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Tronc commun; Module La vénus d'ile Les compétences visées du module proposé……. …………………………………………..….…..3 Descriptif des séquences du module…………………………………………………………..….4-8 Séquence I : La situation initiale Séquence II : La description dans le registre fantastique Séquence III : l’élément perturbateur Séquence IV : La situation finale Séquence V : Le sonnet, une forme fixe Fiches détaillées des activités d’une séquence : ………………………………………………….9 1. Activités orales (T.E.C) : Séance de découverte…………………………………..………10-12 2. Lecture analytique de l’incipit……………………………………………………………..13-15 3. Activité de langue : Le discours direct……………………………………………………..16-17 4. Production écrite : Rédaction d’une partie d’un récit fantastique (La situation initiale) ……………………………………………………………………………………...18-19 Fiche détaillée de la cinquième séquence : ……………………………………………………………20 Lecture méthodique : « Le Dormeur du Val » d’Arthur Rimbaud …………………………2123 Inventaire des valeurs et contre-valeurs : …………………………………………………………... 24 Support : üLa Vénus d’Ille, de Prosper Mérimée üDeux sonnets. 1. 1. Reconnaître les spécificités, esthétiques et littéraires, de la nouvelle fantastique. 2. 2. Etudier les éléments nécessaires pour la cohérence et la cohésion d’un texte littéraire ainsi que leur rôle dans la progression de la narration. 3. 3. Etudier les diverses valeurs de la description dans un récit fantastique 4. 4. Identifier les caractéristiques formelles du sonnet et étudier leur intérêt concernant la construction du sens. 5. 5. Etre capable de communiquer efficacement dans des situations de communication significatives. 6. 6. Analyser une image en passant de « la connotation » à « la dénotation ». 7. 7. Se familiariser avec les exercices de rédaction tout en donnant libre cours à l’imaginaire des élèves. Séquence I : La situation initiale
Activité Activités orales (séance de découverte)
Durée 1 heure
Support et sujet -Biographie - Personnages -Résumé -le fantastique
Les capacités - Identifier les composantes du paratexte. - Formuler des hypothèses de lecture d’après l’analyse de ces composantes.
Activité de lecture : lecture analytique Activité de langue Production écrite
- Guider les élèves dans leur lecture en distribuant un questionnaire. 2 heures
- Identifier les principaux éléments de l’incipit « Je descendais ...... - Comprendre la fonction de l’incipit Jamais elles ne touchaient terre » - Etudier la situation initiale (L’ancrage réaliste)
1 heure
Le discours direct
Etudier les enjeux d’une scène au discours direct (Le dialogue traduisant une opposition sociale et intellectuelle entre les personnages)
1 heure
Sujet : « Rédiger une situation initiale d’un récit fantastique »
- Amener les élèves à produire une situation initiale en respectant les éléments principaux de l’incipit.
Séquence II : La description dans le registre fantastique
Activité - Activité de lecture : lecture méthodique - Activité de langue
Durée 1 heure 1 heure
- Activités orales 1 heure
- Production
1 heure
Support et sujet
Les capacités
-« c’était bien une vénus…au approuvant du geste et de la voix »
- Etudier la description dans le récit fantastique - Relever les traits physiques et moraux de la statue.
- La description : le portrait physique et moral
- Rendre l’élève capable de décrire une personne - Amener l’élève à différencier entre le portrait physique et moral.
- Analyser une image oralement. - faire le portrait physique et moral d’une célébrité (chanteur, danseur, footballeur) - Imaginer un portrait d’une
- Apprendre à l’élève les Les techniques d’analyse d’une image (dénotation/connotation) - Amener l’élève à rédiger un portrait
écrite
créature imaginaire
Séquence III : l’élément perturbateur
Activité - Activité de lecture : lecture méthodique - Activité de langue
Durée 1 heure 1 heure
- Activités orales 1 heure
- Production écrite
1 heure
dans un cadre fantastique
Support et sujet
Les capacités
- « le silence régnait depuis quelques temps… qui frappait cette maison »
-Dégager les caractéristiques d’un élément perturbateur dans une nouvelle fantastique
-L’accord du participe passé
-Maîtriser les règles de l’accord du participe passé avec les auxiliaires être et avoir.
