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French Pages 944 [1008] Year 1873
DICTIONNAIRE
DE LA
6
PARIS.-TYPOGRAPHIE Rue de ïleurus, 9
LAHURË
PRÉFACE.
Il y a cent de Furetière « Le (c
soixante-dix
est
services
grands
était
(Furetière public
ans
assez
l'auteur
que
mort
avant
convaincu
ni plus
de la préface
anonyme
la publication
qu'il
a point
n'y
ni à plus
promptement
de son
:
rendent
qui les
que
Dictionnaire
disait
livre)
de livres
de gens
du
de plus
dictionnaires
; et,
« si on a pu s'apercevoir de cette favorable du public jamais disposition par les « ou par la multiplicité de cette sorte c'est fréquentes réimpressions d'ouvrages, « surtout en ces dernières car à peine pourroit-on tous les dictionannées; compter « naires ou réimprimés ou composés ou vingt ans. Rien donc ne depuis quinze « être plus superflu ici la preuve si souvent donnée pourrait que d'entreprendre par « d'autres » de l'utilité de cette sorte de compilations. Rien
n'a
changé
et le public
refaire,
une
compositions et que
l'on
a continué
est
la langue
de
donc
même
française,
lorsqu'il,
le plan
vient
lorsque
cadre
et
matériaux le
à l'esprit,
dans
amassés, d'une
passage
advienne niveau
les
de
celle-ci,
donc
l'heure lignes alors
ainsi
d'exécution régulières
plan
a pu seul m'engager —I. PICT.DPLALANGUE FRANÇAISE.
qu'il
qui dans
travail,
à
a changé ce
travail
été
aux
une
lorsqu'il
faut
masse
décisive.
Rien
oeuvre
le point qui
de a là
vue son
lecteurs
originalité
il
quand
et nouveauté
;
dans
le des
informe laborieux
Mais,
habituel
par
; car
plan,
et
de plus
effective.
longue
habituelles
ranger
brute
de
entraîné
Un ordre
imagine
bien
études
avais
de
élaboration
et
lumière,
la
présente,
l'épreuve
abstraite
oeuvre
de ce dictionnaire.
de
à se
dictionnaire
d'une
d'exposer
il est tout
qu'il
un
de mes
si je n'y
importe
parler,
et
commence
détourner
entreprise,
ce plan
une
toujours
à me
et le captive,
conception un
décidé pareille
si je puis
le séduit
est
l'on
que
le caractère
moins
et
à ce genre
Ajouter
comme
Pourtant, le
porte
user.
à se faire
amélioration
quelque
compilation,
à une
C'est
la cause,
toute
il apparaît puis,
je conçus.
que
renferme
années
vingt
pour
continué
et d'en
ordinaire.
pas
ont
accueillir
plus
chose
et le plus celui d'une originale et bien lourde, je ne me serais et à consacrer
dictionnaires
de les
composition
exécute,
les
lors;
depuis
quoi et
que qu'il
haussé principale, »
le
PRÉFACE.
ii Avant
tout,
la Préface,
je
La conception langue
d'oïl.
ancien,
j'aperçus
Le passé douteux
l'abri
depuis
ticularité
les
finesses,
les
élégances,
par
siècle
innove
soit
significations, On
conçoit Sans
langue.
il est
on
impossible, y demeure
d'autres
viennent; idiomes
choses âge,
moins celui esprit chants
de son
sollicite, Les
belles
de coin,
effet font
pas
entend,
de la poésie antiques,
cela être
qui
fut
répété aux
Vaurore primitive ce n'est
des mots
n'est
pas
et même
avenir.
Il n'est
pas
analogues Le style
du dix-
cela
été à
fait sentir,
qu'à
bien
mais
avec
cette
par-
nous
comprenons
pas pour
siècle,
frappé, dans
que
antique.
voisin
plus
de
il se place
quand les
les
le dix-neuvième
précédent;
soit
plus
à
naît
fur
soit
mots,
et
l'état des
et
ou
langue
parvenue
au
dans
les
d'une
foule
de
trouvé sans doigts rencontra qu'une
tournures par s'user de
rose et que
banalité.
fut
une
la Grèce Il faut
donc,
celui
par
qui
mais, une
la
par
à des d'âge
en
été
esà
juste
ou
du
redit
et
le riant
que
gracieuse
accueillit;
tan-
marquées
promptement,
fatiguer
image
encore
pas
locutions
s'use et
rapidement
mots
génération
les
devanciers
mêlent
satisfaire
pour
vont,
part,
certains
n'aient
qui
quel-
s'en
D'autre
à aucune
élégantes,
nos
point
se mêlant,
mots
à des combinaisons les
de
de nouveaux défaut
significations,
à un
termes.
à. la désuétude
ne fait
qui
de la négligence
des vraies
les peuples,
d'une
la durée
des institutions
change;
découvertes;
gagnant
de
formes
social
arrivant
à mesure
qui proviennent
qu'une
création
l'esprit
expressions,
tout
ne peut qui
En
esthétique,
côté,
l'âge
néologisme
convenir,
choses,
le sens
n'a
dont
ne soit
qui
au français
s'expliquent
à l'autre.
dix-huitième
des vraies
se modifie,
certaines
nouvelles,
sayées. fleur
et s'y fixe.
même
son
tellement
et des corruptions
: de là l'inévitable
de
désuétude
en
les sciences
le fond
que
doit
vers
ou
tournures.
de la méconnaissance
conque
leurs
du
des altérations
parler
la
française
la doctrine
étrangère,
sur
personne
ne
base
classiques,
du
style
le néologisme
pourquoi
et
hommes
des
les
dans
leur
étrangère
a innové
de l'invasion
du dix-septième,
toute
moderne
que
siècle
langue
langue
Le
et il n'est
tour,
l'usage
progressivement,
s'y est déjà
une
la forme,
sur
d'un
nos
par
à une
charme,
sembla
l'esprit
la langue
temps
beautés.
et par
à son
combine présent
où la forme
et surviendront
appartenir
sans
pas
dans
expliqué
langue
du jour
ne reposent
consacré du
la vieille
le français
me
qu'il
s'ils
modifié
a été
sur
d'exemples
immédiatement
ont
semble
le temps
nous
assis
et la main
n'est
qui
tant
surviennent
qui
il nous
égards
et
à l'usage
et les locutions
précédé,
conduit
l'origine,
des mutations,
sein
mal
restent
celui
siècle,
septième
des
ont
qui
de la langue
qui,
les sens
d'autrefois,
que des changements
à ceux
dis
de cas où
les formes
de la langue
l'usage
être
embrasse
de donner
par mes études suggérée si frappé des liens qui unissent
tant
va
qui
qu'il
afin
passé,
ce
fut
m'en
sans
mère
comporte.
et les locutions
intelligible
idée
ce dictionnaire,
usage
qu'il
Je fus
les sens
par
et son
et la sûreté
plénitude
à une
définissant
dirai,
de la langue
présent;
ramener
et pour
hors
de ces
nécessité,
PRÉFACE. et les prosateurs
les poètes
que
aimés
que , sont combinaisons
d'une
langue domination
On
a beau
est
pas
perpétuée siècle Le
reculés
de notre
peser
influence
réelle
et
considérable
damné
des
chaïsme
, dont
tionnaire
est
plètement Pour
auraient
langue
peut
Cette par
changements nos
aucun
on
yeux,
a con-
souci
de
des
est
interprété,
qui
On
épargné
ne
pas
et,
et heureux.
pourtant
plus
si court.
sous
sans
sainement
de la
ne
les
dire,
hasard
les
instinctive,
judicieux
au
élagué
chaque
âges
est
est
passé, que
le cas
passé
près
ainsi
pour
langue.
héréditaire.
aux
son
a
il n'en
du
de ce trésor
purement
toujours
L'archaïsme,
est
bien
ce
fautives.
C'est
vement
intestin
nitive.
Mais,
une
l'ar-
erreurs sanction
au
Ainsi
toute et
à un
ce
ce
doit
surnager
et
développement
de
autrefois
le propre usage
fait
essaye
surtout
est
les
cet
oeuvre
formes
sont
ou
que
un
qu'un
dic-
usage
aussi
com-
les
disent
et ne
fixité
et
spontané
pré-
s'écrivent
d'autorité
là qu'apparaît
la
triage,
et difficile.
habitudes
dépourvues
c'est
C'est
écrit,
délicate
et
se
qui
instinctif
et
vivante,
qui
qui
et
mouvement la critique
est
commence;
langue
que
qui
constater
locutions
mais
à propos
grand
lui-même
des
le néologisme une
de
langue
contemporain a été
où
milieu
et prévoyant
bien
travaille
qui
considère
s'écrivent,
qui
de
dictionnaire.
et l'on
parle
constatation
on
d'un
objet
l'on
importe
cette
vue
promptement
là le fond
il est
anciennes,
de
point
locutions
It
mais
possible;
et principal
aujourd'hui
chacun*
par
aperçoit des
le premier
comment
consulté
qu'à
on
sentes,
qui
été
mots,
est
apprendre
qu'il
peu
usage
et,
une
Ce
et c'est
de
nécessaire
présent,
l'histoire.
en comparaison
examinant
siècle
le
appartient
rester
dignes
l'archaïsme
provient
ans,
les
dégager
dans
langue,
des
l'art,
aussi
est
la réalité,
voudra
cents
pas
et le respect
dommages.
ne peut
à côté
qui
En
aient
des
rejeté
contemporain
pour
peuple
fortuite.
qu'ils
rien
présentement
de
anti-
dire.
dans
de chose
sept
et eomme
L'un
de
une
du langage
garantie.
en effet
bon,
faut
peu
doit
de
domaine
présent,
ne
connaissance
des
L'usage
pas;
s'en
la
son
et
et des formes
du
moins
pensée
que,
dont
Quand
le dix-septième
depuis
formes,
prévenu
sur
et
capricieuse
qu'il
au
depuis
la
l'archaïsme.
mots
parlons
nationale.
poids
opérés
et une
nous
grand
remarque
et
est
servir
demeurent
qui
qu'on
des
de néologisme que
dans
me
de
de sentir
étroitement
partie
écrite
et
tour,
profonde,
fait
d'un
conséquent, se sont
que
et
existence
a été
monde
est
la masse
tradition
langage
le
pour
on remarquera
aussi que
en fait
du
française, pas
la
produit
fonds
étendue
certain
par
tendance
D'abord
se renfermer
moins
qui,
et de sa manière
l'autre. aussi
à leur
fleur
de cette
que
une
leur
Ceux, dans
jettent,
époque
Le contre-poids
à une
cieux,
ont
qui
échantillons 1
des
innovent.
m
n'en
ou
le mou-
est jamais hors
des
défilimites
ce qui
distinguant
est
durer. toute
langue
civilisation
de chaque contemporain,
, présente successive
période et
à un
appartenant
qui
contient
trois
termes
; un
grand : un
archaïsme
l'explication
et
PRÉFACE.
iv. là def
des
altère,
bien
l'on
consultera
nous,
l'usage
s'est
écoulé
depuis
durée. uns
font
le plan
d'entrer
quer
les
si Ton
de
les
ce
veut,
Cela
forme
et les
plus
à leurs
l'objet
et je n'ai
main,
le premier les
n'est
l'enregistrement
faire
qui
d'une
façon
systématique sont entrés
où je suis
entré
française.
M. Dochez, à un
recueilli
un
mais
c'est
suite
les
exemples
uns
des
blent
point
par
autres,
l'Académie
comprenant
seulement
point
inscrit
autre
manLeur
sûr
auto-
de celui
car
qui
il faudrait
use
les distribue ni pour
française,
je dirai,
que
l'illustre
les premiers
mots
le plan
les les
en parlant suit
qu'elle
compagnie de la lettre
livre,
n'a
ait
tenté
la
faisons
exemples
de ces deux
A. Ces tentatives
à la
classiques quant
la grammaire,
publié
moi,
classique;
du dictionnaire
encore
voie
souvent
significations;
et le mien
de
l'Académie
comme
a,
à la
et je suis
à l'âge
nous
que
ni pour
l'étymologie,
mien,
de la satisfaction
: il met suivant
du
lu la plume
qui
antérieurs
L'usage
vieille
en de telles
travaille
auquel
de son
et d'exemples
la
de la langue. le mien dans
avec
la publication
différent
même
ce travail,
dans
simultanément
de
différent
tout
à l'étude
prématurée
à fait
mots
et surtout
générale
concourions.
je
avoir
matériaux,
ou,
à leur
significations,
tout
pas le premier
être,
de la usages où le partout passé
Mais,
mort
vu
doit
les
travail,
aTérudition.
et
une
Semblablement,
D'ailleurs
Dans
des
le passé,
et celui
pas
tout
très-étendu
et n'ai
les
classiques
moi
lequel
les emplois,
dictionnaire
de M; Dochez par
nous
il n'en
des sens.
aucunement.
où est
antérieurs,
la classification préparé
d'exemples
d'exemples
catégories
n'a
labeur,
long choix
le seul
privé
un
à leurs
d'un
rapproché
: le Dictionnaire qui,
dans
ne peuvent
le plus
les
même
néologisme.
constate
de
et du
très-importante.
mots,
n'être
et
seulement
ans dont
ensemble au
aux
complet^;
réuni
ouvrais
refusée
pas
il faudrait
lu;
renommée
place
embrasse
vivement;
en ait
servir
Deux
tout
pas
cents
genre,
les autres
une
guidé,
quant
tombés en désuétude; c'est langue et qu'il de recommander importe limites,
deux
le temps c'est-à-dire
jours;
tout
vaste
ouvrages,
le présent,
le présent
arrêté
suis
de
et
enregistrement
limites
me
de
et est l'appui
m'a
qui
à ces
Je
emploi.
nos
récents
uns
d'occuper
un
avec
sur
les
de l'ar-
jour
à la critique.
est
qui,
lumière
quelque
de la même
significations,
dictionnaire
enregistrement
plus
jouir
et
de voir
manière
aujourd'hui
sans
empruntés
la lexicographie la
jusqu'à
un
un
enferme
étendu,
classique
dictionnaire,
compte
agrandit
selon
langue,
d'un
d'exemples
associer
Ainsi,
fait
ligne
locutions,
prétend
jette
en
à l'aide
présence, rise
suis
sens
d'écrivains
à l'archaïsme
sera
conduit,
langage.
foule
consultés.
d'être
un
du
mal
qui,
aussi,
une
par
les autres,
touchent
je me
que
rempli
pourtant
anciens
plus
est
il compte
lui
qui,
dans
pris
néologisme
et phase
de la période
l'origine
et dont
autorité
méritent
crédit,
contemporain,
intervalle
Cet
et
histoire
comme
à Malherbe,
commençant
que,
un
finalement,
la langue,
développe
Chez qui
; et,
subséquentes
conduit,
et que
chaïsme
les
choses
aux
ni pour historique
ne se ressemqu'un montrent
fascicule qu'un
PREFACE. dictionnaire en
fonde
qui le public,
plus Un
travail
ainsi
le malheur
de plus
Mon
des
rigoureuse
aux acceptions
détournées
ces éléments,
on
usant
de la part
ments
et
les
intervient
reconnaît
qu'ils
d'histoire
inhérente
donnent
avec
des deux
ont
grande
nonobstant Elle
est
une
esprits.
précédé,
l'étymologie
le passage
considère
choix
et par
là
et la
primitive
et la connexion
d'un
montre
langue,
mots
de l'acception
l'idée
em-
d'exemples des
l'ensemble
précisément
présent,
célèbres
Cette
frères.
un
à toute
plus
travaux,
succès,
fondamentaux
d'après Si l'on
l'usage
L'érudition est
seront est
vraiment
de
dictionnaire sont
quels de
permet
lui
d'avoir
en
et
il la
raison
en
historique
est le
au
de la langue.
service
le
qui,
les fondede
juger,
le
il remplit, expériences
Il
des
mots,
faits ni
à cette
disposition
sciences
grammaticale,
lumières.
la science
conduit
faut
effet
et dire
que
Puis
régulièrement.
sans
intervient
grammaticale,
s'efforçant
de
tirer
implicitement
renfermées.
De
la sorte
particuliers,
ce qui
est le tout
de
des
qu'elle
emploie
de
on
lesquels le
rôle
ces
faits
la
raison
la méthode
de
la
toutes générale scientifique.
telle Un
ne
peut
critique les
diction-
et les
positives l'analyse,
sciences sont
j'allais trouve
naturelles les
dans
ni
sûreet
lexicographique
se combine
les
équivalents
procéder
informations
que
les faits,
consigne
subordonnant,
s'y
sa
arriver
pour
et abstraite
donnés,
le langage
les matériaux
équivalents
ainsi en
et,
transporter
que
il
il
dictionnaire
qu'un
Comme
car
a justement
les observations
Ces. faits
où
côtés,
à l'arbitraire.
abusive.
subordonne,
s'y
de tous
ainsi
générale
facilement
d'histo-
circonscriptions,
l'érudition
par
est
restreinte.
trop
contraire,
C'est
remplissent
naturelles.
en
expérimentaux,
que
au
complet,
passe
de
arrivent
de la raison
raison,
le rôle
soit
où
Il n'en
apporte
ordinairement
le reste.
et ne
tirées
idée
de temps,
L'usage
à l'érudition.
et ce qu'elle
les démentis
à tout
règles
court
aux
quant
la raison
des
à la langue,
quant
tel usage,
dictionnaire
qu'un
destinée
l'instrument;
soit
de l'usage,
cette
coupe
étroit
sa raison.
flambeau
oeuvre
de l'usage,
communique
conçoit
chaque époque naire historique
un
soi
à la langue
Imposer
l'idée
le confinera
soi,
mais
l'objet,
à penser
disposées une
le coin
pas
on
manque
non
à compléter
employé
n'est
peut-être
principalement
est ici,
d'ordinaire
ment
de
personnes l'histoire
L'usage
des
significations
leurs
de sa langue.
un
les
Deux
toujours
se poursuit
l'ont
qui
et figurées.
conditions
Certaines
vraies
éléments
temps
en Allemagne.
presque
occupe
de
de l'assurer.
rectifier,
dire
a pour
et aux
même
enlever
intéresse
à faire.
historique
et de lui qui
la langue
restait
années,
quelques
de
conçu
ce moment
d'histoire
à moi
classique
ainsi
dictionnaire
de la frapper
de ce désir
à l'âge
rique
depuis
l'histoire
en cela comme
un
pays
sur
en
associant
à leur
dictionnaire
classification
rien.
se fait
Grimm,
vient
qui
pruntés
travail
commencée
publication,
preuve
qu'un
conçu
de donner
entrepris
présent
mais
les frères
érudits,
l'usage
y
qui avec
y
sont
les
faits
vi
PPtEFAGE. Un
dictionnaire
ainsi
fondé
être
peut
défini
et d'expériences éclairer disposé pour l'usage V Telle est l'idée et le but de ce dictionnaire. des
gement si l'on
différentes
veut
d'une
mette
qu'il tous
si le verbe
huitième
ter,
faire
et
zième
siècle
vant
inclusivement,
l'ordre
quelques
cherche.
La
disposition
de
aux
sens
auteurs
du
suivant
Il ne
sur
l'orthoà évi-
c'est-à-dire
langue
la sei-
jusqu'au
mais
inutile
pas
dix-
les fautes
les sens,
sera
verbe,
dix-septième,
sur
de la
à
et appuyés,
l'historique,
anciens
part
commune
a lien,
il-y
cas;
rangés
d'autre
classés
des
quand
l'étymologie.
ces
divers
grammaticale,
plus
et
la conjugaison
et les
les plus
l'arran-
indifférent,
point
l'ordre,
en certains
non
enfin
n'est par
la construction
exemples
chronologique; détails sur chacune
qu'il
les temps
positives
comment
la clarté
remarques,
des synonymes depuis
maintenant
arrangement
empruntés des
sur
exemples
Cet
la définition
siècles;
d'observations
la prononciation;
d'exemples
discussion
des
ce
: le mot;
la signification,
la
collection
se peut,
Voici
trouve
sur
irrégularité;
dix-neuvième
sur
etc.;
main
est la suivante
a quelque
que
graphe,
la
recueil
et la grammaire.
conçu.
le lecteur
que
retard
les articles
autant
part
sans
a été
parties
un
rangés
sui-
d'entrer
en
subdivisions.
I. NOMENCLATURE DES MOTS.
C'est
en
qu'une
De tous
qu'elles Des si tel
tombent doit
effet, tout
ceux
l'on
croyait
entame
avec
sûreté.
peut-être
ce
terme
dans de
Il
est le plus suffit
de
enterrés
depuis
tendance
d'inscrire réellement.
plus Ce
a toujours
m'y
au
Il n'en
détruisent,
soit
qu'elles
il est difficile
cas,
et ne
rangé
de
est pas
moins
d'abord
terrain
la part qu'il cette
qui
archaïsmes
et,
ou gaulois. de nous,
qu'une
profession,
vivants vrai
d'actif ne
des que ne
qu'on
de
portion
de
province, tout
même
l'oreille
chacun
que
les
parmi
gothique
encore
du présent
les
jamais
de dire
comprend de
parmi
le langage
d'augmenter
c'est
varier.
dédaigneux
y a là un
compte
a décidé,
soit
et qu'on
cercle,
rencontrer
été
avec
se_ représenter
de
et qu'il
limiter
vivante,
ne possède
vite
de
le rejette
parmi
étendue,
longtemps.
de mots
et
bien
impossible
d'un
plus
jugement
il faut
pour
la langue
qui
ce
reconnaît
et le font
abandonné
pèress
changer
livre,
journellement Ma
de
qui,
la langue
inaccoutumé
précipité,
est
qu'il
l'on
que
traditionnel
rayé
de nos
mots
actions
mais,
être
dédain
seulement
tude
c'est-à-dire
un
la lecture
effective.
quelquefois
le langage
méprisante de
dont
langue
des
aperçoit
est entièrement l'usage il faut bien se. de garder
d'abord
des
flottant
dont
se guérir
même
on
définitivement
l'expression
Pour
côtés
en désuétude;
repousse
que
les
domaine
mots
En
suivant
est un
entament
vieillis
plus.
le catalogue
construisent,
mot
termes
la
vivante
langue
précision.
de dresser
essayant
termes
la désuépeut
fixer
de l'archaïsme, lui
incertitude
en appartient qui
existe
PRÉFACE. en
circonstances
certaines
vivant?
second
En
revienne
les
que
Enfin soit
même
n'ait
rentrera
autre
non
il ne faut
son
des mots
perd
en
Quand à l'aide
1696
dictionnaires
.langue
usuelle.
Ce
dans
ses éditions
et peut
ajouter
tains
mots
soit,
ce corps
n'est
aucun
vieux
plus
mot
si un
a
notablement
fois utile est
certaines
par
tous
les mots
Ces additions
sont
La
est
première on
quand tarde
les
lit
sont
à mon
mais,
usage;
devenus
trouver purement besoin, dommage
fournie
ces
part
quelque usuelle et cette de
niots
l'explication.
inscription perdre
quelque et faveur, qu'en
sans
qui
rai-
être
de 1835.,
un
scrupule
des
aux
auteurs
ces
traces
de
leur
un
terme
qtii
un
signe
par-
les
qui
pas
on
être
aux
ne
de bon
encore admis.
Ceux
qui
on puisse
en
de la langue
les limites
eux-mêmes,
pensée
effet,
le Dictionnaire
rencontrés,
dépasse
explication
dans
autres-sont
doivent que,
En
classiques. lexicographique,
ne sont
pour
classiques
notion
sources.
auteurs
intention qui
quelque-
cette
par
de
de l'Académie.
de diverses
une
comme
est
comme
de noter
; il
curieux
d'employer
eu soin
en
qu'il
Mais,
et qu'il
enfin
cer-
dictionnaire
toujours
et les autres
cette
Quoi
il est
écrit,
On
a conservé
comme
dictionnaire doit
elle
mon
l'Académie,
reproduit abandonnés
a rejetés. dans
de la
bourgeoisie.
rang.
j'ai
inscrits,
de
à son
archaïques,
les uns
être, avait
droit
constitua,
le corps
devait
l'usage
qu'elle
ou qu'on
sont
elle
se trouve
de mots
Un
que leur
de
et dans
les uns
veulent
cela
le dépouillement
de vue,
point
comme
au Dictionnaire
nombre
et contemporaine
laisser
ne
littéraire,
à la main
gaspille
recherches,
et proviennent
par
à le noter,
en cela
lexicographe,
conservé
se font
étrangers
certain
archaïques
d'autres
qui
considérables
un
De
de l'Académie.
sont
qui
la plume
pas à recueillir
que
qui
de ce corps
fois
plus
propres
augmentée,
personnes
de
date
qui
on parle
quand
la consécration
pas
ticulier
informé
de ces dames.
emploi
Pas se
puant
complète
trouvera
langue
l'usage
à la nomenclature
appartient
être
d'en
exigée
n'ait
mot
à
édition,
l'Académie
par
qu'il
sorti.
les mots
rigoureusement
donné été
l'a,
tomber
inusités
a été
ses
elle
dernière
et plus
de langue
la nomenclature savoir
la
dans
que,
de
et
devaient
qui
à tort
le rôle
prit
de la langue,
autres
certains
adoptant
française
laissant
sollicitude,
aloi.
et de bon
ultérieures,
un
par
trouvent
d'une
plus
il
et une
ou
de rappeler
soit
peut-être
il est
d'où
préexistants
corps
engagé
n'en de
les préventions
plus
est-il
de ce genre
l'usage
savantes,
moderne,
langue
ses richesses,
faits
n'a
m'ont
que
commun
l'Académie
des
la
espérance
gaspiller
bien
mot
dans
sans
le trésor
du
les Femmes
nul
lequel
et la valeur
mis,
dans
chose
et contre
d'équivalent
dans
par
ici que
mort?
effectivement
exemple
condamnés
besoin
: est-il
vieilli
d'un,
plus
il n'est
mot
terme
qu'un
mots
Bélise,
d'un
civil
rencontrera
en grâce;
plus
et je l'ai
possibilité
et
son ancienneté^
qu'il
la
on
état
plusieurs
rentrés
Philaminte
la qualité
série; et
sont
puristes
étrangement
véritable
le dictionnaire;
excessif
purisme
le
à la jeunesse;
dans
résurrection
c'est
lieu,
moins
pas
sur
vu
en
ont
lecteurs
qui
à qui
ce serait
faire
Quant
aux
et de leur
style.
PRÉFACE.
vin termes
de
peine
rentrer
Une
du
siècle, sans
autre
fait
interdit
de
parce
que
les termes
ainsi
a
; mais
de ce côté
beaucoup
autre
servés
là,
et
fixe
amas
nomenclature
du seizième
possible
de débris, dans
d'y
puiser
est
tout
il n'est
la
à pas
circulation,
ni l'analogie,
de toutes
parts
sur
ou
de vieux
d'une
fois
et qu'ils
se
termes
de
métiers
est
la
toujours
la langue
là l'étymologie des
car
d'elle-même.
besoin
chaque
le champ
la botanique
se présente
toutes
changeants
de l'ajouter, les
jour
est immense
et la zoologie,
mille,
et,
pour
qui
d'im plus
nom
d'une
la
et exigent
livres;
de
fonds
se renconla
nécessité,
qui
est
déjà
dans
que
et tirée
des
entrailles
mêmes
grecque,
une
artificielle
est difficile,
sans
spécifique.
Enfin,
c'est
limite.
Pour
ne
s'ampliciter
de bien
cet amas
de principes
scien-
extension et
au nombre dans
de donner
et une
se modifient
de
et systé-
La langue
rénovation
positives
dépendent
aussi
là
la
que
compliquées.
dire,
elle
science
tandis
souvent dans
La
emploie
chacune,
fois
aussi
du côté
les jours
qu'elle
dans
y sont,
Ici
effet,
Ce qui
ainsi
et con-
scienlangue la des langue
toute
est
ailleurs
et progressive
nature.
les
En
connaissances
les espèces
pourvues et
de choses
de
temps
locutions.
archaïque,
est presque
termes
en ajoute en
temps
tous
le d'augmenter il faut remarquer
des métiers.
souvent
claires
est mobile
dans
scientifique
explications
il est à peine
perpétuelles;
et
ces
explicatifs.
les termes
et
tout
de celle
populaire,
partout
même
et dès lors
Avant
l'Académie.
qui,
se créent
de
conversation
essentiellement
idiome,
est
de
métiers
de
et de nouvelles
la société,
des
s'est
à la société,
nombre
perdus
leurs
dirigé
davantage
grand
étendre
ce complément
Depuis,
y rencontre
elle
fallait
effectivement
rapprochements
passé,
de
qu'il
la langue
procédés
termes
pensé
ont
d'un
sens,
de les enregistrer
de
diffère
du
nombre
s'incorporant
des
scientifiques
dans
ont
notable.
qu'on
de nouveaux
termes
certain
est le premier,
du côté
que
des
fréquemment un lexicographe,
de cent
sans
permet
ce qui
remises
et Richelet
: c'est
prix
plus
un
lexicographes
qui
mots
question
Puis
les auteurs
ni l'oreille
la connaissance
de nouveaux
tifique
souvent
sans
de l'avenir:
pour le Dictionnaire
fient.
être
l'industrie,
que
monde
pas
n'est
concurremment
tifique,
peuvent
complément
d'intérêt
fournissent
présent
un
plus
le
de vieux
nomenclature
brièvement
ce riche
Furetière
d'autant
n'est
formes,
matique;
par
commandée;
dans
Dictionnaire les
et fourni
à tout
qui
vieilles
notre
est
ne choquent
longtemps
A ce genre
particuliers.
trent
qui
son
nomenclature.
agrandi, utile
influe
épaves
dans
depuis
recherches
La
à une
s'il était
antérieurs,,
Cependant,
restitués
donné
cette
du
sens
d'eux-mêmes.
davantage
un
leur
droit
fournie
discrétion
grande
abandonné. quelques
serait
les auteurs
par
la plus
ici
choisir
L'Académie
a rendu
ou
de plein
très-abondante
et même
être
comprennent
métiers
de mots
Mais
doit
forme
complète.
quinzième,
mort
ils appartiennent
l'usage,
source
réserve.
leur
ou auxquels
abolis,
pas
dans
d'être
essaye
qui
n'a
l'usage
que
que plus»
de termes
et de systèmes
PREFACE. il y a bien
différents,
de mots
en peu En
que.
tant
des
chance
il m'a
mais
en deçà
aux dictionnaires Telles
un
semblé
qu'il
et
d'être
les idées
au delà
ont
qui
tenir
fallait
un
choix,
besoin
mesure,
et pour donner
comprendre
de dictionnaire
de quelque
tout
faire
peut
lieu
faire
ici peuvent
techniles termes
prendre
à un
homme
le reste
et. tout
cultivé,
s'en
faire
remettre
comprendre.
de ce dictionnaire.
la nomenclature
réglé
ne
général
moins
de cette
qui seuls
spéciaux,
sont
dictionnaire encore
de se rencontrer
non
demeurer
où
de dépendances,
conséquence
qui. ont
cas
1X
IL CLASSIFICATION DES SIGNIFICATIONS DES MOTS.
Au beaucoup de
de
point
vue
or,
d'acceptions; les
acceptions
dans
l'emploi
ranger
gendrent,
les
éloignées
dans
un
mot
tel
ou
tel
en d'un
des autres.
unes
on peut
lexicographique,
nommer
il ne
compliqué, ordre.
mot,
des
Cette
filiation
mot
Ce
n'est
doit
pas au
point
distinctes
significations
être
a
qui
indifférent
hasard
s'en-
que
et quelquefois
et partant
est naturelle
celui
compliqué
trèsà des
assujettie
la descendance. En effet un tant dans l'origine que dans régulières, de considérer d'ailleurs ne permet mot que rien dans sa création inconnue, primitive, de formation l'est encore moins dans des langues chose de fortuit, comme quelque le français; il est donné romanes telles que les langues secondaire et, en particulier, ou tout fait avec un sens primordial par le celtique par le latin, par le germanique, des sens qui C'est là que gît la matière source dont il émane. première par toute autre de nos le faire comprendre, ceux il suffit de le noter ; car, pour s'y produiront n'ont aïeux qui en ont fait usage les premiers, que de l'acception qui leur pu partir le fait et la les significations dérivées Cela posé, était transmise. qui deviennent du point de départ, mais s'écartent sans doute des générations création successives, tantôt le sens propre, des procédés ne s'en écartent qui, développant que suivant conditions
Ainsi cette
métaphorique,
n'ont
la règle
est
au
qu'il
importe
le sens
tantôt
règle
mieux
dite
arbitraire, Cette
dique.
en premier avec
laquelle
Quelques
n'a
n'entre
à une
la
le mot exemples signification
dans
comme
le plus
signification
les
: c'est
dérivations
revient
le plus
montreront qu'elle
première est formé de voeu, avouer que — I. DICT.DELA.LANGUE FRANÇAISE.
souvent
elle
comment inscrit on
usuel
soit
est
comprend
recherches, sans
qui,
dans
dans
ou, être
pouvoir
confesse?*, tel
c'est-à-dire
l'usage,
le parler, Dans
procède.
que
de
genre
rationnel et méthoarrangement met toujours du mot : l'Académie
d'un
est la principale
qui
ce
considération,
caractère
est le sens
dans
point autre
tout
aucun
pourtant
considération rang
de départ
de découvrir.
il obéit
dire,
et de désordonné.
d'arbitraire
point
de l'Académie
Le Dictionnaire pour
partout
rien
soit dans le
reconnaître; ne
peut
verbe mais,
pas
être
celle
les écrits. la
avouer, sachant l'ordre
des 6
PREFACE.
x Dans
idées.
elle
commettre,
commettre, un
circuit.
Dans
dans
débattre,
et de discussion
qu'à
la suitey d'un
Sans
le sens
figuré.
doute,
en
des mots,
au
pait
ce procédé
les dérivées; à trouver
naturel
le plus il est
superficielle
d'inconvénients
prix
premier mier
aussi
courant
est
un
par
prise
une
raison
d'un
fait
et dans
d'être
condition
Autre
â dû
et en
recherche
naître
la
souvent
fort
ensemble mettre
être
les
le
n'a
ainsi
posé
mot
de
Là,
des
mots.
puisé;
il devenait
de la prédominance significations par
diverses quels
degrés
d'un
en tête
plus place
uniquement
telle
ou
une
acception comme
viennent
sans
primauté
une
pour
titre
signifi-
et
même
tel mot quelles
disparu.
rien
dans
en vues
une
l'usage telle
l'esprit
originel les pre-
ce qui
est
Avec
cet
de sou-
indispensable
désormais
sens
dès
supplée,
ont
qui
et, j'ajouterai,
ou
sens
le
comment,
entendu,
recon-
on peut
indique
sans
des mots
l'historique
indique
a été
et par
reste
fortuitement;
tirée
inscrits,
L'étymologie
tel
ne
et
et primi-
La première
consigne étant
rationnel, de
le pre-
vraie
sens
le
usité,
est habituel
il
telle
au
sont
de signification
arrangement
le plus
permanent
qui
praticable,
acheté
d'aRanger fréquents. ni la permanence, n'est pas classer.
l'historique
des intermédiaires
satisfaction
est
qu'il
; les autres
éléments
ce mot
française,
une
le mot,
raison
par
et
est disposé
avantage
de
caractère
dictionnaire les
le lecteur
placé
des mutations
tous
échap-
d'abord,
vicié
elle ni la logique d'un
on
prononce
tout
fréquence
un
filiation,
ce sens
une
a fixé les rangs
pas
docu-
de l'acception
c'est-à-dire
moins
des
fondamentales
même
mais
doute,
ne consigne
l'absence
subséquentes.
est nécessairement
a été
à un
cela
acceptions
les exemples pour
la langue
en les suivant, à l'autre.
été
primordiale
la classification
de disposer
ayant
le
la méthode
important,
accidentel
éloigné
ce n'est
que
de documents,
fait tout
comprit,
qui
de
fort
qui
usuelle;
signification
temps
ordre
point
où
sens
sans
on
con-
ni l'historique
donne
effet
quand
un
les
lui cet
En
par
réelles,
l'étymologie.
la langue
miers
l'une
un
la plus
une
dans
ou
plus
les acceptions
N'oublions
cation, près
le
on
souvent,
fortuit
pas
ce que
est
et de ranger non
rang
de beaucoup.
à la lexicographie,
matériel,
ils peuvent valable.
sens
étrangère
toutes
parmi
ce sens
que,
acceptions
Toutefois
à la pensée
moderne,
à leur
les
habituel,
pourtant.
inscrit,
de déduire
moyen
réelle
d'ordinaire
le langage
tive ; il en résulte
le plus
le dépassent
qui
l'Académie
que
dans
aucun
mais
se présente
qui
étant
comme
vrai,
au premier
l'Académie
Dans
et
est
de contestation
l'étymologie
sens
méconnaître
de la sorte
en plaçant
et,
ni
de faire
de l'article
le sens
que
à suivre.
des
primitive et de
ne reçoit
donne
a été le meilleur
empirique
tête
mais
crime);
au sens
arrivé
en
et physique
ne
qui
être
consigne
propre
dictionnaire
se méprendre
de
danger
sens
un
(commettre
peut
est battre,
lequel
à la connaissance
nécessaires
ments
un
ne
avec,
ce qu'elle
débattre,
mais
qu'après
le sens faire
mettre
discuter;
tester,
d'abord,
proprement
signifiant
qu'après
note
laisser commun,
série,
que
avait
passé
à ce et l'on de
PRÉFACE. Afin
l'on
que
trois
exemples
mie
le définit son
qu'à
son
premier
eu Pidée
d'exprimer
acception
peu
qui
se trouve
pourtant
par
exemple,
le cinquième
a la forme
croissant, a été dite
instrument
et la plus
incontestable
Prenons liquides
sens les plus
usuels.
certaine
avec
le plus
usuel,
enfants
au
souvenu
de linge.
cette
l'Académie
Ce
sens
est levée
entre
aurait acception
que
nous
croupe
certaine
et croupir,
luné;
forme
très -
dans
son
à son
tour
; si bien
la plus
: c'est
concilier
natu-
il s'agit
de
des liquides.
Dès
et le sens;
assez
tout.
explique
des sens
une
est
métaphore la difficulté
lors
tout
des
En effet,
La série 3° par
Tétymologie
aussi
changer
et qui
plus
des
étymologie lui a semblé
se dit
l'ordure;
dans
un
de liquides.
à accroupir.
en parlant
qui
des
parlant
effet,
cette
soin
pas
où
en
là,
: croupir
n'a
en
s'emploie
n'existe
qui
accroupi
entre
de la primitif
façon
défini
aujourd'hui
comme
la
le sens
ainsi
l'autre
ancienne
pas,
de lune
? Après
qu'on
précéder
et corrompu
stagnant
qu'il
comment
autre
donnons
2° être
dit corruption
malades
dû
une
: 1° s'accroupir; être
un
ajoute
donne
étant
de croissant de
: il y a
croître.
de croupe;
et des personnes
fournit
très-hardie,
en
le sens
cette
a-t-on
voici ne
la lune,
se trouve
verbe
moins
non
Voilà
connaît,
en forme
et de
repos
Le
juschqse
donc
Vaccroissement
comme
L'Académie
vient
croupir
signification
a eu le sens
Croupir
de
est
lune autre
pas
de l'Académie
lui
arbres, du
croupir.
Un état
Mais
maillot
l'historique
donc
dans
sont
dérivé
n'est
Gomment
de la lune.
les instruments
la nouvelle
de la lune?
figures
qu'on
les
de
croissant
Puis,
échancrée
un
l'Acadé-
et qui
croissant.
à tailler
le verbe
encore
qui
croissant
De là enfin
croissant.
croissant;
le Dictionnaire
du
participe
le substantif
que
des
auteurs,
circulaire
croissant,
qu'un relle
au
une
certains jour
je citerai
substantivement.
pris
même
que
dans
certain
croître
la marche,
: la figure
usuelle
est
participe
usuelle,
rattaché
positivement
verbe
ce
par
une
il
a dirigé
qui
Prenons
la plus
Mais
du
présent
méthode
très-courts.
acception
quartier.
le participe
que
et
très-simples par
la
nettement
conçoive
xi
paraît
enchaîné,
satisfaisant.
clair,
Examinons démie
définit
signifiant
la
même
miséricorde.
Il
enfin, par
salaire,
proprement voit
textes,
on
suffise;
ainsi
qu'il
la.
de
n'en
puis est
dérivation
pas
de
la
de la signification
française
s'explique
s'est
en
cette
faveur,
diffère
de
particularisé
suite
en
jadis
la Dieu
grâce; sage, usuelle
quoi
de est-il
là
merci
le sens
devenu
grand
la vostre
merci,
merci,
de
certain
est
un
grâce.
et cela
qui
du
latin
mercedem,
Si l'on
passe
en
revue
les
qui
grâce,
duquel est que
le sens
l'idée
par
merci.
masculin
contre
l'usage
et Tétymologie
dans
laquelle,
suivant
l'ancienne
la grâce
Mais
voit
de misère. de Dieu,
? 11 y avait règle
de grâce,
l'on
tout
disait
par
votre
la locution
des adjectifs,
de
On
dans
comment,
ne
dérivation
de faveur,
d'où
épargne;
anciens
faveur
La
expliquée.
renferme
signifiait reçu
l'Aca-
que
vient
en remarquant grâce
merci,
merci
latine
signification
qu'a
très-usuel,
à l'interprétation
miséricorde,
remercîment
mot
que
faveur,
cette
merci,
un
manière,
grand
ce pastrèsétait
xii au
PRÉFACE. le
féminin; fît
qui
croire
C'est
seizième
là
ce
intermédiaires
tions
montre mais
Le
classement
épineux.
Parfois
de trouver,
la création cette
arrive
à
tel
une
création
la peine
plus
souvent
tiennent
: on
ce
masculin,
comble
les
par
les lacunes
langue
à leur
à
de signi-
étymologie
par
des déduc-
et
est
un
est
l'acception
difficulté
visible
dans
mots
et
significations
mais
doute,
des siècles;
et notre
un mot
est
qui
c'est
des
sur un autre,
dans
on
exa-
de tel sens,
intuitions
vraies,
pro-
les circonstances, au langage.
C'est
Elle
création.
ressources fait
l'est
partant
une
l'ont
à une
Quand
ressources
mille
s'agit
toujours qu'il
suivant
qui,
certainement tient
préside
qui,
frappé
travail
qu'il
primitives.
de nouvelles
langue
tantôt
l'enchaînement,
transformations
poétiques,
et créé
quelle
élaboration
on
métaphoriques,
sans
ces
la langue,
par
très-éloigné,
sur
dans
gît
aussi
des
divers,
exactement
et organisateur
de l'acception
tantôt
nombreux
déterminer
la
mot
plaisantes,
secondaire
sont
vivant
des
souvent
pendant
ils
L'esprit
d'un
autre
se portant
mot
de la
âges
les mots
quand
le dire,
le champ
poursuivie
différents
a de
racines,
délicates,
agrandi
sorte
sens,
élaboration
ont
qui,
le
peut
des
mine
fondes,
les
d'un
l'explication
comme
grand
regarda
certaines.
on
on
il
méprit,
donner
des dérivations.
est,
langue
aussi.
comment
des
Mais
primordiale.
l'était
fournissent
que
délicates,
se
j'appelle
que
et l'on
fication,
merci
que
siècle
s'est
de ces élaborations
se renouveler
une
par
de végétation. Ces
considérations mais
difficile,
nécessaire
surtout
histoire, concertée
montrent
les
par
la connaissance
pour la
pour
logique
générale
sauts
brusques
la
qu'établir
des
filiation
des
du mot,
pour
ennemie
qui,
et par
acceptions
sens
une
est
opération
l'enchaînement
de
son
des incohérences,
est
dé-
leurs
caprices
inexpliqués.
III. PRONONCIATION.
Après gues
ont
qui
aux
d'une
Cela oblige,
quand
l'écriture,
les
discordances
le procédé II est malgré
notoire
leur
forte
que
enregistrement raison
Un
a-t-elle
j'ai
que
la langue
varié
qui
annexé
à la fin
l'orthographe et l'orthographe. cela
que
ramènent
de
à des
se
peut
types
de la Préface
faire
connus indique
employé. a varié
dans
réelle autant
les lan-
provenant
appliquant
la prononciation
tableau
Dans
orthographique
le français
exemple
entre
la prononciation.
système
cette prononciation, figurer à certaines conventions
orthographiques.
de figuration
un
par écart
grand
on veut
de recourir
par
nationaux
étrangère,
un
est placée
parenthèses
sons
langue
il y a souvent
latine,
plus
et entre
appliqué
la tradition
i
mot
chaque
les livres
dans
dans
les
et dans
la prononciation
mots
mêmes
les documents qui,
de soi,
qui
la
constituent,
de toute est plus
espèce. fugitive
 et
PREFACE. est
d'ailleurs
qui
sur
précis
la prononciation
et dans
les siècles
raison,
qu'en
en
peut dès
citer
un
les fois que précédé ce
ne
de remonter
des
pas
nassent
Je tiens homme vient
qui
fier
l'amitié
: un
de la Comédie
une
bonne
école
fluences
de
l'usage
courant
langue
nous mais,
il importe
d'examiner
Cette
y avoir
un
exemple
un
ples cette
l'a
de nos
été et
en
effet
s'est
elle
des
antécédents
été
modifiée un sont
quelles
un
toute
subit
sa vie
vue
un
se modidonne
qu'on
les
inde
prononciation
comme
toutes
certain
point
les
qui
souvenir
lui-même
La
change.
et jusqu'à
règles
belles-lettres,
le théâtre,
longtemps, qu'il
essayer
de la tradition.
et l'avait
Ainsi
tel
condam-
louer,
avait
qui
carrière.
à mesure
aïeux,
des
et
assez
inté-
qui
usage,
inscriptions
la prononciation
ces modifications
juger
aller^
dont
de plus
et conserve
de alter
combinaison
al a fait place
conseil
les les
conditions
choses diriger,
et les exi-
fera
et de plus
de la prononciation sous
formèrent
à la combinaison
forme
altre,
ne faisaient
1. En son livre des Variations
son
le son au;
corrupteur dans : altre,
cette
ce fut
à l'écriture.
généralement
comment,
comprendre
orthographique
plein de vues, Génin,
est
la
de ô. Sans un
essai
langue
pour
il ne tendance;
française,
l'écriture
langue,
17 dans plus
tard,
conformer
une
pareille
étymologique
doute,
dans
Or,
de l'ancienne
entendre
géné-
étymologique, qu'une
orthographe pas
à la tendance
s'applique
la prononciation
l'orthographe
défectueux
elle
abstrait;
à conformer
jours,
qui
un
point
très-infidèle
guide
qui
n'est
la nôtre,
rien
Voici
latin
noté
à fur
à l'aide
a, de nos
comme
langue
est
réflexion
qu'on
peut
pour
avait
les temps
prononciation
et les conséquences
et
voyelle.
prononciation,
l'érudition
poésie
fondamentales.
gences
rale
et qui
vient
de langue;
fréquentait
une
le meilleur
des
existait
curiosités
de
On
la
pour
des
traité
la bonne
ni
qu'il
comme
la comparaison,
par
l'Académie
de sa longue
le cours
un
effet,
et
qu'il
devant
Ce sont
toute
moderne.
de prononciation
soin.
de
siècle
avec
certain
d'alors,
poésie l'élidait
autorité
regretter
vieillard
comme
notre
assez
française,
dans
notablement
la
la tradition de
le français Il est
présentement
de leur
Guérard,
ne peut
à point
habitué
M.
dans
Ye muet.
de déduire,
et introduisissent
de feu
que
afin
appuyassent
la mauvaise,
existent
En
en constatant
antérieur,
de guide,
traditionnellement,
avec
inutilités.
devrait,
transmise
des indications
sont
le douzième
a été
consonne,
je les ai notées
à l'usage
servissent
rencontré
j'ai
dans
âge,
rien
et, je pense,
; car
une
le nôtre,
je le concevrais
que
devant
n'avons
soutenir,
à savoir
de la langue
Hous
1a pu
ancien
français
anciens
le moyen
nous
caractéristique,
le comptant
Toutes
ressent;
du
trait
les plus
d'aujourd'hui,
ont
Cependant
Génin
prononciation
l'écriture.
par
pendant
fondamentaux
les temps
qui
cette
à consigner
du français
suivants.
gros
les sons
que
difficile
plus
XIII
; mais
vient
du
les peu-
al et donnaient
à
la combinaison l'orthographe
à
du tangage français, qui contient beaucoup de paradoxes, mais qui est que les lettres regrette»)", a laissé une trace dans l'étude du vieux français.
PRÉFACE.
xiv la prononciation dans
s'entend tution
d'une
réelle,
qui
la première
et la
en lutte.
D'une
l'ensemble à tout
passé,
de
dans
la
de conformer rester
muettes.
être ciation
est
la,
croissante
toujours tous
Dans fondée
les
sur
On
de faire
cas
citer
mais
les uns
disant
entamé
l'usage fi_;
la
bouche
Les
de les
j'ai
l'écriture,
et
la pronon-
et même
la
laks'.
l'habitude etc.
som'-met,
ap'-pe-ler,
indiqué
doit
qui
prononciation
doubles:
bonne
prononciation
connus
j'ai
dans Dans
la prononciation
ma
sur
jeunesse
du
g
reine-claude
est
la lutte
non
traditionà être
commence
dire
non
4e
se poursuit,
à l'usage
si générale,
personnes
quelques
les droits
prononçaient
conformément
reine-glaude,
entend
de l'écriture
empiétement
le c a prévalu.
l'on
fis,
lak
personnes,
doivent
qui
dont
lien),
l'ap-
l'habitude
lettres
Vs dans
son
sans
vers
des
la
de
D'autre
la lecture
par
(un
sur
consonnes
dr cet
les autres où
l'écriture
et
la mauvaise.
que
aujourd'hui
lui-même,
quelques
soigneusement
exemples
vieLlards
de
par-
l'orthographe.
entendre lacs
l'écriture
constitution
d'articuler
le mot
constam-
corrections
très-marquée
de faire
ainsi
et réprouvé
reine-claude,
par
introduit
sonner
d'autres
segret;
Second
et
semblables,
la prononciation. secret,
l'écriture
à l'influence
la tradition,
peut
à
dans
encore
rapportera
la langue
beaucoup
mais
sa
présent.
forces
des
que
de
la chose
conformer
pour
en comble
propension
pas fis',
devient,
de fond
deux
langue,
vertu
sur
toujours
danger
jamais
, une
prononciation
non
en
résistant,
l'oreille
s'est
notre
produisent
apprennent
par
Ainsi
prononcé
nel.
qui
suffisamment
prendre
ne
un
qui la substi-
que
conventions,
grammaticaux
en remanierait
qui
ceux
efforts
ces efforts
la langue
système
il y a,
part,
On
mais
est
le son
figurer
de au n'est ces
prévaloir
dans
sont,
pour
et l'adoption
Faire
il y a des
part
embarrassé
traditionnelle,
prononciation
à la prononciation; tielles,
autxe.
la prononciation
L'écriture ment
à une
se trouva
de autre,
syllabe
convention est
on
derechef,
; mais,
mais
segon,
sekon. Il est de règle, mot,
finissant
un oeuf,
les oeufs,
que,
provenant
elle
se fonde
sur
quent cette
le
quand
plus
prononciation
prononcer,
si, pour
preuve
qui passe
prend
qu'en
besoin
Ys, la vieille
Normandie
les
qui
d'éviter
se prononçait
: le coc, coqs
n'avait
pas
entendre,
pas
les boeufs, de cette des dans
C'est les
c'est
été rompue.
cô
dites règle,
les on
consonnes,
consé-
et par par
tradition
cô ; et,
vu
que nous
Je le répète,
de terminaison
dans
les cas pareils,
de l'écriture
li cos.
qu'un
Vs, perde
par
effet,
se prononce
Vs grammaticale pas.
En efface
langue
où Vf ne, se fait
précédait
marqué
l'accumulation
de la langue.
usage
l'analogie
au pluriel
à y manquer,
: un boeuf, singulier Si l'on cherche le motif
finale
ce mot,
ne
du
commencent
au
la consonne
à!oeufs,
la consonne qu'elle
qu'il avait les eu, etc.
antique
le mot
de boeufs,
pas,
consonnes,
doute
de la prononciation
temps
de personnes
dites sans
nonciation
hauts
beaucoup
la consonne
verra
c'est-à-dire
que
certaines
par
la prononciation beû;
bien
de
la prodevrions dans
ne s'écrivait
les
PREFACE. L'ancien le chat,
usage
les châ,
forme
de
Il est de nos
le sot, en
plus encore
tième
siècle
n'est
personne
: c'est
la
liaison
de dans ce
dans
cas
dire
les
le parler
serait
où
Dans
la même une
terminent,
avoir
et
on
pas
il
non
les
de la certain
Il
faut
si l'on
tradi-
liaisons
se conformer est pleine
gens
rien
nombre
les
supprime
que,
moins;
principe d'un
celle
dix-sep-
je n'ai
déclamation,
l'usage,
et du
tendance
au delà
des honnêtes
par
parlait
à
d'hiatus
autrement,
»
provincial. dans
un
mot
être prononcée.
doit
au
désagréables.
de
prononcer
A cette
la liaison
ou
se perd.
beaucoup
vieillards
: con-
à se séparer
liait
on
les
la
consonne
qui
dix-huitième
conformément
conversation
la première,
seule,
du
gens
dans
que,
nuance tend
Autrefois
dures
notera
une
les Etâ-Unis.
autorisés
ou d'un
vue
des
entendu
qui,
seraient : « La
; c'est
une
par
et la prononciation
beaucoup,
consonnes.
n'étend
tellement
pédant
dire
mais
l'usage,
terminés
prononciation
la restreindre
elles
sont
d'un
des
noms
singulier
notre
faisons,
d'Olivet
qui
où
ordinaire,
par
cas
au
des s'efface
je veux
faut
qu'il
de l'abbé
volontaires
Cela
se rappelle
nous
déterminés
tous
cela
ne
qui
sinon
etc.
par
aïeux,
à objecter, qui,
point nos
comme
pluriels
lé pluriel
plus un
Etâ-z-Unis,
tion
les so,
et de
pères
les
allongeait
xv
en liaison, Ainsi,
si deux
consonnes
le
dans
ce vers
de Malherbe:
dire
la mor
a. Au
La mort a des rigueurs à nulle autre pareilles ;
la chose mor
: la mor-t-a—
disent
plusieurs
est controversée;
sont
les idées
ciation
et dans
ration.
Je voudrais
entre
les
qui
m'ont
la règle
que
dans
dirigé
très-brèves
remarques
d'une
considération
douteux
pas
il faut
de faire sonner Y s comme l'usage c'est un fait, et il faut le constater.
et les blessés;
Telles
il n'est
cela est mauvais,
; mais
et les blessés
mor-z
mais
que
cela
part
le bon
qui
susciter
pût
la manière
s'y étendre
: les
un z gagne
beaucoup
: les
dont
j'ai
la pronon-
figuré
cette
quelquefois
travail
et la tradition,
usage
ne doive
accompagnent
quelque
pluriel
où
général
d'autre
part
figuen prit
l'on
la lutte
perpétuelle
et la prononciation.
l'orthographe
i
IV. EXEMPLES TIRÉS DES AUTEURS CLASSIQUES OU AUTRES.
La une
citation
innovation
de l'esprit dans
qui
moderne.
la trame
d'un
les lumières
et de M.
Poitevin
moins
en
en ont
surtout
et sans
fait
une
De place
avec
certaines
de notre
aucun
aux
pris
temps
des exemples
français,
clair-semés, résultent.
d'exemples
conformité
c'est
dictionnaire mais
qui
systématique être
paraît Du
en a quelques-uns, mot
et
régulière
auteurs
tendances qu'on
pris
effort
meilleurs
dans
pour
nos
jours
les dictionnaires
plus
large
à cet
élément;
historiques,
s'est les
mis
à insérer,
livres.
Richelet
concentrer de M. dans
est
sur
chaque
Bescherelle
le Dictionnaire
xvi
PREFACE. *
Dochez
M.
de
et dans
le Dictionnaire
dans
le mien
il est
historique
l'Académie
que
de l'oeuvre
constituante
partie
il a paru
et dont
prépare
; il l'est un
aussi
premier
fascicule. avait
Voltaire
me
et,
française,
langue
aussi
semble
sans
manière
d'une
un
de deux
cents
avec
entretenue
est
exprès
un
littératures,
fallait
entre
et établir consacré
est
ce qui
et c'est
les
par a
beau dans
éléments.
les
s'en
sont
C'est
ce
que
pratiquent
créés
de
l'ampleur
avec
fut à l'origine;
les
Voltaire
les autorités,
par
le lien
dictionnaires
dictionnaire
qu'un
car
éléments.
servis
heureusement
dire
largement
exemples
l'usage
les
siècle,
des
et
ce qui
soutenir
qui
de
avec
fait
il y a plus
de quoi
les premiers
exemples,
être
peut
le dix-huitième
corps
continuer
ceux
à Voltaire
suggéré
du
admettre
fondée
offre
mots
en fournirent
pénétrer
livres.
des
redonner
que
les dictionnaires,
et
le dix-neuvième,
de lui
Ce n'est
dans
: « I]
dictionnaire Sans
1760.)
classique
des héritages
si la nomenclature
il est facile
mots
littérature
qu'une
un
dictionnaire
puisqu'un
de la
il dit
alors,
mais
citer;
11 d'août
Duclosy
dictionnaire
travaillait
de ne point
de Voltaire,
le plus
et,
laisser
les
à
renouvellements
précédant qu'il
pensait
» (Lettre
comme
squelette,
et de si précieux
tant
loi
un
pour
l'Académie
auquel
il est certain
la lexicographie;
alimenter
d'exemples
une
l'expression
reçue
des
fait
squelette.
de vue,
ans,
celui
s'était
absolue
des points
à bien
collections
de
parlant
qu'on
est
citation
à des
songé
réel
citent
qui sans
qui ; est
citation
décharné. on
Quand
dans
entrer
tous
a sous
les yeux
le cadre
dre ne suffit auteur
à la fois
le manient
impérieusement,
une
et,
autre;
y. voit
apparaître qui
soi
en
sans
tâche
de ranger
cultés
particulières
que
de
exemples fiée,
les
corrigée,
une
les épreuve
élargie.
où
Il n'en
contacts
l'ordre
ils
faut laisser
1. Voyez ce que j'en ai dit plus haut.
signification,
ainsi,
des
aucun
Sous
et de son
le plus
homogène, jeu et dont
un
dictionnaire,
C'est
un
sens
hors
cadre
sort
L'intercalation
; aussi
vers on
toujours
m'efforcé-je
le
que
la langue
très-grand
presque
qui
renferme
éprouve
logiquement. des
sent
se donne
satisfaisant,
qui
caractère,
L'on
en
exemples.
un
par
les doigts tantôt
vrai
soupçonnées.
le plus
ce ca-
que
et à des nuances
mettent
faisant
conviennent
la classification
dont
une
parler
la classification places
faits.
propre
dictionnaires
et vivant
divers
tout
vers
à les faire
fois
les cadres
si je puis
dans
d'une
plus
acceptions
tantôt
qui,
les
à des
pas
celui
cherche par
L'emploi
aurait
les
tracé
il arrive
n'y
que que
est
qu'il
de sa valeur
qu'on
acceptions dans
déterminer est
ajouter
pour fléchit
rien
et,
lieu
donne
le mot
qu'il perde des propriétés
il faut
tel
et l'élargir.
des exemples
et qu'on
d'exemples
de l'Académie,
le modifier
le plus simple paraît des affinités multiples Mais
profite.
celui
et écrit,
pense
on forme
quand
échappent
faut
collection
significations,
par
et qu'il
pas
qui
mot
des
et en particulier
ordinaires
une
des
pour diffitravail des modi-
toujours
PRÉFACE. de leur
trouver
un
xvi]
convenable
compartiment
à la nature
du
mot
et à l'intention
de l'auteur. D'autres
fois
Entre
beaucoup
pas. démie
pas
ouvrez
offrent
exemples on
y avoir
autre
les Harmonies
combinaisons
des
citer
peut
la locution
à date
ne doit
les
: cherchez
celui-ci
sans
date,
vous
y trouverez
chose
tant
qu'on
ne fait
de M. de Lamartine,
dans
dictionnaires
n'ont
le Dictionnaire
lettre
sans
les
rencontrerez
de L'Acaet en
date-,
intervenir
pas
et vous
les
que
il
effet
Mais
exemples.
:
Ce furent ces forêts, ces ténèbres, celte onde Et ces arbres sans date et ces rocs immortels....
et dès lors dans
vous
ou
gante, Bien
d'utilité
passages
date
le sens
avec
contenter
de
les plus à vrai
& Immémorial,
inscrits
qu'elle
fut
emprunte
à leur
place
entre
du
citations,
du
moins
est
des
significations,
de l'état
présent
propre,
c'est-à-dire
les nouvelles
autorités
Enfin, attrait
par
grand
style doute
mais,
arrivé
amassé
depuis
j'avais auteurs
limite
et
les
exemples,
d'un
de vingt
près touchent entre
fois la main
d'une la
sorte
de la fin
cependant Aussi
maints
si long
labeur,
ans.
au seizième les
deux
être
préférés
les
de l'âge
la transition seizième
et
siècle
époques,
à ceux
du
élé-
historique.
tardivement.
fictive
De
écrite
renseignement
au terme
classiques
plus
on
de compléter
Les
Ils sont
de l'usage
ancien.
de Bossuet, des lambeaux,
n'est
prételle
apparaît siècle
trouver
sont
et
celle
du
De beaux
vers
d'élégantes
phrases pour
ici, ce sont des lambeaux applicable — I. DICT.DELALANGUE FRANÇAISE.
le sens
premier,
ont
de Massillon servir
ne sont
de Racine, plaisent
de l'expression
l'en-
lui,
par ils
témoignent ce qui leur est en un mot
combinaisons, nouveau,
Plus
origines.
et, car
En
et la connais-
les
indiquer
les exemples ou
par
tour;
pour
de l'usage
de Corneille
nie
leur
les nouvelles
avantages,
nouveaux.
de la langue que
réservés
les autorités
aux
donnée
modernes
ils
de ces
mais,
l'ensemble
acceptions,
des mots.
eux-mêmes.
de
textes
mais
les nouvelles
indépendamment
qui
a chance
significations. de la langue;
doivent
exemples
connaissance
plus
faces
doute;
parlée
citations
sance
des
de choisir qu'assez
donnent
anciens
de ces
chaînement
ce motif
a qu'une
les plus
l'objet
haut,
quelque
ou
précise
dix-septième.
effet
remonte
curieux,
chronologique.
la langue
commencement Pour
il n'y
dire,
explication
frappé
de nos
leur
qu'on
cédent
ce que
une
ne m'a
sans
anciens
donnent
sur
résulte
me
exemples
les
en
qui
échappé
même,
sont
attention
m'ont
Comme que
mon
ainsi
détail
quelque
utiles
il a fallu
sans
sans
cités
passages
tourné
j'aie
que
les
que
contiennent
genre
on
à sa place
la poésie. Il arrive
le
inscrivez
comme
pas des
sans
quelque morceaux du
à rencontrer; d'Horace,
les autres
ce sont si justement
de pourpre. C
xviii
PRÉFACE.
V. BEMAHQUES.
Sous
ce
d'ordinaire
chef,
j'ai
dans
les
dénuées
pas
Sans
me
de temps
de la sorte
que,
Remarques,
à des
Ces
en temps
dans
l'usage
est chancelant
écrire.
Les
dance
des
Ces
rai
comme
exemples
un
un
traité
ni comment
ne sait se sont
beaucoup leurs
aussi,
ne
me
semblent;
il
grammaire,
et par
leur
s'est
et
c'est
le titre
sous
ouvert,
voulu
pas
invitations,
se
invi-
emploi,
Je n'ai
naturelles
de
discussion
présenter
du
fait
en lui-même, ont
cas nouveaux
auxquels
sont
très-diverses.
Cependant,
dans
remplir
se suicider,
ce but,
sous
ce point
une
Il a
de vue,
forme l'abon-
soit
des
des locutions
ce rapport^
sous
l'histoire,
cas
comment
de ces cas.
les
et par
d'un
plus
d'écrire,
s'agit
et de
exemples
nature,
s'il
En
à la discussion
appliqués
les
par
difficultés.
ni,
l'examen
soit
de leur
remarques,
dire,
à introduire
ou bien
sous
de
grammaticales.
à des
décisions
que
fournis
la
nature
paragraphe
; on
un mouvement,
pourtant
à ces
essentiellement
décision,
qui
pas
de grammaire.
renseignements
songé.
mer
ce dictionnaire,
de résumer
pas
décisions
et la prétermission,
il est arrivé
leur
modifier
leur
par
se rapportent
souvent
Mais
concise.
qui,
et à quelques
grammairiens
suffi
des mots
observations
remarques
devenir
jamais
puisse
le silence
par
mais
n'entrent
qui
d'utilité.
recherches
refuser,
complémentaires
lexicographiques,
dictionnaire
qu'un
à quelques
donc
et
notions
quelques
plans
d'intérêt
rencontre tent
réuni
à
conduit
ils n'avaient j'indiqueun but,
impri-
se faire
moquer
de soi. D'autres mais
maire,
cite
du
écrivains
exclu
ment
et
celui-là
une
d'avoir auteurs
les rencontre
se pourrait
à imputer
porté
le bon
langage
contre
et l'usage
Il est incorporées taines
n'y
qui
enfin dans
locutions
aux sont
auteurs pas ; car
; c'est
varié
avoir
ces
tournures par
la
cette se
usité
chez
davantage les
sont
et est
dans
trouvent
dans
temps
la
méritait d'excellents
grammaire
la
de fautes,
qualifiées des
qui
contre
il pécherait
les lui offrent,
qui
finale-
le lecteur
présente,
aujourd'hui
que
meilleurs
de remarques
et pourtant
classiques leur
que
grammaire
à en user, elles
ainsi
sorte
gram-
et de la littérature.
les grammairiens
par
motif
été
de
rétrospectifs
ont
double
comme
faits
de la langue
condamné
autorisé
ou bien,
des
classique
après
condamnées
croire
contemporaine;
il serait
un
comme
bien,
soient
qu'elles
a été
Pour
usage.
l'âge
d'autres),
siècle,
à
relatives
de mots
emplois
beaucoup
: ou
place
bien
correction
des
dix-septième bon
à
toujours
entre
du
sont
remarques
appartenant
constructions
Des (je
ces
fois
péchés n'avait
contre rien
dit
les justifiait. un
dernier
la série figurées
ordre des
de remarques,
acceptions
ou proverbiales.
du J'ai}
tantôt
mot.
Il s'agit
toutes
mises
sous
ce chef,
de l'interprétation
les fois que
cela m'a
tantôt de
cer-
été possible,
PRÉFACE. d'où
provenait
l'application;
mais
expliqué et
est
partie
loin
le hasard que succès dépend
conviens
sans En
complète.
fasse
des
comment
chances
à
effet,
de
lecture
que,
n'aient
amènent
qui
l'origine
efforts,
cette
ne
s'offre
il n'est
guère
l'interprétation
été
l'on
mes
malgré
que
ce que
en comprendre
devait
moins
précis en cela,
rencontrer,
on
hésitation
des renseignements
que
qui
et
je
d'être ou
d'elle-même,
la locution
XIX
conservés,
cherche sous
; je veux
les
)^eux
dire
le
que
quelque
passage
explicatif.
VI. DÉFINITIONS ET SYNONYMES.
Un de
dictionnaire c'est
grammaire;
un
comporte
que
ne peut
La définition on fait
un
de
même /du
définition;
étendu
par
quelques
même et
il
duquel
il faut
définit
tant
fond suffixe, nuances
ne doivent
d'une
dans
une
de la
un sorte
mot
orgueilleux.
mon
attention,
Quand
lexicographie.
la traduction
d'autres
par
de cercle
synonymie
négligés.
étrangère,
de l'Académie
fier,
la
être
pas
langue
expliquer
développements
vicieux définit
Evidemment
mots ou
fier
il y
de la
explication
par
hautain,
a là «un
défaut
m'a
une
souvent
véritable
averti
être
de prendre
doit
avoir
partout
en
d'un vue
nuances
terme
un
mais
préservé;
aux
garde
le renvoi
explication
dictionnaire
qu'un
m'en
de
et de ne
à l'autre.
ceux
la
C'est
auxquels
j'ai
d'attention. cité
donne
un
haut
plus
et vous commun
secours
à la
unies.
Il s'agit
des
aurez de
haut-ain sont
de hautain
utile
d'un
même
trois
termes
proviennent
qui
par
malgré
synonymes
très-étroitement
moral,
faut
les
traite
qu'un
Cependant
difficultés
le Dictionnaire
Ainsi,
pas,
d'objets
L'exemple
et altier
qui
synonymes
renvoyer
important.
ou
morte
à tomber
hautain
aussi
des grandes
il
quand
faut
qu'il
points
langue
exposé
comme
le plus
nymie
et
de
traité
se préserver.
des
recevoir
donné
est
prétends
discussion
est une
d'une
le même.
par
Je ne
mots
un
spéciaux
aussi
mais, on
langue,
entre
des
dictionnaire
altier;
pas
sujet
contenir
plus
ouvrages
à la lexicographie
touche
sert
aux
pas
suffixe
à exprimer
autre
altus;
que
distingués et
et qui
alt-ier pourtant
côté
du
des
un suffixe
: hautain
par
ayant que
haut
influent
par
parce
suffixe
où la syno-
par
à préciser
joignez-y
radicalement,
n'étant ains
un
en la forçant
ne diffèrent
le latin
identiques
du
difficiles
qui
radical,
et
signale
lexicographie, mots
signification, pourvu
et altier
sur
le sens Un
conséquent
que ier.
dans
idées
Ce
haut sont
est là
les définitions.
sans des
PRÉFACE.
XX
VII. HISTORIQUE.
Ici
se
rien
voudront disposition
de
comment
jusqu'au
seizième
entreront
Lorsqu'un
l'usage,
lorsque
du
delà
ont
qu'il
d'oïl.
langue
tronque
on
quand
comment
Ainsi
écrivent
Commines
Amyot, Guillaume
de
Lorris,
Ce n'est
entendu
que j'ai
les livres
ne figure
c'est-à-dire
siècle,
il est suivi
d'un
rieurs.
Il y a deux
cents
faire cela
pour douin, On
porter y
de leur pratique
tous
de Froissart,
y pourroit
dans
les
Mon
plan
chose
mots
qui
langues
avoir et
nos
Montaigne,
Jean
de
Meung,
du
livre
de la vieille
qu'un
fois
et introduit
des
c'est-à-dire à l'égard mortes,
mot
usage
du
et de nos le temps de c'est
ces
dix-septième
conseillé
: « L'on toute
langue
les siècles
été
en
conservés
d'aujourd'hui le
depuis
avait
été
langue
la vieille
l'emploi-dans
d'analogue
en
ont
nous
qui
les
étoient
observer
l'on
que
écrit
traducteur
restreint;
du sire de Joinville
des
le
tirés
Après
ont
dictionnaire
d'universel
des mots,
série
comment
de Furétière
le titre
textes
classiques.
est plus
Toutes
Dictionnaire
d'une
Montesquieu
les mots
en montrent
du
les
pour
Joinville,
un
ici tous
quelque
la pronon-
de Roland.
et je le répète, pas
des exemples
Voltaire,
Couci,
qui
faudrait
dictionnaires
de
de textes
l'histoire Il
sire
dans
aujourd'hui
des remarques grammatià l'emploi du mot ou aux
temps
Machaut,
formé
les
l'éty-
à l'ancienne
lorsque
naturel
été
de Monstrelet,
insérer
signification.
le
à ce dictionnaire
enfermer
histoire,
lorsque
paragraphe
pas
que
de la préface
anonyme
temps
ans
et
moderne.
n'a
choix
cette
est
qu'il
enfin
voit
et l'on
auteurs.
de la langue
propos
l'étymologie
logique,
aux
et
de la Chanson
anciens
connaître
à l'appui,
Bossuet,
Oresme
dit
tel
nouveau
temps
arrière
ne trouve
on
faire;
historique,
teur
en
déjà
curieux
de la langue
appartenant
qui le comportent,
Pascal,
Froissart,
je l'ai
de nos
qu'à
notre
l'auteur
point,
là
que
l'origine
de phrases
le prolongement
Villehardouin,
et Turold,
Psaumes,
a un
et
ne
qui
seront
qui
de
lorsque
un
c'est
placé,
pénètre
de
rapportés
discutée,
s'ouvre
à
été
les cas
Corneille,
on
contemporains,
dans
s'arrête
partie
depuis
l'ordre
d'après
ont
se peut,
alors
présente,
dernière
au-dessous
complètement
été rangés
touché,
Ceux
ceux
désirer
jusqu'à
collection
exposé
et, au besoin,
a été indiquée
en âge
trouveront,
à une
été
faire
que
une
langue.
dépendante.
d'historique
les sens y ont
cales et critiques
et
la
Mais
séparée.
d'âge
iront
qui
mot,
a
à fait
employé
en est
mot
autant
difficultés
a été ceux
l'histoire
langue.
classiques,
mot
le nom
a tout
de
présent là et laisser
s'arrêter
en
siècle;
l'état
j'appellerai
pourront
très-souvent
qui
Je donne
dans
plus
un
dans
mologie
vu
que
typographique
de voir
ciation
ce
termine
l'au-
par
avec
pourra
de
temps
Villehar-
romanciers..
de leur
le
il faudrait
rigueur;
vieux
anté-
— et celui
règne
vieux
termes
ce
de coter
les
passages
qu'on de
PRÉFACE. auteur
quelque
sur
répandre
les
diverses
et
d'altérations
ce qui de
cipes
cet
dans
que, classées
et en
allant
l'ordre
chronologique.
; significations uns aux autres allant
de
sans
éveiller
de la tradition,
mots
ont
se
plus
à
particuliers diversité
tirés
de
servi
dire
et les autres
de
de
la
même
aux
prin-
raillerie
à
romanes,
langues
en
commençant ici
détournés,
plus
acceptions
tout
est
prévaut
sur le principe
de connaître
comment
les emplois
D'un voit
d'oeil
coup
le mot
tantôt
dès
plus
les
on
ainsi,
hauts
des
tel
et
au lieu
et,
le sens
les
filiation;
et, et
signification tel
près ne
faisant
du dédain
d'après
se succèdent
la langue
qui,
par
des
déroulement
qui rendent
rigou-
de l'ordre
de
à peu
sont
rangé
cette
d'usage,
authentique,
aïeux,
toute
temps
un
spontanées plus
saisit
varier
naturellement
le respect
les
présent,
de succession
de réflexions
foule
inspirent
serviroit
d'extension
plus
c'est-à-dire
en
plus
qu'excite
si je puis
et,
précise,
de
se présenter
une
à l'usage
logique,
c'est
on
La curiosité
aujourd'hui.
plus
sens
siècle,
tantôt
des
mots
qui
le provençal
consacré
Le principe
en
les
conjectures
ne
de
plus
là l'infinie
par
et
non
historique.
et s'enchaînent.
siècle
exacte
souffrent
confirmation
les patois,
l'ordre
ce qui importe,
d'orthographe,
pas
l'article
aux
et rien
connoîtroit
que
plusieurs
de cet
d'après
propre
on
nouvelle
sur
l'explication
Pendant
recherche
mal
pas
»
plaisants. ci-après
et je continue
qu'une
syllabes
et justifieroit
art,
Je reviendrai
reusement
une
donneroit
mauvais
quelques
de
feroit
provençaux;
car
royaume;
ne
poètes
étymologique du
On
employés.
des anciens
ouvrages
provinces
terminaisons source;
auroit
la science
perfectionner aux
les
qui
xxi
est
qu'il
se satisfait plus
sentir
claire, le prix
le passé,
pour
la
reconnaissance. des
L'antiquité de toutes
les choses
Charlemagne, du même corps
coup.
Quand
on considère
tous
trois
dans
on remonte, à une
Ulfilas,
des
question se dégager
vers
l'anglais C'est
distincts
Le premier le domaine où
époque
le neuvième
siècle.
Le second
ainsi
se partage
que
romain
l'histoire
vivant,
fonds
des langues
roman, le nom
par
germanique dans
l'in-
l'effet
de
la
de langue
:
Goths
et à
aucunement
idiome
en date;
le
est inter-
aux
siècle,
et où il n'était
est le dernier
d'un
le groupe
; le troisième
et son
féodale et comme
des monuments
est postérieur,
par
ensemble
comme
quatrième
sont
que
conquise
de roman
je parle
jusqu'au encore
latine
l'origine
et rendue
son
allemand,
mélangé
avec
Germanie,
Le premier,
ancien,
Le troisième
de la combinaison
confond centre
dans
est de langue
fortement
était
se forme
du la
européen
la langue.
germanique,
romanes.
langues
sur
: le groupe
est le plus
le latin
agi
se
et par- les missionnaires,
groupes
mais
c'est
puisque
l'Occident
par
elle
grande;
ont
qui
; le second
d'origine,
normande.
conquête
trois
germanique
germanique
fort
la conquête
par
est de langue
médiaire,
civilisation
christianisée
anglais,
dique,
français.
de
est
en Occident,
on y aperçoit
politique,
groupe
siècle
modernes
les influences
parties
romanes
langues
au avec
l'Occident*
commence quatorzième un
mélange
à
PREFACE.
XXII La
du neuvième
le courant
dans
du
trouvère
douzième faits
furent
langue avec
les pirates
nous
n'avons Le
d'une
ne faisait
servés: est
une
est
C'est
ces suivant
puisse
faire
remonter
de Guillaume, sont
avons
pas
français
parlé
en Angleterre
ché
Poëme
de Saint
onzième
siècle.
années
1001
qui
les compte
et le
chansons
grandes
et Ârtus.
ronde
trouvera
le poëme poëme les
Les
textes
à l'historique, si remarquable
si bien
traductions
écrit du
sermons
de saint
de
Brut
et de
la
manière
de
1100.
•
Bernard, Rou. parler
abondent;
De
des
la sorte,
et d'écrire
Rien
les
décollé
à ces
soient,
mis
saint
des
des
Rois,
de Normandie, yeux
de Louis
un
le Gros
est
l'âge les
faire
la Table un
des de
choix. Saxons,
Couci,
Je
de
Cantorbéry, Machabées et des
Wace
suffisant
ses
le mouve-
sur
sire
du
compte
se remanient
il faut
Thomas
repro-
écrite
essor
breton
du
au
être
la geste
chansons
en
donnèrent
siècle
ou
cycle
nous
que
qui
son
Lois
le système
langue
période
citer,
Les
ne peut
dans
du
de
témérité
les assonances
textes
la
le l'on
que
une
point
Le douzième
les
les
poèmes
qui
à contribution,
Job,
a sous temps
la
tout
dans
y établit
se composent
le martyre de
de
de
; mais
remaniées
les
texte
poèmes
et sa Chronique
du
Valen-
poétiques
de pareil
pour
que
de Cambrai,
on
d'Eulalie de
qu'ils
de ces influences
ne pouvant
Psaumes,
Benoit
con-
lorsqu'il
précédent.
particulièrement
sur
été
d'ancienneté.
se développer
alors
et,
Raoul
ont
qui a conservé
excellent
le siècle
si travaillé
livre
ni
voit
se font
que
nous
n'est
seulement
siècle;
documents
C'est
ce
l'Angleterre
un
à 1200
dans
de
et
est
qui
que
manuscrit,
peu
de caractères
particulier.
trois
et
à
cachet
littérature.
de geste
sorte
retouches
ces
commencés
bien
que
de Roland,
onzième
de 1101
de l'ancienne
classique
On
travail
jusqu'à
reste
la Chanson toute
Alexis, a que
n'y
depuis
Celle ment
Il
un
latin
furent
assonances,
Cependant
toutes
au
compositions
jusque-là.
du de
purs
en
le conquérant
par
incontestablement
ne sont
au
siècle
est
c'était
courts
Quelque
cela
Fragment
d'un
garde
les grandes
il ne nous
d'ailleurs
imposées
la
le Débonnaire.
date.
écrites
certitude
porte
sur
et
parvenus,
Le Chant le
cette
combat
vulgaire,
d'alors
vers;
vingt-huit
commencent
exactes,
avec
qui
leur
par
que
au onzième et
primitives
que
langue
d'écrire,
parler
un
point
de Valenciennes.
de difficulté.
d'abord
en rimes
d'attribuer
féodal,
siècle
du
trouvé
moins
compositions,
siècle
n'a
de sermon
et curieux
précieux
il s'agissait
quand
sont
TJn
en
dans
des fils de Louis La
écrits.
satiriques
conduit
ne nous
textes.
et le Fragment qui
non
en
échantillons
d'Eulalie
au onzième
comme
que
très-courts
et lu avec
sont
et,
bégayer,
lambeau
riche
plus
vers
mal
le serment
que
des
s'était
d'exister
les monuments
par
siècle
a commencé
latin,
que
qui
du neuvième
guère
composition
un
grand'peine textes
que
le Chant
petite
ciennes
n'est
apprend
de Poitiers
antiquité
du
à en juger
nous
Ces vers
Deux
c'est
du moins
comte
haute
distincte
langue
Benoit,
un
aussi
siècle
recourait.
l'on
siècle,
contre
que
siècle,
normands.
dixième
certain,
en tant
française,
langue
et ses poèmes témoignage
et de Philippe
Auguste.
de
XXIII
PRÉFACE. siècle
Le treizième
est à tous
égards
pas, mais il ne laisse rien dépérir, le nombre des cédent. Seulement
et.il textes
du
la, continuation cultive
tous
conservés
il n'innove
douzième;
les genres créés dans l'âge préc'est une immenest plus grand;
inédit dans les bibliothèques. Les sité, si à ce qui est publié on ajoute ce qui demeure à Villehardouin et à Joinville, ces deux de l'historique sont empruntés exemples l'un du commencement, l'autre de la fin de.ce siècle, à la Chronique de historiens, à Beaumanoir,
Rains, féodale,
à la Rose,
à Marie
de France,
au
aux
Renart,
fabliaux,
et vive
burlesque
satire
de
la
société
grands
pieds,
à Berte
aux
avaient
fait le charme
d'Antioche,
etc.
Le quatorzième
siècle
perd
et pourtant
âges précédents,
épopée à la Chanson
le goût des compositions qui il n'est pas en état d'y suppléer
mais l'originalité languit, seulement figurent Quelques-uns fonds;
cela n'empêche dans l'historique
des créations
par
pas les textes
d'être
fort
de son
nombreux.
le roman
: pour la poésie, de Bertrand du Guesclin,
des
héroï-
Girart de Baudoin de Sebourg, la vie Machau't, comique le de Rossillon, le traducteur d'Aristote, Bercheuïe, etc.; pour la prose, Oresme, de Paris, traducteur de Tite Live, Modus, qui est un traité sur la chasse, le Ménagier les d'une maison et d'un ménage, qui est une espèce de guide de l'administration de Saint-Denis, etc. Chroniques des citations de Froissart, Dans le quinzième siècle, on trouvera qui clôt le quadans le quinzième, d'Alain de Christine de Pitorzième siècle et qui meurt Chartier, de Coquillart, de la spirituelle cod'Eustache san, de Charles d'Orléans, Deschamps, de Commines, de Villon, de Perceforest, l'un de ces romans en médie de Patelin, prose C'est
remplacèrent ces écrivains
qui
par Au seizième
siècle
pour
entrer
du
Bellay,
les anciennes
chansons
de geste,
siècle passe que le quinzième se termine la partie archaïque
dans
du sous
Jehan de Saintré. petit du lecteur. les yeux
de la langue;
on
ne le quitte d'AuMontaigne,
Calvin, Rabelais, classique. Amyot, de Navarre, le conteur des Perriers et quelques autres ont été déMarguerite bigné, techOlivier de Serres et Ambroise Paré l'ont été aussi pour le langage pouillés; n'ont de l'agriculture Les poètes, dans cette période, et de la chirurgie. pas nique les deux Marot, le père et le fils, Joaatteint à la hauteur des prosateurs; cependant que
chim
Tels ont
donnent
Ronsard,
sont
fourni
quand
l'âge
on
les principaux des échantillons a
des
auteurs de leur
exemples
jusqu'au
encore
important. contingent et ouvrages, mais les principaux seulement, qui c'est-à-dire Quand la série est complète, langage. onzième
des deux siècles précédents puisque quelques une même vue montre d'âge en âge comment l'ont graduelles En ceci, le classement
fications
fait ce qu'il
de temps
par significations Je citerai quelques
éclaircit
tout.
un
siècle
(en
avoir
plus
nous lignes seulement le mot s'est comporté,
haut
est rare,
sont
parvenues), et quelles modi-
est aujourd'hui. troublerait exemples.
tout; Toutes
le classement les personnes
par
ordre familia*
xxiv
PREFACE.
risées
avec
à'e'lire
par
droit
la latinité le sens.
En
la réponse.
le
significations, plus
abandonné
tout
sente
sans
dans
une
encore
peut
Avant
à v voir
du latin
Mais
d'abord
l'idée
à l'autre. emplois
où danger
autorité.
Enfin,
la première,
ce qui la
forme
forme
forme
dongier.
soit
explicative
qu'elle sens,
d'expliquer
coup
plus
étendue
de
changer
derne,
dans o des
de do minicellits
(de cornes,
comte),
etc.
donger,
et qui
de
quant
au sens,
zième
siècle
pouvoir
et courir
devient
prédominant;
et propre de l'identité, Ce sont
du
ces
est
en suivant
péril
de sa part.
on
oublie
est
exhumée tenait
chaînons
qui
; mains
l'autre
tous
traces
ou
forme
dès
transition;
pour
des
livres,
on
les
chaînons.
si bien la
rattacher
que,
méconnaît;
la forme,
dais
au
ou quinêtre
le sens quand et
latin
coins
les textes
pour
lors
la mo-
de domina.
dans
également
et
beau-
dans
cuens
Voilà
la
; il faut
dame,
figure
qui signifie
à peu,
de
qui
que
habitude
moins;
pour
par
dominium,
que vers le quatorzième
peu
permettent
donger; et,
ces deux,
ainsi
:
considérer
une
dialectique.
de quelqu'un, la
ou
dominiarium,
des
an:
danger,
variante
Là est
il reste
en ou
la série historique,
au danger
ne
dont
appartient
qu'une
estre
signification si l'on
n'en
mais
une
fondamentales
du latin
pour
des
qu'impose
dongier
C'est
danger.
de l'une
à l'étymologie
imposées
péril,
conservé
ne
fictive
vient
de
autorité,
la
Elle
ou dangier.
le passage
pouvoir,
à l'aide
sens.
a été
celle
la défense
et à l'autre
de voluntas
catégorie
de
à l'étymologie,
en a, on ou un en
; vo lente,
danger
mais
à expliquer
langue,
d'où
danger,
précises
et du
reste
latins
A cette
on voit,
se trouve
la forme
l'ancienne
damoiseau,
à côté
les conditions
regarder.
porté
signifie
forme
se pré-
on
pas
dérivation
archaïsme,
citation,
objections
quant
l'autre
d'apercevoir
de ses recoins,
mais
deux
éclaire
deux
péril,
à l'une
par
' il lui
dongier
pas
les
l'historique
que
élève non
donc,
satisfait
voit de
non
Il faut
on
On
est
est
mais
péril,
un
voir,
à établir
quelqu'un
l'historique
fournissant
réelle
a, dans
primitive
primitif
ce sens;
pouvoir,
seigneurie,
droit
signi-
l'étymologie
voisine
suffise
entre
est
kausjan,
damiiiarium,
de textes,
cette
l'idée
A ce point,
tellement
a le sens
prédomine;
comment
ancienne
pas
aucunement
défense.
et
n'est
est décisif,
le sens
que
et toute
preuve
du
ne signifie
interdiction,
cette
sans
elle
par exemple,
dommage
la langue
que
la seconde, suite,
de
De plus,
histoire
damnum;
conjecture,
simple
qu'une
toute
siècle
mots
de
puis,
seizième
ces
pai donne
choisir
à côté
qui
de
appartient
que
d'élire
un
très-voisin
U historique
de trier;
germanique
comme
est-il?
celle
de trier.
choisir
il nous
à peu,
peu
On comprend
du
mot
on voit
d'élire,
qu'au
vient
allégué
cru;
et quel
: c'est
celle
mot
être
particulièrement. un dérivé
inverse
; si bien
et notre
conteste;
Danger
la signification
dérivée,
du
parler,
puis,
le dix-septième.
idée
du
chronologique,
ce sens;
devient
frappées
l'autre,
ordre
que
exemples
à fait en
changée
son
apparaît
de rares
que
dans
rapport
ainsi
avons-nous
et n'a
fondamentale
fication
si je puis
est,
le suivant
d'être
manquer
comment
de voir,
d'apercevoir,
s'est
Elire
mais
d'héritage;
n'a
ne peuvent
en son de péril
l'ancienne
l'on
douterait
disais
dans
le
PRÉFACE. sens
de table
la table
du
comme
Puis,
seigneurs. sol, dais
au
passe
draperies
la
qui
d'intermédiaire Les
comme
mots,
l'usage
foi.
: c'était
féodal;
et cette
il fut bien
lui
le petit
sa dignité,
à mesure
souvent
et des
au-dessus
du
recouverte
de
autres
un dont
on
ou
ont
qui
servi
aux
or, dans
vassal;
d'un
Tel
car C'est
le haut,
équiva-
il est la condu manoir
demoiselle encore
descend
est
la
au sein
de
dans
et de jamais une
le bas. prendre
complaisance est
vaslet,
du moyen
n'était
sont
de la maison,
véritable,
le langage
familier,
dont
à caractériser
l'orthographe
arbre
formes
(ces
de la maison
il sert
leur
légèrement.
le latin;
dans
serviteurs
quand
parle
de domina. été
est
du langage
la fille
diminutif
et à descendre
qui
damoiselle,
dans
avoir
noblesse
dancele ou
sa source
vient
terme
maîtresse,
après
leur
L'historique,
c'est
la jeune
selon
et,
à perdre
demoiselle
que
d'appartenir qui
proprement homme
et les
doncele,
prenait
Valet,
est le jeune
ou
que valet,
défavorable
de vassal,
s'établit,
exposés
de domirdcella,
loin
et blâmable.
élevé
de dais
à des femmes
dame,
signification
domestique
y est toujours
des princes
endroit est
significations.
emploi
la jeune
la hiérarchie
un
l'estrade
donzelle;
Voyez
d'autre
française
servile
basses
: donzelle,
représentation
l'acception
sont
et appliqué
pas
traction
D'abord,
aux
originel
n'avait
lentes)
de celui
comme
actuel
dais
en désuétude.
élevées
très-dédaigneux
; un
d'apparat,
occupait
enfin,
les familles,
en fait
concordants
repas
d'apparat
le sens
décorent,
sont
du
d'estrade;
tombent
généalogique,
point
le repas
sens
des significations
sens
textes
à manger. Les anciens et particulièrement repas,
xxv
le diminutif ce petit
âge,
vassal
en est à son apprentissage dans les fonctions est resté dans varlet, et militaires. Le sens propre qui ne se dit plus qu'en domestiques des temps féodaux et qui est le même kl's. mot, IV se substituant parlant quelquefois avait deux sens très-distincts dans le vieux : il signifiait Vassal et celui français qui à un autre et celui qui se était subordonné dans la hiérarchie féodale, distinguait On peut croire que l'idée de vassal, et sa prouesse. à la guerre par sa vaillance perdant
mais
valet;
l'on
ces prétextes
des familles
la société
féodale
par
l'exemple
de
faire
Il en est de certaines a
il n'y les
ne
conjectures
sans
l'historique,
veut
dire
cela?
en
les interpréter propre,
quelle
au
de
sens
ou chut, chute,
Et
ces
devenu
si,
dans
mots; substantif
ce qu'est
à chape avoir
c'est
en
bien dans
des
chape
chute?
à chute
chape mot
tombée.
; si elles ; s'il
Une ces
un
autre
deux sens
tâtonnements qu'il
chute, Or
s'agit; conservé cette
dans chape
celui
chute,
le
que
cherche
à
leur
est
qui
n'est
la seule chute
exemple,
on
mots,
est
difficiles,
par
? Rien chute
positions.
et une
que
de
à la fournir,
Qui, chape
de
besoin
sont
manque
incertitudes.
d'expliquer et
de
détournés
l'explication
d'aveugles
notre
chape qui dès lors, signifie DELALANGUE — I. DIGT. FRANÇAISE.
sens
qu'à
l'impuissance
attachant
confiance
des
en fournisse
d'ordinaire
deviner
celle
jusqu'à
n'a pas même que l'usage des rangs élevés dans les humbles
comme
qui
est descendue
dépérissait,
donzelle,
mot
locutions
mènent
peut
un
passer
que l'historique
guère
qui
que
voit
pour
nobles
à changer chu
participe locution
ou chape
chape tombée d
xxvi
PREFACE.
ou
un
dans
figure Rou
vient
vieux
on
où
Par
une
distinctes
la
des
textes
deel,
une
quitte lequel époque
mots
n'apparaissent
ou
du
non
moins
et dans nombre
certain
le onzième
dans
sont
se
un
de mots
dans
varie
tout
confondant
de chacun?
primitive la
autres
naissant.
C'est
stitue
l'histoire
de la langue.
cette
autour
de
chose?
s'ils
Et,
d'oeil,
coup
le dé a jouer
que
au lieu
temps,
d'être
origines
assimilation.
premier
les anciens
cesse
aubaine.
à des
même
montrant
question, vers
rôdant quelque
Du
de là
punie;
vicieuse
la
RolLon
et
parfois
une
par
duc
trouve,
c'est-à-dire ramène
du
l'on
que
le loup,
chute,
assimilé
le
que
et de-
à l'autre
digitale.
tels
siècle,
additions
continuelles;
en
sens
l'habitude
; tous
inverse
nombre
certain
Un
combinaison
il
vrai
vont
est siècles
du
font
n'a
qui
et viennent,
:
quinzième des
que
entrer
les siècles
font
pertes dans
la
entrer
un
et ces déper-
pas
depuis
changé
les unes
la permanence
entre
la preuve
ces acquisitions
reste
fonds
; des parties
datent
tous
Entre
donne
autres
les
de mots;
et l'usage.
durant.
en
L'historique
néologisme.
quatorzième
en
valeur
étymologiquement
de
siècle
chape
la Fontaine,
trompeuse,
agissent
rigoureuse chute et est
quelque
l'historique
tranche
des
et le douzième
de
genre,
est-ce
genre
l'oubli
la langue
ditions,
que,
le latin
continuelles
désuétude
chose
allés
qu'au
Ce
seizième.
pour
apparence
a son
Chaque
d'une
pas en remontant
indique
la justice
chape
successifs
dé, et ne change
sur
s'empare
la forme
est
quelle
dé a coudre
tels
sont
qui
Wace
attendait
même
et le dé a coudre
est toujours
vient
de
mots
différents, lecture
ainsi
pleurait,
efficacité
des
chute
c'est
l'enfant
Le dé a jouer sont
et
trouvère femme
dé chape
s'empare;
la maison
du
Une
en Normandie.
la locution
dont
récit
les
périssant,
et la variation
qui
con-
VIII. PATOIS; LANGUES ROMANES.
Les du
pour
français
dialectes
aussi
des
séries, Eu
fait
nettement mot
ont
qui
danger,
l'historique,
altéré
occupé
comme
de langue
et
et de
les yeux en pour
Dialectes,
que
nous
qui
du peuple
France
et
est
lors
les
tient
généralement
des provinces. sont les patois
la centralisation
le français
conservé
ne pouvait
celui-ci
que
avant
dès
et on
décri,
par
les héritiers
nous
conservent
littéraire.
langue
les négliger;
pas
une
monarchique
qu'ils la
C'est
car
Cela
ils complètent
des significations.
des formes,
pour
l'ancienne
celui
que
dictionnaire
sous
à l'article
siècle,
en
la bouche
dans
loin,
plus
authentique
un
étant,
s'est
qui
sont
vulgaire,
au quatorzième
commencée est
l'opinion
Je montrerai
erreur. des
dans
patois,
que faire y
des
grammaire, ne font
les raisonnements.
l'étude
par
montrer
comment
les
mettent
exemples
patois les
les
Je prends comme
patois
et
j'en
bien
choses de
ai
l'historique
notre
nouveau fait
l'étude se
plus
par
donnent
PREFACE. la main.
souvent terme
propre, au delà de cette tend
De quelque manière le terme d'origine latine acception
présente. dont il faut tenir
des aperçus ; et dangi, puissance
nés de caprices
locaux
de péril, synonyme qui est le littéraire ne donne rien le français
soit
qu'il
devenu
(periculunî), Mais allons aux patois
et ouvre
nation,
xxvn
en wallon,
du inonde
s'é-
en normand, Dangier, signifie domiet dès sens arbitraires péril. Sont-ce
compte. nécessité,
? Pas le moins
la signification
; aussitôt
; la série
des textes
une
écarte
aussi
résisDans l'ancien contrainte, français, danger signifie autorité, interprétation. les patois, le sens et le sens de péril n'y paraît tard. tance, L'historique, qu'assez voilà donc les éléments de toute discussion sur le classement des signid'aujourd'hui, Fausse
fications
du mot
patois. l'article pas suivi
lettrés
et sur
son étymologie.
du qui ont disparu Si l'on doutait que lierre fut une production avec le mot (T-ierré), les patois suffiraient
Certaines
hedera,
danger
formes
la langue se trouve
sont
littéraire dans
dans
la corruption la bouche des paysans
dé dire
obligés
français
pures
et d'écrire
fautive
sont
demeurées
née
de l'agglutination la preuve ; tous
à en fournir
et hierre,
où elle est tombée; de plusieurs
ce barbarisme,
tandis
provinces,
le lierre.
dans
Non
les de
n'ont
du latin que
les
pas que je veuille,
en aucune sur ce ou lexicographe conseiller façon de revenir grammairien rigoureux, et d'essayer, de restaurer hierre à la place du vicieux qui est accompli par exemple, L'oreille s'accouferre; y réussir serait un mal. En effet, qu'arriverait-il? usurpateur tumant
à hierre,
lierre
deviendrait
un
barbarisme
notre
où lierre figure honorablement, âge classique, fait cela au dix-septième déclarant siècle, quand, adverbes
au lieu
de prépositions qu'ils avaient de beaux vers de Malherbe et
et tous les vers de insupportable, On n'a que trop seraient déparés. entre
autres
été jusque-là, de Corneille.
dedans, on
dessus,
dessous,
a rendu
désagréables Il est des barbarismes et
pour nous tant des solécismes de conserver, qu'il est moins fâcheux qu'il ne le serait de les effacer. Dans notre D'autres fois les patois offrent à l'étymologie. un secours particulier si l'on prend en considération or... et le sens, on sera mot ornière, le commencement à y trouver un dérivé du latin orbita, roue (l'ornière étant la trace d'une très-porté par l'intermédiaire des scrupules Cependant
roue),
b entretient
Un fait
ornière.
forme
étymologiques car orbita, par
Si orbière
était
non
latine
mais qu'on peut supposer. orbitaria, de Yn au lieu du et la présence persistent, aurait dû donner l'intermédiaire & orbitaria,
part, il éclaircirait quelque rait pas en être séparé. Il est en effet quelque part; le wallon et de la sorte le chaînon est trouvé. nécessaire ornière, orbière,
non
les doutes;
d'une
ornière, a ourbîre,
qui ne pourqui
signifie
c'est que de temps bien qu'il n'ait pas été très-remarque, qui est certain, en temps il s'introduit dans la langue littéraire des mots venus des patois, particulièrement des patois le centre, ont avec lui moins de dissemblance qui, avoisinant Cela n'est le parler. des mots trèsà regretter; car ce sont pour point toujours il s'agit d'objets ruraux et des mots très-heureux; surtout français et souvent quand
XXVIII
PREFACE.
d'impressions
de la nature.
comices
et de congrès provinciaux, à une plume célèbre, grâce
introduction
se fait principe ement par lés journaux, par le mot champi (enfant
agricoles
possible que, usité dans tout Pour de
Cette
langue
graphe. samment
l'Ouest,
prenne j'ai fait
ces raisons, coulent
qui Il s'en
pied
dans
la langue
usage des patois. les patois sont
dans
faut
à côté
l'idée
totale
et à leur
de la langue française, une elle a été nécessairement
qui
est
loin
d'être
des parlers
à
la
ces sources du
portée
dans
classification;
lexico-
ait été suffiprovinciaux lacunes. C'est aux savants et belles-lettres
pas la rubrique fournissent,
les glossaires me l'ont permis; qui ont été publiés je les mets des autres, et souvent elles me servent à la discussion étymologique, des sens
de
Il est
trouvé),
que
fois à la détermination tent
les livres.
toutes
de très-considérables exploré. de province à y pourvoir; et c'est à l'Académie des inscriptions les savants de province. encourager La place que j'ai accordée aux patois est petite et ne dépasse ÉTYMOLOGIE. Là je recueille toutes les formes j'ai intitulée qu'ils du moins
les récits
littéraire.
Malheureusement
le domaine
beaucoup que Il y reste encore
par
tous
en rappelant
à
que autant
les unes quelque-
les cas elles complèa eu des dialectes, et
qu'elle d'être suivant la province, et la localité. qu'avant multiple, Je dirai des langues romanes ce que je viens de dire des : je leur donne une patois m'offrent en corresponpetite place à I'ÉTYMOLOGIE, citant avec soin les mots qu'elles dance avec le mot français ; et là elles me servent à la discussion et à la étymologique
détermination A l'article
du sens. langues
quelques développements que le français y occupe.
dans
le Complément de cette les rapports des langues romanes Pour le moment, je veux seulement
romanes,
c'est-à-dire
avec préface, j'exposerai entre elles et la position expliquer l'usage qui le composent,
de ce
sont les parties indiquer quelles quelle et à quel office elles sont place ces parties y occupent employées. Dans la plupart des cas, un mot français n'est point un mot isolé dans l'Occident, mais il est également soit qu'il provienne du latin, ce qui provençal, italien, espagnol, est l'ordinaire, soit qu'il provienne du germanique ou d'autres sources. Cette simuldictionnaire,
ne peut pas ne pas être consultée pour I'étymologie; I'étymologie, des acceptions et sur leur filiation. réagit sur la connaissauce primitives il devient nécessaire de faire une place, petite sans doute, mais déterminée, des langues mot qu'elles ont en commun. romanes, paraison pour chaque tanéité
à son tour, Et dès lors à la com.-
IX. ETYMOLOGIE.
a pour L'étymologîe santes, et, reconnaissant
office le
de résoudre sens
de
un
mot
chacune
de
en ses radicaux ces
parties,
ou parties compode elle nous permet
PRÉFACE. concevoir
comment
primitives
aux
d'une
est primaire
française,
l'allemand,
au
comparaison
pour
Dans
le mot
que
mais
les mots; est plus
il n'est
il procède
pour
comment
enseignent
: ce qui jette
de l'étymologie rique • Mais l'étymologie
rations
de
subsiste
sans
règle,
une
science
conjectures
plus
encore
sans
méthode,
la
par
chez
nouvelle
forme
apparente
aucun
moyen
gination;
des
et l'ancien
ne
mots,
de traiter
les cas les
tellement
ces conditions; elle
est.douteuse;
tout
arbitraire
qu'il
de
irréduc-
et seulement mot
chaque
que
soit
résolu
ancien tous
pour
secondaire,
qui
documents fait
préexistant,
plus
français
le mot
prend
et précieux
fonds
s'il
les
qui
des mots
éloigné
et moins
se fier,
et dépasse-t-elle
la s'il
subit, ne
est éliminé
peut
histo-
et
consulter
et difficiles sans
l'étymologie la subir,
à ses
c'est-à-dire
sans
les
ne naissent
Les
cas par
limites,
applicaqui les et la
savants
la signification
que
sinon
est une
langues
: ils n'avaient
simples
la conjecture,
et l'ima-
ne s'agissait
puisqu'il
que
et à la forme. sont
L'étude le mot
des
dans
fut,
l'expérience
d'observation.
que
des aber-
l'impression
L'étymologie
la méthode,
recherche
au sens
sous
? Cette
plausibles
scientifiques,
et la comparaison
étaient
; ce sont
restés
suscitèrent.
La règle,
et
ingénieuses
recherches
étymologiques
remplir;
moins esprits,
complexes
a disparu.
faut
ou
réussissaient
quellement
tâtonnement
de conditions
pour
on puisse
à laquelle
ne pouvant
aberrations
les recherches
Désormais
de
d'étymologie,
et dès.lors
de satisfaire
d'un
qu'elles
expérience.
de l'esprit
s'occupèrent
premiers
ils ont
termes
radicaux
de l'étymologie
le terrain
sur
de bons
des langues,
comparaison
toute
tion
est-elle
et des moqueries étymologiques la condition dans de toutes
débuts,
que
du jour
de
secondaire
que le problème
à l'aide
est pri-
primaire.
le caractère
appréhension
les
on a d'amples
peuple,
à
la nomenclature.
et sur ce terrain
historique,
d'un
l'esprit
et des significations
jamais
et plus
d'isoler
est de trouver
certes,
au latin,
mais
autant
de la signification
faut,
beaucoup;
de nous
rapproché
à résoudre
11 s'en
faire
en
alleinande,
connaissions,
que de l'étymologie
question
et l'origine
moderne.
il l'est
et d'en
ou
ce sont
s'efforce
qui
le sens
Le problème
leur
le celtique;
slave,
primaire,
en fut
nous
et,
romane,
des mots
ou grecque,
à langue il s'agit
quand
l'étymologie
la plupart
pour
d'ascendants le
et
simples
d'une
secondaire,
Ainsi
remontant
pas
quel
le mot
autre.
n'ont
l'étymologie
dont
en devenant
d'une
il s'agit
quand
de mère;
point
latine,
française.
ancien
connaît
l'étymologie
ce dictionnaire,
de la langue
ne
le zend,
des significations
passer
: primaire,
Puis
de déterminer
tibles,
secondaire
etc.
grec,
le sanscrit,
frères,
pour
complexes.
ou
est secondaire,
ces idiomes
maire;
et
dérivée
historiquement
particulier,
des
on
historiquement, langue
a procédé
dérivées
significations
L'étymologie laquelle,
humain
l'esprit
xxix
sorties
de cette
a établi
comparative l'on
que
est elle
les conditions
considère
bonne; est
s'il
un
certain
est soumis la
mauvaise qui
rudimentaire
période
décident
subit
;
nombre
à l'épreuve
de
incomplètement,
et à rejeter. de la valeur
De
la
sorte
d'une
éty-
xxx
PREFACE. ce n'est
mologie;
rénumération
çaise, mutation mots 1.
Le
sens
ou prendre
si on
étymologique;
de laudare.
Mais
très-prolongés
L'ancien
français
on
le verbe
que
le consulte,
à une
maison,
étude
exacte
une
et des
habitation
grand i n'ont
le sens
nécessaire
forme
soit
radicaux
de radical; mot
différents témoin
en sont
les
Je comparerai
passage
d'une
langue
à l'autre
se transformer,
à l'autre
de l'homme,
Semblablement,
se change
les os,
quand
ce mot
comme
pour
l'anatomiste,
Il faut a
tomie truites;
pousser ses
signification, deux des
côtés, règles
loin
monstruosités
la rien
contexture qui
secondaires,
en
d'un
français?
siennes,
parties c'est-à-dire
l'orthographe
les règles; partie
rudimentaire
deux
parts,
elles
constituent
l'anatomie
des du sont des
et se
fautes mot.
Ces
des
accidents
cas
qui
se perdre, rendre dans
le passage
le
d'un
est formé en
mammifère_, d'un
?
ophidien qui
en sont
pour
l'étymologiste
mais
qui se modifie. L'ana-
l'étymologie.
sont de
pas
doit
allemand
pas,
qui
de commun,
pas
d'un
Des
d'un
Des mots
les os dont
ou
d'abord
Les lettres
que
latin
une
ou des juges.
littérales
de devant
essentielles
fut
l'étymologie
mot
entre
attenant
n'implique
ne peuvent
deviennent
par
rurale
rien
à l'heure.
qui ne s'évanouit
squelette
des
n'ont
métamorphoses
en patte
la comparaison
ou
abolisse
lettres
en mot
où
a les
l'étymologie
les
la cour
le sens.
anatomiques
avait
façon;
des princes
se perdent, les
libre
l'habitation
tout
à celui
empêcher,
de forme
; elles
en membre
baleine,
il y a un
plus
si elles
se change
d'une
deviennent
cités
métamorphoses à étudier. Que
ce bras
que
louer
volontiers
aux
en nageoire
oiseau,
l'identité
constitutifs
ou,
donne
quand
; mais
les deux
éléments
déchet.
d'animaux
à l'origine,
autre
louer
aucune
que
que
soit
présentement,
En
puis
moins
de ce
d'un
de maison;
Dans
conseille
qu'il
espace
montre
quel-
y verra-t-on
ce
de justice?
concours
non
divers,
significations.
cour,
d'un
compte
aile
dans
l'histoire,
de cour
détours
rapl'autre
locare,
se laissera-t-on
temps, mot
aucun
qu'anciennement
est
que
le bras
détourné
de résidence
elles ne peuvent
ordre
sur
appuyée
loue
relevée
à des
un
conseille
cour
de
conseiller;
la signification
l'identité
composent
de
et même
les les
d'où
et appartiennent toujours
le sens
chercher
vient
par
prennent
qui
ou encore
plus
franc,
même
Quelques
d'étymologie entre louer,
Ainsi
faut
: l'un
que
de notre
seul
de prince,
d'où
de
règles
latin.
a point
de sens. il ne
non
de là ce sens
un
significations,
La forme pas
cour
les
Vaccent
n'y
qu'il
s'égarerait
avec
exemple
de voir
clair
l'éloge,
tromper
Celui
l'éloge; un
rurale,
seigneur
2.
fait
des sens,
on
loer,
Non.
mentionner
la différence
faire
à suivre,
louer,
laudare?
il en
Et pour
pris*
et louer,
difficiles
trouve
et
communauté
point
pas se laisser
et
la filière
fran-
l'étymologie
la forme,
: le sens,
il est
en cherchait,
il ne faut
quefois
chose
n'ont
à location,
pour
de ces divisions. condition;
qui
Voici,
sont
rhistorique,
chacune
mots
ce
conditions;
la première
deux
ni l'imagination.
langue,
sur
est
entre
donner
ces
à chaque
nécessaires
possible
port
de
propres
sont
qui
la conjecture
plus
déformées toute
nature
infractions
particuliers,
qui
ou sur
déla
n'ont,
des
partie
ont
expliqués
ou
en
PREFACE sont
Ce
inexpliqués.
les
règles
faute là même où l'on y a de la faute, et de diviser et
altérée
partie
Parmi
mutilée
les lettres,
; Ve bref
de plangere
entre
porter
sons
un
à un
conduit sur
le même
dre
garde
si l'on
ne
mais
usque,
forme comme
est
l'est
la
l'exigence
mesurer
même aucune 3. lettres.
française,
il est jorn, de
provient
Toute
du
forme
mode
uniforme
selon
latin.
Il ne
pas
faut
grande
tantôt
et prime instinctive,
réglant,
et qui
cas les
en
italien,
plus
la
d'une
et
qui
groupe
variés,
par
tel groupe
espagnol,
mot deux
du
d'une
imposa
de lettres
les
en
en roman. provençal,
à
servir dans
diurnus,
lui-
qui
n'ayant
plus
de permutation
des
de
mais le
permutation
modifie
un
même
mot les
capricieusement soit
rendue
là aussi
cha-
par
la régularité
à l'origine,
permutations est
aussi
permutation;
traitent
eut,
la
souvent,
et jour,
combinaison
en latin
de lettres
inaduro;
romanes
romane
langue
effet;
changea
règles
Non,
au
composé
latin
de
par
autre.
tient
se transforme;
règles
règles
langues
la même
lui
des
en
tient
et
;
à l'autre.
les
entend
ces
l'un
qu'on A pre-
qu'il
peut
dies
liés
langues
que
que
tel
en
des
Chaque
spontanée,
tous
On
tantôt
façon,
qui
pas
forme.
fit que
maturo;
dépend
effet,
de lettres,
un
étroitement
chacune en
croire,
Jour
pren-
d'adverbe se
g sifflant.
sont
eu,
ayant
ne
sur
les exceptions.
propre,
les
mot
di latin
très-certainement,
rattachera
lequel
latines
combinaisons
d'un
ou
par
giorno,
que, en
on
en y ou
sorte
fait
jusque
doute y
nous
doit
adverbe
Il
usque,
de
intus);
italien
en
mot
à de
on
la figure.
notre
démonstration.
: or
un mot,
loin
sans
verbe
est
louange
changé
entreverra
se dénaturer,
mais
influe
permutation
{de
si bien
dies;
commune,
A la forme
d'elles,
sans
la
mène
qui
de
parcouru,
on
état,
le
; ce qui
le sens,
bien
être
peut
combinai-
ancienne)
que
pour
en ont
qui que
fournir
ce
dusque,
toute
cune
en
dans
langue
lettre
pouvoir
l'oreille
ce
cet
préposition
l'espace
l'ancienne
dans
comme quelquefois
gradations
exemple,
est
qu'il
sans
primitive
par
la forme
sup-
peindre
: c'est
emia
sorte
guère
les
ai,
l'orthographe
de
au mo-
naquirent
représente
en effet;
et plaindre
ne put
par
en
parmi
Mais,
compliqué
est
; et,
pingere,
et ainsi bien,
ce suffixe
conduisent
les
pas
saura,
tant
spécule
Pour
latin
et
hommes.
etplaingre.
d;
plus
telle
correcte
des
française,
moins
(car
existe
qui
du
peingre
peu
et
qu'il
conditions
les voyelles
que
dentale
un
que
; elles
tient
ne
est enge
que vendange.
si on
la
les
et
temps
l'oreille
ei ou,
par
laudemia,,
du
résulter
ou
régulière
Y oyez peindre
moins
apprend
partie
persistantes
/', que
ou plutôt
transformations
on
du
Louange
nous
bas-latin
aux
vue,
sous
im.
ange,
modèle
méconnaîtra
latin
suffixe
plus
il en devait
de rendre
em,
de vindemia,
vendange,
mière
in,
en,
avec
louer,
fut
en
dire
de
permettent
circonstances
erreurs
les brèves.
n et la liquide
l'habitude
latines
domaine
l'oreille,
qui
les
connaître,
sont
que
positives
inévitables
disparaissant,
la nasale
et plaindre;
le
les
plus
de la transformation,
ment
tout
les consonnes
les longues
"les voyelles,
peut
par
et
générales
ne
xxxi
son
euphonie
de lettres
uniformément
en
rendu,
Le latin
maiurus
inadur;
en
est
les dans"
devient
français,
ineiir
:
PRÉFACE.
xxxii mûr.
par. contraction, même mot peut être et,
du
possible
que
traité
latin;
par
aussi
supprime
de plus
la consonne
un
caractères
est
et efface
des
et ce qui
romanes, On
peut,
dans
soulcier
(soucier);
cogitare,
cuider;
souvent
meùr
loyal,
etc.
a deux
(mûr); Enfin,
avec
fond
autre
et
aurait
dit
sauf
etc.
vient
On
fluence Quant naison oraison potionem,
latine
; la finale poison;
ou il : periculwn, maille;
la finale
La
français,
qui
le reste,
du
le français mentionner
Surtout,
notre
d'ailleurs
finale
se disait
ilia devient
aussi
l'ancien
dans [vesque
ayant
vesque)
provençal,
en
je me contente.de
noter
aison
: sationem,
venationem,
ou tionem
se change
suspicionem, péril;
: en
du mot,
devient
sionèm
et encore
pour
soupçon,
vermiculus,
altar,
respectée
s suivie
mots
la facilite estreindre
tels
que
a dit
langue
telle
que comme
très-rares,
arena,
de t en c dans pas ces suppresle sable, badia,
français, été
li vesque
que
formé
italien,
statue, especial
initiale
partie
d'une
une
par
in-
vescovo). : la termi-
ces particularités venaison
; orationem,
en son : mansionem, maison ;. généralement devient eil etc.* La finale iculus, icula, iculum,
vermeil;
eille : mirabilij-,
saison;
autre;
; stringere,
le changement ne se permet
rena
d'elles
pénible,
les
cette
langue
comme
une
par
(le
l'une
général
des exceptions
que
de tremere.
citer,
en
espèce
conserve
aversaire
: aller',
l'ancienne
de ranuncula;
guère
est
que
apparentes;
l'italien,
mot
legalis,
le français
bien
articulation
comprend
qui vient
dans
son
; species,
(écrire) On
le
commence
cette
le latin,
etc. ; ou
modifier
le mot
féal;
adversarius,
avoué,
trouve
etc.
dans
une,
initiale où
escrire
plus
en
partie celui
ou italienne
ationem
consécutives
g-renouille,
qui
à la partie
sont
advocatus,
cas,
Pour
ne peut
provençale
Il arrive
etc.
esmer,
(adorer)\fidèlis,
il en supprime
des exceptions
que
aérer
pour
(épais),
fréquentes
li evesques,
pour
seul
on ne peut
qui
abbaye,
etc.
le
estatue.
sont
bien
moderne),
espois
craindre, qui
: ou
antécédente
un
adorare,
consonnes
: scribere,
du g- dans
sions,
deux
alors
l'addition
; oestimare,
(moutier);
(reine);
autel,
la donne;
le latin
sollicitare,
moustier
monasterium,
convoiter
dans
sont
renie
ne sont
etc.
accentuées
comme
latin,
:
suivantes
regina,
le français
spissus,
spécial,
du bas-latin,
ou règles
prosodiquement
mot
(métier);
latin.
aïeux
e prosthétique
(étreindre);
les habitudes
non
du
contraction
du
fond,
langues
nos
aujourd'hui,
un
par
les syllabes
au
des mots
autres
aux
rapport
finale,
le rapprochement des voyelles, ce qui produit avoir aimé : securus, seùr maparaissent (sûr);
quand
consonne;
non
cette
médianes
consonnes
voisin
le provençal
semblablement
par
autres
aussi
un
est supprimée,
la voyelle
le français,
par
les
français,
entre
mestier
de les traiter
dans
du
est
intermédiaire;
efface
qui
en apparence,
mot,
mot
consonne
modes
autier,
une
que
d a reparu se
résulte
consonne
comment
: l'italien
langues
Supprimer
citer
ministeriurn,
rapprochement turus,
le plus,
du
la
montre
diagramme
quatre
le français,
médiane.
le corps
ou
change
spécifiques
cupiditare,
qu'une
des
le français,
d'où
supprimées,
chacune
la finale;
l'écarté
pour
en général,
tableau
l'espagnol
la change
latins
petit
Ce
la finale merveille;
alla
devient
la finale
aille:
aculum
animalia, devient
au-
souvent
PRÉFACE. ail': suspiraculum, arius
devient
aticwn,
aire
ou
s'exprime
nent
de
d'un
Ces
à songer,
sert
i,
la
théorie
en effet
ronger
de notre
élégante
étymologie
en effet,
la forme
complète
dès
tout
clair
lors
est
la finale
oetatem; latin
oetaticum,
oetas.
Ce
réel
de commun
étymologie c'était
tour;
tement
un
est
quelle
la
non
à la
4.
U historique,
fournit
les formes
et de
ces
sécurité, rique on
est
qu'il
dépendait
cercle
vicieux.
le
direction
fixe
ont
elce
importe, ou
une
série
il n'y
des
textes, oeta,
conteste
des
répondre
du
latin bas-
ils n'ont
rien
Ceux-ci
étymologistes.
semblable;
edage;
et le latin
âge
le comprend;
de
une
à un mot
le français
rien
les
par
contraction;
thèses
en
pour
ne jusà
dépendaient on
sait
exac-
à la forme
romane complètement
on
ne fait
que
mettre
assurée;
cela
sert
à représenter
données
par
des
comment
on
a
guère
; et
l'expli-
non
pour sait
évidentes
chemins
mais, il
faut
est-ce nom par
des
on
a un
latin;
? C'est cela posé,,
exemples
elche; puis, par le changement DICT.DELALANGUE FRANÇAISE,I•
C'est
que
suffisants connu
vient
les lieux donne
de
le latin
de el en
eu ou
Quand la forme
prend basilica,
qui portent
baselche,
que
d'histo-
atteindre
le chemin
basoche
basilica
défaut
avec
de métier.
pour
historique,
tous
cherchée
parle
les noms
ouverts
Ainsi
s'engager.
être
puisse
d'expliquer sont
certain
qui de soi.
divers
quand
les langues romanes, la connaissance de ces formes
Sans
d'étymologie
de cas impossible
laquelle
basilica car
vieux
plus
qui
peut
d'ailleurs
étymologïes
primitif;
dans
de basoche
bas-latin
une
intermédiaires
en regard des formes diverses et les significations primitives.
sens
; mais
ces
Aujourd'hui
en
on trouvera
entre
anciens
ruminer.
façon,
sans
parles
on la reconstitue,
en beaucoup
est certain
remonte
on
l'épenthèse
de fait
et ils inventaient
de
par
représentant
formés,
permutation,
qui
pas,
la conjecture,
que
imaginés
les
eda,
d'intermédiaire ainsi
; elle
ea ou
et l'on
bas-latins
de
significations,
primitive,
peu
sert
qui
forme
est
: comparé
ronger
indique
fois
de beau-
est vérifiée
circonflexe dans
Une
est proprement
assurer,
et,
ici.
dit,
De la même
aage,
mot
verbe
ronger
que
pondre.
la.comparaison
le
l'in-
fonder.
je parle
n'a
du
règles
ne la trouvant quand, sous les yeux du lecteur cation,
ou
aticum;
fictif, mots
les
pas
leur
leur
: l'accent
avec les intermédiaires
connaissaient tifier
les
âge
po/i're,
de rwnniare,
pour
ruminer.
eage
représente ou
sont
que
est
de sorte
pour
: le corps
âge
viendra
suffirait
mot
Prenons
w
souvent
suffisent
par
provien-
Le double
r exige
ponere,
obtenues
clef.
ronger
d'une
a tiens,
onge,
songer.
davantage,
ainsi
;
suivie
La finale
La finale inge,
somniari,
vendredi;
d'étendre
d'une
rumnare
enge,
finales
h'n
été
comme
pour
, que
disent
qui
ont
Les
de werra.
facile
de somniari,
d'un
déduction
patois,
s'en
vient
qui
très-commune Cette
serait
premier.
singe;
dies,
miracle.
primarius,
: simius,
veriris
dies,
qu'il
voyage.
