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Zitiervorschau

INSTITUT NATIONAL DE TOURISME ET D’HOTELLERIE

COMPLEXE SCOLAIRE AMPEFILOHA

RAPPORT DE VOYAGE D’ETUDE DU 15 AU 19 MAI 2017

RAFIONONANTSOA Nicolas Sarl

ENCADREURS Mme JOSIANE Mr MANITRA

GENERALITE Le voyage d’étude fait partie de notre programme, durant lequel on met en pratique toutes les informations au cours de la première année. L’objectif c’est d’approfondir la performance en technique de guidage, mieux connaître l’ambiance d’un circuit en tant que guide et client, savoir vivre en groupe et faire la différence entre théorie sur table et pratique sur terrain. La classe est repartie en cinq groupes et chacun a sa responsabilité. Le trajet est divisé comme suit :

* jours 1 : ANTANANARIVO – FIANARANTSOA * jours 2 : FIANARANTSOA – RANOHIRA (ISALO) * jours 3 : RANOHIRA (ISALO) * jours 4 : RANOHIRA (ISALO) – FIANARANTSOA * jours 5 : FIANARANTSOA – ANTANANARIVO

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Jours 1 : ANTANANARIVO – FIANARANTSOA (420 km)

Les étudiants sont arrivés à l’INTH à 06h00, le responsable du jour a commencé son travail par le rassemblement de tous les bagages. Ensuite, l’encadreur a fait quelque briefing, puis l’appel et la mise en place des étudiants. A 06h45, dernière vérification, l’accueil des participants et présentation des intervenants. Le départ définitif est à 07h00 et nous commençons le voyage par la prière pour la journée. Après, les encadreurs ont donné le dernier consigne et passe la parole au chef du groupe J1 pour la : présentation du groupe, de l’itinéraire avec les consignes et les recommandations. L’encadreur reprend la parole et présente Madagascar en générale. C’est la 4ème grande île dans le monde avec une superficie de 587000 km² et à 400 km à l’est de l’Afrique, son nom provient du mot Latin Mogadishu + car. Elle a 18 groupes ethniques dont : Antakarana, Antandroy, Antanosy, Antefasy, Antemoro, Antesaka, Bara, Betsileo, Betsimisaraka, Bezanozano, Mahafaly, Antambahoaka, Merina, Sakalava, Sihanaka, Tanala, Tsimihety, Zafisoro. La capitale c’est Antananarivo qui est à 1400 m d’altitudes, la route jusqu’à Fianarantsoa c’est entre 1200 à 1700 m. Puis il nous a donné l’élément nécessaire que nous devons connaître avant d’accompagner dans un circuit : kilométrage (durée), Etat de route, Itinéraire et sont point fort, paysage… . Au cours de la route il y a un hôtel d’Etat, marché artisanal : rafia et sirale. Nous avons vue aussi la première porte d’entrée de la région Vakinanaratra nommé «Massif de l’Ankaratra » qui fait partie du 12 collines sacrées et la 3ème montagne plus haut de Madagascar avec 2600 m. En outre, il y a aussi la chute d’Andromba (source de montagne d’Ankaratra) et l’eau minérale Sainto d’Iharanandriana.

Arrivé à Behenjy à 08h10, dans le programme c’est le petit déjeuner qui dure environs 30 minutes. Après nous présentons le premier thème « Behenjy » effectué par l’une des membres du groupe J1. C’est une commune rurale malgache située dans la région Vakinankaratra, son territoire fait partie du district d’Ambatolampy. C’est la première dégustation du foie gras à Madagascar, de plus il est célèbre aussi pour le « Menakely » (pain malgache fabriqué à base d’une farine et sucre).

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Nous avons parlé aussi de la végétation à Madagascar de l’Est vers l’Ouest. Depuis la Mer, il y en a 09 types de végétations : 1) plante dune et sable 2) forêt littorale 3) forêt dense humide (Sambirano) à l’Est * forêt primaire * forêt secondaire * savoka 1 : dature, seva * savoka 2 : radrika * savoka 3 * savoka 4 : anjavidy * savoka 5 4) forêt de montagne : fourré de montagne 5) forêt sclérophylle (ouest) pas plus de 8 mètres * Tapia * Arbre torturé 6) Savane 7) forêt sèche 8) Mangrove 9) Dune et sable D’après ces différents types de végétations, en générale notre circuit est divisé en deux grandes parties : l’Asie et l’Afrique. Après 01h00 de voyage, nous sommes arrivés à la deuxième ville sur la route RN7, plus précisément à Ambatolampy. C’est une commune urbaine, située dans la partie Sud-est de la région de Vakinanakaratra et à 68 km d’Antananarivo. Son économie se base sur l’agriculture : plantation du maïs, manioc, riz, fruit et culture maraîchères, l’apiculture et élevage de chevaux. On y trouve aussi des fabrications artisanales d’ustensiles de cuisine en aluminium. Nous avons visité l’atelier familial et artisanal de fabrication de matériel en aluminium, situé à quelque mètre de la voie fériée à gauche. Durant notre visite, nous avons vu la fabrication d’une marmite qui se fait par étape : chauffage, moulage et finition. Les matières premières sont : - Aluminium - Laterite rouge (tany haboka) - Poudre charbon 3