-Débat autour du thème de la superstition : « êtes vous pour ou contre la pratique de la -Amener l’élève à s’exprimer superstition ? » librement, à débattre un sujet de la superstition et à défendre ses idées. -Apprendre les techniques d’un -Rédiger un résumé de la situation résumé transformatrice dans la vénus -Rédiger le résumé de l’élément d’Ille. perturbateur.
Séquence IV : La situation finale
Activité - Activité de lecture : lecture méthodique - Activité de langue
Durée 1 heure 1 heure
- Activités orales 1 heure - Production écrite
1 heure
Support et sujet Les capacités - « quelques heures après les - Etudier et repérer les éléments du funérailles de M.Alfonse je me dénouement de la nouvelle disposé à quitter l’Ille » jusqu’à la fantastique. fin de l’oeuvre. - Les champs lexicaux liés au - Identifier et définir les champs genre fantastique. lexicaux relatifs à ce genre littéraires. - Auditionnement d’une chanson - Apprécier et discuter la chanson. de Joe Dassins « Et si tu n’existait - Dégager les thèmes principaux dans pas ». cette chanson. - Le schéma narratif de la Vénus - Savoir dresser un schéma narratif d’Ille.
Séquence V : le sonnet, une la forme fixe
Activité - Activité de lecture : lecture méthodique
Durée 1 heure
- Activité de langue
1 heure
- Activités orales 1 heure - Production écrite
1 heure
Support et sujet -Le Dormeur du Val de Arthur Rimbaud -Les figures de styles: La comparaison La métaphore L’hyperbole -Faire des lectures d’autres poèmes de forme fixe (sonnet) et de forme libre.(
Les capacités -Connaître et appréhender la forme et le sens d’un sonnet. -Initier les élèves à la versification
-Reconnaître et identifier les figures de styles dans un texte.
-Amener l’élève à distinguer entre le sonnet et autres formes. -Encourager l’élève à lire des poèmes.
-Permettre à l’élève d’exprimer ses rédiger un texte en exprimant des sentiments et de les organiser dans un sentiments. (commentaire) commentaire.
Progression séquentielle : Séance 1 : Séance de découverte (TEC) Séance 2 : Lecture analytique de l’incipit Séance 3 : Langue Séance 4 : Production écrite Présentation : Une double remarque s’impose sur le type de récit que constitue la nouvelle et sur la tonalité fantastique qui est celle de la Vénus d’Ille : le titre ne laisse aucunement percevoir cette double caractéristique. Bien au contraire, l’aspect ironiquement pompeux de la « relation » masque le caractère littéraire, travaillé, construit de ce genre bref, dont Mérimée a acquis la parfaite maîtrise. Par ailleurs, l’apparence du récit- un simple fait divers- éloigne le lecteur de tout doute, de toute hésitation sur la réalité de ce qui va lui être raconté. En somme, il ne peut imaginer que l’auteur Mérimée va l’entraîner sur les ‘’dangereuses’’ pentes du fantastique. Ainsi, le titre fonctionne véritablement comme un trompe-l’œil destiné à mieux déguiser le vrai propos littéraire de Mérimée.