: guerre,
d : veneris
on
cas,
contraire,
omnia
de permutation
règles
de
coup
ou
parg-&
exemples,
les
omia
acle : miraculum,
simplement
: viaticum,
âge
imius,
se rend
tercalation
quelquefois
ier : contrarias,
par
emia,
germanique
que
soupirail;
xxxin
une cela
le nom
réel ou fictif,
ilica ou 7ïice donne o, baselche
devient
xxxiv
PREFACE. avec
basoche,
le sens
leurs
Il est
l'accent
tonique
sur la syllabe
convient,
puisque
la basilique
encore
un où un
signaler
les
de cette
circonstance,
position
ou par
le sens
cas
mot
intitulé
à ce mot
avait
que
appris
de tâcher fourni
mes
manquée
radical
tiennent lente
on
a commencé
plus
aujourd'hui
que
l'expédition
tiens
qui
les détourna
que
devînt du
un
dans
S.
par dans
qu'elle
espagnole, dra
donc
tout
terre
est,
les
langues
trouver
un
pour
réduit
dans
une
sainte
souvenirs
doit
avec
mot
par latin
l'instrument
; ces pertuis
Pour
qu'une
étymologie
du
mot ; quand
faut
exemple, qui
qu'elle le mot
convienne
rien
moins
les
Véni-
de cette
ville, grecs, et
langue des
parti
y
rives
Rome,
il s'est
obscurément
de
nom,
une
désordre.
passer
française
dégradant;
de la seconde
ce n'est
princes
notre
de
général
avec
des
à
française.
fallu
traité
ren-
de Galata
enfin
la prise
se
toujours
et du
aux
excel-
de Paris;
dans
parle
une
le sens
s'introduisît
au
con-
prendre
Il n'a
Il
fortuites,
tour
à la place
française
allé
n'en
et venons
la langue
Constantinople,
dynastie
à plusieurs,-il Soit,
sur
fait.
le domaine
Quittons
leur
siècle,
été
songe
Diez
à
public
que m'a
Scheler
haute;
mot
nous
tourna
ce petit
j'appellerai
maison.
douzième
est
romanes.
ou
provençale.
spéciale
Galetas
à la condition
romanes
un
comparaison
le mot
lesquels
fournir
édifice
on
de ces trouvailles
venue
ne
nécessairement
et orgueilleuse
d'un
n'irait-on
dont
valets;
vérifiées,
que
recueil
siècle
sur
sage.
que
la haute
de la pauvreté
par
réfutées
? c'est
étrangère
des
le plus
de l'efficacité
localité
l'éclat
les demeures
satisfasse
les langues
vulgaire.
était
d'un
de ce genre
cas
chambre
calata,
ni par
malencontreux
la main des
la décom-
où
étymologie
mis
partie
d'une
d'une
dans
La filière
pertuis nent
nom
terme
Bosphore
perdu
de la
une
significations
du
vient
d'alors,
lui
l'ignorance
par
Chouette),
? Un
de
ni par la forme
de plus
station
l'acception
de la fin
momentané le
est
misérable
croisés
pas
est
à une
appliqué
des
n'avaient
des
le croirait
quitter
qu'un
l'établissement pour
dans
rien
donner
être
Dans
espiègle
financier
pu
document,
si loin,
par
il s'est
puis
de
d'un
arabe,
Galetas
qui
qui,
mot
c'est
? Si le dix-huitième
significatifs
j'ai
pas plus
explication.
Constantinople
tour,
un
qui,
; en effet,
preuve
ainsi
devaletostasis,
de tout
particuliers seuls
Galata
a cité
de la
y aurait-il
qui
qui ne peuvent
seignements
dite
en éléments
le tire
Miroir
plausible
économies,
devanciers
en l'absence
des conjectures
est
que
la justice.
l'étymologie,
ne tient
ne savait
(le
où se rendait
à interpréter
d'origine,
; d'ail-
[basilica)
fortuite.
cherchant
Si l'on
et de la sorte
Ménage
de galeriece qui,
pas,
qui,
étymologie
ce mot
mes
de galetas'
s'agit
une
lectures,
tous
par
un
Eulenspiegel
et les
à décomposer
par
lieues,
mot
à
rend
circonstance
à mille
la silhouette
les réformes
une
par
de la langue.
élément
pas en cherchant
en ridicule
s'établit
accentuée
un édifice
désignait
que'l'historique
on s'égare
de facéties
pas
service
la ressemblance
à aucun
allemand
autre
est, en latin,
qui
sont
les formes soit
à la
fois
est
à encre
dit
il ne
suffit
commun
pas
à toutes italienne,
inchiostrô", et
de
appartien-
à la condition
l'italien
suite
lui
qui
valable,
ce mot
satisfasse encre-,
ce
à inchiostro
il fau;
ce
PRÉFACE. mot
est
latin
encaustum,
d'encre,
dès Isidore
pourpre
réservée
l'accent
avec
latine
le français
présente
la forme
gio),' fait
connaître
où
la seconde
consonne
verbe
aller
si difficile,
et,
laisse
pas passer
toutes
aner.
Il est malaisé
peu
: où
filière très-bien Si on
l'italien les prend ; si on
La particule
les prend
avec
forme;
possible bout
la filière
: mes
(inesprezar,
menos
a affaire;
minus',
moins,
la nasale 6.
Enfin
est
syllabe.
L'accent
sur
les parties,
qui
comme
bloc
que
deux
dernière,
Ys, mes,
dans
Ce n'est
dans
nomme
un
mot,
peut
l'unité
en
la recherche
se
-sur dans
et,
être et qui
de syllabes
dit
l'âme
fait
que
une
du les
mot;
indépendantes.
places
: la dernière
syllabe,
quana
la terminaison
est
quand
féminine.
En
croirait sens
serait
et im-
jusqu'au
et en
mens, portugais
allemande
miss
à l'adverbe
latin rare
non
de
c'est
dans
Ainsi,
lui
syllabes français,
qui
raison,
l'avant-dernière en
subordonne
n'apparaissent il n'occupe
la terminaison
est masculine
L'une
de ces
et l'autre
l'élévation
accent,
sur
de
romanes,
étymologies
il est
diverses
on
exem-
mis en italien.
syllabes.
raisonnable,
des
provençal
c'est
simplement,
des
la garantie
et poussons
la suppression
des
ou,
de la trans-
mis,-il
espagnol
de la voyelle,
tonique
fait
par
le français.
a même
en
la
donnerait
vue
dit
un
tous
est un
qui
ni menos;
et,
et même
plausibles.
pas à la particule
menés,
mens,
dans
loin
mépriser),
accent
syllabe,
tonique
informe
est,
plus
parallèles,
donc
ni
qui
mots
altération
par
latin
la dernière
y crée
ni mens,
menos,menes,
tonique On
les
moins
mis),
langue,
perd
etc.)
l'italien
en es-
ou
A première
anglais
allons
Mais
devient,
puis,
(en avec
ou menesprezar,
donne
Y accent
qui,
et surtout
menosprezar).
qui
l'accent
un
mis
la filière.
miss
conclusion.
mensprezar
importance. voix
seul
elle ne donnerait
devant
première la
ou
(inenospreciar,
qu'on
allemande
particule
à cette
de
andare;
qui
on
ou
mespriser,
qui ne
compte
différents,
mésuser,
la nécessité
le français
d'échapper
menés
de
la
rendre
à du
traversent
(aditare)
plus
met
la filière
le sens
qu'ils
conjectures
(mésestimer,
particulièrement
représente
même
mes
des
que
gg (selvag-
l'ancienne
le provençal
ne peut
sylvaticus,
l'étymologie
c'est
par
plus
des radicaux
ayant
plus
on
radical,
rend
dans
se touchent
ne donne
de
: en italien,
et aussi,
aller,
qui
seul,
même
n'a
sont
sur
le provençal
présent,
il est impossible latine ; telle forme
arrêté
comme
et on
jusqu'à
mais
était
ayant
ce qui
revanche,
latine,
qui répond
par les deux
; enfin
de
l'accent
âge,
; sauvage,
consonne
ces formes
ces mots
est
s'il
péjorative
où ressort
qu'elle
l'autre
comme
En
en français,
différents;
andare,
d'une
plus
avec
la finale
l'italien,
masquée;
romanes;
dans
: dans
encre
: l'une
grecque,
satisfaisante
impraticable
anar;
mots
passe,
de la comparaison,
ples
dire,
les formes
des
l'un
formation
à vrai
de voir,
la forme,
par
avait
une
prononciations
exemple
à celle
passé
désignait
; l'autre
pleinement
(selvatge).
en provençal,
andar;
Autre
est le plus
l'étymologie que la finale
découvert
pagnol,
est
deux
inchiostro
encre.
la filière
aticus,
encaustum
avait
l'italien
était
d'encaustique,
et sacrum
Encaustum
a donné
cous,
signification
siècle;
à l'empereur.
sur
la
et le sixième
en (£yxaucTTov),a donné à la finale
de
qui,
xxxv
places
pas jamais
; l'avantont
leur
xxxvi
PREFACE. dans
eaule
l'accentuation
centuation
la syllabe est
sur
sur
an,
cette
en latin les
provençal;
de
possible
puissance
de l'accent
le mot
la syllabe latin
car
accentuée,
son
littéraux
qui restent;
toujours
sur
terminaison meure
recherche
limites
les
on
règles,
limites
plus
et plus
en dernier
tous
les
les formes
l'historique, discussion C'est généralité
une dans
fois
partiels;
j'ai
usé
ici
passé
que
dès lors
on
sous
un
de la conjecture.
et celles
pour
langue travail Aussi
j'ai
la première
française.
cela
puis,
les
éléments qui porte
l'avant-dernière
en
qui pèche
contre
doit
l'ac-
remplir.
à quelques
songeant En
il de-
et valable.
précise
dehors pour
; car,
pour
l'outil
entre
placé
discutée
de ces
ce qu'elle avoir posé
romanes,
les
mains
beaucoup
à fond
romanes.
en tirer fois,
tout
l'étymologie qu'après
à
que
les emplois,
les significations,
des langues qu'à
la syllabe
communément.
à savoir
plus
au
rapport
par
mais
les langues
être
peut
yeux,
il ne reste que,
ne
accentuées;
uniquement
ce dictionnaire,
elle
non
romanes;
en
mis
Cette
singulière-
la protègent.
dans
ne le croit
les
dire
a seulement
est
mutile
l'étymologie
donne
qu'il
brève;
explication
étymologique
sont,
de
effet
on
l'habileté fait,
des patois
de la est
qui
qu'on
qu'en
rassemblés,
l'étymologie
garde-fous
articles
ce dictionnaire
travaux peu
des
ont
des
étymologiques
lieu ; c'est
documents
j'allais
tout
nombreuses
la composition
et,
s'exerce
d'avoir
étymologie
désormais
en
accentuation,
langues
quelque
que
l'assurent
qui
difficultés
d'ailleurs
pas
modernes,
loin
que
déterminées
de ces limites est
grandes
pour
la conjecture,
Les
fait
toute
a des
de l'ouvrier.
Dans
elles,
conditions
En dedans
vaut.
comme
italien,
domine.
entre
et sur
lo.
la syllabe
conserve
qui
masculine,
sur
passe
en
sa forme
et propre
les autres
les
commence
sa nouvelle
se fixer
mot,
les syllabes
l'oreille
par
autrement
si elle n'a
ou
exigée
sa place.
do,
et la voyelle
On définirait lui
anciennes
rêveries
établit
qui
langue
médiane
garde
les
règle
dans
une
en terminaison
syllabe
est à rejeter, sont
le français,
l'euphonie
et de la sorte
pour
Considéré
l'accent
c'est-à-dire
le français, sur
dominos,
espagnol,
la
En
jusqu'à
chaque
règle,
que
portent
la consonne
suivant
la dernière
avéré,
Telles La
d'ordinaire
féminine.
latin
cent
je définirais
la
dans
respectée.
en
grecque.
et vient
sur
Dans
français,
montrant
remarquable
toujours
le mot
reconstruit
en
ces mutilations
toutes
origine,
supprime
en
confirment
expliquer, surtout
est
accentuée
et dans
fait,
est
latin;
accentuée
se déplace
latin.
l'ac-
tonique
l'accent
longue,
est d'abord
qui
à l'accent
l'accent dominus,
l'accent
l'accent,
elles-mêmes
les
animas,
que
simple
l'accentuation
recule
soit
alors
obéissent
exceptions
anima,
aussi
règle
que
latine
la finale
que
longue,
la syllabe
une
compliquée
dans
dolôrem:
romanes est
toujours
ment
est
: dôlor,
les langues
accentuée
peu
pénultième
avoir
: la langue
Ainsi
il importe
pénultième
Toutes
mots
du mot.
dom-
si la syllabe
moins
en deux
antépénultième
sur
Mais
essentielle
sans
Celle-ci,
est beaucoup
française,
la règle
voici
latine.
Les
éléments
de la
le meilleur
parti
possible.
trouvera
traitée
dans
on
Jusqu'à
présent
d'ensemble.
Habitué
aux
reste-t-il
de notables
il n'y méthodes
lacunes,
a eu
que
sa des
rigoureuses,
surtout
pour
les
PRÉFACE. de métier,
termes
si l'acception
toujours prochements
ne s'intéressent
toire
figurée.
complet,
et que
de recherches ont
Cet
la curiosité.
intérêt
dans
importante
j'ai
Il est,
ni
un
ni
peu
les
d'esprits
qui
qui le
s'occupent
aloi.
d'une
idée
Pénétrer
dans
en plus,
l'his-
encore
dans
de plus
et,
sous
comblée.
à l'appui
de mauvais
et pour
sera
ceux
origine
de l'histoire;
des rap-
aurant
le dire,
fois
de savoir
bien
que
lacune
on peut
une
le présent
pour
d'une
d'une
vain
côté
l'espérance
plus
d'invoquer
n'est
on est loin
lesquels
les étymologistes
; et plus
l'occasion
est pénétrer
devient
Mais quand
travail
des mots
et pour
ressortiront
à ce genre
des mots
du passé
ou
excité
explication.
l'intimité
historique
a toujours
de l'étude
d'une
propre
d'un
un
ont
échappé
essai
L'étymologie
moins
est
m'ont
qui
ce premier
yeux
ou
qui rarement
XXXVII
l'avenir.
X. CONCLUSION.
Cette un
s'est
préface
Complément
comme à un
prolongée en fait
qui
tel
dictionnaire
lecteur
une
.pût l'apprécier,
moment,
je rappellerai
.comprend
que,
les exemples
classiques
ciation
discutée
l'article
comporte.
l'une
mon
ou autres
romanes
; car la première,
l'autre
présent,
Les séparer
peut
se faire
première
sans la seconde
est un .arbre
sans
ses racines,
ses branches
Arriver dans
que
à l'idée son
raison,
la
ni dans
des particules
inaltérables,
toutes.
Saisir
notion
de fixité
leur
est
forme,
être
dans
fausse
leur
; celle
dans
Cette
idée
de vue.
Les mots
n'en
négligée
sens,
par une
de passage,
leur
mais
ordre
logi-
la pronon-
consignés,
et de critique du mot
avec
que
les patois
se complètent
parties
de la seconde,
fait jusqu'à
mais
la
est un
sans la première
de ce dictionnaire. ou
l'histoire,
implique
de
celle
présent;
sa constitution
ne sont
ni dans
est qu'apparente.
mouvement
suivant sont
un
encore
distinctes
parties
le
anatomie la compasont
l'étymologie
travail.
mon
leur
s'arrêter
la comparaison,
tourne
ni dans
bien
est l'originalité
tant
l'histoire,
point
que
la seconde
réunies
mot
est le but.
et la fixité
ne peut
les mots
du
desquels
un autre
orthographe,
; celle-là
étendue
pourquoi
autour
là se découvre
; les avoir
fonction
: c'est
les pivots
de changer
plus
ou
emploi
l'étymologie
devenues Par
et ses feuilles
pour
dépend
et s'est
et de l'origine.
sans
fallu,
Ces deux
l'étymologie.
l'histoire
arbre
a-t-il
les rapports
l'historique,
de l'usage
doute,
de grammaire
et les remarques
celle
Sans
deux
du mot
reste
l'ensemble.
rangées
où les emplois
finalement,
veut de
significations
comprend
-, et,
Si l'on
est constitué
les diverses
L'autre
la structure
exposé
travail
il y a lieu,
quand
et les langues
j'ai
du
séparées
questions,
et vivifiant
introduction.
longue
que
L'une
connexes.
dont
et elle s'étend
plusieurs
éclairant
comme
celui
que
traite
et qui
partie
introduites
accessoires,
en explication,
d'explication
leur
emploi.
Ce ne sont
Une
de leurs
conditions
qui entend
lexicographie
importe; de mutation,
ni dans
immuables
car
un
mouvement
de développement
leur pas est
les embrasser existe.
La
est réelle.
PREFACE.
XXXVIII Je n'ai
article
c'est-à-dire
un
sa
à sa
forme,
matériaux,
suffi
échappé.
ches,
je
besoin
et des après
Ce long ne s'est
erreurs.
sans
antéclassiques, M.
M.
des finances;
Huré,
Dans
le temps
différents
travaux,
collection
riche
dire
que
ouvrage
de
besogne
rude,
dans
lieu
aussi
M. Beaujean, la dernière
épreuve
pas
effrayé
; et, comme
doit
être Puis
plusieurs
un vient
pour
et de belles-lettres. Leur
expérience,
moi, moi,
aussi
Une
tâche
il ne la quittera
que
qu'une
telle
issu
B. Jullien,
les deux
mettent
et quand
a le plus
auteur
un
les
du yeux
pai
me remit
une
et à quelques
et de
à l'impres-
songer
une C'est
dictionnaire. aidé
durée
l'a
ne
lui. connu
et bien
épreuves
et
si ce travail
pour
dictionnaire
par
la première
longue
titre
un
passer
le sait,
on
estimés
ces
je lui
que
Faire
normale
d'ouvrages
Cette
connu
Je voudrais,
fût
et le
assidu.
il revoit
aussi
terminée.
ministère
principalement
associé;
de l'Ecole
sous
au
à sa mémoire
qu'un
d'une
au service j'ai
aujourd'hui
français
toujours,
et
collaboration
Sommer,
et de M.
savoir;
d'abord
textes
nommerai
le témoignage
niasse
grosse
suis
je
Je
genevois,
il fallut
est
il y est mon
feuille.
de M.
Tous leur
que
chaque
le secours
publications,
d'une
s'agit
les
dans
de collaborateurs.
d'imprimé,
de l'Université;
de
titre
à l'état
soit
moi
reconnaissance.
de le rendre
série
pour
de Genève,
mais
chose à ses labeurs. quelque d'un travail non interrompu, nouvelle
se
dépouillé
le plus
tragiques
doit
opération
professeur
aux
encore
à une
ce qui
la vieillesse,
qui
du parler
empressé
des
dans
employé
M. Humbert,
est mort;
plus
tout
Pommier,
de ma
suis
s'il
laborieuse
M.
marque
partie
intérêt
à l'égard
matériaux.
compagnon
Glossaire
savant
estimable
des
Peyronnet,
mon
une
son
ont
classiques,
pension;
provisions,
par
manuscrit
surtout
a été
que
de ces recher-
est entré
de mathématiques,
en grande
pris
songer de
mes
ans
quinze
et
véritable
pour
personnes
M.
certai-
trouvailles
l'immensité
qui
les textes
de
des
d'un
ouvert
des
terminée.
préparé
donner
autres
cet je
l'état
cette
leur
pour
et entre
vivant,
il fallut
dans
professeur moi
est
Plusieurs
maître
Leblais,
sera
n'avail
Je n'ai
l'indulgence
homme
dictionnaires,
où j'amassais
après
aide. soit
pour
ce dictionnaire
Quand, sion,
M.
Depuis,
rendu
un
à Saint-Pétersbourg;
d'exemples
sermonnaires. aurais
et sans
des
travaillé
le vrai
est
d'années
aujourd'hui
surtout
longtemps
de beaucoup pour
des choses
à
origine, Cela
employer.
et déjà
demander
supplément
surtout
les
mot,
rassembler
nouvelle,
et dans
pour
un
les exemples
de littérature
professeur
Préface
secours
ensemble
modestie
long
compulsé
Braut;
plus
bien
recueilli
les auteurs,
si grand
au lecteur.
les éclaircir; que
à son
quant
présenté
les discuter,
ni à tous
D'ailleurs
oeuvre
qu'une
fait
un
mot
conception
m'apprennent
d'aucune
travail,
pas
signale
dans
Aussi,
n'ai
omissions
me
fut
de chaque
monographie
chaque
une
pour
les interpréter, tous
une
sur
emploi,
fallu,
réunir
ou qu'on
m'ont
trouve
à les
sait
à son
Il a donc
donner
qu'à
ce qu'on et
les classer,
ni
je rencontre
tout
signification
puis
nement
de moindre
où
été fait.
encore
point
à rien
prétendu
par
de grammaire leurs où
lectures, sont
cou-
"
" PRÉFACE. leurs
signées leur
de leurs
zèle, J'ai
aux
observations
eu
en ce qui
concerne
avait
ments
ces matériaux
il
en
a été
ont
été
avait
en
de tous
les
volumes
in-folio;
je fortifie
Sainte-Palaye
on
ne
peut
des
expressions
de plusieurs
du
que mon
éditeur
s'est
continuée
dans
guant
tous
terminer
trésors
ouverts
à qui
On
les ont
le voit,
moins
que par
mon
et longueur
plusieurs
il faut
agir
en
française, d'auteurs de
près
et ils n'y et avec
manuscrits
sont cette
cent que aide
de Lacurne
veut
mais
y puiser;
est oeuvre
entreprise
et direction.
travail
Spécimen
laissés.
conception un
de notre
un
remplissent
Les
assidu,
de temps.
et,
pour
années
de vie,
comme
si on se les promettait,
qu'elle
me
besoin
du tout.
de santé,
parti-
Telle
Il sera
et la publication
l'impression
sur
; ils
que j'imprime,
nous
est
nombre
grand
lacune.
qui
Lui
supplé-
encore
Quel
de travail?
servir
est le Il ne
et pousser
commencée. en ce qui dépend
est mon une
et s'achève, les secours
du
d'un
auteurs;
et utiles
à!Archéologie
maté-
à la Biblio-
françaiscP
langue
; les
les anciens
de Pougens.
un
préparé
déposés
de nombreux
d'une
OÏL la voilà
mais
à bien,
c'est
ceux
par patience
compter
l'entreprise
se complète
en tant
au point
se les promettre,
la mener
sont.des
sont dans
pris
deux
bibliothèques
tome
qui les conserve,
à mesure
plus
de débiteur.
fabuliste,
peut
immenses
les yeux
jette
remercier
esprit,
pour
sont
de l'Institut
je remplis
compte
conduite
qui
activement
j'y
sans
années
sexagénaire
Pour
ans; article,
seul
a été
pas
trois
mon
et d'un
elle
faut
la bibliothèque
y puiser
est,
dépouillements
premier
le titre
des extraits
les
avait
qu'un qui
tous
de Sainte-Palaye
dernier,
de la
fait
dans
siècle
autant
sous
volumes,
et de Pougens
Ici se clôt culière
c'est
d'un
plus
de
; ses
dire
dois
il avait
du
ai trouvé
des origines
Trésor
s'y préparer,
siècles
ou
J'en
et deux
1819,
Pour
deux
un
projeté
publié tirés.
depuis
recherches.
propres
et j'y
aussi surtout
auxiliaires,
de Lacurne
parler
en exemples
les yeux,
autres
d'in-folio
beaucoup
citerai
des indications
et enfouis
été publié
consistent
sous
constamment
à mes
siècle;
remplissent
fourni
deux
est
qui
Je
cher
politique.
inédits
Je veux
il n'a
dont
français
recueillis
impériale; ai eus
érudits.
de
féliciter
nom
remarques.
m'a
mention
de Sainte-Palaye,
du vieux
qu'il
amis ; lui
sans
me
Laurent-Picliat,
d'utiles
les travaux
de quelques
Lacurne
dictionnaire
je les
et dont
M.
et d'économie
à laisser
assez
jamais
me donnent.
citerai
communiquer
de droit
remords
que
et de Pougens.
me
puis
qu'ils Je
de mes jeunes
longtemps,
connus
sécurité
bénévoles.
les termes
quelques
depuis
thèque
l'un
avocat,
J'aurais
riaux
voulu
ne
je
critiques,
et de la
auxiliaires
il a bien
M.. Deroisin,
ne sont
lumières
quelques
lettres;
morts
et leurs
xxxix
ami.
étroite moi
de son
La plus intimité
donnant habileté
tous
des hommes,
une bonne
vieille
amitié,
celle
pendant
toute
notre
mes
soins
et de sa puissante
fortune
du collège,
à ce livre maison
m'est nous
vie ; et maintenant qu'il
édite,
à ce livre
échue, lie : elle elle
lui prodique
je fais.
COMPLEMENT
DE
LA
PREFACE
ou
COUP
D'OEIL
SUR
L'HISTOIRE
Mon plan, qui a rendu une préface nécessaire au dictionnaire, rend un complément nécessaire à la préface. Eu effet, sous la rubrique historique, je cite beaucoup de textes qui, rangés par ordre chronologique,, montrent l'ordre des changements du langage. Dans l'étymologie j'invoque l'historique; je l'invoque aussi plus d'une fois pour la classification des sens, pour l'explication des locutions, pour des remarques qui confrontent l'usage moderne et l'usage ancien, et de cette confrontation tirent des conseils. Ici donc la vieille langue est auprès de la moderne, lui prêtant appui et lumière. Mais celui qui, pour chercher et consulter, tournera les pages de ce dictionnaire, est en droit de demander : «Qu'est la vieille langue?En quoi ressemble-t-eîle à la langue moderne, en quoi en differe-t-elle ? Est-elle barbare, comme on le pense d'ordinaire, ou est-elle régulière? Que disent là-dessus l'érudition et les nouvelles recherches? Puisque des vers sont cités, de quel genre de versification usait-on, et quel est le rapport de notre versification avec l'ancienne? Puisque le français a déjà duré tant de siècles, quelle en est l'histoire ? Et enfin quel esf; parallèlement à cette histoire, le développement de la littérature? » La réponse à ces questions est dans sept chapitres qui se suivent et s'intitulent ainsi : 1° Des règles grammaticales de Fancien français; 2° De Vancienne orthographe et de F ancienne prononciation; 3° Des règles de Fancienne versification; 4° Des dialectes et des patois; 5° Des langues romanes, au nombre desquelles est la langue française-, 6° Aperçu de l'histoire du français; 7° Coup d'oeil sur l'histoire de la littérature, chapitre destiné à montrer quelle valeur et quel intérêt s'attachent aux vieux textes.
DE
LA
LANGUE
FRANÇAISE.
On ne le dit plus. On employait dessus, dessous, dedans, comme prépositions; aujourd'hui ils sont uniquement adverbes. La tournure plus plus se rendait souvent par d'autant que.... d'autant plus, Et (l'aulant que l'honneur m'est plus cher que le jour, D'autantplus maintenantje te doisde retour. (CORNIULLE.)
En remontant au seizième siècle, on aperçoit des modifications analogues : des tournures tombent en désuétude, d'autres s'introduisent; mais la syntaxe, dans ce qu'elle a d'essentiel, l'esté la même; les rapports des mots suivent des règles identiques, et l'accord s'en fait au seizième siècle comme au dix-septième et comme de notre temps. Il • n'en est plus ainsi quand on arrive aux époques anciennes , aux onzième, douzième et treizième siècles. Alors la syntaxe est autre, ressemblant plus à la syntaxe latine qu'à celle de l'usage moderne. Le trait le plus marqué de la dissemblance, quant à la syntaxe, entre le latin et le français actuel, est que l'un a des cas et l'autre n'en a point; eh bien, l'ancien français a aies cas, non pas six comme le latin, mais deux, le nominatif ou sujet et le régime. La formation de ce nominatif et de ce régime se fait dans une certaine catégorie de mots en vertu de l'accent latin qui se déplace du nominatif au régime, et, dans une autre catégorie, à l'aide de 1'*, qui, dans la deuxième déclinaison latine, appartient au nominatif et disparaît à l'accusatif. Pour la première catégorie je citerai : emperere, empereor répondant au latin imperàtor, imperatorem (j'indique par un accent la syllabe qui porte l'accent tonique); sire, seigneur î. DES REGLESGRAMMATICALES DE L'AHÇIENFRANÇAIS. répondant au latin senior, seniorem; lerre, larron répondant au latin làlro, latronem; donere, doneor répondant au Sil'on rapproche l'usage actuel de l'usage du dix-septième latin dondtor, donatorem; mieudre, meilleur répondant au latin mélior, mëliôrem; pire, pior répondant au latin péjor, siècle, on note de nombreuses dissemblances.Ainsi on disait alors autant comme: pejorem ; abe, abè répondant au latin àbbas, abbâtem ; enfe, enfant répondant au latin infans, infdntem; prestre, Tendressedangereuseautantcommeimportune. prevere ouprovoire répondant au latin présbj 1er, presbyte£CORNEILLE.) rum, et ainsi de suite. On rapprochera de cette caté-
COMPLÉMENT' gorie les noms latins qui, en changeant de cas, ne changent pas d'accent, il est vrai, mais prennent une syllabe de plus, dont l'effet se fait sentir dans le français : hom, home répondant au latin homo, hominem; cuens ou cons, comte, répondant au latin cornes, cômitem. etc. Voici le paradigme : lre catégorie des noms masculins. Singulier. Nom. H emperere. Rég. le empereor.
Pluriel. li empereor. les empereors.
Pour la seconde catégorie, le nominatif se marque par une s qui provient de \'s du nominatif de la seconde déclinaison latine, et le régime par le thème du mot sans 1'* .-li chevals (caballus) ou chevaus ou cheveux;(car les finales als, mis, ax sont grammaticalement équivalentes, sans doute parce, qu'elles l'étaient dans la prononciation), le cheval (caballum) ; li chevels ou cheveus (capillus), le chevel (capïllum) ; li fils [filius), le fil(filiuni), etc. Le neutre latin s'étant perdu dans les langues romanes, les noms neutres de la deuxième déclinaison furent traités comme les noms masculins : li bras, le brac (brachiuni). Enfin, la règle de IV se généralisant, on la donna, pour distinguer du régime le nominatif, à des mots qui n'appartenaient pas à la deuxième déclinaison: // rois, le roi; li chiens, le chien; li airs, le air; la. maisons, la maison ; la riens (du latin rem), la rien; li dormirs, le dormir, etc. Il arriva même, l'esprit de régularité grammaticale s'étendant, que cette * caractéristique du nominatif en une certaine catégorie fut introduite en l'autre catégorie qui n'en avait pas besoin ; et dans un certain nombre de manuscrits on trouve, ce qui d'ailleurs est moins bon : li empereres, li doneres, li enfes, li abes, li homs, etc. Dans les noms de la deuxième décliuaison latine, le pluriel étant en i, par exemple caballi, et le régime avec une *, caballos, la langue d'oïl représenta exactement cette formation : li cheval, les chevals on chevaus ou chevax (on voit d'où vient notre pluriel chevaux). De la sorte, le pluriel se trouve reproduire inversement le singulier, ayant pour nominatif la forme du régime du singulier,' et pour régime la forme du nominatif. Dans l'autre catégorie de noms, le latin étant imperatores, imperatoribus, la langue aurait dû dire : li empereors, les empereors; mais l'influence de l'autre catégorie se fit sentir, et le nominatif pluriel, là aussi, resta semblable au régime singulier; de sorte que le tout devint : li empereor, les empereors ; li enfant, les enfans ; li abè, les abès ; li home, les homes, etc. Voici le paradigme : 2e catégorie des noms masculins. Singulier. Nom. li chevals. Rég. le cheval.
Pluriel. li cheval, les chevals.
Les noms féminins à terminaison masculine, comme maison, cité, salut, etc. suivirent la règle commune de 1'*. Quant aux noms féminins à terminaison féminine, c'est-àPJCT.DELALANGUE '— I. FRANÇAISE.
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dire ceux qui répondent aux noms de la première déclinaison latiue, la règle voulait, au singulier, la rose, pour îeî deux cas, répondant à rosa, rosam; au pluriel, les rose (sans s) au nominatif, et les roses au régime, répondant à rosse, rosas; cela se trouve en effet dans quelques manuscrits. Mais l'usage prévalut de traiter ce genre de mots au pluriel comme au singulier, c'est-à-dire de ne leur donner qu'une terminaison pour les deux cas; cette terminaison fut Ys : les roses, au nominatif comme au régime. Pourvue ainsi de deux cas, la langue eut une syntaxe qui, sans être celle de la latinité, ne futpas non plus celle du français moderne. Dans les emplois où un mot était sujet ou attribut appartenant au sujet, on lui donna la forme du nominatif; dans ceux où il était complément soit d'un verbe actif, soit d'un verbe neutre, soit d'une préposition, soit d'un autre substantif, on lui donna la forme du régime : la fille le roi, la fille du roi ; li chevals Vempereor, le cheval de l'empereur ; plaire le seigneur, plaire au seigneur ; li brans. Charlon et li Rolant, l'épée de Charles et celle de Roland. Un souvenir de ces constructions s'est conservé jusqu'à nous dans fête-Dieu, hôtel-Dieu. Les adjectifs présentaient une particularité : ceux qui, en latin, avaient une même terminaison pour le masculin et le féminin, n'en avaient non plus qu'une seule dans le français. Ainsi, legalis ayant donné loial, on disait uns hom loials et une femme loials, au nominatif; un home loial et une femme loial, au régime. Plus tard, les adjectifs qui, venant des adjectifs latins en us, a, uni, changent de finale pour le féminin, tels que bon, bonne, vrai, vraie, etc. étant les plus nombreux, il se créa une tendance à l'uniformité qui sur la l'emporta règle d'origine, et l'on finit par soumettre tous les adjectifs, quelle qu'en fût la provenance, à la même flexion, et;par écrire loyale au féminin. Mais, quand on reiir contre les textes où l'accord déterminé par le latin est observé, il ne faut pas se laisser tromper par l'usage moderne et prendre l'usage ancien pour une infraction à la grammaire. Au contraire, l'infraction est dans l'usage moderne et la correction dans cet usage ancien, dont nous avons gardé grand' mère, qui serait mieux écrit grand mère, et quelques autres, A la règle des adjectifs tient de très-près celle de la formation des adverbes en ment. Les langues romanes laissèrent complètement tomber les adverbeslatins en ter, comme prudente/', prudemment, et en e, comme maie, malement. Ainsi obligées d'inventer, elles créèrent une combinaison nouvelle qui prévalut non-seulement dans le français, mais dans le provençal, l'espagnol et l'italien; ce fut de prendre le substantif latin mens, mentis, qui signifie esprit, de lui attribuer le sens de façon, manière, et d'en faire avec l'adjectif un composé organique ayant l'emploi d'adverbe. Cette combinaison implique des conditions grammaticales qui furent exactement remplies. Le mot mens étant féminin, il fallut que l'adjectif qui entrait dans cette composition, s'y accordât ; cela fut fait, et l'on dit alors, comme nous disons encore, bonnement,saintement, hautement; on dit vraiement, hardiement, etc. (ces derniers, nous les avons contractés ec. vraiment, hardiment, etc.); on dit loialment, que nous avons changé en loyalement quand les adjectifs de ce genre prirent l'e au féminin; on dit prudemment, l'adjectif prudent f
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étant Je ceux qui, de par le latin, ont le féminin semblable au masculin; nous avons conservéce dernier sans lui fairesubir le changement qu'a subi loialment pour devenir loyalement; mais ce changement, il l'avait subi au seizième siècle, où l'on disait prudentement; ce néologisme ne se maintint pas, et la forme ancienne, quoique en désaccord avec la réforme apportée aux adjectifs, prévalut et demeura. Autre différence de syntaxe : le comparatif n'avait pas dans l'ancien français le même complément que dans le français moderne; ce n'est pas le que dont on se servait, c'est la préposition de : plus grant de son frère, etc. Les langues romanes (car les autres emploient aussi cette tournure) se conforment en cela au latin, rendant de cette façon l'ablatif qui était le complément du comparatif: major fratre. Quant à la conjugaison, la principale observation est que la à moins première personne du singulier ne prend point d's, etc. Ces que cette lettre ne soit du radical : je coi, je ci, formes sans s sont restées dans notre versification à titré de licences; mais, bien loin d'être une licence, c'est une_régularité, car IV, conformément à la conjugaison latine, type de la nôtre, n'appartient pas à la première personne (video, elle cidi), et c'est à tort que de la seconde personne, dont est caractéristique, on l'a étendue à la première. L'imparfait est en oie, oies, oit : je aimoie, tu aimoies, il aimoit: ce qui représente les désinenceslatines abam, abas, abat; le conditionnel suit la même formation : je aimeroie, tu airneroies, il aimeroit. Certains verbes de la première conjugaison subissaient au présent de l'indicatif une modificationqui change le son de la voyelle du thème : je doin, tu doins, il doint, de donner ; je aim, tu airis, il aint, de aimer. On trouve jusque dans le dix-septième siècle : Dieu cous doint. Ces quelques remarques sont surtout destinées à empêcher que les dissemblances qui sauteront aux yeux entre l'usage ancien et l'usage présent ne soient prises pour des fautes. C'était là l'illusion des gens du dix-septième siècle et du dixhuitième ; pour Voltaire, ces dissemblances ne sont qu'une rouille de barbarie qui s'est effacée par le progrès des lumières , et il est plein, de mépris pour le jargon qui se parlait au temps de saint Louis. Mais il n'y a aucun compte à tenir, en ce cas, de son jugement et de tout jugement pareil, car ce jugement était porté en pleine ignorance des faits ; nul ne soupçonnait alors que le vieux français fut une langue à deux cas, et que cette rouille apparente, ce jargon prétendu, dépendissent de règles syntaxiques qu'on admirait grandement dans le latin. Une étude positive témoigne que le français ancien est plus voisin du latin que le français moderne, et qu'à ce titre il faut en écarter toutes les imputations de barbarie grammaticale et de jargon grossier; le latin suffit à le protéger. Ces remarques ont aussipour but d'aider à comprendre les textes de la vieille langue.qui sont abondamment cités dans ce dictionnaire. Un peu de lecture la rend bien vite famil.ière;pournouslevieux français n'estpoini unelangueétrangère où nous ayons tout à apprendre; c'est notre propre. . langue dont d'avance nous connaissons le fonds. Dès qu'on a écarté le voile des différences de grammaire,»dès qu'on a saisile sens de quelques mots essentiels, on devient suffisamment maître de la langue pour lire couramment les textes.
ET DE L ANCIENNE ORTHOGRAPHE II. DE L ANCIENNE PRONONCIATION. Il faut, parmi les difficultés qui déconcertent au premier abord, compter les différences d'orthographe. Bien que l'orthographe ancienne soit le fondement de la nôtre, cependant des changements très-notables sont intervenus ; on s'en étonnera d'autant moins, vu le long temps qu'embrasse l'histoire de la langue, que le court intervalle qui nous sépare du siècle de Louis XIV a suffi pour nous faire écrire une foule de mots autrement que ne les écrivaient nos pères; ainsi nous figuronspar ai ce qu'ils figuraient par oi (j'aimois), par ê ce qu'ils figuraient par e* (testé), etc. Quand la langue vulgaire, se dégageant du latin, commença d'être écrite, on eut devant soi une règle naturelle et toute faite que l'on suivit ; ce fut l'orthographe latine qui fournit tout d'abord le gros de celle du français. A'insitesta donna teste; tempestas donna tempeste; ainare donna amer (aimer), et ainsi de suite. De la même façon, de alter on fit altre; de gloria, glorie ; mais ici les particularités de la prononciation française se manifestèrent; de très-bonne heure, sinon de tout temps, on prononça autre et gloire; si bien que l'orthographe étymologique fut obligée de céder à l'orthographe de prononciation, et que, à côté de altre et de glorie, les textes ne tardèrent pas à présenter autre et gloire. Il y eut même, dans le quinzième et le seizièmesiècle, un moment où, combinant vicieusement le principe d'éty-. mologie et le principe de prononciation,.on écrivit aultre. Il faut dire un mot de la prononciation , car, ainsi qu'on le voit, elle est intimement liée à l'orthographe. Ce sont deux forces qui réagissent continuellement l'une sur l'autre. Quand l'enseignement grammatical est peu étendu et qu'on apprend sa langue beaucoup plus par les oreilles que par les yeux, alors c'est la prononciation qui modifie l'orthographe et la rapproche de soi. Quand au contraire les livres ont une grande part dans l'enseignement delà langue maternelle, .lors l'orthographe prend eriipire sur la prononciation ; la tendance est de prononcer toutes les lettres qu'on Voit écrites, et la tradition succombe en bien des points sous cette influence des yeux; nous en ^avons, dans le parler d'aujourd'hui, de continuels exemples. Durant le cours de tant de siècles et au milieu de toutes les influences dialectiques, la prononciation a dû varier beaucoup , et il est impossible de la faire connaître exactement, nos aïeux ne nous ayant laissé là-dessus aucun renseignement direct. Toutefois, nous en avons d'indirects, et avec cette aide on peut se faire en gros une idée de la prononciation ou, si l'on veut, des prononciations de notre langue dans les temps anciens. Génin est le premier qui se soit occupé de cette matière, et qui, au milieu de beaucoup de propositions paradoxales et erronées, ait posé un principe vrai et fécond : c'est que, en général, dans les sons fondamentaux, la prononciation d'aujourd'hui reproduit la prononciation d'autrefois, et que, toute déduction faite de certaines différences manifestes d'elles-mêmes, on se rapproche bien plus de l'articulation passée en prononçant un mot comme nous le prononçons maintenant qu'en le prononçant comme il est écrit.
' COMPLÉMENT En effet, les articulations propres à la langue moderne existent dans la langue ancienne. Les II mouillées y sont écrites tantôt U,'tantôt li, tantôt, comme en italien, gl. Il en est de même du gn, qui est aussi en italien, et qui s'écrit ri en espagnol; il en est de même du y, cette lettre particulière au français parmi les langues romanes. On trouve au moins deux e : le muet et Vé fermé à la fin des mots. En combinant toutes les prononciations des langues romanes et en les rapprochant du latin, on arrive à déterminer avec probabilité beaucoup d'articulations qui, une fois déterminées , réagissent à leur tour sur le problème de la prononciation de l'ancien français. Une des plus heureuses applications du principe de Génin a été de constater ce qu'était la combinaison des lettres ue. Jusqu'à lui, on y voyait, comme cela est écrit pour nous et selon nos habitudes, deux voyelles énoncées distinctement (H et e); même on mettait, dans les anciens textes imprimés , un accent sur Ve, écrivant, par exemple, les bues (les boeufs): ce qui faisait-deuxfautes , l'une contre la versification quand le mot se trouvait en vers, puisque, de monosyllabe qu'il-est, on en faisait un dissyllabe; l'autre contre la prononciation, puisqu'il doit se prononcer exactement comme aujourd'hui boeufs se prononce. Dans la peinture des sons par les lettres, tout est de convention. Le son eu se figure aujourd'hui par e et u; chez nos aïeux il se figurait par u et e; du moins, c'est la forme à beaucoup près la plus ordinaire ; on ne rencontre que rarement notre figuration présente. Ainsi il puet doit s'articuler il peut; cuer doit s'articuler coeur, écrit dans les temps intermédiaires cueur ; puis, quand Vue se change dans l'écriture en eu, le e se trouvant alors devant un e et ne pouvant avoir la prononciation dure qui appartient à ce mot, on vint à la combinaison présente qui est coeur. Cueillir est un scandale pour les grammairiens : suivant l'orthographe et la prononciation présentes, on y lirait ku-e-llir, non keu-llir; mais, si l'on se reporte à l'orthographe ancienne, on voit que c'est la figuration ue conservée archaïquemeut et non remplacée par eu, à cause de la difficulté qui s'est présentée de mettre e après c. Dans le nom de lieu, la Muette, qui a toujours été un rendez-vous de chasse, cette même figuration archaïque conservée a rendu le mot méconnaissable ; il aurait fallu, quand la,mutation d'ae eu eu s'est faite, changer l'orthographe et écrire la Meute pour maintenir le son et le sens. Des remarques semblables s'appliquent auxfinales ex, iex. Tout porte à croire que iex se prononçait yeux, que diex se prononçait comme nous prononçons dieux, et que l'a; n'y est qu'un signe orthographique comme dans notre propre figuration. Le signe orthographique qui notait le.'nominatif singulier et le régime pluriel était, suivant les temps et les textes, x, z ou s. De fait, nous avons gardé pour la formation du pluriel Vx ou IV, dont telle est l'origine. L'orthographe ancienne n'aimait pas l'accumulation des consonnes; c'est au seizième siècle que, par une recherche pédantesque de l'étymologie, on en a chargé l'écriture; notre orthographe ne s'est pas suffisamment débarrassée de ce qu'a fait en cela le seizièmesiècle. Dansleshauts temps on
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écrivait les enfans, non les enfants; les pons, non lesjjonts; les saus, non les sauts; les sers, lion les serfs; les cos, non les coqs, etc. C'est ainsi que ost, qui signifiaitarmée et qui n'a pas complètement disparu de la langue, quand, au nominatif singulier ou au régime pluriel, il prenait Y's, devenait li os, les oz, et le buef (boeuf) devenait li bues, les bues. Les grammairiens qui ont demandé à diverses reprises et parfois obtenu la suppression du t dans les terminaisons plurielles ants, ents, peuvent invoquer pour eux l'usage antique. Dans un dictionnaire qui lie incessamment l'ancien français avec le français moderne et qui n'abandonne jamais la tradition, des explications de ce genre sont indispensables. III. DES RÈGLESDE L'ANCIENNE VERSIFICATION. L'ancienne versification est le fondement de la nôtre, et rien n'est plus faux que l'opinion de Boileau: Villonsut le premier, dans ces sièclesgrossiers, Débrouillerl'art confusde nosvieux romanciers. Bien des siècles avant Villon, toutes les règles de la versification avaient été trouvées, et, durant un long intervalle de temps, appliquées dans une foule innombrable de compositions grandes et petites. Villon n'eut rien à débrouiller; il ne fit, lui et ses successeurs, que se servir des créations d'un âge primordial. Cet âge primordial est celui où la langue naquit des ruines du latin. Ce fut des mêmes ruines que sortit la versification. L'ancienne métrique, venue de la Grèce à Rome alors que les Romains connurent la littérature grecque et s'en éprirent, était fondée sur la quantité prosodique, c'est-à-dire que le pied, élémentdu vers, consistait en un certain nombre soit de longues, soit de brèves, soit de longues et de brèves (je laisse de côté ici l'arsis et la thésis). Ce système, dont l'origine se perd dans la plus ancienne histoire de la Grèce, eut progressivement à lutter contre un puissant adversaire, contre l'accent tonique. Celui-ci l'emporta; il réduisit pour l'oreille la quantité prosodique à un rôle subordonné ; et, quand cela fut accompli, l'ancien vers à longues et à brèves se trouva sans raison d'être, ne répondant plus aux exigences de l'oreille et n'étant conservé que par la tradition littéraire qui imitait les anciens procédés des classiques. Les choses en étaient là quand les barbares intervinrent : l'empire fut ruiné, et les langues romanes commencèrent à se former. Mais, si le vers antique était tombé en déchéance sans pouvoir se reproduire, puisque les langues modernes suivaientl'accent et non la quantité prosodique, levers nouveau n'était pas trouvé. Il fallait pourtant qu'il se trouvât; car le monde roman (je me sers de cette expressionpour désigner l'ensemble des populations héritières du monde latin) ne pouvait demeurer sans poésie qui se chantât, donnât forme aux effusions de l'âme, racontât les hauts faits et les léeendes, en un mot charmât l'imagination curieuse et le sens inné de beauté. Aussi la force spontanément créatrice qui, dans de telles circonstances, appartient à toute civilisation,fit son office; et, sans qu'on sache de qui provient une création
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poétique et musicale destinée à un si grand rôle, les décombres de la latinité produisirent _evers de dix syllabes, qui fut le vers héroïque des Italiens, Espagnols, Provençaux et Français, qui satisfait si pleinement l'oreille et qui est un si bel instrument de chant, et de poésie. Mais rien ne vient de rien, et toute chose nouvelle est ou transformation ou prolongement de quelque préexistence. Ainsien fut-il duvers de dix syllabes. Le latin avait un vers très-harmonieux, un vers qui nous plaît encore particulièrement, sans doute parce qu'il se rapproche plus que les autres deshabitudes de notre oreille et de notre harmonie :je veux parler du vers saphique. Ce vers appartenait à l'ode, à la chanson, aux chants d'église ; ce furent ces circonstances qui, le rendant familier et populaire, permirent de le transformer et d'y trouver les éléments duvers nouveau. Celui-ci est uniquement fondé sur l'accent (plus le nombre des syllabes); toute considération de la quantité prosodique des syllabes est exclue, et le nom de pied qui, dans l'antiquité gréco-latine, désignait, entre autres, une certaine combinaison de syllabes longues ou brèves, ne peut plus se dire qu'abusivement de chacune des syllabes qui le constituent. Formé de dix syllabes(ou de onze, quand la dernière est muette), l'harmonie qui lui est propre résulte de l'arrangement de deux accents ainsi distribués : un à la quatrième syllabe ou à la sixième, l'autre à la dixième; le reste des accents est facultatif, et sert au poëte à varier la modulation et à la conformer au sentiment qui l'inspire. Voiez Vorguel de France la loée est un vers du onzième siècle et pourrait être un vers du dix-neuvième. L'ancien décasyllabe français se présente sous deux formes : il est à césure ou sans césure (la césure est nommée hémistiche dans le vers alexandrin). La césure, quand elle existe, est placée à la quatrième syllabe, ce qui est le cas de beaucoup le plus commun, ou elle l'est à là sixième; presque toutes les chansons de geste sont écrites dans le premier système, quelques-unes seulement dans le second. Ces deux modes de versification traitent la césure comme la fin du vers, c'est-à-dire qu'une syllabe muette, quand elle s'y trouve en plus, ne compte pas ; cette manière de versifier est bonne, satisfaisante pour l'oreille, et il est dommage qu'elle se soit perdue. Voici quelques vers en exemple du décasyllabe ayant une syllabe muette à 1hémistiche : Lestrêvesdouent devant midi sonant, Par la bataillevontles mors reversant; Qui trova mort son père ou son enfant, Neveuou oncleou son apertenant, liien poés[pouvez]croire, le cuer en ot dolanl. En voicid'autres en exemple de la césure au sixième pied : Qu'il vousvienedroit faire à vostreestage[résidence], Si comfirentli home de son lignage. Quand il n'y a point de césure, notre décasyllabe res. semble en tout point au décasyllabe italien, les deux accents sufnseiit à y marquer l'harmonie fondamentale ; mais ce vers ne s'établit pas en France, on n'a.point de poëme
écrit en ce mètre, qui se rencontre seulement en dessers isolés et très-rares. Je cite cet exemple : Sire, choisiavez trop maternent, Selonmanièrede loial ami. Et encore celui-ci : Je pri, pour Dieu, bone amour et requier Qu'à la plus bêlerien qui or soitnée Facesavoir mon cuer et ma pensée. 11n'y a point de césure, mais l'accent est à la place qu'il faut, dans les mots écrits en italique. Comme on sait, rien, du latin rem, signifiait chose, et se disait de la dame des pensées dans le style élevé. Notre décasyllabe actuel est exactement l'ancien décasyllabe avec la césure à la quatrième syllabe, sauf la faculté que nous avons perdue de ne pas compter une muette en plus après la césure. La poésie lyrique, les chansons, offrent une anomalie qui était sans doute dissimulée par la musique, mais qui n'en est pas moins très-choquante: c'est que, à l'hémistiche, la quatrième syllabe, celle qui porte l'accent fondamental dans le mètre régulier, peut être une muette. Quand cela arrive, il n'y a vraiment plus de vers, ce n'est qu'une ligne de dix syllabes qui satisfait à la musique de la chanson, mais'qui viole l'essence même du décasyllabe. A côté du décasyllabe qui est le vers fondamental de In versification créée dans les langues romanes pour remplacer la versification de l'antiquité classique, viennent se ranger les autres espèces de vers, d'abord l'alexandrin avec l'hémistiche après la sixième syllabe, et comportant, comme le décasyllabe, à cet hémistiche une syllabe muette en plus ; puis les petits vers de huit syllabes, de sept, de six, de cinq, de quatre, de trois, combinés par les poètes en des arrangements très-variés. De ce côté-là la versification moderne n'a rien ajouté. Le vers saphique, d'où le décasyllabe procède, n'est point rimé ; aussi la rime n'est-elle point essentielleau décasyllabe, roman, et aujourd'hui encore l'Italie use des vers blancs; nous pourrions en user de même. Toutefois, de très-bonne heure, la rime s'introduisit dans la poésie romane, du moins sous la forme d'assonance. Les plus anciens poëmes ne sont pas rimes, à proprement parler ; ils sont assouant6, c'est-à-dire que l'oreille s'y contente de syllabes où tantôt les voyelles se ressemblent mais non les articulations, et tantôt les articulations se ressemblent mais non les voyelles; la Chanson de Roland et quelques autres poëmes sont écrits en assonances. Le sentiment qui avait amenél'assonance ne tardapas à se montrer plus exigeant; et dès le douzième siècle, l'arime complète, exacte, devint une loi impérieuse de la versification, sibien que, à cette époque, on remania les anciennes compositions pour les mettre au goût du jour ; et peu, échappant à ce remaniement, nous sont parvenues avec la forme antique de l'assonance. Nous n'avons, quant à la rime, rien innové, sauf la règle du croisement des rimes masculineset des rimes féminines , règle qui fut étrangère aux compositions de nos aïeux et dont le mérite est d'ailleurs contestable.
COMPLEMENT 11 est des mots dont la prononciation usuelle réduit le nombre des syllabes, par exemple supprimant les e muets, disant ion monosyllabe au lieu de i-on dans nation, etc.; mais la versification leur rend toute leur ampleur ; aucune syllabe n'est mangée, aucune n'est contractée en une autre. Cela, nous le tenons de la versification ancienne, qui est même plus rigoureuse et plus conséquente. Ainsi, au féminin, aimée, amie, et toutes les finales de ce genre, ne peuvent entrer maintenant dans 1e vers.qu'à la condition d'être suivies d'une voyelle qui permette l'élision de l'einuet, au lieu que jadis elles y étaient admises, non-seulement comme nous faisons, avant une voyelle, mais aussi avant une consonne, et alors aimée comptait pour trois syllabes; aimées, au pluriel, ne peut se mettre qu'à une fin de vers, autrefois il pouvait occuper toute place. Lèsmotsplaie, j'oie, roue, etc. sont traités par nous comme les finales en e'e, c'est-à-dire qu'ils ne trouvent emploi que devant une voyelle; jadis ils étaient traités comme les autres mots terminés en e muet, se mettaient devant les consonnes, et leur e muet était compté. II.est probable que les mots tels que plaie, Joie, etc. se prononçaient pla-ye, jo-ye, ou d'une manière approchante. Ainsi,le vers fondamental des populations novo-latines a été trouvé au déclin de l'ancienne versification, sans qu'on sache à qui rapporter 1honneur de l'invention ; et, si l'ère des mythologies n'avait pas été irrévocablement passée, l'imagination populaire aurait attribué à quelque Orphée des âges intermédiaires l'oeuvre de mélodie et de chant. Une fois trouvé, soit par quelque chantre heureusement inspiré, soit spontanément et par l'oreille commune habituée aux chants saphiques, ce vers est devenu le vers de tout l'Occident latin, en italien, en espagnol, en langue d'oïl, en langue d'oc. Une telle universalité en confirme et en consacre le caractère. On remarquera la contradiction implicite qui entachait le jugement du dix-septième sièclesur notre ancienne versification; ce siècle admirait l'Italie, dont ilsereconnaissaitl'élève, comme de l'Espagne, à certains égards. Traiter à'art confus et grossier l'art de versifier de ces pays, qui alors versaient leur influence sur la France, aurait paru un sacrilège aux hommes de cet âge; et pourtant, cet art de versifier italien ou espagnol n'est pas autre que celui de nos vieux romanciers ; tout, à l'origine, est commun en ce genre entre les nations romanes. Admirer l'un comme un chef-d'oeuvre et flétrir l'autre comme quelque chose de barbare est une flagrante contradiction ; c'en est aussi une de se plaire à notre versification présente et de répudier celle de nos aïeux, quand on voit, comme je viens de l'expliquer, que la leur et la nôtre sont fondamentalement les mêmes. Les remarques succinctes par lesquelles je l'ai montré suffiront en même temps pour que le lecteur curieux de ces choses scande couramment et sans peine le vers de la langue d'oïl. IV. DIALECTES ET PATOIS. On sera peut-être étonné de voir mettre sous une même rubrique deux mots que la pensée n'associe pas d'ordinaire, ou du moins d'entendre parler de dialecteslà où l'on n'a jamais entendu parler que de patois. Le fait est qu'il y a eu
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de vrais dialecteschez nous ; que nos dialectes et nos patois ont une communauté fondamentale, et qu'ils ne diffèrent que par l'époque et la culture. Ceci se rattache à une condition historique de l'ancienne France, de la France féodale. Il y a des dialectes tant que les grands fiefs subsistent; il y a des patois quand l'unité monarchique absorbe ces centres locaux. Au début du moyen âge, le pouvoir périssant entre les mains des Garlovingiens et la suzeraineté prenant la place de la souveraineté, on trouve que les provinces se .constituèrent.sous des chefs héréditaires qui leur étaient propres, l'Ile-de-France, la Normandie, la Bourgogne, la Champagne, le Vermandois et le reste. Lorsque la royauté eut changé de mains, le roi de France avait pour vassaux tous ces chefs, qui lui devaient foi et hommage, mais rien de plus; et, pour ses possessions di.. rectes, il n'était qu'un seigneur. Ainsi, de grandes provinces étaient constituées en pleine indépendance, sauf le lien féodal. Or, dans la formation de la langue, lorsque le latin devint du français, voici ce qui était arrivé : à cette formation, rien autre n'avait présidé que la parole et l'instinct populaires, puisque tous les lettrés, laïques et ecclésiastiques, écrivaient exclusivementen latin et ne considéraient l'idiome naissant que comme un ensemble de corruption et de fautes vulgaires et rustiques qu'il fallait éviter. Ce latin, ainsi soumis à l'opération qui le changeait, était, il est vrai, un et identique sur toute la face de la Gaule septentrionale; mais il n'était pas, en allant de la Loire \jers l'ouest et le nord, en contact avec des populations qui fussent identiques. Chacune de ces populations mettait son cachet particulier à l'altération qui, commune à tout l'Occident latin, créait le type nouveau des mots. De la sorte, quand définitivement le latin fut éteint, quand les lettrés eux-mêmes n'en usèrent plus que comme d'une langue morte , quand le français fut devenu le parler de tout le monde, il se trouva que ce parler différait, d'une façon non pas profonde mais pourtant caractéristique, de province à province. Ces différences sont les dialectes. Pourquoi des dialectes et non pas des patois? C'est qu'alors l'unité de langage et de littérature n'existait pas. Chacun de ces pari ers provinciaux avait autant de droit qu'un autre à soutenir son indépendance; aucun ne primait. En fait de langue, les duchés, les comtés se valaient et valaient même le domaine royal. On en a la preuve dans cette littérature française du moyen âge, si considérable et dont une bonne partie est encore manuscrite dans les bibliothèques. Là, les textes et les manuscrits ne laissent aucun doute sur leur provenance. Pour peu qu'on soit familiariséavec ces monuments, ou reconnaît à première vue le dialecte picard, le dialecte normand, le dialecte bourguignon, celui de l'Ile-de-France, celui de la Lorraine. Il en est de même des documents officiels; ils sont ^ous écrits dans la langue du district auquel ils appartiennent. Comme chacun a sa langue, chacun a sa littérature, et il. arrive très-souvent que telle composition écrite en normand est remaniée en picard par le scribe picard qui la transcrit, et vice versa. A cette haute époque, ce sont les littératures de la Normandie, de la Picardie et dé l'Ilede-France qui ont la primauté par le nombre et la qualité ' • des oeuvres.
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Quand le quatorzième siècle finit, les seigneuriesprovinciales ontbeaucoup perdu de leur caractère féodal ; la monarchie a pris la prépondérance; Paris est devenu une capitale, et simultanément il s'est fait une langue une, employée par tous ceux qui écrivent, à quelque localité qu'ils appartiennent. C'est à ce moment que les dialectes cessent d exister en France; les patois en prennent la place. Ainsi l'on définira le patois un dialecte qui, n'ayant plus de culture littéraire, sert seulement aux usages de la vie commune. Cette définition, fondée, comme on voit, sur l'histoire, empêche aussitôt de croire que les patois soient une corruption de la langue correcte : idée fort répandue mais très-fausse ; la généalogie des patois le montre. Non-seulement les dialectes ne sont pas nés d'un démembrement d'une langue française préexistante, mais, à vrai dire, ils sont antérieurs à la langue française, ou, sil'on veut, elle est un de ces dialectes ayant gagné, par des circonstances* extrinsèques et politiques, la primauté. Dans leur temps, le mot de langue française s'appliquait à l'ensemble des dialectes de la France du Nord : nom très-juste, puisque ces dialectes avaient plus de ressemblance entre eux qu'ils n'en avaient avec aucune des autres langues romanes, vrovençal, espagnol ou italien. Quiconque a une teinture d'histoire sait pourquoi ce fut le dialecte de Paris et de l'Ile-de-France quiprévalut; mais ce qu'on ne sait pas aussi généralement, c'est qu'au fur et àmesure qu'il devenaitla langue du pays, il recevaitun considérable mélange de formes normandes, picardes et autres. Lés Italiens nomment textes de langue les textesrqui proviennent d'autorités classiques ou du moins d'autorités valables. On peut introduire chez nous cette expression, et dire que, comme textes de langue, les dialectes jouissent d'un plein droit et ont entre eux une parfaite égalité. Il est impossible de nier qu'ils aient transmis cette prérogative aux patois. Sans doute les patois, quand ils ont reçu dans leur sein un mot littéraire , nouveau, scientifique, l'ont estropié; mais le fond qu'ils tiennent des dialectes est excellent et aussi français que ce qui est dans la langue littéraire : on peut donc en user en sécurité, car ils sont une part réelle et saine de notre idiome. Eux seuls en conservent les caractères locaux qui, à l'origine, furent empreints dans les dialectes. Il est bon de savoir que, dans un grand pays, ce n'est pas la langue une et commune qui forme les dialectes; ce sont les dialectes qui forment la langue une et commune. Considérée dans son ensemble, l'étude de la langue comprend l'état présent, et, dans l'état passé, l'état provincial ou dialectique : c'est-à-dire ce qu'elle est aujourd'hui en sa fonction littéraire, politique et administrative ; ce qu'elle fut en ses phases diverses; ce qu'elle fut en sa formation simultanée sur tous les points du territoire dont chacun lui imprima une marque spéciale. Cette marque spéciale, représentée jadis parles dialectes, est représentée aujourd'hui par les patois. V, DESLANGUES HOMANES,AU NOMBRE DESQUELLES EST LA LANGUEFRANÇAISE. Les langues romanes occidentales sont au nombre de quatre, en laissant de côté la langue romane orientale, le valaque, qui, s'étant formédans de tout autres conditions, peut
être ici négligé. Ce sont l'italien, l'espagnol, lu provençal et le français. Dans l'espagnol sont compris le portugais et le catalan, qui appartiennent au même domaine. Quant au provençal ou langue d'oc, c'est déjà, et même depuis longtemps, un idiome mort ; les circonstancespolitiques le tuèrent, et le très-grand éclat qu'il eut dans le haut moyen âge ne l'a pas sauvé. Le français n'est qu'un membre particulier de la grande formation romane. Si l'on n'avait que des textes d'histoire et non les langues elles-mêmes, on pourrait douter que le latin fût devenu le parler usuel, vulgaire, de la population, nonseulement dans l'Italie, mais dans l'Espagne et dans la Gaule. Sans doute on voit de bonne heure que, soit d'origine ibérienne, soit d'origine gauloise, tous les esprits qui se sentaient quelque aptitude littéraire, abandonnant sjsas retour leur langue maternelle, n'écrivaient qu'en latin. Pline'dit que ceux des Latins qui s'adonnaient à la médecine délaissaient immanquablement leur idiome et composaient en grec, transfugse ad Groecos; de même les Gaulois et les Ibères lettrés passaient tous en transfuges à la latinité. On voit aussi que l'administration se faisait en langue latine. Mais, malgré cette attraction toute naturelle et le puissant réseau administratif, il aurait pu se faire que le gros des nations ibérienne et gauloise, c'est-à-dire la population des villes et des campagnes, gardât opiniâtrement son parler ; et ce parler aurait reparu quand, les barbares ayant supplanté les Romains, le latin n'eut plus rien qui le soutînt. G'est ce qui advint dans l'Armorique et la Biscaye,où le celtique et le basque, qui étaient indigènes et préexistants, se sont remontrés quand la pression romaine eut été écartée. Mais"les langues romanes coupent court à toutes ces suppositions ; elles prouvent par leur caractère, qui est latin, et qui l'est autant en Gaule et en Espagne qu'en Italie, qu'au cinquième siècle, quand les barbares s'établirent définitivement sur les terres, ce qui restait des langues indigènes n'était plus que peu de chose et ne put tenir devant ce dernier et terrible choc. La latinité devint le refuge universel des populations vaincues; et, quand l'assimilation fut complétée entre les envahisseurset les envahis, c'est-à-dire à peu près vers le temps de Louis le Débonnaire et de Charles le Chauve, il se trouva que, si la Gaule et ribérie avaient disparu dans la latinité, la Germanie transplantée n'y avait pas moins disparu. Seul le latin avait présidé à ^production de langue qui s'était faite. Voici comment, d'après l'état des recherches étymologiques, on classera la part qui revient dans la formation des langues romanes à chacune des populations qui composaient l'Occident latin. La part la plus petite est à l'ibérien , dont le basque est, comme on sait, le représentant moderne; c'est par le basque qu'on a indiqué quelques origines qui paraissent être ibériennes. Une part plus grande, mais encore peu notable, est au celtique, dont les représentants modernes sont le bas-breton en Armorique, le gallois ou kimry dans le pays de Galles en Angleterre, le gaélique dans les hautes terres d'Ecosse et dans l'Irlande ; c'est avec les langues néo-celtiques et quelques rares documents transmis paj l'antiquité qu'on détermine un certain nombre d'étymologies qui viennent de ce fonds. L'apport germanique dépasse de beaucoup les deux autres ; les différents dialectes germa-
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dans le régime gaulois du ciel et de la terre, mais qui lès njqoes qu'on parle aujourd'hui, allemand , flamand, hollandais, danois, suédois, fournissent les principales données; longe , est intermédiaire, plus près de la forme latine que le français, un peu moins près que l'espagnol. Celui-ci, qui cependant il est utile de se reporter aux anciens dialectes borde la Méditerranée et que son ciel et sa terre rapprochent allemands dont nous avons des textes peu après Charlematant de l'Italie, s'en rapproche aussi par la langue. Enfin, gne, et même au gothique qui, par la Bible d'Ulfilas , remonte jusqu'au quatrième siècle. Gomme les emprunts faits l'italien, comme placé au centre même de la latinité, la ' reproduit avec le moins d'altération. Il y a, de cette théorie par les langues romanes à ce domaine datent des hauts delà formation romane, une contre-épreuve qui, comme temps, ils concordent, dans bien des cas, plus avec les formes toutes les contre-épreuves, est décisive. En effet, si telle archaïques du germanisme qu'avec ses formes modernes. n'était la loi qui préside à la répartition géographique des Tellessont les déductions qu'il faut faire dans la latinité des langues romanes, on remarquerait çà et là des interruptions langues romanes ; mais, cela retranché , ces langues demeurent avec leur plein caractère de demi-latinité ; et pour qui du type propre à chaque région, par exemple des apparien considère l'évolution, il est manifeste que le latin ne tions du type propre à une autre. Ainsi, dans le domaine pouvait pas ne pas aboutir à quelque chose de très-semblable, français, au fond de la Neustrie ou de la Picardie, on renet que ces idiomes méritent véritablement le nom de demicontrerait des formations ou provençales , où italiennes, ou latin. De même que le celtique de nos jours est dit, par espagnoles; au fond de l'Espagne, on rencontrerait des formations françaises, provençales ou italiennes ; au fond de rapport à l'ancien , celtique moderne, de même on dirait les langues romanes du latin moderne, si cette expressionn'él'Italie, on rencontrerait des formations espagnoles, proventait réservée chez nous au latin que les modernes écrivent. çales ou françaises. Il n'en est rien; le type régional, une On s'étonnera aussi que ces multitudes de Germains qui fois commencé, ne subit plus aucune déviation, aucun retour vers les types d'une autre région ; tout s'y suit régulièreoccupèrent le sol gaulois, Francs, Burgundes, Wisigoths, ment selon des influences locales qu'on nommera dimiOstrogoths, n'aient pas germanisé davantage le langage ; cela est étonnant sans doute, mais cela est certain; et c'est nutives en les comparant aux influences de région. Il est la meilleure preuve que, dans la transformation que subibien vrai qu'il y a des lisières où le parler est mixte et prérent les éléments latin et germain mis aux prises, la présente des confusions de type; mais justement ce sont des lisières,, c'est-à-dire des territoires placés sur les confins de pondérance appartint à l'élément latin. La latinité victorieuse effaça le celtique, sauf le coin de la basse Bretagne; deux types. Ainsi entre la langue d'oïl et la langue d'oc est la latinité mourante absorba la Germanie envahissante, et ne une zone intermédiaire ; il en est une aux pieds des Pyrénées, reçut d'elle que quelquesmots, assez nombreux pour témoientre le provençal et l'espagnol; il en est une autre aux pieds des Alpes, entre le provençal et l'italien; mais, loin d'infirmer gner du passage des Germains, assez rares pour témoigner de la prépondérance des populations romanes. le principe, ces zones le confirment en montrant qu'il n'y a de types mixtes que là où il y a passage d'un type à l'autre. Quand le latin eut définitivement effacé les idiomes inCette régularité fait pressentir que le fait matériel, c'est-àdigènes de l'Italie, de l'Espagne et de la Gaule, la langue littéraire devint une pour ces trois grands pays, mais le dire la latinité admise comme langue.par les populations roparler vulgaire (j'entends le parler latin, puisqu'il n'en resmanes, ne fut pas leur seul lien; ou, sil'on veut, le fait matériel tait guère d'autre) y fut respectivement différent. Du moins prouve qu'un même esprit les avait pénétrées profondément: c'est ce que témoignent les langues romanes par leur seule et ceci est un des plus grands témoignagesqu'on puisse donner existence ; si le latin n'avait pas été parlé dans chaque pays de la force d'assimilation qu'eurent alors le génie latin et la d'une façon particulière, les idiomes sortis de ce parler latin civilisationlatine. Pour quiconque se reporte en idée à l'officine d'où sortirent les langues romanes, et y voit les mots se que j'appellerai ici régional, n'auraient pas des caractères distinctifs, et ils se confondraient. Mais ces Italiens, ces forger, les cas disparaître , les conjugaisons se disloquer, la Espagnols et ces Gaulois, conduits par le concours des cirquantité prosodique des syllabes s'oublier, les vers métriques constances à parler tous le latin, le parlèrent chacun avec un se défaire, les adverbes prendre une finale caractéristique, mode d'articulation et d'euphonie qui leur était propre. De il semblera que c'est le chaos, ou du moins que chacune des là vint la diversité, et de là se formèrent les quatre comparpopulations romanes, taillant à sa guise dans ces dépouilles timents de langues, l'italien, l'espagnol, le provençal et le désormais abandonnées et faisant, comme il lui plaisait, son français. Il se passa, sur une plusgrande échelle, ce quej'ai sitriage , devait ne se rencontrer jamais avec sa voisine dans gnalé tout à l'heure pour les dialectes et les patois : cesgrandes l'admission, le rejet, la transformation.des formes et des localités qu'on nomme Italie, Espagne, Provence et France, mots. Pourtant les choses se passèrent autrement; et, au mirent leur empreinte sur la langue comme la mirent ces grand étonnement de l'érudit, les mutations s'effectuèrent localités plus petites qu'on nomme provinces. Et la diversité comme siun concert préalable les avait déterminées. Le champ eut sa règle qui ne lui permit pas les écarts. Cette des divergences était illimité; le point des rencontres était règle est dans la situation géographique qui implique des différences unique ; eh bien, ce champ illimité, aucune des langues ne s'y essentielles et caractéristiques entre les populations. Le franengage ; ce point unique, toutes s'y arrêtent. Voici en quoi çais , le plus éloigné du centre du latin, fut celui qui l'alil consiste essentiellement : la réduction de la déclinaison téra le plus ; je parle uniquement de la forme, car le fond latine; la suppression du neutre; la création de l'article, latin est aussi pur dans le français que dans les autres idiol'introduction de temps composéspour le passé dans la conmes. Le provençal, que la haute barrière des Alpes place jugaison ; la formation d'un nouveau mode, le conditionnel ;
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le passif exprimé nom plus par des désinences, mais par une combinaison du verbe être avec le thème ; l'organisation des auxiliaires pour le service de la conjugaison; la conception d'un nouveau type de l'adverbe àl'aide du suffixement; enfin, quand ces langues vont puiser hors du domaine latin . pour exprimer de nouvelles idées ou pour remplacer des termes tombés en désuétude, l'adoption à peu près commune des mêmes mots: cela est surtout remarquable poulies mots germaniques; ainsi, même dans le néologisme qui est à leur origine, les langues romanes concourent d'une manière frappante. Plus on remonte haut dans l'histoire des langues romanes , plus les conformités qui les lient sont apparentes. Et de fait, si l'on avait des textes datés de siècle en siècle, on arriverait jusqu'à l'identité, c'est-à-dire au latin parlé uniformément, sauf les nuances régionales, en Italie, en Espagne et en Gaule. Cette vue d'ensemble suffit pour écarter toute opinion qui supposerait qu'une langue romane dérive d'une autre langue romane; aucune n'a d'antériorité; elles sont toutes contemporaines, et, si je puis dire ainsi, soeurs jumelles. Dans le dix-septième et le dix-huitième siècle, lorsqu'on avait oublié que la France eut un passé littéraire antérieur à celui de l'Italie, et quand le grand éclat des lettres italiennes éblouissait les yeux, on s'imagina que la formation française était une formation postérieure, et que, là où les deux langues concouraient, l'italien était le prêteur et le français l'emprunteur. Il n'en est rien : l'égalité est complète entre les langues romanes; elles ont formé simultanément leur systèmeparticulier, en pleine indépendance l'une de l'autre, si l'on considère le temps, qui est le même, et le lieu, qui est divers; en pleine dépendance, si l'on considère les connexions mentales qui les astreignent à modifier le latin selon des analogies identiques. Cette simultanéité qui les fait soeurs, cette indépendance qui leur donne leur caractère individuel, celte dépendance qui leur donne leur caractère commun, indiquent que l'histoire de l'une d'elles ne peut pas être complètement séparée de l'histoire de toutes les autres. L'ensemble est nécessaire pour comprendre les parties. Ainsi vue, la discussion d'un mot français n'est une discussion purement française que dans un nombre très-restreint de cas; elle intéresse d'ordinaire à même titre le provençal, l'italien et l'espagnol; ce qui est décidé pour l'un l'est aussi pour les autres, et, réciproquement, le concours de tous est utile, nécessaire même, pour cette décision. C'est pourquoi j'ai, dans-ce dictionnaire, mis le groupe roman à une place déterminée.
sont concomitantes de mutations littéraires et, plus profondément encore, de mutations sociales. La langue française,- dite dans son état archaïque langue d'oïl, c'est-à-dire langue de. oui, est, comme'on l'a vu, soeur des autres langues romanes. Le vaste pays qui s'étend des Alpes et des Pyrénées à l'Océan et au Rhin, et qui était la Gaule des anciens, ne forma pas du latin une seule langue ; il en forma deux: l'une que l'on nomme le provençal ou langue d'oc,et qui est au delà de la Loire, et l'autre, le français, en deçà de la Loire. C'est là le domaine primitif du français; et même il n'occupe pas, dans ce domaine, tout ce qui avait appartenu autrefois à la Gaule. La lisière du Rhin, l'Alsace, la Flandre, une partie de la Lorraine, fortement occupées par des races germaniques, qui n'avaient point appris à parlei latin, ne parlèrent point, par conséquent, la langue dérivée du latin qui s'établit parmi les races romanes ; elles gardèrent leurs dialectes allemands :ce qui prouve surabondamment que. dans le reste des pays envahis, les Barbares furent absorbés ; car, s'ils avaient absorbé les indigènes comme sur les bords du Rhin, les dialectes germaniques régneraient en place du français, du provençal, de l'espagnol, de l'italien. Le français fut aussi arrêté du côté de l'Armorique par les populations celtiques que raviva une immigration de Celles de la Grande-Bretagne, et qui conservèrent le langage indigène. Le français est la création et le propre des pays qui bordent la Loire: du Maine, de l'Anjou, de la Neustrie, plus tard Normandie, de la Picardie, du pays Wallon, qui en est au nord l'extrême limite, d'une partie de la Lorraine, de la Bourgogne et de la contrée qu'arrosent la Seine et la Marne. Comme il est, entre les idiomes romans,- celui qui est à la plus grande distance géographique du latin, c'est aussi celui qui, dans la façon des mots, s'éloigne le plus de la forme latine. On doit fixer l'extinction définitive du latin dans les Gaules à l'époque où l'on ne connut plus l'accent latin. Tant que l'on sut, par exemple, que, dans fragilis, l'accent tonique était sur fra, peu importait qu'on le prononçât tellement quellemeut, le prononçât-on même frêle; c'était encore du latin. Mais il vint un moment où les termes les plus usuels eurent subi la transformation propre à la langue d'oïl ; alors tout le parler fut moderne, le latin fut hors d'usage dans la bouche du vulgaire; l'accentuation s'en perdit, et il fut définitivement mort, c'est-à-dire qu'il cessa de pouvoir fournir à la langue née de lui des mots formés de manière à représenter son propre accent. Dès lors, quand on emprunta au latin, il fallut laisser le mot tel quel, sauf une terminaison française, et, par exemple, faire fragile de fragilis. Mais pour tous les mots qui ont reçu VI. APERÇUDE L'HISTOIREDE LA LANGUEFRANÇAISE. l'empreinte primitive, on peut dire qu'ils nous représentent la façon dont on prononçait, du moins quant à la syllabe L'intérêt de ce dictionnaire, sans permettre les longs accentuée, aux septième et huitième siècles. En cela, le détails d'une histoire de la langue, exige pourtant qu'une français, comme les autres langues romanes, est un dialecte idée en soit donnée. Cette esquisse destinée à signaler les latin encore vivant et parlé. Dans sa partie latine, la languese décompose.en deux phases essentiellesde la vie, déjà longue, d'un grand idiome, appellera l'attention de ceux surtout qui liront l'historique portions inégales. La première, qui est la plus considérable, ou série de textes antérieurs à l'âge classique. Ils verront la renferme les termes produits quand le latin vivait encore, conformés suivant l'intonation latine et modifiés suivant languese modifier de siècle en siècle; mais ils seront avertis que cesmodifications,qui ne sont ni aibitr-""'^ ni capricieuses, l'euphonie des pays d'en deçà de la Loire ;la seconde eonjr
COMPLÉMENT prend les. termes empruntés postérieurement au latin et se reconnaissant tout d'abord à ce que l'accent latin n'y est pas respecté. Au moment où une langue moderne se préparait dans les Gaules, le latin qu'on y parlait se présentait, quant à sa riche déclinaison, dans un état singulier : il employait assez bien le nominatif; mais il confondait les autres cas et usait indistinctement de l'un pour l'autre; c'est du moins ce qu'on trouve dans les monuments de l'époque, tout hérissés de ces solécismes. La langue, nouvelle qui était en germe, ayant son instinct, porta la régularité dans ce chaos; elle garda le nominatif, et des autres cas fit un seul cas qui fut le régime. Aussi le français, dans sa constitution primitive, n'est point une langue analytique comme le français moderne ou comme le sont l'espagnol et l'italien dans leurs plus vieux textes ; il a un caractère synthétique, par conséquent plus ancien, exprimant les rapports des noms entre eux et avecles verbes non par des prépositions, mais par des cas (je me sers de ces termes synthétique et analytique, pour dire que le latin exprime par des désinences significativesplus de rapports que ne fait le français, qui, lui aussi, à bien des égards, demeure synthétique). C'est, comme on voit, une syntaxe de demilatinité, syntaxe qu'il a en commun avec le provençal. De sorte que les deux langues des Gaules, c'est-à-dire le français et le provençal, étant l'une et l'autre des langues à deux cas, se ressemblent plus entre elles qu'elles ne ressemblent à l'italien et à l'espagnol, qui, eux, n'ayant point de cas, se ressemblent plus qu'ils ne ressemblent à la langue d'oïl et à la langue d'oc. Etre ainsi une langue à deux cas et retenir comme héritage du latin une syntaxe demi-synthétiquè ne fut pas dans le français une conditionfugitive, qui n'ait laissé de trace que pour la cariosité de l'érudition. L'emploi en dura trois siècles.On ne parla et on n'écrivit que d'après cette syntaxe dans les onzième, douzième et treizième siècles. Le latin, qui est pour nous langue classique, reçoit beaucoup de louanges à cause de la manière dont sa déclinaison fait procéder la pensée. Je n'examine point la supériorité des langues à cas ou des langues sans cas ; mais une part de ces louanges doit rejaillir sur l'ancien français, dont la déclinaison est amoindrie mais réelle, et qui, à ce titre, est du latin au petit pied. Si le latin est, comme on le nomme souvent, une langue savante, l'ancien français réclame une part dans cette qualification; et ceux qui ont traité de jargon notre vieille langue parlaient sans avoir aucune idée de ce qu'elle était. Le français a été une langue à deux cas; il ne l'est plus. Il y a donc un intervalle où la syntaxe s'est défaite, et de synthétique est devenue purement analytique pour les substantifs. Cet intervalle "est la dernière moitié du quatorzième siècle. Dans la première moitié, les règles anciennes gardent encore leur empire ; les écrivains corrects les observent; et, quel que soit le langage vulgaire, le langage écrit ne se sent pas autorisé à les secouer. Mais vers la fin du quatorzième siècle, les barrières qu'opposait la tradition sont décidément forcées ; la syntaxe qui ne reconnaît plus de cas se fait jour de toutes parts, et alors la langue offre le mélange des deux syntaxes. Le même auteur, ne sachant comment il doit écrire, tantôt use du nominatif et DICT.DELALANGUE FRANÇAISE,
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du régime comme faisaient les anciens, tantôt n'en a plus la distinction et se sert d'une seule forme, comme feront bientôt sans restriction les générations qai viendront après lui. On peut étudier de très-près les dégradations que subit la langue; les textes abondent, et, pour ce point, ils sont curieux à analyser. On y voit clairement que ce qui se perd, c'est l'intelligence des finales significatives, de celles qui distinguent le nominatif du régime. Ainsi, devant emperere qui est sujet et empereor qui est régime, les gens du quatorzième siècle ne savent pas trop pourquoi il y a là deux désinences différentes ; emperere et empereor leur semblent la même chose, et finalementl'un devient superflu et périt ;' l'autre seul reste en usage. Quelquefois les deux cas sont conservés ; mais alors chacun reçoit des emplois spéciaux : dans l'ancienne langue, sire est le nominatif et seignor le régime ; aujourd'hui ce sont deux mots si distincts que la plupart de ceux qui les prononcent ne savent pas qu'il y a là un seul et même terme. Les observations faites sur la langue du quatorzième siècle jettent du jour sur la façon dont se défit le latin à l'origine des langues romanes. Les désinences caractéristiques des cas cessèrent d'avoir un sens précis : on les confondit. Quand le français et le provençal se formèrent, le parler distinguait le nominatif et l'opposait aux autres cas qui, réduits en un seul bloc, représentaient toutes les nuances de l'idée de régime. Quand l'italien et l'espagnol se formèrent, le nominatif avait disparu, et l'on ne connaissait plus que ce bloc des autres cas qui, pour le provençal et le français, avait constitué un régime, et qui, pour l'espagnol et l'italien, servait également de régime et de sujet. Une syntaxe dont le caractère a été si marqué et qui a duré si longtemps, toute défaite qu'elle est, a laissé des empreintes ineffaçables sur la langue qui s'est formée secondairement. C'est par elle en effet qu'on explique comment une s est devenue le signe du pluriel des noms. Dans l'ancien français, le régime pluriel avait une s, qui venait du latin : caballisoucaballos, leschevals (aujourd'hui chevaux); capillis ou capillos, les chevels (aujourd'hui cheveux); servis ou serços, les sers (aujourd'hui serfs), etc. La langue moderne, qui recevait de son aînée deux formes pour chaque nom, la forme du nominatif et la forme du régime, a généralement porté son choix sur celle du régime qu'elle a retenue. C'est ainsi que le régime pluriel de l'ancienne lan-. gue est devenu le pluriel de la moderne, sans acception de régime ou de sujet. Cette s, ainsi employée, n'a rien d'arbitraire en soi ; ce n'est point une invention des grammairiens pour distinguer les deux nombres ; si peu qu'elle soit, elle remonte à la plus haute antiquité, passant par la langue d'oïl, et allant rejoindre la déclinaison latine. Si l'on veut en savoir le sens, il faut analyser la déclinaison entière des langues aryennes et chercher quelle est la signification primitive des suffixesqui, s'accolant dans-ces langues au radical, ont produit les différents cas. La fin du quatorzième siècle est témoin d'un singulier solécisme qui, d'abord apparaissant çà et là dans les textes, finit par prendre tout à fait le dessuset expulser la légitime façon de parler. Il s'agit des pronoms possessifs féminins, ma, ta,sa. Dans l'ancienne langue ils étaient traités devant une x. — 9
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voyelle ou une h muette comme l'article la, c'est-à-dire que là voyelle a. s'élidait : mespêe, famé, s*enfance. L'élision de l'a pour l'article et pour les possessifs est identique, et il n'y a rien de plus dur dans l'agglutination de ceux-ci que de celui-là avec le substantif. Pourtant un caprice de l'usage en décida autrement; l'habitude vint de joindre le masculin mon, tonj son, avec les noms féminins qui commençaient par une voyelle ou une h muette. Il est difficile de voir un plus criant solécisme. Cette production du quatorzième siècle, qu'il est impossible de ne pas qualifier de grossière, s'implanta définitivement dans la langue ; et bientôt il ne fut plus permis de parler autrement. Le quinzième siècle vit l'achèvement de la révolution syntaxique qui avait été comriiencée par le quatorzième : les cas disparaissent entièrement; dû début du siècleà la fin l'effacement en devient complet. Dans les premières années on rencontré encore cà et là des nominatifs et des régimes; dans les dernières années on n'en rencontre plus ; le caractère essentiel de la vieille langue est anéanti j et la nouvelle commence ; tous les rapports qui précédemment étaient exprimés par les deux cas conservés du latin le sont dorénavant par des prépositions, et le français est désormais ce que des grammairiens ont nommé une langue analytique. Ici il faut interposer une remarque d'histoire comparée qui n'est pas sans importance. L'espagnol et l'italien ont été langues analytiques bien avant le français moderne; oh hé les connaît pas autrement ; au lieu que le vieux français eut un état synthétique, l'espagnol et l'italien n'en ont point eu. Ainsi, tandis que le vieux français est leur aîné, ils sont à leur tour les aînés du français actuel, et celui-ci est, à vrai dire, la plus moderne des langues romanes, puisque, avec ce caractère particulier, il ne date que du quinzième siècle. Non moins que là syntaxe, la prononciation éprouve des variations, mais qui ne peuvent guère être notées avec quelque sûreté, vu qu'on îi'a pour les constater que des inductions insuffisamment garanties. Cependant il est un genre de ces changements qui n'est sujet à aucun doute: c'est celui que l'on reconnaît à l'aide de la mesure des vers et qui consiste dans la réduction des syllabes d'un mot. Ainsi les vers prouvent que l'on prononçait seùr en deux syllabes, roont en deux, actge en trois (en comptant l'e muet)j raa'ncon en trois, etc. Tous ces mois ont été réduits d'une syllabe : sûr, rond, âge, rançon. C'est surtout dans le quinzième siècle que se fait cette contraction. Une autre contraction y doit aussi être rapportée; c'est celle qui ne compte plus Ye de la troisième personne du pluriel de l'imparfait : dans l'ancienne langue, prenoiênt, coioient, amoient étaient, non comme aujourd'hui des mots de deux syllabes, mais des mots de trois. Le quatorzième siècle hésite sur cette prononciation : tantôt il les scande à l'ancienne façon, tantôt il les scandé à la moderne ; mais le quinzième n'hésite plus, et cet e muet y est décidément effacé de la prononciation. Il en est de même de l'e muet de certains adverbes/, hardiement, paiement (telle était l'orthographe de ces adverbes). L'ancienne langue articulait l'e muet qui entre dans leur composition; la langue du quinzième siècle n'est pas constante à cet égard ; on trouve dans là farce de Patelin, par exemple, cet e tantôt compté, tantôt non compté. Mais la contraction ne tarde
DE LA PRÉFACE. pas beaucoup à se faire ; cet e cesse de se prononcer, il cesse ensuite de s'écrire, ou bien, comme dans les adverbes en ument, ûment, uement, l'orthographe de l'Académie demeure inconséquente f n'écrivant ces adverbes ni tous avec e ni tous sans e. La langue du seizième siècle n'inaugure rien de nouveau ; mais elle assure et confirme ce qui s'était fait au quinzième. Quand on considère combien elle a de caractère et de vraie beauté, quand on là voit cultivée par des écrivainsaussi éminents qu'Amyot et Montaigne, on se demande pourquoi le dix-septième siècle se crut autorisé à émonder un parler si ample et si souple, à corriger un instrument d'un si bon usage. Pourtant, en examinant de près la contexture de cette langue du seizième siècle et son histoire, on y trouve certaines particularités qui témoignent de la nécessité d'une réformation et qui montrent que, malgré d'excellentes conditions, on ne pouvait la recevoir pour fixée. Deux vices compromirent la langue à cette époque, le latinisme et l'italianisme. On était dans une grande ferveur pour l'antiquité classique, et, bien que Henri Estienne eût voulu montrer que le français avait une affinité particulière avec le grec, c'était toujours vers le latin que les emprunteurs se tournaient. Et ils empruntaient outre mesure. La plaisanterie de Rabelais sur l'écolier limousin qui ne parle qu'en mots • latins francisés, et qui, serré à la gorge par Pantagruel, ne trouve plus que son patois, est une caricature sans doute, mais une caricature pleine de vérité. Et Rabelais lui-même est plus d'une fois tombé dans le défaut qu'il ridiculisait; tantôt la construction, tantôt l'expression est chez lui trop latine. La chose alla au point que l'on fit une tentative pour changer le genre d'une catégorie de mots. Le français, en adoptant les termes latins abstraits en or qui sont tous masculins, les a tous faits féminins : la douleur, la.peur; la chaleur, etc.; le petit nombre de mots de cette espèce qui sont actuellement masculins le sont devenus par ces déviations que produit souvent dans le long cours du temps l'oubli des règles les plus effectives : tels sont Yamour qui pourtant est resté des deux genres, le labeur qui de bonne heure est devenu masculin, et Yhonneur qui est resté féminin jusqu'à la dernière limite de la transformation moderne. Ce féminin, en contradiction avec le masculin du latin, chagrina les latinistes du seizième siècle ; aimant mieux parler latin que français, ils essayèrent de donner le masculin à tous ces noms, et c'est ainsi qu'entre autres on trouve humeur du masculin dans Ambroise Paré. L'italianisme fut un autre fléau de la langue. Les fréquentes expéditions au delà des monts et les séjours prolongés de tant de Français en Italie avaient rendu l'italien très-familiëi en France ; mais surtout le grand éclat que jetaient alors les lettres et les arts dans la péninsule séduisait les esprits et donnait le prestige.de la mode à tout ce qui était italien. On dénaturait le français, on l'italianisait, et Henri Estienne écrivit un livre plein de raison et de vigueur contre ce mauvais néologisme qui altérait tout sans rien renouveler. Recevoir l'influence italienne était certainement, au seizième siècle, très-salutaire; mais recevoir en même temps les tournures et les locutions italiennes étaijt un désordre pour la constitution, la pureté, la correction de la langue française.
COMPLÉMENT
DE LÀ PRÉFACE.
Ce furent ces deux travers, le latinisme et l'italianisme, qui, lorsqu'on en revint, firentvieillirsirapidementlalangue du seizième siècle et ses auteurs, et qui obligèrent le dixseptième à faire révision et épuration. A peine quelques anT nées s'-étaientécoulées, et déjà-Rabelais, Amyot, Ronsard et même Montaigne étaient devenus archaïques. L'Académie, faisant la première édition de son dictionnaire, ne pouvait citer comme textes de langue des oeuvres pourtant si éminentes par le talent et par le style. Le fait est qu'on ne parlait plus, qu'on n'écrivait plus comme ce siècle et ses écrivains ; ils appartenaient à l'histoire de la langue, non à l'usage présent. Ge fut l'engouement pour l'antiquité classique et pour l'Italie devenue classique à son tour" qui porta la langue à se défigurer elle-même ; mais il faut ajouter qu'au moment où elle s'abandonnait à ce triste goût du pastiche , elle n'avait guère de résistance, de lest et de tradition. On se rappellera ce qui a été dit cidessus, qu'en tant que langue sans cas, le français est le plus moderne des idiomes romans; que cette transformation, commencée au quatorzième siècle, ne fut achevée qu'au quinzième, et qu'elle fit tomber dans le' plus profond oubli toute la vieille littérature qui avait été la gloire de la France aux yeux de l'Europe. S'ayant plus de passé et n'ayant pas encore de présent, lalangue était sans défense contre les emprunts autorisés par les modèles latins ou italiens. Après ces généralités, il suffira de signaler au lecteur quelques particularités. Ce fut dans le passage du quinzième au seizièmesiècle que la langue perdit définitivement la notion du véritable emploi du pronom moi, toi et lui. Ces pronoms dans l'ancien français sont des régimes et ne jouent pas le rôle de sujets ; on disait : je qui parle, tu qui parles, il qui parle. Du moment que les cas des substantifs furent perdus, la nouvelle langue eut peu de souci de ceux des pronoms ; et, bien qu'elle se refusât à dire : moi parle, toi parles, elle s'accoutuma à dire : moi qui parle, toi qui parles. Quant à lui, non-seulement elle dit : lui qui parle, mais en quelques circonstances elle s'en servit directement et sans intermédiaire en place du pronom il : Les autres se taisaient, lui prit la parole. On comprend maintenant pourquoi, en termes de pratique, on dit : je soussigné et non : moi soussigné.... Le langage technique a conservéun emploi aboli partout ailleurs. C'est au seizième siècle que la prononciation aime-t-il, et autres formes semblables, devient prédoniinante. Dans les temps primitifs de la langue, au onzième siècle et même au douzième, la troisième personne du singulier, au présent de l'indicatif dans les verbes de la première conjugaison est écrite avec un t : il parlet, il donet, etc. Mais les vers prouvent que ce fêtait purement étymologique, ne se prononçait pas , et laissait l'e muet s'élider devant une voyelle. .Plus lard, dans le treizième siècle, ce t ne s'écrit plus; et derechef les vers prouvent que des formes comme parle il, done il, étaient articulées sans qu'un t s'y fît entendre, puisqu'elles ne sont que de deux syllabes. Mais au seizième siècle il n'en est plus de même ; à la vérité l'orthographe ancienne est conservée, et l'on écrit encore parle il, done il; mais la prononciation ancienne n'est pas conservée, et les grammairiens nous apprennent qu'un t non écrit se fait en-
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tendre. Maintenant nous écrivons ce t et nous le prononçons. Dans l'ancienne langue > les participes présents sont toujours traités comme des adjectifs, lors même qu'ils sont suivis d'un régime. Le seizième siècle ne déroge pas à cet usage, et il dit : les hommescraignants Dieu. Le dix-septième hésita entre l'usage traditionnel et les nouvelles distinctions des grammairiens, et la Fontaine dit très-correctement : .... Cesrats qui, les livres rongeants, Se fontsavantsjusquesaux dents. La démarcation que les grammairiens ont tirée entre l'adjectif verbal en ant et le participe présent est souvent trèsmanifeste; mais quelquefois aussi elle est très-subtile. Dans tous les cas elle n'apporte ni clarté., ni utilité à la langue, et dès lors il n'a pas été bon de changer l'ancienne règle, qui, émanant directement du latin, avait duré six ou sept siècles, et d'allonger, par une décision arbitraire, la classe déjà trop étendue des archaïsmes mis hors de service. Le seizième siècle eut aussi l'habitude de dire a-vous pour avez-vous; cette contraction n'a pas duré, et il n'y a pas de raison de la regretter. On regrettera encore moins une façon de parler qui fut alors à la mode parmi les gens do cour, ce fut de dire : f avons, /aimons, joignant la première personne du singulier avec la première du pluriel. Heureusement, un si absurde solécisme sortit de l'usage. Vaugelas l'aurait sans doute banni, et il aurait bien fait. Ce serait dépasser les conditions d'une préface dé dictionnaire et prendre une peine superflue que d'étendre co préambule jusqu'à la langue du dix-septième, du dix-huitième et du dix-neuvième siècle. Ici nous touchons à trne langue fixée; les variations qui se remarquent dans ce laps de temps ne portent plus le même caractère que celles qui ont été esquissées ci-déssus. Je me contenterai de dire que le dixseptième siècle apporta la correction, la règle et les principaux modèles de la diction; que le dix-huitième siècle, acceptant la langue comme fixée, se tint aussi près que les circonstances le permirent, du type qu'il avait reçu; et que le dix-neuvième siècle, assailli de nouvelles idées, fait au néologisme plus de part qu'il n'en avait eu depuis deux siècles. VIT.COUPD'OEILSURL'HISTOIRE DE LALITTÉRATURE JUSQU'AUXABORDSDE L'ÉPOQUECLASSIQUE. FRANÇAISE Mon intention n'est pas ici de faire une énumération de noms d'auteurs et de noms d'ouvrages; mais je veux in diquer quels furent les genres de l'antique littérature et quelle en fut la valeur. Cette littérature est restée ensevelie jusqu'à ces derniers temps; le seizième siècleen parle encore quelque peu , et Marot donne une édition refaite du Roman de la Rose; mais depuis lors il n'en est plus question. Le dix-septième siècle garde un profond silence sur ce qui s'était fait en France durant tout'le moyen âge; on connaît Marot et Villon, mais on ne va pas plus loin ; on est terrifié, ce n'est pas trop dire,- de l'épaisse barbarie qu'on n'ose af-
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COMPLEMENT
DE LA PREFACE.
fronter, et 'on n s. d'oreilles et' d'yeux que pour l'Italie et l'Espagne, et surtout pour l'antiquité latiue et grecque. Le dix-septième siècle, dans sa superbe, ignorait le moyen âge et y était indifférent; le dix-huitième siècle était hostile, et il n'eût pas patiemment écouté celui qui lui aurait dit que là étaient des choses qui méritaient d'être examinées, et que nous n'étions pas tellement les descendants directs des Grecs et des Romains qu'il y eût lieu d'écarter avec mépris, de notre généalogie, ces aïeux de qui nous tenions du moins notre langue et tous les éléments de notre existence sociale. Malgré cette hostilité, le mouvement historique qui caractérise le dix-huitième siècle porta même vers ce moyen âge tant oublié ou tant haï certains travailleurs: les Bénédictins avaient commencé l'Histoire littéraire de la France, et l'Académie des inscriptions insérait dans sa collection de bons mémoires sur cette époque. Pourtant la véritable exhumation de nos vieux monuments littéraires fut reculée jusqu'au dix-neuvième siècle. Alors se commença la publication de tous ces textes que depuis longtemps personne n'avait jugés dignes d'un coup d'oeil. On avait beaucoup à faire; non-seulement les.bibliothèques de France,, mais aussi celles d'Angleterre, d'Italie et des pays du Nord, étaient pleines de manuscrits en langue française. Ce n'était point un engouement passager, car l'intérêt de ces études s'accrut au lieu de décroître ; ce n'était pas non plus un objet stérile, car il en sortit des lumières vives et inattendues tant sur l'histoire de la langue que sur celle des lettres françaises et étrangères. Chose singulière ! les Français ne furent par les seuls à s'en occuper; ils eurent pour auxiliaires très-actifs et très-savants les Allemands, qui, curieux de tous les genres d'érudition, ne négligèrent pas celui-ci ; et maint érudit d'au delà du Rhin, délaissant le grec ou le latin ou le germanique, s'est fait un nom dans le domaine des langues romanes et, en particulier, dans celui de la langue d'oïl ; on aime à y voir un témoignage de leur reconnaissance pour le plaisir qu'eurent leurs ancêtres du 'douzième et du treizième siècle à traduire ou à imiter tant d'oeuvres des trouvères ou des troubadours. Les Anglais aussi n'ont pas failli à fournir leur contribution; entre l'époque de la conquête normande et le quatorzième siècle, où la langue anglaise prend le dessus sur le français, il y a un grand intervalle durant lequel les histoires des deux langues sont perpétuellement confondues ; et en publiant nos documents de langue d'oïl, ils publient des documents qui intéressent leurs propres annales. Il est certain que la littérature française remonte au onzième siècle. A la vérité on n'a qu'un très-petit nombre de pièces assignéespar une date positive àun temps aussireculé. Mais, toutes les fois que l'on étudie les monuments appartenant avec certitude au douzième siècle, on est conduit par toutes sortes d'indices à reconnaître que, dès avant le douzième siècle, il existait des oeuvresen langue française. C'est donc à partir de l'an mil et peu après l'établissement des Capétiens sur le trône, que les Français, renonçant au latin, s'essayèrent en leur propre idiome à des compositions littéraires. Cette date est à noter; car, dans l'Occident latin, il n'y a que le provençal qui remonte aussi haut. A cette époque, ni l'italien ni l'espagnol n'ont de littérature. Ce qui
avait été commencé au onzième siècle prit un très-grand accroissement au douzième, âge d'or de l'ancienne littérature, si l'on considère l'abondance des compositions, l'originalité qui les inspire et la pureté de la langue. Il faut mettre très-brièvement mais nettement sousles yeux du lecteur les conditions qui étaient imposées au nouveau développement. Ce nouveau développement ne naissait pas parmi les lettrés, qui appartenaient presque-exclusivement à l'Église, se servaient du latin, et ne l'employaient guère pour les besoins de l'art profane. Il s'adressait à la société laïque, aux hommes féodaux, rois, barons et vassaux. On n'avait derrière soi comme modèle possible, que l'antiquité à demi oubliée, à demi travestie. La Grèce était absolument fermée ; la latinité seule demeurait entr'ouverte. Mais il s'était formé un idéal moitié chrétien, moitié militaire, qui n'avait rien de commun avec l'héroïsme de la vertu païenne et romaine. Ceux pour qui allaient retentir les chants nouveaux voulaient qu'on leur parlât de ce qui les captivait, et qu'on représentât devant eux, dans la louange et dans le blâme, les sentiments et les hauts faits féodaux et chrétiens ; et ceux qui allaient prendre la parole dans une société ainsi disposée, emboucher la trompette et appeler les renommées légendaires dans le champ clos de la poésie, n'avaient d'émotion que pour le baron vêtu de fer et son coursier, pour le suzerain et le vassal, pour les dames inspiratrices des exploits chevaleresques, et pour l'Eglise à laquelle les preux.les plus illustres venaient, quand la componction les saisissait, demander pardon de leurs offenses ou pieux repos pour leurs vieux jours. La poésie, dès lors, ne pouvait pas ne pas être originale : aussi le fut-elle pleinement ; notable mérite sans doute, mais mérite qui ne fut pas sans une grande lacune. L'antiquité gréco-latine avait amassé des trésors de style sans lesquels rien d'achevé ne devait plus se produire dans le domaine de la beauté idéale. L'art antique est à la fois un modèle et un échelon pour l'art moderne. Ce modèle et cet échelon, les trouvères ne l'eurent pas. Peut-être, à cette haute époque, où l'on sortait péniblement de là fusion latino-barbare et où le mélange germain n'avait guère préparé les esprits à goûter les beautés classiques, n'y avait-il aucun moyen que les modèles latins eussent de l'influence sur la manière de penser et d'écrire des gens qui commençaient à penser et à écrire dans un monde si différent du monde antique. Quand, prèsdetrois sièclesplus tard, Dante, avec Virgile pour guide, entre dans la cité dolente et parmi la gent perdue, il se vante à Yâme courtoise du Mantouan d'avoir appris dans l'étude de l'Enéide ce beau style qui lui fait tant cChonneur.Si, à son début, le quatorzième siècle savait se plaire à Virgile et y profiter,, le onzième à son début ne le savait pas encore ; et nos poètes primitifs, trop peu développés pour se former à l'école des maîtres latins, furent sans autre inspiration que celle du milieu qui les produisit. On fera, je crois, à ces temps leur juste part en disant qu'ils furent un âge intermédiaire d'exercice et de préparation. A la laugue d'oïl et à la langue d'oc échut cet office; elles peuplèrent le désert qui s'était fait, d'ébauches sans doute, mais d'ébauches pleines de vie, de caractère et de charme pour les contemporains. Ainsi se passa ce qui est années dans
COMPLÉMENT la jeunesse des individus, et ce qui fut siècles dans la jeunesse des nations latines. Après ce temps qu'on doit dire bien employé, les esprits commencèrent à sentir et à goûter l'art littéraire de Rome, et alors éclata en Italie une première renaissance avec Dante, Pétrarque et Boccace. Il fallut un autre intervalle pour atteindre une seconde renaissance, pour sentir et goûter l'art littéraire de la Grèce. Nos poètes étaient loin de là. On les nomme trouvères en français et troubadours en provençal, ce qui signifie ceux qui trouvent et inventent : dénomination originale, trèsvoisine de celle que les Grecs donnèrent à leurs trouvères celui qui "fait, qui crée ; le latin poeta n'en est (irew)T»iç, qu'une traduction). Ils trouvèrent en effet et inventèrent comme on trouve et invente dans ces époques de production spontanée. Le monde occidental avait gardé dans son souvenir le grand empereur qui avait restauré le trône impérial, et qui d'une main avait, au nord, soumis la Germanie, au midi repoussé l'islamisme. La légende s'était emparée de lui, de ses compagnons et de leurs exploits. On en faisait des récits qui confondaient les temps et les lieux et qui n'ont de vrai que l'impression ressentie par les contemporains et grossie par les descendants. C'est là que les trouvères puisèrent à pleines mains, et la matière ne leur faillit que quand le public se dégoûta des barons et de leur empereur, des païens et de leurs guerres. On appelait alors païens, aussi bien que les Germains qui l'étaient en effet, les Musulmans qui n'adoraient qu'un seul Dieu. C'est ce qu'on nomme le cycle de Gharlemagne. Une geste est le récit des exploits d'un prince ou d'un preux carlovingien ; et une chanson de geste est un poëme de ce cycle. Nulle matière n'a plus abondé sous la plume des trouvères ; les chansons de geste sont très-nombreuses, plusieurs sont très-longues. Les Grecs ont donné le nom de cycliques aux poètes qui avaient traité les diverses branches de l'histoire de la guerre de Troie. On transportera sans peine cette appellation aux trouvères qui ont chanté les diverses branches de l'histoire légendaire de Charlemagne ; ce sont aussi des cycliques, mais il n'y a pas un Homère parmi eux. Cependant l'oubli auquel ils ont été condamnés est injuste, et il est facile de montrer que leur labeur n'a point été stérile ni leur poésie perdue et sans écho. Si on ne peut pas citer un poëme qui ait mérité de prendre rang entre les épopées consacrées par l'admiration de l'humanité, on peut du moins citer, parmi les souvenirs qui se sont perpétués, les personnages qu'ils ont créés. Les trouvères ont jeté dans l'imagination du peuple et de l'avenir toute une galerie d'héroïques figures, assez fièrement dessinées et assez originales pour que, depuis leur apparition dans la poésie, on ne les ait plus oubliées. Roland, Renaud, Ogier et quelques autres sont sortis de cette officine poétique ; et, bien que les Iliades qui les avaient chantés aient disparu de la mémoire des hommes, ces preux n'ont pas eu le destin des vers qui rendirent européenne leur renommée : les Achille, les Hector et les Énée, héros classiques, ne sont pas plus souvent évoqués que ces héros de l'âge roman. Il n'appartient jamais, je crois, à une époque postérieure de refaire des réputations éteintes, et la gloire est comme cette île
DE LA PRÉFACE.
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du poète, dans laquelle on ne rentre plus quand on en es; dehors. Mais l'érudition peut réparer des oublis quand ils sont trop complets pour être justes, et rendre une dejni' auréole à ceux qui, dans leur temps, ne furent ni sans charme, ni sans honneur, ni sans influence. Les chansons de geste présentent deux inspirations trèsdistinctes, suivant qu'elles sont pour l'empereur ou pour.les barons. Dans les premières, le vieil empereur (car elles le représentent presque toujours au terme de sa carrière, la barbe blanche, et couronné de tous ses exploits au service de la chrétienté), le vieil empereur a le bras invincible ; il est à la tête desbarons de France ; ceux de Normandie, de Bavièreet d'Allemagne combattent sous ses ordres, et il guerroie victorieusement contre les païens. Dans les autres, l'empereur est un personnage débile, hardi en paroles, couard en action , et disputant aux seigneurs leurs fiefs légitimes ; en face de lui sont les barons féodaux, la menace à la bouche, le bravant dans sa cour, lui tenant tête sur les champs de bataille; toute cette branche des chansons de geste chante la féodalité triomphante, la royauté affaiblie, et témoigne que le régime féodal était devenu populaire dans les affections et dans la poésie. Les chansons de geste sont écrites en vers de dix syllabes, rarement en vers alexandrins, et partagées en séries monorimes inégalement longues qu'on nomme des couplets. Notant, pour mémoire seulement, les poèmes empruntés à l'histoire de Rome ou de la Grèce, je m'arrêterai sur un autre cycle qui eut aussi une très-grande vogue, celui d'Artus ou de la Table ronde. Il est moins ancien, ne naquit que dans le douzième siècle et-n'est point indigène ; c'est un emprunt fait aux légendes celtiques. Dès que ces légendes eurent trouvé leur chemin en France, elles furent accueilliesavec une faveur extrême, et, cessant d'être bornées aux terres bretonnes du continent et des deux grandes îles, elles devinrent, par l'intermédiaire destrouvères, le bien commun de l'Europe. La renommée de Merlin, de Lancelot du Lac, de Tristan et de la reine Yseult, ne le cède guère à celle de Charlemagne et de ses preux. Seulement là les trouvères ne furent que des metteurs en oeuvre*,mais le succès fut immense, et dans ce cycle, comme dans le cycle carlovingien, ils eurent l'habileté de tracer des caractères et des personnages qui ne sortirent plus du fonds commun des souvenirs européens. C'était un de ces poèmes que Françoise de Rimini lisait quand elle répondit à l'amour de celui qui lisait avec elle et qui est devenu son éternel compagnon, son éternel amant, dans les vers douloureux du poète florentin. Le cycle de la Table ronde n'est pas écrit dans le rhythme du cycle carlovingien ; ce sont des vers de huit syllabes en rimes plates. A côté des poëmes de ces deux cycles viennent se ranger les compositions auxquelles on a donné le nom de poëmes d'aventures. Ceux-là n'ont pas un fond historico-légendaire comme les chansons de geste, ni un fond d'imaginations celtiques comme les poëmes de la Table ronde. Ce sont des oeuvresoù tout, héros et situations, est de l'invention de l'auteur. Oh les comparera très-justement à nos romans, sauf qu'ils sont en vers. Ce genre de littérature a beaucoup fleuri. Ce sont en général des compositions de chevalerie .
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COMPLÉMENT
DE LA PREFACE.
d'amour et quelquefois de religion. Quelques-unes sont gracieuses et intéressantes; on peut citer surtout Flore et Blanchefleur, et Idoine et Âmadas,. Jlmadas. rappelle le cycle des Amadis, qui, certainement espagnol au seizième siècle, a peut-être des liaisons ayec de plus anciennes composisitipns françaises. Les poèmes d'aventures sont écrits, comme ceux du cycle,de la Table ronde, eu. vers de huit syllabes à rimes plates. Ces ppjip.es sérieux n'ont pas manqué, d'être accompagnés de poëmes railleurs qui les ont parodiés et ont fait rire, des grands coups de lance, des exploits merveilleux et des prpr amusant d§ ces poëmes, et il est digieux héros, J_,eY>]VLS réellement très-amusant, c'est le. Tfoyqge.de Çhqrlepiqgne à Jérusalem. Le grand empereur., portant majestueusement la couronne et l'épée impériales, passe devant l'impératrice qui lui dit qu'il y a un prince qui porte encore mieux que lui Ja couronne,et l'épée : « Et qui est-ce?» dit Charlemagne courroucé.. L'impératrice veut en vain retirer une parole imprudente, elle est obligée de nommer l'empereur de Çpnstandnople. Charlemagne part aussitôt pour cette ville ayec ses preux, jurant que , si le dire de l'impératrice n'est pas vrai, il lui coupera le cou à son retour. Rendus à Çonstantinqple, nos preux gobent à qui mieux mieux, c'est-à-dire se vantent d'accomplir, les choses les plus prodigieuses ; Roland , Olivier et les autres enchérissent sans réserve en fait de prouesses et de merveilles, Un espion qui a été placé auprès d'eux, vient, tout effrayé, rapporter ces propos au princg de Constantinqple, qui met nos héros au défi. Ceuxci se regardent tout interdits, j'allais dire, tout penauds; mais un ange arrive à leur secours; il accomplit leurs plus extravagantes gqberies; et Charlemagne, ppursuiyant son voyage yiçtprieux jusqu'à Jérusalem, rapporte de la ville sainte les précieuses reliques. C'est encore un poëme héroïcomique que le Moniage Guillaume, où ce paladin, prenant l'habit religieux, mais ne prenant que cela de la vie monastique, fort comme Hercule >glouton ? Reu.endurant, indocile, devient l'effroi des moines parmi lesquels il s'est retiré. On citera aussi Baudoin de Sebourg, qui est d'une époque moins reculée ( le quatorzième siècle ), et que Qénin regardait comme un des vrais et meilleurs précurseurs du charmant poëme de Roland le Furieux,. Au genre des poëmes satiriques plutôt qu'à celui des poëmes hérqï-coniiques appartient le Roman de Renai-t, l'une des plus célèbres compositions du moyen âge français. Ce sont les. animaux qui font les rôles. Ces rôles sont féodaux. Le goulpil (pulpes) se nomme Renart; le loup, Ysèrigr.in; la louve, dame Hersent.; le lion, roi Noble; la poule, Pintnin; le çpq, Chaptecler; l'âne, Bernard; le lièvre, Couard; l'ours, Brun; le moineau, Drouineau, etc. Renqr.t représente l'astuce, la perfidie, la rapacité, l'adresse ; Ysengrin, la violence et la brutalité ; dans ses luttes ayec Renart, il a, malgré sa force supérieure, presque toujours le désayantage. Le roi Noble essaye eii vain de rendre justice et de redresser les torts. Le thème.étant donné (et ce thème ne remonte pas à moins que le douzième siècle et peut-être le onzième), les trouvères le développèrent et y ajoutèrent sans cesse des continuations; c'est ce qu'on nomme les branches de Renart.; elles sont de mains et d'é-
poques très-différentes. Quelques-unes sont fort licencieuses; mais plusieurs se fpnt remarquer, par la verve, l'originalité, le mordant de la satire. On ne peut rien voir de plus caraçté. ristique et de plus amusant que Renart -se confessant dévotieusement au Milan et mangeant son confesseur. Les poëmes didactiques sont en grand nombre. Le plui célèbre de tous est le Roman de la Ros.e, qui, commencé,par Guillaume de Lorris et acheyé par Jean de Meung, est, sous la main du premier, une allégorie amoureuse et, SQUSla main du second, une espèce d'encyclopédie. A côté on rangera les Images du monde, les Bestiaires., les Çastoienients ou enseignementsmoraux., et tant d'autres compositions où l'on s'efforçait d'instruire en plaisant. Ce qui plaisait, c'était la forme versifiée ; la prose, n'entrait point encore,en partage de ces expositions. Il ne. nie reste plus dans une. revue si sommaire, qu'à mentionner, deux genres tout à fait originaux et très-dignes d'attention : les chansons et les fabliaux. Les chansons sont innombrables ; elles ont été étudiées avec beaucoup de soin par M. Paulin Paris dans le tome XXIII de YHistoire littéraire de la France. Il y en a de très-jolies, de très-gracieuses, de vraiment belles ; et, suivant moi, on pourrait, d'un choix de ces chansons, composer un volume rivalisant avec les canzo.ni.de, Pétrarque, qui leur est postérieur de deux siècles; le recueil de Chants, historiques français, du douzième au dix-huitièMe siècle, par M. Leroux de Lincy, a été formé à un autre point de vue.. Ce qu'a fait M. Paulin Paris pour les chansons, ]\I. Le Clerc l'a fait au même endroit pour les fabliaux. Ce sont des colites satiriques, moraux, plaisants; }a verve de nos trquyères a été inépuisable; la licence et la grossièreté en déparent plusieurs ; mais il en reste beaucoup encore qui sont pleins de sel et de piquant. Ce mérite a été bien senti par ceux des étrangers qui imitaient la littérature française., et alors P.n l'imitait partout. Rpcçaçe ne.s'est pas fait faute de s'enrichir des dépouilles de nps conteurs. Souvent ils ont pénétré bien plus loin gt dans des endroits où la trace en est perdue. On se rappellg, dans Zqdig de Voltaire, Fémouvante rencontre, de Zadig avec un ermite dont les actions sont inexplicables et qui se transforme en l'ange du destin. Voltaire avait pris l'idée de cet épisode dans un poëte anglais, Parnell ; et celui-ci, à son tour} le tenait, par je né sais quel enchaînement, d'un fabliau français du douzième ou treizième siècle. Un récit aussi original ne s'invente pas deux fois. La prose fut beaucoup mpins cultivée que la poésie. Cependant on doit citer des ouvrages historiques., Yillehardouin, Joinyille, la Chronique dçRains., des romans du cycle de la Table ronde et autres, des écrits sur la législation et le droit, des sermons, des traductions. Il n'est pas besoin de faire ressortir l'importance de livres comme ceux de YiHehardouin et de Joinyille, narrateurs de ce qu'ils virent et de ce qu'ils firent. J'ajouterai que ce sont les bons manuscrits, de textes en prose qui représentent la langue dans son meilleur état de correction grainmaticale. Il ne suffit pas, pour apprécier cette littérature, de dire ce qu'elle a produit et les genres où elle s'est essayée; il fau dire aussi ce qui en est advenu et quel en a été le succès
COMPLÉMENT Or, éë succès "àété très-grand 5 pourtant il faut distinguer, car il y â uii succèsabsolu et uiî succèsrelatif; J'appelle absolu le sucéesd'une littérature quand, sortant des limites dé ïcmps et de Iië'û; elle se conserve d'âge en âge et dévient une propriété êônmiùhe pour l'esprit humain: Telle n'a pas été la fortune dé là littérature du moyen âge français ; un oubli prôforiil l'a ensevelie pendant plusieurs siècles; aujourd'hui ; exhumée et remisé en lumière ; on ne peut lui contester une grande importance pour la langue; un intérêt pour l'histoire^ et; dans "certainesde ses parties ; un charme véritable pour l'esprit. Maisune exhumation n'est pas le retour "àla vie ; Cette littérature est et demeurera un terrain réservé et un plaisir d'érudition. Cependant ; si le goût qui se niàhifèstë pour lès notions de notre passé littéraire s'étend et se fortifie, si l'étude de la langue française est comprise dans un ensemble qui en embrasse les époques et les changements, si même ce dictionnaire contribue pour quelque peu à faciliter et à propager cette manière de concevoir et "de cotihàîtrë le français ; on peut penser que le cercle des"amateur§ s'agrandira ; et que ceux qui lisent ajouteront â leurs plaisirs quelques excursions dans là poésie dû moyen, âgé; d'ans les "cyclescarlovingiens ou bretons , dans lé ReWàrti dâïîs les fabliaux, dans lès chansons. Du côté du succès relatif; rien ne fut à désirer. On demandera saris douté quelle en fut l'extension. S'il s'était borné à la France, et si, pendant deux ou trois siècles, la production originale avait pleinement satisfait aux besoins intellectuels d'un aussi vaste pays, ce serait encore un fait littéraire considérable et qui mériterait d'être consigné dans les annales de l'histoire. Principibus placuisse viris haud ultima laus est, a dit Horace; moi je dis que ce n'est pas la moindre des gloires ni un honneur à dédaigner que de plaire à un grand peuple et à une grande époque ; car l'époque féodale, dans son plein et dans son beau, est certainement une grande époque. Mais le champ de gloire et d'influence fut bien autrement étendu ; il n'eut pas d'autre limite que celle du monde catholique 'et féodal. Partout en Europe on lut, on traduisit, on imita les compositions françaises, aussi bien en Allemagne et dans l'extrême Nord qu'en Italie et en Espagne ; pour l'Angleterre, . il est à peine besoin de le dire, puisqu'alors elle était sous une dynastie normande qui lui avait imposé l'usage de la langue française. L'influencé extérieure de notre littérature n'a pas été plus forte .au dix-septième et au dix-huitième siècle qu'elle ne le fut au douzième et au treizième. Ce témoignage spontané de tant de populations étrangères, ennemies ou rivales, ne doit pas être effacé de notre histoire ; c'en est une des belles et bonnes pages. Puis, si l'on creuse un peu profondément, et si l'on recherche ce que sont devenues à leur tour dans le domaine littéraire ces nations qui lisaient et admiraient nos compositions, on remarque que leurs littératures, qui ont jeté et jettent encore tant d'éclat, se sont, à un certain moment de leur développement, incorporé plus d'un élément de l'oeuvre française du moyen âge ; de sorte que, de ce côté aussi, le labeur de nos aïeux n'a pas été stérile, et qu'une part de leur veine coule encore dans des productions qui ne cesseront de vivre. Tel est l'apogée de notre littérature primitive, que j'ap-
DE LA PRÉFACE.
