Union Special Lettres Et Email 2017 10-11-12 [PDF]

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Zitiervorschau

lettres & e-mails

Trio gagnant

MISE À DISPOSITION DES MINEURS INTERDITE

En rester bouche-baise

Tout feu, tout femmes

Un joyeux pince-fesses

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Spécial Lettres-&-e -mails

NoøtPDUPCSFtOPWFNCSFtEÏDFNCSF

Octobre

2017 numéro

Lettres & e-mails 56

SPÉCIAL

MISE À DISPOSITION DES MINEURS INTERDITE (art. 227-24 du Code pénal) Le fait, pour tout adulte, de proposer ou d’imposer à la vue d’un mineur les articles et photos contenus dans ce magazine est passible d’une sanction pénale.

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ILS NOUS

ÉCRIVENT

DOSSIER

50

ELLES NOUS

RÉCIT

DÉRAPAGE EN FORÊT

ILLUSTRÉ

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24 « SPÉCIAL PREMIÈRE FOIS »

ÉCRIVENT

ÉMOTION

88 RÉCIT ILLUSTRÉ

AU PETIT MATIN

TOUTE PREMIÈRE FOIS

102 FANTASME

116

HAPPY BIRTHDAY

E-mail : [email protected]

Comment conta ABONNEMENTS ■ En

France – Service Abonnement - 45 avenue du général Leclerc - 60 500 CHANTILLY. Tél. : 02 77 63 11 31. – E-mail : [email protected] – Net : www.unionabo.com – Tarif 4 numéros : 11,90 €. Après enregistrement de votre règlement, vous recevrez sous 4 à 6 semaines environ votre 1er numéro d’UNION. Si cet abonnement ne vous satisfait pas, vous pouvez demander le remboursement des numéros non reçus. ■ En Suisse – Dynapresse, 38, avenue Vibert, 1227 Carouge, Suisse – Tél. : 022 308 08 08. – E-mail : [email protected] – Tarif 4 numéros : 37,60 CHF. – Abonnez-vous en ligne sur www.dynapresse.ch. ■ USA et CANADA – Express Mag. Tarif d’abonnement annuel (12 nos Union + 4 nos Union spécial Lettres et e-mails) : 105 $ US pour les USA et de 109 $ CAN pour le Canada (TPS + TVQ non incluses). Tél. : (00 33) 2 77 63 11 31. ■ Autres pays – Tél. : (00 33) 2 77 63 11 31. Tél. : (00 33) 1 45 36 77 79. Net : www.unionabo.com UNION SPÉCIAL LETTRES & E-MAILS n° 56, octobre, novembre, décembre 2017, est édité par Montreux Publications, SA au capital de 100 €, enregistrée au registre du commerce de Paris sous le numéro 808 385 744 – 8, rue Barthélémy Danjou, 92100 Boulogne-Billancourt, France. Correspondance postale : Montreux Publications – Libre réponse 43227 – 92519 Boulogne-Billancourt Cedex – 8, rue Barthélémy Danjou, 92100 Boulogne-Billancourt, France. Correspondance e-mail : [email protected]. Publicité : WPP, siège social, 11, rue Chaptal, 92300 Levallois-Perret. Tél. : 01 47 57 80 00. Fax : 01 47 57 80 08. Mail  : [email protected], [email protected]. Vente anciens numéros : Tél.: 03 20 12 86 01. Dépôt légal : 4e trimestre 2017. Conseil Diffusion : Mercuri-Presse – Laurent Bouderlique – 33 1 42 36 87 78 – [email protected]. Diffusion Suisse : Naville et Kiosk. Diffusion France et autres pays : Transport Presse. L’éditeur n’est pas responsable des textes, illustrations, photos et dessins publiés qui engagent la seule responsabilité de leurs auteurs. Tous les modèles dont les photos paraissent dans ce numéro ont plus de 18 ans. Les documents adressés à la rédaction par courrier ou par e-mail ne sont pas rendus, leur envoi implique l’accord de leur auteur pour libre publication et adaptation sur tous supports. Ils deviennent la propriété d’UNION et peuvent être librement utilisés à des fins promotionnelles ou publicitaires en faveur du magazine sur tous supports, y compris numériques, dont le site Internet du magazine UNION. Les photos d’amateurs envoyées à la rédaction doivent obligatoirement représenter des personnes majeures et qui ont donné leur accord pour publication des images les représentant dans des situations sexuellement explicites. Pour des raisons techniques ou éditoriales, la rédaction se réserve le droit de modifier ou de raccourcir le contenu des courriers publiés. L’envoi d’un courrier accompagné d’une adresse e-mail autorise UNION à la parution de cette adresse dans le magazine sauf stipulation explicite contraire de la part de l’expéditeur. La parution de cette adresse e-mail n’engage en aucune façon le magazine quant aux suites éventuelles d’utilisations frauduleuses desdites adresses, en particulier en matière de rencontres entre lecteurs. La reproduction des textes, photographies et dessins publiés dans ce numéro est interdite. Ils sont la propriété exclusive de UNION SPÉCIAL LETTRES ET E-MAILS, qui se réserve tous les droits de reproduction, de traduction et d’adaptation sur tous supports dans le monde entier. © 2017 MONTREUX PUBLICATIONS SA. DANS CE NUMÉRO – Couverture : Photorama – Page 6 : « Les lecteurs racontent » Photorama et D.R. – Page 24 : Spécial « Première fois » Photorama et D.R. – Page 50 : « Elles nous écrivent » Photorama et D.R. – Page 72 : « Dérapage en forêt » Photorama – Page 88 : « Au petit matin » Photorama – Page 102 : « Toute première fois » Photorama – Page 116 « Happy birthday » Photorama. Directeur de la publication : Jean-Pierre Eskenazi Imprimé en France/Printed in France chez Maury, 45330 Malesherbes

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cter le magazine PAR COURRIER Envoyez vos récits en indiquant vos prénom, âge, ville ou département et profession.

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Les lecteurs

racontent

Afin de garantir votre anonymat, nous avons décidé de modifier tous l prénoms en signature de vos courriers. Si toutefois vous souhaitez voir apparaître votre vrai prénom, merci de nous le spécifier.

Spécial lettres et e-mails

écrivent

Les lecteurs racontent COURRIER AVEC

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Une fille au poil

J

e m’appelle Anthony et je suis coiffeur. Quand Jade, une de mes clientes régulières, m’a harcelé dans mon salon, j’ai cru que je rêvais. Elle m’a collé au bac à shampoing et elle m’a susurré à l’oreille : « Antho, j’aurais bien besoin de tes conseils pour une tonte... Mais entre les jambes ». J’ai regardé autour de nous pour m’assurer que personne n’avait entendu. Heureusement, c’était la fin de la journée et il ne restait plus que mon apprenti et une mémé qui faisait sa couleur. Jade ne m’a pas lâché : « Je sais que ton appart est juste au-dessus. On monte ? J’ai vraiment besoin de ça, là... » J’ai avalé ma salive. Jade m’avait raconté son histoire au fil de nos rendez-vous : un mari coincé, une libido en berne depuis des mois et un récent divorce... J’ai compris qu’elle avait envie que l’on booste son égo de femme délaissée. Et qu’elle m’avait choisi pour ça. J’ai pris un air sérieux et j’ai lâché : « Tu es sûre ? » Comme toute réponse, elle s’est à nouveau penchée vers moi... Et m’a collé sa langue dans l’oreille. J’ai frissonné de haut en bas. Je n’avais pas vraiment le choix, et puis la belle était si appétissante ! J’ai demandé à l’apprenti de gérer la mémé puis de fermer la boutique. Jade et moi avons monté les escaliers quatre à quatre. Depuis le temps que je m’occupais d’elle, j’avais pas mal fantasmé : sa vie sexuelle contrariée me donnait plein d’idées très coquines. Voilà que l’occasion de la satisfaire se présentait, mieux que dans mes scénarios les plus fous ! À peine entrée dans l’appart, la garce s’est jetée sur moi et m’a entraîné jusqu’à la chambre.

ai voulu prendre le temps de la déshabiller mais elle l'a fait, avant de déchirer à moitié ma chemise. Seigneur, elle était affamée ! On aurait dit qu’elle n’avait pas eu droit à un coup de bite depuis des lustres... J’ai retiré mon pantalon et elle s’est mise à mes pieds pour m’enfourner direct. Je ne sais pas comment j’ai pu me retenir de la remplir : sa bouche était comme du velours autour de ma bite et elle aspirait à fond ! Sans

parler de ses caresses sur mes couilles... Hum, j’en bande encore... Très vite, Jade a voulu que je l’insulte. Jamais une fille ne m’avait laissé faire ça, alors j’ai bredouillé : « Suce-moi ! » Bingo : elle a couiné de contentement. J’ai continué : « T’es belle quand tu suces. J’ai envie de voir ta chatoune, tu sais... » Dommage, elle a lâché ma queue et elle s’est allongée sur le lit. J’aurais bien continué de me faire pomper, mais j’ai rapidement trouvé de quoi me consoler : son joli con nacré et bien épilé. « Alors, tu me trouves comment ? », a miaulé Jade en se tripotant les nichons et en écartant grand les cuisses. J’ai tenté de trouver les mots : « Elle est magnifique, très bien tondue. Mais je crois que le poil manque un peu d’hydratation ». Et j’ai laissé échapper un bon gros filet de bave sur sa minette. Jade s’est tortillée, miaulant plus fort. Putain, il fallait que je l’enfile ! La voir allongée façon catin m’avait chauffé à mort. Je n’ai pas eu à pousser pour rentrer en elle : son minou était ouvert comme le tunnel sous la Manche ! Je me suis allongé sur elle et elle m’a dit à l’oreille : « J’en avais envie depuis longtemps... Ça fait presque un an que je n’ai pas senti de queue en moi. » utain, un an ! Elle était presque redevenue vierge... Alors je l’ai déglinguée dans les règles pour lui rappeler le goût de la baise. Elle a adoré que je la traite de chienne, que je lui tire les cheveux en lui léchant le cou. Elle a planté ses ongles dans mes fesses pour que je la bourre plus fort et j’ai fini par lui lâcher la purée. J’ai cru qu’elle en avait eu assez. Mais elle s’est foutue en levrette sur le lit pour que je continue. Je lui ai mis mon chibre qui commençait à ramollir et ça a fait des bruits de dingue, l’air et le sperme sortant de sa fente en quantité. Là, je lui ai raconté ce que

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des Anglaises, des Russes... Je mate souvent leurs jambes dans le rétro, surtout quand elles sont en jupe ras la schneck. Bref, dernièrement, j’ai aussi bossé de nuit pour faire plus de chiffre. Un soir, j’arrive sur les Champs-Élysées, en me disant que des gens ne vont pas tarder à sortir de boîte. Ça ne loupe pas : mon tel sonne pour une course. Je me rends là où attend la fille. Je la mate en me garant : elle est petite, ronde, avec des gros nibards moulés dans une robe qui a l’air chère. Elle est avec une copine super bonne. Le genre mannequin, blonde aux yeux bleus, avec une belle bouche. Je leur ouvre la portière et elles montent. ès que je démarre, je comprends qu’elles sont très chaudes. La petite défait son bustier et je peux tout voir. Sa copine rigole et commence à lui dire « Mais non, tu ne peux pas montrer tes nichons comme ça ! ». L’autre s’en fout, elle dit que sa robe la serre. Et puis « Le chauffeur, il regarde la route ». Tu parles : je mate tout dans le rétro. La blonde essaie de remonter le bustier de la brune, mais en vrai, elle en profite surtout pour lui tripoter les seins. L’autre rigole, puis elle l’embrasse sur la joue, dans la nuque... Et c’est là que ça part vraiment en vrille : les deux gonz’ se mettent à se galocher à donf ! Je roule de plus en plus lentement pour profiter du spectacle. La blonde a mis sa main entre les cuisses de la grosse. Elle farfouille un peu puis l’autre se met à couiner. Elle se fait doigter. En même temps, le mannequin fout sa tête dans ses grosses loches pour les lui lécher. L’autre, elle n’en peut plus, elle crie, je crois même qu’elle jouit. Moi, devant, je bande comme un taureau... Ensuite, c’est la brune qui s’y met. Elle plaque la blonde contre la banquette et lui

D je voyais : son abricot tout juteux et moi qui l’embrochait façon kébab. Elle s’est mise à aller d’avant en arrière, s’enfilant elle-même sur le dard, et elle s’est faite jouir en criant comme une chienne. J’espère que l’apprenti était parti, parce qu’après un an de diète, Jade a fait trembler les mûrs ! La scène a eu lieu il y a deux semaines seulement. Normalement, la belle devrait revenir pour ses mèches d’ici peu. Je lui prévois un soin tout spécial, nourrissant et gratuit... Ou presque ! Anthony, 43 ans, Nice

Un chauffeur sachant chauffer

S

alut, c’est Marc. Je suis chauffeur de VTC en Île-de-France et voici ce qui m’est arrivé. Tous les jours, avec ma berline, je ramasse des belles meufs. Des blondes, des blacks,

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débraille tout le haut. Je vois le soutif, puis les nibards qui sortent... Elle est gaulée comme une pub de lingerie. Le kif, c’est que cette cochonne me regarde dans le rétro pendant que son amie lui avale les tétons. Je décide d’arrêter la caisse dans une impasse et j’éteins le moteur. La brune ne s’en rend même pas compte. Elle a décidé qu’elle voulait bien se gouiner, alors elle se penche et elle remonte la jupe du mannequin au niveau du ventre. La garce ne porte pas de slip... Sa copine lui colle la tête entre les jambes et l’autre plaque ses deux mains au plafond de la berline. Ça a l’air bon... J’ai sorti ma queue et je me branle. a blonde est vraiment trop hot : elle regarde droit dans le rétro en poussant des gémissements de chienne. Je la mate se faire brouter. La brune sait y faire : elle y met la langue, les doigts, elle tripote les seins avec l’autre main. Sa copine va bientôt jouir, elle enfonce sa main sur la tête de la grosse pour qu’elle lui bouffe la chatte à fond. J’entends la langue qui touille et des cris qui montent : « Vas-y ! Oui ! Oui ! Plus vite ! » Plus possible de me retenir : je me colle au siège et j’explose en grognant, en me retrouvant avec du foutre plein la main. C’est là que la coquine décide de venir. Je la vois pencher la tête en arrière, les yeux complètement retournés, elle beugle... Ça y est ! Elle tremble quand la brune se relève, la bouche couverte de mouille. Je redémarre la caisse, un peu gêné. Mais les meufs s’en foutent. Je les vois se rouler des pelles juteuses jusqu’à l’arrivée. Quand elles descendent de la caisse, la brune me tend un billet de 100 €. C’est là que j’ai pigé que je n’étais qu’un pion dans leur scénario.

Adroite au but

COURRIER AVEC

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’est Kévin, 34 ans, coach sportif dans le Nord. J’ai toujours été réglo avec mes joueuses d’handball ! Pourtant, la petite Carla me tournait autour depuis le début de la saison. Elle était nouvelle dans le coin, elle voulait prouver que c’était une grande fille... Une petite coquine de 18 piges, quoi. En mai dernier, avant de rentrer sur le terrain, elle est venue me trouver pour me dire : « C’est mon anniv’, coach. On se retrouve avec les filles vers 18 h dans les

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Marc, 28 ans, Vélizy 11

Les lecteurs racontent qu’une coupette et une part de gâteau me feraient du bien. Je suis entré et j’ai trouvé la pièce toute noire. C’est là que j’ai compris le piège. D’un coup, la lumière s’est allumée, et j’ai trouvé Clara qui m’attendait. Cette petite cochonne avait tout bien manigancé : plus personne dans les vestiaires, juste elle et moi. Elle avait en plus enlevé son short et je lui voyais la minette, bien épilée au niveau des lèvres mais le dessus naturel. Elle avait même ramené des couvertures qu’elle avait étalées sur le carrelage, pour que je lui fasse son affaire bien confortablement. u début, je me suis dit qu’il fallait se tirer, et tout de suite. Mais de la voir comme ça, avec sa petite touffe à l’air et prête à se faire sauter salement à côté des douches, cela m’a fait réfléchir quelques secondes. Carla en a profité pour s’approcher de moi pour se frotter. « Hum, coach, vous sentez bon... » Tu parles : j’étais en sueur après le match ! Mais ça ne l’a pas arrêtée. Au contraire : elle m’a pris par la main et m’a fait asseoir sur un banc en bois. J’étais là, comme un couillon, à ne pas savoir quoi faire. Cette chatte, putain... Un petit bonbon poilu qui me tendait les lèvres ! C’est finalement Clara qui a décidé pour moi, en se mettant entre mes jambes et en me défaisant le jogging. Quand elle a sorti mon braquemart, j’étais déjà tout dur. Elle m’a bien pompé, la petite garce, on voyait qu’elle avait du métier malgré son âge ! Et quel kif quand je lui ai fait avaler mes burnes toutes humides... Elle en a eu plein la bouche. Quand j’ai été bien chaud, j’ai allongé Carla sur les couvertures. Elle était mignonne, bien docile comme j’aime. Je lui ai écarté les jambons et je me suis frotté sur sa foufoune. Elle avait l’air serrée mais prête à me recevoir. Je me suis mis en position et je lui

A pas méfié et j’ai dit oui. Ce jour-là, elle s’est déchirée sur le terrain. J’ai ensuite compris pourquoi elle était si motivée... À 18 h et quelques, je suis allé dans les vestiaires. J’avais passé du temps à régler une merde administrative et pas le temps de prendre une douche, mais je me suis dit

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Les lecteurs racontent

ai demandé : «Tu la veux, hein?» Elle a fait oui de la tête, d’un coup timide. J’ai insisté : « Je vais te la mettre, tu sais ? Il faut que tu aimes, sinon, on arrête tout. » Heureusement, Carla a lancé d’une voix aiguë : « Non, non ! J’ai envie ». Du coup, je lui ai fait sa fête d’anniversaire. J’ai attrapé la chaudasse par les hanches

et je lui ai mis un bon coup de reins. C’est rentré en frottant un peu sur les bords, mais en insistant, j’ai vite été dedans en entier. J’ai continué à lui parler comme si je l’entraînais : « Aller, on ondule, c’est bien ! Vas-y, bouge ton bassin pour bien tout sentir ! Voilà... » Elle a pris le rythme et en quelques minutes, je me suis retrouvé dedans comme dans une pantoufle. J’ai repensé à sa bouche pleine de mes couilles humides et ça m’a fait monter. Elle avait adoré ça ! Combien de mecs avaient pu la sauter avant moi ? Je me suis dit que si j’avais su qu’elle assurait autant, j’aurais pu ramener des potes. On l’aurait écartée à tour de rôle, d’abord la chatte.... Et puis le cul... Ça y est : j’étais mûr pour juter comme un salaud. J’ai retourné Carla et je l’ai placée en levrette. Dans cette position, elle aurait pu se faire dérouiller par trois mecs : la bouche, la foufoune et le cul en même temps ! C’est ça les bonnes joueuses, cela maîtrise plusieurs attaquants... Je lui ai mis un but comme ça, en l’imaginant trouée de partout : une belle coulure qui a barré son derche frétillant. Kevin, 42 ans, Coudekerque-Branche

Des livres et moi

J

eune étudiant en Lettres, j’ai une passion pour les livres, mais mon intérêt se porte tout particulièrement sur les récits érotiques. Mon auteure préférée est une Américaine encore assez peu connue du public français, que nous appellerons A. Quand j’ai appris il y a quelques mois qu’elle était de passage à Lyon pour dédicacer son nouveau recueil de nouvelles, j’ai évidemment pris mon après-midi pour rencontrer celle qui savait si bien coucher mes fantasmes sur le papier.

