Rapport Final de Route [PDF]

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Zitiervorschau

Rapport sur la construction routière SOUS-TITRE DU RAPPORT

Introduction : Le développement d’un pays, d’une province ou ville est basé sur la quantité et la qualité de ces infrastructures en particulier les infrastructures routières qui réhabilitées et entretenues permanant en fin d’assurer la libre circulation des personnes et de leurs biens. Mais aujourd’hui, on existe à un blocage des échanges socioéconomiques suite au mauvais état de ces infrastructures. Face à cela Nous allons également définir la route moderne comme étant « un espace correctement aménagé pour recevoir un ou plusieurs courants de circulation construite dans le respect des règles. Le mot route vient du mot latin « viarupta » qui signifie « voie frayée » c’est donc une voie de communication terrestre permettant de relier un point à une autre, un village à un autre. Permettre aussi la circulation des véhicules à roues. Ce terme s'applique plutôt aux voies importantes situées en rase campagne. Dans les pays vastes et peu peuplés. La construction routière comprend toutes les opérations du processus de l'établissement des voies de circulation automobiles en zones urbaines, rurales ou forestières. Cette construction est régie par des normes visant la sécurité des usagers. De plus en plus, un des facteurs les plus importants dans l'établissement de nouveaux corridors routiers est l'impact que la nouvelle route aura sur l'environnement et surtout sur le système hydrologique local. Afin de bien planifier un projet de construction routière, il est nécessaire de connaître différents facteurs tels que le volume de trafic et la durée de vie de l'ouvrage. Au Maroc, la route représente le premier mode de transport pour 90 % des Individus et catalyse 75 % du transport de marchandises. Ainsi, les projets d’infrastructure routière et d’équipements de proximité Occupent une place de choix au sein des différents chantiers ouverts ou Programmés au Maroc, aussi bien en milieu urbain qu’en zone rurale. Le secteur représente 6 % du PIB et emploie 10 % de la population active urbaine. Le Maroc dispose d’un réseau routier d’environ 60 000 km, dont 41 000 km de routes goudronnées Plus de 5 300 ponts. En 2014, le réseau autoroutier s’étendait sur plus de 1 500 km. La gestion et la responsabilité du réseau sont partagées entre l’Etat, les communes et les municipalités. Les dégradations de chaussées ne cessent pas du fait des durées de vie des routes qui touchent à leur fin. Elles sont donc constamment renouvelées. Peu de nouvelles routes sont créés. C’est pourquoi intervient à présent le terme de déconstruction des anciennes chaussées avec des objectifs d’économie des matériaux, tout en cherchant à être le plus compétitif du côté des entreprises. Dans ce contexte, ce projet de fin d’études à donc pour but d’analyser les techniques de valorisation les projets de routes. Ces techniques se sont développées et deviennent de mieux en mieux maîtrisées par les entreprises de travaux publics.

1. Généralités : 1. Définitions : La topographie routière : cette topographie est liée aux travaux des voiries, ce type de topographie s’agit de faire un regard furtif du terrain, elle est nécessaire pour la connaissance des terrains dont on veut réaliser la voie, afin de connaitre ces limites ces reliefs … Dans le domaine routier, La topographie est une phase indispensable des études routières, elle est basée sur des opérations de mesure, de calcul et de dessin afin de reproduire sur le papier des détails du terrain, la topographie constitue la phase importante de l’étude technique des tracés et doit reproduire aussi fidèlement que possible la bande du terrain où se développe le tracé projeté et ses variantes et doit tenir compte des exigences de la Construction des projets routiers et principalement l’aspect géométrique des tracés routiers. Projet routier : Le projet routier s'applique aux voies importantes situées en rase campagne. Il offre à chacun la possibilité d'être relié aux autres. Il consiste de réaliser un trajet pour des intérêts déférents. Normes géométriques : elles dépendent de plusieurs facteurs importants. Parmi lesquels, le relief et les contraintes locales. Les caractéristiques géométriques résultent de ce choix lequel implique le Respect des normes associées à la catégorie de la route et le maintien d’un Niveau élevé de sécurité (progressivité, continuité et compatibilité des Caractéristiques géométriques). Terrassements : Le terrassement est le travail consistant à déplacer des quantités importantes de matériaux (sols, roches, sous-produits, etc.) dans divers buts. Le remaniement des terrains naturels entraîne une modification généralement définitive de la topographie et du paysage, en créant des ouvrages en terre soit en remblai soit en déblai. 2. Situation du projet :

- Situation géographique : Le projet objet d’aménagement d’une route prend origine au pk 0+ 0.00 km et se développe sur un relief peu-vallonné puis il prend fin au pk 4 +0. 664 km, donc elle se cumule à une longueur de 4.664 km.

