles, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, les jeunes d’aujourd’hui cherchent la liberté et l’autonomie. Ils pensent dès leur jeune âge à quitter le cocon familial dans le but de s’imposer et de créer leur propre monde. D’ailleurs on dénombre de plus en plus de jeunes âgés entre 15 à 16 qui cherchent à s’émanciper afin de pouvoir vivre seule. Outre cela, l’influence de la technologie sur le comportement des jeunes. La digitalisation et l’attachement à l’internet sont parmi les facteurs qui ont contribué à la rupture avec la famille, les jeunes se voient rarement rassemblés avec leurs parents alors qu’ils passent des heures devant leurs téléphones. A cet égard une étude menée par l’école nationale de psychologie de Strasbourg, affirme que l’internet constitue un grand risque de rupture physico-émotionnelle avec la famille, au point que les jeunes n’accordent plus d’importance à leurs relations familiales. Enfin, l’obsession par la carrière professionnelle a complètement isolé les jeunes. En passant des heures interminables au travail ces derniers n’ont plus de temps à accorder à leur famille. A preuve, une étude récente démontre que la majorité des personnes ayant une belle carrière professionnelle vivent un échec sur le plan familial.

Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent l’ampleur de la barrière qui est entrain de se construire entre les jeunes et leurs familles. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

28-la vidéo surveillance n’éradique pas la criminalité »

Votre long article intitulé «  la vidéo surveillance n’éradique pas la criminalité » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. Présente partout, la vidéosurveillance est de pratique courante de nos jours. Il est vrai que la caméra dans les lieux public est un moyen sur et bien éprouvé de contrôler Les petits délits. Plus de 30 agresseurs ont été arrétés grâce aux caméras de surveillances l’année dernière à Lyon. Cependant, je pense que son efficacité reste discutable, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, le manque de vigilance dans la vérification des caméras de surveillances. En passant des heures à analyser les caméras, les agents ont tendance à lâcher prise. A preuve, le bilan dressé par la police de Paris l’année dernière affirme que sur 2000 actes de délinquances il n’ya eu que 200 arrestations grâce à la vidéosurveillance. Outre cela, on souligne la mauvaise qualité des caméras de surveillance. En effet, sur quatre caméras, trois ne disposent pas de zoom, compliquant ainsi le processus d’identification. D’ailleurs, l’identification des plaques d’immatriculation des délinquants en fuite demeure impossible. Enfin, avec l’avènement de la vidéosurveillance il ya eu un effet de déplacement de la criminalité. La présence de caméras de surveillances dans les rues ne diminue pas la délinquance et les autres formes de criminalités, elle les déplacent seulement vers les zones non surveillés. A cet égard, une étude menée par l’office national des statistiques démontre que le taux de criminalité a baissé de 2% dans les zones surveillés, contre une augmentation de 9% dans les zones non surveillés. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent mon recul à l’égard de cet objet œil espion, tout bien considéré, je suis convaincue qu’il n’est pas le bon procédé pour éradiquer la criminalité. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

29- donner de l’argent de poche aux adolescents est un mauvais service qu’on leur rend »

Monsieur le rédacteur en chef Votre article intitulé « donner de l’argent de poche aux adolescents est un mauvais service qu’on leur rend » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions at avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. De nos jours, certains parents ne veulent pas donner de l’argent de poche à leurs enfants de façon régulière pour ne pas les habituer à recevoir de l’argent sans fournir l’effort de l’obtenir. Selon eux l’argent doit se gagner, c’est le fruit d’un effort. Cependant, je trouve que cette vision est biaisée, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, j’adhère à l’idée que donner de l’argent de poche aux adolescents est un moyen éducatif. C’est un premier pas vers l’autonomie, car il incombe à l’enfant de gérer seul son argent même si celui-ci est maigre, Lui permettant ainsi de gagner en maturité. Il peut par exemple acheter des jeux vidéos sans demander à ses parents.

Outre cela, donner de l’argent de poche aux adolescents est une manière de les aider à réfléchir sur leurs rapports à l’argent. Par ce geste on les incite à faire des choix et à comprendre concrètement la notion d’épargne dans le temps. De par mon expérience personnelle, mon fils épargne pendant des mois pour pouvoir se permettre un diné avec ses amis. Enfin, le versement d’une allocation régulière renforce la relation de confiance entre parents et adolescents pendant cette phase critique. L’adolescence est la période la plus difficile pour les parents et les adolescents, en accordant un revenu mensuel, les parents réussissent à minimiser les confrontations tendus. A cet égard, une étude récente affirme que les adolescents qui bénéficient d’argent de poche font preuve de plus d’indulgence envers leurs parents. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent l’impact de l’argent de poche sur les adolescents. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

30- il faut interdir aux jeunes de moins de 10 ans de regarder la TV »

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé «  il faut interdir aux jeunes de moins de 10 ans de regarder la TV » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. De nos jours, nous parlons souvent dans les médias sur l’influence positive de la télévision sur les enfants. Certains parents l’utilisent comme un catalyseur afin d’inciter leurs enfants à la lecture. Cependant, je pense que la TV a un impact néfaste sur le bon développement de l’enfant, et je m’appuie sur ce qui suit . Tout d’abord, la télévision appauvrit l’imagination et la créativité de l’enfant. A cet âge la capacité d’assimilation est à son maximum, il serait donc plus judicieux de passer ce temps perdu devant la TV à faire du sport, du dessein ou encore de la music, qui contrairement à la télévision contribuent à améliorer le potentiel de l’enfant. A preuve, une étude récente affirme que les enfants qui pratiquent du sport ont de meilleurs résultats scolaires que c’eux qui n’ont font pas. Outre cela, le comportement des enfants est fortement influencé par la télévision. Les enfants sont exposés à un amas d’informations non adaptés à leurs âge, les images violentes et messages virulents risquent de rendre l’enfant agressif dans ses gestes et paroles. D’ailleurs, l’entité régulatrice de l’audiovisuelle a installé des restrictions de visualisation depuis quelques années, le fameux (-10 ans). Enfin, la télévision constitue un réel danger sur la santé des enfants, elle les rend passifs. Ces derniers ont tendance à passer des heures sans bouger et à grignoter devant la TV, risquant ainsi de développer une obésité qui peut induire de sérieux problèmes cardiovasculaires. A cet égard, une étude menée par l’université de médecine à Toulouse affirme que 70% des cardiopathes ont souffert d’un problème d’obésité à leur jeune âge. Autant d’élément, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent le danger que représente la TV sur nos enfants. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

31- les enfants apprennent plus sur internet qu’à l’école »

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « les enfants apprennent plus sur internet qu’à l’école » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. L’évolution technologique a fait en sorte que les enfants aient un accès instantané à l’information ,ce qui se répercute positivement sur leurs résultats scolaires. Une étude menée par l’office national des statistiques affirme que les résultats des élèves en science naturelle a augmenté de 35% depuis l’avènement d’internet. Cependant je pense que l’enseignement via internet n’est pas adapté à leur âge ,et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, contrairement à l’école qui est un milieux adéquat au développement de l’enfant, le monde d’internet peut être très dangereux pour nos petits. Cette boite noire contient pleins de bonnes et de mauvaises informations ; or un enfant n’est pas en mesure de trier ce tas d’informations, risquant ainsi de consulter des contenus non adapté à son âge. D’ailleurs les statistiques ont montré que cette technologie a accentué le taux de délinquance juvénile. Outre cela, l’apprentissage via internet pourrait être inefficace. Les enfants sont beaucoup trop jeunes pour avoir le sens de responsabilité et d’autodiscipline, ils pourraient perdre leur temps à surfer sur les réseaux sociaux aulieu de s’appliquer sur leurs cours. De par mon expérience personnelle autant que maman de deux enfants, lors du dernier confinement mes enfants avaient beaucoup de mal à se concentrer sur leurs cours via internet. Enfin, l’internet a un effet désastreux sur le cerveau de nos enfants. L’exposition prolongée des écoliers aux écrans pourrait leur causer des problèmes d’insomnies et d’isolement social pouvant mener à l’échec scolaire. Les pédopsychiatres affirment que l’exposition prolongée des enfants aux écrans a un effet à court et à long terme sur leur comportement. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui me laisse perplexe quant à l’enseignement via internet. Je suis convaincue que les méthodes d’apprentissage traditionnelles sont mieux adaptées à nos petits, et je ne peux que les applaudir. Toujours fidèle à votre journal veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

32- les voyages en solitaire c’est plus amusant »

Monsieur le directeur en chef Votre long article intitulé « les voyages en solitaire c’est plus amusant » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. De nos jours, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux des voyages en groupe. Certains lecteurs pensent que les voyages organisés sont l’unique moyen de profiter de ses vacances au maximum. je trouve que cette vision est biaisée , et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, les voyages en solitaire nous procurent plus de liberté. Nous avons la possibilité de programmer notre séjour à notre rythme, sans avoir à suivre un programme établi par une agence ou par les personnes qui nous accompagnent. Par exemple, se lever quand on veut, visiter ce qu’on veut, et rester plus longtemps dans un endroit qu’on apprécie. Outre cela, être seule lors d’un voyage nous permet de forger notre personnalité. On apprend à être autonome et à ne compter que sur soi, c’est également un moyen pour régénérer son âme. D’ailleurs plusieurs écrivains affirment que leurs plus grandes inspirations ont eu lieu lors des voyages en solitaire. Enfin, les voyages en solitaire augmentent la possibilité de faire de nouvelles rencontres, des rencontres avec les locaux, et également avec les groupes de touristes. En étant seule on dispose de plus de temps libre, et on a tendance à aller vers les gens. A cet égard, le bloggeur voyageur Julien, témoigne avoir rencontré sa femme Belge lors d’un voyage en solitaire en Inde. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent mon penchant pour les voyages en solitaire. Je suis convaincue qu’il s’agit d’une expérience de vie exceptionnelle. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

33- une ville moderne ou les magasins ne ferment pas »

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « une ville moderne ou les boutiques ne ferment pas » paru à la une de votre journal le premier septembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats.De nos jours, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux des villes qui ne dort pas. Cette nouvelle mode constitue un excellent investissement touristique . D’ailleurs les villes telles Tokyo et New York font partie des villes les plus visités dans le monde. Cependant, je pense que la question doit être traitée autrement en raison des circonstances actuelles, et je vous résume mon opinion à travers ces trois arguments.Tout d’abord, L’avènement du e-commerce concurrence fortement les magasins. Cette nouvelle technologie propose l’achat à tout moment par un simple clic avec une livraison inclus. L’office national des statistiques affirme que le taux de conversion du commerce traditionnel au e-commerce ne cesse de croitre.Outre cela, notre conjoncture actuelle ne nous permet pas d’accentuer la consommation des énergies fossiles. Une ville qui ne dort pas est une ville qui consomme deux fois voire trois fois plus d’électricité qu’une ville ordinaire . Or nous luttons actuellement à réduire le plus possible l’empreinte carbone de nos métropoles. A preuve, Tokyo ne cesse de construire des centrales électriques pour maintenir l’équilibre des commerces nocturnes au détriment de la préservation des écosystèmes.Enfin, faire travailler les employés la nuit contribue fortement à l’expansion du phénomène de désocialisation. Plusieurs familles souffrent du mode de vie que nous empruntons, le surmenage et l’hyperactivité ont fait en sorte qua les familles soient

moins disponible pour leurs enfants. Les pédopsychiatre affirment que plus de 50% des enfants qui présentent des troubles psychiques, souffrent de l’absence permanente de leurs parents. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui me laissent perplexe quant à l’ouverture permanente des magasins. Je suis convaincue qu’il serait plus judicieux d’investir dans le domaine écologique afin de préserver notre planète. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

34- nous devons changer nos comportements alimentaires » Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé «  nous devons changer nos comportements alimentaires » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles à ce sujet d’actualité qui alimente encore de nombreux débats. De nos jours, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux sur les nouveaux modes de consommations de notre société . La conjoncture actuelle a fait en sorte que les gens consomment excessivement sans se soucier de notre environnement. Cependant je pense qu’une prise de conscience est vitale afin de péserver notre planète, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, la consommation excessive des viandes implique la pollution de l’air. En consommant plus de légumes et de fruits et moins de viande, on diminue le nombre des élevages et par conséquent le taux du gaz méthane dégagé par les animaux d’élevages. A preuve, le taux de pollution en Floride est très important à cause de la concentaration élevé des élevages dans cette région. Outre cela, la grande agression que subit notre planète est tributaire du nouveau mode d’agriculture qui a empoisonné la terre. La consommation des produits or saison implique la pratique d’agriculture conventionnelle qui fait appel aux pesticides at aux produits chimiques. Nous devons donc agir contre ce courant afin de minimiser les dégats. Le BIO est considéré actuellement comme étant l’argument imparables des activistes Verts qui luttent pour un environnement sain et dépollué. Enfin, la production de certains produits agroalimentaires a un effet néfaste sur notre écosystème. La vérification des étiquettes et de la provenance des produits qu’on consomme doit être systématique pour ne pas contribuer à la destruction de notre planète. La production de l’huile de palm qui est un composant de 80% des produits agroalimentaires, implique une large déforestation ainsi que la disparition de plusieurs espèces rares telles les orangesoutanas. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent la gravité de la situation actuelle. Je suis convaincue que le changement des comportements alimentaires aura des répercutions positives sur notre planète. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

35- le plus important c’est la vie professionnelle »

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « le plus important c’est la vie professionnelle » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats.

De nos jours, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux de l’importance de la carrière professionnelle. Notre conjoncture actuelle a fait en sorte que la réussite professionnelle soit une priorité. Pour certains réussir professionnellement est synonyme d’accomplissement de soi. Cependant, je pense que cette vision est biaisée , et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, j’estime que l’équilibre entre la vie professionnelle et la vie privée est important pour entretenir une vie saine et heureuse. En se focalisant sur le plan professionnel, on a tendance à négliger la vie de famille. A preuve, de nos jours beaucoup d’enfants se plaignent de l’absence permanente de leurs parents. Outre cela, réussir professionnellement implique des sacrifices. Les personnes ayant la carrière professionnelle comme priorité passent beaucoup de temps à travailler afin de gravir les échelons. Ecartant ainsi les petits plaisirs de la vie tels les voyages et les sorties entre amis. Il a été prouvé que la majorité des personnes qui réussissent professionnellement vivent un échec sur le plan social. Enfin, l’acharnement professionnel nuit à la santé. En passant des heures interminables à travailler, on se prive de dormir suffisament, de manger sainement et de faire du sport régulièrement, ce qui engendre de sérieux problèmes de santé tels le surpoids, l’hypertension et le diabète. A cet égard une étude menée par des professeurs de l’université de médecine à Toulouse , affirme que 70% des fonctionnaires buralistes souffrent de maladies métaboliques par manque d’activité physique. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui me laissent perplexe quant à l’importance accordée à la vie professionnelle. Je suis convaincue que cette dernière n’est qu’un fragment de la vie d’un individu, il suffit de trouver le bon équilibre pour être heureux. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter mes salutations les plus distinguées.

36- dans le monde moderne de compétition, les gens sont devenus moins solidaire »

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « dans le monde moderne de compétition, les gens sont devenus moins solidaire » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet d’actualité qui alimente encore de nombreux débats. De nos jours, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux sur le mode de vie actuel et ses répercutions sur nos comportements. Certains lecteurs, pensent que la compétition est un moyen permettant d’améliorer le potentiel de l’individu . Je pense que cette vision est biaisée , et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, je trouve que la compétition est souvent liée à l’égoisme. La conjoncture actuelle a engendré l’intérêt abusif de soi. Les gens ne prennent plus en considération ni les sentiments ni les réactions des autres tout ce qui compte pour eux c’est de réussir. A pReuve, de nos jours La rivalité entre les mannequins va jusqu’à l’agression physique. Outre cela, l’appat de gain est un facteur irradiant l’altruisme. En ne s’intéressant qu’à gagner plus , on néglige les conséquences que nos actes peuvent avoir sur autrui. Les industries pharmaceutiques ne manifestent que peu d’intérêt à la santé des gens, le plus important c’est l’argent. Par conséquent, ils produisent des médicaments qui nous gardent en vie mais malades. Enfin, les enjeux sont si importants que l’égoisme est devenu un instinct de survie dans le milieu professionnel. En effet, les salariés n’hésitent pas à utiliser des pratiques dépourvus de toute éthique afin d’accéder à des postes et des privilèges. A cet égard, une étude menée par l’office national des statistiques affirme que 70% des employés n’hésitent pas à dénigrer leurs collègues afin de gravir les échelons. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent les conséquences de la compétition sur nos comportements. Je suis convaincue que c’est notre désir insatiable de supériorité qui a rendu la compétition déstructive entre nous. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

37-l’intérêt de la sieste au travail »

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « l’intérêt de la sieste au travail » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et vis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles à ce sujet d’actualité qui alimente encore de nombreux débats. Aujourd’hui, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux sur l’importance d’une sieste pour les employés. Pour certains lecteurs, le rythme actuel imposé par la plus part des entreprises ne laisse pas de place pour la sieste. Cependant, je pense que cette dernière présente plusieurs bienfaits sur les performances des employés, et je m’appuie sur se qui suit. Tout d’abord, la sieste maintien la confiance employeurs-employés. Elle démontre aux employés que leur bien-être est important. Ces derniers voudront rester fidèle, et seront plus productifs car ils savent qu’ils évoluent dans un environnement sain. A preuve, Nike et Google disposent d’un espace de détente et accordent une sieste à leurs employés. Outre cela, la sieste permet de préserver la santé des employés. Elle lutte contre le stress, les risques cardiaques et la dépression. Il s’agit d’un besoin biologique contre lequel on ne devrait pas lutter. Dans certains pays comme le Japon et la Chine, la sieste au travail est un droit qui fait partie de leur constitution.