Séance 1 Séance de découverte Activité : T. E. C : étude para-textuelle. Durée : 1h Support: LA VENUS D’ILLE de Prosper Mérimée. capacités : - Identifier les composantes du para texte. - formuler des hypothèses de lecture d’après l’analyse de ces composantes. - guider les élèves dans leur lecture en distribuant un questionnaire. Déroulement de la séance 1. A. Expression orale : les attentes de lecture inspirées par le titre 2. B. Emettre des hypothèses de lecture : 1) - Qu’évoque le titre ? Vénus ? -Déesse de l’amour, étoile qui marque le début et la fin de la nuit, statue. 2) - Quelle histoire inspire un tel titre ? - Une première observation du titre nous laisse penser qu’il s’agit d’une histoire d’amour ou d’une histoire d’archéologie. Présenter un guide de lecture : Les taches à accomplir : Il s’agit là d’une sorte d’évaluation de la première lecture de la nouvelle. Cette évaluation est mise en place au début de la séquence afin de s’assurer de la compréhension du texte par les élèves, mais aussi pour permettre à ces derniers de retrouver le fil de l’histoire à chaque moment de l’étude de la nouvelle. En même temps, cette évaluation est une préparation aux prochaines séances. 1. Où se passent les événements ? Dans les Pyrénées En Provence A Paris 2. Pour quelle raison le narrateur se rend-il à Ille? Pour voir sa famille Pour s’y installer Pour visiter Ille et ses monuments Mr de Puygarrig, commerçant Mr de Peyrehorade, antiquaire Un ami d’enfance Un temple très ancien Une grotte où il y a des inscriptions Une statue en bronze En creusant un puits En déracinant un arbre En exploitant une mine La fracture de la jambe de J Coll La mort de J Coll
Une fracture au poignet de J Coll 3. Qui doit-il rencontrer ? 4. De quelle découverte parle le guide au narrateur ? 5. Comment on a découvert la statue ? 6. Qu’est-il arrivé lors de la découverte de la Vénus ? 7. Comment s’appelle le fils de l’hôte du narrateur ? Jacques Alphonse César Se marier Jouer au jeu de paume voyager Ils se moquent d’elle Ils y écrivent des insultes Ils lui lancent une pierre Chanceux est celui qu’elle aime. Prends garde à toi si elle t’aime. Ma beauté est une malédiction. o Joyeuse o Triste o Méchante o Des Espagnols aragonais o Des gens de la capitale o Des Illois Sa veste Son chapeau Sa bague Qu’il est blessé Qu’il s’est taché Qu’il a oublié la bague sur la statue Le comportement de son épouse De n’avoir pu récupérer la bague Une rumeur qui se propage Le narrateur archéologue Mr de Peyrehorade Alphonse de Peyrehorade Sa femme J Colle Le joueur de paume espagnol 8. Quel était son projet ? 9. Que font les deux apprentis à la statue ? 10. Quelle inscription figure sur la statue ? 11. Quelle attitude exprime la statue ? 12. La partie de jeu de paume oppose Alphonse à qui ? 13. Qu’est ce qui le gêne et qu’il pose sur la statue ? 14. De quoi s’aperçoit Alphonse juste avant la cérémonie de mariage ? 15. Qu’est-ce qui angoisse Alphonse après le mariage? 16. Qui est la victime de l’homicide commis la nuit de la noce ? 17. Qui accuse-t-on ? 18. Selon le procureur, dans quel état se trouve la mariée après le drame ? De joie De chagrin De folie Elle a été vendue Elle a été enterrée Elle a été fondue Les chiens ont aboyé toute la nuit Les vignes ont gelé deux fois Un incendie a dévasté les cultures
19. Qu’est-ce qu’on a fait à la statue à la fin ? 20. Après le départ du narrateur, qu’est-il arrivé à deux reprises à Ille ?