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D’après ce que j’avais vu sur le Web, A. était très belle : grande, une poitrine généreuse et des jambes à n’en plus finir, mais surtout une chevelure rousse dans laquelle je rêvais de plonger mes doigts. Le jour J, quand elle est entrée dans la librairie où avait lieu la rencontre avec le public, je l’ai trouvée encore plus splendide qu’en photo. Sa longue robe noire et moulante sculptait ses formes, sa peau était laiteuse et son visage, bien que marqué par la fatigue de sa tournée promo, ne reflétait absolument pas ses 40 ans. a séance de dédicace a été précédée d’une conférence en français, durant laquelle l’accent de A. m’a terriblement excité... Elle a également expliqué que son inspiration lui venait de sa vie sexuelle trépidante, une confidence qui m’a fait bander immédiatement. Puis est venu le moment des signatures. J’ai porté mon livre à A., le cœur au bord des lèvres... En le reprenant, je n’ai pas pu résister : j’ai caressé sa main blanche, tout en lui jetant un regard pénétrant. L’auteure m’a alors dévisagé intensément, a hésité un instant puis a murmuré avec son bel accent : « Attendez-moi près de la réserve ». J’ai quitté la table de dédicace tout étourdi. M’avait-elle bien donné rendez-vous? Qu’avais-je fait pour mériter son attention? Tout tourneboulé, j’ai déambulé pendant plus d’une heure dans la librairie, partagé entre l’excitation et l’envie de fuir. Puis, quand j’ai vu que la foule de fans se dispersait, je me suis glissé à l’arrière du magasin, vers une porte close qui m’a semblé être la réserve. Dix minutes plus tard, A. m’a rejoint et est entrée sans un regard. Je me suis faufilé derrière elle. Nous étions plongés dans le noir. À tâtons, j’ai trouvé le chemin de son visage, puis de

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ses lèvres. Nous nous sommes embrassés fougueusement. Je l’ai sentie partir dans le vide, mais j’ai vite compris qu’elle venait de se caler contre une pile de cartons de livres. Mes doigts ont cherché, fébriles, le bas de sa robe, que j’ai remonté sur ses hanches. Enfin, sa chair était mienne. A. a gémi quand mes doigts ont trouvé son entrejambe. Elle ne portait pas de culotte et son sexe était vierge de tout poil. Je suis tombé à genoux et j’ai planté ma langue en elle, lui arrachant un soupir de plaisir. Je me suis rappelé que, dans ses livres, les cunnilingus étaient toujours décrits dans les moindres détails. Alors j’ai suivi mes souvenirs, pour lui donner ce qu’elle aimait... Des coups de langue sur le clitoris. Un index dardé entre ses lèvres chaudes. Ma bouche qui embrasse son bouton, tandis que le majeur entrait à son tour. De mon petit doigt, je lui ai même pénétré délicatement le trou du cul, qu’elle avait velouté à souhait. Quand j’ai senti ses genoux trembler, j’ai décidé qu’elle en avait eu assez. Je suis remonté le long de son ventre moelleux, puis j’ai dégagé ses seins lourds de sa robe pour les téter. Quel délice que ses mamelles : ma bouche ne suffisait pas à les engloutir! Les mains de A. ont alors cherché mon sexe dans mon jean. Il a jailli, prêt à accomplir son devoir. La belle a passé une jambe autour de ma taille et m’a plaqué contre elle. D’un coup de rein, je me suis hissé à l’orée de sa vulve. Puis j’ai pressé doucement, me laissant aspirer dans la grotte sacrée... eureusement que les cartons étaient solides : mon écrivaine était affamée ! À l’oreille, elle m’a supplié : « Fuck me hard ». Je n’ai pu que m’exécuter. Le pantalon sur les genoux, je l’ai baisé comme un diable, mordillant alternativement son cou puis ses tétons tout durs, saisissant

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Les lecteurs racontent

ses fesses à pleine main pour la posséder entièrement. Impossible que ses « Fuck me ! » suraigus n’attirent pas l’attention : les clients nous entendaient forcément. Les savoir l’oreille tendue derrière la porte pendant que je besognais une quadra en chaleur m’a rendu fou. J’ai tout donné, mes coups de boutoir faisant trembler la pile de cartons qui menaçait de s’effondrer. Enfin, A. a lancé une série de « Yes ! Yes ! » déchirants, puis elle a joui dans un hurlement. Je me suis retiré et j’ai senti la belle écarter les jambes. D’une main, elle a empoigné mon sexe turgescent et l’a branlé jusqu’à en faire jaillir le jus sur ses lèvres. Je me suis écroulé dans ses bras en gémissant, vaincu. À bout de souffle, nous avons arrangé nos tenues, puis nous sommes sortis l’un après l’autre sous le regard courroucé d’une troupe de clients. Quand nous nous sommes retrouvés dans la rue, le vent soufflant dans nos cheveux collés de sueurs, A. et moi avons éclaté de rire. Puis elle a déposé un baiser sur ma joue, avant de se diriger vers une berline noire garée en double file. Son équipe l’avait attendue pendant qu’elle s’offrait un plaisir typiquement français. Marc, 22 ans, Sainte-Foy-lès-Lyon

COURRIER AVEC

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L’esthéti-chienne

J

e suis un mec soigneux : barbe bien rasée, sourcil impec et torse waxé pour plaire aux demoiselles. Par chance, celle qui soigne mon apparence est aussi la première à en profiter. C’est une vraie beauté, pour ne rien gâcher. Quand je vais chez l’esthéticienne, je demande à être bichonné par Awa uniquement.

Elle est d origine marocaine, comme moi. Et puis elle a les mains douces comme de la soie, qu’elle utilise aussi pour me soulager... C’est arrivé, la première fois, l’an dernier. Awa était alors nouvelle au salon. Une jolie brune bien balancée, avec des gros nénés

Les lecteurs racontent

serrés dans sa blouse rose. Problème : elle était si sexy que dès qu’elle a commencé à me mettre de la cire sur le torse, je me suis mis à bander comme un âne. Ça s’est vu direct sous la petite serviette que j’avais autour de la taille... J’étais super gêné, mais elle m’a rassuré : « Je n’ai pas de client après vous, on peut peut-être en profiter ? » J’ai halluciné. Mais son sourire a été plus clair que mille mots : la belle aimait le sexe et avait envie de se servir de l’étalon bien membré qu’elle avait à disposition. our commencer, elle s’est mise nue (juste sa blouse et ses sous-vêtements à enlever), puis elle m’a sucé comme une reine. Comme j’ai kiffé sentir sa bouche presser mon gros cigare... Elle s’est ensuite allongée sur la table et je l’ai prise fermement par les cuisses, puis je lui ai enfilé la minette. Elle savait encaisser : le temps nous était compté, donc je ne me suis pas ennuyé avec des préliminaires. Mais elle a aimé tout de suite et j’ai pu me faire bien plaisir. J’ai surtout adoré voir ses gros nénés remuer dans tous les sens pendant que je

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rtains courriers présentent des comportements à risque. Pour votre santé, n’oubliez pas le préservatif !

lui mettais des gros coups de chibre. J’ai joui très vite, un peu stressé de me faire gauler par la boss du salon. Awa a eu l’air déçue... J’ai vu son regard et je me suis excusé de ne pas avoir tenu. Je lui ai dit : « C’est parce que ta vulve est trop serrée, ma belle... ». Elle a souri, puis elle a fait d’une voix douce : « C’est encore plus étroit par derrière. » Awa s’est alors retournée et m’a présenté son derche. Une magnifique sphère, lisse et charnue... J’ai mis quelques coups de langue dans l’anus et elle a gémi. Ça m’a fait rebander direct ! Vite, j’ai écarté ses fesses des deux mains et j’ai entré mon gland encore suintant de sperme. Elle était si étroite que j’ai dû la prendre par les épaules et la faire coulisser centimètre par centimètre sur mon zboub ! Heureusement, les restes de foutre sur ma bite ont servi de lubrifiant. Je me suis cramponné aux épaules d’Awa et j’ai commencé à lui bourrer le cul. ’étais tellement compressé dans cet anus magnifique que je suis resté dur tout du long. La table bougeait maintenant dans tous les sens et je ne savais plus si c’était le meuble ou la fille qui couinait... J’ai gardé un bon rythme, les seins d’Awa ballotant dans le vide. C’était tellement chaud... D’un coup, elle s’est mise à trembler et elle s’est cambrée comme une pouliche en chaleur. Elle a joui en poussant un soupir hyper sexy, qui aurait été un hurlement si je ne l’avais pas sodomisée sur son lieu de travail... Depuis, tous les mois, je retrouve Awa au salon d’esthétique. Je choisis des créneaux peu fréquentés pour pouvoir profiter d’elle. Je lui ai tout fait : cuni, doigtage, faciales...

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Karim, 31 ans, Juan-les-Pins

La brasse coulante

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e m’appelle Arthur et j’ai 18 ans. Depuis que je suis môme, je m’entraîne dur pour devenir champion de natation. Ma coach, Amélie, a 31 ans et c’est une vraie cochonne : super hard avec moi. Heureusement, elle est bonne. J’aime bien lui mater le cul quand elle fait le tour du bassin. J’imagine comment je pourrais me venger d’elle, par exemple en lui cassant les pattes arrières... Vous comprenez bien comment. Je ne pensais jamais qu’un jour, je me la ferai en vrai. C’est arrivé il y a un mois. J’étais super vénère contre elle parce qu’elle arrivait à la bourre à l’entraînement depuis une semaine. J’avais pigé qu’elle avait un nouveau mec : elle se maquillait, elle était dans la lune... Moi, ça me rendait ouf. Déjà parce qu’elle faisait mal son boulot. Et puis aussi parce que je n’aimais pas qu’un mec la rende comme ça, toute guimauve. Du coup, ce vendredi-là, quand elle m’a dit que je devais bosser plus dur, je suis sorti de l’eau et je me suis cassé. omme un con, je me suis retrouvé sous la douche à chialer. J’étais hors de moi et triste à la fois, mais quand Amélie est entrée dans le vestiaire, j’ai fait genre que tout allait bien. Elle a commencé à vouloir me faire la morale : « Tu ne peux pas te barrer comme ça, et l’entraînement, et je compte sur toi... » J’ai explosé et j’ai hurlé : « Mais tu t’en branles, de moi ! » Et j’ai recommencé à chialer. Amélie est restée comme une conne, la bouche grande ouverte. Puis elle s’est avancée vers moi... pour finir sous le jet d’eau elle aussi. J’ai fait : « C’est con, tu es trempée maintenant ! » Son tee-shirt était plaqué sur ses seins et on lui voyait tout, car elle n’avait

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Les lecteurs racontent pas de soutif. Ses cheveux blonds collaient à son visage et elle était vraiment très belle... Je me suis rapproché d’elle et j’ai dégagé une mèche du bout des doigts. Elle s’est hissée sur la pointe des pieds. Et là, elle m’a embrassé. La plus longue pelle de ma vie, avec la langue tout au fond et tout ! Je me suis mis à bander dans mon slip de bain. Au début, j’ai eu peur que mon entraîneuse capte. Mais quand elle a mis la main sur la bosse, j’ai compris qu’elle voulait me consoler. Elle a baissé mon caleçon sur les chevilles. L’eau avait arrêté de couler, alors j’ai appuyé sur le bouton pour ne pas avoir froid. Amélie était maintenant à genoux dans la douche. Quand elle a pris ma bite et qu’elle a commencé à lécher le bout, j’ai prié pour que personne n’entre dans les vestiaires. C’était tellement bon... J’ai pensé à l’entraînement, à son mec et je n’ai pas pu me retenir : je l’ai choppée par les cheveux et j’ai enfoncé son visage pour qu’elle avale. Elle a fait un bruit louche, mais elle ne s’est pas dégagée. Amélie m’a ensuite attrapé par les cuisses et a commencé à aller et venir avec sa bouche. Dès qu’elle coulissait vers l’avant, je devais me retenir pour ne pas jouir. J’avais peur qu’elle n’aime pas ça. Après, j’ai compris que c’était justement ce qu’elle voulait : elle allait de plus en plus vite, de plus en plus loin, en me regardant droit dans les yeux... J’ai caressé sa tête et j’ai donné le rythme. Jamais aucune fille ne m’avait sucé la bite comme ça, en aspirant autant. Elle était soumise et en même temps, c’était elle qui commandait si je pouvais juter ou pas. J’ai regardé au plafond pour essayer de tenir encore un peu, mais ma coach a sucé super profond. Je l’ai matée à nouveau : elle était beaucoup trop sexy sous l’eau chaude, 20

avec sa bouche pleine... J’ai appuyé de nouveau sur sa tête pour qu’elle m’ait tout entier dans la gorge... et j’ai éjaculé d’un coup. Amélie s’est retirée doucement, puis elle a entrouvert la bouche et elle a laissé couler lentement. J’ai vu le liquide gluant qui descendait sur sa lèvre inférieure et son menton. Le jet d’eau s’est arrêté à ce moment-là et j’ai pu profiter du spectacle : ma prof qui bavait et avalait mon sperme en même temps, toujours en me regardant. Depuis, je m’entraîne encore plus dur. Il ne s’est jamais plus rien passé avec Amélie, mais elle a quitté son mec. J’espère que dans quelques temps, elle et moi, on pourra reprendre là où on s’est arrêté. Arthur, 18 ans, Melun

Merci pour trou !

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’écris cette lettre pour Laetitia, qui me lira, j’en suis sûr... Laetitia, je voudrais te remercier pour ce que tu as fait pour moi. Cela faisait 5 ans que j’avais divorcé de la mère de C., mon fils. Cinq ans de déprime, sans aucun contact avec la gent féminine (ou si peu). Cinq ans sans sexe, je l’avoue... Alors, ce soir de septembre pluvieux, quand tu es venue chez nous pour garder C., c’est un peu comme si tu avais ramené le soleil dans ma vie. Je te revois encore, avec ton tee-shirt gris et ton pantalon moulant. Tes yeux bleus étincelaient quand j’ai ouvert la porte. Cela devait faire déjà 6 mois que tu étais notre baby-sitter, mais à chaque fois que tu déboulais, si jeune, si pleine de vie, mon cœur tombait au fond de mon estomac. J’ai remarqué que tu étais trempée, sans doute avais-tu oublié ton parapluie. J’étais déjà en retard pour mon resto avec des collègues, mais qu’importe ! Je suis allé chercher le

j t’ai dit d’aller m’attendre dans ma chambre, à l’autre bout de la maison, pour ne pas réveiller C. qui dormait profondément. Quand je t’ai retrouvée deux minutes plus tard, tu avais enlevé tes belles chaussures et ton short détrempé, et tu tordais ton haut pour l’essorer tant bien que mal. Il collait à ta poitrine bombée. Je suis resté interdit. Comme tu étais sexy... Je me suis approché de toi. Tu n’as pas bronché, seulement montré ton beau sourire, celui qui te fait des fossettes si craquantes. J’ai fondu. Et je t’ai embrassée en tremblant. Je n’ai jamais retrouvé mes collègues ce soir-là. Et toi, tu m’as tout donné. Tes mains, pour commencer. Tu m’as branlé longuement, patiemment, jusqu’à ce qu’enfin la flamme reprenne. J’ai bandé dur entre tes doigts pour la première fois depuis longtemps. Ta bouche, ensuite. Ton piercing était froid sur mon gland et j’ai été d’abord surpris de ce contact métallique. Mais j’ai rapidement profité de tes savoirs : tes lents coups de langue sur ma tige, la pression de tes lèvres jusqu’à la base, tes aspirations sensuelles et humides...

p j COURRIER AVEC ton sexe, si pulpeux, si moite. Je suis entré OTOS H P dedans en poussant de longs gémissements, les couilles douloureuses de tant de désir contenu... Je t’ai prise d’abord lentement, en te caressant les cheveux, en me perdant dans ton cou trempé de sueur. Et puis tu m’as murmuré au creux de l’oreille que je pouvais y aller plus fort. Alors je me suis redressé et j’ai commencé à t’enfiler totalement, en allant taper loin dans ton antre. En

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Les lecteurs racontent

baissant les yeux, j’ai vu la boule que formait mon gland en affleurant à la surface de ton ventre. J’ai fermé les yeux et j’ai joui en étouffant un hurlement de plaisir. Je tremblais de tout mon corps. Mais tu n’avais pas fini de me surprendre : quand j’ai roulé contre

ton flanc, tu t’es mise à te toucher en me demandant de regarder la scène. J’ai vu mon jus couler de ton con sur les draps, tes doigts agiles faire monter le plaisir et ta poitrine qui se gonflait sous l’effet de l’orgasme tout proche. J’ai eu l’audace de donner quelques coups de langue sur ton clitoris dodu, recueillant au passage des gouttes de mon propre foutre... Tu as joui et ça a été pour moi comme un second orgasme. Ma Laetitia, nous avons depuis refait l’amour tant de fois que j’ai perdu le compte. Tu m’as confié tes désirs, ton goût pour les récits érotiques (notamment ceux d’Union). Alors voici ma déclaration : ma plus belle histoire de cul, c’est toi. Max, 47 ans, Toulouse

RACONTEZ-NOUS ! Vous souhaitez nous ENVOYER vos aventures ? Retrouvez toutes nos coordonnées postales et e-mail en p. 6-7 de ce magazine.

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SPÉCIAL

1 fois re

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Spécial lettres & emails Ah la première fois… Cette nouvelle expérience qui, à jamais, reste gravée dans notre mémoire. Premier baiser, premier amour, première fois en club libertin, première sodomie, premier amour saphique, découverte du pluralisme… Les occasions ne manquent pas de se confier sur ces premiers pas vers la quête du plaisir et, le moins que l’on puisse dire, c’est que nos lectrices et lecteurs ne manquent pas d’expériences plus coquines les unes que les autres à nous faire partager !

Spécial « Première fois »

Tout feu, tout femmes

COURRIER AVEC

PHOTOS

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e pensais être 100 % hétéro, jusqu’au mois dernier. Une aventure très chaude me fait me poser plein de questions... J’espère que coucher mes souvenirs sur le papier m’aidera à me trouver. Je travaille de mai à septembre comme réceptionniste dans un hôtel sur la côte. Je rencontre souvent des mecs, des clients pas mal qui me proposent de monter dans la chambre. Parfois, j’accepte. J’avoue que j’aime beaucoup le sexe... Mais en août, j’ai carrément été approchée... par un couple. Elle s’appelait Linda et lui, Tonio. Ils n’étaient vraiment pas mal tous les deux. Le matin, je les voyais partir en se bécotant, l’air amoureux. Le soir, ils rentraient tout bronzés. Linda avait toujours un compliment pour moi, une

petite parole sympa. Tonio me regardait en souriant façon séducteur. Leur manège a duré 3 jours. e quatrième soir, le téléphone de la réception a sonné. C’était Tonio. Il m’a dit que Linda avait trop chaud dans la chambre et que la clim déconnait. Il a aussi demandé à ce que je leur amène ne bouteille d’eau t des glaçons. e suis montée. Mon cœur battait a chamade : ce couple était vraiment spécial... Et rès excitant. J’ai oqué et je suis entrée. Là, j’ai rouvé une scène que je n’imaginais pas : la belle Linda, allongée entièrement nue sur le lit. Tonio, lui, était dans un

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coin de la pièce, assis dans un fauteuil. Linda se touchait. J’ai fermé la porte, fascinée. Jamais je n’avais vu une fille se masturber, à part dans les films X... Là, c’était beaucoup plus lent, plus sensuel. On voyait que Linda avait vraiment du plaisir. J’ai regardé Tonio, qui a lancé d’une voix douce : « Tu vois, elle a trop chaud... Elle a réclamé après toi. Tu peux peut-être être

aider ? » J’étais comme aimantée ar le corps de Linda. Son sexe puleux, sa poitrine molle qui ondulait u rythme de ses caresses... J’ai osé la bouteille par terre et je me uis avancée, le saut à glaçons à a main. e me suis assise sur le lit et j’ai commencé à retirer mes êtements. Du coin de l’œil, j’ai vu onio qui s’agitait. Il a sorti sa bite u moment où je me suis retrouvée à poil. Putain, qu’est-ce que ’étais en train de faire ? Ce sont les gémissements de Linda qui m’ont fait perdre la raison. Elle me regardait maintenant et ma nudité avait ’air de beaucoup lui plaire... Le egard d’une femme sur moi a été comme une révélation. Alors j’ai is la main dans le saut à glaçons et j’en ai sorti un, puis je me suis allongée près de la belle. Doucement, j’ai passé le morceau de glace sur ses seins, qui ont durci immédiatement. Linda s’est cambrée et

Spécial « Première fois »

a laissé échapper un « Oui ! » de plaisir. Tonio se branlait à présent, mais je m’en foutais. Je voulais juste satisfaire ma Linda. Alors j’ai continué avec le glaçon : Je l’ai passé partout sur sa poitrine gonflée, puis le long de son ventre, entre ses cuisses rondes... Elle avait arrêté de se caresser, me laissant le contrôle. Sa jolie chatte montrait une trace brillante de mouille. J’ai fait remonter le glaçon jusqu’à son entrejambe. Et je l’ai fait entrer dans sa chatte. inda a eu comme une décharge électrique et ses reins se sont soulevés. J’ai senti ses doigts agripper mes cheveux et me guider en elle. Une odeur iodée montait de son minou. J’ai voulu attendre avant de plonger, mais elle ne m’en a pas laissé le temps : d’une main experte, elle m’a mise la tête dedans. Au début, j’ai trouvé cela mou et gluant.