LV
pellerai féodale. Ce ternie en désigné suffisamment le caractère, la fortune et la durée. Née avec l'ère féb'dale, elle ne lui survécut pas. A ce point de vue; le quatorzième et le quinzième siècle sont des temps d'e décadence. La langue; les idées; les institutions; tout change; et; dans cette perturbation; il ne se produit plus de composition ongi-» nale; la source d'invention est tarie; la poésie n'a que dés imitations décolorées et des remaniements stériles, Machaut, Eustaclie Deschamps et le prince Charles d'Orléans ne sont pas des poètes qu'on puisse mettre bien haut 5Villon est certainement parmi eux celui qui a le plus de verve* d'entrain et de style. Quand, se retournant vers le passé, on compare ce qui se fait alors avec çë qui se faisait auparavant; on est frappé de l'extrême diminution des forces de conception; d'imagination; d'exécùtioiu Tout ce qui reproduit lès anciennes idées est faible et chétif; et ce qui doit les remplacer n'est pas encore venu. On reconnaît sans peine que le terrain est intermédiaire; impropre également aux choses du passé et aux choses de l'avenir; il faut à la fois qu'il se dégage de ce qui l'encombre et qu'il se prépare à la culture et à la moisson. Cette période, littérairement pauvre; forme; historiquement $ un très-digne objet d'étude ; la durée en est longue ; aucunes ténèbres ne l'enveloppent ; les textes et les faits abondent. On y apprend donc de là façon la pllis claire à concevoir comment j dans une évolution, il y a des espaces relativement mais nécessairement stériles ; à remarquer que ces espaces se rencontrent au point de partage entre des régimes différents ; et à distinguer le double courant, celui qui emporte les choses tombantes et celui qui apporte les choses naissantes. Ainsi acquises dans une époque où tout est caractérisé, ces notions deviennent un instrument pour reconnaître et apprécier d'autres époques analogues mais moins marquées. C'est de la sorte que, dans l'histoire littéraire de l'Italie et de l'Espagne, on se rend compte des temps qui deviennent moins productifs et moins originaux et où un certain sommeil semble gagner les esprits. C'est delà sorte aussi que, dans la nôtre, on aonne leur juste caractère aux transitions qui mènent notre littérature du dix-septième siècle au dix-huitième et du dix-huitième au dix-neuvième. Dans cette stérilité relative du quatorzième et du quinzième siècle, il y a deux exceptions importantes à faire. La première est pour l'histoire : Froissart et Commines ont laissé à la postérité des ouvrages qu'on lit, non-seulement pour les consulter, mais aussi pour s'y complaire ; Froissart surtout, chez qui revit d'une manière brillante toute cette chevalerie guerroyante de la France et de l'Angleterre. La seconde est pour le théâtre, du moins dans le genre de la farce ; le Patelin en est le plus remarquable échantillon. Les chosesétant ainsi, je n'étonnerai personne en disant qu'à partir de la fin du quatorzième siècle et durant le quinzième, les étrangers ne tournent plus les regards vers la France littéraire ; ils n'y trouvent rien qui les attache, rien qu'ils admirent, qu'ils imitent, qu'ils traduisent. Ce grand attrait, qui avait prévalu dans les hauts temps, s'est éteint peu à peu, comme la flamme dans une lampe où l'on ne met plus d'huile. Mais ce délaissement servira lui-même de témoignage pour montrer que l'ancienne admiration des oeuvres
r.vi
COMPLEMENT
françaises tenait non à la France politique et à sa puissance, mais à la France littéraire et à son génie. Dès que ce génie fut entré en défaillance, les étrangers en détournèrent leur attention. Dans ses mouvements, dans ses allées et venues, l'opinion européenne ne fait pas, si je puis ainsi parler, sa cour; et la.France, alors justement abandonnée, avait été jadis justement suivie. Cet interrègne pour la France n'avait pas été un interrègne partout, et de grands événements littéraires étaient survenus. Les monuments de la Grèce et de Rome avaient été remis en lumière et la Renaissance avait commencé ; l'Italie brillait dans les lettres et dans les arts d'un éclat incomparable, et, bientôt après, l'Espagne entra dans la carrière et signala son génie. Sous cette triple influence s'ouvrit ce que j'appellerai le seizième siècle français : il admira et imita la Grèce et Rome, l'Italie et l'Espagne. C'était un retour et un puissant retour vers une nouvelle vie littéraire, une promesse et une riche promesse, et la digne entrée de l'âge classique qui va s'ouvrir. Trop voisin de nous de langue et de pensée pour être oublié, ayant de trop belles parties pour être dédaigné, ses oeuvres, malgré le temps qui s'éloigne, ont gardé leurs lecteurs. On remarquera seulement que, malgré certaines productions distinguées, la poésie y est de beaucoup inférieure à la prose. Nous voici arrivés maintenant, avec le dix-septièmesiècle,
DE LA PRÉFACE. en pleine littérature moderne ; et une introduction telle que celle-ci ne comporte pas une revue même sommaire d'une période aussi remplie. Je me contenterai ici d'une remarqua comparative qui, rapprochant les anciennes et les nouvelles destinées de la langue française, en fera sentir à la fois l'enchaînement et l'importance. Il y eut, comme on a vu, un assez long intervalle où la France fut sans ascendant littéraire sur le reste de l'Europe ; mais il sépare deux époques où cet ascendant, le plus légitime de tous, puisque ceux qui le subissent veulent le subir, fut très-puissant : l'époque que j'ai déjà signalée et qui comprend le douzième et le treizième siècle, et celle qui commence avec le siècle de Louis XIV. Ainsi, par une fortune singulière, la faveur européenne qui avait accueilli les débuts renaquit après tant d'années et d'événements. Et pourtant, quoi de plus dissemblable que les causes et les mérites qui produisirent cette faveur? A l'âge primitif, ce fut l'originalité des créations et le parfait accord des conceptions avec les croyances et avec les moeurs qui recommandèrent à l'Europe notre littérature ; à l'âge de maturité, ce fut la correction soutenue, l'élégance parfaite, la haute raison et, bientôt après, la hardiesse philosophique qui firent prendre les livres français à tant de mains étrangères. Il y a là, sur le changement des aptitudes et du génie des nations, un profond, enseignement que peut-être on ne voit nulle part ailleurs aussi clairement donné.
TABLEAU
DE
LA
FIGURATION
DE
LA
PRONONCIATION,
Le principe de figuration que j'ai adopté est de conserver rigoureusement et de ne lui en attribuer jamais d'autre. valeur qu'elle a dans l'alphabet de la langue française se divisent en : 1° voyelles Les sons et articulations nasales;
3° diphthongues;
à chaque
simples;
lettre
la
2° voyelles
4° consonnes.
I. Les voyelles simples sont a avec ses deux sons, e avec ses quatre sons, i, o avec ses deux sons, ou qualifié à tort de diphthongue, et u. A a deux sons principaux, par exemple avoir et ame; c est l'accent circonflexe qui les distingue. E est marqué
ainsi qu'il suit : e muet, reprise, pour ses quatre prononciations, re-pri-z , é fermé, lié, li-é; e plus ouvert, sujet, su-jè: s tout à fait ouvert et long, clavecin, cla-ve-sin; tête, té-f, reine, ré-ri. A la fin des mots, l'e muet est marqué par une apostrophe, âme, â-m . Je ordinaire pour les e initiaux ou intérieurs ; pourtant suis, à défaut d'un signe particulier, l'orthographe les e marqués de Taccent aigu au commencement ou dans l'intérieur des mots ont le son bien plus ouvert que l'e final ; ainsi intérieur, médecin, se prononcent plutôt intérieur, médecin, qu'avec l'accent aigu. Toutes les autres formes que l'orthographe emploie, ai, ei, es, ez, etc., rentrent dans l'une des ici indiquées. quatre prononciations I est bref ou long; un accent circonflexe
distingue les deux i. Y grec, n'ayant que le son de Yi, est banni de la figuration; je ne m'en suis servi que pour la vicieuse prononciation mal prononcé a*yeur. des II mouillés : ailleurs, représenter O a deux sons, l'un tel qu'il est dans croquer, police, etc.; l'autre tel qu'il est dans hôte, le etc.
Pour
ordinaire qui met sur Yo grave un je conserve l'orthographe accent circonflexe. Il va sans dire que c'est aussi par o que je figure les combinaisons des lettres au, aux, eaux, os, qui, quelle qu'en soit l'orthographe, ont, dans beaucoup de cas, le son de o. OU n'est une diphthongue que pour les yeux; pour l'oreille c'est une voyelle ; il n'y avait aucune notre,
raison
faire la distinction,
pour en changer U est bref ou long;
la figuration. l'accent circonflexe
marque cette différence. II. Les voyelles nasales sont an, in, on, un. La figuration en est la même que dans l'orthographe mùelle. Il est clair que les variantes orthographiques telles que en pour an ou in sont ramenées, dans ' *• — h . DICT.DELAUNC.UE FRANÇAISE.
LVÏII
COMPLÉMENT-DE
LA PRÉFACE.
mon système, à an. J'ajoute seulement que la consonne qui les termine ne doit jamais, dans cette sur la voyelle qui suit; elle doit être pi-ononcée comme si figuration, être entendue ni s'appuyer elle était isolée : enivrer, an-ni-vré; an prononcé comme dans Van. ^ ni. Les diphthongues propres sont ia, ié, ieu, iou, ion, ui, oin, celles en un mot où l'on entend deux sons en une seule syllabe. Dans la figuration elles sont toutes réduites effective. quelle qu'en soit d'ailleurs l'orthographe
à l'une de ces six formes,
TV. Quant aux consonnes, voici les indications. B ne fait aucune difficulté. C a été exclu ; quand son dur, il est représenté F n'a besoin
il a le son de Vs, il est représenté par k.
par s : ceci est écrit se-si ; quand
il a le
d'aucune
sauf qu'elle remplace partout le ph : philosophe, fi-lo-zo-f. remarque, G a deux articulations, l'une dure qui est l'articulation propre, l'autre sifflante qui est accidentelle (voy. le f). Il n'est ici question que de l'articulation dure : devant a ou o, ou i ou r ou toute autre consonne, : gamme, ga-m ; gond, gon; gland, g est conservé dans la figuration glan; devant ue et. ui il est remplacé par gh : guerre, ghê-re; gui, , grand, gran; stigmate, sti-gmate; ghi ; figue, fi-gJi. Voyez plus bas gn. H né figure que quand elle est aspirée
: hache,
ha-c/i ; mais homme,
o-ni.
J, qui est une articulation propre à la langue française, est uniquement employé pour figurer cette articulation : gémir, jé^mir; geôle, jd-V. le c dur, est employé pour le figurer ainsi que K, qui est proprement pour figurer le q : queue, " JiêUë; cueillir, keu-llir, Il mouillées; camard, ka-mari etc. L est figurée par l. Quand deux II, ayant chacune l'articulation qui leur est propre, doivent être dédoublées dans la prononciation, de la sorte qu'elles doivent je les dédouble en effet, indiquant toutes deux être entendues : illisible, il-li-zi-bV. Voyez plus bas II mouillées. . M, Nj P et R n'ont
rien de particulier. 3 i dans la figuration, a toujours l'articulation culation, douce est réservée au z.
qui lui est propre
dans sage, conseil,
T est toujours t dans la figuration; il rie prend jamais l'articulation de Vs. - V et Z aussi sont conservés avec leur valeur alphabétique. c'est la représentation, JTj à proprement parler, n'est pas une articulation;
etd
avep un
L'arti-
caractère
Il va sans dire que je l'ai exclu delà figuration, et qu« j'ai mis chaque simple, de deux articulations. fois l'articulation ou les articulations qu'il représente. l'une et l'autre, elles sont, dans la figuration, Quand deux lettres doublées se font entendre • sauf pour le cas de 17. immense, i-mman-s\ jointes ensemble consonne finale doit sonner, une apostrophe Quand il importe de faire connaître qu'une y est jointe : TeDeum, Té-dé-om. Il reste trois consonnes véritables
usuelle exprime par une combinaison de que l'orthographe lettres, bien que ce soient des articulations simples ; il s'agit de chy de gn et de II mouillées. GH est conservé dans la figuration avec l'articulation qui lui est propre et jamais avec celle de k. GN est une combinaison destinée à rendre un son qui est propre au français, à l'italien et à l'espagnol 1; il n'y a rien à y changer : ignorant, i-gno-ran; Mais il y magnanime, ma-gna-ni-m'. a quelques cas où gn n'est plus combiné cette articulation et ©ù sont pour représenter unique, i. L'itaKenle rend par gn comme le français, l'espagnol par n.
COMPLÉMENT conservés
DE LA PRÉFACE.
au g le son dur et à Yn le son qui lui est propre;
dans
LIX ce-cas,
le g- est séparé
de Yri :
stagnant,
stag-nart; igné, ig—né. L, simple comme dans péril, bail, un i antécédent), forme une articulation
ou double
comme dans paille (dans l'un ou l'autre cas avec qu'on nomme II mouillées et qui a un son particulier, rendu par gl (dans l'ancien français on la rendait souvent par Ih
en espagnol aussi par II, et en italien ou par li). Je note naturellement cette articulation
par II, en ajoutant toujours II mouillées : ailen des II mouillées est souvent manquée; leurs, a-lleur; bouteille, bou-te-lV, La juste prononciation Flandre, on fait entendre seulement une / : bou-te-V ; à Paris, on lès prononce souvent comme un vicieuse. y : bou-te-je, a-yeur; partout je préviens contre cette prononciation
EXPLICATION
DES
A. ou act. actif ou activement. Adj. adjectif. Adv. adverbe. Adverb. adverbial ou adverbialement. Allem. allemand. Ane. ancien. Ângl. anglais. Bourguig. bourguignon. Calai, catalan. Conj. conjonction. Conjonct. conjonctif. Vomp. comparatif. Compar. comparez. Démonstr. démonstratif. Espagn. espagnol. Étym. étymologie. F. féminin. If/'sl. historique. Interj. interjection.
ABRÉVIATIONS
ET
DES
SIGNES.
Ital. italien. Ijit. latin. Loc. ou locut. locution. M. masculin. N. neutre. Part, participe. Plur. pluriel. Portug. portugais. Prep. préposition. Pron. pronom. Provene. provençal. Réfl. réfléchi. Rem. remarque. S. substantif. Subst. substantivement. Superl. superlatif. Syn. synonyme. V. verbe. Voy. voyez.
Les sens principaux des mots sont séparés par le signe |j , suivi d'un numéro; les sous-sens et certaines remarques le sont seulement par les deux barres || . Les deux crochets [ ] servent à enclore les explications ou les mots sous-entendus que l'auteur du dictionnaire ajoute dans un texte. On a laissé à la parenthèse son usage habituel. Le signe "f*annonce que le mot qui le porte n'est pas dans le Dictionnaire de l'Académie. L'explication des abréviations relatives aux auteurs et à leurs ouvrages sera donnée dans une liste à la fir du dictionnaire.
DICTIONNAIRE
DE LA
LANGUE
FRANÇAISE.
A
A
A
A (il), s. m. Voyelleet premièrelettredel'al- indépendamment des deuxtermesqu'illie, aussi dire.Prêtà partir.Enclinà nerienfaire.Facilek U n A. U n A. D eux A.Des Amal bien l'antécédent Aulieudela apprendre.Importantà comprendre.Chosehonphabet. grand petit quele conséquent. mas anssau I l a une classification on à contempler. formés, pluriel. y géométrie parsignifications,peutadopterune teuseà dire.Charmant Agréableà delignes,depoints,d'A+ B, classification tériellequisecontente d'aprèsles deuxtermesdu rapportfaire.Inutileà dire.Ledernierà fuir.Le premier Gén.du Chr.m, il, 1.Unepansed'à, la oùà figure,le sensétantaussibiendéterminé,en à s'élancer. CHATEAUB. Promptà se mettreen colère.Habileà lesfatigues.C'estbienpremière partied'unpetita dansl'écriturecursive.beaucoupde cas, par le motquiprécèdequepar parler.Propreà supporter N'avoirpasfaitune pansed'à, c'est-à-dire n'avoirle motquisuit.Enconséquence, onpeutconsidérertôtlepremierà prendre,LAFONT. Fàb.vin,7....Les rien écrit, rien copié,rien composé. Sije voulaisà danslespositions suivantes : richesgrossiers N'ontpasuneâmeouverteà sentir recevoirtousles ans vosquatremillelivres,sans i° Entreun substantif etunsubstantif ouunpro- lestalents,A.CHÊN. 26. fairejamaisune pansed'à, vousseriezl'hommele nom.Séjourà Paris.Habitation à la campagne. La 6° Entreun adverbe etun nomouun pronom. Ne vieaux Retour à la Lett.CLXXXIV. ville.L'ascension au Conformément à cequevousdites.Semblablement champs. pluspropreàvouslaisserfaire,VOIT. au nord.Laremiseà un auxfeuillesdesarbres,les générations savoirni Ani B, ne passavoirlire, êtretrès-igno-hautdu pic.L'orientation humaines rant (voy.ABC).|| Il est marquéà TAse dit d'un autre temps.Le recoursau juge.Le discoursau se succèdent surla terre. hommede bien,d'honneur et demérite;et ce pro- roi.Laréponseà unelettre.L'élévation auxdigni- 7° Entrele mêmemotrépétésansarticle,indidesmonnaies aux tés. La disposition à la plaisanterie. Lapréparationquantquepersonnes verbeestemprunté sesuiventousetououchoses qu'onmarquait à la communion. Lacontribution au c ommun. villesdeFrancepar ordrealphabétique, selonleur fonds un à un. chent.Unà un. Troisà trois.Il passèrent La à la course. L elionà la mena:la monnaie d e d umeilleur légèreté Onles t roisàtrois. Goutte à gueule Paris,réputée goutte.Seul primauté compta Terre à hommeà potier.Vasesà huile.Marchéaux à seul.Têteà tête. Ils s'introduisirent aloi,étaitmarquéedel'A.||A,danslamusiquemo- çante. boeufs. anses. Cruche à C haise à T erreà derneet notamment dansla"musique le homme. P asà Motà mot. Traduire mot à allemande, porteurs. pas. etnaturelle,blé.Tuniqueà manches.L'empruntau banquier.mot.Corpsà corps.Luttecorpsà corps.Becàbec. sixième degréde la gammediatonique la L'achatau marchand. Lademandeau professeur.Boutà bout.Entermesdejeu, noussommes dixième c ordede d iatonico-chrofiche oula gamme au plancher.L'arrachement à tou- à fiche,dixà dix,nousavonschacununefiche,dix matique,appelédansl'anciensolfègea lami ré, a La suspension tes les affections. La a u A écritsurune mila, oula. majuscule, noussommes firépugnance mariage.Le points;et même,elliptiquement, partition, au L 'obéissance au devoir. maître. l 'alto. che dixà. manquement indique à, —HIST.xm"s. Oiezquetesmoigne despayens;nous 8°Entreunverbeayantà pourcomplément li A; Aveut Iln'estriendecelaauxexemples indiPais,n, il. Je rectetun substantif tousteinsqu'onlaboucheoevre;Tuit[tout]prélat n'avonspasde liaisonà eux,PÀSC. ouunpronom.Serendreà la RAC. beentàcesteoevre.IcilquiI'ABC étrangères,, Baj. ville.Relégueraux champs.Recevoirau camp. para, Fistlecom- méditaismafuiteauxterres • 2. l'AB mencement A de II Allerà Rouen,à la campagne.Monterau ciel. par , Senefiance c, JUBIN,, in, 2°Entre et construction un substantif unpronom, unlivreà quelqu'un. Monter achevai.Être 276. Envoyer —ÉTYM. Unamià moi.C'estun tournéà l'est.Être exposéau danger.Jeter quelA latin, lequelvientde l'a grec, le- oùà exprimela possession. Il a un styleà qu'unà terre. Jeterà l'eau.Revenirà soi. J'en sousle nom amià moi;je vouslerecommande. quela étéapportépar lesPhéniciens lui.Vousavezunemanièreà vous. viensà un autreobjet.Courirà sa perte.Appeler d'alpha(voy.ce mot). 3° et un verbe.L'exhortation A (a), 3»pers.sing.ind.prés,duverbeAVOIR. Entreun substantif auxarmes.Exhorterau travail/Recourirau juge. à à bien L adiscombattre. vivre. à l'article mascuÀ (a) prép. Lorsque précède L'encouragement Descendre auxdernièresprières.S'adresserà ses àfaire.L'ha- amis.Réduireà l'extrémité. Arracherquelqu'unà lin suivid'uneconsonneautrequel'/tmuette,on positionà plaisanter.Lapromptitude La à biletéà facilité La à les contracteen ait pour le; lorsqu'ilprécède comprendre. répu- son opinion.Eleverau rang suprême.Courirau parler. l'articleplurieldesdeuxgenres,onlescontracte en gnanceà venir.Le plaisirà obéir.Lafermetéà danger.Se préparerau combat.Leverles mains soutenirla vérité.Lahonteà mentir.Quelqueef- au ciel. Accorderla récompense au mérite.Deauxpourâ les. à beaux —REM.Cesformesproviennentde l'anciennefortquel'onfasse romprevos noeuds,COEN. voirdel'argentà quelqu'un.Exposer au péril.Se Her. LA FONT. Fab. lès rendre, rendreà César.Ecrireà quelqu'un.Enseigner langue: à lesedisaital, quidevantuiteconsonne i,4.Iln'apasdepeineàse seprononçait ordinairement prendreà terminervoslettresauxjeunesgens.Ajouterà quelquechose. au, commeon le voit vin,'7,4.Lesbiaisqu'on-doit M OL. i. dansautre,écrit anciennement aîfreet venantdu voeux, l'Étourdi,iv, Impute*à crime.Assisterau jugement.Plaireà ou un pro- quelqu'un. en as 4°Entreun adjectifetun substantif \a\lnalter.Pourle pluriel,à lessecontractait Il importeà toutle monde.Ellepense a umidi. P ortéà laviolence. Enclin au nom.Exposé à l'obéissance. Cevêtement ou aus; d'oùnotreformeaux. à moi.Il s'accoutume Prêt au combat. P artihostileau mal. : hommes X exprimetrois rapportsdifférentsdirection, gouverne-siedbienaux âgés.U convientà chacun. àlaloi.Nuisible àlasanté.PlaisantCelivreappartientà monfrère.Se joindreà une allerà Paris; repos, résiderà Paris;extraction,ment.Obéissant àl'Etat.Habitué auxthéâtres.Utile compagnie. Mettreunechoseà sa place.Associer prendreà un tas. Quand,partantdecestroissigni-' àl'oeil.Important au travail. Affable aux S emblaonexamine l es au fications petits. sa cause salut acceptionsàtous,propre public.Fairepart de sa gloireà fondamentales, bleau a ux S a fut mort condansle langage,on loup.Egal plusgrands. Mêlerdel'huileà dela chaux.Compatellesqu'ellesse comportent quelqu'un. forme à sa vie.Attaché à seshabitudes. Rebelle à de Aristote rencontreune variétéextrême nuances, qui rer à Platon.Répondreà l'amour.Répul'autorité. auxsens. I lest loisible à tout gnerà certainesdémarches. dessens.Unmot Le chienressemble le classement Répugnant au rendtrès-difficile homme Ilétaitnaturel à Adam d e.... et à son savieauxpréceptes de la sagesse. aussipetitet aussiemployéqueà est devenutrèsjuste loup.Conformer PASC. édit.Cousin. I lsétaient c ruels à à unefoule del'eauà de manière à se innocence, Condamner à aux P uiser prêter mort, galères. indéterminé, ceux BOSS. Bist. 8. m, une fontaine.Boireà la source..Prendreau tas. d'emploisdifférents.Commetoutepréposition,il &•quileur.résistaient, un e t un à Entre verbe. mée t ne êtrebien adjectif D isposé choseà quelqu'un. Allumer une Demander peut apprécié quelque exprimeun rapport, I. — 1 . DICT.DELALANGUE FRANÇAISE.
.Iphig.i, 2.Lecomted'Har- Hist.n, 2. Auxbordsquej'habitais, je n'ai pu fautavecvigueurrangerlesjeunesgens,Etnous Phèd.n, 5 Ainsitoutmones- faisonscontreeux àleur être indulgents,ID.ÉC. court,fortifiéparlestroupesqui avaientjointson voussouffrir,RAC. HO-poirN'estplusqu'aucoupmortelqueje vaisrece- desF.y, 7.X parlerfranchement, ID.l'Étourdi,i, armée,serésolutdemarcherà M.le Prince,LA. Mais m aforceestaudieu dont au drapeaunos voir,ID.Iphig.v, 2. CHEF. Mém.202.Cours,assemble 9.Xvousdirelavérité,ID.Z>. Juan,i, 3. Imitezson au exemple MALH. VOLT. à ne pardonner-pas, bravescombattants, VI, 5.J'entreScyth.iv, 4, Xce fatal l'intérêtmeguide,m.Athal.iv, 3.Trempa-t-elle desesfrèresperfides? m.Phèd.i,l. Devous prendraissurelleàl'accepter devous,CORN. berceaul'instinctm'a Bod.ni, rappelé,m. Orphel.n, 3. S'il complot d ansle monde à l a raison laisser a utrôneoù serais autant à vous c onnaître je placée,m.Britann. iv,2. 4. J'enferais moins, laquelle qu'eue y a uneautorité d'infidèles Misans on 4. Xvaincre doivecéder,c'està celledela religionchrétienne,Vousquigardantaucoeur ID.ib. amouis,iD. péril triomphesans v, 4. i mmortel malje lesaurais autombeau! GILB.thrid.iv, Qu'est-ce MASS. Fe'nté.Elleestdoncplongée qu'unnom,pour qu'il gloire,ID.Cid,n, 2.Xlesdéfendre t. i, p. 63. trahis,ID.ib.v. Je deviendrais à la Reine.Et je le donneraisà biend'autresqu'à soit,s'iln'estécritaulivrede vie?FLËCH. suspectà parlerdamon moiDesevoirsanschagrinaupointoùje me voi, Siquelques voisinage,vantage,ID.Cinna,i, 4. Xracontersesmauxsoumariagesse faisaientà Ém.IV.D'Assas,capitaineau régimentventonlessoulage,ID.Poly.i, 3....J'auraisenmon MOL. Sgan.16.Voilàun hommequiveutparlerà j. J. ROUSS. vit malheurQuelquecontentement VOLT. S.deL.XIV,chap.34.Zamore à flatterma douvous,ID.Mal.imag.n, 2. Il estcequetu dis, s'il d'Auvergne, ID. 4. C'est i l et tu encore a u coeur d eson A h. commencer leurfoi;Mais estmonépoux, parles Sat.xv.X embrasse i, amante, parleurfils leur,RÉGNIER, me vengerau Hihyas,BOSS, estun hom- avecéclatQueje veuxaujourd'hui Hist.ni, 4. Lesapôtres,à lesregarà moi,CORN. Poly.m, 2. L'hypocrisie 3.Pour a uxdéserts d e der parles yeuxhumains....io.ïb. languir mageQuerendle viceà la vertu,ADBEKT, n, 10. sénat, m. Catil.n, n,n. Xremonib.n, 12.Xl'entendre, J'ai concluquela recherchedela véritéétaitune l'antiqueArabie,ID.Zaïre,m, 1. Unispourle bu- ter à la source,c'était....ID. aupartage,ID.Cat.m, l. Lesmendiantsrienn'était difficile,FÉN.Tél.xvi.Cetteprétendue folié,parceque,quandonlatrouverait,onnesau- tin, divisés dansl'ombre desportiquesOnt moinsde règle,à la prendresansrestriction, estévidemment rait à quiladire,BEKN. DES.P. Ch.ind. groupés etmoinsdeflamme auxyeux,v.HUGO, 9°Entreunverbeet un verbe.Exhorterà faire. haineaucoeur Prosod.fr. Il est faux qu'à s'en fausse,D'OLIV. Condescendre à traiter. en est 4.Ettoutce Il Inviterà venir. Voix, peupleingratpourquije périrai, abstrairepar vertu l'on se fassemépriser,J. J. la joieaufront,sourireà mestortures,c. ROUSS. le sceptreà vengermon venu à nousdire.Réduireà capituler.Forcerà Viendra, Hêl.i,67.J'avilirais S e DELAV. 6 . Leschoses se V.Sict7.ii, V.Sicil.ni, 2. mourirde faim.Il inclineà prendrece parti.. qui pratiquaientinjure,c. DELAV. au m ême à lire. à auxsiècles DESC. Méth. C'était oudeà 13° devantun nomdenombre temps Enseigner passés; Absolument, préparer partir. Apprendre et le à augmen-quele roi dePrusseversla Saxe princede vantunpronomsuivid'unnomdenombre. Xquatre. correctement. Celacontribue s'exprimer Conti le Rhin lesforces a utrilui seul.X Cediscours l e à céder. vers X ce fardeauà quatre. ter le patrimoine. empêchaient que Ilssoulevèrent portait Sa démarche S. de moiseul.Médée, àelleseule,bravaitunearmée.IgnoSe déciderà comparaître. l'exposaitchiennesne pussentsecourirl'Italie,VOLT. a umême m ois I l à exécuter son L. 302. O n fitmourir s oixanteà périr.Hse plaîtà étudier. pense XIV,m, miniequi, à elleseule....Xtroisquenousétions, A imer à donner. C ondix ID. i b. 389.Onvitencore àcette S'accoutumer à obéir. soulever ce fardeau. personnes, m, nousne pouvions projet. é tait l 'inimitié n aturelle les Chercher à com- journéequelle entre, Sué- 14°Absolument, .damnerà faireamendehonorable. avec'un adverbede temps.X 4. 0 Donnerà une lettre. Donner à doiset les ID. H ist.deRuss. ciel! le X demain.XdeX quand rendez-vous? copier Danois, n, prendre. quand? ta justiceest sévère,Et qu'ilest main,je vousattends.Xdemainles affaires. Xjaporterun fardeau..Il resteà finirle travail.De- qu'auxchâtiments manderà êtrereçu.Manquer à venir.Répugnerà dangereuxd'exciterta colère! ROTROU, X à jamaisdéplorable. toujours. Antig.ni, mais.Evénement l'exhorta àavoircourage,SCAER. Rom. 9.... X l'orgueilde ce traître, Demesressenti-Soyezprêt à demain,CORN. travailler..0n Cid,iv,6. Tait, v, 3; Je 15"Elliptiquement, com.n, 12.Et jemevoisréduitXchercherdansvos mentsje n'aipas été maître,MOL. devantunnombuunpronom. Phèd.n, 2.Essayezn'enseraipointcruà monserment,et l'ondiraque Ausecours! !Auvoleur!Aufeu!Xla -Xmoi,citoyens yeuxunemortquimefuit,RAC. 8.Xmonserment des ID. G .Dand. l'on un peu, parpiaisir,àm'envoyer ambassades,jerêve, n, peut porte,l'insolent!Xtable,messieurs!X l'ennemi, de petitsbilletsdoux,à épier m!encroire,m.Amph.u,i. Auxévénements dela soldats"! untel (sur une àm'écriresecrètement X votresanté!Xmonsieur i ilfaiit.... HAM. 21.Mme d eLa G. guerre Gramm. lesmomentsquemonmarin'y serapas, MOL. XJupiter,très-bon,très-grand.Aurevoir Tour, un peu,manquezà le bienre- à cettescène,venant à se rappelerl'abandon oùl'a- adresse). Dand.i, 6. Manquez Xcesoir.Xdimanche. esticiunsubstantif). (revoir ne à perje tâche vaientlaisséesespropresparents, pouvaits'em- Xla vie,à la mort.X perpétuité.Concession cevoir,m. Sgan.i. Depuisassezlongtemps DES.P. P. et Virg.Les pétuitédansun cimetière.!moi,comte,deuxmots, ID.ib.m, i. L'oeiléblouiseperd pêcherde pleurer,BERS. à le comprendre, Ilenfau- gardes,sanstarder, l'ontouverteà genoux,RAC.CORN. dansleurfouleinnombrable [desinsectes]; Iphig. Cid,n, 2. Holà,gardes,àjnoi! RAC. 8. Les aux dans.lesbois se draitun mondeà faireun grainde sable,LAMART. Baj.m, emportant dents, 7. Fab.m, 13.Xtoutepeine,ilre- IV, Joe.IV,34.C'estunechosegrandeetquetouthommeretirent,LAFONT. etunverbe entreun substantif 16°Elliptiquement, ID: i b. 17.Les Lettreà D 'avoir unlustreen soi sursa le mauvais effets Chose à dire. vi; à bon,propre). gagna bord, envie, qu'onrépand qui (équivalent Lett.pers.85.Cetteécrire.Homme àpendre.Jene vouscroispashomme vie, D'êtrechoisid'unpeupleà vengersonaffront, en germentà milliers,MONTESQ. AfF. d'aut.13. déclaration estsuivie d'un courroux v. HDGO, àne paslaisseréchapper. prompt quipa- à fairecela.Occasion Préc.6. Cegrandcoeurfaireà -perdre 10°Absolument, devantun nomouun pronom, raîtà notrerougeur,MOL. unhomme. Procèsàne pasfinir.Conte' audiscours tu tiens CORN. Pierreà aiguiunecirconstance, à lafaçond'unadverbequiparaît à coucher. que , Cid,n, à dormirdebout.Chambre exprimant oud'unelocutionadverbiale. XParis.Xlaville.Aux 2.Xcequejepuisvoir,vousavezcombattu, à revoir.Travail Prince, ser.Arbresà transplanter. Compte intérêt CORN. Nie. :à revoir, Aumidi.Aunord.Xterre.Xl'entréedel'é- par plutôtqueparvertu, champs. n, 3.X à refaire.Lettreàporter.Parabréviation n'estpasici criminelcommeà refaire,à porter.Unvoileà couvrird'autresflamglise.S l'armée.Aufeu.Xl'ombre.Ausoleil.Xta-' cequeje voi, Chacun 5. TMb.i, L'échange enétaitfaitauxfor- mes,MOL. ble.Audoigt.Porterunebagueau doigt.Aufront. moi,RAC. Dépitam.i, l. Uncoeurquijamaisn'afait mes a u front. X M al J e LAFONT. Fab. i3.Fairesa ronde Blessé l'oreille. à l'oreille. vous la moindrechoseXmériterl'affrontoùton mépris ordinaires, m, diraicelaàl'oreille. Xtoutâge.Xl'âgedetrenteans. ainsiqu'àl'ordinaire, ID.ib. iv, 22.Croyant n'arienàmerenqueces l'expose, îvzSgan.16.Lacouronne être ausens la Autempsquelesbêtesparlaient.Xneufheures.X propositions de grâce drecontent,MOL. unemaiP. Gare,v, 6. Cherchons pouvaient prises ' midi.Aujourfixé.X échéance. PASC. Prov.17.Pourfairecroirequenous sonâ vousmettreenrepos,ID.l'Étourdi,v, 3. Je Payerà échéance.efficace, aumêmesensqu'ilsontexprimé Aucommencement. X la findel'année.Auprin- lessoutenons par mesensuncoeuràaimertoutela terre,ID.D.Juan, X l'année. L ouer u nemaison àl'année. P enleurs ID. i b.Condamner ces au 1,2. Je n'aipointun courrouxà l'exhaleren patemps. écrits, propositions sionà vie.Travailler à la journée.5.la longue.Au sensde Jansénius,ID.ib. Ils'estfaitun miracleà rolesvaines, ID.ib. i, 3.SijetédisaislenomdetouID. e. en diverslieux,ceserait dePontoise, ib. Xtonordresu- tescellesqu'ila épousées pointdu jour.Aumoisdemai.X touteslesheures. unereligieuse f ois. X i lsserendent VOLT. M. d eCes. 2. delà.S. d e i nAbanXchaque un chapitreà durerjusqu'ausoir,ID.ib. i, i. Sous longs prême, ici, i, quelques jours tervalles-. 5.monarrivée.X l'approche deXerxès.X donnermoncampenestun [crime]capital,Inexcu-quelastretonmaîtrea-t-ilreçule jour? Sousun cettevue.Xcerécit.Aubruitdesamort.Xla nou- sableentouset plusau général,CORN. Nie.n, 2. astreà jamaisnechangersonamour,m. l'Étourdi, velleque....Xla vuedubourreau. Xlaprière.XTin-Auxrebellesvaincusil usaitdedouceur,RÉGNIER, i, 4. Detailleà se défendrehardiment,LAFONT. X grandesjournées.Venirà Ép. i. Lâchesauxdangerset perfidesdansl'occa-Fab.i, 5.C'était lesgenssourds, uneclameuràrendre stigationdesennemis. p .D'ABLANC. Tac. 4 60. I ls à X la desGrecs. X n'était un homme à conquégrandesjournées. façon pleinession, s'engagèrent,peine ID.ib. vin, 12.Ce pas mains.X genoux.X pied.Autoucher.Augoût.X dela vie, à....BOSS. Hist.i, 9. rir desroyaumes,VOLT. S. deL. XIV,iv,.155. . dessein.Xsouhait.Xl'huile.Manger à 11° devant un deslégumes devantunverbe.Demain,à Absolument, pronom interrogatif. 17°Elliptiquement, l'huile.Xl'épêe.Sebattreà l'épée.Xl'aiguille. Bro- Xquicela?Xquoibon?Xquellefin?X quelleuti- recommencer. à dîner.Xrevoir, Après-demain,
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monsieur.Finissons ;maisdemain,muse,à recom- tifne peutavoirderégimeindirectavecà, la locu- l'acacia.Danscecas,onpeutmettrele nombreque tionestbonne,l'amphibologie n'existepas: je lui l'on veut,quel'antécédent Sat.vu. soitau singulierou au mencer,BOIL. estàmoi.Tout fossé : on ne dit à 18°Locutions avecleverbeêtre.Cela ai vu franchirle à fruitouà pasfranchir pluriel:arbreà fruitouà fruits,arbres étaità l'ennemi.C'està vousde prendregarde.Ce quelqu'un;le casn'estpasdouteux;je l'aivufran- fruits; maissi le conséquent ne se prendpashabiOnnepeutêtreà soiun chissantle fossé;je lui aivu faireune actiongé- tuellement fauttoujours n'estpasànousd'examiner. ausenscollectif,il le mettre uneénigme.néreuse;onneditpasfaireà quelqu'un; Cethommeestà lui-même lesensest au pluriel.Ainsion ne dira pasfleurà pistil,mais seulinstant. C'estbienfaità vous.C'està un bonconsuldepré- donc,je l'ai vu faisant.2°Si le verbeà l'infinitifà pistils,fruitànoyau,maisfruitànoyaux, à moins, C'estàfaireà lui. C'estfolieà peutavoirun régimeindirectavecà, l'amphibolovoircequiarrivera. bienentendu,quela fleurn'aitqu'unpistil,le fruit réellement : je luiai vudonnerun qu'unnoyau.Considérer vousde croire:Cinqestàquinzecommevingtestà gie commence cesmots-làcomme collectifs n ousétions l'aivudoncette de à la maisc'est attribuer un soixante.! partie trictrac, cinq soufflet se peut rigueur; leur signifier,je pourraitégalement etj'ai vu qu'onluidonnaitunsouf- usagequ'ilsn'ontpas, et dèslorsil vaut'mieux trousà dix.Danscettepartiedebillard,noussom- nantunsoufflet-, enàl'attendre. Je suis mesquatreà six.Je suisici flet.Onéviteradonccettetournure. suivrel'idée naturelle,qui est celledu pluriel, avecattendre.J'ai attenduà vous || 2. On lisait dans l'avant-dernière coreà savoircomment. Cethommeestà craindre. 23°Locutions éditiondu : il y avaitsept à huit Avec del'Académie ellipsedesoit:Honneurauxbraves,c'est-à-direparlerque toutle mondefût sorti.Elle....Attend Dictionnaire à choisirun C ORN. e t ainsi les l'ordred'un assemblée. La dernièreédihonneursoitauxbraves, père époux, Cid, personnesdanscette pour exemples ànoussoumettre? BOSS. Hist. tionet tousles grammairiens modernescondamsuivants : Gloireà Dieudansle ciel!Guerreaux i, 4.Qu'attendons-nous il assez Malheur aux vain4 Attendez à les donner aura etpaixauxchaumières ! lui la prépochâteaux quand nentcettelocution.Onne peutemployer il, 3. cachédansles sitionà qu'entredeuxnombresqui en laissent Tél.xxi.Lefeudemeure cus!Lesfureursdela terreNesontquepailleetque deforce,FÉN. ou qu'entredeuxnomverreXla colèredescieux,MALH. que veinesdescailloux,et ilattendà éclaterjusqu'àce supposerun intermédiaire II,2.L'amour D.Sand'unautre m .Exisl.de esttoutà votre CORN. le choc il bres consécutifs, corpsl'excite, gloire, que quand s'agit de chosesqu'on j'ai pourvous che,il, 2.Quin'estpointau vaincunecraintpasle Pieu, 45. peut diviserpar fractions.Mais, dans l'exemple J'ai à ami 4.C'était biendit à 24° Locutions avectrouver. trouvé votre vainqueur,IB.M.de Pomp.i, ou, parcequ'unepercité, il fautla conjonction 4 s i trouLA FONT. Fab. 8. à dire. E coutez vous sa unairsoucieux.Trouver ne Lesbonsauteurs ont resonne se divise m, pas. lui; j'approuve prudence, i d e MOL. Préc. o. leplusprodigieux L'homme està lui-même connula règledonnéeici. Ona pris ou tué aux objet vezl'airà votregoût, ne à des malades. 25°Devant d e.Rien nature. C onnaissez Lett.à la plaît gens .Allemands donc,superbe,quelparadoxe septà huitcentshommes,RAC. Il se édit.Cousin.Elleétait Répondez avecfermetéà detellesprétentions. Boil.xhi.Lesdeuxjeunesbergères assisesvoyaient, vousêtesàvous-même jPASc. Rochose Xde hauts s iellen'avait e uautre à des àlaconversation comme livre extravagances. plus partis à dixpasd'elles,cinqousixchèvres,LAFONT: Psyvin 3.La est doit CORN. d anslamaison o ù àfaire, J.I. Rouss.Hél.vi, 44.Chaque Cid,i, nature,féchés I l avait juge drigue prétendre, dupaysan je logeais y Danschaqueâmeestmar- cinqousixfemmes M.duS. JS.Élle hommeà moi,BÊRANG. et autantd'enfants revintlong-condeenbizarres portraits, quis'yétaient m. BOIL. Poét. n i. Cette chanter s ous la Print. àdedifférents Art. J'étais à BERN. DE S.P. 43.Jefusétonné de traits, treille, tempsaprès; quée Études, réfugiés, la dessoldats serassembler sous etAut.Lesclameurs parlacrainteétouf- locutions'expliquepar constructionpartitivevoirjusqu'àseptouhuitpersonnes a u chef u n faible Qui 43.Lafaute féesSont rempart audacieux, (voy.DE). cemêmetoit,LABRUY. vulgaireprovient d'unministredescieux,c. DELAV.26°De....A.DePansà Rouenil ya trentelieues. d'uneextension ducasoùlàlocution bravelecourroux nonraisonnée D'homme à convient,septà huitlivres,au casoù ellene conParia, i, 4. Labonnegrâceest au corpsce quele D'euxà moi il y a cettedifférence. : vingtà trente,dixà douze, vientpas,septà huithommes. bonsensestà l'esprit,LAROGHEF. Réflex.67.C'est homme. Elliptiquement || 3. C'està lui à qui faire de dixà douze.Dumatin bienà vous,infâmequevousêtes,àvouloir on en veut.Ditesc'est à lui qu'onen veut, ou pourde vingtà trente, MOL. Préc.44. Hestencore au soir.Delatêteauxpieds.Dujour aulendemain.c'estlui.à qui on en_veut. L'usageactuelconl'hommed'importance, à revenir,SÉ\.242.Est-cedoncune choseà dire Devousà moi.Denationà nation.Vivredepairà damnela répétitionde à; et c'esten effetun etn'est-cepasunechoseà dire,aucon- compagnon. TraiterdeTurcà More.Degréà.gré. pléonasme. Ainsion trouve,unefautedanscevers gaiement? à qui. C'étaità quipartiraitle pre- de Boileau: C'està vous, monesprit, à qui je traire,tristement,commelachosedumondela plus 27°Locution 2. se Pens.n, mier.Ils disputentà qui sera préféréà l'autre. veuxparler,Sat. rx. Maissi Boileauy avaitvu triste?PASC. affaireàquelqu'un.Tironsà quijouerale premier.Ehbien!gageonsune faute, il lui étaitbien facilede l'éviter,en avecavoir.Avoir 19°Locutions 11y a de la folieà croireque....Je n'avaisrien à nousdeuxX quiplustôt auradégarniles épaulesmettant: Oui, c'est vous, monesprit, à quije vousécrire.Vousn'avezqu'àparler.J'aià vousen- Du cavalier,LAFONT. Fab.vi,3.Hélèneadoréevit veuxparler. Le fait est que de son tempscela à quila posséde-n'étaitpasconsidéré commeunefaute.Sescontemtretenir.Il y auraità craindre.Letempsquej'ai à lespeupleset les dieuxcombattre à Ilseurentun L.COUR. 39. aucun ne se font vivre.L'argentquej'ai dépenser. rait, p. I, scrupulede répéterà. porains Xest d 'un BOSS. Hist.a, 6. 28°Locutions parpléonasme. suivi pro- Quedesoncuisinieril s'estfaitun mérite,Et que peuà souffrirsoussessuccesseurs, le pronompossessif a uriez m aintenant tounompersonnel Misanth. qui c'està sa tableà quil'onrendvisite,MOL. Sic'étaitunepaysanne,vous reproduisant àmoi. V otre d evoir à vous en fairela à C'est mon oreilles à coudées f ranches à vos tes vos àvous, II, 5. Cesera justice précède. opinion quij'ajusteraila c'estde G.Band.i, 3. estde partir.Samanièreà lui, bonscoupsdebâton,MOL. parlerpar cadencede mes périodes,BALZ. ÎWVII,lett.xxi. decent J'ai à eux est f rancs. suivid'un Leur u sent decette 20°locutionsavecfaire Lesauteursplusanciens également infinitif. sentences. gain on rejetteabsolument faitfaireunhabità montailleur.Il a faitaccepter 29°Locution populaire,la barqueà Caron,Cette façonde parler.Aujourd'hui danscette les armes àla usitée tournuren'estplus locution,ce*pléonasme. un cadeauà sonami.Faireprendre que || 4. Ondit, à Paris, à Bordeaux, s'en autre au faute de servir recevoir et serait u ne I lsl'ontfait ce part. il d que [la bulle] clergé, troupe. quand s'agit ela demeure,soitfixe,soitpassaPourtantelle n'estqu'unarchaïsme,et, aujour-gère. Il est à Paris, il résideà Paris,il passera PASC. Prov.46. etlesgensde quelquesjoursà Paris; autrement,on peut dire avecselaisseretun infinitif.Selais- d'huiencore,onditparmilesouvriers 21°Locutions la filleà à leurs campagne Selaissantconduire : la femmeà Jean, Thomas,la dins : il y a douzecentmillehabitantsdansParis. serséduireauxvoluptés. et à leursdésirs.Ne nouslaissonspas soeurau bedeau. inclinations 5. X devantles nomsde lieux.4° Onse sert || — où le toujoursde à devantlesnomsde villesoude vilédit.Cousin.J'avance REM.i. Xétant entredeuxsubstantifs abattreà la tristesse,PASC. le est cetteopinion;mais,parcequ'elle nouvelle, je conséquentdéterminel'antécédent, conséquentlages: allerourésiderà Paris,à Meudon,à Saintchange Cloud;2°deendevantles nomsde continents,de la laissemûrirau temps,m.Prov.6. Cepeuplese doit-ilprendrele pluriel,quandl'antécédent 7. BOSS. Hist.m, dénombre,ouquandleconséquent Aller laissaitconduireà sesmagistrats, peutreprésenterpays, de provinces,quandils sont;féminins. si l'on écrit ID.ib. 44.Et En d'autres en laissait d ominer à une en en Onse termes, ou résider France, Afrique n, , Algérie, l'amour, pluralité? fruitsà 3° MOL.F. faut-il au de Sav. fruit à nevouslaissezpasséduireàvos en é crire, pluriel, en bontés, noyau, Angleterre, Normandie; à, s'ilssont melaiset faut-il é crirearbreà fruit faiblesse d'âme De ouà : allerourésiderau Japon,au Mexique, masculins noyaux; noyau v, 2.Et quej'auraiscette ° est au au Canada,au Penhe, au Maine.Cependant on sermenerparlenezà mafemme,ja.ib.v, 2.Vousouàfruits?Il y a quatrecas: 4 L'antécédent 402. et le n'est en Béarn,bien vouslaisseztenterà l'enviede causer,SÉV. singulierouau pluriel, conséquent pas dit: en Portugal,en Danemark, on me laisseconduire à ma de alors met 4° autrefois la distinction vous toujours soient Quandje écris, je susceptible pluralité; masculins; qu'ils à laissez : à cidreet liv.xv, lett.xv. Nevous pommes cidre; entrel'emploideà et celuide enn'étaitpasfaite, point le singulier pomme plume,BALZ. Tél.xxm.Nevouslaissezmoucheà mielet mouchesà miel; machineà va- etl'ondisaitallerà l'Amérique. L'undestrois"jouabattreà la douleur,FÉN. une armeà des Se noyadèsle port,allantà l'Amérique, feu, venceaux pointvaincreà votremalheur,ID.ib.'n....Cehéros peuret machinesà vapeur; SoLaisse auxpleursd'uneépouseattendrirsavictoire, armesà feu; un moulin.àeau, desmoulinsà eau; LAFONT. Fab.xi, 8.Solonpassaà Chypre,FÉN. des rentesà il est la Chine : aller une renteà perpétuité, RAC. perpétuité;lon.Decetancienusage resté,à Iphig.iv, 4. àdiredepréférence, avecouïrdire,voirfaire,entendre2°l'antécédent est au singulierouau pluriel,etle à la Chine;maisoncommence 22°Locutions l a : unebêteà à fairecela etc.J'aiouï direà desvieillards.. indique pluralité cornes,enChine.|[6. C'està vous ; c'està vous conséquent dire, — REM. l'uneet ont critiquécettelo- des bêtesà cornes;un serpentà sonnettes,des defairecela.Cesdeuxtournuress'emploient Deslexicographes homme à à est defixer et pouvant si- serpentsà sonnettes;un projets, pré- l'autreetsontéquivalentes;il impossible cution,commeétantamphibologique estnécessairement singu- entreellesunenuanceréelleet fondéesurl'usage. gnifier:j'ai entenduqu'ondisaità desvieillards; jugés; 3°le conséquent «t est misau pluriel, C'estau princeà jugerde ses ministres,D'ABLANC. ils voulaient quel'onmît: J'aiou!dire par des lier; alorsquand,l'antécédent » dire le au singulier,at- dansBOUHOURS. Mais ce e stexcessif ouï on maintenir Cen'est pasà vousd'élirequelle vieillards. conséquent scrupule ; peut estune locutioninséparableet onne peutjamais tenduqu'il est uniquepour chaqueantécédent,chargeet quellefonctionvousdevezfaire, l'abbéC'étaità luiàvousfaireendansBOUHODRS. intercalerquelquechoseentreouïet dire, ni sup- oule mettreau plurielenconsidérant qu'ily ena RÉGNIER : unecomèteestun astre tendre....BOSS. Hist.n, 6.Cesdeuxtournures,auposer,j'ai ouïquelqu'undireàdesvieillards.Cela autantqued'antécédents sontdesastresà queueouà toriséespar l'usage,n'ontpasuntitreégaldevant le sensde la locutionne prêteà à queue;lescomètes étantimpossible, enà den- la grammaire. Ondirade même: manchette C'està vousdeparlers'explique aucuneamphibologie. gramj'ai à'dentelle,manchettes queues; à maticalement :deparlerestàvous.Maisc'estàvousà tendudireà votrefrèrequevousviendrez,c'est-à-telle ou à dentelles;couteauà ressort,couteaux dire j'ai entenduvotrefrèrequi disait; j'ai vu ressortou à ressorts;cuillerà pot, cuillersà pot parlerne s'explique pas; ilfauty voiruneincorrecfaireà ceshommesuneactiongénéreuse,c'est-à-ou à pots.L'usagele plusordinaireest demettre tioncauséeparl'oreille,quele premierà décidaà faisant.Maisil n'enserait le singulier;mais,commeonvoit,le plurieln'est envouloirun second. direj'ai vu ceshommes || 7.Ondoitrépéterlapréposi4° demême s iun intervenait aulieud'un une le bien multionà devant c hacun de sescompléments : il écrit pronom pas faute; conséquent, que plus commeunnomcollectif,à Pierreet à Jean,etnonj il écrità Pierreet Jean; nom: je luiai entendudire;je luiai vu faire;je tiple,peutêtreconsidéré et il ditle ilaimeà lireet à écrire,et nonà lire et écrire. -iiiai vu donner;l'amphibologie commence, parexemple,fruit,feuille,fleur,puisqu'on deMolière : On y a à distinguerdeuxcas: -4°sile verbeà l'infini-fruitdecetarbre, la fleurdupoirier,la feuillede Ainsionn'imiterapascesexemples
4
A
A
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et auroi Gibon,ib.p. 420.Garezen vous,gentilsfils drons,carilscuisentbienleur chairau cuirdes saitBienqueCélreA causédesdésirsà Léandre si j'étaisfemmeà à baron, ib. p. 440.Si estessuer [soeur]al mar- bestesmêmes,quandilslesont escorchées, ID.I, Lélie,l'Étourdi,v, 3. Comme mariet m'éloiï 6. 4 mit du XX. violerla foiquej'ai donnéeà mon quisOlivier, p. 64.[Il] jambeà terre 1,34.C'està vousà quije boy,BASSELIN,Par gnerjamaisde lavertu,ro.G.Dand.n , 40. Excep-bondestriercorant,ib.p. 462.Las! quelamourà la croixoùDieus'estendy,C'està vousà quije en alai,ad vendySix aunesdedrap,II" P. Patelin.Cherchant tions: Parmitous les romansdel'antiquité,je duelest départie!ib.p. 403.X Marsile à Théagène et Chariclée, envizoude ib. 499.X ces l isaint donnela préférence le parce gré, p. paroles rompre ditvoyageà leurpouvoir[autantqu'ils le et Chariclée , étant angesdescent,ib.p. 473.Nem'i laissezmourirà pouvaient],COMM. quecesdeuxmotsThéagène y, 47. Il pourraitsemblerau font unid'un ne tel xi.Car etserai titre vostre[je]sui, lecteurqueje disseceschosespourquelquehaine qu'uneexpression ouvrage, tourment,Coud, que. Par la mêmeraisonon dira,il aimeà aller à tousdis[jours], ib. xvn.Etnuleriens[chose]particulièrequej'auroisà eux,ID.VJI,44.Il preset venir,parcequ'alleret venirformentunelocu- n'esttanta mondésir,ib.xix.Oucil quiaimedu choitquel'estatdel'Egliseseroitreforméà l'espée, à quand cuer à son pooir, ib. xx.X la douçordu tens ID.vin, 2. Cestepovreet jeuneprincesse,car tion.On pourrasemblablement supprimer l'un à côtéde l'autreressemdeuxverbesplacés verger, ainsise povoitellebienappeller,nonpointseulequiraverdoie,Chantentoiselet fio'rissent blerontaunelocution;ce qui est délicatà appré- ib.xxi.Maisil convient sa volenté qu'à [je]soie, mentpourla pertequi....maisà setrouverentre du moins cier. On pourra encoresupprimer ib.xxi. Quemepartir[je]n'enpourroie à nuljor, lesmainsdespersécuteurs desa maison,ID.v, 47. à, enpoésie,quandla phraseestlongue,commeici: ib. XVII. Tuit [tout]mi pensersontà madame Etn'estaientpointlestrousentrelésbarreauxplus Pourde l'esprit,j'en ai, sans doute, et du bon"amie,ib.n. Vouspouvezbiensavoirpar machan- gransqueà y bouterungbrasà son aise,ID.IV, de tout,Xfaire sonEt à mesdiz, queje n'aimse vousnon, ib. 9.Xpeude défensefutdesconfit leditducet misen goût5.jugersansétudeetraisonner auxnouveautés, dontje suisidolâtre,Figuredesa- n. Tants'estamorsaferméeEn moncuerà long fuite,ID.v, 3.Laquellechoseluifutàtrèsgrantprélesbancs d'un théâtre,Ydécideren chef sejor, t'6.i. Orà mariautrequevousn'aurai,Ro- judiceet desplaisir, vantsur ID.V,7.Et auxparolesd'homet fairedu fracasX touslesbonsendroitsquimé- mancero,p. 72. la fortune,ID.V, mesinsensés ildélibérad'attendre Misanth. 4. à ritentdesah! MOL. il le comteLooysà moult 8.Lajoiefuttrèsgrandeau roide seveoiraudesm, Supprimer —XIIIC s. Làtrouvèrent n'estpointunefautecontrela logiqueou la gram- plentédebonegentetdemoultbonechevalerie, VIL-susdetousceuxqu'ilhayoit[haïssait],ID.V,42.X unefautecontreun usageLEH. xxxn.Il s'agenoilla toutplorantet leurjura sur cestecausetindrentconseillesditsPisans,m.vu, 7. maire;c'estseulement estfavorable à la clarté.C'est dansle fait, sainsqueil à bonnefoitenroitlesconvenances qui, [con-Autempsquele roiHenriregnoit,ID.I, 2.Cepovre aveccetteremarquequel'on apprécierales phra- ventions],*^, xix.Quarà si grantchoseconvientreydePortugal,quiestaittrèsbonet juste,mistà de bonsauteurs: Moïsequim'a dit moultà penser,ib.xiu.Et sachezqu'il n'avoientsonimagination ses suivantes qu'ilyroitdeversle ducdeBourgofaità e t ressemblance de aus à detrois 47.Xtoute l'image Dieu, viandes entre [eux]tous plus quej'étais semaines,gne,w.'v, diligence,ID.1, 3.lise met' D. 8. La le BOSS. Connaiss. de Vf, disposition qu'a ib. LXXIV. Etlesgensdu paîsvindrentà merciau toità chemin,ID.I, 3.Il avoitestédit quel'onse ou se recudansles à s'avancer de Constantinople, et tantluidon- reposeroit deuxfoisau cheminpourdonnerhaleine corps, passions-, fildel'empereur Il ne et songeplus qu'à vivre nèrentquepaixfirentàlui, ib.LX.Adoncissiliem- auxgensde pied, ID.I, 3.Lesautresonttrop d'aler, m. ib. iv, 3. 8. Une animositépereresAlexis avoirde la santé, LABRUY. paruneautreporte,à [avec]toutesa mourà leursbiens,à leursfemmeset à leursenà aigriret troublervotrecoeur, force,ib.LXX. età femmela AUroy[ils]aporterent diversjoiausà fants, ID.iv, 44. Il avoiteuà espouse qui commençait Serai. 4 . 8. X.se avec MASS. 4 || répète 279.Jetedonraivictoirede descon-soeurdu ditroiFerrand,ID.VU, 4.Ceulxqui sont Profes.relig. présent,JOINV. l'un et l'autre.Celaconvientà l'un et à l'autre, firel'empereurde Perse,qui se combatraà toià auxgrans auctoritez verslesprincesdoiventbeaul'autre. en l a nonà l'unet ot Cependant, poésie, tout[avec]troiscentmillehommes,m. 264.Xun coupcraindre....ID.m, 44.Leslangagesdontils ne s'observe X règle pas. l'une ou l'autreenfin coupje ferailateste trébucher,Berte,xix.X ses devrontuseraceuxquilesenquerront,ID.I, 9. Il à l'abandon Nelui pourrajamaisre- mains[elle]avoittrait [tiré]un petit[peu]defou- estaitné.etmariéau dit paysde Guyenne, votreâme ID.11, Perth. iv, 4. ||9° Locut.gère, ib. XL.Megardez"que[je]ne soiepriseà 45.Xcestefois,ID.m, 7. fuserce pardon,CORN. Loc.corr.LefilsdeGuil- [par]beste cuiverte[malfaisante], vie.Lefilsà Guillaume. ib. xxxvi.X — xvi°s. X ce qui me peut souvenir,Futun laume.Lerapportd'originen'est plusmarquépar l'issued'avril,un tempsdouset joli, ib. 1. Car bruitcommel'empereurDevoitversPesquiere vela prép.à. Neditespasnonplus,la maisonà mon nulsnevientà vie,neconviene 4 ne finer J. 64....enleur faisant à cognois[qui doive] v, nir, MAROT, père. Loc.vie. Je suisl'aînéà monfrère qui est [finir],ib. m. X Pépin[ils] orentguerrequ'aveztre et sentirque....ID.V, 298.J'attendsà cesoir à Paris.loc.corr.Je suisl'alnéde monfrèrequi ouïconter,ib.m. Caril ne plotà Dieu,quitout M.deVillarset ma nièce,MARGUER.kit. xcvn.PenJe Paris.Loc. v ie. suiscousin à votre est à apothi- aà garder, ib. m. Xtoussefit aimerBerte,tant santvousvoirà cespasques,ai attenduà vousescaire.Loc.corr.Jesuiscousindevotreapothicaire.vous en di,.ib.LXIX. Quejamaisne diraiquesoie crire,ID.lett.cvn.Lecomtede Carman,à ce que Loc.vie.Septôtésde dix, resteà trois.Loc.corr. filleà roi, ib.XLIII. Maisde luivouslaironsore j'ai entendu,vousmenéune bandede bonshomID.lett.exiv.LeroydeNaSeptôtés de dix, restetrois; commes'il y avait, à parlerici, ib. LIX.Lesdismesfurentestablies et mesetbienesperimentés, il restetrois.Loc.vie.II demeureà la granderue. donéesanciennement à sainte églisesoustenir,varre,lequeljepenseestreàchemin.... ID.lett.cxxia. mouchoir à la Loc. c orr. votre Avez-vous poche? BEAOM. Siest-cequ'il se résolutd'en,avoirraison,à péril XI,39. votre —xive Il demeuredansla granderue. Avez-vous s. Maisà ce queje voy....N'estespasas- quece fust, ID.NOUV. 44. Ellesestaientbellesà mouchoirdansvotrepoche? 8465.Etàceuxqui sont l'oeilet delitieuseson goust,RAB. Pant. 11, 4. X seùr[ensûreté],duGuesclin, —HIST. rx"s0.Et abLudhernul plaidnunquamen eagemoyen, à leurs lesveoir,eussiez amisleursontnécessaires dit quec'estoient ID.tb. 11,4. 229. prindrai,Serment. Éth. X ce d essus à bonnesactions acomplir, ORESME, que Donnez [avec]vostremast,ID.i&.n, 29. —x«s. Chi[qui]rexeretà celsdissovrepagiens, ditest s'acorde ce quedisoitun philosophe appellePuisà tout son bastonde croix,guaigna....ID. li roverent tolirle chief, Adunespede[épée] JSulalie. 28. in.ib. Eudoxus, Garg.1, 27. Toutesles languesont estéformées habebatmultlaboretemult ib.Jonaspropheta — penet xv°s. Leducde Bourgogne aunemesmefin, DUBELLAY, y [àAire]establitd'uninesmejugement à celpopulum, Fragm.deValette, p. 468.Dunesiro- àdemeurele vicomte "deMeaux,FROISS. choisirAux n,n,4.Le I, p.3, verso.Jelaisseraicestargument ad un verme cel edre Deus quepercussist gavit roide France,quitintà bonneetbellecesteche- plussavantset aux plusde loisir,ID.VU,p. 29, ib. 468. p. [lierre], ID. n, 11, 4.EdouardII, qui fut père verso.Afinqu'àsonretourle malheureux se voye noblevassal,Ch. vauchée..., , —xi"s. Carfutl'espéeàmoult au gentilroi Edouard,ID.I, I, 2. Quandils eu- Mangerauxavocats,ID.VIII,p. &o,verso.Iln'y a Trahivousa, quià gardervous rentbienconsidéré deRoland,LXXXVI. toutesleursbesognes et la dure jourauquellespersonnes soientsitristesqu'àceluisai xci.Or je bien,n'avonsgueresà vivre, guerrequ'ilsavoientauxAnglois,ID.I, I, 76.Mes-là, AMYOT, ot, ib. 48.Il futsi effrayéqu'ilse parNwma, à et sui ib. ib. CXLI. Sire, piedestes, je achevai, sireThomasavoitescritaux seigneursqu'ilsne tit à la plusgrandediligence qui luyfut possible, moià dreitet à bonur,ib. CLXXIV. CL vu. Conseillez touteleur àBordeaux à 32. toutes lesnationsquipar vinssent puissance,ID.Thém. Subjuguant [avec] Puisil s'escrieà savoizgrantet haute: Baronfran- ID.n, n, 4. Il leur avoit donnéà un avantne recognoissoient point les Romainsà seiceisas chevalset asarmes! ib.ccxn.Seigneur ba- moultgentilprince,ID.I, 1, 34.Lescapitaine se 4 4. Il se teint sansrienentreHainuyers gneurs, ID.Ces. à ib. v. Sa coustume e st Charlemagne ron, irez, au prendrededanssa maison,commepersonnequise assezprès de la villeet considérèrent logèrent 4 qu'ilparoleà loisir,ib.x. Quenousseionsconduitquellez[côté]elleestoitplusprenable,ID. 02. de vivreà soypetitement, sanspluss'endélibérait I, i, à mendier,ib. m. Quand[il] le dut prendre,si Ilsfurentmoultesbahis: néanmoins ils semirent tremettred'affairesquelconques, ID. Graçq. 32. Iuicheït[tomba]à terre, ib.xxv.Tant vous[mon à défense,ID.I, I, 440.Il l'appelaet dit : Sirede Ilznepensoient à autrechosequ'àprendrelesplus épée][je]auraien courtà rei portée,ib. xxxm. Maubuisson, parlezàmoi,ID.I, I, 449.11ssentaientprécieuxmeublesqu'ilzeussentpours'enfouirà EnFrancead Aiss'endoitbenrepairer[aller],ib. le d eFoix à tropcruel....Mieuxleurvaloità touzesdésertsde la Scythie,ID.Cross.40. Il ne comte m. estresesprisonniers futpas si tostretournéa SpartequeAratusluiprit que là mourirhonteusement —xnc s. LanuvelevintalreiSalomun queAdoniasparfamine,ID.11,m, 7.Unetrêvefutaccordéeàdu-à sondosla villede Caphyes, ID.Âgés,et Cléom. 26. D avid nostre fudal tabernacle, à Bois,p. parla rer quatremoistant seulement, ID.I, I, 469.Vo- 28.C'està Dieu,auquelil fautavoirtoutsonreal jur qu'ill'outdelivreddetuz sesene- lontiers Seigneur ileustattenduà batailleleroid'Angleterre,cours,LANODE, 30.X ceuxqui cheminent encore ib. ID.I, I, 464.Làilmontaen mer, et cinglèrent mis, ib. p. 205.E sispèresle fistal ostelporter, tant par les sentiersdesdoctrinesestrauges,. ils leur p. a.ib.p. 340. de Dieu,BOURD. dreitlui abaissier[il] ne lerra, Ne à laie[laïque]êtremieuxpuniqueparl'abandon sert, et le désertle plusabandonné, Carême,t.i, p.242. Etde sesintérêtsun si grand Là, poursuivid'unepopulaceanimée,abandonné justicelesclersne livrera,Th. le mari. 27.Moult Ettrès abandon,CORN. Sert,rv,2.Cesontlà de cesexem- auxplusindignestraitementsd'une insolenteet versluienire [leroi].s'ënflamba, durement Etlà où plesraresetterriblesdela justicedeDieusurles brutalesoldatesque, ID.Pensées, t. m, p. 376.SiDieu bienluipramet[promet] queil l'abaissera, de leur coeur,il n'y ille prist queil le remetra,ib. 28.Ils'abaissa[se hommes;et s'il y ena eusurla terre,ilsprouventleseûtlivrésà la corruption un Le fiert aller sonabaneût eude seulement pécheurs plusperduset plusabanjusqu'oùpeut quelquefois point baissa],sia pris cuillier; portier[il] desacolère,MASS. Car.évid.dela donnésà tousles vices,ID.ib. t.n, p. 465.Je ni donetlapuissance parmile hanepier[lanuque]; Lisansenchietdus3886. u n abandon d emoi-même du Seigneurpour à souf- vouscroispasassezabandonné qu'autalonderrier,Bat.d'Aleschans, [|xnr»s.loi.11yaurait lâche et qu'il frirqu'onmedéshonore, VOLT, dansLaveaux. 6°Etat y songer,HAMILT. Gramm.6.Une femme,nomFu requisJofroisqu'ilalastà Andrenoble 11 abandonnée de tousles médeCe mée Pantée,était meistconseilà cequecesteguerrefustabaissie[fi- d'une personneou d'une choseabandonnée. L'hommesent alors cins,FÉN.Empéd.Loinde ses parents,aux fers cxix.Cisfeus[cefeu] fu si granset vieillardest dans l'abandon. nie], YILLEH. se édit.Cousin.Mes abandonnée, VOLT. si oriblesque nel pot nulsabaissierne estein- sonnéant, son abandon,PASC. Zaïre, m, 4.Auxbourreaux Dansce grandabandonserontvitabandonné, ID.AÏS.m, 4.C'estunde cesmordre, n>.xci. Bienfustla crestientéessaucie[ex- mainsdésespérées ID.Mérope,n, 4. Un QEd.iv, 4. || Abandon aie tels du sort abandonnés, haussée]et non mieabaissie,ID.xxxiv.Maisor plus assurées,VOLT. riens m'amour donactif et le sens L 'abandon d esamis o iseau sesentabandonné desesailesvient sens vieil Queje passif. qui ne, pensez'plus pour ses s'abattreauprèsd'un courantd'eau, CHATEAUB. ner vousdoie[doive]; Tropdurement[je] m'a- peut.également signifierou qu'on abandonne On doit amis nousabandonnent. L'abandon du ou qu'ils sé- Génie,i, v, 6.Cespaisibles vertusau peupleaban'Blondeet Jelum,884. ne pas baisseroie, gardes'il[le prix]monteouabaissenat, l'abandonoù le sénatestlaissé,et l'abandondonnées,A monhérosaussile cielles a données, penre[prendre] Au Pr. de Salm.Alorsje comprispar au marché, BEAUM. xxxvn, 4. De la fontaineoù il laisse.Il faut donc,touteslesfoisqu'oiise GBIBERT, fui à l'amsi servira d ecette ; Quandje prendregarde près, construction, expériencece que j'avais souventouï dire à m'appressai [m'approchai] aux mouset abandonnés m'abaissai Pourveoirl'iauequi couroit,la Rose, phibologie et, s'ilrestedudoutesurle sens,chan- Mentor,queles nommes 7° femme desmenti fois la tournure. A loc.adv.Sans d e dansles 4532.|| xiv"s. Icelle plusieurs ger || L'ABANDON, dangers, plaisirsmanquent courage Sonenfant FÉN.Tél.rv.|| 2-Adj.et, prisaussidanscesens, le suppliant en abaissanthonneurde sa personnesoins,sansréserve.Campà l'abandon. abassare. DUCANGE, et desunoffice, || xves. Certes;fut à l'abandon.Il laissases terresà l'abandon.substantivement. Quiestsansfrein, et,parsuite.,sans Sinousétionsassezabandonnés pourdire.... seigneurs,Jean Lyon se souffremaintenantet Onle logeaet on luimittoutela maisonàl'aban- moeurs. FROISS. 62.OrenToutl'occident est à BOSS. l ibertin et quelque don. Bist. C'estune abandonnée. abaissela testebienbas, l'abandon, Quelque n, n, tendezausoustenir[soutenez-le] ; Carje levoybien m, 7. Commeun pays laisséà l'abandon, ID. abandonné qu'ilpuisseêtre,il y a toujoursde sequi le troublent. qu'ils'abesse,là Pass. deN.S. J. C.||xvies. Le Polit. Vouslaisserezà l'abandonvotresantéet cretsreprochesde la conscience d'abaisser d e couleur l'endroit ID. D év. 2 .Tulaissesaller tes affaires t. 94.J'osedire eut votre BOURD. vie, qu'iln'y a Pensées, m, p. peintre charge Foen.iv, 44. à l'abandon,MOL. Mal.imag.t" interm.L'épargnepointde pécheursi abandonné qui estaitpartrop enluminé,D'ADB. qui portejusqued e entièrement Luimet l'abanIl fautquevous ne se et attendémon à là le ID. ib.t. 386. Ils pressoient pasbeaucoup partir père ouverte, désespoir, i, p. Mêd.n, 4.Maisje passiezpour les plus abandonnéscalomniateurs doientla chaleurà s'abaisser[quela chaleurfût dontouslestrésorsduroi, CORN. DES m'étonne fort d evoir à l'abandon Du 39. Prov. 46. J'aimefortla PERIERS,.contes, princeHéracliusqui furentjamais,PASC. tombée], — ÉTYM. À et baisser;provenç.àbaissar; es- lesdroitsavecle nom,ID.Hér.n, 8.Al'uneoul'au- beautéqui n'est pas profanée,Et ne veuxpas treenfinvotreâmeàl'abandon Neluipourrajamais brûlerpouruneabandonnée, MOL. pagn.abaxar;ital.dbiassare. l'Étourdi,m, 3. l a suivant refuser c e I D. P erth. 4. avoir.... un à fairetremABAISSEUR Cette lettreétait tissud'ordures (a-bè-seur, ou, prononpardon, iv, Après ciationde quelques-uns, S.-SIM. a-bé-seur).ad],masc.et misà l'abandonton paysdésolé,REGNIER, Ép. i. blerlesplusabandonnés, 64, 34. Si nous Nomdonnéà des L'oeilfaroucheet troublé,l'esprit à l'abandon,ID. étionsassezabandonnés s. m. || 1° Termed'anatomie. vouloir pour persuader abaissent certaines du 8°Terme d ebourse. A cte l'aSat.n. au VOLT. Moïse. a Il p arties corps. || par muscles-qui lequel public... Moeurs, y bienpeu Le muscleabaisseurdel'angledeslèvres.L'abais-cheteurrenonceà un marchéconcluen consentantdefemmesassezabandonnées aller pour jusque-là, de à payerla prime. seurdel'oeil.|| 2°Termedechirurgie.Abaisseur Let.pers.26. MONTESQ. la langue,instrumentde formevariéedestinéà — HIST.xnr's.Va,si lidi qu'ilvigne[vienne] — HIST.xvr"s. Lesautresontescritque ceste DEFR. Phaaestaitune brigande,meurtrièreet abandonabaisseret à maintenirla langue,quandon exa- à mei; M'amorli métraià bandun, MARIE dela bouche. s'en à minele fond , Fàbl.et néedesoncorps,AMYOT, Thésée,44.Ilnousfit de I, 488.Maistost parte habandon caresseset abandonnés (a-bè),s.m.Termedepêche.Appât.PeuCont.anc.I, 70.Amis,ques[quel]homes-tu?Di merveilleuses traitements, +ABAIT 4 usité. moicomtu asnom,Quile sépulcreDieubaisessi CARL. 8. VIII, — HIST. XIII" s. Carlaviellesettropd'abet(ruse), abandon? Ch. d'Ant.i, 484.Et li bourgeois le ABANDONNEMENT s. m. (a-ban-do-ne-man), volentiérs etluimirentàaban- || 1°Remiseà.... L'abandonnement desplus.chers rechurent[reçurent] Renart,t. ni, p. 342. —ÉTYM. Norm.abet,appâtpourle poisson abédoncoret avoiret Chr.de 2 30. ; ville, Reims, Nuls intérêtsentrelesmainsd'unami.Onprendrasoin ier, mettreun appât;provenç.abet, ruse;angl. homne peutpenre[prendre]de sonplege[gage] d'entretenirles maladesdansun saintabandonneBOSS. mentà la Providence, abet,instigation ;bas-lat.aoeMttm/deàetdel'ancien par abandon,sanssoiplaindreà justice,BEAUM. Règle.Sonabandonmettreun du 4S. xvB s.Etmettrons toutle à Serm. vosd e françaisbeter, mors, germanique royaume nementà la Providence Dieu, FLËCH. ; XLIII, y FROISS. L'abandonnement desesbiensà Cession. anglo-sax. boetan;flamand,beeten;allem.beizen, treabandon, i, i, 44.Vousperdezletemps; I, 424.112° sur d enos les fairemordrela bride,et aussiexciter. l'abandon Escots s 'ensont abandon. Ondit plutôtaujourd'hui sescréanciers. car, testes, . ABAJOUE s. f. Pochesituéedecha- alléstrèsdevantmie nuit,ID.I, I, 44.|| xvi"s. De .Abandonnement (a-ba-joûe), queje luiferaidetoutce quej'ai de la e ntreles côté et lesmâtoutautrebutinil avoitune s i bouche, joues que y quantité grande de biens,PELLISS. il, 446.|| 3°Actiond'abandonDansl'abaachoires,chezcertainsmammifères.quadrumanes, queoul'onn'enfaisoitcompte,ouonleconsommoit ner; étatd'unepersonneabandonnée. et mettentleurs en amis. N eteDirnul alitout abandon,AMYOT, Lucul.25.Commele donnement où il estdetousses qui y chiroptères rongeurs,oùvotreinflexible mentsenréservependantquelquesinstants. ventsouffleà sonabandon Leduvetblancdu vieux comptedutristeabandonnement — ÉTYM. Ce mot paraît venirde à et bajouechenuchardon...ID.Morales, t. iv, p. 444. BOURD. roideurleprécipite, Pensées,X. n,p.429.L'enoffreabasones, —ÉTYM. desapersonneentrelesmains (voy.ce mot).Cependant l'espagnol Provenç.abandon;espagn.àbandono;tierabandonnement à cette ne se ital. et abbandono. Par les exemples rapporterait pas qui étymologie, historiqueson de sessupérieurspour se laisserconduireselon d'où voitqueabandonestun mot composé de à etban- leur gréet selonleursvues,ID.ib. p.367.Onmefait quid'ailleursn'a pasnonplusdemotespagnol il puisseprovenir. don.Bandon,en vieuxfrançaiset en provençal,lesoffreslesplusengageantes ; et, si je les rejette, IE (a-ba-Iour-di, et dansla décret; il répond mevoilàdansle dernierabandonnement | ABALOURDI, die),part.passé. signifie autorisation, permission, 4 Vousdevriez traitements. Enfantabalourdi à un motbas-latinbando,bandonis,demêmesi- dernièremisère,ID.ib. t. i, p. 9. pardemauvais ABALOtJBDIR v. a. Rendre b at (a-ba-lour-dir), gnification quebandum,banden danois,bannenenvousattendre,dela partdu ciel,àunfunesteabanhébété.Populaire, et en définitive c'est donnement, ID.ib. t. n, p. 464.L'abandonnement lourd, allemand,ordre,prescription; —ÉTYM. Aet balourd. uneautre formede notremot ban dansladernièremileplusgénéralquimeréduirait simplement ABANDON s. m. Onverraà l'Éty- (voy.ce mot).Dèslorsonvoitlasériedessignifica-sère,ID.ib. 1.1,p. 294.L'abandonnement où sont (a-ban-don), estla LA MOTHE LE sérieréelle des tions: mettreà c'estmettre à d e mologie quelle significations. bandon, permission,tousceuxqui manquent fortune, oùje mesuis à la à autorité; c'est doncremettre, céder,confier, VAYER, || i° Remiseentreles mainsde.... L'abandon p. 345.Dans.l'abandonnement Providence. Il fauttouttrancherparl'abandonen- laisseralleretfinalement délaisser. trouvée,MOL. Scapin,m, 9,Cetabandonnement.de vers Dieu,BOSS. Leti.Corn.i. [Elle]lui gagnerait f ABAND0NNATAD3E s. m. sa Carême,m;Passion,484.' (a-ban-do-na-têr), et proprecause,BOURD. d 'un le coeur princelibéral,Et de toussestrésors f. Termedejurisprudence. delapartde Celuioucelleauprofitde Iltombedansunaffreux abandonnement l'abandon C ORN. Méd. 2. 2° 364.L'abandonnement Terme d e estfaitunabandon d ebiens. t. Dieu, rn.Pensées général, n, || qui , ni, p. droit.Cession,acteparlequelundébiteurdélaisse ABANDONNÉ, ÉE(a-ban-do-né, i"Part, des FLÉCH. Serm.i, 442.Dansl'abandonnée),|| pauvres, Ila faità sescréancierspassédeabandonner. sesbiensà sescréanciers. Abandonné par sesparents.nementet la disette,ID.I, 483.La reinel'avait l'abandon de ses terres.|| 3° Facilitédansle dis- Abandonné de ses amis.Il fautêtre bien aban- aimée[laduchessedeMarlborough] avec unetenheureuse. Parleravec donnéde Dieuet des hommespour fairetelle dressequi allaitjusqu'àla soumission et à l'abancours,simplicité,négligence abandon.Cettefemmea dans ses manièresun chose.Unenfantabandonné. de toutevolonté,VOLT. S. deL. XIV, Inquietdesevoirainsi donnement abandon séduisant. Gracieux abandon. Douxaban- abandonné. deselaisseralleravectropd6 Propriétésabandonnées (sansmaître). chap.22.|| 4°Action don.Ontrouvedansl'exécution de cetableauun Postesabandonnés. de ce princeà Othonavaiteu une enfancefacilité.L'entierabandonnement heureuxabandon.Rocken son lyriqueabandonabandonnée. à unepasVilleabandonnée au pillage.Aban-d'indignes favoris. Votreabandonnement Ditqu'ildévorela couronneDontPhébuslui pro- donnéà soi-même.Les chevauxabandonnés à sionfuneste.Votreabandonnement à d'infâmes fasmit le don.Apparemment'Phébus lui donne.Uneeux-mêmes. Cettecarrièreestabandonnée dela jeu- sionsqui corrompent le sang, VOLT. Jenni, 9. couronne de Gnardon, MILLE V.Épigr.|| 4°Confiancenesse.Usagesabandonnés. Abandonné desméde- || 5°Pris absolument. excessif dansla Dérèglement entière.Ilm'aparléavecabandon,avecun entier cins. Personnen'est assezabandonnéde Dieu conduite,danslesmoeurs.Vivredansle dernier abandon.Dansl'abandon-de sa viveamitié,Hierà pour cela,PASC. Lefunesteabandonnement oùilvit, Prov. 6. Nonpas queceDieu, abandonnement. sonrivalMontfort s'estconfié,c. DELAV. V.Sic.i, dontil est séparéet entièrementabandonné,ne BOURD, Domin,iv, Désiret dégoût, -380,Tantd'em-
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sursonadversaire, au risque et d'abandon-heureuseils'abandonna honteux ! tant defaiblesse lui-même,BODRD. Pensées,main,il s'abandonna portements plus il était nement!lui quis'étaitpiquéde raison,d'élévation,t. m, p. 368.Onpeutdiredecertainesmatièresque de s'enferrer.Plusil s'abandonnait, et à Tancr.v, 4. || 5°Avoirdel'aban-. à nosvuesparticulières terrible,VOLT. Mortdu pê- l'Egliselesabandonne de fiertédevantles hommes , MASS. Cet ID.t&.'t.n, p. 340.J'abandonnaidon.Nevousroidissezpas, abandonnez-vous. cheur.Quandil s'agitde retournerà votreDieuet nosraisonnements, CORN. Hor.î, 3.J'a- acteurne s'abandonne et d'a- monâmeà desravissements.... pasassez.|| 6°En parlant de réparerune vie entièrede corruption à ta RAC. Phèd. I l s'abandonne ce traîtreà toute colère, des enfants. Cedegréd'aban- bandonne n>.Car.Pécheresse. déjà, il commence bandonnement, mon fairequelques passeuletsansêtresoutenu.|| 7°En donnement qui faitles âmeségaréeset criminel-iv, 2.Dieux!ne puis-jeà majoieabandonner à des mavie qui ne âme?ID.Andr.'m,3. J'abandonnai parlantdesfemmes,se livrer. Elles'estabandonles, ID.ib. Tiédeur.Unabandonnement Cath.Anne NOUV. GEd.v, 2. Tandisqu'àlà néeà ceuxqu'elleaimait,BOSS. connaîtplusni règle,nipudeur,nibienséance,ID. malheurscertains,VOLT. 4. d e ne se abandonner mon âme, ID. ib. iv, deBouleneutl'adresse pas frayeurj'abandpnnais Paraph.Psaumei3.Votrecoeurquevousavezprosunebâtisse. Abandone t d'irriterla n>. à. Abandonner entièrement auxcréatures, || 3"Renoncer passiondu roi, VOLT. tituéavectantd'abandonnement une Moeurs, Nerefusa uneentreprise, 435.Votreamourquis'abandonne nercequ'ona pris.Abandonner . ib. Psaumea. la lutte.Abandon-jamaispersonne,RÉGNIER, Mac.|| 8°Termed'équi—SYN. Abandonner ABANDONNEMENT. L'idéeCom-guerrecommencée. 1°ABANDON, sestravaux.Abandonnertation.Cechevals'abandonne, ilralentitsamarche. muneestqu'onlaisseunepersonneouunechose, nerlebarreau.Abandonner — se une profession. REM. Abandonner laissée.Aban-une vaine tentative.Abandonner ouUnechosedemeure peut construireavecà qu'unepersonne sonopinionpourcelled'unautre.J'a- suivid'uninfinitif.Aussin'aurais-je pasAbandonné donest plussouventpassifet exprimel'étatd'une Abandonner ÉC.desMar.n, bandonnelereste,c'est-à-dire jelepassesoussilence.moncoeurà suivresesappas,MOL. choseoud'unepersonnedélaissée ; abandonnement délaisse une ne CORN. d éfaut d esfemmes 9.Lemoindre actifet exprimequ'on estplussouvent je puisconsentir, quise sontabanTrône,à t'abandonner à fairel'amour,c'estdefairel'amour,LAplutôt données ouunechose.Mais,dansle fait,cesdeux Rod.v, i. J'avaisfaitsermentd'abandonner personne motsse prennentsouventl'un pour l'autre, et la vie que de merésoudreà perdrecetteliberté, ROCHEF. Rép.434. Abandonner DÉLAISSER. 1° ABANDONNER, Prin. d'Él.iv, 4. LaGrèceet la Sicileontvu — SYN. tousdeuxont le senspassifou le sensactif.Cela MOL. Abandonner nosloispour cesfiers se ditdes choseset despersonnes;délaisserne se est laisséà l'écrivain; pourtanton remarqueque des citoyennes leschoses abandonnons VOLT. Tancr. n, 4. Queje voisde dit quedespersonnes.Nous abandon,ne provenantpas d'unverbej indiqueMusulmans, lesmalThéb.v, 4. Par dontnousn'avonspassoin; nousdélaissons le jour!RAC. quelquechosed'absoluet de vague,et abandonne-sujetsd'abandonner Au Lefrère donnons aucunsecours. d'un verbe,quelquechosedere- moiseuleéloignéde l'hymend'Octavie, heureuxà quinousne ment,provenant la vie,ID.Brit.i, \. || ^Dé- participe, délaisser auneénergied'universalité qu'on latif et de plusdéterminé.Aufondla nuanceest deJunie abandonna se t erme l'idéed'un d'un laissersans a de soi nedonne au abandonnement secours, séparer q u'en yjoignant quelque fait, premier laisser,déserter, que son le Ainsi l 'ondit:.C'estun lesdeuxmots son nel'a pas; peu- de....Abandonner général, poste, parti quila marqueprécisément. acte,et queabandon Ilabandonna le partidu sénat pauvredélaissé; Il estabandonné de toutlemonde, l'un est vent, il vrai,s'employer pourl'autre,l'usage qu'onavaitembrassé. l a cause corn-, RENONCER. Idée GUIZOT. ABANDONNER, lepermet.Maislapenséequandelleseraprécise,et pourceluidu peuple.J'abandonne Il 2°QUITTER, dansl'îledeLem- commune, cesserde garderune chose,des'enocle langagequandil seradélicat,tâcherontdetenir mune.Philoctètefutabandonné le un enfant,l'exposer et laisser cuperoudelademander. Lesthérapeutes abandonABDICAnos.Abandonner comptedelanuance.|| 2°ABANDONNEMENT, sa femme e t ses ouà leursamis DESISTEMENT. Onfait Abandonner biensà leurs à la charitépublique. nentleurs ;ils DÉMISSION, parents RENONCIATION, TION, de enfants.Lesmédecinsontabandonnéce malade, quittentleurspères,leursmères;ils renoncentà desesbiens,uneabdication un abandonnement Onreà c'est-à-dire ilsl'ontlaissé,ne sachantpluslui être touslesattachements sa dignitéet de son pouvoir,unerenonciation terrestres,CONDILLAC deses utilesen rien.Avecun nomde chosepoursujet: noncetoujoursvolontairement, avecquelque unedémission sesdroitsetà sesprétentions, peine, lesommeil l'ont onrenonce au et et l'ondonne undél 'abandonna. eh sefaisant Son avec L'appétit, v iolence; courage regret, charges,emplois bénéfices, et sans m'aune nefaut a bandonner Mon à convenait. sespoursuites. Il sistementde arrêt, profession qui que abandonné. esprit,volage plaisir,aumonde, BODRD. Penet se e t abandonner nesaurait bandonne cequ'on Quitter n'impliquent pas l'idéede retenir, abdiquerquelorsqu'on portepartoutailleurs, le n'abandonnez renoncerquepour sées,t. n, p. 43.Abandonnantcorps, et signifient seulement qu'onsesén'estplusen état degouverner, renoncement, Si vous l 'abandonnez o u u chose de sedémettre Yenc. d'unechose avoirquelque que pasl'âme,ROTROD, v,4. agréable pénible, tileounuimeilleur, pare 8. RAC.Brit. v, entrequitteret abandonner est sible..Ladifférence quandil n'estplus permisde remplirsesdevoirsplus longtempssanssecours.... un autre ID. 4es l es de toutes c e moten avechonneur,et sedésisterquelorsque pour- Elle me dédaignait, l'abandonne, quel'onquitte manières, a bandonner tessacrés é teno u T out s emble aulieu ou inutiles H. lui-même 'étant sont Andr. suites injustes plusfatigantes indifférent, quedansabann, l es Prol. Le a l 'idée d'unesortede GIKABD. délaissecourage abandonne,donnerily toujours dards,ID. Esth. qu'avantageuses, —HIST. comme dansceversdeRacine:Je HÏÏ'S.Sesescusert[était]moultrenom-FÉN.Tél.xvi.Commeun maladedésespéré qu'on ment,dedésertion, monpère, LAFAYE. més; Despitde mortestoitnommés ; Bordésfu abandonne,ID.ib.vu. || 5°Quitter,lâcher.Aban- quittai,.mon pays,j'abandonnai — 4 Paris.Abandonner la 5743. Abandonner XIe s . Franceis Stous la l'Italie. HIST. donner d'abandonnement périls..., Rose, mourront,sià nous s'asesarmes.N'a- bandunent,Ch.de Roi.LXXII. [Il] broche[pique] |] xv"s. AumoisdejanvierfutpubliéparmiParis villepourleschamps.Abandonner Tenez n'abantoutes d'armes sele le freinlui ib.cxv. de' bandonne le bien[soncheval], l'abandonnement gens qui pas gouvernail. ferme; abandune, 4446. donnezpascettecorde.Abandonner lesétriers,les ]j xii°s. Or vusabandoins JUV. jo munrègneet mon raienttrouvéssurleschamps, DESURSINS, i l avait —ÊTYM. les Comme e ital.abbandonamento.quitter et quelquefois perdre. Abandonner; païs,Estampes,Orliens, Chartreset Paris, Ï7i. de s'instruireet decon- le Mart.404.|| XIII" s. Etle Soudanleurabandonna ( a-banrdo-né-man ), ado. un désir extraordinaire f ABANDONNEMENT il abandonna s a 274.Et plus sansréserve.Le pre- naîtrelesmoeursdesétrangers, D'unemanièreabandonnée, que ils'alassentvengerde....JOINV. F ÉN. et et tout ce avait e streDevant mierprésidentleurétaittropindignement trop patrie qu'il pour voyager, l'empereorcelestre punisdevroient vendupour être plaint de per- Philos.Pythag.Ilfallaiten fuyantne pasabandon-Clersquis'abandonnent.aux abandonnement vices,Quelesgenslaiz sesmains sertà te Cis[ceMotusitéencore,commener Lefer quidans et nices,la Rose,-18866. condamner,[laïques],simples 648,426. sonne,ST-SIMON, le passageDe la haie moult RAC. onvoit,au xvm"siècleet bonà employer. Plièd.rv,2. || 6°Négliger,ne pascultiver.Il lui-ci]m'abandonna — HIST.xm"s. Nosmariniersveoientla mon- ne fautpasabandonner liaisons le monde. vos dans ib.2806.Maisjà certesn'iert [nesera] doucement, 3. || 7° Enfau- femme la brunie,et pourcefirentnager N'abandonnez bonne,Qui,pordonsprendre,s'abandonne, pasvotrevoix,SÉV. tagnepar-dessus s. Lemarquisconnerie,abandonner' JOINV. 283.|| XIVe habandonnéement, l'oiseau,le lâcherdans la ib. 4578.Quantil seventquelorfemess'abandon4O.|| xives. Jàn'ensesi rouvoit nentà autrui....BEAUM. demanda LVII, campagne pourl'égayer. quiilestoitqui abandonnéemént abandonnare. V.réfl.|| i° Se.remettreà, se raitmeilleur àtelles tant commeilfusthabandonné ouvrirla porte, DUCANGE, ||xv s. S'ABANDONNER, S'abandonner à la Elle abandonnéemént dedansles laisserallerà, selivrera. for- passions,ORESME, Éth.4. || xv s. ne vouloit EtentrèrentlesAnglois la au de S'abanroi s'ahandonnast dela 65. au mie le fossés,FROISS. tempête. trop regarder, II,II, tune, vainqueur, gré que —ETYM. auféminin,et ment(voy. donnerau chagrin,à la douleur,à la joie, aux FROISS. -192. duchastel n efurent Ceux Abandonnée onques i, i, la au abbandonaà toutessortesde à débauche. recrus ne s'abandonnassent défendre ijal. si plaisirs, qu'ils MENT); provenç.abandonadamen; pleurs, sansréserveau goûtde la magnifi-si vaillamment, Il s'abandonne lumente. parquoiceuxde l'ostpussentrien v. a. 1°Remettre ne s'abandonne à ce à sa ABANDONNER cence. P ersonne s ur (a-ban-do-né), || point gagner eux,ID.i , i, 259.Iln'a pointde regret à Dieu Aucidrequ'ilnousdonne; En eust-ilunetonne,Il de.... ausoinde..., céder,faireces- colère.Le toutest de savoirs'abandonner à la discrétion à la Providence. J'ai 4 . Monâme à tout l'abandonnerait, 42.L'unversl'autredesson sort BOSS. Lett. C orn. sion. Abandonner en purefoi, BASSELIN, le soindemesaffairesà un hommein- mon sort s'étaitabandonnée,BAC.And.rv, 6. loyaument semené; Auxmauvaisestlaterreabanabandonné toutau Abandonm'abandonne en Souffrequ'à mes transportsje du peuple.Onques vainqueur. Souffrance telligent.Abandonner donnée,DESCHAMPS, celaà la fortune.proie, ID.Théb.v, 4. Allons,àtes conseils, Phoe-sanglierescumant ni loupenragéplusfièrement ne ner leresteau ciel.Abandonner aubrasséculier. Vous m. Andr. 6. Vous Abandonner un ecclésiastique vous s'abandonna, Hist.deBoucicaut, n, nix, je m'abandonne, i, 24.C'estassa: abandonniez decethomme;je vousl'abandonne au crime'en criminel,ID.Andr.iv, voir,se le doffin[dauphin]rompoitla pais,qu'il vousplaignez au som- abandonnoit ce qu'il vousplaira; faitesà 6. Quoi!tandisque Nérons'abandonne c'est-à-dire à sesgensdeallerservirleducJehan, pensez-en s'abandonnait à p.DEFENIN, 4449.Ilxvi"s. Ilyeneut deuxquiabansonégardcequevousvoudrez.Je vousabandonnemeil....m. Brit.I, 4. Télémaque Il abandonne ses unedouleuramère,FÉN. Tél.xvi. Astarbés'aban- donnèrent cepoint,je vouscèdelà-dessus. depeur,AMYOT, l'entreprise Lyc.9.Cette ID.ib. m. Il s'aban-hardiesse biensà sescréanciers.Apprendsde leursindices donnaà son ressentiment, et constance assuréequ'ilavoitenbataille L'auteurde l'attentat,et l'ordre,et les complices;donnaà l'amourdesfemmes,BOSS. Hist.i, 6.Non, contrel'ennemyl'abandonnoit incontinentqu'ilse P. 4. Un de monâme te lesabandonne.... COKN. ilortde à MOL. Je dupeupleàla ville, ID. rv, non, trop paix s'abandonne, trouvoitenuneassemblée nousnous Sgan.8. CemonarqueétonnéÀ sesfrayeursdéjà Marins,.48.Lespropriétaires nombrede mots....Quemutuellement lesluyabandonnoient Grecs MOL. Femmessav. 2.Porte aux s'était CORN. v. 8.Je connais M aNie. abandonnons, ni, à bien vil prix, is. Crassus,3.Ilrésolutd'abanabandonné, cet enfantquePyrrhusm'abandonne, RAC. Andr. rianne,et saisqu'elleesttropsagePours'êtreaban- donnersa vie[se laissermourir],ID.Démétr.52. m, 4. Ditesau roi, Seigneur,de vousl'abandon-donnéeà tenirce langage,TRISTAN, Marianne,i, Il seraitestrangequenousquivoulonsestretenus ID.Esth. 4.Aucoursde mesdestins 3. 2°Perdre s e j'a- || nei, n, courage, manquerà soi-même.pourgensde bien,laississions porterparterrenosLibandonnais ma vie, DOCIS, Il les tre vertuet l'abandonnissions, ID.De la mauv. Othello,n, 7. || 2° Vousêtes perdu si vousvousabandonnez. unevilleaupillage.Abandonner vrera.Abandonner à ne s'abandonner. 8°Se exhorte pas négliger.honte,24.La meilleurepart de l'entreprinse,ils || à la mercide....11abandonna la barqueau courantIl nefautpass'abandonner ainsi(senégligerdans l'abandonnent à la fortune,MONT, I, 432. Estant du fleuve.Dieu abandonne souventles méchantsle maintien,dansl'habillement), desmédecinspourun aposteme,ID.I, quandon veut abandonné à leur sensréprouvé.Noussavonsà queldésespoirplaire.|| 4°Selancersansménagement. Dansl'im- 254.s'abandonner auxdélices,m. n, 4.Il abande Dieu,et à quellefinmal-| provisation, Judasfutabandonné cet orateurs'abandonne. de si peusonfort,ID.I , 25.Les L'épéeà la donna[s'éloigna]
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fillesse peuvent abandonner un coeurabas- fonddesonâme.L'abattement [selivreràunhomme],LAY, 1,4, recto.La peurdescouvre dudésespoir. L'abati\i. m. vsrso. S itost se détourne d e tementdu partivaincuétaitextrême. ID.i, tardi, iv, 6, qu'on Deslangueurs —ÉTYM. la parole,l'oraisonest quantet quantabastardie,et desabattements. Il ne supportepas la chaleur; Alandon;bourguig.ebandenai ; proInst.704.Ils se sontabastardisen dégéné-ellele jette dans desabattementsauxquelsil ne ital.abbandonnare.• CALV. venç.et espagn.abandonar; ABAQUE (a-ba-k'),s. m. || i°Termed'architec-rant deleurspères,m.ib.747.Ceux quiserontcon- peutrésister.Ona hontedésa faiblessepasséeet ture;Tailloir,partiesupérieure vaincus d es'estre du chapiteaudes abastardis deleurorigine,m.ib. de l'abattement oùl'onest tombé,BOURDAL. Pens. 838. l'architrave. 2°Tersur t. 24. cesabattements etcesdésolations colonnes, laquelleporte || H,p. Pourquoi me d'antiquité.Tableaucouvertde poussière,sur —ÉTYM. À et bâtard;provenç.abastardir;anc. oùvoustombez? m.ib.p.366.Etcetabattement que lecal- espagn.abastardar.. et onenseignait lui causela peste,CORN. QEd.v, -I. À cet abattelequelontraçaitdesnombres s. m. mentquevouslaissezparaître,J'ai,s'ilfautl'avouer, cul; et aussisortede carrélong,évidé,qui était ABÂTARDISSEMENT (a-bâ-tar-di-s'-man), munideboulespasséesdansdesfilstenduset qui Dégénération au propreet au figuré.L'abâtardis-peineà vousreconnaître, LEMERC. Fréd.etBr. i, 2. servaità Compter. sementdes arbresfruitiers,desesprits. Sanstristesse,sans abattement, SËVIG. 388.Il est —ÉTïM. — REM. Desgrammairiens ontdésiréquel'Aca-desjoursd'ennui,d'abattement Oùl'homme Provenç.abac;ital.o66aco;deabacus, extrême, de ô6oï,tableoutablette. démiesupprimâtl'accentcirconflexe. Il estde fait le plus fermeest à chargeà lui-même,DDGIS, . a bref, Macb.m, 3.|| 2° Termedemédecine. fABAS,s. m. Voy.ABAT. quecertainsprononcentabâtardissement, L'abattement IE (a-ba-zour-di, unelésionfonctionnelle dontlesconditions ABASOURDI, die),part.passé. aulieude a long; maisla plupartsuiventdansce exprime Abasourdi de bâtard où l'a est long. organiques nouséchappent par un coupde tonnerre,par un mal- motla prononciation et quia poursymptôme heurimprévu. L'accentcirconflexe unediminution notableetsoudaine desphénomènes quiindiqueici et Fétymologie "d'autres d isent a la ABASOURDIR et doitdoncêtre conservé. vitaux del'action (a-ba-zour-dir; prononciation dépendant nerveuse,du mouve8 — 1° un v. a. || Assourdirpar HIST. xvi s. Deceuxlà, y ena aucunsquise ment, des sensations, de l'entendement, grand desaffecba-sour-dir), bruit.Cebruitsoudain etviolentnousaabasourdis.trompenteuxmesmes et les autressont des ; trompéstions, instincts. Voilà safamille u nemortim2°Consterner. d ans î'abastardissement des -H7: —ÉTYM. || par coustumes, LANOUE, Abattre;provenç. abatamen; abatemen, Bruitabasourdissant. Nou- La-tropgrandeet indoctemultitudedesescrivainscat. abatiment;espagn.abatimiento prévuequil'abasourdira. ; ital.abbativelleabasourdissante. quidejour enjours'eleveen France,augranddes- mento. —ÉTYM. Génev. de nostrelangue,DU ABATTEUR abassourdir; bourguig.ébazodi;honneuret-abastardissement (a-ba-teur),s. m.Celuiquiabat.Ce de sourd(voy.cemot)et àeaba, quiestprobable BEL. recto. bûcheron e stun m, 2, grandabatteurdebois.Vousêtes, — mentle mêmequedansabajoue,c'est-à-dire formé ËTYM. Abâtardir. je voisbien, grandabatteurdequilles, RÉGNIER, de à et ba ou be indiquantunemauvaise ABATÉE i. de dispo(a-ba-tée),f. Terme marine.Mou-Sat. il. Cettelocutionse dit d'unhommequi fait sition. vementparlequelun navire,obéissantau vent, à beaucoup de besogne,et souvent,par ironie,d'un ou s. m. f ABATouABAS(a-ba a-bâ), Averse,la lame,à la marée,tournesuruneverticalequi homme qui se vante de prouessesqu'il n'a pas un abondante. Ces c auser soncentre d e etécarte la pluie vapeurspeuvent passerait par gravité, proue faites. ventd'abas, DESC. Météor.7. L'accumulation des de la lignedu_vent.Lemouvement XVe s. Et plusde centmillechosesque par lequelle — HIST. les déterminent des les et navire revient d el'abatée à la du se dit cesabatteùrsdefemmessaventtoutcourantet par oragesy ne'ges, pluies ligne vent a?alanches et desabatsdeboueset de pierres,qui auloffée LEGOARANT. L'abatée estinvolontaire l'au, ; coeur,L.xi, Nouv.22. — ÉTYM. descendent danslesvalléesjusqu'àdesaltitudesde lofféeest volontaire. Abattre;Berry,abateuxd'ouvrage. millemètres, BURAT, Constitutionnel du 3 sep- —REM. L'Académie nemetqu'un(; maisil enfau- ABATTOIR s. m. Lieudestinéà l'aba(a-ba-toir), i tembre858. draitdeux, à moinsqu'onn'en retrancheundans tage desanimaux,tels que boeufs,veaux,mou. —ÉTYM. de abattre;faireautrement, À et battre.Dansl'arrondissement c'estmultiplier inutilementtons,etc. qui serventà la nourriturede l'homme. estunepluieabondante. Dict. lesexceptions et lesdifficultés de l'orthographe. •Lesabattoirssontplacéshors.desmûrsd'enceinte Caen,lapluied'abat du patoisnormandparMM.Duméril.Si onsuivait —ËTYM. Abattre. desvilles. de Descartes, seraità t ABATELLËMENT s.m.Terme l'orthographe l'étyrnologie ABATTRE (a-ba-tè-le-man), (a-ba-tr'),u.a. || 1°Jeter.àterred'une et bas. decommerce duLevant.Sentenceportantinterdic-façonquelconque. Abattreun cheval,un cavalier. m. i" Terme foresABATAGE tioncontre ceux désavouent leurs o u Abattredes (a-ba-ta-j'),s. || qui marchés, oUves,des noix.Abattreun arbre. d'abattre. desboissefaiten tier. Action L'abatage quirefusentde payerleursdettes,Acad.-1762. Abattreunemaison.Il lui abattitune maind'un automne. E n termes de s.m.au plur.desabat- coupdesabre.Abattrela tête.Il l'abattitd'uncoup HZ" marine,l'abataged'un t ABAT-FAIM (a-ba-fin), bâtimentestl'opération parlaquelleonl'inclinesur faim.Termedecuisine.Piècede résistancequ'on defusil.Cechasseurabatbiendu gibier.Puisque lecôtépourl'abattreencarène.|| 3"Entermesd'ad- sertla premièresurtable. l'arbreestsiprèsdesa chuteet quelecoupquidoit — la ministration d esbestiaux e st ÉTYM. Abattre e t l 'abatage l'abattrevabientôtpartiret le renverser.... militaire, BOURD. faim. miseà mortdesanimauxdestinésà la nourriture f ABAT-FOIN s.m.au plur.desabat- Pens.t.m,p.72.C'estainsiqu'il-abat deleurtrôneles (a-ba-fom), dela troupe.|| 4°Entermesdepolicesanitaire,l'a- foin.Termed'économie rurale.Ouverture enleur pouvoir,m. ib. pratiquéepotentatsqui se confiaient là animaux dodansun grenierau-dessus del'écurieoudeTétablep.)43.Pourlefairetomber,j'abattrai batageest miseàmortdes grands sonappui,CORN. soit sontvieuxou incuraet o n le foin oula paille. mestiques, parcequ'ils Kod.v, 1. Il a de votresceptreabattule soutien, parlaquelle jette — soit ilssont ou ÉTYM. et Abattre parprécaution, quand s uspects m. Cid,11,9.Etj'abattraid'uncoupsatêteet son bles, foin. atteintsd'unemaladiecontagieuse. des ABATIS s. Il L'abatage écrireabattisou orgueil,ID.Hér.m, 3.Leslivressur Evrardfon(a-ba-ti), m. faudrait en casde morve.|| 5°En écrireàbatre.|| 1° Amasde chosesabattues. chevauxest nécessaire Abatisdentcommela grêle Qui, dansun grandjardin, termesde vétérinaire,actionde renverseret de d'arbres.Faireunabatisde'bois.Embarrasser la à coupsimpétueux, Abatl'honneurnaissantdesrafixerlesgrandsanimaux-sur unlit depaille,quand plaineparde largesabatisd'arbres.|| 2°Entermes meaux Lutr.v.Sousle glaiveétranfructueux, BOIL, ilsdoiventsubirdesopérations de chasse,faireun grandabatisde gibier.||3° Au gerj'ai vutoutabattu,VOLT. chirurgicales. se Orphel. 1,2.Chacun L'Académie met seul mais elle —REM. t; X la i nstruisant n'y qu'un ces recrues, disputaitla gloirede l'abattre, RAC. figuré. guinguette Andr.v, 3. enmetdeuxà abattre;la conséquence veutqu'on D'obscurslauriersj'ai faitlargeabatis,BÊR. in-8. .... mais, lorsquetu m^abats, Je me relèveencor mettedeuxt à abatage,ou qu'onn'enmettequ'un || 4°Termede chasse,petitcheminquesefontles pour insulterton bras, LAMART. Jonath. 330. à abattre. enallantet venantaulieuoùilssont Comme la pluieabatet faitlanguirle soirunefleur jeunes loups —HIST. XIII"s. Etsi a li cuens[comte]à l'aba- nourris.|| 5° Termede cuisine,lespattesetla tête, qui étaitle matin, pendantla naissancede l'autaige despourceauxsoixantedixsolspar an, nu lecouet les aileronsd'unevolaille.|| 6°Termede rore,la gloireetl'ornement desvertescampagnes, abatere. boucherie. et CANGE, Tél.xxi..Il2"Fig. Abattrela puissanceroPeau,graisse tripesdesbêtestuées FÉN. —ÉTYM. Abattre. lesbouchers. par maine.Il résolutd'abattreceluiqui l'avaitélevé. — s.m. dumétier ABATANT i"Pièce HIST. xnes. Dedanslamaistreportefut grans Dieuabatlespuissants.Cecombatavaitabattules f (a-ba-tan), || àbasquifaitdescendre lesplatines àplomb.|| 2°Par- l'abateïs,Ch.d'Antio.vi, 93. forcesdesennemis.L'orgueildes Chaldéens est tiedu comptoir d'unmarchandqu'on lèveet qu'on —ÉTYM. Abattre.L'ancienmot est abateïs,ve- abattu,BOSS. i. Le Hist.n, peupleromain,ayant abaisse. nantd'uneformedubas-latin:abateticius, dérivédu abattules Gauloiset les Africains,ne voit plus IE (a-bâ-tar-di, ABÂTARDI, die), part, passe. verbeabatlere. rienà craindre etcombatdorénavant sanspéril,ID. Fiantesabâtardies.Amesabâtardies. Restesabâ- ABAT-JOUR a.m.au (a-ba-jour), plur.desabat- ib. 1, 8. Lesvictoiresde Léonceavaientabattu tardisd'unenationpuissante.Jamaison n'a vuvo- jour.|| 1°Sortedefenêtredontle plafond et l'appuiles Sarrasinset rétablila gloirede l'empireen tre empiresi lâche,si abâtardi,si indignedesan- sontinclinésen biseaude dehorsen dedans, afin Orient,ID.ib. 1, \\. || 3°Laissertomber, abaisser. EÉN. t. xix,p. 480. ciensRomains, le vientd'en hautse Abattre s arobe.Ilabattit s a 4°Faireretomque jourqui communique plus toge.|| : quelques-uns disent verticalement ABÂTARDIR dansle lieu où elle estpratiquée.ber.Abattrelapoussière. (a-bà-tar-dir Abattrelesbouillons d'un a-ba-tar-dirpar un a bref; maisla-plupartdisent || 2° Cadreouréflecteur en métalouenpapierque liquideen ébullition. 5°Oterlesforces du || corps bâcommedansbâtard),v. a. \\1°Fairedégénérer,l'on placesur les lampespour en rabattrela lu- oude l'âme,fairetomber.Abattrelesforcesd'un aupropreet au figuré.Lamauvaisecultureabâ- mière.|| 3°Voletpleinou à claire-voie, toileplus-malade.Lamoindre fièvrel'abat.Abattrelecourage. les Ilsne là des tardit plantes. voyaient que moyensou moinsserrée,quel'on placedevantles ouver-Lapeurnousabat.Lesageneselaissepasabattie d'abâtardirles courages.|[ 2° S'abâtardir,v. réfl. tures deshabitations La pour arrêterles rayonsso- par le malheur.Abattrel'audace,l'insolence; Lesarbres fruitiers' s'abâtardissent sion laireset lesinsectes. abat Dégénérer. pluie,dit-on, le vent.Melaissantabattreàla neles soigneconstamment. S'abâtardir dansl'oisi- —ÉTYM. Abattreetjour. BOURD. Pens.t. n, pluslégèreinfirmitéqnim'arrive, veté.Lapuretédela doctrineétaitabâtardieparles f ABAT-SONS m.Sedit deslamesde p. 406.Onluien cacheunepartie,afinde nelepaj (a-ba-son),s. BOSS. Yar.xi. boisrecouvertes de plomboud'ardoises Vaudois, quigaran- étonnerdèsl'entréede la carrièreet de ne M pas — HIST. XII°s. Comnostreloisesthuiabastar-tissentlesbeffroisde la pluieet renvoientle son abattrele coeur,ID.ib.1.1,p. 89.Elleesttellement die, Ronc.p. U6. || xincs. BienestFranceabas- versle sol.Auplur.desabat-sons. abattuede la pertede M. de la Rocheioucault, femme 42-1.Sesmalheursn'avaientpointabattus& tardie, Seigneurbaron,entendez,Quant f ABATTABLE(a-ba-ta-bl'), adj.Qu'onpeutabat- SËV. l'a reine en E t telecomme s atre. Ces chevaux s ont abattables. Blanche] baillie, Ath.n, 5 tu ne prétendspasqu'il [la fierté,RAC. HUE D E LA Rom. -(88. s. Ceste ABATTEMENT vez, PERTE, p. ||xvi° s. ro..||i" Action[ledestin]m'abatte le coeurJusqu'àte rendrehom(a-ba-te-man), a dmiratrice seulement de ses d'abattre étatdece est arrogancegrecque, MortdePom; qui abattu.Êtredansl'abat- mageette nommerseigntur,CORN. inventions,n'avoitloi ni privilègede légitimertement.Releverquelqu'unde l'abattement.Un pée,m, 4. Abattons sa superbeavecsa liberté,ID. les autres, DOBEL-douloureux ainsisa nation, et abastardir abattement de coeur.L'abattement pro- ib. 1, 4.Etdu premierrevers'a fortunel'abat,m.
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heu- Grégoirele x« tint, m. 299.L'anmil deuxcens ba-si-ô). Cinna,iv, 5.Lespensées puresquilerendraient à l'abbé,àl'abbesse || 1°Adj.Quiappartient s'il lessoutenir,lefatiguentet soixantetroisfurentabatusli mansois[sortede ou à l'abbaye. reux, pouvait toujours Maison abbatiale. Droitsabbatiaux. édit.Cousin.Le vrai couragene monnaie], DU abatare.|| xiv°s.Toutesautres Fonctions l'abattent,PASC. CANGE, abbatiales. 2° || Abbatiale, s.f. Lamaison selaissejamaisabattre,FÊN. Tél.xx. Pourabattre monnoyes soientabatues[démonétisées], m. àbd- abbatiale. LeP. Lallement allaitécumerle plussouleurorgueil,m.ib.n. Laprospérité nousélevé,l'af- tere.|| xves. Lescardinaux les Romainsventqu'il pouvaitce quise passaità l'abbatialede apaisoient flictionnousabat,MASS. Èart. Lapluspetitemorti- et abatoient leurire ce qu'ilspouvoient, FROIS. n, Saint-Germain-des-Prés, ST-SIMON, 370,467.. ficationabatvotrecorps,ID.Tiéd.]| Prov.Petite li, 20.Et à mespiedst'a abattuà terre, CH.D'OR- —HIST. xvi"s. Et cependant ilfitgrantcheredes 4.|| xvies. Il fautdirequele zèleest bien escusabbatiaux, pluieabatgrandvent, c.-à-d.peude chosesuffit LÊANS, DES 90. PERIERS, Contes, calmer une 4°Police. Mettre pour grandequerelle.|| Le —ÉTYM. débile,quandils'abatpoursi peu,CALVIN,276. de Abbatialis, abbas(voy.ABBÉ). à mort,en parlantd'animaux. || 5°Abattredu bois, sacrificeplaisantà Dieuestun espritabbatu,ni. ABBAYE d'hommes (a-bé-ie), s.f.\\ 1"Monastère ouAbattre de la besogne, fairebeaucoup s'encoururentà brideabba- oude filles.Uneabbayefortriche.|| 2°Lebénéfice d'ouvrage.Inst.G92.Leschevaux || 6°Entermesde marine,abattreun navire,le lue avecleur charriotdeversla villede Rome, attachéau titred'abbé.Il avaitjusqu'àtrois abmettresurle côtépourle réparer.Abattre,v.n. se AMYOT, Publ.26.Valerius fait abattresamaisonet bayes.|| 3° Lesbâtimentsdumonastère. L'abbaye ditd'unbâtimentqui tournesurlui-même autour la razerjusquesenterre,m.ib.48.L'oncommencea de Saint-Germain brûlaen 4793.Quantà vous, desonaxevertical.Lenavireabat.|| 7°Au jeu de à userd'enginsde bateriepourabbatregrossesmu- suivezMars,ou l'amour,oule prince;'Allez, vededames railles,ID.Péric.62. Ellefit serrerlesporteset nez, courez;demeurez trictrac,abattredu bois,jouerbeaucoup en province; Prenezfemdelà pile, afinde caserplusaisément.|| 8°Aux abbatreles grilleset les harsesqui se fermoientme, abbaye,emploi,gouvernement; Lesgensen cartes,abattresonjeu, le mettresurtablepourle à grossesserrureset fortesbarrières,m.Ântoi.99. parleront, n'endouteznullement, LAFONT.FOO. m, 4. montrer.H^Fauconn.Abattrel'oiseau,le tenir Il fut contraintd'abattresa barbe,DESPÊRIERS, enrègle,celleà laquelleonne peutnom|| Abbaye serré entreles deuxmainspourlui faire prendre Coîit.49. Lesforcesabbattuespar l'aage,MONT. mer qu'unreligieux.-Abbaye en commande, celle m édicament. 10"Corroierie. Abattre les 4 9. quelque || sécun, Lescouragessontabbattus,m. i, 24.Ilm'ad- à laquelleon peutnommerun ecclésiastique lesanimaux tués.11il" Vétérinaire.vient souventen tellesortede proposabbattuset lier.|| Prov.Pourun moinel'abbayene fautpas; cuirs,dépouiller Abattre uncheval,le couchersur un lit de paille, lasches,proposde contenance, de....m. ni, 277. c.-à-d.pourun quifaitdéfaut,unepartienemandansunepositionfavorablesoit pour l'opérateur, —ÉTYM. À et battre; bourguig.aibaitre;wall. quepas,un projetne s'enexécute pasmoins. En 12° abattre — soitpourl'opération. || maréchalerie, abate;provenç.abatre;catal.abatrer;espag.abaHIST. xi"s.Seceofustu evesqué uabbeie....!. dupied,enleverunepartiede cornequiest surla tir; ital.abbattere. 4 al règnenulliu[lieu] de Guill. || xn"s.Sedelivrast faceinférieure dusabot.C'estavecle rogne-pied ou ABATTrj,UE(a-ba-tu,tue),part, i°Jetéà passé.|] cumeveschiez, Priorez,abeies,unulsarceveschiez, le boutoirquele maréchalabatdupied.|| 13°Ma- terre.JDesarbresabattuspar le vent.Perdrix abat- Lireisensaisireit lesrenteset lesfiés,T/i.ZeJfart.64. nège.Abattrel'eaud'uncheval,essuyerl'eaud'un tue d'un coupdefusil.Lesstatuesde Néronabat- Deu[elle]serviradederisune abaie, JRonc. 448.A chevallorsqu'ilsort de l'eau ou lorsqu'ilest en tues par l'ordredu sénat.Onte croiraittoujoursla richeabaiedubaronSt-Maart Sa-x.29. [Médard], sueur.|| 14°Abattre la frisquette et letympan,sedit abattusanseffort,CORN. Cid.n, 2.Etmatêteabat- Vousestesdel'abaîeAs[aux,des]s'offreàtous(vous, du mouvement quefait l'imprimeur aprèsque sa tue ébranleraitla vôtre,ID.Sert,iv, 2. J'adore-êtesdecellesquis'offrentà tous); Sinevousnomfeuillea été placéesurle tympan. raisun Dieusansforceet sansvertu,Rested'un merai, Romane.89. || xni" s. St-Estienne, une 1° V. Se à et aussi tronc les vents n e sesauver abaie estoità troislieues de réfl. jeter Qui S'ABATTRE, || terre, par abattu, paut qui Constantinoble, en volant.Cesdeuxrivauxveu- lui-même,RAC. Esth.n, 9. Moncoeur,respectant tomber,descendre VILLEH. 64.Etavanten devroitporterhéritageuns lents'abattre.Lechevals'étantabattu.Levautoursa vertu,N'accable pasencoreun rivalabattu,m. cousinsen tiers degréouen quart, de lignagedu s'abattitsur....Aiglequis'abatdoucement L'oiseauAlex,m, 2. || 2°Affaibli, privéde sonpouvoir,de pèreau religieus,quesesfix quiisteroit[sortirait] s'abattitmourant. Dela forceducouppourtantil [le sesforces,desoncourage,desonénergie.Abattu de l'abbeiepouravoirhéritage,BEAUM. LVÎ,2.Et Fàb.vin,27.Sidessousparla maladie.Partiabattu.Carthageabattuepar puis[il]serenditmoinededensuneabeie,Berte, sanglier]s'abattittLAFONT. savaleurcegrandguerriers'abat,CORN. Cid,n, 6. lesreversde la deuxièmeguerrepunique.Je me 2.|| xv°s.Caramour,en sonabbayeSetenoitchef Nouscomparions notreFranceà laGrèce,Quandun senstoutabattu.Abattuparlechagrin.Espritsabat- desoncouventOu[au]tempsqu'aycongneuenma vients'abattre à nospieds,BÊRANG. nou- vie, CH.D'ORL. Bail.62. Pig. Il tus.Il n'estpasabattu,malgréles mauvaises pigeon le esttombéenruineparsavolonté comble velles. L ecoeur — de son se sur ÉTYM. dépravée, père repose elle, Provenç.etespagn.abadia;ital.abbas'estabattusurlesmurailles,et lesmurailles surle comme un voyageur abattuparlesardeursdusoleil dia; de abbatia,de abbas(voy.ABBÉ). 2°S'aBOSS. La se à l'ombresur l'herbetendre,FÉN.Tél. ABBÉ(a-bé),s. m:|| 1°Celuiquigouverne ouposfondement, Vallière,Profession. || repose s'abattitpeu XXII. Ladoucevapeurdusommeil ne coulepasplus sèdeuneabbaye. Abbécrosseetmitre.Elireunabbé. paiser.Levents'abat.Sonressentiment à peu.Dèsle premiereffortsacolères'abat,MAIR. doucement danslesyeuxappesantis et danstousles || Abbérégulier,abbéqui étaitreligieux lui-même MortcCAsdr. d'unhomme a battu les membres l'habitde sonordre. Abbé en rv, 4. et fatigués que paro- portait || second, —SYN. lesflatteuses deladéesses'insinuaient ABATTRE, DÉMOLTR, RENVERSER, RUINER, pourenchan-prieurd'unmonastère. || Abbédesabbés,titrede DÉTRuntE. Idéegénérale,fairetomber.L'idéepropre ter le coeurde Mentor,ID.t'6.vu. Moi-même,l'abbédu Mont-Cassin, parce,quetouslesmoinesde d'abattreest celledejeterà bas: onabatcequiest Arnauld,ici, qui te prêcheen ces rimes, Plus l'Occident avaientreçuleur règledecetteabbaye. e stde haut.Celle dedémolir la liaidesmortels la honte abattu.En vain accordépar le rompre élevé, par qu'aucun || Abbécardinal,'titre honorifique : sond'unemasseconstruiteonne démolitquece j'armecontreeuxunefaiblevertuvBon.. auxabbésen chef,lorsque Ép. m.Ces pape,particulièrement estbâti.Celle derenverser estdemettreà l'enmortels s ur l'on avaiteu avaient étéréuniesseséparaient. qui ennemis, qui l'avantage,desabbayes qui || versou sur,lecôté,ce qui étaitbienplacéoude- et qui semblaient abattuset vaincus,commencentProv.Pourun moineonne laissepasdefaireun cequipeutchan- à se relever,BOURD. êtes abbé,c'est-à-dire d'unhommen'embout,droit,surpied: onrenverse Pensées,t.m,p. 406..Vous quel'absence Cor.Par. pêchepas un projetde s'exécuter. gerdesenset dedirection.Cellede ruinerest de l'âmelaplusabattueaupremier péril,MASS. || Nousl'attenfairetomberpar morceaux : onruinece qui se di- Visageabattu,CORN. Sert,v, 3.Je demeureimmo-dronscommelesmoinesfontl'abbé,c'est-à-dire, s'il viseet ce qui se dégrade.Cellede détruireestde bileet monâmeabattueCèdeau coupquila tue, nevientpasàl'heurefixée,nousnel'attendrons pas. et l'ordredescho- ID.Cid.i, 4.Pisonal'âmesimpleet l'espritabattu, || Lemoinerépondcommel'abbéchante,c'est-àl'apparence dissiperentièrement ses:Letempsdétruittout,GUIZOT. se conforment aux habitudesde m. Oth.n, 4.Lamainquime tue Rend1sousmes direlesinférieurs —HIST. xi"s. Kiabatefemmeà terre pur faire déplaisirs ma constance abattue,ID.Cinna,rv, 4. leurssupérieurs. ]| Jouerà l'abbé,jeu oùl'onest luiforce....L.deGuill.H9.DeSaragoce a la Je cours toutce [il] porte m'agite,je languissante,abattue,RAC.obligéde faire quefaitceluiquia étédésiabatue,Ch.deRoi.267.Mortil l'abatsurun buis- Bérén.iv, 4. Sa vuea ranimémesespritsabattus, gnépourchefet qu'onnommeabbé.|| Sepromettre sonpetit, i6. 243.0 ses cadableslesturs [il] en ID.Alh.n, 6.Et quepuis-jeaumilieudecepeuple la vignede l'abbé,se promettre uneviededélices. xu"s. Desabatusestla terre i b. 8. ID. A th. 4.Coeur ID. 4. unhabit abattu? Alex, h omme || jonabatiet, i, abattu, quiporte ecclésiastique. v, || 2°Tout la valeurabattueAuxpieds Unjeuneabbé.Unabbédecour.Quipeutconcevoir chée,Ronc.p.437.Diexsaitbiendufélonabattrela Duvieuxpère d'Hector bobance,t&.p. 497.Enmila place[il]l'abattoutes- de sa familleexpiranteà savue,m. Andr.iv, 6. que certainsabbés,à quiilne manqueriendel'aet dela vanitédessexes tendu, ib. p. 64 lororguelsqu'estsigransFust Souslejougétrangerj'ai vutoutabattu,VOLT. Orph. justement,de la mollesse fauchent etaba- i, 2 abatus....ib. p.27.11[lesguerriers] Et le peuquim'enreste[d'amis]Sousun et des conditions,qui entrentauprèsdesfemmes tentcomvilainen essart,Saxons,49.Touteplaine jougétrangerbaisseun frontabattu,ID.Mér.v, 4. en concurrence avecle marquiset le financier,et sa lance[il]l'abatmortausentier,ib. 44.|| xnr s. f ABATTUE 1"Terme d'archit. sur tousles deux,qu'eux-mêmes (a-ba-tue),s.f. || qui l'emportent Etli Venicien firentabatrelesmursetlestors,YIL-peuusitéaujourd'hui et ayantle mêmesensqueRE-soient,.originairement et dansl'étymologie deleur LÊH. 66.S'il[lefaucon]abataue [oie]ou autreoi- TOMBÉE ce 2°Salines. Travail les d esaints m oines e td'humd'une chaules et chefs (voy. mot).|| nom, pères Li cuens[comte]de Champaigne le momentoù onal- blessolitaires,et qu'ils endevraientêtrel'exemdièrepleined'eausalée,depuis siel, l'Escoufle. Fussent vilet abattu,EtFrance lumele feujusqu'àceluioùon lalaissereposer. ple?LABRUY. Et li roisd'Espaigne 44. fusten vertu,KUE& DELAFERTÉ, 4 Romane.94.Je ABATTURE(a-ba-tur'),s.f. et abéz, Ch.de xi"s. Assezi a evesques || l°Termeforestier. —HIST. m'ocirais'autresqueGarinm'ait [pourfemme e nveia l ibersau comtedous L'action les 209. xu"s. Donc ]; d'abattre, particulièrement glands. Roi. || le Dieus me doint!Touscesmaus[il] abatrait, || 2° f. plur. Termede chasse.Tracequ'un cerf [deux]abéz,Qu'il conduit.... Th.le luidoinse[donne] t'6.p.72.Maintchastelabatu, maintevileessilie[rui- laissedanslesbroussailles oùila passé.Lecerf se Mart.'ht.Quatorze roisiotàheurede souper,EvesSax.43.||xm°s. née], Berte,2. Le servisequeil li feradoitestie reconnaîtà sesabattures. quesetabbés,quejenesainomer, raisnablement et abatude la Ass. d e s. Au conté ABAT-VENT dette, (a-ba-van), m. plur.desabat- Là trovail moultgrantgent et maintabbéset Jér.i, 489.Il esttenuet gardéà droitqueles lois vent.Appentis, dupaisdeBourclaie,paillasson, mur,piècedetoile, maintbaronsetmaintautreshomes , soientabatuespar desacostumance, Livredejus- bois,etc. placéau-dessusdesouverturesdesha- gogne,VILLEH. 28. La justicelaieles doitpenre 6. Mahom chou distli sains et au-devant des l tice, etrendreàlorabbés,BEAUM. LVÎ,4. Quant [Mahomet], [ce] bitations, plantes,pourlesabriter [prendre] et pleinsde rage, Abaterascontreleventet la pluie.Lesabat-vent desclochersevesque etabbéreviendront de signer[fairele signa hennîtes,Tudestoiaax saintmariage,Rom.deMahomet, Et s'il 54. ieresi serventaussià rabattrele sondescloches. dela croix],Berte,44.Lorsfuli abesmoltdolent, bienapris Qu'el[l'envie]ne peûstdetôtsonpris ABAT-VOIX le Grand, s. m.Auplur.desabat- Pleinsfu demaltalente d'ire,Grégoire (a-ba-voî), Rienabatrene desprisier.... la Rose,274.Et dit voix.Ledessusd'unechaireà prêcher,lequelsert p. 44. || xvi"s.Plusieurs allansle cheminde Paris l'en queceschosesviennentdu paradisterrestre, à rabattreversl'auditoirela voixdu prédicateur.voyoient et maateaux par terre qu'onne chapeaux sontutilesà celuiquiparleet à ceux daignoitamasser,les prenoientpourfilsvenantde que le vent abat des arbres qui sontenpara- Lesabat-voix JOINV. 220.Iceulx Blancs ordre St-Mathurin oupourgensquijouoientà l'abbéde dis, [Manteaux, quiécoutent. furentabatusau concilede Lyon,que ABBATIAL, ALE(a-ba-si-al, D'AUB. religieux] Hist.i, 434. si-al';au plur.a- Maugouverne, I. — 2 THST. DELALANGUE FRANÇAISE.