Les coordonnées d’origine et de l’extrémité de projet de notre étude qui juste de 1.344 km se situent aux points suivants.

Origine

Extrémité

X=265861.353

X=264655.192

Y=108220.512

Y=108390.250

Z= 553.936

Z=552.778

- Aperçu Topographique : Le tracé se développe sur un terrain non vallonné est presque plat, selon le nivellement général du Maroc (N.G.M), la route se trouve entre deux côtes 554 m et 551m. - Situation géologique et géotechnique : Le projet est identifié géologiquement dans les plaines d’al Haouz avec domination du gré et du éboulis, du limon de ruissèlement et du quelque lentille argileuse et d’autres substances utiles telles que Phosphates, Barytine, Ocres, Pegmatites et Sel en plus de roches industrielles et ornementales dont les marbres, granites et argiles au niveau du quaternaire du Haouz. Le sol se développe le long de trajet, lors des sondages effectuent sur le terrain sont constituent généralement du Sols meubles et des lentilles argileux aussi avec présence des sols fin argileux à cause de la densité sèche et humide Situation juridique : puisque notre projet est une route non classée, alors il appartient aux collectivités locales. 3. Objectif du projet : A un proche avenir, il sera des projets touristiques, résidentielles économique …, dans cette zone, donc il est important de réaliser ce projet routier. - Faciliter l’accès ou zones agricoles et touristiques d’ouvrira, oukaimeden… Lorsque le projet et relier les deux routes provinciaux (2012,2019), donc il faciliter aussi la circulation au bord de ces deux trajets.

2. Normes géométriques :

1. Choix de la catégorie : La catégorie d’un tronçon de route n’a de sens que si ce dernier correspond à au moins 5 min de parcours à la vitesse de base considérée pour cette catégorie. Vitesse (Km/h)

Distance correspondant à 5 min de parcours

40

3,33 Km

60

5,00 Km

80

6,67 Km

100

8,33 Km

120

10,00 Km

Un tronçon de route ne peut donc être classé en 4ème catégorie que si sa longueur est supérieure à 3.33 Km. Par ailleurs, la faible largeur de chaussée et de plate-forme des routes rurales, dictée par des raisons évidentes d’économie, n’est pas toujours compatible avec un tracé tendu qui incite à la vitesse. Un tronçon de route ne peut donc être classé en 3ème catégorie que si sa longueur est supérieure à 5 Km. L’usage des normes des catégories exceptionnelles et première – même en relief plat – est donc interdit pour ces routes d’après le paragraphe 2 de l’instruction sur les caractéristiques géométriques des routes économiques à faible trafic. Si les normes de la deuxième catégorie doivent être adoptées, celles-ci doivent respecter les recommandations du paragraphe 3-3 de l’instruction sur les caractéristiques géométriques des routes de rase campagne : les alignements droits doivent être coupés par des courbes de grand rayon espacées de 3 à 5 Km et opérant un changement de direction d’au moins 3°. En revanche, il n’y a aucune réserve pour l’application de la 3ème catégorie, de là hors catégorie et de la norme REFT. Et l’on peut adopter l’une ou l’autre selon les contraintes à éviter et le niveau de service escompté. Ceci dit, l’expérience vécue à travers le PNRR1 a montré que la Hors catégorie n’est presque jamais utilisée pour les routes où la vitesse de base projetée est de 40

Km/h. Ces routes sont toujours traitées dans le cadre de la norme REFT. Il est peut-être grand temps de supprimer la hors catégorie et de la remplacer par la norme REFT et d’appeler cette dernière : 4ème catégorie. C’est dire que l’on doit songer à une refonte de l’Instruction sur les Caractéristiques Géométriques des Routes de Rase Campagne dans le sens de supprimer la catégorie Exceptionnelle et de remplacer la hors catégorie par la norme REFT et de l’appeler 4ème catégorie. La refonte de l’ICGRRC est d’autant plus justifiée qu’elle serait l’occasion de la moderniser sur le plan présentation et ordonnancement des chapitres, de lever les Ambiguïtés, d’ajouter les illustrations explicatives et de supprimer les paragraphes traitant les carrefours qui font l’objet d’une directive indépendante. Ce choix implique par ailleurs les vitesses de base suivante : Catégorie ou norme

Vitesse de base

3ème catégorieème catégorie

60 Km/h

4ème catégorie (REFT) (REFT)

40 Km/h

Alors selon les instructions de rase compagne en déduire que notre projet et classée dans la 4ème catégorie.

Enfin, il y a lieu de signaler que les routes rurales servent essentiellement à des déplacements locaux et se caractérisent de ce fait par des trafics faibles. Le trafic n’est donc plus un critère déterminant pour le choix de la catégorie de la route, puisqu’il est faible pour toutes ces routes. Le choix de la catégorie est donc conditionné par le relief (plat, vallonné, montagneux et désertique) et les contraintes locales (traversée de localité, évitement de zones particulières, etc. …).