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Mais j ai tout de même sorti ma langue et j’ai senti le glaçon qui fondait dans sa vulve... Petit à petit, j’ai commencé à ressentir du plaisir. Les doigts de Linda se sont détendus et j’ai pu donner le rythme que je voulais. Je l’ai léchée comme ça jusqu’à ce que la glace ait complètement fondu, puis j’ai attrapé un autre cube, le plus gros que j’ai pu trouver. Il est entré sans problème : plop ! Avalé par le sexe d’une Linda folle de désir... J’ai joué de mes doigts, de ma langue, pour lui faire atteindre le paradis. Quand j’ai poussé le glaçon tout au fond avec mon index tout en léchant son clito soyeux, la belle a gémi très fort. J’ai donc pris un nouveau glaçon pour la remplir au maximum. Elle s’est mise à hurler : « Encore ! Encore ! », en se tortillant. J’ai touillé avec mon doigt, sa mouille se mélangeant à

l’eau, et je lui ai aspiré doucement le clito. Tonio s’était levé et prenait des photos de la scène. Comme cela devait être beau à voir... J’ai aspiré plus fort, touillé plus vite et Linda a décollé du lit, partant dans un orgasme qui l’a laissée tremblante de la tête aux pieds. Quand elle a été calmée, nous nous sommes embrassées tendrement, rassasiées toutes les deux par son plaisir. e couple est resté encore une semaine à l’hôtel. Linda et moi, nous avons fait l’amour dans toutes les positions, sous le regard coquin de Tonio. J’ai découvert le 69, les ciseaux, mais aussi les sextoys... Maintenant que l’été est fini, je crois que je vais tenter de revenir à ma vie normale. Mais je n’exclue pas de retenter l’expérience si une belle femme s’offre à nouveau à moi. Avis aux amatrices... Lila, 22 ans, [email protected]

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La source du plaisir

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onjour Union. Je rougis, rien que d’écrire ces lignes... Mais je ressens le besoin de parler à toutes les jeunes femmes qui connaissent la même situation que la mienne il y a encore quelques mois : être vierge à plus de 30 ans. Voici mon histoire, qui j’espère vous fera vous sentir moins seule... Et vous donnera des idées. À 31 ans, je n’avais jamais « vu le loup », comme on dit. Pourtant, je sais que je suis jolie : de nombreux hommes m’ont courtisée par le passé. Mais j’attendais l’amour et celui qui voudrait bien que l’on se marie pour dévorer le fruit défendu. J’étais assez traditionnelle...

Jusqu’à ce que la tentation devienne trop forte. Chaque année, au début de l’été, je pars en retraite spirituelle pendant une semaine dans un monastère en Bourgogne. Le moyen de déconnecter de ma vie très prenante en région parisienne, mais aussi de me promener seule dans la nature, une de mes occupations préférées. C’est justement dans un petit bois entre deux champs de blé que la tentation est apparue, sous la forme d’un magnifique jeune homme agenouillé au bord du chemin grossièrement tracé. e ne connais pas son nom. Mais je me rappellerai toute ma vie de ses traits. Son visage était fin, bien que buriné par le soleil. Des pommettes hautes, de grands yeux bleus et des cheveux mouillés plaqués en arrière, qui révélaient un front intelligent. Le jeune homme portait un jean délavé et un simple tee-shirt blanc moulant, qui mettait en valeur sa musculature puissante. Il s’est relevé et m’a sourie. Il était si séduisant... Voyant mon trouble, l’inconnu m’a lancée : « Bonjour ! Je laboure le champ d’à côté. Vous cherchiez la source ? Elle est là. » J’ai alors compris qu’il venait de se rincer au petit filet d’eau qui sortait d’un robinet dissimulé par les feuilles. J’ai balbutié que j’avais soif et il a sorti une bouteille d’eau de sa poche arrière. Il l’a rincée, l’a remplie et me l’a tendue. Toute tremblotante face à cette apparition virile, j’ai attrapé la bouteille pour la porter à ma bouche. Mais mes mains mal assurées l’ont laissée échapper... et je me suis retrouvée inondée ! Quelle gourde j’étais... Ma blouse était

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Spécial « Première fois » devenue transparente. Pour ne rien arranger, je n’avais pas enfilé de soutien-gorge pour cette promenade que j’imaginais solitaire... J’ai regardé les dégâts et j’ai vu avec horreur que mes tétons rose foncé pointaient en direction du paysan ! Par chance, il ne s’est pas moqué de moi. Au contraire, il a même réagi avec beaucoup de douceur... En trois pas, il était devant moi et a dit d’une voix calme : « On peut enlever ça. Je vais vous l’accrocher à une branche, ça sera sec en moins de deux ». Et il m’a aidée à retirer la blouse. Malgré l’inondation, un feu s’est mis à brûler en moi quand ses mains larges ont décollé l’étoffe de mes seins, frôlant au passage la chair de mes globes. Le souffle du jeune homme était chaud sur ma peau... Quand il s’est avancé encore plus près, j’ai fermé les yeux, laissant le feu me consumer. Le garçon a posé ses lèvres sur les miennes pour un baiser profond et terriblement sensuel... otre étreinte passionnée m’a semblée durer des heures. Quand le beau paysan m’a faite rouler sur un tapis de feuilles, j’ai vu le ciel à travers les feuillages. La nature seule nous observait. La scène dont elle a été témoin est un sommet d’érotisme : le beau jeune homme allongé entre mes cuisses, relevant ma jupe légère et plongeant sa tête dans mon sexe vierge... J’ai poussé

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Quand je l’ai vu sortir son engin de son jean, j’ai compris pourquoi : la bête était courte mais d’une largeur impressionnante ! 30

un soupir à fendre l’âme et je l’ai laissé me lécher du clitoris jusqu’au fond de l’antre, sa large langue me préparant à l’amour. Ce sont ensuite ses doigts qui m’ont élargie : d’abord un index habile, rejoint quelques minutes plus tard par son majeur. Quand il les a écartés doucement, j’ai senti ma vulve s’ouvrir, un bruit mou indiquant que j’étais prête à recevoir son membre. Mais mon amant a d’abord laissé échapper un long filet de bave dans mon trou... Quand je l’ai vu sortir son engin de son jean, j’ai compris pourquoi : la bête était courte mais d’une largeur impressionnante ! Ma chatte vierge allait-elle supporter cet appendice énorme ? e paysan est remonté, me couvrant de son corps. Je me suis blottie dans son cou et je l’ai embrassé tendrement, espérant que mes caresses l’inciteraient à la douceur. Avec succès : c’est très lentement que je l’ai senti entrer son gros gland entre mes lèvres baveuses. Quel plaisir... Au diable mes promesses de virginité, j’allais perdre la mienne sur ce lit de feuilles, le puissant étalon qui me déflorait poussant à présent des grognements de plaisir. Rapidement, c’est moi qui l’ait incité à me labourer, en enfonçant mes ongles dans ses fesses charnues. Les coups de bites se sont accélérés, les grognements aussi. J’ondulais, cherchant à me faire enfiler plus fort. Donner du plaisir à un homme me faisait pousser des ailes ! C’est alors que l’étalon s’est redressé et, les mains plantées fermement dans le sol, a bourré plus fort, les yeux rivés sur l’action. J’ai moi aussi baissé le

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regard, pour voir son gros mandrin qui me défonçait sans retenue. L’orgasme est parti d’un coup, m’arrachant un cri de plaisir. Mon amant s’est ensuite effondré sur moi et a donné quelques coups de boutoir, pour finalement m’enfoutrer du sol au plafond. Nous sommes restés étendus de longues minutes, puis le bel autochtone m’a embrassée et a quitté notre sous-bois. J’ai pu me rincer à la source, nettoyant le sperme et le sang mélangés entre mes cuisses. Ma virginité s’en était allée, mais un monde de plaisir s’ouvrait à moi. Je suis bien décidée à l’explorer avec tous les beaux garçons qui le voudront ! Juliette, 31 ans, Versailles [email protected]

Silence, ça fourre !

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COURRIER AVEC

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on rêve ? À part vous faire l’amour toute la nuit, c’est de devenir une star du porno. J’ai déjà 27 ans donc il

fallait que je me lance maintenant. À la rentrée, j’ai donc passé mon premier casting. Attention les yeux... J’ai eu le plan par une amie qui fréquente pas mal de gens du X. Je me suis pointé à l’heure fixée par mail dans un bel hôtel particulier de Paris. Puis je suis monté à l’étage sur les talons d’une charmante assistante, pour rencontrer le directeur de casting. Pas du tout le plan glauque que certains « amis » bien intentionnés avaient décrit ! Mais en entrant dans la pièce où il devait me tester, j’ai vu que je n’étais pas seul. e directeur, bien sapé et poli, m’a expliquée en me présentant les deux inconnus : « Ce film, c’est un projet important. Alors on va demander aux deux acteurs déjà sélectionnés ce qu’ils pensent de toi, OK ? » J’ai opiné en regardant le mec et la fille debout dans un coin. Elle était super bonne, un avion de chasse qui me donnait déjà la gaule et me disait vaguement quelque chose. Le type, même si ce n’est pas mon truc, était plutôt beau gosse. En effet, il y avait du niveau...

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Spécial « Première fois » commencé à soupeser on bazar. Je savais que cela faisait partie du test, alors je me suis concentré. J’ai pensé que je pourrais bien la renverser sur le bureau et l’enfiler comme ça, sans rien lui demander. Elle devait voir une chatte des plus onfortables... Cette idée m’a fait bander cash. Mais a coquine avait aussi une dée derrière la tête... Sam tu ne veux pas Je me suis assis devant le bureau du type et les questions ont commencé. J’ai bien répondu, en faisant même des vannes. Puis j’ai dû me dessaper. Et c’est là que ça a dérapé. Direct, la fille s’est approchée : « Putain, t’es bien monté, toi ! » Et elle a

qu’on teste face caméra comment il s’en sort ? », emandant au directeur e casting. Le mec a igolé et sorti une petite cam de son bureau, puis m’a interrogé du regard. ’ai hoché la tête : j’étais partant. La fille s’est foutue à poil et s’est mise à genoux, m’encou-

rageant du regard... Elle avait un corps de malade. J’ai enlevé mes fringues et je me suis présenté devant elle. En une seconde, elle m’avait pris en bouche. Mais il allait falloir la partager : l’autre acteur s’est levé, s’est déshabillé et a commencé à se branler. a cochonne s’est mise à nous pomper à tour de rôle. J’étais super excité de la voir avec une autre queue entre les lèvres, un peu comme si j’étais spectateur du film et en même temps acteur. On sentait qu’il y avait une vraie alchimie entre elle et le type. D’ailleurs, quand il en a eu assez de lui bourrer la bouche, il s’est allongé par terre et l’a attirée vers lui. La fille a obtempéré. Comme une pro, elle s’est embrochée sur son gros bazar... C’est là qu’elle a commencé à gueuler. Sa voix me disait grave un truc... Mais oui ! Je la reconnaissais maintenant ! Une belle coquine que l’on voit dans des films assez classe... Je m’étais déjà astiqué sur elle et là, j’allais pouvoir me la faire en vrai ! Je l’ai regardée s’enfiler en rythme sur la bite de mon nouveau collègue, puis je me suis rapproché.

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près lui avoir mis uelques bifles, j’ai ecollé mon gland dans a gorge et j’ai fléchi les ambes pour qu’elle me gobe jusqu’aux couilles. Un pied absolu... On a continué comme ça un moment. La belle devait avoir la chatte en feu... J’ai tenu jusqu’à ce que le mec se mette à grogner. La fille s’est relevée un peu et il a déchargé. J’ai vu le foutre partir partout (et surtout en direction du trou de la star qui devait être béant...). C’est là que j’ai fini par lui lâcher mon foutre dans la figure, en lui tirant les cheveux vers l’arrière pour ne pas la rater. J’avais bien fait de ne pas me branler depuis 3 jours : elle a pris une bonne douche blanche et crémeuse, du plus bel effet à l’écran. J’ai été retenu pour le film. Le tournage aura lieu d’ici quelques jours. J’espère que je serai performant pour le plus grand plaisir de mes spectatrices... Et des belles actrices ! Jacques, 27 ans, Vélizy [email protected]

Un joyeux pince-fesses

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e m’appelle Katia, j’ai 24 ans et je suis la fan numéro un d’Union en Moselle. J’espère que vous publierez mon histoire, garantie 100 % authentique... Un peu comme mon cul, qui fait grave fantasmer les mecs. 33

Spécial « Première fois » Mon surnom dans mon village, c’est Kim. C’est à cause de mon derche XL dont je suis très fière. Mais attention : pas touche ! Je ne pratique pas la sodomie, même si je reçois des propositions très souvent. Pourtant, l’an dernier, j’ai fait une exception lors d’un pot à la salle des fêtes du patelin de mon cousin... Ne me jugez pas, mais j’ai toujours eu un truc pour lui. On a le même âge et il est hyper beau gosse. On avait fricoté pas mal étant ado, mais il s’était marié à 20 ans et depuis, on avait arrêté les bêtises. Je savais qu’il avait des problèmes avec sa femme, mais je pensais qu’il m’avait invitée à la teuf juste comme ça. Quand je suis arrivée et que je l’ai vu déjà bien allumé et sans elle, j’ai compris. J’ai pas mal évité mon cousin pendant la soirée et je suis plutôt allée discuter avec des potes. Mais il y avait du punch et j’adore ça... Au bout de quelques verres, on a commencé à se mater d’un coin à l’autre de la salle. Vers 22 h, tout le monde était sur la piste de danse. On s’est retrouvé l’un à côté de l’autre à danser. Puis il m’a prise dans ses bras et a commencé à me faire bouger de façon sexy. Sa main est descendue sur mes reins, puis il a profité qu’il y avait plein de monde pour me palper sous la robe,

Le cochon me donnait envie d’un truc que je trouvais dégoûtant ! S’il continuait, j’allais jouir. Surtout que par devant, il s’est mis à me titiller le clito... 34

sans que personne ne nous voit. Sa bite gonflait, je le sentais à travers son jean ! Ça m’a excitée grave, je me souvenais comme elle était grosse. Sa main palpait bien mes grosses fesses et moi, je mouillais dans ma culotte... On a fini par s’en aller : cela devenait trop chaud et des copines de sa femme commençaient à mal nous regarder. On est allés derrière la salle. Là, mon cousin m’a plaquée contre le mur et m’a roulée une énorme pelle. J’avais envie de lui grave... Il embrassait bien et puis son corps était trop sexy : musclé, tout suant... On aurait dit un chippendale bien hot ! À l’oreille, il m’a demandée de le sucer. Je l’avais fait une fois et je me rappelais encore du goût de son foutre quand il avait déchargé. Ma première pipe... Toute excitée par ce souvenir, je me suis mise à genoux. Sa queue est sortie d’un coup quand j’ai ouvert le jean. Elle sentait le mâle et elle était encore plus épaisse que dans mon souvenir, bien veineuse comme j’aime. J’ai léché le jus puis j’ai avalé. Miam, miam ! endant que je le pompais, il me disait des choses sales. Que j’étais une suceuse de compétition et surtout, qu’il avait envie de me baiser par le cul. Tout en faisant des compliments de dingue, il a raconté qu’il voulait que je me relève et que je me retourne, qu’il y mettrait la langue jusqu’à ce que je le supplie de m’enculer. D’habitude, ce genre de paroles ne me plaît pas, mais là, j’étais super excitée par la situation. Cette infidélité derrière une salle des fêtes pleine de monde avait fait disparaître mon dégoût de la sodomie ! C’est mon cousin qui m’a relevée. Je

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sentais que si j’avais continué, je me serai retrouvée à boire son sperme encore une fois... Il s’est mis à me rouler des grosses pelles qui font bien mouiller. Ses mains étaient partout sur moi. Il m’a retournée face au mur et je l’ai senti remonter ma robe moulante. Il m’a embrassée les reins, puis j’ai senti qu’il me mordillait les fesses... Le frisson est monté quand sa langue est entrée dans ma rondelle vierge et frétillante... Comme j’ai kiffé me faire lécher l’anus ! Jamais je n’avais ressenti ça. Une vague de plaisir qui montait très fort à l’intérieur de moi. Je me suis plaquée contre le mur râpeux pour que mon cousin puisse donner des bons coups de langue. Je couinais de plaisir comme une chienne en chaleur... Il m’a ensuite doigtée avec son pouce, qui est entré tout seul ! a bite a eu plus de mal. Mais j’ai été courageuse : j’avais tellement envie de me faire défoncer le cul... Quand il est remonté et qu’il a attrapé son chibre pour me le mettre, j’ai respiré un grand coup. Petit à petit, la douleur s’est transformée en plaisir. Je lui ai demandé de me décrire à l’oreille ce qu’il me faisait et ça nous a tous les deux excités à mort ! « Là, j’ai mon gland qui entre dans ton gros cul... Ça glisse, je sens ton petit trou qui s’ouvre... J’ai les couilles qui tapent sur ta teuch, tu sens comme elles sont pleines ? Je vais te faire le plein ! Je vais te juter dans l’oignon... » Le cochon me donnait envie d’un truc que je trouvais dégoûtant ! S’il continuait, j’allais jouir. Surtout que par devant, il s’est mis à me titiller le clito... J’ai commencé à gueuler et il a été

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obligé de plaquer sa main sur ma bouche. J’ai continué à me branler toute seule. Quand il m’a enfilée complètement, mes jambes se sont mises à trembler. J’étais prête et mon cousin l’a senti. « Ah, tu vas jouir par le cul, hein ? Tu vas te faire souiller et tu vas adorer ça, pas vrai ? » Et d’un coup, j’ai senti mon anus se remplir de grosses rasades de sperme chaud ! Ça a fait monter l’orgasme et j’ai dû me retenir de ne pas hurler. J’ai joui en me contractant et j’ai senti une dernière giclée. Quand mon cousin a sorti son chibre, j’étais tellement dilatée que tout le jus est sorti avec un bruit louche. J’étais dépucelée, et pas qu’un peu ! J’écris aujourd’hui ma story pour que les filles qui ont peur de la sodo essaient quand même. Je vous promets des sensations dingues ! Et pour vous ambiancer encore plus, peut-être que je vous raconterai toutes les choses que mon cousin m’a mise dedans depuis... Katia, 24 ans [email protected]

Toubib or not toubib ?