Enfin, , la sieste permet au travailleur d’être plus productifs. Elle améliore la mémoire, accroit la créativité et augmente la vigilance. Un employé reposé ne penserait pas à dormir et serait davantage présent pour ses missions. A cet égard, la Naza a affirmé qu’une micro sieste permet d’augmenter la concentration et la production des salariés de 35% . Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent l’importance de la sieste au travail. Je suis convaincue que son adaptation jouera en faveur des entreprises. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

38-on ne se fie que lorsqu’on achète des courses de grandes marques »

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « on ne se fie que lorsqu’on achète des courses de grandes marques » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet d’actualité qui alimente encore de nombreux débats. Aujourd’hui, on parle beaucoup de l’équilibre entre les entreprises locales et les géants de la grande distribution. Selon certains médias, les grandes marques demeurent des incontournables des grandes surfaces. Je crois que cette vision est biaisée, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, les grandes marques subissent actuellement des compagnes de boycottes de plus en plus intenses. En effet, en quête de rentabilité plusieurs entreprises multinationales délocalisent leurs usines afin de réduire au maximum le cout de la production. Certains utilisent des méthodes peu orthodoxes pour atteindre leurs objectifs en employant des enfants. Ceci engendre chez le consommateur un sentiment de culpabilité qui se traduit par une abstinence d’achats. Outre cela, nous préférons acheter des produits locaux afin de soutenir notre économie. Avec les nouvelles mesures prisent par le gouvernement, nos agriculteurs trouvent leur compte et les effets de libéralisme aveugle commencent à se réduire. Le meilleur exemple réside sur l’essor que connait actuellement le marché de légumes Bio. enfin, nous remarquons la naissance d’une nouvelle culture chez les consommateurs. Celle-ci les rend plus sélectifs. Ainsi, ils font attention à l’empreinte carbone quand ils font leurs achats. A cet égard, une étude menée par le centre national des statistiques affirme que la vente des produits qui consomment moins d’énergie a augmenté de 75% . De plus elles appartiennent à des marques peu connues. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent mon point de vue quant à la fiabilité des grandes marques. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

39-zéro déchets zéro gaspillage»

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « zéro déchets zéro gaspillage» paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. Aujourd’hui, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux sur les nouveaux modes de consommations. Certains lecteurs, pensent que les dégats subient par notre environnement sont irréversibles. Je pense que cette vision est biaisée, et je m’appuie sur ce qui suit Tout d’abord, nous devons rationaliser notre consommation afin de diminuer le taux de gaspillage. En effet, nous avons tendance à acheter plus que ce qu’il en faut surtout en matière

de denrées alimentaires qui représentent le taux le plus élevé de gaspillage. . Plusieurs blogs anti-gaspi voient le jour afin de cuisiner les restes au quotidien. Outre cela, limiter les emballages pour réduire les déchets alimentaires. Il est possible de faire un geste pour l’environnement en achetons des produits sans ou avec très peu d’emballages. Aussi privilégier les sacs régis aux sacs en plastiques. Les écologistes appellent à la favorisation des sacs réutilisables et des produits en vrac afin de limiter au maximum les déchets. Enfin, consommons responsable en favorisant les produits d’occasion. En achetant et en réutilisant des produits qui sont encore en état de marche, l’impact environnemental est énorme puisque l’on réduit considérablement nos déchets. D’ailleurs il existent plusieurs plateformes sur internet qui facilitent la commercialisation des produits d’occasions telles Tripoteur, Bon coin….. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent l’impact que nos gestes peuvent avoir sur l’environnement. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

40- la publicité influence sur le comportement de nos achats »

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « la publicité influence sur le comportement de nos achats » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. De nos jours, nous parlons souvent des contenus publicitaires qui nous interpellent par leur caractère créatif. Pour certains citoyen, ces spots occupent une grande place dans les journaus à grand tirage, influançant ainsi nos choix lorsque nous faison nos achats. A vrai dire ce sujet me tient à cœur, et j’aimerais vous expliquer mon opinion. Tout d’abord, la publicité est faite fondamentalement pour booster les ventes qui stagnent. En effet, c’est un véritable levier pour les responsables marketing. Elle est employée non seulement pour accroitre les recettes, mais aussi pour éviter le naufrage financier. A cet égard, une étude menée par l’office national des statistiques stipule que la publicité est à l’origine de 90% des achats impulsifs. Outre cela, les jeunes sont très souvent victimes de certains contenus publicitaires. Malheureusement, l’expansion de la commercialisation du tabac bat son plein. Les professionnels de ce secteur utilisent des artifices de plus en plus attirant afin de gagner une jeune clientèle. D’ailleurs, l’entité nationale de protection du consommateur ne cesse de tirer la sonnette d’alarme afin de canaliser le phénomène de tabagisme juvénile. Enfin, l’essor des technologies a fait en sorte que les publicités soient de plus en plus ciblés. Le contenu web est tracé, les industriels récupèrent automatiquement les cookies de nos recherches afin de nous proposer subtilement un produit susceptible de nous intéresser. Il est désormais courant de recevoir des notifications sur notre compte Facebook portant objet la vente d’un produit dont nous avons effectué la recherche auparavant. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent la face cachée de la publicité et son pouvoir à influencer nos achats. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

41- internet, mail, réseaux sociaux, le mélange entre vie privée et vie professionnelles est inévitable »

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « internet, mail, réseaux sociaux, le mélange entre vie privée et vie professionnelles est inévitable » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. De nos jours, nous avons tendance à confondre entre vie privée et vie professionnelle. l’essor des technologies a fait en sorte que la frontière entre les deux sphères s’estompe. Cependant, je pense qu’une bonne organisation permet d’éviter ce phénomène, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, la multitude des outils technologiques permet de differencier entre le professionnel et le personnel. En effet, on trouve sur le web des plateformes didiées par contenus permettant d’écarter la confusion entre les deux sphères. Facebook pour l’aspect personnel et viadeo pour le professionnel. Outre cela, une bonne organisation au quotidien permet d’assurer un équilibre entre les deux sphères. Il suffit d’adopter des pratiques simples afin d’être efficace au travail la journée et libre de tout engagement le soir. Ne pas gaspiller son temps à surfer sur les réseaux sociaux la journée permet de clôturer ses taches et être libre en soirée par exemple. Enfin, il revient à chacun de nous de garder une partie de sa vie privée et perofessionnelle en dehors de la sphère numérique. Cela évitera une complexité de gestion, et permettera de protéger nos proches, amis, collègues et nous même de toute intrusion extérieure. A preuve, l’hygiène numérique est adopté par une grande majorité de Québéquois. Autant d’éléments, Monsieurs le rédacteur en chef, qui expliquent les pratiques à adopter afin d’éviter toute confusion. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

42- avec internet la vie privée n’existe plus »

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « avec internet la vie privée n’existe plus » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. De nos jours, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux des pratiques à adopter afin de garder notre vies privée à l’écart de la sphère numérique. Certains lecteurs pensent que lhygiène numérique est susceptible de protéger leur vie privée. Je trouve que cette vision est biaisée, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, sur internet on ne peut rien contrôler. En effet, tout ce qu’on partage sur internet peut être récupéré par une autre personne et publié à nouveau. Ainsi rien n’est privé mais tout est public. Les photos de profil sur Facebook par exemple, peuvent être récupérées par n’importe quelle personne par une simple capture d’écran. Outre cela, les piratages et les usurpations d’identité sont des pratiques très courantes sur internet. Les hackers peuvent pirater des comptes et récupérer les informations permettant l’identification de l’individu pour les utiliser à des fins malveillantes. A preuve, la cybercriminalité affirme que plus de 30% des internautes ont été victime d’usurpation d’identité. Enfin, sur internet les données personnelles sont souvent utilisées à des fins commerciales. Les informations personnelles que nous saisissant sur le net, et les recherches que nous effectuant sont stockées et vendus à des industriels. Ces derniers les utilisent afin de nous proposer des produits susceptibles de nous intéresser. D’ailleurs, nous recevons souvent des

notifications sur facebook portant objet la vente d’un produit dont nous avons effectué la recherche auparavant. Autant d’éléments, monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent le danger que représente l’internet sur l’intimité des individus. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

43- avec l’ordinateur on a pas besoin d’apprendre l’écriture à la main aux enfants »

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « avec l’ordinateur on a pas besoin d’apprendre l’écriture à la main aux enfants » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. De nos jours, l’écriture à la main disparait au profil des nouvelles technologie. Certains individus pensent qu’il faut la bannir de nos écoles afin d’initier nos enfants à la dactylographie. Je trouve que cette vision est biaisée, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, l’écriture à la main offre plus de liberté et permet de s’approprier le contenu. Elle incite à faire un effort de synthèse puisque l’on peut pas tout noter , ce qui représente la première étape dans le processus d’apprentissage. Les pédopsychiatres affirment que l’écriture à la main permet d’organiser sa pensée de manière plus efficace que la dactylographie. Outre cela, ne pas apprendre l’écriture à la main aux enfants c’est ouvrir la porte à une extinction du savoir. En effet, l’évolution de l’histoire est basée sur l’écriture, il s’agit de la plus importante invention de l’humanité. Elle a permis de transmettre le savoir de génération en génération. D’ailleurs, en archéologie nous devons faire appel à des spécialistes afin de déchiffrer des manuscrits anciens. Enfin, l’écriture manuscrite est un exercice cérébral de tous les jours. Elle active des fonctions cérébrales telles la langue, la pensée et la mémorisation. Alors, si on apprend plus l’écriture à la main aux enfants, on appauvrit leur apprentissage. A cet égard, une étude menée par des neurologues à l’université de Toulouse affirme que l’écriture à la main facilite la mémorisation. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent les vertus de l’écriture manuscrite et son impact sur le processus d’apprentissage. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

44-l’internet met en danger l’avenir du livre »

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « l’internet met en danger l’avenir du livre » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet d’actualité qui alimente encore de nombreux débats . De nos jours, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux sur l’avenir du livre dans notre société hyperactive. Certains individus pensent qu’il est préférable d’adopter les livres numériques à la place des livres en papier. Je pense que cette vision est biaisée, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, contrairement aux livres numériques, les livres en papier ne sont tributaire d’aucun facteur. En effet, pour consulter un livre sur internet on a besoin de réseau et d’énergie avec le risque de se retrouver avec une batterie à plat. De par mon expérience personnelle, lors de mes voyages je préfère largement prendre un livre en papier , le tenir et le feuilleter à tous moment. Outre cela, la lecture numérique a des effets néfastes sur la santé des lecteurs. La lecture prolongée sur un écran a pour conséquence une fatigue oculaire et des migraines. D’ailleurs la majorité des ophtalmologues recommandent des livres papier à leurs patients. Enfin, contrairement aux livres, la fiabilité des informations disponible sur internet n’est pas garantie. Le contenu disponible sur le web n’est pas soumis à un contrôle. Ainsi on risque

d’être induit en erreur. A preuve, la mélatonine qui est un médicament toxique à forte dose , est présentée comme l’hormone miracle du sommeil sur internet. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent l’importance des livres. Je suis convaincue que ces derniers ne pourront jamais être remplacés. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

45- on devrait réintroduire les véhicules à traction animale »

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « on devrait réintroduire les véhicules à traction animale » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. De nos jours, nous luttons afin de réduire le plus possible l’empreinte carbone de nos métropoles. Certains individus pensent que la solution serait de limiter le taux des gaz à effet de serre émis par le transport, en réintroduisant les véhicules à traction animale. Je trouve que plusieurs autres paramètres doivent être pris en considération, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, réintroduire les véhicules à traction , c’est passer un trait sur tous les progrès effectués ces dernières décennies. En effet, plus une nation possède une plateforme logistique performante et des moyens de transports performants, plus son économie gagne en puissance. Ainsi, les entreprises et les usines risquent de mettre la clef sous la porte à cause des retards de livraisons des biens par exemple. Outre cela, adopter ce moyen de transport aura certainement un impact sur le société. Suite aux problèmes économiques engendrés par ce changement le taux de licenciement va doubler voire tripler, induisant ainsi une insuffisance de revenus et une régression du pouvoir d’achat. Par conséquent, l’adoption de ce changement aggravera les phénomènes sociaux tels la mendicité et la précarité. Enfin, l’impact sanitaire est considérable. Nos villes et nos rues ne sont pas équipées afin de subir ce changement, car cela implique une certaine organisation pour éviter une crise sanitaire. Il faudra penser à nourrir la bête, gérer ses excréments et mettre en place des étables. Dans l’absence des moyens d’adaptations nous risquons de se retrouver avec des déchets animaliers partout. Ainsi nous risquons d’être plongés rapidement dans une crise sanitaire semblable à c’elle du Covid19. Autant d’éléments, monsieur le rédacteur en chef, qui me laisse perplexe quant à l’introduction de ces véhicules dans nos villes. Je suis convaincue que cela ne va servir que pour des activités loisirs. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

46-aujourd’hui dans le domaine sportif c’est l’argent qui est le maitre »

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé «  aujourd’hui dans le domaine sportif c’est l’argent qui est le maitre » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. Aujourd’hui, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux de la noblesse du sport. Ce domaine véhicule plusieurs valeurs telles la tolérance, l’honnêteté, l’honneur et le courage. Cependant, je pense que le sport occulte une autre face cachée qui mérite d’être soulignée, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, des sommes exorbitantes sont déboursées pour le recrutement des sportifs. En effet, les clubs de football n’hésitent pas à débourser des montants colossaux , avoisinant parfois les réserves de change de tout un pays. Comme en témoigne le fameux transfert du joueur brésilien Neymar pour le Paris-Saint-Germin.

Outre cela, les agents sportifs n’hésitent pas à transformer leurs joueurs en produits marketing. Les marques exploitent les atlhètes sportifs qui deviennent des stars sur la scène publique afin de générer d’importantes retombées financières. David Beckam par exemple, compte à son compte d’indénombrables compagnes publicitaires ainsi que des galas et une marque de vêtement à son nom. Enfin, le point le plus important est la corruption dans le domaine sportif qui prive le sport de ses valeurs d’éthiques. Effectivement, les médias font souvent la une sur des affaires de matchs truqués et de malversations dans des tournois. Les enquêtes de la fédération intestinale football par exemple font souvent le point sur des affaires de corruption. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent l’ampleur des changements que ce domaine a subit. Je suis convaincue que le domaine sportif doit être encadré au plus vite au risque de le voir dépourvu de toute ses valeurs. Toujours fidèle à votre journal veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

47-les séniors et les jeunes n’ont plus rien à partager »

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « les séniors et les jeunes n’ont plus rien à partager » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. Aujourd’hui, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux sur les relations intergénérationnelles. Les jeunes peuvent toujours profiter de l’expérience des ainés afin de mieux avancer et éviter les échecs sur tous les plans de la vie. Cependant, je pense que les séniors sont de plus en plus susceptibles d’être marginalisés, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, l’état de santé des ainés les empêche de partager des activités ludiques avec les enfants. On déplore chaque jour l’état de nos EHPAD, la dureté de vie de l’ancienne génération a laissé des séquelles. A preuve, plus d’un tiers des personnes nées dans les années quarante et cinquante seraient actuellement atteintes d’une maladie chronique. Outre cela, les nouvelles technologies demeurent un mystère pour de nombreux séniors. Engendrant ainsi une barrière pour la communication intergénérationnelle. A cet égard, une étude menée par l’office national des statistiques affirme que seulement 20% des personnes agées entre 70 et 90 ans utilisent un téléphone intelligent. Enfin, le mode de vie des deux générations est complètement divergent. Les jeunes aiment voyager en dehors des sentiers battus. Ils préfèrent des destinations exotiques qui contrastent leur vie quotidienne. Or les ainés les voient comme des téméraires vu le nombre important de faits divers qui découlent de ce genre de voyage. Il est donc impossible pour un adolescent de planifier des vacances avec ses grands parents. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent l’ampleur de la rupture intergénérationnelle. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

48-on devrait imposer la gratuité des transports »

Votre article intitulé « on devrait imposer la gratuité des transports » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. De nos jours, plusieurs métropoles ont déjà instauré la gratuité des transports en commun. Certains individus pensent que cette initiative ne pourra qu’être bénéfique, car elle permettra de réduire l’utilisation des véhicules personnels très polluants. Cependant je trouve que cette vision est biaisée, et je m’appuie sur ce qui suit.

Tout d’abord, au niveau symbolique, la gratuité modifie l’image et le statu des lieux, elle les désacralise. En effet, la gratuité introduit un doute sur la valeur de l’offre «  ce qui est gratuit n’as peut-être pas de valeur », engendrant ainsi un désengagement de la part des voyageurs. A preuve, les transports gratuits de certaines villes ont des chaises démontées et desvitres cassées. Outre cela, la gratuité est associée à une affluence excessive de la population. Cela peut nuire à la qualité de l’expérience et des services : files d’attentes, bruit, manque d’espace, ainsi que le manque d’informations et les contraintes de planification des voyages. D’ailleurs les habitants de Chateauroux se plaignent souvent des retards excessives enregistrés par les transports publics. Enfin, la gratuité perturbe les sources de financement. Les recettes perçus des transports servent à les entretenir et à payer le personnel. Ainsi la gratuité induira la hausse des dépenses de la commune et l’augmentation du budget pour faire face à ces charges. A cet égard, une étude menée par l’office national des statistique affirme que le budget de la ville de Lyon a connu une hausse de 30% après l’instauration de la gratuité des transports. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent les inconvénients de la gratuité des services. Je suis convaincue que d’autres secteurs plus vital devraient être gratuit tels la santé et l’éducation. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

49-Les sites de rencontres

La conjoncture actuelle a fait en sorte que les rencontres se fassent essentiellement via internet. La majorité des personnes ayant un emploi du temps chargé ont réussit à trouver leur âme sœur grâce aux sites de rencontres. Cependant je pense que cette nouvelle technologie oculte une autre face caché et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, les plateformes de rencontres risquent d’accentuer un problème de phobie sociale. En effet, les personnes souffrant de ce problème choisissent la facilité, ils préfèrent parler derrière un écran et ne font plus l’effort d’aller vers les gens. S’isolant ainsi davantage dans leur zone de confort. La majorité des psychologues interdisent à leurs patients d’adhéré aux sites de rencontres. Outre cela, à cause de la gratuité du service, les relations humaines sont devenues jetables. En effet, ces sites créent un sentiment de détachement par rapport à autrui. Nous sommes devenus interchangeables et rapidement remplaçables, ce phénomène nous éloignent donc comme jamais. Une étude menée par l’office national des statistiques affirme que le taux de divorce chez les couples formés sur ces plateformes à dépassé les 50% . Enfin, il s’agit d’un marché virtuel basé sur des critères qui n’existent pas forcément dans la vie réelle. Effectivement, ces plateformes sont basées sur les apparences et non pas sur les qualités propres à la personne. Par conséquent, cet outil n’est pas performant pour trouver son âme sœur et ce à cause de sa superficialité. A Preuve, une étude menée par le HCP affirme que 60% des personnes inscrites sur ces sites depuis plus d’un ans sont encore célibataires. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui me laissent perplexe quant à l’impact de ces sites sur les relations humaines. Je suis convaincue que ces plateformes nuisent à la qualité des rencontres et la pérennité des couples. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

50- les séniors sont plus éduqués que les jeunes »

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « les séniors sont plus éduqués que les jeunes » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. De nos jours, les relations intergénérationnelles font souvent la une des médias. Certains lecteurs pensent que les parents cherchent à éduquer leurs enfants de la manière dont ils l’ont été, afin d’avoir une descendance avec des valeurs et des principes aussi fort que les leurs. Cependant, je trouve que la conjoncture actuelle a fait en sorte que les méthodes d’éducations soient complètement divergentes, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, nos ainés sont plus éduqués parce qu’ils ont bénéficié d’une éducation stricte, ou punitions et discipline étaient les seuls mots d’ordre. Alors que de nos jours, les jeunes adoptent une attitude de refus réclamant plus de liberté. L’obéissance totale est donc considérée comme étant d’un temps révolu . D’ailleurs, les jeunes parents demandent au lieu d’exiger à leurs enfants. Outre cela, l’individualisme et le changement des conditions socio-économiques ont engendré un changement de style de vie. Contrairement à nos parents qui étaient très attachés à leurs familles, les jeunes d’aujourd’hui sont égoistes et ne cherchent que leur propre intérêt. Une étude des nations unis affirme que 80% des jeunes d’aujourd’hui n’ont aucune relation avec leurs proches et entourages. Enfin, l’avènement de la technologie a eu un impact sur l’éducation des enfants. Ces derniers sont tellement captivés par leur écran qu’ils ne savent plus écouter. Engendrant ainsi des comportements négatifs tels la violence et l’insolence. A cet égard, une étude menée par des

sociologues à l’université de Paris affirme que les actes de violence chez les jeunes ont augmenté de 30% ces 10 dernières années. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent l’impact négatif de la modernisation sur l’éducation des enfants. Je suis convaincue que les méthodes d’éducations traditionnelles ont forgé une génération beaucoup plus éduquée que la notre. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