2. Caractéristiques géométriques en tracé en plan et en profil en long : S’agissant de routes s’inscrivant dans le cadre du programme national de construction des routes rurales, le calage du tracé en plan et du profil en long obéira aux deux principes suivants : • Suivre la piste existante autant que possible,

• Améliorer localement la géométrie horizontalement et verticalement afin d’obtenir une géométrie conforme à la norme adoptée. La conception, l'entretien et l’exploitation de l’infrastructure routière sont des facteurs d'amélioration de la sécurité routière.  Définition du tracé en plan : Le tracé en plan est une projection de la route sur un plan horizontal de l’axe de la chaussée, il est constitué d’une succession de droites, raccordés par d’arcs de cercle. Il doit permettre d’assurer les bonnes conditions de sécurité et de confort.  Définition du profil en long : Le profil en long est la projection de l’axe de la route sur un plan vertical. Il est constitué d’une succession d’alignements droits raccordés par des courbes à rayons parabolique. Les caractéristiques minimales à satisfaire découlent de l’Instruction sur les Caractéristiques Géométriques des Routes de Rase Campagne (ICGRRC) et de l’instruction sur les caractéristiques géométriques des Routes Economiques à Faible Trafic (REFT) : CARACTERISTIQUES 4ème catégorie (REFT)

NORMES 4ème catégorie (REFT)

Rayon de courbure minimum libre 75 m Tracé en plan

Rayon de courbure minimum normal 30 m Rayon de courbure minimum absolu 15 m

Profil en long

Rampe/ pente maximum normal

7%

Rampe/ pente maximum absolu

12%

Raccordement en angle saillant Raccordement en angle rentrant

Minimum normal

1000 m

Minimum absolu

500 m

Minimum normal Minimum absolu

500 m 250m

REMARQUE : Dans le tracé en plan la règle de la norme REFT stipulant l’obligation de raccorder deux courbes circulaires par un alignement droit d’une longueur minimale de 20 mètres, quels que soient leurs rayons est abrogée.

3. Les Etapes fondamentaux d’études d’un projet routier :

1. Reconnaissance du terrain : A l’aide des cartes et des photos aériennes existantes. Les cartes (1/25000, 1/10000, 1/5 000) font apparaître la surface du terrain avec les détails planimétriques essentiels, et son relief est exprimé par des courbes de niveau. L’exploitation des cartes et photos aériennes permet une étude préalable du tracé de route. A ce stade exploratoire des profils en long sont dessinés en utilisant les courbes de niveau et en suivant plusieurs itinéraires. Les profils en long sont étudiés sommairement et comparés entre eux, on indique sur chacun des profils les points essentiels du terrain ayant de L’importance pour le choix du tracé (routes, canaux, rivières, ravins, voies ferrées, etc. rencontrés ou traversés). - Le dessein sommaire du projet avec l’indication des pentes et rampes principales, hauteurs Des principaux déblais. - L’indication des ouvrages nécessaires et leur importance.

2. Avant-projet sommaire (A.P.S) : Le profil en long provisoire établi sera vérifié et complété sur place. Le dessein schématique des ouvrages d’art, l’indication des points kilométriques à partir d’une origine accompagneront le profil en long.

3. Avant-projet détailler (A.P.D) : On procède au piquetage sur le terrain d’une ligne polygonale, dite base d’opération, suivant de très près les ponts de passage de la future route. On procède ensuite au lever à grande échelle (1/1 000 ou 1/500) d’une bande d’étude de Part et d’autre de la polygonale. La largeur de cette bande est variable avec le terrain, elle est en moyenne de 200 m. Suivant l’importance du projet le lever pourra être topographique (tachéométrie) où Photogrammétrique (photos aériennes, stéréo préparation au sol et restitution). Sur le nouveau fond de plan comprenant des courbes de niveau à équidistance de 1 m ou 0,50 m on relève graphiquement un nouveau profil en long comportant les mêmes Indications qu’au stage précédent, mais avec une précision plus grande. On reporte également à l’échelle tous les ouvrages prévus, et les hauteurs de déblai et de remblai. 4. Projet d’exécution : On procède à l’implantation des piquets sur le terrain de l’axe de la voie (sommets D’alignements droits) en prenant graphiquement sur le plan les éléments nécessaires, en

utilisant des repères naturels tel que des angles de constructions, bornes, etc. Le profil en long définitif est levé sur le terrain après le piquetage de l’axe. Les cotes de Nivellement et les distances indiquées sont donc exactes et ne résultent plus d’interpolation. Les profils en travers sont également levés. Les cotes du projet sont calculées au cm près à partir d’éléments exacts, et les profils peuvent être dessinés de façon précise. On mesure ensuite sur le terrain les angles formés par les alignements. Ces angles précis permettent D’étudier les courbes de raccordement des alignements, de fixer les points de tangence des courbes, leur rayon si elles sont circulaires et de calculer l’angle au centre. Ces données permettent de calculer ensuite les éléments nécessaires à leur tracé sur le terrain. Les paragraphes suivants traitent les divers procédés d’implantation des courbes circulaires.