COURRIER AVEC

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e m’appelle Magali et à 18 ans, j’ai connu ma première fois avec une femme. Depuis, je n’avais eu que des filles dans ma vie : je suis lesbienne jusqu’au bout des ongles ! Ce qui ne m’a pas empêchée de succomber à « l’appel de la verge », comme se moquent mes copines. Une seule fois, il y a 2 ans. Voici comment. Mon ex-gynéco était un mec de 40 ans, très beau et un peu coquin. Je retournais 35

Spécial « Première fois »

chez lui parce qu’il était compétent. Et puis j’avoue que cela m’amusait quand il me faisait des palpations des seins vraiment poussées, ou qu’il commentait l’étroitesse de mon vagin « qui n’avait pas dû en voir passer beaucoup ». Il savait que j’étais homo et je crois que ça le fascinait. Un jour, on a dérapé dans son cabinet. l était en train de faire son examen. J’avais les jambes en l’air, pas vraiment une position sexy... Mais j’étais en confiance. Il a fait son truc, tout allait bien. Sauf qu’avant de me dire de me rhabiller, il

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lancé une phrase qui a mis le feu en moi... « Magali, je suis admiratif de la beauté de votre sexe. On devrait vous exposer dans les cabinets de chirurgie esthétique comme modèle ». Jamais aucune fille ne m’avait complimentée comme ça ! Je suis restée les jambes en l’air, avec l’envie d’en savoir plus. « Vous savez que je suis techniquement vierge de toute pratique avec des hommes... Si vous deviez me donner des conseils pour une première fois, ça

serait quoi ? » J’ai lancé cette phrase sans même réfléchir, toute étonnée de ma propre audace. Mon médecin n’a d’abord pas répondu. Puis il s’est approché de la table et m’a dit : « Et bien pour commencer, je vous dirais qu’il faut bien lubrifier. » Ses yeux gris brillaient. Il était très attirant, avec son air sévère et son visage anguleux. Ses larges épaules lui donnaient un air puissant... J’ai frissonné de peur. La peur de mon propre désir pour cet homme... « Lubrifier... Comment ? », ai-je balbutié. Là, tout a basculé... J’ai vu le doc s’approcher de moi, puis se pencher entre mes cuisses toujours ouvertes. J’ai senti son souffle, puis une masse collante couler entre mes grandes lèvres. Il salivait au-dessus de ma chatte... J’ai perdu le contrôle, tout en étant consciente que ses caresses étaient contraires à l’éthique médicale ! Mais mon envie était trop forte. Quand les doigts du médecin m’ont pénétrée, j’ai senti une montée de plaisir intense. J’ai étouffé un soupir avec difficulté... Je savais que la salle voisine était pleine de patientes qui attendaient. l fallait faire vite avant que quelqu’un ne comprenne notre manège. Et puis l’interdit était tel que nous brûlions tous les deux de désir. Je me suis relevée sur la table et j’ai mis mes jambes dans le vide, pré-

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sentant ma chatte ouverte. Le docteur, très grand, était quasiment à la bonne hauteur. Il a tout de même attrapé le petit escabeau qui servait aux patientes pour monter sur la table et a grimpé dessus. Là, son pantalon est tombé et j’ai vu sa verge énorme en face de moi. Il m’a enfilée d’un coup. Un mélange de

Spécial « Première fois » douleur et de plaisir... Mais très vite, son ardeur est retombée. Le stress, sans doute. Alors, je lui ai proposé de venir s’exciter dans ma bouche. Après une seconde d’hésitation, il a placé le tabouret à l’autre bout de la table, du côté de ma tête. Je me suis penchée en arrière et j’ai reçu l’engin ramolli. Quelle sensation étrange ! C’était musqué et à moitié dur, à moitié avachi. J’avais surtout envie que le beau gynéco me reprenne la chatte, mais j’ai avalé comme j’ai pu. Cela a marché : en quelques secondes, il a de nouveau été en pleine forme. Vite, vite, l’escabeau, la bonne position, ses mains puissantes qui me prennent par les cuisses en m’attirent vers lui... Il m’a réempalée. J’ai gémi à nouveau, me redressant pour me blottir dans ses bras. J’étais assise à moitié sur la table, à moitié dans le vide, sa queue me pénétrant totalement. J’ai murmuré à son oreille que c’était bon, sa grosse queue dans ma teuch de lesbienne, et ça l’a obligé à enfouir sa tête dans mes seins pour étouffer les bruits de son plaisir. Le rythme était de plus en plus intense, l’excitation à son comble. J’ai demandé au docteur ce qu’il allait faire... Il a répondu en grognant : « Je vais jouir en vous... » J’ai fermé les yeux, impatiente de découvrir cette sensation nouvelle... Quand il m’a serrée contre lui, j’ai su

C’était musqué et à moitié dur, à moitié avachi. J’avais surtout envie que le beau gynéco me reprenne la chatte, mais j’ai avalé comme j’ai pu. 38

que c’était le moment. J’ai glissé ma main en direction de mon clito et je me suis donnée du plaisir, une décharge vaginale étant suivie d’un bel orgasme clitoridien. J’ai alors senti qu’il venait. Le foutre a coulé en moi, quelques gouttes venant s’écraser sur le lino du cabinet. J’étais repue. Fatigués tous les deux, il a bien fallu nous rhabiller. L’excitation est retombée rapidement. Je suis partie avec une mine coupable, le rouge au front devant les autres patientes. Et je n’ai jamais rappelé mon médecin, de peur d’avoir envie de plus. Ma vie avec des femmes me convient très bien, même si je chéris ce souvenir aussi tabou que délicieux. Magali, 32 ans, Tours [email protected]

Libertins chéris

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e m’appelle Gérard et ma femme, Sandrine. Notre vie sexuelle était très plan-plan après 20 ans de mariage. Mais un nouveau couple d’amis nous a sauvé de la routine... L’été dernier, nous sommes partis en vacances du côté de la dune du Pilat. Nous n’avions alors pas fait l’amour depuis 3 mois, trop crevés à cause du boulot. Lors d’une soirée au resto, Sandrine s’est mise à me faire du pied sous la table. Elle était très belle avec sa robe rouge et ses jolis cheveux châtains coupés courts, sa peau déjà bronzée me donnant envie de l’embrasser. Comment avions-nous pu nous éloigner comme ça ? Après le resto, j’ai amené Sandrine boire un verre dans un bar lounge et cosy. Profitant du fait que notre table

était installée loin des regards, je me suis mis à l’embrasser dans le cou, puis dans le décolleté. Avant qu’elle ne m’arrête : un couple nous observait. La petite cinquantaine comme nous, cheveux gris et costard en lin pour lui, mèches blondes et robe sexy pour elle. À notre grande surprise, ils se sont levés et sont venus s’asseoir avec nous ! Après un petit silence, le couple s’est présenté : Marc et Liliane étaient de la région et ils nous trouvaient « sympathiques ». Le serveur a amené du champagne qu’ils avaient commandé. Après quelques flûtes, nous nous sommes sentis sous le charme... Et nous nous sommes donnés rendez-vous le lendemain dans un club de leur connaissance. Sandrine et moi, nous avons fait l’amour ce soir-là, avec tendresse et passion. Le lendemain, ma femme s’était faite belle : longue robe noire ouverte dans le dos, bijoux dorés sur sa peau abricot. J’ai de nouveau eu envie d’elle... Mais on nous attendait. Devant le club, nous avons retrouvé Marc et Liliane, sur leur 31 eux aussi. La robe moulante de Liliane m’a fait tourner la tête et je crois que Sandrine l’a remarqué. Mais elle s’est contentée de sourire. ous sommes entrés dans la boîte et avons pris une table. Là encore, champagne et discussions animées... Nous étions éméchés et ravis de notre soirée. Puis, vers minuit, Marc nous a proposé de passer dans la salle VIP. Pourquoi pas ? Nous avons suivi le couple dans un long couloir puis nous avons pris un escalier. Je voyais mal dans la pénombre. À qui était la main qui a saisi la mienne quand nous sommes arrivés à destination ? Mes

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yeux ont mis un moment à s’habituer à ce nouvel environnement... utour de nous, j’ai enfin identifié des silhouettes qui s’enlaçaient. Des corps nus qui ondulaient au rythme de la musique entêtante. Puis j’ai distingué Marc qui prenait ma Sandrine dans ses bras pour une étreinte brûlante. Le serpent de la jalousie m’a mordu, mais très vite, j’ai senti une douce chaleur sur mon sexe. La main de Liliane s’était glissée dans mon pantalon. Quelle experte... J’ai fermé les yeux, le champagne et l’atmosphère chargée d’un lourd parfum m’enivrait. La coquine m’a branlé avec dextérité, rendant mon dard dur comme du bois. Le regard mi-clos, j’ai alors vu Sandrine s’allonger sur un grand lit et remonter sa robe. Marc était entre ses cuisses. Il s’est mis à la lécher. Au même moment, Liliane s’est agenouillée et m’a débraguetté. Ma queue a jailli. La belle m’a sucé comme une reine, mon gland allant jusqu’à sa glotte sans qu’elle ne bronche. Quel pied... Et pourtant, face à moi, je voyais ma femme se faire bouffer la chatte par un quasi-inconnu ! Quand Sandrine a tourné la tête vers moi, j’ai lu la jalousie, mais aussi l’excitation dans son regard. Liliane était alors ventousée à mon sexe... C’est là que j’ai vu un jeune homme nu et bien fait s’approcher du lit, puis aider ma Sandrine à enlever sa robe. Il s’est ensuite mis à se branler au-dessus de sa tête, avant de plonger à intervalle régulier sa queue dans la bouche charnue de ma femme. Je savais comme elle suçait bien : l’homme avait en effet l’air ravi de sa technique...

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Spécial « Première fois » La scène était vraiment surréaliste : mon épouse était léchée, prise par la bouche, soumise par deux hommes... Et moi, j’avais droit à la pipe du siècle ! J’ai glissé mes mains dans les cheveux blonds de Liliane, la contraignant à ne plus rien faire d’autre que de subir mes assauts. Sandrine s’est mise à onduler : elle me voyait faire et ça la rendait dingue. arc s’est activé et j’ai entendu ma femme se mettre à pousser des cris de plaisir. Le jeune étalon qu’elle suçait en a profité pour la lui mettre profond, encore plus profond... J’ai vu le type se contracter et décharger dans la bouche de Sandrine, qui a penché la tête en arrière pour mieux avaler. Ses mains se sont ensuite crispées sur les draps et Marc l’a faite jouir avec sa langue, lui arrachant un cri strident. C’est le moment où j’ai tout lâché moi aussi, la femme de Marc se régalant à son tour de foutre abondant. Nos 15 jours de vacances ont été rythmés par nos visites dans des clubs échangistes. Une nouveauté qui a changé notre vie... Marc et Liliane sont devenus des amis. Puis nous nous en

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sommes fait d’autres en rentrant à Lyon. Nous sommes aujourd’hui plus amoureux que jamais. Gérard, 52 ans, Lyon [email protected]

En rester bouche-baise

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’ai rompu avec Abdel en mai dernier. C’était dur, vu que je n’avais jamais eu d’autres mecs que lui. Du coup, je pensais que c’était de ma faute si sa queue ne me donnait pas de plaisir... Et puis un jour, j’ai décidé que j’allais l’oublier. J’avais réaménagé avec ma mère, mais il me restait des trucs à lui. J’ai fait un carton et je suis retournée dans notre ancien appart, pour tirer définitivement un trait. C’est un mec que je ne connaissais pas qui a ouvert la porte. Son nouveau coloc. Mika, 25 ans, grand et baraqué. Il était torse-nu quand j’ai débarqué et j’ai pu apprécier ses abdos bien taillés... Il a bien vu comment je le regardais. C’est sans doute pour ça qu’il m’a invitée à entrer et à boire une bière avec lui.

On est restés un moment à discuter dans la cuisine. Mika était marrant et très charmeur. Après une deuxième bière, quand il m’a demandée pourquoi j’avais quitté Abdel, je me suis marrée de le provoquer un peu. J’ai balancé : « Il en avait une trop petite ». Il y a eu un gros blanc, puis Mika a éclaté de rire. « T’es une marrante, toi. » Et il a enchaîné : « Tu veux que je te montre comment on a aménagé l’appart après ton départ ? » J’ai avalé une gorgé et j’ai dit oui. Je ne savais pas encore sur quoi j’allais tomber... ika m’a amenée dans notre ancien salon, qu’il avait transformé en chambre. Un canapé-lit, une télé avec une console de jeux vidéo, des posters de rap... C’était plutôt cool, même si c’était un peu bizarre. Mika l’a vu et s’est approché de moi : « Hé, ne sois pas triste... Tu es super jolie, tu trouveras un mec mieux ! » J’étais contente qu’il dise ça. Ensuite, il m’a prise dans ses bras, j’avais un coup de chaud, aussi... Il avait la peau super douce. J’ai levé les yeux vers lui et on s’est embrassés. C’est lui qui m’a déshabillée, super lentement. Mon ex faisait toujours ça à l’arrache ... Lui, il a bien peloté mes seins après avoir dégrafé mon soutif, puis il a enlevé ma jupe et il n’a gardé que mon string. C’était mon préféré, celui qui me fait un super cul...

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Mais ce qui plaisait le plus à Mika, c’était ma bouche. Il n’arrêtait pas de m’embrasser, de mettre sa langue puis son pouce dedans... J’ai trouvé ça très sexy. J’ai sucé son doigt en le regardant dans les yeux. La tête me tournait un peu, c’était excitant de faire ça chez mon ex... Mika a dit : « Hum, tu as l’air de bien t’y prendre. Tu me montres comment tu fais ça plus bas ? » J’ai fait semblant de ne pas comprendre. Je n’étais pas sûre de vouloir le sucer...

Spécial « Première fois » pour voir. Jamais je n’avais vu un truc comme ça... Je me suis mise à genoux et j’ai commencé par donner des petits coups de langue. Elle sentait bon, un truc comme de la lessive ou du savon à l’amande. J’ai bien aimé le jus qu’il y avait au bout : on voyait que je l’excitais. Alors j’ai ouvert la bouche aussi grande que possible et j’ai commencé à avaler. l a été très doux au début. Il m’a guidée avec ses mains et m’a donnée des conseils : « Vas-y, respire par le nez... Elle est bien grosse, hein ? T’as l’air de kiffer... » C’était très chaud. Abdel n’osait pas trop parler au lit... Là, je me sentais super sexy. J’ai pompé plus fort en poussant des gémissements pour montrer que j’aimais ça. Mika a accéléré. J’ai senti ses mains tirer plus fort sur mes cheveux et il a entré son gros machin plus loin. Putain, je commençais à avoir mal aux lèvres ! On aurait dit qu’elle grossissait encore... Je l’avais quasi au fond de la gorge et je ne contrôlais plus le rythme. Les bruits étaient louches, mais je sentais

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Mais quand il a baissé son short, j’ai halluciné : il avait une bite énorme, deux fois la longueur de celle d’Abdel et trois fois la largeur ! J’ai eu envie de goutter

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que ça le faisait kiffer de me baiser la bouche comme ça. J’ai senti mon petit string de plus en plus mouillé... J’ai quand même eu peur que Mika jouisse dedans. Je ne comprenais plus trop ce qu’il disait. J’entendais juste qu’il m’appelait « sa bonne suceuse », mais pas le reste car il serrait les dents. Alors je me suis un peu dégagée et il a compris. Quand il m’a soulevée et m’a mise en levrette sur le canapé-lit, je me suis dit « Et si Abdel rentrait à l’appart ? » Il m’aurait vue en train de me faire défoncer par l’énorme bite de son coloc ! a sensation était encore plus excitante. Tant mieux, parce que c’est là que Mika m’a pénétrée. Il y est allé doucement, mais elle était si énorme que je n’ai pas vraiment kiffé. Il l’a senti, alors il s’est mis à me reparler : « Tu verrais ce que je vois... Ta petite teuch bien serrée est toute écartée ! Tu mets de la mouille partout sur ma bite... » J’ai imaginé qu’Abdel entrait dans la chambre et qu’il voyait son ex chérie avec un dard monstrueux dans la chatte. Le plaisir est monté, monté, j’ai gémi très fort et hum... J’ai joui par la chatte ! Mika a enlevé sa bite et il m’a remise à genoux. Je ne calculais plus rien tellement j’avais pris cher... Il a juste repositionné sa queue dans ma bouche et j’ai senti la mouille sur ma langue. C’était dingue ! J’ai ouvert grand les yeux de surprise et paf ! Mika a balancé la sauce. Comme il avait ses mains sur ma tête, j’ai avalé, toujours en respirant par le nez pour ne pas me noyer dans le foutre. Je ne sais pas trop si j’ai aimé, mais j’y ai beaucoup repensé depuis. Mika m’a invitée à revenir le voir quand

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Abdel ne sera pas là. J’avoue, cela me tente pas mal. Hélène, 21 ans, La-Roche-sur-Yon

Trio gagnant

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ello les mecs, c’est Stéphane. La prostate, ce n’est pas votre truc ? À moi non plus. Enfin, jusqu’à ce que je tombe sur un duo de lesbiennes bien chaudes, qui m’ont fait tester de nouveaux plaisirs. C’est parti ! Je suis pote avec Emma depuis que l’on est ado. Elle est mince, un peu masculine mais sexy, avec ses petits nichons et ses cheveux blonds à la garçonne. Aujourd’hui, à 40 ans au compteur, on est toujours aussi fous qu’avant : on va en club, on danse, on ramène des meufs... Elle, elle les aime jeunes et bien pulpeuses. Moi, je teste ce qui me tombe sous la main (et la queue !). Un soir que l’on était dans notre boîte préférée de Lilles, je me suis levé de notre table et je suis allé nous chercher une bouteille. Quand je suis revenu 10 minutes plus tard, j’ai vu Emma en train de rouler des pelles à une magnifique brune, la vingtaine, gros nichons et robe ultra sexy. Je suis resté à les mater. La fille était surexcitée par les caresses de mon amie : elle se tortillait sous les léchouilles. Elle n’a même pas protesté quand Emma a glissé sa main sous sa robe, alors que tout le monde pouvait voir qu’elle se faisait doigter. Un des vigiles a commencé à s’approcher, alors je me suis ramené à la table et j’ai embarqué les deux nénettes. Elles étaient mortes de rire. Elles se sont foutues à l’arrière de ma caisse et ont continué leur cirque. Je voyais la scène 43

Spécial « Première fois » dans le rétro, sans parler des bruits... Emma doigtait toujours la fille, puis elle s’est penchée et s’est mise à lui aspirer le clito. La petite gémissait comme une cochonne... Je ne vous dis pas comme je bandais, surtout que ses gros nichons étaient sortis de la robe et que j’avais tout en plein dans le rétro ! J’ai fini par m’arrêter sur un parking. Emma m’a lancé : « Arrête de faire la gueule, on partage si tu veux ! » J’avais tellement envie de baiser que je suis descendu de la voiture et que je leur ai ouvert la portière. Elles sont sorties. La petite était à moitié à poil. Je lui ai enlevé sa robe et je l’ai allongée sur le capot pour lui bouffer les seins. Elle a couiné comme il fallait : elle aimait aussi les mecs, cette garce ! Emma, elle, était retournée entre ses cuisses et la défonçait de coups de langue. ’ai eu envie de les voir se gougnotter, alors j’ai relevé Emma et je l’ai plaquée contre la fille. Leurs moules étaient l’une contre l’autre et faisaient un bruit mouillé très excitant. Je me suis avancé à quelques centimètres d’elles et j’ai baissé mon fute. La petite m’a attrapé la bite et s’est mise à me branler, tout en frottant son abricot sur celui de ma copine. C’est là que j’ai senti la main d’Emma venir se poser sur mes fesses et commencer à me palper... Puis

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Elle a couiné comme il fallait : elle aimait aussi les mecs, cette garce ! Emma, elle, était retournée entre ses cuisses et la défonçait de coups de langue. 44

son index m’est entré dans le cul ! Comment elle osait me faire ça ? Le problème, c’est que c’était hyper bon et que sa chienne de meuf me serait la bite au maximum. Les deux se frottaient de plus en plus fort et j’ai compris qu’elles allaient bientôt se faire jouir. Je me suis détendu en me disant que cela serait juste une fois, qu’Emma n’irait jamais raconter que j’avais aimé me faire pénétrer le petit. Putain, elles étaient si chaudes à se frotter la schnek ! La brune a joui en premier et ma pote a suivi. Elles criaient super fort, j’avais le feu ! J’ai senti le doigt d’Emma qui s’enfonçait encore plus sous l’effet de son orgasme et là, j’ai tout laissé couler dans la main de la belle brune. Elle a alors lâché mon sexe, pour faire goutter mon nectar à Emma. Non seulement cette coquine a léché ses doigts collants, mais elles se sont ensuite mises à se rouler des patins parfumés au foutre ! Le kif total. Après cet épisode, j’ai mis un peu de temps avant de revoir Emma. Elle ne m’en a jamais reparlé. J’avoue que parfois, quand je me branle, j’y repense et j’ose me mettre un doigt... Mais chut, c’est notre petit secret ! Stéphane, 41 ans, Ronchin [email protected]

Une tournante dans la carrière

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COURRIER AVEC

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alut Union, j’écris ce courrier en dédicace à mon boss JM, le plus gros partouzeur de Bretagne ! Je suis commercial dans les assurances. Même si je ne suis pas beaucoup au

bureau, j entends les rumeurs : que le chef aime recruter des petites stagiaires bien chaudes. Le semestre dernier, j’ai cartonné niveau ventes et mes bons résultats m’ont valu une invitation très spéciale du boss. JM m’a appelée le matin et m’a demandée de réserver ma soirée : je devais le

retrouver dans son bureau à 21 h. C’était lourd de devoir attendre si longtemps avant de rentrer chez moi, mais comme personne ne m’attendait, c’était pas dramatique. En plus, toute la journée, j’ai eu droit à des clins d’œil et des blagues salaces de quelques collègues. De quoi éveiller ma curiosité.