51- l’expérience de vie et des voyages vaut mieux que les diplômes 

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « l’expérience de vie et des voyages vaut mieux que les diplômes » paru à la une de votre journal, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. De nos jours, nous parlons souvent dans les médias de l’importance des diplômes dans l’acquisition du savoir et le savoir faire permettant d’obtenir une offre d’emplois valorisante et intégrer le marché du travail. Cependant, je pense que pour améliorer son savoir être, et acquérir d’autres compétences fondamentales afin de réussir dans la vie, les diplôme restent insuffisants, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, les voyages sont très important pour le développement personnel. En effet, ils permettent de tisser des relations avec des gens issus de différents pays, pratiquer différentes langues étrangères et assumer des discussions dans différents sujets renforçant ainsi la confiance en soi. De par mon expérience personnelle, malgré mon cursus universitaire radieux, seuls les voyages que j’ai effectué m’ont permis de forger ma personnalité. Outre cela, les voyages permettent de s’enrichir en découvrant les autres cultures et traditions. En visitant plusieurs pays on se frotte aux locaux et on immerge dans leur monde , cela permet de développer davantage notre culture générale. Mon voyage en Malaisie m’a permis de découvrir les différentes religions qui cohabitent dans se magnifique pays, l’islame, le bouddhisme….. Enfin, la découverte des différentes cultures et traditions nous apprend la tolérance et l’ouverture d’esprit. Ces caractéristiques ne s’apprennent pas à l’école ou à l’université, elles sont plutôt inculquées suite à la découverte des autres dans leur milieu natal. A cet égard une étude menée par des sociologues à l’université de Paris affirme que la nouvelle génération est beaucoup plus tolérante vis-à-vis des autres religions et couleurs de peaux que la précédente. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui me laissent perplexe quant à l’importance des diplômes. Je suis convaincue que ces derniers ne servent pas à grand chose si la personne reste cloisonnée dans sa coquille. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

52-vivement que les robots nous remplacent aux travail »

Votre long article intitulé «  vivement que les robots nous remplacent aux travail » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. De nos jours, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux sur la robotisation et son impact sur la société. Certains lecteurs pensent que cette technologie est susceptible de remédier aux erreurs humaines surtout dans le monde du travail. Cependant, je trouve que cette robotisation occulte une face caché qui mérite d’être interrogée, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, les machines risquent de nous mettre tous au chômage. En effet, l’impact des progrès dans le robotique et l’intelligence artificielle est plus visible sur le plan social. De plus en plus d’emplois autrefois réservés aux humains passent aujourd’hui entre les mains des robots. A preuve, chez Amazone, les machines représentent environ 20% de la force du travail. Outre cela, l’avènement des machines tueuses ou militaires représente un danger pour l’humanité. Ces robots existent déjà, mais les progrès vont contribuer à les doter de capacités exceptionnelles et les rendre autonomes. Leur utilisation risque donc de prendre de l’ampleur dans l’avenir. D’ailleurs, la police de Dallas a utilisé un robot tueur pour éliminer un criminel l’an dernier. Enfin, alors que la production des robots est en hausse au niveau mondial, il ya des risques de sécurité qui découlent de leur cohabitation avec les humains. Même si les comportements des robots sont anticipés par leurs créateurs, les dysfonctionnements ne sont pas impossibles. A cet égard, une étude menée par la Naza stipule que les avions sans pilotes peuvent être facilement piratés afin de ne plus répondre aux commandes. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent les enjeux de la robotisation et leur impact sur la société. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

53- les robots et la technologies vont tous nous mettre au chômage »

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « les robots et la technologies vont tous nous mettre au chômage »paru à la une de votre journal, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. De nos jours, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux de la robotisation et son impact sur la société. Certains lecteurs pensent que cette technologie risque de mettre en péril plusieurs postes d’emplois, accentuant ainsi le taux de chômage. Je trouve que cette vision est biaisée, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, la suppression de certains postes va de paire avec la création de nouveaux emplois. En effet, il s’agit d’une complémentarité et d’une redistribution du travail entre l’homme et la machine. Il revient à l’homme de concevoir des entraineurs, des vérificateurs, des éducateurs et des évaluateurs de machines. A preuve, le fameux robocop de Dubai a pour vocation d’informer les policiers, il ne se substitue pas à eux quand il s’agit d’effectuer des arrestations. Outre cela, la spécificité de certains emplois fait que la menace est moindre. Il ya une catégorie d’emploi qui ne sera guère menacée et ne pourra être automatisée ou robotisée compte tenu de leur particularité. Ainsi les psychanalystes, les dentistes, les athlètes et les ecrivains ne pourront être remplacés vu la qualité de leurs tâches.

Enfin, les machines ont pour but d’éradiquer la pénibilité et les accidents du travail. Cette technologie assure le bien-être des travailleurs en effectuant des tâches désagréables, pénibles et dangereuses. A cet égard, une étude menée par l’office national des statistiques affirme que le taux des accidents de travail a diminué de 30% depuis l’avènement des robots. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent l’impact de la robotisation sur l’emploi. Je suis convaincue que cette technologie est en mesure de simplifier la vie des travailleurs. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

54- les célibataires sont plus heureux que les mariés »

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « les célibataires sont plus heureux que les mariés » paru à la une de votre journal, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. De nos jours , nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux sur les vertus du célibats. Certains individus pensent qu’être célibataire nous procure plus de liberté afin de profiter de la vie au maximum. Cependant je trouve que cette idée est biaisée, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, le célibat induit la solitude et le risque d’isolement. En effet, il ya des moments dans la vie ou nous avons besoin d’une oreille attentive notamment le soir , afin de partager ses joies et ses peines après une journée épuisante. D’ailleurs, les psychanalystes affirme que le fait de rire, de dialoguer et de se faire câliner le soir contribue à se décharger de toutes les ondes négatives accumulées durant la journée. Outre cela, le mariage assure une sérénité intérieure. En effet, partager un lien solide à long terme avec un partenaire qu’on aura choisi modifie nos comportements et nos attitudes. A preuve, des professeurs de l’université de Chicago affirme que chez les mariés le taux de cortisol baissent considérablement ce qui les aides à gérer les facteurs de stress intérieur, ils ont le sentiment qu’à deux ils sont plus fort. Enfin, l’un des avantages et non des moindres dont se privent les célibataires est le bonheur d’avoir des enfants. Devenir parents est source d’allégresse, veiller à leur bonne éducation, leur apprendre des choses de la vie et les voir grandir sont autant de raison qui rendent la personne heureuse, de plus ce bonheur tend à s’affirmer au fil des années. De par mon expérience personnelle, je n’ai jamais éprouvé autant de bonheur que lorsque j’ai eu ma petite princesse. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui me laissent perplexe quant aux avantages du célibat, qui sont à mon sens ponctuels et délimités par le temps. Je suis convaincue que le conjoint et les enfants sont les meilleurs alliés d’une vie heureuse. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées. L’éthique du sport est profondément ébranlée

55- avec internet on peut tous faire même trouver des amis »

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « avec internet on peut tous faire même trouver des amis »paru à la une de votre journal, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. De nos jours, l’impact négatif d’internet sur notre société fait souvent la une des journaux. Certains lecteurs, pensent que cette technologie empêche les gens de développer des relations réelles en les emprisonnant dans un monde virtuel. Cependant, je trouve que cette vision est biaisée, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, l’internet a impacté positivement le monde du travail. En effet cette technologie est à l’origine du télétravail. Ce dernier a permis d’une part aux employés d’avoir plus de flexibilité et de concilier vie privée et vie professionnelle, et d’une autre part aux employeurs d’augmenter la productivité tout en diminuant le taux d’absentéisme. A preuve, malgré la fermeture des locaux qui a été imposée lors du confinement, les entreprises ont réussit à travailler normalement grâce au télétravail. Outre cela, l’internet constitue un excellent moyen pour la recherche de l’information et du savoir. En permettant un accès instantané aux informations, cette dernière a simplifié la vie des étudiants. Impactant ainsi positivement sur leurs résultats. Une étude menée par l’office national des statistiques affirme que les résultats des étudiants en science naturelle ont augmenté de 35% ces 10 dernières années. Enfin, ce réseau favorise la communication humaine.. Compte tenu des différentes applications qu’il propose, internet a été à l’origine de plusieurs relations amicales et amoureuses. A cet égard, une étude menée par des sociologues affirme que 45% des personnes souffrant de phobie sociale ont réussi à trouver leur âme sœur grâce à internet. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent l’impact positif d’internet sur notre société . Je suis convaincue que cette technologie a simplifié davantage notre quotidien professionnel et personnel. Toujours fidèle à votre journal , veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées. 56- les jeux vidéo développent la créativité des enfants  Suite à la lecture de l’article du 15/12/2020 apparu dans la rubrique « éducation » j’ai voulu réagir et prendre position. Je suis plus en moins d’accord avec l’auteur qui avance que les jeux vidéo développent la réactivité des enfants, et cela pour plusieurs raisons. Tout d’abord ; à nos jours, les jeux vidéo font partie de l’univers des enfants, en effet l’enfant peux renforcer certaines qualités et habilités par l’utilisation des jeux vidéo, selon le type de jeux choisi. Plusieurs spécialistes en ont d’ailleurs reconnu les bienfaits. Ensuite ; les jeux vidéo peuvent favoriser la création des liens avec d’autres à travers les jeux en ligne « jeux multi-joueurs » comme par exemple les jeux d’énigmes qui nécessitent un travail d’équipe et de la coopération Ensuite, certain de ses jeux vidéo développent les habilités utiles pour les matières scientifiques comme la logique et la vitesse de traitement d’information et les habilités visuelles et spatiales et même renforcer l’empathie Toutefois, il faut bien surveiller et encadrer l’utilisation des jeux vidéo car ils comportent des pièges qui peuvent nuire au développement et à la santé de l’enfant En somme, celle-ci sont les raisons pour lesquelles je pense que les jeux vidéo développent la créativité des enfants néanmoins quelques réserves. De plus j’aimerais bien connaitre l’opinion d’autres lecteurs, pour cela je vous prie monsieur de bien vouloir publier cette présente lettre come une contribution à ce débat. Veuillez agréer monsieur mes salutations distingués.

Lea robert

57-Génération selfie : les jeunes d'aujourd'hui ne s'intéressent qu'à leurs images :pour Objet : réaction à l’article du 15/12/2020 Suite à la lecture de l’article du 15/12/2020 apparu dans la rubrique « éducation » ; j’ai voulu réagir et prendre position. Je suis tout à fait d’accord avec l’auteur qui avance que les jeunes d’aujourd’hui ne s’intéressent qu’à leurs images.

Tout d’abord, l’avènement du selfie a permis de générer de nouveaux types d’emplois tels que: blogueurs, Youtubeurs ...etc. Toutefois, il ne cesse d’engendrer un certain nombre de phénomènes qui nuisent au bien-être de nos jeunes. En effet, depuis la création des réseaux sociaux, les jeunes éprouvent de plus en plus le besoin de véhiculer une image perfectionnée, ils modifient et éditent soigneusement chacune de leurs photos avant de la poster, dans le seul but de récolter le maximum de vues et/ou de commentaires. Par exemple, les chances de tomber sur un selfie d’un adolescent sans filtre, sont proches de zéro. De fait, les critères de popularités sont aujourd’hui liés directement à l’apparence physique mais aussi aux marques de vêtements portés. En effet, alors qu’autre fois une photo était simplement un moyen d’immortaliser un moment, aujourd’hui chaque détail compte. Selon un sondage réalisé auprès d’une centaine de jeunes âgés de 15 à 25 ans, 93% d’entre eux sont actifs sur au moins un réseau social, alimenté principalement par des selfies. Enfin, la banalisation de ce perfectionnisme social représente un danger effectif. En effet, cette obsession de vouloir véhiculer une image parfaite amène de plus en plus nos jeunes à vouloir changer leur apparence physique afin de répondre aux stéréotypes que leurs imposent les réseaux sociaux. Une étude récente a démontré que les personnes ayant recours à la chirurgie esthétique sont des sujets de plus en plus jeunes. Pour conclure, il est vrai que cette nouvelle génération accorde une importance démesurée à l’apparence physique, et c’est en grande partie le rôle des parents de protéger leurs enfants contre cette société du paraître, ou la perfection est devenue une culture. En somme, celle-ci sont les raisons pour lesquelles je pense que les jeunes d’aujourd’hui ne s’intéressent qu’à leur image. De plus, j’aimerais bien connaitre l’opinion d’autres lectures, Je vous prie monsieur de bien vouloir faire publier la présente lettre comme contribution à ce débat. Meilleurs salutations LEA ROBERT

58-"Dans 20 ans, les gens ne vont plus lire des livres, quelle drame pour l'humanité !" Suite à la lecture de l’article du 15/12/2020 publié dans la rubrique « NATURE » , j’ai voulu réagir prendre position . Je suis tout à fait d’accord avec l’auteur qui avance que dans 20 ans, les gens ne vont plus lire des livres. Tout d’abord, selon une enquête récente de l’institut national des statistiques, le temps consacré à la lecture e diminué de 30% en 30 ans. Les plus gros lecteurs seraient les retraités. Quant aux jeunes, ils préfèrent regarder des séries en streaming et des vidéos sur YouTube. L’information visuelle a donc un impact significatif sur les habitudes de lecture. Ensuite, l’internet offre aux consommateurs un choix incomparable de textes et d’informations en tout genre accessibles à un seul clic et gratuits la plupart du temps, en conséquence, plusieurs librairies ferment leur boutique et se tournent vers des plateformes de

commerce en ligne Forcé de s’adapter au nouveau marché, le livre traditionnel se reconvertit en versions numérique. Enfin, alors qu’on passe de plus en plus de temps sur l’ordinateur ou téléphone, on finit par reproduire les mêmes comportements dans la vie de tous les jours. En effet dans un monde du multitâche ou va vite, l’acte de lecture est forcément différent et par conséquent la lecture d’un livre traditionnel est devenu une tache imposable, voir même insurmontable. En somme, celle-ci les raisons pour lesquelles je pense que dans 20ans les gens ne vont plus lire des livres.

59-conquête de l’espace c’est l’avenir de l’homme’’

Monsieur, Je tiens tout d’abord à vous féliciter pour tous les efforts que vous et votre équipe fournissez pour toujours nous maintenir en haleine. En faite, j’aimerais donner mon avis au sujet du débat en cours cette semaine dans votre quotidien, je cite : ‘’ conquête de l’espace c’est l’avenir de l’homme’’. A ce sujet, je partage partiellement votre avis. Tout d’abord, l’homme à toujours voulu se surpasser en conquérant l’espace. C’est ainsi qu’il a pu découvrir qu’il y’avait de l’eau sur la planète Mars, mais aussi que la vie est possible sur cette même planète. Le faite qu’il y’a l’eau sur cette planète, aidera dans un futur lointain quand nos ressources en eau sur la planète Terre seront épuisée à nous approvisionner. Car une étude à montré qu’avec la fonte des glaciers au pôle Nord et le réchauffement climatique, les ressources en eau diminue de quelque nano pourcent chaque décennie. Ensuite, bien que la conquête de l’espace puisse être l’avenir de l’homme, l’on ne doit pas oublié que la planète bleue n’a pas encore été totalement conquise. Car le développement scientifique qui est l’un des piliers sur les quelles l’avenir de l’homme repose n’a pas encore totalement été exploré. Par exemple, c’est seulement en Décembre 2020 que les chercheurs ont finalement mis sur pied le vaccin à ARN pour lutter contre le Corona Virus. Enfin, l’avenir de l’homme repose sur le développement durable, car avant de conquérir l’espace il faudrait d’abord que nous protégeons notre maison qui est la planète Terre. Ceci en la préservant pour des générations futures. Par exemple, en vulgarisant les voitures électriques, qui contrairement au Biodiesel ne polluent pas la planète et ne risquent pas de détruire la couche d’ozone à travers son indice de Carbone élevé. En conclusion, il est tout évident que nous aurions besoin dans un avenir proche de conquérir l’espace pour nous approvisionner en eau par exemple, mais pour le moment nous devons nous concentrer sur notre planète. J’ose croire que mes avis ont retenus votre attention, toutefois je reste ouverte à toute critique de vos lecteurs. Tout en espérant une réponse de votre part, veuillez recevoir, Mr le Directeur de Publication, mes sincères salutations.

60- Il faut consommer moins de viande pour réduire notre impact sur la planète

Madame la rédactrice en chef, Je viens de lire votre article au sujet de notre consommation excessive de viande et je me permets de vous écrire pour vous afficher mon soutien total. Tout d’abord, et vous avez raison de le dire, il ne sera jamais possible de complètement interdire la viande aux Français. Les gens y sont habitués et cela fait partie de notre patrimoine et de notre culture. Cela aurait aussi des effets catastrophiques pour notre économie. Cependant, il est également vrai que l’élevage de masse porte une grosse responsabilité du réchauffement climatique que nous subissons actuellement. Bien que les chiffres varient beaucoup, ils indiquent tous qu’un futur plus pérenne serait possible si les gens faisaient attention à manger moins de viande dès à présent. Enfin, la modification de notre régime alimentaire est inévitable, que nous le voulions ou non, à cause de ces mêmes changements climatiques qui

nous attendent. Il est donc préférable que nous nous organisions de notre plein gré dès aujourd’hui, plutôt que sous la contrainte demain. Je pense donc comme vous qu’il est tout à fait nécessaire de diminuer notre dépendance à la viande aujourd’hui pour éviter des conséquences désastreuses demain. Je vous prie de croire, Madame, en mes sentiments distingués.

61- le voyage solitaire nous permet de profiter pleinement Objet : paru dans l’édition du 15/08/2020 Monsieur le rédacteur en chef, Fidèle lectrice de votre journal, je vous écris aujourd’hui afin d’étayer mon point de vue au sujet de votre article cité en objet et dans lequel vous avez mentionné que le voyage solitaire nous permet de profiter pleinement. En effet, partageant votre opinion à ce sujet et afin d’animer le débat, j’aimerais émettre quelques réflexions, notamment en ce qui concerne mon expérience personnelle. Partir en solo est une expérience unique et très enrichissante et je vous montre, monsieur, pourquoi. Tout d’abord, voyager seul nous offre la possibilité d’élargir le cercle de nos connaissances en toute liberté. En effet, cette aventure unique nous pousse à faire un pas vers les autres et à mieux les connaître. Ceci nous permettra ainsi de tisser de nouvelles relations d’amitié ; on pourra même rencontrer l’amour de notre vie. En revanche, partir accompagné nous rend réticent à entamer une discussion avec les étrangers. Personnellement, je ne peux qu’applaudir ce type d’aventure grâce auquel j’ai connu des gens formidable qui ont tellement marqué ma vie. De plus, voyager en solitaire nous permet de profiter de cette aventure unique à notre guise. Ainsi, on pourra établir un programme selon nos centres d’intérêts et nos envies ; on pourra aller là ou on veut et quand on veut sans la moindre restriction. Un seul mot d’ordre : s’amuser pleinement et profiter des merveilleuses découvertes que le monde peut nous offrir. Cependant, partir en compagnie nous oblige de suivre le programme du groupe ; un programme qui ne reflète pas forcément nos aspirations. D’ailleurs, mes voyages en solo étaient très bénéfiques afin de bien explorer le monde et visiter des lieux insolites qui resteront gravés dans ma mémoire à jamais. Enfin, il ne faut pas oublier que cette aventure mémorable constitue une réelle opportunité afin de grandir, mieux se connaitre et forger sa personnalité. En effet, l’individu se trouvait face à des situations inattendues grâce auxquelles il pourra exploiter d’autres facettes de sa personnalité. Or, mieux se connaître lui permet de faire un réel travail sur lui-même afin de devenir quelqu’un d’autre. Partir en voyage seul lui aidera ainsi à se déconnecter du monde et à se concentrer sur l’essentiel. Dans ce sillage, une étude scientifique récente, menée par des sociologues belges, a montré l’importance de cette aventure dans le développement personnel de l’individu. Personnellement, j’ai pu renforcer ma confiance en soi grâce à cette épreuve de la vie. Pour conclure, je persiste à croire que voyager en solo constitue une aventure très bénéfique et enrichissante afin profiter pleinement des voyages et d’élargir nos horizons. Cependant, il ne faut pas nier aussi que partir en compagnie nous permettra de passer des moments inoubliables et de partager le bonheur. Je comprends, néanmoins que d’autres ne sont pas du même avis que moi. Je serais donc ravie de vous voir publier un sondage à ce sujet. Veuillez croire, chère Monsieur, à mes sentiments cordiaux et respectueux.