4. L’étude des éléments d’étude d’un projet routier : 1. Tracé en Plan : Définition : Le tracé en plan est une succession des droites reliées par des liaisons. Il représente la projection de l’axe de la route sur un plan horizontal qui peut être une carte topographique ou un relief schématise par des courbes de niveau. Les caractéristiques des éléments constituant le tracé en plan doivent assurer les conditions de confort et de sécurité. La trace est caractérisée par une vitesse de base à partir de laquelle on pourra définir et déterminer toutes les caractéristiques géométriques de la voie. La trace en plan sera étudiée en fonction des données économiques qu’on peut recueillir.

Règles à respecter dans le tracé en plan : Il faut respecter ces normes dans la conception ou dans la réalisation. Dans ce qui suit, on va citer certaines exigences qui nous semblent pertinentes : -L’adaptation du tracé en plan au terrain naturel afin d’éviter les terrassements importants. -Eviter de passer sur des terrains agricoles et des zones forestières. -Eviter au maximum les propriétés privées. -Eviter le franchissement des oueds afin d’éviter le maximum d’ouvrages d’arts et cela pour des raisons économiques. -Eviter les sites qui sont sujets à des problèmes géologiques. -Essayer d’utiliser le maximum d’alignement. -Eviter les terrains très plastiques Les étapes de réalisation d’un tracé en plan /conception plane (logiciel piste) : Ajouter le levé dans le logiciel : Donc levé et fait par le GPS Trimble 5005, Mode cinématique pour faire les

observations et le calcul des coordonnées au même temps (2second).et en exporter notre job comme fichier texte.

Ensuite, en ouvrir le semis des points dans le logiciel piste, mais d’abord il faut que le fichier et dans un format acceptable, c’est-à-dire en l’enregistre sous selon tous les formats et en rajouter .XYZ dans le nom de fichier.

Et en obtiendra le format suivant. Dans le logiciel en ouvrir un nouveau fond plan et calculer le TPL. (Triangle point de base et ligne). À partir de cette option en calculer les pts de base les courbes de niveau etc.…

 Déterminer l’axe : Dans cette étape en crée un fichier Excel dont on va citer les commandes de logiciel piste. Cette méthode est très facile par rapport à les méthodes traditionnelles.

Ensuite en le lire dans le logiciel.

Dans l’état final en obtient la forme ci-dessus. Ensuite en crée les raccordements circulaires simples et progressifs (clothoïde). Raccordement progressive /clothoïde symétrique : La Clothoïde est une spirale, dont le rayon de courbure décroît d’une façon Continue dès l’origine où il est infini jusqu’au point asymptotique où il est nul. La courbure de la Clothoïde, est linéaire par rapport à la longueur de l’arc. Un clothoïde symétrique il est séparé de l’arc avec la même longueur L.

Eléments du clothoïde : L : Branche de clothoïde A : Angle au sommet principal A’ : Angle au 2ème sommet (sommet secondaire) O = centre du cercle R = rayon du cercle OR = origine de la clothoïde FR = extrémité de la clothoïde ΔR = mesure du décalage entre l’élément droit et l’arc de cercle Xm = abscisse du centre du cercle ϕ = angle des tangentes X = abscisse de FR Y = ordonnée de FR TK = tangente courte TL = tangente longue ω = angle polaire (angle de la corde avec la tangente) Avec : L = (V/3.6). (d + 2.5) /4 V : vitesse de base d = dévers 4 taux de variation en %

A = Variation des gisements des droites ou observé par un instrument Topographique. A’ = A + 2τ R = rayon choisi en fonction de la catégorie. ΔR = L2/24R Xm ≈ L/2 ϕ = [(100.d2) / (3.Π.R.L)]x X ≈ L/2

Y = L2/6R TK, TL (application loi de sinus) SL = corde = 2R. Sinus (ϕ/3) ω = ϕ/3



L’utilisation du clothoïde permet d’assurer : Confort optique : vue satisfaisante de la route et la sécurité de la conduite.



Confort dynamique : accélération transversale introduite progressivement.



Bon écoulement des eaux. ….