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Spécial « Première fois »

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’ai compris le soir : je suis entré dans l’immense bureau et JM m’a accueillie avec des petits fours et du champagne. Il n’était pas seul : Marco

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et Jean, deux autres commerciaux avec qui je m’entends bien, était là avec une flûte à la main. Et puis il y avait Gwen, la petite stagiaire de la paye (une brune x grands yeux clairs et aux tits nichons bien ronds) Yumi, une nouvelle de la H (d’origine jap’, bien ma me !). J’ai repensé à la meur et j’ai commencé à entir que ça bougeait dans on caleçon. Je n’étais pas u bout de mes surprises ! ombien on a pu plier de outeilles de champ’ ? Au moins 5 ou 6... J’ai même vu M assis dans un des grands auteuils, avec la petite Yumi à genoux à côté de lui qui lui mettait des canapés directement dans le bec ! On regardait la scène avec Marco et Jean, morts de

rire et un peu jaloux aussi... C est là que le boss a commencé à caresser la tête de la fille. C’était le signal. JM a ouvert sa braguette et j’ai vu sa queue sortir d’un coup. Putain... Il a choppé la petite par les tifs et l’a approchée de son pieu. Elle a fait mine

de résister un peu... avant de se mettre à le sucer ! Mais ce n’était pas fini : quand il a claqué des doigts, c’est Gwen qui s’est foutue à genoux. Et lles l’ont pompé à tour de ôle, parfois même à deux sur on chibre ! a soirée a dérapé en gros ang-bang. Le chef nous a dit e nous foutre à poil et on était us tellement chauds devant es cochonnes que l’on a obéi. our commencer, Yumi s’est shabillée et s’est allongée r une des banquettes. On st mis au-dessus d’elle et elle us a sucé tous les trois. Elle ussait des petits couinements et enroulait bien la langue, j’avais les couilles en feu. endant ce temps, JM était toujours dans son fauteuil à mater la scène, tandis que Gwen, à poil aussi, le suçait comme une chienne. Elle était à quatre pattes et je voyais ses deux trous

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Spécial « Première fois »

serrés... L’envie de lui mettre mon pieu était si forte que j’ai empoigné Yumi par la tête pour lui ramoner la glotte plus fort. a suite a été encore plus dingue : le chef a demandé aux filles de se mettre en levrette l’une sur l’autre. En bas Gwen et son cul parfait, puis Yumi la velue, dont la chatte sentait bon la femme en chaleur. On les a fourrées comme ça. J’étais tellement à fond que je ne regardais même plus où je l’enfonçais : la shneck de Gwen, l’anus de Yumi, puis je repassais devant pour que ces coquines me lavent le gland avec la langue... Marco avait une queue énorme et à

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Puis Jean et Marco ont voulu se terminer en se partageant Gwen. Ils l’ont soulevée, l’ont allongée sur un canapé et l’ont baisée à tour de rôle. 48

haque fois qu’il en nculait une, elle uvrait grand le bec our gueuler. On en rofitait pour plonger edans avec JM. Quel pied, rien que d’y epenser, je bande comme un âne ! Puis Jean et Marco ont voulu se terminer en se partageant Gwen. Ils l’ont soulevée, l’ont allongée sur un canapé et l’ont baisée à tour de rôle. La pauvre n’avait plus de voix à force de beugler... Marco l’a remplie en premier, puis Jean a juté sur sa jolie croupe. Pendant ce temps, je sodomisais Yumi sous le regard de mon chef. Il a eu l’air fier de moi quand je lui ai juté dans le cul. Mais il avait surtout une idée en tête. uand j’ai eu fini, JM est allé relever Gwen et l’a amenée jusqu’à Yumi. L’asiat’ s’est allongée par terre, le cul encore en marmelade. Là, Gwen s’est mise à califourchon au-dessus de Yumi puis a écarté ses grandes lèvres, pour faire couler le sperme sur son visage. C’est le moment qu’a choisi le boss pour se terminer à son tour sur la velue : une belle faciale pour la stagiaire ! Depuis, je cravache au boulot comme jamais. J’attends impatiemment la prochaine prime de résultats, surtout que l’on a embauché de nouvelles stagiaires... Mike, 50 ans, Brest [email protected]

Q

Confidences de

femmes

Spécial lettres et e-mails

Elles nous écrivent

Afin de garantir votre anonymat, nous avons décidé de modifier tous l prénoms en signature de vos courriers. Si toutefois vous souhaitez voir apparaître votre vrai prénom, merci de nous le spécifier.

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Calmer son hardeur

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onjour ! Je suis Agnès, Unioniste de 23 ans très, très coquine... J’ai testé plein de délires depuis que j’ai perdu ma virginité. Mon nouveau kif : être modèle dans les salons érotiques. C’est bien payé, on repart avec des sextoys et surtout, j’adore faire bander les gros cochons sans qu’ils aient le droit de me toucher. Enfin, la plupart du temps ! Günther, lui, a pu le faire. Sur mon dernier salon, à Metz, je l’ai rapidement repéré. Il était beaucoup plus vieux que moi (mais j’aime bien ça), costaud, avec un look un peu baroudeur. Il était photographe sur l’événement et shootait les filles... Surtout moi. J’étais sur un stand de lubrifiant et j’avais une tenue super hot en latex, plus des collants qui me faisaient les jambes bien fines. Toute la journée, il a essayé de m’approcher et je faisais exprès de le chauffer du regard. Et puis le soir, je lui ai fait signe de me suivre.

Je savais que le salon avait plusieurs salles où on stockait des produits. J’avais repéré l’endroit avant, « au cas où ». Günther sur les talons, je me suis dirigée en coulisses, puis vers une des salles secrètes. Quand le photographe a refermé la porte derrière lui, j’étais déjà toute émoustillée. Je l’ai regardé droit dans les yeux et j’ai lancé : « J’ai été très méchante... Il faut me punir ! » Le mec a rigolé : « Dis donc, t’es une sacrée coquine, toi. Tu me chauffes à mort, tu m’amènes ici... C’est bien d’ailleurs, on est loin de tout le monde. » Je me suis approchée de lui et j’ai murmuré  : « C’est pour que tu puisses me faire crier à fond. » Et là, paf ! Je lui ai mis la main au paquet. Il était déjà dans un état pas possible. En deux secondes, je me suis retrouvée à quatre pattes, sa main dans les cheveux et sa queue devant le nez. J’ai voulu le calmer direct : « Hum, il va falloir être gentil si tu veux que je me soumette ». J’ai vu Günther faire un peu la gueule, mais il a

obéi. Comme quoi, c’est souvent celle qui est à genoux qui commande ! e l’ai pompé en le matant dans les yeux et sa bite a doublé de volume. Parfait pour ce que j’avais prévu ensuite. Quand il a été à point, je me suis tournée et j’ai présenté mon cul bien moulé dans ma tenue de garce. Le photographe s’est jeté sur moi et a craqué mon collant en grognant. Direct, il m’a mise le nez dans le cul... Je l’ai laissé me fouiller le petit avec la bouche : miam miam, il aimait les petites fesses bien jeunes... Dans cette position, il a pu voir comme j’étais étroite. Mais pas pour longtemps ! J’avais gardé un échantillon de lubrifiant dans la poche. Vu que le mec était bien monté, je lui ai passé. Il l’a ouvert avec les dents et m’a écartée grand les miches, avant de tout verser à l’intérieur.

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Confidences de femmes C’était bien gluant comme j’aime ! Avec ça, pas de problème pour m’enculer. J’ai senti d’abord le gros gland, puis Günther est entré à fond. J’ai remué pour qu’il se positionne bien. J’adore tellement la sodomie que très vite, je me suis mise à gueuler : « Vas-y ! Metslà moi plus fort ! » e salaud était tellement chaud qu’il m’a chopée par les hanches et s’est mis à me secouer comme un cocotier. À ce moment-là, je me branlais le clitoris, mais il a vite fallu laisser tomber vu comme je me faisais défoncer... Trop bon ! J’aurais aimé continuer, mais Günther a fini par râler : « T’es trop serrée, j’ai la bite qui chauffe ». Pas de problème, j’avais un autre trou dispo. C’était moins agréable, mais j’ai quand même kiffé quand il m’a enfilée par devant. On a testé pas mal de positions, la mieux étant quand il était au-dessus de moi et que son bas-ventre frottait mon bouton d’amour. J’ai joui deux fois, mais Günther n’a pas réussi. Tant mieux, je ne suis pas fan de foutre. En plus, j’ai eu l’impression de me servir de lui comme d’un gros sextoy, trop kiffant ! Il est reparti les couilles pleines et un peu vénère. J’espère que sur le prochain salon, j’en trouverai un moins impressionné par les filles libérées.

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Agnès, 23 ans, Metz

Cœur de rockeur

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oucou Union ! Ici Daniela, coquine rouquine de 49 ans. J’adore le karaoké depuis toujours, et encore plus depuis que j’ai trouvé un partenaire idéal. Voici l’histoire de notre premier

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duo ! Marco n’est pas un habitué de ma salle de karaoké. Je l’aurais repéré sinon... La première fois que je l’ai vu, c’était un jeudi soir. J’étais venue avec mes amies. Lui était seul à une table, devant une bière. La cinquantaine, un look à la Elvis : blouson de rocker et jean moulant juste comme il faut. Il avait de beaux yeux bleus et un air mystérieux de crooner. J’ai tout de suite voulu l’impressionner... Alors, j’ai utilisé ma meilleure arme : ma voix. J’ai chanté plusieurs fois, principalement des balades américaines. Mon crooner, au début, regardait fixement sa bière. Puis il a fini par s’intéresser à moi. J’ai tout donné, depuis les œillades langoureuses jusqu’aux déhanchés sexy. Et oui ! J’ai de beaux restes, que je sais mettre en valeur. Ce soir-là, j’avais d’ailleurs mis ma jolie robe rouge pailletée, qui me fait un popotin d’enfer. Elle a encore une fois fait son effet. Après ma dernière chanson (Love Me Tender d’Elvis, un clin d’œil au beau gosse !), je suis allée m’asseoir à ma place. Et là, je l’ai vu se lever, puis se diriger vers l’escalier qui descend aux toilettes. Avant de disparaître, il m’a lancée le regard le plus torride qui soit... J’ai hésité un instant, puis j’ai lancé aux copines : « Continuez sans moi, on m’attend quelque part ». Elles gloussaient. Elles sont habituées à mes frasques et je savais qu’elles ne me jugeaient pas – simplement, la situation les émoustillait. J’ai ajusté ma robe magique et je suis descendue à mon tour. À peine arrivée en bas, j’ai retrouvé mon beau gosse. Pas le temps de dire ouf : à peine avais-je passé la porte des toilettes des hommes que je me suis retrouvée plaquée contre le mur, le mâle viril me pelotant de partout. Sa langue s’est mise

à fouiller ma bouche, pendant que son parfum musqué m’enivrait. Un mec, un vrai, qui déjà me faisait mouiller comme une affamée ! rès vite, il a trouvé le chemin de ma culotte. Entre deux baisers passionnés, j’ai soufflé : «Comment t’appelles-tu?» Il a répondu d’une voix rauque «Marco, et toi?» Je n’ai même pas pu répondre : son index venait de s’enfoncer dans ma vulve et seul un gémissement est sorti de ma bouche. Il m’a doigtée sauvagement, me faisant jouir une première fois. Pour le remercier, je suis tombée à genoux et j’ai sorti son chibre dur de son jean. Quelle splendeur : large au bout, long, et avec son odeur... Aussi virile que son propriétaire! J’ai tout englouti, le rouge à lèvres s’imprimant sur sa chair et barbouillant le tour de ma bouche. Marco a fait de longs va-et-vient dans ma bouche, puis il m’a relevée... Et m’a entraînée dans un des chiottes ! Là, il s’est assis sur l’abattant et m’a retournée. J’étais debout, dos à lui, alors j’ai soulevé ma robe pour lui laisser libre accès. J’ai senti sa bouche se ventouser contre mon trou étroit... Un délice ! Quelques minutes ont suffi à me préparer. En collant mes fesses contre sa face, j’ai pu profiter de sa langue tendue tout au fond de moi... Puis Marco m’a assise sur lui. Après quelques efforts, je l’ai senti mettre son gland dans mon œillet. J’ai gigoté afin que sa bite entre plus loin. Oui ! Oui ! J’ai enfin profité totalement : il me possédait, ses râles à mes oreilles étant la plus belle des musiques. Je l’ai chevauché comme ça, sur les toilettes. Cet endroit glauque, la grosse queue de cet inconnu me déformant l’anus... J’étais en plein fantasme ! Surexcitée, je me suis laissée tomber de

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plus en plus vite sur sa queue, tout en masturbant mon clitoris à toute vitesse – ce qui me faisait mouiller en quantité, par devant et par derrière. Heureusement, car j’étais empalée jusqu’au trognon ! Les basses du karaoké nous parvenaient faiblement et j’ai profité que nous étions au sous-sol pour crier mon plaisir. Encore ! Encore ! La sauce montait, je le sentais aux grognements de Marco et à ses paroles crues à mon oreille. Enfin, dans un râle de bête, il a déchargé d’un coup, tout en me tenant sur lui par les hanches. J’ai ondulé et profité des dernières secondes de vigueur de sa nouille pour jouir à mon tour. Quel bonheur ! ous nous sommes rhabillés à la vavite et nous avons filé par la porte de derrière, histoire que personne ne nous voit. J’avoue que je ne marchais plus très droit. Depuis cette soirée torride, nous nous sommes revus... Et avons fini par tomber amoureux ! Mon Marco, jamais je n’oublierai cette première sérénade. J’espère qu’il y en aura des milliers d’autres ! Ta Daniela qui t’aime.

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Daniela, 49 ans, Waterloo

Déchargé de famille

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ous les étés depuis que je suis gamine, je pars au bled pour les vacances. L’été dernier, le séjour a été particulièrement chaud. Je suis l’aînée de ma famille : 28 ans au compteur. Mes cousins d’Algérie ont tous quelques années de moins, et le petit dernier, Bachir, à peine 19 ans. J’avais l’habitude de le chambrer : son surnom, 55

Confidences de femmes c’est « le nain », vu qu’il était le plus petit en âge et en taille. Sauf qu’en juillet, quand je suis arrivée dans la maison familiale, j’ai halluciné : le « nain » était devenu une espèce de « BG » intersidéral... et super dragueur avec moi ! Un après-midi, alors que l’on faisait tous la sieste, ce petit fouineur est entré dans ma chambre. J’ai fait comme si je dormais et je l’ai observé les yeux mi-clos. J’ai halluciné : Bachir s’est avancé vers ma commode et a sorti mes petites culottes une à une. Puis il a ramassé celle de la veille, qui traînait par terre, avant de la porter à ses narines ! Ça m’a fait tout chaud dans le ventre, de voir mon cousin s’amuser à un truc si sale... Mais le pire, c’est que le vicieux savait très bien ce qu’il faisait ! Les yeux toujours à moitié fermés, j’ai entendu Bachir murmurer : « Ma cousine, je sais que tu ne dors pas. Laisse-moi respirer ton odeur de femelle. » Mais je n’ai pas bougé. Mon cousin s’est avancé vers le lit et a enlevé son tee-shirt puis son short. Entre mes paupières, j’ai aperçu sa queue en érection...

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Feignant un demi-sommeil, je l’ai laissé soulever le drap. Je dormais quasiment à poil, vu la chaleur, et Bachir a pu apprécier le spectacle. Il m’a regardée longuement, avant de s’allonger près de moi. Pour commencer, il a léché le bout de mes seins, que j’ai senti durcir malgré moi. Puis sa main a fouillé entre mes cuisses, son index habile trouvant le chemin du plaisir. J’ai gardé les yeux fermés... La situation était tellement hot : Bachir me doigtait alors que toute la famille dormait, et je me laissais faire, la vulve toute trempée... J’ai quand même donné quelques signes de vie quand mon cousin, de plus en plus chaud, s’est mis au-dessus de mes nichons, la queue tendue. De ma main, je l’ai guidé pour se branler sur mes tétés. Il y avait du jus au bout de sa verge, de quoi aider à la rentrer dans ma chatte. J’avais hyper envie qu’il me baise, même si je savais que c’était totalement interdit ! Mais comment résister, alors que le beau Bachir avait sa bite entre mes nichons tout durs ? a technique est restée la même : j’ai fait la passive, comme si j’étais

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rtains courriers présentent des comportements à risque. Pour votre santé, n’oubliez pas le préservatif !

somnambule. Jamais je n’ai donné mon accord à mon cousin pour me pénétrer lentement. Je suis même restée immobile quand il a commencé à monter en pression, faisant grincer le lit pendant qu’il activait le rythme. Et je n’ai rien dit quand il m’a glissée à l’oreille, à bout de souffle : « Cousine, je vais me vider. » Je l’ai laissé décharger et j’ai adoré les secondes qui ont suivies, quand son foutre a coulé comme du miel de ma foune gonflée.