62. c’est à vingt ans qu’on est les plus heureux

Objet : Réflexion au sujet de votre article paru dans l’édition du 15 juin dernier Monsieur le rédacteur en chef, Fidèle lectrice de votre journal depuis sa création, je tiens d’abord à vous féliciter quant aux sujets abordés, toujours aussi pertinents et attractifs. Par ailleurs, je vous écris aujourd’hui afin d’étayer mon point de vue au sujet de votre article cité en objet et dans lequel vous avez bien mentionné que c’est à vingt ans qu’on est les plus heureux. En effet,

partageant partiellement votre argumentation à ce sujet et afin d’animer le débat, je souhaiterais émettre quelques réflexions. Certes, à 20 ans, on est dans la phase intermédiaire entre l’enfance et l’âge adulte qui est caractérisée généralement par une certaine liberté et une joie de vivre qui nous permet de s’amuser pleinement et s’aventurer à notre guise sans la moindre contrainte. En effet, à cet âge, on a acquis notre indépendance sans pour autant avoir des responsabilités qui pèsent sur nous et qui paralysent la réalisation de nos rêves. Un seul mot d’ordre : s’amuser pleinement et profiter de toutes les découvertes merveilleuses que le monde peut nous offrir. Personnellement, je ne peux pas nier que mon 20ème anniversaire a marqué positivement ma vie et qu’à cette époque j’ai pu pleinement profiter de la vie en conciliant entre mes études universitaires et mes loisirs ce qui faisait de moi une personne équilibrée aujourd’hui. Néanmoins, j’estime que cette époque n’est pas toujours synonyme de bonheur et de joie et je vous montre Monsieur pourquoi. Tout d’abord, personne en peut nier que cet âge est très critique vu que beaucoup de jeunes ont une adolescence tardive, d’où ils sont victime de plusieurs troubles psychiques à l’instar de la solitude, l’isolement, et j’en passe. D’ailleurs, Les recherches scientifiques montrent que 25% de cette population en souffrent. Ensuite, il y a lieu de souligner que les juniors quittent généralement leurs familles à 20 ans pour commencer une nouvelle aventure qui n’est pas toujours facile et évidente. En d’autres termes, ils doivent affronter la vie avec toutes ses facettes et assurer leur autonomie financière ; chose qui n’est pas toujours évidente avec le taux de chômage qui ne cesse de grimper partout dans le monde. Enfin, il ne faut pas nier que la joie de vivre est un état d’esprit qui n’est pas tributaire d’une tranche d’âge. En effet, les psychanalystes estiment qu’être heureux est une philosophie de vie qui doit se nourrir au fil du temps. Ainsi, partant du principe selon lequel la perfection n’existe guère, il fallait comprendre qu’on doit chercher notre bonheur dans l’imperfection ; accepter l’imperfection est un grand pas vers le bonheur et la joie de vivre. Il faut ainsi considérer la vie comme étant un défi passionnent à vivre quel que soit l’âge. Pour conclure, certes à 20 ans, on a plus de temps et moins de contraintes afin de profiter pleinement de la vie. Cependant, à mon humble avis, je pense que la joie de vivre est un état d’esprit et que l’âge n’est qu’un chiffre ; je dirais plutôt « chaque âge a son charme ». Cher monsieur, je tiens à vous exprimer, à la fin, tout l’intérêt que je porte à votre respectable journal, et j’espère que mon point de vue vous serait instructif et intéressant afin d’étayer le sujet dans des éditions futures. Je vous souhaite, cher Monsieur, toute la réussite dans votre métier et je j’espère

63-Téléphone, emails, réseaux sociaux : le mélange entre vie privée et vie professionnelleest inévitable . Monsieur le rédacteur en chef, Fidèle lectrice de votre journal, je tiens d’abord à vous féliciter pour la qualité des sujets que vous traitez toujours aussi pertinents et attractifs. Par ailleurs, Je vous écris aujourd’hui afin d’étayer mon point de vue au sujet de votre article cité en objet et dans lequel vous disiez « Téléphone, emails, réseaux sociaux : le mélange entre vie privée et vie professionnelle est inévitable». Partageant votre opinion et souhaitant animer ce débat, je souhaiterais émettre quelques réflexions à ce sujet. Certes, aujourd’hui, on a tendance à confondre vie privée et vie professionnelle. Comme vous l’avez certainement entendu, Monsieur, ce phénomène est baptisé sous le nom anglais « blurring ». Mais la question qui se pose : comment peut-on expliquer ce constat ? Tout d’abord, il y a lieu de signaler qu’à travers l’émergence du travail à distance, la frontière entre les horaires de travail et le temps libre s’estompe. Justement, monsieur, avec ce nouveau mode de travail, la notion du temps alloué aux tâches professionnelles devient trouble et les activités s’entremêlent. D’ailleurs, en optant pour le télétravail pendant la pandémie, je ne peux que confirmer cette idée. En outre, à l’ère de la digitalisation, l’omniprésence des nouvelles technologies est un facteur déterminant dans l’explication de ce phénomène. Munis de matériels utilisables à distance, Smartphone, tablette,

ordinateur portable, nous pouvons donc lire nos mails professionnels dès le petit déjeuner, ou le soir dans le bus. Mais le phénomène se traduit aussi dans l’autre sens, il nous est possible de surfer sur Facebook durant notre journée de travail. Ainsi, la frontière entre vie privée et vie professionnelle est de plus en plus floue. De plus, la confusion entre les deux sphères est expliquée par l’usage du téléphone personnel dans le cadre de la vie professionnelle. En effet, même en dehors du cadre professionnel, le salarié est toujours tenté de répondre aux mails issus de ses employeurs et durant son temps de travail, il s’occupe de sa vie privée. Enfin, il ne faut pas oublier que l’hyper-connexion des salariés les entraine à travailler sans cesse, que ce soit le soir, le weekend ou même pendant les vacances. Ainsi, ils ont le sentiment de ne jamais pouvoir couper avec leur travail. Cette pratique a été largement encouragée par de nombreuses entreprises qui considèrent la disponibilité de l’employer comme un critère fondamental dans l’évaluation de sa performance. Par ailleurs, dans une société, ou la compétition est le maître-mot, les salariés, se trouvent obligés de s’adapter à ce rythme fou, un rythme qui ne respecte pas la vie privée de l’individu. Dans ce sillage, et afin d’enrayer ces pratiques, l’Etat français a instauré en 2017 un nouveau droit pour les employés, le droit à la déconnexion. Grâce à cette loi, ils ne peuvent plus être contraints de répondre aux mails, aux appels professionnels.., en dehors des heures de travail. Pour conclure, à l’ère de la digitalisation, en considérant toutes ces avancées technologiques et dans une société en compétition permanente, nous assistons à un effacement progressif de la frontière entre vie professionnelle et vie privée. Or, cette absence de délimitation entre les deux sphères, (pourrait mettre en péril la santé physique et mentale de l’individu) pouvait avoir des répercussions sur la santé physique et mentale de l’employé. D’ailleurs, le terme « burn out » a pris de l’ampleur mettant en exergue les effets néfastes de ce nouveau mode de vie.

64- Il faut changer nos habitudes alimentaires (621 mots) Objet : Réaction à votre article paru dans l’édition du 15/08/2020 Monsieur le rédacteur en chef, Fidèle lectrice de votre journal, je tiens d’abord à vous féliciter pour la qualité des sujets que vous traitez toujours aussi pertinents et attractifs. Par ailleurs, je vous écris aujourd’hui afin d’étayer mon point de vue au sujet de votre article dans lequel vous avez bien mentionné qu’il faut changer nos habitudes alimentaires. En toute franchise, j’abonde dans votre sens, en effet, depuis la révolution industrielle, l’Homme n’a cessé d’exploiter la terre d’une manière sauvage, mettant en péril l’avenir de notre planète. A cet effet, il est temps de trouver les remèdes nécessaires, notamment en ce qui concerne nos habitudes alimentaires, afin de sauver ce qu’il peut l’être avant que ça soit trop tard. Tout d’abord, à mon sens, j’estime qu’il faut commencer par le rationnement de notre consommation. Justement, cher Monsieur, vous l’aurez certainement compris, le danger réside dans le gaspillage, ce fléau qui a marqué nos habitudes de consommation. En effet, le mode de vie des individus a radicalement changé car nous sommes en train de basculer d’une société de production à une société de consommation. Selon les statistiques publiées par le quotidien français « Le Figaro », 42% de nos aliments partent à la poubelle. Cette surconsommation non justifiée puise nos ressources naturelles, use la terre, l’eau, les forêts, l’air, tout. En outre, à mon humble avis, il est vivement recommandé de consommer les produits bios quoiqu’ils ne soient pas à la portée de tout le monde. En effet, on sait tous que la grande agression que subit notre planète n’est pas tributaire des grosses usines qui vomissent le CO2, ni des véhicules qui encombrent les villes, ni des bateaux des croisières qui sillonnent les océans mais, plutôt, ceci est dû au

nouveau mode d’agriculture qui a empoisonné la terre, l’agriculture intensive ou industrialisée, qui ne respecte guère notre environnement. Vous l’aurez certainement compris, le danger réside dans pesticides et les produits chimiques, que les agriculteurs prodiguent généreusement au sol, afin d’assouvir une soif cupide pour des bénéfices records. Quand on est au courant de cette réalité amère, une envie irrépressible de changer nos habitudes alimentaires nous envahit. Chose qui est sure, c’est que le Bio est considéré actuellement comme étant l’argument imparable des activistes verts qui œuvrent pour une planète saine et dépolluée, mangeons BIO alors. Par ailleurs, si nous n’avons pas les moyens pour consommer du Bio, mangeons au moins frais. Justement, il est temps de bannir la consommation des produits en conserve à cause des déchets qui en résultent et qui constituent un facteur déterminent dans l’explication du phénomène de pollution qui nous empoisonne la vie. Ces déchets sont principalement issus de l’industrie agroalimentaire ; les flacons, les bouteilles, les canettes en métal, en plastique ou en verre. Cette dernière catégorie lui faut des millions d’année pour qu’elle soit dégradable par la terre. Dans le même ordre d’idée, une étude récente menée par l’université de Harvard a révélé qu’on génère chaque année 89 Kg de déchets par individu. Alors, boycottons les produits en conserve, un geste simple, écologique mais qui a un grand impact sur notre planète. Pour conclure, il ne faut pas nier que notre planète terre vit aujourd’hui un défi sans précédent. Ainsi, il faut songer sérieusement à muer nos habitudes alimentaires afin de léguer un environnement sain et durable à nos générations futures. Très cher monsieur, je tiens à vous exprimer à la fin tout l’intérêt que je porte à votre respectable journal et j’espère que mon opinion sur ce sujet vous serait instructif et intéressant et que vous aidera à bien étayer le sujet dans d’autres éditions futures. Je vous souhaite toute la réussite dans votre métier j’espère interagir dans d’autres sujets prochainement. 65- : les robots Les robots et la technologie vont tous nous mettre en chômage Monsieur le rédacteur en chef, Fidèle lectrice de votre journal, je tiens à vous féliciter pour la qualité des sujets traités, toujours aussi pertinents et attractifs. Par ailleurs, je vous écris aujourd’hui afin d’étayer mon point de vue au sujet de votre article paru du dans l’édition du 15 août dernier et dans lequel vous disiez « Les robots et la technologie vont tous nous mettre en chômage » En effet, je ne partage pas votre argumentation à ce sujet et ce, pour plusieurs raisons. Tout d’abord, les robots et les nouvelles technologies favorisent la création de nouveaux postes d’emploi. A vrai dire, (à l’aube de l’IA) avec l’émergence de l’intelligence artificielle et de la robotisation, on a assisté à l’apparition (l’émergence) de nouveaux métiers à forte valeur ajoutée. Cette idée peut être illustrée à travers (la création de plusieurs startup spécialisées dans la FinTech) l’apparition d’une multitude boites spécialisées dans la Finance et la technologie (Fintech). En effet, des milliers de jeunes diplômés, partout dans le monde, travaillent aujourd’hui dans ce domaine ; un domaine basé sur les nouvelles technologies, certes, mais qui nécessite vivement l’intelligence humaine qui demeure un pilier fondamental (un atout majeur) En outre, ces nouvelles technologies sont toujours tributaires de l’intervention humaine. En effet, les robots nécessitent toujours des travaux de maintenance, de réparation, de nouveaux algorithmes et j’en passe. Ainsi, l’intelligence humaine ne pourra en aucun cas être remplacée par ces machines. Dans ce sillage, une étude scientifique récente, menée par un groupe de chercheurs allemands et publiée dans le journal « Scienceet technologies», a montré que la robotisation est en mesure de résorber le taux de chômage. Enfin, grâce à ces innovations, l’Homme pourra se concentrer sur les activités techniques les plus intéressantes, celles qui demandent l’intelligence humaine. Ainsi, au lieu de gaspiller son temps dans des activités routinières et répétitives, il stimule sa créativité afin de créer des postes d’emploi à forte valeur ajoutée pour l’économie. En effet, ces machines nous ont

permis d’épargner le temps, d’augmenter le produit intérieur brut du pays et d’améliorer la croissance économique. Or, vous savez très bien, monsieur, que la croissance est synonyme de création d’emploi. De par mon expérience personnelle en tant que docteur en sciences économiques et manager dans une boîte spécialisée dans l’édition des logiciels informatiques destinés aux banques, je peux vous confirmer que l’intelligence artificielle est primordiale dans la productivité du secteur financier par exemple. Aussi, d’après les recherches scientifiques, la robotisation a permis de rehausser la productivité dans plusieurs d’autres secteurs comme l’industrie, l’agriculture, la télécommunication et j’en passe. Pour conclure, à mon humble avis, je pense que les nouvelles technologies constituent levier de croissance économique. Elles permettent ainsi d’améliorer les indicateurs économiques du pays et de résorber le chômage. En revanche, la création d’emploi n’est pas équitable entre les différents secteurs d’activité comme il a été souligné par les experts de la banque mondiale et du Fond Monétaire International (FMI). Je comprends, néanmoins que d’autres ne sont pas du même avis que moi. Je serais donc ravie de vous voir publier un sondage à ce sujet. Veuillez croire, Monsieur, à mes sentiments cordiaux et respectueux

66-dans un monde moderne, les magasins ne devraient pas fermer

Objet : Réaction à votre article paru dans l’édition du 15/08/2020 Monsieur le rédacteur en chef, Fidèle lectrice de votre journal, je tiens à vous féliciter pour la qualité des sujets traités toujours aussi pertinents et attractifs. Par ailleurs, je vous écris aujourd’hui afin d’étayer mon point de vue au sujet de votre article cité en objet et dans lequel vous avez mentionné « que les magasins ne devraient pas fermer dans un monde moderne ». En effet, je ne partage pas votre argumentation à ce sujet et ce, pour plusieurs raisons. Tout d’abord, cette mesure contribue à réduire le chômage dans le sens où elle permet de créer des postes d’emploi. Justement, en travaillant jour et nuit, les employeurs sont en mesure de recruter plus d’employés. Cette idée peut être illustrée à travers les statistiques publiées par la Banque Centrale Italienne (Banka Italia) qui a souligné une nette résorption du taux de chômage suite à la mise en œuvre de cette action. En outre, cette décision stratégique est primordiale afin de promouvoir le tourisme. En effet, les touristes qui passaient toute la journée à profiter de la beauté de la ville visitée et de ses monuments historiques, ne trouvent pas le temps pour faire du shopping. En revanche, suite à cette décision, les visiteurs peuvent optimiser leurs séjours en faisant leurs achats le soir. Par ailleurs, étant signalé que cette mesure est vivement recommandée, notamment dans les villes qui incarnent la mode comme l’Italie et Paris. A titre d’exemple, d’après un sondage publié par la chambre chinoise de tourisme, le taux de satisfaction des touristes a enregistré une nette amélioration suite à l’introduction de cette mesure. Enfin, il y a lieu de souligner que l’ouverture des commerces en continue est une décision adaptée à notre nouveau mode de vie. Vous l’aurez certainement compris, monsieur, notre société actuelle a subi des mutations profondes ; une société hyperactive ou l’homme a du mal à prévoir les tâches à faire pendant une journée. A vrai dire cette mesure nous procure une certaine flexibilité afin de faire nos courses à notre guise et sans la moindre restriction. Nous pouvons ainsi effectuer nos achats à tout moment et sans stress. Prenons l’exemple d’un employé qui travaille à distance et qui a du mal à trouver un compromis entre sa vie privée et sa vie professionnelle. Cette mesure lui sera sûrement bénéfique afin de mieux gérer son temps.

67. Les jeux vidéo dans l’apprentissage des enfants Objet : Réaction à votre article paru dans l’édition du 30 juillet 2020 Monsieur le rédacteur en chef, Fidèle lectrice de votre journal, je tiens d’abord à vous féliciter pour la qualité des sujets choisis, toujours aussi attractif et intéressant. Par ailleurs, je vous écris

aujourd’hui afin d’étayer mon point de vue au sujet de votre article intitulé « L’art de l’apprentissage » et dans lequel vous avez bien mentionné que « les jeux vidéo développent la créativité chez les enfants, on devrait les utiliser à l’école ». En effet, je partage votre point de vue à ce sujet et souhaiterais émettre quelques réflexions afin d’animer le débat. Tout d’abord, les jeux vidéo sont très bénéfiques dans le développement cognitif des enfants. Justement, ces moyens audio visuels permettent aux apprenants d’assurer la coordination œillmain. Cette habilité est fondamental pour préparer l’apprentissage de la lecture et de l’écriture. D’ailleurs ceci a été prouvé par les psychanalystes et les neuropsychiatres. Aussi, de par mon expérience personnelle, en tant que maman et enseignante, je ne peux qu’applaudir l’efficacité de ces jeux ludiques dans l’apprentissage. En outre, ces jeux numériques sont en mesure de développer la créativité chez les enfants et de booster leur intelligence. En effet, il y a une panoplie de jeux qui incitent l’apprenant à réfléchir et à faire travailler sa mémoire. A titre d’exemple, un article scientifique mené par des chercheurs allemands et publié dans le journal anglais « science of education », a montré que lorsqu’ils sont bien choisis, ces jeux contribuent à augmenter le quotient intellectuel (QI) des enfants de 5 à 12 points. Enfin, cette technologie permet à l’enfant d’apprendre dans un environnement riche, stimulant et amusant. En effet, elle stimule sa curiosité et l’apprentissage devient un vrai plaisir pour lui. Justement, à l’ère des nouvelles technologies, ces méthodes ludiques s’avèrent plus efficaces que les méthodes classiques de nos anciens. A titre d’exemple, les enfants peuvent apprendre plusieurs langues plus facilement. En d’autres termes, ces nouvelles méthodes permettent de mieux véhiculer l’information car l’enfant se trouve épanoui. Voilà pourquoi, le système éducatif Finlandais, classé n°1 dans le monde, a misé sur ces nouvelles méthode dans l’apprentissage à l’école. Pour conclure, je persiste à croire que les jeux vidéo s’avèrent comme étant un pilier fondamental afin de joindre l’utile à l’agréable.