Alors dans notre projet on aessayé de faire deux clothoïde. (Voir annexe tableau d’axe en

plan) Raccordement circulaire simple : Permet de calculer l’Angle des tangentes, le Rayon du secteur circulaire, la longueur des Tangentes, le Développement (la longueur de l’arc) et la longueur de la Bissectrice.

Les ARTBD ;

A = angle au sommet R = rayon T = tangente B = bissectrice D = développement θ = angle au centre ……………………………… T = R/tan (A/2) B = R.[(1/sin(A/2) -1] D = ((200-A). Л. R) /200 Dans notre projet nous avons 4 raccordements circulaires simples. (Voir l’annexe tableau d’axe en plan).

Enfin, maintenant on peut réaliser l’axe en plan de notre projet. Afin de tapez dans la barre des commandes de piste. Commande : AXE AX P1 AUTO C'est-à-dire que l’axe et commencer par la premier point P1 et continuer automatiquement vers la fin.

Donc l’axe de notre route est bien formé et en placer dans leur endroit exact. Apres le traçage de l’axe de la route en commence au tracer du profil en long. 2. Profil en long : Définition : Le profil en long d’une route est une ligne continue obtenue par l’exécution d’une coupe longitudinale fictive, C’est la projection de l’axe de la route projetée sur un plan vertical, il indique la valeur des pentes et des rampes, ainsi que des rayons des sommets des côtes et des points bas. Donc il exprime la variation de l’altitude de l’axe de la voie en fonction de

L’abscisse curviligne. Le profil en long est toujours composé d’éléments de lignes droites raccordés par des cercles. Le but principal du profil en long est d’assurer pour le conducteur une continuité dans l’espace de la route. Règles à respecter dans le tracé du profil en long : Le calage de la ligne rouge doit se faire tout en respectant les points suivants : - Les normes et les caractéristiques géométriques en profil en long. - La sécurité de l’usager, c'est-à-dire bonnes caractéristiques géométriques. - Le coût du projet (selon les besoins budgétaires). - Rechercher un équilibre entre le volume des remblais et les volumes des déblais. - La nature du sol (Etude géotechnique). - Adapter le profil en long aux grandes lignes du paysage. Les éléments de profil en long : Le profil en long d’un projet routier est composé de ligne rouge, déclivités et des raccordements parabolique, comme il est schématisé ci-dessous :

Dans le Profil en Long d’un projet routier, on distingue deux types de raccordements : Raccordements convexes (angle saillant) : Les rayons minimums admissibles des raccordements paraboliques en angles saillants, sont déterminés à partir de la connaissance de la position de l’œil humain, des obstacles et des distances d’arrêt et de visibilité. Dans la catégorie REFT le rayon minimal absolu du raccordement convexe est : RMA=1000. Raccordements concaves (angle rentrant) :

Ces rayons ne posent pas de problèmes de sécurité majeurs mais leur dimensionnement est Essentiellement conditionné par des contraintes de confort dynamiques, les conditions de visibilité nocturnes et l'évacuation des eaux de ruissellement. Dans la catégorie REFT le rayon minimal normale du raccordement concave est : RMN=500.

Le raccordement parabolique est une Technique qui permet de lier les déclivités de la ligne rouge d’un profil en long par des rayons de courbure choisis en fonction de la catégorie adoptée. Les étapes de réalisation d’un profil en long /conception longitudinale (logiciel piste) :

 Calcul des cotes terrain :

Pour réaliser un profil en long il faut tout d’abord calculer les cotes de terrain. En crée les cotes terrain utilisent le semis TPL du fond plan, comme suite :

Donc en ouvrir dans le logiciel piste le fichier de fond plan. On utilise l’option calculer et puis terrain ensuite il s’affiche la fenêtre suivante :

On fait une interpolation pour déterminer les altitudes des points contient la chaussée. - On utilise le semis des points TPL. - On détermine la largeur de notre intervalle dans la gauche et la droite.

Voilà notre interpolation du terrain avec un fichier TPL était calculer Les cotes de terrain alors sont elles aussi calculer. Après l’en sauver par profil. Donc en obtiendra ensuite la fenêtre ci-dessous : la fenêtre ci-dessous :

Nous avons 69 profils, et ils sont tous définis.  Calcul des dévers : Les sont également créé selon la catégorie correspondue. Dans notre cas dont la catégorie étudiée est REFT ; route économique à faible trafic On a. Dévire en alignement droite est = 2% Dévers maximum est = 7% Et en peu les calculer en fonction des rayons de courbure de l’axe de projet, voire la figure suivante.

Dans le logiciel piste on les détermine come suite.

Tapez sur dévers, il s’affiche la fenêtre suivante :

Dans la table des dévers en citer les branches de clothoïde et les rayons qui correspondent à chaque dévers.