ABE ABE ABD ',0 - Quint. Faire abdication.rangésuivantleslettresde-l'alphabet. —ÉTYM. Encesens, Provenç.abbat;espagn.abad;portug. Dioclétien,de Charles la de 2°Dans abécédaire nediffère aunominatif de couronne, l'empire.|) abbas, L'abdication qu'ence qu'il d'alphabétique àbbade;ital.abbate)deabbafem, l'acteparlequelunpère estmoinsusité.|j 2° Quienestà l'Abc.Enfantabédu syrien abaquisignifie françaisl'ancienne jurisprudence, père.Dansl'ancien d eabvenant abécédaire. li abe[emuet],au nominatif || 3°S.m.Petitlivra singulier privaitsonfilsdesdroitsque celui-ciavaitdans cédaire.Ignorance où s'apprendl'Abc.Donnez un abécédaire à ceten: l'abdication étaitune exhérédation basavecl'accentsurla premièresyllabe;le abé,li la succession a unoaisésà faire. fant.Lesabécédaires nesontpas singulier, prononcée pendantla vie. àbé,lesabés[efermé]au régime 1 — — venant d eabbâde HIST. xvï" s. Lafolle chosequ'unvieillardabéetau ÉTYM. minatifpluriel régimepluriel, Abdicalio, abdicare, abdiquer. seconde en tout tempsl'estude, ÉE (ab-di-ké,kée), part, passé.La cédaire;on peutcontinuer syllabe. ABDIQUÉ, terri,abbâtes,avecl'accentsurla monastère d'un s: couronne d eSuède Christine. maisnon MONT. ABBESSE (a-bè-s'),f. Supérieure abdiquée par l'escholage, — lacrosse.Nommer, ABDIQUER le mot composédesquatre v. a. 1°Abandonner ÉTYM. de filleset ayantdroitdeporter.--.-,.. Abecedarius, (ab-di-ké), || Dioclétien lettres de d e hautesfonctions. élireuneabbesse.• premières l'alphabet,et déla terminaison pouvoirsuprême, —HIST. arius. Que abdiqual'empire.Abdiquer le consulat. C'étaitune adjective , xiiies. PierresAbailaitreconfesse D u fut ou P l'abeesse chose assez rare turc suerHeloïs, Paraclet,qui s'amie, ÉE,part, passé. etits qu'unphilosophe quiabdiquait ABECQUÉ ABÉQUÉ, VOLT. 89.j'abdiquepourjamais oiseauxabecqués parleurmère. • AcordernesevouloitmiePor riens,qu'il.lapreïstla couronne, Moeurs, v.a.Donner ou ABÉQUER le rangdesénateur,ID.Catil.iv, 2.|| 2° Fig.Re- ABECQUER (a-bè-ké), à femme,la Rose,8800. saliberté.Sij'étaisl'offensée,la becquée.Abecquer un oiseau,et,parextension, àbadesa;noncerà....Abdiquer ÉTYM. Provenç.abbadessa;..espagn. deabbas écoutant vousle un enfant. te abbatissa, (voy.ABBÉ). J'abdiquerais pour ital.abbadessa; l'indulgence, abecquer — REM.Entreles deuxorthographes L'Académie. écritABC en sédroitde la M.J. CHÉN. Tib. 3. s.m. ABC(â-bé-sé) vengeance, iv, indiquées les Prov. et igerepour malheuren appelleun plusgrand.Unabîmeattire d'abêtir.L'étatde celuiqui est abêti.L'abêtisse-tourner,de ab, indiquantséparation, un autreabîme,:etunemédisance uneautremémentdecetenfant. agere, mener(voy.'AGIR). et non, t ABIGOTI, IE (a-bi-go-ti,tie), adj..Devenudisance,BOURD. ABIIOCETABHÂC(a-bo-ké-ta-bak, Pens.t. ni, p. 467i —REM/ 1abymèjmalgrél'étymoloc.adv..bigot,rendubigot.Motbonà-remettreenusage. Onn'écrit-plus comme quelques personnes, à-bo-ké-a-bak), • •: "' . ;-:"' . i b.Ces avec F ÉN. Tél.n. Ce l'abord, rapidescoursiers,qui amitié, tigrequejamaisje n'aet —ÉTYM. À aibor. souseuxfontla guerre,Pouvaientà leur abord bord;bourguig. bordaisanscrainte,RAC. Phèd. iv, 6. Moi-même, ABORDABLE la VOLT. 4.Làcomme d ans Qu'on de oeil i ci (a-bor-dabl'), adj.||1° peut quel dois-je l'aborder? RAC. Mith.n, 3.Je épouvanterterre, Als.n, Aux^lushardisguer- aborder.Cettecôten'estpasabordable. unfortsonaudaceenfermée || 2"Aufig. verraile témoinde maflammeadultère,Observer Cet dequelfrontj'oseabordersonpère,ID.Phèd.m, 3. riersen défendaitl'abord,RAC. Alex,v, .3.|| S'Ap- defacileabord.Cethommeesttrès-abordable. et accueilqu'onsefaitré- adjectifsuittoujourssonsubstantif. Sivousl'abordez,demeurezavecellele moinsde prochede deuxpersonnes — EnCL abord n'a de ÉTYM. Aborder. Pr. d'Él.m, 2. ciproquement. sens pas pluriel. tempsqu'ilvousserapossible,MOL. abord.Empêcher ABORDAGE s. m. 1°Action Abordfacile.Homme d'undifficile d 'aborDeux inconnus a rmés m'ontabordé (a-bor-daj'), || VOLT. demer.L'équi-Mér.n, 2. || 6°"Fig.Envenirà unsoudain, l'abordde quelqu'un. Sonabordinspirele respect. derun vaisseau ; sedit descombats Aborder sujet. Maisenfincetabordnepermetplusdedouter,MOL.pagese prépareà l'abordage. Vaisseau futabordéeavecbeaucoup pris àl'abor- unecause.Ladiscussion àl'abordage, S. J. i, s. Aprèsl'abordet l'ayantsalué,LAFONT. Or. dage.J'enlevaile commandant qu'ilne defermeté.J'abordela suitedemonsujet.j| 7°En dansJAL,Gl.nautique.termesde guerre,aborderl'ennemi,marcherà l'enNotreabordfutsitendrepourvous,sfiv.380.Notre merefusapas,JEAN-BART, Sert,iv, 3. Et dû Harold,le sabreen main, s'élanceà l'abordage,nemipourl'attaquer.Lerégiment abordaavecbeau.abordlerendtoutinterdit,CORN. 48. soninnoLAMART. Onse méchantl'abordcontagieux N'altèrepoint Harold, L'abordage! l'abordage! coupd'ardeurla troupequioccupaitla hauteur.On au On Ce s'élance des v . 9. 4°S. entoure suspend cordage, m.plur. qui haubans, abordale villagequiétaitbarricadé.|| 8°Termede cence,vjL.c.Ath.Ji,|| une de Orient. 6 . 2°Rencontre fortuite et chocde marine.Aborder un monument,une localité, place guerre. HUSO, un vaisseau,l'accrocher || pourque Lesvaisseaux la Auxabordsdel'église.Lesabordsde la forteressedeuxvaisseaux. nuitdes l'assaillant portent passedessuset chercherale prendrede furentdéfendus. Les abordsde cette maisonde feuxpouréviterlesabordages, Acad. viveforce;et aussile heurterpar accident. Lafré— sont c harmants. Lesabords d uParthénon HIST. xvr>s. Il conclud à s ous la campagne l'abordage gatemanoeuvra pouraborderle vaisseauennemi. étaientmerveilleusement de faveurde Gozià gagnerla cité,D'AUB. Hist.i, 244. Dansla nuitle bateauà vapeurabordaunebarque disposés. || 5°Affluence était LesRochellois dèsl'abordage[desnavires],se jet- de pêcheurqui coulaaussitôt.Leursvoilesétaient ou.dechoses. L'aborddesmarchands personnes tentsurle danslesfoires.Lesautresn'étaient pontde corde,ID.ib. n, 479.Aprèsque meilleures jadisconsidérable quelesnôtres; le ventlesfavorisait ; ils ceuxde Ré leur eurent deshôteliers le aborddes deffendu nous nous et nous que étrangers l'abordage[de emmènent que grand abordent, prennent, FONTEN. loc. l'Ile]....ID.ib. n, 274. En en FÉN. Tél. n . 9° termesde enrichissait, Orac.i,44.|| 6°XL'ABORD, prisonniers Egypte, || — ÉTYM. Aborder. adv.Aupremier àla r encontre. Al'al a aborder remise,s'approcher del'endroit abord, première l'unenversl'autre;puis ABORDÉ, ÉE (a-bor-dé, dée), part, passé. chasse, hommes furentfroids bord,ces oùla perdrixs'estréfugiée. 10° v. réfl. || S'sborder, s'anima. Auxtraitsdontà l'abordvous || i° Abordéparune frégate,lenavirefutpris.Des s'approcher laconversation aborpourse parler.Nousnoussommes abordés.|| 2°Quiest abordéen un lieu. désdansla rue.Toutlemondes'abordait, savezlesfrapper,MOL. s'interrol'Étourdi,v, H3.Unelionne vaisseaux Sat. m. Abordés dansl'Ile,lesmarinscherchèrent del'eau. geaitdansleséglises,sans seconnaîfre, VOLT. Rugissanteà l'abordet qui..., RÉGNIER, L.XIT, TOUT AUPREMIER enfinà Corinthe DEEtma famille Méd. I. || ii-Se heurter.Lesvaisseaux ||7° D'ABORD, D'ABORD, ABORD, abordée,CORN. et res'abordèrent, PRIME loc.aâv. 4. Si mon abordé sur cette terre ABORD, DÈSL'ABORD, Enpremierlieu,i, frère, impie, çurentl'unet l'autrede gravesaviries.|| 12°AL'Aaupremierinstant,avanttout. D'abordils pensent M'eûtconfiéplustôtle secretdesavie,VOLT. Orest. BORDER, loc.adv.A l'aborder,il psX froid; maiscela 2.Eh deux Faired'abord une chose.Partons d'abord. en ceslieux abor- ne durepas. Aborderestpris ià substantivement. quoi! que.... v, malheureux, Entrertoutd'aborddansle Pirée.Deprimeabord dés, D'unoeilsi soupçonneux seraient-ils defrancé/able,seditdedeux regardés?|| 13°Marine.Aborder il le traita fort mal. Nousautresgrandsméde- ID.ib. n, 3. naviresquise choquent parles/étraves. —REM. nous connaissons d'abordles MOL. ABORDÉE J cins, f. L'ASORDÉE,D'ABORn.se coijugueavecavoirou choses, t (a-bor-dée),s. Aborder,^, Méd.malgrélui, n, 6. Aunomde l'Empereur, Onfitmarcherlesrégi- être: ils ont abordé,ils sontabordés.Le sensest je DÉE,loc.adv.Enabordant. viensvousinformerD'unordrequi d'aborda pu mentsdesgardesfrançaises etsuisses droitauvillage différent : ilsontabordésignifie l'actiond'aborder: vousalarmer,RAC. Brit. i, 2. 0 ciel! quetesri- deNerwinden, d'abordée avecfu- ils ont abordéet ont aussilôtmarchéversla ville. qu'ilsattaquèrent Sila.foudred'abordrie,ST-SIM. 42, 437.L'airouvertde M.le ducd'Or- Ilssontabordésexprime gueursseraientpeuredoutables, l'élatdeceuxquisontdans accablait lescoupables, ». Ath.m. 2.Cen'estplus léanset ce qu'ilditd'abordée au maréchaldeBer- le lieu qu'ilsont atteint: ils sontabordésdepuis cettereineéclairée,intrépide,Quid'abordaccablaitwickle rassurèrent,m. 47B,77. quelquesheures.Le priiiced'Orangeest abordé, sesennemissurpris,RAC. Ath.m, 2. Quil'eûtdit, —HIST. xvies.Ilssejectentd'abordée danslafran- SÉV. 486: c'est-à-dire il resteen Angleterre. 44 — 8.Mais d'abordée qu'un rivageà mes yeux si funestePrésenteraitchisedela coustume,MONT, SYN. A APPROCHER. Ona i, VOJft ACCÈS, ABORDER, d'abordPilâdeauxyeuxd'Oreste?ID.Andr.i, 4. l'evesque et septdemeilleuremarquedonnèrent du accèsoùl'onentre.Onabordeles personnes à qui On le souffred'abord,maisla suite importune,nezà terre,-D'ADB. Hist.i, 344.Ilslesemportèrentl'onveutparler.On approchecellesavecqui l'on CORN. modeste et simple,il voulutd'abordade, bienretranchés,m.Hùt.I, 226. est souvent.Quia beaucoup Nie.i,2. D'abord quoique deconnaissances peut nousservir,VOLT. Tanc.1,4.Ilsseflattaient rien Cérémonies f aut o bserver àla abordade que qu'il avoiraccèsen beaucoupd'endroits. première Qui a de la ne leurrésisteraitni dansle nouveaumondeni d'untelprince,CARL. vin,20.Depremière abordade,hardiesseabordesanspeinetout le monde.Qui! surnosmers; leursespérances furentd'abordtrom- lesnostresmirentdeuxdessiennesà fond,ID.I, ». jointà la hardiesse un espritsoupleet flatteurpeut
ABO ABO ABO 17 X et bouche;aboucherà Genèveveut ABOUTISSEMENT approcherles grandsavecplusdesuccèsqued'au- —ÉTYM. i. m.|| i°Ac(a-bou-ti-se-man), GUIZOT. Aborder u n avoir une direcoucher surla bouche,surle ventre. tres, marque fait, accès, tiond'aboutir. Tel est l'aboutissement de nosefunehabitude,LAFAYE. ABOUGRISSEMENT faculté,et approcher, f forts. 2° (a-bou-gri-se-man),s.m.Etat|| Suppuration. L'aboutissement 'd'unabcès. —'HIST. xv8s. Philippe de Bourgogne futamou- d'unboisendommagé danssa premièrecroissance.|| 3°Termedecouture.Piècequel'onajouteà une deSalsebri, reuxdelacomtesse maisilsn'abordeient ABO UT(a-bou),s. m. Termed'artet métier. autrequiest.tropcourte. J424. xvie s. Mais à 1°L'extrémité pointensemble, F.DEFENIN, || || parlaquelleunmorceaudeboisde — HIST.xvi°s. L'acromium, qui est partieet fortuneLoinles abordeau rivage charpente oude menuiserie la finla bonasse est assembléavecun aboutissement desonespine[del'omoplate], PARÉ, inconnuDela Provence, 609.Socrateà autre.112°Leboutparlequelunetringleouuntirant XIV,u. RONSARD, l'abordersembloitde priméfacehommeignorantde fersejoint,sefixeà quelquechose.|| 3°Basedu —ÉTYM. Aboutir. broieles chiffons et grossier,AMYOT, fairele papier. ABOVO(a-bô-vo), Caton,M.Il semità la voile cylindre q ui pour loc.adv.Dèsle commencesansabordernullepart, sinonoùil estoitcontraint —ÉTYM. 2 et bout. ment.Prendreun récitabovo. à ce fairepourprendrevivresou faireeau, n>. f ABOUTAGE s. m. Termedemarine. — ÉTYM. (a-bou-taj'), Mots latins: Ab,dès, et ovo,oeuf(voy. -107. Al'instant m esme d u Action d eréunir a rrivaen unnoeud lesboutsdedeuxcor- OEUF) Pompée, péril par dèsl'oeuf. , la villeGongylus, avecune dages. quivenoitde Corinthe ANTE(a-bo-ianou aboi-ian,iant'; ABOYANT, tout —ÉTYM. Abouter. galère,à l'aborderdu quelestantincontinent la prononciation adj.|| i° Quiaboie.Meute le peupleaccouruà l'entourdelui, il....ID.Nie.34. fABOUTÉ,ÉE (a-bou-té,tée), part, passé. aboyante.|| 2" varie), v Fig. Commel'oiseaudu cielqui . —ÉTYM. Abord. || 1°Termed'artet demétier.Piècesdeboisabou- viententournoyant Enivrersonregardsurcegouffre ABORIGENE 1° est tées. 2°En termes d e i l sedit Qui desdiffé(a-bo-ri-jê-n'). || Adj. || blason, ChuteduRhin. || 3° Fig.Qui aboyant,LAMART. les originairedu soloùilvit. Uneplanteaborigène.rentes piècesd'armoiries quise répondent par Cetteabbayecausatant postule,qui ambitionne. || 2"S.m. plur. Leshabitantsprimitifsd'un pays. pointes. d'envieque les aboyants,outrésdela voirdonner en Italie,ils y trou- f ABOUTEMENT s.m.Termed'art ainsi,semirentà chercherce quec'étaitquecet Quandles Grecss'établirent (a-bou-te-man), e urent à et vèrentlesaborigènes, combattre. métier.Actiond'abouter. E tatde ce qui est abbéde Chavigny, qu'ils ST-SIM. 260,234. —ÉTYM. de ab, dès, et origo,ori- abouté. Aborigines, ÉE ABOYÉ, (a-bo-ié,iêe,ouaboi-ié,iée;la pro—ÉTYM. Aboutcr. gine(voy.cemot). nonciation varie),part,passé.|| i"Unsanglieraboyé ÉE(a-bor-né, ABORNÉ, née),part.passé.Champs f ABOUTER (a-bou-ié ), v. a. Termed'artet mé- parleschiens.|| 2°Fig.Undébiteuraboyédetous abomée. abornés.Propriété tier.Joindredeuxchosesboutà bout. sescréanciers. Leprincede Contifaisaitun triste — s. m.Action d 'aÉTYM. About. ABORNEMENT (a-bor-ne-man), et humiliantpersonnage,accueillide personne, borneroule résultatde cetteaction.L'abornement ABOUTI,IE (a-bou-ti,tie ), part,passé.|| i° De aboyéde tous,ST-SIM. ar48, 67,||3° Recherché desseins aboutisà peu dechose.|| 2° Quia demment despropriétés. grands u nesi nombreuse , postulé.Après promo—ÉTYM. Aborner. suppuré.Unetumeuraboutie. un tion, j'attendraislongtemps régimentvacant, v.a. Mettredesbornesà ABOUTIR ABORNER (a-bor-né), (a-bou-tir),v. n. \\i" Toucherparun aboyédesfamilles etdesofficiers, ST-SIMON, -102,89. un terrain.Faireabornersonchamp. bout,seterminerdans.Cechampaboutit d'uncôtéau ABOYER e t l a (a-bo-ié a-boi-ié; prononciation —ÉTYM. del'autreà inapropriété. À et borner;Berry,abonner;wallon, grandchemin, Laveinecave varie.L'yse change eni quandun e muetsuit: il aboutitaucoeur oudansle coeur.L'esplanade aboner. aboutit aboie; ilaboiera.Ilfautun y et uni pourl'imparaboutis-fait, nousaboyions, ABORTIF, lVE(a-bor-tif, tiv').|| l'Adj.Quiavorte.au gymnase.Les.vaisseauxlymphatiques vousaboyiez,et le présentdu Foetusabortif,celuiquiestnéavantd'avoiracquis sentdanslesveinespardeuxgros troncs.Aboutirsubjonctif, nous La que aboyions, quevousaboyiez. le développement nécessaire vivre;En en pointe.Cetarbreaboutitenpyramide. Làvien- prononciation pourpouvoir é taitcommune au commenceabayer cellequin'a pasd'anthèrenentaboutirdeuxroutes.Acecarrefour botan.Ëtamineabortive, aboutissentmentdu xvii°siècle. Mafortune....Quin'abayeet Puisses-tu voir....deMarseille ouquin'ena qu'uneébauchée;fleurabortive,celle plusieurschemins. au n'aspireaprèsl'ordu Pérou,RÉGNIER, Sat. m. Ou quitombesanslaisseraucunetracedefécondation.rivagede Tyr Son empireaboutir,MALH. ni, 4. toutescesgrandeurs quil'onabaye,m.ib.xvi). un centreoù aboutissent toutesles lignes || i" V.n. Seditdu après Se met toujoursaprèssonsubst.|| 2°S.m. Terme Comme criduchienet de quelques audemédecine.Substanceà laquelleon attribuela de la fortune,FLÊCH. liég. Selonsondessein,tout tresanimauxdumêmegenre; le renardparexemLes abortifsdoitaboutirà Pétersbourg, qui, par sa situation,ple.Lechienaboie.Lechiendu gardeaboieauvopropriétéde provoquerl'avortement. de violents sont ordinairement ou seraitun entrepôtdu monde,FONTEN. CsarPierre. leur, aprèsle voleur,contrele voleur.Quoi!mes emménagogues la des drastiques. CecharlatanprescrivitdesabortifsNotrevue s'étendrasurle lieude fêteetsurles chiensmêmeaboientaprèsmoi.Quandavons-nous causèrent la mortde la femme. routesqui y aboutissent, BERN. DES.P. Arcad.2. manquéd'aboyer qui au larron?RAC. Plaid, m, 3.Tu —HIST. xvics. Je souhaiterais allait étais,Caton, que nousretins- || 2° Fig. Avoirpourrésultat.Lemouvement comme unchienquiaboiecontretousles sionsla manièrequej'ai diteavoirestéentreles aboutirà unesédition.L'affaireaboutità ungrand passants,FËN. t. xix, p.286.Quoique toujours,sous ceste abortive d e oùaboutira toutceci. a vant fiction sacrecombat. C es terreurs anciens, que Voyons sonempire,L'usurpateur nousaitchassés, Nousavons mentvinsten avant,CALV. Inst.-H72.Telenfante-n'aboutiront qu'à....Uneviesordideet misérable qui laissé,sansmotdire,Aboyer touslespluspressés, BÉment[horsterme]estappeléabortifouavortement,n'aboutitqu'àgrossirun bien injustement acquis.RAN&ER, 2° Crier contre Requête. [| Fig. quelqu'un, à la ruine.Sesdesseins t. ii,624.Letoutestfaitcommeunoeufabor- Sesprojetsaboutirent. les invectiver, PARÉ, fairedésréclamations. Nousavonsde tous fermeet mieuxconcertésaboutissent misérablement. Cette côtésdesgensquiaboientaprèsnous,MOL. qui n'a encorela coquille tif, c'est-à-dire Scap.i, 7. 'oùdoit-elle enfinaboutir?Lorsque avortif,oe.îb.Sesvers conduitesi peureligieuse, dure,m.t.xvni,6.Enfantement voisce moderne Nousaboyer,je je Sisyphe naistrontinutis, Ainsiqu'enfansabortis, Quiont BOURD. Pens.t.II, p. 393.C'està quoiaboutitcette trouvequ'ilfaitbien,i. B.ROUSS. liv.i,ép. ix. Jean363. de l'école,BOSS. Or.4. Desquestions forcéleurnaissance,RONSARD, distinction qui Ennouveau Diogèneaboieànosbeautés, —ÉTYM. de à MASS. Obst.|| 3°Venirà suppu-Jacques.... de n'aboutissent rien, Abortimis, aboriri, ab, indiquant VOLT. xcrv.Ilse mitaaboyercontreBrancassur Ép. Faireaboutirunclou. lejaHsénisme,sÊv. oriri,naître(voy.ORIENT), oequiempê- ration.Cettetumeuraboutira. privation,et 344.|| 3°Aboyer après,poursui— Aboutir se chedevenirà bienouce quin'est pasvenuàbien. REM. conjugueavecavoirouêtre vreardemment. uneplace.CetambiAboyer après f ABOT (a-bo),s. m. Espèced'entraveque l'on suivantle sens: la tumeura aboutihier; parlà on tieuxaboieaprèslesgrandeurs. || 4" V.a. Leschiens le fait.Latumeurestaboutiede- aboyaientle renard.La plupart metaupaturonpourretenirleschevaux. indiqueseulement deschiensse conÉE h eures là on l'état où ABOUCHÉ, (a-bou-ché, chée),part, passé. puisquelques ; par indique tententdel'aboyer[lehérisson] etnesesoucient pas ensemble Cesdeuxhommes abouchés s'entretinrentestla tumeur. dele saisir,BUFF. Hérisson. inAboyer q aelqu'un, —HIST. xvi°s. Cecerveau" se resserroitde toutes vectiver Untuyauabouché avecunautre. longtemps. contrelui.Aboyer uneplace,la poursuivre en pointecommeun oeufavecpassion.Danscettephrasede Diderot: Moije s. m.|| i- Misepartset alloitaboutissant ABOUCHEMENT (a-bou-che-man), c onférence. On o ùla corne faceà face, entrevue, de netuepasunchienquim'aboie,EssaisurCl.,aboyer ménageun à l'endroit prenoitle commencement entrelesdeuxadversaires, 2° 9.Ilztenoient abouchement Enanat. la Pér. de l'extrémité || racine,AMYOT, êtretransitif directouindirect:il aboiemoiouil L'abouchement dedeuxvaisseaux, leurunion,leur l'Italie, quiva aboutissant auxgrandesAlpes,m. peut aboieàmoi.|| 5°S'aboyer,», réfl.Si vousvoyezdeux la à 9 . Sur s e e t Paul-Mm. rendent laquelle jonction. place i 2.C'estouaboyersoi chiensquis'aboient... LA BRUY. —HIST. xvi"s. L'abouchement tousles grandscheminsdel'Italie,ID. ou aboyeràsoi. qui futfaitauprès aboutissent 6°Proverbes. Tousleschiensqui || la de deTouryenBeausse le roideNavarre Galb. 3 0." C 'est u ne r udeet aspar reine, croppe montagne aboientne mordentpas, c'est-à-dire tousles gens etle princede Condé, en poincte,ID.Sylla, quimenacentne sont pouraviserauxmoyens d'ap- predetouscostez,aboutissant à craindre. pas || Aboyerà la l esdifferens 38. unsd'eux descroix blanches paiser survenus,LANOOE,B6S. Quelques portants crierinutilement. || Jamaisbonchienn'aboieà —ÉTYM. Aboucher. aboutiesde fleursdelis, et appelèrent cesmarqueslune, un homme ne faux, sage sefâchepas sansraison. v. a. Mettre des D'AUB. Hist. 439. ABOUCHER f aceà S on (a-bou-ché), contre-ligues, il, gou- —SYN. face, JAPPER. Le premierse dit ducri ABOYER, en conférence. Je voulaisen secretvousabouchervernementde Metsaboutit[s'étend] jusqueenAile-des groschiens,le secondde celuidespetits.Cetousdeux, MOL. bornentet pendantonditsouventd'unpetitchien,il aboie,et l'Étourdi,iv, I. L'ondoitl'abou- maigne,CARL. VIII,\T. LesAEemagnes cheravecvous,m. l'Av.u,I. lesterres du aboutissent versl'orient, d'ungros,il jappe.C'estqu'alorscelui-làestencograndSeigneur v. i" S'ABOUCHER Conférer avec ID. 22. , réfl.|| quelqu'un. — VIII, lère etquecelui-ci n'estanimécontreaucunobjet. Ils se sont abouchés,et sontconvenus dela marÉTYM. Àet bout;Berry,aboter,abouter;watt. —, HIST. xir s. Comment, Sire,je suisvilscorne cheà suivre.|| 2°Enanat.seditdedeuxvaisseauxabosi,dansle sensde suppurer. chiensà ceusde Juda,cornecilkiestchefdesfols Le canalthoracique ANTE(a-bou-ti-san,san-t'). ki abaientversDavid,.Rois,129.||xmes.Asigrand s'abouche ABOUTISSANT, quicommuniquent. dansla veinesous-clavière. 1° a boutit. Unepiècedeterreaboutissantechose,comà l'empirede Constantihople, || Adj.Qui poés[vous —HIST.xv"s. Et savezoùelle [unegrotte,un à. Paruneporteaboutissante auxchamps,LAFONT. croire moûti en avoitaboans et enque conduitsouterrain] d'une pouvez] vide,ni où elle abouche[dé- Or.|| 2°Auplur.m. Lestenantset.aboutissants ^ 09.Par foi,tantenachienquinage; vians,VILLEH. bouche],dit messireGautier,FROISS. II, III, 23. piècede terre, lespiècesquiysontadjacentes, quila Quandest arrivés,il aboie,la Rose,i^tOi. ||xives. nepeurentfaireautrechosebornentdetouslescôtés.On ditaussi,avecl'article Comme || xvi"s. Lesrefformés les chiens,quandil oent[entendent] heurqued'empliret couvrirles canons,abouchésen répété,lestenantsetlesaboutissants. || 3°Fig.Savoirter, ilabaienttantostsansatendrequeilaientcohoisd'uneaffaire, encon- sanceseceluiquiheurteestamiounon,ORESME, terre, d'un grandamasde poudreet y mettrele touslestenantset aboutissants Eth. D'ATIB. JB7. naîtretousles Hist. trente détails. chevaux Que feu, i, légers — 205.Désormais travailler[il]n'ose,Abayernemot de part et d'autre,sixheuresdevantques'abouHIST. xvies. Il decouyrit toutesvos.assembléessonner; Onluidoitbienpardonner ; Unvieillart peut cher[venirenconférence], descouvriroient la cam- etentreprisespartenansetaboutissans, Sat.Mén.iSO. de C H. n e Rondeau. Qui peu chose, D'ORLÉANS, peut —ÉTYM. 5B7. Aboutir pagne,LANOUE, Baill.etMal.Aussil'amordre,si abaye,VILLON, DICT.DELALANGUE . I; — 3 FRANÇAI3E.
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Pens.t.m, p. 403.|| 2°Paranalogie,J'abrègeetjepoursuis.Pourabréger vocatquiplaidyeLescauses,raisonset moyens,sarègle,BOBRD. ,1achoses'exéLepeuplejuifestunabrégésym- cute,LAFONT. Pourvuqu'ilaitla maingarnye,Serapourlesdeux Imageenraccourci. Rich.|| 7°S'abréger,v. réjl.Devenir Simpleetrusée.Jetépry,.sansboliquedela racehumaine,CHATEAUB. COQDILLARD, Génie,n, pluscourt.Lavie,déjàsi courte,s'abrègesouvent aboyans, Quetu pensesdemepayer,Patelin. n, 2. Cecoeurestl'abrégéde tousles mystères,parlesexcèsdetoutgenre. plusm'ahayer, 0 ne le firentqu'abaier en- BOSS. xrr5s/Nene porreitmiscorssoffrirTraJean, s. Lasciencedu salut,sciencesurémi- —HIST. j|xvi s. Cescompagnies et le faubourg,à l'entréeduquelMor-nente,l'abrégédetoutesles sciences,BOURD. Pens. vailnepeinenelabor; Kardèsors'abregentmijor; treXonguive 4 28.Le Hist.n, temarchargeaet le mesla,D'AUB. Moltmevoismaisafebleiant,BENOÎT, incompréhensible,ineffable, t.ra,p.229.Cesacrement H, 8223. malà celuià il Cilesmerveilles du ID. t '6. veut d etoutes xm«s. Ains voil ma chien qui abbaye,AMYOT, l'abrégé Seigneur, || [jeveux] paroleabregierPor futadvis courde Je nedis 33.Il lui 386. 3"En e n oreilles vos 19674.Jene puissouffrir q u'une peu paroles. lyceasprement p. || abrégé, alegier,la Rose, mon, abboi assez contre et son elles sont roucéeabbayoit ceschosesqu'enabrégé; le plainservice lui, queparmi expliquéesà abregier qu'ontientdemoi,BÉAUM. elle jettoituneparolehumaine,ID.ib. Nousnous ailleurs,BOSS. Relat.Ellerenfermeen abrégétoute XXVIII 7. S'aucuns , abrègelefiefquiesttenudeli, contre leschiens nous et 3 .Lasuitedela mise 25.Seilviaut[veut]sonplaitabregier,Ass. courrouceons ID.XLV, qui religion abayent la doctrine,ID.TMr. .m.Comm. v os m.Hist. 43. V oilà e n contreles asnesquinousregihbent, en d evant de Jerus. refr. abrégé n, yeux, i, 237.||xnr*s. Ilsluidirentqu'ilabred e un la col.so.Ildélibéra contenter jeunehommeabrégélesprincipesde dénoûmentpourlespassa- geastsesparoles,le Menagier, i, 9.|| xv*s. Temps fidèle les canoncontient e n son ID.S. Écrit.Ce sanshonneuret sansvrayjugement,Aageentrisami,aboyantaprès richesses,ges des Pères, pauvre, MONT. n,347.Encertainabbayerdu chienle chevalabrégétouteslesraisons,m.Lett.abb.554.C'estfairetour,quiabrègelavie,E.DESCHAMPS, Temps présent. MOL. Et que m'adit queje boytropsouvent l'Étourdi,n, 44. Elle[m'amie] cognoist qu'ily adela cholere,ID.n, 468.Cechien enabrégévotrepanégyrique, Ecri- celam'abregeroit semeitàabbayercontreluitantqu'ilput,iD.n,192. || 4°En abrégé,parabrégé,parabréviation. la vie, BASSEL. 34. N'abrégeons leurparchemin Lesautres,en abbayant jouret nuit, vezcemotenabrégé.|| 5° Musique.Mécanisme qui pointnostreviePartropnousatedier,ID.46.Ondit leur v endent leurs des du quesesAnsil [le buveur]abbrege,m.38.Avancezbarbotant transmet lemouvement touches et bréviaire, coquillesdansl'orgue Inst.708. au peuple,CALV. clavier. ; vous,prenezvotrerobe,abregez-vous[hàtèz-vous] — de et —ÉTYM. SYN. RÉ- qu'ilne voustrouveici, carvousseriezmortetmoi Berry,aboyer; ad, à, baubari, ABRÉGÉ, SOMMAIRE, ËPIT0MÉ, PRÉCIS, estunouvrage, maislaréduction d'un aussi,LOuisxi,i\rou'».34. ; allem.bellen.Le simpleSUMÉ. Pourabréger[bref],n>. t'6. L'abrégé aboyer;grec paûÇeiv dansl'ancien n'est 76. Il xvi"s. Lecielm'aestésibéninetsifavorable bâterétaitaussiusité volume.Lesommaire français.Parce plusgrandàun moindre de BEATJli un ilnefait 692.Ilvouloit un longmartyre,YVER, [s'irritent] baier, que quiens'engressent ; simplement qu'indiquerqued'abrevier point ouvrage 46. chosescontenues dans bienabrégersoncheminet passerpar lieuxbien MAN; XXXIX, en peudemotslesprincipales o u la le ordinairement àlatêtedechaABOYEUR (a-bo-ieur aboi-ieur; pronon-l'ouvrage Ant.62.Notaires,c'està direécri; on place habités,AMYOT, n'estpasfixée),s. m. || 1°Jermedechasse.quechapitreoudivision,pourpermettreà l'esprit vainsquiparnoteset lettresabrégées ciation figurenttoute la du aboient à vue l'ensemble decequivaêtredétaillé.L'é- unesentence,ID. Sortede chiensqui Catond'Ut.35. sanglierd'embrasser sansen approcher.|| 2" Fig.Celuiquipoursuitar- pitoméest,ainsiquel'abrégé,unouvrage, maisplus —ËTYM. Provenç.et espagn.abreviar;ital.06Un de unechose. aboyeur successions. demment :cemotd'ailleurs estpurement de ad, indiquant ladisuccinct grec,etn'est breviare;bas-lat.àbbreviare; des des 3°Celui le titredecertains GUIquifatiguepar criailleries,par ouvrages, rectiondel'action,et brevis,bref(voy.BREF). || employé quepour Il a se sa Le s.m.Action d'abreubeaucoup ZOT. pressantes. d'aboyeurs; par rigueur; il signifie j-ABREOVAGE importunités précis distingue (a-breu-va-j'), C e n'est créanciers. rien ce sont ses critique deschevaux. qu'un un abrégédanslequelnesetrouve de superflu ; ver.L'abreuvage un terrible F réC'est mais l e e stsubstantiel. Aussi e stcourt —HIST. xvi*s. Auxprairies,sur tpùtesà celles aboyeur.Quelque l'abrégé ; précis aboyeur. de sa dent ron.... Vientl'entamer mercenaire;peut-ondire: j'aifaitl'abrégéet leprécisdecelivre. d'abbruvage [qu'onarrose],lesfumiersdetellevoil reste V OLT. LXXX. un non d e X l'aboyeur Lerésuméest abrégé, passéparé l'ouvrage,laillesentde grandeutilité,o.DESERRES, 98. abandonné, Ép. à la desthéâtres setient en deconclusion 4"Crieur misà la fin porte p our mais —ÉTYM. boisson. qui guise || ;c'est,pour Abreuver;provenç. abeuratge, et aussi c rieur dans lesrues les du encore une la c'est ÉE voitures, q ui place,l'opposé sommaire; appeler ABREUVÉ, (a-breu-vê,vée), part, passé. desnouvelles, etc.|| S'Adjecti-sorted'abrégédestinéseulement à rappeler cequ'on Aupropreet aufiguré.Troupeaux venddescomplaintes, abreuvés. OnrenRien d'emDesdogues cedontona besoindese voyalesconvivesbienabreuvés.Terresabreuvées. vement. aboyeurs || n'empêche sait,à revoirrapidement auféminin : LAFAYE. duNil.Une abreuvée aboyeuse. ployeraboyeur ressouvenir, parlesdébordements L'Egypte —HIST. xm«s. Se l'uneestoitmaistreabaeresse —ÉTYM. eauabondante. PlaieabreuAbréger. planteabreuvéeparune l'autremaistrelecharesse Et s. [gour- f ABRÈGEMENT, (a-brè-je-man),m.Actiond'a- vée d'une humeur malsaine.Abreuvéd'amer[aboyeuse], lesdeux d'un MoulWurent bien cuer dece L 'état [coeur],bréger. qui estabrégé.L'abrègement tume.Menourrissantdefiel,de larmesabreuvée, mande], de s .Une meutte de lestablesont RAC. Ben.437.(Ixvie defielet de chiens, limiers, d'unlivre.Ceux quiontvouluintroduire Phèdre,iv, 6.Salangueabreuvée le D 'ADB. des Hist. 4. Etle meretrouve fauve, desaboieurs.deschienspour Foen.i, ététrompésparPabrégement paroles,Port-Royal, jour vinaigre,BOSS. n, avecla arquebuseouar- dansBOUHOURS, Nouv.Rem.Motutileetjustifiépar abreuvéde meslarmes,VOLT. 6. Ils chassentseulement QEd.i, 4.Et j'ai sur GARL. balestreet l'abboyeur, IV,42. un usageconstant. cescheminsde carnageabreuvés....ID.Mér.i, 2. s. m. — s. Et aussinepeutnus [nul]doner f ABREUVEMENT ABRACADABRA XIII" (a-bra-ca-da-bra), MotauHIST. s. m.Action (a-breu-ve-man), vertus des Devos o nattribuait mains de servitutes d e BEAUM. magiques. 25. d'abreuver L'abreuvement lesanimauxdomestiques. quel fief, abrègement XLV, Parmides sorcièpoussières, o nestsemons service d etix on l'eau Ecrivez, grossières, por Quant [tels]fiés, exigecertainesprécautions, couper parexemple v. Bail.44. ce res: Abracadabra,HUGO, doitoffriràsonsegneur quiestdlttporle [la]re- avecdusonou delafarine,oulafairetiédir,sil'acaren —ÉTYM. il Proprement abrasadabra, grec sondel'abregement,iD. XXVIII,7. || xvs. Mais,pour nimalesten sueur.Ondonnel'avoineplutôtaprès fait On venir cemotde l'hé- l'abrègement s'écritABPACAAABPA. de l'oeuvre,Depointen point[je]le l'abreuvement qu'avant.Onrisquedecauserdesrup923. breuab,père;ruah,esprit,etdabar,parole.D'après FONT. te descoeuvre,LA turesoula pousse,sil'onfaitcourirl'animalausla —ÉTYM. désigneraitTrinité,GHOTEFEND sitôtaprèsl'abreuvement. cëttèêtymologie,il Abréger. 4 Gruber's le tend Encyclopédie,) regarde + ABRÈGEMENT adv.D'unema- —HIST. xm"s. Cilqui serafetmesureurde sel (Ersch's (a-brè-jé-man), dumotpersanabrasas,dénomina-nièreabrégée. commecomposé Adverbe usitéautrefois et quin'arien paierapor son abuvrement et porsonpasthuitlila de etdel'hébreu tionmystique divinité, a dechasdabar,pa- qui l'empêched'êtreusitéde nouveau,puisqu'ilse vres,LiwedesMét. 356.|| xvi°s. Leprevost divine. s ans fait role,parole cun houchier,quiest nouvelhouchier,de l'acomprend peine. s.m. Terme d 'art.Garniture — de XVe s. Pourabrègement HIST. àfaire (a-brâ), guérirou mou- boivrement fABRAS quel'onaaccoustumé [pourboire] fer quientourelemanched'unmarteaudeforge. rir, Plusne puisfournir,Sesensne m'aprent,CH.au commencement, unemailled'or,DU abuCANGE, — ÉTYM. Aet bras. Rondeau.Et le plusabrègement D'ORL. quefairese vragium. s. Terme d emédecine. ABRASION bailli c omanda (a-bra-zion), f. le notrepau- —ÉTYM. Abreuver. T qu'ondepeschast peut, d e par petitsfragments, Pépithé-vrecoquart,L.xi, Nouv.75 v. a. || i° Faireboiredes || 1° Séparation, ABREUVER (a-breu-vé), — liumqui recouvreles membranes 2" ÉTYM. contraction muqueuses. || d'abreuver lesbesRivièreoùl'onacoutume Abrégé,par pourabrégée,animaux. Actionde gratterla surfacedesoscariés,dela cor- etmentsuffixe creusés a breuver Les avaient (voy.MENT). tiaux. puitsqu'ils pour néeulcérée,et celled'enleverletartredesdents. ABRÉGER L'éseprononce è quandil est leurstroupeaux. SËV. Onmenaabreuver noschevaux, (a-bré-jé. —ÉTYM. Abrasio,de ab, indiquantséparation,suivid'unevoyelle muette:j'a-brè-ge),t). o.[| i°Ren- 455.|| 2°Faireboireabondammentquelqu'un. Ilabreuet radere,racler(voy.RAS). dre bref,réduireà unemoindreétendue,à une va largementla compagnie. Onl'abreuvait pourlui s.m. sur moindre ARRAXÀS le Ë claircir etabrédelui. Lecruel (a-bra-ksas'), Pierreprécieuse la raison et longueur. Abrégertemps. faireperdre s'emparer unenarration. Voulant abré- d'unemainsemblait m'ouvrir le flanc,Etdel'autreà laquelleétaientgravésdescaractèreset qu'onpor- gerlediscours. Abréger taiten amulette. u n humiliation. C'est bienfait deDieu son d'avoir traitsm'abreuverde mon ger longs sang,wÉB.Atrée, n, motpersansignifiant —ÉTYM. Dieu(voy. abrégélestentations aveclesjoursdeMadame, Abraxas, BOSS.2. || 3" Mouiller, arroser. Laterreest pénétrerd'eau, : illes abreuvée.Cesprairiesontbesoind'êtreabreuvées. ABRACADABRA). Duch.d'Orl.Oncroitqu'ilexposelestroupes ABRÉGÉ le tempsdes périlsparla vi- Le solestabreuvéd'eau.Lescèdresqu'abreuve ,ÉË(a-bré-jé, jée),part.passé.Routeabré- ménageen abrégeant la Méthode Livre ID. L . deBourbon. abrégéed'enseignement. abrégé. gueurdesattaques, Lesplaisirsroséedu ciel.Une grandeabondance d'humeurs gée. la dont durée est Simes abrégée. sans modération les des jours cette il fautla dessécher. Magistrature abreuve plaie; abrègentplus jours pris || 4°Fig. sontabrégés.Ceciestune répétitionabrégéedece hommesquelesremèdes ne peuventles prolonger,Remplir,saturer.Abreuverquelqu'und'outrages. a été recommandé. vous un FÊN. Tél.xvn. Cours amplement L'exemple, par prompttrépasabrégerton On abreuveles alliésde dégoûts.Toutle fiel.... •qui e stla voie d ela vousle savez, Mithr.a, 6. Maisaussitôtmamain, Dontun amantfutjamaisabreuvé,MALH. abrégée persuasion,supplice,RAC. v, 27. Excell. d usacerd. MASS. L 'enfer s edéD'uneinfidèle à moiseulefuneste, vieabrégerale Toutle fieldontonvousabreuva,BOURD. Pens.t. m, Conférence, d e sont l es MASS. Orais. la paix ID. A ndr. 4.Je temps abrégés, O ndit d ansun sens chaîne; reste, iv, voyaisbientôt,abrégeantp-362. aussi, opposé,l'abreuC 'était làune m atière à exercer sonabsence,revenirempressée, Oth.i, 5.Le verdejoie.|| 5°Entermesd'art, mettresur un fond ample fvm.Dauph. J>\ICIS, ungénietel quele sien,carle longchemin ses cardinal d eRichelieu a vait decouleur ou pouvait abrégé joursparles poreuxunecouched'huile,d'encollage, êtreet abrégéet facilité,FONTEN. CzarPierre. inquiétudesquile dévorèrent,VOLT. 477. devernispourenboucherlesporeset en rendrela Moeurs, s. m. 1° ABRÉGÉ Réduction d'un 2°Faireun Cetauteur a lui-même surface unie.11Termedetonnelier. Abreuver deston(a-bré-jé), || plus [| abrégé. abrégé enun C 'était un d e sonlivre. 3°Faire m oins Laconverl es s'assurer s 'ilsnefuient pluspetit. d 'eau grandouvrage abrégé long. neaux, emplir || paraître pour Hist.n, 3.Voulez-vous, disaitsaint sationabrègelechemin.|| 4°Fairebrèveunesyllabe.point.|| Entermesdemarine,abreuver toutelaloi,Boss. unvaisseau,y u n la desaint B enoit ? dans l'o etdisent d e le faireentrer l'eau,avant de lancer,pourvoirs'il Grégoire, pape, abrégé,derègle abrègent Quelques personnes rôti, sa vie; et voulez-vous, considérez G"Faire ajoutaitle même rôti.|| 5"V.n. Chemin quiabrège.|| court, n'yapasunevoied'eau. ||6" S'abreuver,v.réfl.Le» un delaviedesaint en demots. E n considérezs'exprimer peu devin. Benoît, s'abreuvent ici. Aprèss'êtreabreuvé abrégeant. Abrégeons.chevaux pontife, précis
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sorteà couvertdu froidet d'unautre.Eusèbe,sonabrévia-au soleilsonten quelque S'abreuver largement.Lespuitsoùvontle soirs'a- quiabrègel'ouvrage entasse tantde VOLT. du mauvais D 'ailleurs la signification d'exfables, temps. nostroupeaux, || 7°Êtrehu- teur [deMoïse],qui breuver DUGIS, Abuf.1,6. Le Dial.24, 47. [Pourle plande l'ancienne despluiesfécondantes. Cartilage]poséau grandairsetrouvedansle wallon,comme mecté.Laterres'abreuve ont aber,exposé noussommesréduitsauxabréviateurs latins,tels onvoit.Leslanguesgermaniques sang.Lajaveline soldela Grècedevaits'abreuverde Itin. au soleil,anc.hautallem.dpon,serein,quiparaisde lar- queFloruset Velleius Paterculus,CHATEAUB. s'abreuvedeleursang.|| 8°Fig.S'abreuver du parquet sent avoirde la parentéavecle motlatin. Diei Nérons'a- m, 474.y2°Sedità Romedes.officiers dusangdela république. mes.IXs'abreuva lesminuteset lesbréviaturesdeslet- n'acceptepascetteétymologie, y objectant quel'ibreuvadesang.Il s'abreuveaux sourcesles plus quidressent talienn'a pasce mot qu'il auraits'ilvenaitd'oapostoliques. puresdelascience.Desonmortelpoisontoutcou- tres — ÉTYM. Sot.XII. pricus,et quele sensne peutpaspasserde exposé BOIL. ruts'abreuver, Voy.ABRÉVIATION. il desvinssefit plusdigne tABRÉVIATIF,IVE ti-v'),adj.Qui ausoleil,au sensde à couvert.En conséquence xni"s.Chascuns (a-bré-vi-a-tif, —HIST. l'allemand au caD'abevrer bienleroi abrège,qui indiqueuneabréviation. Signesabré- propose bergen, présentbirg, Parsa bonté,parsapuissance, mettre en t. Barb.2eéd. viatifs. cher, sûreté;d'où,parune.métathèse deFrance,Bat.desvins,Fabl.de n, et la romaneà, ona abrie. de IV, avec préposition Abréviation. ouiestoitcelefontaine,la fit —ÉTYM. p. 464.Li prudomme s. /'.Retranche-Malgrécesobjections, latinemeparaît (a-bré-vi-a-sion), l'étymologie aler portoutsonchamppour louabeuvrer,t. de ABRÉVIATION plus la plusvraisemblable. just.27. Qu'ilne l'abeivre[labêteachetée]neface mentdelettres,ouemploidesignespourécrire s ont (a-bri-ko;let ne selie pas; aupluriel, abevrerla matinée,et aprèsrendrela,se.ellenelui viteoupourtenirmoinsdéplace.Mr,Mme, des ABRICOT oua-bri-ko;la prononciation Desimprime-a-bri-kô Madame. varie,lesuns pourMonsieur, siet,Ass.deJér. 1, 243.En un lit toutseul [elle] abréviations la du singulieroù caractères trop,bar- gardantau pluriel prononciation les coucoit[couchaitles deuxenfants],Andeuxriesdontil a changélesanciens brefou l esautres etBl.495.Et indéchiffrables à des l'o est bareset presque cause fréquenouvert, allongeant l'o, sui[tousdeux]paissoitet abevroit,FI. vantlarèglequiestqueYsdu plurielrendla voyelle bien tesabréviations, FONTEN. CzarPierre. pourbienfaireen cestepoine,Ausouverain — fairecerL'ala à HIST. xvi"s. Illeuravoitenseigné longueou fermée),s. m.Fruitde l'abricotier. [la sagesse]la [l'âme] ramoine,Dontjonesse quien peude traits bricotestunfruità noyau,quia beaucoupdesadessevroit,Qui de vanitésl'abevroit,la Rose, tainesnoteset abbreviations, abricotdontla Dèsainsneîsqu'ilvaloient etrepresentoient'beaucoup delettres,AMYOT 4568.Et qu'ildevraestreabevrés, , veuret de parfum.Abricot-pêche, decelledela pêche.Abricot et remissiongrosseurse rapproche abbreviation soitsevrés....ib. 40665.Touslesen aboivreà ses Catond'Ut.35;Syncopes, venusurunarbreen pleinvent. t'o. d'haleine,PARÉ,VIII, 23. pleinvent,abricot mains,Meslesunsplus,lesautresmains[moins], — Et euz dans L'abricot vent île abbreviare,qui, ÉTYM. plein estmeilleurquel'abricotd'es6848.Je euz fain, vousme saoulastes, si Abbreviatio, J. DEMEUNG, Tr. 4448. l'ancien français,adonneabréger(voy.cemot),et palier. soif, vous m'abruvastes, —REM. tant qu'ilporradurer, nonabrêvier,qui seraitduxvi°s. Neditespascommel'Académie : Abricot Ilxiv"s.Et sin'arachascuns, tous à L'arbre e sten le &uit estd'esdefourment en les.jours disner, t ABRÉVIATIVEMENT (a-bré-vi-a-ti-ve-man), espalier. espalier ; Qu'unsoelpain Etunlotd'iaweaussi poursoncorpzabuvrer,Baud. adv.Par abréviation. palier. sortirparla porte,elsuivitl'o- —ÉTYM.Abréviative au fémininet ment(voy. —HIST. xvi*s. Nepouvans deSeb.ix,608.|| xVs. Leducde Bretagne cariles- MENT). desejeterparla fenestre,pour lessontcontraintes pinionduroideFrancemoultlégèrement, l'information de délicieux e ABRI(aTbri),s.?ii. jardinmangerdesabri||1° Cequi protègecontre.... allerdansquelque toit, du tempspassé,siabeuvrédlarébellion del'ESous unabrisûr.Lemauvais 440. l educde Abri c ontre la soncousin Flandre,pour pluie. cots,LANOUE, s'inclina croire Cléunabri. L acôte offrait un —ÉTYM. Ital. albercocca, ne les dechercher soncoeur albicocca; o nquesà espagn.altemps força glise,que s.Puis en Cemot 36. Cette rade vient passant abriauvaisseau. estunabri.Lamontagne portug.albricoque. mentpape,FHOiss. ni,iv, |[xvie baricoque; français aux bords de l'espagnol, vientdel'arabebtrfeoufc,et, aumilieudela plaine,Degransruisseauxde sang sertd'abricontrele ventdunord.S'ilest, l'espagnol deleurshoabri l es du torrent a l birkouk déserts avecl'article, Quand plis ignoré,Quelquerustique ; l'arabevientdu bas-grec s'abrevera,MAR0T,iv,322. sacré jtpaixôxxiov, en- deverdure entouré... .LA MART. llédà.xx.L'arbre furentabbreuvés d'eau,ilsleschargèrent rcpexôxiov;le bas-grecvientdu latin quetons F orme sortiz immense un l'abricot à causede sa prénomdonnéà Timol.38.LesRomains pour [dela liberté]surceconcours coreplus,AMYOT, prxcoquum, n'estpasautrechosequ'une leurschevaulx,abri de rameauxtoujoursverts, BÉRANG. oupourabbreuver Lafay. cocité;eo&aprxcoquus allerau fourrage le malheur. centfois Il 2° Fig.Cequi préserve. Abricontre formedeprsccox Abricot m.Ant.60.Chascunen (voy.PRÉCOCE). est,commo ayantestéabbruvé sa S ous l 'abri de un abridans un dela 36.Les L'accusé trouva on etdo dignité. discours, exemple propagation I, premiers voit, singulier [d'unrécit],MONT, A exID.I, 472. d'ungrandnomsurdel'impunité desmots;c'estparl'intermédiaire del'a, d'horribles l'altération quoionluidoibtabruverl'entendement.... 2 . c. DELAV. V.Sicil. de I D. s 'est rabe motlatin est revenu dansles 11, Toutesleursidoless'abruvent sanghumain, cèsleurorgueil porté, qu'un langues sa àl'abri d ans maid e Setenir estaitabruvée diverses 3"A loc.ade. romanes. pein- Il L'ABRI, I, 229.Sonesponge à l'abri,' t ABRICOTÉ d ont rade où ils se trouvèrent s. m. Termede confisotte leur Dansune 254.La son. m. imagination (a-bri-ko-té), tures, 1, leura pervertiFÉN.Tél.ix. Vousne pouvezqu'auxdépensde seur.Bonbon faitd'unmorceau d'abricotentouréde lesa abbruvez maistredessentences la CORN. Mortde sucre. Inst.4428.Quandonviendroitsa tête Mettreà l'abri vôtre, CALV. l'entendement, Fiancée. —ÉTYM. abreuverla mulesuslaquellemontaitsafemme...P. 1,4.Ilfalkitsemettreà l'abri,LAFONT. Abricot. Ensûreté contre. ABRICOTIER s. m.Arbrede la PEBR. Cont.92.Encorquetoutfustconduitse- Il4° X L'ABRI DES DE,loc.prépositive. (a-bri-ko-tié), lesdéfenseurs fussent chacun en fut d ufroid. A fin Lenom siest-ce Êtreàl'abri famille d esrosacées. del'abricrètementau possible, que que scientifique 562.Folestquisemeten à l'abridesballes.Êtreàl'abride l'injure.Personnecotierestprunusarmeniaca. abreuvé[informé], YVER, xvies. Nousvoyonsdu noyaud'abricot [ses n'està l'abridumal.Al'abridesrailleries.Le port —HIST. enqueste ; carle plussouventquimieuxabreuve 770. està l'abridetouslesvents.Rienne metà l'abride venirunabricotieret non le pommier, parceque témoins],mieuxpreuve,LOYSEL, mettent naturegardetoujoursson genreet espèce,PARÉ, —ÉTYM. Wall,abuvrer,abovrer;picard,abru- cetordrefatal,RAC. Esth.i,z.Lesmontagnes abeurar;espagn.abrevar;ital.abbeve-cettecôteà l'abridesvents,FÉN.Tél.m. J'essuyaiXIX,20. vrer;provenç. ci- —ÉTYM. Abricot. rare ; bas-lat.abeverare,abebrare; de ad,indi- les méprisqu'à l'abridu dangerL'orgueilleux 6 . 5°A b oire à VOLT. e t v.a. Termedemarine.Intercepter en (voy. toyenprodiguel'étranger, Orph.11, || quantladirectionde l'action, bibere, f ABRIER, saufderasous.Mouiller à l'abrid'une est En sûreté duvent. L'ABRI L'ancien DE, français abeuvrer, parlant BOIRE). c'estau terre.Xl'abrid'unecabane,nouslaissâmes res exceptions, passer — ÉTYM. plusprès de l'étymologie; Voy.ABRITER. X l'abride et à l'abridufleuve. son définitivement I lsemit ÉE abris. IVs'est xvi° que qu'on l'orage. tée),part.passé.Vignes ABRITÉ, (a-bri-té, déplacée il les Ilsontdes a dit abreuver. téesduvent.Ilsétaientabritéspar les retranchedéguisement,parcourait campagnes. e n l'abrideces s. m. l°Lieuoùl'on vous mettront amis ments.Navireabritédansle port.Sinotreaccueille ABREUVOIR tête,et,à (a-breu-voir), || qu'ils de tousvos boire et se bai- protecteurs, ils sonten état repousser et les chevaux mènelesbestiaux touche,Si,parnousabrité,il [l'exilé]s'endortsur B OURD. SÉV. 543. derésister tousvos Pens. estun e t à la coucheDel'hospitalité....BËRANGER, .Eoeité. efforts, petitcanal, qui coups gner.Unabreuvoir Abriter (a-bri-té). || l°v.a.Mettreàl'abri. Il2° Lieuoù les oiseauxvontse désaltérer.Chas-1.11,p. 264.Etvouset vosenfants,vosamis,votre ABRITER aurezun sort desoiseaux à l'abreuvoir. Al'abridu sénat le de serà l'abreuvoir, plus"doux, les arbresà fruit.Cemurabrite plant salade. prendre époux, Fuséequigâtele pied MAIRET, Mortd'Asd. iv, 4.Xl'abridecetrôneatten- Unrocherélevéabritelesnavirescontrele ventdu |[ 3°Termed'arboriculture. blessure marteau à unarRAC. Esth.11, 8. Encorsi vous large.Pourtantje m'étaisdit:Abritons monnavire; del'arbre.La dez mon retour, [faiteparle Dontje couvrele voi- Ne livronsplusmavoiléauventquila déchire,v. et souventnaissiezà l'abridu feuillage jamaisparfaitement, bre]ne secicatrise au de BUFF. Fab. 22.Un elleproduitun abreuvoir pied l'arbre, galantdequitoutle HUGO sinage,LAFONT. 1, , Odes,m, 4.Je nevienspastraînerdansvos à métierEstdecourirlejourde quartieren quartier, riantsasilesLesregretsdupassé,lessongesdufuExp.sur lesvégét.2emém.|| 4°Fig.Abreuvoir Illuifit sabre d'uncoupde un Et d'allerà l'abri d'uneperruqueblondeDe ses tur : J'y viensvivre, et, couchésousvosberceaux mouches, largebalafre. Le cesteestencoretachéDu froidesdouceurs Sut. fertiles,Abritermonreposobscur,LAMART. Nouabreuvoirà mouches. fatiguertoutle monde,BOIL. abri Il L'homme sans estun oiseau vellesmédit,xv.|| 2°S'abriter,v. réfl. pleut;vesang et du cerveauséché,QuandHercule,après rv. Il 6°Proverbe. maintetouche,Luifit un abreuvoirà moucheDe sansnid. nez vousabriterici.Le petitoiseaus'abritesous — xnes. E quantvinttempesteet pluie,en lesailesde sa mère.Il s'abritaitsouslenomd'un sonceste...SCARR. Virg. trav.v. || 5°Intervalle HIST. entreles faire les l aissent celencloistre pierrespoury que maçons [clos]pur[pour]abri aveirentrèrent, hommepuissant. entrerdumortier.|| 6*Proverbe.Unchevalvabien Rois,254.Hxvi=s. Al'abridescoups,MONT, xmes. Siot [vieillesse]d'une I, 25. — HIST. chapeforrée tout seulà l'abreuvoir,se dit de ceuxqui se lè- CeuxqueDieua misà l'abrydesnécessités, ID.IV, Moultbien,si cumjemerecors,Abriéetvestuson aubuffetet se 97. ventde tablepourallereux-mêmes cors,la Rose,400.|| xiV"s.Latrèsprécieusecouservir. à eutensa teste,SicomJuïs —ÉTYM. Bourguign. averi,aibri;wall. l'abri, ronneQueJesus-Christ —HIST. xives. GiEottenantensa mainun abu- exposé: èseà l'abridel plaive, être exposéà la l'enabrierent,GUiART,dans s. DUCANGE,abrica. || XVe abriée vroirouabuvoiroù ils buvoient,pleindevin,DUpluie;bas-lat. dbric;catal.Commemonnoyedescriée,Loyauté je voi abrica,abriga;provenç. Disant l e latin CH. et du le d e CANGE, a&ewagtum. ||xves. suppliant qu'il abrig;espagn. port,abrigo; apricus, Dessoubz pavillon honte, D'ORLÉANS,-BOSlui rueroit[jetterait]ungabeuvrouer ou verreà la exposéausoleil.Laconcordance est complète pour deau.|| xvies. Toutcelamisen ruines; et de sept ib. XYI" ceste e au d'abl'accent s uria seconde unesabriéesderuinesouaveuglées, servoit la forme; apricusayant teste,ID. || s.Cependant syl- casemattes,les breuvoir Inst.4405.Unab- labe, l'accentestrestédansles languesromanes sur D'AUB. Hist.n, 46.Dèsle soir les assiégés,sans pourle bestail,CALV. à breuvoir mousches, COTGRAVE. de peine,abrierentle rouage[lesaffûts] cettemêmesyllabe; ce qui estla règledela déri- beaucoup — ÉTYM. e sID.ib. in, 479.Derejeevation.La s eulefait difficulté. Mais defascines Abreuver;provenç.àbeurador; signification gouildronnées, ital.abbeveraiojo. leslanguesromanes ontprisse mettreà l'abripour ter marobbesur sonlict, en manièrequ'elleles pagn.abrevador; AERÉVIATEUR i. m. |)1°Auteursemettreà couvert,parceque leschosesexposéesabriasttousdeux,MONT, (a-bré-vi-a-teur), I, 96,
ABS ABS ABR 20 de la table, MASS. —ÉTYM. Avent,j'ai étéabsentdeCamille, je veuxluirendrecompte abri; picardet norm.abrier; Berry, Lesplaisirsabrutissants de esJ. deNoël. ce deGnide,6. quej'aipuvoir,MONTESQ. Temple abrier, abrisser;provenç.abriar, dbricar; — ÉTYM. Être absentde quelqu'un,VOIT. Abrutir. II, .ib. t.n,p.77.Je saisquedansl'a- valoirde. Ayantabusédeleurstalents.Abuserde à mesurequ'ill'étudiait,lorsqu'en4684 mitiédontje parleil y a diversdegrésd'abuset de l'ignorance de quelqu'un. de la Abusercruellement couvertes, tout à m.ib. p. 269.Lesministères Pourseconder lescriminelles intentions la face de la géométriechangepresque désordres, d'un publicssont victoire. 2°Enun sensdéfavodes FONTEN. Bernoullie t à \\ assujettissements perpétuels très-réels, lequelabusaitdevotrecrédulité, coup.... BO\mn;Pensées, semetaprèsle moinsqu'onne veuille,par un abusénorme,en ami, abstrus.(jAbstrus t. Il, p. 264.Vouscroyezqu'abusant demonautorable, philosophe a bstruse. toutes l es isonneinent fonctions et enabandonner tous :Ra abstrus,question négliger ritéJe prétendsattenteràvotreliberté,RAC. Milhr. substantif Unechoseabstruse est lesdevoirs,ID.ib. p. 486.Lepeuqu'onenciteest i,2.J'abuse,cherami,detontropd'amitié, ABSTRUS SYN. m.Andr. j ABSTRAIT. Avert.Voilàle plusgrand m,4. Avez-vous queparune un abusdu texte,BOSS. unechosequ'onne peut comprendre prétenduquemuetet tranquille.Ce une et qu'àforced'efforts; abusqu'onaitjamaisfaitdel'Evangile, ID.IV,écrit, hérosqu'armeral'amouret la raison, Vouslaisse suitede raisonnements, VOLT. qu'à 30.Maisquipeutarrêterl'abusdelavictoire? choseabstraiten'est malaiséeà comprendre pourcemeurtreabuserdesonnom?ra. Iph.i, 4.E( est inhérente. U ne la Ali. i. Ne vertul'abus dela de altérantsabonté, cause généralitéqui y i, prendspointpour nosseulsennemis, Abusaient contre u ne chose est choseabstruse toujoursdifficile; nousde sa facilité,ID.Brit.v, 3.La perfideabuvictoire,SADRiN,Sj)or(ocus,v,6. ||2°Coutume,usage Telleestla forcedesabus. santdemafaiblesseextrême.... abstraitepeutêtre aiséepourun esprithabituéaux mauvais quis'introduit. m. Phèd.v, 7. Et Un abus s'introduit On a reabusé philosophiques. qui depuis quelque temps. demonbonheur v ousavez spéculations Jusqu'àplus d'au- que siestranges xvi"s. Desmoyens HIST. attenterqueje n'auraisosé, CORN. if. dePompée, [singeriestranchécesabus.Cetabus subsiste,commetant tous in, 2. Prince,vousabuseztroptôtdemabonté,ID. des sorciers]semblentvenirde quelqueabstrusetres,parla raisonqu'ilestétabli.Ilsréforment de la les Hist. ils re- Nie.n, 3. Jevousremetsce droitdontj'allaisabuI, 96.L'anatomie philosophie abus,BOSS. n, 4. Comment doivent science,MONT, lesplusabstruses en laquelle partiesdenotrenature prendreet réprimerles abus, ID.ib. n, 6. Les ser, VOLT. Orphel.v, 6. Vousne voudrezjamais, abusdu gouvernement, ID.ib. u, 42.Tenirlesabus abusantde monâge...,m.Brut,n, 4.Il abuseen sepénètrent,ID.i, 469. danslesbornesprécisesde la nécessitéceslieuxdesonpouvoirfatal,ID.Sém.n, 4.Ilsont de abs, indiquantéloigne-nécessaires ÉTYM. Abstrusus, intruset in- qu'ilssonttoujoursprêtsà franchir,les renfermertousabuséde leurnouveau ment,et trudere,pousser.Comparez pouvoir,ID.Ali. n, 2. dansl'obscurité à i lsdoivent êtrecondamtrusion. laquelle Depuisqu'auxcieuxl'amourest retenu,Deson l a etne lesentirer même deschâtiments suivant . Narc.i. \| 2°AbABSURDE prononcia-nés, pas par beaunomvousabusez MALFIL (ab-sur-d',ou, encore, estcontre le F ONTEN. Nouspréserventsolument.Usez,n'abusezpas^L'hommeest disArgenson. tion réelle,ap-sur-d'),adj. || 1° Qui tropéclatants, de absurde'? sifuneste dela mollesseposéà abuser.|| 3°Abuserde quelqu'un, riendire lescieux d'un B erceau Peut-on ne passe plus senscommun. abus, absurde. Il estabsurde des VOLT. 4. ettombeau vertus, Brut,n, Philippecomporter aveclui commeil conviendrait. J'abuse Unehypothèse étrangement Unabsurde et absurde. saisitle des d 'Orléans Une deTOUS envousentretenant si demes decroireque.... opinion Auguste temporel évêques longuement moi absurde e st n'avoir abusdevenu Unmerveilleux d'Auxerre c et a ffaires. Abuser d 'un le faire pour pour p asrempli raisonnement. propres domestique, Laisse làtescombats et leurs la ID. A.P. ni. undevoir vassaux à sansappas,BOIL. [conduire guerre], troptravailler.Ondit dansle;mêmesensabuser crimeà l'ametsouvent le 60. Lesbonsmots ne sont Qui cetabsurdeusage Moeurs, qu'unabus; d'uncheval.Vousabusezd'uneinfinitéde person4. En de d'en dire. nesen leurfaisantaccroirequelespointssurlesbri du courage,Anne BoUyn,ni, ||2° Pourtant,messieurs,permettez-nous Gourmands. quiparleouagitcontrelesens BÉRANGER, Trinquerest un plaisirfort quelsvousessayezd'exciterun si grandoragesont parlantdespersonnes, C'estun homme l'on traite d'abus,ID.Trin- essentielsà la foi, PASC. Prov. 47. || 4° Abuser commun.Raisonneurabsurde. sageQu'aujourd'hui d ansl'abm.Absurdité. Tomber 3°APPEL COMME D'ABUS 3°S. absurde.|| quons.|| , appelinterjeté d'unefille,la posséder.Pour vengersa filledont l'absurde. d'unesentencerenduepar un juge ou supérieurRodericabusait,BOSS. Hist.i, 44. Nousflétrissons surde.Réduireun homme,sonhommeà la réduction à l'abs es avoirexcédé uneproposition Démontrer par pou- dunomd'incestueux lefrèrequiabusedesa soeur, ecclésiastique, qu'onprétend l'absurde ne êtrecru. oucontrevenu lois.C'est u neassez faible Quand voirs a ux L'absurde 9.Alexandre VIétaitaccuséd'abuser surde. peut VOLT. Mélaph. De d'honneur vouloir 440. || Abupar consolation estoutré,l'onluifaittrop que celledesappelscommed'abus, de sa proprefilleLucrèce, ro.Moeurs, est :Enchérir le sonerreur PASC. 7.Lebruitse combattre pluscourt, l'auxiliaire raison v. n., se conjugueavec avoir. Pensées,Pape, répanditque Fab.rx,4.|| 4°Ab- procureurgénéralappelleraitcommed'abusde ser, la bile,LAFONT. sanss'échauffer V.a. 1° Abuser ABUSER,H Tromper. quelqu'und'un l'infinitif. Ilmentait àson des unverbe à toutce le f aireau avec abuserparles opisurdeà, que papepourrait préjudice vainespoir.Nousnouslaissons coeuren voulantexpliquerCe dogmeabsurdeà libertésde l'Eglisegallicane, ST-SIMON, 602,82.Ce nionsdu vulgaire.Us sont grossièrement abusés, n°Disc,surl'hom- qu'il y eut de plusintéressant,ce fut l'appel PASC. VOLT. àpratiquer, devosyeux....Neselasse Prov.44.Laflamme croire,absurde VOLT. commed'abusquele parlementIntroduisit," doncpoint....d'abuser lesvoeux dontelleestdésirée, me,423. motet unutiledeu nbon 4°En abusde xvies.Voilà HIST. jurisprudence, "pouvoirMALH. Moeurs, 76.|| IV,3. Car, sans le revenu,l'étudenous MONT, 379. t l le se dit un fonctionnaire mais n, Sat.m. Ditess'ilmedétrompe ou absurde, outre-passe pou- abuse,RÉGNIER, quand pareillement sir, s elon extrême desactes nelui que voirqui lui est confiéet fait E'sstaulcunabsurde, nous,plus qui m'abuseen effet,CORN. Héracl.u, 6.Notrepro• n'eschauffe m. dont le feu 5°Abus d e délit sont de maintenirque point, confiance, paspermis.|| fondsilenceabusantleursesprits,Ilsn'osentplus abusant dela confiance onserend en 356. coupable qui douterde nous avoirsurpris,ID.Cid,iv, 3. Sors n, habituellement faitvenir d e On été accordée. 6°Entermes —ÉTYM. Absurdus. avait grammaire,dutrôneet te laisseabusercomme || moi,ID.Héracl. maison ne voit leur et sensdétourné e t forcé d e db abusdes s ourd; qu'on 2. l'âmeassez méchante absurdus surdus, mots, 1, Moi,j'aurais pourabuDès a bsurde. u nabusdecroire. L ourd donne.|| 7°Erreur.C'est serunepersonne commevous!MOL. D.J. II, 2.Je pascommentcela pourrait:signifier a absurdus le même ROTROU Bélis. ailleurs abus ! ridicule ! a cherché et vous lorson , croyance vousabuseraissi j'osais grossier promettreQu'entre qui v, 8. Qu'unsi charmantabusseraità préférerA vosmains, seigneur,il voulûtle remettre,RAC. sens queabsonus,et signifiepar conséquent Hér. Andr.1, 4.Je crains,je crainsqu'unsongene m'asonnemal, d'où absurde.Le surdusde absurdusl'âprevéritéqui vient de m'éclairer!CORN. abus, buse, ID.Phèd.u, 2. C'estpleurertroplongtemps estrattachéau radicalsanscritsur, sonner,avec m, 4. Et semantde nosnomsun insensible si unemort qui t'abuse,ID.Èsth.1, 4. Est-ceainsi à desabus 4. Mais il fautrenoncer dits. ID.Hér.rv, un suffixe, ABSURDEMENT ou, suivantla doux,ID.Pulch.n, 4. Danslesmomentsoù Dieu qu'on m'abuseet qu'on croit me jouer! VOLT. (ab-sur-de-man, adv. D'une vousa affligé,vousvousêtesadresséà lui; vous Orphel.ni, 3.Uneimagetrompeuse ne vient-elle réelle, ap-sur-de-man), prononciation lia abde cemondemisél es surl'abus a bsurde.lia r aisonné a bsurdement. avezouvert m es FÉN. T él. i v.Je abuser manière yeux yeux? pas reconnus, le rable,MASS. Il étaitridiculed'augmenter raisonné. surdement temp.Quesais-je maistroptard,leschimèresquim'avaientabusé,J. Carême,Prospérités et surprenantej. ROUSS. Hél.111e jour,votrefmsoudaine conseil,déjà absurdement nombreux,ST-SIMON, si,aupremier part.Liv.48.|| 2° Abuserunefille, m'écoutent de à ceux grandesla séduire.Unefilleabuséeétait punieavecle séne fournirapas qui B09,242. —ÉTYM. sur l'abusdumondeetde ducteur,J. J. ROUSS. Absurde et ment(voy.MENT). maisd'inutilesréflexions Ém.v. Travailler la ID.ib. ABSURDITÉ V.réfl.Sefaireillusion.Encela,je me finale. (a-bsur-di-té, ou,suivant pronon-sesespérances, Impénitence S'ABUSER, B ÊR. dece :J'ai s. i° Vice u n abus serait cinquante é cus, Cinquante suisabusé. Amoins Voulant nous ciationréelle,a-psur-dité), f. || qui quejene m'abuse. et OuLemonde n 'est vanité. est absurde.L'aisurditéd'un raisonnement. écus.|| 8°Proverbe. qu'abus affranchir,Brutes'estabusé,CORN. .Cinna,H, 2. — de aucuns s edelettent enabus l'absurdité de ces Il était HIST. xiv" s. Et les sur Mais t u MOL. vrir yeux disputes. t'abuseras, l'Étourdi,1, 40. Voissi je Elh.203. dediredequelcôtéil y avaitle plusd'ab- deliz[plaisirs] mesedifficile charnels,ORESME, ||xvies. m'abuse,RAC. Baj.m, 3.Maismoi-même.... LAestabde 6. Penses-tu et defolie. 2°Lachose même S'ilest abusée? I D. surdité qui question corrigerquelquesabus..., Baj.m, || rais-je queje sois 86.Lesappellations commed'abusontlieu moinsépouséquemère?Tut'abuses, cruel....VOLT. surde.Quelleabsurdité! Quesertde réfutercesab- NOUE, contrelessaintsdécrets, Orphel.rv, 6. Enconseiller surdités?Les impiessonttombésdanstoutesles quandil y a contravention d'État,dediscoursje Hist.n, 43. || 3°Enparlantdes libertésde l'Églisegallicane,arrestdescourssou- m'abuse,RÉGNIER, Élég.n. absurdités,BOSS. — s éculière o u decethomme estchoquante.veraines,jurisdiction L'absurdité ecclésiastique; REM.Pascala dit: Il n'est pas possiblede personnes. —HIST. xvics. Detoutesles absurdités,la plus et tient-onqu'ellessont del'inventiondemessires'abuserà prendreun hommepourun ressuscité. ores qu'ellessemblentplus Cetemploi,quipeuttrès-bienêtreaccepté,estun estdedesadvouer laforceet Pierrede Cugnieres, absurdeauxépicuriens 888.En appelantd'Atroposarchaïsme.Voyez-en un exemple l'effetdessens,MONT, modernes,LOYSEL, plusbasdansun n, 42. — ÉTYM. iréeComme textedeLanoue. n, 272. d'abus,MAROT, Absurditas,de absurdus,absurdetrop — et ital. ÉTYM. abuso; — HIST.xiv"s. CommePhalarisquitenoitune Provenç.abus; espagn. vvoy.ABSURDE). et usus, enfantet avoitconcupiscence deabuseren pardeABUS(a-bu),s. ni. || 1°Usagemauvaisqu'on de abusus,de ab, indiquantperversion, lettationde luxureinconveniente, Eth. fait de quelquechose.Abusde la force.LaGrèceusage(voy.us). ORESME, . a dûsaruineà l'abusdela liberté.Toutcommence ABUSÉ,ÉE (a-bu-zé,zée).|| i° Part, passé. 404.Il xves Mefaites,vouset raison,AuAbusésur cunedéclaration et finitpar l'abus.Usfontabusde Trompé.Abusépardevainespromesses. parla nécessité ; Oude votrefaitsuisabus, Pour usersans l'étatdeschoses.Abuséet dépouillé. Nousétions cequeditavezdessus,LA 676.Povrehomme, nourriture.Dequoileshommes savent-ils FONT. abus?Comme il y a dans les conditionsélevéesbienabusés,PASC. Prov. 44. Envaindu sangdes tu t'abusesbien;Parcecheminneferasrien,Situ de faut d'abusde sonâme suis Lespeuplesabusés ne marchesd'autrepas,Nat.à l'Alch.34.Las!ne plus désirs,plus que roisdontje l'oppresseur, danslesétatsinférieurs, lesgrandssontsansdoute m'ontcru le défenseur,VOLT. Mer.i, 4. Majeu- suisle premierdeFranceQuisotements'estabusé, Nade tousles hommes lesmoinsheureux,BUFF. nesse,nourrieà la courdeNéron,S'égarait,cher CH.D'ORL. Rond.34. Ausquels fut dit pour ledict RAC. Bérén. 2. s'abusoient et turedesanim. Qu'est-cede communierindigne-Paulin,par l'exemple abusée, n, quele dict seigneur seigneur,qu'ils
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mieuxmourirqued'estrecontrele roi, J. sontgens de mêmeacabit.Vousne le corrigerezla puretédu goût.|| 5°Par métaphore, aimeroit en faitde 4476.St avectellesmensonges se abu- pas, tel est son acabit, Acad.\\ Loc.vie.Poires style, formeacadémique. DETROYES, Lesoreillessontflattées 2.On d'unebonne d itesd'unbonacabit. bienaueuneffois les C OMM. l'académie et sent desparoles,BOSS. II, acabit, maistres, par l'arrangement — malheur labitNous . HIST. XVe s. Seen cest e t Par. 6° abusoitle roiquandon lui conseilloit de Académie entreprenDieu,4.|| royalede musiAme a xvie s. Ils l'amourions a cabit drecesteguerre,m. m, 2.|| sçavent parquelque [accident], n'y que,lethéâtredel'Opéraà Paris,'ainsidénommé ne s'abusent biennous Y ILLON Baill.etMal. Ona dit dansles lettres- patentesde son établissement. si qui fasse, , rithmétique parfaitement quejamais 4 n ous car aussi : 3: Etde à conter,LANODE, 83. Cetenfant acabie BOURSAULT,Ésope, abuse, iv, quelle Il 7°Lieuoùlesjeunesgensapprennent l'équitation lesestables ne sontjamaisonhaultde la maison, acabieétoit-ilconseiller ? Xe fémininn'est plus et d'autresexercicesdu-corps.Teniracadémie. RAB. lesabuserdeleurloisir, usité. Fairesonacadémie.Pourm'entretenirà l'acadéGarg.1,42.Laissons — 4 MONT. 87.11 me venoit du ÉTYM. Gramin.3.En4694,jecommençais à 1, compassion pauvre Bas-latin,acapita,acapitis,acapita-mie, HAMILT. de se au proprel'action monterà chevalà.l'académiedessieursdeMémon peupleabuséde cesfolies,ID.1, 200.Onne peult gium,motsquisignifient abuserque deschosesqui sontbonnes,n>.n, 00. constituer vassald'un seigneur,motà n ot, action et Rocbefort, 4, 24. Sansavoirfait SAINT-SIMON, Ellen'y trouvales effortsrepondants à sa taille, deprendrepourchef;par extension,droit d'en- sonacadémie,un voyageurmonteà cheval,j. j. beautéet jeunessepar où elleavoitété prinseet trée, et, par unenouvelleextension, touteespèceROUSSEAU, Ém.n. || 8°Lesécoliers mêmesquifrém. 374.Il usad'uneruse la d'achat.Acabit v eutdoncdire uneacadémie. Ce abusée, ni, par quelle achat, débit,et, quentaient jour-làtel écuyerfit il abusal'une et l'autrepartiepourle biendelà commele remarqueMÉNAGE, d'unbon desfruits montertoutesonacadémieà cheval.|| 9°Lieuoù chosepublique,AMYOT, 2 1.Solon vrai desfruits bondéacabit d'un l'ondonneà joueren public.Lesacadémies dejeux pour Solon, signifient proprement unfol a refusé est de ad et sontsouventdescoupe-gorges. bit.Acapita,acapitagiumsont composés Il y a un livreintiabusé,Quidesongrélui-même Unsi grandheurqueluioffroient lesdieux,ID.ib. capitagium;capitagium,de caput, chef (voy. tulé Académie desjeux,qui donneles règlesdes 22.Stesimbrotus s'abusegrandement en 1 pourn'avoir CHEF). jeux usage. 1a perdusonargentdansuneacabien I D. à la suitte des T him. ACACIA pas prisgarde temps, (a-ka-sia;Castelet Bérangerl'ontfait, démie.Mamaisonn'estpointuneacadémie, PICARD, 3. Sonfilzabusoitun peutropdel'affection lui detrois et la ordi4a. ditmaintenant maison de en les On que vers, syllabes, prononciation Deuxphil. n, s a et deluiaussisemblablement del'Université de Francedirigée portoit mère, par nairenelui en donnenon plusquetrois; mais jeu.H10"Division le moyend'elle,ID.Thém.36.Abusant la jeunesseonpourraitaussi,en vers,lefairede quatresylla- parun recteur.|| ii° En termesde peinture,une devaineespérance,ID.Fab.64.Les Lacedemoniens bes,suivantl'habitudede notrepoésie,qui tend figureentièrequiest peinteoudessinée d'aprèsun abusèrentd'Alcibiades tost n'en les à l esmots s. m. e t n'est destinée à entrer dansla plus qu'ils usèrent, plus allonger qu'à raccourcir), modèle, qui pas ID.Aie.et Cor.4. Il abusadesonéloquence à ca- Il1°Enbotanique, nomd'un genrede la familledes composition d'untableau. lomnieret faussement e t accuser ceux dont d eux f ournissent là du grecay.a871p.ta et àxa&ncharger qui légumineuses, gom- —ÉTYM. espèces Academia, valoientmieuxquelui, ID.Pélop.44.Celuiquine mearabiqueet la gommeduSénégal. Sucd'acacia, neia.Cemotvientd'Académus, de l'âge personnage viseà la voieParoùil va, fautet s'abuse,MAROT, dumimosa n ilotica. sucexprimédesgousses Dansla guerrequelesLacedemoniens fipilées héroïque. 69. s uctirédufruitnonencore d'acacia Hélène Suc rentà Athènes enlevée m,— indigène, par pourreprendre ÉTYM. leurrévélaoù elle étaitcachée. Abus;provenç.et espagn.àbusar; mûrdu prunellier.Lesuc d'acaciaest astringent.Thésée,Académus ital.abusare. dece service,ils ménagèrent dans Il 2°Dansle langageordinaire,l'acaciaestle faux Enrécompense ABUSEUR m.Celui s. quiabuse,qui acaciaouacaciablanc, arbred'agrément,espèce leursravagessa maisonde campagne,quiétaità (a-bu-zeur), derobinierà rameauxépineuxet à fleursblanches 1000pas d'Athènes. n'estpas constrompe. L'orthographe —HIST. xrves. Sele dittel abuseuravoitaucune et odorantes. Sesgaisrefrainsvouségalentennom- tante;onécritaussiHecadémus,'KxâSri^oç et par choseprinsou gaingnésousombredela diteabu- bre, Fleursd'acaciaqu'éparpillent les vents, BÉ- conséquent DansHorace,Ep.n, II, 45," éy.a8ïi(AÏa. DU abusor. xves. Et trouvaon Debraux. S ous l'acacia Ém. intersilvasAcademi sion, CANGE, || que RANGER, légerj'aurais Atque quxrereverum, on n'estoit abuseur le fit Au ce lesPlantes,iv. || pluriel, trouvela varianteEcademi.'Ay-âS-niAo; vientsans qu'un prendreet em- placéDelille,CASTEL, ; si et eutsa finance estoit J .DES desacacias. de et prisonner grande, doute âxoç,remède, Sîiiioç, qui peuple,quiguérit 4389.Et setrouvaun cordelier de êxàç,loin, qui estloin URSINS-, forgéquide —HIST.xvi"s. Berberis,sumac,acaciaet leurs le peuple;et êxdcSv)[j.o; lui-mêmepritdébatau ditfrèreHieronime PAKE, [Savo-semblables, vin, 53. Quantauxsucssolidesdu peuple. narole],Pappellant hérétiqueet abuseurdépeuple, et endurcis,commel'aloès,l'acacia....ID.xxv,27. ACADÉMIQUE (a-ka-dé-mi-k'), adj. \\ i° Qui — 4 COMM. 9. xvi°s. du latin du vin, Il C'estoyent divinateurs; ÉTYM. Provenç.acassia; acacia, appartientà la doctrinede Platon.Laphilosophie enchanteurset abuseursdu simplepeuple,RAB.grecày.ay.îoe. défaut académique. Cemotparaitvenirde ày.cty.ia, ouquiconvient à || 2°Quiappartient Pant. iv, 68.[Traite]dontle.cruelabuseurplein de méchanceté oc e t acaà uneacadémie.Questions [de privatif, xaxôç,méchant], desacadémiciens, d'attraitsAbiensouventfaictmainteplaieamere, parcequece végétal, bienquecouvert fourSéances 3°Plus d'épines, démiques. partiacadémiques. || sont nitdebonneschoses. à l'Académie MAROT, 11,280.D'unpetitnombred'aîmseurs culièrement, quiappartient française. sortiesplusieurssectes,CALV. Inst.89. ACADÉMICIEN Fauteuilacadémique. (a-ka-dé-mi-siin;en vers, il Discours académique. || 4°En —ÉTYM. Abuser. dansl'épigrammeparlantdu style, des compositions estdesixsyllabes littéraireset ; par exemple, 1° : ne fut Pas t ient d e dePiron même des aussi peinturescorrectes,élégantes,maisoù ABUSIF, rVE(a-bu-zif,ziv'), adj.|| Qui Ci-gîtPiron,qui rien, l'abus.Toutprivilège on pourraitaussisuivrela correctionet l'élégance decette académicien. fonttortà lavéritéet à quitenda l'exemption Cependant étantinjusteet abusif,VADBAN, contribution la ordinaire e t le fairede un -cinqsylla- la simplicité. Pourquoi appelle-t-on Dîme, prononciation académique 404. j| 2°Entermesde grammaire,emploiabusifbes),s.m. Il1°Philosophe dela sectedel'Académie.discoursfleuri,élégant,ingénieux,harmonieux, d'unmot. académicien. Cicêronétait vraiet fort,lumineux etsimple? || 2°Celuiquifaitpartie et nonun discours —HIST.xrves. Faireunecomparaison abusivede d'unesociétéde gensdelettres.Dezélésacadémi-VAUVEN. NOUV. max.42. || 5°Danslesbeaux-arts, chosesquinesontpascomparables,ORESME de nouveauxacadémiciens. de ciens.Les réceptions , ÏVièse figureacadémique,figured'étude, traitéesans xvi°s. T out c e Meunier. leshommes Il le de cettemer fit lever d'untableau.|| 6°En parlant || que plan [Caspienne], apprennent et, égardà l'ensemble deDieuparlesimagesestfrivoleet mesnieabusif, grâce à ce conquérant onen connut des personnes,digned'êtrede l'Académie. académicien, Sujet CALV. Inst.50.Il rompitet annullacettecoustumeenfinla véritablefigure,FONTEN. CzarPierre."Il académique, hommequimérited'être.élude l'Acommeabusive,pleinedelarcin,CARLOIX, les qualitésd'académi-cadémie/' V,82. possédaitsouverainement —ÉTYM. abus. d'unhomme Académie. Abusivus, àeabusus, cien, c'est-à-dire, d'espritqui doit —ÉTYM. ABUSIVEMENT avecses d eleurslumières adv. 1°D'une vivre e t adv. (a-bu-zi-ve-man), || pareils,profiter ACADÉMIQUEMENT (a-ka-dé-mi-ke-man), manièreabusive.Onavaitétabliabusivement les I D. D odart. cette leurcommuniquer siennes, D'unemanièreacadémique. Celaestécritacadémimesure.|| 2°En termesde grammaire,employer —REM. Académicien a quelquefois un féminin.quement. •_...' unmot. abusivement L'Académie de peinturea nomméquelques femmes —ÉTYM. etment Académique, (voy.MENT). —ÉTYM. Abusiveau féminin,et ment (voy. académiciennes. Il y aenItaliedesacadémiciennes.ACADÉMISTE s. m. || 1°Celui (a-ka-dé-mi-sf), — SYN. ACADÉMISTE. Lepremierse qui, dansuneacadémie, seformeà certainsexerciMENT). ACADÉMICIEN, ABUTEK v.a. estd'uneacadémie de etu.n. 1° ditdecelui d e letTerme d e ces.Les decettesortesont écot (a-bu-té), gens, || qui gens académistes, marine.Mettreboutà bout,ou toucherparunbout. tres, et le secondde celuiqui est d'uneacadémieliers,PASC. unextérieur austèreil [HarPréf.g. Avec Cespiècesdeboisabutent.|| 2"Au jeu debouleou oùl'onapprendà monterà cheval,à tirerdesar- leyfils]était aussiparfaitement débauchéet aussi depalet,lancer la bouleoule paletversunbutpour mes,etc.Cettedistinction s'estintroduiteasseztard; ouvertement . qu'unjeune académiste, ST-SIMON, savoirqui joueralepremier.Eh bien,abutons. la comédiede Saint-Ëvremond contrel'Académie 107. 2°Celui tientuneacadémie et ensei470, H qui —HIST. xvi°s. LetempleSt-Sorlinfutgagnéà étaitintituléela comédie - ' desAcadémistes. lesexercices. gne —ÉTYM. : ce qui fit tenir —ÉTYM. Académie. coupsde canonpar les assiégés Académie. conseil enla placeSt-Georges, etrésoudredemettre ACADÉMIE s, f. || 1°Jardinprès ACAGNARDÉ (a-ka-dé-mie), , ÉE (a-ka-gnar-dé, dée), part, le feuen toutesles rues qui abuttoient à la mai- d'Athènes oùPlatonenseigna. 2°Ladoctrine m êla fainéantise. || passé. A cagnardé par sondeville,D'AUB. Hist.i, 38.Articulation,c'est- mede Platonetde sessuccesseurs. v. a. || 1°Ren|| 3°Parexten- ACAGNARDER (a-ka-gnar-dé), à-direjointure: sçavoirquandiceuxos sonttel- sion, compagnie de gensdelettres,desavantsou drecagnard.Lamauvaise l'aacagnardé, compagnie lementabuttéset alliésque....PARÉ, des Acad.Il 2° S'acagnarder, v. réfl.Devenir IV, 43. Fault d'artistes.L'Académie française,l'Académie ^agnard. oùelles'abbutte,MONT. et belles-lettres, l'Académie desscien- S'acagnarder luy[àl'âme]fournird'object dansunfauteuil. Cesenfantsspsontacainscriptions des beaux-arts,l'Académie des gnardésaucoindu feu.|| Loc.vicieuse 1,24. : acagnardir ces, l'Académie —ÉTYM. ÂetfcuiV sciences moraleset politiques ces académies ou s'acagnardir. Ceverbeest de la conjugaison ; cinq s.m.Botanique. t ABUTILON Plante réuniesformentce qu'onnommel'Institut.L'espriten er. (a-bu-ti-lon), desAntilles,cultivéedansquelques estassezcontraireà celui de déci- —HIST. d'agrément xvies. Jene mepeuxcontenterde moi par- dediscussion tiesdel'Europe,à écorcefilandreuse, de la famillesion;maisl'Académie doitplusexaminer m à unfoyer, quedécider, mesme, evoyantici oisif,acagnardé desmalvacées. la naturepar desobservationsYVER, suivreattentivement 563.Vousavezsecouru despersonnes quiesABYME s. m. A BÎME. non la et des taient (a-bi-m'), dansles ruesou accagnardées Voy. pas prévenirpar jugements exactes, prèsdu feu; ABYMER v. a. Voy.ABÎMER. FONTEN. Dodart. Jeveux établir c hez vous vous (a-bi-mé), demande l 'aumosne des précipités, je pour gensquiserACABIT a-ka-bi le ne se t fie s. m. d ebeaux M OL. 4 0. ( uneacadémie ; pas), esprits, Prie. Kid. ventnuit et jour, HENRI IV,Lettres. — Il l"Qualitébonneoumauvaisedes choses.Cesfruits Il4°Absolument, l'Académie Discours de ÉTYM. Àet française. cagnard;Genevois, s'acagnardir sont.de bonacabit.Ce mouton,ce drapsontde réception à l'Académie. LeDictionnaire del'Acadé-et aussis'acagner,seblottir. mauvais acabit.|| 2°En parlantdespersonnes.Ce mie.L'Académie, desbienséances et de ACAJOU s. m. || l"Bois d'acajou ou dépositaire (a-ka-jou), DICT.DELALANGUE I-—4 FRANÇAISE.
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ACC * b ois et lourd.Dantea les unfardeau avares a cn'accable un malheureux simplement acajou, rougeàtre susceptible trop peint pas qui f aime,ID.Andr. La la ta- cabléssousdeschapesde plomb. vigneétaitac- i, 4. Nerougissez-vous d'iiiibeau poli,employédansl'ébénisterie, pas d'accablermamisère? etc. sousson 2 ° et fourni un arbredel'Amécablée FÉN. Tél. Accablé VOLT. 4.Ëst-ii doncpermisde semettre bletterie, 1.1| Fig. par fruit, Orphel.rv, de et Cedrela maux.Accabléde dettes.Il futaccablépar le siaisémentau hasardde la violer, cette justice (Swietenia Mahogoni riqueMéridionale L it odorata),Meubled'acajou. d'acajou.|| Auplu- nombre.Cethommed'Etat,accablépar ses en- qu'onne connaît pas,etquipeutêtretoutepourune 2° enforme nemis.Le a ccablé des forces Noix adverse ?BOURD. d'acajou,fruit régiment par || supé- partie quel'onaccable n, riel,s.QuandlesRomainsse perforçoient de siècles.|| 2°Fig.Arguments accumulés. Lesmaux a nomméen françaisaccusatif dile complément contremont,ilzestoientaccueilliz sursatête. de force accumulés rectd'un verbeactif.En français,le régime_ ap• gravir dedardet detrait e nleurdonnoient de ACCUMULER v.a. 1°Mettre se coups qu'ilz ça (a-ku-mu-lé), || quine peut pelleaussitôtun accusatif déplacer, - ' etdelà parles flancs,AMYOT, entasser.Accumuler Flam.5.Labouche semble,de la terreau pied FÉN.XXI,492. dela rivièreduRosneavoitaccueillitantdevaseet des arbres.Il accumulechezlui tant de trésors. —HIST. xv s. Quantrencontréa un accusatif, si grandequantitéde sable,quelesondesde la mer Sa race accumulant d'immenses V OLT. 68. CH. D'ORL. Bond. héritages, — amassoient et Tanc. 1. D'autres n 'ont un ÉTYM. de accusare, y entassoient, que....ID.Marius,25. i, garded'abandonner Accusativus, accuser;proA Aubignés'accueillent il t rente bénéfice estdansleurs a qu'ilspossèdent [sejoignent] gentils; mains, venç.acusatiu;espagn. cusativo ; ital.accusativo. hommes oucapitaines, D'AUB. Hist.u, 449. maisleurs mainsne sontpasremplies en poésie,de cinq ; queleur ACCUSATION" (a-ku-za-sion; — ÉTYM. faut-ildonc?Accumuler bénéfices sur acuels. f.|| 1°Actionenjusticeparlaquelle on Wallon,acoï,assaillir;provenç. bénéfices,syllabes), de 360. 2° hir; catal.acullir;ital.accogliere accuse Leschefs d 'accusation. Accusation ; aecolligere,BOVÏRD.Pensées,X.\\,-p. || Absolument,amasser quelqu'un. dead, à, et colligere(voy.CUEILLIR). Fureur d'empoisonnement. L'italienestle des richesses. Ilne songequ'àaccumuler. Intenteruneaccusationcontre seulqui ait été fidèleà la conjugaison monstre de les les Regardent D resser une accusation.Par son élolatine; d'accumuler, qui yeux quelqu'un. autresontchangéla conjugaison s« 4e LA de en : accol- commeun point touslesbienfaitsdes dieux, quence,l'avocatruina l'accusation. Il selavade Levieuxfrançaisquiavait FONT. Fab.vin,27.D'autres,accumulant enfouir ligtrepouraecolligere. l'accusation de Il défendit aux tribunaux pour péculat.uninfinitifacueudre, de fourberie.L'accusa-' akeudre,letiraitparcontrac-encor, Recueillentdansla fangeune poussièred'admettreles accusations tionde accolgere, d'oùuneconjugaison PASC. qui se sui- d'or, LAMART. Ilqrm.iv, 11. || 3° Fig. Ausens tioiiqu'il suscitacontrecet ecclésiastique, vaitsurcetype. moral.Accumuler leshonneurs surlatêtede quel- Prov.46.|| 2°Touteespècede reproche,d'imputaACCUL fautesUrfaute.Si je multipliaistion.Neprêtonspasl'oreilleauxaccusations. Ilfut (a-kul),s. m. || i°Lieuoùl'onestacculé, qu'un.Accumuler n'a d'issue. L es tout si le si l'accumulais sans d ansun contre moi desaccusations malfonqui point cela, je redoublais, je voleurs,poussés indisposé par futfort mesure,aprèsy avoirépuisetoutesles puissancesdées.Formerdes accusations contrequelqu'un, accul,y furentpris.|| 2°Fig.Pontchartrain blâmablede n'avoirpointsentide quelacculde démonâme,BOURD. i ls'ent. 29.D'où BOIL. Sat. 3° sens Pensées, i,p. xii,avertiss. || Au passif,l'accusafortuneil [Pelletier] l'avaittiré, SAINT-SIMON, dontil est l'objet. 69, suitqu'ayanttoujours jusqu'àprésentaccumulé péché tionde quelqu'un,l'accusation 440.|| 3°Lefonddu terrieroù les chienspous- sur péché,je n'aifait, danstoutle coursde mes Encorequesesaccusations soientincessamment aux sentlesrenards,lesblaireaux,etc.Lerenardestà années,qu'accumuler dettessurdettes,ID.ib. t. n, oreillesdeV.M....PELLISSON, 461. 4° Action il, || l'accul.|| 4"En termesde marine,uneespècede p. 79.Je l'ai vu contrevousaccumuler lescrimes, de révéler,de confesser. Nousentendons tousles 5°En VOLT. Mér. 6. m aux sontenceslieuxacdes criquetroppetitepourlesgrandsbâtiments. Quels mêlentà l'accusation de m, || jours pécheursqui termesd'artillerie,piquetsqu'onenfonceen terre cumulés sur moi?ID.Mér.ni, 1.1|4° S'accumuler,leursfauteslesmaximesdusiècleet lelangagedes le reculdu canon. v. réfl.Devenir accumulé. Lesdenréess'accumulent pourempêcher passions,MASS. Confession. —ÉTYM. 0Carême, et A cul. dansles magasins.Leshonneurss'accumulent sur —HIST. XIII s. Véritésestquetoutesaccusations Lesprospéritésde foy,à savoirmonquicroitbienen le [la]foyet passé.|| i°Misdanssa tête. Lesdettess'accumulaient. ACCULÉ,ÉE(a-ku-lé,lée),part. un accul,au propreet au figuré.Lerenardacculé. qui s'accumulent survous. en appartientà sainte qui non, la conoissance Cethommeacculéet ne sachantplusquedire.La — ÉTYM. II , 2. || xvr s. Le peupleayant Provenç. ammolar;espagn.acumular;Eglise, BEAUM. comtessede Roucyme répondit,acculéeet dans ital. accumulare as et de cumisen d'accusation ; accumulare, ad, à, justice capitalesescapitaines, l'excèsde sa colère,qu'enfinPraslinétaitlieute- mulare,combler MONT. (voy.ce mot). I, 3. nantgénéral,et quesonmarinel'étaitpas, SAINT-ACCUSABLE m érite d'être —ÎÏTYM. (a-ku-za-bF), adj.Qui accusation;espagn.acusacion; Provenç. en- ital. accusazione; SIMON, de accusatio,de accusare,ac104,107.Il 2°Entermesde blason,se dit accusé,quipeutêtreaccusé.Suis-jeaccusable du chevalet du lion quandils sontcabrés,et de cordumeurtredeGustave Gust.Wasa,iv,6.cuser.Dansl'ancienfrançais,onneseservaitguère ?PIRON, deuxcanonsplacéssurleursaffûts,et dontlescu- — HIST. xvi"s. Lestroisièmes sontaccusables et qued'accusement, dontles exemples abondent. Aclassessontopposées 4 l'uneà l'autre. 6. cusementa étéemployé punissables, CHARRON, Sagesse, I, jusquedansle xvi"s. : Le — s. Action d'un ÉTYM. de accuser navire t"ACCULÉE richedessous ne craint (a-ku-lée), f. Accusabilis, accusare, (voy. toy pointquesonbienPar l a meravecsa ce fauxaccusement ne demeureplussien, RONS. quifrappe poupe. mot). 867. ACCULEMENT s.m.Action d 'acTRICE t ri-s'). à de f ACCUSATEUR, (a-ku-za-teur, cité plushaut Beaumanoir, (a-ku-le-man), Quant accusation cellequiaccuseenjustice.L'ac- c'estuneformefaitedirectement surle latinet non culer,au propreet au figuré.Je le laissaidire[le || 1°S.m.et/'.Celui, ducd'Orléans] et commeprendrehaleinedel'accu- cusateur Se accusateur. Susciter unmotd'origine. Laformed'origine eûtétéacusaipublic. porterpour lemehtoùj'avaisréduitsonincomparable accusateur. Le le est accuun tendre son comme père e tc. fausseté, plus raison,oraison, son, VOLT. Tancr.iv, 2. Lesdeuxaccusateurs 611,6. ÉE (a-ku-zé,zée). || 1° Part, passé. SAINT-SIMON, que sateur, ACCUSÉ, —ÉTYM. Acculer. lui-mêmea produits....CORN. Nie.m, 8. Avotre Accuséd'uncrime.Accuséd'aspirerau trône.Les ACCULER v.a. 1"Pousser d ans u nacaccusateur Ph. m, vents,lesmêmesventssi longtemps (a-ku-lé), || quepourrai-jerépondre?RAC. accusésNete cul.Leschiensavaientacculéle sanglier.Leprince 3.Pourquoi, L aissez-vous le de brisés? RAC. parquelcaprice champ couvriront Iph.v, pas sesvaisseaux s eretrancha à 1 on lahâte[àl'abbayedePure] libreà votreaccusatrice? m. Phèd. v, d'Orange 4. Un homme,justementaccuséd'adultère,vint et se repentitbien de s'y être laisséacculersi cabale,onsusciteAccusateurs et gensgrevéspar luidemander s'illuiétait permisdesejustifierpar 4 D e nos il fait 26. 2° Acses arrêts. s'est promptement, SAINT-SIMON, Fig. FÊN. Thaïes.Selonvous,on 44, || biens, disent-ils, serment, Philosophes, culerquelqu'un,le mettredansl'impossibilité de un palais,LA FONT. Fab.x, 40.|| 2°Adj.Toutpeutseestcoupable dèsqu'onestaccusé;un soupçonmérépondre,d'agir.|| 3° S'acculer,v. réfl.S'adosser.réparer: qu'unpeupleaccusateurDuforfaitqu'il ritela mort,ID.Tél.xx. || 2° Accusé,accusée,s. Poursuivi Uect. m.etf.Celui,cellequiestaccuséenjustice.C'estlui parquatrehommes,il s'acculacontrela condamneose nommerl'auteur,LANCIVAL, murailleet se défendit. 4° Entermes d e 6. à la défensedesac|| manège, IV, quiestl'accusé.Seconsacrer le chevals'acculelorsque,arrivésur sesvoltes,il —ÉTYM. de accuser. cusés.Quifondevossoupçons?devainscris?de Accusator, accusare, marchedecôtéen rapprochant sacroupeducentre; —SYN. CeDÉLATEUR. fauxbruits?Quelssontlesaccusés?...M.J. CHÉN. ACCUSATEUR, DÉNONCIATEUR, recule un vers obstacle e t restefixéconinforme l 'autorité tel a commis u ne lui qui lorsqu'il y qu'un CharlesIX,rv, 4. Dieu,jugezentrenous;Lesactre la volontédu cavalier;ou encorelorsqu'ilse actioncoupable.L'accusateur dé- cuséstremblants non-seulement sonticidevantvous,DOCIS, Lear, sur les aumoment oùon mais celui accuse. Ledénonjettebrusquement 8. 3°Accusé de motd'écrit jarrets poursuit qu'il nonce, m, || réception, parlel'arrête. ciateurrévèleun fait, le rendpublic,le défèreà quelonreconnaît avoir une un reçu lettre, paquet. — REM. Danslespremièreséditionsde sondic- l'autorité: il nese cachepas.Danslestroubles v.a. || 1°Imputerun crime pu- ACCUSER (a-ku-sé), toléraitl'expression les dénonciateurs les à quelqu'un.Il fut accuséde brigue,deviolence. d'accu- blics,lesvoisinssontsouvent tionnaire,l'Académie ler ses souliers;maislesdernièresne permettentuns desautres.Le dénonciateur est, suivantles Accuserquelqu'und'un-crime capital.Onl'accusa le verbe éculer. A cculer s 'estdit ou autrefois motifs à louer à blâmer. L edélaque d'avoir f uiducombat. Socrate f utaccusé denierles plus quil'animent, encesens(voy.l'historique). teurfaittoujoursun métierodieux;il se cache; dieuxquele peupleadorait.Pourvousjustifierdu —HIST. XIII.s. Ordonc,Bernart,quiforsrains sesrapportssontsecrets;il cherched'ordinaire ou crimedontmaraisonvousaccusait.... Fest.de MOL. si et voustiensinas,Va, t'acculeà celhuiset,Et si l'entr'ovreun à nuireà l'objetde ses délations,ou à flatterles Pierre,i, 3.Je n'accusepersonne 13346. oùse siedet deceluià illesfait. tout ||xvies Rod.v, 4.Cen'estpasqu'après petitet,Hen. accule, passions qui nocent,CORN. Etlà, séant,en touteparsspécule,MAROT, 48. coîitre —HIST. XIII" s . Comme accuseûr celià tu doives C elui mort rv, qui t'obligeait épouser qu'unpère Il se veaultroytpar lès fanges,acculoyt[mettaiton metsusle casdecrieme,BEAUM. VI,12.|| xives. d'accuser,ID.Ciâ,rv, 2.D'unamourcriminelPhèà eu, éculait]sessouliers,HAB. RAC. Phèd.iv, 2.JelecroiscriGarg.i, n. Desa Etli accuseûraura cinqsols, Ordonn.desR. dé dreaccuseHippolyte, v ous ID.t&.v, 7. || 2"Dans lance,rompoyt unghuis,enfonceoyt unghamois, Fr. 1313,t. I, p. 621. minel,puisque l'accusez, aculoitune arbre, m. Garg.i, 23. OùDragutse —ÉTYM. i tal. en vertud'un Provenç.acusaire,acusador; ac- le droitcriminel actuel,poursuivre, aculéet amusant l es chrestiens d e de accusare la une eusalore;ie accusator, arrêtde chambre d esmises en voyant quelque (voy.ACCUSER). accusation, fort....D'AUB. Hist. 39. ace. accusatorem, a donnéaunomina-personnedevantla cour d'assises.|| 3° Accuser petit i, Accusator, —ÉTYM. Accul. tif,avecl'accentsurl'o, enprovençal dans un actefaux,soutenirqu'unacteestfaux.|| Cette acuzaire,,et TRICE(a-ku-mu-la-teur,l'ancienfrançaisauraitdonnéacusere,toutefoisici locutiona vieilli.Onditprésentement, ACCUMULATEUR, arguerun s. m.et c elle accumule. et sans au avec l'accent en defaux. 4°En tri-s'), f. Celui, qui exemple; régime, surl'o, acte || général,imputer,reprocher. —ËTYM. Accumuler. eten et defroideur,MOI, acuseùr Tu provençal acusador, françaisacuseor, pouvais,pourtoi, m'accuser I.— S DICT.DELALANGUE FRANÇAISE.