68- les enfants apprennent plus sur internet qu’à l’école » Objet : Réaction à votre article paru dans l’édition du 30 août 2020 Monsieur le rédacteur en chef, Fidèle lectrice de votre journal, je tiens d’abord à vous féliciter pour la qualité des sujets abordés toujours aussi pertinents et attractifs. Par ailleurs, je vous écris aujourd’hui afin d’étayer mon point de vue au sujet de votre article dans lequel vous avez mentionné « que les enfants apprennent plus sur internet qu’à l’école ». En effet, je ne partage pas votre opinion à ce sujet et ce, pour plusieurs raisons. Tout d’abord, l’apprentissage à l’école est primordial pour booster les capacités cognitives des enfants. Justement, ce cadre leurs offre la possibilité d’éveiller tous les sens ; la touchée, l’odorat, la vue et le goût. En effet, à l’école, l’enfant aura la possibilité de bénéficier des formations théoriques et pratiques. Par exemple, pour explorer le monde des animaux, plusieurs écoles envisagent de programmer une sortie éducative à une ferme pour que l’écolier puisse apprendre sur le tas tout en mettant la main à la pâte. Dans ce sillage, permettez-moi, monsieur, de vous dire que l’apprentissage dans le milieu scolaire est primordial pour développer l’esprit critique de l’élève, qui est l’adulte de demain. D’ailleurs, les études scientifiques ont prouvé l’efficacité de cette méthode d’apprentissage car l’information restera gravée dans la mémoire à jamais. Ensuite, il ne faut pas nier que l’enseignement est un métier noble qui nécessite des compétences humaines élevées. En effet, l’enseignant dispose d’une pédagogie claire afin de bien transmettre l’information à ses élèves. Aussi, il est capable de prendre en charge les enfants qui ont des difficultés d’apprentissage. Dans ce sillage, la toile ne peut en aucun cas remplacer le maitre ou la maitresse. De plus, il ne faut pas oublier que le cadre de l’école est en mesure de véhiculer le sérieux et la discipline qui

sont considérés comme étant un pilier fondamental dans la phase d’apprentissage de nos enfants. Ainsi, comment peut-on avoir un adulte discipliné si on ne lui inculque pas ce concept dès son jeune âge. En outre, l’école offre aux élèves de supports de cours pédagogiques, clairs et concis. En revanche, sur la toile, on trouve des données brutes rarement utilisables directement par les élèves. Dans le même ordre d’idées, internet est aussi caractérisée par l’omniprésence des sites en anglais ce qui répond surtout aux besoins des utilisateurs majoritairement anglosaxons. Ainsi, j’estime que ce réseau a une valeur éducative médiocre pour les apprenants. Enfin, l’école est primordiale afin de favoriser la socialisation des jeunes enfants. Vous l’aurez certainement compris, monsieur, l’apprentissage ne se limite pas aux simples connaissances mathématiques et linguistiques. En effet, le milieu scolaire permet à l’enfant d’apprendre l’empathie et de développer, ainsi, son intelligence sociale et émotionnelle. Ainsi, l’interaction avec les autres leurs permet, par exemple, de comprendre le langage non verbal. Toutes ces compétences sont primordiales pour avoir un adulte équilibré. A titre d’exemple, le système éducatif Finlandais, classé numéro un dans le monde, obligent les enfants à suivre un cours d’empathie à l’école. Pour conclure, je persiste à croire que l’apprentissage à l’école est crucial et ne peut en aucun cas être remplacé par la toile. Cependant, à petite dose, cette technologie pourrait être utilisée dans les activités d’apprentissage.

69- enseignons le chinois à nos jeunes écoliers Objet : Réaction à votre article paru dans l’édition du 31 août dernier Monsieur le rédacteur en chef, Fidèle lectrice de votre journal, je tiens d’abord à vous féliciter pour la qualité des sujets abordés toujours aussi attractifs et pertinents. Par ailleurs, je vous écris aujourd’hui en réaction à votre article intitulé « enseignons le chinois à nos jeunes écoliers » et dans lequel vous avez mentionné « il faut enseigner le chinois aux enfants dès le jeune âge ». En effet, partageant votre opinion à ce sujet et souhaitant animer le débat, je me permets d’émettre quelques réflexions. Tout d’abord, l’apprentissage du chinois s’avère primordial afin de booster la capacité de concentration de nos enfants. Justement, cet apprentissage permet de stimuler la zone du cerveau responsable de la mémorisation durable. Ceci a été prouvé par une étude récente menée par un groupe de psychanalystes allemands. En effet, à la lumière de cette étude, les chercheurs ont montré que l’apprentissage du mandarin aux enfants est en mesure de créer de nouvelles connexions synaptiques. En outre, il ne faut pas oublier que la Chine est la 2ème puissance économique mondiale. Ainsi, apprendre le mandarin à nos enfants leurs permetde s’adapter au nouveau contexte économique. De plus, l’apprentissage de la calligraphie chinoise permet d’augmenter le quotient intellectuel (QI) des apprenants. Justement, cet apprentissage est en mesure de créer de nouvelles connexions synaptiques dans le cerveau de l’enfant et de stimuler, par conséquent sa créativité. Ceci a été prouvé par une étude récente menée par un groupe de psychanaly stes belges. En effet, En se basant sur un échantillon de 10000 enfants âgés entre 5 et 10 ans, ils ont montré que l’apprentissage de cette langue leurs a permis d’augmenter leurs QI de 5 à 12 points. Enfin, il ne faut pas oublier que le plurilinguisme s’avère aujourd’hui comme un véritable atout professionnel. En d’autres termes, inculquer le chinois aux écoliers leurs permet d’avoir une carrière professionnelle radieuse dans le futur. D’ailleurs, ceci a été démontré par un article scientifique paru dans le journal qui a mis en exergue une forte corrélation positive entre l’apprentissage des langues, notamment le chinois, et la réussite professionnelle. Pour conclure, et au vu des arguments précédemment développés, il s’avère que l’apprentissage du chinois aux enfants à bas âge présente des avantages majeurs pour le développement de

ses capacités cognitives et la préparation de son avenir professionnel. A cet effet, il est fortement recommandé de mise sur l’enseignement du chinois dès l’âge de la maternelle .

70-Sieste au travail Objet : Réaction à votre article paru dans l’édition du 31 août dernier Monsieur le rédacteur en chef, Fidèle lectrice de votre journal, je tiens d’abord à vous féliciter pour la qualité des sujets abordés toujours aussi attractifs et pertinents. Par ailleurs, je vous écris aujourd’hui afin d’étayer mon point de vue au sujet de votre article intitulé « la sieste au travail » et dans lequel vous avez mentionné que « la sieste de travail devrait être obligatoire ». En effet, partageant votre point de vue à ce sujet, je souhaiterais animer le débat. Tout d’abord, dormir au bureau est très bénéfique pour notre santé. Justement, une petite sieste est en mesure de diminuer la pression artérielle et de prévenir , ainsi les maladies cardiovasculaires, comme en témoignent les spécialistes ; voilà pourquoi ces deniers vantent pour une sieste de 10 minutes. En outre, une micro-sieste favorise le bienêtre de l’individu ainsi que son bonheur. En effet, cette petite pose est primordiale pour que le salarié soit décontracté dans l’après-midi. D’ailleurs, une étude récente menée par des neuropsychiatres a montré qu’une micro sieste de 15 minutes permet de réduire le stress et l’anxiété des salariés. De plus, cette pratique s’avère comme étant un pilier fondamental afin d’instaurer une bonne ambiance au travail. Vous l’aurez certainement compris, monsieur, un employé zen aura certainement l’envie de bosser et de coopérer avec ses collaborateurs. Ceci ne peut être que bénéfique pour l’entreprise. Enfin, il ne faut pas oublier que dormir au bureau ne peut qu’améliorer la productivité des employés. En effet, il a été prouvé scientifiquement que la sieste est en mesure d’améliorer la concentration et de booster la créativité du salarier. Pour illustrer cette idée, une étude recentre menée par des sociologues belges a montré que les entreprises qui ont opté pour cette pratique ont pu augmenter leurs chiffres d’affaires de 5 pour cent. En chine cette pratique est inscrite dans la constitution Pour conclure, une micro-sieste de 16 à 30 minutes, est fortement recommandé. A cet effet, les entreprises sont amenées à introduire cette pratique afin d’en tirer les bénéfices que ce soit pour la firme ou pour le salarié. A mon avis, une petite pose de 15 à 30 minutes est primordiale pour recharger les batteries.

71- Dans le sport, l’argent est le seul maitre Monsieur le rédacteur en chef, Je tiens, d’abord, à vous féliciter pour la qualité des sujets abordés toujours aussi pertinents et attractifs. Par ailleurs, je vous écris aujourd’hui afin d’étayer mon point de vue au sujet de votre article intitulé « l’argent dans le sport » et dans lequel vous avez mentionné « dans le sport, l’argent est le seul maitre ». Partageant votre opinion à ce sujet et afin d’animer le débat, je souhaiterais émettre quelques réflexions. A vrai dire, j’estime que le sport a bien changé ; l’argent est de plus en plus présent dans ce domaine. D’abord, il faut admettre que, de nos jours, le sport est devenu un secteur économique émergent (florissant). En effet, plusieurs entreprises s’en servent, notamment via le sponsoring et les actions publicitaires, pour augmenter leurs chiffres d’affaires. A titre d’exemple, des sociétés comme Adidas et Nike, fournissent les équipements sportifs aux joueurs, ce qui permet le rayonnement de la marque à l’échelle mondial. Ceci est en mesure de résorber le taux de chômage, via la création de postes d’emploi. Ainsi, dans cette optique, l’argent est vecteur d’une certaine prospérité économique. En revanche, cette réalité n’est pas toujours un bon signe et ce, pour plusieurs arguments. En outre, vous savez bien, monsieur, que les clubs versent des sommes considérables d’argent aux joueurs professionnels ; des sommes pouvant excéder

les réserves de change d’un pays. A titre d’exemple, les stars du football, à l’instar de Lionel Messie et Cristiano Ronaldo, gagnent des millions d’euros annuellement. De plus, personne ne peut nier que, dans la quasi-totalité des cas, l’objectif ultime d’un joueur professionnel est de gagner sa vie. En effet, naïf celui qui pense encore que lorsqu’un champion lève ses bras au ciel, il le fait uniquement parce qu’il vient de réaliser de grandes performances. Aujourd’hui gloire rime avec argent. Par ailleurs la devise l’important ce n’est pas de gagner, mais plutôt de participer, est complètement erronée. Ainsi, que ce soit en football, en tennis ou dans la plupart des sports médiatisés, comme le cyclisme ou l’athlétisme, ces sports sont très souvent devenus une manière de gagner sa vie plus qu’une passion. Enfin, il y a lieu noter que l’argent a bafoué les valeurs du sport ainsi que les règles (le code) d’éthique et de déontologie dans le sens ou, la plupart des sportifs professionnels sont capables de tout faire pour assouvir une soif cupide pour des bénéfices records. Vous l’aurez certainement compris, monsieur, plusieurs d’entre eux font appel à des méthodes contraintes aux règles sportives, comme le dopage par exemple. Pour conclure, je persiste à croire que, de nos jours, l’argent est devenu un pilier fondamental dans le domaine sportif. Dans ce sillage, certes, on peut penser que le sport est devenu un secteur économique émergent. Toutefois, cela a basculé certains principes éthiques ; l’argent écrase toute logique humaine et sportive.

72. Avec le tourisme tous les pays se ressemblent En fait j’aimerais aborder le sujet sous plusieurs angles. Certes, votre point de vue pourrait être partagé dans le sens ou le tourisme de masse est vecteur d’une certaine standardisation. Vous l’aurez certainement compris, monsieur, le développement touristique pousse souvent à l’abandon par les autochtones des quartiers historiques et à la standardisation des commerces. De ce fait, les villes perdent leur âme et leur unicité. Dans ce sillage, d’après une étude menée par l’Office de tourisme du Québec, les québécois vont même jusqu’à se demander s’ils ne devraient pas s’effacer pour accueillir les touristes américains. Dans le même ordre d’idée, le tourisme de masse n’est pas toujours compatible avec la culture locale. En effet, la vraie question qui se pose : comment peuton s’adapter à ce flux touristique sans pour autant perdre son identité ? En d’autres termes, comment peut-on allier la culture locale, la langue, les coutumes et la gastronomie locale avec les envies et les habitudes des touristes ? A mon sens, c’est un compromis qui n’est pas toujours facile à l’assurer. A titre d’exemple, plusieurs plats traditionnels ont été revisités à l’instar du couscous tunisien ou pailla espagnole. Néanmoins, malgré cette standardisation, j’estime que tourisme ne rime pas toujours avec ressemblance. Premièrement, il ne faut pas nier que, malgré cette standardisation, chaque pays a son charme. On trouve ainsi des pays qui se différencient par leurs paysages paradisiaques, comme le Japon, la chine, la Thaïlande et bien d’autres ; ces pays accueillent des millions de visiteurs assoiffés à la nature. En revanches, d’autres pays, vantent leurs richesses historiques et culturelles à l’instar de la France, ce pays regorge des sites historiques, des musés de tout genre. Il attire des touristes qui cherchent à prendre des photos de souvenir dans un musé et d’assouvir une soif cupide pour la culture. Deuxièmement, à mon sens le tourisme reste tributaire à une cause précise ; le tourisme religieux, écologique, économique et j’en passe. En d’autres termes, beaucoup de personnes visitent un pays pour accomplir un devoir dicté par une bonne cause. On peut citer l’exemple du Brésil qui reçoit chaque année des milliers d’écologistes qui luttent contre la déforestation de l’Amazone, la plus grande forêt du monde et qui œuvrent pour un climat sain et dépollué. Troisièmement, personne ne peut nier l’importance du tourisme de bien-être ; ce type de tourisme qui permet de générer des recettes importantes pour l’Etat. Prenons l’exemple de

la Thaïlande ou les salons de massage sont parsemés dans les rues de la capitale Bangkok. Pour conclure, certes le tourisme de masse pourrait engendrer une certaine standardisation. Néanmoins, plusieurs raisons plaident en faveur de l’unicité de chaque destination.

73- l’anglais menace de plus en plus les différentes langues et cultures)

Certes, l’anglais est la 3ème langue la plus parlée dans le monde. En effet, la quasi-totalité des systèmes éducatifs considèrent l’enseignement de cette langue internationale comme un véritable atout. Un autre argument qui plaide en faveur de l’omniprésence de l’anglais réside dans le fait que la quasi-totalité des articles scientifique sont rédigées en anglais. Justement, monsieur, en tant que doctorante en science économique je ne peux que vous confirmez cela ; un doctorant se trouve obligé de perfectionner l’anglais afin de rédiger une thèse de qualité. Néanmoins, à mon sens cela ne peut en aucun cas être un argument en faveur de l’appauvrissement culturel et ce pour plusieurs raisons. En effet, à mon humble avis, la culture est assimilée à une matrice à plusieurs vecteurs ; la langue est ainsi un vecteur parmi d’autres. Tout d’abord, le dialecte est toujours utilisé à la maison ou en parlant avec les amis. De par mon expérience personnelle, mes enfants fréquentent une école française ; à l’école ils ne parlent qu’en français. En revanche, à la maison, nous choisissons le dialecte tunisien pour communiquer. En outre, l’identité culturelle est aussi étroitement tributaire des coutumes et des traditions. Ces facteurs sont déterminants pour assurer la richesse culturelle. A titre d’exemple, en Tunisie, chaque région se distingue par ses habits traditionnels et ses coutumes ; ces traditions folkloriques rendent chaque ville unique et lui confèrent un charme particulier. Enfin, il y a lieu de citer la gastronomie en tant que vecteur d’enrichissement culturel. Justement, monsieur, on visite le plus souvent un pays pour savourer ses plats traditionnels qui font partie intégrante de sa culture. A titre d’exemple, peut-on visiter La Tunisie sans déguster le couscous ou encore partir en Espagne sans savourer la pailla espagnole. Pour conclure, je persiste à croire que malgré le développement de l’anglais dans le monde, cette langue ne peut pas être synonyme d’appauvrissement culturel

74-pour etre en bonne santé il faut etre végétarien : pour Suite à la lecture de l’article du 15/12/2020 apparu dans la rubrique « santé » j’ai voulu réagir et prendre position Je suis d’accord avec l’auteur qui avance que pour etre en bonne santé il faut etre végétarien et ceux pour suivantes raisons  Tout d’abord , les végétaux sont une excellente source de fibres,de minéraux, d’oligoélémentet d’énergie.notons que ces oligo-éléments sont nécéssaire pour le fonctionnement de notre organisme , l’exemple palpant est donné par une étude qui à démontrer que les végans ne souffrriraient pas de carence en fer.en calcuim et en magnésium.contrairement aux personnes ne consommant que les viandes »tel que la viande de porcs,de bœuf…. ». Ensuite, il est important de relevé que les legumes et les fruits cntribuent a notre bien-etre physique et mental.car ,ces dernieres sont riches en fibres facilitent la degestion.a ce propos une étude à montré qu’il faudrais 5 heures de temps à notre système digestif,pour digérer 100 grammes de viande de porc,tandis que la meme quantité en thème de fruits et legumes se digère en 5 minutes. Aussi , la consommation de fruits et legues exclusivement est un excellent moyen pour prévenir les maladies cardiovasculaires et l’obesité.

En effet,la viande de prorc par exemple est riche en graisse animale contrairement aux fruits et legumes qui n’en contiennent pas.de ce fait elle facilitent la digestion,améliorent la circulation sanguine et préviennent les maladies cardiovasculaires. En définitive,l’on peux dire que la tendance végane qui est en cours ces dernieres années à lieu d’etre car se mettre totalement au vert est tout bénéfique pour notre santé. En somme, celle-ci mes raisons pour lesquelles je pense que d’etre végétarien est mieux pour notre santé. De plus, j’aimerais bien connaitre l’opinion d’autres lecteurs, je vous prie,monsieur de bien vouloir faire publier la présente lettre come contribution à ce débat Très cordialement

75-pour etre en bonne santé il faut etre végétarien : contre Suite à la lecture de l’article du 15/12/2020 apparu dans la rubrique « santé » j’ai voulu réagir et prendre position Je ne suis pas d’accord avec l’auteur qui avance que pour etre en bonne santé il faut etre végétarien. Premièrement ,pour etre en bonne santé ,il faut se baser sur alimentation saine, équilibré et surtout riche en éléments dont l’organisme humain a besoin, pour son bon fonctionnement ,notamment les protéines qui sont présentes en quantité minime dans les végétaux, tandis qu’elles sont abondantes dans la viande. Deuxiement, les poissons sont de loin la meilleure source de vitamine D,oméga 3 et des minéraux tel que l’iod et sélénium, qui entrent en joue dans la croissance et la reconsitution du corps.en plus de leur merveilleux gout, je ne vois pas l’interet de s’en passer de leurs bienfaits. Finalement, la consommation de viande bien cuite et des poissons en quantité modérré n’a jamais était la cause de quelconque maladie ,alors que le végétarisme est soupçonné d’etre lié aux problème de la croissance chez les enfants. En somme, celle-ci mes raisons pour lesquelles je pense qu’un équilibre allimentaire est le mieux pour notre santé. De plus, j’aimerais bien connaitre l’opinion d’autres lecteurs, je vous prie,monsieur de bien vouloir faire publier la présente lettre come contribution à ce débat Très cordialement

76-on ne peut pas garder les liens avec sa culture maternnelle quand on vit à l’étranger :

« La culture touche l’ensemble de la vie d’un pays « son histoire, sa langue etc… » Suite à la lecture de l’article du 15/12/2020 apparu dans la rubrique « famille » j’ai voulu réagir et prendre position Je ne suis pas d’accord avec l’auteur qui avance qu’ on ne peut pas garder les liens avec sa culture maternnelle quand on vit à l’étranger  Tout d’abord, l’humain garde toujours des liens avec sa culture maternelle quand il vit à l’étranger. A savoir que cette culture s’exprime dans la manière de raconter nos hostoires, de feter,de nous rappeler le passé de nous diverti et imaginer l’avenir. A titre d’exemple, une bonne partie du peuple maghrébin de la deuxième et la troisième génération en Europe continuent à feter leur mariages en gardant les traditions maternelles. en plus , certain magrébins issue de l’immigration parlent quotidiennement la langue Amazigh.