Etape 1 : on chauffe l’aluminium avec une température de 6000° Etape 2 : on fait le moule avec une marmite et le laterite rouge, puis verser le poudre charbon pour le séparer. Enfin, on ajoute l’aluminium. Etape 3 : c’est la phase pour le nettoyage L’atelier a fabriqué 70 à 90 marmites par jours

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A 09h45, nous avons quitté l’atelier et reprend la route vers Antsirabe. Ensuite, la présentation du deuxième thème qui concerne le « famadihana » ou exhumation, c’est une coutume funéraire que l’on pratique chez certaines tribus de Madagascar notamment les Merina. Le rituel consiste à déterrer les os des ancêtres, à les envelopper cérémonieusement dans des tissus frais et à les promener en dansant autour de la tombe avant de les enterrer à nouveau. A Madagascar cependant, ce ré inhumation finit par devenir périodique, en général tous les sept ans. Le « famadihana » se déroule annuellement entre le mois de juin et septembre, bref pendant la saison sèche malgache. Il n’y a pas de législation pour fixer cette période, mais cette saison a été choisie par le pouvoir colonial pour la simple raison que c’est le moment ou les travaux de champs cessent. Elle se fait par étape : * la phase de préparation : consiste à fixer la date du déroulement et les dépenses à engager * famoriana (rassemblement) * rappel de l’histoire familiale par le razambelona ou bien l’ancêtre vivant (le plus âgé). Il rappel le tetiarana ou l’arbre généalogique * le «mivakivolana » qui se fait 4 à 6 mois avant le déroulement de la cérémonie * le fivorian-danonana * famahanana * enveloppement * danse avec le razana * déposer chacun sur leur lit * remerciement

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Avant d’entrée à Antsirabe, nous allons le présenter en général. C’est la ville d’eau car on y trouve plusieurs sources thermales et minérales, c’est aussi la capitale des pousses pousse, nommé encore le vichy. Antsirabe, An : locatif, Sira : sel, Be : beaucoup, alors c’est la ville là où il y a beaucoup de sel. En outre, c’est aussi la première ville industrielle de Madagascar. Elle regroupe le : COTONA, première industrie de fabrication de tissue en coton, STAR fabricateur des boissons, TIKO,… La ville se divise en quatre zones : * Industriel * Résidentiel * Administratif * commercial

Arrivé à Antsirabe à 11h30, nous avons visité la plus grand hôtel d’Antsirabe « Hôtel de Thermes ». C’est une salle de massage, de gymn, piscine, tennis, billard,… . L’encadreur nous a parlé aussi de la première maison fabriquée en brique (l’église lotériane).

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Après le tour de ville qui est environs 01h00 nous continuons la route, l’encadreur nous a parlé un peu du mont Ibity qui sépare la ville d’Antsirabe et le Betsileo. Puis nous faisons une petite pause. A 13h20, nous somme arrivé à Ambohimanjaka et prend le déjeuner à peu près 40 minutes.

Départ après le déjeuner 14h00, et nous avons pris une pause de 30 minutes pour se relaxer. Après, le groupe à fait quelques animations comme : quiz, jeux de mots,… . Arrêt au pont faty hita pour admirer le paysage, prendre des photos,…, le pont a été détruit en 2001 pour couper la relation entre le Sud et la Capitale.

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Ensuite la présentation de la ville d’Ambositra qui provient du mot vositra, nommé en avant Andriambe, Andraibe, c’est le lieu ou se trouve le « Rova », endroit ou le Roi habite. C’est la ville des sculptures en bois, célèbre aussi par la fabrication du vin et le Savika (art martiaux sacrée). Voici quelque hôtel dans la ville : * hôtel Artisan * tanamasoandro * anjara * solo et soleil de mada Usine industriel : * AFOMA (usine de fabrication d’allumette) * ODIMA (usine de traitement de cuir) * Monastère des bénédictines : fabrication de fromage et yaourt

Ambositra regroupe aussi des ateliers de sculpture et nous l’avons visité. Comme tous travaux nous avons besoin des matières première mais ici c’est le bois : hazo ala, hazo mainty, bois de rose. Les travaux de sculpture se fait à partir de la main. Nous avons visité aussi le marché d’art Malagasy Chez Victor ; puis nous parlons de l’école de la gendarmerie malgache.