Lorsque on a saisi les rayons et les branches en peu maintenant calculer les devers.

En tant que les devers et les cotes terrain sont définis et bien calculer, en peu commencer la conception longitudinale.  Dressage du profil en long : Premièrement on convertir notre fichier piste vers un fichier dix pour le traiter sur Autocad. Donc en passe au logiciel piste faire des paramètres sur lesquelles on va transfère notre fichier vers Autocad.

Les traitements que nous avons faits sont :

Les traitements que nous avons faire sont : - crée une ligne rouge brut dont il ya justement des alignements droites (pente et rampe) sur laquelle on va se baser pour déterminer les rayons de notre raccordement parabolique - Essayer le plus possible d’équilibrer entre le déblai et le remblai. - Crée les rayons en angle rentrant et saillant, respectent les normes de catégorie. - Crée les raccordements paraboliques d’après ces rayons. Crée un fichier excelle et déplacer dans ce fichier les coordonnées des sommets des raccordements comme des points de notre ligne rouge, aussi avec les rayons des raccordements.

Après que le fichier excelle est fini maintenant en peu le convertir à un fichier texte pour le lire dans le logiciel piste.

C’est le profil du terrain

LIR

La commande LIR c'est-à-dire lire le fichier excelle.

Donc après que le fichier est fait lire le profil devra donc.

Donc on observe que notre projet et presque plat.

Notre profil en long est complètement fini, on a calculé les cotes terrain par l’interpolation, puis les divers et finalement nous avons dessiné notre ligne projet qui est la ligne rouge

Le tableau ci-dessus est un carnet sur lequel le logiciel est résume tous les caractéristique et les éléments du profil en long après on sauvegarder notre ligne rouge puis en le tabuler. (Le tableau complet dans l’annexe

Donc d’ici nous avons finir et compléter la conception longitudinale de notre projet. - On a déterminé l’axe de notre route. - réaliser le profil en long. Maintenant, fermez la fenêtre de la conception longitudinale et ouvrez la fenêtre de la Conception transversale pour passer aux étapes suivantes. 3. Profil type : Définition : Vu latéralement de la structure d’une chaussée sur lequel on indique les variantes couches et leur épaisseur. Ensemble de caractéristiques qui définissent fondamentalement un type de chaussée ; configuration de terrain, déblai ou remblai ou bien ensemble. Choix d’un profil en travers type : Dans le cas de ce projet on a choisi le profil type comme suite.

- Plateforme = 6m. - Chaussée = 4m. - Accotements = 2x1. Corps de chaussée = 20 GNF+ 20 GNB + RSB (revêtement supérieur Alors maintenant on va commencer de calcule de notre projet. Dans l’étape suivante on va essayer de créer notre profil en travers type sur lequel on va se baser pour réaliser les profiles en travers.

Créer une nouvelle p. type

Alors comme nous avons déjà faire le choix de notre profil type, notre plateforme sera donc :

Dans cette fenêtre en citer les paramètres et les dimensions de notre chaussée, et sachant que le logiciel piste est choisir un seul côté de la chaussée pour le dimensionner, par suivre il faire les mêmes paramètres à l’autre côté. Alors en passe à réaliser les talus dans le cas de déblais et de remblais et aussi lorsqu’ils ont mixtes.

Donc voila dans le cas d’un profil en travers en déblais. Dans le cas de remblais :

- Maintenant on passe à dimensionnera le corps de chaussée dans un coté.

Donc l’épaisseur de notre corps de chaussée est de 50cm en totale.

L’assise c'est-à-dire tous les couche de chaussé et ici on a deux couches principales sont couche de fondation et couche de base, et la couche de roulement.

La couche de forme ici veut dire, la couche de base et la couche de roulement. Coche de base : grave non traité type B (GNB) =20 cm. Couche de roulement : revêtement supérieur bitumineux (RSB)=10cm.

La couche de base ici s’agit de couche de roulement =10 cm.

Alors notre profil en travers type est fini :

Définition : C’est la projection de l’axe de la route projetée suivant un plan perpendiculaire, il indique la nature des matériaux, ainsi que les épaisseurs des couches formant le corps de chaussée. Permettent de calculer les paramètres suivants : La position des points théoriques d’entrée en terre des terrassements L’assiette du projet et son emprise sur le terrain naturel Les cubatures (volumes de déblais et de remblais).