Cet été, on l’a passé à baiser, Bachir et moi. Il me retrouvait dès que c’était l’heure de la sieste, pendant que je dormais. Sans jamais rien dire, je l’ai laissé se branler sur mes seins, me lécher la moule, me prendre la bouche jusqu’à juter... Un après-midi, je me suis même mise à plat-ventre sur le lit avant qu’il débarque. Il n’y a même pas eu de préliminaire : le salaud m’a sodomisée direct en mordant le coussin pour ne pas gueuler. Sa première fois, c’est sûr... Quand je suis repartie, j’ai reçu un SMS : il aimerait venir me voir quelques semaines en France. Je n’ose pas lui répondre. Peutêtre qu’il le fera sans permission ? Amina, 28 ans, Nice

Le petit oiseau va sortir

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’ai 24 ans, je mesure 1,65 m et je suis brune et bien roulée selon mes ex. Ma passion, c’est la photo, que j’étudie dans une école à Arles. J’aime particulièrement faire des nus, mais c’est compliqué de trouver des modèles 57

(surtout des mecs). Pour mon projet de fin de Master, j’ai passé des annonces sur le Web et demandé à tous mes potes de poser pour moi, sans succès. J’ai donc dû me tourner vers Sébastien, le meilleur ami de mon frère. Il a accepté de se laisser photographier... sans filtre. Sébastien, c’est mon pote d’enfance. Mon frère l’a rencontré à l’école primaire et on a toujours été proches : on faisait les 400 coups tous les trois. Je l’ai toujours trouvé hyper gentil, et puis, dès que l’on a été ado, très beau aussi. Il est grand (pas loin de 1,95 m), les cheveux blonds vénitiens et les yeux gris. Il fait même un peu de mannequinat pour payer ses études. Un vrai beau mec. Je n’avais jamais osé lui avouer mon intérêt avant ce fameux projet. on rendu de Master était simple : une séance de nu masculin dans une salle de classe dépouillée, pour que ce soit la beauté du corps qui s’exprime. Plus la date de mon rendez-vous avec Seb approchait, plus je stressais : allais-je réussir à mettre mes sentiments de côté pour réussir les photos ? Seb était-il conscient de ce que je lui demandais, ou avait-il juste dit oui pour me faire plaisir ? Et puis, le vendredi fatidique est arrivé. Seb s’est pointé devant l’école plus sexy que jamais : tee-shirt blanc moulant son torse sculpté, jean délavé, cheveux ébouriffés... On aurait dit une pub pour du parfum ! Je l’ai chambré là-dessus et il s’est marré. Nous nous sommes ensuite dirigés vers la salle de classe que j’avais réservée. Pour mettre Seb à l’aise, j’ai bloqué la porte avec une chaise, puis je lui ai dit : « On sera tranquilles. Tu peux te désaper si tu veux ». Il a eu un drôle d’air, à la fois sûr de lui et mystérieux... Quand il m’a regardée droit dans les yeux et a

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enlevé son tee-shirt sans broncher, j’ai senti que je piquais un fard. eb a éclaté de rire : « Ben alors, tu rougis ma belle ? Je pensais que je faisais trop “publicité de parfum” pour toi ». J’ai rétorqué : « Ce n’est rien. Juste, je ne t’ai pas vu à poil depuis au moins 10 ans ». Il n’a rien répondu mais, en me fixant toujours, il a baissé son jean. Puis son caleçon. Putain... Qu’il était bien monté ! Je lui ai dit d’attraper une chaise et de s’asseoir. Puis j’ai préparé mon appareil et j’ai commencé à shooter. J’essayais de me concentrer sur les détails. Clic ! Ses épaules puissantes. Clic ! Son visage si parfait. Puis ses jambes musclées. Là, sans le réaliser, j’ai laissé mon objectif remonter vers ses cuisses... Puis plus haut... Et j’ai photographié son sexe. J’ai eu peur que Seb ne me prenne pour une perverse, mais cette queue si graphique, blanche et entourée de poils roux était la plus belle chose que j’ai jamais vue. Un grain de beauté sur la base, surtout, m’a fascinée... Pourtant, mon modèle n’a pas eu l’air perturbé. Au contraire, j’ai vu sa main droite saisir délicatement l’objet de mon désir. Je me suis approchée de Seb, jusqu’à n’être plus qu’à 50 cm de lui... Ce que je voyais dans mon viseur était fascinant : mon ami, en train de prendre sa belle saucisse entre ses doigts et de la faire coulisser sensuellement... a respiration et la sienne se sont faites plus intenses, se synchronisant même. Je continuais à shooter pendant que le mandrin était maintenant comme un morceau de bois : tendu, dur, rugueux. J’ai enfin posé l’appareil, n’écoutant plus que le battement de mon cœur et le halètement de Sébastien. J’ai ouvert

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la bouche et fermé les yeux, gardant en tête les images du shooting. Là, j’ai sucé intensément sa grosse queue, me régalant de ce contact viril sur ma langue. Seb avait beau me respecter, il s’est servi de moi pour son plaisir : les doigts dans ma tignasse, il m’a empalée sans ménagement, me faisant sentir la force de son désir. Je respirais comme je pouvais, m’étouffant à moitié sur sa tige large et juteuse, le cœur à 100 à l’heure. J’avais peur que quelqu’un ne tente d’ouvrir la porte et nous trouve, lui nu et cambré sur sa chaise, moi à ses genoux, la bouche pleine, avalant jusqu’à ses couilles velues... eureusement, la délivrance n’a pas tardé. J’ai senti mon modèle appuyer plus fort ses mains de part et d’autre de ma tête, tout son corps se raidissant. J’ai plongé, le souffle coupé, gobant sa queue jusqu’à la garde. Une série de giclées ont alors explosé, un goût âcre m’emplissant la bouche. Le sperme de Seb qui grognait de plaisir après s’être retenu tant d’années... Mon visage était souillé de larmes et de foutre chaud. Il a attrapé son caleçon et m’a essuyée tout doucement, puis a souri : « J’avais tellement envie de ta bouche, ma belle. » J’ai souri à mon tour. Nous avons ensuite fait l’amour, à même le sol froid de la salle de classe. Seb ne s’est pas détourné une seule fois quand je l’ai embrassé avec passion, malgré son jus qui collait encore ma langue. Nous avons mélangé nos fluides dans une étreinte passionnée. Après l’orgasme, encore tremblante, j’ai fait des photos de lui alangui. Grâce à lui, j’ai obtenu la mention très bien. Et j’ai gagné non pas un modèle, mais un amant incroyable.

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Céline, 24 ans, Arles

Arse-nique et vieilles dentelles

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e suis démonstratrice en lingerie à domicile depuis 2 ans. Un métier sympa, où l’on fait de belles rencontres. Comme celle que je vais vous raconter... Mes démos marchent au bouche-à-oreille : une cliente aime mes produits, en parle à ses amies, qui me font venir chez elles. L’an dernier, j’ai eu la surprise d’être appelée par un jeune homme nommé Marc. Il m’a expliquée être recommandé par N., une cliente régulière, et vouloir organiser une démo pour son meilleur pote, Patrick. Patrick, m’a-t-il expliqué, était timide avec

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Confidences de femmes les femmes, alors que Marc était selon ses propres mots « du genre tombeur ». Son idée : montrer à Patrick comment séduire les nanas avec les bons cadeaux. J’ai rigolé et j’ai dit que je réfléchirais. Après tout, pourquoi pas ? J’avais toujours imaginé étendre ma clientèle aux hommes, notamment pour la période de la SaintValentin. Évidemment, l’idée de Marc était un peu tordue, mais je savais que les mecs ont entre eux des amitiés... disons, « particulières ». J’ai rappelé et on a fixé un rendez-vous chez Marc la semaine suivante. uand je suis arrivée, j’étais chargée ! Lingerie, mais aussi bijoux et parfums : je me disais que Patrick pourrait apprendre deux ou trois astuces pour plaire aux dames. J’ai sonné et j’ai été accueillie par les deux compères. Marc, d’abord. Pas très grand, assez charmant, la trentaine souriante. Patrick, lui, était plus baraqué et vraiment très séduisant avec ses yeux noirs aux longs cils, mais beaucoup moins avenant. Quand notre hôte nous a installés dans la chambre pour la démo, il n’a pas bronché...

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Pour le détendre, Marc avait prévu une bonne bouteille de blanc. Nous avons trinqué « à la séduction » et Patrick a commencé à sourire davantage. Il m’a même lancée au bout d’un moment : « Vous êtes sympa d’être venue pour un plan comme ça... Pas sûr que je devienne un séducteur, mais au moins, Marc va pouvoir faire le plein de cadeaux pour ses poules ! » J’ai ri, le vin me rendant délicieusement joyeuse. a démo, au début assez normale, s’est vite transformée en sketch au fur et à mesure que le niveau de la bouteille baissait. Nous étions morts de rire à chaque pièce que je présentais. Quand Patrick est allé lui-même en chercher une seconde, j’ai su que l’on allait au-devant des problèmes... Mais j’étais si bien avec ces deux rigolos que j’ai continué à montrer ma camelote en me marrant. La bouteille numéro 2 était déjà bien entamée, quand Marc a lancé : « Vous ne voudriez pas nous montrer cette parure en conditions réelles ? » Et il m’a tendue l’ensemble noir le plus sexy de la collection. J’ai éclaté de rire... Puis

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j’ai attrapé la dentelle et je me suis barrée dans la salle de bain. Là, face au miroir, j’ai enfilé l’ensemble et je me suis trouvée hyper séduisante... Quand je suis ressortie, j’ai carrément eu le sentiment d’être une bombe : les deux lascars avaient les yeux hors de la tête, la bouche ouverte, de quoi flatter mon égo. J’ai pris la pose façon pin-up et Patrick en a profité pour sortir son smartphone et immortaliser la scène. Plus les deux me mataient, plus je me sentais libérée. J’ai même fini sur le lit, seins nus, à tirer sur le string et à dévoiler mes parties intimes ! Marc était très rouge quand il m’a passée une autre parure, blanche cette fois. J’ai disparu dans la salle de bain. À mon retour, j’ai trouvé Marc la bite à la main, prêt à agir. e me suis avancée vers lui, en me sentant à cet instant toute puissante. Puis je me suis agenouillée, le regard braqué vers le beau Patrick. Il a photographié toute la scène : moi, ultra chaude, en train de sucer son pote jusqu’à la garde. Jamais je n’avais pompé un homme avec autant d’envie, un vrai régal ! M’exhiber comme ça me donnait

Et heureusement pour moi, car des ailes. Patrick m’a ensuite amenée sur je vois mal comment sa bite leentre lit et c’est luieaux, qui m’ami dévêtue. deux molleMais à il jamais, venir ma n’a pas osépourrait me toucher plus. vers Tant pis : chatte et mon cul ! il me plaisait mieux, alors j’allais sucer son ami comme s’il s’agissait de lui ! La pipe a duré au moins une demi-heure, pendant laquelle j’ai léché, caressé, branlé Marc, mais toujours en regardant Patrick dans les yeux. Il a pris plusieurs clichés, les mains tremblantes... Mais le meilleur moment a été quand son pote a joui. J’étais à genoux sur le lit et Marc s’était

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Confidences de femmes levé pour se branler au-dessus de ma gorge. Patrick, dressé à côté de nous, a gémi comme si lui aussi était prêt. Là, il a tendu la main vers moi et a caressé mes seins, puis mes cheveux... Je l’ai regardé et j’ai ouvert la bouche... D’un coup, Marc a poussé un juron et le sperme a coulé partout sur mon visage. J’ai alors vu Patrick fermer les yeux. J’ai tendu la main et j’ai massé la boule dans son pantalon, il s’est contracté, a gémi plus fort... Puis j’ai senti le jus à travers le tissu : je l’avais eu, lui aussi. Je n’ai plus jamais reçu d’autre appel de Marc. Par contre, le beau Patrick m’a téléphonée une semaine après. Nous sommes depuis ensemble et c’est lui qui m’a montrée mon premier Union, un magazine qui l’a beaucoup aidé à lutter contre sa timidité. Alors dédicace à vous et gros bisous à mon Pat d’amour, qui m’offre toujours les ensembles en dentelle les plus sexy ! Éva, 32 ans, Bordeaux

Double ration

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e bosse dans le restau de ma famille à Aix, je suis au service et je me fais beaucoup draguer. Mon dernier plan ? Cet été, deux mecs nommés Jean et Maxime. Au début, j’ai cru qu’ils étaient en couple vu comme ils étaient complices. Mais à chaque fois qu’ils me faisaient venir à leur table, ils me draguaient sec. Jean, le grand blond viril, me faisait plein de compliments. Maxime, le châtain aux yeux clairs, me lançait des grands sourires même quand j’étais tout au fond de la salle. Bien sûr, mon frère qui gère le restaurant a fini par remarquer leur manège... Il a fallu ruser pour pouvoir quitter

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l’endroit sans me faire engueuler. J’ai torché le service au plus vite : clients expédiés, tables rangées... À 23 h, il n’y avait plus qu’une famille de « relous » à servir, ainsi que mes deux beaux mâles qui prenaient un café. J’ai lancé à mon frère : « Tu gères les derniers clients ? Je vais fumer ma clope et je file. » Même pas le temps de l’entendre râler que j’étais dehors, rapidement suivie par les mecs. On a souri tous les trois : on avait la même chose en tête. Jean, le blond, a lancé : « On est dans un appart de location à deux rues d’ici, tu montes ? » J’ai tiré une tafe et j’ai hoché la tête. Ils me plaisaient vraiment beaucoup... On a bavardé sur le trajet, ils m’ont racontée qu’ils étaient de passage pour le week-end avant de rentrer à Paname. Ils se vannaient entre eux, je me marrais, bref : bon délire... Et ça allait devenir encore plus cool. eur appart était bien en bordel, mais je m’en foutais. Le joli Maxime m’a demandée de m’asseoir sur le canapé-lit du salon et a sorti une bouteille de rhum. On a bu quelques shots, puis Max est allé pisser. Jean le beau blond en a profité pour se rapprocher de moi... On s’est roulés des pelles et quelques secondes plus tard, il a commencé à me déshabiller.

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’appart était sous les toits et il faisait super chaud. Très vite, j’ai commencé à transpirer. Jean s’est mis à poil et il m’a allongée, puis il s’est mis à lécher la sueur qui coulaient entre mes seins. « Tu as bon goût, tu sais ? » Je lui ai fourré la tête dedans et il a mangé mes nichons pour mon plus grand plaisir. Il est ensuite remonté en haut du pieu et je me suis retrouvée avec sa bite devant le nez. C’est le moment que Max a choisi pour revenir. Il a rigolé : « Et ben, mon Jean, tu ne perds pas ton temps ! » Le blond a répondu : « Ramène-toi, j’ai envie de profiter de notre nouvelle amie. » Maxime s’est assis à côté de nous et m’a demandée : « Je peux prendre quelques tof ? » J’ai souri et j’ai pris le sexe de son pote entre mes doigts. Il était dur et sentait la transpi. Ça m’a excitée et j’ai commencé à lui léchouiller le bout. Une belle bite collante à sucer, parfait pour terminer ma journée ! Vu qu’après la pipe, j’avais envie de prendre Jean entre les cuisses, je lui ai bien bavé dessus, histoire qu’elle glisse. Ça lui a plu à mort : il n’arrêtait pas de pousser des « Oui ! Suce-moi bien ! », pendant que son pote prenait des photos.

Max m’a encouragée aussi tout en me caressant les cheveux : « Vas-y, avale-le ! Je sais que t’as envie qu’on te baise tous les deux. » J’ai fait ce qu’ils me demandaient, nettoyant même les burnes de Jean au passage. ax a voulu sa part lui aussi. En me voyant la bouche entièrement remplie des couilles de son pote, il a grogné : « Laisse-moi la place, un peu… ». À regrets, le blond m’a prise par les tifs et m’a désempalée. J’ai ravalé ma salive, je me suis allongée pour qu’il me baise et il s’est mis sur moi. Il n’a pas attendu une seconde de plus – d’un coup, j’ai senti son

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Confidences de femmes avaler en glougloutant et c’est même remonté par le nez ! Les deux mecs étaient morts de rire, mais ils ont été cool ensuite : ils m’ont montrée la salle de bain et j’ai pu me nettoyer. On a fini la soirée à se faire des câlins et à boire des verres, puis je suis rentrée à la maison. La tête de mon frère quand je l’ai croisé dans l’escalier... Sa sœur est une petite salope, et il le sait ! Fadela, 25 ans, Aix-en-Provence

La caméra de sé-cul dard entier dans ma chatte ! J ai gémi sous le coup de la surprise mais très vite, ce sont des halètements de plaisir qui sont montés dans la pièces. Au bout de deux minutes, j’ai carrément commencé à gueuler sous les coups de boutoir. C’est là que Jean, tout en me limant, a lancé à son pote en rigolant : « Fais-la taire, elle va nous attirer les voisins ! » Maxime a obéi et vlan ! Il m’a foutue sa queue dans le gossier. Mes cris ont été étouffés par sa saucisse, encore plus large et parfumée que celle de Jean... es deux m’ont besognée comme ça pendant un bon quart d’heure. J’en ai eu mal aux mâchoires : plus Jean montait en pression et me bourrait fort, plus Max accélérait le rythme, traitant ma bouche comme si c’était une chatte ! Pire, il s’est synchronisé avec son pote au moment de l’orgasme. Quand le blond a accéléré, je suis montée d’un coup : j’ai hurlé sous l’effet de la jouissance, surexcitée par la situation. Max a éjaculé au même moment que moi et Jean, ce salaud, a suivi : il a déchargé dans ma gorge grande ouverte sans que je puisse me dégager. J’ai dû

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e suis graphiste dans la pub et pas vraiment familière d’Union. Mais j’ai vécu une aventure spéciale dont je ne peux parler à personne d’autre... Alors me voici, avec ma plume et mon histoire. À 30 ans, je donne tout pour ma carrière. Pas le temps de draguer sur des applis de rencontre : je sors tous les soirs à 21 h et bosse même le week-end. C’est aussi le cas de mon boss, Julien. Il a 40 ans et est en instance de divorce, avec une ex qui vit toujours sous le même toit. Du coup, on fait souvent la fermeture ensemble. La situation a fini par nous échapper. Un soir de charrette, Julien et moi étions parmi les derniers. J’ai senti qu’il traînait alors que de son côté, il n’y avait plus beaucoup de boulot. Sans doute qu’il n’avait pas envie de rentrer chez lui... J’ai avancé sur mes trucs. Nous étions seuls quand j’ai posé ma souris, vers 22 h. « Fini ! », j’ai lancé. Il a dit : « Bonne nouvelle. Viens, on va fêter ça dans mon bureau ». J’ai un peu tiqué, mais il a continué : « Mon divorce a été prononcé ce matin. J’ai du champ’ au frais pour fêter ça. Tu m’as bien soutenue ces derniers temps, alors on partage ! »

On a bu la bouteille. On a parlé de nos vies. À minuit, on était bourrés tous les deux et en train de flirter grave, assis sur son bureau. Je portais une robe fluide et j’avais enlevé mes talons. Julien avait fait sauter la cravate et ouvert sa chemise. Il faisait chaud, la clim’ étant coupée depuis 19 h... Sans trop savoir ce que je faisais, j’ai promené mon index le long du col de sa chemise blanche. Puis j’ai avancé mon visage vers mon boss pour respirer son parfum. Un truc boisé très chic, et un peu de sueur aussi... Un instant plus tard, je l’embrassais. Julien a fait comme dans les films : il s’est levé et a dégagé ce qu’il y avait sur le bureau. Stylos, papiers... Tout a volé. Je me suis retrouvée en un clin d’œil entièrement nue sur le bureau. La rapidité avec laquelle mon chef venait d’arracher ma robe et ma petite culotte me faisant comprendre la situation : il n’avait pas baisé depuis des mois ! De mon côté, idem : rien depuis des semaines... La suite n’en a été que meilleure. Pourtant, c’était interdit. Pire : le bureau de mon chef était sous vidéo-surveillance et je le savais très bien. Pendant qu’il se glissait entre mes cuisses pour me lécher la chatte, j’ai miaulé : « Ju, les caméras ! » J’ai d’abord cru que ça allait le calmer. Mon boss a relevé la tête pour mater le coin du plafond. La caméra brillait dans le noir, la petite lumière rouge indiquant qu’on était maté. Mais il a replongé, me prodiguant un cuni délicieux... e l’ai ensuite sucé alors qu’il était dans son fauteuil, façon secrétaire cochonne. Sa position de pouvoir m’a vraiment excitée... Sans parler du poids de ses prunes, qu’il n’avait manifestement pas vidé depuis un moment ! Quand je lui

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ai titillé la zone entre l’anus et les couilles, il a poussé un soupir à fendre l’âme. J’ai senti qu’il reprenait vie sous ma langue. Puis Julien a décidé de me baiser face contre le bureau, son pantalon en bas des jambes, dans une position totalement clichée... mais si sexy ! Comme ça, je pouvais en plus surveiller l’œil de la caméra braqué sur nous. C’était comme jouer dans un porno ! J’ai cambré les reins, laissant Julien saisir sa queue et la promener sur ma croupe. Quand il s’est enfoncé dans ma vulve et s’est mis à me bourrer, j’ai fixé l’objectif et léché mes lèvres. J’imaginais que le mec de garde, devant son poste de sécu, devait être en train de se taper la branlette du siècle. ulien, lui aussi, donnait tout. Quand il s’est mis à coller des claques sur mon petit cul, je l’ai senti durcir en moi. J’ai tendu mes bras vers l’arrière et il a saisi mes poignets, obligeant mon corps tout entier à se tendre. Le bureau tremblait quand il m’a achevée de coups de bites plus puissants les uns que les autres, tandis que je poussais des hurlements. J’ai joui en criant son prénom, les genoux prêts à me lâcher tant le plaisir était intense. Mon boss n’a pas tardé à jouir, mais pas en moi... Il s’est retiré en douceur et s’est placé à l’autre bout du bureau. Toujours allongée à plat ventre, j’ai regardé sa belle queue gluante. Il m’a consultée du regard et j’ai souri : il avait ma permission. Pas besoin de plus... Il s’est branlé quelques secondes et un énorme jet est venu m’aveugler. J’ai ouvert la bouche pour recevoir le suivant. Au total, ce sont six beaux jets de foutre qui m’ont inondée. Les yeux tous collés, j’ai distingué dans le coin la petite lumière rouge de la cam. Et j’ai su que je venais de satisfaire non pas un, mais

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Confidences de femmes deux hommes en une seule soirée. Quel pied ! Après tout ça, Julien a été adorable... Il m’a aidée à me nettoyer, m’a ramenée en taxi et m’a envoyée un gentil SMS dans la nuit. Depuis, nos relations restent pro. J’attends que la situation avec son ex se calme. Mais aussi la prochaine charrette au bureau. Stéphanie, 30 ans, Paris

Y a d’la Joya !