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Après cette visite guide, départ pour Fianarantsoa. Au cours de la route nous avons fait l’exposé concernant les Betsileo et le plus grand lémurien à Madagascar « Indri Indri » ou Babakoto. Baba signifie Père et koto le fils. Les Betsileo se différencient par leur dialecte, le vêtement et le chapeau. C’est dans un petit village appelé Ivato Centre qu’on trouve les vrai Betsileo. Lieu de bifurcation vers Soatanana et vers la maison Zafimaniry. Ensuite, le groupe a parlé de l’histoire du royaume Betsileo, « Betsileo » désigne une ethnie dans la partie sud des terres centrales. Traditionnellement, cette ethnie occupa un territoire s’étendant depuis la rivière de Mania au nord jusqu’au Massif d’Andringitra au sud. Vers la seconde moitié du XVIe siècle qu’eut lieu l’émigration des Arabisés (Iarivo) dans le sud-est du territoire Betsileo. Et à partir de cette époque, les Vazimba furent repoussés un peu plus vers l’ouest. Selon une biographie du Père Dubois, l’ethnie Betsileo serait née à la suite d’un métissage entre les nobles immigrants dans la partie sud des terres centrales et les nobles Vazimba. L’histoire rapporte l’existence de plusieurs royaumes Betsileo au tout début de la formation de cette ethnie. Ces souverains appartiennent tous à la lignée des rois du Manandriana. Ces derniers auraient régné dans l’actuelle région d’Ambositra et à partir du XVIe siècle, le vaste royaume du nord – autrement connu sous le nom de royaume de Manandriana – eut son 1er grand souverain : Andriantara 1er. Après ce roi apparurent d’autre royaume menant des existences indépendantes, dont le royaume d’Isandra, celui fondé par le roi Mpanalina dans le sud – ouest de Fisakàna et le royaume de l’Arindrano dans le sud, l’actuelle Ambalavao. Les Betsileo se soumirent dès l’arrivée au trône du nouveau roi Merina, Andrianampoinimerina. Par rapport aux conquêtes menées par ce roi contre les Sihanaka des Haute – terres et des Sakalava, la conquête contre le royaume Betsileo ne posa pas trop de difficulté majeure pour Andrianampoinimerina et ses armées. A retenir que côté us et coutume, les Betsileo possèdent des traditions intéressantes comme le mânisme ou la pratique du culte des ancêtres. Cette population est également reconnue, selon la tradition, comme d’excellents travailleurs du bois. D’ailleurs, la plus part d’entre eux vivent jusqu’à aujourd’hui de la sculpture. Ces le cas d’un sous – groupe Betsileo ; les Zafimaniry, qui perpétuent jusqu’à présent l’architecture faite sur bois. La hiérarchie sociale Betsileo était divisée en quatre classes : 1) Les Hova (nobles) : lignée royale, à laquelle tous les zébus, les « aomby » (provenant du mot bantou « gnombé ») ainsi que les terres appartenaient. Tout achat, ou mise à mort d’un aomby requérait la présence d’un Hova. Les hécatombes de bétail en centaines qui célébraient autrefois la mort d’un roi ou de riches Betsileo ne se produisent plus aujourd’hui, car ils ont pris fin à la suite de leur interdiction lors de la colonisation française à Madagascar. 2) Les Andevohova : esclaves considéré comme des hommes libres, car bénéficiant du statut « d’être au service » des Hova. Les bras droits des Hova étaient les Andriambaventy. Les nourricières des enfants Hova, les Raindraoto, et les Ramanga, employés pour boire le sang du Hova blessé, recueillir ses rognures d’ongle, lui couper sa viande etc. 11

3) Les olom-potsy (olona fotsy) : caste de la société Betsileo, qui caractérise les simples sujets, que rien ne vient distinguer. Le Betsileo serait composé de 78 clans d’olom-potsy. L’appartenance à un clan se transmet par filiation et détermine le les lois du mariage qui n’ont lieu qu’entre famille du même clan. Chaque clan est soumis à ses propres interdictions ou « fady », et a ses règles. 4) Les Andevo : les esclaves, vaincus des guerres. L’esclave était à l’entière disposition mais aucun acte de cruauté n’était pratiqué à son encontre, il faisait partie de la maison, et on le laissait avec sa femme et ses enfants.

Après c’est long trajet, on a pris une pause jusqu’à Ambohimahasoa, lieu qu’on a pris le dîner et continuons la route vers Fianarantsoa. A quelque kilomètre avant d’entrée la ville, le groupe J1 a fait la passation au groupe responsable du jour suivant et le remerciement. L’encadreur reprend la parole, et parle quelque mot concernant le premier jour. Nous sommes arrivés à Fianarantsoa à 22h00, avant de prendre la chambre, l’encadreur nous a donné des consignes. Fin du jour 01.