Le profil en travers doit être tel qu'il puisse assurer à tout moment l'écoulement du Trafic actuel et prévisible dans de bonnes conditions de sécurité et de confort, et ainsi L’évacuation rapide des eaux de pluie. Il existe deux types de profil en travers qui sont : Profil en travers type : est une représentation graphique, contenant et détaillant d’une Manière précise tous les éléments constituant la route notamment les dimensions de la Route, ses dépendances la structure de chaussée, sa composante ainsi que les Épaisseurs. Profil en travers courant : s’applique au PK indiqué, il reprend et mentionne Toutes les données caractérisant la section transversale de la route au PK Considéré, notamment cote terrain naturel (TN), cote de projet. Devers de la Chaussée. Les éléments de profil en travers : Un projet routier comporte le dessin d’un grand nombre de profils en travers, pour éviter de rapporter sur chacun de leurs dimensions, on établit tout d’abord un profil unique appelé « Profil en travers type » contenant toutes les dimensions et tous les détails constructifs (largeurs de voie, pentes des surfaces et talus, dimensions des couches de la superstructure, système d’évacuation des eaux etc.…). Les types de profil en travers : Il existe trois types de profils en travers : les profils en remblai, en déblai ou bien les profils mixtes. Etape finale, calcule de projet : Pour calculer le projet et déterminera les profiles en travers en utilise le profil type. Alors on va construire les profiles en travers avec le profil type.

Appuyez sur calculer tous, pour calculer tous les 69 profiles

Profil en travers mixte

Donc tous les profils sont calculés, on a fini l’étude de tracé en plan, le profil en long et dernièrement les profiles en travers à partir d’un profil type. Maintenant, à partir de ces profils on va calculer le projet : Le volume de terrassement La cubature de chaussée La perspective ……

Tous les tableaux de calcule sont dans le cahier des annexes. 5.

Opérations topographiques : 1.

Moyens humains, matériels et logiciel utilisé :

Moyens humains : Pour effectuer les opérations topographiques dans ce projet on a besoin de quatre personnes : Chef de brigade : c’est le responsable de la tâche à effectuer, c’est lui qui choisirait les méthodes à employer, contrôler les observations, faire les calculs nécessaire … - Crouseur : dessiné des croquis de levé et des détails. L’opérateur : d’érige l’appareille sur les points à lever, et effectuer les lectures correspondances. Port mire : c’est lui qui mit en place sur les points à lever ou à implanter. Matériels et logiciel utilisé : Les matériels qu’on veut besoin pour réaliser ce tracé sont : - Appareille GPS ou une STATION TOTALE, pour les levés et l’implantation - LE NIVEAU DE CHANTIER : pour l’implantation des fonds de fouilles et pour le contrôle des altitudes.

Les accessoires : les jalons, les trépieds, les rubans, les piquets …. Les logiciels sur lesquelles on va se baser pour réaliser les tracés sont : Autocad et Covadis : pour le dessin, le traitement et le calcul des cubatures … Topons : pour le calcul des observations et des cheminements. Piste : ce logiciel est plus précis que Covadis, il permet de faire la même tache de Covadis.

2.

Implantation planimétrie :

Définition : c’est une opération topographique consiste à matérialiser sur le terrain la forme exacte des bâtiments, des axes d’une routes selon leurs représentations sur les plans. Il existe plusieurs méthodes pour implanter les points P1, P2, d’un raccordement. Et parmi ces méthodes on cite : Tracé par coordonnées polaires : Dans le repère (T, X, Y) les coordonnées polaires topographiques d’un point P de l’arc de cercle sont : P (D’http ; GTP). On calcule ensuite : D’http = c = 2.R.sin 𝛾 /2 GTP = GTS + 𝛾 /2= GTA + 200 + 𝛾 /2

Mode opératoire : Le théodolite est stationné au point T, le zéro du limbe est sur l’alignement ST. Un seul théodolite est nécessaire et une seule station, par exemple en T. Pour diminuer les portées, on peut aussi effectuer deux stations aux points T et T’et implanter chaque fois un demi-arc de cercle. Tracé avec deux instruments : ATT’ = TMT’ = 𝛼 Avec 𝛼 + MTT’ + 𝛽 = 200gr or dans le triangle TMT’

Nous avons 𝛼 + MTT’ + TT’M = 200gr D’où STM = TT’M = 𝛽

Mode opératoire : On procède donc de la manière suivante, les deux operateurs stationnent au théodolite les points de tangence T et T’. Il convient d’ouvrir ensemble le Même angle 𝛽 par exemple de 2 en 2 gr à partir de leur référence respective soit 200gr + 𝛽 pour l’opérateur dont la référence est TA, et 𝛽 pour l’opérateur dont la référence est T’T. Les points M, M’, M’’. Sont définis à chaque fois par l’intersection des deux visées. Ce procède est très rigoureux, rapide, ne nécessite aucun calcul, mais repose sur l’emploi simultané de deux opérateurs et de deux instruments ce qui est difficile à réaliser. Tracé par coordonnées rectangulaire : Si les points d’axes sont calculés en coordonnées ainsi que les repères du canevas de base (triangulation ou polygonation) il est facile de calculer les gisements et les distances de chacun des canevas aux points d’axes les plus proches (alignements droits et courbes).