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ACC
ACE
ACH
l'Étour.I, 6.Ill'avaitaccusédediscours de le ratta- nelpurrez,Th.leMart.36.L'escu[il]saisi,quifu médisants,forger.Maisil est plusvraisemblable m.ib. ni, s. Quandvousdevezlavieauxsoinsde cher à causa,cause(voy.ce mot).Cequiajoute à or bendez,Etprentl'espiéquifubienacerez,H. ce grandhomme,Vousosezl'accuserd'avoirtrop quelqueprobabilité à cette étymologie, c'estque de Cambrai,24. || xm°s. Les portes[ils]desferfaitpourRome,VOLT. Catil.v, 4.Ah!sinouspé- Bèdedit queaccusare s'estaussiécritavecdeuxss, rerentà granspels[pieux]acérés,Ch. d'Ant.vi, n'en 3. accusez RAC. est aussi cellede causa,caussa.843.|| xves. Ettenoitun glaiveroideet fortà un rissons, que vous, Baj.n, orthographe qui Lavien'étaitpourlui qu'unesclavage et uHetriste t.... ACÉ(a-sé),suffixe surtoutpourdési- longferbienacéré, FROISS. employé i, i, 435.||xvi°s. Il et sansen la ni s'en d es accuser Providence deplantesoud'animaux captivité ; gner catégories ; leslilia- n'y a harnoissi bientrempéet acéré quieustpu BOURD. t. i,p. 45. || 5° Gour-cées,les crustacés. plaindre.... Pensées, Saipréserveruncoeurde leurpointe,YVER,p.B39. — blâmer.D'Egmont.... Del'incertain latinindiquant le rapport chantque cueurd'amyeouvrayamantEst acéré mander, Mayenne ÉTYM. Aceus,suffixe . accusaitla lenteur,VOLT. Senr.vin. Maisavecquel et la ressemblance. tropplusquedyamantContreinfortune,j. MAROT, de mes ACENS coutu- v, 209.Desa lanceasseréeverdeet roiderumpoyt courroux,avec quelletendresseMahomet (a-san),s. m. Termed'anciennes sensaccusala faiblesse ! ID.Fanât, rv, 3. Contremes.Terreouhéritagequelconque tenuà cens. un huys,RAB. Garg.i, 23.Ilz ontlesgrypbestant l'effortdesventsces myrtessansappuisAccusent —ÉTYM. A et cens. fortes,longueset asserées,que rien ne leur esnotreindifférence, 5.N'accuse ÉE c. DELAV. Paria, n, ACENSÉ, (a-san-sé,sée),part,passé. chappe,depuysque une foysl'ontmisentreleurs ACENSEMENT c'est t oiseul CORN. s. m.Terme d 'anpointmon f ait, Cinna, sort; quil'as (a-san-se-rnan), serres,ID.Pant. v, 44.Celaquele soudarfauxesm a RAC. ciennes 4.Pardesambassadeurs accuser c outumes. Action dedonnerà cens. le chevalflanquéde"bardesacéni, paresse, paulesferrées,Que Nithr.ni,4. Oùdoncestcegrandcoeurdonttantôt —HIST. xives. La seuretédetoutle vendaige ou rées,Ne put faire par force,amourlefaitseulet, la pa- acensissement Semblait dujourtroplongaccuser desdis moulins,DUCANGE, accensa-RONS. 662.Il fautroidirsoncourage,affermirson l'allégresse En vain de tondépartLes mentum. resse?BOIL. Lutr.n ame, l'endurciret acererà jouir,sçavoir,enten— Enéitiens impatients accusentle retard,DELILLE, ÉTYM. assensa-dre, jugertouteschoses,CHARRON, Âcenser;provenç.acessamen, Sag.Préface. 6° d e m. des s ervir ment. —ÉTYM. de, || Enparlant choses, preuve, Acier; provenç. aceirar;espagn.acerar; d'indice.Le fait mêmel'accuse.Devantlesdieux ACENSER (a-san-sé),«. a. Termed'anciennesital.aciajare. Sémir. coutumes. Donnerà'cens, c'est-à-dire sousla re- f ACÉRURE vengeurs,mon désespoirm'accuse,VOLT. d'acierpré(a-sé-ru-r'),s. f. Morceau rente. 5. son amouraccuserades devance d 'une deux, être i, Voyonsqui parépour soudéà unepiècequ'onveutacérer. xines. Il ont acensipour elset porles ACESCENSE RAC. Mithr.ni, 4.Etsonsilencemêmeaccusantsa —HIST. s. f. Termedidacti(a-sè-ssan-s'), lesmaisons le roi qui sont.... que.Disposition noblesse Nousdit qu'ellenouscacheune illustre oirsduroideNavarre à s'aigrir. princesse,m. Iph. i, 2. Cachésous des lam- DUCANGE , accensare.Ets'il avenoitqueje acense- —ÉTYM. Acescent. beaux,un reste de richesseSembleencor de sissemonwinage,m.ib. || xiv s. Quetoutesles ACKSCENT, ENTE(a-sè-ssan,ssant'), adj. Terme ID.ib. didactique. sonrangaccuserla noblesse,DDCIS , Lear,n, 2. revenuesde la dictevilleserontacensées, Quicommence àdeveniracide. de Pariss'esmurent et armè- —ÉTYM. || 7°Xcertainsjeuxde cartes,accusersonjeu, en || xves. Lescommunes deacescere, deveniracide,d'un Acescens, ce quelesrèglesveulentqu'ondé-, rent, et occisent tousceuxquiavoientassencéces radicalacqui faireconnaître se trouvedansacide(voy.ACIDE). II, n, 437.Robaut etcesimpositions, FROISS. clare.|| 8°Accuser juste, accuserfaux,être exact, gabelles s. m. || i»Terme TACÉTABULE(a-sé-ta-bu-l'), et composastd'antiquité. inexactdanssonrécit. Chamillartconvenaitque dist au suppliantqu'ilse achenssast Sortedevasedestinéauvinaigre.|| 2°Meib. Catinataccusait vrai'en toutet partout,ST-SIMON, surerépondantà la cotylegrecqueet contenant pardeversJehan,DUCANGE, contant c e -f20. Larenommée a ccuse en —ÉTYM. a cesAcens;Berry,.accenser; juste provenç. 105, 0,27litres.|| 3° Lesanatomistes appelaientautreune MOL. 40. 9°Accuser ital.accensare. vous Préc. valez, || sar; fois que acétabules lescavitésarticulaires qu'onnomme (à-sé-fal'),adj. Termedidactique.aujourd'huicavitéscotyloïdes. douleur,accusersonâge,direqu'onsentunedou- ACÉPHALE Ils donnaientaussi ou ||i° Quin'a pointde tête.Unmonstreacéphale.le nomd'acétabule la réception leur, qu'ona tel âge.|| 10°Accuser à desenfoncements quisevoient M.Plet accuserréception d;unelettre,d'un.paquet. || 2° Fig..Qui n'a pointou qui ne reconnaîtpas à l'intérieurdela matricechezleschèvres,lesbrene nousaccusani la réception decettelettreni celle dechef.Concile Secteacéphale. acéphale. || 8°Dans bis, etc.|| Histoirenaturelle.Suçoirdesbras des d'unassezgrospaquetqueje lui avais adressé, laversification ancienne,versacéphale,verstron- mollusques céphalopodes. Lettr.Prusse,36.Je n'aidetempsquepouren quéau commencement, et particulièrement l'hexa- —HIST. VOLT. xvies. L'airestconduit....de la grand Lettr.QuiéHQO. Laplu- mètrequicommençait accuserla réception,BOSS. par unebrève.|| 4° S. m. artèreauxartèresdela matriceet cotilidoines , qui l a de ma commencent accuser f abuleuse d 'hommes sanstête.St Augustinsontau chorium,parlesacetables,et desacetables réception part par Espèce VOLT. lettre,SÉV.243.|| 11°Entermesdepeinture,faire assurequ'ila vu des-acéphale», Oreilles,6. à l'umbilicde l'enfant,par la veineumbilicale, certaines sont recouvertes 5°En termesd'histoire animaux sortir partiesqui par || naturelle, qui PARÉ, t. II, p. 634.Iceuxorificesontestéappelles os. Accuser les de tête.Leshuîtres sontdes n'ont .les muscles, quelqueenveloppe. point acéphales. desGrecscotylédons, et desLatinsacetables,ID. Il s'ac- —ÉTYM. a privatif,et x£.p. 89.Qu'il L'âcretéde^sonhumeur, paroles. d'Espagne çantparune deslettresde cenomprisesde suite. maisonles enchampclos]aqité,i!>. —ÉTYM. Acre. Non-seulement onfitdesverssibyllins, ainzparle champ[combat i. f. || 1°Qualité de fiten acrostiches, VOLT. ; ACRIMONIE (a-kri-mo-nie), Moeurs, Sibyll-|| 2°Adj. p. i 86.Làli dutlireisfairecinccenzmarzaporter L'a- Onfit des vers grecs acrostiches Duntil porreitsesdetesà celéhure aquiter,Th.le ce quiexerceuneactionpiquanteetcorrosive. imputésà Une de mietant crimoniedeshumeurs. Mari,H9.|| xmes. Nousne sommes Pliil.v, 49. || 2°Fig.Il y a de l'acrimo-sibylle,VOLT. estre d e nostre nous dansses —ÉTYM. deâxpoç, lapointe, pas- nie gentque puissions acquité paroles. indiquant 'AxpôaTiy.ov, — Li venderes et liachateXXXV. xvi°s. Onlesguéritenfinparuneautre l'extrémité et orixoç,rangée,-liHIST. sagepaier,VILLEH. (voy.ACROTÈRE), res se aquiteront le jourchascunpourun denier. injectiond'eaubienastringente et dessiccative sans gne, vers, de o-riijeiv,piquer(voy.STIGMATE). LivredesMet.345.LaMagdelene sur l'enchaînement dessigni[il] visita,Detozacrimonie,PARÉ, v, 21. Quand,réfléchissant lafist R UTEB. B.Et sespéchiezl'acuita,Et ÂCRETÉ. —SYN. saine, II, Qualitéde ce quiest fications,on descendde l'idéedeversà cellede ACRIMONIE, seil leserttant queil s'aquite,en servantle, vers acre,mordant,corrosif.Deuxdifférences existentlignedansunepage, de l'idéede ligneà cellede il etdeluidela dette, deitestremaintenant entrecesdeuxmots.D'abordacrimonie se ditnon rangée,del'idéede rangéeà cellede l'acteparlequitte E t monserreÂss. d e 489. a maisde dece unesaveur ce livre, Jérus.i, je, pour qui acre, quiexerce quelonfixeet déterminelespointsquiconstituent à madame ment aquiter....JOINV. 212.Je promis uneactionacre.En secondlieu, acrimonie désignecetterangée,on assisteà un travailcurieux.de la roynevostremere,queje feroyecestlivre;et,_ une disposition constanteà l'âcreté, tandisque l'esprithumain,qui se reproduitdanstoutesles àce qui se faitsentir ac- acceptions je fait,ID.)92. âcretépeuts'appliquer détournées et abstraites. mapromesse,l'ai pourmoyaquitierde il safemme car xv* s. l uivoulust tuellement ouvientdese faire sentir.L'âcreté d e Qu'il renvoyer ; ACROTÈRE || (a-kro-tê-r'),s. m. Termed'archiDieuet au son humeurpeut signifierune âcretéactuelle; tecture.|f 1°Piédestaux desfiguresquelesanciens [Edouard II] s'envouloitacquitterà ese t ce n'estoit sa deson une humeur hasurlesextrémités monde, que pas coulpequ'elle l'acrimonie humeursignifie rampanteset auxsomplaçaient 44.Etfità la toitpartiedelui....FROISS. bituellement âcrê.Cesnuances une fois des I, porte mets desfrontons I, conçues, temples.Lespinacles,les aussi s e mesmement troisde sesfilschevaliers, onsentquandet commentil y auralieudedistin- acrotères qui du temple,VOLT. Phil. v, 44. || 2° Esmoult b ienenleurnouvelle chevalerie, l'onmet acquittèrent guer. que d'espaceen espace pècede piédestaux de il estbienvraiqueleroi —ÉTYM. de acer,acre(voy.ce mot). danslesbalustrades. m. i, i, 102.Seigneur, Âcrimonia, Francem'aenvoyé encestevilleet ence chastelpour ACRIMONIEUX, EDSE(a-kri-mo-ni-eû, de âxpoç,placéà l'extréeùz'), —ÉTYM. 'Axptiyri;piov, vous s avez a e t défendre àmon i" de l'acrimonie. Humeurs a crimoradical pouvoir; Qui du acr ou ac,quisignifie legarder loyal adj. || mité, pointu, m'ensuis et voudroie encore nieuses. 2° Paroles a crimonieuses. comment je acquitté || Fig. pointe(voy.ACIDE). m a doulce —ÉTYM. ID. 242. Acrimonie. faire, I, I, Soyezseure, amye, ACTE(a-kf),s. m. || 1°Termetrès-généralqui, et Or vous Terme serapportant à toutce qu'onfait Queje vousaymeloyaument; requier f ACROAMATIQUE(a-kro-a-ma-ti-k'),odj. à agir, s'applique D'ORL. voussupplie:Acquittez est l'oreille. Qui Acte vousparëillement,CH. d'antiquité. reçupar L'enseigne-oupeutfaire.Acteglorieux. criminel.Sondébien à la reformamentacroamatique estl'enseignement Bail.xiv.Pournes'estre acquité Il ne fera jamaisacte oral,parop- partestunactede désespoir. 2. les livres. D e il a tion del'Eglisecommeildevoit....COMM. à làun vin, d'homme. C'estun actede citoyen.Desoi-même position l'enseignement par Bélis.u, 48. || xvr»s. Pour acquitterlesvoeuxqu'ilavoitfaits, prisaussile sensde profond,le maîtrecommuni-bonacteestl'objetet le prix,ROTROU, 38. Je vousabsoulset à des devivevoix élèves choisisun enseidescharge,quant Venc. lys. Nem'ordonnez AMYOT, i, pointunactede faiblesse,ID. trèsbienPtsainctement comme acqùitezdela foy gnementqu'ilne mettaitpasdansleslivreset pour 3.Je ne merepenspasd'unactede vertu,m.ib. n, m. Eum. l'usagedu vulgaire. de vous, 2. Jefaisun actegénéreuxde m'éloigner quevousavezjurée ft vostrecapitaine'', 36.Il l'acquittad'uneinfiniesommede debtes,ID. —ÉTYM. entendre. SÉV. FONT. 284.Ellecrutfaireactede repentante,LA 'Axpoaua-nxôç, d'ày.poâaGat, ontmainte83.Plusieurs se sonttrouvez ACROEATE s . des deux defaire?—Un acte qui (a-kro-ba-f), genres.Contes,Diable.Quevenez-vous Poxnp. de corde. nu qu'ilfaloitprendrelamoitiédeleursbienspour Danseurou danseuse de justice,CORN. Hor. iv, 6. Je veux,doncd'un motà motmarchersurles tyranun actetyrannigue,ID.Perth. ni, 3. J'ai en acquitterle roy[payersesdettes],veuque le —ÉTYM. 'AxpoëaTeïv, poursapauvretéd'ysatisfaire,extrémités, peupleestincapable d'âxpoc,extrême,haut(voy.ACROTÈRE), prescrit,je le sais,desactesde rigueur;Je révoLa deceux le serLANOUE M.J. CHÊN. quidoyvent l'ordredela vengeance, ,98. pluspart marcher,de paiveiv (voy.BASE). etpoeveïv, queaujourd'hui vices'enacquitentavecl'argent,ID.232.Du petit f ACROBATIQUE Terme d e tousactes Charlesix,'iv, 2. '.... Sur noirsje hais (a-kro-ba-ti-k'), adj. del'unest onvientaugrand,et quis'acquitebien cetteépée MAIR. mécanique. Propreà monterdesfardeaux. l'ingratitude, Soph.iv, 7. Emploie mieuxpréparépoursebienacquiterdel'autre,ID. f ACROCHIRISME m.Terme Ledondemonema cetacted'amour,'ID.ib. n, o. (a-kro-ki-ri-sm')^. 293.J'aibienesprouvéque,pour cent francsde degymnastique ancienne. d e lutte le avec Espèce pireet demalibertéEstl'actelé plusgranddemon solsde cent des seulement. bout doigts pas pour mélancolie, n'acquitterons Sém.n, 7.|| 2°Entermesdereligion, autorité,VOLT. — ÉTYM. m ain. DESPERIERS. Contes,*. mouvement vertueux dette, "Axpoç, extrême,ety.eîp, que l'âmeproduitaudedans —ÉTYM. ACROCHORDON s.m.Terme 11exercelesmêmesactesquele reste Provenç.aquitar; espagn.aquietar; t (a-kro-kor-don), d'elle-même, Ona décritsouscenomdes produc- deschrétiens,BOSS. Or.6. Il n'apasprétendufaire bas-latin,acquitare,dead, à, et quittare,quitter demédecine. ce tions des s urun acteplus"parfait, ID.ib. 40. Formerunacted'a(voy. mot). organiques paupières,dures,grêles, ACRE ona mourde Dieu,m.iterl.2. Vousproduisez desactes (a-kr'; a bref),s. f. Mesurede terreem- toutversleurextrémité adhérente,auxquelles différente e ndivers et d'une étendue trouvé soit leur La ployée pays, quelqueressemblance, par forme, intérieursde toute espèce,Ta.Retr. perfection suivantles localités.L'acreanglaisevaut40 ares soitpar leurmobilité,avecun boutdecorde. ne consiste pasà faire.ouàne pasfairedetelsactes, — 467.L'Angleterre d anstoute son HIST. xvies. Acrochordon estuneverrue ID.Imp. contient, étendue, pen- ID.Préf.Formerdesactesdedétachement, 39038500acres. dante,ayantsabasefort petite, estantcalleuse, 4.Onpeuttoujoursfairel'actede contrition,PASC. —REM. auteurs f ontacredumasculin Quelques ; sansdouleur,defigureronde,PARÉ, v, 2I.Il y en Prov.6. || 3°Enlogique, acte,ce quiestréalisé,op: Lamesuredela provincede a d'autresnommées acrochordon.... lesLatinsles poséà puissance,ce quipeutêtreréalisé.Réduire entre autresVauban 4GO estl'acre. acreest de verrues m. 85. Normandie Cet la puissanceà l'acte.|| 4° Acted'hostilité,agrescomposé appellent pensiles, xvin, — 22 et la de carrés ÉTYM. de ouun partise e xtrême perche pieds perchescarrées, 'AxpoxopSùv,âxpoç, (voy. sionparlaquelleun gouvernement 4 84 et y.opSv),corde meten guerrecontreunautre.|| S"Actedeprésence, (22piedsen carré,c'est-à-dire piedscarrés); ACROTÈRE), (voy.CORDE). la mesure la mais les piedssontdifférents plus t ACR0M1AL,ALE ; (a-kro-mi-al,a-l'), aaj.Termeactiondese présenteren quelqueendroitpoursadedouzed'anatomie.Qui appartientà l'acromion.Artère tisfaireà quelque commune lesfaitd'onzepouces, et le pouce devoirouparpurepolitesse. Après 46. Les acromiaux. il seretira.116"Entermes acromiale. ligaments avoirfaitactede.présence, lignes,Mme, — HIST. XVI" s. Lespluscommunes sontaujour- —ÉTYM. Acrornion. toutce qui,sefaitentre.particudejurisprudence, : dejusd'huientrenous arpents,journées,asnées,jour- f-ACROMION(a-cro-mi-on), s.m.Termed'anato- liers, avecousansle ministère d'unofficier considérable naux, sesterées,acres, couplesde boeufs,o. DEmie. Apophyse qui terminel'épinede tice, soiten jugement,soithorsdejugement.Acte 4 0. faite enhautet en dehors,s'articule avecl'ex- notarié.Actesousseingprivé.|| 7°Déclaration SERRES, l'omoplate —ÉTYM. Bas-lat.acrum, acrus; allem.acker; trémitéexternedelaclavicule et donneattacheaux devantun tribunalsoitspontanément, soitd'après l'ordredela justice,et donton a constatéla réaangl.acre;celt.acair; comp.lelatinager, le grec muscles trapèzeet deltoïde. — et lesanscrit de estausomÉTYM. lité. Demanderacte,prendreacte.L'actequien àvpôç, âjras,plaine. qui Acromium, âxpoç, et S>u.oç, Prov.ib.||Dansle ACRE chosemet(voy.ACROTÈRE), épaule(voy.OMOfutdresséle25septembre....PASc. (â-kr';â long),adj.|| 1°Quia quelque de Vin a ctede....déclarer de piquant et corrosifau goût.Saveuracre. PLATE). langage ordinaire, prendre qu'on acre.|| 2°Quiexerceune actionpiquanteet corro- ACRONYQUE T ermed'astrose de....3-e l'autre prendsacte,pour vie, (a-kro-ni-k'), adj". prévaudra acres.|| 3°Fig.Sonhumeurestacre. nomie.Sedit quandunastrese lèveaucoucherdu demaconduite encelle-ci,J.ï. ROUSS. Ém.iv.Par sive.Humeurs Parolesacres.Jenesaisquellevoluptéquin'a rien soleil,ou quandil secoucheaulever.Coucher, le- cesversj'en prendsacteafinque....RÉGNIER, Sat. d'acreetdesensuel,1.1.ROUSS. Hél.i, 23. veracronyque. rx.|| 8°Actesdel'étatcivil,ceuxparlesquelsde; —REM. Acreet acresontdes paronymes se Ona civilsconstatent lesnaissances, lesdécès,les —ÉTYM, écritaussiaehronique, ce quivou- officiers qui
AGT
ACT
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Actede mariage.celuiquiprendpart à des partiesdejeu, à des mariages,etc.Actedenaissance. Homme d'action. Leconseil etl'action.L'acInaction. 9°Acte d esfaits || d'accusation, exposé imputésà partiesde plaisir.Il nousmanqueun acteur. tion du remède fut salutaire. C e poisona uneacun accusé.|| 10°Décision Acte — SYN. del'autorité COMÉDIEN. Dansle senspropre, tionsi puissante publique. ACTEUR, tueen q u'il d'instants. peu L'action Je signele onnommeainsiceuxquijouentdespiècesde théâ- violentedela chaleur.L'action d'amnistie. Lesactesdugouvernement. des ventssur la premiercet actevénérable, Quipar touslespartis tre.Acteurestrelatifauxpersonnages quiagissenttempérature de l'air. L'actionde la lumièresur la fut longtemps i. CHËN. CharlesIX, i, 3. dansunepièce,et parsuiteauxpersonnes désiré,M. C'estunechosehorriblede tomberenquiles végétation. Mamaina pusignercetacteabominable I LEMERC. Comédien est relatifà la profession.tre lesmainsdu Dieuvivant représentent. ; entrecesmainsoù Charles71, v, 3.|| 11°Auplur.Recueils,registresAinsil'ondira: Quelssontlesacteursdanscedrame? toutest o ù tout est vie; rienne s'affaiblit, oùsontréunieslesdécisions del'autorité.Lesactes et:Quefaitcethomme?Il estcomédien. Enfindes ni ne seaction, ni ne se ralentit relâche, BOSS. duparlement Il l'ap- élèvesquireprésentent unepiècedansleurcollège, AnnedeGong. anglais.Lesactesdesconciles. Sansenvie,sansfard,jamais, sans ostentaDansle sens tion,toujoursgranddansl'actionet dansle pela[unrecueil]codedudroitdesgens,parcequ'il sontacteurset nesontpascomédiens. necontenait desactesfaits desnations o u c esdeux termes que par conservent encorelamême il parutà Chantillycommeà la têtedes repos, figuré, enleurnom,desdéclarations de guerre,desmani- distinctionà beaucoupd'égards.Acteurse ditde ro.Louisde Bourbon.Il semble la troupes, que perfection celuiquia part dansla conduite,dansl'exécutionde chaquechoseconsisteensonaction; festes,destraitésde paixou de trêve....FONTEN. carchaque faits d'uneaffaire,dansunepartiedejeu oudeplaisir; chosea son Leibnitz.||12°.AM plur. Journaux,mémoires I D. P ensées chrét. 3 3.Leur action, donparcertainessociétéssavantes.Lesactesde la so- comédien,de celuiqui s'est faitun art, et, pour nantl'action,le poids,le mouvement, St~ ROTROU, romaine.ainsidire,un métierdebienfeindreles passions,Genest, ciétédeLeipzik. || 13°Entermesd'antiquité 2. 2° En termesde rv, || grammaire,l'acActesdiurnes,espècede journalqui paraissaità lessentiments qu'il n'a point,deceluidontla con- tionexpriméepar le verbe.L'action depenser,de Romeet où l'on inscrivait lesjugements,les ma- duiteestdissimulée et artificieuse. Lepremier terme parler.|| Cemotnepeuts'employer lesverbes qu'avec récits se prenden bonneou en mauvaisepart, selonla quiindiquent riages,etc.|| 14°En histoireecclésiastique, uneaction: il est ridiculede dire, consacrés. Lesactes[dela missiondeJ. G.]ontété naturedel'affaireoù l'onestacteur; le secondne comme fontplusieurs,l'action dé.languir. || 3°Chose Hist.n, 43.Lesactes se prendjamaisqu'en mauvaisepart, puisquela faitepar l'homme. publiésà toutelà terre, BOSS. Pourfaire une méchante acdu martyrede saintJustinprouventqu'ilversason dissimulation, qui fait le comédiendans la vie, tion, PASC. Prov.8. Quandai-jefait quelqueacsangpoursa religionaveclamêmesimplicité qu'il esttoujoursunechoseodieuse. tiond'unionavecles hérétiquesou de schisme écrivitpourelle,CHATEAUBR. 4.Le Gin.I, jugein- —ÉTYM. avecl'Église?PASC. Actor,de agere,agir(voy.AGIR). Prbv.il. Legrandart dela e t l'écrivain sur lesactes des.tablettes I VE 1° terroge; grave ACTIF, (a-kti-f,ti-v'),adj. || Quiest guerreattendquelquefois l'âge; Le tempsy fait du martyre,n>. actesdesapô- agissant,diligent,laborieux. Mart.n,295.|| 15°Les Hommeactif.Actifà beaucoup;si de mes actionsII vousa plu tiécritparsaintLucetcontenantla guerre.Vieillesse activeet occupée.Semontrantrer quelques tres, livrecanonique instructions.... CORN. Sert,ni, 2.Vous unepartiedel'histoiredesapôtres.|| 16°Termed'é-,si actifdanscesévénements et là, plusactif, savezl'action,vousla venez d'entendre,ID.Hor. cole.Disputepubliqueoù l'onsoutientdesthèses. volantverscesremparts,Desessoldatssurprisil v, 2. M.deBoufflers a faitune fortjolie action, Faii. unacte.Soutenir un acte.|| 17°Actedansl'art charmelesregards,BRIF. 679.C'estici que le sanget la conditionNe Ninus,II,1,4.Maisrefroi- SËV. chacune des d ont dramatique, partiesprincipales vous dis,ami,tonâmetropactive,M.J.CHËN. Gracg.111,2. permettent An~ pasunelâcheaction,ROTROU. unepiècedethéâtreestcomposée, sont formées Cruel d ans actif ensa Sa qui l'indolence, mollesse, vile tig.ni, B.Unebonneactionse produittoutenue, de scèneset entrelesquelles est un intervalle. On ambitions'aigritparla paresse,DUCIS, Macb. 11,6. ID.Bel.11,49.Partantpourcettegrandeet fameuse dit quelquefois un actepourunepièce Il 2°Parextension, absolument en parlantdeschosesquiagis- action,Vousen mîtesle prix à sa discrétion, ID. enunacte.Cetauteurvientdedonnerun joliacte sentavecpromptitude, avec force,avecénergie. Venc.1, 4.Tantquenousregarderons l'homme par à la Comédie actif.Poisonactif.Quelques sucsbienfai-les yeuxdu corps,sansydémêlerparl'intelligence française..... FaisantdecetouvrageRemède Uneamplecomédie à centactesdivers,Etdontla santsdontla puissance activeRappelle en notrees- ce secretprincipede toutesnosactionsqui, étant scèneest l'univers,LAFONT. Fafrv,4.Lecomman-pritsavertufugitive,DUCIS,Lear, iv,6.|| Partactive,capabledes'unirà Dieu, doitnécessairement y redeurvoulaitla scèneplusexacte;Levicomte rôle action a. Il a il Il croitrécompenser indigné Madame. qu'onjoue, qu'on pris, a eu tourner....BOSS. une sortaitau secondacte,BOIL. 3°Enmabonne Épît.vn. || 18°L'acte unepart activedanscesévénements. R AC. Esth. 4.Jenem'étais || action, in, chargé la charte,la constitution. tièrede dévotion, vieactive,cellequiconsiste constitutionnel, dans danscetteoccasionQued'excuser Césard'uneseule —SYN. ACTION.TOUS deuxdonnentl'idéede les actesextérieurs de piété, par opposition à vie action,ID.Brit. 1,2. Ilfautdesactionset nonpas ACTE, c hose sefait.L'action e stla manifestaquelque qui actionquevous contemplative, quiconsistedansles sentimentset desparoles,ID.Tph.ni , 7.L'indigne tiondela puissance l'acte est l'effetmadanslesaffections del'âme. 4°En dettes voulez FÉN. Tél.xv.Le quiagit; || affaires, faire, père est en droitde nifestéet le résultat de cette action. Action, actives,sommes dontonestcréancier,par opposi-punirchacunde sesenfantsqui faitune mauvaise étantundéploiement visiblede force,neseditpasdes tionà dettespassives, cellesdonton est débiteur.action,ID.Tél.vin.Lesprincesquiontfaitlesplus intérieuresdel'âme; c'estactedontil Il 5°En parlantd'élections,avoirvoixactiveet grandesactions,ID. Tél.11.D'indignes inspirations passions fautse servir.Nosactionssontnosoeuvres llapropre- passive,avoirdroitd'élireet d'êtreélu.|| 6°Enphi- Nedoiventpassouillerlesnoblesactions,VOLT, mentdites;maisnousfaisonsdesactesdefoi,d'es- losophie,quiagit ouquia la vertud'agir,parop- riane,11,B.Dansnosgrandsintérêtssouventnos à passif.Principe actif.Qualités actives.Le actionsSont(vousle saveztrop)l'effet'des pérance,de charité;actionici ne seraitpasbon. position passions, Aumoral,actiondevientsouventtout à faitsyno- feuestune forceactive.Ilsattribuaientla forceà ID.Olymp.1, 6. Unedétermination volontaire au et alors il au : la bien ouau mal,etaussiuneactionbonneoumai> peuts'employer pluriel nymed'acte, partie,activedelamatière.L'âmeétantactivede Cet hommea fait plusieursactionsvertueuses,sanature.|| 7°Citoyenactif,celuiqui jouit des vaise,estce qu'onappellevertuoucrime,LABRUT. commeon dit plusieursactesdevertu.Ilfautre- droitspolitiques. vulservice4G.Unextérieur simpleestl'habitdeshommes || 8°Enparlantde.l'armée, lemot acteest suivi d ela il et souvent durant un soldat est est taillé eux sur leur marquerque souslesdra- gaires; pré- actif,temps lequel pour mesure; d'unnomabstraitou peaux.Il 9°Termedegrammaire. Sedit desverbesmaisc'estuneparurepourceuxquiontremplileur positionde, suivieelle-même d'unnom concret,tandisque actionn'est accom-et desparticipes unerelationde syntaxeviede bellesactions,ID.2. |[4°Entermesde déexprimant lecomplément d'actions depiétésontdemeurées duverbelui est joint votion.Combien pagnéqued'une épithète: Actede bravoure,de danslaquelle etc. et non action de de sans 4 Il effet!FLÉCH. vertu, ; pas bravoure, vertu, sans préposition.|| Aunautrepointde vue, le 1, 40. importedoncdevous etc.; maisactionde héros,actiond'insensé. lespréparations, verbeactifestceluiquiexprime uneaction,et sedé- marquer quidoiventvousconduireà —HIST. xvies. Ledernieracted'unecomédie,compose cette action redoutable MASS. enverbequine reçoitpasdecomplément [làcommunion], Car., MONT, 67.Ce actesdeson sont non Comm. 5°Action d e témoidirect: il c'est i, le verbeneutre des personnage, H grâces,remercîment, agit,il court; LeTe Deumfutchanté pasdunostre,m.i, 424.Ceprinceest le souveraingrammairiens; et en verbequi reçoitun complé-gnagedereconnaissance. des actes 4 ID. 33.Ils enactionde O nlui renditdesactionsde demeupatron mentdirect sans préposition : il aime son fils; hazardeux, i, grâces. rèrentdepuisle commencement d'avriljusquesau c'estleverbetransitifdirectde plusieursgrammai-grâces.|| 6°Activité. Ilsontvécuavecsi peu d'actreziesmesans acte d'hostilité,D'AUB.Hist. tion leurnomest-ilvenu 7. d e riens.Il Sedit aussi cequi a rapport,dece qui qu'àpeine jusqu'ànou's, i, I)fitassembler lesprisonniers endeuxactes,commeestpropreà cesverbes,àcesparticipes. n'a pasété sans acHist.ni, 4. Savieillesse Voixactives.BOSS. ilsappellent[auto-da-fé], le premierdesquelzfut Cemota.unesignification tionro.Gornay. || Êtreenaction,sedonnerdumouactive,BOSS. Nouv.myst. à 4 ID.Hist.i, 4 9. exploistéValedolid, 10°S. m. L'actif,la voixactive.Conjuguervement.Teniren action, donnerdu mouvement. réf. Il —ÉTYM. Actus,de agere,agir(voy.ASIR). l'actifd'unverbe.|| 11°S. m. Sommedonton est Je le tenaissanscesseen action,marchantavec TRICE DEST-P.Paul'et luiau soleilet à la pluie, BERN. ACTEUR, del'actifet du passif. (a-kteur,ktri-s'),s. m. et f. créancier.Balance degens confuse || l°Celuiquijoueun rôle,prendunepartdansune —HIST. XIIes. [Je]vosai pieçajà descovert Corn Yirg.Quandje voiscettemultitude deleurs dans u n Ila et événement. étéleprincipal acteur cestelassevieactiveSi me tout[ôte]la contem-quivont quiviennent,toujoursoccupés affaire, réussiretles dansce grandévénement. e nvain les avertit L'apôtre 11,42479.yxiv°s. L'autreest vie desseins,et toujoursenactionpouryas. plative, B ENOÎT, ceux sont e ntrés danslamilicedeJésus-Christcivileetattive,omsuE,Eth. conduireàbout,BOURD. que qui Pensées,t.i,p. || 7°Véhé9.Aucunsexcellenset v, nedoiventplusselivrerauxembarrasdusiècle; ils bienbezoignans selonvieattivetiennentquefélicité mence.Parleravecaction.|| 8"Toutengagement ensontlesprincipaux acteurs; onlesvoità la tête esthonnour, ID.ib.EllesertdeboncuerDieuenlavie entre destroupes.Un jour d'action.L'actionfut de desintrigues.... MASS. Fuitedumonde. Il portait active,Ettrèsdévotement Conf. enla contemplative, Gi- chaude.Engagerl'action.Sansme contenter roi sesdécouvertes e t dela auxconférences defeul'abbéBour- rartdeBoss.v.2697.\\xvi"s. J'ay,sansoffensede celle[gloire]quej'aiacquise partqu'un adanstoufaitle métier d evéritable delot,dontil étaitun_des.bons acteurs....FONTEN. capitaine, ouactifve,escoulé tantostunelongue qui poids, passifve se teslesactionsde guerrequi passentensa prél'impart.M.deMalézieu 467.Il nefautestreauxaffaires occupaitsestalentsmoins vie,MONT, rv, rétif; sérieuxà imaginerou à ordonnerunefête,etlui- Laroyautéestun métieractif,RONS. PELLISS. Conversât, .deL.XIVdevantLille, 652.Etestoitsasence.... mêmey étaitsouventacteur,ID.Malézieu. que, quandonparled'un p. B4.IlIIfautremarquer || 2°Ce- chaleuractiveaux affairesdela chosepublique jà combat actionnes'applique qu'àunepelui,cellequi représenteun personnagedans une touterefroidie,AMYOT, déterminé, 64. Pompée, piècede théâtre;celui,celle qui exercela pro- —ÉTYM. deactivus,dea^erejagirtiteaffaire.Ainsionnepeutpasdirel'actionde FonProvenç.acd'u; fessionde comédien,de comédienne. || 9°L'acQuetu sais (voy.AGIR). tenoy; ilfautdirelabatailledeFontenoy. éton- t ACTUSIMORPHE bien,Racine,àl'aided'unacteur,Emouvoir, théâtrale,le débitet les gestes. Termetionoratoireou (a-kti-ni-mor-f), adj. Il avait estcomme le langagedu corps._ BOIL. futle d'histoire ner,ravirunspectateur! Ép.vu. Thespis naturelle.Quia uneformerayonnée. L'action de ne, Promenapar les — ÉTYM. uneactionpleinede chaleur.Je reconnaismême premierqui, barbouillé et (jiopçY), forme. 'AXTÎV, rayon, ce sourirefin, cetteactionnégligée,cette pabourgscetteheureusefolie,Et d'acteursmalornés • ACTION enpoésie,detroissyllabes), (a-ksion ; s.f. , FÉN.Tél.rx. chargeantun tombereau,Amusales passants d'un Il1°Opération, oeuvre. la matièredel'ac- role douce, simpleet insinuante Dépouiller ID.A. P. in. || 3°Familièrement,tionquilui estpropre.Sitanatureest plus Elleavaitencoreles cheveuxaussiblondset en spectacle nouveau, propreà I 1.— 7 DICT.DELALANGUE FRANÇAISE.
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ACT
ACT
ADA
adv.Au..moANTE(a-kti-van,van-t'),adj. Qui ACTUELLEMENT (a-ktu-è-le-man), aussigrandequantitéquesiellen'eûteuque vingt f ACTIVANT, des activantes mentdontil Il a joint et hautaine, active.L'engraispossède qualités s'agit,présentement.[Moïse] ans, lataillehaute,l'actionimpérieuse auxchosespassées,quicontenaient l'origineet les R.deNav.4epart.p.74. M1"" DELAFORCE, || 10°Dis-qui.... La anciennes t raditions du de ÉE vée),part.passé. végépeuple Dieu,lesmercourspublic,tel qu'unsermon,uneharangue,un t ACTIVE, (a-kti-vé, veillesque Dieufaisaitactuellement les avo- tationactivéepar despluiesfécondantes. Vieuxen cesens.Interrompre poursa déliplaidoyer. D'une BOSS. Hist.univ. l'autoritédu adv. 1° 3. Toute Y.il. [Lepré- ACTIVEMENT vrance, (a-kti-ve-man), || 1, catsau milieudeleuraction,LABRU était entre ses mains;il était acl'Etat.Active-gouvernement ce manièreactive.Serviractivement dicateur]a si bien misdanstoutsonjourtout de 2°Entermes tuellement Rév.rom.xrv, 294.Un ment occupéde cetteaffaire.|| consul,VERT. quipouvaitêtreadmiré; ila fait destraitsd'éloàla façond'unverbeactif,c'est-à-diretribundu peuplefit assignerL.Manlius,qui sorquenceet des coupsdemaîtresi à proposet desi grammaire, direct.Dansla cé- taitactuellement de la dictature,sousce pr&texta bonnegrâce,que toutle monde,je distout le d'unverbequia un complément ce patricientraitaitunde sesenfantsavectrop monde,s'enestécrié;et chacunétaitcharméd'une lèbre phrasede Bossuet,dormesvotresommeil,que de dureté,n>.ib. vin, 256.Quandje pouvaisme activement. actionsi parfaiteet si achevée,SÉV.202.Le dis- dormirestemployé d'êtreactuellement et parfaite; flatterdel'avantage coursestdedeuxsortes....Sousla premièreespèce, —ÉTYM. Provenç.activamen;ital.attivamente mentréconciliéavecvous,BOURD. et leslettressontcomprises;de activeauféminin,etment. lesentretiens familiers Pensées,t. 1, Donner Vous à et de il v. a. 64. soitqu'elles (•ACTIVER sousla seconde,lesactionspubliques, quijeparle qui s'agitactuel(a-kti-vé), Néologisme. p. Activer lestravaux.Le lemententrevouset moitID.ib.p. 346. louentlesgrandspersonnages, soitqu'ellestraitent de l'activité,hâter,pousser. —HIST. xvi"s.Ondoitappliquer chosescalefacDisc,sur Malherbe.ventactivelefeu. desaffairesd'État....GODEAU, maisaussi tives,nonseulementpotentiellement, Actif. Il11°Action,en parlantde quelquesancienscon- —ÉTYM. 41. s. f. || 1°Puissance vm, conciles a étéappeléses- ACTIVITÉ d'agir. actuellement, PARÉ, (a-kti-vi-té), ciles,cequidanslesderniers — ÉTYM. L'activité d'un en droit a conscience de son activité. Provenç.actualment; espagn.actualsion.Il12°Demande, poursuite justice, qu'on L'âme i tal. de a de formerunedemandeen justice.|| 13°Prin- poison,d'unremède.Unespritquiseconsume par mente; attualmente; actuelleau féminin,et ment. la création de C'est D ieu qui,depuis qui faitle sujetd'unepièce sapropreactivité. cipal événement à chaquemomentl'activité t ACUITÉ (a-ku-i-té),s. f. Qualitédece qui est théâtre'ou d'un poëmeépique.|| 14°Part qu'on du monde,renouvelle d'unecompagnie decommercedecefeu[lefeud'enfer],et qui, sansterme,sans aigu. L'acuitéd'unson.L'acuitéde la douleur. a danslesbénéfices xvi"s.Telsangcouleavecacuitéet dououde quelqueautresociétéutile; titre quiconsti-fin, le fera subsisterau-delàdes siècles,BOURD.—HIST* xvm, 46.L'ontrouveau -goustde la tue cettepart. On fit unecompagnie qui eut un Pensées,t. sphèred'acti- leur,PARÉ, in,p. 67.|| 2°Enphysique, et acuitédudit sel, PALISS. nombreconsidérable MONTESQ. d'actions, Espr.xxn, vité, espacedanslequelun agentexercesonac- languela mordication 448. dusoleil i0.Labaisse,lahaussedesactionsdechemindefer. tion,son influence.La sphèred'activité les sedit Acutus,aigu(voy.AIGU). || Kg. . —ÉTYM. figuréments'étendjusqu'auxplanètes pluséloignées. || Sesactionshaussent,baissent, dontle crédit,dontla réputation croit Le cercle,l'étenduedes travaux,desidées,des t ACULÉIFORME (a-ku-lé-i-for-m'), adj. Terme de quelqu'un Quiesten formed'aiguillon. oudiminue. || 15°Entermesdemathématiques,quanentreprisesdont un hommôs'occupe.|| 3° Par didactique. — ÊTYM. Homme Prestitéd'action,le produitde'la massepar la vitesse.extension, Aculeus,aiguillon(voy.ce mot),et diligence. pleind'activité. Il16°Entermesd'équitation,avoirde l'action,se sant les préparatifsavecla plus grandeactivité.forme.ÉE (a-ku-mi-né,née), adj. Terme dit d'unchevalqui a de l'ardeur.Ce chevala la Celalui a donnéde l'activité.Activitéstérile. ACUMINÉ, de Seditdes boucheen action,ilmâchesanscessesonmors,et LesAnglaisy mirentmoinsd'activité.Queldé- botanique. feuilles,desbractées,des du calice,dontl'extrémité offreunepointe d'écume. sir de la gloire....Nousmarquaitd'unhérosla divisions jettebeaucoup —SYN.BONNES On nobleactivité!PRADON, Ph. et Sipp.n, 3. Maisce allongéeet aiguë. BONNES OEUVRES. ACTIONS, bonnesactions t outce se fait entendpar Acuminatus,de acumen, extrémité qui par n'estpointassez,Seigneur,sivotrezèleAvecac- —ÉTYM. principede vertu; on n'entendguèrepar bon- tiviténe fécondele mien, BRIP.Ninus,II, 1, 2. pointue,de acuere,aiguiser,acutus,aigu (voy. auxparesseux, et leur AIGU). del'activité nes oeuvres quecertainesactionsparticulières qui. Lemonde'donne Toutebonneoeuvreinspireunfeuet unevivacitéquiles portepartout ACUPONCTURE s. f. Terme (a-ku-pon-ktu-r'), regardentlacharitéduprochain. de consiste à enfoncer t. i,p. 406. chirurgie.Opérationqui estunebonneaction;maistoutebonneactionn'est et querienne ralentit,BOURD. Pensées, GUIZOT. unebonneoeuvre,à parlerexactement, et Condé]tantôtopposésfrontà frontet dansunepartieducorpsuneaiguillemétallique. pas [Turenne —HIST. et puncxin"s.Etsili vesques faitmonserfclerc redoublant etlavigilance, —ÉTYM. l'undansl'autrel'activité Acus,aiguille(voy.AIGUILLE), la dili- tûra, piqûre,depungere, contreme[ma]volenté,j'ai actioncontrecelide BOSS. LouisdeBourbon.|| 4°Passivement, piquer(voy.POINDRE). 47.Quandli genceaveclaquelle demandermondamace,BEAUM. unechoseestfaite.L'activité des ACUTANGLE (a-ku-tan-gl'), adj. Termede géoXLV, enfantseraientaagié,ilaroientactiondedemandertravaux,l'activitéd'une correspondance. || 5° En métrie.Dontlesanglessontaigus. le tropà lortuteur,ID.xvu,8.Etseaucunsaaction activité,loc.adv.Ausensactif: Lestribunaux sont —tTYX.Acutus, aigu(voy.ce mot),et angulus, encontretoi,nelecroipas,jeusquesàtantquetuen engrandeactivité.Êtreenactivitéde service,ou, angle(voy.cemot). 30).|| xiv°s.Actionestope- simplement, en activité,exerceractuellement ouAKlfiOLOGDJ sachesla vérité,JOINV. les f ACYROLOGIE (a-si-ro-lo-jie) Thèse d eMeunier. xvi°s. Lesloix s. Terme de fonctions desaplace.|| Ausenspassif: Lestravaux(a-ki-ro-lo-jie), f. \\ grammaire. racion,ORESME, Improcontrenous,MONT, 28. L e Peu ontactiond'homicide La est en usité. sontenactivité. actiII, priétéd'expression. || vendange pleine —ÉTYM. sansaction*s'atterreet vité. de àxupoXoYÎoc, de Provenç.acirologia; corpsdemeure cependant — 290. A ction d e la m . est recoa et ÉTYM. grâces s'attriste, in, Provenç.activitat; espagn.actividad;âxupo;,impropre(de privatif, xûpoj,force, la louangedetousbienslui ital.aitività;d'açtivitas,d.'activus, discours(voy.LOGIQUE). actif(voy.AC-effet),et X6YO;, gnoissance parlaquelle est rendue,CALV. Inst.283.Toutes'actions[judi- TIF). ADAGE comme (a-da-j';Vadedit,quiseprononce 690.Toutesac- ACTRICE danscage,seprononçait autrefois commedansâge: ciaires]sontdebonnefoy,LOYSEL, (a-ktri-s'),s. f. Voy.ACTEUR. s onttollues an et 74 ID. 3. d anssa tionsd'injures s. f. Néologisme. par jour, Chiffiet, grammairequi est de la findu t ACTUALITÉ (a-ktu-a-li-té), En douaireet autresactionsqui ne sontencoreEtatdecequiestactuel;choseactuelle. xvnesiècle, dit qu'onprononcea-dâ-ge),s. m. d e la — le n e commence à ÉTYM. prescription Actuel. nées, temps Sentence,dire populaire.Qui aimebien châtie courirquedujourquel'actionest ouverte, ID.738. ACTUEL, 1° ELLE(a-ktu-èl, e-1'),adj. || Effectif,bien,estun adage.Suivantl'adage,il fautcacher nese L'action trente etentièreséparation,FLÉCH. personnelle prescritquepar ans, réel.Uneactuelle I,244. sa vie;Je nesuisplusqu'unvieilermite,un ours, m.749.L'action se un d'abord Une attention a ctuelle d esmesures MILLEV. hypothécaireprescrit,par tiers, quiprend Épigr.l'Indépendant. dixansentre ID. 7 20. solidesde changement, MASS. Car. Confess. L'âme —ÉTYM.Adagium, de par presens, [Lesmineurs,etc.] vers,et agere,pous-. intenterni estrecontraintsde défen- peut,avecl'aidede Dieu,s'établirdansunerésolu-ser: sentencequipoussead, ne pouvoient vers,conseil. dreenactionpetitrice,decedontils estaientsaisis tionactuelleet véritablede s'éloigner Terme || 1°Loc. pourjamais ADAGIO (a-da-dji-o). demusique. comme ID.487. dupéché,BOURD. 306. 2° adv.Sansse l entement. Cemorceau doit' héritiers, Pensées, 1.1,p. || Présent,, presser, —ÉTYM. ital. L'air Le momentactuel,les êtrejouéadagio.H2°S. m. mêmequisejoue Provenç.accio;espagn. action; quia lieu présentement. axione;de actto,de agere,agir(voy.ce mot). moeurs actuelles. Content desa positionactuelle.Le lentement. Unbeladagio.|| Auplur.desadagios. ACTIONNAIRE s. m. etf. Termelangage actuel.|| 3°Enparlantdéspersonnes en acti- —ÉTYM.Ital. (a-ksio-nè-r'), adagio,dead, à, et agio,aise(voy. de definanceet commerce. c elle a une deservice. Le actuel d ela vité chambre. Celui, qui président AISE). actionsdansuneentreprise d e finance Entermes d e etde a cou*plusieurs s.m.\\l°Nomdupremierhomme. 114° théologie philosophie, grâce t ADAM (a-dan), ' ' oudecommerce. h abituelle 2°Proverbe. Il secroit de la côted'Adam,il se tuelle,paropposition àgrâce ;péchéactuel, Il —ÊTYM. Action. àpéchéoriginel;volonté paropposition par croitd'une hautenaissance.|| 3° En théologie, actuelle, ÉE(a-ksio-né, 1° Part, à volonté intention ACTIONNÉ, née).|| passé.opposition potentielle; actuelle,l'homme,l'humanité;levieil Adam,l'hommeen Actionnépar sescréanciers. 2° af- paropposition à intentionvirtuelle.|| 5°En termes étatde péché. || Âdj. Occupé, fairé.Lanourrice très-actionnée autourde l'enfant.de chirurgie,cautèreactuel,le fer rouge,par op-, f ADAMANTIN, INE(a-da-man-tin, ti-n'), adj.' En ce c'est un familier Il chimi-Termedidactique. sens, emploi qui n'estpas positionà cautèrepotentiel,les caustiques Quia la duretéoul'éclatdudiadansle dictionnaire del'Académie. ce- mant. ques.HActuelne semetqu'aprèssonsubstantif; ACTIONNER v. a. Termede droit. pendantquandil y a deuxadjectifs, il peutsemettre —ÉTYM. de adamas, diamant (a-ksio-nê), Adamantinus, Citerquelqu'un devantla justice. • c omme dansl'exemple deFléchier. devant, (voy.DIAMANT). —HIST. xn° s. Combien il fautqueles matières —HIST. xvi"s. Lesmauvaises oeuvres oulespé- t ADAMIQUE (a-da-mi-k'), adj. Termed'histoire s ubtiles actionner e t rémétalliques soyent chezactuelsqu'onappelle[lespéchéspar action, naturelle. pour Raceadamique, racehumaineprimitive. duireenmétal,sanslesdesformer, leschosesdes- en opposition aux péchésd'intention], CALV. Inst. — ÉTYM. Adam. te veuxparler,PALISS. 249.Si tu avois470. Les quelles'je desbiensecclésiastiques s. m. Membred'une se y ADAMITE (a-da-mi-t'), considéré la causequipeutactionnerla végétationmirentpargouverneurs forceen possession actuellede quelquessectequi, prétendant seconformer à Adam,rejetait desfruits....m.326.Puisquela chaleurdelamar- biensquiappartenoient à l'Eglise,ID.ib. 983.Les l'usagedesvêtements. ne n'estpasla causeactionale desvégétations sémi- bénéfices ont résidence — ÉTYM. Adam. qui charged'amerequièrent v ertula marnepourroit-elle ac- personnelle nales,parquelle et actuelle,p. PITHOU, 72. Application ADAPTATION s. f Actiond'a(a-da-pta-sion), tionnercesterresinfertiles ? ID.332.Lescouleursdescautères tant actuelsquepotentiels,PARÉ, '" ln- dapter. actionnées la réverbération du sotrod.2. par [produites] , —ÉTYM. Adapter. • • a. 205. —ÉTYM. »eil, e t ital.atÉE(a-da-pté, Provenç. espagn. a ctual; ADAPTÉ, ptée), part, passé.Un —ÉTYM. Action tuale;de actualis,ieactus, acte(voy.ACTE). tuyauadaptéà l'orifice._Style adaptéausuie*»
ADÉ
ADH
ADH
51
discours(voy mots.L'adhérence, a \\1*Ajusterunechose —ÉTYM. étantun état, est involontaire; ADAPTER *A8^v. glande,et XÔYOÇ, (a-da-pté),*». à uneautre.Adapterun robinetà un tonneau.LOGIQUE). l'adhésion,étantune action,est volontaire (voy. sonlanADENS adv. v entre. Il était t ombé avecgoût.Adapter INHÉRENCE, f (a-dan), Xplat Adapterdesornements COHÉRENCE). xvi"s. Pour mohstrertoutce quecongageauxtemps, aux lieux.Lesêtres distinguésd'un arbre; je l'aitrouvépar terreadens:phrase —HIST. leursdéd'un environs d e Paris.Ce undes tient ledit et mixtions voudraientadap'er.le sort communà mot, muscle,et ses adhérences paysandes 5" anciens d e r endce nousn'exavecle i. 2°S'a3. aussi plus la'langue, que cuir,PARÉ, rv, Lesquels leurpressirs, ST*.EL, Delph. part. Fragm. || une u sitéencore dansle teroientassistance et adherance phrase; pourle pacifieret dapter, v. réfl. Ce couvercles'adaptetien au primonsquepar vase.Cepassages'adaptemalau sermon.Lespar- peuple,il pourraitpeut-êtrerentrerdansl'usage. accorderavecle roi, M.DUBELLAY, 209. — Il avait d ans l'ancien coucher sur sibien....Ceverss'a- y ÉTYM. tiesde l'universs'adaptent françaisadenter, Provenç.adherencia;ital. aderenga le s e«menersurle t ous à la situation. ventre,s'adenter, ventre, dapte (voy.ADHÉRENT). —HIST. et qu'ilestbiendommage devoir ADHÉRENT, xv"s. Etla dictesentenceveueparles motsexcellents ENTE(a-dé-ran,ran-f) , adj. se t ientà une f urenttous chose,quiy estcollé.Unepierre clercs, d'oppinionqu'elle adaptaitperdus. || l°Qui — xi"s.L'uns et et HIST. à lavessie.|| 2°Terme Gestedesnobles,videbotanique. contrele ducde Bourgoigne,, gist surl'autre envers adhérente AdhéR oi.423. s. couche d uredit 4 xvi" Et seront rentse ducalice o ude s. y l'ovairequandcesorganes ||xii" [Il] s'adenz, adaptées promp-adenz, BIVILLE, p. 40.|| ment 55. L i Rolans se Roncisv. 3° teméntdescompresses, 40. sont s oudés. S.m.Celui du p. quens s'umelie, PARÉ, XHI, || quiestdusentiment, au 104. XIII" s. Surla ib. de ad, a, et aptare,deaptus, geut[gît]adens pré, p. Lesmiracles, || partide.Ilavaitperdutoussesadhérents. —ÉTYM.Adaptare, tout m ist l ors b oirre c e dernière desadhérents d 'un chefmalressource pour dedens, apte(voy. mot). fontaine, adens,Se ' ADATIS la 4489.Tucommenceras à des Indes Rose, 408.JulesII excommuniait frémir,Xtres: heureux,VOLT. (a-da-tî),s. m. Mousseline Moeurs, démener Sorcostét'estoura Une à Jean orientales. comme a dhérentdu concile dePise, saillir, ; torner, d'Albret, uneheure Com fait honsqui ID.Moeurs, IVE(a-ddi-tif,ti-v'),ddj. Termedi- heureenvers, 444.|| Enmauvaise adens, t ADDITIF, part, sesfauteurset xv° Ildit a malde amalas ib.2443. s. adhérents. Il nesemet qu'il Quis'ajoute. dens, || || dactique. qu'aprèsson substantif. testeoude Aulictse —SYN. ADDITION disenta-di-sion. ANNEXÉ. Unechose dens; met, puisenvers, puis plusieurs ADHÉRENT, (a-ddi-sion; ATTACHÉ, Ledébatdes deux xvrs. A L.CHART. est adhérente à une autrenaturellement, fortunes. || 23,depro- adens, Palsgrave,auxvi" siècle,recommande,p. par une adentez L'un dessus l 'autre RONS. 646. noncerlesdeuxd. Ilestbonde lesprononcer naturelle: l 'écorce e st au bois. adhérente tomberont, pour — disposition et ÉTYM. À dent. éviterlaconfusion avecadition),s. f.|| 1°Cequiest Unechoseestattachéeà uneautre par des liens ADENT s. m. Termede à c hose. L 'addition d'un d'une et étrangers : lesvoilessontattachées t (a-dan), charpentier.indépendants ajouté quelque mot, Entailles l'onfaiten sensinversesurles faces lettre.Faireuneadditionà laloi.Cetouvrageauquel aumât.Unechoseestannexéeà uneautreparune que dedeux d eboisafind'assurer leur fait d'additions. Si vois pièces j'ai beaucoup je je opposées simplejonctionmorale,effetde la volontéet de quelqu'un, vous ferai uneaddition[à cettelettre],SÉV.399. parfaiteliaison. l'institution humaine: pays annexéà la France; — ÉTYM. et dent. À 2°Entermes d'ancienne informer adacteannexé || pratique, par ;à la minute; le sacerdoceauquella ne c omme information étaitannexée. à unepre- ADEPTE (a-dè-pf ; prononcez pasadette dition,ajouterunenouvelle royauté et 1° — i. m. Un mière.|| 3°La premièrerègled'arithmétique, en- on faitdansquelques HIST. xv"s. Lesguerres,les batailleset les provinces), f. \\ seignantà ajouterplusieursnombresles unsaux adepte,uneadepte.En alchimie,celuiqui croyait rencontres quecesdeuxroiset leursadherenset être a u oeuvre. Onnedouta autres.Unenfantayantfait uneadditionsuivant parvenu grand pointque aidansavoienteul'unet l'autre,FROISS. II,m, 48. sesrègles,DESC. Méth.|l4°Entermesd'imprimerie,l'auteurdela lettrene fûtun adepte[enalchimie]|| xvi"s. J'esperoisqu'en brefcetterêverie,netrouse ditdesdates,dessommaires, despetitesnotes, ouà peuprès; il fut reçuavechonneurdansle la- vant nul adhèrent,s'evanouiroit, CALV. Inst.25. boratoireet priéd'yfairelesfonctions de secrétaire,Quantau sénat,Lycurgus d'untexte,placéshorsdela justification. l'establit de premièrement Leibnits.|| 2°Celui,cellequiestinitié,ini- ceulxquifurentadherensà sonentreprise, —HIST. XIII"s. Cesteadditionfu fêteen l'an de FONTEN. AMYOT, d'unedoctrine,d'unesecte,d'une Lyc.53. grâcemildeuxcentquatrevinset quatorzeaumois tiéeauxmystères traversale groupedessophistes, Sejuignet,Livr.desMet.360.|| xrv"s. L'accroisse-science.Euàore qui — REM.Ilseraitpeut-êtremieuxd'écrireadliéMart.n, rant,puisquec'estle participe mentouaddicionqui estfaiteparchascune deadhérerprisadjecsingu- le prenaientpourun adepte,CHATEAUBR. 70.Je montrerai la devotre d'Orolièreoperacion n'estpascongneue, Eth.77. copie inscription tivement et de réserveradhérent ORESME, ; pour le sub—ÉTYM. aux s'il enaence COUR. p .t. adeptes, y pays-ci, stantif.Maisl'Académie écritadhérent,précédent, Provenç.additio;espajjn.adicion;ital. pus Lett. d e de de 1 ,62. le substantif et comme additione; additio, addere, ad, à, pour pourl'adjectif. —ÉTYM. Adeptus,quia acquis,de adipisci,at- —ÉTYM. de dare, donner(voy.DON). Adhxrens, adhserere,adhérer. teindre. ÉE ou a-diADHÉRER ADDITIONNÉ,(a-ddi-sio-né, née, (a-dé-ré.L'accentde dhéest grave, Terme ATE(a-dé-koua,koua-t'), adj. additionnées. ADÉQUAT, quandla syllabesuivanteestmuette; exceptéaux sio-né,née),part, passé.|]1°Sommes de d'une d 'une Entier, en à ona philosophie. t otal, étendue, futur 2"Enchimie o u eteondit.Ceverbe seconjugue avecl'auxiliaire || pharmacie,quoi ajouté. à....Onne avoir de-Dieu égale peut Unliquideadditionné de quelques avoir:j'aiadhéré), v.n.\\1°Êtreattaché,colléà quelgouttesd'alcool.compréhension c'est-à-dire à son uneidée égale objet.La ELLE o u adéquate, chose. L 'écorce de cetarbreadhèrefortement que ADDITIONNEL, (a-ddi-si-o-nèl, nè-1', monadede Dieu n'a desidées qui que adéquates,au bois.|| 2°Fig.Elleimplorelesmoyensd'arriver nè-1'),adj.|| 1°Quiesten sus, quis'aa-di-si-o-nèl, 9. VOLT. Newt. i, à lui, d'y adhéreréternellement, Lesarbresaugmentent — PASC. Conv.du joute.Unarticleadditionnel. de d e ÉTYM. ad et Âdxquatus, adxquare, P. C'esttropadhérerà vospeines,BOSS. denouà, en grosseurpardescouchesadditionnelles Lett.abb. É QUITÉ). àtouteslessèvesentrel'é- eequare,égaler(voy. 48.|| 3°Êtredupartide,dusentiment veauboisqui seforment de.Adhérerà ÉE Termede adj. sur les t ADEXTRÉ, (a-dè-kstré, ée), au sentiment d e corceet le boisancien,BUFF. De Exp. végét.blason seditdes l'avis, quelqu'un. cecôtéils enontune autreà 2"mém.|| 2° En matièred'imposition, qui piècesqui adhèrenttropvisiblement à l'erreur,BOSS, Or.add. sou, centiPaladextréd'unecroix. C'estun crimede hautetrahisonde prendrelesarme additionnels,partiealiquoted'unimpôt,qui leurdroite. —HIST. la maindroite,conduire]mescontrele roi, ou d'adhérerà ses xi"s. [Donner s'y ajouteet qu'onfait payeren suspar.lescontriennemis, Roi.488.|| xm"s. FÉN. Espanelizforsle vait adestrant, t. xxn,p. 444, LeroiobligeaM.de Cambrai buables. à —ÉTYM. Garsions toutpleinsd'ireahautement parlé: «Aies, souffrirquesonlivrefûtexaminé Addition. ses adversaipar >•Et paieni coru- resoupardesprélatsquileuradhéraient, le françoisdeffaé. oua-di-sio-né ADDITIONNER (a-ddi-sio-né ), v. si m'amènes ST-SIMON, Confirmer a. || i° Ajouterplusieursnombresl'unà l'autre. rent, si Montadestré, Ch.d'Ant.v, 298.Maint 46, 24.,|| 4°Termede pratique. ou apl'adestrent hautbaron moult et en additionner Rerte, u n a cte de debonairement, prouver premier par un acte subséquent. pharmacie, || 2°Enchimie 9.|| xv"s. Laroinede Franceadextréeet menée Lacouradhérantauxconclusions sucreun sirop,y ajouterun peudesucre. duprocureur géet le choeur —ÉTYM. Addition. jusquesaugrant parmil'église autel, néral.... montasurun — HIST.xv" s. Et quantaux requestesqu'ils ADDUCTEUR m, iv, 4. Leroi d'Angleterre (a-ddu-kteur). || l'.Adj.m. TermeFROISS. -d'anatomie.Qui rapprochedel'axedu corps.Un petit palefroy,un blancbastonen sa main,adex- avoyentfaictestantdeadhérerà la determinacion ID.I, I, 284. muscleadducteur.|| 2°S. m.Lesadducteurs dela tré de sesmareschaux, des cardinaux,commeà leur donner conseil.... et droit —ÉTYM. DEXTÉ(voy. CHR.DE Ad, à, dexter, C/i.v,3, 54.|| xvi»s. Leviceadhère jambe. PISAN, —ÉTYM. de de a ux et RITÉ). entrailles de celuyqui s'en est une toujours Adductor, adducere, ad, h, ADFORMANT ANTE (ad-for-man , man-t'), foisemparé,AMYOT, DUviceet dela vertu,3.Tulè+ , ducere,conduire(voy.DUC). sert Terme de à la s. Qui c e Termed'anatogrammaire h ébraïque. veras muscle adj. ADDUCTION(a-ddu-ksion), largeavecleditcuir,auquelimméf. formation. Lettres a dformantes. diatement il adhère,PARÉ, mie.Actiondesmusclesadducteurs. iv, 3. La matièreter—HIST. et xvi" s. Aucunsont vouludire quece — ÉTYM. restredu s'adherant contrela tuniquede Ad,à, former. sang, ADHÉRENCE muscleaideaussià l'adduction des doigtsversle Palsgrave (a-dé-ran-s'. , p. 49,re- l'artère,s'endurcistet devientosseuse,ID.V, 30. commande de a vecl'h 29. prononcer aspirée,ad-hé- —ÉTYM. PARÉ, IV, Adhxrere,de ad, à, et hoerere,être poulce, —ÉTYM. 1°Etatd'unechose estcolquitient,qui estle fréquentatif Adductio rence),s.f.|| (voy.ADDUCTEUR). attaché,donthsesitare (voyHÉSIléeà uneautre.L'adhérence de deux entre tirédu L'ancien f rançais é tait corps aderparticipe passéféminin TER). t ....ADE,suffixe, aerdre,provençal eux.L'adhérence du avait c ontracté adaouitalien au pistil. L epOumon avec de espagnol ata, correspondant pardreetaerdre,venant, changement conjuIl s'étaitforméune gaison,deadhserere uneac- desadhérencesavecla plèvre» aulieude adhserere. Pourtant ticipepassifdu latinen atus, et exprimant entrela et le de adhérence l'oeil. le à tionquis'estfaite,comme dansoeillade, paupière globe côté de avait provençal, aderdre, adherir,ahecanonnade, 2° aimel'unitédoit avoirune etc. || Fig. Quiconque rir, qui,tout enchangeantla voyelle,avaienteonimmuable à l'ordre adhérence BOSS. Termede servél'accentsur la mêmesyllabeque dans le ADELPHE épiscopal , t (a-dèl-f ), adj. botanique. 2. La foiest uneadhérence d e coeur à la latin. soudésensemble. Bourg. Quia lesfiletsdesétamines —ÉTYM vérité I D. Char.4.Vous n'avez bien frère. éternelle, IVE( a-dé-zif pas 'ASEXÇÔÇ, f ADHÉSIF, , zi-v'), adj.Termede de faitdevousconfesser l'adhérence à cette s. Terme de ADEMPTION jurisprière, Qui (a-dan-psion),f. pharmacie. adhère,quicolle.SubstanceadLett. à bb.24 3. L'adhérence ducoeur à ED. desbiens d'un d'unedonation. Révocation legs, hésive. prudence. —ÉTYM. —ÉTYM. invisibles et M ASS. de et Adhérer. éternels, Myst. Assomption. Ademptio, ad, à, emere,prendre. —SYN. ADHÉSION. +ADÉNITE dansles ADHÉRENCE, Union,jonction ADHÉSION (a-dé-zion (a-dé-ni-t'),s. f. Termedemédecine. ; dequatresyllabes d'unechosequi tientà une autre.L'adhérence est vers),s. f.|| 1°Union,accolement. Inflammation desglandes. L'adhésion de — ÉTYM. l'étatd'unechose l'adhésion e stl'action l'écorceaveclebois.|| 2° Fig.Actiond'adhérer,de 'AS^v,glande. quiadhère; d 'anamême d'adhérer. Delà il a lieu donnerson assentiment.* L'adhésion fut générale; IADÉNOLOGIE (a-dê-no-lo-jie),s. /'.Terme découle,quand y tomie.Partiequitraitedesglandes. de distinguer,la différence dansl'emploidesdeux Donnersonadhésionà quelqu'un,à un projet;
ADJ ADJ ADI 52 — t^-m.Adhoesio,àeadhdcrere Adieu111° Situéauprès. Lieuxadjacents. desterrai Dites: Bonjour,comment vousportez-vous? Acquérir (voy.ADHÉRER). auxsiennes. est à ce loc.adv.Expressément, adjacentes L'Algérie adjacente pour doitseréserver pourle départ. (a-do-k), t ADHOC — la xnie adieu!Saluez l eDésert L 'élévation dusolde Proclamons HIST. s. a d hoc. moi, qu'onappelle l'Egypte Sire,dit-elle, l'objetmême.Répondez Et monfrère, Berte,iv. || XVes. C'estbiendésiré s'opèreen mêmetempsque cetteextensionde sa Faiteaunomde la ProTidence SainteAlliance, Sansdesbourser pasungdenier, surface,etle fonddu lit des fleuvess'élèvedans quesigneun congrèsadhocEntreAlger,Tuniset quantonréchappe, EtdireadieuautavernierEn torchantsonnezàla la mêmeproportion SainteAlliance. quelesplainesadjacentes,cuv. BÉRANGER, Maroc, —ÉTYM. la Repuefranchedu souffreteux. Révol. p.'MB.Il 2°Engéométrie, anglesadjacents, Ad,à (voy.À),et hoc,cela(voy.HOC).nappe,VILLON, eu l'un Il se conforte d es avoit immédiatement à l'autre,de loc.adv.ArADHOMINEM angles contigus gracieuses paroles q u'il (a-do-mUnè-m'), f lui avoit manière à avoir uncôtécommun. Nese metqu'ad irecteau dire-adieu e t de b aillé, || l'espoirqu'elle gumentad hominem,argumentattaquant et LOUIS à quil'ons'adresse. mentla personne xi, Nouv.48. Jevousbaillele grandcongé prèssonsubstantif. — ÉTYM. disle XVI" s. Ilseurentcharged'allerpar tout vous Motslatins: ad, à, et hominem, grandadieu;velàl'huis,prenezceche- —HIST. venus sans le Peloponese, et delà passerdansle paysdes Lol'homme min, ID.ib. 68. || xvi"s. Ils estoyent ; àl'homme. invitation aussise sontilsretirezsans en la terrefermeadjacente,jusques loc. a dv.Pour l 'hontoute ADHONORES ]; criens, convey[ (a-do-no-rès), C'estuneplace direadieu,CARL. enla contréede l'Acarnanie,AMYOT, Péricl.37. IV,26. neur, sansfonctionni émolument. — — et c 'est-à-dire vousrecomÉTYM. À ÉTYM. adhonores. Dieu, je Provenç.adjacent;espagn.adyacente; —ÉTYM. les honmande à Dieu de à et bourguig. aidieu,aidey; ;pieard,adé; adjacens,dead (voy.À),et jacêre,gésir(voy. Àd, (voy.X), honores, ital.addio. a neurs,de honor,honneur(voy.HONNEUR). •provenç. dieu;espagn.adios; Termede ma- GÉSIR). s. m. ADJECTIF ADIANTE (a-dieu-va), |(a-djè-ktif, kti-v').|| i° Adj.m. Terme ( a-di-an-t '), s.m. Termede botani- f ADIEU-VA le limonier d onne à l'éCommandement l'on degrammaire. Nomque jointe, unsubstantif que pour que.'Genrede plantesde la familledesfougères,rine. ouledéterminer. en médecine,quipaged'unbâtiment dontdeuxespècessont employées pourvirerde bordventde- le qualifier Grand,bon,utile,sont vant desnomsadjectifs. deuxgenres:Quitient sousle nomde capillaires. || 2°Avecles —REM. EUSE(a-di-peû,peû-z'),adj.Termedel'adjectif. faitcemot ADIPEUX, Uneformeadjectivé. Ledictionnaire del'Académie || 3°S.m.Heureux a fait Graisseux. Lamêmecause lefaisaientd'anatomie. est toujoursinque estun adjectif.Enanglaisl'adjectif féminin;maisles éditionsprécédentes Lesadjectifssedivisent endeuxclasses : déclinable. genrequeluidonnentaussiles livresde la veinenomméeadipeuses'est haussée,DESC. masculin, 6" 4. lesadjectifs déterminatifs ouarticles, c'est-à-dire ceux c'est doncunefautede la édition..Foetus, botanique; 6 — membrane HIST. xvi s. Ellen'est sansrien à la du s. —HIST. xvi° Scolopendre, simple, qui, adianthe,politricon, que ajouter compréhension subà : dunom mesléeparcyparlà avecla gresse soysubjacentestantif,indiquent 64.[|N'écrivez pasadiantheparunth. positivement l'application PARÉ, de a ce estredite i l dansla ne se mouille et auxindividus —:ÉTYM. pannicule adipeux,PARÉ, auxquels peut appartenir 'ASiavto;, qui pas, pour peut . ID. 25. mouiller. 6. Etsontditesveines telssont a dipeuses, I , le,la, les, tout,aucun,etc> I, circonstance; privatif,etSiaîvsiv, — Ontrouvedans i° a dv. ÉTYM. et les ouproprement ADIEU(a-dieu,au plur. a-dieû).|| Loc. HésyAdeps,graisse. adjectifs qualificatifs dits,ceux del qui,sansdéterminer, restreindre lesubstantif, dontonsesertparcivilitéen prenantcongé.Dire chiusâ).e. éternelsadieux,ID.Orphd.x,6. [6 nature]Quoirare; maisil neparaîtpasque errarepuissedon- t ADJECTION s.f.Terme (a-djè-ksion), didactique. donc!n'aimes-tu aumoins c elui N 'asnerirer; et lesformesendirer,esdirer(voy.L'HIS-Jonctiond'unechoseà uneautre. pas quit'ajme? tu pasdepitiépournotreheuresuprême? Nepeux- TORIQUE) dé adjicere indiquentpour radicalnon irer, mais — ÉTYM. Adjectio, (voy.ADJECTIF). doncen revenirà l'opiniondeNublé ADJECTIVEMENT adv.En tu, dansl'instantdenosderniersadieux,D'unnuage direr.Onpeut (a-djè-kti-ve-man), de deuilte voilerà mes yeux?LA'MART. Motemployé Harold, dansMénage.Nublétire cemotde à dire, signi- manièred'adjectif. adjectivement. 42. || 2° Fig. Direun adieu, faireses adieux, fianteneffetmanquerdansla locution suivante : /{ — ÉTYM. au Adjectivé féminin,et ment. renoncerà. J'ai dit à "vos autelsun éterneradieu, s'y est trouvéà dire un écu.Et qu'onne croiepas ADJOINDRE (a-djoin-dr'). || 1°F. o.Seconjugue St -Genest, onla rencontre d èsle XIIe s . ROTROU, m, 6.Vousallezdireaumonde cettelocution comme J oindre U ne ou joindre. récente, plusieurs personnes unadieuéternel,MASS. AdieuAisicumnefn'enfuà dire,I arriventà sauvement,àuneouà plusieursautrespourfaireunechose. Prof.i. || 3°Proverbe. sontfaites,se ditd'uneaffaireBENOÎT, paniers,vendanges Chr.deNorm.f. i 09.Delàauverbeadirer, Onluiadjoignitunaide.Il s'adjoignit un collègue. sans et quelquefois manquée ressource, simplementil y a très-près;et il faudraconsidérercommeCeuxquela fortuneluiavaitadjointspourcompad'uneaffairecomplètement terminée. desformesmoinsexactesen-direret es-direr.Voy. gnons.Adjoignez-vous desgenscapables. || 2°S'ad—.SYN. BONNE NUIT. desmots de cette v . Se ADIEU, BONJOUR, faireassocié. Il s'était BONSOIR, pour composés façon,AFFAIRE, joindre, réfl. adjointà Formules desalutation oùl'idéecommune estcelle AFFAIRÉ, etc. desvoyageursqu'il avaitrencontrés. ALARME, ALARMÉ, ALITER, Adjoignezd'unsouhaitde bonheur.Adieuse dit quandon ADITION s. Terme d edroit u sitédans vousà desgenscapables. (a-di-sion),f. aditiond'hérédité,acceptation —HIST. prendcongé; bonjour,quandon se rencontre;cetteseulelocution, XIH" s.Pordiverses oevies demisericorde bonsoir,quandon prend congéle soir;bonne d'unesuccession. onfeitet fera en ladite abaïeet en l'pspital que nuit,quandonquittequelqu'un d e à et aller qui va secoucher. —ÉTYM. 253. Aditio, ad, (voy.1), ire, ajouint,TAILLIAR, Recueil,p. Porqueiil sereit Encertaines on mallemot a dieu: l efut. misenfaus provinces emploie IRAI). gages,porcequ'ilauréitajointle cop ainsil'on dit: Adieu,commentvousportez-vous?(voy. ENTE au Ass. ADJACENT, (a-dja-sanjsan-t'), adj. murtre, deJér.t&8.(Jxiv s Laviedeceui
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selonvertun'a mestierd'autredeletta-demandeurses conclusions,rendreun jugementquel'Égliseadmettait au nombredessiens.Lespléquioeuvrent tele a sadeletconforme aux du à ellesoit car vie demandeur. 3°Déclabéiensfurentadmis prétentions aux cion,qui adjoncte, || honneurs.Il admetdans tacionet sonpropredéliten soyet de soymeisme,rer parautoritéde justicequ'unepersonnedevientsa confiance ceuxqui.... Onne doitadmettredans Eth.-i9.|| xvies. LecomtedeMeursseren- propriétaire d'unbien meubleouimmeuble misà cette écoleque lesjeunesgensqui....Il futadmis ORESME, l'enchère. 4°Seditde ditchefdesonarmée,et y ajoingnitquelques même des pla|| fournitures,des dansl'amitiédecegrandhomme,ils l'admettaient Hist.II, 460. travauxproposés aurabais.Onvientde luiadjuger danstousleursconseils.Il déclaraqu'il n'admetces, D'AUB. — ÉTYM. d esrues. à || 5°Dansle langagegénéral, traitpersonneà partagerle prixdela victoire.IdoAdjungere,de ad, (voy.&),etjungere,l'éclairage le prix.Il s'adjugea la ménéerégla sa table, oùil n'admitquedu pain attribuer,décerner. Adjuger j oindre(voy.JOINDRE). Un choseen I l voulait le fût au TE(a-djoin,join-t'),part, passé. litige. que prix adjugé excellent,du vin du pays....FÉN.Tél.xii.L'adADJOINT, Hist. M embre à unecommistrésor B OSS. m, 7. mettredans sa confidence professeur adjoint. adjoint public, et danssaplusentière — HIST. xineS.Chose des sion. ajuigieparlacort,Bio?.. familiarité, BOURD. Pensèes,t. 11,p.433.Dansundésir as467. xiv° s. Lemarié s. m. 1°Celui est ADJOINT ardent d 'être Chartes,vsérie,t.n, p. admiseà la béatitudecéleste,ID.ib. (a-djoint), |[ qui || peut sociéà un autre.Momus a prispouradjointsDesri- cognoistresa cousine nonpascommesoncousin,p. 447.Rome....N'admet avecsonsangaucunsang .meursd'école,BËRANGER, Gaudriole. R AC. || 2°Officiermaiscommesonmariadjugiépar l'Eglise,ORESME, 2 étranger, Bérén.n, .Admettons-nous quelque i64. xve s. Si duché de Eth. Bretaassiste l e maire. 3°Terme de Mot l'adjugèrent autreà cethonneursuprême?VOLT. grammaire. || [le qui || de Ces. Mort sansenfairepartie. gne]à messireCharlede Blois,et en osterentle 11,4. Digne,unjour, d'êtreadmisparminos ciquiestajoutéà uneproposition DansceversdeDeshoulières :Hélas!petitsmoutons,comtedeMontfort,FROiss. i, 1^64.||xvi" s. Dettes toyens,ID.Orphel.1, t. On le leur amène,cet sont'celles êtesheureux! h élasest un Les quisontadjugéespar sen- hommepropreàparerlesavenuesd'unefoire,et à adjoint. privilégiées quevous sontpourla plupartdesinterjections. tences,servicesde mercenaires, louagesde mai- être montréen chambrepourde l'argent;ilsl'adadjoints —HIST. de 684. xvi"s. En laplacedu duc Parmefut sons,etc.LOYSEL, mettentdansleurfamiliarité, LABRUY. J3. Il 3°Adde ad à et avecdeuxad- —ÉTYM. establile comteCharlesdeManfeld Adjudicare, (voy.À), judi- mettreà, permettrede. Il fut admisà défendre iln'ordonnoit Hist. care,juger(voy.JUGER). rien,D'AUB. sonprojet.Admettre joints,sanslesquels àsejustifier.Admetquelqu'un en de 320. ADJURATION (a-dju-ra-sion ; poésie cinq tezl'innocence à réprimerl'outrage,ROTROU, m, Re—&TYH. 1°Formule d ont s. l'Eglise lis, 6. Il Adjoint. syllabes), f.\\ catholique v, n'y avaitpointd'hommesi souillé ADJONCTION (a-djon-ksion ; enpoésie,de quatre sesertdanslesexorcismes. || 2°Enlangage général, quela religiondu Christn'admîtà repentir,CHAd'unepersonne oud'une prièreinstante,sommationavec prière.Aprèsde TEAUB. s. /. || i° Jonction syllabes), Génie,1, ,vi2.|| 4°Reconnaître pourvériladecethomme d'af- longuesadjurations, illuifit avouer.... choseà uneautre.L'adjonction table.Admettreun privilège.Les épicuriensadd'unelettreàun —HIST. xvi"s. Et defait,parunesemblable ad- mettaientdesdieuxoisifs.Lesastronomes fairesà lacommission. L'adjonction admettent à la liste électorale.Onne jurationquefontlesPharisiens de l'évangile mot.Lesadjonctions saint- la gravitation cause du mouvementdes corps pour Inst. 290. célestes.Toutlemondeadmetaujourd'hui jugeapasà proposd'enfaire signerdavantage [des Jean, il appert....CALV. queleso— enréserveren liSYN. en leil adjonction, est aucentre du ST-SIMON, monde Moncoeur,quis'ipairs],pour ADJURATION, CONJURATION,signifient sorted'ellipseturgieles parolesdonton se sert pourexorciser.gnore,Peut-iladmettreunDieuquemon grammaire, 283,.Hist. n, 6. L'innocence généraux elles hauteursi amonestacion. Vous d'une Hist. prodigieuse [les despeuples,». ui,6. espagn. faisaitl'admiration plutôtque une certaine ÉE ou ADMONÉTÉ, ÉE(a-dmola conserver de a pparence deces conseils Providence, ADMONESTÉ, admiration serezen étoiles]puissent 46. nè-sté, stéeou a-dmo-né-té, tée,), part, passé. ID.Hist.m, 4. Toutela courfut dansl'admirationetqu'onnelesperdepastoutesdevue?LABRUY. m oi tantd'éclatantes estune très-légère 7. c omme Ellefut 1° H AM. Gramm. Vousadmirerez que admonestée, qui dece || dela magnificence présent, acte' anéantiessurle pointdepro- peine,SÉV. 422.|| 2°S.m.Entermesjudiciaires, se soient de tout le pays, préparations Un parc qui faisaitl'admiration 3. Les Prov. L'admo'nêté plus parlequelon admonétait. n'emportait 406.Ils paraissaientpleinsd'admiration pour duireun si grandeffet, PASC. SÊV. d'admirer sontcontraints amis d'interdiction. desabonté[de aveugles devos que point Tél.xrv.L'admiration Protésilas,FÉN. calomnie d'étendre cette ou méchants ouADMONESTER de àl'adétési ADMONÉTER 340. C 'est ànous vous que (a-dmo-né-té répondre ayez m, Dieu],FLECH. 46. O n adID. i b. u sitées. de Lesdeux sont a-dmo-nè-sté. religieuses Port-Royal, prononciations mirationQueRomeen expirantconserveà notre jusqu'aux d e tout c e viens dire, B èze l'univers d evoir Dans l e xvies. 4. mirera que je Qu'à prononceamonester,et Palsllort de César,n, que,malgré nom, VOLT, étaient t oulesdeux de et prononce vousn'ayezpascessé publierqu'ils p. 23,écritammonester grave, surpriscettegrandeactionSoitun objetd'horreur ID.ib. 47. Pourquoiatlmirez-vous m. La syllabene, dansadmonéter, ID.ib. ni, 2. Je haisles admi- jourshérétiques, prendl'accent ou d'admiration,' sommes nous H, 3. que nousnous soyons qui trompés, quisuitestmuette,maisau rationsfondéessur des contes, ST-ÉVREM. grave quandla syllabe v.a. ID.ib. 48.Vousadmirerez tient à ses deshommes? quela dé- futuretaucondit.:amonéterai, amonéterais), || 2"L'objetmêmequ'onadmire.On êtretraitée dontonse servaitaude la votionquiétourdittoutlemondeait pu vieillesadmirations.Il devientl'admiration Il 1°Termede jurisprudence ID. avec une telle prudenceque.... trefois, lorsqu'unPéch. particulier ayant commisune parnos pères Ninive,MASS. superbe cettemême —HIST. pointque fautequineméritaitpas une grandepunition,le xiv°s. Une faitpas gransadmiracions;ib. 49.Maisn'admirez-vous haine? à d esa le mandaitpourlui faireuneremontrance. Eth.424. reineLe donnepourépoux l'objet caril ne reputechosegrande....ORESME, juge où Rod.I, 4.J'admirede le voir au point Mmede Dreuxsortithierdeprison;ellefutadmoEt pource queil cuidequel'enfacede luygrande CORN. Éc. desF. I, 6. Etj'admiredevoir nestée,SÊV. 422.|| 2°Engénéral,faireuneremonet grantloenge,ID.ib.447. || xv°s. On le voilà,MOL. admiration le sensdesmotsetla pierre tranceà. Decesmêmesdiscoursses filsiladmoen feroitun livre [despunitionsde Dieusur les cettelettreajustéeAvec admirede s'y voir neste,RÉGNIER, A Sat.v. Onaurait.....obligation vin, 47. jetée, ID.ib. in, 4. L'homme princes]et de grandeadmiration,COMM. fitunegrandeadmi- placé[dansl'univers],sanssavoircommentil y a quipourrait Admonéter parnomet par surnom Quandil vitcestecouronne,il admirerons denous Étrennesaux Cesennemis été mis, FÉN.Exist. 10.Nous jurésdela raison,VOLT. ration,feignantque rienn'en sust, L. XI, NOUV. la du n ous-mêmes 60.|| xvi"s. U a bien apprisà diretouteslesadmi- y reconnaître [dans peinture sots. nos nos ennemis,ceux —HIST.xn"s. Entrevouset le reiavezesté il le du rationscomme Jésus, plus monde,oh, oh, peupleathénien], amis, avec medlé;L'apostolies araisuné et quecetteressemblance l'ena so'vent ; Liprélat Confes.avecquinousvivons, y a del'excès,c'estpouren mourir,D'AUB. Th. le Mart.84.'Et deshommesséparéspar tantdesièclessoitsi en- dureaumel'enunt amonesté, n, 4. Corneflle a emDisc,sur Théoph. || celéqui samortdésire,Del'autrepartli amonesté —ÉTYM. Provenç. admiracio; espagn. admiracion;tière, LABRUY. : Admirez Quecespri- Qu'isnelement li trant[tranche]la teste, la Chaital. admirazione;de admiratio, de admirari, ployéle queavecl'indicatif illusion cozeau sesonniersmêmeavecluiconjurésSouscette admirer(voy.ADMIRER). rette,2920.|| xiues. Ilest convenable 7.N'admirezdelorsvoHéracl. metent v, ÉE (ad-mi-ré, qu'ily rée),part,passé.Chosecouraientà la vengeance, gneurqu'illesamonesté ADMIRÉ, ?SËV. 4(3. lenté soufîsament, BEAUM. admiréedu peuple.Ce généraladmirémêmepar vouspasqueDieum'aôtécetamusement XLIX,5. Et doit cis en de ce amonestés meffèsestre sesennemis.Onle questionna,il fut admiré;on || 5° Par critiqueou par ironie, parlant parsainteEglise,ID.XI,43. franchise s'iacorde, résolutde le faire roi, FÉN.Tel.vi. Cetteîle [la quiparaîtexcessif,étrange.Jevousadmiredevou- Depecheorrhisericorde,Puisque J'admire a vec Etlevousprieet amonesté ; Nerefuséspas sa repar loirqu'onsuiveentoutvosconseils. Crète]admiréedetouslesétrangerset fameuse de queste,la Rose,3326.|| xives.U n'appartient pas sescentvilles,ID.ib.v. U étaittellementadmiré quelle"hardiesseces personnesentreprennent Cousin. J 'admire ma le admoPASC. édit. refuser c elui l'onnefaisait a ucune difféde fuirou le monde au detout qui magnanime que parler Dieu, Fest. nesteen raison,'ORESME, les et la faiblessede moncoeur,MOL. Eth.420,Il ensaignoit deDelphes,ID. simplicité renceentresesparoleset lesoracles cetimpertinent; bien.... Philos.Pythag. et,pen- marinierset amonestoit dePierre,i, 3.J'admirais que il gardassent toutbas.... —REM. tout disais d eFlandres Gui haut, je ID.ib.i. || xv°s. Messire quiadmoAdmiréde, admirépar. Onest admirédantqu'il parlait debienfaire Lettr.pers.50. nestaitet prioittousles compagnons par tout le monde,,quandon reçoitde tout le MONTESQ. V. Uneâme séduite s'additau ditherault on estadmiré S'ADMIRER, qui FROISS. plumondedes marquesd'admiration; réfl. i, i, 69.Et [LouisXI] est le d'Anà raisons admonester detoutle monde,quandon inspireà toutlemondemire elle-même. toujours prête sieursautres roy L'ignorance pouf exalté et A.P. BOIL. dessentiments LAFAYE. i.'Loué, portéjusd e avecqueslui, s'admirer, appoinctement d'admiration, gleterre prendre de certaines se sont vaillance chevaleu1° a mour et ADMIRER v. a. Considérer avec cieux g ensqui 6. Comme par COMM. (a-dmi-ré), || iv, qu'aux LA BRUY. 4. des souventle courage bonsà admiration. Adrasteadmirait réciproquement, reuseadmonestent malgréluice qu'ilve- promisdes'admirer delesveoirsi doulceset entreprendre xviQ s. J'admire choseshonorables,Hist.de Bouciq. naitde voir,et n'osaitle louer, FÉN.Tél.xx. La —HIST. 4 70. I, 46. || xvies. Ses amisl'admonestaient qu'il reGrèce,l'Asieet touteslesIlesl'ontadmiré[Ulysse]molles[lesguerresciviles],MONT, i, Sol. 65.Estant les —ÉTYM. admirai;deadmirari,dead', gardastà ce qu'ildisoit,AMYOT, Bourguig. malgrésesdéfauts:millequalitésmerveilleuses Admirerbienconfesséet admonesté, aiant baisésafemme fontoublier.Voussereztrop heureuxde pouvoirà (voy.A),et mirari,regarder (voy.MIRER). on et ses enfants,D'ÀUB. l'admireraussiet de l'étudiersans cessecommeparaîtêtrerécentdansla langue.Anciennement Foen.m, 2. Quiestadmoamirablese trouve nestéestà demyarmé,PALSGR. votremodèle,FÉN.Tél.xn. Quelexcellentmaître disaitse merveiller. Cependant p. 447. — siècle. e ÉTYM. queceluiqui faitdesouvrages,je ne dis pasque danslestextesdu,xme Berry,amonélert amonnéter;proleshommesadmirent,mais qu'ilscraignent 1LA ADMIS,ISE passé.\\i° Reçu. venç.et espagn.amonestar ; portug;admoestar; (a-dmi,mi-z'),part, le admis à la tabledu faitd'uneforme BRUY. 46.Lacour,...Distingua naïfdu platet du Députés admis.Cesgens prince. d'unverbebas-latin,admonestare, Et laissalà province admirerle Typhon,Admisdansunecorporation. de admoou admonistum, Citoyennouvellement bas-latinadmonestum bouffon, BOIL. A.P. i. Onadmireensecretsanaissance et son admis.Admis au partage.Lesconversations légères, nere, avertir,de ad, à, et mànere,avertir(voy. e nlafine leslettres et MOMTION). RAC. 6. Ce grandroi, pluscapable lescercles, plaisanterie, enjouées sort, Iph.v, cored'êtretouchéparleméritequeparlesang,nese familières,lespetitespartiesoù l'on étaitadmis f ADMONITEUR s.m. ]|i°Celui (a-dmo-ni-teur), LA lassaitpointd'admirerles exceuentesqualitésde seulement de t outa BRUY. avec l'esprit, Pourleshommessupédisparu, qui faitdesadmonitions. BOSS. Duchesse Admirons la en d eschoses. C'est u necoud'Orl. ici 43. 2° onestunadmoniteur sévèrequileuraprieurs la Madame, piété || Reçu, parlant , religi la a susibien les leshommes. 3°Reconnu de reine,qui conserver précieuxtumeadmiseparmi || pour prendà s'humilier,CHATEAUB. Pensées,287.|| 2°Au restesdetantde persécutions, ID.Reined'Anglet.vr&i.La versionla plusgénéralement admiseest noviciat desjésuites,admoniteur est un titre d'ofSi l'oneûtpu avancercesbellesannéesdontnous que....C'estun faitadmis. fice; c'est un desplus ferventsnovicesqui est admironsmaintenantle coursglorieux...ID.ib. t ADMISSIBILITÉ s. Etat (a-dmi-ssi-bi-li-té),f. chargéd'avertirlesautresdecequ'ilsonta faire,Le
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dansRAYNOUARD. généraldu mêmeordrea sonadmomteur, quiest che....E.DESCHAMPS ]| xvi0s. Par certaingenredetravail.Sedonnerà l'étude,c'est uneespècede surveillant, nomméparla congréga-ce moienle cardinal,de qui les meschancetez s'y livrersans réserve;s'adonnerà l'étude,c'est tion générale,pourl'avertiren secretdeses fau- avoientestéodieuses sereconcilia avec auparavant, simplement s'y appliquer.Il y a doncunenuance tes. || 3°Quelques defillesontaussi Sigismond congrégations ; s'etantadomestiqué , persuadaà son entrecesdeuxexpressions ; et la premièreestplus desofficières l enomd'admonitrices. cousind'ouirmesse tousles D'AUB. Hist. forte l'autre. quiportent matins, que — 506. —ÉTYM. A DMONITION. L'ancien d isait HIST. xves. LejeuneEdouard,qui futdepuis III, Voy. français admonesteur. —ÉTYM. A(voy.ce mot),et domestique; s'adonnoit provenç.roi d'Angleterre, plus et s'inclinoitde ADMONITION s. i° Action i tal. L'anet addomesticare. d'amour s ur adomesgar,adomesjar; regard (a-dmo-ni-sion),f. || Philippe[filledu comteGuild'admonêter. cienneforme est L'admonition a étéabolie.|] 2°Averadomesti-laume]quesur lesautres,FROISS.I, française adotnescher; I, 45.Adonné tissement.Aprèsavoirinutilementtenté près de quera étérefaitpostérieurement surle latin. à touslesplaisirs,COMM. 48. xvi°s. MaisDieu v, || moilesadmonitions En Marcellin adv. ce moment,alors. ce biennem'adonnéQuevostrecheminadonnéSe charitables, employa f ADONC (a-don-k), lesmesuressévères,CHATEAUBR. Mart.432. AdoncDariuspoussesa dague,et d'aventure n'attei- soiticy....MAROT, il, 440.Futl'humaingenreas—HIST. xiir s. Ets'iln'obeistà l'ammonission, irement gnitquele mage,p.L.CODR.II, t9(.|| Vieux. estonné,Ettoutle mondeàl'horreuradonné — il doitestre escommeniés HIST. xn' s. Adonc a urezvostre BEAUM. vouluttoutessciences guerrefinie, enproie],ID.IV,22.Sçavoir publiquement, 8 43. "xvi s. ceux sontrebelles à son lloncisv. 28.Adonc florist mescuers et mesvouloir Et estcelle Que h XI, || qui p. wnnes', qui quoytu ne t'adonnes,ID. admonition a fin chavin. xm*s. Il estoit soientnotéset marqués que Enboneamour....Coucy, || IV,499.Encorequemonfeupèreeustadonnétout cunles fuie, CALV. -18.AdonttenoientFranc sonestudeà ce queje prouffictasse.... 298.Sachantquesafemmees- adoncquaresmes, VILLEH. RABEL. Pant. -toitretrouvée dubonarchidiacre,lesTyois[Allemands] desfaietzdenature, parl'admonition pouramis,Berte,Y. || xveS. n, 8: Quantà la congnoissance 4 MARGUER. 26. l'ande nostre de Nouv.64.Amonition, o.DESERRES, Cefut l e tu te adonnes p. grâce seigneur326, jour je veulxque y curieusement,ID. -^ÉTYM. ital. Noël fut couronné E douard et Pant. 8. A raison de il amonicio; ammonisione; pouvoit Provenç. [que III], n, quoy le faulttousjours de admonitio,de ad, à (voy.À),et monitio,mu- avoiradoncenvironseizeans, PROISS. 27.Il addoner[l'entendement] à ce quiestle meilleur, I, I, nition(voy.ce mot). n'estoitadonequesriens dont il eust si grant AMYOT, Péricl.i. Ilss'addonnent auxexercices que de son C OMM. 7. t ADNÉ,NÉE(a-dnè,dnée),adj: Termed'his- crainteque perdre auctorité, VI, plusvoushonorez,ID.Cat.16.L'estudedela phitoirenaturelle. attachéà une || xvi°s. Lesgendarmes.ont Quiestimmédiatement jeté le sort,quisetiroit losophieà laquelleil s'adonna,ID.Pélop. 4. On 460.Etsi peutaffermer,quandils s'adonnent choseet paraîtfairecorpsavecelle. adoncd'unchapeauoud'unbocal,CALV. à bien, qu'ils — ËTYM. est diraLes d e d e et n é. tout 85.Poursauverquelques confus,quiadoneques hymnes sontexcellents, Âdnatus, ad, à, natxis, LANODE, ton nombénira? RONS. 872. le s. Termede ta et Quand maisons d e et Gergeau,silebesoin t ADNOTATION gloire h ommes (a-dno-ta-sion),f. gentils chancellerie. du à une sentiment dufeufut à la chair Réponse pape supplique, passéjusques vifve, s'y adonnoit,D'AUB. Hist.n, 494.Afinaussid'adoncetteréponse lesboeufs à sedébatre,AMYOT, neconsiste nernoscoeursà l'amourd'icélle[justice]et à une quand qu'enunesignature.adonccommencèrent — ÉTYM. 4 Fat. 7. hained'iniquité.... CALV. Inst.273.Qu'onsuiveharVoy.ANNOTATION. ADOLESCENCE s. —ËTYM. 2 et ne diment riende mal, donc;wallon,adon;provenç. adonc; (a-do-lè-ssan-s'),f. L'âgequi l'esprit,lequel demandera succèdeà l'enfanceet quicommence avecles pre- anc.catal.adonchs;ital. adunque. moyennantqu'on s'adonneà sa conduite,ID.ib. mierssignesdela puberté. o ua-do-niADONIEN ou ADONIQUE 470.Il nelaissoitpas deprierau milieude lamul(a-do-niin —SYN. JEDNESSE. Dansle langagek'), adj. et s.m.Termede prosodie ADOLESCENCE, grecqueet la- titude, si l'opportunité s'y adonnoit,ID.ib. 709. adolescence et s ont Sedit d'un d'un e t d'un verscomposé dactyle Pours'adonnerdutoutàla dévotion,MONT, scientifique jeunesse synonymestine. I, U3. et expriment e ntre l'enfance et l'état nos adonner veu en l'âgecompris spondée. princess'y J'ay depuis peradulte.Maisdansle langageordinaireil y a une —ÉTYM. dela comédie], sonne[àl'exercice louable ID.I, 498. Adonùfs,deAdonis(voy.ce mot). i° Dans l a et adolescence de l a ADONIS m. chemins'adonriant au traversd'une mytho- Son nuance, désigne préférence (a-do-ni-s'),s. || église,il dela jeunesse. logie,nomd'unjeunenommecélèbreparsabeauté ne passoitjamaisqu'il....ID.I, 403.Si quelqueserpremière p artie —HIST. xiv"s.Etn'estquebienet onnestetéde et quifutaimédeVénus.|| 2°Ironiquement, à lui]....ID.II, 79. jeune viteurs'y adonne[s'attache homme faitle beauet est de ainsipasserl'aagedevostreadolescence très-soigneux —ÉTYM. À et qui qui féminine, donner;provenç.et espagn.adosa 3°Terme de Plante à fleurs xv Car et s. jeunesse ado- parure.|| botanique.. Menagier, Prologue.|| nar; ital.adonare. et ADOPTANT sonparler,nemoinsne mais)Ne sont rougesoucitrines,quiapprochedela renoncule s. m. Termede droit. lescence(G'est (a-do-ptan), vientdansles GrandTest.|| xvies. qui Celuiquiadopte. qu'abuset ignorance,VILLON, près. del'hébreu —ÉTYM. d e ou Considérez nousallaictez A vez e stéenvos"ASwviç ÉE(a-do-pté, Adonis, "ASiov, quepar ADOPTÉ, ptée),part,passé.|| 1°Ocde tre A dona% e n hébreu est le nom J. MAROT, . adolescence, Adan,seigneur. tave adoptépar César.Vousétiezdesenfantsdans Y,285.L'adolescence,qui commence if. deCes.m, 3. || Substandepuisdix-huitans jusquesà vingtet Dieu.Adonisestla formegrecquedunomd'unedi- soncoeuradoptés,VOLT. : l'adoptantet l'adopté.|| 2° Fig. Propocinq,estla tempéréeet moyenneentretousexcès, vinitéphénicienne ; la languedesHébreuxet celle tivement Introduc.6. Sabeautése maintinttousjoursdesPhéniciensétaientdeuxdialectesd'unemême sition adoptéeà l'unanimité.Règlementadopté PARÉ, florissante en sonenfance,en sonadolescence, et langue. bientôtpartouteslesnations..|| 3°Adopté,formule Paré encoreaprèsqu'ilfutdevenuhommeparfait,AMYOT,ADONISÉ, ÉE(a-do-ni-zé, devotequiindiquequela proposition estreçue. zée),part, passé. et adonisé. Aie.2. v.a. 1°Choisir ADOPTER (a-do-pté), || quelqu'un —ÉTYM. Provenç.et espagn.adolescentia ; ital. ADONISER (a-do-ni-zé) , ».a. || 1° Parer avec pourfilsou pourfilleet lui en donnerles droits v. réfl.S'a- civils,en remplissant de adolescentia, deadolescent, adoles-unegranderecherche.|| 2°S'adonrser, certainesformalitéslégales. adolescenza; Sedit surtout e n cent. avecun soin. sans ses tropgrand juster avis, Claude,qu'il.gouvernait, Jamais, deshommes. ENTE(a-do-lè-ssan, n'eût adoptémonfils, HAC. Brit.ni, 3.Toutesles ADOLESCENT, ssan-t'),s. parlant xvics. Quandsescheveuxtroussésdes- fois,tyran,qu'onselaisseadopter,CORN. m. et f. || 1°Celui, celle qui estdans l'âge de —HIST. Béracl,v, l'adolescence. || 2° Sedit surtoutdesgarçons,et susl'oreille,D'uneVenusimitentla façon;Quand3. || 2°Par extension,prendreunenfantetletraialors souventen plaisantant.Unjeuneadolescent.d'unbonnetsatesteelleadonise,Et qu'onne sçait, ter commesien.Hélas!ceJuifjadism'adopta pour est L'essaiet l'apprentissage tantneutre elle S onchef s'elle d'unjeuneadolescent 4. Mais m on sa -RkC.Esth. déguise douteux, qui fille, m, coeur,pluspru51. Atr.i, 3. Je passede.laféruleà la pourpreet dontla consigna-filleou garçon,RONS. dent, l'adoptapar vengeance,CRËB. ÉE(a-do-né, tiona faitun juge, est de décidersouverainement ADONNÉ, Qui ma part,passé. s 'apnée), DUCIS, t'adoptepour fils, adopte vengeance, desvieset desfortunesdes hommes,LABRUY. à l'étude,auvin.Grande 44. pliqueà.Adonné âme,aux Rom.m, 5. || 3°En général,se portervers,s'at- . il avaitquittéRome, grandstravauxsansreposadonnée,MAL». iy,2. Je tacherà. Adopterun parti.Adopterun plan, un || 3°Adj.Encoreadolescent ARN. Mar.à ilint. \, 2. Mérovée est ardent,et la chantedanscesverslesfillesde Minée,Troupeauxgenrede travail.Adoptant l'opiniondecetauteur. l'enfanceado LAFONT. naissante Bientôt m èneà l'amourune âme arts de Pallasdès laloi née, Le pitié proposée. Jusque-làonn'apeupleadopta L'abondance d'hommes adonnés à la LEMERC. Fréd.et Brun, 2. Filles deMinée. vaitadoptéde l'antiquitéquedeserreurs.L'Amériadolescente, i, —HIST. xvcs. Quellehardiessete meut, ojeune guerre, FÊN.Tél.xm. Alz.i, 4. queà genouxadopteranosmoeurs,VOLT. 1°Se adolescent ne tu v. livrer, N'a-t-ilpasadoptéNosclimatset nosmoeurset noroyal, quellefianceprésumes de ADONNER (S')(a-do-né), réfl,.|| habituelmettrela maynaux nymphes,J. LEMAIRE à c hoseavec dans mondesardeur, treliberté?DUCIS, s'appliquerquelque , Abuf.ni, 4. Il apprend lement. S 'adonner à a ux S'adonner PALSG. l'étude, plaisirs. p.35.ib. xix.Nepourrai-je addolcarè et àdrious,Que adosserLesfolsdeliset oublier,Unicornecirvosinflexibles sommes moeurs? VOLT. Ali. iv, 1.1|3°Au dolciare;de ad, à (voy.À), et dulcis, doux.Les et serpent.|| xiv*s. Telviemenèrentlonguement,moral,rendre plussupportable. Ô vous, admira-conjugaisons romanesviennenttde deuxformes etadoserent nostreSeigneuret sescommandemens la douceur d e vos bles ; chants, bas-latin,addulcireet addulcare.L'ancienfranpersonnes,qui, par si comme vousoirezci et nostreSireles adosa, il n'estresté avezl'artd'adoucirlesplusfâcheuses inquiétudes....çais adoucerest tombéen désuétude; )0.Aussiest il des Chr. d'Él. intérim, se.t. Si d e St-Denis,ni, gens MOL. Prince après, iv, l'espoir queadoucir. de religionqui le mondeontadosséet guerpi,ib. régneret devivreenmoncoeurPeutdesoninfor- t ADOUCISSAGE Sortede s.m. 111° (a-dou-si-sa-j'), onl'avoit a insi i lvit adosxv* s. Quand que tuneadoucirla rigueur....RAC. Bérén.ni, t. Vous poliqu'ondonneauxmétaux,au moyende-lapousiv, s. || et se deParis ordonna ses il adouciriez ledestin des besognes despartit seule servantà vaincus,VOLT. sé, Orphel.sièredediversessubstances. || 2°Poussière 21.Si estaitarFROISS. toutmelancolieux, in, iv, de renrv, 6. S'ilne tarit,aumoinsil adoucitmeslarmes, adoucir.|| 3°Termedeteinturier.Manière resté auxchamps,et avoitadosséun noyer,et là DUCIS, Ose.m, 2. Ce qui porteavecsoiquelquedreunecouleurmoinsviveen ymêlantdessubstanID.n, n, 61.Nonpourtantelles'a- difficulté, commedifficile et ne cher- cesquiPéclaircissent. se combattait, ille propose l a et et adossa tendeur s'adouba de faux à l'adoucir féminine, che point ANTE(a-dou-si-san,san-t'). paisa, par tempéraments, ADOUCISSANT, 88. 4° devirilevertu.,LOUIS xr, Nouv.26. BOURD. t. de Pensées, i, p. || Calmer,apaiser. Il 1°Âdj.Terme médecine. Quiadoucit,calme —ÉTYM. deà et dos. adoucir Ital.adossare; la colère.Onparvintà sonressenAdoucir || 2°S.m.Les douleur,l'irritation. v.n. || i° N'estguèreusité timent.Rienne pouvaitl'adoucir.Lejuge quel'a- l'inflammation,la ADOUBER (a-dou-bé), le adoucissants sontlesliquidésémulsifs, principaux ondit etaux échecs,quand j'adoube, vocatdoitadoucir.Jel'irritaisencoreaulieudel'a- lait,lesplantesmucilagineuses. qu'autrictrac toucheun pion pourl'arranger, doucir,VOLT. s.m. || 1°Acindiquantqu'on parsa prudenceil ADOUCISSEMENT Orph.1,3. Comme (a-dou-si-se-man), Terme demarine. nonpourle jouer.|| 2° Rod.v, 4. Cequi irritela tion d'adoucir,état de ce qui est adouci, au Réparer, a tout adouci....CORN. raccommoder. douleuren un temps,l'adouciten un autre,FÉN.propreet au figuré.L'adoucissement d'uneliqueur —HIST. xi"s. Escuzau colet lancesadubées, Tél.xxi.Ilnefaut quelquefois maison qu'unejolie du temps,,qui devientmoins acide.L'adoucissement touz s 'a64.Li Ch.de Roi. empereres primerains donton hérite,qu'unbeauchevalouun jolichien froid.L'adoucissement de l'humeur,de la colère. t&. 2 iS. adoucir une dont o nsetrouve l e Adubez-vous; sempfesaurez bataille, dube, maître,pour grande Donner del'adoucissement àun mal.LesadoucisseRoncisv.douleur,LABRUY. ib.'226.||xn*s.Ciladobale roi Marsillion, H. || 5°Polir,ôterlesaspérités.mentsde la douleur.L'espérance, seuladoucisseRolant i b. 86. u nmonts'est 29.Desor leboisavec la O n adoucit les adobez, p. Onadoucit glaces mentdes peinesdeshommes,n'estplus un bien p. prêle. o tfaitadober e nsonmaistre d onG" En e ten Qu'il avecl'émeri. FÉN. Tél.xx.Pourvuqu'ils[lesexerpeinture sculpture,adou- quimeregarde, [Chevaliers] || s. 11 dist chevaSax.8. m oins qu'àpentecoste Ilxin" cir, rendremoinssaillant, avecl'extrêmeattention jon, tranchant;adou- cicesde piété]s'accordent liers[il]lesfera,Droitau Mansla cité;là lesadou- cirlescontours. Enunsens cettecoiffure || analogue, quevousavezà votresantéet à toute votre perla bataille 108.Esvous le'frère Adoucissez cefrontetceregard sonne;carvoilàtouslesadoucissements par adoucitl'airduvisage. bera, Série, ettoutesles dant Tangré[du seigneurTancrède] ; On l'apeloitaustère,ANCELOT, Ftesgue, 1,4.|| 7°Mitiger,atténuer, facilités trouver,BOURD. Pensées,1.1, quevousvoulez membre un chevalier d'unefaçonplusexcusable, ; En lui ot moult présenter plusacceptable.p. 348.Ilsne trouventaucunadoucissement à leur Guillerme, belhommedenoveladobé;Sonsensne puettenir, Adoucir une expression,, desreproches. Je puisme esclavage, BOSS. Hjst.n, 8, Je suislibreen prison, d'Ant. 92. Pot Ch. s. adoucis tout on vous b ien armé, m, ||xiva queje puisque vanter,répliquai-je, et ma estmafoi; C'estl'adoucissement quise Decequiluifailli,l'onttrèsbienadoubé,Guesclin,ce système,FONTEN.Mondes,iBt soir.Euxseuls[les trouvegarde enmapeine,DU RYER, Scévole, n, 3.11a un 1744.|| xv"s. Lesdeuxbretonsqui n'entendoientgensde bien]vousépargnent,cachentvosvices, mouvement detêteet je nesaisqueladoucissement cettetourdetrentecom- adoucissent vosdéfauts,excusentvosfautes,MASS. queà malice,pourveirent dansles yeux,dontiln'oubliepas,des'embellir,LA bienarméset adoubés,FROISS. v.réfl.Devenir ni, rv, u. Injust.dumonde.||8°S'adoucir, Pourprépapagnons plus BRUY. ..Solon, homequisereitgrant —ÉTYM. formeduverbeahaner, Hannibalestimaqu'ille falloitattirerau combat, fetier,la Rose,1040.Chascun Affanncr,autre s'en et fort, ouquisereitchampionafaitié,poreitpar cultiverla terre(voy.AHANER). ouautrementquelesaffairesdesCarthaginois alloientruiner,ID.Fab. 42.Il luyenvoyaun offi- ceraembremoultde gens,Ass.deJerus.450.Par t AFFÉAGE (a-fé-a-j'),s. m. Droitqui étaitdû ou de affaictée s e dechecier luyfairecommandement dedescendre prière demande,Interrogé l'ung pourchaquefeud'unvillage. lemedeman- —ÉTYM. l'autre X ce il avoitaucune avoue, respons,s'aucuns val,et devenirà pied,sid'adventure Afféager. le poissonnoue[nage], AFFÉAGÉ, choseàfaireauconsul,ID.ib.48.Ellenetrouvoitpasde,Entredeuxeauescomme ÉE(a-fé-a-jé, jée), part,passé. Bail.405. aquise marierpoursa pauvreté,et avoitbeaucoupCH.L'ORLÉANS, AFFÉAGEMENT (a-fé-a-je-man),s. m. Action — ÉTYM. a nc. ID. Â rist.66.J'ai veu Provenç. a/attor,afachar; espagn.d'afféager. jurisaffaireàvivre, plusieurs consultes et grandshommesd'Etats'étendre surcet afeitar; portug.affeilar; ital. affaitare ; du latin AFFÉAGER v. a. Termed'anciennes (a-fé-a-jé), defa- coutumes. affaire[leduel],D'AUB. Foe».I, 9. Ondit qu'ellea affectare,dead, à, et factare,fréquentatif Aliénerunepartiede sonfiefà teniren faitsesaffaires dansses chausses,ID.ib. cere,faire.Dansl'ancien françaisafaiterouafaitier arrière-fief ouen roture. [ordures] de et — 4 avaitle sens 9. ÉTYM. général préparer,disposer, est, Àet fief. iv,— au le même ÉTYM. queaffecter. ANTE(a-fè-ktan,ktan-t'),adj. Bourguign. aifaire;wall.afi; prpvenç. fond, t AFFECTANT, ÉE anc.catal. de à Arrêté ital. AFFALÉ, (a-fa-lé,lée), part,passé. affare; Qui affecte,quitouche,quicausedela peine.Ce afar, afaire; afaire; du surla côte. A u nousnoustrouvâmes et faire.Cemotétaitmasculindansl'ancienfranrécitesttrès-affectant. point jour, affalés à la CHATEAUB. Itin. 400. d ansle il l'est dansl'italien. encore côte, n, AFFECTATION çais, provençal ; ( a-fè-kta-sion ; en poésie,de cinq 1° v. a.\\ Abaisser, Lepremier dufémininest,ici,duxv°siècle. AFFALER s. f.||1° Manière dunaturel. (a-fa-lé), soulagersyllabes), exemple quis'éloigne dans l'aider à courir sa et à Cemotétaitnécessairement, àl'origine,dumascu-un cordage le pour Affectation dansla parure,dans langage,dans poulie lin, puisquec'estun infinitif,et quetouslesinfi- descendre. || 2°Pousserversla côte,en parlantdu le style. Sansaffectation.Il avaitde l'affectanitifsprissubstantivement sontde ce genre.Cequi vent.Lesventsontaffaléce navire.Le navireest tiondansle port et dansles manières,HAMILT. v.réfl.En parlantd'un marin, Gramm.6.Nemontrezaucuneaffectation induità lefaireféminin,c'estsa affalé.|| 3°S'affaler, auraprobablement en quoi terminaison féminine.Danslexvinesièclela chan- se glisserle long d'un cordage.En parlantd'un quece soit, BOSS. Lett.Corn. 69. On remarqua cellerie avaitconservé l'anciengenre,et surlesdé- navire,s'échouer. ID. les l que hérétiquese faisaientpar affectation, — le ÉTYM. On tireduflamand de voiret pêchesdu roion mettait: Pourles exprèsaffaires afhalen,tireren Comm.Quedirai-je de cesaffectations du roi, etnonexpresses. bas.Lebas-breton voulant seren69.L'affectation dans t. ni, p. affalaouaffela,retomber, paraît d'êtrevues?FLÉCII. Chapelain, au français. dreraisondu geDremasculindansl'ancienusage, emprunté le geste,dansle parleret danslesmanièresestsoudit quec'estquenousl'avonstiréde l'italienaffare AFFAMÉ,ÉE(a-fa-mé,mée), part, passé. ventune suitedel'oisiveté oude l'indifférence ; et oudesérieuses quiest de ce genre: c'est une erreur; affairene || 1°Presséparla faim.Ventreaffamé.Parasiteaf- il semblequ'ungrandattachement vientpasdel'italienaffare.Il est, dèslexu»siècle, famé.Unegarnisonaffamée l'ennemi.... dans la II. BRUY. affaires sonnaturel,LA par jettentl'hommedans I. — 9 OICT.DELALANGUE FRANÇAISE.