Jours 2 : FIANARANTSOA – RANOHIRA (ISALO)

Jours consacré sur le paysage d’Afrique, c'est-à-dire dans la partie chaud à Madagascar avec un climat tropical et humide. La mise en place et le bagage est à 06h00 effectué par le responsable du jour 2. Avant tout l’encadreur a donné quelques consignes pour qu’on puisse vivre une bonne journée. Le départ définitif est à 06h30. Nous prendrons le petit déjeuner à l’hôtel restaurant MG4 à Fianarantsoa à peut près 01h30 minutes. Jusqu’à l’arrivé, l’encadreur nous a donné quelque information concernant la ville. Comme la ville d’Antsirabe, elle se divise en 03 : * Tanàna ambony (ville haut) : lieu où se trouve les souverains et le Rova. * Tanàna antenantenany (ville moyen) : lieu Administratif * Tanàna ambany (ville bas) Nous y trouvons aussi tous les produits d’exportation de Madagascar. La province de Fianarantsoa regroupe 03 parcs National dont : Ranomafana, Andringitra, Isalo. Nous somme arrivé à Tanàna Ambany à 06h55 et quitté à 07h35 après le petit déjeuner. Ensuite nous somme passé sur la gare qui relie : Fianarantsoa – Manakara 3 fois par semaine.

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Malgré le problème du carburant, nous sommes en retard d’une heure environ. En attendant, nous avons visité le studio photographique, «Pierrot Men » le photographe la plus connue dans la région de haute matsihatra et même dans le monde. A 08h40 le problème est résolu et nous continuons la route. Entre temps, l’encadreur nous a donné un conseil face à un problème imprévu sur le circuit : si quelque chose se passe, nous devons toujours informer le responsable de dossier. Le responsable du jour prend la parole et présente son premier thème concernant Fianarantsoa. C’est une ville de haute terre de Madagascar crée par la reine Ranavalona I, chef-lieu de la région Haute Matsiatra. Son nom vient des mots malgaches «fianarana ny soa » qui signifie «là où on apprend le bien ». L’origine du nom serait que lors de la fondation de la ville, on disait «ety no hianarana ny soa avy any avaratra » (C’est ici qu’on apprend le bien depuis la capitale). Ville fondée en 1831, la colline de Kianjasoa était le premier site choisi mais la nouvelle ville, nommée Fianarantsoa, est finalement bâtie sur la colline voisine, Ivoenana , qui est beaucoup plus protégée. Le premier gouverneur est Rafaralahindraininaly qui dirige de 1831 à 1842. C’est l’une des villes les plus commerçantes de Madagascar et le commerce constitue une activité prépondérante. Outre le tertiaire, l’agriculture tient également une place dans l’économie. La région avoisinante cultive partiellement le tabac, le riz, raisin et le café. Elle possède également des fermes spécialisées. C’est aussi la capitale du vin Malgache Parmi les industries de la ville, la plupart sont agroalimentaires : des industries vinicoles, des savonneries, des huileries, des industries de traitement du riz et conditionnement de la viande de bœuf. A la sortie nord de la ville s’installe une usine pharmaceutique et à une vingtaine de kilomètres on pratique une culture industrielle de thé assuré par la société SIDEXAM. Elle possède également une industrie de montage automobile, Karenjy, qui est la seule à Madagascar. 13

Après nous avons continué sur la présentation du deuxième thème « le Riz ». C’est un aliment de base dans la majorité du sud de l’Asie, Amérique du sud, Afrique. C’est une céréale de la famille des poacées, cultivée dans les régions tropicales, subtropicales et tempérées chaudes pour sont fruit, ou caryopse, riche en amidon. Il désigne l’ensemble des plantes du genre oryza. Voici la classification du riz : * Règne : plantae * Sous - règne : tracheobionta * Genre : oryza * Famille : poaceae

Les producteurs de riz à Madagascar : * Alaotra * Haute Matsiatra * Alaotra mangoro Mais actuellement la production locale est insuffisante, Madagascar est la première consommatrice et ayant quelque plat fabriqué avec du riz comme le koba, mokary, mofogasy,… .

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Nous sommes passé au petit village de «Talatan’Ampano », c’est un marché sur la route d’Ambalavao. Ampano c’est un Roi dans ce village. Ensuite, le groupe a parlé aussi de l’ethnie Betsileo ou « betsilao ». Leur territoire s’étendait depuis la rivière Mania au nord jusqu’au pied du massif d’Andringitra au sud. Vers l’ouest, celui-ci est limité par la chaîne du Bongonlava et vers l’Est par la forêt orientale occupée par les Tanala. Le nom de Betsilao ou Betsileo signifie littéralement invincibles. Dès le début du XVIIIe siècle, les Betsileo s’étaient armés pour se défendre contre les Sakalava, formant même la première armée permanente de l’île. En se qui concerne le nom même de betsileo, d’après Grandidier, le vrai nom des betsileo était autrefois et est même encore aujourd’hui «Andriambohitsombilahy » (les seigneurs des montagnes riches en bétail) ou plus couramment Ambihitsomby. La tenue vestimentaire qui leur différencie : chapeau, couvre tous sont corps avec le «lamba ». Après la présentation du thème, nous avons fait une pause photo 30 minutes et admirer le paysage de la région. Ensuite nous parlons aussi d’Ambalavao, on y trouve le grand marché du zébu. Elle est située à 56 km au sud de Fianarantsoa, reconnue pour ses très belles maisons à varangue avec des balustrades de bois formées de motif géométriques.