Il est nécessaire de connaitre parfaitement le terrain pour choisir judicieusement les repères d’où on implante par rayonnement (coordonnées polaires), ou par double rayonnement (coordonnées bipolaires). DSP1= √Δ𝑋2 + Δ𝑌2 et 𝛼 = GSR – GSP1 On peut vérifier les implantations en mesurant les distances entre les points proches. Il est nécessaire d’établir pour chaque station une fiche avec les gisements et des distances entre le repère et chaque point d’axe ainsi qu’un croquis, et les distances de contrôle entre les points implantés.

1. Implantation altimétrique : Si l’implantation est l’ensemble des opérations que l’on effectue en utilisant les mesures horizontales, l’altimétrie ou nivellement regroupe l’ensemble des opérations effectuées par des mesures verticales. Implantation des pentes constantes : On utilise deux formules qui nous permettent de calculer l’altitude d'un point sur une pente.

Δ𝑍𝑀𝑁 = 𝑝 × 𝐷ℎ 𝑍𝑁 = 𝑍𝑀 + 𝑝 × 𝐷ℎ

Δ𝑍𝑀𝑁 = 𝐿𝑀 − 𝐿N 𝐿𝑁 = 𝐿𝑀 − Δ𝑍𝑀𝑁

3. Calcules des volumes de terrassement : 6. 7. après avoir tracé la ligne rouge sur le profil en long, on applique le ou les profils types choisis. Le volume des terrassements entre deux profils en travers consécutifs s’appelle «

Entre profils ». Il est délimité par les deux plans verticaux des profils en travers, la surface du terrain et la surface du projet. L’évaluation de chaque entre - profil constitue la cubature des terrassements. Il existe plusieurs méthodes pour calculer le volume des entre-profils dont les plus utilisées sont : - La méthode de la moyenne des aires (Méthode profils en travers) - La méthode du profil en long (méthode rapide)

Méthode de la moyenne des aires (méthode profil en travers) : Définition : C’est la méthode la plus généralement employée dans les travaux publics. Cette méthode consiste dans l’évaluation approximative du cube des terres compris entre deux profils, en faisant le produit de la moyenne des sections de chacun d’eux par la longueur de l’entre profil.

S + S1 V = L +

2

×

S1 + S2 2

S2 + S3 × L1 +

2

× L2

Pour un nombre quelconque de profils, le volume général sera égal au totale des produits de la surface de chacun des profils par le demi-sommeil des distances d’entre profil. C’est sous cette forme, qui apporte une simplification dans les calculs et dans la rédaction des tableaux de métré, qu’elle est généralement employée. Méthodologie : 1. On trace, à une échelle suffisante, les profils précisant d’une part le terrain naturel, qui est avant le terrassement, et d’autre part la ligne rouge (projet) à réaliser ou obtenues après L’exécution soit de remblai ou déblai. Les lignes du projet et du TN permettent de calculer la Surface des terrassements « au profil », en utilisant systématiquement le profil en travers type. 2. Le profil en travers type donne : -la largeur de la plate-forme. - La pente transversale du fond de forme. -les fossés à réaliser en pied de la plate-forme - La pente de chacun des talus… 3. Le profil type appliqué à chaque profil en travers permet ainsi de déterminer : -les largeurs concernées par les travaux de terrassement : décapage de la terre végétale, déblais, remblais. -les hauteurs de déblais ou de remblai entre les niveaux du terrain naturel et du projet. -les surfaces correspondantes.

4. Les valeurs ci-dessus déterminées sont reportées dans un tableau (voir plus loin) où figurent également la distance entre profils en travers consécutifs et celle à appliquer pour le profil considéré : moyenne de la somme des distances aux profils adjacents. On calcule, pour le profil considéré et sur sa distance d’application, la surface de terre Végétale, ainsi que les volumes de déblais et de remblais. L’addition des résultats de chacun des profils en travers donne les quantités totales du projet. Cette méthode est assez approximative mais les opérations qu’elle implique sont faciles à Comprendre et à vérifier.

Méthode rapide des cubatures (Méthode de profil en long) : Ce procédé, plus rapide, mais moins précis, utilise pour un profil en travers, une « surface équivalente » délimitée par une droite compensatrice tracée à la distance verticale h de la ligne de projet : h est donc lue directement sur le profil en long. Avec pour le rapport Ltd /h par exemple un talus de (3/2) définissant la partie du talus. - La valeur q dans le cas d’un remblai ; - La valeur q’ dans le cas d’un déblai ; - La représente la petite base du trapèze de déblai ou de remblai.