Séance 2 Etude de l’incipit Activité : lecture analytique Durée : 1heure Support : « Je descendais ...... Jamais elles ne touchaient terre » Capacités : - identifier les principaux éléments de l’incipit - comprendre la fonction de l’incipit - la situation initiale (L’ancrage réaliste) L’incipit permet l’ancrage du récit, c’est un lieu stratégique primordial, lieu où s’ouvre l’univers diégétique où se marquent les codes d’écriture et le pacte de lecture. Dans notre cas, l’étude de l’incipit de la nouvelle permettra aux élèves de former une unité sémantique et rythmique bouclée sur elle-même, afin de comprendre les enjeux de cette partie de l’œuvre dans la mesure où il est le lieu où s’établit le premier contact avec le texte. Par ailleurs, il ne faut pas perdre de vue notre objectif général que nous avons tracé et qui est la rédaction d’une nouvelle fantastique. L’incipit est, alors, la première étape par laquelle il faut passer dans ce projet d’écriture. Déroulement de la séance A. Repérer dans le texte les indications spatio-temporelles : Quelles sont les indications de lieu où se passe l’action ? ----» Les lieux de l’action sont clairement et rapidement précisés dès le début de la nouvelle : le Canigou, sommet des Pyrénées (2785 m), Ille-sur-Têt, petite ville de l’arrondissement de Prades. Le narrateur vient des villes de Serrabona et de Perpignan. Ces indications, qu’on peut facilement repérer sur la carte géographique, permettent au lecteur de se situer dans une réalité connue et accentue l’effet de réel. Quels sont les indices de temps ? ----» Les seules indications temporelles se résument à deux notations rapides, l’une dans le récit du narrateur : « bien que le soleil fut déjà couché, je distinguais dans la plaine les maisons de la petite ville d’Ille », l’autre dans une réplique du catalan : « et s’il ne faisait pas si noir, je vous la montrerais ». Ces deux notations nous renseignent sur le moment de la journée (le soir) et installent l’action dans l’époque contemporaine de celle de l’auteur (publication de l’œuvre en 1837). N/B : Dans cet incipit, on remarque la présence bien évidement d’un narrateur. Celui-ci est en même temps narrateur et personnage. Ce narrateur-personnage apparaît sous les marques de la première personne du singulier. Cependant, il faut amener les élèves à bien distinguer les marques qui renvoient au narrateur et celle qui renvoient à un autre personnage, le guide Catalan. Quels sont les personnages principaux de l’histoire? - Un narrateur personnage, c’est un archéologue Parisien. Il emploie le pronom personnel je. - Le guide catalan du narrateur. - M de Peyrehorade et sa femme ainsi que leur fils : ce sont les ôtes du narrateur. - Mme Alphonse : elle est importante dans la mesure où c’est un témoin qui rapporte le récit du meurtre commis.
Quels sont les éléments de l’histoire ? Les plus immédiates préoccupations du narrateur est de souper et par la suite se reposer après une journée de voyage fatigante. Mais le motif principal de la visite est de découvrir les monuments de la région. On ne peut, si l’on s’arrête à ce moment du récit, avoir le sentiment d’entrer dans un univers inquiétant (caractéristique de la situation initiale). Cependant, un événement récent est venu troubler la quiétude de la petite ville d’Ille : M.de Peyrehorade vient d’exhumer une statue de bronze. Cet événement a aussi provoqué un accident : c’est en déterrant la statue que Jean Coll, un paysan, s’est cassé une jambe. Synthèse : Dans ce début de la nouvelle, tous les éléments de l’intrigue sont mis en place comme dans la scène ‘exposition d’une pièce de théâtre. Il s’agit d’une situation initiale où les personnages qui vont participer au « drame » sont tous déjà présents et ressemblent même à ceux de la vie quotidienne. De plus, les références à des lieus réels et à une époque datée créent un effet réaliste. La question principale de la nouvelle – s’agit-il d’une statue maléfique ?- apparaît d’ores et déjà dans les propos du Catalan. Mais, tout en apportant ces informations, l’incipit laisse aussi de larges zones d’ombre. Il met en place le décor, fait entrer en scène les personnages, mais laisse ouverte la suite. Chaque lecteur anticipe alors en créant son « horizon d’attente ». Séance 3 Le discours direct Activité : Langue. Durée : 1heure Support : l’incipit : « Je descendais ...... Jamais elles ne touchaient terre » Capacités : - comprendre les enjeux d’une scène au discours direct. - le dialogue traduisant une opposition sociale et intellectuelle entre les personnages. La nature du récit que les élèves doivent produire, à savoir un texte fantastique, exige l’étude du discours direct. D’autant plus qu’il est nécessaire, parfois, de prendre recul aux paroles prononcées des personnages lorsqu’ils sont confrontés à des faits étranges. Il convient, donc, de transposer directement les mots ou les pensées des personnages en question. D’où l’importance de cette leçon de langue. Déroulement de la séance A. Question / réponse : Le texte se présente sous forme d’un dialogue. Qui met-il en jeu ? Qui domine la parole ? Pourquoi ?