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C’est dans cette région où les betsileo affrontèrent les bara (XVIII e siècle) et les Merina (XIX e siècle) pour préserver leur territoire et leur indépendance. La région est marquée par plusieurs sites sacrés en souvenir de ces événements tragiques. Ainsi le rocher d’Ifandana, au sud-est de la ville, fut le lieu d’où se jetèrent ceux qui préfèrent la mort à la domination Merina. A 10H50, nous sommes arrivés à la réserve villageoise Anja, lieu riche en faune et flore, on y trouve aussi quelque espèce de lémurien (lémure catta). Nous avons fait la visite avec les guides locaux Mr Andrie et Mme Farasoa. Anja est crée vers 1999 par 20 membres, officialisé le 23 novembre 2001 et ayant actuellement 500 membres. Sa superficie est de 48 à 50 h, montagne naturelle granitée. 34 guides locale / jours et 250 rabatteurs qui travail dans le parc. Il y a aussi la pisciculture juste près du parc.

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Il y en a 300 à 400 lémuriens et 15 à 17 familles lémure catta et chacun ayant sont territoire. Son espérance de vie est entre 15 à 20 ans environs et sa mort il l’enterre eux même. La période d’accouplement est entre le mois d’Avril et le mois de Mai et la naissance entre le mois de septembre et octobre. Une mère donne 1 à 2 petits chaque année et elle le porte 2 mois sur le ventre et 2 mois sur le dos. A l’age d’un an, les nouveaux peuvent faire aussi l’accouplement. Tous les lémuriens on 4 cris différentes : cri d’accueil, cri d’appel, cri d’amour, cri d’alerte. Leur aliment de base c’est le « voandelaka », pour les protéger nous ne pouvons pas donner des bananes. Après notre visite, nous avons pris le petit déjeuner au parc. Nous avons quitté la réserve Anja à 14h45 et prend un peu de pause dans le bus. Ensuite, notre encadreur a parlé de la porte d’entrée dans le territoire sud. Andringitra où il y a le savane primaire, Ihorombe vient du mot malgache horina (bozaka), fasana atsimo et tsaranoro. Nous sommes arrivé sur le plateau d’Ihorombe à 15h30, pause photo et présentation du bonnet de l’évêque. Continuons sur la route vers Ihosy et Isalo.

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Le groupe a présenté encore un autre thème « Ihosy » : c’est une ville de Madagascar située dans la région d’Ihorombe. C’est la capitale du peuple Bara, à l’origine la ville se trouvait un peu plus haut sur la colline, à 3 km, mais fut désertée en 1806. C’est le chef lieu de la région d’Ihorombe, ainsi que du district du même nom.

Jusqu’à l’arrivé à Isalo 16h50, le groupe J2 fait une animation et nous avons pris aussi une pause. Avant d’arriver le responsable fait la passation avec le groupe J3 et remercie tous les participants. On est hébergé à l’hôtel restaurant « Les Toiles de l’Isalo ». Leur voiture a apporté notre bagage jusqu’à l’hôtel, l’encadreur nous a présenté le responsable d’hôtel et nous a donné quelque consignes avant le dîner et de prendre la chambre. 18

Jours 3 : RANOHIRA (ISALO) (15 Km)

Le groupe 3 nous a réveillés à 05h00, nous préparons tous les matériels essentiels pour le randonné et la visite que nous faisons durant le jour trois, à peu près 45 minutes. Nous prendrons le petit déjeuner à l’hôtel à 06h00 et l’encadreur nous avons donné quelque consigne concernant le circuit. La mise en place dans le bus est à 06h30, notre départ définitif est à 06h45. Le responsable nous a donné le programme du jour 03 : le matin nous faisons la visite de l’hôtel « Jardin du Roi » et « Relais de la Reine », déjeuner à Ranohira, l’après midi visite du parc national de l’Isalo et brochette partie. L’encadreur nous a parlé des hôtels qui se trouvent près de l’Isalo : Isalo Ranch (3 étoiles), pente de luxe (3 étoiles), Rock Lodge (4 étoiles), Satrana hôtel, Jardin du Roi et Relais de la reine ; Il nous a parlé aussi du site des Portugais. Nous sommes arrivé à l’hôtel à 08h00, l’encadreur nous a présenté les responsables du Jardin du Roi et Relais de la reine : monsieur Thierry et monsieur Riantsoa. L’hôtel est crée en 1993, à l’intérieur il y a un terrain de tennis, champ de cheval, terrain de pétanque, jardin protégé (légume, fruit). Toutes les chambres sont fabriquées à partir des pierres, il y a des chambres spéciales pour les guides et les chauffeurs.