Ensuite, les échanges culturels se sont développées rapidement après la deuxième guerre mondiale surtout avec le développement très rapide des technologie de transport et de communication. Ces échanges sont aussi le fruit de la mondialisation attrayant le déploiement des personnes. des biens, de l’activité économique et de l’argent au-delà des frontières nationales. Enfin, l’importance des échanges culturels entre les pays se résume généralement dans le partage des connaissance et la coopération dans les différents axes culturels .ils éxistent des projets de coopération concrets en arts visuels , art de la scène,cinéma,audiovisuel,sport,débats d’idées,littérature,promotion de l’apprentissage du français au maroc soutenue par les centres culturels francais. En somme, celle-ci mes raisons pour lesquelles je pense on ne peut pas garder les liens avec sa culture maternnelle quand on vit à l’étranger  . De plus, j’aimerais bien connaitre l’opinion d’autres lecteurs, je vous prie,monsieur de bien vouloir faire publier la présente lettre come contribution à ce débat Très cordialement

77- ENTRAIDE VOISIN  « aider nos voisins » « La culture touche l’ensemble de la vie d’un pays « son histoire, sa langue etc… » Suite à la lecture de l’article du 15/12/2020 apparu dans la rubrique « famille » j’ai voulu réagir et prendre position Je ne suis pas d’accord avec l’auteur qui est pour l’entraide voisin Tout d’abord, personne ne peut nier que notre société moderne vit une pénurie d’entraide de voisins , en effet rarement quand voie ces jours la un peu de coopération entre les voisins était presque plus qu’une fraternité.le voisin peu s’occuper de nos enfants lorsque votre baby-sister te lache et ainsi vous rendre des services se shopping etc… C’est pour cela nous somme obliger d’exercer cet comportement entre voisin , car prenons que une simple chose tel que écouter à l’autre de ces difficultés dans ce cas c’est votre voisin et de se montrer compréhensif ca peut lui aider à sentir à l’aise. De meme montrer de l’interet à nos voisin coutent beaucoup pour eux , en conséquence, le fait de demander ces nouvelles ou juste le simple des choses tels que le saluer peut faire du bien surtout ceux qui vit la solitudes quotidienement. Finalement ce genre des intentions , qui peuvent vous paraitre anodines,créent véritabelement un climat d’entraides entre les voisins et plus encore contribuent à rendre le monde meilleurs. En somme, celle-ci mes raisons pour lesquelles je pense qu’il est important d’aider nos voisins. De plus, j’aimerais bien connaitre l’opinion d’autres lecteurs, je vous prie,monsieur de bien vouloir faire publier la présente lettre come contribution à ce débat Très cordialement 78-il faut voyager par avion une fois par an au maximum  Fidèle lecteur de votre journal, je vous écris aujourd’hui en réaction à l’article paru dans l’édition du 22 janvier où vous avez affirmé que « il faut voyager par avion une fois par an au maximum » et j’aimerais vous faire part de ma réflexion sur le sujet, En effet, il est à mon vrai que voyager par avion reste un moyen de transport relativement cher, en particulier pour les destinations proches, et là ou d’autres alternatives sont possible et

à moindre cout, comme par exemple les trains rapides, ces voyage par avions peuvent constituer des dépenses supplémentaires évitables, surtout pour les gens qui voyagent fréquemment et qui sont de classe moyenne, selon une étude que j’ai lu dans un magazine spécialisé, voyager par train ou par bus plutôt que par vol, peut économiser jusque à 30 pourcent des frais du voyage pour les distances de moins de 400 KM, c’est donc un choix judicieux de limiter les voyage par avion pour les courtes distance et de privilégier les autres moyens de transport moins coûteux. Néanmoins, j’estime opter pour une compagnie aérienne peut être le meilleur choix pour voyager et cela car d’une part, à notre époque l’avion est devenu le moyens de transport le plus sûr, grâces aux moyens de contrôle et à la très bonne organisation de ce type de transport, les accidents et les crash sont devenu rares, et si on consulte les statistiques d’accidents on se rends rapidement compte, que le risque d’avoir un accident est un par douze millions de vols, ce qui représente et de loin le meilleur choix si nous voulons arriver à destination sains et saufs, d’autre part, voyager par avion est toujours plus rapide que les autres moyens, et comme on dit, le temps c’est de l’argent, donc au lieu de perdre des journées entières dans le voyage, il vaut mieux opter pour l’avion et arriver à destination dans quelques heures. De plus, voyager par les autres voies, est pour les grandes distances beaucoup plus fatiguant, surtout pour les personnes malades qui ne supportent pas rester assises pendant longtemps, s’ajoute à tout ça que parfois, voyager par avion est la seule issue possible pour joindre certaines destinations comme des iles isolées, comme c’est le cas pour certaines iles touristiques dans le continent africain. Pour conclure, je dirais que nous devons faire le bon choix selon la destination pour laquelle nous voulons voyager et selon l’état de santé du voyageur, nous devrons donc favoriser les voyage par voie terrestre pour les courtes distances et quand notre physique nous le permet ou opter pour l’avion pour les voyage de grandes distances. Je suis ravi d’avoir partagé avec vous mes idées, et j’espère vous voir publier ma lettre dans vos prochaines éditions afin d’ouvrir le débat à vos lecteurs. Veuillez agréer Monsieur le rédacteur en chef, l’expression de mes sentiments distinguées. 79- « L'utilisation d'internet (les réseaux sociaux) nous rend isolé de la société » Objet : Réaction a l’article du 15 Janvier 2018. Monsieur le rédacteur/rédactrice en chef, Fidèle lecteur de votre journal, je vous écris aujourd’hui en réaction a votre article paru dans l’édition du 15 Janvier 2019 dans lequel vous avez déclaré : « L'utilisation d'internet (les réseaux sociaux) nous rend isolé de la société. Je voudrais a mon tour faire part de mes réflexions sur le sujet, en effet je m’oppose totalement a l’idée que vous avez avancé et ce pour trois raisons  (ou bien Partant du fait que je supporte votre opinion, je voudrais en apporter quelques précisions) : -Pour commencer, les réseaux sociaux depuis leur apparition ont permis aux gens de mieux s’exprimer et parler de leurs sentiments, ainsi une personne pourrait exprimer son amour, sa gratitude ou bien s’excuser auprès des gens qui l’entoure sans avoir de barrière. En tant que père j’ai été profondément touché quand j’ai lu un message de la part mon fils sur mon mure de Facebook à l’occasion de mon anniversaire. -En outre, les réseaux sociaux rapprochent entre les personnes éloignées par la distance géographique, autrement dit les gens qui quittent leur pays pour aller étudier ou bien travailler ailleurs ne sentent plus le poids de l’immigration garce a la présence d’internet qui leur permet de partager leur quotidien avec leurs proches. Des applications comme Whatapp ou bien Skipe permettent non seulement un contact épistolaire mais aussi un contact visuel. -Enfin, depuis l'apparition de la toile, plusieurs célibataires ont réussi à trouver leur moitié, même si l'origine de leur amour était une simple application du WEB, leur attachement n'est du tout différent à ceux fondé par une rencontre classique. En se basant sur les dernières statistiques du géant FACEBOOK, le résultat montre que 30% des profils mariés se sont rencontré via les réseaux sociaux.

En définitive, Les réseaux sociaux jouent un rôle majeure dans notre quotidien, l’idée que vous avez essayé de propager est de loin d’être objectif

80-l'histoire ne devrait pas etre enseignée à l'école "contre"

Fidèle lecteur de votre journal, je vous écris aujourd’hui en réaction a votre article paru dans l’édition du 15 Janvier 2019 dans lequel vous avez déclaré :  « l'histoire ne devrait pas etre enseignée à l'école »

et j’aimerais vous faire part de ma réflexion sur le sujet, Tout d’abord ; il faut savoir que l'enseignement de l'histoire permet pour développer et forger l'identité

de la personne, participe à la construction d’un sentiment d’appartenance à la communauté des citoyens. il s’agit d’enseigner les valeurs de la République .en effet ; Ensuite, l’enseignement de l’histoire c’est un outil pour développer la pensée : Plus concrètement, l’histoire permet de faire des jeunes des citoyens éclairés, dotés de valeurs auxquelles ils croient, et qu’ils sont prêts à défendre. enfin ; Comment comprendre le présent si on n’interroge pas le passé : L’histoire, consiste en l’étude des événements passés. Cette matière est en quelque sorte la mémoire du monde. Elle permet de repérer les actions qui ont mené à certaines transformations du monde, parfois en bien, parfois en mal, de connaître les pires périodes humaines, comme l’holocauste et laisser espérer qu’ils ne se reproduisent jamais grâce à une prise de conscience. En somme ; celle-ci mes raisons pour les quelles je pense que l’hisoitre devrait etre enseignée à l’école ; de plus j’aimerais bien conaitre l’opinion d’autres lecteurs ; je vous prie ; monsieur de bien vouloir faire publier ma présente lettre comme contribution à ce débat. Très cordialement

81- l'uniforme devrait etre oblifatoire à l'école Fidèle lectrice de votre journal ; je vous écris aujourdhui en réaction à votre article paru dans l’édition du 20 janvier 2020 dans lequel vous avez déclaré : que l’uniforme devrait etre obligatoire à l’école » et j’aimerais vous faire part de ma réflexion sur le sujet. Tout d’abord il faut signaler que le port de l’uniforme représente un signe de discipline, il favorise un apprentissage de discipline. En effet, le fait de respecter les règlements des établissements rend les élèves plus disciplinés et encore plus respectueux via aux lois internes. tel est le cas pour le service militaire, ou l’infirmerie. Aussi, l’uniforme suscite chez son porteur un sentiment d’appartenance. Le vif exemple nous est donné par une équipe de sport, tout les membres collaborent entre eux afin d’atteindre leurs objectifs enfin, il est évident qu’il soit des élèves des différents classes sociales qui étudient ensembles; de ce fait, le port de l’uniforme pour constitue avant tout un instrument permettant d’instaurer l’équité dans les écoles: Il élimine les différences des couches sociales entre les écoliers.  En somme ; celle-ci sont les raisons pour les quelles je pense que l’uniforme devrait etre obligatoire à l’école ; de plus j’aimerais bien connaitre l’opinion d’autres lecteurs ; je vous prie ; monsieur ; de bien vouloir faire publier ma présente lettre comme contribution à ce débat Très cordialement

82-bientôt sera interdit de fumer dans la rue

Fidèle lectrice de votre journal ; je vous écris aujourdhui en réaction à votre article paru dans l’édition du 14janvier 2019 dans lequel vous avez déclaré que « bientôt sera interdit de fumer dans la rue » ;et j’aimerais vous faire part de ma réflexion sur ce sujet. Tout d’abord, l’interdiction de fumer est une excellente mesure pour la santé publique “La santé publique devient un objet politique”, “La restriction du tabac dans les espaces publics est l’un des éléments nécessaires pour lutter contre le fléau, Réduire le tabagisme passif  et protéger les adolescents:Fumer a des effets indésirables sur la personne qui fume et les personnes qui l’entourent (tabagisme passif) cancer des poumons. - Ensuite ; C’est aussi bon pour l’environnement Au problème de la santé publique s’ajoute celui de la pollution. pour un espace public propre et sain :garder les endroits publics propres des cendres et du reste du corps de la cigarette, Maintenir un air pur et le préserver de la pollution engendrée par la fumée de la cigarette. Enfin , regain de liberté des non fumeur, une liberté qui a été pour longtemps violée, et permettre à toute personne de profiter pleinement des endroits publics spécifiquement ceux souffrant des maladies respiratoire , sans autant prendre la précaution d éviter les gens fumeurs et se limiter dans des endroits bien définis fuyant les fumeurs. En somme ; celle-ci sont les raisons pour les quelles je suis pour l’interdiction de fumer dans la rue ; de plus j’aimerais bien connaitre l’opinion d’autres lecteurs ; je vous prie monsieur ; de bien vouloir faire publier ma présente lettre comme contribution à ce débat.

Très cordialement

83-les jeux d'argents et de hasard devraient-ils etre interdis?

Objet : Réaction a l’article du 15 Janvier 2018. Monsieur le rédacteur/rédactrice en chef, Fidèle lectrice de votre journale ; je vous écris aujourdhui en réaction à votre article paru dans l’édition du 12décembre2020 dans le quel vous avez déclaré : « les jeux d’argents et de hasard devraient-ils etre interdis ? » ; et j’aimerais vous faire part de ma réfléction sur ce sujet. Tout d’abord ;il s’agit d’un Impacts socioéconomiques : perte d’emploi, surendettement , suite à une enquete une enquête effectuer au canada au sein d'une population de joueurs révèle environ 25 à 33 % de pertes d'emploi et de faillites personnelles liées aux jeux.  Ensuite ; les dommages liés aux jeux : suicide, divorce et ruine familiale En termes de taux de suicide et de divorce, une corrélation positive modeste a été observée entre le taux de suicide et la présence d'un casino dans des zones urbaines. Enfin ; les effets « problématiques » de l'exploitation du gambling : criminalité En somme ; celle-ci sont les raisosns pour les quelles je suis pour interdiction des jeux d’argents et de hasard ; de plus j’aimerais bien connaitre l’opinion d’autres lecteurs ; je vous prie monsieur ; de bien vouloir faire publier ma présente lettre comme contribution à ce débat. Très cordialement

84-le tourisme de masse menace les traditions locales

Objet : réaction à l’article du 07 janvier 2020 Monsieur le rédacteur en chef, Fidèle lectrice de votre journal, je vous écris aujourdhui en réaction à votre article paru dans l’édition du 07janvier 2020 dans le quel vous avez déclaré : « le tourisme de masse menace les traditions locales » ; et j’aimerais vous faire part de ma réfléxion à ce sujet Tout d’abord ; le tourisme de masse menace des sites naturels et historiques dailleurs L'Organisation mondiale du tourisme s'inquiète de la menace que représente le flux incessant de visiteurs pour la préservation des grands sites touristiques internationaux, Venise, les Maldives, Petra, les pyramides d'Egypte. Ensuite ; la Transformation des traditions locales aux produits marketing a travers des mises en scènes. Les traditions sont de plus en plus “simulées”, “jouées”, “mises en scène”. C’est pour cela que les traditions perdent de leur authenticité et spontanéité. Car le tourisme de masses développe des procédés (de plus en plus automatiques) pour gagner toujours plus d’argent grâce à ces expériences autour des traditions. enfin ; L’afflux de masse des touristes implique une adaptation de l’infrastructure globale et l’écrasement de certains traditions et la demande touristique demande si forte la création des industries locales, des infrastructures et des offres adéquats. -Entre temps certaines traditions se sont perdues ainsi que la pertes de valeurs de solidarité, chaque voisin, chaque région voisine devient un ou une concurrente. Et tout devient business. En somme, celle-ci sont les raisons pour les quelles je suis tout a fait d’accord que le tourisme de masse est une menace pour les traditions locales », de plus j’aimerais bien connaitre l’opinion d’autres lecteurs ; je vous prie monsieur ; de bien vouloir faire publier ma présente lettre comme contribution à ce débat. Très cordialement

85-L’apprentissage d’un instrument musical doit être obligatoire Objet. Réaction de l’article du 21 juin 2000 Suite à la lecture de l’article du 20 juin 2020, publié dans la rubrique « culture », j’ai voulu réagir et prendre position. Je suis plus au moins d’accord avec l’auteur qui avance que « l’apprentissage d’un instrument de music doit être obligatoire. Tout d'abord, la musique joue un rôle très important pour développer notre mémoire, c’est un moyen qui aide au développement de notre cerveau car il renforce la zone responsable de la mémorisation; les scientifiques affirment que les gens qui jouent avec un instrument musical n’ont pas de problème d’oubli et n’auront jamais la maladie d’Alzheimer. Ensuite, apprendre un instrument de musique offre un bon moment de détente et de relaxation ; à travers cette activité; on évacue toutes les énergies négatives cumulées, on aura

un esprit sain et net. Donc pratiquer une séance pour les étudiants leurs permettra de régénérer leurs esprits et avoir une bonne humeur. Cependant, vu la différence des goûts, on ne peut pas rendre l'apprentissage de la musique une chose obligatoire car il y’a des gens qui aime le football plus que la musique, il y en a d’autres qui préfère la gymnastique ou bien la natation ou l’équitation... Donc, il faut leurs donner des alternatives, et c’est aux étudiants de choisir, afin de satisfaire tous les goûts. En somme, celles –ci sont les raisons pour lesquelles je pense que l’apprentissage d’un instrument de musique doit être une activité parmi d’autres dans le programme scolaire. De plus, j’aimerai bien connaitre l’opinion d’autres lecteurs. Je vous prie, Madame, Monsieur, de bien vouloir faire publier la présente lettre comme contribution à ce débat. Très cordialement

86-L'accès à la culture doit être gratuit Objet : Réaction à l'article du 15 juin 2018 Madame la rédactrice en chef,

Fidèle lectrice de votre rubrique « culture et société », je vous écris aujourd’hui en réaction à votre article paru dans l’édition 15 juin 2018.  En effet, je m’oppose totalement à votre argumentation en faveur d’un accès gratuit à la culture et ce, pour trois raisons principales.4 Pour commencer, la gratuité d’accès aux organismes culturels signerait la perte d’une source de financement.  Le prix des billets d’entrée constitue sans aucun doute une entrée d’argent non négligeable. Celle-ci permet d’assurer la rémunération des salariés, l’entretien des locaux ou encore le bon accueil des artistes.  Sans l’apport financier des visiteurs, il est possible qu’un musée manque de fonds pour accueillir une nouvelle exposition par exemple et, de fait, en prive ceux qui le visitent. Outre cela, imposer l’achat d’un billet pour accéder à certaines œuvres culturelles participe grandement à la valeur ou au prestige de celles-ci.  Tout comme le Champagne est plus renommé qu’un Pol Carson de Leclerc, un musée, un théâtre ou un cinéma payant aura une image de marque plus forte que s’il est gratuit C’est pourquoi les grands musées tels que le Louvre ne peuvent pas se permettre d’être entièrement libres d’accès : le prix d’entrée renforce leur statut de haut lieu de la culture. Enfin, contrairement à ce que l’on pourrait penser, la gratuité ne permet pas une diffusion plus large de la culture.  Le problème de la non-fréquentation des organismes culturels par certains types de population est effectivement loin de se limiter à la question du coût de l’entrée.  Cela est illustré par le fait que ce ne sont pas les ouvriers, les non-diplômés et ceux ayant des bas revenus qui profitent le plus des journées portes ouvertes, mais ceux ayant des hauts revenus et les personnes déjà adeptes de la culture. Voilà pourquoi, madame, je pense que l’accès à la culture ne doit pas être gratuit.  Je comprends néanmoins que d’autres ne soient pas du même avis que moi. Je serai donc ravie de vous voir publier un sondage à ce sujet Veuillez croire, chère madame, à mes sentiments cordiaux et respectueux.