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alut, ici c’est Joya, danseuse professionnelle. Mon physique est apprécié des hommes : 1,70 m, bien balancée, métisse aux yeux clairs, un beau 90D. J’adore mon métier et ma compagnie de danse, dans laquelle j’ai plein d’amis. Et, depuis peu, un amant. Notre chorégraphe a récemment recruté un nouvel arrivant : Giuseppe, un rital très beau mais très, très lourd. Avec sa formation classique et sa gueule de bellâtre, il se croyait tout permis. Notamment me donner des conseils sur mes postures, comme si je ne connaissais pas mon métier. Il m’a vite saoulée. Problème : le chef a cru bon que je prépare un duo avec lui... L’enfer. Lors des premières répét’, j’étais tendue, mais j’ai su rester pro. Quand Giuseppe a dit devant le chorégraphe qu’il faudrait que l’on répète tous les deux le soir-même, j’ai presque réussi à me retenir de lever les yeux au ciel. On s’est donné rendez-vous à 20 h, dans le studio à présent désert. À peine avait-on commencé que Giuseppe a remarqué mon malaise : j’étais raide comme un piquet ! D’une voix douce, il a dit « Joya, tu veux que je te masse ? Tu as l’air d’avoir les mollets douloureux. » Perturbée par cette

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soudaine gentillesse, j’ai accepté et je me suis assise sur le plancher. ehors, la lumière de l’été déclinait doucement. Le visage légèrement couvert de sueur de l’Italien semblait plus aimable. J’ai remarqué qu’il était vraiment très attirant... Un nez long et droit, des yeux sombres assortis à ses boucles d’ébène, des muscles bien dessinés. Ses lèvres charnues m’ont particulièrement attirée. Quand il a commencé à masser mes mollets à travers mon caleçon de danse, je n’ai pas pu me retenir d’imaginer qu’elles se posaient sur mon corps... Giuseppe a-t-il senti mon trouble ? Avait-il manigancé cette répet’ pour m’avoir à lui tout seul ? Toujours est-il que ses palpations, au départ très pro, ont dérapé. Pour commencer, il est remonté vers mes cuisses. Je n’ai pas pu retenir un gémissement quand il a massé tout près de mon entrejambe. Il m’a alors regardée intensément, tout en remontant encore. Puis il a penché la tête... Et a déposé un baiser sur mon sexe, à travers le tissu. J’ai gémi de plus belle. rès lentement, Giuseppe s’est mis à embrasser la zone sensible. Le tissu s’est imbibé de sa salive, mais aussi de ma mouille... Sa langue appuyait maintenant avec insistance, comme si elle voulait percer l’étoffe et venir goûter mon nectar. J’ai penché la tête en arrière, incapable de résister à la sensualité de cette caresse... C’est très doucement que le danseur a roulotté mon collant en bas de mes chevilles. Ma culotte était trempée : une auréole plus foncée montrait à quel point j’étais excitée. Giuseppe a posé sa bouche dessus et a aspiré doucement. La fine culotte ne me protégeait plus : j’étais à la merci de sa langue... J’ai collé mon dos au

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plancher, le laissant arracher mon slip et plonger entre mes cuisses. ue c’était bon... Giuseppe était carrément en train de rouler des pelles à ma chatte et je devais me retenir pour ne pas crier de plaisir ! Pendant qu’il s’activait en bas, ses mains sont venues trouver mes belles loches et les ont pétries. J’étais en feu... Je n’ai mis fin à ses préliminaires que parce que l’orgasme était proche. J’ai pensé que si l’Italien me prenait, je me calmerais. Ma fierté me dictait de ne pas succomber au plaisir si facilement ! Erreur : quand je me suis mise à quatre pattes (une position que je ne kiffe pas habituellement), j’ai senti ses doigts me faire redécoller... À genoux et collé à ma croupe dressée, Giuseppe entreprenait maintenant de me doigter d’une façon incroyable. J’étais là, soumise, espérant qu’il me prendrait et montrerait lui aussi sa vulnérabilité. Mais le danseur préférait me perforer la chatte avec trois doigts ! Il aurait dû me faire mal, mais sa technique était telle que ma vulve s’était immédiatement écartée pour lui laisser le passage. J’ai soupiré de plaisir, incapable de lutter. Le beau gosse s’est mis à me parler en italien tout en me palpant le cul de sa main libre. J’ai commencé à onduler pour mieux sentir ses doigts et un bruit de ventouse est monté de mon entrejambe. L’air entrait en quantité tant j’étais ouverte ! Mais le coup de grâce a été quand Giuseppe a commencé à embrasser mon cul rebondi, puis à le mordiller... Avant de plonger sa langue dans ma rondelle palpitante ! Mes cris sont montés, cette fois sans retenue. Un anulingus si sensuel, et ses doigts qui toujours m’élargissaient la minette ! J’ai bougé pour que la langue

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moelleuse entre aussi loin que possible. Un premier orgasme m’a terrassée et je me suis effondrée à plat ventre sur le sol. Mais Giuseppe n’en avait pas fini avec moi. Du coin de l’œil, je l’ai vu sortir une belle verge veineuse de son caleçon de danse, y étaler de la bave... puis pénétrer lentement dans mon trou étroit ! Je criais tellement à ce moment-là que le viril Italien a été obligé d’attraper ma culotte encore humide pour me la coller dans la bouche. J’ai senti ma mouille sur ma langue, tandis que mon amant, les bras bien plantés au sol, montait et descendait. Il était si puissant qu’on aurait dit qu’il faisait des pompes... Mais des pompes dans mon cul ! ’en avais les fesses en marmelade et je tortillais tout ce que je pouvais pour que Giuseppe vienne enfin... Quand ses couilles se sont mises à claquer sur mes fesses, j’ai su que c’était bon. J’ai cambré les reins, m’offrant totalement. Il a ressorti son engin et s’est branlé jusqu’à jouir partout sur mon anus béant. Enfin, tout grognant et suant, il a profité du foutre pour me doigter le cul à fond, m’obligeant à serrer les dents sur la culotte souillée. J’ai joui comme si un éclair me frappait, avant de me recroqueviller dans ses bras.Nous avons entamé une liaison secrète avec mon partenaire. Et parfois, le soir, nous répétons des chorégraphies qui font vibrer la piste de danse.

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Joya, 31 ans, Lausanne

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suel ! n e m e tr o v s a p z e li b N’ou

RÉSERVÉ AUX ADULTES

Récit illustré

Dérapage en forêt

Baisée en plein air

e pensais que j’avais fait une belle erreur quand Tommy, le voisin de mes parents chez lesquels j’avais prévu de passer quelques jours, m’avait proposée une sortie « photo » en forêt. J’ai trouvé cela hyper chiant de prime abord, mais après avoir vu quelques clichés de ses paysages sur son téléphone, je me suis dit que cela serait toujours mieux

que de rester enfermée chez mes vieux. Je ne connaissais pas très bien Tommy, il avait emménagé en face de ma maison d’enfance il y a 10 ans, et s’était imposé comme un des meilleurs boulanger-pâtissier de la région, en plus d’être un as de l’appareil photo ! Combiner autant de talents en un seul homme m’a tout de suite intriguée et sur le chemin je lui posais plein de questions sur lui et sur son parcours. Il faut dire qu’en comparaison, 73

comme j’ai arrêté les études après le baccalauréat et que ma vie se gagnait à coup de missions de garde d’enfants pour différents couples, je me sentais un peu gauche. Il m’a sussurée dans l’oreille : « Dis donc toi, tu es

bien curieuse pour une fille ! Normalement, ce sont elles qui bavardent et qui adorent parler d’elles... » Je lui ai répondu avec un naturel presque innocent « C’est parce que tu m’intéresses ». En fait, je ne le disais pas avec une intention sexuelle, je le pensais réellement. Mais Tommy a cru que je lui faisais des avances et il m’a embrassée. Je me suis laissée faire comme une gentille petite poupée ! C’était très agréable et quelque part, j’étais plutôt flattée qu’il me trouve aussi digne d’intérêt. Sa langue se mêla rapidement à la mienne, il me montrait qu’il savait y faire en matière de femmes, il avait certainement plus d’expérience que moi. Il avait amené une serviette de plage avec lui pour pouvoir se poser à terre et l’a étendue avec fierté au sol, comme si nous étions à la mer. « Couche-toi par ici ma belle, j’ai très envie de découvrir ton corps. Je ne te l’ai pas dit, mais je préfère mille fois prendre en photo les courbes féminines que les collines des champs. J’ai dû immortaliser une bonne ving-

taine de corps de jeunes femmes, mais je ne montre les photos à personne, je suis bien trop pudique. » Voilà qu’il m’annonçait maintenant qu’il avait l’habitude de voir des super mannequins à poil toute la journée ! C’était bien ma veine. Qu’allait-il penser de mon ventre rond et des mes cuisses flasques ? J’ai essayé de ne pas trop songer au regard de Tommy sur mon corps alors que celui-ci retirait délicatement mon tee-shirt. « Tes seins sont superbes ! » s’est-il écrié comme s’il avait découvert un trésor. « Ils sont si ronds, si lisses ! Ils sont naturels ? » Sa question m’a presque vexée ! Bien sûr que mes seins étaient naturels, j’ai toujours trouvé les opérations de chirurgie esthétique vulgaires et absurdes. En particulier, les seins sont indispensables pour mon plaisir sexuel, j’aurais beaucoup trop peur qu’une opération malheureuse ne les insensibilise à jamais ! Pour lui faire comprendre que sa question était complètement déplacée, je l’ai

foudroyé du regard avec insistance. « C’est bon, c’est bon, je rigole... » s’est-il excusé gentiment avant de baisser mon jean. Et c’est là que j’ai failli repartir en courant, rouge de honte ! J’avais mis ma petite culotte rose de quand j’étais gamine. Je partais souvent avec peu de vêtements chez mes parents et je piochais de temps à autre dans les vieilleries que j’avais laissées chez eux. Cette petite culotte en faisait partie. Ça n’a pas eu l’air de gêner Tommy qui s’est mis à la caresser tendrement du bout des doigts, comme si le tissu rêche et la couleur passée – dû aux nombreux passages à la machine à laver – méritaient d’être sublimés par son regard et par la douceur de ses doigts. N’y tenant plus, j’ai fait voler le jean et la culotte d’un seul coup sec en criant « tadaaaa » très fort, comme lors d’un numéro de magie. Tommy m’a regardée comme si j’étais une cinglée sortie tout juste de son asile de fou et quelque part il n’avait pas tort. Cette

Récit illustré

petite culotte hideuse me mettait vraiment dans des états pathétiques. Quand Tommy a vu ma petite fente toute fine et entièrement épilée, son visage s’est soudainement radouci. J’avais même l’impression qu’il était face à un petit chaton, le regard totalement

attendri. « Je peux venir te lécher ? Avec mes modèles, j’ai l’habitude de juste me contenter de contempler leur joli corps, mais toi, tu vois, tu m’aimantes. Il faut que je te goûte, que je sache de quels parfums tu es faite ! » J’ai fait mine d’hésiter quelques secondes

–  les mecs, il ne faut pas tout leur donner d’un coup ! – puis j’ai hoché la tête en signe d’acquiescement. Tommy s’est baissé entre mes jambes et a sorti sa petite langue hors de ses lèvres. Il n’osait pas encore toucher ma vulve et est resté un temps incroyable, le visage bloqué à quelques centimètres de mon sexe. Peut-être était-il réellement en train de sentir toutes les effluves de ma chatte ? Peut-être avait-il repéré une forme inhabituelle dans mon désordre de pli et cela le laissait-il perplexe ? Mais non, il s’élança d’un coup, à l’image d’un plongeur qui a besoin de quelques minutes de réflexion sur la planche haute de 5  mètres avant de se lancer tête la première dans le grand bain. Tommy me dévorait avec l’avidité des grands affamés de guerre, de ceux qui avaient connu la famine. Il faisait en sorte de tout lécher, les petites et grandes lèvres, le clito, les chairs entremêlées... Il donnait des joyeux coups de langue à l’emporte-pièce, quelle que soit la zone sur laquelle sa langue allait s’écraser. Honnêtement, c’était assez musclé comme préliminaire et j’ai décidé de m’occuper de sa teub pour faire diversion et laisser quelques minutes de répits à ma chatte en feu. Tommy portait un caleçon jaune un peu ridicule, et je me suis tout de suite sentie beaucoup moins coupable de ma petite culotte. Manifestement, ni l’un ni l’autre, n’avions prévu de nous retrouver à poil en pleine nature, ce qui ajoutait au charme du moment. Une belle bosse déformait le tissu et je me suis dépêchée d’en extraire l’objet incriminé. Tommy était pourvu d’une belle bite bien épaisse comme je n’en avais rarement vu dans ma vie ! Il l’avait épilée, lui aussi, je ne sais pas pour quel motif. Je trouve toujours dommage que les garçons ne laissent pas la liberté à leurs poils de pousser à leur guise sur leur pubis. Cela ajoute indéniablement à leur virilité, en particulier quand ils sont aussi jeunes que Tommy ! J’ai commencé à le

Récit illustré branler doucement à la base, mais très vite, j’ai eu envie de le sucer ! Je me suis penchée délicatement au-dessus de lui, la langue pendante. « Oh oui, viens la prendre en bouche, elle n’attend que toi ! Montre-moi ce que tu sais faire avec tes lèvres et la langue ! » Les propos obscènes de Tommy, que j’aurais certainement trouvé dégoutants dans un tout autre contexte, m’excitaient agréablement. Je ne voulais pas la prendre toute entière en bouche, enfin, pas au début en tout cas, alors j’ai doucement passé ma langue sur le bout de son gland. Une petite perle de foutre luisait timidement à la pointe de son méat, et je l’ai avalée en une lampée. Beurk ! C’était assez dégueulasse, non seulement bien salé, mais j’y devinais aussi un petit relent d’urine. Décidément, il faut vraiment

que quelqu’un se décide à enseigner des conseils d’hygiène rudimentaire aux garçons ! Ce n’est pas la première fois que ce genre de « liquide douteux » traîne sur le sexe d’une de mes conquêtes. J’en ai même eu un, une fois, qui avait un dépôt blanchâtre, comme du fromage de chèvre dans l’idée, tout en dessous du gland. Je lui ai dit d’aller se laver aussi sec et j’ai profité du moment où il était sous la douche pour prendre la poudre d’escampette ! Pas question d’entamer une quelconque relation avec un homme à l’hygiène douteuse. C’est un coup à choper des mycoses et à ne plus pouvoir s’en débarrasser, vraiment, non merci ! En examinant plus en profondeur la bite de Tommy, celle-ci avait tout de même l’air globalement propre et donc il ne méritait pas le même traitement. En particulier, ses couilles

sentaient les friandises de fête foraine, un subtil mélange entre la guimauve et la barbe à papa. Je ne sais pas s’il leur avait mis une crème bizarre pour les hydrater – j’avais un ex’ qui le faisait – mais en tout cas, ce n’était certainement pas son odeur naturelle ! J’ai décidé de le sucer comme s’il s’agissait d’un sucre d’orge. Ma bouche était en forme d’« O » et je faisais doucement glisser son chibre sur mes lèvres. Ça me faisait saliver, et je laissais la bave couler le long de ma joue. J’ai pensé que ça l’exciterait un peu plus. Pour son confort visuel, je suis même allée jusqu’à soulever mon tee-shirt au-dessus de mes seins pour dévoiler les deux petits tétons qu’il aimait tant. Il répondait à chacune de mes initiatives par des « Mmmpff, Mmmpff » discrets, mais relativement audibles pour que je puisse les entendre. Je pense que lui comme moi ne souhaitions pas être découverts dans

nos plaisirs immédiats. Il en allait de notre réputation respective, dans les petites villes, les rumeurs courent très vite et sont aussi souvent déformées. Pour se donner plus de contenance, Tommy a passé ses mains sur ses fesses et a lancé son bassin bien en avant. De cette façon, il fallait que j’avale sa bite encore un peu plus loin, pour qu’elle titille mes amygdales. C’était assez difficile car je n’étais pas du tout habituée à un tel gabarit ! Plus que la longueur, c’était la largeur qui m’écartelait la mâchoire. J’aurai dû me préparer avant de recevoir un tel engin, subir un entraînement de haut niveau avec mastication de chewing-gum intensive, et avalage quotidien de pomme. À ce rythme, demain j’aurai tellement de courbature que je ne pourrais plus du tout sourire. Il fallait que je me ménage ! J’ai arrêté ma fellation d’un coup sec et je

me suis allongée sur le dos, feignant de contempler le ciel. Il faut dire que nous avions un temps particulièrement magnifique. Seuls quelques nuages masquaient l’éclatant soleil. Tommy m’a demandée d’écarter mes cuisses et je lui ai obéis, bien sagement. Il a sucé deux de ses doigts devant moi, pour bien me montrer qu’il y mettait toute sa bave, il a ensuite enfoncé ses deux doigts bien pro-

fondément en moi. C’était extrêmement bon. Il y allait très doucement, avec une dextérité tout à fait étonnante, ma chatte s’éveillait tout doucement sous le coup de cette caresse sensuelle. Je restais appuyée sur mes coudes pour pouvoir observer la scène. Voir les doigts de Tommy disparaître en moi avait quelque chose d’envoûtant, comme si j’étais une

bouche béante. Une espèce de monstre prêt à tout engloutir. Doigts, bites, mains, sperme. Remplissez-moi de tout ce que vous souhaitez et je vous avalerai tout entier. Comme s’il avait entendu mes paroles, Tommy a retiré ses doigts et a commencé à préparer son sexe. Je dis bien « préparer » parce qu’il a mis dessus une quantité de salive tout à fait impressionnante, qu’il a bien fait glisser de son gland à ses couilles. Il fallait que toute sa tige soit recouverte de toute cette pâte bien blanchâtre. Une fois qu’il fut satisfait du résultat, il a avancé mon bassin et s’est penché au-dessus de moi. « Tu es prête ? J’ai tellement envie de toi, je vais te pénétrer avec force, et par avance, j’en suis désolé. Mais tu m’excites tellement. Tout m’excite en toi, tes seins, ton ventre, ta petite chatte parfaite... Comment faire pour te résister ? Comment faire pour retenir mes ardeurs ? » Dis donc, c’est la première fois que j’enten-

dais un discours aussi construit dans la bouche d’un garçon. Il faut dire que Tommy me semblait aussi beaucoup plus talentueux que la plupart des hommes. Et joignant les actes à la parole, il a enfoncé son gros chibre au fond des mes entrailles. Fidèle à ce qu’il m’avait annoncée, il ne m’a pas ménagée. Ses coups étaient secs et précis. Il savait ce qu’il voulait et comment il le voulait. J’ai tiré la langue, comme pour lui faire comprendre que cela me demandait beaucoup d’efforts. Pensez-vous que l’animal a freiné sa diabolique cadence ? Pas du tout ! Il a mordu ma langue du bout de ses dents, puis a appuyé ses lèvres contre les miennes, m’empêchant à jamais de communiquer. J’étais prise au piège de l’emprise brûlante et passionnée de Tommy. Je subissais ses àcoups dans le silence, et dans un mélange de douleur et de plaisir. Au bout d’un moment, je