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Nous avons visité une chambre familière dont on y trouve 3 lits séparé. Durant toute notre visite nous pouvons prendre des photos. Nous avons passé aussi sur la piscine de l’hôtel, le champ de cheval. Ils ont 11 chevaux et chacun ayant sont nom : Luthécia, Rachelle, Espéranza, Zafindrano, Rafia, Piscel, Vanille, Lee-boy, Carambole, Fantastique, Flipper. L’hôtel a un bureau de réservation à Antananarivo, nous pouvons faire aussi la réservation sur Internet ou site web de l’hôtel. Sont tarif change par saison : * tarif de basse saison * tarif de moyenne saison * tarif de haute saison Le tarif public est plus 15% par rapport au tarif pour les agences, sont vignette touristique est 5000ar. * Basse saison : environs 240000ar une nuitée * Moyen saison : environs 300000ar une nuitée * Haute saison : environs 300000ar une nuitée

Nous avons terminé la visite à 10h45 et avant de quitter l’hôtel, il nous offre un verre de thé pour se rafraîchir. L’encadreur remercie les responsables d’hôtel et nous contions notre route vers Ranohira. Nous sommes arrivé à Ranohira à 11h00, nous prenons le déjeuner environs 45 minutes. Après le responsable du jour 03 a commandé des boissons pour la brochette partie. Ils ont aussi parlé avec le responsable du parc avec l’encadreur. A 12h30 nous avons quitté Ranohira et nous prendrons la route vers le parc national de l’Isalo. Nous sommes accompagnés par un guide locale. Nous avons fait la marche de 04 km jusqu’au parking du parc. A l’arrivé nous prendrons un peu de pause en attendant que tous le monde soit présent. Ensuite le guide local nous a présenté le parc : * Ranohira, hira c’est un lémurien du parc * Isalo, sont vrai nom c’est « Vohidava », sont nom vient du mot « salocée » (Hevo en malgache) ; c’est un plante médicinale pour le bébé. Il ayant une superficie de 80540 m, dirigée par des organisations comme le WWF, MNP depuis le 19 juillet 1962. Le parc ayant 1200 espèces de plantes, dont 60% une plante médicinale. Il y on a 81 espèces d’oiseaux dont un endémique appelé en malgache « menaketraka ». Il y a aussi 7 autres espèces d’animaux : 3 espèces diurnes et 4 espèces nocturnes. Voici quelque liste des oiseaux que nous trouvons dans le parc : * grèbe castagneux – Tachybaptus ruficollis * héron garde-bœuf – Bubulcus ibis * ombrette – Scopus umbretta * dedrocygne veuf – Dendrocygna viduata * canard à bec rouge – Anas erythrorhyncha * milan noir – Milvus migrans * polyboroïde rayé – Polyboroides radiatus * busard de Madagascar – Buteo brachypterus * faucon de newton ou crécerelle malgache – Falco newtoni * faucon concolore – Falco concolor * faucon pèlerin – Falco peregrinus * caille de Madagascar – Margaroperdix madagascarensis * ninox à sourcils

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* merle de roche de Benson – pseudocossyphus bensonii

Dans la parc il y on a plusieurs paysages et site d’attraction comme : * la grotte des portugais * le lacs vert * chute de nymphe * piscine naturelle * fenêtre de l’Isalo * botte de l’Isalo

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Mais dans notre programme nous visitons seulement la chute de nymphe, piscine bleue et piscine noire. Nous restons à peut près 30 minutes dans ces lieux.

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Après cette marche nous retournons à la voiture, l’encadreur et le responsable du jour remercie le guide locale. Nous revenons à l’hôtel pour prendre le dîner, le groupe J3 fait le passation et organise la suite du programme. Nous prendrons le dîner environ 01h00 et le brochette partie commence vers 22h00 jusqu’à 02h00 du matin.