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La mignardise etl'affectation l'accompagnent [une ne connaîtaucunerègleet ne veutdépendreque tune?ID.dela Tranq.d'âme,48.Touslesparticuchrét.33.Il pritle liersd'unpartiaussibienqueleursgrandsn'affecdansla douleuret dansla fièvre, desoninclination,ID.Pensées femmecoquette] 3 . de elle meurtparéeet en rubansde couleur,n>. cheminqu'ontaccoutumé tenir ceuxquiaffec-toient[désiraient] qu'unreposde mesmemesure, Affectation de tentla Révol. rom.liv. 267. D'AUB. Hist: 3. douleur, tyrannie,VERTOT, vn.p. n, Il en renditsurtoutinnocent || 2°Imitation,faux-semblant. sensible De chez Queldroitas-tureçud'enseigner.de prédire, Monsieur del'archaïsme est , duportraitduquelcoppiéavecunedoudevertu.L'affectation l'encensoir et d'affecter V OLT. Faaffectée il fitprésentà touteslespersonnes a danscediscours ceur cet écrivain.Il n'y qu'affectation porter l'empire? qui estbien nal,il, 5. Dianemême, dontvousaffecteztant avoientpouvoiren l'affaire,ID. desaintAugustin ib. n,s4. Laréflexion et mensonge. n'apasrougidepousserdessoupirsd'a- —ÉTYM. quisepareavecplusd'af- l'exemple, Provenç.affectar ; espagn.afectar; ital. vraie,qu'iln'ya personne dela mour,MOL. de l'apparence Princ.d'El.il, 4. Vousbuviezsurson affettare;de affectare,de ad (voy.À), et factarei fectationm plusd'ostentation dumensongeresteet montriezd'affecter Lecôtéqu'àsabouchefréquentatif . Cemotn'estpas de facere(voy.FAIRE) véritéet desonnom,quelesdocteurs etrefaitesurlelatinafet lespartisansde l'hérésie,BOORD. Pensée?,t. i, elleavaitsuporter,m.L'Étour.iv,5. Je n'aijamais autrequ'un?formemoderne par aiméquevous,et jamaisje n'aimeraiquevous.C'est fectare,del'ancienfrançaisaffaiter,affeter,affaip. 276.Il a dubonet dulouable,qu'iloffusque du BRUT, du et l'affectation grand merveilleux,LA i4. vous,madame, quim'avezenlevécettequalitéd'in- tier. Aussine trouve-t-on affecterqu'au xvcet au L'affectation de cette sensiblequej'avaistouioursaffectée siècle. imputation. , m. Pr. d'Él. XVIe || 3"Attribution, Endroit courantes. 2. Perseen ses mais versobscurs, serrésetpres- AFFECTIF, IVE (a-fè-ktif, sommeauxdépenses canon,at-v,|| kti-v'),ad}.|| 1° Qui d'enfermer moinsdemotsquede sens, inspirede l'affection, d'une place,d'unbénéficeou sants,Affecta tributionexclusive quiémeut,quitouchel'âme. un à certains A.P. n. || 2° Faire usagefréquentdé. Quen'ai-jece styletendreet affectif dontil sesert d'uneprébende sujets.|| Enjurisprudence,BOIL. e st tendre danslesvieilun Lesouvenir dela e st dont chargé reconnaître sa louerlesmisérihéritage parhypothèjeunesse obligation pour misère,pour accorde à un établissement lieux oùilsFont ilsafl'on lards ilsaiment l es Faculté cordes d e sonlibérateur? FLÉCH. p assée ; q ue ; que.|| Panég.i, p. 293. et pendantfectentquelques deprendre,àunprixmodique motsdu premierlangagequ'ilsont || 2° Enstylephilosopnique, d'industrie quise rapporte,dans à l'alimentade.Ilsse H. || 3°Faireostentation uncertaintemps,lesboisnécessaires parlé,LABRDY. l'âme,auxbesoinset auxpassions.Lapartieaffecd e contre.... O nafdecetétablissement. à tion tive de l'âme.Facultésaffectives plaignentquej'affecte parler par opposition —SYN. d el'affecAvoir AFFËTEBIE. fectade le montrerauxarmées.Certaines Lespremières des sensations AFFECTATION, qualitésfacultésintellectuelles. du c'est i lsaffectent dese Ceux d ontilaffecte d e tationoude l'afféterie, s'éloigner naturel; dont enfantssontpurementaffectives, ils n'aperçoivent parer. est surpasser lesdérèglements. Ledouteoùl'onaffec-quele plaisiret ladouleur,j. j. ROUSS. Ém.i. maisce quilesdistingue,c'est queaffectation lesmanières — t outes ne taitd'êtredesa vertu.Sommes-nous chrétiens? un termegénéralquiexprime ÉTYM. Voy.AFFECTION ; provenç.affectiu;esdu tandis on le sommes-nous Si nousne le sommes naturel; pas? pas, pagn.afectivo;portug.affectivo parlesquelles peuts'éloigner ; ital.affettivo. l'affectation des estspécialement affectons-nous dele paraître? BOURD. Pen- AFFECTION grâ- pourquoi de quatre.syllabes, en quel'afféterie (a-fè-ksion; est est l 'afféterie 476. P ouréblouir l es fortune L'affectation le surtout ces. mignarde.ses, 1.1, p. fausse; yeux,la poésie),s. f. || i° Ceque corpséprouve, —HIST. NOUV. xvr*s.Affectation Affecta d'étalerunepompeinsolente, BOIL.enfaitdemaladie.Lesaffections prol. arrogante causéespar l'im[désir],RAB, la nomméement en Jeserai f ort raviqu'onnevoustrouvepoint pressiond'unair froidet humide.Danscessortes liv.rv.Toute affectation, gayeté, Épît.ix. I,t 92.Letrop si belle,etvousm'obligerez aucourtisan, MONT, den'affecter estmesadvenante l'exerciceest nécessaire. Il a une afpointtant d'affections à fairevoirle but a ux servit François dele paraîtreà d'autresyeux,MOL. Sicil.7...1eurfectionrhumatismale. d'affectation Les affections de poitrine. Hist.n, 64. terrible A ffecte à leurs déserendre du livret,B'AUB. 2"Manière d'êtrede l'âme considérée commetousujets majesté || — ÉTYM.4/Tectotio,de del'âme.Les affectare (voy.AFFECTER). invisible,RAC. Esther,i, 3. S'ilfaitun payement,chéede quelqueobjet.Lesaffections et soitdansunemonnaie toute ÊE ad}. il affecte ce de dansun fluxcontinuel. ktée),part,passé AFFECTÉ, (a-fè-kté, que neuve, affections nosâmessont oùil a del'affectation. 24. 4° simuler. Ilaffecte a de LA BRUT. i° y Ah(j'enconviens,ettelleestnotremisère: il y a Qui l'affectation, Théophr. || Feindre, || o une la douleur. S'il estaffecté de là-dessus. Affecter avait Cequi décestempsorageux oùl'onn'estproprement maîdéplaît plaîtpaslongtemps. compter une affecté. Onn'aime cethomme l e affecte.... Vous a vez Gesteaffecté. pas prode son à l'attention tre ni Style pour méprisqu'il espritpar rapport que d'unpasaffecté,BOSS. affectée. Marchant Brit.rv, 2.Il demandela prière, ni de soncoeurparrapportà affectédenemeplusconnaître,RAC. nonciation avec affecte un reposdontil ne peutjouir,ID. Tall.2.Vousditesquevousêtesincompatible BODRD. t. n, p. 28. Baj.i, 4. unecertaineaffection, Pensées^ afmanières s emblent D'unemèrefacileaffecter ID.Brit.1,2. Cetordred'idées,cettesuitede penséesquiexiste quetoutesses cettepersonne, l'indulgence, Car.Pardondesoff. Oui,je tele confesse, J'affectais àtesyeuxunefausseaudedansde nous-mêmes, fectéespourvousaigrir,MASS. quoiquefortdifférente simine a ffectée Lude unsu- desobjetsquil'escausent,nelaissepas qued'être Sije n'avaisà aa sapassionles fierté,ID.Baj.u, t. Maisquesertd'affecter sans il.Des t ermes RÉGNIER -l. Il discours? m.Phèd. affecte qui, la plusréelledenotreindividu,BUFFON, ,Élég. gnesévidents, perbe i, pourvous l'affection fontconcevoir les me veut Comp.desanim.et desvégét.[]3°Enun sensphiêtre étudiésni affectés, plus une faussedouceur,ID.Athal.i, 4.Narcisse t. i, envainaffecter hautesidéesde l'Êtredivin, BOUBD. Pensées, quelqueennui,ID.Brit.v, 6.Maislosophique plusrestreint,toutesituation passivede affectée. Avec u nedéfé2°Simulé. Douleur s anshonteêtresans L'affec424. on l'âme. 4°Sentiment fermeté, p. || quand peut || d'amitié,d'amour,d'attachedélicatesse de et de La fausse s. renceaffectée. ter au dehorsest une lâcheté,CORN. Hor.m, goût mentpourune personneouune chose.Lesaffecn'esttelleau i cidessoins s i VOLT. Mér. contraire, queparce qu'elle N'affectez tionsdela famille.Lesanciensdisaient complexion point généreux, quel'amour criedetoute c 'estEmilie un visagetranquille....MILLEV. est feinteet affectée; qui dela famillerenferme touteslesaffections. Avoirde i, 3. Puisaffectant saforcesurun petitpérilqui ne luifaitpaspeur, Mancenilier. 6° En d es d isavoir L'affection l'affection parlant choses, || pourquelqu'un. queje vousai Les fonds 44.Il3°Attribué,assigné,imputé. à. Le sel marinaffectela formecubique.toujoursportée.Lamalveillance deluifaire LABRUT. essayait à position Leseauxétaientaffectées affectés à cette>dépense. G"Exercer u ne et aussirendresoufdes C'estpar servicesquese |l impression perdrevotreaffection. Suivantl'intentiondece système,les frant,malade.Toutce quiaffectele sensdela vue. gagnel'affection. l'arrosement. Lesaffectionsaveugles.Chacun surtouslesreve- Lesfleursaffectent' êtreaffectés le cerveau.Mauxquiaffectentse rappelaitlesobjetsdesesaffections. fonds[duroi]doivent Cetteville, nature nusduroyaume,dequelque d'insalubritéet de mauvaisevospluschèresaffections. qu'ilspuissentla tête. Conditions Carenfinn'attendspas être , YADB. la poitrine.Il affectepuis- demonaffection Unlâcherepentird'unebonneacMme,p. 432.Onne s'avisade bâtir nourriturequiaffectent de lamémoire Bucéphale,sammentces corpsnaissants, cettevillequepourassurer J.J. ROVSS. I . CORN. Emile, tion, Cid,ni, 4. Je donnaipardevoirà son estaffectée à l'honneur d es elle sur l'âme, émouvoir,affli-affection Toutce que l'autreavaitpar inclination, et, parconséquent, || 7° Faire impression Érostrate. 4° En FONTEN. de Démétrius, | | J'ai été affecté la nouvelle. ID. chevaux, ger. péniblement parfaitevautmieuxque Ppl.i, 3. Uneaffection tombantsousle de. termesde spiritualité, coup Voyezcommeun rienl'affecte.|| 8°S'affecter , v. touteschoses;cellequej'ai à vousservirestà unsi c'est-à-dire Jemedéclareprévaricateur, simulé. I l estdifficile v éritable douLett.30.Vousavezmisvotreaftransgres-rifl.Être qu'une hautpoint VOIT. des d elaloi.... Vous ê tes seuraffecté Serm.n, blasphémateurs contracter unelésion.fectionà une créaturemortelle,FLËCH. leurs'affecte. || 9°S'affecter, Car.Rechute.Le poumons'affectefacilement. affectésdu Dieuvéritable,MASS. 10° ses 246. A ffection d'un || S'affecter, pèrepour enfants,ID.I,439. touché. Plus affecté n 'était c onvenaqu'il êtreaffligé.Il s'affecta decedépart. Il s'appliqua à gagnerl'affection desvieuxcapitai|| 5"Emu, singulièrement l armes. 6°En ble.Affecté ce récit s'affecte f acilement. Ces homx v. metsesaffections icijusqu'aux /| C'estun hommequi par nes, FÊN.Tél. Quiconque d e Affecté d 'uncatarrhe. termes médecine,affligé. demême.Jecrus basn'a plusdedroità la patrie, MASS. Mort.Resmessententvivement,s'affectent Notremaladeestattaqué,affecté,possédéde cette qu'il s'affecterait de moninconstance, i. J. RODSS. action avoir souviens-toi Ne peut peu de qu'une H. sortedefolie,MOL. Pourc.l, MALH. m. beaucoup d'affection, rv, 6.L'âmérite,Ayant Confess. Ces troister— -r-SYN. COMPOSÉ. Ona la d e APPRÊTÉ, SYN. SEPIQUER. discutéla sy- me, afinde suppléer présence l'objetqu'elle AFFECTÉ, AFFECTER, ne setouchentnonymie immortelle: decesdeuxexpressions, mes,quine sontquepeusynonymes, quiaufondnesont aime,faiteffortpourrendresadouleur un l'on changement Celui se de sonaffection e nversla mémoire d e sonamiet le queparoequ'ilsdésignent que aucunement synonymes. qui pique profaitàdesseindanssapropremanièred'être.Affectébité,n'affecte ou désirde le fairerevivrelui faitprendretousles pas la probité,maisilla possède estdestroisle plusgénéral;onestaffectédetoutes croitla posséder,et s'enrendtémoignage. Celuimoyensquipeuventréparersa perte,BOSS. Pensées ou lesfaçons,tandisquel'onn'estcomposé apprêté quiaffectela dévotion,en faitparade,imposeaux chrét.38.|| 5°D'affection, loc.advero.Avecintérêt, d'uneseule. Celui est a dese la représenter que qui composél'apparenceautres,maisne se trompepaslui-même,et, dans decoeur.Ilestimpossible pardela gravité;celuiquiestapprêtéa dela roideur, soncoeur,ne se piquepasd'êtrereligieux. -H 5. 6° dequelque SÉV. AffecEnun lantd'affection chose, || commela toilegommée ou la dentelleempesée,et mot,affecter,c'estsimuler,faireparaîtreau de- tionà, désirde.Pourdeschosesoùila plus"d'affecest dépourvud'aisance. en soi. tion, PASC. P. div.75.M.de Noailles savaitpar le hors;sepiquer,c'ests'attribuer v. 1° AFFECTER avec —HIST.xv*s. Et y avoitdes presbstres oucu- roimêmel'affection (a-fè-kté), a. \\ Rechercher qu'ilavaità ce projet[siègede rechercher avec r echercher avec ST-SIM. du ambition, soin, trop rezsi affectez à mauldicte 26, 46.En se dépouillant inclination, queaucunsBarcelonne], da soin, avoirune sorte de prédilection au péché,FLÉCH. Serm.H, pour. lesrefusoient à baptiser,JUVÉN. CharlesVI, 4448.péchéet desaffections affectait l a desmers. souveraineté C et au restéaucunpéché,aucuneaffection L'Angleterre xvi"s. Affecter l'ignorancede qualitéssi vul- p.426.N'est-il || auteuraffectel'archaïsme.La place que cette gaires,MONT, rienjugéde sirude péchédansvotrecoeur?ID.ib.432.|| 7"Etatmaladif. 288.Je dameaffectedansl'église.Il aimaità emprunter et en l'austéritédi,e vie quen'ay nosreligieuxaffectent,Affection || 8"En géonerveuse,aiguë,chronique. à fairevaloirlesidéesdesautres,et il auraitplu- que.... ID. m, 289.M.Manlius a telle elleatelle métrie cette courbe affectadepuisla affection, pro, têt affecté quemanquél'occasiondeleurenrendre royauté,ID.IV,460.Pourcequ'estlepropresub-priété.|| Encesensil estvieux. uneespèced'hommage, FONTEN. Dodart.L'empireject de l'histoiretraitter de touteshautesma- —HIST. XII« s. Jesaibienkeli orguillous engele la de merqueleurrépublique BOSS. Hist. enaffection demalice et defélonie il semble leur soit sunt affectait, trespasseit tières, qu'elle [auxrois] plus d'affecterla tyrannie,in. particulièrement ne p& et k'il par nonsachanceet par enfermeteit 1, 8. Il fut soupçonné qu'ànulzautresaffectée,AMYOT, Hist.m, 7.Il avaitaffectéla divinité,m. Démons,Préf.46,44.Mais toutcelaqu'est-ce sinonamassercharentmie,ST-BERN. 524.|| xives. Ilne reçoitou 2. Leshommesaffectent unelibertéfarouchequi desoccasions affectées enversla for- acceptelesparolesdesautresounelescontredit pas d'ingratitude
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: aLesfaiseursdecomédie doiventaffe- quenulss'enplaigne,Couci,9. || xines. Lorsfuparamisiène par affettiond'amourou de haine, particulier » ctionner les n'a Eth. H3i.H se esjoissent de tel honneur spectateurs.Cesens pasprévalu.rentli osteldespartià chascunendroitsoi,telcomORESME, dessegneursOna créé,enplace,impressionner. me il aferoit,VILLEH. 49. Carce n'aferistmieà comme, d'unsignedelabonneaffettion — nonaux HIST. xvies.Ceuxquis'affectionnent auxgue- l'hommeQuesens et proescerenomme,la Rose, à eulz,m. ib. 243.|| xvcs. Auxoeuvres du vaillant nons et MONT, 24.Il affectionne 6427.|| xiv0s. Legai[guet]fu d'autrepart,qu'on se les affections petits-chiens, I, s'y paroles demonstrent ID.u, 358.Con-alaordenant,Et avoitfaitsontour,si conestafe[à cesexercices], preux,Bouciq.i, 46.[Lesbourgeoistenoientle et s'yembesogne dela villeprisonnier pourleforcerdecon- servanttantdenationssi esloignées,si malaffec-rant, Guescl.(6547.|| xves. Si honorablement capitaine estantaffectionné sentirà .capituleravecles Anglois]Le chevaliertionnées,ID.IV,85.L'avocat [ani- commeà telledamoiselle qui devoitestre raine et vadire: le DESPER. Monsieur un président, mot, d'Angleterre afferoit,FROISS. I, I, 46. || xvi"s. Tel perçutbienl'affection qu'ilsavoientaux Anglois mé] serviteuret ami estvestude cappehespaignolle, comment ilsle tenoienten danger,FKOISS. I, I, 234. Contes,xrx.Le plus affectionné qui, en son coude deFranceet MARG. NOUV. rx. Si beau n ullement affiert à RAB. Charles Monseigneur qu'elleait, quelque peré raige, Hespaigne, Garg.4, Monseigneur au couvent,, vientà lirececi....LANOUE, Prol.Maispourautantqu'ilafiertauxamisEt serCharolois estaientà une fenestreet parloienteulx affectionné aubien viteurs,jamaisne celerrien Xleursaymez,soit deuxdetrèsgrantaffection , COMM. I, 5. || xvi"s. 63.Laconcorde, quinousrendaffectionnez denuisance,CALVIN ....deluiporteraffection , Instit. lesunsdesautres,ID.66.Letout représentésivi- demalsoitde bien.....MAROT, II, 72. Il n'affiert noussentons affection-qu'auxgrandspoètesd'userdeslicences Droitque Amonte!hautcastelqui (a-feu-ra-j'), sieten hautrochiez;Bien lesseigneurs s'affermit à la chaleurdu sirop,ID.865. mettaientsurlesboissons et surcer- avoitde hautesseuntraitd'arbalestrier ; Enla porte —ÉTYM. Provenç.affermar;espagn.afirmar; tainesdenrées.|| 2°Fixationduprixdesdenrées. s'aficheque firentaversier,t&.vi, 1020.||xrves. ital.affermage. L'ancienne formeestafermerquia —ÉTYM. Ad,et forum,marché. C'està diregensdefortesentence affichiés et ahurl'italienet l'espa- t AFFICHAGE s. m.Actiondeposer tés, quisontforsà sonanaloguedansle provençal, (a-fi-eha-f), Eth.2(4.Il persuader, ORESME, Onm'ademandétant s'aficheesestrierscomme gnol,et quivientdulatinaffirmare',affermir,ren- un certainnombred'affiches. homsamanevis, Baud.de dreferme,dead, à, et finnus,ferme.Laformeaf- pourl'affichage. Seb.vi',371.|| xves. Et pour ceDieule trabucha, s. f. || i»Feuilleimprimée ou Oufontd'abismel'afichaEt nousaussiqui l'ensuïs(a-fi-ch'), fermerprovientdu mêmemotpar un changement AFFICHE deconjugaison ellene xvi" siècle d ans l'on manuscrite s urles ; paraîtqu'au que applique deJ.C. Si's'afichierent à oster lespilots murs,pour mes.AW. le langageécrit;maiselledoit être plusanciennedonnerconnaissance au publicde quelquechose. [pilotis],dontil en y avoitenl'Escautsemégrand dansle langageparlé,carce n'estpasau xvi°siè- Poserune affiche.Il annonçaparuneaffichequ'il foison,FROISS. I, 136.|| xvr s. Et furentdécaclequ'onauraitchangéla conjugaison d'unverbe vendrait....Touslesmursde Paris sont couvertspitez,et leursI,testesaffichées sur lesportesdela latin. d'affiches.|| 2°PetitesAffiches,feuillepériodiqueville,CARLOIX, x, 14.Etfirentafficher par les carAFFERMISSEMENT (arfèr-mi-se-man),s. m. d'annonces.|| 3°Entermesdepêche,petitengin refoursdela villeI'edictdu roy,,m.ib. DansRaberésultatde dont on se sert pour tendreun verveux. || i° Action,d'affermir,de consolider; Longuelais, afficherestmispourgreffer. cetteaction.Affermissement des chairs,desgenci- percheferréepourarrêteret fixerlesbateaux. —ÉTYM. A et ficher;picard,affilier;provenç. ves.]|2° Fig. L'affermissement de la santé.L'af- —HIST. xves. Nontropcurieuxen déguisements;aficar,afiquar; espagn. afijar;ital.afficcare. fermissement des empires.Nousvoyonscombienne moultne s'y entend,ne amuse,ni ne dore AFFICHEUR s.m.Celuiquiposeles (a-fi-cheur), il estdenotreintérêtque cette églisesubsiste,et son corpspar diversesaffiches,Bouciq.iv, 7. affiches. combienil nousimportede travaillertouset de H xvies. Ildenoncea et publiapar affiches quece —ÉTYM. Afficher. concourirà son affermissement, BOURD. mesme là ilvouloit l ever la Pensées, jour genspour guerre, AFFIDÉ, ÉE(a-fi-dé, dée), adj. || i" En qui on t. il, p. 3)6.Poursonhonneur,sonaffermissement Cam.76.DansRabelais,ce mot signifiea confiance AMYOT, sur l'on ; qui compte.FavoridePhilippe et sonagrandissement, ID.ib. p. 329. et-si épingle. a ffidé àAlexandre Q.C.383.S'il que....VAUGEL. —'HIST. XVIe s. Autempsdesextrêmes A FFICHER. froidures, —ÉTYM. Voy. plaisaità S. M.d'envoyernombrede gens'debien il faudraaiderà l'affermissement du laictparle AFFICHÉ, ÉE(a-fi-ché,chée),part,passé.Or- affidésdans les provinces, pourenfaireunevisite 284 o. DE d e Craincte donnance a ffichée d ans toutes lesrues.Honte affifeu, SERRES, l'importun exactejusqu'auxcoinsles plusreculéset lesmoins affermissement, auquellesmêles[nèfles]sontsu- chée,renduepubliquepar celui-làmêmequi a fréquentés,VAUB. Dîme, p. 165.Nevoyantpoint ID. 8 68. commis l'action honteuse. jettes, Hommeaffiché,devenu revenirune servantequilui étaitalléequérirune —ÉTYM. très-connuenbienou surtouten mal.Femmeaffi- sage-femme Affermir. affidée, elles'étaitsauvéeheureuse-' ÉE a del'afchée femme d ont AFFETE, (a-fé-té,tée),adj. Qui la galanterieestnotoire.Quand ment, SCARR. , Rom.com.ch.13.-||'2° SuOstantiv-. de l'afféterie. J eunehomme unefois ma fut affichée mes q uimarque C'est u ndeses féterie; affidés. personne par écrits, Aposter quelqu'undesesafaffété.Manières affétées.Siquelqueautreaffétée, j. J. ROUSS. Prom.6. fidés.|| Il se placetoujoursaprèssonsubstantif; ensadoucemalice..., RÉGNIER, Sat.vu. Je laisse AFFICHER v.a. || 1°Appliquer au mur Unhommeaffidé (a-fi-ché), ; unefemmeaffidée. aux doucereuxce langageaffété,BOIL. Sat. ix. desaffiches. Afficher uneloi, unevente.Charles XII —HIST. XII" s.Quatreanzi fu li ber,qui enDeu Et sousl'indigneappât d'un coup d'oeilaffété, fitafficherqu'il n'étaitvenu que pourdonnerla suls'afie,Th.leMart.98. SireRolant,vousm'aCORN, desFrançais.... Adela paix.Quoi!mespères, affichervous-mêmes Rodog. dans viezafiée[fiancée], ni, 3.L'Esope Roncisv. p. 175.|| xmes. Vous vantéla voix S esaccents Paris si Champmeslê unlivre scandaleux, avecle nomde votre disiezqueafiéeEstoitla paiset bien jurée, Ren. aimable, amoureux et sessonsaffétés,VOLT. P. Meynierà la tête! PASC. Prov.-16.|| 2°Par 1784.Ensemble trestuittrois s'alient,Et s'entrejuÉp. 85. —HIST. xir=s. Oliversfut courtoiset afaitiez, extension. Unministreveutm'enrichirSansqu'au rentet affientQu'àlorpooirs'entraideront, laRose, Rotic.p. 66.|| XIII" s. Lineimsle vit [lechevalier]Moniteur onm'affiche, BÉRANGER, Refus.|| 3°Faire 153(8.C'estli roissouverainsen cui du tout [je] «i affeité[poli] Sifranc, si bel, si enseigné,Lai étalagede.Afficher la douleur.Afficherla préten- m'afie,Berie,59. || xv«s. II s'affioittant en sa
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_ 69 v.réfl.Ils'estaffiliéà beaucoup —HIST. XIVe s. Celaje sçayParexpérience et prospérité et grandeur....FROISS. cerI, I, autre.|| 2°S'affilier, puissance Et sens ou Je desociétés. eusi non soitou En suivant 248.Et folie; taine, n'yaypas grantpeine, pourtant, — D'ORL. ÉTYM. catal. ledictdesmineurs Etla et en e n. desaffineurs, Traité actens m'afie, Provenç. afilhar; afiïïar; e spagn. façon m'y [attends], luyje fils ce d'Alchim. 352. vous de à s. Les fonHall.12.J'ensuyzgrandementscandalizé, ahijar; ||xvie je ad, (voy.À),etfilius, (voy. orfèvres,affineurs, anciendecemot; deursdelettres,PARÉ, Pant. ni, 22. mot).Onne trouvepasd'emploi xxiv, 17.Interrogeun peu affie,et nem'enpeuxpastaire,RAB. ilest n'est vu lesteinturiers etles de sucre,PALISSY,H72. d es a ffiaffineurs Charlesde Bloislui tiepescha personnes cependant probable qu'il pasnouveau, — ÉTYM. Mèm.s. duG.cli. 10. Affiner;provenç.et espagn.afinador; qu'ilsetrouvedansle provençal. dées, —ÉTYM. s.m. 1°Instrument d'aital. estun AFFILOIR Ital. affidatn ; i'affidare.Affidé t (a-fi-loir), || affinatore. le cier quisertà affiler.|| 2°Sortede pinceavecla- AFFINITÉ' s. f. || 1°Degréde proximottirédel'italienau xvi"s. et quia dépossédé (a-fi-ni-té), sertà. mité duverbe le ratureurtientle fertranchant aveclafamille d eceluiou de celle qu'on a motvéritablement qui quelle français,quiestafié, a finipardéclarerempêchements épousée.L'Église parchemin. aflei; provenç.afiar,afidar,afizar;anc.espagn.raturerle — dirimants de ÉTYM. mariagetous les degrésd'affinité, Affiler. afiar;ital.affidare;deà et fides(voy.FOI). Terme de o u desarbres AFFILOIRES s. CHATEAUB. v. a. Planter provigner f (a-fi-loi-r'), f. plur. Génie,i, i, 10.|| 2°Affinitéspirituelle, f AFFIER, e t fixées alliance menuiserie. Pierresà aiguiser,assorties établieparla cérémonie du baptêmeentre debouture. —ÉTYM. ditainsi dansdu bois. les et lesmarraines. 3° etle verbe conX par parrains || Conformité, fier, confier, AFFINAGE s.m. || 1°Actiond'affiner.venance,rapportentreplusieurs choses.Affinité de (a-fi-na-j'), métaphore. dufer desmétaux. 2 ° L es disaient l'âmea de l'affinité Ac- L'affinage ; l'affinage 11 Affinagegoûts. païens que (a-fi-la-j'),s. ro. Technologie. t AFFILAGE du du onditmaintenant avec les dieux. L es tiond'affiler unoutil. raffinage poètesont beaucoupd'affinité sucre, salpêtre; avec les —ÉTYM. et dernière orateurs.H n'y a aucuneaffinitéentrecette pourcesdeuxsubstances. || 3"Meilleure Affiler. émotion tonte donner a ux 4°Dernière et le désir, DESC. Médit.6. Etoilesde Terme d'artet métier. s. m. qu'onpeut draps.|| t AFFILE(a-fi-1'), d'affinité avecl'or,VOLT. Nouetdetoilepleinde graisse,pouraiderà affiler façondonnéeauxaiguillespourlesadoucirpar la justice,quiavezbeaucoup 3. 4° 5°En action df.coller u nebande En on Zadig, |[ chimie, appelleaffinitéla certainsoutilsdefer. pointe.|| reliure, —ÉTYM. depapiersurle côtéducartondestinéà êtrepassé forceen vertu de laquelledesmoléculesdedifVoy.AFFILER. ÉE (a-fi-lé,lée),part,passé.|| 1"Cou-danslemorsduvolume.|| 6°Enagriculture, opéra- férente nature se combinentou tendentà se AFFILÉ, combiner.Il donna,en 1718,un système quia pourbutde diviserla terre. singulier teaumalaffilé.Lamebienaffilée.C'estainsi que tion — et unetabledes o u ÉTYM. affinités d esdifférentes avecsoncouteau a fu n rapports comme chirurgien, Affiner. Dieu, enchimie;cesaffinités firentdelapeine filéet à deuxtranchants,quiestsa parole,pénètre AFFINÉ,EE née),part,passé.|| 1°Del'or"substances (a-fi-né, lespensées,lesintentionsaffiné.Ce fromageest bienaffiné|| 2° Fig. Les à quelques-uns lesjointures,lesmoelles, qui craignaientque cenefussent desattractions s . 2° connaisseurs crurent sous ce Pensées chrét. || Fig. lesplussecrètes,BOSS. déguisées,d'autantplusdangetrouver, langageque dessaints],unpurquiétisme,reusesqued'habiles et fam.Avoirla langueaffilée,parlerbeaucoup.barbare[desMaximes gensontdéjàsuleurdonnerdes 14. formes FONTEN. Vousavezle caquetbienaffilé,pourunepaysanne,délié,affiné,S.-SIM. 45, séduisantes, Geoffroy. || 5"Enmusis. ro.|| 1°Actionque, affinitédes tons. Leton d'ut a de l'affinité MOL. (a-fi-ne-man), Bourg,fient,m, 3. || 3°Seditdesblés,quand t AFFINEMENT desmétaux.|| 2"Fig.L'affine-aveclestonsdesoletde fa se!> la geléeenarendules fanespetites,pointueset fi- d'affiner.Affinement adjoints,oude la mineur s onrelatif. mentdes liformes. esprits. — Donner le fil un HlST. xvi"s. L'affinement des espritsn'est — HIST. xues. Cist[ceux-ci] les affinitez v. a, i" à AFFILER [voisi\\ (a-fi-lé), 15. E les paluzmetranchant.Affilerun couteau,un canif.Leglaive pasl'assagissement, nages]germaines [deGermanie] CHARRON, Sagesse, I, v.a. || 1°Purifier. Affiner puis.... BENOÎT, (a-fi-né), l'or, todiànesConquistrent, -i, 401. qui a tranchélesjoursde la reineestencorelevé AFFINER XIIIe s . Aucune f oiz l'en droit sur nos têtes: nos péchésen ont affiléle tran- l'argent.|| 2°Rendreplusdélié.Affinerduchanvre.|| apele besoing;si Marie-Thérèse. un goûtplusfin.Letemps,lacaveaffine commedroiten aucunechoseou parlignageoupar chantfatal, BOSS. || 2°Fig. C'est || 3°Donner de la chroni- le fromage. la qu'ondévoile touslesévénements || 4" Fig.en cesens. C'ests'affinerle affinité,Liv.de just. 3. Notequeaffiniténuiten ib. 202....ou s'ily a grant afiniléd'aSat. esposaies, c'estlà qu'on affileavecsoinle goût, de connaîtreet de voir, RÉGNIER, quescandaleuse, Bel.n,, 17.Nousleslaissonsin. || 5° Tromper.MaîtreMitisPour la secondemorà le [la]veueet à le [la] seue du commun, poignard, J.3.ROUSS. Ém. foislestrompeet les affine,LAFONT. Fab.in, 18. BEAUM. affilerlesarmesdontellesnoussubjuguent,». v, i 9.|| xiv°s. Etvertumoralsembleavoir et estreappropriée fairelapointedesclous,enles grantaffinité aspassions, ORESME auxcon- || 6°Dansl'industrie, iv. Jene croispasqu'ilsoitplusconforme , Eth.3)8. xvcs. Pour a lliance e t delamo- passantsurla meule.|| Réduirelecimentenpoudre venances dela politiquequ'auxprincipes || laquelle affinité, le carton.|| Chauffer raled'affilerle poignarddonton ne sauraitblessertrès-fine.|| Renforcer le verre le dictroydeHongrieluimandaet fit savoirpar sesrivaux,sansen ressentirbientôtsurson propre à untel degréqu'il n'y ait plus de bullesur le un herault,que Bazatvenoitsur luy, Bouciq. seinles atteintes,MIRAB. Collect.t. m, p. 878. bain.|| 7"Entermesde marine,devenirbeau, en Hist.i, ch. 21. Provenç.affinitat,afenitat;espagn. |l 3°Paruneautrefigure.Lesunsaffilentleurslan- parlantdu temps.|| 8eS'affiner,v.réfl.L'or s'af- —ÉTYM. i tal. 331. 4° Serra,i, guesde serpent,FLÉCH. || Planter fine, devientpluspur.Cefromages'affinera,pren- afmidad; affinité;deaffmis,dead (voy.-À)et desarbresà la filelesunsdesautres.|]5°Mettreun draun goûtplusfin.|| 9°Fig.L'esprits'affineparla finis,fin,limite(voy.FIN,substantif). AFFINOIR conversation. (a-fi-noir),s. ro.Instrumentau tralingotd'oroud'argentdansla filière. —HlST. de l'Académiedonne versduquelonpassele chanvreoule linpourl'afxi°s. Surl'herbeverteli clairssangss'en — REM. LeDictionnaire cxxiv.|| xines. affinerdu sucre,affinerdu salpêtre;ce quiestla finer. afile[couleen filets],Ch.de.'Roi. : maisonditaujourd'hui S'adedenzun rasoirtrové Qui moultestoitbien Traielocution Affiner. abusivement, —ÉTYM. a lien.3204. V ers lui sa corne de encet AFFIQUAGE t (a-fi-ka-j'),4\ m.Opération quicontournée, préférence, emploi. afilé, [elle] raffiner — de. sisteà l 'extrémité d 'une nus homs HIST. XIIIe s. Quarilestprès mie nuit,Età Plustranchantet plus afiléeQu'chques passer grossepattedehonevitrasoir, Unicorneet Serpent.Seele[Tépée]teleeurefuil nezLipurs,li fins,liafinez,RUT. n, marddanstouslespointsde la broderiedu point fustdroit afilée,DeJehanfustchosefinée[Jehan 2îO.|| xiv"s....deplombil n'estnullemineEspays d'Alençon, pourlesfaire ressortir. Mêmeradicalqa'affiquet. eût été tué], SI. et Jeh.4154.i lorcotiausqu'il oul'enenaffineQuepourvrayle grainfinn'ysoit, — ÉTYM. lesTurs,aval Trait.d'Alch.324. || xves. Caril [l'or]endureet AFFIQUET onttrenchanset afilés,Escorchoient (a-fi-ké), s.m.\\ 1° Petitobjetd'ajusde feuil nelui Mais les d'Ant. 30. xivcs. S'ila froit N e tement. Mme d eMontauban étaitunebossue,pleine chault, gros parmi prés, Ch. v, || etchault, et affine,Et bienaffinédefine, deblanc,de rougeet defiletsbleus,de parureset hommecéansdontje soieadesez,De ce cousteltantpluss'amende taras'ilest bienafilez!Gîiescl. 6856.|| xves. Un Tantest parfaicten sanature,L'alch.à Nat.46t. d'affiquets, S.-SIM. leshabits 140,43.Lesaffiquets, 24 tranchant e t affilé xvi° s. Deuxmillions d 'or affinéà ferdeBordeaux aussi à LA FONT. Cal. Cesfemmes large que || karatz, changer, jolies,Qui nul rasoirpourraitestre.... FROISS. II , n , 6. RAB. serendentembellies, Sat. Carg.i, 50Ledyablene m'affineroyt [trom- parlesaffiquets RÉGNIER, de xvi»s. Enle c ontre sa ilse car suisdela I D. ix. Cemotdansce sens (| frayant gorge, coupe perait]pas, je lignée Zopire, || s'emploie presquetoule gosierde ce tranchet,qui estoitsi bieneffilé, Pant. n,24. Cesontquelquesfinesgens,je dy fins joursau pluriel.|| 2°Porte-aiguille à tricoter. — xxi. diserte et afà f inscomme u ne de f insnon HIST. xive DESPER. s. D'avoir e t de dorer, dague plomb, Contes, Langueje n'ay riquechesle vaisfiléePourharanguer devantuneassemblée, mais estamine I D. et fine, selbienquerqua AMYOT, affinez, affinans,passezpar ; Couronnes [chargea] et.capiaus Comment il faut nourrirlesenfants,15. ib. v, 27.Je voymaintoeiloù s'embraseet affineaffiques i 3.,Baud.deSeb.il, 431.|| xv"s. Tantd'a—ÉTYM. VILLON, Provenç.afilar;ital.affilare;deà (voy. Letraictd'amour,quitousjoursesten queste,Fai- meçonsettantd'affiques, Repues franches, santdes coeurs 203:Il et c e ST-GEL. T ant d e l'acteur. bullettes à chainesd'or, A) fil(voy. mot). gracieuserapine, pendantes s. m.Termede manufac-prendà gentillesse, DELABOHDE. t AFFILECB quandil le veoidaffinerson tant de carquans,tant d'affiquetz, (a-fi-leur), ture.Celuiquiaffileles outils. malicieuse e t 173. xvi"s. Il n'entroit en leur pais compaignon parquelque desloyauté Émaux,p. || —ÉTYM. MONT, 107. n e L'amitié prendaccrois-ny orfèvrenyjoyaulierpoury faire ou y vendre tromperie, I, Affiler. sance la AFFILIATION s. 1" Associal'ames'affinantpar l'u- aucunsaffiquetz d'oretd'argentà parerlesdames, qu'en jouissance, (a-fi-li-a-sion),f. \\ m. L es tionà une compagnie,à une corporation. Il y a sage, i,209. sangliers affinent leursdeffenses,AMYOT, Lyc. 14. Ses bagues,sespetitsaffiquetz affiliation entre ces deuxacadémies.Il n'y a pas ID.n, 164.Pitheusluypersuada oubien ID. , parquel- d'or, Timol.22. affiliation entretoutesles logesmaçonniques. On querusel'affina,AMYOT, Diminutif de affique,quis'estdit pour Thésée,i; Luc.iS;Agé- —ÉTYM. sil. 67. LesLacedoemoniens nevoitpasgrandeaffiliation e ntrelafadissimulant le maletquiestlaprononciation apparente affiquet picardedeaffiche; contentement millede Rosnyde Sullyet la vôtre, p. L. COUR. qu'ilzavoientdese veoirainsiaffinezmotà mot,ce qu'onattache(voy.AFFICHE). à dessocié-par luy,le renvoyèrent sainet sauf,ID.Thém.37. AFFIRMATIF, n, 369.|| 2°Par extension,affiliation Qui IVE(a-fir-ma-tif,ti-v'), adj.11Ie Cela 3° d efaulte d'avoir l e téssecrètes, à uncomplot. Communication affiné et p rocède affirme. Ilfitun aflîrmatif. tonâffirjugement || qu'un geste Discours, ordrereligieux faitde ce qu'il a de plusprécieuxlediscours ID. matif.|| 2°Proposition espurépar raisonsde philosophie, entermesdeloaffirmative, 12. et de plussaint. Aratus, sansnégation.Le gique,tonteproposition exprimée — —ÉTYM. et mode lemode provenç. ÊTYM.Bourguign. indicatif. Affilier; afilhamen. e/et'gnot; provenç. espagn. afflrmatif, || 3"Affirmative, E E i' ital. d e et Fart. à AFFILIÉ, (a-n-li-é,ée).|| passé. afinar; affinare; s. f. Touteproposition fin,adjectif. parlaquelleonaffirme.Ils Affiliéà une corporation.Affiliéauxennemisde AFFETERIE s. 1» Lieuoù l'onafsont (a-fi-ne-rie),f. j| moi pour la négative,il pourl'affirmative, l'État.|| 2°S.m.Lessociétéssecrètesontdesaffiliésfine.Affinerie de fer;affinerie decuivre.|| 2°Petite prouvel'affirmative de la questionpar Moïse,BOSS. où l'ontireleferet le fild'archal. jusquedanslescampagnes. forge Hist.ii, 7. Quandon.estdétrompé,il parleencore — AFFILIER v.a. 1°Associer àune ÉTYM. cor(a-fi-li-é), || Affiner. LABRUT. 10.|| 4°S. m. Nomque pourl'affirmative, à une Affilier société. unesociété à une AFFINEUR s. m.Ouvrier affine. (a-fi-neur), poration, qui et soul'inquisitiondonnaità ceuxqui avouaient
AFF AFF AFF . a supplanté tenaientleurserreurs.|| Il suittoujoursson sub- sièclequ'affirmer affermer,sansdoute sère humaine, n>.ib. p. 4(3. || 3°En termesd'j établir u ne e ntre une distinction affirmatif ; stantif: Unraisonnement proposi-pour affermer,donnerspiritualité,le painde l'affliction.Nourridu pain à ferme,et affermer, assurer. del'affliction. tionaffirmative. — HIST. i" Termede chietsurla AFFIXE xiir s. Quandla preuve pa- t (a-fi-ks').|| Adj. gram- —SYN. DOULEUR. L'idéecommune à AFFLICTION, Ass.de maire. Il se dit des ou des lettres et non surla cesmotsestde afirmative notre âmecomme s urole négative, particules pas représenter Jérus.-109.Li clercsi dient,et il dientvoir,que quis'ajoutentauxmotspouren modifierle sens. jette à uneactionquilui causedu mal. La difféaffixes.|| 2°S. m.Unaflixe.Affixeest renceestqueaffliction négativene doit pas queoir[tomber]en proeve, Particules portel'espritsurunecause des et suffixes. i queoit,porce qu'onlé [la]potet le nomcommundespréfixes mais.afirmative quia agi, tandisque, dansdouleur,l'actiondela — xv°s.Affirmatif ÉTYM. dead BEAUM. 47. doitprouver, Affixas, (voy.À)etfixus (voy. causeestprésente.Onéprouvede la douleur; on XXXIX, || D'ORL. Bal.Mi. || xvi"s. FIXE). d'unechoseincertaine,CH. lecoupestporté, reçoituneaffliction ; mais,lorsque s. m. 1*Action d e homme s oit être plongédans la douleurouêtre plongédans Ils n'estiment chrestien, fAFFLEURAGE (a-fleu-ra-j'), || pointqu'un estd'unesynonymie si-non qu'il s'accordeà toutesleursdétermina-délayerla pâte du papier.|| 2°Seditdela farine l'affliction à peuprèscomplète. — Inst. rend HIST. xi"s. [Qu'il]les prieet servepargrant que négatives,CALV. lorsqu'elle beaucoup. tions,tantaffirmatives ANTE 828. t AFFLEURANT, (a-fleu-ran, ran-t'),adj. afflictiun,Ch.de Roi.ccxxxvn.|| xn°s. [Il]s'en —ÉTYM. dit d'une pilequidélaye estentrezàgrantaffliction, Ronc.p. 446.Quantert Affirmatims,de affirmare,affirmerTermedepapeterie.Il se la à maillet n u. en entrélaenz, dunejut oreisun, E en.plure eu affirmatiu;espagn.afir- pâte (voy.AFFIRMER) ; provenç. ÉE (a-fleu-ré,rée), part, passé. lermeseen afflictiun,Th.le Mart.104.Certesje mativo; ital.affermativo. AFFLEURÉ, af- prierai al seignurde vertuz: Vengele sancdes en || 1°Misde niveau.Deuxplanchesexactement AFFIRMATION (a-fir-ma-sion ;decinqsyllabes d'affirmer. J'avaisbesoinde fleurées.Lesbordsétaientaffleuréspar l'eauqui tuens, Deus, qui est espanduz,E lesafflicliuns, poésie),s. f. || 1°Action stra- duntnumbresestoûs[eu],ib. encore.|| 2°Entermesde géognosie, votreaffirmation 76.|| xiir2s.Humeliez pourcroirecefait.|| 2°Entermes croissait en raison a ffirmative. tifications caractère d 'une mesuien delogique, affleurées,stratifications, qui, afflictions proposition ; sire Dieux,metmoienvie dela pardurable,Psautier, est opposéeà la négation.|| 3°En deleur épaisseurcroissante,se rapprochent L'affirmation f° 44-6.|| xrv°s. Sicomme, h orizontale; serment. P rendre direction termesdepalais,assurance avec aucuneafflicion oupeinecorporel, Eth.49. ORESME, de s. Terme AFFLEURÉE acted'affirmation. papeCareulx et establissent (a-fleu-rée), f. et t punissent peines afflic—SYN. une affleurante. AFFIRMATIVE. L'affirmation terie.Pâtefournie par pile tionsà tousceuxquifont mal,ID.ib. 72.|| xvi"s. AFFIRMATION, Acune l'affirmative est AFFLEUREMENT estfactiond'affirmer (a-fleu-re-man) ,s.m.\\l' U n'appartient proposi- t ; pas auxfidèlesd'affliger [frapper, 2°En étatdece estaffleuré. tion qui a la propriétéd'affirmer.Il soutintson tiond'affleurer; ne fairenuisance. M ais a ussice n'est pas qui || punir] c ondition d 'unfilon se c e avait il soutermes d e il soutint qui nuisance ni d e mines, rap- faire qu'il affirmé; affirmation, afliger, vengerpar le mand u sol. il soutintla proposition tint l'affirmative, dementde Dieules afflictions desbons, CAL VIN quiaffir- prochedela surface , i°Mettre niv. a. d e AFFLEURER maituneopinion. Inst.-H98.Uss'attendoient bienderecepvoirtoutes (a-fleu-ré), || — HIST. doitestrepro- veaudeuxcorpscontigus,demanièrequel'unne lesplusextrêmesafflictions XIIIe s. Etcixafirmemens et peines,quepeuvent l'autre.Affleurer les battants fasse sailliesur vêspar tesmoinsou par recortd'ommes,BEAUM. pas souffrirlesvaincusd'unvainqueurjustementindid e enfonarmoire. 2°En termes Et aussi c omme a ffirmacion et d'une 48. xiv s. physique, Démélr.56. || XXXIX, || gné,AMYOT, une — sembla-cerdansun liquidejusqu'à sontenla penséeouentendement, marqueprécise. ÉTYM. negacion Afflictio(voy.AFFLIGER) ; provenç.af3°Arriver êtrede en Affleurer unaréomètre. sont ital.affli%ione. blementet proporcionellement jusqu'à || l'appétit flictionsespagn.affliccions Eth.474. niveau.Larivièreaffleuresesbords.|| 4°Êtretan- AFFLIGÉ,ÉE(a-fli-jé,jée),part. et fuite,ORESME, prosecution passé.|| l'Atteint —ÉTYM. d u filà 5°F.n. Ces en d'une piè- d'unmalheur.Affligé peste terrible.Affligé plomb.|| ; provenç.gent, parlant Affirmatio(voy.AFFIRMER) elles s ont b iendeniveau. ital. cesdebois affleurent d'uncancer.Affligé bien, ; espagn.aflrmacion; affermaaione. partantde maux.[Gens]qui, affirmatio rendreuni. 7°Dé6°Entermesde ne paraitêtre que duxiv*s. ; aupara-|| deleurcomplexion ouledérangetourneur, || parla délicatesse Affirmation 8" d e la du Mêler e nsemble leur sont d e ona dit || ment d e mavant afirmement. layer pâte papier. santé, affligés fréquentes et du froment. s. f. Voy.AFFIRdu seigle ladies, d'infirmités AFFIRMATIVE (a-fir-ma-ti-V), l'orge, habituelles,souventmêmede — s. Cesremèdes le HIST. xvr sang douleurs MATIF. repoussent très-aiguës,BOURD. Pensées,t. i, p. 2)7 affleuroient à la à adv. etlesautreshumeursqui de cette AFFIRMATIVEMENT partie, || 2°Quia de la tristesse.Il esttrès-affligé (a-fir-ma-ti-ve-man), 8. de la douleur e t affirmative. Nous est cause mort.Un Uneâme Il D'unemanière PARÉ, X, coeuraffligé. inflammation, croyonsqu'il affligée. parut Ona ditdansle presque et avecchaleur —ÉTYM. À etfleur(voy.FLEUR). ridiculede parler affirmativement aussiaffligéquemoi,il versades larmes, Sur lesancienset les xvies. fleurer:Enterrésdesgrandsvazesde terre FËN.Tél.xv.Combien defoisl'a-t-onvu inquiétéde de quoiquece soit, VAUVEN. oudebois,jusquesà la gueulefleuransle plande leur salut, affligédeleur résistance,consolépar v\od. 625. ÉE(a-fir-mé, leurconversion ! BOSS. Louisde Bourbon.Samort mée),part,passé.[Dansla terre, o. DESERRES, AFFIRMÉ, s. Lafinefleurde affirmés AFFLEURIE la magie]Hy a desfaitsembarrassants m'a ennemieen amanteaffli(a-fleu-rie), f. par t changéeD'implacable deshommesgravesquiles ontvus, ou quilesont la farine. gée,CORN. Cid,y,7. || Onditparantiphrase:liest — leur LA BRUY. ÉTYM. Aet qui ressemblent, fleur. affligédecentmillelivresde rente,d'unesantéroapprisde personnes IVE H. Qui buste.|| 3°Substantivement. Il est bonde consoler (a-fli-ktif, k ti-v') , adj. AFFLICTD?, la Ce d'afflic1*Assurer directement a v.a. || les decompatir àleurspeinesetdelessecouAFFIRMER qu'une frappe personne. qu'ily (a-fir-mé), Onyvoitl'es- rir affligés, dansleursbesoins,BOURD. t. i, p. 242. choseest vraie.Affirmeravecserment.J'oseaffir- tifdansles peines.Peinesafflictives. Pensées, dansles MONmer que....Netienaffirmer. peinesafflictives, Quoiquej'aiepu direailleurs, || 2"En termesdelo- pritdu vainqueur peut-être quelesaffli4. II ne se le Toute afl'affirmation. ont les hommes semblent ê tre nés pour placequ'après gés tort; proposition TESQ. Esp.xxvni, H gique,exprimer LABRDY, 4i. || Onfaitsuivreaffligéde de firmeou nie. || 3°En termesde palais,jurer, substantif. l'infortune, — Bien afflictif s e dise REM. assurerparserment. : Jesuis que particulière-avecuninfinitifoudequeavecle subjonctif —HIST. xnes. Maisil nevoleitpasla coteverte,mentau fémininet dansla locution,peineafflic-affligédevoirleschosesen cet état. Je suisaffligé aucuneraisonpourne pas quevousayezperduvotreprocès. oster;Karjo quidbienpurveir, esilpuisafermer, tive, il n'y a cependant la haire,qu'ilne voltpas employer cemotau masculinet d'unefaçongéné- —SYN. MORTIFIÉ. L'iQu'iloutdesuz{dessous] AFFLIGÉ, ATTRISTÉ, FXCHÉ, Th.lemart.462. xrrr» s .Lors fumandé rale. dée commune à ces quatremotsest, péniblement mustrèr, || en i s ilor fu de li messager Salehedin avait AFFLICTION affecté.Mais quatre s yllabes poéenvoiié, (a-fli-ksion ; que attristé, venantde triste, indique au Profonde affliction. Etre dit et affremé il avéraient bataille 1°Peine morale. jourque sie),s. f. || que quelquechosede gériéral: onest attristépar toutil avoientrequis,Chr.deRains, 26.Seigneur,se plongédans l'affliction.Si vousvoyezquelqu'unce quicausela tristesse,aussibienpardesévéLe tempsamortitles afflictions.nementsmalheureuxque par des modifications là fussiés,por voir vouspuisconter, Trèsbien dansl'affliction. direet pourvoirafermerQu'ainene veïs- Dieu,qui voyezmontroubleet mon affliction,intérieures del'âme.Une peûssiés journéepluvieuse peutnous v . 404. S eli votre tes-gentsivaillament RAC. Athal.v, 7. Quelquesoulagement errer, Ch.d'Ant. pour attrister,maisellene nousaffligepas.Affligéau barons[mari]revient....et distqueli enfantsont affliction,CORN. Hor. v, 2. Lesenfantsontdes contrairesuppose un malconsidérable quinousest ne fuel n e et des afflictions a mèressur arrivé:onestaffligédela pertede ce qu'onaime, païsparnuit joies immodérées bastart,enafermantqu'il 4 Il ils veulent souffrir de BEAUM. 4. S. avaitdonné à de ne desmalheurs point XVIU, ||XIV très-petits sujets; parjor, publics.Fâchéa le même sens,sauf ditscourretiers.... enfaire: ilssont deshometaffermé aux malet ilsaimentà entendredebouche déjà qu'ilserapporteà despeinesmoinsgrandeset sur44.Si, detousles hommes,lesuns toutà descontrariétés. Bibl.desChart.2esérie,t. m, p. 424.|| xves. Les mes,,LABRUY. Onfâchequelqu'unen susce seraitunedésolante etaffermoient citantsamauvaisehumeur; on l'affligeen portant sevantoient Auglois que[lesBretons]mouraient,lesautresnon, 4 4. tousdans de mourir ID. descoupsà soncoeur.Mortifié lesavoientmandés,etsetenoientleurssoudoyers,affliction s'adresseà l'amourque , Soyons affermoitleslarmes,retranchonstoutesles visites,commepropre.Ouestmortifiéd'unedéfaite,d'un manque FROISS. u, n, 08.|| xvr s. Clitomachus Penséesd'égards,d'unrefusd'honneur, sceu.... M ONT, 238. n'avoirjamais des fautesqu'ona Peudegents au jour d'une grandeaffliction....BOSS. il, demondains surlaterre auxchoses à chrét. 7 . Pendant tant n otamment d'un affront. persuamalaysées que commises, faillent, ANTE(a-tli-jan, qu'ilsl'ontveue,ID.iv, 479. Syl- nousassurentencoretousles jours et nouspren- AFFLIGEANT, der, d'affermer jan-t'),adj. Qui du pape]préfèreà touscon- nentà témoinqu'iln'y a poureuxdansle monde afflige,quicausedel'affliction. vestrela [lapuissance Desinfirmités affliet affliction Cettevueestaffligeante. cileset tousdécrets,affermantque toutela vertu qu'amertume,quetrouble Apeineleurresled'esprit... geantes. F. i. La BOURD. t. 466. r essent u ne de l'Escrituredépendd'icelle,SLEIDAN, t-il l ueur se conduire Pensées, i, p. Calypso quelque pour ; situationafflila geanteetpresqueaccablante.... mèreafferma augmente BOURD. t. n, qu'elleavoitconceules deuxenfantsnouvelle fureur,voyantquel'affliction Pensées, vu. 2° triRom. 6 . beauté FËN. Tél. duDieuMars,AMYOT, || Malheur, p. 19.|| Ilest affligeantde, loc.impers.Il est fâd'Eucharis, —ÉTYM. de bulation. Ilsuccomba souslesafflictions. Lespertes, cheux,tristede.Ilestaffligeant ad devoircommeilsse Affirmare, afpour (voy.X),e\firL'affliction et la miconduisent. etFERMER) ;provenç.lesafflictions,les disgrâces. || Onpeutmettrecetadjectifavantson mare,rendreferme(voy.FERME dansles Sitoutescessoufital. sère le permet: Unenouempires. affermar; espagn. afirmar; affermare.Affirmer publique substantif,quandl'harmonie afflictions étaient acetCetteaffligeantenouvèlle. estlaformemodernedu mot, dont affermerest franceset toutesces velleaffligeante prises, offertes e n sacrifice e t un ancienne a ussi Ona dit la forme Onmet un e muetaprèsle présentéespar (voy. AFFERMIR). ceptées , AFFLIGER(a-fli-jé. alors la étermême de tout vie d anstoutle coursde la devant l 'a et v. profiterait pour langue, esprit foi, affermer g l'o), a. || 1° Causerun grand rienneserait BOÏÏRD. et à l'analogie De longuesguerauxvi"s., conformément perdu, françaisequi nelle, Pensées,1.1, dommage,désoler,tourmenter. de firmusavaitfaitferme,et qui,par conséquent,p. 2)5.Dansmesafflictions,danstoutesmestra- res ont affligél'Europe.Un grand malheureût dela mi- affligél'État.Être affligéd'unemaladie Ce n'est qu'au xvir*verseset tousleschagrinsinséparables cruelle.Le d'afflrmarefaisaitaffermer. 70
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L t AFFLOUER v. a. Termede marine. folé.|| 2°Entermesdemarine,dérangerl'aiguille (a-flou-é), choléra,parti de l'Inde,vint affligerl'Occident. coupdefoudrequifrappale bâtiment, guerreestle plusgranddesmauxdontlesdieuxaffli Ramenerunbâtimentéchouéà unendroitoù il y a aimantée.Un x.Jeserai d u assez d'eau flotte. affola la boussole.|| 3°S'affoler, de partiqu'ai — pourqu'il w.'réfl.S'affoler gentleshommes,FÉN.Tél. 1 ^. Il ÉTYM. et Hor. A d e chose. de affligerad'impôts flot. quelqu'un, quelque Voyez-vous pas f]igeralesort,CORN. i, 25. l amor s. 1°Ecoulement PASC. AFFLUENCE touscôtés De beautés.... du Quand S'affoler de (a-flu-an-s'), f. \\ Proph. très-décrépites gloire royaume, S de L'affluence deseauxfit PASC. édit.Cousin. abondant 3t. un dévotion? V OLT. d'eau, liquides. Ép. affligeait corpsinnocent, deshumeurs. xii"s. [Je]Chanterai leciel... Veutencorm'affliger || 2°Fig. —HIST. parunelonguevie déborderlarivière.L'affluence pourmoncourage, choses. Uneaffluence c on-i ; Tout c ela Grande abondance d e Caravec mon Bérén. veuil IUC. imposée Queje ni, [lespénitences reconforter; [malgré] Le bonheurdu devientimpossible; pourquoi sidérable"demarchandises. peu- grantdomage,Neveuilmourirn'afoler,Damede par le confesseur] ne dans des Faieldans Couci.Plusestfermsque la pierequi l essenset ne consiste seulement l'affluence cela Parceque-tout afflige qu'on pré ple pas t. xxn.p.375.Cetteaffluence,sietsurvivemole; Vicariesest saintPierre, bien tend rien leur retrancherde leurs commoditéfruitsdela terre,FÉN. 340. D i t. cette ce crédit, etdeleursaises, BOURD. Pensées, i, p. autorité,ces titres,ces trésors, seis,n'estpasventrale ; Duns,presensne preierejà i b au votre Dieuabandonne indifféremment vice voilà ce l eMart.se. xurs. Nule autre a ustérités corps?m. nelmuetne Th. affligez-vous que afole, || quelles de tousleshommes wJRD. 331. L 'auet aulibertinage, chosene demant,Nemesersjamèsautrement,Et Pensées,1.1, p. p. 352.L'ons'insinueauprès de maison durant soitenles flattantdansles passions quioccupen guste d'Autriche,où, l'espace lesseta penséefoieEtle folDieu.quisi t'afole,la infirmités afaux leurâmeyouencompatissant s'entrouvasiaffolé qui quatrecentsans,onnetrouvequedesroisetdesem- Base,6928.|| xvi°s. Carneades 2°Causer d el'af LA BRUY. H. a ffluence de maisons leur etunesi n'eut j| grande roya- [dela soifde savoir]qu'il fligent corps, pereurs plusle loisirdese diction.Cettemortnousafflige.Peude chosenom les,avectantd'Etatsetderoyaumes, qu'onaprévu, fairele poiletles ongles,MONT, I, tst. En espann ous Jevien: dechose il a en serait BOSS. surcet afflige. danttoutescesmocqueries surchargée, console, qu'elle homme,qui,an parcequepeu y longtemps, Ledéplaisir morte Marie-Thérèse. del'affliger, c'està moid'adoucir et || 3°Grandconcoursde monde.Af- demourant, n'estoitpas guèresage,ilsle gasterent Il m'adore, VOLT. t. Aumilieu del'affluence des -17. adû ressentir, Zaïre,in, fluenceextraordinaire. encoredavantage,AMYOT, Démétr. l'affolèrent qu'elle ic affluence à sesobetlesmêmes douleurs Il eutune affection de estoit Qui m îaffligeaient Ceste grande spectateurs. y Dionysius unmalPhoedime, passionnée Hithr. d esvilleset des RAG. u,t. Jel'affligesèques.Les habitantssortaient letourmentaient heurà Platon,car il en estoitaffolé,ne plus ne ailleurs, L'affluencedes étrangersmoinsquesontlesjalouxdeleursamours,m.Dion, raistropsij'osaisachever,n>.Phèd.v,3.Sonvisagi bourgades en affluence. et mepoursuit?m. Esth.u,t.3'& danscetteville. celuiquetafolie[Calliope] odieuxm'afflige 19.Heureux affole,RONS. — s a m . n'est s ans SYN. CONCOURS. Il besoin t ant le tantôt respectaffligé misère, Iphig.m,i 397.Ellevouloit, pas AFFLUENCE, plaisirl'affole,Toutà la oudem'élever.d'indiquer 6 Dieu,vousplaît-ilde m'abaisser sa parole,ID.642. que cesdeuxmotsdiffèrentessentielle-foisdesgorger detraverser mesdes — oudeme e tde l'idée de moudem'affliger mentdemultitude ÉTYM. consoler, À et fou(voy.FOU) foule,par ; provenç. afolir. BODRB. t. C oncours et affluence s e estincluse. v.a. seinsoudelesfavoriser? vement 2.AFFOLER Pensées, n,p.73 quiy (a-fo-lé), Blesser, endommager, f toucher l escoeurs e l Ilsvoudraient t outesles fois C'est la pauvreté Parextension. confondent léser.Ce me console pourtant qu'il , que |! souvent; qui Vou; importerade distinguerl'arrivéeen massed'une commemoilesaffole,RÉGNIER lesoreilles.|| 3"Mortifier. n. Ilm'apernefontqu'affliger Sat. , votrechair,vosvolup- fouleoul'arrivéesuccessive d'unefoule,on se ser- due,il m'atouteaffolée,LAFONT. Papef.|| Cemot pouvezréparer,en affligeant L'austérité MASS. Car.Vocation. casdeconcours et dansle setés criminelles, viradansle premier esttombéendésuétude. l'innocencecondd'affluence. —HIST. d'unehairepresqueperpétuelle xnes. Defendez-moi dehonteet d'afoler, affligeait J 'aiaf — ID. S t Louis. desoncorps[deSaint-Louis], HIST. xvics. Et nonseulementvescurenten Ronc.p. 2.Jà fustRolantetmorset afolé,ib. p. 9t. ID. Commentas-tu monâme de tous airisencobaronafoler affluence L'on ne doit son fligé parlejeûne, Resp. biens, [fairetortà], -t*6. plantureuse pas tu te tu ilz de l'argentpourl'entretenement permetstout, resamassèrent pensé....que,pendantque p. -180.Lorsverrezvoussoncorpsdestruireet afoeussesle droit,d'affligertousmesdésirs?MONTESQ. 3 4. dela guerre,AMYOT, Timol, ler, ib. p. 201.|| xmes. Miexvosisse,voir,qu'av. réfl.Éprouverde —ÉTYM. et espagn.afluencia;ital.af- foléM'eûstl'end'unpiéoud'unoïl,Ben.5558.Sunt Leur.pers.tel. || 4°S'affliger, Provenç. d 'unami. J e m'afdes malheurs l'affliction. enterreestablili juge....Porceuspugniret chasS'affliger affluentia,de affluons(voy.AFFLUENT;. flwenga;de estunedouleur les ENTE(a-flu-an,an-tf).|| i° Adj.En toier Qui,porcesteamorrenoier, Murdrissent et, AFFLUENT, fligedevoirque....Lacontrition actedelavolonté emblent et un dans gensetafoient, Ouravissent, qui s'afflige,parlantd'uncoursd'eau,quiasonembouchure tolent,la parconséquent, BOURD. t. 2SS. moults'efforce De uneautrerivière. L eRhinet les 5490. M es li archiers un fleuve o udans Pensées, i, p. qui quihait, quidéteste, Rose, avecmoi....CORN. et moultse paine, Nem'ilestmiealer Sansvousen affliger,présumez rivièresaffluentes. |[2°S.m.L'Indreetle Chersont moigrever, vainement l'unet nous L aSeinea de nombreux 3.Ne desaffluents dela Loire. sans affligeons point Poly.i, paine;Ainsm'afait,pormiexafoler,Latierce Nevoilgepasque affluents. Baj. ni, 4. l'autre,RAC. qui sejettentà floicheaucuersvoler,ib. .xxvm,5.Sursespiez.... delon- fluentà Paris. Onaffluaità Romede toutesles tu acolas[tescheveux] j. DETROYES, Chron.-I46B. Enbaisierles,etenmouiller || xvics. Affligé MONT, Deteslermesdontfeiscourtier[courroucer] n, 26. J'ay aultrefoisesté partiesdumonde. guehydropisie.... Dyables — unedame mes quelorstu affolas, J. DEMEUNG HIST. xiv s. Gedonneetlaisseà tousjours vrayement affligée, employéà consoler , Tr. 888.|| xv"s. de laisseret auxparoissiensaffluanschacunan en l'église Grandfoisony eneut de morset d'affolés,Bouciq. ID.m, 294.Iln'est pas raisonnable affliction sans et autres]se abandonner DUCANGE, Olivierd'Auterme luydon- ie Juignêan jourde Pasques.... l'affligéen son recep- i, ch.30. [Messire Démosth. 3t. Nous lio. la ner quelquereconfort,AMYOT, surdesnavieurs d e mortdeleur contrevengerent à leur —ÉTYM. et les dead,à, et fluere,couler(voy. cousinet lesdécoupèrent souspironsavecles affligés,compatissons tropvilainement.... Affluere, 33. affolés.... FROISS. à Gandainsi mal,CHARRON, Sagesse,i, n, n, FLUX). renvoyèrent —ÉTYM. Wall,affligt, bossu; de affligere,de AFFLUX de 3.ib. u, 7. Y.43. cettefleuril-passeà l'agathe,LABRU Maisje suis né robusteet n'ai pointpassél'âge, plois. —ÉTYM. d 'orneAGATHEE s. Arbrisseau 62.Lesfilsdesdieuxn'attendentpresque A.CHËN. Agacer. f (a-ga-tée), f. U mouillées),ment,à fleursbleuesdu Cap. riendu tempset desannées; le méritechezeuxde(S')(a-ga-llar-dir, t AGAILLARDIR c ontient de 2. |i4°Laduréed'unegénérav. réfl. Devenirplusgaillard. vancel'âge,LABRDY. (a-ga-ti-fê-O, adj.Qui f AGATIFERE —ËTYM. À et gaillard. tion.Cevieillarddansle choeura déjà vu quatre l'agate. — Terme de médede ÉTYM. Lutr.i. Cevieillardquia vécutroisâges (a-ga-la-ktie), s.f. fAGALACTIE Agateet fer, ferre,quiporte. âges,BOIL. delaitdanslesmamelles. cine.Absence ÉE (a-ga-ti-fi-é,ée), adj. Trans-d'homme,FÉN. Tél.xv.Il lui racontaittoutesles f AGATOETÉ, —ÉTYM. Aprivatif,et yâXa,lait.Ontrouvequelqueforméen agate. aventuresde sa jeunesseet toutce qu'ilavaitvu — c'est u nemauvaise mais et d e auxhérosde l'âgepassé, foisagalame; orthographe. ÉTYM. Agate péri, devenir,passif facerefairedeplusremarquable dit (voy.FAIRE). termedehotanique.Se AGAME ID.ib. xv. || 5° Lesdiversesépoquesde la vie. (a-ga-m'),ad/,', onné causépar Chaojue d'organes f AGÂTIS auxquelles connaltpoint desplantes (a-ga-ti),s. m. Dommage âgea sesplaisirs,sonespritet sesmoeurs, et desalgues. desbestiaux dansles héritagesdesvoisins. BOIL. Art poét. m. Tousles âges,tousles états quecertainschampignons sexuels,tels —ÊTYM. — dea mariage ÉTYM. Àet gâter. *Aya(i.oç, privatif,etY.J.J. bonnevalleur,car ilprenoit tailleset aydes,et n'y tis, LivredesMet.440. || xvr3s. J'estoisaided'endanslehuitième denier avoitle roy riens que son hommageet ressort, seigneau régimentdeChappes. est ROCSS. Aide-enseigne Conf.iv. Entrerai-je ou danslesaides?LABRUY. 44.|| Courdes aides, COMM. n. 46. Leshommesfievésfontà leur sei- un honnestehommequi aideà porterle drapeau; Taillescommeondit aidede camp,aidedesergentmajor, aoect'Zium. compagniesupérieure,qui jugeait desaffairesgneurcinqdroitesaides,nuCANGE, concernant ces sortesde subsides.Président,con- nesontmieaydes; cartaillessontlevéesparcasde aidedesergentdebataille;oncommence à direaide L e Amelot fut seillerà la courdesaides. président nécessité et devolentédeprince; maiscellesaydes de caporal,aidede tambour. Toutsefaitparaides; la des elles cour si cen'estaucas d'aides delictqu'enPolodésavoué nulne veu ne aides,RETZ, peutlever, publiquement par pourquoy j'ai qu'on parloit Foen.iv, 45. J'aimeroismieuxestre IV,433. || Il sedisaitaussidu lieuoù cettecom- sontdeues,ID.ib. Aydeschevelssontditschevelsgne, D'AUB. l e à la cour d es ches'assemblait. Vous trouverez ce l'on lesdoitrendreas aidede ID.ib. L'unestoitaideà seigneurs bon pagnie pour que sommelier, le seigneurmaçon,PARÉ, aides.|| Aufiguréet parplaisantera,allerà la cour vels,ID.ib.Aidedereliefestdeuequand vin, 32. desaides,allerauxemprunts, fairefaireunepartiede meurtet sonhoirrelevéversceluide quiil tenoit —ËTYM. Aide. sontravailparunautre.|| 8°Entermesdemanège, sonfief,ID.ib. AIDÉ,ÉE(ê-dé, dée),part.passé.|| 1° Aidépar — d es le cavalier En celanousavonsune bonneaide aides'entend moyens xvi"s. agit toussesamis.Aidéde ses amis.Aidéde la lecparlesquels sontcellesdes pour conformer sursoncheval.Lesaidessupérieures nosconsciences à la foi quenous turedesanciens.Aidédesoncourage.|| 2°Ce qui l'intermédiaire dès rênes. mains;ellesagissentpar devons avoirenluy,CALV. Inst.i88.Je vouspriebien n'estpasspontané. Samorta été aidée.On s'apsondictaffaire le Lesaidesinférieuressontcellesdesjambes;elles affectueusement donner e n bien avaitété aidée, STluy percevait que la vocation 80.J'ay SÏMON, agissentparlescuisses,lesjarrets,le grasdesjam- meilleuraydequevouspourrez,MARG.IeK. 62, 42t. bes, l'éperonet l'étrier.Le cavaliera les aides grantpeurquesansvostrebonneaideet cellede fAIDEATJ(ê-dô),s. m.Morceau deboisqu'onpasse finesquandil les emploieavecméthodeet préci- D'eu,nousauronsbienaffaireà sa fille,ID.I'6.402.dans les barresd'unecharrettepoursoutenirles sion.Lechevala lesaidesfineslorsqu'ilesttrès- L'ondoitvenirpar action[enjustice,nonpar sai- chargesélevées. || Auplur. lesaideaux. au singu- sie]pour loyauxaides ou chevels,LOYSEL, 604. AIDER sensibleauxaides.Onle ditquelquefois (ê-dé).|| i° V.a. Donnerde l'aide.Aider chevalsans aucuneaide....Donner l es aides 4 lier: Le sesconseils,desa bourse.Ainsidonc Loyaux (ouaidesen cas)sontcoutumiere-quelqu'unde bienmanierun cheval. aidesextrêmement dus chevalerie du oudesonfils ment Cetteméfines, aidez-moi. Ill'aidaà sortird'embarras. pour seigneur Unpeud'aidefaitgrandbien.|| Bon aine;pourmariagedefilleainée;pourrançonet thodeaide la mémoire.Le télescopeaide les 1| Proverbes. droit a besoin d'aide, c'est-à-dire quelqueévi- voyageenla terre sainte,ID.606.Les catholiquesastronomesdans leursdécouvertes. Parlez,mes dentque soitun droit, H' est bondele faireap- quipensaient avoiraide[part]à la prise,qui mes- frères,parlez;je ne suisici que pour aider vos mesvenoient avecarmespourvanterleur assis- réflexions, BOSS. Annede Gong.Hercule,lui ditpuyer. —SYN. SECOURS. Aideest le tance,furenttraittezde mesme,D'AUB. ASSISTANCE, AIDE, Hist.i, 446. il,aide-moi ; sitondosA porté la machineronde, termeleplusgénéral: onaidequelqu'unquandon Carl'espritne sentrienquepar l'aydedu corps, Tonbraspeutmetirerd'ici.... Herculeveutqu'on luirendunservicedontila besoin;ilne peutfaire RONS. 238. Fab.vi, seremue;Puisilaidelesgens....LAFONT. i ln'est assez on lui en aide unechose, vient —ÉTYM. pas fort; Berry, ; picard,ayude,eyude;pro- 48. Comptez-vous pourriendeservirvotreroi, de aide.Onluivienten aide encorepar de l'argent. venç.ajudha,ajuda,ahia;espagn.ayuda;ital.m'to;l'aiderdans touslesbiensqu'ilveutfaire et de Secours est plusparticulier; il indiquenon pas d'unbas-latinadjuta,du supinadjulum,de ad- rendretantde peuplesheureux?FÉN.Tél.xiv.En seulement aidezmesfaiblesyeux, que la personnea besoinde quelquejuvare, de ad, à(voy.A),etjuvare,aider,plaire. quelslieuxsommes-nous? dansun péril, Lesanciennes sontaiude, aïue, VOLT. formesfrançaises chose,maisqu'elleest précisément Zaïre,n, 3. Aulieud'aiderla grâceconire dans une situationpénible,embarrassée.Celui aide, aie.Lesformesahia, aila, aide, aie, qui la tentation,vousaidezla tentationcontrela grâce qu'onaidefait quelquechosequ'il ne peut termi- sontcongénères,ne s'expliquent qu'ensupposantmême,etvousdétruisezcelle-ciparl'autre,BOURD. nerseul; celuiqu'onsecourta besoinqu'onle tire qu'àcôté d'adjùtumavecu long,il y a eu un ad- Carême,p. 229.Remettez à leursbraslescommuns, de péril.Assistance degêne, d'embarras, se rap- jutumavecu bref,,d'oùun déplacement del'accentintérêts,Etn'aidezleursdesseins quepardesvoeux saufenun dansle o n dit point,c'est et parsuite,aïde.XParis, "peuple prochebeaucoupd'aide, secrets,CORN. Cinna,I, 2. || 2°F. n. Ilse conju3 dans l e assistance à s on souvent aîde.On ainsi xvr avecl'auxiliaire avoir.Il parutsensibleà Inatque qui siècle, gue rappellel'esprit étymologie prononçait est assister,être présentà, être auprèsde ; cela commel'indiquePalsgrave, 44.Dansle xvir= tentionquej'eus de lui aiderà sortirdu bateau, p. limitebeaucoup Gramm.p. 497, recommande dene sé- J. J.ROUSS. l'emploidecemot.Aplusforterai- s. Chiffiet, Prom.2.Dansnosétudes,quandmon sonfaut-ilécarterdela synonymie ainsi appui,quequel- parerjamaisl't, quequelques-uns quipronon-thèmeétait fini,je lui aidaisà faire le sien, ID. fontentrerici: a aveclui mal. cent liv. I. Serait-cequelquechoseoù.je vous ques-uns appui toujours Confess. en sonsensétymologique c irdit AIDE(ê-d'), s. m. et /. || 1° Se desperqui indique quelles aider?MOL. Méd.malgrélui, i, 5^ Téléon peutle préférerà aide,à secours,sonnesqui prêtentleur concoursà un autre.Ce puisse constances M entor maque,voyant quiluitendaitJa mainpour à assistance. a chirurgien deuxaidestrès-adroits.Cetteinfir- lui aiderà nager, ne songeaplusqu'àsortirde —HIST. ix"s. E in adjudha,Serment. mièreestuneaideintelligente.Si tu cherchesun l'île fatale,FÉN.Tél.vu. J'aidaiau Rhodienà se — xics. DeMahomet n'i aurez Unroi qui t'a ferméla relever,ID.Tél.v. Uslui aidaientà tromperle jà aiude,Ch. de aideà traiterd'imposteur, Uol. en. Chevauche, reis, besoin[nous]avonsportedémoncoeur,CORN. Perth.m,4.|| 2°Aide-ma-roi, m. Tél.m.Leshommesne peuventpar leurs ib.cxxrv. ouaideà d'aïe, maçon,manoeuvre établiraucunbien effectif, si les qui aidele maçon.délibérations —xil's.Dexmesoitenaïe....Ronc.p. 28.Maisçon celuid'un ou d'unaide à R ÉID.t. xvu,p. 5. Que neleuraidentà l'exécuter, fripier maçon, femmes ait aïue comandez Sat.xm.|| 3°Aidedecuisine, celuiquisertsous Dois-jedemeurerauprèsdemon qu'il grant,ib. p. 36. Trèsdout GNIER, filspouravoirsoinde crains faillit d 'aïe le à sechefdecuisine. 4°Aidedes officier fort]qu'il sesEtats?Mme [je [qu'ilmanquât sesaffaireset luiaiderà gouverner || cérémonies, DELAFERTË, Ro- qui sert sous le grandmaître des cérémonies. I l b ienaise courir]Auroi oùil futaies,HUES xix. est toujours qu'onlui DACIER, Odyss. 426. C arbien mestier 5°Aide de o fficier un attachéà général.Au aideà se défairede cetteestime,FLÉCH. mancero,p. doitlosangier qui Serm.I, || camp, a d'aïe....Sax.vu.Nosforces,nosaies[nous]boutdequelquesannées,il se défitdu régiment347.Lepapene l'avait-ilpasconjuréplusieursfois [besoin] lui metonsen defois[refus],ib.xvm.Simeferont pours'attacherplusparticulièrement à la personnedeluiaiderà porterlefaixdumondechrétien?ID, t'6.xxi. du roi, qu'ilsuivittoujours danssescampagnes, aide,seDeuplait,bonement, en Panég.i, p. 198.NousPesprêtres]sommes à Dieu, —xnr s. Al'aïdedeDieusa voie[elle]a rasse- qualitéde son aide de camp,FONTEN. Dangeau.appelésàluiaider,iD.Serm.n,254.Sansluitendre 'née[reprise],Berte, XLVI. Biena Diexet sa mère || Aide-major ouaide-chirurgien, chirurgien adjointla mainet lui aiderà sortirdecet abîme,MASS. buiesté enm'aïue,ib. LU.Là [elle]remest[ûe- ou chirurgien-major. Sous-aide,celuiqui est su- Car.Lagare.Ne point aider au mérite, faire touteseule,Diexluisoiten aïe, t'6.cix. Si bordonné à l'aide-major. ouaide-ma-servirla piétéà son ambition,LABRUY. Dieure] 43.[Vous] || Aide-major vraiement mefasseDiexà la finaïue,ib.cxxiv.Et jor de corps,officier la sous direction imméessaid'un Aiderez a uxRomains à faire placé maître,
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AID
AIE
AIG
CORN. Sertor.m, 2. Pour aiderà monfrère à cuns,Sainte-Marie moinsoccupée aîue, t'6.cxxxvm.Et li aposto-elleestbeaucoup desesaïeulsmatervouspersécuter,ID. Nicom.i, 1. || 3°En parlant lesle fist escumeniier toutecrestienté e t tous nels,L'ABBÉ DE VAUXELLES par Notice surSév. , des choses.Il fallait, en fuyant,ne pas aban- sesaidansentoutemanière,Chr.deRains,p. 157. AÏEUX m. (a-ieu),s. plur. Tousceuxdequil'on Sederiens descend, donnerLefer qui danssesmainsaide à te con- Carart aidemoultà nature,16.18804. ouceuxquiontvécudanslessièclespassés. mon commanvous i HAC. Phèd. 2. Par J à ne f aire t'6. puisaidier, m'enquiers prier, Quisertbienson damnerj iv, VOLT. paysn'a pasbesoin se potaidierdece qu'iln'estoit Mér.1, s. Celongamasd'aïeux,qued'aïeux, dement,la gardeen faitde même,Et, se tenant 28)5.Lisous-aagiés vousdiffamez CORN. cachée,aideà monstratagème, Cid, iv, 3. pas en aagede ferecreantementne convenence,tous,Sontautantdetémoins quiparlentcontrevous, aidaientbienàla chose,LABEAUM. Lemeubleet l'équipage Sat.v. Leciel,toutl'universestpleindemes xii, 35.Vozjurés, se Dixvos ahit, et U BOIL. FONT. Fab.vn, 15.Découvrir 6.Plusd'honneur, quelssonten nousles saint,et les saintesparolesquisunten cestlivre, aïeux,RAcPfcèd.iv, plusdelois; n os ont aidéauxoccasions et facilité ID. e .Et moultde dient le . penchants conte eust Rome e st X L, anéantie Del'univers qui gent que et d'elleil [César] ; Nosimprudents chutes,MASS. Conf.Retr.curés.C'estunedeceschosesfouléla royneet le roy, seDieun'eustaidiéau roy triompheaujourd'hui; aïeuxn'ont à la véritédesquelles on estbienaised'aider,et qui à celbesoing, JOINV. 202.Entrelesautres,limanda vaincuquepourlui,VOLT. Jf.deCésar,11,3.Ilestde FONTEN. la terre cesespritsfavorisésdes I, queil estoitprest de li aidierà conquerre persuadent, parcequ'ony estfavorable, cieux,Quisonttoutpareux25.Je ne sais'oùje vousai vu; votremémoireai- sainte,et de délivrerJherusalemde la mainaus mêmeet rienpar leursaïeux,ID.Fanatisme, 1,4. derapeut-êtreàla mienne,FÉN. Tél.vin.|| 4°AiderSarrazins,ID.211.Aidesaudroit,et soutienlaque- —REM. 1.Auplur.ondistingue aïeulsetaïeux:l'un à lalettre,pénétrerunsensquin'estpasmanifeste.relle du pourejeusquesà tant quela véritésoit signifiant le grand-père et la grand'mère, l'autreles ID.30I. Oncomprendle passage,maisil fautaiderà la desclairiée, ancêtres.Cettedistinction, ê tre quipeut conservée, lettre.Cettefaçonde parlervientdece que, dans —xives. Et avecques ceelleaideà faireet esta- n'avaitpascoursautrefois ainsi ;voyezcesexemples lesmanuscrits, il yavaitdes abréviations falbliret humaines et écrits danscertaines é ditions d e Massillon : S'ils qu'il composer loys justes proffita[les laitdéterminer Eth.Prol.Carfiancen'aront,selon grands]n'ontpointd'autregloirequecelledeleurs parle sens.Aufiguré,aideràla let- bles,ORESME, de celui m'entencion, P. Car.GrandeurdeJ.C.hzsouvenir Queli undoiel'autreaidieràsonbe- aïeuls,MASS. tre, c'estou bienentrerdansl'intention, de iD.t'6.Desaïeuls quiécrit,quiparle, ou bien altérerla véritésoit son,Guescl.15776 Dieudit: Aidetoy, jeté leursaïeulsdevientleuropprobre, ID.t&.Lesglopourtromper,soitpouramuser.|| Dieuaidant,avec aideray;Oucesenon,je te fauldray ; Carcilzqui dontilne restequ'unevilepoussière, cielf aidera, aidierne se veultEngrantpoverteenfinsetreult rieuxvestigesdeses l'aidedeDieu.|! Proverbes. Tac. Aide-toi,le aïeuls,PERR. D'ABLANCOURT, il fautsoi-même Dieu aide le LivredestroisRois. 77. D 'autre s'évertuer.' : Tousnospoèc'est-à-dire, || p. partMénage [trouve], remarque m'ensied tes généralement àtroissortesdepersonnes,auxfous,auxenfantset —xv°s. Et, siDieum'aist,le courage rimentaïeulsavecdieux,cieux, auxivrognes. à notredessus.... lieuxetautresmotssemblables || ÂquiselèvematinDieuaideetprête tropbienquenousen viendrons ; cetterimeesttrèslamain. Et retraire car FROISS. 17. le convint levilain on aïeulsen faisantsentir£ pour I, 1, mauvaise, prononce ainsi non v. rèfl. \\ i° Chacuns'aidesoi-même.horion,et porterau logis, aïeux.Cequiprouvequedesontempsonfaiqueceluiquinese et S'AIDER, aupluriel.||2.M.Julliendit:aOnprend Je sauraim'aider.|| 2°S'aiderde, seservir.Il s'aide put depuisaiderni armerdegrandtemps,ID.I, saitsonnerï detoutessesarmes.Quine peuts'aiderdesesmem- 102.Malgré le propreroiet toussesaidans,ID.I,I, souvent aïeuxpourleplurield'aïeul ; c'estuneerreur: la m onstroient e st Crut fallait s'aider d e du 22. Le et sonconseil de voul'aïeul le ilest bres.[11] qu'il peau renard, ; roy luy grand-père aprèsle bisaïeul,et, LAFONT. Fab.m, 3.Onne connaîtpointla hauteurloiraider,COMM. 1 . Jene fussiez dansce ila a : VU, pensepasque sens, pourpluriel ïeulsquiestrégulier d'uneétoile;elleest, si j'oseainsiparler,immensun'aidissiez à Ses deux ont si peucourtois,que vous aïeuls rempliles premièreschargardermon il a ni ni ni XVIII. Aïeux L OUIS NOUV. rable; n'y angles, sinus, parallaxeshonneur, XI, ges. , au contraire,signifietousceuxdont dontonpuisses'aider,LABRUY. 16.[|3°S'aider,s'as- — xvies. Retirez-vous, et nous ayderonsicià on descend,et nonpas le grand-père,la grand' sisterréciproquement. Aidons-nous Panl. 11,25.Ainsim'aid' Dieux,J. mère: Nosaïeux;suivrelatracede sesaïeux.C'est mutuellement,Panurge,RAB. Lachargédesmalheurs en sera pluslégère,FLOR. v, 244.Maisil [le roiauxéchecs]est tant dansce sens qu'ondit d'unmaladequ'il est allé MAROT, mêlant Nous n os devous Fab.v, 12>et non passes Aveugle etParalyt douleurs, fortifié,Quetousperdronsdumatl'intelli- voirsesaïeux,LAFONT. nousaidionsl'un l'autreà porternosmalheurs,gence,AidantDieu,vouset madiligence,ST-GEL. aïeulsqui peuventtrès-bienlui survivre.De là RAC. 3. MONT, Brit.i, p. 80. Celaayderoità continuer, I, 15.Hom-on peutconclurequeLaBruyèrea fait une faute —REM.Aiderveutla préposition à et l'infinitif: me,pourn'estreaydé de et duna- quandil a dit, Caractères, ch. il: Leshommes que l'expérience aider quelqu'unà payerses dettes; aidez-luià turel, d'un jugementbien net, ID.1, 25e.Ilsse de génien'ont ni aïeulsni descendants. Il fallait soulever ce fardeau. sontaydezdel'éloquence des I D. est iciau La voulait dire plusque armes, I, aïeux,qui pris figuré; Bruyère —SYN. AIBER ÀQUELQU'UN, AIDER Les 380.Mafaçonn'ayderienà la matière,ID.m, 36. quela gloirene se transmetpasparle sang.Pour QUELQU'UN. ont et ordonnersonroyaume,desaïeulsleshommesdegénieenonteu très-cerd 'établir unedistinction enIl luyaida à gouverner grammairiens essayé tre cesdeuxemplois, disantqueaiderà quelqu'un,AMTOT, Num.2.Lejour dedevantil avaitreceuun tainementcommetousles autres, un du côtéde c'estpartagerpersonnellement la de letravail, peinede coup piedde chevalen la cuisse,et encorequ'il leurpère,unducôtédeleurmère.»ChezLaBruyère, tandisqueaiderquelqu'un quelqu'un, estplusgénéral ne se peustpas bien aider, il se feitneantmoinscen'estpasunefaute,c'estunemanièrede parler etseditdetouteslesespèces d'aide.Mais,quandon amenerun cheval,ID.P. Mm.32.Salangueluies- desontemps.Maintenant la distinction est faite,et examinela locution,Dieuaideauxfouset auxen- toitun util, dontil sesçavoittrèsbienaiderà l'aire on a été conduitpar la doubleprononciation du fants,etla phrasedeBossu et, Ondoits'aiderlesuns de belleset grandeschoses,ID.Arist.et Cotonplurielaïeulset aïeuxà établirdeuxsens.X ce auxautres,ilestclairquenulledifférence n'estsen- comp.4. Aristides aida Themistocles son ennemypointdevue,aïeuxn'estpasleplurieldeaïeul,c'est sible.Eteneffet,toutcequ'ily adedifférent, c'est capitalensesplusbeauxactes,ID.t'6.11.Siluypria unnomcollectif quin'a pasde singulier.Maiscela dansl'undes aider la I D. est verbe et de lavouloir a ideràfaire 3 . n'estv.rai que, cas, cuisine, Philop. neutre, que pourl'idée, cene l'est paspourla dansl'autre,verbeactif. Lafortuneaideauxhommes RONS. 601. grammaire. estle véritable courageux, Ëtymologiquement,aïeux —HIST.xi" s. Prudhoni ot pourson seigneurUngentilcoeuraidetousjours ID. 6 40. d'aïeul. autruy, pluriel — — deRoi. m .Etlui Ch. aidezet ÉTYM. HIST. XII"s. Tesaious[tonaïeul]qui prist aidier; aider, Berry,aider, ajider; pourseigneur Picard, t'6. xxvi.Silui trouvezqui-trèsbien lui provenç.adjudar, ajudar,agudar;espagn.ayu- d'AnjuL'honour,eûstcest[celui-là]vil tenUjHUES tenez, LX. t'6. Chrestientet aidezà soutenir,ib. dar; ital.aiutare(voy.AIDE). Onditsouventà Paris DELAFERTË, aiut, Romancero, p. 191.Al tensà sun i,xxxvn. aiderentroissyllabes. Respontli quens: Carluialonsaider,ib. etdanslesenvirons Ménage,aioelesteientil desfait,Liclercquierentprisà si cxxv.ContreFranceis[je]luisuivenutaider,t'6. quia notéaussicetteprononciation, recommande vilainmesfait,Th.leMart.27. || xines. N'oncn'oDient CLXXXIX. Franceis:DamesDeusnousait, t'6. deprononcer aiderendeuxsyllabes. rent sergentplusleal Vostrepère ne vostreeal, CGXLIII. Il s'escria: Aîeznous,Mahom,t'6.CCLXVI.f AIDEUR(ê-deur), s. m.Celuiquiaide.Cemot, la Rose,12192.Letre que l'aelau dit Raoulles AitvousDeusqui onquesnementit,t'6.cxxxvm.rarementusité,pourraitêtre repris;carilsecom- avoitquitez[exemptés] de service,DUC avioANGE, — xu*s. Celuiaidiezet s'honneurli gardez, prendtoutde suite,et sertà compléter la sériede nes.Le [la]queletereli descendi de sonpèreou de Roncisv.p. 18. J'enseroieaidans,t'6. p. 27.Se aider. se [sa]mèreou de sonaioloude s'aiole,BEAUM. m'aitDex,t'6.p. 29.Sim'aiderezde [contre]Rol- — HIST. etaïdieres.Vosqui VI,7. || xves. LeroyEdouard,ayeulà iceluydont xir s. Et conseillanz lantle marquis,t'6.p. 30. Guenesrepond: Bieni li estesaideorEtmaistreet amonesteor, BEN. Chron. nousparlons,FROISS. 1,1, 69. t '6. 35.Son de bonaubère luiaident à v. 39392. xin s". dameDiex Que poezaidier, p. gloirepar ^-ÉTYM. || Wallon,aioux,aïeux;Bërry, aïol; VestirSi homeliège,ib. p. 65.[Vous] Quidebaslonla soiepitésVossoità iceljor aidiereet avoés,Ch. provenç.aviol;espagn.abuelo;ital.avolo; d'un enestorvous G5.Lesoz[arméesjs'aprosdeDieuaï- diminutif d'Ant.742.St Polditquenoussummes nonlatin,aviolus,de anus,grand-père, aidez,t'&.p. soitasnos[auxnôtres]aidans,t'6.p. 135. deour,j. DEMEONG. Test.16G9. ment,Dex qu'on peut comparerau gothiqueavô, grand' Moûtçvre [opère]biencui dameDex aïue, t'6. — ÉTYM. Aider.Dansl'ancienfrançaislenomi- mère;anc.nord,afi, grand-père. s. f. Grand'mère p.147.Quantdupoingne du bras[je]nemepuis natifétait aidiere,et le régimeaideor;d'un bas- AÏEULE (a-ieu-P), ; la mèredu t'6. 195. Diex!quantcrierontoutrée, latin, nominatif Aïeulematerplusaider, p. adjutator,régimeadjutatorem. pèreoudela mère.Aïeulepaternelle. aidiez à Pour sui AÏE! C ride de Sire, pèlerin, qui[je] espouvan(a-ie),interj. souffrance, douleur.nelle. tée; CarfélonsontSarazin,Coud,DamedeFaiel. Aïe!aïe! queje souffre!Aïe!aïe! à l'aide!MOL. —HIST. xmes. Âm'aiulleavintautresiEtà ma Nenuls,forevous,nel'en peutbien'aidier[aider l'Étour.11,9. mère; carjel viUnpeudevantlurfinement[mort], encet objet],QUESNES, — ÉTYM. Fab. 41. Esquelesmessesnousaqueullons Romancero, p. 102.Mais Aie,quidansl'ancienfrançaissignifieMARIE, cil en ait l'honeurcuiDexvoudra [que] nostreaiolela raineBlanche,DU aidier, aide(voy.AIDE). CANGE, accolligere. Sax.iv.Bienluisisrent[luifurentséantes]lesar- AÏEUL(a-ieul),s. m. || 1° Grand-père. fu filleà l e contede Brienne Aïeul L'aiole la,roynede sis'ensutbien mes, aidier,t'6.iv. Sevostrehom- paternel.Aïeulmaternel.M.de Montausier ra- Cypre,et femmele grantconteGautierdeBrienne, mevousvuelentpardroitefoiaidier,t'6.vi. contaitavec plaisir les servicesque son aïeul JOINV. 204. —xni*s. Et cilde Constantinoble leurvenoientavaitrendusà Henri IV, FLÊCH. Montausier. J'ai —ÉTYM. Voy.AÏEUL. aidierenbargeset ennés[nefs],VILLEH. LXXII. Etcil pouraïeullepèreetle maîtredesdieux,RAC. AIGUEME Phèd. f A1GAGE,AIGUAGE, (é-ga-j',è-gheOr somesiv, a. Il2°Auplur.Aïeuls, au du fondsd'auqui l'avoientaidiéà eschaper,ID.XLII. travers s. Droit le grand-père d'aqueduc paternelet rie), f. nousbonisse nosne leur aidonsà prendre,ID. le-grand-père et la trui. maternel,et aussile grand-père XLVHI. Onques gensne se aidierentplusasprementgrand'mère. Ancienfrançais,aiguë(voy.EAU). Sesdeuxaïeulsont assistéà ce ma- —ÉTYM. sor mer, m. xcvi.S'aidoient li uns l'autrecontre riage.H3°11a aussiété employé s. m.Termed'agriculture. tous f AIGAIRE (é-ghê-r')! pourdésigner les Arabis,Berte,v. L'autresfut fleûteres,moût les ascendants soitpaternels, soitmaternels. Lagé- Profonderigolequi, séparantles billons,sert à s'en sut bien aidier,t'6. xi. AideDiex,fait-ele, néalogie deseauxpluviales. desRabutinquedoitpublierBussylui pa- l'écoulement feïsmer 16.XLVI. — salée, HaDiex! disoit c hasqui raitd'avance Ancienfrançais,aiguë(voy.EAU). livreadmirable; ÉTYM. [àMmedeSévignéjun
AIG AIG AIG 87 AIGLE (è-gl1),s. m. || 1°Undesplusgrandset le d'uninjustesénal,Et dontl'aigleromainn'a sou- Il 8° S. m.Ungoût, uneodeurd'aigre.Celasent ; Boileauaussi.Maisl'u- l'aigre.|| 9°Fig.Il y a encorede l'aigredansl'air, pluspuissantde tousles oiseauxde proie.-L'aigletenul'éclat(dansMénage) de l'aiglecommunest sagea prononcé là contre. la température brun.L'aiglenoir.L'espèce n'estpasencoreadoucie. || 10°Aigre — moins noble HIST. xiie s. Ronc. 8; Maint très de cèdre,le jus de citronsou de cédratsà demi moinspure, et la raceen parait que L'aigled'or, p. des ainsi i ottanduet mainte Sax.vu. que [tente] aiglefichie, celledugrandaigle,BOFFON,4t'9ie.Mais mûrs,préparéauxenvironsde Gênes,non pour la teuejovente,en fairedessorbets,maispourl'usagedesparfuL'aiglesouvent trompé Il xm"s. Et loresserarenouvelée cieux,oùsonvolse déploie, Médit.1,20. aussicommedel'egle, Psautier,B.M.258,f°-122.meurs. redescend sans sa proie.... LAMART. ACERBE. Aupropre,ces L'aigle,roidesdéserts,dédaigneainsila plaine;Il L'endistk'unsaiglesvintvolantJustela mer,peis- — SYN.AIGRE, ACIDE, -13.Et uneaiglevenoit troismotsdésignent ne veut,commetoi,quedesrocsescarpés Quel'hi- sunsquerant,MARIE,Fable uneimpression du particulière Urne baillasesrè- goût.Ils se distinguent vera blanchis,quela foudrea frappés,ID.t'6.1,2. seoirsursonvisage,Berte,ï.xa. comme dit nettement; et, droit d'aubaine,gles, Et s'enfoïplustostqu'unsegles,la Rose,4276. M. Lafaye,ce quiestaigre Unaiglesurunchampprétendant n'estplusdoux,cequi Nefait pointappelerun aigleà la huitaine,BOIL.Ilxiv*s. Et puis[je]vi le faucondessusl'aigleavo- est aciden'estpasdoux,ce qui est acerben'est insensible enseveli sousl'herbe, ler, Queli aigless'alaenla terre encliner,Guescl.pas encoredoux.Aigreindiqueune saveurqui Sat.vil.Etl'insecte Et l'aigleimpérieuxquiplaneau haut descieux, 6607.y xves. Lequeldoneques, parcequ'ilestle provientde quelquealtération: du lait aigre; un crier VOLT, Fanat.i, 4. [| Criercomme aigle, plusnobleet l'aigledes vertueux,c'estceluiqui duvin aigre; aussiest-elletoujoursdésagréable. d'unevoixaiguëet perçante.|| Avoirdesyeuxd'ai- doibtplus entièrementet le plusvraiementamer Acideindiqueunesaveurfrancher spontanée : la un Avoir avoirdes autruinobleet vertueux G.CHASTEL. Fig. estunfruitacide. A cerbe l a perçants. | | saveur gle, regards parloytelle, groseille indique oeild'aigle,avoirune grandepénétration.|| C'est Expos,s. Vérité.[LesRomains] attisésaussiderre- quiappartientauxfruitsnonmûrs: la nèflesur un aigle,se dit d'unhommedetalent,d'unesprit nierementde convoitise et d'orgueil,pourestreen laquellela geléen'a paspasséestacerbe.Aumoral un il c'est S'il est de cejeu, gagnera, leurtempsles aiglesdu mondeet dompteurs,ont aciden'estpas employé; ilnereste que aigre et' supérieur. il ces t héoS ÉV. 437. encette del'Occident fichié et establi l e derQuand voudra, pauvres acerbe.La distinctionqui existaitau physique aigle, partie lui BOSS. Avert. 6 . renieret le des s erontdes Que plus seignourieux règne logiens aigles, autres, continue:desparolesaigressontdictéesparleres' ce duNouveau cet CIIASTELAIN Chron.du duc Proesme. répondit apôtrevierge, prophète , Philippe humeur;desparolesacersentiment,la mauvaise - Testament, cetaigle,ce théologienpar excellence,Il xvi"s. Untoictde tortuequieschappadespat- besle sontparl'âpreténaturelledela personne qui cesaintvieillardquin'avaitdeforcequepourprê- tes d'un aigle en l'air, MONT, s ont des I, 74. Quelqueparle.Desparoles aigres pluspiquantes; pacherlacharité?ID.Annede Gonz.Leplusmédiocrechoseque l'on die, je croyque la pierred'aigle rolesacerbessontplusâpreset plusdures. n'estautrechosequ'unfruitlapifié,et cequijoué — HIST. xii"s. Par plusaigremainde pénitence, jésuiteestun aiglechezeux[lesHalabares],VOLT. Lett.Pruss.67.|| C'estl'aiglede cettesociété,se dit dedansest le noyau,PALISSY, 284. Les devinsJob,460.Ilxm's. Cilqui sontregratierdecervoises d'unhommequi se distinguedesautresparle bon apperceurent deuxaiglesvolansverseux,dontl'une vendre,ne les vendent passibonesne si loiaus, du etc.Accoutumé à être contenoitentreses un etlesvendent l'aigle griffes serpentqu'elleperçoit cornecilquilesfonten leurhostieuz, sens,l'esprit, < la ST-SIM. ses e n d'oultre enoultreavec Timol. et il ne lesscevent 7, seil,Harlay pritjalousia[de Briffe], ongles,AMYOT, aigres tournées,quar pointmèn 'est sotdans uneau2(H.L'aigled'unemaison qu'un 36.Il feittournertoutcourtle portenseigne qui treà point,Liv.desMet.30.Tuesmoultegres,si fat des 7. soit la ID. 6 2. GRESS. le L ucul. Bastons de es fortParmenaces,mespetitvaut Tespovoirsà l'aigle portoit premièreaigle, tre, Méch.rr, Qu'un 7. un poid'asaut,Ren.teni. ||xives. Etle vicieux casse,noixd'Inde,pierresd'aigles,PARÉ, salons, Qu'undocteursente l'ambre....BÉRANG. XXV, Marotte.|| 2° Au fém.Commeune aiglequ'on —ÉTYM. a ille Il Berry, ( mouillées) ;prqvenç. aigla; quideffautencestematièreestappelé aigre,agreste on voittoujours,soitqu'ellevoleau milieudes airs, espagn.ojut'ïa; donne .40.11faudraitprendre quand et aveugle, d'eux-mesmes desordonné bon, Trémouille,mais fort en Pair, ST-SIM. 28, S4. MOL. 6 . a rienen eux 547. P rendre l 'airàsa en en dans ||Fig. mettre accroirequ'il n'y digne volontiers fenêtre, L'^lti.u, l'air, mouvement, l'agita|| Etre, d'estredesprisé,ID.ib. 469.Ainsisoitquel'hommePrendrel'air, prendrela fuite.Il n'estrientel que tion.CetteaffairemittouteslestêtesenPair.Puisau grandair quevousêtesenl'air,SÉV. 339.Jesuistellementen aiteufacultéd'eslirela vieoula mort, de mettresoncrimeousoninnocence ensacréation 402. 8°FenPairqueje m'envais....m.640.Enfinj'ai un pied maisquesera-cesinousrespondons qu'ill'a perdue?[s'enfuirquandonest accusé],SÊV. || et trad'un nele dre en en l'air [jesuis prêteà partir],ID.442.Il faudra iD.io.247.Et qu'ilsoitainsi,nous forgeons pas l'air, parlant oiseau,voler; fig. auplaisirdenostrecerveau,ID.ib. 4063.Voilàcom- verserl'espaceavecrapidité.Lesoiseauxfendentn'êtreplusiciunpiedenl'air,commevousyêtestoumentce qui en soypeut advenirainsi ou ainsi l'air. La flèchefendl'air et vientfrapperle but. jours,iD.399. |]Enparlantdeschoses,êtreen l'air, homme f endit les fut : le enunesorte e'stdéterminé L'exécution en désordre. Dansson cabinettout"est en Pair. prompte jeune [d'uneoud'autrefaçon], l'airà 441. 9°Donner d e ain- airs,MONTESQ. auconseildé Dieu,"ID.ib. 443.Monseigneur, Lett.pers. || || N'êtrepas solide.Toutesa fortuneesten Pair, fenêtres e t enrenouveen ouvrir l es cette celé une sin que je voulois'commancer lectre, chambre, Il Entermesmilitaires,on dit qu'unetroupeest de l'airà un e n tableau, en l'air, quandellen'estpasappuyéesursonflanc Fig. Donner qu'ilvousa pieuescripreparmonhommeest arri- lerl'air. ||lesdifférents desorte Ainsi a insin détacher L'ailedroitedel'armée quel'air*sem-parun obstacle Lett. xxxvm. marcha, alla, plans, quelconque. vée,MARG. le où Avisvm.Ellese forgeainsin[delà sorte] blecirculerentreeux.|| 10°Airnatal, pays étaiten l'air. || Entermesde fauconnerie,prenKONT. uneprinsefrivole, ID.I , ai. Iln'estpasdangereux,l'onestné. C'estl'airnatalquisécherateslarmes, drel'air se dit d'unoiseauqui s'élèvefort haut. envincontean- BÉRANG. devolerparcommeenunedrogue.medicinale, Nostalg.|| 11°Vent.11faitbeaucoupd'air. Nouer[nager]entredeuxairs,manière Courant air 404. A insi d u Il ne fait s ouffle d 'air; || d'air, ticulièreauxoiseauxdeproie. pas-Un cien,qu'ilsoitainsinou ainsi,ID.I, d'un — REM: faisoit l e mouvement lesouvertures en 404;Ainsi Entermesdé marine,air de vent, chaquipénètrepar [pendant]qu'il reste, ID.I, feront ainsin et la fenêtre ouvertes La porte in. i, 265..... Par contedela conjuration, cunedestrente-deuxdivisionsdu vent.Je suivais appartement. les N evous mettez danslecourant un courant d 'air. bien vifvement ils nousreprésentent plus pas le mêmeair de ventpourtouterègle, i. i. ROUSS. que || Coupd'air, Ém.v. Lesmarinsont pris l'habituded'écrireair aultres..;.ro.n; 89.Ilvoulutmourir,disantqu'ainsid'air; vousen seriezincommodé. survient àla franchir c e fluxion o udouleur ainsiluyfalloitil, Unjour, pas, qui face,aucou,aux devent;maiscen'en estpas moinsune faute et comme causéeparl'impressionune confusion d'airavecaire; l'expression m. n, 386.Or commeainsisoit quelesfamillesmâchoires,et quiestsouvent propre airde unes Prendre l'airdu un différentes les d'unair froid. 12° de soientcomposées feu, estuneairedevent(voy.AIRE) personnes, || , c'est-à-direTa32° sinedoit- feu,sechauffer un moment, enpassant.|| 13°Celaest partiedela surfaceoucerclequirenfermela direclesautrespour.obeïr, pourcommander, l es conditions ou tiondestrente-deux dans seditdecertaines vents.Ontrouveaussiair pour il pourtanty avoiraucunrespectqui exempte physiques l'air, dela natured'unpays, vitesse: Cevaisseau a dePair, il vavite.C'estenans plusqueles autresd'enuser[d'Unespritde morales qu'oncroitprovenir Porterle mauvais a ir en Comme ainsi s oit lahaine d'une e tc. 14° LANOUE coreunefaute, et c'esterre qu'ilfautmettre(voy. que société, || concorde], ,44. le a del'erre. ; prendre cemot): cevaisseau endroit,y porterla contagion produiseordinairementle discord,toutesfois...."quelque l a L'airdu — défenses mauvais REM. Airsau plur. se prenddansdeuxsens m.64.Il ne voyoitque sans expresses, air, gagner contagion.|| Fig. dumondedifférents.Airs'emploie il peustre- mondeest contagieux-, la fréquentation et ainsiqu'ainsidéclaratives d'hostilité^ pourgaz; en ce sensl'ade au moral.L'airdecourestcondes n'est salutaire sont-desairs différents l'un de tirerses subjectsde la fréquentation pays pas zote,l'hydrogène comme l 'accent 605.S'ainsin t oute il se à des M. D U BELL. L'examen estoit, prend Versailles, l'autre. tagieux; approfondi propriétésnous l'empereur, et nemechaudroit ouà L A BRUY. 8. Onsuit pas, normandà Rouen Falaise, peinefataleMeseroitdouce apprendqu'il existedesairs d'espècestrès-diversoittousjours tonamy, le traindu monde,onestdetoutessescompagnies, C'estlàle plu25.AinsinEndymion RONS. ses,c'est-à-direplusieurs airs, BIOT. I D. Ainsisoit-iltoujoursen ton sein endormy, onenprendtouteslesmanières;etest-ilsurprenantrielcommeon l'entendordinairement. Quandau dansunair si on alors o n dit : s'élever d ansles entend-on 447. contraire que corrompu s'empoisonne airs, —Erra. Bourguig. on fassedes parlerde plusieursairs,en tant qji'ilsdiffèrent onstn;picard,ensin;provenç.et qu'aumilieude tant de scandales assim.Diez chutesgrièves etmortelles ?BOURD. on veutseuàici;espagn.asi;portug. 1.1,p.85. lesunsdesautres?Nonassurément; Pensées, aissi,*ayssi,, 1 L'airdubureau,ce qui lementdésignerla généralité del'air;ceplurieln'a sic,ce quil'y déter- || 15°Fig.et familièrement. pensequeainsivientde oeque bien enmaldes deceux ou dispositions qui doncqu'unsenscollectifet nonpaslesensdistrimine,cesontlesformesacsidansle texteproven-paraîten v. le l ebrescian ont la décision d'uneaffaire. 16°Diverses locubutif qu'exigela définitionordinairedu nombre ]| çalduBoece, 445, romagnolacsè, et figurées.Êtrelibre pluriel,JULLIEN. proverbiales iem,.et lelombardinsci;dela sorte,il y rattachetionsfamilières, le commencement dumots'étant n'avoiraucune XIH° s. Elesrepaiirent à lorpremière maperdu, commel'air, sujétion.|| Nefaire —HIST. l'italvcosi, cequin'estpasraredanscettelangue.Néanmoins airsansicorne-uns je que battrel'air, se donnerinutilement beaucouptereet deviennent aniauspertsa : la la du ne puisacquiescer à cetteopinion forme plus de peine.|| VivredePair temps,êtredanslaplus formeaufuetdevient ors'oùârgensqueil estoitahanciennedufrançais estissi, puisensi,et cesdeux profondemisère,,n'avoirrienpoursubsister. En f. Ï3.Etmoûtestoitlt airsdefroide || çois,Comput, tonnesconduisent à insic,mot à moten ainsi; et l'air, loc.adv.Aumilieudel'air, danslesairs.Tirer atrempeûre,Berte,xxn. || xrv*s. Elevit del'aer
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Eth. 23. n>.523.Il 4°Accueil. Ellenousfitun airhonnête, pourtoidesairs,je te lesveuxchanter,A.CHËN. non pas pur et sansmangier,ORESME, 46. 44 estéà SÉV. 9.Vous avez XVe s. Carestoit t anédetantavoir vul'air S.M.m'a Vivent Bruges l es airs Il gracieuxque ! BÉRANG. grands Duconservatoire sanschangierair, O.CHASTEL. Chr.desD.deBourg,fait, HAMILT. Gram.5. || 5"Entermesde peintureMusique. Queleurnomretentitdansles airs que Sat.m.|]N'êtrepasdansl'air, m, ch. 469.Et pourla puantisedesbestesqueon et desculpture,unairdetête, desairsdetête,l'at- l'onchante,RÉGNIER, tuoiten l'ost, l'air en estoitainsi qu'àdemicor- tituded'unetête.Pourformercevifcoloris,cesat- ne paschanterexactement unair.|| Fig.Je connais et vintle roi tellefois à titudes s i cesairs-de t êtesi FÉN. des s ur rompu.... loger, fut, Maie, variées, passionnés, paroles cetair-là,j'aidéjàentendulesmêmes c e mauvais FKOIS. II 232. Exisl.8. 6" Lebel lesmanières J'ai lesmêmesexcuses, esloigner air, , n, Il air, etc. pour élégantes. choses,lesmêmesopinions, barbeet tous blancs les xvi°s. cheveux vu dubel MOL. Pourc. 2. desdisposiIl [Levent] personnes air, m, Ap- IlFig.Avoirl'airà la danse,annoncer mefaitbranler,Neplusnemoinsquefeuillesd'ar- prendrele belairdeschoses,ID.Préc.5.Croyantin-tionsà réussirdansce qu'onfait, être disposé à breen l'air, MAROT, I, 395.D'untoictdetortuequi troduirelebelairentraitantlesAnglais d'étrangers,fairecedontil s'agit,êtrevifet dispos. Gramm.6.Lesbeauxespritset lesgensdu — REM.i. Ellea l'air fâchéoufâchée.L'adjectif I, 74. HAMILT. eschappadespattesd'unaigleen l'air, MONT, L'onne leurdemandoit un hommequiprofessese rapporteégalementau sujet du verbeou à qu'untitreen l'air, au lieu belairtraiterontd'imbécile de quoyon leuroffroitrealementet defaictlescho- le désintéressement, DIDER. Disc,prélim. Cen'est son propresubstantif. ont Quelques grammairiens Sertor. plusla modedubelair, SÉV. sesdontilzavoientplus 42.Votrefrèreestdans vouluréglerl'emploide cesdeux accordset fongrantbesoin,ÀMYOT, ouirentparler le belair, ID.42. Unchapeaudubelair, ID.456. dersurdesnuancesfines,maisarbitraires,le choix 35.Sitostquelesdeuxcompagnons d'aler Quandonla voithabillée de cetterumeur,ilsprirentl'airsouscouleur du belair, ID.282.Usont de l'un oude l'autre; maisl'usagea rejetéavec à la guerre, et depuisona suleursprojets,D'AUB. é téd'unassez belair, ID.232.Toutle bel raisonces distinctions, etconserve pourtant àceluiquiparle Bist. m, 60.Ouje suis fol,encoresvaut-ilmieux air [lebeaumonde]étaitsurle théâtre,ID.442.Les ou quiécritune entière, I l liberté. est toujoursenAimeren l'air une choseincogneue Quen'aimer dames,lesjeunesgens,toutlebelairdelacourétait tenduque,pourquecettelibertéexiste, l'adjectif rien....RONS. Ï)5. ST-SIM. pourMd. eLuxembourg, xvn,20).|| 7°Legrand doitpouvoirse rapporterauxdeuxsubstantifs.S'il —ÉTYM. et Berry, ar; provenç.aer, air, le tondu grandmonde.Quelsbienssurvousun étaitimpossible Bourguig. qu'ilse rapportâtà l'undesdeux, dulatin ital. va ! D'abord v iendra aux il faudraitnécessairement aria, aère; espagn.aire; l'accorderavecl'autre. air, aire; prince répandre l'étiquette le même le Grand Ainsi o n dira grec airs.BËRANG. : Cette femme a l'airenceinte,et non aer, que àr,p. grands Belges.|| air, ungrand 2.AIR(êr),s. m.H1"Apparence extérieure. unebelleet D'à-,air, nobleapparence.La duchessede pasl'airenceint,puisqueenceintn'apasdemascubordonnel'avaitpointregardé,à causedesesha- Bourgogne avaitungrandair, unetaillenoble,VOLT. lindansce sens.Ilsontl'airfâchésdetîequ'ilsviend esa contenance bitssimpleset négligés, modeste,LouisXIV,27.IlEn mauvaise de ce part,lesgrandsairs, nent d'apprendre , parcequele complément de sonsilencepresquecontinuel de sonairfroid des manières h autaines e t fastueuses. ne peut êtreunecause , Barbezieux,qu'ilsviennentd'apprendre et réservé,FÉN.Tél.vi.Nevousy fiezpas,ellea, ma avectoussesgrandsairs, sentaitplusl'intendant f âcherie l es et nonpourl'air, que de, quepour personnes lui trouve l'airbien les le ST-SIM. Bonair,ma- JULLnîN, foi, yeuxfripons;je coquet, générald'armée, 23,6.118° p. 234.Onpeutajouterque,quandlesuion,.Bêrpsderomans. Lesblessures duvisagey don- nièreélégante, mauvais les manières estun nomdechose,il vautmieuxaccorder distinguée l'ad; air, jet d'ordinaire certainairviolent e t nent Onvoit l'impudencejectifaveccenomqu'avec guerrierqui de la mauvaisecompagnie. air.Cettepoireal'airmûre; ne siedpasmal,HAMILT. Gramm.7.Je nesuispoint devenueun bon air, MASS. Pan. Ste-Agnès. Vouscettemaisona l'air gaie.En effet, onne peutque amazone d'avisqu'onvouspeigneen les pécheursà regarderla débauchedifficilement ; vousavezl'air accoutumez concevoirque l'airdela poire,dela Lelt. X LI. Ellea l'airbienfuriFONTEN. commeun bonair en a u n'a pas tropdoux, l'opposant ridiculede maison,soitmûrougai.Cetteproposition l'air 5. Elleavait la d umonde.Ls. VOLT. VÉcoss. Car. d'incrél'air VOLT. surlesBoraces. Cebond, 1, timide, vertu,ID. Tnj. profession Remarque sérieuse, 7. e st ID. laide dulité est unbonairparminous,ID. pendantquelquesécrivains embarrassé, L'Enf.prod.iv, Qu'elle presquedevenue ont, mêmeencescas, !HEGNARD, Dém. Doutes. à présent,et qu'ellea l'airmauvais L'extérieur dela piétéestunmauvais airdont accordé air.Latuilea l'airpluspropre' avec l'adjectif 7. De s incèreon amour.IV, secache,MASS. Vices.Ilyena à Vitréquiontfort etplusgaiquele chaume,J. J. ROUSS. Emile. En grâce,dites-moi, parlant l 'habit d eVénus charmant î Sous bon 565. I lcherchait lebon aurais-jel'air PASC. edit. voilà une l'airbien ment, air,SÉV. air, [statue]qui a. grossier,FÉN. et a l'airmiID.16/Mon Dieu!qu'elleestjolie qu'elle Cous.Celan'estpointdu bonair, ID.Préf. génér. Fable,xxv,3. || 2.Grandair, air grand. Cesont son L'Étour. Jel'aivu même !MOL. clouésursatête deuxchosesbiendifférentes. Onditd'unhommequi ; gnon m,44. air, Il.n'affecte pointd'avoirsonchapeau habitde lin, BAC. Athal.n , 6. J'admiraispourmontrerqu'ilsaitlesbonsairs,J.J.ROUSS. sonmême Bel. vitengrandseigneur:ila le grandair.Onditd'un ID.ib. Ellea vi, 9. Vousaveztoutàfaitbonairaveccethabit, hommedontla physionomie sa douceur,sonairnobleet modeste, est nobleet la mine D'HAKLEV. l'airdouxetsemble assezdocile,COL. le comte Çélib.MOL.Bourg, 4.M. a toutà faitbon a B OUHOÙRS l'air surle ni, air, haute,qu'il grand, ,Remarques -10. U ninconnu avaitunair FÉN. Il bien 29. est air in, qui majestueux, ID.Comtesse, fait,oui, cepetitpen- langage.||3. Demême,ne confondez pasmauvais Tél.xxiv.Votrepèremeregardaitavecunairdecom- dard,il abonair,bonnephysionomie, ID.la Princ. avecairmauvais,:bon air avecairbon,etc.11a mauElle n'avaitpoint de taille, vaisair, il a des manièresdemauvaise reprenantsonair sé- m, 6.IlAbsolument. passion,ib.ib.xv. Protésilas compagnie ; vèreet hautain,FÉN.Tél.xiv.|| 2°Unairdefamille, encoremoinsd'air, HAMILT. Gramm.6.Il avaitle ilal'airmauvais,il paraîtméchant.lia bonair, il a Avoirunfauxairdequel- visagefort agréable,la tête assezbelle, peu de desmanières unesortederessemblance. il a l'airbon,il de bonnecompagnie; Vous avez un del'airdeMme deSottenetmoins taille ib.8.Aulieude mettrede peu qu'un. d'air,ID. paraîtd'unboncaractère.||4.DeCaillières(4 690)re4 a del'air du 8 6. SÉV. 53.Elle ID. l'accent d ans son il metde J. J. la couron dit-:Il se donned'unair coadjuteur, ville, parler, y l'air, marquequ'à Ém.1.dBonair, en parlantdeschoses. Rien d'homme vous à bonnefortune;cessentiments-là Il3°Manière,façon.Il estvrai, madame,quece ROUSS. ieuneprincea faitvoirune adressepeucommune,n'estd'unmeilleurair pourla maisonquede bâtir donnentd'unairdevieillard;et Bouhoùrs,Nouv. chosedesur- pendantle procès,SÉV. et quel'airdontilaparuaété quelque 479.Unchâteauquia le: rem',dit : «Prendrel'air', c'estainsi qu'onparle; d'Él. 5. D on airdu M OL. Princesse meilleur I c'est ni, Parlez, Juan, prenant, monde, D.354.Le carrossequ'on prendrede l'air, commedisentquelques-uns, et voyonsde quelairvoussaurezvousjustifier,ir. avaitfaitpourle roin'avaitpastropbonair,HAMIL. maldit.» Ceslocutions sontmauvaises, et le dene conFcst.1, 3.Et traitentdumêmeair l'honnêtehom- Gramm.7. || 9°Sortedemanièreaffectée M ais faut-il qui peutêtre accepté. que penserdeces meetle fat,n.Mis.ï,4.Aucontraire, : Celaa bien de l'aird'unechimère,LE j'agisd'unair sisteà faire entendrece qu'onne témoignepas. phrases-ci toutdifférent,ID.L'Etour.v, 43.Vousprenieztout Faireune chosepar air. Toutcelaétait unrair PRÉSIDENT HÉNAOLT pastrouver ; et : Vousnedevez, 1 t. Les l'aird'unméchant ID. T art. mefairesavoir a un SÉV. 69. le vous aimant c omme 1 , gens garnement, porj qu'elle équipage, étrangeque, je fais,je sois 4.Et mevisà demeurer vousai demandé si vousn'aviez demonaîr, ID.Mis.m, surtoutesleschosesquiontde Quandje je point sifacileà m'alarmer d'accordQuel'air dontvousviviezvousfaisaitun jeté meslettres,c'étaitun air, ID.98. ||' Prendre, l'aird'unefaute,RACINE, Lettre49 àsonfils.Féraud decesdeuxphrases,que peu tort, ID.ib. ni, 5. Et l'écoledu mondeen se donnerdes airs, de grandsairs, affecterun faitobserver,à l'occasion au-dessus desonétat.Bienloinde cedeestinutileet contrel'usage; en effet,ce n'est l'air dontil fautvivreInstruitmieuxà mongré ton,desmanières que ne faitaucunlivre, ID.ÉC.des mar. 1, 2. sedonnerdecesairsqueprennentlesgouverneursquequandon parle de la ressemblance quiexiste infectéParis;il enpareilleoccasion HAMILT. 8.Vous Gramm. dedeux L'air précieuxn'a pas seulement entrelestraitsdu , voyez visage personnes,quele s'est aussi répandudanslesprovinces,ID.Préc. lesairsqu'ellese donne,ID.ib. 8. S'étantaperçuede s'emploie avantle motair : Ils ontbiendel'air. d'airl'undel'aurid. i. Et voyezcependantde quelair on m'écrit, desairsqueSydneysedonnait,ID.ib. 40.Aveccela, l'un de l'autre; ils ont beaucoup il aitni disoù n'y onfaitle fier, onsedonnedesairs, VOLT. L'h.aux tre. Maisici on doitdire que ce de est partitif, CORN. Sertor.1,2.Promenades d ansles hal'air dansles airs ni indécence 40 Sedonner l'air dansla phrase écus. ij de,prendre de,semon- et atténuela forcede l'expression sipation dévotions discours et medonSerm.n, 334.Ces Pourparermon de Racine,ainsi: surtoutesles chosesquiontde superfi-trer comme.... bits; FLËCH. airs nerl'aird'habilehomme,MOL. Méd.m. lui, m, 4. l'apparence du préciellesqui retranchentà l'extérieurquelques d'une'faute.Quantà l'exemple la libertéde se FLÉCH. M.de mondainset qui laissentau coeur Cesairsmystérieuxqu'on donne, sidentHénault,ledeestsansdouteamenéparl'adces des de Jenesaurais m edonner airs sesdésirs,n>.Panég.n, p. 345. Qu'est-ce Mont. que singula-'verbede quantitébienquile précède. à se Visit.MmeGuyoncontinue donner — SYN. Lesauteursdesynonymes adairsde franchise,de simplicité , que rite, MASS. , decordialité AIR,MINE. au BOSS. Relat. P our l eur mais nousaffectons en unair d 'ordinaire apprendrejoignent quelquefois parlant prochain, prophétique, physionomie; physiono659.|| Familière?miene s'appliquant et lui:disantcertainesvéritéstrès-désagréables? à prendreun air de guerre,SÉV. qu'auvisage, ne peutpas.être t. 299.Ilsdisentd'unair enment.Semettresurson u ne certaine demineet d'air quis'appliquent à toute BOURD. air, prendre Pensées, n, p. synonyme Cequipaveniméce qui n'avaitété dit qu'avecdesintentionsmanièred'être.Enfléde sespremières prospérités,la personne.Mineet airsonttrès-voisins. minese MASS. Pard.Riennefégalait[LouisXIVJ il s'était mis sur sonair vainqueurpouracheverraîtlepluslesdistinguer,c'estque rapporte innocentes, ni pourlagrandeurcettedernièreconquête, HAMILT. Gramm. 6. || 10°En plutôtà l'apparence dela personne air ni pourlesgrâcesdesapersonne, et , plutôt desonair,HAMILT. Gram.5. Cefutd'unair et d'un parlantdes choses,avoirl'air,avoirunair de, pa- auxmanièreset au maintien.Unhommedebonne estd'unbon regard à lui faire croireque c'étaitVénusavec raître Votredernièrelettrea unairde gaieté,SÉV.mine,c'estunhommedontla personne donnerà cettechambre un air aspect; un hommede bon air estunhommedont toutesses grâcesquivenaitde lui parler,ID.t'6.8. 494.Nousvoulûmes desonmari....m. d'accouchement, ID.5.Celaa toujours l'aird'unmi- les manièressontbonnes.Unmaladea*meilleure Elleconnutàl'airet auxmanières demeilleurracle,ID.478.Quoique cesparolesaientun airde mine,quanddessignesduretourdelasantésemaib'.Il n'yavaitpointà lacourd'homme ID.Gram.9. Il melâchapar la villepourper- duretébiensec,BOSS. Dév.1.Etseseffets soudains ont nifestent.Unjeunehommea meilleur air, quandil •air, dumonde. drel'airdela.campagne, ID.ib. 3.J'avaistellementde l'airdesmiracles,MOL. ÉC.desf. ni, 4.|| 11°En s'esthabituéà la politesse nomaeputc l'airdela couret dumonde....m.i*î>. 3. Ellen'aura termesdemanège,allureducheval.Airsbas, ceux —HIS.T. xi"s. Ahi!cuivert,mauvais nemisont Mais s evos oeil un air de BOSS. Lett.abb.408. m anie de airs ceux R oi. 6 9. oùle cheval gouvernante , près terre; relevés, aire,Ch.de ||xiies. point Ellesaurontassezde l'aird'unedamedeprovince,où le chevals'enlèvedavantage. put ||12°Suitede tons demaleaire,Coucï,2. ||xnies. Karestesfeletde Nésfu de des DE t. 377. SÉV. 220.Il a prisle mauvais air officiers subal- et denotesquicomposent unchant.Ilseditaussidu aire, MARIE FRANCE,11,p. area. desairsà boire.J'aitait Mazovie et nourride vostreaire, DUCANGE, ternes,ID.336.Leroil'avaitregardéed'unbonair, chantetdesparoles.Chpnter
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des unes, et on oubliefacilement les'. mentleursaires,AMYOT, quia quelquesesouvient Rom.ti. Afinqueladite [| xyi"s. C'estuneladreriespirituelle autres. airde santé,MONT, 62. , eau soit bien i, préparéeet eschauffée auparavant xn' s. Sonentbuisinesd'arainetdemé- qu'ellesoitmise aire; oatal.ayre;anc.ital.aire —HIST. dedansles aires salans.PALissY, —,ÉTYM. Provenç. confondenttal,Ronc.p. 78.Eareimmultdegrantmanièreprist 263.Helaslpren doncmoncoeuravecqueceste (cuoredi bonaire), les dictionnaires e Beroth,Rois.m. paire De ramiersqueje ils sont venusde air, fluidegazeux,et air,manière,façon.Il est de douscitezÀdadezer,Bethe nearains,neestains, l'aireDecegentilramierdt'offre, bien difficilede voircommentl'air atmosphéri-|| xm»s. Nekeuvres[cuivré], ontje t'avôisparlé,RONS, ne lamanière. 25. aurait f ini c oivres iet. En les parsignifier fiers,TAILLIAR. Recueil, p. ridesne que l'apparence, Arains, cependant fontCresper que enDieza sentila difficulté,et il tireair dansle se- et toutautremanièrede métalhorsmisoret ar- cor l'airede notrefront.... m. -H7.Oresen un cond.sensdel'allemand art, manière,façon.Maisgent, monneéet à monoier,chascunfèsà home, aire environnéDu bien de Cerèsengrainé,GARon ne voitpascommentle i auraitdisparu.Dans soitpetissoitgrans,doitobolede rivage,Liv.des NIER, Porcie,n. un travailsubséquent, ii est disposéà réunirair Met.304. Par deversdestre [il y] a un oisel; —ÉTYM. Area.Aireesttantôtfémininet tantôt de l'atmosphère et air manière,par le sens de D'arainest trestoustrejetés;Onquesmaisne fu masculin,comme airedansle sensdefaçon,madonnant à veûs tes FI. et lit. ^ xrv" conduirait 986. s.'Limanière || souffle,spiritus,qui, esprit, [tel], ontrouveaéra, (voy.AIR, 2).Danslebas-latin, manière,caractère.Levieuxfrançais;à ma con- rissaus[le maréchal]a bientouteueTaitacordé; nid, aéra, placeà battrele blé, aerea,aria, n'emploie pasairedansle sensd'airat- Il a un cor d'araingrailloëtet sonné,Raud.de aeria, emplacement non cultivé, étableà porcs. naissance, et il a air auquelil ne donnepasle Seb.x, 748.|| xvics. OEil mosphérique; d'airein,quandl'oeilest AIREE(è-rée),s.f. Quantité de gerbesqu'onmet comme unlion:ainsilesont enunefoissurl'aired'unegrange. sensde manière.Le provençal,qui a aer, air rous,fieretestincelant , —HIST.xives. LequelPierreavoit ladres,PARÉ, xv, 6. atmosphérique , ne s'en sert pas pour signifierles— deux perdu ÉTYM. manière,non plus que l'anciencatalande son Provenç.'aram,eram;portug.arame; solz en une arée ou placeoùl'onbatle blé, DU aer, et l'italiende sonaerou aère.Le provençalespagn.arambre,alarnbre;ital.rame,cuivre;de CANGE, area. et l'espagnolemploient l'ailem. —ÈTYM. airain,cuivre.Comp. Aire. aire, ayre,dans le dou- âeramen,airain,dea», : c'est eisen,fer; angl. iron; goth.eisarn;celt. iarunn; AIRELLE(è-rè-P),s. f. Termede ble sensdemanièreet d'airatmosphérique botanique. doncsuraireseulqueporteledouble sens; c'estaire sanscr.ayas, fer. Sous-arbrisseau desbaiesdites (vaccinium) portant seulquia permisuneconfusion unieet dureoùl'on aussiairelles,grossescommela merise, ; caren effetaire AIREiè-f), s.f.\\ 1°Surface noires, batlesblés. L 'aire d'une grange.|]2°Toutesurfaceviolacées, (voy.AIRE) existe,dansl'ancienfrançaisdu moins, aigrelettes. avecle sensdeplaceetnid.Voici dèslorscomment je plane.L'aired'un^plancher.L'aired'unbassin,le —ÉTYM. Portug.airella. d essens : d'un Aire la et nid fond bassin. d'un surlafiliation AIRER place conçois ;demeure, pont, partie (è-ré),v.n. Fairesonnid, enparlantdes manière. P uisair et aire se seonmarche. A ired'une comoiseaux deproie.L'aigleavaitaire sur un rocher famille;qualité, quelle maison,espace raientconfondusdansles languesromanes.Air prisentrelesmurs.Il eûtfallucommencer netpar escarpé. || Il se conjugueavecl'auxiliaire avoir. — de est un l'aire tousles de vent et aire vent et écarter vieuxmatériaux, ÉTYM. Aire. exempled'une toyer confusion sur- t AIRURE{è-ru-r'), analogue. Orig.2. || 3°Entermesdegéométrie, C'est,je crois,la fauconneriej. i. ROUSS. s.f. Termedeminéralogie. d'uneveinedecharbondeterre,qui qui,en signalantle faucondebonaire, a permisle faceterminéepardeslignes,euégardsurtoutà l'é- Extrémité finit desa superficie. L'aired'un carré,l'aire en s'amincissant. valuation passaged'idéeentreaire,nid,etextraction,famille, l'attentionde mones- — ÉTYM. d'un triangle.Appliquant Aire. qualité. 6. 4° AIRÀGE m. Onnomme àl'aire DESC. Médit. En AIS || f. (è-ra-j'),s. Technologie. prit qu'ilsrenferment, (è),s.m. || 1°Planchede bois.Il se trouve dansun tempsdonné derrièreun longaisdemenuiserie lesailesd'unmoulinà vent, astronomie, ainsil'anglequeforment l'espace parcouru queporteun ououmieuxla voiledechaqueaile,avecle plandeleur parle rayonvecteurd'un astre.Touteplanètedé- vrier,LABRUY. -H. L'unmeheurted'unaisdontje Newt.m, suistoutfroissé,BOIL. à.la directioncritdesaireségalesentempségaux,VOLT. Sat.vi. Surl'aisquile soulequelestperpendiculaire circulation, danslesrévolutions des les duvent;et, chaqueaÛeétantunesurfacegauche, 2. Quelssont, planètes, tient auprèsd'un AvicenneDeux des plusforts 9 26 desaires en varie de à à peine,ID.Lutrin,v. Aces parcourues tempségaux?1.1. mortelsPébranleraient l'airage généralement degrés, rapports 5°Terme d e marine. Aire ROUSS. Sciences. 2. || de mots,il saisitunvieilinfortiat,Inutileramasds auxdifférents pointsd'attachede la voile,LEGOAd u On direction vent. trente-deux RANT. distingue vent, gothiqueécriture,Dont quatreaismal unisfor—ÉTYM. de airesdeventprincipales. Quelleaire ventdevions-maientla couverture,ID.ib. Sesais [dulutrin] Air. de noustenir?CHATEAUB. Itin. 'AIRAIN m. || 1°Alliage cuivreet d'éa,9i. Plusieursmarins demi-pourris, quel'âgea relâchés,-Sont à coupsdt (è-rin),*. dumasculin e t l'écrivent c'est fontcemot une maillet sonore e t fusible lecuivre. air; uniset i b.m.La tableoùl'on tain,plus plus que Statue, rapprochés jiD. surface vased'airain.Leferetl'airain,n'étantpluspolispar faute(voy.AIR). plane servitle champêtre Futd'ais || 6°Nid,c'est-à-dire non repas à façonnés lesCyclopes, à se rouiller,FÊN.Tel. dérocheroù l'aiglefait son nid, et, par exten-l'aideducompas,LAPONT. Philéwi,Sixdouvesde commençaient deproie. C'estun ai- poinçonservaientd'aisetdebarre,REGNIEH, n. Aussitôt onassembla desouvriers pourtravaillersion,niddesgrandsoiseaux Satin dans son aire, J. 3. ROUSS. Ém. n. Onmangesurun aisdansle carrosse, surle fer,surl'acier,surl'airain,ID.ib.xn.Tandisglonquiretombe SËV. 426. desbassins c arrésd'un mail. 7°Le Cefutbien mafuite Tenait son l'homme petit d e || plus pis trompe, après quand Màyence quel'ennemi,par [Gutencharun vainpeupleoccupé,Et, gravanten airain rais salant. || 8° Dessusd'une grosseenclume.berg]eutimaginédeserrerentredeuxaislà feuille lesboisà tire qu'unautre fitde chiffonsréduitsen pâte.p. t. sesfrêlesavantages, DemesEtatsconquisenchaînait|| 9°Termed'eauxet forêts.Couper en COUR. ilithr.m, i. Lacampagne autour et à aire,lescouperentreleslisièresmarquées, lesimages....RÀC. I, 2-10.|| 2°Aujeude paume,uncoupd'ais, de e t sans choisirle coupquelaballedonnedevoléedansunaisquiest est couverte d'hommes quitaillentet quicoupent,nelaissantquelesarbres réserve 10° On trouve e ntermes d e etlà. || aussi, marine, ducôtéduservice.|| 3°Sortedeplanchette à l'usage quiroulentet quicharientleboisduLiban,l'airain çà 6. || 2"Uncield'airain, airepourvitesse,sillaged'unvaisseau;cenavirea desrelieurs.|| 4°Établisurlequelle boucher et le porphyre,LABRUT. débite excessive. Lescieuxpar lui ferméset del'aire(voy.ERRE). la viande.|| 5° Outildufondeuren sable." sécheresse un*s. Mefetcreverle cuerouventreLi Athal.i, t. Leciel-estd'ai- —HIST.xn"s. Lesairesdessalines[areassali- —HIST. devenusd'airain,RAC. Il est à l'aire ch. 2. Tenus orsvensdelpertuispunais;Miexvosisse rainsursa tête,Boss.Pass.i,s. L'Egypte,ceclimat narum], Machab. I, estresorun Est est sesbons d 'asseuir J. oùcelé aisD'une sous un cield'airain, J . RODSS. Sciences. oùme sifertile qui preste Ren.w\l§. privée[latrines] [place] geùsse, A UEEF. LE BAST. sans ne sa oncelés e t front front Lorsveîst ceus enla 3°Un volonté].... Romancero, Qui chambre pudeurqui erent d'airain,un [suivre || f uen enmil'aire Salomons de C esontdesmonstres 34. Hurtez a s e t asesLor Bretaigne pié chies[têtes].... rougitjamais. [cesfemmes]p. adès, parois xxxi. i l de Sax. vinSËV. 462. P ourlenieril lieu Q uant Nous e ntendons de ontun front certein l'assemblée], d'airain, L'escoufle. qui pe quetouslesesde main al aire O zaestendid'sa vers B OSS. Avert. i . S'étant drent vostre n efsonttous JOINV. 283. || xv°s. fautavoirun frontd'airain, Nachor, eslochez, fort"pourvu, faitun front d'airain,il fit semblantdene pasle l'arche,Rois,\40.Fistl'emperereel paleizfaire Etlàle pepont]trouverent-ils deFlaWACE 8275. Un envirun le Gramm.ii.\\ frontd'ai- Banca siège mandsqui defaisoient ce qu'ils l'aire, , Rou, et reconnaître,HAMILT. dese [sa] mai- quandilsen avoientostéunais, ilslepouvoient; Xces || xnr s. S'il s'enfuioit,le edefises rain signifieaussiune attitudeinébranlable. couvroient de vi- sonseroitabattus;etli meubleetli aireserontl'e- fiens, FROISS. adversités n, n, ;, et Etienne f . verso. Amour enparlant Quatremère ; d'après dies,POISSENOT, d'aprèsAdelung l'Esté, no, MASS.Confèr. despast.|| 3"Eloigné, — célèbre Motd'originedouteuse. Dansle procès desesprits.Coeurs aliénés.Combien de M.Reinaud,A'alKorismi,le Kharismien, ÉTYM. voyons-nous s ousle califeAlvivait cité Du aliboa liénés d ela viedeDieu!FÉN. t. mathématicien chrétiens arabe,qui xvu,p. d'EgidiusdeRays(1440), par Cange, d ansle t iersdu IXe diable et dansla dernière oules letenaient rumestdit le 328. L essoucis siècle; é tymamoun, premier signifier ; espérances toujours rendcomptedu éditiondeDu Cangeon proposel'étymologie bienpréférable, alle- aliéné,VAUVEN. puisqu'elle mologie Cléon,Yar.|| 4°Rendufou.Il a l'arithméti-mandealtboran,de ait, vieux,et de boran, en- l'espritaliéné.Il estaliénéd'esprit.Il estaliéné. signifiait g. Auxiii"siècle,algorithme arabes. on le voità l'his- Canillactrouve le ducd'Orléans versantdeslarmes, queavecleschiffres nemi,le vieilennemi.Aliboron, 1°Officier de s. m. Louis ALGUAZIL a a ussiune aliéné le VOLT. || (al-goua-zil), XIV, 27. Ah! torique , signifié plante.Ménage adopte par désespoir, tout Àmessenséperdus,d'horreur policeen Espagne.|| 2°Par extension, agent l'opiniondeHuet,quiregardealiborumcommele seigneur,pardonnez de la justiceoudela police.Onrira des erreurs génitifde alibi, pensantquemaîtrealiboruma aliénés,ID.Guèbres, 11,7. || 5°S. m.et f. Unaliéleurs agents, Sans étéditpremièrement des grands,On chansonnera d'unhommefécondet subtil né, une aliénée,un fou, unefolle.L'hôpitaldes J'aurais BËRANG. Ainsi-soit-il. voirarriverl'alguazil, à trouverdesalibi.Onfaitveniraussice motde aliénés. si d es rester dansles Lasyllabe en prendl'accent Cette ALIÉNER griffes alguazQs, art, va, et bourou,baudet(voy.BOURRIQUE). longtemps (a-li-é-né. pu L. 73. Lett. n, onn'eût pasparléde moi,p. COUH. ne peutse concilieravecali- grave quand la syllabequi suit est muette,i) dernièreétymologie —ÉTYM. e salvacir; et avec le sensprimitifquiest,per- aliène,exceptéaufuturetau conditionnel, il aliéPortug.alguazil,alvacil, boron,plante, à un autreunepropriété. pagn.alguaeil,alvacil;basselatinité,algatzarius, sonnagede conséquence. nera), v.a. 111°Transférer del'arabe s. m.Terme debo- Aliénersonbien, sonrevenu.Dieu,quoiqu'ilvous al, fALIBOUFIER algatserius,algozirius,alguassirus; (a-li-bou-fié), et de vizir N om du n'en le, vazir, (voy.rare). vulgaire styraxofficinal,arbre enaitlaissél'usage[desbiensecclésiastiques], tanique. croît s . I" Sorte d'herbe ALGUE qui aaliénéni lefonds,nilapropriété, (al-gh'), f. || quifournitle baumeappeléstyrax. puisqu'ilpeutvous dansl'eau,soitdouce,soitsalée.Comme de l'alguefu- f ALICATE s. Sorte dont les la (a-li-ka-t), f. pince ôterpar mort,parl'injusticedeshommes.... s able de la riveLa aura seserventlesémailleurs à la lampe. biensecclés. vague MASS. gitive, Surquelque Usagedes || Fig.Il nevousestpas roulémesos, LAMART. ttéd.n, 26.|| 2° Enbotani- f ALICHON s. m.Planche d eboissur d'aliéner u n I, -17. (a-li-chon), pareilsoin,J. 3.ROUSS. permis entièrement que, classede plantesacotylédones, laquellel'eautombepourfairetournerunerouede (I 2°Fig.Rendrehostile.Par là il aliénales esd'unestructure de Hist.l, U. 3echoquerai le très-simplemoulin. composée végétaux pritsdespeuples,BOSS. et vivantpourla plupartdansl'eau. t ALICONBE (a-li-kon-d') ,s. m.ArbredeNigritie, maîtrequim'emploie ; j'aliéneraidemoile protec—HIST. xvi"s. Lesgensde guerreestaientcon- dontonfilel'écorce. teur quim'aplacé,BOURD. Pensées,1.1, p.48.Par traintsde prendrede la mousseet de l'alguequi ALIDADE s. f.\\ 1°Règlede boisou ses fureursdéplacées,elle aliènel'espritdeson (a-li-da-d'), e nla enavoir l avéla salure avec croist demétalmunied'unepinnuleà chaqueextrémité,fils....DIDER. ESS.sur. Claude. mer,après del'eau doulce,pourla donnerà mangerà leurs et servantà tracer,suruninstrument v. réfl.\\ 1°Etrealiéné,vendu.Cette appeléplan- S'ALIÉNER, 6 8. chette, leslignesdéterminant la directiondesob- terre nepeuts'aliéner.Si un homme chevaulx,AMYOT, César, peutlégitime— ÉTYM. à Alga. Iln'est jetsvisés travers-les pinnules. || 2" Règlemobilements'aliénerà un autre,J. J. ROUSS.Ëm.y. onne f ALHAMBRA (al-an-bra),s. m. Palaisdes qui, tournantautourd'uncerclediviséen degrés, paspermisdes'aliénerà desprincesauxquels roisMauresà Grenade. sertà mesurerles angles; celle-ciest munied'un doitrien, m.Hél.I, 34.|| 2°S'aliéner,se séparer. ALLURE despinnulesou unelu- Toutesociétépartielles'aliènede la grande,J. J. (a-li-ê-r'),s. f. Voy.ALLIAIRE. vernieret porteégalement s. m. Termede palais.Présencenette. ALIBI(a-li-bi), Ém.1.y 3°S'abstraire.Je saisaussim'aliéROUSS. dans un autrelieu — d'une personne ÉTYM. Bas-lat.alidada,alhidada,de l'arabe ner, talentsanslequelon ne fait rienquivaille, queceluioùa été accompli le crimeoule délitdontonl'accuse.al, le, et idad,computation. DIDER. Lettr.à MmeRiccoboni. || 4°Tournerà la foPlaiderl'alibi.||Âuplur.lesalibi. ALIÉNABILITÉ s. hommes'estaliéné s'aliène.Cet Qualité lie. Son t (a-li-é-na-bi-li-té), f. esprit —REM. 11vaudraitmieuxne pas faired'excep-de ce quiestaliénable. toutà coup. tionet écrireau plurieldesalibis; d'autantplus ALIÉNABLE être —HIST. xm"s. Bourgoisne puetpas-aliéner]a Qui (a-li-é-na-W), adj. peut ce de n'est aliéné. D omaine Les quel'Académie, pour genre mots, aliénable. majoratsn'étaientchosedela commune sanzlecommandement le roi, pas avec elle-même,et qu'ellepasaliénables. partoutconséquente II se le sub47.Etsele clamant dit fiénese Liv. |j placetoujoursaprès dejust. que.... écrit des bonis, des macaronis,des parolis.On stantif. l'assise des ventes vendre ne q ue par peut aliéner, trouved'ailleurs,dans d'ancienstextes,alibisau f ALLÊNATAIBE s.m. et de servise.... A ss.deJ. 63.Chascun (a-lié—na-tê-r'), /'.Ce-ou parpartie pluriel(voy.ALIBDJORAIN). celleen faveur d e onaliène. qui peutle siendoneret aliénerpar savolenté,ib. 1, —-HIST.xvi"s. Et, se desrobant,vintendili- lui, TRICE t ALLÉNATEUR, (a-li-é-na-teur, tri-se), 483.[|xives. Etseleurtristeceestalegéeoualiénée gencetrouverle roi en son camp,afindetémoi- s. m.et /V.Celuiou cellequialiène. pourl'unecau*eou pourl'autre,nousn'en diron cet n'estoit assistant à ceforgner,'par alibi,qu'il s. /\J|i° Vente, plusà présent,ORESME, Eth. 289.Laquellechose ALLÉNAT40N (a-li-é-na-sion), d 'une d 'un fonds. 2° fait, yVER, p. 621. eust aliéné encelui le pueple transport propriété, |) Fig. tempstrèspérilleux, —ÉTYM. de et Alibi, ailleurs, alius, autre, Aliénation des esprits,aversion s'excusa quedespersonnesBERCHEURE,f. 38,recto.||xV s. Lechevalier t&t,ici (voy.Y). ont les unes pour les autres.Combienpar là et dit quel'héritagedu roi d'Angleterre,il ne ALIBIFORAIN s. m. Propossans ne voit-onpas de, méritesqui, par l'aliénationpouvoitvendre,donnerni aliénerque il ne fust (a-li-bi-fo-rin), avec la chose en à descoeursoupar la contrariétédésintérêts,bien trahistre,FROISS. rapport question;défaite.N'avoir n, m, 40.||.xvi"s. Ils vousdila bouchequedesalibiforains. Vieilli. loin d'activerla bienveillance et l'amour, exci- rontquevostredouxlangageles coeurshumains || —HEM. Onécrivaitautrefois en deuxmots,alibi tent plutôtla jalousieet la haine, EOURD. 32....Etsi du toutaliéAvent, alièneet engage,ST-GEL. Un forain. matou qui m'écritsur les reins Des 13. Descommandements être exénés n'estesPar nos deffautsde nouset nos vous qui, pouvant e t desdentsmillealibis griffes cutésà l'instantmême, auraientcréé dans la requestes,... seulementles doforains,RÉGNIER ID.247.Il approuva Sat.xi. Franceun déplorable étatde choses,misl'aliéna-nationsqui ne seroientpointprocedéesde sens —HIST. xv"s. Lesfemmes sontcoutumieres d'en tionà la placedela confiance, et faitavortertoutes aliénépar quelquegriefvemaladie,AMYOT, Solon, userpour trouverles échappatoires et alibisfo- vosintentions t. 1, 40.Hzse partirentl'und'avecl'autre, encoreplus généreuses,MIRAB. Collection, rains, LOUIS a, Nouv.c. ID.Lucul72, p. 327.Ôcorpsmortelaveclequelje ne puisavoir aliénezqu'ilzn'estoientauparavant,
AU
ALI
ALI
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Avecpuissance devendreetaliénercequiapparte- t ALIGNOIR s. m. Instrumentqui ALIMENTEUX, (a-li-gnoir), EUSE(a-li-man-teû,teû-z'), i noità la chosepublique, AMYOT , Cicéron,4.Csesar,sertà.fendrelesblocsd'ardoise. Terme d e a despropriétésnuadj. médecine.:Qui de luy[Cicéron], t ALIGNOLE s.m.Termedemarine. tritives.Sucs,médicaments quiplusest, aliénafortPompeius (a-li-gno-1'), alimenteux. ID.ib. 39.Etnefautpoints'estonner sicemalheu-Filetemployé par lespêcheursdela Méditerranée. —HIST. xvies. Lesremèdes propresauxulcères reuxprintplaisiràsouillercettechairaliénée[pri- ALIMENT s.m. || l"Cequinourrit.Dans de l'estomach doiventestremédicamenteux (a-li-man), et aliCequilorsfut lelangagedela physiologie, alimentestun terme menteux,PARÉ, vée] de sentiments,YYER , p. 6 sucre brûlant.|| Amandes faites ib.xix. x ive s .Etenamisté a ucune f ois l'aman accusematièrevivantdansun mêmelieu, BUFF. Lièvre. lissées,dragées 11 d'amandescouvertesde sucre.|| Huiled'amandel'ameypource queil aimeplusqueil'n'estamez, Pourquoine voir dans la pyramidede Chéops 247.Il sembleunedérisioncequeau- qu'unamasdepierreset un squelette douces.|| Enamande,enforme ORESME,JB(/I. douceou d'amandes ? CHATEAUB. LesArabesontlesyeuxgrandset coupéscunsamansdientsimplement il doivent d'amande. e stre 6e d'unamas confus d es de Itin. partie que vapeurs en amande,CHATEAUB. où-segardecachéCe Itin.n, 492.|| 2°Toutegraine amésautantcomeil aiment,ID.ib.244.||xves. Tu. la nuit, CORN. Poly.i, 4 dansun noyau.L'amande du noyaudel'a- as oyparler les malheureux,Nonpas amansqui formidable contenue amasde lanceset d'épées,RAC. Ath.m, ce quiestcon- congnoissent 4.|| xvies.L'ame 7. Ôvousquicroyezêtreun amasde boue, sortez iricot. || En termesde botanique, qu'estjoye,en.D'ORL. ar3"Dansîafabrioation des d'unamant v it au n tenudansl'épisperme. || corpsd'autruy, onpasau sien, doncdumondeoùvousvoustrouvezseulde votre lemilieudela brancheAMVOT, Anton.85.Lesamants,pourl'affection vé- avis,MASS. Car.Vér.d'unavenir.\\2°Parextension. mes,partieovaleet occupant . ougardede l'épée. hémentequ'ilsporteraientà leurs aimez,ne les Pendant qu'ilfaisaitamasd'armeset detroupespour — REM. dequelques Amandre; prononciation per- abandonneraient jamais,ID.Pelop.33. s'emparer,la forceà la main, du gouvernement, — un faut est éviter. ÉTYM. amans et ital. et toi, amante VERTOT, Révol.rom. provincialisme qu'il Provenç. ; espagn. Céthégus xn, 474.Hors •sonnes, s. Amandie, Ass.de Jérus.n, 480. (voy.AIMER). —HIST.xni" dignesde monestime,Leresteestunamasélevé est huiliers à il fairehuile AMAPER v.a. Termede marine. dansle crime,VOLT. Catil.i, 4.Sic'estun sénat Quiconques Paris, puet f (a-ma-pé), unevoileavecvigueurpourla serrer. qu'unamasde bannis,CORN. Serlor.m, 2. || 3°Acde olives,deamandes,de-nois, de cheneviset de Empoigner 4 69. s. Ie Biensdontl'amasne luia coûtéau(a-ma-ran-f), f. || Fleurd'au- tiond'amasser. || xvi°s. Cesglandules AMARANTE pavoz,Liv.desMet. Amb.2.||4° Fig. En lui monsontde grandeuret figured'une amende,et pour tomned'unrougepourpreet velouté.Desprésse- cunespeines,BOSS. et de violettes,FÉN.Tél.i. Ta trant, commeréunisen un pointdevue, cetamas cestecausesontditesamydales,PARÉ, VI,6. Huile més d'amarantes d'amendesdouces,ID.VI,8.Huiled'amendestant louangedansmesversD'amarante couronnée decrimes, MASS. [ren- monstrueux Avent,Bonh.desjustes. doucesqu'ameres, ID.XXV, 24. dusimmortelle], MALH. FLÉCH. II, 2. || 2° Adj.DecouleurCetamasdecivilités mondaines, Sérm.u,9. —ÉTYM. amarante. é toffeamarante. Ne dis un amasde lienset de forGénev.amandre; bourguign.aimandre; Velours, plus Lajusticegémitsous Il a faitgrand ID. dansGIRAULT-DUVIVIER. ; Displutôt malités, provenç.amandola,amella,ameuta;ital.mandor-qu'il [ce beaucarrosse]est amarante F. sav.m, 2. amasde matériaux,BOSS. Soumiss.2. En faiïa, mandola;espagn.almendra;portug.amendoa;qu'ilestdemarente,MOL. de à amande. —ÉTYM. de santamas de DESC. Méth.Mille çatal.ametlla;deamygdala, Amarantus, ànâfiarroç, privatif, deàiMiySâXï], plusieurs expériences, s. m.Boissonfaiteavec et (juxpaCveiv, AMANDE (a-.man-dé), flétrir;la fleurqui ne se flétritpas et milledouceurs y semblent attachées.Quine sont laitet desamandes e t Boire un amas d'amertumes du broyées passées. (voy.MARASME). qu'un cachées,C0RN.fférac2.i,4. f ieramasde etdegloire,ID.Seitor. amande. AMAREILLEUR Il Leur puissance f (a-ma-rè-lleur, mouillées), des 4. lai laissez voirce —HIST. XVIe s. Sonmangersera panade, orge s. m. Ouvrierchargé soinsqu'exigele parcageu, Ne plus longamasdegloire mondé,et nonamendé,pource queles amendesdeshuîtres. ' Qu'àpleinesmains sur vousa verséla victoire, ENTE(a-ma-rè-ssan, causentdouleurdeteste,PARÉ, vin, 44 t AMARESCENT, ssan-t'), ID.Nicom.m, e. Ouplutôtmilleamasde carnage —ÉTYM. et d'horreur,m. Hor.i, 3. Unlongamasd'honAmande. Terme amer. didactique. Légèrement adj. — AMANDIER LYnese liejamais: un ÉTYM. deveniramer,de amarus neursrendThéséeexcusable, RAC. Phèd. i, 4. De (a-man-dié. Amarescere, cetamasd'honneurs la douceur Faitsut amandieren fleurs,prononcezun a-man-diéen (voy.AMER). passagère s. m.Actiond'ama-moncoeurà peineuneatteintelégère, ID. Esth. fleurs),s.m. Arbrede la familledesrosacées, qui AMARTNAGE (a-ma-ri-na-j'), rinerun bâtimentcapturésurl'ennemi. II, 4.Ettoutcevainamasde superstitions Qui ferproduitlesamandes. —HJST. mentvotretemple auxautresnations,ID.Alh.u,4. Amariner. xn'.s. Grantmassei avoitdeloriers,De —ÉTYM.