Récit illustré

trouvais ça tout de même beaucoup trop fort. Je l’ai gentiment repoussé et je me suis mise à quatre pattes, la croupe bien en arrière. Je me suis dit que de cette façon, j’aurai plus de latitude pour m’enfuir si la pénétration devenait trop brutale. Il posa ses mains sur mes hanches et remis un petit coup de salive sur sa queue, on n’est jamais trop prudent. « Penses-tu vraiment m’échapper en te mettant en levrette ? » me demanda-t-il, sûr de lui, comme s’il avait lu dans mes pensées. J’ai esquissé un sourire innocent, comme pour lui faire comprendre que je ne saisissais pas le sens de ses propos. En vrai, il avait vu clair dans mon petit jeu. J’ai senti son braquemart se coller à ma vulve et à chercher frénétiquement le trou qui devait le mener à mille plaisirs. Au bout de quelques secondes de glissade, il s’est enfoncé en moi ! Bingo ! Tommy continua le rythme effréné qu’il avait entrepris un peu plus tôt. J’avais l’impression

d’avoir un marteau-piqueur collé à l’arrière. J’essayais de me concentrer sur des images calmes et apaisantes. Un coucher de soleil, une plage paradisiaque, le chant des oiseaux, j’appliquais cette technique dans les grands moments de stress, quand j’étais chez le dentiste ou dans l’attente de résultats d’examen. Elle se révélait souvent efficace, mais là, force était de constater que rien ne pouvait distraire mon esprit des coups de boutoir de Tommy ! Gentleman, il passa une main sous ma croupe pour caresser mon clitoris. Il s’y prenait vraiment bien et n’appuyait pas trop fort. Au final, cette pénétration avait beaucoup de bon. De son autre main, il entreprit de titiller mon trou du cul. Oh ! Ça allait trop loin, il fallait que je calme le jeu au plus vite ! Je lui ai demandé de s’allonger sur le dos, « Tu pourras mieux profiter du ciel magnifique » ai-je même ajouté, comme s’il en avait quelque chose à faire. Je suis

venue m’empaler sur lui très calmement. Maintenant, c’était moi la chef, c’était à moi de contrôler le rythme de la pénétration. Je me cramponnais comme je pouvais au torse de Tommy et à ses cuisses. La vache, elle rentrait encore sacrément loin sa petite anguille. Cette position était un vrai numéro d’équilibriste. Mes pieds transpi-

raient et glissaient sur la serviette... Et pourtant, je tenais bon. Petit à petit, mes cuisses ont commencé à trouver le bon rythme, une cadence de croisière, plutôt agréable. Tommy me soutenait par la taille pour m’éviter de jouer au « culbuto » sur sa bite. De cette façon, emprisonnée entre ses mains musclées, je

me sentais beaucoup plus légère, presque transportée par mon propre plaisir. Je profitais de la situation pour contempler avec minutie la peau de ses couilles. On en parle très peu, mais la peau des couilles d’un mec m’a toujours fascinée. Elle est rugueuse, poilue, elle ne ressemble à aucune autre partie du corps, elle est à la fois très fine, comme le lobe de l’oreille, mais en même temps très ridée. J’ai décidé d’empoigner le tout dans ma main, pour voir ce que cela faisait. Je sen84

tais à travers ses bourses ses deux couilles bien pleines s’agiter comme des maracas. Heureusement que nous en étions complètement dépourvus, nous les filles ! C’était, au-delà d’être totalement inesthétique, presque ridicule. Mais enfin, le corps humain est ainsi fait ! Plutôt que de m’occuper de ses couilles, j’ai décidé d’aller voir de plus près sa bite. Je me suis retirée, accompagnée par un « Ooooooh » de déception de Tommy. Et j’ai commencé doucement à branler sa

bite. Je sentais qu’il avait un tout petit frein, alors j’ai évité de trop le décalotter pour ne pas lui faire mal. Je massais bien sa tige épaisse, sentant dans le creux de ma main tous les petits vaisseaux qui la constituaient. Quelle belle machine tout de même ! Quelle belle invention de la nature cet organe qui peut doubler de volume en quelques secondes, et cela grâce à un levier psychologique. « Montre-moi ton cul ! J’ai besoin de te voir à quatre pattes pour prendre mon pied ». Obéissante, je me suis positionnée sur les genoux et j’entendais les « flop, flop, flop… » de Tommy derrière mon dos. Il était en train de se dégorger le poireau à une vitesse folle. Je me concentrais attentivement sur chaque parcelle de ma peau, attendant avec impatience les gouttes chaudes de sperme que j’allais sentir. Cela n’a pas tardé ! Tommy s’est déversé sur moi comme un robinet. J’ai remué un peu le cul pour lui faire comprendre que j’appréciais. « Bon maintenant que j’ai bien vu ton corps,

est-ce que je peux le photographier ? Tu seras, je te jure, le seul modèle avec laquelle j’aurai baisé... avant la séance ! » Et lui qui m’avait dit qu’il n’avait rien fait avec ses modèles ! Quel beau parleur ce Tommy tout de même...

o r é m u n e tr o v s a p z te a r Ne « Hors-série spécial récits illustrés n° 3 »

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Alors que Fabrice profitait de sa grasse matinée bien méritée, la sensuelle Mélanie, la jeune fille au pair de la maison en profite pour se glisser sous les draps. C’est ce qui s’appelle se lever du bon pied ! 88

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Récit illustré

Toute

première fois

Je venais d’avoir 18 ans…

Clara vient d’avoir 18 ans et est encore vierge. Elle n’ose pas franchir le cap mais son petit copain Julien, dont elle est amoureuse, saura la rassurer pour qu’elle découvre enfin le sexe…et l’initiera des plaisirs auxquels elle ne s’attendait pas pour sa première fois.

C

ela faisait plusieurs mois que Julien et moi sortions ensemble. C’est un grand mec brun que j’ai tout de suite trouvé très attirant. Je suis encore au lycée en classe de Terminale et lui est plus âgé que moi. Au début de notre relation, nos rendez-vous étaient principalement consacrés à nous promener, à faire du

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roller ensemble et à nous embrasser. Il a une langue très douce et habile et il s’amusait à lécher et à mordiller longuement mes lèvres en me caressant le cou, la nuque ou les hanches. Mais ça n’allait pas plus loin car je souhaitais attendre. Je venais d’avoir 18 ans et j’étais alors encore vierge. Ses caresses ne me laissaient bien sûr pas indifférente. Les heures passées ensemble en ayant tous les sens titillés par ses gestes m’excitaient terriblement. Je sentais que je mouillais et le soir, dans ma chambre de jeune fille, je m’adonnais à la poursuite des caresses toute seule en repensant aux émois provoqués par mon amoureux. Parfois, il posait ses mains sur mes fesses ou mes seins et je sentais leur chaleur à travers le tissu qui irradiait tout mon corps tendu vers lui. Une fois, alors qu’on se baladait dans les bois, il a glissé ses mains sous mon tee-shirt pour mieux soupeser ma poitrine. Il était très excité et moi aussi. J’ai guidé sa main sous ma jupe pour qu’il sente l’humidité sur ma culotte. Il a frotté doucement mon

clitoris puis plus rapidement à travers le coton et il m’a offerte des sensations délicieuses. Heureusement, nous étions seuls. Il était tellement excité qu’il a voulu débouton-

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ner son pantalon et que l’on fasse l’amour pour la première fois dans ce bois. J’ai refusé, parce que je sentais que ce n’était pas encore le bon moment. Mais je n’arrêtais pas de penser à ses caresses si sensuelles qui m’avaient chauffée le sexe, et ma curiosité grandissait. De son côté, Julien était patient, il attendait que je sois prête sans jamais me presser, même si je voyais qu’il avait très envie de moi et que ce désir, cette bosse si dure qui pointait sous son pantalon, m’enthousiasmait en même temps qu’elle m’effrayait. Le jour de mes 18 ans, je me suis décidée à l’inviter chez moi quand mes parents étaient tous les deux au travail. Nous avons mangé ensemble pour fêter mon anniversaire, puis je l’ai fait monter dans ma chambre. J’avais un peu honte car il y avait encore des dessins d’ados et des photos de copines aux murs. Pas forcément le décor le plus érotique qui soit... Là, on a commencé à se rouler des pelles. Je me sentais décoller sous sa bouche. Il a fait courir ses mains sur mes hanches, mes fesses et mes seins. Son excitation devenait palpable, et il redoublait de douceur avec sa langue. Il m’a demandée si j’avais envie de faire l’amour. Il m’a vue un peu hésitante, et il m’a proposée de me caresser en me demandant

si cela me plaisait et de s’arrêter si je le lui demandais. Très tentée et émoustillée par la proposition, j’ai accepté de me laisser faire par cet homme plus expérimenté que moi qui m’avait déjà donné du plaisir du bout des doigts. Il a souri et s’est à nouveau penché sur moi. Il a déposé de très doux baisers sur ma lèvre supérieure, mes yeux et mes lobes d’oreilles. Ensuite, il a attrapé ma lèvre inférieure dans sa bouche et l’a tendrement roulée entre ses propres lèvres. En même temps, il a glissé une main sous mon haut. Je ne portais pas de soutien-gorge ce jour-là et il a posé le doigt sur un téton durci par l’excitation. Il l’a tapoté, un peu, puis de manière plus entêtante. Il agaçait ce téton pendant qu’il mordait ma lèvre et mon lobe d’oreille alternativement. J’ai immédiatement été très excitée. J’ai senti mon sexe frémir et devenir chaud, alors qu’il ne l’avait même pas encore effleuré. Il a senti mon trouble et m’a demandée : « Tu aimes ? ». Mon corps ne pouvait mentir, je me laissais complètement aller, j’avais baissé la garde et j’avais envie de voir la suite. J’ai hoché la tête.

Il a relevé mon tee-shirt pour mieux dégager mes seins et m’a aidée à m’allonger sur mon lit d’adolescente. Il a regardé mes tétons tout durs de désir et s’est mis à les lécher. Je n’ai pas pu réprimer le gémissement qui se

frayait dans ma gorge. C’était trop bon, et tellement délicat. Je me sentais m’ouvrir comme une fleur. Chaque parcelle de ma peau était en éveil, et en même temps, je ressentais une détente dans tout mon corps. Il a commencé à embrasser mon ventre et l’espace entre mes seins. Des baisers très légers et des petits coups de langue qui me faisait tressaillir. Il a retiré mon jean pour découvrir ma petite culotte rose, qu’il a eu l’air d’apprécier. Puis il m’a redressée pour me prendre dans ses bras. Je me suis retrouvée à califourchon sur lui, en culotte et les seins nus, alors que lui était encore tout habillé. J’étais toute intimidée, mais je me sentais tellement désirée que je m’abandonnais de plus de plus. Je sentais sa bite gonflée dans son jean, contre ma culotte. Guidée par mon désir, j’ai effectué des petits mouvements de reins pour mieux sentir cette bosse entre mes cuisses. Je me frottais comme la petite vierge

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découvrant le désir. Je me suis assise en face de lui. Il m’a demandée si je voulais déboutonner son jean et j’ai dit « oui ». Je me suis exécutée un peu maladroitement et j’ai découvert son boxer avec son sexe en érection dessous. J’ai posé la main dessus, fascinée. Je ne me voyais plus comme la jeune fille effarouchée du début de notre relation. J’avais envie de lui, de ce sexe, de le ressentir en moi. Il m’a regardée et a dégagé sa queue de ses vêtements. J’ai découvert son chibre rose, charnu et tendu comme un arc. J’étais à nouveau intimidée. Je n’avais jamais vu de bite en vrai ! Il l’a prise dans sa main et s’est mis à se branler devant moi. Je ne le quittais pas des yeux, regardant les mouvements de ses doigts et le sexe s’épanouir encore davantage sous ses gestes. Il m’a proposée de m’approcher. Je me suis agenouillée à terre,

tandis que lui était toujours sur le lit. J’ai pris son sexe dans ma main et j’ai posé un baiser dessus. Je n’étais pas du tout dégoûtée comme je pensais l’être, mais incroyablement attirée par ce sexe dressé. J’ai donné d’autres baisers tout en le touchant du bout de la langue. Puis je l’ai mis entièrement dans ma bouche pour le suçoter. Je sentais son goût dans ma bouche et ça me rendait folle, mais je ne savais pas vraiment comment m’y prendre. Julien a fait de la place sur le lit et a retiré ma culotte. Mon sexe était découvert, toujours aussi frémissant. Il a écarté doucement mes jambes avec les mains et je l’ai laissé faire. Là, il a posé un doigt sur mon clitoris comme il l’avait fait sur mon téton, tout doucement. Il l’a bougé en guettant ma réaction. J’ai fermé les yeux. Il a agité son doigt puis a frotté avec le haut de sa main sur ma chatte, à cet endroit. Le 109

plaisir m’envahissait. Je ne pensais pas ressentir ça dès la première fois, mais Julien connaissait déjà un peu mon petit minou et savait comment lui faire du bien. Tous ces frottements m’arrachèrent d’autres gémissements langoureux qui l’excitaient. Il avait

le souffle court. Il me chuchotait à l’oreille : « On dirait que tu aimes ça... » et je gémissais de plus belle. Il a alors glissé un doigt en moi et s’est mis à me doigter à l’intérieur. Puis il en a introduit un autre et s’est mis à me prendre avec ses deux doigts magiques, et j’avais l’impression d’être béante de désir tant mon sexe réagissait à ses pressions. Il s’est mis à descendre sur mon ventre et vers mon sexe. J’avais un peu peur, qu’allait-il faire en bas ? Il a léché ce même endroit qu’il avait frotté, mon clitoris déjà tellement dur. Il a léché et agité sa langue rapidement dessus. Je ressentais des décharges de plaisir par vagues et je mouillais comme une dingue. Ensuite, il a posé une main sur mon sein en continuant à agacer mon téton. Ses coups de langue répondaient à l’agitation de ses doigts sur mon sein et la chaleur du plaisir se répandait dans mon con et ma poitrine. Je m’offrais encore plus, je sentais mon sexe désireux qu’on le remplisse, qu’on le foute, bref, qu’on s’occupe de lui. Il m’a demandée si je voulais continuer et j’ai approuvé. Alors, Julien s’est redressé au-dessus de moi sur le lit. Il a à nouveau écarté mes jambes avec ses mains si douces et les a relevées en me tenant

sous les genoux. Avec sa bite, il a touché l’entrée de mon vagin en tapotant. Il a frotté son chibre sur mon clitoris. J’avais peur de la pénétration et en même temps, tout mon corps l’appelait. Je voulais qu’il entre en moi, entre mes cuisses et me déflore. Très doucement, il a commencé à tremper son braquemart en moi, le poussant à l’intérieur, centimètre par centimètre. C’était un peu douloureux au départ, mais il y est allé si doucement, qu’il a pu me pénétrer entièrement et j’ai senti sa bite remplir ma chatte. Son bâton de chair traversait mon minou tout mouillé par ses caresses et c’était une

sensation de fou, celle d’être emplie de mon mec. Il a commencé à faire de légers va-etvient et je sentais son sexe coulisser en moi. Au bout de quelques instants, son sexe a commencé à bien glisser en moi, car je lubrifiais énormément. Dans ce bruit mouillé que je découvrais, il m’a baisée plus vite. Puis il s’est arrêté et m’a relevée contre lui et je me suis retrouvée à nouveau à califourchon sur sa bite, mais cette fois elle était bien empalée en moi et elle s’enfonçait d’autant mieux dans cette position. Il a pris mes fesses dans ses mains pour me faire monter et descendre sur son sexe. Dans cette position, je

découvrais de nouvelles sensations et je le sentais encore mieux dans mon petit trou étroit de fille qui découvre le cul. Julien a accéléré le mouvement et s’est mis à me sauter plus fort. Je me suis mise à pousser des petits cris pendant que lui gémissait aussi en me disant que j’étais bonne, qu’il adorait ma petite chatte. J’avais les seins qui bougeaient sous son nez et ma chatte qui s’empalait de plus en plus sur lui. Je m’abandonnais totalement et accompagnais sa pénétration par des mouvements du bassin. J’avais l’impression que mon vagin s’élargissait de plus en plus avec le plaisir. Je me 112

sentais comme dans un porno et je n’aurais jamais imaginé faire tout ça dès la première fois. Mais j’étais comme une diablesse et Julien m’avait tellement excitée que mon corps cherchait d’instinct à se faire plaisir, encore et encore. À un moment donné, il s’est retiré. Il m’a demandée si je voulais essayer d’autres trucs et j’étais tellement avide de nouvelles sensations que j’ai encore dit oui. J’ai pivoté sur le côté et il s’est installé contre moi, la tête au niveau de mon sexe et le sien près de mon visage. Il a écarté mes cuisses et s’est remis à me lécher passionnément tout en glissant

quelques doigts à l’intérieur pour mieux me stimuler. Son sexe était dressé près de ma bouche alors, sans réfléchir, je l’ai attrapé et je me suis mise à faire coulisser ma bouche dessus. Je l’ai sucé en mettant de la salive partout pendant que lui continuait de m’astiquer avec sa langue agile dans ce 69 de feu. Là encore, je me suis dit que j’étais dans un porno et je me sentais déjà la reine de la baise, alors que j’embouchais mon mec pendant qu’il me faisait un cunni monumental. Parfois, son doigt glissait vers mon cul et il l’enfonçait dedans tout en me léchant. La première fois, j’ai poussé un petit cri, mais c’était tellement bon que je l’ai laissé faire en m’oubliant complètement. La pression de sa langue sur ma chatte et de son doigt dans mon cul faisait circuler le plaisir partout et je n’ai pas tardé à bouger les fesses pour sentir les deux caresses tour à tour, et de plus en plus fort, pendant que j’accentuais ma pipe avec ardeur. Il s’est à nouveau redressé et m’a demandée, cette fois avec autorité, de me mettre à quatre pattes. J’étais tellement trempée de désir et folle de ce qu’il m’avait montrée que j’aurais fait n’importe quoi pour lui plaire. Je me suis donc à nouveau exécutée

Récit illustré avec docilité et j’ai offert mon joli petit cul à sa vue. Il était fou d’excitation et il a commencé à entrer doucement sa bite dans l’ouverture. Il m’a encore doigtée le cul un bon moment et a de nouveau introduit deux doigts dans ma chatte pour encore m’élargir. Puis il m’a

prise d’un coup en levrette avec son sexe, m’arrachant un cri. Je l’ai senti encore plus fort que dans les autres positions et j’ai cambré les fesses. Mon sexe était toujours aussi mouillé et Julien pouvait me pénétrer aussi profondément qu’il le voulait. Sa grosse tige

allait et venait, et je me sentais soumise à lui, à la fois puissante et reconnaissante de tant de découvertes. Il a continué ses coups de reins en attrapant mes hanches et mon cou, pour mieux me fourrer. « Et ça, tu aimes ? » il a encore demandé. J’ai hurlé que oui. Puis il m’a relevée sur les genoux et a continué à me baiser tout en caressant mon petit bouton de sa main. Il a branlé mon clito en même temps qu’il me foutait. J’étais en feu, sous ses petits gestes circulaires de la main et ses coups de manche par derrière. Je sentais une vague monter, énorme. Il a redoublé ses caresses et j’ai éclaté en jouissant sous ses doigts et en accueillant encore plus profondément sa bite en moi. J’ai crié comme une démente, je n’étais plus la jeune fille prude que je pensais être. Mon sexe était comme une boule de plaisir à vif. Et dans ce sexe encore très sensible après l’orgasme, il m’a pénétrée en me tenant par le cul et en gémissant qu’il allait jouir partout sur moi tellement j’étais bandante. Il m’a pilonnée encore et encore et je criais, toujours émerveillée et extatique devant tant de sensations. Julien s’est retiré d’un coup et m’a inondée le cul de son foutre. J’en avais sur les reins, je sentais cette chose visqueuse que je n’avais jamais vue. On s’est effondrés sur le

lit et il m’a embrassée. Ma première fois avec lui était tellement magique que même si on se séparait, je ne l’oublierai jamais et lui non plus. Je lui serais toujours reconnaissante de m’avoir ainsi initiée au sexe. ❤

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Pas facile de lui faire une surprise après 4 ans de mariage ... mais avec un peu d’imagination et de gourmandise tout est possible ! Quel meilleur moyen de se faire déguster qu’à quatre pattes sur la table ?

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