Jours 4 : RANOHIRA (ISALO) – FIANARANTSOA

Notre réveil est à 06h00, nous préparons nos bagages durant 30 minutes et le groupe J4 a fait la vérification de toutes les chambres avant de prendre le petit déjeuner. A 06h45, petit déjeuner, l’encadreur remercie les responsables de l’hôtel « Les Toiles de l’Isalo ». Les étudiants ont emporté leurs bagages dans la voiture de l’hôtel, et transport jusqu’au bus. Notre départ définitif est à 08h00, le responsable du groupe a présenté leur membre et l’itinéraire. L’encadreur prend la parole, il a fait quelque briefing, après nous prendrons une pause de 30 minutes. Ensuite le groupe a présenté leur premier thème concernant le peuple « Mikea ». Ils sont situés dans la forêt sèche au nord de Toliara, entre Manombo au sud et Morombe au nord, d’une superficie de 3500 km². Ils y développent leur propre culture dans des conditions naturelles difficiles et souvent extrêmes. Selon les traditionnistes masikoro et vezo, cette immense fut peuplée par des « individus mystérieux » et cette qualification est liée à leur existence quasi-inconnue des populations riveraines. 24

L’existence de la pré-Mikea suscite encore des divergences. Mais les Mikea et les villageois continuent à croire qu’ils ont réellement vécu et à les respecter, car certains d’entre eux se sont transformés en esprits qui peuvent s’incarner chez une personne. Ces esprits pérennisent leur vie en étroite relation avec la forêt.

Dans la forêt des Mikea, le nom « koko » est souvent prononcé pour évoquer, un individu souvent décrit comme étant de petite taille, trapu et poilu. Et pour le confirmer, quand on assiste à un rite individuel dans la forêt des Mikea, on invoque toujours des nains poilus. Ces nains ont leur propre mode de vie basé essentiellement sur la chasse et la cueillette, dans une parfaite harmonie avec la nature. Dans la forêt des Mikea, beaucoup de gens affirment avoir entendu des bruits qu’ils font, comme si quelqu’un tapait sur un tronc d’arbre. On ne les voit pas, mais on les entend. Celui qui entend ces bruits doit aussitôt leur demander une bénédiction. Après cette invocation, on entend d’autres bruits dans les arbres. L’homme n’a qu’à s’en approcher pour trouver du miel ou des hérissons. Il dépose au pied d’un arbre ce qu’il a collecté, et s’éclipse dans les fourrés. Si quelqu’un qui connaît les mœurs des Mikea vient à passer, il prend les produits laissés par le chasseur et dépose en contre partie du tabac à chiquer. Quand il reviendra sur les lieux quelques minutes après, il verra que le tabac n’est plus là.

Après le premier thème, le groupe a essayé d’animer le voyage en faisant des quiz. Nous continuons ensuite par une pause photo dans la voiture et pause pour regarder le paysage. La pause est environs 30 minutes, ensuite le groupe J4 a présenté encore un autre thème concernant les cinq grands lacs à Madagascar : * lac Alaotra : 750 m d’altitudes * lac Itasy : 3500 h * lac Kikony : 8 m d’altitudes * lac Ihotry * lac Tsimanampetsotsa 40 m d’altitudes

A 10h00, le responsable du jour nous a parlé de la ville d’Ihosy. C’est le chef lieu du peuple Bara (pasteur siminomade), il on leur danse appelé Papango. Le peuple Bara pratique le « vady atolotra », c'est-àdire, ce sont les parents qui cherchent la fille qui va épouser leur fils. Le zébu c’est très important chez le peuple Bara. On considère qu’une famille est riche s’il on beaucoup de zébu, c’est le nombre qui compte. La ville ayant un aéroport, situé à quelque kilomètre avant d’y entrer. Ils utilisent comme moyen de transport le camion, la pousse pousse, Bajaj. Ensuite le groupe a parlé aussi de la grotte d’Andranonirina et l’origine du peuple Ntaolo. Le nom « Ntaolo » désigne les peuples anciens à Madagascar, c’est aussi un mot utilisé pour respecter leur sagesse. Alors que nous pouvons dire que les Ntaolo à une grande valeur pour les citoyens. Le nom vient des mots malgache « ny tao aloha », c'est-à-dire se qui est avant. Se sont des personnes simples dans leur vie quotidienne : vestimentaire, maison,…, mais ayant beaucoup de sagesse.

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Avant d’entrée dans la ville d’Ambalavao, le groupe J4 a parlé sont dernier thème concernant le « papier Antemoro ». Il est fabriqué à_partir_de l’Avoha, une écorce d’arbre qui n’existe que sur la côte est de Madagascar, entre Fort – Dauphin et Tamatave. C’est un art Malgache très recherché par les touristes, son prix est un peu trop élevé.