AMA
AMA
AMB
12.3
masseinforme,blocirrégulier Gisezenchambrecoie,floqui cuers,Ménagier,i, 6. || xv"s. Pourcevousvueil Quià sejor.en.ÎVSOS] j| S*Engéologie, v ous deme tollirLes'maux neconstituepasunterrain. 67, je requérirQu'il plaise mancero,p. |!'ïines. Et sicuidastbienli don—HIST. xv"s. LeroideFrancefaisoitun grand que m'avezamassez Bal. 40. Et à siausEstreameresdedamesbêles,Fables , CH.n'ORL. et conlct 84. desnobles deson FROISS. desvaillants anciens.... ne chailloit de t. amas royaume, I, I, l'exemple luy anciens, m, p. n8. Kia lesiexgroset granset 11[LouisXI] avoitenvoyédeuxambassadeurs au trésoramasser,Bouciq.i, ch.2. Quandle ducAl- tremblans,siestlensetdegrandevieet ameresde contreleditduc; lesquelzbertdeBavière.... entenditquele ducd'Irlandees- femmes, f° 09,verso. de Lyegepourles solliciter ALEBRANT, || xvr=s. Amateur avoient toit et amasser.... en sa deDourambassadeurs avoientsibiendiligente venu ville Flamin. 9 . Siestoit b ien qu'ilz loger aise vrayegloire,AMYOT, les drech, si pensasusun petit, FROISS. jà faitun grantamatz,et vindrentd'emblée II,III, 80. des'ouyrsalueret nommerPhilellen,c'est-à-dire unearmée,COMM. VI,6. XArrasil amas-amateurdesGrecs,ID.Anton.27. n, 7. Amasser Lyegeois prendrela villede Thongre,COMM. la blanc et soit tant Survinten la ville vefveduditchevalier gens qu'ilpouvoit,m. m, 2.|| xvi"s. Ilsse —ÉTYM. Aimer;provenç. amaire,amador;esmèreduditMathias bienfortacbmpaignée, carelle baissentà terre pour amasser[ramasser]en du pagn.amador;ital. amatore.Le vieuxfrançais estoitrichefemmed'argentcontant,quesonmari lingesonordure,MONT, amairesontle nominatif,de I, 110.Quisçauroitlepoids amereet le provençal avoitlaissé,parquoyelle avoitpeu faire grant d'un sceptrene.daigneroitl'amasserquandil le amator;ameoret amador,le cas du régime,de amatzsoudainement, ID.VI,43.|[ XVI" S.Desamas troaveroità terre, m. i,33o.Cetteprévoyance d'a- amatorem. Lefrançaisactuela étédirectement calIl et piècesdechairinformes[môles|,MONT, 31. masseret le à m. I, espargnerpour temps venir, n, qué sur le latinà une époqueplusrécente. 4 sa àTimoleon 86.Je feissortirdesa lors ville pouryfaireson amas, playel'ordurequis'y amas- t AMÂTINER presta (a-mâ-ti-né),v. a. Fairecouvrir 1 m. 493. I lestoit h omme et persuadaà sescitoyens d'entrerenligueavecles soit, rt, trape,bienamassé, unechiennepar un mâtin. et b ien Timol.il.Ilfeitamas de mesme savoit À et mâtin. gens qui jouerdescouteaux,DES- —ËTYM. Corinthiens, AMYOT, 7. de cheval,ID.Eumènes, £e princevoyantson PER.Contes,L. Toutartificepouramasserargent AMATI,IE (a-ma-ti,tie),part,passé.Oramati, amas[armée]presséde faim,refuséde passageau y estoitpermisauxesclaves,AMYOT, Lyc.et Numa AMATIR(a-ma-tir),v. a. Termed'orfèvrerie. Hist.i, 339. Liège,D'AUE. comp.4. Ayantreceule royaumed'unpeuplenou- || 1°Rendremat, ôterle poli.[| 2" Danslesmon—ÉTYM. amas blanchirlesflans,lesrendremats. Provenç. (voy.AMASSER). vellement amassé,quine luycontredisoitenrien.... naies, — M is e n m.ib.9. Lesable lesundes de lamer amasÉE HIST. xnes. L'orgueilCarlonà la barbeflorie que y AMASSÉ, (a-mâ-sé,sée),part.passé. Ilz amas. Décombres amassés. Richesses amassées àgrand' soientet entassoient, ID.Marius,26. s'amassè-Amatirezainsl'heurede complie,Rone.p. 426. Eauxamassées dansun creux.Foule amasrenten grossetrouppe,et s'enallèrentdanslari- Quantli sainzveitvenirles suensà lui fuitiz,E peine. Vouscachezvière,ID.ib.32. Ilamassaceslettreset papiersde les enfanchunetz sée.Colèreamasséedepuislongtemps. pendreas mèresaz piz[auxpoienun monceau,et les bruslatoutes,ID. trinesdesmères],E queluie lessuensaveitli reis lestrésorsparDavid amassés, RAC. Athal.i, l. Ils'est Sertorius fait apportercesannalescélèbresOùles faits de Sertor.44..Labastinedesonchevaltumbaà terre proscriz,Mielzvolsistestremorz,multfortestamai. Toutestouteensanglantée, etun pagede celuyquil'avoittiz, Th.lemart.65.||xves.Lesquels sonrègneavecsoinamassés.... iD.jEsfft.n, Liégeois génélesprovisions de guerreet de boucheamassées en leur paystrèsdolents et par frappél'amassa,ID.Artax.43. Lafemmedu Pont ralementdemeurèrent Louis 2 3. ennemis l a VOLT. luioùestoit s on amatis d elàdouleur leurestoit les assez XIV, enquisepar pour campagne, mari, respondit qui advenue,MONSTR. v .a. i° Faireun amas. amassoit des 60. AMASSER à S. liv. ch. Comme les (a-mâ-sé), || brusquement qu'il chastaignes jeuneset tendresfleuII, desmatériaux. Ce Amasser desprovisions, Hist.n, 60. rettesse sèchentet amatissent spectacleCbristol,D'AUB. [sefanent], quand amassaen —ÉTYM. amassaitla foule.Le jeuneHartsoeker 2 (voy.À)et masse;bourguig. accident l eur aucun C. ; advient,LOUIS emassey XI, NOUV. disecretleplusd'argentqu'ilput:ille dérobaitaux provenç. amassar;espagn.amasar; ital. ammas-|| xvics. Il pénsoitquel'empereurà la première PON-sare. vertissements sansenveniraudessuset à son villequ'ilassaudroit qu'ileûtprisavecsescamarades, L'abondance estsi grandequ'ilfaut t AMASSETTE TEN. Hartsoeker. lame intention,amattiroitet affoibliroit le coeurdeses (a-mà-sè-tf), s.f.\\1°Palette, amasserlesrestes[despainsmultipliés 366. par J.-C], dontlespeintresse serventpouramasserles cou- gens,M.DUBELL. — d u Communion. Ce leurs 2°Petitinstrument MASS. ÉTYM. À général sénat,qui Confér. broyées.|| aveclequelon (voy.1) et mat.Dansl'ancienfran le voulaittirer la guerreen longueurpouravoir amassela pâte. et s'apçais,mata toutel'étenduedesasignification d e d'Id'amasser AMASSEUR s.m.Celui à toute chose plusgrandesforces,passa temps f (a-mâ-seur), quiamasse.plique pour signifierrendremat, talieen Êpire,VERTOT, Révol.rom. xm, 267.Vingt —HIST.xnies. Unsuseriés,unsamasseres,DUfaible, vaincu.Lasignification , dansle français archerset avait millehommes, amassator. frondeurs,qu'il CANGE, ||xives.Sifontli amasseur, qui moderne,en estréduiteà ôterle brillant,le poli. C.5S9.|| 2°Ab- les deniersmusisGardenten leursescrins,et les f AMATIVITË "amassés" danssaprovince, s. f. Nomqueles VAUGEL.Q. (a-ma-ti-vi-té), L a vieillesse i nsolument. Thésauriser. donnentà l'instinctquiprésideà la chagrine vairset lesgris, Baud.deSeb.vin, 4247.[| xvi°s. phrénologues cessamment BOIL. A.P.m. Ne r ien de l'avare || Absolument, prisant que amasse, amasseur,MAROT, iv, propagation l'espèce. maisavecunsensgénéral.Parmonproprebraselle 244.Toutàcouplesunstuentlesamasseurs denoix, —ÊTYM. D'unadjectif amalifquin'existepas,et 2. Voltaire acondire amassait CORN. Nie. D'AUB. Hist. 387.Silanourriture d esamasseurs voudrait iv, disposéà aimer. pourlui, m, qui damnécevers,disant:Amasserquoi?Maisamas- defeuillevousimportune,avecde l'argentseul f AMATRICE s. f. Féminind'ama(a-ma-tri-s'), absolument faire o .DE e st serpeutêtreemployé commebeaucoupvousvousferés tel service, 460. teur.Cettecapitale pleined'amateurs et surtout SERRES, des preuves.Il Onestbienaised'ouïrceulxquisenomment amas- d'amatrices fontleurs d'autresverbes.|| 3°Fig.Amasser comme M.Guilqui ouvrages du amassaitsur sa tête les malédictions ciel. seursde sagesse,AMYOT, t. n, p. 441.X laumeinventaitses couleurs,J. J. ROUSS. Ém. Morales, L eseaux s'amassent amasseur fils Dict. Mot bien bonet a ni. v.réfl. pluviales père gaspilleur, COTGRAVE, que || 4°S'amasser, || qui, utile, beaucoupde — dans cetteciterne.La foule,le mondes'amassait ÊTYM. à s'introduire. Amasser;provenç. amassaire,amassa- peine xvies. Parcequ'ilsnese pouvoient autourde lui. Et ce qu'onvoitde peupleautour dor; espagn.amasador;ital.ammassatore. Amas- —HIST. perd'euxs'amasser, Frémitdeleuraudaceet leslaissesereduvieuxfrançaiset amassairedu provençalsuaderquela natureendetelleschosesfustdedans sont le nominatif,dubas-latinamassator;amas- le corpshumain,commededansunevilleamatrice Oihon,iv, 7. passer,CORN. —REM; Dansle xvn"s. amasseravaitle même seoret amassador,le casdu régime,de amassa-et inventrice denouvelleté, AMYOT, Proposdetable, 4re Dansla éd.du- lorem. sensqueramasserprésentement. liv.vin,quest.9. —ÊTYM. amasserestdéfini: Releverde AMATELOTAGE s. m. Dict.de l'Académie, Terme (a-ma-te-lo-ta-j'), Voy.AMATEUR ; provenç.amairiiz. terrece quiesttombé,amassersesgants,amasserdemarine.Actiond'amateloter. AMAUROSE s. f. Termedeméde(a-mo-rô-z'), un papier.LaFontainea dit: L'unse baissaitdéjà AMATELOTÉ . cine.Cécité causée la (a-ma-te-lo-té), part,passé. par paralysiedela rétineet la proie,Fabl.ix, 9.Dansle Berry, AMATELOTER v. o.Termede dunerfoptique. (a-ma-te-Io-té), pouramasser e ncore maisla marine. Classer deux à deux lesmatelotsd'un deà augamassersignifie ramasser; langue équi- —ÉTYM.'A(j.aOpu!ji;, obscurcissement, dansun mentatif, et de(iaûpoç, obscur. a varié,et aujourd'hui l'usagea séparéamasserde pagepourqu'ilss'aidentouse remplacent ramasser,et l'ondit ramassersesgants, ramassermêmeservice. fAMAUROTIQUE (a-mo-ro-ti-k'). || IeAdj.Terme —ÊTYM. unpapier(voy.SYN.). Àet matelot. demédecine. a à l'amaurose. Qui rapport || 2°S.m.et —SYN.|| 1° AMASSER, RAMASSER. C'estfaireun AMATEUR s. m. || 1°Celuiquia un f.Unamaurotique, unepersonne atteinted'amaurose. .' (a-ma-teur), amas.Maisamasserindiquesimplement l'idéed'a- goûtvifpourunechose.Unamateurde peinture, AMAZONE d'autres a(a-ma-zô-n' ; prononcent s. f. || i" Termede mythologie.Nom mas,tandisqueramassermarquelessoinsqu'ona demusique.Ôle soininutile,dirontlesfolsama- a-ma-zo-n'), lescho- teursdu siècle,BOSS. Fr. deP. n, 4. Onestama- defemmes pris, la peinequ'ona euepourrassembler guerrièresqui vivaientsans hommes. ses.Onamassede l'argent,quandonen acquiertteurdesonrepos: quiconque peutletroublerpasse || 2°Dansle langage général,femmed'un courage successivement. Onenramassede tout côté,dans pourimportun et fatigue sa BOURD. Pen-mâleet C'estune véritableamazone. par présence, guerrier. unbesoinpressant,et pouruneaffairequienexige. sées,t. il,p.2B2.J'ai parlé avecquelqueétendue|| 3eHabitd'amazone ou amazone,longuerobede 2" ENTASSER ACCUMULER AMONCELER. l esfemmes desruines t outellesne || AMASSER, , , drapqueportent pour monterà cheval. d'Athènes,parcequ'après — c'estréunirensemble deschosesdemême sontbienconnues Amasser, quedesamateursdesarts, CHA- ÉTYM. 'A[j.ocÇràv,mot d'originefortincertaine. nature: un amasde blé, de foin.Entasser," c'est TEAUB. ltin. 6epartie.Profanes amateursdespecta-Lesunsl'onttiréde à privatif,et (xaÇàç, mamelle; faireun amasdeformedéterminée : un tasdeblé, clesfrivoles,BAC. Esth. prol. Les entreprises les parceque,dit-on,les.Amazones détruisaient une defoin.Accumuler, c'estjoindre,amassuramas:on pluséclatantes d u mamelle chezles f illes maisonaun desamateurs monde,MASS. grand. petites ; Resp. accumuledes richesses, deshéritages.Amonceler,Onse donnepouramateurdela patrie,ID.Obsl. nombrede monuments anciensoù les Amazones c'estfaireuneaccumulation, en désordre, dechoses|| 2°Absolument. sont e t où leur sein n'estpasmutilé; et Celuiqui cultiveles beaux-arts figurées mêlées:amonceler desruines,descadavres. sansen faire.saprofession.C'estunamateurdis- Hippocrate, l'attribue quiparlede cettemutilation, —HIST. xii°s. Maisles armesetla despuille Fi- tingué.|| 3"Enmauvaise part. C'estun amateur, non aux Amazones,maisaux femmesscythes; ilditseulement dans rentcoilliret amasser,Chron.desducsde Norm. c'estunhommed'untalentmédiocre. quelesamazones estropiaient, — t. ni, p. 216.Nousferonsamasser SYN.Il y a unedifférence Lesauentreaimeret être le bas âge, les enfantsdu sexemasculin. princesetvavasChevaliers et les et lesmetres ont fait de a et Aimerestuntermegénéral:j'aimelesroveniramazone augmentatif, amateur.. sors, sergens, granz nors, Sax.xxvii.|| xines. Unsvilainsentuleset sesexprime queje lesaime,sansajouterà cetteidée p-aÇô;, mamelle;quia degrossesmamelles ; d'auÊtre amateurindiquetoujourstres, de âjioe,ensemble,et Çr,v,vivre.Toutesces riches,Quimoultestoitaverset chiches,Qarde riendeparticulier. n'avoit Enl'amasser otmissa sont incertaines une et devenue,en quelqueétymologies despendre cure, cure, préférence particulière qu6 ;'et il estpossible Ren.4967.D'oisiaus chantansavoitassésPartout sorte,uneétude: je suisamateurderosessignifieamazonesoitquelquenomgéographique, ou quelle vergieramassés,la_Rose, 678.Carcil quiri- queje lesrecherche,quej'en faiscollection. d'une étymologieaujourquetermemythologique — checesamassent,ib. 6166.||xives. Ilsamassentet HIST.XII°s. Etj'aiplushautepenséeQuetuit d'huiméconnaissable. un secret e t c ourroux en leurs li autreameor amoncellent couvert s.f.plur.Circuitdeparoles [amauls],Couci,i. Courtois ameor, AMBAGES(am-ba-j'),
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L'airambiantet pur semblaits'être 149. plusieursautres, celtique 318, —HIST. une est venue seconfondre xiv*s.Menacesdesquellesparambages formetrès-voisine qui adouci,Quelquesoiseauxposaientsur le givre et par parolesdôubteusesil li àvoitparlé,BEH-dansle bas-latin. Joe.iv, 147.|| Unesemetqu'après durci,LAMART. s. m. || 1°Re- le substantif. f»32, recto.|| xvi"S;Il y adjoustaencores AMBASSADEUR CHEURE, (am-ba-sa-deur), en d'un d'une d'autres à rencontre du xvies. ....unepellede fer rouge:à fin assez indignitez roy, présentant souverain, république,près —HIST. s'involvant et fourrantsi avanten ambagesetsu- d'unecourétrangère.L'ambassadeur auprèsde la que par la réverbération d'icelle,l'air ambiens, L es d 'un ambassadeur. M. D U 349. courdeFrance. c'està dire està deparolesque.... privilèges BELLAY, qui l'entour,soitcorrigé,PARÉ, perfluitez — ÉTYM. les Scythes à Da- vm, 14. envoyèrent Ambage, circuit,détour,de amb, au- Lesambassadeurs.que rius. Le d'ambassadeur doit être deambi,autour(voy.AMBE), tour (voy. AMBE) rang respecté, — ÉTYM. Ambiens, , et de agere, pousser (voy. deFrancedanscette et iens,allant,deire, aller(voy.IRAI). CORN. Nicom.i,4.Ambassadeur AGIR). 6.Parmesambassadeurs moncoeur AMBIDEXTRE (an-bi-dèk-str'). || iMd;'. Quise (an-ba-lar),s. m. Brouettequi cour,LABROY. t AMBALARD vousfut RAC. Andr. 5. Tout sert des deux vous la dans les mains.. sertà transporter pâte iv, promis, petitprince également Hermagoras papeteries. 3. 2"Toute LAFONT. Fol),i, || révéleraque Nemrodétait gaucheret Sésostris AMBASSADE (am-ba-sa-d'),s. f. || 1° Fonc- a desambassadeurs, d 'un Vous n e e nLA BRUY. 6.|| 2°S.m.C'est unambidextre. Obtenir une ampouvez ambidextre, personnechargée message. tion, charged'ambassadeur. ambassadeur. Etlebaroncou- || Ilnese placequ'aprèsle substantif : Unenfant à unsouverain.Envoyervoyerun plusagréable bassade.|| 2°Députation de MILLEV. le ambassade. Recevoir ambassade e n vertde ambidextre. une qualité gloireTriomphe parambassadeur, — HIST.xvi"s. Oùbeaultéest, ambidextre 1. Voilà doncle succès CORN. Nicom. Baron Chrétien. m, je reine, DeCes suis,AMYOT, DÉPUTÉ. RAC.Andr.m, 1. C'est — SYN. Comment il fautlirelespoètes,11. ENVOYÉ, AMBASSADEUR, qu'auravotreambassade, àtouslesdeuxfatale,L'afait troistermesenvoyéestle plusgénéral;l'envoyéa —ÉTYM. toidontl'ambassade, Ambidexter,de ambo,deux(voy.AMBE), 3. et versmarivale,iD.tb.y, une mission,de quelquepart qu'ellevienne, et dealer,droit(voy.DEXTÉRITÉ) pencher pourmonmameur ; motà mot,quia de s'adresse. Aussi d'unambassadeur. Il fait soitcelui à elle mains droites. 3"La suite deux peut-on partie quelque qui || est d eDieu. L e nommé Je dire 4°Hôtel d 'un ambassadeur. pardes } AMBEEUX, EUSE(an-bi-eû,eû-z'),adj. Qui l'ambassade. loge l'envoyé député || des des soe ntre 5° a des des resàl'ambassade. message parti- citoyens,par corpsparticuliers,par détours, tortuosités., || Commission, [Leducd'Orléans bien des oudes ou del'honneuret del'espritamhieux par sujets culiers.Son frèrearriveet luifait l'ambassade,ciétéssubalternes, sentaitjTaiguillon des demandes J'aifaitune f aire des belle vaincus LAFONT. Joconde. et imaginaire de Mmesa fille [la duchessede pour représentations, || Ironiquement. il d éterminé. Enfin enn'a été oudes aunmandat c 'est-à-dire m a mission ambassade, pas prières; Berry], ST-SIMON, 309,46. || Motinusité. — u n à ÉTYM. Motmalformésurlemodèle d'ambiant heureuse.0 ! justeciel! j'ai faitunebelleambas-voyé,parrapport ambassadeur, exprime rang l'ambassadeur s on inférieur c e MOL. ; représente souverain,(voy. mot). Amph.1,2. sade, —HIST.xves. Et pourcertainesmatières,icel- aulieuquel'envoyéne paraitque commesimple AMBIGU, UË(an-bi-gu,guê. On met le tréma une raison ou ministre a utorisé. aveclui avons e nvoie en ambaxade d'étiquette pourindiquerque gue ne se prononcepasghe, lui et autres Si, par ambassadeur au- maisqueVuy estarticulé),adj. onneveutpasavoirun || 1°Quiestà pluauprèsde notretrèschieret trèsaméfrèrele roy autrement, on a un dansChron.de l a et LettredeCharlesVII, sieurssens, par conséquent d'unsensincertain. gouvernement, y envoyé. prèsd'un d'Escosse, — xv"s. Vous ambasseurs et 76.Avant le HIST Martian n'ena messagiers, que grandp. Langageambigu. parléqu'entermes Pucelle,édit.YIRIVILLE, Des et Laurentien a lez le monde es cours dePortingal Qui par gransprinces ambigus,CORN. maistredeSaint-Jacques Othon,i, 3. Cen'est pas s'expii-. dans Gloss. E.DESCH. le deSAINTEen en ambassaf ussent v enus en termes Angleterre pourbesongnier, Fougasse quer ambigus,MOL. Sgan.ta. || 2°Par Et dévoient lesambaxadeurs .... avoir s auf s. QueledonneurPALAYE. extension. Ilsetenaitdansunétatambiguentreles H, ni, 29.|| XVIe derie,PROISS. retournant l e d'Anen fit les conduit allant e t soit Unsold e P. Jés.8.Aristotea n'en parmi royaume ambassades, repris, poissonst lesoiseaux,PASC. 4 216. 38.La gleterre,FR01SS. dit que le phoqueétaitd'unenatureambiguëet chosevautbiensonprix,ST-GEL. II, II, Chasque. — estémiseenla bouche ÉTYM. embaichador a entrelesanimauxaquatiques ; moyenne et terrestres, Provenç.ambassador, parolede reconciliation ital.om- BUFFON, cesteambassadeespagn.embaxador; afinqu'ilsportassent desministres, portug.embaixador; L e Phoque. chapeauambigu,couvertd'un a liC ALV. Inst.526. J ésus basciadore aumondedeparChrist, (voy.AMBASSADE). étui detoilecirée, HAMILT. Gramm.8. || 3°S.m. s. 1°La en cestesorte, leurcom- AMBASSADRICE mitétoutleurambassade || l'onsertà la foisles (an-ba-sa-dri-s'),f. viandeset ledessert. Repasoù 925.De néambassadeur. C'estmadame l 'ambasm. ib. femmed'un mandantd'alleret enseigner.... Onnousa dresséun somptueux ambigu.C'étaient Unefemme d 'un ambassade sadrice. 2° La il chargée message. desambigusquipartaientde Francepourrenché[ambassadeur], || gociateur passapour luifitsentirqu'elleétaitindignéequeson rir, aumilieude Londres,surlescollations et futlaisséaller,D'AUB. duroi, Hist.ii, 90.Romene fut princesse aux e t lui unetelle VOLT. S.de a u commencement frère premiers dépêchât ambassadrice, HAMILT. Gramm.7. ||4° Fig.Mélange dechoses conpascourtoise n>.ib. 355. I l veut 3. Louis seconds C 'est u n d e etde ambassades, m, pour XV, traires. ambigu précieuse coquette, avoirmonlieutenant ambassade MOL. Préc.rid.4. || 5°Sorte dejeude cartesqui réugênerai,afind'en- —ÉTYM. Voy.AMBASSADEUR. m on M. D U BELL. assaillir s.m.Terme d echarc e AMBATTAGE manières de àdivers camp, (an-ba-ta-j'), voyer pendant f jouerpropres nitplusieurs jeux, un herault 290.Noussommes appellescommepar ronnage.Opération parlaquelleon garnituneroue cequis'opèreavecunjeu dont onretiretoutesles 53. et embassade de sonbandageoud'uncerclequientientlieu. figures. XXIV, envoyédu ciel,PARÉ, —ÉTYM. Froissarda dit ambassaderie ; dansle AMBE qu'ona pris — SYN.AMBIGU (an-b'),s.m. Deuxnuméros , ÉQUIVOQUE, AMPHIBOLOGIQU est tantôtféminin,tantôt ouquisontsortisensemble à uneloterie.J'aigagné LOUCHE. xviesiècle,ambassade Cequiestambiguoffreplusieurssens.Ce offredeuxsens.Ce qui estammasculin,tantôtaveclesensactuelet tantôtavec un ambe.Ambedéterminé,deuxnumérosdont qui est équivoque et masle le sensde messager. l'ordreest indiquépar joueur.|| Aujeudeloto, phibologique offreunsensincertain,à causequela Provenç.ambaissada, i tal. e msur la même numéros horizonambasciata; deux ligne espagn. placés culin, ambaissat; constructiongrammaticaIeestmauvaise.ee qui est b as-lat. louchen'a pas de netteté,parla faute,soitde la baxaàa; umbascia,ambasiata,ambassata,tale. — ambaxata.L'italien a Ambes s esmains en levant HIST. xi°s. soitde l'expression. a mbasciata, [deux] ambasseria, Ambiguet équiconstruction, dans le sens d eRoi.xxxi. xnes. Et-d'ambes Ch. et ne supposent ambascia,ambascio, d'angoisse,contre-mont, || voquesontplusgénéraux pasune et lesformesci-dessus r elatées Sax.iv. xves. Si A mbassade trèsbien et deconstruction. soit soit jurer fiancier, || peine. parz faute, d'expression, chevaliers et leursgens, —HIST. viennentde ambactia,qui figuredansles plus y ot, parcesdictsvaillans xvi"s. Leparlerobscur,ambiguet fanentreFrançoizet Angloiz,où tastiquedu jargon prophétique, ancienstextesdu bas-latin(loisalique,loi des plusieursbesongnes MONT, I, 47. La et avecle sens de d'ambe Bourguignonsautres), service, ilot perteset gaignes,souventefoiz lesdeux victoirequijusquesalorsavoitestésuspenseet en aussitôt mission. Ambactia am- parties,CHRIST, DEPISAN, CharlesV,m, ch.26. ambigu,se commença d'inclinerà l'ennemy,M.DU rappelle emploi, — d e est dansCésar. C étous BEL. bactus^ homme service,qui ÉTYM. Latinambo,grecâ|j.. le 6tombantsouvent),laboureur,ouvrier.Maisla soventsursinesruelé,Th.le mart.157.|| xnies. Quinq.I. Comme si la profession defoilaissaitune onreconnaît ont difficulté les Tant ont fait Lombart il d ansla d es créance Prov. croît,quand que langues que jettes ambe-as,ambiguïté fidèles,PASC. ontunmottoutà fait analogue: an- H.DEVALENC. xx.Et se bienretenulesas, Tun'as 16.Danstoutcequ'ilm'adit,cen'estqu'ambiguïté, germaniques cien islandais,ambat, ambot,et anglo-saxon,pas geté ambesas,la Rose,10436.Ort'est-ilcheû PIRON deTempe. , Courses — SYN.AMBIGUÏTÉ, DOUBLE wmbéhl, serviteur;suédois,embête,charge,mi- ambesas; Orte tienà ceque tuas, RUTEB. II, 93. SENS,.ÉQUIVOQUE — ÉTYM. Ambe e tas. a plusieurssens,plusieursinterprétanistère;hollandais,ambagt,métier; allemand, L'ambiguïté a ncien hautalAMBI s . m.Termede N om d'où a ndbalhs; amt,fonction;gothique f (an-bi), chirurgie. tions; obscurité,incertitude.Ledoublesens d'une machine à réduirela luxation de deuxinterprétations, toutes lemand,ambaht,serviteur;gothique,andbahti, employée présente quipeuventêtre service.M.Diezremarque,en faveurde l'originel'humérus.|| Onnes'ensertplus. deuxmanifestes et apparentes;encelail est plus xvies. Lasixièmemanièrederéduirela généralquel'équivoque, où'l'undessensestmanigermanique, quele bas-latinambactiane peutdé- —HIST. couleraeambactus,le suffixe ia n'étantpasusité, luxationdel'espaule,avecle ambi,PARÉ, 22. tandis XIV, feste, que l'autre,caché,faituneallusior
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del'esprithumain — REM. SuivantLaveaux, cemotnerégitpasles Japonla porcelaine ou l'ambre, BOIL. —HIST. xvies. Lespoursuites Sai. vni. ambinoms : onnedit l'ambition de la m ais son alimentest fatsoit des docteur sente sansterme Qu'un sont pas, gloire; l'aigle salons;Qu'un ; doubte, il lesverbes e t l'on l'ambition • guïté,cHAEHON, iTarolle.|| Proverbe. 11estfin régit dit, d'acquérirl'ambre,BÉRANGER, Sagesse, i, 45. — ÉTYM. dela C ette n'est bonne l es comme s e dit d'un homme d 'une Ambiguilas (voy.AMBIGU). gloire. règle pas (voy. l'ambre, grande AMBIGUMENT L'Académie, qui exemples). (am-bi-gu-man. pénétration. n'enmet —HIST. de hon- —HIST. dansassidûment, xiv' s. Ambition et convoitise xm's.Ilestacordéentrelesmestres metun accentcirconflexe patrea mbi4 adv.D'une f° recto. xvie s. nostriers d 'ambre e t de ilne dans . manière neur, ouvre^ BERCHÈURE, 9, | | L'ambition, ambigument), gestfjayet]que pas BOSS. estunebiendouce Livredes pas- ront jamèsdenuizdesditespatenostres, quiestunefaimd'honneurs, guë.L'Égliseanglicaneparle ambigument, es espritsplus généreuxmétiers,74.Adoncestli sirëslevez,Et estentrez Variât,46.Ilsaitencoremieuxparlerambigument,sionquisecouleaisément à il cardinal etnes'entire 40. C eux LABRUY. Tdes cardinaux]qui [le qu'àpeine,CHARRON, Sagesse,!,24. dedenzsachambre,Quitoteestoitovréeà l'ambre, — de Bouillon] euparla[delacalotte],luirépondirent ÉTYM. Rèn.22464.Moultierentgent h autremembre,Et Ambitio,deamb,autour(voy.AMBE), 4 83. et aller Et 384, ambigument, ST-SIMON, ire, (voy.IRAI). plusolantquepommed'ambr»,la Rose,21008. —ÉTYM. ÉE (an-bi-sio-né, de ambre; et pour AMBITIONNE, Ambigument pour ambigument, née; en poé- toutesceschosesestoientfleuretées ment de a u et Leduché d eMilan estoitl'ambrelié surle cristalà bêlesvignetesde part,passé. ambiguement, ambiguë, féminin, sie,de cinqsyllabes), I". ambitionné bonor fin,JOINV. 260.|| xvi"s. Boirede l'ambre parFrançois (voy.MENT). en poésie,de cinq jaunesubtilement 0. DESERRES, ST34. Du (an-bi-lé), adj. m.Seditduverrequi, AMBITIONNER (an-bi-sio-né; fAMBITÉ pulvérisé, et sema. Rechercher avecardeur.Ambitionavoir é té sa v. del'ambre dela i n.934. après affiné,perd transparence, syllabes), musc, gris, civette, deMazarin —ÉTYM. bleremplideboutons. nerlesdignités,lesplaces.Laduchesse a Provenç. ambra, mbre;espag..ambar; Mon n 'amAMBITIEUSEMENT adv. à l'onambitionnait de c oeur ital. del'arabe anbar. (an-bi-si-eû-ze-man), qui ambra; plaire ' ÉE (an-bré,brée), part,passéet adj. Qued'êtreauprèsde voustout ce qu'il AMBRÉ, || 1°Avecambition.Bienloindeseproduireet de bitionnera lesétudes d elaloide MOL. l'Étour. 3. vouloir ambitieusement étaler vousplaira, v, Quia la teintede l'ambrejaune ou le parfumde 2° En encore a diré FLÉCH. 336. —HIST.xvi"s. ambrée.Odeurambrée.L'air parlant souvent, l'ambregris.Couleur Dieu, Panég.I, p. || Jeluyappris ambitieusement. du style, avecrecherche.Ecrire ....courirrisque,symboliser, jalouser,ambitionner,quilesenfleet lescolore[lesbullesde savon],En —HIST.xiv°s. Tarquiniuslia demandéambi- un espritpbly, et milleautrestermesen cettefa- voltigeant sousnoslambris,Leurdonnela fraîcheur f° 4 recto. tieusementle royaume,BERCHÈURE, 9, çon, à quoyonconnoitaujourduyunebelleame, de Flore,Oule teintambréde l'aurore,Oule vert ambitieusement et chaudexvie s. Il se D'AUB. inconstant Surlamode.Oh!si j'éportetrop Conf.n, 4. d'Iris,BERNIS, || — commetais capitane[femmed'un capitan]Ou sultane, mententoutcequ'ilfaict,à louer,s'offriretservir, REM. Ce mot,dénoncépard'Aubigné 496 dansLacurne. un fut desbainsambrés,v. HUGO,Orient, xix. qui Je prendrais CHARRON, Sagesse, p. néologisme affecté, attaquéparVaugelas, — ÉTYM. au féminin,et.ment(voy. déclaraqu'iln'étaitpas du belusage, parMarg. Si j'avaisdesmelonsambrésau coeurde l'hiver, Ambitieuse, * unechargen'estplus 1.J. ROUSS. Ém.iv. MENT). Buffet,quiditqueambitionner Maisil futdéfendu EUSE unemanière de AMBRÉINE reçue parler. AMBITIEUX, (an-bi-si-eû,eû-z'), adj. t (an-bré-i-n'),s. /. Termedechimie. a l'ambition il en formantles 85 centièmes de )|1°Quia del'ambition,et aussi,qui par Th. Corneille,et aujourd'hui est plein Matièreparticulière Am- usage. César.Unhommeambitieux. de. L'ambitieux l'ambregris,duquelon l'extraitpar l'alcoolbouilbitieux-d'honneurs. Cen'estplusdesRomainsl'es- —ÉTYM. Ambition. lant. 40.ÂmeambilecheCORN. Nicom. s.m. Allure d ans claveambitieuse, AMBLE AMBRER v.a.Parfumer avecdel'ambre. v, (an-bf), laquelle (an-bré), — 2. Coeur BAC. val ensemble l es deux d umême ÉTYM. m. Bor. lève Ambre. Baj. côté, ni, ambitieux, jambes tieuse, aveccellesducôtéopposé.Lema- AMBRETTE dupouvoir,ST-ÉVREM. II, 7.Ils [les alternativement (an-brè-f),s. f. Semence v, 4.Ambitieux provenant nobles LA sontambitieux de a vaitun cheval d'une h erbeà la de FONT, richesses,gnifique d'amble, Jiïagn. saints] plus planteappelée poudre Chypre, devaincreet non |1Amblerompu,allureparticulière à certainsche- et ayantl'odeurdel'ambre.Ons'ensert danscerL. RAC. Relig.ch.m. Ambitieux - espècede poire de discourir,ra. t'!>.çh. v. Je suis ambitieux;vaux(voy.TRAQUENARD). tainsparfums. || Poired'ambrette, — Fanal,u, 6. xvies. Courtaux, touthommel'est sans doute,VOLT. HIST. uneodeurd'ambreoudemusc. bestesd'emble, mulles, quia quelquefois — annonce d e l'ambition. M . D U BEL. 330. et 2°Il sedit detoutce mulletset ÉTYM. Ambre. qui bagage, Hacquenées || L'odeavecplus autresbestesd'ambles,ID.333.Unchevald'Espa- —HIST. cruelleet ambitieuse. xmes.Herbeprenez,k'anunamblete, Unepolitique La moins Élevant aiséet allant m . 482. I lm'est d'énergie, jusqu'augnefort l'amble, per- racinemefêtesnete,Epuismettezau maldedent, plusd'éclatetnon cielsonvolambitieux,BOIL. A.p. n. Cetteconcur-misdevousdirecombienEllemecouste,et quel Manuscr. St-Jean. deux h ommes 449. dansles embleelleva, MAROT, et quelquefois renceambitieuse AMBROISIE AMBROSIE premiers m, (an-broi— VERT. ÉTYM. ambe s. des del'universcausade nouvelles zie ou divinités de révolutions, (Voy.AMBLERJ ; génev-. ; provenç. an-bro-zie), f. ||i°Mets re- dmblansa,ambladura;ital.ambiadura.Ondisait l'Olympe.L'ambroisie donnaitl'immortalité à ceux Révol.rom. xm, 224.|| 3° Fig. Prétentieux, traduction ambitieuse. a mbitieux. Une aussi a mbleure d ansl'ancien D'hommes vous f aisant d ieux vous cherché. français. Style quien goûtaient. Unambitieux. AMBLER l'amble.||Termepaissaitd'ambroisie, Sat. v. Il répandit || 4°S. m.Celuiquia del'ambition. (an-blé),v.n. Aller* RÉGNIER, maître l'ambitieux ena autant n'a dont L'esclave qu'un vieux. uneodeurd'ambroisie l'Olympefut parfumé, ; — 8. HIST.xnes. Liclersi vintsurun muletam- FÉN.Tél.ix.ToutcequeNéléeboitdevientnectar, qu'ily à degensutilesà sa fortune,LABRUY. — REM.Desgrammairiens ont*prétenduqu'on biant, Ronc.p. 463.|| xmes. Etfumontéssourun toutce qu'ilmangedevientambroisie, ID.XIX,87. de. C'està tort; ni la chevalmorielambiant,et ot viestueunegrantcape |l 2°Fig.et poétique. nepouvaitpas direambitieux L'abeille,quipourtantn'avait ne 4 ni l'usage s'y opposent. fourréedecendalvert, Chr.de Rains, 70.Et H vécuqu'unmatin,comptaitdéjàsonambroisie raison, par —HIST. XVe s. Laissonsvivremalheureuses Ces destriersorkoi[elles]seoientMolttostet moltsouefgénérations defleurs,CHATEADB. Génie,1, iv, 4. vivons D esi Etjoyeusement âmesambitieuses, peu ambloient,Laidutrot. Ors'envontli baronen- Quevosheureuxdestins,les délicesdu ciel,Counous XXXII. s. Les amble! Ren. lent toujourstrempésd'ambroisie "et de miel, avons,BASSELIN, ||xvie hy- semble que ; Diex! conla muleGrinbert de prières 40924.|| xv°s. Adoncmontale roi angloissurun A.CHËN. 92. [Elle]Enivreleshumainsdesadouce pocritesquipar unemonstreambitieuse et favorisez du peuple, petitpalefroimoultbienambiant,FROISS. cerchentd'estreglorifiez 93. GILB. Auprincede Salm.Cefutenvain I, I, ambroisie, CALV. Inst.708.Lesserpensneperdentpasleurve- Debeauxmuletstousblancset trèsbien amblans,queCymodocée prialaNuitdelui verserl'ambroisie froid ni ninpoufestreengourdis le l'ambitieux de ses ombres,CHATEAUB. Mart. xxxi.Enivronsm. n, m, 39. par ; sesvicespourles couvrirparunefroidedissimula- —ÉTYM. ital. esElleestunrested'ambroisie nous de Qu'aux ambiare; Provenç.amblar; poésie; 2 4. tion,CHARRON, Sagesse,!, , Sciences. pagn.amblar;vallaque,ëmblà,dansle sensdese mortelsont laisséles dieux,BÉRANGER —ÉTYM. Ambitiosus se se dit familièrement d'un de C'estde (voy.AMBITION) ; provenç.promener; ambuûire, promener. l'ambroisie, Il à sa table,avalaient ambecios. Ilsmangeaient (an-bleur), adj. || 1°Dontl'ambleest metsdélicieux. t AMBLEUR AMBITION de e n ambleur. 2°Se Sat.xiv. ouacquise.Cheval RÉGNIER. || 3eTermedebotani(an-bi-sion ; quatre syllabes l'allurenaturelle || l'ambroisie, duMexique outhéduMexique, nom poésie),s. f. || 1°Désirardentdegloire,d'honneurs,ditducerfdontla tracedupieddederrièredépasseque.Ambroisie L'ambition chez celledupiedde devant. defortune.Uneambitioneffrénée. d'uneplanteà odeurforteet agréable,saveuracre lesprincesest.unepassiondangereuse. Unegéné- t AMBLYGONE en infusioncommetoni(an-bli-go-n'), adj. Quia lesan- et aromatique, employée De u ne a mbition. des jardins,undes usité. Ambroisie reuse, indigue l'ambition,quand glesobtus.|| Peu que etdigestive.|| — un certainâgeest passé,oùl'on n'a plusassezde duchénopode ambrosioïde. ÉTYM. nomsvulgaires 'A^ëXùç, obtus,et fwvo;,angle. — forcepourla soutenir,on va se perdredansl'ava- t AMBLYOPE s. m. Celui est REM. LaFontaine a dit ambroise: Et Tien(an-bli-o-p'), qui 7. Penséeschrét. L'ambition, Ditsonépoux,les Troqueurs. netteestambroise, rice,BOSS. appeléeà affectéd'amblyopie. — tout mériterau lieude tout envahir,MIRABEAU, s. Terme d eméÉTYM. dé âp-ëpoxoç'ou im(an-bli-o-pie),f. 'Ajiëptxjïa, âëpo-roç, t AMBLYOPIE t. m, p. 26.Ayezmoinsdefaiblesse ou decine.Affaiblissement dela vue. Collection, mortel,deô privatif,et ppovè;,mortel. — moinsd'ambition, CORN. 4. L'ambition de et Cinna,iv, ÉTYM. 'A(j.6XvMitia, émoussé, ûi. j-AMBROSIAQUE (an-brô-zi-a-k'), adj.Quia une àp.6Àù;, estassouvie uneodeuragréable. . déplaîtquandelle ; D'unecontrairear- oeil(voy.OPTIQUE). odeur'd'ambroisie, deursonardeurest suivie,m. ib. n, 4.L'indigne f AMBOUTISSOIR m. IENNE s. Poinçon AMBROSIEN, (an-bro-zien, ziè-n'),adj. (an-bou-ti-soir), ambitionqueton coeurse propose,ID.ib. m, 4. d'aciertrempéquisertà fairelestêtesdeclous. H1°Attribuéà saintAmbroise,évêquede Milan. J'ai de l'ambition ; et, soitviceou vertu....ID. AMBRE (an-br'),s. m.Nomdonnéà deuxsub- Chantambrosien. || 2°Quiestselonle rite del'éPomp.n. 4. Tousceuxqui aurontdel'ambition,stancesdifférentes : 4°l'ambre,proprement dit, ou glisedeMilan.Messeambfosienno. PASC. Prov.42.Voilàl'ambitiond'uncoeurcommeambre, nomd'homme, Ambrosius, gris: matièreconcrète,ayantlaconsistance —ÉTYM. Ambroise, le mien,RAC. Bérén.n, 4. L'ambition desintérêtsdela cireet unecouleurcendrée,parseméede ta- deàfiëpoffia (voy.AMBROISIE). MASS. 25.|| 2°Enunsens chesjauneset noirâtres,répandantuneodeurpar- t AMBULACRE humains, Paraph.psaume s. m.En horticul(an-bu-la-cr'), r echerche. Ce avait é té de d'un lieuplantéd'arbresenrangéesrégénéral,désir, qui l'objet ticulièretrès-forte,que beaucoupde personnesture, sedit sonambition. Ilmetsonambitionà....Cegrandnom trouventsuave;2e l'ambrejauneousuccin(voy. ce gulières. l'ambition desrois,GORN. deviendra venantdemiiHor.m, 6.Un mot). [Ils]voguaientvers ces climatsoùl'Océan —ÉTYM. Ambulacrum, promenoir, sansambitiond'étendre sa PERROT eux Surl'ambre et le corail r oulaitsesflots se prince gloire, pour bulare, promener (voy.AMBLER). n'ABL. d'unnouveau consu-heureux,DELAV. l'ambre le AMBULANCE s. f. \\1°EtablisseTacite,246.L'ambition 4. Que Paria, i, plus (an-bu-lan-s'), m. ib.85.Toutemonambition est de rendre liv. ment formé lat, à tes festins,MILLEV. pur.s'exhale Èlég. n, hospitalier temporaire, près descorps service auxgensdenomet demérite,MOL. le Sicil. Homère. Quin'avaitpas le goût de musc,civettepu des"divisions d'armée,pouren suivrelesmouse.H. ou d'ambre,RÉGNIER, Sot. zi. Chercher jusqu'au vements,et destinéà assurerlespremierssecours
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auxblesséset autresmalades. nelssoupçons laisseflottersonâme,MOL. || 2° Établissement Fâcheux,outrequ'il indiquela prononciation, représente formé donnerles s oins à 4. Grande homme d 'un pour premiers n, || provisoire âme, espritétendu, unelettresupprimée ; l'ancienmot étaitanmeet, desblessésou à desmalades.Ona établidesam- hommed'ungrand caractère.Les plus grandesparsuite,aimeet mêmeorme.|| 2.Balzaca ditâme, bulancesdans chaquequartier.|| 3° Emploid'un âmessontcellesqui s'arrangent le mieuxdans la pour ce qu'ily a demeilleurdans unechose.Je d es dontl'office commis contributions indirectes situationprésenteet quidépensent le moinsenpro- choisislesoiseauxquisontengraissés de sucre,et , un certaindistrict. jetspourl'avenir,FONTEN. Avoir d e estdeparcouririncessamment Chaxelles. me nourrisdel'âmedufruit, liv. n, lett.4. || —ÉTYM. Ambulant. ÂME COEUR l'âme,avoirun coeurnoble,sensibleet généreux. —SYN. ESPRIT FAIBLE. FAIBLE, FAIBLE, ANTE d'âme etde douceur d ansses Être Comme âmeestplus_compréhensif AMBULANT, (an-bu-lan, lan-t'),adj. Que regards!|| quecoeuret esaumême i° n'est nedemeure tout d'une excessive Qui être doué s ensibilité. l'âmefaible u ne || pasfixe;qui pas âme, prit, désigne personneen quitout le lieu.Ils tachentd'intéresser les voyageurs 4° enparlantdesrelationsamou- estfaible;elleestsansressort'etsans vigueur.Le par || Particulièrement concertambulantde leurfamilleerrante,STAËL, reuses.Sonâmeailleurséprise,RAC. Andr.n, 2. coeurfaibleest, suivantlesdeuxacceptions dumot Allem.i, ch. 2, Moeurs. || 2°Hôpitaux ambulants,L'amourn'est pas un feuqu'onrenfermeen une coeur,ou troptendre,tropfacileà toucher,à séetfacileà décourager, petitshôpitauxprovisoires quel'onétablità la suite âme, ID.ib. n, 2. Que vouset Bajazetvousne duire,ou pusillanime à efd'unearméeou d'uncorpsd'arméepourrecevoirfaitesqu'uneâme, ID.Baj.iv, 3. Chacunpeutà frayer.Un espritfaibleest incapable d'examen, immédiatement touslesmilitaires blessésoumala- son choixdisposerde sonâme, ID.Andr.m, 2. créduleet inhabileà sentirla véritéet la raison. xi*s. Wartl'om que l'om l'anmene des,jusqu'àce qu'onpuisselesdirigersurun hôpi- || 5°Unepersonne,homme,femmeouenfant.Qu'on —HIST. tal sédentaire.|| 3° Comédiens Plaid. perde,que Dexrachatatde sa vie,.lotsdeGuill. ambulants,troupe ne laissemonteraucuneâmelâ-haut,RAC. sansrésidence f ixe. 6. En les v oustrouverez 44. Assoudrai vouspour vosanmesguarir, Ch. ambulante,comédiens, troupe i, y comptant femmes, c ontrôleur r eToutesvosanmesait Deusli ambulant, ambulant, près de vingtmillions || 4°Receveur d'âmes,VOLT. Russie,I, 2. de Roi. LXXXVII. indirectes contrôleur descontributions fus d e trouver u neâmechez Je bien ne ib.CLX. qui ceveur, surpris pas glorieus, || xnes.Pourla moiearmemesses ST-SIM. parcourtun certaindistrict.|| 5°C'estun hommeM.deLuxembourg, 44, 128.Eneffetil n'a chanterferez, Ronc.p. 48.Se plaistJhesu, qui fortambulant,quimèneune vie fortambulante,vuâmevivante,SËV.206.Iln'estâmevivante Qui l'amem'adonnée,ib. p. 49.Qui doncveïstle duc c'estun hommequise déplacesanscesse. Fab. ix, 41.1|Familiè-nostreseignorprierQu'ilaitmercide s'arme,com ne pècheen ceci, LAFONT. —ÉTYM. de se âme.C'estune Âmbulans, ambulare, promenerrement.C'estunebonne personnede son chevalier....Sax. xi. Li clersdeiventies Ondit d'un lais[laïques]elur ànemesguarder, bonneet Familièrement. -Th.leMart.30.(voy.AMBLER). simple.|| Terme AMBULATOIRE hommequiest l'aveugleinstrumentdes volontésOre,missires,veirementvit Deusta aneme,ki (an-bu-la-toi-r'), adj.\\l" dejurisprudence ancienne. onlescondamnet'adguardedquene vôisesavant, Quin'a pasdesiègefixe. d'un autre,quanden soi-même Rois,400.Çofud Juridiction ambulatoire. Lavolontéde commeimmoralesoucriminelles : c'estsonâme grantdemustrance kelesanmesfurentsalvées devant || 2°Variable. l'hommeestbienambulatoire, le Distr. des damnée. 6°La l'existence. 202. Ellevos REGNAKD, |l vie, Essuyez pleursDeu,ib. [voicique]entamainest,mais se.dern. Nesemet l esubstantif. J.J. ROUSS. Hél. 2.Dans m'arrachent delui || qu'après m, v,— qui l'âme, nequedenti'anrme guarde,Job.448.|| xm's. ÉTYM. de s e la m e dont douceur flatte,VenezSine troverentnule amequi venistencontreaus, Àmbulatorius, ambulare, prome-cetembrassement ner (voy.AMBLER). et recevez l'âmedeMithridate, RAC. Mithr.v, 6.Que VILLEH. CVH. Mainteameen futde corpssevréeet s. f. Termede chi- despleurs,desbaisersdeflamme Fassent t AMBUSTION (an-bu-sti-on), passertoute départie,Berte,44. [Dieu]Quien ameet en corps decautérisation. d oit le en soittoujoursgardere,ib.iv. Sire, quel» vostre mon âme Dans c esdons rurgie,synonyme qu'elle toucher,GRESS. —ÉTYM. Ilal'âmesurleslèvres, amesoit de Dieucouronnée, ib. XLVI. LorsreAmbustio,de amb, autour,et ustio Chartreux. || Familièrement. Ila rendu ilest il brûlure(vov.USTION). ilestprèsd'expirer. Le bois,porsavoirs'aimeorroit || l'âme, mort, gardetôtcontreval ÂMElâ-m'),s. f. 1°Principede vie.2°Leprin- vientde trépasser.Pendantque la pauvrefemme[entendrait],Et quantilnuleaimene voit....Ren 348.lia rendul'âmeentreles 24746.Et qui premiersistra fors enlapraerie, cipe immatérielde la vie, l'âme aprèsla mort. rendaitl'âme,SÉV. desfacultésmoraleset intellectuel-mainsdeM.de Condom, 3°L'ensemble n>.443.Peut-êtreilsren- Semartirereçoitne quearmel'ocie,Devantnostre âme. tout les.Grandeâme.Avoirde l'âme.Être dentl'âme,RAC. Plaid.n, 42.|| Familièrement.Sur seigneurira s'ameflorie,Ch. dlAnt.vni,474.Et 4° L'âme,en parlant des relationsamoureuses.mon âme,expression c'est-à-dire s ur uneautredamequiestoità l'autrepartdulit, ne li affirmative, enfant. 6 °La 5°Une-personne,homme,femmeou ma vie,monhonneur.Monbras,surmonâme,LAsouffrimie;ainçois[mais]disoitqueil avoitencore de l'a l'existence. 7" Imitation Cal.|| Monâme,termede tendresse. 207.Et,ainsi,biaussireDiex, vie,chaleur,FONT. vie, Iras-tu, l'ameou cors,JOINV. 8° m oteur en machère âme? et cefuneste h onneur.... CORN. Hor. parlant lèverai m 'amme à expression. Agent, principal, je toy, et je mefieen toy,ID. deschoses. 1 0°Emla despersonnes.9°Enparlant de vie, 204.||xv"s. LesPisains....respondirent;... il, 6. || 7°Imitationde vie, expression quequi i° de vie.Lesanciens m ouvement. Phidias a vaitdonné de l'âme guerreleur feroit,bienet bel se défendraient, et ploistechniques. || Principe chaleur, âme admettaient une avecâme.|| 8°Fig.Agent,moteurqu'ilsne craignoientame[personne], qui àl'ivoire.Chanter raisonnable, philosophes Bouciq.in, âme a ux fonctions de et l'hommede chap.44. Si trèstostquecettepetitefistulelairale C'estl'âmedel'entreprise l'intelligence;une principal. présidait auxsensations SÉV. 626.Enfinvousêtesl'âmede tout couleret séchera,vousmourrezsanspointde re; etuneâmevé- confiance, sensitive', quiprésidait L'âme d u àlanutrition. monde,cela,ID.494.Elleestl'âmede toute la parurede mède,maisvousavezquinzejoursau plusdeloisir gétative , quiprésidait suivant vivifie qui, quelques philosophes, le l'hôtelde Condé,ID.399.Ellefutl'âmede l'entre- pourvousaviseret penserà l'ame[le médecinà principe monde.|| 2"Leprincipeimmatériel de la vie, l'âme prise,FLÉCH. étaitl'âmedu parti",CharlesV], FROISS. Aig.LaRenaudie II,II, 70. L'espieentraenses l es la mort. L 'immortalité del'âme. BOSS. Vous devezêtre l'âmed'un fossés o ù d'eaun'ani ne peutavoir,car ils Evoquer après qui Etat, point Déf. âmesdesmorts.Uneâmerégénérée parle baptême.n>.Polit.Si Charlemagne, quiétaitl'âmedesFran- sontdesablonbouillant;et regardadessouset desLes âmesdestrépassés.Ainsivoitle mondeune çaissansle paraître....MABLY, t. n, p. 424.J'étais sus, et n'y ouitni nevitame,ettoutce rapportail âmejusteaulit delamort,MASS.ifort. RAC. Brit. ainsià sonmaistre,ID.n, n, 43. Il n'avoitame qui decegrandcorpsl'âmetoute-puissante, Vigilant, n'a pasreçusonâmeen vain,ID.Élus.|| Locutioni, 4.Amedemesconseils, et quiseultantdefoisDu avecluy, maisavoitenvoyésesserviteurs pour.... familière:Dieuveuilleavoir son âme; sortede sceptredansmamainas soulagé le poids,ID.Esth. COMM. 2. xvi" s. Vous lui direzle contenu en m, U d'une personnetrépassée.n, 6. Toi,pourquij'ai toutfait;toi, l'âmede ma unepetiteame [billet]escriptede ma main,que prière pour le repos âmeau Donner s on Ah. il, 3. || 9°Enparlantdeschoses.voustrouverez encestelettre,oulaluy.monstrerez, diable,faireun pacte.avec vie, VOLT. || des le diableà quil'on abandonneson âme pour MASS. MARS. Lett.449.Unbastimentcapablede deuxou L'ambition,quiestl'âmedenotreconduite, t errestres. O n les sorciers Ma e t A avantages croyaitque J, 237.Uscroyentlesâmes Conf. passionpourvous,généreuse solide, troiscentsâmes,MONT, leurâmeà Satan,et recevaientenéchandonnaient la vertupourâmeet la raisonpourguide,CORN. ID.I, 238.Lafermetédu courageet de éternelles, — une surnaturelle. Faustestla cé.t'6.xxi. IlsesRom.4. C'est u nechose divineà Numa e t de 24. amis d 'ambition AMYOT, toient amisde leurpais— XVIII, Àet mignard. Ilsn'estoientni amisl'unde l'autre, ny qu'il les ait peu conteniren paix, et fairevivre —ÉTYM. trouble— ID. e tNuma 40. m'aamiablement 244. A-MI-LA Termede musique.Il servait ensemble, Lyc. comp. amisàeulxmesmes,MONT, Maniepce, (a-mi-la). I, ilz amiablement ce différent, eleurentà désignerla notela, et surtoutle tonde la. Cet mie,depuisqueje t'aycogneu....ID.IV,328.Ellefit Pourdécider desParmesans,ID.Ma- airestfaiten a-mi-la.|| Il n'estplususité. arbitres l esambassadeurs de s'amiecouchéeauprès lui, apparoirà Alessio DES PER.Contes,cxxvm.Le regarddu bienpu- rins, 48. AMINCI, CIÈ(a-min-si, sie),part,passé.Devenu, et ment. Amiable rendumince.Satailleamincie. blic feit que Brutusdevintamy de Pompeius, —ÉTYM. s. m.Substance il estoitennemy,et ennemyde AMIANTE v.a. || i"Rendreplusmin(a-mi-an-f), minérale, AMINCIR (a-Min-sir), duquelauparavent et incombus6. àfilaments nacrés Brut,etDion, naturelle, ce.Amincissez cesplanches,quisonttropépaisses. soyeux, CEes.ar, duquelilestoitamy,AMYOT, u nsilicate d e de ID.Comtibleetinfusible. C'est defricassée e t magnésie. 2* ». réjl. Être aminci.La peaus'aCesamis nappemise, Il S'amincir, — de à et ÉTYM. mincitau-dessus d'unabcès. ment discern.le fait. 47. Aubesoincognoiston 'A(iiavTO;, privatif, (itaîvEiv, ne être — 4 n'ha souiller : souillé. 80.Lamort ÉTYM. A qui peut point (voy.MIASME) et'mfnce, l'ami,H.EST.Précell.p. ALE ha demi et au lemalade n 'en AMINCISSEMENT s.m.Action AMICAL, (a-mi-kal, ka-1'), a dj.Inspiré p ar qu'un ; quant d'ami, (a-min-si-se-man), annonce l'amitié. R elations a micales. 407. étaldece qui l'amitié;qui pointdu tout, ID.ib. p. d'amincir,dediminuerd'épaisseur;. poure, —ÉTYM. amicales. Protestations estaminci. L 'amincissement d'unelamedecouteau Bourguig. aimin, aimie;Berry,aimi, — REM. L'Académie le ditinusitéauplurielmas- quipassesurla meule'. amin;espagn.amigo; imi; provenç.amie,ami'g/a, ital. amico; d'omtcus,ayantmêmeradicalque culin,maisaucuneraisonn'obligeà ne pas s'en —ÉTYM..Xmtnctr. amicaux. Desconseils AMIRAL amare, aimer.Dansl'ancienfrançais,nominatifservir. (a-mi-ral),S.m.|| i» Chefsuprêmedes — nominatif ÉTYM. wall. Ami; amisldve;namurois,omtc/ieforcesnavales.Lesamiraux.Calmez-vous, plurielami, singulier amis,régimeami; amiral; a mis. tauve. Un ma et régimepluriel vous,Guise,respectez vieillard, puissance D'une 1" AMICALEMENT adv. M J. . 4. 2°Il AMIABLE la foidestraités, CHÉN. CharlesLT,iv, || (a-mi-ka-le-man), (a-mi-a-bl'), adj.|j Doux,gracieux. oubliée de amicale. avudes dans amiables. La confraternité; •manière Paroles s'estditaussi d el'officier uneflotte, Quiconque masques trop quicommandait ensemble.... sefaire s'entrelacera unecirculation unbaldanser a micalement peut par l'espèce humaine, quoiqu'iln'eût pasla charged'amiral.|| 3°AujourV AUVEN. Max. 3 30. d anstousles uneidéedu amiable e t active d'huititredugradeleplusélevédansla marinemilimonde, plus rapports plus — ÉTYM. a u e t ment. et commerciaux, Amicale féminin, d'une taire.Il4°Adj.Levaisseau Collection, politiques MIRABEAU, amiral,le vaisseau même usité en Leclnese 39. L eciel MALH. 4. AMICT flotte monté unamiral. prononce jamais, amiable, I, ||Peu (a-mi. L'incendie, attaquantla t.v,p. par s. m. bénit le autourdësmâtsson ardente cesenshorsdela poésie.j| 2°Amiable compositeur,devantunevoyelle), Linge que prêtre frégateamirale,Déroule L'ar- metsursesépaulespourdirela messe. undifférend. levaisceluiquiestchargéd'accommoder v . Orient. 6. spirale, nuGO, || 5°Daris\mport, — tost il et nonunjuge HIST.xm*s. Auplus que pot venir, seauamiralou simplement sur bitrechoisiestunmédiateuramiable l'amiral,le vaisseau et l'amisttôt ou des L'aube lesconseils de F EN. Tél. Convention S'ala vestemenz s efontles derigueur, partage vestir, siègent xxru.'|| lequel inspections, loc.adv.Parvoiedecon- sanzdangier,EtRenartliGurutaidier,Ren.3377. guerre,et s'exécutent lesjugementsqu'ilsprononamiable. || 3°Al'amiable, — l'adisans Il m ieux traiterà ÉTYM. couvrir. cent.|]ti"Amiralou grandamiral,la quatrième Amictus,à'amicire, ciliation, procès. valait nepeu- f AMIDE(a-mi-d'),s. f. et mieuxs. m. Terme gnitéde l'ordredeMalte.|| 7°Nomd'unecoquille Lett.quiét.439.Silesaffaires miable,BOSS. admishypothétique-univalvefortjolie,descôtesdela merdesIndes. être accommodées l'amiable ventpas à avec nos dechimie.Radicalorganique unseld'am- —HIST. xi°s. Lesamirafles et lesfilzasconturs parties,ID.Var.s. Il n'a pastenuàmoiquenous mentparleschimisteset représentant li terminé n otre différend à ID. L ett. unatome d 'eau. L XVI. Silatramist l'amiable, moniaquemoins [Tespée] n'ayons [comtes],Ch.deRoi. àl'amiable f AMIDINE ouAMIDONE 483.Lacharitélesobligeait à s'expliquer amiralzdePrimes,ib.LXXV. (a-mi-di-n') (a-mi-do-n'), ||xn*s. Queli [MardemiI D. 4 " écrit. à vente d e chimie. Substance o u tramist u n amiral avecl'auteur, s. f. Terme || Vente l'amiable, opaque [émir]cortois,Ronc.p. 6. sile] de gréà gré. transparente, blanche,ou d'unblancjaunâtre,insi- Irezà l'amirant,ib. p. 43.Liamirauz[émir]decui s . de l ionoabandonne à nosfiefstenons,16.p. 447.Seignorbaron,dit-il, —HTST. XII' Naissance plaine sainteit, pide,inodore ; elleseformelorsqu'on à la températurede nobilechevalier,Estesci assemblé, amirantet prinrauleal munde, amiauleas hommes,ST-BERN. lui-mêmel'empoisd'amidon 630. xiv« Et ceulx tanlost f ontl'unàl'auJà ne lorsera s. aidans,Neemqui p. || l'atmosphère. cier, Sax.vi. Loeys treouvresamiables,ilmonstrentparcequeilveu- AMIDON s.m. || 1°Féculetiréedes pereres,ne rois, ne amirans,Raoulde C. 464. (a-mi-don), et ciusde lentestreamis,ORESME, Elh. 235.||xv"s.Et leur végétaux,sousformedepoudreblanchegrenue, ou Hxm"s. Sii fu li soudans de Coigne.... baillacertainsarticlesassezamyablespar escript, forméedepetitesmassesamorphes.L'amidondu Halappe,où li boinchevaliersontde paienie,et COMM. est préparéavecla farinegâtée,l'orge moultd'autresoudantet amirant,et s'accordèrent n, 3.Il avoitla parolledoulceet amyable,commerce moulus.|| 2"En chi- tousque....Chr.deRains,90.|| xiv"s. Y avoitune ID.IV,7.Ilxvi"s. Lessuppliansestretraictezplus oule froment grossièrement de ce qu'ilz mie,principeimmédiat neutre desvégétaux,très- tablequidevertuottant,Quenulzhomsne pooit, humainement,en consyderation ne royne amirant,Aporternul veninqui tantfu répandudansleursorganes. avoyentdetoustempsestébonset amiablesvoi- abondamment 9140.||xv" s. [Ceuxde Karenbien —SYN.AMIDON En chimieamidonet malfaisant,Quescl. Gar.1, 20.Cessaladesmesemblent sins,RAB. , PÉCULE. aussibonnes,et quelque sur mer l'admiraultde Franceet peuplusdoulceset amia- féculesontdessynonymes parfaits; maisl'usage tan] sentoient • blesàl'estomach,ID.Épi. 42. Dieutegard,douce, auquelon appliquela substancequ'ilsdésignentl'admiraid'Espaigneavec lui gisant à. l'ancre, amiableCalandre,MAROT, différente. 11,11,27.yxvics. Lesgalèresvenoienttirer III, 445.Le mesprisde leurdonneuneacception Ainsi,dansles FROISS. de ce vis-amiral,qui la mortnous donnele goustpur et amiabledela arts, la féculedes céréaless'appelleamidon ; ap- à bouttouchantl'esquipage vie.... MONT. la s'estonna moinsquel'amiral,D'ÀUB. et à la thérapeutique, Hist.n, 302. 1, 70.Il estoitle plusdoulxet le plus pliquéeà l'alimentation amiableenversles autres qu'il estoit possible,féculede pomme deterregardelenomdefécule,et —ÉTYM. Provenç.amirauj amirar, amiralh, 4 0. Il estoit l a e t avoit Amidon e stune l'onditaussi f écule d'arrow-root. AMYOT, Lyc. amiral!;espagn.almiranle;ital.almiraglio,amcourtois, paroledoulceet amiable,ID.Solon,04. Conquérantexpressionspécifique; féculeun termegénérique,miraglio;bas-lat.admiralius,almiragius,meral aucunsdespeuplespar forced'armes,et gaignantLEGOARANT. de H90,amirarius,amiratus, dansunechronique — lesautresparamiable HIST. xiv*s. Fleurd'amidon ouris,Ménagier,amurati]amirandus,amirxus;bas-grec,àjiyjpet voye,ID.Caton,49. Mithridatesluyfeittoutle bontraittementet amiablere- n, fi. H xvr s. Faut prendrelait de tintimalet àjiYipâç. On fait venirce motde l'arabeamir al cueilquiluyfutpossible,m. Marins,58. dela mer.Lemotbahrs'étant d'encensincorporés avecun peu de fleur bahr, commandant poudre —ÉTYM. Bourguig. aymiaule;picard,amicabe;d'amidon, PARE, xv, 26.Poudrede cerusede Ve- perdu,il vautmieuxy voirseulementle motémir
AMM AMI AMN 131 Ceministreade l'amitiépourvous.Ménélas mere- Se dit en géologied'un terraindans lequelon (voy.ce mot)pourvude finalestrès-différentes, le françaismodernea adoptéal. çut avecamitié,FÉN.Tél.1.1|Faireamitiéà quel- trouvedescornesd'Ammon. entrelesquelles s.m.Dignitéd'amiral.qu'un,lui témoigner de la bienveillance. (a-mi-ra-la), t AMIRALAT || 7°Bon AMMONIAC, AQDE(a-mmo-ni-ak, a-k'), adj. —ÉTYM. Amiral. s ervice de bienveillance don. Pleinede office, , |j 1°Termede chimie.Lechlorureammoniqueou s. f. Galèrequemon- trahison,sansâmeet sans pitié,Capablede tout chlorhydrate fAMIRALE (a-mi-ra-1'), aeule nomdeselamd'ammoniaque taitl'amiraldesgalères. hormisune V OIT. Poésies. Lavieille Taire, amitié, moniac,parcequ'onle préparaitautrefoisdansla —HIST.xvi's. Lefeu du cielbruslasonami- Juisy donnapresquetoutce qu'elleavoità la du-, Libye,prèsdutemplede JupiterAmmon. || 2°Gaz râlleprèsde Catare,D'AUB. Hist.i, 345.Lecomte chessede Noailles, etfituneamitiéde40000livres ammoniac 3°Gomme ammonia(voy.AMMONIAQUE). || envoiaen courséen diversendroits,ne gardantaucardinald'Estrées,ST-SIM. H7, 25 || Fairel'a- que,gommerésined'uneodeurforteet d'unesaet vice-amiralle, m. ib. n, 87. mitiéde, termedepolitesse quesonamiralle amicale,avoirla bonté veuracre. AMIRAUTÉ s. 1" la Faites-moi l'amitiédem'é- —HIST.xvr>s. Leselarmoniac,PALISSY, (a-mi-rô-té),f.\\ Anciennement, complaisance. 242. de, amiral. 3°Tribunal connaissait office degrand crire.|| 8°Affection decertainsanimauxpour les Il y fautappliquerammoniac || qui et galbanum dissoult detouteslesaffairesrelativesà la marine.|| 3°Ad- hommes.. Lechiena de l'amitiépoursonmaître. envinaigreeteaudevie,PARÉ,V, 20.Dela gomme de la conseil d 'aministration Il y a del'amitiéammoniac supérieure marine; dissoulteeneaudevie,ID.V, 21.Une || 9°Fig.Attraction,sympathie. mirauté. entreleferet l'aimant.|j 10°S. f. plur.Parolesobli-lozenge d'armoniac JHB. rozat,o.DESERRES, 0 —HIST. Le lui — XVIs. roi donnal'amirauté,geantes,caresses. Ilm'afaitbeaucoup les ÉTYM. de surnom deJud'amitiés, 'A(i|iuviaxoç,"AIAUUV , ..|| Auféminin.One certaineamournatu- n'y a pasde bellesprisonsni de laidesamours.dansMénagier,t. n, p. 22.]]xv"s. Sile ferittanrelle qu'on a poursessentiments, VADGEL. defineamourau coeur,FROISS. Q. G. || Froidesmains,chaudesamours;la fraîcheurdes tostuneestincelle dubienlui étaitasseznaturelle, ST- mainspassepourannoncer un tempérament ardent. I, I, 465. [Leroid'Angleterre annonceauxbarons vu, 4.L'amour — ÉVREM. H 83. Absolument. Nos 1 . d'un de Si n, Il peinesne devien- REM. Amour,suivi complément sonintentiondefonderunordrede chevalerie.] nentsidouloureuses les attachements ouse dit de celui l 'affection leur lui accordèrent ce sembloit que par quiéprouve personne, bernent,pour que trésquinousliaientauxobjetsperdus....l'excèsde et de celuiquil'inspire:Unemèreentouréedel'a- unechosehonorable, et où touteamoursenourrinosafflictions esttoujoursla peinedenosamoursmourde sesenfants; ce sontles enfantsqui ai- rait, ID.i, i, 243.Il laissaau paysdeFlandresdeux de comtes,sageschevaliers et vaillans,_ Averti,Afftict.Lanaturea misen ment.Cettemèreinspiréeparunamouraveugle injustes,MASS. pourtenirà nousdeshaineset des amours,ID.Car. Offenses. ce sont lesenfants sontaimés. ses enfants; amourles Flamands, et pourmieuxmontrerque qui Telleestla premièresourcedenosamour.s et denos || 2. Amoura étémasculinet féminindanslesdeux leursbesognes estoientsiennes,m. i, i, 97. Etlui baines:l'injusticeet la bizarreriede notregoût, sièclesderniers.Aujourd'hui de avoitfaitleditroi plusd'amouret de courtoisie iln'est'susceptible ec ID.t'6.Pourquedeuxhommes soientparfaitsamis, recevoirles deuxgenresquequandil signifiela prisonqu'il ne fitauditmessireHervey,ID.I, I,. ilfautqu'ilsaientdes opinions opposées,desprin- passiond'unsexepourl'autre; ailleursil est mas- 212.Et pourcestecausen'y avoitnulleamourendes e tdesamours mas- tre les deux[leducdeBourgogne haines dieudela Fable,esttoujours et le comteds cipessemblables, diverses,'culin.L'Amour, CHATEAUB. COMM. Génie,n, ni, 4.Ilsemblait quetouteslesculin.Amourau singuliern'estfémininqu'enpoé- Saint-PolJ, n, 6. Quià la foisdit de boni
AMO
AMO
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135
dans AMOUREUSEMENT motsEtchantetisn: madouceamour,VILLON (a-mou-reû-ze-man) , adv. onmedevranommer,SeDieud'amoursfaitnulz en amoureux MÉNAGE. saints,Carj'aidesmaulxplusquene sçay || xvies. Amourestfin, et sa parolefarde || i*Avecamour.Ellefaisaitfondrechacun le de e nse amoureusement sur Bal.40 le pourpris.... en doncgarde,. larmes, jetant Pourmieuxtromper: donnez-vous corps compter,CH.D'ORL. estoitsi bienentreprisD'arbres et fleurset de ruisi, 337.Ceuxquifonttantdeclamours,Ne cettemourante,qu'elleappelaitsa chère mère, MAROT, la MOL. 2. Unedoit accuser d e vioseaux t ant sont Plus qu'àleursbelles Qui amoureux et beaux,Qu'onques taschentqu'àeuxcomplaire Scapin,i, pas retientamoureulence souffre lamère le maisles n e un pa.-adis, f utbienordonnée Cemesembloit I D. 3BO. Lachanson qu'il qui pareils vis; amours; n, PASC. dans dans maisses LA FONT. 92.Demandant s'ils b avoient onvin, Et injustesravisseurs, Quidit : m'amourvousest donnée,MAROT sement, MÉNAGE. Je neveuxplus,souscouleurapparenteCousin.||2°Entermesd'art, avecgrâce et délica-qu'onluy emplistdu plus fin, Maisqu'il fust D'unfeint amour,vivresimal contente;Tropest tesse.Cepetittableauest peintamoureusement. bonet amoureux,VILLON, Repuesfr. Commentils — HIST. xm"s. Si amoureusement mais et J eveux eurent du vin. xvi"s. Chanterversetsd'ahonneste l'amourchère, que gentille; aimer, || descloe décloue m onâme de son 241.L'amourde la vie doit estreoubliée[elle]nel'en moureuses ST-GF.L. [ne leçons,MAROT, i, 492.Demandeà tous xxxiil. xvi°s. Si ta ne MARG. Lett. 5 5.Amour cesvie!Is r outiers ontesté ID. promesse Qui amour],Berte, || vraysamoureux, pourla bonnerenommée, fin faiteEstoitvenueà sonsemblable,ID.ib. 437. amoureusement vrayeet i, 499. Quejamaisil n'avoitmangési amoureux peultestrereceuque.de 342.En et d eson Lesdesnaturées et preposteres amours MAROT, pleinjour devantet si plaisantmorceauquecelui [le coeurd'un temps, parfaicte... i, baisésafemme,ennemi],MARG. les sa fille,il avoittropamoureusement NOUV. 51. Renduinsensépar un MONT, i, U7.Cetteamournaturelle[desparents] t84. Tumber e n 3 6. se MONT, attendrittropet relasche,ID.I, AMYOT, Calon, bruvageamoureux, II, 20.Lesamoureux — Amoureuse au féminin,et ment(voy.disenttouteschosesdes yeulx,ID. 11,468.Les ÉTYM. amourdesoyindiscrète,ID.II, 62.L'amourd'un révèrentplusleursamours,encorequ'ils muletier ) ; provenç.amorosamen ; espagn.et ital. amoureux plusquecelled'ungallanthomme,ID.II, MENT de amorosamente. homme .F. sav. MONT. feuxdont sais d'autres plusieurs jours Christ.Il 5° An 1, an 11,an vin s'employaient je mystère, 1, 7.Cyrus d e....ID. 22.Ils à se nes'amusèrent haineentreles s e calme 3.La venger 1 , [s'oc- pourindiquerles annéesde l'ère de la républigrands rarement; H, hasterlesmariniers ID. sert d'un CORN. Lapaixsouvent 4792 cupèrent]qu'à de..., I, 63. quefrançaise,commencée le 22 septembre n'y que amusement, LesAmadis et telsfatrasdelivres à l'enfance 7. quoy faitedesbonRodog. 1, Il 6°Bonan malan, compensation —HIST. XVe s. SifirentauxFrançoys savoirQue, s'amuse,ID.I, 496. années.Et l'on m'a assuré nes et desmauvaises Àet muser(voy.MUSER) ousoubzumbrede parlement,L'entaschoità lesdé- —ÉTYM. ; bourguig. qu'elleportaitd'ordinaire sur elle,bonan mal an, cevoirEttenir pur admusement, Rom.com.ch.vm, Vigil.de Char- busai. trentequintauxdechair,SCARR. s. 1° Petit. AMUSETTE a muse63. les VII,part,n, p. (a-mu-zè-f), f. || bon an a» Nouspayons[augouvernement], —ÉTYM. ment.Lefermiervient,le prend,l'encagebienet malpart. Amuser. COUR, 900 p. L. 490. millions, I, |j7°Par an, Le donne à sesenfants servird'amua. i° Procurer de v. || AMUSER pour (a-mu-zé), l'agré- beau, chaqueannée.Il gagne2000fr.paran.|| 8"SerFabl.n,46.Chaquesiècle a sonamu- an, Toutcequin'estpasDieupeutl'a- sette,LAFONT. ment.Celaamuse. boutde l'an, viceduboutde l'anou simplement d e la EÊRANG. Pèlerin, d eLis. notre ambasmuser[l'âme] sette, D'Avaux, le servicequ'onfaitdansune églisepouruneper; maisDieuseul est capable 4) sadeur e n lassé d etoutes l esamusettes avec FLËCH. 9. 2"Faire lé Hollande, m, || perdre temps sonneunan aprèssamort.191°Bonjouretbonan, remplir, onle s alua le roi le enchosesquiamusent.Quandil s'aperçutqu'onl'a- lesquelles menait, lendemain,façonde saluerpopulairequandonvoitune per2°Pièced'artillerie d e du moins à débattre a vec A musez-le musait. Il petit cali- sonnedanslespremiersjours de l'année.||10°En vous, ST-SIMON,97,29. fusil d e CORN. Nicom.v.6.Touscesdésirsde changementbre; espècedegros rempart,montésuraffût. termesdejurisprudence, an et-jour,l'annéerévo— la ÉTYM. Diminutif tiré emuvous amuseront Htde d'amuser;bourguig. lueet un jour en plus. jusqu'au quivousamusent, Élus. Amuser le sàle. MASS. —SYN.-AN, Carême, || l'ennemi, ANNÉE. G8Sdeuxtermess'emploient mort, EUSE 3°En d eschoses. AMUSEUR, (a-mu-zeur, zeû-z'),s.m.etf. indifféremment loparlant l'unpourl'autre,saufcertaines troinperpar-deslenteurs. || Celui amuse ses sa ladouleur. latristesse, Amuser qui p ar contes, substituer Jusquesàquandamupar conversation,cutionsconsacrées où l'onne peutpas secrètesdemonâmeparde ou de toute autre manière.Un agréableamu- annéeà an, commebonan mal an, et sauf que, serai-jelesinquiétudes MASS. Car.Fausseconf. seur.[Mmede.Chevreuse vainsprojetsde pénitence? disait]que jusque-làje quandonveut" qualifierl'annéeà l'aided'uneépinem'étais l'onm'amusait Laharped'unbergeramusesatristesse[deSaûl],et queplaint,parceque ; thète, onsesertnonde an, maisd'année.Onne ne la guéritpoint,m.Avent,Conc.Moncoeursai- maisqu'étantà la reineau pointqu'elleétait,elle dirapasun bonan, un an abondant,un an heugnait encordes mauxqu'il m'avaitfaits; D'un neluicèleraitpasquel'onne pouvaitplusamuserreux,maisunebonneannée,uneannéeabondante, 430. amuserses souhaits,Malheu-l'amuseuse, RETZ,III, uneannéeheureuse. rayond'espérance — ÉTYM. Amuser ma gloire,GILB. reuse!c'était compromettre la ; Berry,un amuseuxde filles, —HIST. xies. Xtant cumla censé est de un un l eur amuser cajoleur. Marq.deGange. Pisonpeutcependant an, L. de Guill.40,Setanztouzpleinzadesteden de AMUSOIRE s. 2. Ce me CORN. (a-mu-zoi-r'), f. Moyend'amuser,Espaigne,Ch.de Rol^1. Ensemble[nous]avons Olhon,v, qui choque fureur, cesbeauxesprits,c'estqu'ilsneserendentpasutiles dedistraire.Celan'estpassérieux; cen'estqu'une estedet ansetdis[jours],ib.CXLI'X. || XII"S. [Charu sité. leurstalentsàdescho- amusoire. àleurpatrieetqu'ilsamusent || Très-peu a bien passécent ans, Ùoncisv. p. 26. lemagne] sespuériles,MONTESQ. Lett.pers.36. || 4°Repaître —ÉTYM. Amuser. Puisfu set anz accompliset entiers,ib. p. 34. Illesamusait AMYGDALE s. f. Termed'anato-EnvieillegesteestescrizdeIonsans, ib. p. 86.Et devainesespérances, (a-mig-da-1'), abuser,tromper. mie. C hacune des deux 11veutqueje l'amuseet neveut l'uneà droite, poursonfil qu'il eut nourritant ans, ib. p. 442. glandes placées, pardesespérances. Sertor.n, 3. C'estainsiqu'on l'autreà gauche,àl'entréedela gorge. rien de plus,CORN. L'anquerosene feuilleNefleur[je]nevoiparoir, — HIST. xvi"s. et Spongieuse molle,commeles Couei,vm. Je souferraimondomage,Tant que déguiseun violentdépit....Et qu'on croitamuser ousalivales.... denseet durecommeles l'anverraipasser,DamedeFaieldansCoùci.Bien defausses Ceux dont e nl'âme oncraintde amygdales patiences sont à laracine delalangue,nomméestu] peuzconquerre ID.Rodog.iv, 6. Les promessesglandules qui justesdéfiances, France,or est entrezli ans — dontHananias amusaitle peuple,BOSS. Or. 7. On amygdalesà la racinedela langue,les tonsillesTannéeenestvenue],Sax. v. ||xme s. Troisans ne se laisserapasamuserauxvainesexcusesqu'il ou amygdales, PARÉ, I, 47. Berte,11. pleinsfutdecourtoisie, il]futchevaliers, — I D. C onc. C'est a muser l emonde défaire ÉTYM. a mande à ainsi l'ouï débite, que Amygdala, (voy.AMANDE), [je] esmer, Vingtans avoit Pépins, desréponsesvagues,ID.Dëf.comm.Quandon ra- causedela formedecetteglande. ib. m. Cinqcenslivresparanà chascune [il]donra, INE (a-mig-da-lin, contedépareilles choses,onveutamuserlemonde, fAMYGDALIN, li-n'), adj. ib.cxxxi.Lian et li jour s'en vontaussicomme m.For.7.Lesa-t-iljamaisamuséspardescaresses?Termede pharmacie. DE Quiestfaitavecdesamandes.l'aiguëqui courtavalsansretourner,RICHARD — ÉTYM. amande deMont. Familièrement. Amuser l e c e FLECH. II. dansHist.litt.t. xxin,p. 723.Quantla ||5° Amygdala, (voy. mot). FOURNIVAL, des inutiles. s. diredeschoses Terme.de estbien (a-mig-da-li-n'),f. terre tapi, vaines, paroles repleniedeflorset de fruiz, lorsest j-AMYGDAL1NE Il estbonquelquefois desavoiragréablement amu- chimie.Nomdonnéà une substancequiestdans li anz coronez,Psautier,f° 76. Cesteadditionfu serle tapis.Ceuxquisaventparlersansriendireet lesamandesamères. fêteen l'an de grâcemil....lie.desmet.360.Se — ÉTYM. deuxheures Amygdalin. quiamusentuneconversation pendant qui ait douzeans ou , baillageescheità damoiselle da tempssansqu'ilsoitpossiblederetenirun mot t AMYGDALITE s. Terme de (a-mig-da-li-f), f. plusd'aage,etlevueilleaveiret teniret user,Ass. dece qu'ilsontdit,MONTESQ. des amygdales,appeléedeJér.ï. 267.Il pot commander^ Lett.pers.82.||6°En médecine.Inflammation l'égliseà quibiais l a aussi dejardinage,amuser sève,laisseràl'arbre .termes anginetonsillaire, esquinancie. [legs]esi«es,queill'ostede se [sa]mainetlemete — ÉTYM. deboiset de decoutume. en mainlaiededansan et jour, BEAUM. Amxjgdale. plus bourgeons que XII,6 —s'AMUSER, s. f. Terme Ilxves. Si Monseigneur ». ré1/?. deFlandresvouloit,il au|| i- Sedivertir.Lesenfants AMYGDALOÏDE (a-mig-da-lo-ï-d'), aiment à s'amuser. Ils'est f ort a musé à cettesoide Pierre au les un qui minéralogie. quirenferme, milieude roit, tous ans, grandprofitsurles navieurs rée.S'amuser à lireunauteur.Ilafaitcelapours'a- sa pâtepropre,d'autrespartiesayantla formed'une dontiln'a maintenant rien, FROISS. U, II, 62. Si muser.Onnes'amuse d'auamande. si droitement la nuit futcettechose approchée paslongtemps del'esprit que, — trui.Il 2"Perdrele temps.Il broute,ilse repose, ÉTYM. de à[juJY8â).m, amandede l'an, la chosefutarrestéed'estrefaite,et devoit 'AJJUIYSOCAOEISTIÇ, Ils'amuseà touteautrechose,LAFONT. 4 Fab.vi, 0. (voy.ce mot),et eïSo;,forme(voy.IDÉE). le dit Aimery délivrerle chasteau deCalaisenicelle Morbleu 1 je suisbiensotdem'amuser à raisonner AMYLACE, ÉE(a-mi-la-sé, ID. 326. xvi* s. L'an Terme d inuit, LI, Il passéesttoujoursle sée),adj. avecvous,MOL. le Fest.m, 4.Commes'ileûtété dactique. â l'amidon. Récréât,t. n, p. 242. Quiressemble meilleur,GÊNIN, — — d es'amuser à à P ASC. Prov.4. ÉTYM. ÉTYM, capable penser nous, Amylum (voy.AMIDON). Provenç. on;espagn.ono;Ital.a-nno;da
.ANA ANA ANA 439 annus.Ona rapproché annusde evoçou£voç,l'an- Bist.Prèf.Onconnaîtl'heureuxanachronisme de logie.Interprétation anagogique, interprétation qui dorien et.aussi d e lacodugénie,que lesmal- s'élèvedusenslittéral née, Févvoç,çévvoç, ITOÇ, l'Enéide;telestleprivilège à un sensspirituel.PourdisnienF^roç,commedugothique unepartiedela gloire tinguerle sensanagogique athn,année;mais heursdeDidonsontdevenus desphraseshébraïques ne s'accorder ces rapprochements paraissent de Carthage,CHATEAUB. Itin. in, 425. || Anachro-chezlesprophètes, pas VOLT. 466. P7MJ.IV, avecl'osqueamnud,équivalentde anno.Amtvudnismede costume,erreurquiconsisteà attribuer à —ÉTYM. 'AvaYwyHw;, quiélève,deàvà,enhaut, appuieceuxquidisentqueannusestpourain-nus, uneépoquedesvêtements,des meublesqui n'ont et àfayoc,quiconduit,de àyeiv(voy.AGIR). et quiy voientunradicalcommunauxlanguescel- existéqu'àuneautreépoque. t ANAGRAMMATIQUE (a-na-gra-mma-ti-k'), amser;bas-bret.'amser;irland. —REM. Anachronisme sedisaitd'abordd'uneer- adj. Quia rapportà l'anagramme. tiques: cornouail. am;gaél.dm,le temps;sanscrit,amati, mêmesi- reur qui consisteà placerun faitavantsa date; ANAGRAMMAT1SER v.n. ( amnudempêchede confondrel'erreuropposée sedisaitparachronisrne; gnification. maispa- Fairedesanagrammes.a-na-gra-mma-ti-zé), L'osque rachronisme estdevenupeuusité,et anachronisme —ÉTYM.Aîwsramine.St-Amandaditonafframmer: annus,an, et annus,anneau. t. ANA(a-na).|| 1"Affixequisejointà certainsa prisuneacception Il me souvientqu'unacrosticheAnagramme générale. par — nomspropres u n recueil d e ÉTYM. pourindiquer pensées et y_pô-l'hémistiche....dansMÉNAGE. 'Avà,indiquant renversement, de bonsmots, etc. LeMénagiana, le vo;,temps(voy.CHRONIQUE). ANAGRAMMATISTE s.m.. (a-na-gra-mma-ti-sf), 1détachées, C'est n'ait faitun Segraisiana. dommage qu'on pas 1° En Celui fait fANACLA-STIQUE des Adj. qui anagrammes. cecyni- termesdephysique,(a-na-kla-sti-k')..|| Harleana detouslesditsquicaractérisaient se ditdu pointoù un rayon ANAGRAMME s.f. Transposition (a-na-gra-m'), 473,49.|| 2°S.m. Recueilde lumineux ST-SIM. se réfracteouse réfléchit.Courbeana- de lettres,qui d'un que[Harlay], motou d'unephrasefaitun bonsmots.Tousnoslivresenanaontrépétél'histo- clastique,courbeapparente suivantlaquelleuneli- autremotou uneautre phrase.Lesmotsnacre, 423.Il savaitpar coeurtousles gneestvueà traversunmilieuréfringent. riette,VOLT. Moeurs, les unsdes || 2°S.f. ranceet ancresontdesanagrammes traits des J. J.ROUSS. i v. Conf. ||iluphtr. Partiede l'optiquequitraitedesréfractions. Onne autres.J'aimerais petits ana, mieuxtirer l'oison,Et mêmetirer Lesana. ditplusqueDioptrique. à la rame,Qued'allerchercherlaraisonDansles —ÉTYM. Suffixelatin anus, exprimantce qui —ÉTYM. COLLETET 'Avà,indiquant déviation,et xXàw, je replisd'uneanagramme, , dansMÉNAGE. : ce àVirà — appartient Virgili-anus, quiappartient romps. REM. C'estunefauteassezcommune de faire ou rarement gileet ainsidesuite; dictavirgiliana,les dits de ANACOLUTHE masculin. (a-na-ko-lu-f) plus anagramme s. f. Termede —ÉTYM. Virgile,ou, en français,un virgiliana,et, par la ANACOLUTHIE deàvà,indiquantrenver(a-na-ko-lu-tie), 'Avaypaij.ua, un huetiana,lesditsde Huet,etc. grammaire. mêmeanalogie, 1° consiste à un e t || Ellipsequi écrire(voy.GRAPHIQUE). employer sement, YpâçEiv, d'oùenfinun ana, enfaisantde la finaleun mot relatifsansson antécédent. Il y a une anacoluthe ANAGYRE ouANAGYRIS (a-na-ji-r') tè-na-ii-ris'), sortes ces dansce : Jevaisoùvatoute vers c 'est-à-dire d'ouvrages. s. m.Terme d e quicomprend chose, Arbrisseau delafamille botanique. 2. ANA,mot employépar _lesmédecinsdans dansles lieuxoù.... || 2°Tournure danslaquelledeslégumineuses, dontlesfeuillessontpurgatives, autantde l'un que commençant et signifiant leursordonnances; oufinitparune etdontle boisetl'écorcesontfétides(anagyrisfoeparuneconstruction, de del'autre. boispuant. autre,commedanscesvers Cinna,v, 4: Toutestida,L.); ditvulgairement —ÉTYM. les tu m'as Jeté lesai — sur répétition. 'Avà,indiquant dignitésque demandées, ÉTYM. OUàvôyupoç. Avâyvpiç s. m. Secte et sans ANABAPTISME l'heure accordées. (a-na-ba-ti-sm'), ALE t peine f ANAL, (a-nal,na-1'),adj.Termed'anato— ÉTYM. et àvaxôXouÔoç, des anabaptistes. de àv mie.Quia rapportà l'anus.Lesveinesanales. 'Avax»Xo\)6£a, s.m.Sectaire qui privatif,et àxôÀovOoç, ANABAPTISTE s. m. plur.Termede (a-na-ba-ti-sf), quisuit(voy.ACOLYTHE).ANALECTES (a-na-lè-kf), être lesenfants s. ne croitpasque puissent baptisés, f ANACOSTE (a-na-ko-sf), f. Termede com- philologie. choisisd'unauteur fragments Morceaux, et quiles rebaptisequandils ontatteintl'âgede merce.Sortedesergefabriquée enNormandie. oudeplusieursauteurs. desanabaptistes, et on ANACRÉONTIQUE raison.Ona vulesillusions de àvà,indiquantdistribu(a-na-kré-on-ti-k'), adj.Quiest —ÉTYM. 'AvàXexxa, sait quec'esten suivantlesprincipesdeLutheret écritdansle goût d'Anacréon;qui écritdansle tion, et Xéyeiv, choisir(voy.LIRE). desautresréformateurs Poésieanacréontique. Poèteana- ANALÈME qu'ilsontrejetéle baptêmegenred'Anacréon. s.m. Termede géogra(a-na-lè-m'), sansimmersionet le baptêmedesenfants, BOSS. J'ai tâché de lui ressembler Anadescerclesde créontique. [à phie astronomique. Représentation Variât.45. d ansles odes la sur unesurface créon] quej'appelleanacréontiques, sphère plane, commeon le —ÉTYM. et la LAMOTTE voitdanslescadranssolaires(voy.auxADBITIONS). 'Avà,indiquantréduplication,(îanTi, Discourssur poésieen général. I — — REM. c elui ne se trouve danslesédine pasécrireanalemme comme «rojç, quibaptise(voy.BAPTISER). REM_.Çe mot,qui pas Pourquoi s. m. tionsantécédentes du Dictionnaire del'Académie,onl'écrivaitaulrefois (a-na-bro-chi-sm'), et commeon écrit encoreaut ANABROCHISME Termede chirurgie.Opération imaginéeautrefoisparaitdûà Lamotte. lemme? aura jourd'hui Irrégularité quel'Académie et d'unche— à l'aided'une ÉTYM. aiguille Ana- à fairedisparaître.' pourremédier, Latin,anacreonticus, d"Avaxp£.v. — ÉTYM. anssouscetoitrésidait,MILLEV. Charlem. de éloideuxou c hoses présentes;analogie AvaYvcîxjTïK, lecteur, àvayivaxrxEiv, plusieurs Desanachorètes consommés dansune piétéémi- lire, primitivement de le rapportde celle étantconnu indiquant laquelle, reconnaître, àvà, gnée, par nenteparde longues et parui« viean- réduplication, macérations et yivtàtjxstv connaître GNOSdeux nousconcluons l 'existence de l'un de , (voy. faits, à l'état ecclésiast. l'existence del'autre.Enelle-même, n'est gélique.MASs.yocaf.. || 2°HommeTIQUE). l'analogie lofci d umonde. Il vit mène unevied'anachorète. Terme d e la somme d es a vec leschoses qui théologie.que connues, t ANAGOGIE (a-na-go-jie) ,s.'f. rapports —ÉTYM. de la arithm. m orale. Parla seule chaîne Ravissement de l'âmedans des BÏÏFF. 'Avaxwpr]Tr|;, àvà,indiquantéloignecontemplation Homme, et aller. et les de chosesdivines,oueffortsqu'ellefaitpourdécouvrirdu raisonnement probabilités l'analogie,le mentj xwpsïv, m. Faute ANACHRONISME s. lesens del'Ecriture.péchéoriginelest retrouvé,CHATEAUB.. de quelques (a-na-kro-ni-sm'), Génie,i, mystique passages — contrela chronologie. Pouréviterles anachronis- ÉTYM. 'Avayioyia (voy.ANAOOGIQUE). m,—s. me»cetteerreurquifaitconfondre lestemps,BOSS. ANAGOGIQUE Termedethéo-. de àvâXoyo; ÉTÏM. '\vaXoyia, (voy.ANALOGUE) (a-na-go-ji-k'),avt s. m.Termed'horde âvBpwito;, homme. (an-til-li-d'), (an-té-ri-fê-r'), adj. Termede —ÉTYM. "AvOpwTtEioç, t ANTHYIilDE f ANTHÉRIFÈRE arbrisseau connusousles nomsde Qui ticulture.Joli Quiportedesanthères. f ANTHROPOFORME (an-tro-po-for-m'),adj. botanique. —ÉTYM. a formed'homme.Il estencoreparlé deces ani- barbedeJupiter,arbusteargenté. Anthère,et férus,quiporte. —ÉTYM. INE(an-té-rin,ri-n'), ad).Termemauxanthropoformes, J.J.nouss.Orig.notes. 'AvOvXXiç. f ANTHÉRIN, — surlesfleurs. s. m. Terma ditd'insectes v iventÉTYM. Mot et ANTHYPOPHORE Se de zoologie. f (an-ti-po-fo-r'),qui hybride mauvais,d'à-v8pt>mo;, —ÉTYM. si vous de rhétoriqueancienne.Figurequi consiste à réfleur. homme,et forme; ditesanthropomorphe, "AvOo;, Terme une sefaità soi-même. s. servir d 'unmot à voulezvous pondre objection qu'on (an-té-ro-lo-jie),f. grec. f ANTHÉROLOGIE — s. de àvn, contre,et ÛTCOfleuri. ÉTYM. ANTHROPOGRAPHIE derhétorique. f. (an-tro-po-gra-fie), 'AvOiraoçopà, Styleorné, f — ÉTYM. entant et de fleuri (voy. ANTHÈRE),Termedidactique. Description l'homme, 'Av6ïipoç, çopà, objection. animale. ....ANTI, oul'opposition comme faisant dela série discours préfixe quiexprime (voy.LOGIQUE). partie Xôyoç, qu'être ' de"àvrî décrire danscecasellevient s. m. Terme —ÉTYM. dansantiscorbutique ; (an-té-ro-fa-j'), "Av6pujtoç, homme,etypâçeiv, { ANTHÊROPHAGE lasituation comme d ans de ou Genre de zoologie. antérieure, coléoptères. l'antériorité, (voy.GRAPHIQUE). s. m. Terme antichambre : dansCe casellereprésente ANTHROPOÏDE "—ÉTYM. manger. 'Av6ï)p6ç, fleuri,et çoq-eïv, antidate, t (an-tro-po-i-d'), :: •' s. f. Termede botanique.de paléontologie. Nomdonnépar les anciensgéo- lelatinmite,avant(voy.AINS). (an-tê-z'), f ANTHÈSE desphénomènes humaines. Ensemble quelesfleursprésententloguesà despétrifications ANTIAPOPLECTIQUE (an-ti-a-po-plè-kti-k'), adj. — et forme. d emédecine. Boncontre ÉTYM. Terme l'apoplexie. "Av8cw7toç, homme, euioç, quandelless'épanouissent. —ÉTYM. — inflorescence. s.m.Brûleur ÉTYM. contre ANTHROPOKAIE "AVÔÏIITI;. jet apoplectique (an-tro-po-kè), 'AVTI, (voy,ANTI) f s. f. || 1° Choix,d'hommes. ANTIAR. Lesplusbarbaresdesmortelsétaientces -»t ANTIAR ANTHOLOGIE (an-to-lo-jie), (an-ti-ar),s. m. Voy.UPAS defleurs.|| Peuusitéaupropre.|| 2°Fig. rechercheurs s. f. Termedechicollection anthropokaies [lesinquisiteurs],VOLT. (an-ti-a-ri-n'), j ANTIARINE de choisis. L 'antholoRecueildepetitespièces vers u. mie.Principeactifdel'upasantiar. Babyl. — M.de La Rode s.m. ÉTYM. Mot française. (an-ti-à-rUsto-cra-t'), giegrecque.L'anthologie forgéparVoltaire, .i8oc, : . —ÉTYM. et s. Antietbulle. "AvOo;, fleur, çopoc,quiporte. ANTHROPOLOGIE (an-tro-po-lo-jie), f. || 1°His- —ÉTYM. s. m. Terme (an-to-r'),s. m. terme de' bota- toirenaturellede l'homme. •j-ANTHORE || 2°Figuredestyle,par f ANTICABINET (an-ti-ka-bi-nè)/ desac- d'architecture. Piècequiprécèdeun cabinet. anthora,L.). laquelleon attribueà Dieudes-aflections, nique.Espèced'aconit(aconitum —ÉTYM. de Contraction antithora,anti,contre, tionshumaines. Comme l'Ecritureestfaitepourles ANTICHAMBRE (an-ti-chan-br')y s. f. Pièce vénéneuse Uneantichambre et thora,sortederenoncule ;parcequ'on simplescommepour les savants, elle estpleine d'entréed'unappartement. pleiaconit é taitun ce est cet SÉV. 3W^ ^Sac/me,i, 32. deàviî, contre(voy.ANTI)J àvuçtûva, — -!-ÉTYJt.. a nticiÉTYM. Anti avant et ; espagn. Provenç.anticipacio pourante, (voy.AINS), voix( voy.PHONIQUE ); mot à mot, chant qui date. ; A'anticipationem dans l'originele pation;ital. anticipasione (voy. se L'antienneétait répond. ; •:r ÉE ANTICIPER). ANTIDATE, (an-ti-da-té, tée),-,parï.passé. chantde deuxchoeurschantantalternativement ÉE Des antidatées. Le ANTICIPÉ, (ari-ti-si-pé, npée),part, passé. pièces régentoffrità Chevernydespsaumes. d'avance; Le le et à Canillac des brevetsantidatésqui lesferaient t ANTD2VANGÉLIQUE Fait,pris payementanticipépar adj. (an-ti-é-van-jé-li-k'), débiteur.L'aveniranticipé'par Vieilconseillers d'Etatavant ST-SIM. -14). l'imagination. Dubois, 464, Néologisme. Quiestcontraireà l'Évangile. lesseanticipée. venaientnousdonnerdesannales —ÉTYM. Opinion anticipée.La carte conte- SilesEsquimaux Antiet évangêlique. deM.Cassini, des antidatéesde plusieurssiècles....VOLT. nait,-surdecertaines conjectures Moeurs, ANTIFEBRILE (an-ti-fé-bri-1'), adj. Termede corrections et'fortimportantes,quiont pir.miers etc. la fièvre. anticipées médecine. estboncontre peuplesqui ont, Qui étéjustifiéesdepuis-par desobservations incontes- ANTIDATER v. a. Mettreunedate —ÉTYM. (an-ti-da-té), Anti,contre,et fébrile. Chazelles. à celledujouroùl'onécrit.Antidater un t ANTIGOUTTEUX, antérieure tables,FONTEN. EUSE(an-ti-gou-teû,teû-z'), ANTICIPER v. a. d eu n actesous Boncontrela goutte. (an-ti-si-pé), 111° Prévenir, contrat, seingprivé. adj.Termedemédecine. un payement. Nousnetenonsja- —HIST. vancer.Anticiper xvi"s.Il lesdateou antidateavecson — ÉTYM. Anti,contre,et goutte. maisau présent;nous anticipons l'avenircommeurinaiquandil luyplaist,SatireMén.p. 86. (an-ti-gra-f),s.m. Termede t ANTIGRAPHE — et le ounous ÉTYM. Antidate. troplent, commepourhâter; rappelons copiemanuscrite. paléographie. Manuscrit; le passéj pourl'arrêtercommetropprompt,PASC. f ANTIDÉMÔNIAQUE — m. ÉTYM. (an-ti-dé-mo-ni-a-k'),s. copie,de àv-ri,en place 'Av-tiYpaçov, Pensées* div.J4.Et pouranticiperl'heuredémon Termed'histoireecclésiastique. Celuiquiniel'exis- de, et ypâoEiv, écrire. EUSE(an-ti-lè-teû, trépas,Lefernilé poisonne te manqueront pas, tencedesdémons. teû-z'),adj. ANTILAITEUX, Lecoeurs'arrête de 4. antilaiteux ou et s.m. Lesmédicaments PÉCHANTRS;-Mort Néron,iv, —ÉTYM.'AVTÎ, contre,etSaijioviay.ôç,démoniaque, simplement à peinedansle présent,et anticipelesmauxqui le t ANTIDESPOTE s. m. Néoloon les médicaments(an-ti-dè-spo-f), auxquels supposait antilaiteux, au despotisme menacent,CHATEAUB. Génie,il, n, 3.|| 2°Entermes gisme.Celui, quiestopposé Lorsquela propriétéde diminuerla sécrétiondu lait, ou de pratique et le fier médicaments contreles maladies ancienne,anticiperun appel,faireassi- j'ai faitdansla suiteà Parisl'antidespote qu'onemployait un diffère de releverson J. J. ROUSS. v. gner appelantqui diteslaiteuses,c'est-à-dire causéespar la rétrocesappel. républicain, Confess. || 3° P. ra:Anticipersur,usurper,empiéter.An- —ÉTYM. 'AVTÎ, siondulait. contre,et despote. ticipersurlesdroits, surlesterresde quelqu'un. t ANTIDÉVELOPPËE (an-ti-dé-ve-lo-pée) , s. f. —ÉTYM. Anti,contre,et laiteux. sursonvoisin. surses il Terme de Non-seulement tiredu s. m..Termede Anticiper Anticiper revenus, mathématiques. t ANTILAMBDA (an-ti-lan-bda), en ' dépenserune partied'avance. tous roulement uneroulettepaléographie. lescitad'unecourbesurelle-même Anticipant Signe(2, verso.l|xvr*s. Hzen dicesfaitesenmanièredeboutonsformésenfaçon agile, moinsactif,Lavieillesse et l'oisivetéappe-
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santissentle corps.L'âgen'a pointencoreappesantiprononciation a-pli),s. m.|| 1°Désird'un objeten Bulletindu Comitéde la langue,t. ni, p. 689.. l'esvuedela satisfaction dessens.J'aitfichédemorti- || xvics. Ils divisentl'appétiten concupiscence sonesprit.Sommeil légerquin'appesantitpas et et les fier mes B OSS. 2. Les 4 CALV. Instit. 29. Fuirou presquepoint actions, Bourg. prit qui n'interrompt appétitssensuels, volonté, appéterestune coeur à remplirlesorganescorpo-semblable BOSS. la Vallière.Vn choseen l'appétit,quenierou approuver quemilledésirsterrestres appétits,quiconsistent MASS. ID:ib. 430. L'appétit de manger Profession,3e sermon.Les rels, se finissent,à cause'quelesorganessontbor- en l'entendement, appesantissent, FLÉCH. dieuni affections terrestresquinousappesantissent, BOSS. Pensées 30. et deboire.... .98. Qui C'est u ne pour incivile imnés, détachées, MONT, I, H 4 Les XII. 0. 4° D evenir l oin'ont leurs Sat. de toutcequin'estpasdenosv.rèfl, pesant. pour m, || S'appesantir, que appétits,RÉGNIER, portante chocquer ailesdesoiseauxontdesplumesavecun duvetqui Lavoixdudevoirsuccédant à l'impulsion tre I D. physique, appétit[goût], I, 466.Monappétitestaccomleseaux,FÉN.etledroitàl'appétit,J.r. ROUSS. s'enfleà l'airet quis'appesantiraitdans à touteschosesde quoyon Contr.ï,s. || 2°Dansmodableindifféremment d'unfeusecret,vosyeuxs'appe- lelangagedela philosophie, d 'action Èxist.49. Chargés se ID. 484. principe quia paist, I, Qu'iln'y avoitnulproposdeles malheureux RAC. Phèd.i, 4.Lejougdeces santissent, pourorigineunbesoinducorps,et quiparconsé- fairegelertous,l'espaced'unelonguenuict,àl'apde Dieu BOSS. Hist. 9. La main n, quentestnoncontinu,maisintermittent. ||Appétitpétitd'unsoupçon,peutestre,malfondé,LANOUE, s'appesantit, facultépar laquellel'âmese porte 589.Ils ont toujoursl'appétitouvert,commela sur cette flotte,SËV.conGupiscibie, s'estvisiblement appesantie maincéleste allait versce croit 478.Une qu'elle unbien.|| Appétitirascible,fa-! boursed'unmédecin,YVER, qui s'appesantir pour p. 598.Si ce pontfust le frapper,FÉN.Tél.xx.|| 5°Insistersurunechose, culteparlaquellel'âmes'éloignede ce qu'ellecroit estéfaictà l'appétitde peu [pourpeude dépense], en parlertroplonguement. Aulieu de s'appesantirunmal.|| 3°Goût,inclination. t. m, p. 244, édit.de Montmerqui. Or,sansmetourmen-BRANT. — Sat.v. Pauletelle , ÉTYM. surlessiégesdequelqueschâteaux.... ter dediversappétits,RÉGNIER, Bourguig.aupetil; provenç.appétit, [noshistoriens] ne leurs deleurs Je veux bien s'amusaient avec d e VOLT. 50. Familièrement. jeux, transport Moeurs, || apetit;espagn.apetito;portug.apetite;'ital.appeexaminer lachose e t deleurs BERN. DE S.P.Paul et ne appétits amours,' tito; d'appetitus,i'appetere(voy.APPÉTER). pasm'appesantirlà-dessus, pas vifdésir. N otre dont à fond. 4° TVE(a-pé-ti-tif, l 'apesprit Virg.H Passion, |-APPÉTITIF, ti-v'),adj. Qui —HIST. rien ne L es de leurs est de savoir. M ais fait xvi*s. Appesantis remplit corpspour pétit quoi! appéter.Pensez-vous quelelibrearbitresoitune LAFONT. avoirmangéà pansepleine, VOLT. PMI.ign. 43. AMYOT, Marins,33.' vastesappétitsd'unfaiseurde conquêtes, appétitive? puissance ' —ÉTYM. — 27.Et soûlent du butinsonavare Àet pesant. Fab.vin, HIST. xiv"s. SelonAristote,cincpuissances appéou s.m. Ni n i MAIR. 4. de l'ame c'est APPESANTISSEMENT assavoir là rancune, appétit parties (a-pe-zan-ti-se-man), tit, Sophon.II, sont, végétative, 387. de de PERROT D'ABL. Tac. 1° d'une la motive, État app'écorps, vengeance, Ayez lasensitive, || personneappesantie,.soit l'appetitive,l'intellective, à un Par. deDieu. 5°Désir, Saint se tit dece E OSS. ORESME Thèse déMEUNIER. XVI° S. l 'une soit d'esprit. || Que [faculté] Augustin comparait paincéleste, , [| Fillepleinede sucet donnantappétit, soitnomméeappétitive,laquellecombienqu'elle hommeendormiquise réveille,et qui voudraitse amoureux. de l'ap- n'aitpointde raisonen soy,toutesfois, oùilestreplongeLAFONT. Serv.|| 6eDésirdemanger.Donner estantconlever,maisquel'appesantissement On à moins BOURD. mettre en duite à soit aussitôtdanssonpremiersommeil, gagner l'autre Pensées,pétit; appétit. peut d'ailleurs,obtemp.ere raison; Je avec C'estun appe- de l'appétit,LAFONT. Or. mange CALV. t. II, p. 454.|| 2°Actiond'appesantir. Instit.429.Destroisacappétit, nomméeintellective, b on 9. SÉV. 2B7. O nne laisse d'avoir tionsde santissement dela mainde Dieu,PASC. et la conPréf. pasquelquefois l'ame,l'imaginatifve, l'appetitifve —ÉTYM. Et Pass. 400.Monappétits'ouvre, sentante,les pyrrhoniensreçoiventles deuxpreAppesantir. appétit,DESC. D ésiré. monoeil d écouvre Lesportesd'unLouvreEntourte mières,MONT. ÉE(a-ppé-té, Il, 230. APPÉTÉ, tée),part,passé. — ÉTYM. Lesobjetsappétésparl'âme., arrondi, BÉRANG. Cocag.La libertém'enchante, Provenç. appeliiiu;espagn". apetilivo; Oude Terme didactiID.Vocation. ital. APPÉTENCE s. f. Maisj'aigrandappétit, |JFig. (a-ppé-tan-s'), appetitivo; i'appelitivus,i'appetere(voy.APparticulier qui portel'animalà re- toutleur pouvoir,de toutleur appétitDormaientPÉTER). que. Sentiment Fab.v, 6 t APPÉTTTION cequipeutsatisfaire lesbesoinsdesonor- les deux pauvresservantes,LAFONT. s. f. Actiond'apchercher (a-ppé-ti-sion), serten onse Bon formule d ont parlantà péter. ganisme. || appétit, —SYN. Cher- — HIST.xvies. Lespassionsde cestepartiede estbeauÎPPÉTIT. va Familièrement. APPÉTENCE, Appétence quelqu'unqui manger.|| coupplusgénéralqu'appétit,d'abordparcequ'ilse chersesappétits,prendreses appétits,choisirles l'amesontinclinations, consentements, appetitions, ditaussibiendesanimauxquede l'homme,tandis metspourlesquels ona le plusde goût.Cettelocu- mouvements, dela Vertu AMYOT, morale,45. — à l'homme d e bon ÉTYM. plusparticulière-tionvieillit.|| Fig.C'estunhomme appétit, queappétitestréservé Appetitio-, i'appetere(voy.APPÉTER.) e t à e st un terme dit de se s. m. Action -ment;ensuite,parcequeappétence quiprendplaces, argent, t APPIÉÇEMENT quelqu'un (a-piè-se-man), n'estboncourtisan s'iln'abon de rapiécer. didactique quiexprimeune inclinationinnéesans quitoutsemblebon.il tandis a vait la qualifier Sat.XII. bienquecemotnesoitpas aucunement; queappétit,appar- appétit,RÉGNIER, Saumery plusieurs —REM. L'Académie, u n tenantdavantage au langagegénéral, exprimece enfantset de l'appétit,ST-SIM. 90. C'est dansson forcedel'écrire avecun ac366, || dictionnaire, les de homme à et envertudela qui centaigumalgréla prononciation qu'ilya de plussensuel, plusgrossierparmi cadetde grandappétit,c'estunjeune d ebon del'homme. ouvert toutestbon. Avoir double danslesverbes où matin, appétences l'appétit règlecontradictoire || qui, —ÉTYM. de appetere(voy.APPÉTER). unechose.Vousavezl'ap- l'accentaiguest radical,le changeenaccentgrave désirerprématurément Appetentia, La l'accent APPÉTER ouvert d ebon leMent,i, 4.1|De- au présent,et le conserve (a-ppè-té. syllabepàprend matin,CORN, partoutailleurs. pétit — ÉTYM. Aet pièce. gravedevantune syllabemuette:il appete,exceptémeurersur sonappétit,limitersesdésirs,sespréau futuret au conditionnel où l'accentaigu est tentions.|| 7° Appétits,nomqu'ondonnevulgaire- fAPPILER(a-pi-lé), v. à. Technologie. Mettre subil c e est une la e tautres : mentau à en gardé appétera, qui contradiction, ciboule, harengfumé, pile. estla mêmeque dansil stancesquiaiguisentl'appétit.|| 8° À l'appétitde, —ÉTYM. Xet pile. puisquela prononciation tomv.a. Terme Lesêtres-vivants Par désird'avoir. I l a laissé IE (a-plô-di, locut.adrerb. didactique. apappete), die),part,passé.DisAPPLAUDI, Abd e à leurexistence.|| ber un murà l'appétitde quelquescentaines cours,acteurchaudement pètentce quiestnécessaire applaudi parlesassistants. avoir d es L'homme d oit le P âfallait detousses amis. M ais d 'unaveu solument, appétences. plus francsqu'il trompeur dépenserpour réparer. Applaudi connaîtrequ'appeler,et l'animaldoitplusappéterlirdessusunlivreà l'appétitd'unbruit[réputation],voirmaflammeapplaudie,MOL. Mis.îv, 3. Sat. iv. || Proverbes. connaître,BUFFON, que Naturedesanimaux. RÉGNIER, L'appétitvienten APPLAUDIR (a-plô-dir). || i° V.n. Seconjugue —HIST.xives.Etsontaucuns telxquine appe- mangeant,c'est-à-dire,plus on a, plusonveut avecl'auxiliaire avoir. Battredesmainsen signe des Eth. no. la tentpasles choses autres, ORESME, Xsonentréetoutle mondeapplaudit. avoir.|fll n'estchèrequed'appétit,c'est-à-dire d'approbation. et ars appetentet désirentaucun faimestle meilleurassaisonnement. Toutessciences Tel voussembleapplaudir,quivousrailleet vous FAIM. La faimest essentielle-joue, BOIL. Artp. i. Onne le vit pas briguerdes bien,ID.ib.vin (43).Lapartie[del'âme]quicon- —SYN.APPÉTIT, et estre celle e llene êtreni auditeurs d'unbesoin, appellée qui'appete mentl'expression gnoistpeut sens, peut pourlui applaudir,FLÉCH. II, 68. Ainsi estnomméeappétitsensitif,ID.ib.32.|| xvr s. Nos- provoquée se ditle renard,et flatteurs LAFONT. ni excitée,commel'appétit.Celui-ci Fabl. d'applaudir, trenatures'ennuyeet sefaschebientostde ce que prononce un à autre; vu, 4.|| 2°Donnerapprobation. Pourvuqu'onn'appourtelalimentdepréférence elleavoit ardemment toute d'aliment àleurs MASS. lafaim nagueres appete,AMYOT, Préf. pour plaudisse crimes, Prosp.lls'anéanappelleégalement espèce pas 44. on En mangeant tit lui-mêmetandisquetoutl'universlui applaudit, xin, Lavolonté,delaquellel'officeestd'appeterlequelon n'a pasde répugnance. lui propose,CALV. cequel'intelligence Inst.-129. apaise'toujours la faim,tandisqu'ondonnequelque-FLÉCH. II, 445. Vachercherdesamisdontl'estime — ÉTYM. de à l'inceste, funesteHonorel'adultère,applaudisse Appetere, ad,,et petere,demanderfoislieuà l'appétitdese développer. — désirsellea feint d e et RAC. 2.Et m es HIST. xme-s.Ilara Phèd. (voy.PÉTITION). Provenç. apetelorsqu'à petitappétit mengier iv, ' appetar;espagn. ital. .. ,. a. f°48. Ainsinc,est- d'applaudir, cer; CORN. Mcom.iv, 6.|| 3°V. Accueilappetere. granttalentde boire,ALEBRAKT, APPÉTIB1LITE un orateur. s. Terme touthomme et de lir des biau De t (a-ppé-tirbï-li-té),f. par applaudissements. Applaudir il, filz, parm'ame, Faculté du bien toutefamé,Quantà naturelapetit,Dontloilesre- Cettetiradefut applaudie.' Le publicdédaigneux didactique. d'appéter.Sil'essence estmisedansl'appétibilité.... MOL. 4 s. II ce Il siffle l a Mar.for.o, 4289. xivc convient hait vain traitungpetit, la Rose, coquette,il applaudit )| artifice; —ÉTYM. deappetere(voy.APPÉTER). noussommesl'actrice,DORÂT, ch. i. Toutle .à quelles choses la Déclamation, à entendreet regarder Appetibilis, APPÉTIBLE Terme sa didactienclinset de à cris t (a-ppé-ti-bl'), adj. legiermouvables,peuple grands applaudit victoire,SAURIN, par notreappétit Quipeutêtreappété. i l Eth.64. Encor que. appert quel'appétitsen- Sparlac.H, 4. Sonarméeà grandscris applaudit ORESME, —HIST. xrv°s. Tellesdelectacions sontchosessitifobeistaucunement En. x. [| 4° Fig. Je doisde à raison,ID.ib.32. L'en soncourage,DELILLE, TlièsedeMEDNIER. ici appetibles, ORESME, pardonneplusvolentiers,et raisonest, aschosesvotrecoeurmemontrersatisfait,Et l'applaudir ANTE as I D. 2 4. CeséAPPÉTISSANT, (a-pé-ti-san, Sganar. san-t'),adj. quisontfaitesparappetisnaturelsque autres, dubeauchoixqu'ila fait, MOL. Quiexcitel'appétit,en parlantdesmets.Metsappé- ib. 200.Oùchascuns cem'est X nat... v ient v ous devotre Qui avis, pointhonapplaudir cruauté,RAC. fu, tissant.|| Familièrement. Elle est appétissante,se nourezet servisAussi n'eût-ilpas applaudi devinetdeviande,Comcorps Bérén.v,5. Combien Bossuet dit d'unejeunepersonnequia dela fraîcheuretde et appétitdemande,MACHAULT, 87. xve s. A l'instruction si et sitouchante quenotrejeune p. || sage Votrepetitnezfripon,voslèvresappé- apetitd'aucunsfaultestreduit Et quefrancscuers monarqueadressaauxcurésde sonroyaume i D'Al'embonpoint. MOL. Mar. 4 . Se Douleuradvenantà LEMB. tissantes, au félons'umilîe,E.DESCH. forcé, II, 294.|| 5°S'applaudir,•v.réfl. vanter, ~ HIST. xrv"s. Laitdevacheestplusappétissant,ceux....Lesbienset leshonneursne se départentse glorifier.Il estseulà s!estimer et à s'applaudir. 6. Uncoeurnobleest contentdece qu'iltrouveenlui n, || xvr*s. Qu'ellesmangentpeude pointà l'appétitdeceulxquilesdemandent,COMM. Mênagier, ce quiesttropappétissant, DESPEH. i. E tsedouloit de il avoitainsicouru Etne s'applaudit Contes, Prolog. quoy luy pointdes qualitésd'autrui,BOIL. —ÛTYil. 6° Seféliciter.Je m'a.pplaudis'du susà l'appétitd'autruy,ID.ni, 3. Nostredictfrère Épit.ix. 11 Appétit. parti APPÉTIT l e t neselie au ce "a naIl d'avoir s i biende__ (a-pé-ti; pas; pluriel, et cousin,à l'apetitdequique soit, puis quej'ai pris. s'applaudissait -4-selie: desappétitsinsatiables, ditesdes a-pé- gueresrecueilliunggrantnombredegensdeguerre viné Je m'applaudissais deretrouveren vous, ti-z insatiables; il faut se garderde là mauvaisevivanssur nostrepeuple,Lettrede CharlesVIII, Ainsiquelesvertus,le coeurdemonépoux,VOLT.