----» Le dialogue s’engage d’abord entre le narrateur, alors qu’il arrive le soir près d’une petite ville, et son guide catalan. C’est évidemment ce dernier qui sollicite le plus la parole et qui parle le plus longuement dans la mesure où c’est lui qui détient la majorité des informations que le narrateur – et le lecteur- découvre peu à peu au cours de la conversation. Comment le dialogue (le discours direct) caractérise le narrateur et le catalan ? comparer la façon de parler de l’un et de l’autre ? ----» les dialogues qui caractérisent le narrateur et le guide catalan marquent essentiellement une opposition social et intellectuelle qui se manifeste notamment dans : - Les temps des verbes : A côté des temps très justement maîtrisés par le narrateur, passé simple du récit : « que trouvâtes-vous ? », ou futur de supposition : « Ce sera peut-être quelque statue romaine. », le paysan catalan utilise principalement le présent qu’il associe librement par exemple à l’imparfait : « Et le voila […] qui se démène et qui faisait quasiment autant d’ouvrage que nous deux. » - Le vocabulaire et les niveaux de langue : C’est surtout le guide catalan qui traduit le plus par son langage familier son appartenance sociale et son manque d’instruction. Sa façon de parler se caractérise par des tournures syntaxiques incorrectes : «que je dis », « qu’il me dit », par l’inflation de présentatifs du type : « C’est à Puygarrig que ça se fera ; car c’est mademoiselle de Puygarrig que monsieur le fils épouse. », « C’est que M. Alphonse de Peyrehorade en a été triste, car c’est Coll qui faisait sa partie », « voila donc qu’en travaillant », « voila qu’il parait une main noire » …, par l’usage d’interjections populaires : « quoi ! Ah bien oui ! Pécaïre ! » Quant à l’ignorance du paysan catalan, elle se mesure à ses références historiques (« une idole du temps des païens …du temps de Charlemagne »). Par ailleurs il considère le narrateur comme un savant par le seul fait qu’il ait prononcé le mot de « romaine » Pour quelle raison l’auteur a-t-il choisi le discours direct? ---» Quand il rapporte des paroles, Mérimée choisit prioritairement le style ou le discours direct, très rarement le style indirect et, dans ce cas, il préfère plutôt le style indirect libre. Par souci de vivacité, de rapidité, d’efficacité pour la mise en train de l’action, Mérimée privilégie l’emploi des paroles rapportées directement. Ce choix permet à l’auteur de faire vivre les personnages par leurs paroles, d’actualiser le récit par l’intrusion de l’authentique et du spontané tout en informant le lecteur sur la situation d’énonciation. Ainsi les dialogues permettent-ils de caractériser les personnages du récit et de faire avancer l’action. Synthèse : Le guide catalan réagit à la découverte de la statue de façon émotionnelle (voir la multiplicité des points d’exclamation). Face à des réactions affectives et superstitieuses, le narrateur fait preuve de calme, de bon sens et de culture. Il donne l’image d’un homme qui ne saurait se laisser prendre à de simples apparences. Le lecteur, plus tard dans le récit, sera d’autant plus enclin à faire confiance au narrateur qui gagne ici sa crédibilité d’homme épris de culture et de rationalité.