Nous sommes arrivés à Ambalavao à 14h20 et nous faisons la visite de l’atelier de fabrication du papier Antemoro « bougun villé » avec Mme Marie, notre guide. Elle nous à fait une démonstration pour fabriquer le papier, et la fabrication se fait par étape. Ensuite nous avons visité aussi l’atelier Soalandy, Atelier de fabrication des Landy. 26

Après cette visite, nous continuons la route, le groupe J4 a fait quelque animation. Avant d’entrer à la ville de Fianarantsoa, le groupe fait la passation et remercie les participants. Nous sommes arrivé à Fianarantsoa à 04h30 mais malgré la pluie, nous ne pouvons plus visiter l’atelier de fabrication de voiture karenjy. Ensuite, nous prendrons notre chambre pour se reposer un peu. Notre départ pour le dîner c’est à 19h00, mais nous avons une retard d’une heure à peu près pour attendre que tous le monde sont là. Après le dîner, quelques étudiants est allé à « SOFIA » et les autre retournent dans la chambre.

Jours 5 : FIANARANTSOA – ANTANANARIVO (420 km) Notre réveil c’est à 04h00 et nous faisons toutes les préparations. La mise en place et le bagage est à 05h00, ensuite le groupe a fait une dernière vérification. Le départ définitif est à 05h15. Le groupe J5 a fait leur présentation et nous avons pris une pause de 01h30 pour s’endormir. Ensuite, le groupe nous a parlé un peu du royaume Betsileo. Nous prendrons le petit déjeuner à Ambohimahasoa à peu près 45 minutes. Ensuite nous retournons dans le bus et continuons le voyage. Le groupe nous a présenté son thème concernant « la vie jusqu’à la mort ». D’après la croyance des Malgaches, notre vie est déjà programmée par le « Zanahary » avant notre naissance. Selon notre traditions, notre vie se fait par étapes jusqu’à la mort et après nous entrant dans une autre phase. La première étape c’est ce que nous appelons en Malgache le « mifana », c’est la période que nous restons au lit près de notre mère pour prendre la chaleur ; ensuite le « mivoaka itany » : la première période que nous sortons la maison ; le « alavolon-jaza » ou coupure des cheveux. Après le « famorana » pour les garçons ;… ; le « fanambadiana » ou mariage, « fiterahana » ou avoir une enfant, « fahanterana » ou vieillissement et le « fahafatesana » ou la mort. Ensuite nous avons fait un exposé concernant le « canal des pangalanes ». C’est une suite de lagunes et de cours d’eau qui s’étire sur près de 700 km depuis Tamatave jusqu’à Farafangana, parallèlement à l’océan Indien sur la côte orientale de Madagascar. C’était le Général Gallieni qui l’a aménagé, et les travaux ont duré huit ans, navigable depuis le 1er septembre 1901 et réhabilité à la fin des années 80. Pour la découvrir, il nous faut un trajet de deux jours en bateau boutre depuis Mananjary jusqu’à Mahanoro ou bien l’inverse. Durant lequel, nous pouvons découvrir le village des pêcheurs de Mahela, endroit où s’est échoué le bateau de Jean Laborde. Ensuite à 60 km au nord de Mananjary le village d’Ambohitsara, on y trouve un statut de pierre nommée « vatolambo » (pierre sanglier). Nous pouvons découvrir aussi durant le trajet différentes espèces d’oiseaux typiques de l’Est comme la poule d’eau, ainsi que les espèces de canard sauvages. Nous pouvons visiter aussi la ferronnerie d’art et d’un site de production artisanale « betsabetsa » et le site de bivouac.

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Puisque nous avons parlé du canal des pangalanes, le groupe a parlé aussi de Sainte Marie.

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Puis nous avons fait un achat de « Tantely » au petit village « Andakana ». Ensuite le responsable du jour a fait des animations comme : quiz, jeu de rime. Nous sommes arrivé à Antsirabe à 12h30, nous prendrons le déjeuner à Ampihavihana durant 01h00 et après nous avons fait des petits achats. Après nous continuons la route, nous prendrons une pause de 30 minutes. Ensuite le groupe nous a réveillé et faisons encore quelques animations. Puis nous faisons un débat concernant « la relation sexuel avant le mariage ». Avant d’arriver à Antananarivo, les encadreurs nous à fait un débriefing et remerciant le chauffeur. Nous sommes arrivé à l’INTH à 17h30 minutes, nous terminons le voyage par la prière. REMARQUE A la fin de chaque journée, tous les groupes ont fait un rapport du jour.

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IMPRESSION PERSONNEL DU VOYAGE D’ETUDE En générale le voyage d’étude est bien organisé, durant lequel nous avons appris plusieurs choses surtout sur le technique de guidage. Nous avons vu un peu l’ambiance d’un circuit en tant que guide et client. A mon avis être un meilleur guide c’est de savoir donner des satisfactions pour les clients, bien gérer le groupe et avoir un esprit d’initiative. Dans le monde du professionnalisme, nous avons quelque point à améliorer : la ponctualité, le respect des autres et la responsabilité. En un mot, notre propre personnalité et le changement des mauvaises habitudes. Enfin, nous remercions Mesdames et Messieurs Le Directeur, les professeurs et les encadreurs d’avoir organisé ce voyage d’étude.

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