87-avec l’internet et les réseaux sociaux nous sommes devenue une marchandise Objet : réaction à l’article de 15/01/2020

Monsieur le rédacteur en chef ; Fidèle lectrice de votre journal ; je vous écris aujourdhui en récation à votre article paru dans l’édition du 15/01/2020 dans lequel vous avez déclaré : « avec l’internet et les réseaux sociaux nous sommes devenus une marchandise ; et j’aimerais vous faire part de ma réfléction à ce sujet. Tout d’abord ; de nos jours la technologie devient un élément essentiel de notre vie quotidienne, nous sommes de plus en plus disposés à fournir des informations personnelles en échange d'une expérience plus facile. En effet ; la plus grande menace pour notre vie privée, en 2020, vient bien des réseaux sociaux et des géants du web, dont les services sont gratuits en échange de la marchandisation de nos données et cela par la collecte de nos informations personnelles. Ensuite :à travers tous ses services (Maps, Drive, Gmail, YouTube, Chrome, Calendar) et son moteur de recherches, par exemple : Google sait où nous somme allé, a créé notre “profil publicitaire” à partir de nos informations personnelles, connaît toutes les applications mobiles que nous utilisons, enregistre tout notre historique YouTube, et “scanne” nos e-mails pour y trouver des mots-clés. De la même manière, Facebook sait où nous nous connectons, quand et depuis quel appareil. Il sait presque tout de nous et de nos goûts - ce qui a permis entre 2015 et 2018 à la société d’analyser les de données Cambridge Analytica d’exploiter une multitude de données pour “microcibler” les consommateurs ou les électeurs, sur le plan individuel, afin de leur envoyer les messages les plus susceptibles d'influencer leur comportement. Enfin ; Prédire l’avenir de la vie privée nécessite de s’attarder d’abord sur le présent. Sur la façon dont ce concept, ainsi que les lois qui le protègent en ligne, sont chamboulés depuis 10 ou 15 ans par les nouvelles technologies et les réseaux sociaux. Des Big Data à la biométrie, de Facebook à l’internet des objets, les différents visages du web d’aujourd’hui concourent tous à nous créer une identité numérique ; un avatar virtuel composé d’une masse colossale de données de toutes sortes. Des données brutes qui intéressent les réseaux sociaux et les entreprises ; car brassées par des logiciels d’IA, elles constituent une vraie mine d’or, tout à fait “désanonymisable”. En somme, celles –ci sont les raisons pour lesquelles je pense qu’avec l’internet et les réseaux sociaux nous somme devenue une marchandise. De plus, j’aimerai bien connaitre l’opinion d’autres lecteurs. Je vous prie, Monsieur, de bien vouloir faire publier la présente lettre comme contribution à ce débat. Très cordialement

88- les voyages ne sont plus destinés uniquement aux aisés"

Madame, Monsieur, Suite à votre article paru le 02 Janvier dernier dans lequel vous déclariez que les voyages n’étaient plus destinés uniquement aux aisés, et après lecture des réactions de nombre de vos lecteurs, je voudrais à mon tour apporter quelques réflexions. Au premier abord, et comme l’a écrit Mr Rayan.S de Paris au courrier des lecteurs, Le tourisme est en quelque sorte un loisir, il nécessite un budget que tout le monde ne peut se permettre. Toutefois, cet "extra " qui ; autre fois était considéré comme un luxe réservé qu’à la haute société, n’est aujourd’hui qu’un plaisir que peut s’accorder toute personne qui sait faire preuve d’organisation, de savoir vivre et d’ouverture d’esprit. Certes, les personnes aisées peuvent se permettre de voyager sans penser à économiser, cependant en se donnant les moyens tout le monde peut également y arriver, il suffit par exemple de mettre une somme de coté à chaque fin de mois ; aussi petite soit-elle, ou de prendre un deuxième emploi à mi-temps selon sa disponibilité ou même travailler en ligne, il est aussi possible de demander un visas de travail comme le propose le Canada, cela permet de générer de l’argent tout en passant des vacances . De plus, « voyage » ne rime pas forcément avec « organisé ». De nos jours, avec internet à la portée de tous, il est très facile de préparer soi-même son circuit de A à Z ainsi économiser les frais des agences de voyages, qui coute parfois presque le prix d’un deuxième séjour. En effet, en faisant quelques recherches, on trouve même des retours de touristes dont; des conseils, des lieux

à visiter; ou au contraire à éviter, les journées musés gratuites...etc et beaucoup d’autres tuyaux qu’aucune agence ne fournit gracieusement. En fin, si les riches peuvent se permettre les hôtels et restaurants cinq étoiles, il existe des auberges moins luxueuses mais tout aussi propres, certaines même avec des petites kitchenettes ou il est possible de cuisiner ainsi économiser les frais des fast-foods. C’est aussi l’endroit parfais pour se faire des amis et ainsi partager ses plans de voyage. Pour conclure, le voyage est aujourd’hui accessible à tous, peut-être même plus intéressant pour la personne qui prépare méticuleusement son voyage en économisant le moindre sous car; contrairement aux riches ; au lieu de se terrer dans un grand hôtel et passer ses journées à bronzer en face de la piscine, celle-ci profite de chaque instant pour rentabiliser ses sacrifices. J’espère que mon article vous plaira en vue de le publier dans une prochaine édition de votre journal afin d’ouvrir le débat à vos chers lecteurs. Veuillez agréer, madame, monsieur, le sentiment de mes salutations les plus distinguées.

89- L’achat des nouveaux vêtements est irresponsable !  









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Monsieur le rédacteur en chef Je me permets de vous adressez ce courrier car je suis une fidele lectrice à votre journal, je vous écris aujourd’hui en réaction à votre article intitulé « l’achat des nouveaux vêtements est irresponsable »permettez moi de vous faire part de mon point de vue Certes, ce vêtir est un besoin pour l’homme depuis son apparition sur terre, c’est un moyen qui lui permet de se protéger du froid de l’hiver et de la chaleur d’été donc il lui faut des vêtements qui convient a chaque saison surtout s’il ne possède pas c’est une obligation pour lui d’acheter pour subvenir ces besoin. En outre, faire des achats de vêtement est considéré comme du shoping et ce derniers permet un certain sentiment de bonheur, il contribue à la diminution de stress et de la fatigue surtout moral selon les dernières recherche réaliser, d’ailleurs, actuellement les médecins conseille de faire le shoping surtout pour les femmes au foyer, il est considérer comme un sport et en plus c’est un changement de la routine. En plus, l’habillement est un moyen d’expression individuelle qui contribue à l’affirmation du soi et donne une certaine confiance, quand on s’habille de la manière dont on veut permet de contribuer au confort et bien être de l’individu, aussi même dans le domaine du travail un bon style vestimentaire donne une bonne impression on peut citer l’exemple d’un employeur qui aurait honte de son personnel pour l’envoyer chez un client grâce à son style vestimentaire. En fin, en part du principe de ADAM SMITH qui à déjà dit que « rien ne se perte dans la nature tout se transforme » actuellement avec le principe du recyclage rien ne peut êtres jeter , les vêtements qui sont réutilisables on peu faire des dons au personne qui ont besoins ou bien enrichir la fripe pour que les personnes avec un revenu moyen peut ce bénéficier de cet avantage, ainsi pour certain vêtement qui ne sont pas réutilisable on peut les transformes d’autre manière on peu citer l’exemple des couturières qui modifie une chemise pour avoir un tablier de cuisine. C’est pour ces raisons la que je pense que l’achat des vêtements n’est pas considérer comme un acte irresponsable, néomoins d’autre lecteur ne sont pas de même avis que moi ,je serai ravis de vous voir publier un sondage à ce sujet Veillez agrée monsieur le rédacteur en chef l’expression de ma parfaite considération.

90- Il faut habiter seul pour devenir un adulte responsable.

Monsieur le rédacteur en chef,

Faisant suite à votre article publié le 05 janvier 2021dans lequel vous déclariez qu’: « il [fallait] habiter seul pour devenir un adulte responsable ». Je voudrais par la présente apporter quelques réflexions sur ce sujet. Certes comme l’a décrit votre journaliste G.S dans son article, habiter seul, loin du cocon familial, pourrait nous obliger à endosser nos responsabilités et éliminer toute possibilité de délégation. Néanmoins, je pense qu’être un adulte responsable n’est pas forcément lié au fait d’habiter seul. La responsabilité est un apprentissage de long halène et progressif. Être un majeur responsable de ses actes ne se fait pas en se jetant tout seul face à des problématiques de la vie. Une phase d’accompagnement est nécessaire, elle permet de bâtir le sens de responsabilité sur des bases solides et durables. D’ailleurs, le compagnonnage est une technique utiliser par les coachs de vie pour accentuer l’engagement chez les personnes qui fuient leurs problèmes. En outre, le sens de la responsabilité chez un adulte est mesuré pendant des situations sociales qui exigent des interactions avec autrui. La solitude ne peut que diluer l’engagement de la personne envers ses devoirs. Elle lui permettra d’être sélectif face à ses responsabilités, or être responsable c’est on l’est ou on ne l’est pas. De plus, devenir un adulte responsable est de toute évidence liée à l’âge légal et le dégrée de conscience de la personne ce n’est pas lié à la vie seule. Par exemple, on ne pourra pas dire que les adultes vivant en couple ou en colocation sont irresponsables. Au contraire, ils développent chacun une responsabilité individuelle et une responsabilité collective envers les engagements que leur union se doit d’honorer. En conclusion, vivre seul peut-être un moyen pour pousser quelques irresponsables en-dehors de leur zone de confort, tout de même, la responsabilité est un apprentissage qui se forge par la vie en société et se renforce par les innombrables expériences sociales que l’adulte doit gérer durant sa vie avec les autres. En espérant que ma réflexion soit publiée, veuillez agréer monsieur le rédacteur en chef, l’expression de mes respectueuses salutations.

91-le travail occupe une trop grande place dans notre vie

Madame, Monsieur, Suite à votre article dans lequel vous déclariez que le travail occupait une trop grande place dans notre vie, et après lecture des réactions qu'il a suscité, je voudrais apporter à mon tour quelques réflexions. Tout d’abord, comme l’a écrit Mr Michel.S de Rouen dans le courrier des lecteurs, le travail représente une nécessité vitale faisant pleinement partie de nos vies, certes il nous permet de subvenir à nos besoins. Toutefois, le temps que l’on lui consacre dans notre quotidien est devenu tellement exagéré qu’on se retrouve à vivre pour travailler et non pas à travailler pour vivre. En effet, le travail occupe au minimum huit heures de notre journée, sans compter le temps du trajet pour s’y rendre, les heures supplémentaires pour certains et les weekends pour d’autres, tout cela pour générer de l’argent qu’on n’a presque pas le temps de dépenser pour le plaisir, si ce n’est qu’en loyer ou en nourriture. Un sondage d’une revue américaine a révélé que 82% des employés passent plus de neuf heures quotidiennement au bureau, ce qui est largement au-dessus de la moyenne. De plus, le travail est tellement présent dans notre vie qu’il est devenu normal de parler boulot à chaque occasion, même à table entouré de ses enfants qui ne comprennent rien à la conversation. Certains même s’énervent quand on ne les écoute pas avec l’intérêt qu’ils attendent de recevoir, aussi agaçant soit le sujet ou sa redondance. Une étude socioprofessionnelle a démontré que 90% des salariés répercutent leurs problèmes professionnels sur leurs relations familiales et amicales. Enfin, et c’est certainement les point le plus important, les horaires abusives au travail ne sont absolument pas favorables au maintien d’une bonne santé mentale. En effet, le syndrome d’épuisement professionnel, ou le « burn-out » est de plus en plus observé au sein des sociétés. Selon la commission de la santé mentale du Canada les troublent anxieux et la dépression figurent parmi les maladies psychiatriques les plus fréquentes dans les milieux de travail.

En résumé, certes, personne ne peut se passer du travail, mais la place qu’il occupe dans notre quotidien est devenue démesurée. Le travail doit permettre à chacun de nous de vivre et non pas seulement de survivre. Dans l’espoir que mon article vous plaira, veuillez agréer Madame, Monsieur, l’expression de mes salutations distinguées. MB 92- L’ancienne génération est mieux éduquée que la nouvelle » Madame, Monsieur, Suite à votre article paru le 02 Janvier dans lequel vous déclariez que l’ancienne génération était mieux éduquée que la nouvelle, et après lecture des réactions outrées de nombre de vos lecteurs, je voudrais à mon tour partager mon opinion. Au premier abord, il est vrai que la génération d’aujourd’hui; comparée à celle de nos aînés, manque particulièrement de savoir, de savoir-être et de savoir-faire, car beaucoup de parents font l’erreur de s’appuyer sur l’école pour l’éducation des plus jeunes, hors la mission d’inculquer ces valeurs aux enfants doit impérativement commencer au sein de la famille qui constitue la cellule de base en matière d’éducation, et s’acheminer dans les institutions scolaires. Je cite l’exemple des formules de politesses « s’il vous plait et merci », censées être imprégnées dans le langage d’un enfant de 6 ans, l’âge de scolarisation, malheureusement certains parents se cachant derrière les phrases telles que « il est encore jeune » se voient plus tard, confrontés tant bien que mal à rattraper leurs erreurs. De fait, de nos jours les parents sont beaucoup plus tolérants envers leurs enfants. Autrefois l’éducation était basée sur la peur des parents, mais aussi de la société, peur de ne pas réussir sa vie ou de faire honte à sa famille. Cette dictature de l’adulte vis-à-vis de l’enfant a amené la nouvelle génération de parents à éviter de reproduire le même autoritarisme qu’ils ont subie durant leur enfance, et dans la majorité des cas ils basculent vers l’autre extrême, le respect a presque disparu. Selon un sondage d’une revue américaine, une famille sur trois est victime de conflits parents-enfant pour cause de mauvaise éducation. Enfin, et c’est là la pire des raisons de changement de valeurs que nous subissons ; l’apparition des nouvelles technologies face à des parents complètement démissionnaires. Effectivement, cette génération est presque totalement individualiste, les enfants passent plus de temps seuls en face de leurs écrans qu’en famille, ce qu’il en découle un manque de communication, d’où l’absence d’écoute. Une étude universitaire a révélé que la nouvelle génération ultra connectée peine à se concentrée, et que dans 70% des cas, les parents ne sont pas conscients de l’état de leurs enfants. Pour conclure, je dirai que oui nos aînés étaient mieux éduqués que nos enfants mais gardons en tête que c’est cette ancienne génération qui éduque la nouvelle, et donc ce ne sont certainement pas les enfants d’aujourd’hui qui sont à blâmés mais plutôt les méthodes et la pédagogie utilisés par leurs éducateurs qui sont à revoir. Veuillez agréer madame, monsieur, l’expression de mes salutations distinguées. M.B

93- NOUS DEVONS ARRÊTER D’IMPOSER AUX ÉLÈVES LES ROMANS À L’ÉCOLE. 

Fidèle lecteur de votre journal, je vous écris aujourd’hui en réaction a votre article paru dans l’édition du 15 Janvier 2019 dans lequel vous avez déclaré : « nous devons arreter d’imposer aux éleves les romans à l’école ». Je voudrais a mon tour faire part de mes réflexions sur le sujet, en effet je voudrais en apporter quelques précisions :

Tout d’abord ; La lecture peut s’avérer être un excellent moyen de canaliser  une énergie physique débordante, voire une éventuelle hyperactivité. En effet, et tout en favorisant la concentration, pendant des séances dédiées à la lecture, les élèves se sentiront apaisés et relaxés. Prenons le cas de certains

établissements qui programment des séances d’études d’oeuvres littéraires, ils ont observé un impact positif tant sur le comportement de leur élèves que sur leur résultats et capacité à assimiler  De plus, la lecture encadrée constitue une alternative certaine à l’envahissement des écrans. Ceux-ci sont présents quotidiennement dans la vie de nos enfants; télévision, tablettes et téléphones mobiles autant de risque d’addiction que la lecture sait enrayer. En tant que parent je suis soulagée de savoir que l’emploi du temps de mon fils prévoit six heures de lecture par semaine, ce seront donc six heures de moins  passées loin des écrans et cela est très rassurant.  En outre, la lecture permet à l’enfant de développer tant sa culture générale le renforcement de son orthographe. En effet, lire attentivement permet aussi bien de fixer le thème que la structure d’écriture et de rédaction . En somme, celles –ci sont les raisons pour lesquelles je pense que nous devons arreter d’imposer aux éleves les romans à l’école. De plus, j’aimerai bien connaitre l’opinion d’autres lecteurs. Je vous prie, Monsieur, de bien vouloir faire publier la présente lettre comme contribution à ce débat. Très cordialement

94-Dans le monde moderne, particulièrement dans les grandes villes, l'hospitalité traditionnelle se perd. Monsieur, Je me permets de vous adresser ce courrier car je suis un fidèle lecteur depuis la création de votre journal. Aujourd’hui si je vous écris, c’est en tant que citoyen canadien et du monde soucieux du future de notre société. J’ai été très heureux de lire votre article « Dans le monde moderne, particulièrement dans les grandes villes, l'hospitalité traditionnelle se perd » Je suis totalement en accord avec ce que vous avancez. L’hospitalité traditionnelle se perd suite à l’apparition de plusieurs phénomènes perturbateurs je dirais. Tout d’abord, l’arrivé du digital et de ce vaste monde virtuel qui englouti l’humanité dans une dépendance accrue à l’utilisation des réseaux sociaux, Comme le démontre les études, plus de 87% des gens utilises au moins un réseau social par jour envirent 7h, sans oublier l’intégration des jeux vidéo sur smartphone qui ne permette plus à personne de maintenir une conversation sans vérifier son téléphone chaque 2 minutes. De plus, le nombre d’habitent ne cesse d’évoluer dans les grandes villes au fil des années engendrent avec lui une hausse des prix des besoins les plus basique (nourriture, loyer, transport), tout le monde vise les grandes villes afin de trouver du travail et vivre une vie meilleur, mais à force il finisse par faire augmenter le taux de chômage qui est actuellement monté de 2% à 7% selon les dernières statistiques de 2020. Aussi, le manque de confiance et la non sécurité pousse les gens à ce protéger du danger et éviter le contacte, actuellement il n’y a pas un jour qui passe sans entendre parler d’arnaque, d’agression, de vol, de viole ou d’attenta terroriste. Tout le monde a peur au point que l’hospitalité traditionnelle est devenue un mythe.

Il est de notre devoir d’éveiller cette tradition que nous avons hériter de nos ancêtres qui n’est autre que l’hospitalité, le partage et la convivialité. Je vous remercie d’avoir parler de ce sujet, et j’ai été ravie de vous faire part de mon avis. J’espère que vous allez le publier. Je vous prie d’agréer, Monsieur, l’expressions, de mes salutations distinguées. 95-"iIl y a des métiers féminins et des métiers masculins que l'on le veuille ou non. Monsieur le Rrédacteur en chef, Fidèle Lecteur de votre journal, je me permets de réagir à votre article du 10 janvier 2021 publié dans la rubrique « . Celui-ci indiquait qu'il y avait des métiers féminins et des métiers masculins, que l’'on le veuille ou non. En effet, je désapprouve votre opinion et ceci pour trois raisons que j'exposerai dans mon argumentaire ci-après. Tout d'abord, avec le désir d'émancipation de la gente féminine, on assiste au fil des années à une révolution dans le monde professionnel et de la formation . En clair, les femmes s'investissent beaucoup dans tous les secteurs de formation, même ceux autrefois réservés exclusivement aux hommes. J'ai lu par exemple dans un journal que le nombre de femmes qui suivaient des formations militaires avait beaucoup augmenté Ensuite, Il convient d'évoquer le fait que certaines femmes occupent des postes àde responsabilité dans la haute sphère de notre société. De fait, elles sont de plus en plus animées par la volonté de prendre une part active dans l'élite gouvernante quitte à entrer en compétition avec des hommes. À titre d'illustration, je peux citer entre autres, Mme Angela Merkel, chancelière allemande. Enfin, certes, certaines femmes exercent dans des métiers qui autrefois destinés qu'aux hommes. Parallèlement,L’inverse s’observe également chez la gente masculine. Certains hommes, par passion, s'engagent dans des domaines quel'on qualifiait de féminins. C'est d'ailleurs le cas d’entre eux qui sont attirés par le métier de maïeuticien. En guise de conclusion, l'égalité des sexes et l'abnégation des femmes sont les raisons pour lesquelles j'estime judicieux que tous les métiers soient mixtes en termes de genre. J'ose espérer que mes écrits feront l'objet d'une prochaine publication dans votre journal. Meilleurs salutations

96-Les personnes âgées doivent avoir un smartphone

Monsieur le Rrédacteur en chef, Fidèle lecteur de votre journal, je me permets de réagir à votre article paru le 14 jJanvier dernier dans la rubrique « société ». Celui-ci indiquait que les personnes âgées doivent avoir un smartphone. Sans vouloir fustiger votre journal, j’approuve votre opinion et ceci en raison de trois arguments que j’exposerai dans ci-après. Tout d'abord, à l’instar de plusieurs processes technologiques, le smartphone est un instrument de communication important dans la vie des hommes, toutes catégories d’âge confondues. Ainsi, les personnes du troisième âge peuvent utiliser les services qu’offrent ces gadgets innovants pour rester aisément en contact permanent avec les membres de leurs familles à l’autre bout du monde à l’aide d’es outils tels que WhatsApp, Facebook etc ... Ensuite, cet appareil peut faciliter la vie des personnes d’âges avancés à plusieurs niveaux, en particulier dans le domaine commercial. En effet, étant très souvent casaniers, ils ont la possibilité étant chez eux à domicile, de commander un article à

l’aide de leur téléphone portable et de se faire livrer sans se déplacer. À titre d’illustration, je pourrais citer la plateforme de vente en ligne Amazone qui permet de faire des achats de façon efficace. Pour terminer, le téléphone intelligent associé à internet, demeure un important vivier de connaissances pour toutes les classes d’âges. De ce fait, les personnes âgées doivent être amenées à posséder des smartphones pour s’imprégner de ce nouveau mode de recherche d’informations instructives. Par exemple, le moteur de recherche Google, installé dans ces téléphones, contient un nombre infini de données d’informations auxquels on peut avoir accès.

En guise de conclusion et à la lumière de ce qui précède, il paraît évident que les smartphone est devenu un mode de vie indispensable à tous, même aux personnes âgées. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle je pense qu’il faut leur favoriser l’accès àde ces appareils. Veuillez agréer, Monsieur, l’expression de mes salutations distinguées. 97-les postes les plus importants doivent être accordés au plus de 50 ans » Objet : réflexion à l’article « les postes les plus importants doivent être accordés au plus de 50 ans J’ai lu avec grand intérêt l’article de Monsieur, GABRIEL GASTEX, publier dans votre journal le 20 mars 2021 que vous a publié dans votre journal qui porte sur l’obligation d’affecter les postes les plus pertinents aux personnes qui dépassent les 50 ans, et après la lecture de nombreuses réactions de vos lecteurs j’aimerais par la suite apporter quelques réflexions. L’àge et le travail étaient depuis longtemps un sujet de débat dans notre société, qui affirme que cette dichotomie est indissociable. En effet, les personnes les plus âgées jouent un rôle primordial aujourd’hui dans le marché de travail et concurrent les juniors d’occuper les postes les plus pertinents. Il est de toute évidence, que le rythme des quinquas est souvent classé comme paresseux et non efficace, sachant que les plus de 50 ans présentent des difficultés à adopter des nouvelles habitudes et maîtriser l’outils informatique. En revanche, selon moi, cette tranche âge porte une panoplie d’avantages indéniables pour les employés. De prime d’abord, les séniors peuvent se montrer plus réticents aux différents changements au sein de travail et montrent moins d’aisance et de flexibilité par apport à son homologue le jeune. À titre illustratif, selon des études et des statistiques faites par le ministère de travail de France, 30% des travailleurs expérimentés ont commis des erreurs fatales, dans des postes d’envergure rien que par l’analphabète de l’ordinateur cela a engendrée des pertes colossales dans les chiffres d’affaires. Néanmoins, les postes les plus intéressants doivent affecter aux séniors, car ils ont un large panel d’expérience cumuler d’une résultante des années de travail. Autrement dit le temps de la formation au détriment de la productivité sera éliminé, et le travail peut commencer rapidement grâce à une expérience élargie et enrichissante. Réellement, selon le journal Libération, un travailleur âgé peut être fonctionnel et opérationnel 3 foies doubles qu’un employés plus jeunes grâce à sa qualification extrême. De plus, il faut mettre l’accent sur les relations professionnelles qu’un travailleur quinqua profite. Assurément, grâce à leur réseautage, ils auront plus la faculté de gérer la communication et rentabiliser l’interconnexion entre les fournisseurs et son équipe. On ne peut pas nier les sondages réaliser par l’université de Toronto de sciences politiques, qui affirment que 60% des employés séniors sont recrutés dans des postes d’ampleur grâce à leurs réseaux relationnels et leurs portefeuilles clients.

En dépit de la pertinence de ce qui précède, il faut orienter les regards vers la crédibilité et la confiance chez les plus de 50 ans, car ils ont plusieurs années d’expérience et maturité qui apportent une réputation et un feedback positif pour l’entreprise. L’exemple le plus significatif et affirmatif est l’étude statistique faite par la plateforme LinkdIn qu’ont révélé que depuis 2008 le taux de recrutement des personnes dépassants les 50 ans a connu une progression exponentielle et cela grâce à leurs profils confiants et crédibles. En guise de conclusion, chaque génération à son lot d’avantages à offrir et il faut choisir les profils adéquats pour les postes recherchés l’âge n’a jamais été une limite de productivité, il faut juste montrer une haute persévérance et une haute volonté. 98-se fier aux grandes marques permet ascension sociale Bonjour madame la rédactrice en chef, Fidèle lectrice de votre journal, et étant à chaque fois d'accord avec ce que vous publié. Je me permets de vous écrire car, je ne partage pas votre point de vue concernant l'article paru hier 26 janvier proclamant que s'habiller chez les marques de luxe permettait une ascension sociale et j’aimerai vous expliquer la raison de mon désaccord. Premièrement, investir ailleurs que dans des articles de marques de luxe serait plus bénéfique socialement. Effectivement, les marques de luxes ont des prix exorbitants sans aucun retour sur investissement. Par exemple un seul sac à main peut couter plus de 3000 euro. Donc s'habiller uniquement chez les enseignes de luxe nécessite beaucoup d’argent. Les fonds seraient bien plus rentables s’ils étaient placés dans la création d'entreprise ou bien d'association à but humanitaire. Ve qui permettra d'avoir un meilleur statut dans la société. Ensuite, sur le plan social, les accomplissements des individus sont plus importants que ce qu'ils portent. En effet, c'est le niveau d'étude, la culture et le fait d'innover dans le but d'apporter plus à la société qui permet de se démarquer et gravir les échelons social. Prenons l'exemple de mark zuckuerberg le fondateur du célèbre réseau social "facebook" toujours vêtu d’un simple t-shirt. Cela ne l’a pas empêché de faire partie des hommes les plus riches et d’avoir l’un des meilleurs carnet d'adresses. Enfin, personne ne devrait s'habiller pour exhiber sa fortune ou pour espérer une soit disant ascension sociale. A mon avis, le style vestimentaire est personnel et permet uniquement de se sentir bien et de dégager une image qui nous ressemble. Dans le cas où une personne affectionne les marques de luxes et se dirige vers celles-ci, c'est uniquement pour se faire plaisir à elle-même et non pour autrui. En somme, voici à mon humble avis, pourquoi le choix de des marques vestimentaires n’a aucun lien avec le rang social occupé. Je vous prie, madame d’agréer mes salutations les plus distinguées 99-On devrait prendre l'avion qu'une seule fois par an maximum pour protéger la planète Monsieur, Après lecture de l’article N°3 paru dans la dernière édition de votre journal, dans lequel vous déclariez que l’on devait limiter nos voyages par avion pour protéger la planète, je viens à mon tour apporter quelques réflexions à ce sujet afin de vous expliquer les raisons pour lesquelles je ne partage pas votre opinion. Au premier abord, il est exact que sur le plan écologique, le bilan carbone a longtemps penché en faveur du train. Cependant, grâce aux développements à la pointe de la technologie, les avions modernes sont de moins en moins gourmands en kérosène. L’A350 par exemple, ne consomme que 2.6L de kérosène aux 100 km par passager, près de trois fois moins qu’une voiture moyenne. De plus, sans compter le fait que certains trajets sont dépourvus de routes et ne peuvent être accessibles que par voie aérienne, l’avion est le moyen de transport le plus rapide au monde. En effet, l’avion est trois fois plus rapide que le train, et sa vitesse est incomparable à celle d’une

voiture. Par exemple, il suffit d’une petite heure pour se rendre de Paris à Londres par avion, et de presque 6 heures par voie routière. En dernier lieu, l’avion reste le moyen de transport le plus sécurisé. Statistiquement, les accidents sur les trajets aériens représentent une part infime comparés à ceux de la route. Selon un sondage, il y a 44 fois plus de risque de mourir d’un accident de voiture sur le trajet Paris-Rouen que d’un accident aérien lors d’un vol Paris-New York. Finalement, je dirai qu’à défaut de priver les gens de voyager à leurs guises, il serait plus judicieux d’investir davantage dans la sécurité et la recherche liée à la consommation écologique des avions modernes. Voilà pourquoi je ne partage pas votre avis. J’espère que mes arguments pourront enrichir votre réflexion sur le sujet, et que vous publierez ma lettre dans une prochaine édition afin d’ouvrir le débat à vos chers lecteurs. Veuillez agréer, Monsieur SHELBY, l’expression de mes sentiments les plus distingués. 100-on devait arrêter d’apprendre les langues étrangères et se concentrer sur notre langue maternelle adame, Monsieur, Suite à votre article paru le 02 Janvier de la dernière édition, dans lequel vous déclariez que l’on devait arrêter d’apprendre les langues étrangères et se concentrer sur notre langue maternelle, et après lecture des réactions de nombre de vos lecteurs, je voudrais apporter à mon tour quelques réflexions. Il est vrai que la langue maternelle devrait être correctement maîtrisée par tout individu, car elle constitue son identité mais aussi le premier patrimoine immatériel de son pays natal. Toutefois l’apprentissage des autres langues n’en reste pas moins important. Permettez-moi donc de vous expliquer pour quelles raisons je suis en désaccord avec votre précédente affirmation. Tout d’abord, la maîtrise d’une langue étrangère est un atout non négligeable pour la carrière professionnelle. Parler couramment anglais par exemple offre d’avantages accès aux opportunités professionnelles, améliore la mobilité géographique, et peut servir d’argument de négociation de salaire lors d’un entretien d’embauche. Prenons le cas des multinationales, ou les employés polyglottes aspirent à une meilleure rémunération, la majorité arrivent à négocier une augmentation d’au moins 15%. De plus, la compréhension interculturelle n’est possible que grâce à la maîtrise des langues étrangères. S’imprégner de cultures différentes favorise l’ouverture aux autres, l’ouverture d’esprit et la tolérance envers les différences. D’après un sondage réalisé par la revue CULTURE, 85 % des personnes qui réussissent leur immigration attribuent ce succès à la maîtrise de la langue. Enfin, le développement continu des compétences linguistiques agit de manière bénéfique sur le cerveau. L’apprentissage des langues permet d’améliorer les capacités cognitives, notamment la stimulation de la mémoire cérébrale. Une étude médicale réalisée dans un hôpital psychiatrique a révélé que les personnes polyglottes ont moins de chances d’attraper l’Alzheimer à l’âge avancé. En somme, il en va sans dire que la maîtrise de sa langue maternelle est nécessaire, mais il serait inconcevable de négliger les multiples horizons que nous ouvrent les langues étrangères. Voilà pourquoi je ne partage pas votre point de vue. J’espère que mon article vous plaira et que vous le publierez dans une prochaine édition. Veuillez agréer Madame, Monsieur, mes salutations les plus distinguées. 101-les mensonges sont parfois acceptables, selon le contexte uite à votre article paru le 21 Janvier 2021, dans votre journal « société » dans lequel vous déclariez que « les mensonges sont parfois acceptables, selon le contexte »je souhaiterais apporter ma réflexion à ce sujet. Certes comme l’a écrit votre journaliste G.S, le mensonge peut être maladif chez les mythomanes et on a nul le choix que de l’accepter. Cependant, je considère que ce fléau n’est pas acceptable

dans aucun contexte parce que le tolérer c’est une invitation à enfreindre les mœurs sociétales et religieux. En effet, le mensonge fragilise les relations humaines. Il est l’initiation d’une trahison et conduit d’une manière ou d’une autre à un désastre relationnel entre les personnes. En outre, on ne peut pas qualifier à l’avance l’ampleur d’un mensonge pour lui créer des dimensions de tolérances. Le mensonge une fois annoncé il ne cesse de grandir et son poids devient de plus en plus lourd à supporter. Tenant compte de cet effet boule de neige, on ne peut pas tolérer le mensonge. Enfin, jouer la comédie et inventer des histoires sont les solutions les plus faciles pour fuir ses problèmes et sa vérité. Ce dénigrement de sa personne et de sa réalité relève de l’irresponsabilité. D’ailleurs, c’est un mode opératoire utilisé principalement chez les arnaqueurs. L’accepter, c’est justifier les actes de ce genre de population. En conclusion, le mensonge aussi futile soit-il il finira toujours par se révéler. La vérité est le meilleur refuge peu importe le contexte. En espérant que ma réflexion retienne votre attention. Veuillez agréer, monsieur le rédacteur en chef, l’expression de mes respectueuses salutations. 102-télévision interdite pour les personnes âgées Suite à votre article paru le 22 janvier 2021, dans votre journal « santé senior » dans lequel vous déclariez que : « télévision interdite pour les personnes âgées ». Je souhaiterais apporter quelques réflexions à ce sujet. Certes comme l’a écrit votre journaliste R. L, la télévision rendrait nos ainés plus passifs et inactifs, étant donné qu’ils restent cloués devant elle à la longueur de la journée ; ce qui augmente le risque des maladies chroniques chez eux à l’instar de l’hypertension artérielle. Cependant, tous les seniors ne peuvent pas s’occuper à faire de l’activité physique ou de la lecture. Leurs états de santé sont usés à des différents grades. La télévision reste pour eux le moyen de distraction et de loisir le plus accessible. En outre, les personnes âgées ont suffisamment de vécu, de responsabilité et de recule pour choisir le contenue qu’ils souhaitent regarder sur leurs téléviseurs. Pourquoi s’autoproclamer comme leur tuteur et leur supprimer la télévision ? on n’est pas face à des enfants. Enfin, nos ainés ne méritent pas de voir leur droit à la liberté personnelle voler parce qu’ils ont vieillie. Leur interdire la télévision c’est enfreindre un droit constitutionnel et un droit des plus basique dans la vie. Nombreux sont ceux qui ont passé une vie précaire, souvent rythmé par les engagements familiaux et les contraintes professionnelles, il est temps de leur laisser la liberté de profiter de leur fin de vie comme ils le souhaitent. En somme, je pense que cette proposition est déplacée envers les seniors. Je suis convaincu qu’on peu veiller sur eux tout en leur laissant le choix de regarder ou pas la télévision. En espérant que ma réflexion retienne votre attention. Veuillez agréer, Monsieur le rédacteur en chef, l’expression de mes respectueuses salutations. 103- la relation intergénérationnelle est en danger 

Mr le réacteur en chef, Fidèle lectrice de votre journal, je vous écris suite à l’article paru dans l’édition du 05 août dans lequel vous avez déclaré que « la relation intergénérationnelle est en danger » je voudrai à mon tour apporter mes réflexions sur le sujet. Aujourd’hui la relation intergénérationnelle fait la une des journaux, certains sociologues pensent que l’hypothèse selon laquelle, les ainés sont de plus en plus susceptible d’être marginalisés, est vraisemblablement rationnelle, c’est sur ce sillage que je compte étayer cette opinions et ce, on me basant sur ce qui suit : Au premier abord, la santé des ainés ne leurs permet pas de partager certaines activités ludiques avec les enfants, on déplore chaque année la situation dans nos EHPAD, en effet, un

tiers des personnes nées entre les années quarante et soixante sont atteinte d’au moins une maladie chronique. Par ailleurs, les nouvelles technologies demeurent un mystère pour les séniors, ce qui engendre un frein pour la communication intergénérationnelle, une étude menée par l’agence nationale des statistiques a démontré que plus de 85 % des personnes âgées entre 70 et 90 ans bloquent devant ces technologies, et seulement 20 % d’entre elles ont la capacité de s’offrir des téléphones intelligents . De plus, le mode de vie des deux générations est complètement divergent, on trouve d’un coté les jeunes téméraires qui optent pour les voyager hors des frontières, à destination des régions exotiques, et de l’autre coté les ainés qui, eux, préfèrent roder autour des sentiers battus, ce qui empêche l’organisation d’un voyage commun. En raison de cet article, il est évident que la relation intergénérationnelle est en danger, malgré l’amour qui lie les enfants à leurs grands-parents, il est temps de prendre ce phénomène menaçant en considération, et lui trouver des solutions J’espère que mon article vous a plu en vu de le partager dans vos prochaine éditions et ouvrir ainsi débat à vos chers lecteurs. Veuillez agréer Mr le rédacteur en chef mes sincères salutations. Une fidèle lectrice

104-Qu’il est mauvais pour les enfants de lire les bandes dessinées  Fidèle lecteur de votre journal, je vous écris aujourd’hui en réaction à votre article paru dans l’édition du 17 Avril 2019 dans lequel vous avez déclaré « Qu’il est mauvais pour les enfants de lire les bandes dessinées ». Il convient de mentionner que la lecture de bandes dessinées est l’un des plaisirs qui mérite d’être vécu dès l’enfance. Non seulement parce qu’elles sont divertissantes, mais parce qu’elles contribuent beaucoup au développement cognitif des enfants. Cela les aide même à être plus pensifs et plus imaginatifs. Tout d’abord, la bande dessinée développe le vocabulaire et améliore l’orthographe. Comme tout autre type de lecture, lire des bandes dessinées implique l’incorporation de nouveaux mots et expressions. En fait, les bandes dessinées présentent souvent un usage particulier des signes de ponctuation. C’est donc une bonne occasion de préciser leurs utilisations possibles. La bande dessinée est un art populaire, son obligation première est de divertir, certes, mais elle peut aller au-delà, et quand elle le fait, elle cesse d’être un divertissement et devient très importante. Puis, quoi de mieux pour l’imagination d’un enfant que de lire des aventures passionnantes et de relever de nouveaux défis chaque semaine ? Les personnages, leurs pouvoirs et les puissants méchants caractéristiques de chaque dessin permettent à l’enfant d’entrer dans

un monde fantastique et profond. Cela donne lieu à de nombreux jeux, dessins et autres activités liées à la lecture. Aussi, essayer de deviner ce qui peut arriver dans le prochain tome est un autre bon exercice pour tirer le meilleur parti des bandes dessinées. Ensuite, la bande dessinée favorise les échanges et les relations interpersonnelles. Même si ce n’est plus comme avant, les magasins de bandes dessinées sont presque comme des clubs de quartier. On peut y trouver de nombreux enfants qui partagent non seulement des intérêts, mais aussi une passion pour ce genre d’histoires. En plus d’offrir la possibilité de rencontrer de nouveaux amis, la bande dessinée est au centre de nombreux événements gigantesques qui ouvrent la porte à de nouvelles expériences. La Convention internationale des bandes dessinées de San Diego – le fameux Comic-Con – en est un exemple. Mais il y a aussi des événements nationaux et locaux dans chaque région. J’espère que mon article vous plaira en vue de le publier dans une prochaine édition de votre journal afin d’ouvrir le débat à vos chers lecteurs Je vous prie monsieur le rédacteur en chef d’agréer mes sentiments les plus distingués