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d'avoird'êtremisenpratique.Ceprocédén'estpas appli- forcedel'esprit.Perdudanscet abîmede po iv, 4. Songrandcoeurs'applaudit OEdipe, il tombedansunesi grandecontent désolantes, Trouvédesennemisdignesde cable.|| Ilne semet qu'aprèssonsubstantif. au champd'honneur n's d'esprit,qu'aucunde ceuxqui l'approchent sa valeur,ID.Henr. ch. vin. Mafille....Peut-être —ÉTYM. Appliquer. Hist.de Napoléon s. m. Technologie. desbontésdesonpère,BAC. peuttirer une parole,SËGUR, (a-pli-ka-j'), Iphig.i, 4. f APPLICAGE s'applaudit 3. Eslh. Actiond'appliquer d'untriomphe Laissez-le quelquechosepourl'ornementix,— frivole,m. s'applaudir • nostreappl HIST. xrv°s. Orprenonsdonques la solidité. quandsoudainPoly- ou— in, 2. Je m'enapplaudissais de vertu,ORESME, Eth.48 caciondela descripeion ÉTYM. clète....CORN. Appliquer. Cinna-,iv, 6. Tandisque de leur lebénéfice d e mon s. m. plur. Terme|| xvi's. Autantpar d'unevaineet fausse f APPL1CATA applicatio (a-ppli-ka-ta), rangl'inutilefiertéS'applaudit bénéfice demon invention e t dema sont le leschoses Lesapplicata, force, appli- quepar qui égalité,ID.Sertor.il, ^. Vis-tucestempsd'inno- d'hygiène. 4 67. d u c omme les MONT, conà la surface rienn'était i, corps, vêtements, — maudit,Dieu, quées cence,Où,quand ÉTYM. lesbains,etc. Provenç.application;espagn.aplicatent de sa puissance,Fitle mondeet s'applaudit?lescosmétiques, — de applicationem, de ap< neutre ital. nominatif ÉTYM. pluriel, cion; applicasione; v. HUGO, Applicata, Odes,IV,9. — REM. 1. Faut-ildire: Ilssesontapplaudiou leschosesappliquées (voy.APPLIQUER). pheare(voy.APPLIQUER). s. f. Termed'art.Accessoire action ? Sans IVE (a-pli-k'), ilssesontapplaudisde cette doute, t APPLICATIF, (a-pli-ka-tif,ti-v'), adj. APPLIQUE à une estapplicative,qu'onajoute étantaussiverbeneu- Termedebotanique.Lapréfoliaison piècepourl'ornerou la rendre onpourraitécrire,applaudir toutepièce solide.|| Enorfèvrerie, pièced'applique, tre, ilssesont applaudi,c'est-à-direils ont ap- lorsqueles feuilles,avant leur épanouissement, avecuneautre. ouquis'enchâsse faceà face,sans être rouléesou quis'assemble plaudià eux, commeonécrit, ilsse sontsuccédé'.sont appliquées ÉE (a-pli-ké,kée), part, passé. n e décidela question. APPLIQUÉ, Maisuneobservation L'usage pliées. surunetumeur. enpoésie,decinq || i" Missur.Unemplâtreappliqué à quelqu'und'uneaction; APPLICATION (a-pli-ka-sion; permetpas : applaudir bienappliqué.|| 2°Donton unechosesur || Parextension,soufflet s. f.\\ 1°Actiond'appliquer maisil permet: applaudirquelqu'und'uneaction.syllabes), d'unapologue. Sivousne d'untopiqueafaitl'application,comme de uneautre; superposition. onécrira: ils se sontapplaudis Parconséquent L'application c elabien et bien le parti- sur le lieu malade.|| En termesd'architecture,trouvez appliqué joli[ils'agitd'un cette action,c'est-à-dire qu'onaccordera 445.|| 3°Employé SÉV. ont actiond'appliquer des matièresd'ornementsur la versitalienmiseninscription], cipeavecle sujet.|| 2.Lesauteursdesynonymes des utiles.|| Par exentreapplaudir,pierre,la brique,lemoellon ou le bois.|| 2° Choseà. Argentappliquéà dépenses essayéde trouverunedifférence auxarts,sciencedontles le premier^appliquée. Onmetintdeuxjoursavecdesapplica-tension,scienceappliquée v. a. et applaudirv. n. disantqu'avec del'induset dirigentlesprocédés éclairent l'actionpropre,physique,tionsdessus[lebras]pourdissiperle mal, ST-SIM. c'estfaireeffectivement principes deservir.. Le Chiend'homme!oh! trie.|| 4°Apphqué à, attentif;désireux marquéepar le verbe;et qu'avecle second,c'est, 430, 190.|| Familièrement. avoirtoutl'espritettoutlecoeur dansunsensétendu,moral, idéalisé,y adhérer, queje suistentéd'étrangesorte,De faire sur ce roi,à quiilssemblent enfantestappliqué àson LA BRUY. 8.Votre qui sont ici mufleune application[y appliquerun soufflet],appliqués, y donnerassentiment.Lesexemples la santédema 533.Jevousrecommande Dépitamoureux, n, 7.|| 3°Fig.Actiond'appli-devoir,SËV. rapportésmontrentquecette distinctionn'estpas MOL. 6 5. A insi sesont sanctifiés ID. ouà quelquechoseun apologue,fille:soyez-y appliqué, réelle. querà quelqu'un —HIST. xiv"s. Thomasdistqu'il l'avoitfrappé une parole,un vers, etc. Desversdontonfai- danstouslessièclesetdanstouslespayslessolitaiàl'autelsaint,les au favori.L'application de l'apo- respénitents,lesprêtresappliqués d'unefourche,combienqueen véritéiln'en feust sait l'application MASS. Car.Évidence. son loguemesembledangereuse,VOIT. Letlr.94.Ils maîtreset lesesclaves, \\5°Abriens; maisle distpouraplaudiret colourer s. Ceulxqui la suppriment les nomspour détournerles applica-solument,studieux,qui faitsa besogneavecsoin. || XVIe applausivus. fait, nuCANGE, C'estunjeunehomme,un employé MONT, 6.Sansdonnerlieuauxapplications appliqué.Dans laissentfaireet quilui applaudissent, I, 91. tions,LABRUY. 44. — ÉTYM. DIDER. ESS.sur Claude.Lemondele tempsqu'il est le plusappliqué,LABRUY. Espagn.aplaudir;ital. applaudireet lesplusodieuses, les des moins et 23G. X IV SËV. Louis voyait choses^avec yeux dulatinapplaudere,dead (voy.À) en a faitdesapplications particulières, applaudere; 3e ID. appliqués,VOLT, J/misXIV, 48.|| 6°Appliquées, latine et fais La Je trouvai cela plaisant, j'en l'application, plaudere(voy.PLAUSIBLE).conjugaison .auquis'appellent a étéchangéeen 4°dansles languesromanes. 285.J'aiferméle templede Janus; il mesembles. f. plur.Lignesgeomé^-^ues, » s. m. quevoilàquiest fortbien appliqué APPLAUDISSEMENT ; ce sontvos jourd'huiordonnées. (a-plô-di-se-man), (a-pli-ké) ,\ a. || 1"Mettreunechose djapprobation par desbattementsCartilagesqui m'ontengagéedanscetteapplica- APPLIQUER 1!1"Manifestation deséchelles contreÂl'application demains.Untonnerred'applaudissements. || 2°Ap- tion,ID.446. [prenezcecipourvous], suroucontreuneautre.Appliquer surun machèrePauline,m.G03, 11esttempsquenousfas- la muraille. quatrefoisdescouleurs Appliquer probation,louangeaccordéeavecéclat.Opinions un debâton L es B OSS. tableau. Par PASC. de cettebelledoctrine, || extension, appliquer coup Préf.Vide. sionsuneapplication reçuesavecapplaudissement, unbâton.|| Applisihaut fit dela aux la l a têteavec l'avaient Amb. 4 .Elle sur machines parl'applaul'application comparaison guindé tête, frapper qui dissement et leséloges,sontencoretoutesdresséesvéritésde la religion,ID.Anne.Vousdevezà l'au- querun hommeà la question,le. soumettreaux || 2°Seservir pourle fairetomberdansle derniermépris, LAtoritédecetteparoleun espritde sincéritéet d'ap- torturesqu'onnommaitla question. et surtoutnos plicationsurvous-même, Il fallutappliquerà MASS. Car.ParoledeDieu. de....pourun objetdéterminé. BRUY. 8.plusieursdenossymphonies Onconvient dela ons'abuse s ur la maladie u n nouveau t raitement. Lesinstruments airs dedanseont trouvéplus d'applaudissements règle; l'application, Onnefaitaucuneapplica-de la nouvellealliancesontdes instrumentsdu LouisXIV, Musi-ID.Revenus chezlesautresnations, VOLT. ecclésiastiques. la grâce, tion sursoi d es devoirs de Serai,i, 445. Saint-Esprit du monde, ciens.Pours'attirerlesapplaudissements lapiété,FLÉCII. quiserventà nousappliquer des méritesde J. C. EOSS. Doctr.de l'Église,ch. 9. N'attendez pasde Je connaismalJunieoude telssenti- || 4°Enthéologie,l'application MASS. Vérité. chrétiens de Un coeur à ses RAC.lebienfaitpar lequelJ. C.transfèreaux moideregretsni larmes, grand mentsNemériteront passesapplaudissements, danstrois cequ'ila méritéparsa vieet parsamort.|| 5°Misemauxapplique d'autrescharmes, CORN. Pomp.v, t. Brit.m, 8. M.l'abbéMongin,vainqueur delà en pratique,miseen usage,miseà exécution. fit encore,avecl'applaudissement L'ap- Ilsvousontappliquéavecjoie [comme remède]le concours, d onton I l nouslavedenos D'Aà la théorie.Des de M ASS. Résur. un autreessaide son éloquence, plication, règles opposée sang l'agneau, compagnie, d e Cemotn'a ennousappliquant le prix de sonsang, souilluies 312. D ans un LEMB. général prévoitl'application. d'application qu'en applaudissement v, s ontd'une un Toutesceschoses MASS. Cire.|| Appliquer système,une science, toutl'empire,Augustene pouvaitrésisterà depe- parlantdespersonnes. de la introduire étendue.L'application dansla pratiqueles principesd'unsystits chagrins,ST-ÉVREM. rigoureuse II, 406. Ils sententle application unescienceà une d'unesommeà telle dépense.tème,d'unescience.|| Appliquer génieavecunevivacité quidevraitfairenaîtrebeau- loi. || 6°Attribution || 7° Enmathémati-autre, faireusagedesprincipesd'unesciencepour coupdegrandshommes,s'il suffisaitde l'applau-Cetargenta sonapplication. de l'algèbreà la géométrie,en développer une autre. Appliquer dissement l'algèbreà la Corinne,u, i. ques,l'application pourle produire,STAËL, à quelqu'unce quiest Lacour,quilui préparaità sonarrivéeles applau-cettebranchedes mathématiques qui est due à géométrie. |)3°Transporter un et danslaquelle on exprime lesquantitésditd'unautre.Appliquer versà quelqu'un.ApLouisdeBourbon. Descartes, dissements qu'ilméritait,BOSS. — SYN.APPLAUDISSEMENT, Lalouangegéométriques des LOUANGE. par équations algébriques. || 8°Ac- pliquerun proverbeà propos.Nevousappliquez aune pasce reproche.Il s'appliqueà lui-même toutce s'accordeà desobjetstrès-divers,auxqualitéspar tiond'appliquer l'esprità.Mettresonapplication 2 bien actions des chose. I l est Cela nese Pour aussi se BOSS. Prédic. qu'aux personnes ; capabled'application. peut qui dit, appliquercette exemple nes'accordent de mémoire,PASC.paroleà l'hommeparfait,ID.NOUV. les applaudissements qu'auxdiscoursfairesansquelqueapplication myst.PourapParole. ouauxactions.Lalouanges'exprimeparla parole; Prov.9. Je fus élevéavecun grandsoinet une pliquercettemaximeà monsujet, MASS. le lesapplaudissements, ST-SIM. unequalité,un qui signifient proprement grandeapplication, I, 20.Sichacunavait || 4°Attribuer,imputer.S'appliquer battement des mainspour exprimerle contente-application de à faire cet acte, BOSS. Ord.Quelleap- avantage. lenom sage.Il s'appliquait S'appliquer a rticulé. dus au travaild'autrui.|| 5°Mettre ment,n'impliquent pasl'idéedu langage plicationn'eut-ilpaspourétablirla discipline par- lesémoluments les La louangevante,célèbre,glorifie mi.... IXÊCH. Or. de sousle telle ; applaudisse{un. Lamoign.L'application coupde, infliger.Onlui appliquera unecertaine mentsnefontqu'approuver, maisavec de la loi. Lemaximum de la peinelui qu'ellesavaientà sa parole[lestroupesde gensqui disposition la n e vivacité suivaient J. ID. 345. d e Dieuest f ortement futapphqué. que louange supposepastoujours. C], L'esprit quelqu'unà IH, || 6" Occuper —HIST. honneurn'yapplau-en nousun principed'action,de mouvement xvi"s.Necherchons et quelquechose.C'estainsiqu'ilsse donnaientmusementdes hommes,maisla véritéseule,RAB.d'application un reposquiles appliquait chacuntout pour notresalut, ID.m, il4. L'ex- tuellement du tournoypré- trêmeapplication les à fourPant. u, 18.Par toutle discours avaient entierà son B OSS. Louis deBourbon.Vn bon que prêtres action, desspectateursber....FONTEN. cèdentfeutle bruytet applausion Or.i, . Rodog.n, 3. Andr.i, i. Unpèreesttoujours père,etsurcetteas- contreles deuxcentsestvenusapoier,ib. . x vie s. Le des qui pourargot, dedouzeà quatre,commeil a de sixà GUER). Ârguche, plaisir, v, 3.-|| régime proporcion à arguée,ancienneformed'argu- choseshumaines dela provi- deux,ORESME, semblebeaucoup Eth.447. arguesi clairement — tie(voy.cemot). saurait CALV. lnst.22. dencedeDieuqu'onnela nier, ÉTYM. de argumentari,arguArgumenlatio, 2. ARGOT et ses contenances et (ar-go),s. m. Termede jardinage.Ses mouvemens menter. arguent del'oeil. monstrentgrandefoiblesseet bassesse,AMYOT,ARGUMENTÉ, Partieduboisquiestau-dessus ÉE (ar-gu-man-té, tée), part, —ÉTYM. 4 Lemêmequeergot(voy.cemot). Comment l a 4. et presséparun adversaire refréner colère, habile. Argumenté passé. —ÉTYM. ÉE(ar-go-té, tée),part,passé. 1° ARGOTÉ, Provenç.arguir;ital.arguire.Lepro- ARGUMENTER F. n. Faire (ar-gu-man-té). || n. Terme de «. e t l'italien ARGOTERviennent bien un jardinage.vençal des arguments.Argumenter selonles règles, eu (ar-go-té), à'arguere,par la morte d'unebranche. dela troisième enla forme. contre partie changement c onjugaison quaCouper Argumenter quelqu'un.|| 2°Argu-^HIST. xiv*s. Icelluise levadela tableet print trième.Maisle françaisn'envientpas; s'ilenétait menterd'unechose,entirerdesconséquences. Cule ditGiletparla poitrine,etle ditGiletluisembla-venu,quelqu'eûtété l'infinitif,le présenteûtété vier,argumentant desformesdesanimauxactuels, l'unl'autrefor- j'argue, prononcéj'arghe, et nonj'argue, pro- détermineles conditionsgénéralesdes animaux blement,ettenoientet hargotoient noncéj'arguë,commelemontrentlesvers.Il vient fossiles. DUCANOË, argutio. luiadresment, || 3° V.a. Argumenter quelqu'un, —ÉTYM. ARGOT 2. v eutdire ici serdes le Hargoter Voy. d'argutare,argutari,lréquentatif d'arguere,répéarguments,disputercontre répondant. v. réfi.Il n'y a qu'à mettreses saisir,empoigner ; il n'estpeut-êtrepassansanalo- ter sanscesse,caqueter,sautiller.Primitivement,|| 4°S'argumenter, avec ou un mainssur ses oreilles et s'argumenter un peu[se gie argot ergot. arguersignifiequereller,tancer,attaquer,par t ientde l'ar- changement desenssemblable àceluiquiàecalum- faireuneraison],j. J. ROUSS. (ar-go-ti-f),adj.Qui t ARGOTIQUE Orig.2. — concerne niariafait e n HIST. xvi* s. les l'argot. got; chalenger, appeler justice,provoquer Quand Vignes gèlentenmon —qui ÉTYM. au combat.Puisarguer,refaitsansdoutesurlela- village,monprebstreen argumente Argot4. l'Jredes dieux v. n. Parler tin a uxiv" le sens actuel d 'arA RGOTISER la race M ONT, 470. sur -j(ar-go-ti-sé), argot. arguere siècle,prend humaine, I, —ÉTYM. — 4. sansétouffer l e sens de ÉTYM. Argot guer, pourtant primitif-qu'on Argumentari, argumentum,argus. m. Onappelait deFuretière, mais ment. ARGODLET (ar-gou-lè), argou- trouveencoredansledictionnaire est toutà faittombéen désuétude. t ARGUMENTEUR lets dessoldatsà chevalarmésd'arcs,les arque- quimaintenant s. m.Celui (ar-gu-man-teur), busesn'étantpas encoreen usage; oa les nomma f 2. ARGUER il ar- quiargumente. Il allaitsouventdisputerà desthè(ar-ghé;il arguese prononce dansla suite arquebusiers à cheval,et puis dra-,gh'), v. a. Technologie. Passerunfil demétalpar sesdanslesclassesde philosophie, et il brillaitfort lestrousdel'argue. Varigons. parsa qualitéde bonargumenteur,FONTEN. —HIST.'xvi" s. Le princepart accompagné de —ÉTYM. Argue. gnon. mille gentilshommes, de cinq cents argoulets, f ARGUEUR s.m.Celui (ar-gu-eur), (ar-gus'),s.m. || 1°Personnage auquella guiarguë. ARGUS — en un arcommeon appeloit cetemps-là,D'AUB. Hist.I, HIST. xvies. Onle tenoitpour grand Fabledonnait centyeux.||Fig.etfamilièrement. avoir 434.Encetemps-là,à chasquecompaignie degen- gueuret pourhommenompareil à subitement in- desyeuxd'argus,êtrefortvigilant,fortdifficileà à che- teriogueret cautementrespondre,AMYOT, Grac- tromper.|| 2° Surveillant,espion.J'ai desargus darmes,il y avoitcinquanteharquebuziers fairelesdescouvertes et servoient à escar24. auxcoteauxd'alentourQui ferontleurdevoird'y val,qui ques, — on argoulets, mouches CARL. ÉTYM. veillernuit et jour, ROTR. Antig.iv, -i.Je serai, çàet là, et lesappeloit Arguer4. i° 47. ARGUMENT s. m. Raisonnesi devotre vie,m.Bélis.ni,'s. Sauvn, (ar-gu-man), || je veux,l'argus —ÉTYM. Motd'origineignorée.Ménage croitqu'il mentpar lequelontireuneconséquence d'uneou merys'enacquitta[du soindeveillerà l'entrevue d 'un etdu ducde Bourgogne] en argus,avec vient mot,forgéparlui, arculetus,petitarc. de deuxpropositions. Argument solide,pleinde deFénelon tout le monde,S,Ts. m. Nomvulgaireforce.Il plaçaitsesarguments dansl'endroitoùils unaird'autoritéquiscandalisa + ARGOUSIER (ar-gou-zié), des de l'hippophaé le plusd'effet.SelaissertromperSIM. rhamnoïde,arbrisseau épineuxdit devaient produire 408,446.DamonEtablit argusà l'entour aussiépinemarante,épinemarineet griset. • Dupréfetje crainsles Coupe. pardesarguments captieux.Réfuterlesarguments !desafemme,LAFONT.
ARI
,
ARI
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193 Trembl. aux consolations argus,BËRATTO. || 3°En histoirenaturelle,d'uneâmeinsensible quedonnent —HIST. xvies. Il ordonnade la sarrasineou de d 'animaux o ffrant des nomde plusieurs tales S'il espèces pratiquesreligieuses. reçoitlesconsolations l'aristoloche 44.Aristolocliie PARÉ, xxxxi, de chesquel'ona comparées à desyeux. sajoieredouble saferveur;s'il est dans deuxsortes,longue, sensibles, e t désire l ongue bonne ronde, —HIST.xives. [Bonfromage terre, doitêtre]Nonar- lesaridités,danslessécheresses, sa crainteredou- 0. DESERRES, 624. a, 6.||xvies. blesonexactitude, FLÉCH. gus, maisdutoutavugle,Ménagier, 11,p.IS7.L'âmefidèle,au —ÉTYM. Aristolochia, deâpioroç, deàpto-To).o-/ia, Mercure doncs'assit Tintet milieu ses de dégoûtset de ses aridités,portedu excellent auprèsd'Argus, passa çjft et de >.oxeia', (voy. A RISTARQUE) , lochies en propos et argus[disputes] Le.jourcoulant,par- moinsuneconscience !•*} qui ne lui reproche pointde (voy.cemot).Lesgensqui, au xviesiècle, disaient Car.Tiédeur. Lesariditésde la vertu aristolochù,abandonnaient |,' lant.deplusieurs poinctz,MAROT, IV,49. crime,MASS. la forme ancienne,qui ;:'! —ÉTYM. trouventmilleressources dansla vertumême,ID. vientde aristolochia,avecl'accentsur Argus,filsd'Arestor. lo. s. f. Raisonnement surdes ib. La premièresourceet la plus coiamune (ar-gu-sie), des f ARISTOPHANESQUE t] ARGUTIE (a-ri-sto-fa-nè-sk'), adj. et desariditésdenos prières,c'estla tié- Quia lecaractère vétilles,subtilité. dégoûts d es comédies dans d'Aristophane, —HIST. xvies. Voyansqu'ilsne pouvoient notrevie,m.Car.PrièreI. Sans lesquelles éga- deuretl'infidélitéde la plushardie. règnela fantaisie deVirgile,sesont'tournez à l'enflure,vousavoirfait éprouver lerla majesté lesariditéset lesfatigues — ÉTYM. célèbre Aristophane, poèteathénien 'et à je ne scayquellepoincteet argutiemons-du désert,ID.Prière1. duVe siècle avantl'ère chrétienne. —ÉTYM. RONS. 584. Irueuse, Provenç. ariditat;ital.aridità; d'ari- t ARISTOPHANIEN (a-ri-sto-fa-niin), adj. m. —ÉTYM. On dit-atem, deartdus(voy.ARIDE). Argutia,i'arguere(voy.AKGUEB). Termede métriqueancienne. S ortede vers ainsi disaitaussi, dansle xvi"s. arguce,qui était la f ARIDURE (a-ri-du-r'),5. f. Ancientermede appelédunomdupoèteAristophane. l'ormevéritablement française: argutiaavecl'ac- médecine. Synonyme d'atrophie. IENNE• (a-ri-sto-té-li-siin, ARISTOTÉLICIEN, centsurgudonnantarguce,qui doitêtreplusan- —ÉTYM. Aride. à la doctrinesiè-n').H Ie Adj.Conforme d'Aristote. cien que le 'XVIes. bienquel'onn'en ait point ARIEN,IENNE(a-ri-in,è-n'),s. m.et f. Héréti- Il 2°S. m. Aristotélicien, de la doctrine partisan du Filsavecle Père d'Aristote. d'exemple. queniantla consubstantialité Lesaristotéliciens. LesVandales étaient —ÉTYM. f ARGYRANTHÈME (ar-ji-ran-tê-m'), ad].TermedanslaTrinité.||Adjectivement. Voy.ARIST0TÉL1SME. de botanique..Qui a desfl'eursd'unblancéclatant. ariens. ARISTOTELIQUE T (a-ri-sto-té-li-k'), adj. Terme —ÉTYM. fleur. —ÉTYM. "Apyupoç, argent,et àv8rijj.a, dephilosophie. Quise rapporteà Aristoieou à sa Arius,célèbre hérésiarque,engrec'ApEïoç. s. m. plur. Cenomsignifiemartialetvientde "Ap-rçç, ARGYRASPIDES (ar-ji-ra-spi-d'), Mars. philosophie. Nomd'uncorpsd'élitedel'arméed'Alexandre, dont ARIETTE s . Air t ARISTOTÉLISER (a-ri-è-f), f. Termede musique. v. n. Être (a-ri-sto-lé-ii-zé), lessoldatsportaientun bouclierargenté. et court se chante avec e t accomdeladoctrine léger qui d'Aristote. paroles partisan —ËTYM. de apyupoç, Lesvaudevilles se sontnomméslong- ARISTOTÉLISME argent(voy. pagnement. 'Apyupa. nostre armoires c es bonne villede (ar-mo-ri-é), armeator. appliy logent plantesci, Paris,DUCANGE, sur quelquechose.Armoriersa || xvies. Lesarmespendues rant l'augeclosepar un huis, commeceluid'un querdesarmoiries esboutiques desarmeuoud'uncoffret,fermantà clef,ID.779. vaisselle.Et pourtoutevertufit au dosd'un car- riersetfourbisseurs, armoire AMYOT, Pèlop.23. —ÉTYM. — A côtéd'une mitrearmorier s a B on.. ÉTYM. Armure.Ona dit ormeîe, rosse, crosse, aussidans l'ancien Bourguig.omoile,firmère, Lutr.vi.AuseindeParis e ncor de sa même, plein ormoire,arrière;Berry,armoire,armotse;provenç. françaisarmoyer,del'ancienverbearmoier(voy. l esaïeuxd'un etital. de ou d'un honte, Epouser marquis ormari;espagn. armario;d.'armarium, ARMORIER). ou ARNTQUE s. f, arma, armes,lequel,signifiantchosequis'adapte,,comte,Armoriersonchardeglaives,de drapeaux t ARNICA (ar-ni-ka) (ar-ni-k'), transmetson sensà armarinm.DanslesanciensEt semasquerd'unnomportépar deshéros,GILB.Genrede plantesdela familledescomposées. L'arestréputéetoniqueet stimutextes,almarie,armarieest une formeorthogra-Apologie. niquedes montagnes — HIST. xves.Etmirent l eurs le maisne a rtoutes les pennonsavant, lante; emphiquereproduisantlatin, valant,pour partiesen sontfréquemment Saint 496 FROISS. Et le ployéesparleshabitants la prononciation, I, I, desmontagnes. quealrnaireou armaire,commemoyésde George....
ARO
ARP
ARQ
197
commeune arondea trop mieuxcontentez.Quiont leurschampsnon — ÉTYM. Le nom botaniqueest arnica {ar- Raoulde C.433.|| xives. Aussy seulhiau arpentez,DUBELL. m, 49, verso.Queme'sertvoir nica montàna). Le genre arnica appartientà seulene signifiepasle tempsdeverneun 4 enle monde E n tout Eth.x, 6. Tost papier,oùje mefondeÂl'arpenjournele faitpas....ORESME, Linné. Tostfut Prognéconver-ter pas à pas?ro. m, Sfi,recto.Tantà grandspas s. f. Termede chimie.vahitFortuneHermionne; (ar-ni-si-n'), \ ARNICINE 602.Pourlesdiverses Bal. {Berlhault)146. lespleinesilsarpentent,RONS. tie en haronde,CH.D'ORL. Résineamèreextraitedel'arnica. lesarpenteroumesurer, figuresdesterres,convient s. f. plur. Famillede || xvi"s. Surl'arbresecs'encomplaint.Philomele; (a-ro-ï-dée), f AROÏDÉES 42. 0.DESERRES, L'arondeen fait crispiteuxet tranchans,MAROT, quidoitsonnomà l'arum. plantes, — ÉTYM. — ÉTYM. sur la mortdeLouisedeSavoie. Arpent. Compl. "Apov,arum. — ARPENTEUR ,\ m. || 1°Celuidont H IRONDELLE. (ar-pan-teur), Voy. AROMATE (a-ro-ma-f),s. m. Toutesubstance ÉTYM. de lesterres. s.m. est Il mouillées), la profession d'arpenter, mesurer, durègnevégétal,exhaleuneodeur t ARPAHXEUR (ar-pa-lleur, qui,provenant Nomvulgairedugrandplu- , Il sentitsoncoeurs'amollirCorruption (voy.cemot). || 2°Termedezoologie. et agréable. d'orpailleur pénétrante Acs. m. Termede musique. vier. commelesaromatesde son pays ARPÈGE (ar-pé-j'), et se dissoudre, et rapide- — HIST.xvi" s. Escheantarpentement en corddontonfaitentendresuccessivement public, à unfeumodéréets'exhalent fondentdoucement fairel'évaluation des de les t ousà s ont aulieu divers frapper 40. les gensexperts députés p our Pr. deBabyl. ment sons, VOLT. délicieux, parfums l'arpenteur,tout —SYN.AROMATE, L'aromateestcequi lafois.Danslesopérasde notreancienneécole,la propriétés,qui, accompagnans PARFUM. souventd'unemainlui monstrentles limites,tenanset exhaleune odeuragréable ; le parfumest l'odeurpartiedu secondviolonest écritele plusDût.de 42. desfonds,o. DESERRES, agréablequiestexhalée.Encesens,ilsnesontpas en batterieset fenarpèges,CASTIL-BLAZE, aboutissans — ÉTYM. maisils le deviennent, Arpenter. quandparfummus. synonymes; — ARPENTEUSE alors ils Ital. ÉTYM. A RPÉGER). (ar-pan-teû-z'), adj. et s. f. Terme même ( voy. ; arpeggio estprispourle corps qui parfume d'ar- d'entomologie. .v.m.L'action Chenille ou,absolument, arpenteuse, se distinguenten ce queparfumest plusgénéral ARPÉGEMENT(ar-pè-ge-man), J. j. esttrès-long,et chenille d ontle et dit des et lui-même, corps nese l 'arpège arpenteuse, que végétaux péger, quelquefois quearomate.Aromate enfer à se contractant Dict.demus.Arpège. qui, dans la progression, dessubstances végétales ; parfum,au contraire,se ROUSS. semble me—ÉTYM. chevalet s'allongeant Ital. arpeggiamcnto. alternativement, tiréesdesdifférents règnes. dit dessubstances mau- surerle cheminqu'ellefait. xnies. Tuiezla vergede fuméeD'aro- ARPÉGER —,HIST. (ar-pé-jé.L'e,suivantla règlemême — ÉTYM. garde l'accent.aigu, Arpenteur. matremisen ardure,Quipar le dezertiezmontéevaisede l'Académie, e tbien est -12. xvie s. suit ARPON R UTEB. la muette, qu'alors (ar-pon),s. m.Termedemarine.Large H, || qui f El cielseurtoutecréature, quand voyelle scieforten usagedansleschantiers. commecellesqui il se prononce commec), v. n. Termedemusique.et longue_ Autres[eaux]sont odorifiques, 7. ÉE(ar-ké,kée),part,passé.|| IeCourbé Fairedesarpèges. XXVI, ARQUÉ, sonttiréesdesaromates,.PARÉ, —ÉTYM. Ital.arpeggiare;aupropre,jouerdela en arc.Poutrearquée.C'était[Rosen]un grand quisignifie —ÉTYM. plurield'ctpw[j.a, Ap.S. de LouisXV,35. honorable, la langue, la queue.Onarrachaitles —SYN. 1. ARRACHER, RAVIR. Cequidistingue ces —HiST.xvies. Un jeune garçonharquebusé,oreilles, affiches.|| Fig.et familièrement. Je lui ai arra- deuxmots,c'estquearracherimpliquerésistance D'AUB. Hist.i, 74. chéunedent, en parlantd'unavareàquiona sou- deceluià quionarrache; tandisque ravirestà la —ÉTYM. ital. Arquebuse; archibugiare. tiré del'argent.|]2°Employer effort,violencepour véritéun actede violence,maisquipeut s'exercer Métier de ARQUEBUSERIE(ar-ke-bu-ze-rie), s.f. ou deschosesnon défendues ou ôter,pourfairelâcher,fairequitter,fairesortir,au surdespersonnes celuiquifaitdesarmesà feuportatives. au O n arracha le et lui des mal défendues. propre figuré. poignard À.Ar|| 2.-ARRACHER DE,,ARRACHER —HIST. XVIe s. Acesteheureles principales ac- mains.Arracher d esmains desennemis. racherde l 'endroit oula chose d'oùl'onarquelqu'un indique tionsde guerreconsistent à surprendre,assailliret Arracher la victoire à l'ennemi.Il ne putjamaisar- rache; c'estla séparationviolente d'unechosed'adéfendre et lespie- racherdesamémoire places,à quoyl'harquebuserie les injuresqu'il avaitreçues. vecune autreà laquelleelletenait: arracherun quessontnonseulementutiles, ainsnécessaires,Arrachezde votrecoeurla passionde l'argent. cloud'unemuraille,arracherunhommed'unlieu. 261.Aprèsavoirlogépar les pentesson Onluiarracherale pouvoir. LANOUE, Arracherun prêtrede Quandonarrachede, c'estla personneoula chose D'AUB. Hist. Noz à la 273. arquebuserie,... i, gens l'autel.Onarrachace citoyendechezlui.Jel'aiar- quel'onarrachequirésiste.Arracherà estsuivid'un et artillerie,M.DU BELL. 7. rachéd'avecelle.Jeviensvoirsil'onpeut arracher nomde personne gardede leurarebouzerie oud'unnomdechosepersonni— ÉTYM. ital. archibusiera. ; Arquebuse desesbrasCetenfantdontla viealarmetantd'É- fiéeen quelquesorte,et marquequecettepersonne s. m. || i" Soldattats, RAC. ARQUEBUSIER (ar-ke-bu-zié), Andr.i, 1.Lecruelnela prendquepour oucettechoseestle butdel'action,quec'està elle étaitarméd'une 2° qui arquebuse. || Bourgeois qui mel'arracher,ID.ib. m, 1.Le ciel,dit-il,m'arra- qu'onveutôter l'objetdontil s'agit.: arracherun faitpartiede la compagnie forméepourl'exercicecheuneinnocente Phèd.v, 6. Tun'auras oeilà unepersonne vie, RAC. ; un enfantà samère; deTardutir del'arquebuse. 3°Celui fait desarmes || qui deni'arracher la MOL. l'Étour. 7. à un arracher pasregret vie, u, gent avare; quelqu'unà la mort, à à feu.Encesenson ditmaintenant armurier. Vousseulvousluipouvezarrachercetteenvie,RAC.la vengeance de sesennemis.Quandon arracheà, —HIST.xvics. Un de cesdeuxhacquebutiers,Bérén. 7.Jetevoudrais moi-même en arracher l'enc'estla iv, personneoula choseà laquelleon arrache Pour malviser,faut lourdement,HAROT, 69. ducoeur cedesseinquirésiste. m, Cid,rv, 2.Arrache-lui vie,CORN. d es Ony trouvera d es lanciers, 6. pistoliers, de Belle harqueXII° s. Quantnostresireesracerad tuztes mourir,ïo.Cinna,m, Charlotte, je vous —HIST. busiers' cheval,simples, etautresarmezdecuiras-aimede toutmoncoeur;et il netiendraqu'àvous enemisde la terre,Rois,79.Moûttostrompuset ses.Ony voidencoredesarbalestiers à pied,etdes que je vousarrachedecemisérable le arachiezLesmembres ducors[ils]vousauront,La lieu, MOL. à 23-1. Bon nombre hacquebutiersrouet, LANOUE, Fest. n, 2. Ils m'arrachentd'un trôneoù votre charrette,3070.|jxines. Ilot unfevreenNormanet de picquiers,M.DUBELL. d'arebouziers 47. Un choixm'élève,CORN.Agésil.v, 4. Je ne voisplus dieQuitropbel arrachoitlesdenz,BARBAZAN, Fad e ID. 6 6. capitaine harebousiers, Quelques arque- en lui les restesde monsang, S'ilm'arrachedu bliaux,dansl'Ordene de chevalerie, 161. p. Fain, busiersà cheval,D'AUB. Hist.i, 290. monrang, ID.Rod.v, 1. La quinevoitne bléne arbres,Leserbesen errache trôneet la meten —ÉTYM. Arquebuse. reineBéréniceVousarrache,seigneur,duseinde puresAstrenchansongles,as densdures,la Rose, i° T.a. Courber enarc.ArARQUER (ar-ké).|| vos États,RAC.Bérén.i, 2. Undésordreéternel 10189.Il y a encoreun casde crieme,dontje ne quer une piècede fer. || 2°V.n. Fléchir,devenirrègnedanssonesprit,Unchagrininquietl'arrachepadoiepasdevant, c'estdebonnes[bornes] esracourbe.Cettepoutrecommence à arquer.|{3°S'ar- desonlit, m. Phèd.i, 2. Unebeautéqu'onvient cieret puisrasseir,en autruidéshéritantpor soi quer, v. rêfl.Secourberen arc.Lesjambesde cet d'arracherau sommeil, ID.Brit.n, 2.|| Arracherle aheriter,BEAUM. 27.||xive s. Il se efforçade XXX, enfantsesontarquées. Voilàcequimefit lesesracier,ORESME, causeruneviveaffliction. Eth. 44.LidizAdamavoitar—HIST. xmes. Desitrès grantfaisil mecarche coeur, le coeur, resgiéunebonne [borne]enterroirde Tours,DU écrirecinqà sixlignesqui m'arrachaient arrancare.|| xvr s. Cemasquearraché,rap[charge],Quetoutel'eschinem'en arche, Com- SÉV. 329.|{3°Tirerquelquechosedequelqu'un,ob- CANGE, JUB. II, 247.|| xvr=s. Cespierres tenir avecpeine.Arracherdel'argentà quelqu'un.portantleschosesà la raisonet... MONT, plaintedouteuse, I, H8. Arestaientfaitesen façond'unecornede mouton,non Ellearrachaitdes pleursmêmeaux indifférents.racherlesenfantsdu sommeiltoutà coup et par une.Onne lui ID. 196. passilongues,ny si courbées,maiscommunément les uneà arviolence.... O nne me a rracher Arracher réponses peut I, pouvoit estaientarquées,PAKE, 38. racherun mot.Laplèbearrachacetteloi auxpa- de l'oisifveté,ID.I, 195.Onleurarrachele coeuret —ÉTYM. triciens.Lesmauvaissuccèssont les seulsmaî- lesentrailles,ID.I, 129.Toutceiasefaict_pour arArcuare,dearcus(voy.ARC). s. En f ARQUET (ar-kè), m. termesde tisserand,tresquipeuventnousreprendreutilementet nous racherdeleurbouchequelque parole....ID. i, 242.Un filde fer fixéà la brochette retientles f ailli coûte à noarracher c etaveud'avoir tant soldat avoitarraché ce de bouillie petit qui qui peu quiluy luy dansla navette. tre orgueil,BOSS. Reined'Angl.Cessoupirsquela restait,ID.n, 48.Elles'arracha d'alentour defateste tuyaux —ÉTYM. Diminutif dearc. tristessem'arrache,MASS. Lucull.32....Undueil Affl.Leslarmesquece sonbandeauroyal,AMYOT, luiarrache,ID.Mort.Ainsivousretombezquele tempsn'a pouvoirD'arracherde ta souvef ARR....Préfixeforméde ad, à, et d'un mot souvenir a partoutdoublé IV. danslesmêmesalarmesQuivousontdansla Grècenance,RONS. 399. commençant parr. L'Académie — d ans araser. de R AC. Mithr. 1.Netefais arraché tant ÉTYM. excepté larmes, a, Provenç.araigar,araizar,arasignar, s. m.Termedejar- pasarracherlesmotsdelabouche,MOL. f ARRACHAGE (a-ra-cha-j'), Fourb.i,i. esraigar;anc.catal.arraygar;espagn.:arraigar; annéess'écoulèrent,sans queles deux portug.arreigar.Laformearracherrépondà abdinage.Actionde déplanterunarbre. Quelques ÉE (a-ra-ché,chée), part, passé. vieillards et le prêtre]lui pussentarracherradicare; la formeesrachierà exradicare,deraARRACHÉ, [Chactas i° Tirédeterreavec la Il racine,et,parextension,sonsecret,CHATEAUB. René,166.Je t'aimêmepuni dix, racine(comp.RACINE). arrachéesdel'ar- del'avoirarraché[monsecret],RAC. Mithr.IV,i. f ARRACHE-SONDE s.m.Techôté, enlevé.Arbrearraché.Olives (a-ra-che-son-d'), bre.OEil arraché.Cheveux arrachés.Uneépéearra- Vousm'avezarrachécetaffreux VOLT. Alz. nologie.Outilservantà retirerdu troudesondeles sacrifice, chéedesesmains.Je visparmessoldatsmesaigles i, 4.Mesbienfaits, monrespect,messoins,macon- fragments dela tige, quandellese brisependant arrachées.... CORN. Sertor.i, 1. Etsonsceptrearra- fianceOntarrachédevousquelquereconnaissance, letravaildu forage.|| Auplur.Desarrache-sonde chédes mainsde l'ennemi,ID.Hor.îV,2.Lesdé- ID.Zaïre,iv, 6. Cesecretm'importune, ilfautque ouarrache-sondes. pouillesdesJuifsparvosmainsarrachées, RAC. Be'r.je l'arrache,ID.Mérope, EUSE(a-ra-cheur, iv, 1.Tandisquedessol- ARRACHEUR, cheû-z'),s.m. 1. 2" Arrachés Vont m, || Séparé,éloigné. deleurpatrie. dats,demoments enmoments, arracherpour et f. || 1°Celui,cellequiarrache.Unarracheurde Arraché audanger,autravail.|| 4°Obtenuluidesapplaudissements, || 3"Enlevé. RAC.Brit. iv, 4. Je ne dents.|| Familièrement. Mentircommeunarracheur avecpeine.Aveuarrachéparlestortures.|| 5°Termepuisarracherducreuxde macervelle Quedesvers dedents,sedit d'unhommequimentaveceffronde blasonqui s'applique non-seulement auxarbres plusforcésque ceuxdela Puçelle,BOIL. Sat.vn. terie. || 2"Termed'agriculture. Arracheur depom-
ARR 199 ARB Si l'on —HIST.xvies. Levassalpeutdémembrer, bailmesde terre, instrument d'agriculture. |[ 3°Arra- et de nousruiner,faisonsun arrangement. sonfiefsansl'assensde ouvrièrequiarrachele jarre peutveniràunarrangement. || 7°Entermesdemusi-lerà censet airentement cheuseou épluoheuse, d 'une son et presquetoujours réduction que,disposition seigneur, jusqu'autiers de son domainesans des peauxdecastor. 644.Parlapsde tempsleurs d'uneex- composition faitepourunouplusieurs —HIST. instruments,s'endessaisir, LOYSEL, xvr1 s. Plusieurstourmentés par un seul voisinsriches,soubsnomsdepersonnes supposées, trêmedouleurde dents,voyansarriverl'arracheurdemanièrequ'ellepuisseêtreexécutée différents. e n euxles 2 6. ou i nstruments trouvèrent detransférer arrenteIntrod. instrument parplusieurs avoientenvoyé moyen .quérir....PARÉ, qu'ils on perdsansdoutelesef- ments,AMYOT, LesGracques, 40. —ÉTYM. Dansunbonarrangement Arracher. — la mélodie desmasses mais ETYM. catal s. m. |li" Termedejar- fetsdetimbreset ceux Arrenler;provenç.arrendamen; ; (a-ra-chi), t ARRACHIS doiventseretrouverentièresainsique arrendament; frauduleuxetl'harmonie ; portug.orespagn.arrendamienlo dinage.Plant arraché.|| 2°Enlèvement d es o rdredans Enalgèbre, lequel rendamcnlo. du plantdesarbres. l'expression. 118" l'une —ÉTYM. être lettres Arracher. peuvent placées parrapportà l'au- ARRENTER (a-ran-té),v. a. Donnerou prendre d euxà t rois de tre. Arrangement de six-lettres, à rente. s. m.Instrument deux, t ARRACHOIR (a-ra-choir), arc d e sont l esracines d es àtrois. s ix lettresa b xiv°s. EtlesarrentezouabosnezdoiLes, f susceptibles — HIST. formevariable propreà arracher de septcentvingtarrangements. froment,nu CANGE, bres, lesperchesde houblon. vent,chascunan,deuxmoitons nous Et establit c hanoines ÉE(a-rè-zo-né, j'arran- arrentare.I|xves. y (a-ran-jé), arrangeons, pourDieu née),port.passé. ARRANGER ARRAISONNÉ, bienet largeArraisonné geais, j'arrangeai,arrangeant,v. a. \\1° Mettreservir;et les arrentaet approuvenda parsesamis.|]Vieux. s es affaires. v.a. |] 1"Chercheren ordre, disposer,régler.Arranger ARRAISONNER ment,FROISS. I, I, 243. (a-rè-zo-né), — l es mots.Il L'art raisons. Tandis un ETYM. et espagn.ardes d'arranger à persuader.par Ad,à, et renter;,provenç. quej'arraison-Arranger voyage. sa fa- n'eutpas le tempsd'arrangerses raisonnements. le roiconsultait,et rendar. naisM.le ducd'Orléans, L'économie ar209. M .du Maine bien savie. ARRÉRAGER v. n. S'arriérer,être milleetsonconseil,ST-SIM. Cethommea arrangé 244, (a-ré-ra-jé), Cespolitiques spé- enretarddepayement.11nefautpas laisserarréme'voulutarraisonnersur le lieuoù nousétions rangelesaffairesembarrassées. l eursidéesles con- ragersesrentes.11ne fautpasselaisserarrérager. Montrevel et moi,ID.344,245.|JVieuxencesens. culatifsqui arrangentsuivant sansinstructionles —HISTxiues. S'iln'estainsiquele [la]querele || 2°Entermesdemarineet de policesanitaire, seilsdes rois, et composent Duch.d'Orl.La ma- touquele segneur,et qu'il ne fust arrieragiésde et oùilva. d'oùvientun vaisseau s'informer annalesde leur siècle,BOSS. monarchiessondroit,parle délaidesparties,BEAUM. 8. —HIST. Charlon xi°s. Moûtfièrement LXV, [il]enarai- nièredontonarrangelestroispremières Tâchez d 'ar— ID.Hist.i,7. ÉTYM. Arrérages. fabuleuse, sune,Ch.deRoi.CCLVIII. || XIIes. Moûtdurementestvisiblement le mieux vous 443. C harlon ARRÉRAGES fud'els[eux]araisonez,Ronc.p. que (a-ré-ra-j'),s. m. plur. Cequi est [il] rangervosintérêtsdomestiques 7.|| 2" Mettred'accord.échud'un revenu,d'unerente, d'uneredevance. Corresp. pourrez,MONTESQ. apele,pristl'enà arraisnier,ib. p. 485.Entrevus lesdifférends.Pouracheverde payerses arrérages,SÉV. 29.-Sa l'enadsovent etle reiavezestemedlé; L'apostolies Dansles arrangent bourgs,lesnotables à entrerdansle produiteffectif unmariage.|| 3°Convenir à, agréer.11n'est grandeapplication araisuné;Li prélatdel reaumel'en unt amonesté,Arranger I l moût aucuneloiqui arrangetoutle monde. réponditdes revenusdu roi le mit en étatdefairepayer, Th.kmart.84.||xmes.Liraispuisl'araisonne pas.Celam'arrangedèsla premièreannéequ'ilfutàlatêtedesfinances, Berte,ex. Demaintechosei fut quecemariagene l'arrangeait debonairement, ondoitarai- à biendeségards.|| 4°Réparerun objetquiesten seizemillions desrentesdela ville,FONib.exix.Comment Bertemoûtavaisnie, d'arrérages chezl'horlogerTEN. cettependule état.Envoyez sonnersonseigneur,avantqueon ait bonappel mauvais Argenson. — Tandis s. Ilsentrèrent e n 5° REM.Ménage 4. xvc contrelui, BEAUM. Orner,parer. signalecommemauvaisarriéLXH, || pourqu'il l'arrange.|| maltraiet lui araisone-qu'ellessefontarranger.|| Ironiquement, sa maison[à Philipped'Artevelle], ragesque plusieursdisaient,trompéspararrière. vienteneffetd'arlabonnevillede ter.Tuseraisarrangécomme tu le mérites.Jel'ar- Arriérage,quiestun archaïsme, comment rent et remontrèrent 6°En termes de est d'avoirun souverainrangeraide la bellemanière.|| Gandestoiten grantnécessité rière; arrérage,qui seul adoptépar le bon FROISS. capitaine, H, II, 402.Siadvisatempset lieu musique,mettreà la portéed'unou de plusieursusage,vientà'arrèrequi s'est ditautrefois.C'est de instruments de la langueden'avoirpas,en lesGenevois au plusbriefqueil putarraisonner ce quia étécomposé pourun ou plu- uneinconséquence cestechose,Bouciq.m, ch.3.|| xvi*s. Il estoitsin- sieursinstrumentsd'unenaturedifférente.Onar- bannissant an-ère,banniaussiarrérage. — meontil HIST. xnies.Et parcestassenement aiméet bien voulude la commune,rangesouventpourle pianouneouverture d'opéra. gulièrement de deux d e cae n detousles ReHummela arrangé quatuor symphonies clametquite arriraghes,TAILLIAR, façonqu'ilavoit saluer, pourunegracieuse resseret arraisonnerprivéementet familièrement Beethoven. v.réfl.Seplacerenordre, cueil,p. 308.Quantli segneurn'ont parjugement || 1°S'arranger, Touts'arrangea toutle monde,AMYOT, se coordonner. ||8° Se cequilorestoitconceléoufortraitdelonctans,li parfaitement. Csssar,4. —ÉTYM. BEAUM:. pourfairequel- sougetsonttenuàrendretouslesarrierages, Provenç.arrazonar;anc.catal.arra- mettredansunepostureconvenable son serait v enuetlesavdans fauteuilpourdormir. 9.Il perdraitcequ'ilen honar;portug.arrazoar;du bas-lat.ar-ratiocinarequechose.Ils'arrangea XXIV, sesmesures la double formearraid'où 9°Se Ar-. pour. rieragesqu'ilavoitlevéspuisle [la] mort de son ; préparer,prendre (voy.I et RAISONNER) || Je m. vu, 8.||xives. Pourcausedesarrésoneretaraisnier. range-toi pourquerienneluimanque. m'arrange-devancier, surdelacolère,ilnes'é- ragesde trois annéesd'unarpentde vigne,DU ÉE (a-ran-jé,jée), part, passé. raienconséquence. Comptant ARRANGÉ, J.-J.-BOUSS. et Toutesticitrès- tait nullement arrangépourcesang-froid, CANGE, aubenagium. || xves. Xtantpourservices || i°Misdansunordreconvenable. comme ilvous derentePar l'intérieur d es aniA uront t roiscensmaulx bienarrangé.Il ne se passe,à Ëm.u.|| Familièrement. jours Arrangez-vous gaiges, vous CH. D'ORL. Bal.86. de rien c'est-à-dire faitesce avecles rien v oudrez, réglez que arreraiges, suivi, d'ordonné,.puisqu'ils plaira; an,— maux, mêle Au et arrannem'en ARRIÈRE ÉTYM. rienpardessignescombines vosaffairesà votreguise,je pas. ;provenç. areyrage,arreyVoy. n'expriment et iro:Jet'aiditma Familièrement fais tesréflexions BDFF. Del'homme. par pen- rage. || reste,arrange-toi, gés, 4. 10° Être ARRESTATION é tat.Vousvoilàbien GRESS. le estdansun mauvais etmes sée Méch.i, || (a-i-è-sta-sion ; en poésie,decinq conditions, nie,qui s. f.|| 1°Actiond'arrêterune personne [|2°Apprêté,terminéà l'amiable,s'accorder,s'entendre.Siles syllabes), arrangé!Voilàdeshabitsbienarrangés! affecté. Cethommea toujoursunair arrange.Ceux chosespeuvents'arranger.Ondécidaqueles con- envertu"d'unordre,d'unjugement-Ona fait de entreeuxpourtenirlescomices.nombreuses arrestations. || 2° Etatde celuiquiest quiveulentfaireles articlestroparrangéset trop sulss'arrangeraient Lett.àbh.84.|| 3°Réparé.Unemon- Uvautmieuxs'arranger queplaider.|| il" Secon- arrêté. formels,BOSS. —HIST. 4° en sans nulle xnes. Mort[il]le trestourne tre arrangéeparl'horloger. || Rangé, parlant tenterde....Je m'arrangedetout. RANGER. ne diffèrede arrestison,Ronc.p. 76.Entreciqueasportesn'iot Vervinsétaitriche, arrangé, et ne —SYN. deshommes. Arranger ARRANGER, fadela à. Ar- arrestoison fut jamaismarié,ST-SIM. 139,32.Un pèrede rangerqueparl'adjonction préposition [del'ennemi],Sax. vin.||xnr s. Li Exp.surlesVégèt.rangerest doncrangeravecun certaindessein.En serjants'enretournent,n'i fontarestoisons mille,unhommearrangé,BUFF. [nes'y 1°mém.|| Ondit maintenantrangé en ce sens.-effet,ranger,c'estmettreunechose,unepersonnearrêtentpas], Berte,xxm.|| xiyes. Vats'enli esDuelarrangé dansle rangquilui appartient, et quiestdéterminépaignolà coited'esperon à l'amiable, accommodé. ;Droitde ci à Toulette,n'i || 5°Terminé Ledifférend 8934. ayantétéarrangé.d'avance: on rangedeslivresdansune bibliothè-fistarrestison,Guescl. pardesamiscommuns. — c'estdétermibiendes dessoldats. ÉTYM. Lesdeuxadversaires Arranger, arrangésaprès pour- que,onrange Voy.ARRÊTER; provenç.arrestation. Une partiearrangéepourle nercetordremêmedanslequelonrange. Arestoison estlaformeancienne et parlers.|| 6°Convenu. pourarrestation, — sise traient xnes. d e d ansle lendemain. HIST. avaitle sens arrêt,retard, vieuxfrançais, Françoiss'arengent, 7755. Entour l ui voit ANTE v. aussi Bat. avait [il] f ARRANGEANT, (a-ran-jan, jan-t'),adj. arier, d'Aleschans, qui arestement, arestance,areslée. fun'est difficultueux. C'estun s eïret Sax.vi. xni«s. Et seshomes ARRÊT Quiarrange,qui pas arrangier, || (a-rê; le t ne se lie quedansla prononl i e ncontre les V ILLEH. hommearrangeant. Unemarchande renttuit uns, ciationsoutenue : un arrêt infamant arrangeante. arengié autres, ; dites: a-rêTant li s. 1"Ac: or vous ARRANGEMENT en. Renartrespont maisonditsanslier: fairesaisieetarque t-infamant; (a-ran-je-man),m. || soufrez, tiond'arranger.Je l'ai chargéde l'arrangement de moineaientmengié,Qui as tablessontarengié, rêt entrelesmainsdequelqu'un;ona faitarrêten saillirent dela galie .sapersonne meslivres.|| 2°Disposition, ordredanslequelon Ren.784.Et ilet seschevaliers et ensesbiens),s. m. || 1°Actiond'arleschoses. desmots. P ar b ien armez etmoult b ien et se vindmoult effet d ecetteaction.L'arrêtdesaffaires complace L'arrangement quels atirez, rêter; n otre a etla d ecoste JOINV. 2-15. Esvous m il merciales. Lemédecin a reconnuun arrêtdansla progrès corps reçul'arrangement vie, rentarranger nous, MASS. Vérité.En considérant de l'usur les chevaliers Qui marche d elamaladie. l'arrangement armés, s'arengent fossés, ||Fig.Un'apointd'arrêt;c'est \ niversentier,VOLT, ilemnon.|| 3°Ordredansla dé- Blancandin. unespritsansarrêt;c'est-à-dire c'estunhomme léger, — Cet homme Il faut ÉTYM. etsur onne pense. Mais manqued'arrangement. Provenç.arengar,arrengar,arenjar; cesjeunes lequel peutpascompter. mettreplusd'arrangement dansvos affaires,dans anc.catal.arengar;dead, à, et ranger. bergers,si beauxet si chéris,Sontmeilleurspour vosdépenses. Jepuismepriverentroismoisdevingt- f ARRANGEUR s. 1°Celui m. qui amantsqu'ilsnesontpourmaris; Ils n'ont aucun (a-ran-jeur) , || cinqfrancs,maisnonde cinquante;chacuna son donneuneformedéfinitiveà un canevas,à une arrêt, ce sont espritsvolages,Qui souventsont Dm.Lett.à L.... || 4-Mesures arrangement, prises ébauche,aune idée.|| 2°En termesde musique,toutgrisavantqued'êtresages,RACAN, Berg.Sisesaffaires;modedepayement. Pren- celuiqui arrangeune composition musicale pourarranger 3.Mais pour lène,i, l'homme,sansarrêtdanssa course dredesarrangements avecsescréanciers. incessamment "depenséeen pen|| 5°Mesu-un autre ensemblede voix ou d'instruments que insensée,Voltige resqu'onprendpourarriverà unbut.Jeviensdefaire la combinaison primitive. Sat.Ym.Vous êtessansarrêt,faible,vaine, sée,BOiL. certainspetitsarrangements, SÉV. 639.L'exprès leur —ÉTYM. Arranger. légère,Inconstante, bizarre,ingrateetmensongère, dansla maison d'unpau- ARRENTÉ, ÉE (a-ran-té,tée),part,passé.Do- VOIT. apprend qu'ilfautseréfugier' Poés.|| 2»Temps d'arrêt,seditde courtsinvregentilhomme, et quelàonverralesarrangements mainesarrentéstervallesoureposdansdesmouvements quidoivent d e que l'on pourraprendrepourleur sûreté,VOLT. ARRENTEMENT s.m Action s'exécuter avec Par (a-ran-te-man), précision. || extension, interrupAulieudeplaiderdonneroudeprendreà rente. ImiisXr, 26. || 6°Conciliation. II y eutun tempsd'arrêtdansles tion,suspension. 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persécutions. || 3° Arrêtde roi, s'estdit autrefoisdeluidonnerl'allarme,ID.ib. n, 342.L'eaues- coulait.Arrêterle feu ou l'u.condie.La difficulté pourembargo.|| 4°Entermesde manège,action tantaccrueparl'arrestdesmoulinsdu marais,ID. qui arrêtaitle roi, FÉN.Télém.xiv. Toninsolent le cavalierarrêteson cheval,et celle ib. ni, 20. Cesdeuxs'estansdeffiezd'uncoupde amour,qui croitm'épouvanter, parlaquelle Vientde hâterle lechevals'arrête.L'arrêtdoitêtreopérélanceavantmettrela mainà l'espée,l'Islecouchacoupquetu veuxarrêter,RAC. parlaquelle Iphig.iv, 7. L'ausans le mais en Fâutre aimamieux sefierensa dace d'une graduellement, franchement, que corps arrest, justesse, femme,arrêtant.ce concours,En des ducavalier se déplaced'unemanièrebiensensible.et prenantsa carrière....ID.ib. in, -138. Un inqui- joursténébreux a changécesbeauxjours,ID.Athal. 5° arrêtde traEn siteurdela n'a ou arresten ce l. Celui |[ physiologie, développement, foy capture royau- i, qui metun freinà la fureurdes'flots vailphysiologique ou pathologique quiinterromptme, sinonparl'aydeet authoritédubras séculier, Saitaussides méchantsarrêterles complots, ID. la formation d'unorganeetl'arrêteà un degréin- p. PITHOU, 37. M.de Bourbon,avertyde î'arrest ib.Mafuitearrêteravosdiscordes ID. B rit. fatales, férieur.|| 6°Entermesde chasse,actiondu chien [arrestation] faitsur la personnedel'evesque d'Au-in, 8.J'arrêtaidesamortla nouvelle tropprompte, 85.Oiseau quiarrêtele gibier.Votrechiengardebienl'arrêt. tun....M.DUBELL. légerquivoled'heure ID.t'6.iv, 2.Deuxmotsde ta bouchearrêtentsa Lechienestenarrêt. || 7°Piècedu han.aisoùun en heure, Sansfoy, sansloy, sansarrestny de- colère,CORN. Ct'd.ii,3. Mabonténepeutplusarrêter chevalier 705.Estoqueaux ou arrestsdesditesmondevoir,ID. Héracl.i,2. Voslâches appuyaitsalance.Ilmit la-lanceen ar- meure,RONS. conseils,qui rêt.|| Fig.Etrelalanceenarrêt,être surle qui-vive.gaschettes au milieudesquelles sontchevilles seulsontarrêtéLebonheur renaissantde notrelipour Je crainsqu'ilne soitobligéd'êtrelalanceenarrêt arresterlesditesgaschettes, -12. PARÉ, XVII, berté,ID.Cinna,ni, 2. Il faut queDieu,parsa — 8" surlescôtesdeProvence, SÉV.583. Petite ÉTYM. etital.arresto. et lie,pourainsidire, cette || pièce arrest;espagn. puissance, assujettisse Provenç. et quiarrêtele ressortd'unearmeà feu,lepêned'une Ontiresouventce motdu grecàpEtj-ràv, qui signi- convoitise indocile,pourarrêtersescontrariétés l emouvement d'unemontre. fieun une outre ne ses FLÊCH. serrure, || Ganse,point arrêt, résolution; mais, qu'on répugnances, Panég.n, p. 501.Ilne à l'extrémité d'une voit seraitintroduit faut comment ce mot se rien aux placé ouverture, pourempêcher pas grec exposer yeuxde notrebienfaiteur qui a rrêter le ne se déchire. Entermes d eserrurela de sesgrâces,MAss.Car.Prière, 2.Je ne dans langue,il est impossible séparerarrêt puisse que linge || saisquim'arrêteetretientmon RAC. courroux, Iphig. rie, petitebrocheenfer, portéepar unechaînette,d'arrêter(voy.ce mot). talon entre -l.Carenfin m'arrête? e t de fer iv, qui qui quelleautreassupourarrêterune persienne.Petit f ARRÊTANT (a-rê-tan),s. m. Morceau encorde votreindifférence? danslesencoches dupêne.|| Entermesde sellerie, du métierà bas, empêchant un crochetde passer ranceDemanderais-je courroied'arrêt,cellequi est attachéeau harnais outre. ID.Baj.n, -l.|| Arrêteravecun infinitif. Je n'ai pas de derrière,servantau chevalà arrêterla voiture. -I. ARRÊTÉ,ÉE (a-rè-té,tée), part, passé. laisséd'enêtreun peuhonteux,et cela m'aarrêté Lettr.196.|| 3°Maintenir, atta|| 9°En termesde musique,pointd'arrêt, point || 1° Empêchéd'avancer,d'agir. Arrêtédanssa devousécrire,VOIT. cher fixer. Les s ontarrètés des 10°Dans d anssesdesseins. 2°Fixésur. s url'escrime,coupd'arrêt, coup marche, Quel , objets légers par poids. d'orgue.|| [| 11°Petit Arrêter ses s ur c hose. Arrêtez cevolet sur une marcheavec croîtde de douceur Devoir et n ouvelle regards quelque opposition. || vengeance pris emleventfaitbattre. A rrêter u n en uneallée en 6. adosquicoupe sur cet objetses regardsarrêtés,RAC. que point cousant, plate travers,pour Baj.iv, 12°Pieux faireunnoeud auboutd'une leseauxnela 3° fait Arrêtédanssa fuite. dégradent.|| couture,pourquelefil pêcherque || Saisi, prisonnier. le Rienne arrêtée. n'échappepas. traversésdepiècesdebois,et destinésà arrêter || 4° Qu'una fait cesser.Hémorrhagie peut arrêtercet espritfriboisqu'ona jeté à bûcheperduesurles petitesri- || 5° Résolu,décidéDesseinarrêté.Plan arrêté. vole.Arrêterlesâmeslesplusrésolueset lesmoins arrêté.C'est néesà la servitude,fairenaîtreen ellesunamour vières.|| 13°Entermesjudiciaires,saisiedela per- Puisquec'estun parti irrévocablement bienarrêtée.Iln'a pas qui....VOIT. Leur. 4. Pensez-vous sonneoudesbiens.Ona faitarrêtsur sa personneunechosearrêtée.Opinion qu'oubliantma et sursesbiens.|| 14°Maison d'arrêt,pz'ison. || S.m. d'idéesarrêtées.Telestle sortdumondeentrenous fortunepassée,Surmaseulegrandeurj'arrête ma défense faite arrêté,VOLT. ? RAC. Bérc'n.m, l. Non,c'esttropsurZaïre Entermes Trimnv.i, 3. La paixavectousdeux pensée militaires,punition, plur. auxarrêts. en mêmetempstraitée,Setrouveavectousdeuxà arrêterun soupçon, VOLT. à un militairede sortir.Condamner Zaïre,m, l. Je cherche Leverlesarrêts.Senantesestaux arrêts, HAMILT. ce prix arrêtée,CORN. Attila,i, 2. Sansdouteils à l'arrêter[lemarier],parcequ'ilm'est unique[fils mettreauxar- n'ontaucundesseind'arrêté,PASC.Prov. 5.LeSaint- unique],CORN. 4. Lesdirecteurs Gramm. Menteur, n, t. Vousne prétendiez pouvaient d ansvos d e cavalerie o u 7. m 'arrêter au tempsarrêté, BOSS. Hist.n, rêts, interdiremêmelesbrigadiers fers,RAC. Andr.iv,6.Ah! point Espritdescend !NesentiraiST-SIM. 26,32.|| Arrêtsforcés,défenseCeuxqu'onnommechercheurs,à causeque dix- simoncoeurosaitencorserenflammer d'infanterie, d e decharme ilscherchent encore jeplus absoluedesortir;arrêtssimples,défense sortir septcentsansaprèsJésus-Christ, passél'âged'aiquim'arrête?Ai-je FONT. Fab.ix, 2. ||4° Régler,déterminer, etn'enontpointd'arrêtée,ID.Reined'An- mer?LA auxheuresoùl'onn'estpasdeservice.|| Ona dit la religion Arrêterle prixdublé.Onarrêtale autrefoisen arrêtce que nousdisonsaux arrêts. glet.|| 6°Entermesde peinture,ouvrage arrêté,ou- décider,résoudre. Il a étéarrêtéqu'onseréuniL'abbéDuboistrouvale princedeGallesen arrêt vrageauquelil n'y a plusrienàretoucher. || 7°En lieudurendez-vous. Lecielet Mahomet ainsil'ontarrêté, ST-SIM. danssonappartement, 475,.-i(H.Leroi le termesdeblason,arrêtéestla mêmechosequerac- raitchezvous. Fanât,iv, 3. || Arrêterun compte,le régler Prov.^S. courci.Onditaussiqu'unanimalestarrêté,quandil VOLT. fitmettreen arrêten votremaison,PASC. marché,le || 15°Décisionrendue,par une coursouveraine.estdeboutsur sesquatrepieds,sansquel'unavanced'une manièredéfinitive.Arrêterunoude conclure.|| 5°Entermesde peinture compounarrêtdemort.Obte-devantl'autre. Rendreunarrêt.Prononcer les nezun arrêt, commeil faut queje dorme,RAG. 2.ARRÊTE (a-rê-té),s. m. || 1°Résolution prise sitionlittéraire,fixerléscontours, masses,les Arrêteruneesquisse. délibérante. || 6°Saisir Plaid.1,4.Pourrendreen sa faveurun arrêt in- dansuneassemblée || 2°Décisionde partiesprincipales. Ilfitarrêterlechef.La le faireprisonnier. ou judiciaire.|| 3°Arrêté quelqu'un, Prov.8.Selonouplusoumoins, Jean l'autoritéadministrative juste,PASO. Quellecauselesfit Sat.xv.|| Parextension.de compte,règlementdéfinitifd'uncompte. donnesesarrêts,RÉGNIER, policearrêtalesperturbateurs. s. m. Nomvul- arrêter[leprincede Condéet son frère]? Sicefut Vesonlui a signifiésonarrêt[luia annoncé qu'elle ARRETE-BOEDF (a-rê-te-beuf), ou de vainestern'enreviendrait pas], SÉV.H9. || Décisiond'une gairedel'ononisspinosa,planteindigènequi croît ou des soupçonsoudesvérités ?BOSS. Le Bientôtton danslesterrainscultivés,et dontla racineest ré- reurs,quile pourra dire à la postérité d'uneautoritéquelconque. puissance, dequelqu'un Tellier.|| 7°S'assurer RAC.JESWI. par précaution m,6,J'atten- putéediurétique. justearrêtteseraprononc'é, Mithr. —HIST. xvi°s. Arreste-boeuf, herbe cognuêdu ou de.quelquechose.Arrêterun cuisinier.J'avais draimonarrêt;vouspouvezcommander,m. arrêtéun logis?MOL. Avez-vous pointl'arrêtdemoncour- laboureur,par eux ainsipremièrement appelée,arrêtéun logement. iv, 4.Non,ne révoquons moi,ID. queles racineslui donnentPourc.1,5.Situveuxmeservir,jet'arrêteavec roux;Qu'ilpérisse....ID.Ândr.v, i. Il vautmieux pourl'empeschement Ilm'arrêta Entendesonarrêtdela bouchequ'il en labourant,jusquesàarresterlesboeufs;elleest l'Étour.n,9.|| 8°Interrompre quelqu'un. quelui-même i larrêta l'orateur.Léandre, Encetendroit là-dessus. ditteononis,o. DESERRES, 614. aime,ID.-Brit. n, 3. Toutes... disputantun si desGrecs MOL. arrêtezlàcediscours importun, l'Étour.m, 3. Arrêter,boeuf. grandintérêt, Des yeux d'Assuérusattendaient —ÈTYM. Lechienaarrêtéunecompaleurarrêt, ID.Esth.i, -i.J'attendsdoncmonarrêt ARRÊTER (a-rê-té,et nonar-té, fautecommiseI]9°Termede chasse. :il en a indiquéla présenceen d'a- gniedeperdrix CORN. Héracl.m, 2. Par dansplusieursprovinces), v. a. || 1"Empêcher sansqu'onmele prononce, vancer, de marcher,retenir.Arrêterun vaisseau.s'arrêtant, et il les tient immobilesdevantlui. unarrêtdesDieuxsatêteestcondamnée, CRËBILLON, Ce chienarrête mal. Qu'importe J'dom. temps.Lafoule || Absolument. m, i. Sonpeuple,dontillitl'arrètdansl'accèsLaflotteétaitarrêtéepar le mauvais -IO. bien?LABRUY. de savision,MASS. Etienne. l'arrêtaquelque tempsà sonentrée.Leretranche-qu'il.aitdeschiensquiarrêtent les routes.Des —HIST. pendule, || 10°Arrêter,exercerle vol sur xiirjs. Sansdemoranceet sansarrest mentarrêtal'ennemi.11fautarrêterla Dansla premièreen- voleursont arrêtéla diligence.Cevoyageura été [délai],Xla karole[danse]mesuispris, la Rose, pourla remsttreà l'heure. On arrêtesur cette route. 798.Biausamischiers,se il vousplest,Passésla ceinteil arrêtesespas,VOLT. Zaïre,i, 3. Nepar- arrêté.|| Absolument. haie sans -arrestPor l'odordesroses sentir, ib. tais-jepas,SiTitus,malgrémoi,n'eût arrêtémes || 11°Entermesd'agriculture,couperla sommité Bel- pas?RAC. troisansdansRomeelle d'unetige ou d'une branche,poury suspendrela Bérén.ïa,4.Depuis 2SI0.Je voil [veux]qu'il ait la compaignie saisir-arrêTan- végétation. || 12°Entermesjudiciaires, Acueil,puisqueil vousplaist;Gen'i métraijamès arrêtevospas, :D.t'6.i, 3.Jemesuiséchappée ou opposition. ID.Brit.m, 7. ter, faireunesaisie-arrêt arrest,il. 3336.Ous'illia fetferearestparle se- disqu'àl'arrêtersamèreestoccupée, v. n. || 1°Cesserdemarcher,fairehalte. BEAUM. VI,M. Ilsaitqu'enpeu dejoursCesflotsque rien n'ar- ARRÊTER, sanlavle, gneurouaucunempeecement Carpour Exilé.L'hivernel'avaitpaseffrayéeNousarrêtâmes joursàBordeaux. plusieurs || xves. Etse départitcilconseilsansavoirnulcer- rête....BÊRANG. pasd'ar; l'hiverne l'arrête moij'ai certaineaffaireQuine mepermet tainarrest-,forsquede tenir le siège, FROISS. II, quandelle partit d'Angleterre Fab.m, 5.|| Enparlant chemin,LAFONT. H, 3. Beauxseigneurs,ne pensezpasau fuir, mon- pas,onzemoisaprès,quandilfautretournerau- rêteren Reined'Anglel.Quandce grand d'unevoiturequ'onarrête.Enarrivantje fisarrêter trezhuiquevoussoyezgensd'arrestetde prouesse,prèsdu roi, BOSS. Hél. iv, 6.|| 2° Demeurer de à la grille,3.J. ROOSS. et vendez'vos corpset vosmembresauxespéeset Dieua choisiquelqu'unpourêtrel'instrument Qu'untempsfort auxarmures,ID.II, m.,19.|| xvr s. C'estuncom- sesdesseins,rienn'enarrêtele cours,ID.ib.Lieuxdansun lieu. Je ne puisarrêter LAFONT. munvicedeshommes,d'avoirleurviséeet arrest quej'aimaitoujours,.nepourrai-je jamais,Loindu court,un mois,peut-êtreune semaine, arrêpouvez vu,6.Autantqu'ilvousplaira,vousnevousdoit surletrainauquelilssontnays, MONT, I, 369.Ils mondeetdubruit,goûterl'ombreetlefrais?Oh!qui Fab. rien etlà-dessus Fab.xi, ter [rester],Madame, asiles!LAFONT. les espéesen arrestavectelleopi- m'arrêterasousvossombres vinrentchocquer Mais 3° Insistersur. Mis.ni, 5. || niastretéqu'ils rompirentet mirenten fuitteles 14.Vousvoilàdoncpartipour la belleItalie;je hâter, MOL. j'arrête, qu'auxmarques Hisl.i, -169.Il n'avoii.pas re- supposequela galeriede Florencevousarrêtera moi,monjugement,sans troisgros,D'AUB. uoL.Fdch. tête, en Futqu'iln'étaitquecerfà saseconde MONTESQ. Corres-pAl. \\2°Empêcher, connudeuxfossezcreuxsanshaie quil'arresterentlongtemps, n'arrêtepas, il I l de jour II,7.|| 4°Cesser parier,d'agir. à 80pasdesennemisqui firentbeau feusurl'ar- parlantdes personneset deschoses.Chaque sanscesse,il travaillesans cesse.Cesparest, commefit aussila courtine,ID.ib. n, 258. quelquechosem'arrête.Onfutarrêtéparla lettre marche con- rolesFirentarrêterl'autre;il reculad'un pas, LA Il n'eut pasfait 400 pas qu'il part du corps-de-du préfet.Quecelane vousarrêtepas.Aucune Fab.x, 2. Qu'onarrêté, dit-il;le premier d'agir FONT. gardeunhommequifaisoitles mesmesarrestset sidérationne peut l'arrêter (l'empêcher Héracl.v, 7. Qu'ilmeure,16 arrêtale sangqui coupm'estdû, CORN. il l'a résolu).Lechirurgien de peur comme l'outrepassa, avancesque lui, et toutes-fois
ARR ARR ARR 201 perfide,—Arrêtez,ou cebrasenpunitl'homicide,arreste,Dequila célesteclartéPeutlesplusclairs —-ÉTYM. Berry,airrhes;picard, errhe;genev. ROTR. Bélis.i, 2. Arrêtez,J'ignorequel projet, yeuxeshlouir,ST-GEL. 29. Arrestantobstinéement airrhes,arrhes;wallon,aireg;rouchi,erres;proBrit.ni, 9. CherThé- saveuecontreun milan,MONT, Burrhus,TOUS méditez,EAC. I, 402.Je donnevenç.et espagn.arras; ital. arre; du latinarrha ramène,arrête,.etrespecte Thésée,in. Phèd.j, i. cesfantasies,noncommearrestéeset régléespar ouarra, et aussiarrliàbo,dugrecàppagmv. Arrhes Arrêtez[attendez]un peulà, MOL. VÈtour.n, 42. l'ordonnance de divine,ID.i, 404.P. Bunel,ayantar- n'a présentement i l enavait un plus singulier; -13G. Il5°Entermesde manège,arrêteret rendre,faire restequelques à ID. Le autrefois. L a jours Montaigne, H, errhesa duréjusque prononciation desdemi-temps d'arrêt.|| 6°Entermesd'escrime,rémoraarestétoute sortede vaisseauxausquels il dansle xvnesiècle,etBouhours remarque qu'ondit 4 ID. 80. J e m'arreste a ux prendreuncoupd'arrêt. I I, arrhesau e t errhes au s'attache, comparaisons figuré, propre: donnerdes v.réfl.|| i" Suspendre samarche.L'un quimesont plusfavorables, m. n, 243. Nosloix errhesau coche.Commeon voit, errheétait un s'ARRÊTER, et l'autrerival,s'arrêtantaupassage,Semesurentnon plus que nosvestements ne peuventprendrearchaïsme. desyeux,BOIL. d'aller.Mamontre aulcuneformearrestée,ID.m, 64.Ondit, quand f ARRHIZE Lutrin,v. || Cesser (a-rri-z'),adj. Termede botanique. s'estarrêtée.|| Demeurer, sefixer.Chezcesgenspour il estquestion demarierunjeunehomme:illefaut Qui est dépourvude racineou de radicule,selon Fab.VU,e. ||Fig. arrester;car, de fait, je croisque nousvolerionsqu'ils'agitd'uneplanteoud'unembryon. toujoursil sefûtarrêté,LAFONT. Sesregardsnes'arrêtaient enaucunendroit.Lessuf- au cielsicetarrestne nousretenoit,YVER, 'A privatif, et piÇa,racine(comp. p. 572. — ÉTYM. surle M a cruauté Platon veut aitesté fragesnes'arrêtèrent pas plusdigne. qu'elle appeléehistoire,pource RACINE). selasseet nepeuts'arrêter,CORN. Cinna,iv, 3.Que qu'ellearrestele fluxdenostremémoire,AMYOT,ARRIÈRE (a-riê-r'), adv.|| 1°Exprimant qu'on l'effetdevosyeuxs'arrêteraità votreimagination,Préf.il, 27.Ille feistaresterprisonnieravecThe- rejetteloin,bien loin.Arrièredemoi,Satan.Arsanspasserjusqu'àvotrejugement,VOIT. lettr. 187..seus,m. Thésée,39. Les Pelasgiens, aprèsavoir rière ceuxdontla boucheSoufflele chaudet le Familièrement. S'arrêter e nbeau r enonla terre |) courula plusgrandepartiede Fab.v, 7.Arrièretoutrespect,forchemin, habitable,froid,LAFONT. cerà uneentreprise dont le succèsparaîtassuré. s'arresterent aulieu oùRomeestà présentfondée, çonstoutecontrainte,Sa menaceaccroîtplus ma lesconjurez.... ID. fureurque ma crainte,ROTR. || Perdrele temps,s'amuser.Il s'arrêteà tousles m.Rom.4.Celaarreste[décidé], Bélis.n, 4. || 2°En coinsde rue.|| Interrompre un voyage.Nous,nous Publ. 7. Lesfemmes arresterent entreellesqu'ellestermesde marine,vent arrière,ventqui souffle sommes arrêtésquinzejours à Genève.|| 2°Cesserporteroient un an entierledeuildesa mort, m.ib. droitdansla poupe.Toujours leventarrière,quelle Timoleon n'arresta tarda à de Siam-,p. 6.|| 3"S. d'agir.Arrêtez-vous, gueres[ne pas] bénédiction! seigneur,etd'uneâmeapaisée40.Lors CHOISY, Voyage Souffrezque je vouslivreune vengeanceaisée, choquer,voyantle peud'exploitquefaisoientses m. Entermesde chasse,prendreles arrières,reCORN. deparler.11s'estbrusque-gensde cheval,m.Timol.37. Il estaitfroit,reposé, chercherdansun défaut,avecleschiens,la voiede I'oly.v, o.|| Cesser mentarrêtéaumilieude sonrécit. || 3° Se fixer, constantet arreste,ID.Arist.4. Lieruneveineou l'animal,en reprenantenarrièrele cheminqu'ila sedéterminer. Introd.2. suivi.Prendrelesgrandsarrières,continuersesreAprèsavoirécoutédiversesproposi-•artèrepourarresterunfluxdesang,PARÉ, ils'arrêtaà la Jeveux mon Puistu arresteras l e noeud m. d'une seurement, x, 24. cherchesplusloin.|| 4°La partiepostérieure tions, première. l'ouïr; choixs'arrêteà ce témoin,-RAC. Uithr. ni, 4. Nevousarrestéspasà ce quevousvoirésdeluy, chose.L'avantetl'arrièred'unecharrette.Ona trop 4° Il Avoirégard,faireattention.11s'arrêtaà des maisà sonsçavoiret esperience quej'ai esprouvéchargél'arrière.[|Termede marine.Lamoitiéde 4 aux M ARGUER. Lett. 22. Lesméridionaux sont la longueurd'unbâtiment,depuisle grand mât vousvousarrêtez Quoi! apparences. songesbonnes, d'unefemme,CORN. Poly.i, 4. Je ne m'arrêtaimelancholiques, et, par ainsi, arrestés,constans,jusqu'àla poupe.||S°Enarrière,loç.adv.Marquant à cebruit R AC. ilithr. 3. Ne versle côtéquiestderrière.Ilfitun point Sagesse, i, 49. unmouvement téméraire, n, contemplatifs, ingénieux,CHARRON, — vousarrêtezpointà sesfroideurs enarrière.Vouslesauriez JÉTYM. érétai; Berry,airter, air- pasenarrière.Serenverser passées,m. Baj. Bourguig. Je 6. nem'arrêtai à cetteardeur i tal. vus r etournant en entreeuxet v, point arresiar,arestar; tous, arrière,Laisser nouvelle,reter;picard,arter,-provenç. m. Ândr.iv, 6. UnesefautpointarrêterAuxdeux arrestare;de ad, à, et restare,rester, c'est-à-direnousunelargecarrière,RAC. Mithr.v, 4. Vous,dès faitsambigusqueje viensde conter,LAFONT. Nepourraplus Fab. fairerester,etnon, commeleveulentquelques éty- quecettereineivred'unfolorgueil.... 4 6. venez-vous vous a rrêter nos l'allemand R est o u U ne retourner e n m. à faide rai, Pourquoi mologistes, Rast,repos. arrière, Ath.v,3.Pégases'effaroublestalents?MAss.Parote. de cequi cheet reculeen arrière,BOIL. insister.petiteparticularité vienten confirmation Épîlr.iv.Devantqui || 5°S'appes.ir;fir, Il s'arrêtalongtemps sur lesservicesqu'il vousa est établid'ailleurs:ontrouvedansl'ancienfran- le Jourdainretournaen arrière,BOSS. Hist.n, 3. rendus.Circonstances ar- || Derrière etàunecertainedistance. Ilestrestébien queje nem'ànêtepasà rap- çaisce verbeconjugua parfois'irrégulièrement, 4 P ASC. Prov. 7. au c 'est loinen arrière. P arleet metscesmines enarrière rest-eù au participe,arestut, parfaitdéfini; porter, —SYN.ARRÊTER, en latin comme[défais-toidaces loueen RETENIR. Arrêterestplusdéfi- qu'en effetrestarese conjuguait mines],MOL. Mélic.l,3.1l\e en c'est-à-dire nitifqueretenir;ce quiest arrêtén'avanceplus; stare, et que, dansle vieuxfrançais,stareavait saprésence etledéchire arrière, quand ce quiestretenupeut avancerencore,bien que donnéesteù,estui,etc. ilestabsent.|| Enretard.Il nes'estpasmisau coumoinsou plus difficilement. s.m.Auteurquia réuni rantde sontravail, il esten arrière.Ce fermier Quandonretient, il ARRËÏTSTE (a-rê-ti-sf), restetoujoursincertainsi la mainseraassezforte et commenté lesarrêtsdescourssouveraines. estenarrièrepoursespayements. || 6°Enarrière — Arrêt.Ona dit dansle siècledernierde, loc.prép. Surun planplusreculé.La cavalepourarrêter.Desidéesarrêtéessontdes opinions ÉTYM. fixesdesquelles onestdécidéà nepass'écarter.Une arrestographe, mauvais pararretiste.riefutplacéeenarrièred'unbouquetdebois.|| Hors mot,remplacé retenueest cellequel'on contientet t ARRËTOIR imagination (a-rê-toir),s. m. Dent qui sur- de la présencede quelqu'un.Souventon parle enarrièredesgensautrement montela bagued'unebaïonnette. quel'onempêchedes'égarer. qu'enleurprésence. — HIST.xi"s. Auchevalest l'espéearesteûe, ARRHÉ, ÉE(a-rré, rrée), part, passé.Unelo- || Fig. Enretard.Cejeune hommeest en arrière Cesgens-làsonten arrièrede Ch. deRoi. en. Carchevauchez de ses camarades. ; pourqu'[pour- cationarrhée. alez cxxxn. s.m.Action d 'arrher. leursiècle. Que[Dieu]pourlui ARRHEMENT quoi] arestant?:t6. (a-rre-man), — —REM. Errièreestuneprononciation facele soleilarester, tt>.CLXXV. s. ÉTYM. Arrher. provinciale ||xir Tresqu'à ilfautse ne se v .a. Donner d esarrhes lebon a et dont voust[voulut] garder. Turpin[il] (a-rré), pour que usage rejetée arester,Ronc.p. 64. ARRHER —HIST. xi»s. Linaïfs[leserf natif]qui deparFerne acierne le putarester,t'6.p. 76.Faitesma s'assurerd'unachat,d'unelocation,etc. xvr s. Pourlequelilerraunpetitlogis, tet dela terre, nulsnel retenge[retienne],anzle gent ence val arester,ib.478.Partirm'esteutde —HIST. fautvenirarereà fairesounservise,L.deGuill.zs. Foen.ni, 49. vous,sans demeurer[retard];Tanten ai fait,ne D'ADB. — a ÉTYM. Arrhes;Berry,airrher.Errher été Regardearere, veitle gloutongésir, Ch.deRoi. puisplusarester,Couci,xxiv.Dreitdevantl'arcevesquesuntandui[tousdeux]aresté,Th.le mart. autrefoisde bon usage.Il les errheet s'enassure xcm. || 3ii°s. Arrier[il] se traitdemiearbares44.Pruveirese diaçnesplusursen i ot pris, Lar- pouruneautrefois,BALZ. Dm. à la Régente.. trée, Roncisv. p. 66. Arrière[ils]tornenttostet murdreiseûrs en la 1° donné ib. rei prisunmis; C'aresté ARRHES isnelement, p. 77.Je ne m'en puispartir ne runs, (a-r')7s. f. plur, |[ Argent multsuventerent parle pals,ib.26. || xiiigs.Et pourla garantied'un marché.|| 2°Fig. Gage.Qui traireariere,Couci,xvm.Atantse regardali dux Coupe.Un Milesarrier, Sax.xi.Maiserrieres'en'aillent,ainsi Tyberset la vieillen'ontcure d'arester[de s'ar- donnapourarrhesun baiser,LAFONT. moûtsouvent,tissudecheveuxQuereçutDonFernandpour.ar- comsont venu,ib. xxvni.Li messagierle rei.... rêter],Berte,xvn.[Elle]Regardoit et puissi s'arrestoit,ib.xxvm.Quantellepotpar- rhesde mesvoeux, CORN. D.San.v, 6.MespremiersMuntent enlur chevals,arieresesuntmis, Th. le ler, si dist [qu'elle]n'arestera,Ne mais en une servicesn'étaientà leurs yeuxquedesarrhssde mart.56. || xm"s. Seurce, s'enpartili messages en Constantinovillequ'unenuit ne gisra, ib. cxxii.L'espée[il] ceuxqui les devaientsuivre,J. J. ROUSS. Prom.6. et s'enalaarriéresà l'empèreour Einsireviendrentarriéresen LXVII. trait, sorluis'aresteQueilli voltcouperla teste, J. C. a donnéà votrecoeurlesarrhesdu St-Esprit,ble; VTLLEH. Tant à sa héberge,m. LXVIII. Grégoirele grand,p. 68. Et Chantecler[le coq] CHATEAUBR. Génie,i, i, 6. l'ost,et alachascuns sauten travers, Renartchoisi[apperçut],bienle —HIST. xra°s. Etsachiésbien, cuil'enotroieLe leura ditBertainetarrièreetavant,Quetoutquanconut;Desorunfumiers'arestut,Ren.46448.Etse baisier,qu'ila dela proieLemiexet le plusave- queil lui plaistleur a faitentendant,Berte,407. learestépordettefaitserviseà celuien cuipoeiril nant, Sia erresdu remenant,la Rose,3448. Si Etpourchou[ce]queilne peùstestremisarierede est....Ass.deJêr. i, 489.Li tens,quis'enva nuit tostquedenierDieuenestdonés,ousitostcommesondroit par defautede segnor,H. DEVALENC. 60.||xvi»s.Com-xm.Lipiesde l'eritageseroitmisarrièreenle [la] etjor, Sansreposprendreet sans sejor,Et quide. èresensontdonées,BEADM.XXXIV, nousse part et embleSi celéement d'une persuasion cer- cortJehan,BEAUM. vi, 34.L'autrebatailledesamiqu'ilnoussem- mentne la recevrons-nous deDable Qu'ils'arresteadès en ungpoint, Et il ne s'i taineet invincible, l'arriérebatailledu soudanc puisqu'ellenousa estédonnéerausdesconfist 45. arrestepoint,la Rose,368.|| xiv"s. Et est asavoiravecun tellearreet confirmation ?CALV. Inslit. mas,JOINV. 274.Et quante royvintà Poytiers,il et troparrestésenleur Irz donnentgageet arre defaireencoremieuxà vousist[eût voulu]bien estrearieresà Paris, ID. queaucunssontdemourans Cor.5.Il pensaqu'iln'estoitplus 206.|| xv*s. IsabellesevoyoittoutearrièreduconEth. 244.Tuquivuesavoirmon l'advenir,AMYOT, opinion,ORESME, bailler argentpour le rendreen- fortet aidequ'ellecuidoitavoirduroi Charlesson cheval,Je te di qu'amontet aval, Sansfaillir,au besoingde luy le pre- frère, FROISS. attenduqueluy.mesme tiers pas s'arreste,MACHAULT, I, I, 42.Et lui enjoignûit très-espep. 80i||xv*s. La nemydesRomains, estreene t essoines misesarbaillétellesarresdeleur cialement toutes dames'arrestasur cet avis....FROISS. 42. mier avoit p aroles que, luy I, I, il appartenoit à un rière,il separtistet defistsonsiège,n>.i, i, 298. vit duchastelnerny,m.P.-Mm.49. Comme QuandmessireGuillaume deMontagu n'alqui avoitdonnéde si grandesarresde Desrentesdu comtéil [Jacquesd'Artevelle] qu'ilsestoienttous passés et qu'ils n'arrestoientpersonnage pointau chastel....m. i, i, 462.Etencellepenséel'affection qu'ilportaitàsonpaïs,ID.Pélop.37.Le louoitnulles,maislesmettaitet avoitmisestoudis s'arrestatotalement, JehandeSainlrê',ch.in.Jene sacreet couronnement sontlesarresdenosrois, arrièreendepost...ID.I, I, 248.|| xvi"s. Il seroit en vostre honteuxauxAnglois defaireun arrièrepieddevant m'arrestepointatoutce quej'oys,s. CHASTEL. Chr. n'AUB. Hist.m, 486.Sij'estoisseulement amou- unearméequifuit.,..Mêm.s. duG. ch. 9. Ilsles desD. deBourg,n, ch. 43. Vintde parle royle bonnegrâceParl'erred'unbaiserdoucement surmer,tantostavant,tantostarrière, cardinalBalue,quipeuy aresta,et fitaucunesou- reux,Moncoeurau départirne seroitlangoureux,amusèrent 238 vertures,COMM. I, 298.Ennousacculant n, 6.|| xvr s. OEilattrayant,oeil RONS. jusquesà ce que....MONT, I. — 9fi DICT.DELALANGUE FRANÇAISE.
202
ABR
ARrl
ABR
et tirantarrière,nousattironsla ruynequi nous Pièceenarrièredela boutique.|| Auphir.Desar- arrière-garde, HAMILT. Gramm.9.|| Auplur.Desarl'arriére r i>. 305. E llele veiden enfer, rière-boutiques. menace, i, rière-gardes. m. iv, 373.Il le feittrébucheren arrièreau long f ARRIÈRE-CABINET s. m. —HIST. xies. S'arere-guarde (a-riê-re-ka-bi-nè), [il] lairratdenere Cam.47. Lesadherensde Ca- Cabinet enarrière. se du rocher,AMYOT, souvienne des Ch.de Qu'on Roi. s a S'en placé sei, [si en]rere-guarde[il] millusrepoulsoient le sergentarrièredela chaire, larmeset dessanglotscachésdansle recoindecet truevele corsRolant....ib.XLVI. || xn°s. SeRolant oùje surprisM.leducd'Orléans la [il]truevereregardefaisant..... ID.ib. 72.Entrantbienavantenla terrearrièrede arrière-cabinet, j'b.'p.28.Quanten ST-SIM. la mer.... ID.Péric.40.Aurestefortaisé, et nul- nuitdela mortde Monseigneur, se feriBaliganz....Sax.v. || xiu°s. 326,(8. l'arriere-garde m'emmena danssonarrière-cabi-Et l'arriere-garde lementen arrière; car il n'y avoitaucunedebte, Leducd'Orléans faisoitHeriris,li frèresle conte eustesté fort net s urla 44 CAKL. 8. Oneust I D. 0. Lerideau Baudoin deFlandres et la soiegent, VILI-EH. qu'il ung obscur, xcix. ni, pensé galerie, 262, il à l'arriére de dulit futun mais est et Mme deMaintenon richehomme, grandement peutiré, passa LesTempliers, quiestoientvenusau cri, firentl'abien connois423.Ce dans les ID. 44. sesaffaires,PALSGR. Au Des riere bienet 221.Ilvint p. que arrière-cabinets,405, || plur. garde hardiement,JOINV. de l'arriére de manière à arrière-cabinets. scie au roy, et li dit: Sire, mons.de Chasteillon vous sant,Vluzalis [rame Hist. f ARRIÈRE-CADET s.m. fairemarcherla galèrepar l'arrière],D'AUB. Homme vous l idonnez l'arriéregarde,ID.228. (a-riê-re-ka-dé), prieque d'uncadet.Le marquisde Neelletrouva ARRIÈRE-GOÛT il, 83.LaRoiale,envoulantscierdel'erriere,fut descendu (a-riê-re-goû) , s. m. Goûtqui sa aussiassablée,ID.ib. n, 302. soeur u n arrière-cadet de n'arevient certains alimentsou certainesboispour Nassau,qui après —ÊTYM. Berry,rière,en airière;genev.et pi- vait pas de chausseset quiservaiten Flandre, sons.Cevin laisseun arrière-goûtdésagréable. areire;wallon, èri; pro- ST-SIM. 289,487.\\Auplur. Desarrière-cadets. || Auplur.Desarrière-goûts. card, errière;bourguig. ( a-riê-re-kô-sion s. f. venç.areire,arreire,areyre,areires;catal.armra; f ARRIÈRE-CAUTION ) t s. f. t ARRIÈRE-GRAISSE (a-riê-re-grè-ss'), de ar pourad, et rétro, arrière. Unecautiondecaution.|| Auplur. Desarrière-cau-Termed'agriculture.Engraisde restedans une Mis tions. ÊE(a-rié-ré, terrequi, ayantétéfumée,a donnésarécolte.\\Au ARRIÉRÉ, rée),part,passé.111° traitementarriéré.Fermier enretard.Payement, s. m. plur. Desarrière-graisses. t ARRIÈRE-CHANGE (a-riê-re-chan-g'), arriéré d'un terme.|| 2°Provincearriérée,pro- L'intérêtdes intérêts.Vieilli.|| Au plur. Desar- ARRIÈRE-MAIN s. f. || 1°Lere(a-riê-re-min), vince où l'instructionest peu répandue.Enfant rière-changes. versdelà main.S'ila reçu un soufflet del'avantenfant ne sait autant les ARRIÈRE-CHARTE mainoude PASC. Prov. 44.|| Enterqui pas que t arriéré, l'arrière-main, (a-riê-re-cha-rf), s. f. autres enfantsdu mêmeâge. || 3° Il est bien Charte derenonciation mesde de à des avoirl'arrière-main réciproque possessions, jeu paunie, belle, arriéré,sa tâcheestloin d'êtrefinie. || 4° S. m. à desdemandes,à des prétentions. \\Auplur.Des biendonnerle coupdureversde la main.|| 2°S.m. Cequirestedû. Payerl'arriéré.|| 5°Travailenre- arrière-chartes. Aujeu depaume,coupdereversdeia main.Gagner. dans ma tard. J'ai beaucoupd'arriéré s.m.Terme'la partieparunbelarrière-main. correspon- t ARRIÈRE-CHOEUR (a-riê-re-keur), (Lemotdevientici Auretourde l'expédition,d'architecture. dance.|| Familièrement. Choeur derrière l emaître arrière-main est.pourcoupde autel. masculin,parceque placé vousrecevreztoutl'arriérédes coupsde bâtonqui \\Auplur.Desarrière-choeurs. l'arrière-main). || 3°Termedemanège.Letrainde 274. d u voussontdusdepuis4789,P.L.COUBJER, ARRIÈRE-CORPS s. derrière cheval. n, (a-riê-re-kor),m. ||i° Terme (Lemotesticimasculin parceque s. f. d'architecture.Partieverticaled'un bâtimenten arrière-main estpourtrainderrièrela maindu cat ARRIÈRE-ALLIANCE (a-riê-ra-li-an-s'), tombées dansla bouepar retraited'unautre.|| 2°Termede menuiserie. Alliance éloignée. Dignités Lam- valier).\\Auplur.Desarrière-mains. desalliances'et desarrière-alliances bris assembléen renfoncement avec un autre. —HIST.xin"s. Au passerque le Sarrazm-iïst, déjàcontractèes, ST-SIM. faisantretraitesurune Mons.Jehanlidonaarieremaind'uneespéeparmi 297,63.|| Auplur. Desarrière-alliances. || Toutepartiedemenuiserie s. m. AncienneARRIÈRE-BAN autre. 3°Termedemarbrier. 277.||xvi°s.M.de Guysen'avouiu Ëvidement (a-riê-re-ban), || que l'on lesbras,JOINV. banet arrièrefait sur l'angled'unsocleouautrepartiedu mar- accepteraulcuncommandement en l'armée,pour arrière-ban, ou, simplement, ment, faisaitle roi de sa ban, convocation nobre. Des Au son à et userd'un terriblerevers que || plur. arrière-corps. jouer jeu part, s. f. Petitecour d'arriere-mairi sursonennemy,CARL. blesse,tantvassauxqu'arrière-vassaux, pouraller ARRIÈRE-COUR (a-riê-re-kour), vin, 3s. à la guerre; le corpsdela noblesseainsiconvoqué.surl'arrièred'unbâtiment.|| Auplur. Desarrière- t ARRIERE-NARINES (a-riê-re-na-ri-n'),s. f. Ona mandéle banet l'arrière-ban.LouisXIVfut cours. descavitésnasales,qui plur.Ouvertures postérieures l e d efairemarcher banet conseillé s.m. établissent unecommunication entrecescavitéset l'arrière-ban, f ARRIÈRE-DEMI-FILE ('a-riê-re-de-mi-fi-1'), louisXIV,42.Alatêtede sonarrière-ban,Nomqu'ondonnaitautrefoisauxquatrederniersle pharynx. VOLT. 637.Mais'unquipour soldatsd'unefilede huithommesd'infanterie. dansla Basse-Bretagne, SËV. (a-riê-re-ne-veu), s. m. \\Au ARRHÏRE-NEVEU un tempssuivitl'arrière-ban,RÉGNIER, Sot.x. Monplur. Desarrière-demi-files1°Lefilsdu neveu oudela niècepar rapportà || foisle commandement enchefde ARRIÈRE-FAIX s. m.Termed'ana- l'oncleoulatante.Ilmeresteà pourvoir un arrièrepèreeutplusieurs (a-riê-re-fê), tousles arrière-bans du royaume,ST-SIM. 84. tomie. C e restedanslamatrice LA FONT. 2 ° 6, Foi),, qui aprèsl'expulsionneveu, vin, 1.1| Auplur.ArrièreSaintLouisvers nosrivesEût de ses chevaliersdufoetus,savoir: leplacentaet lesmembranes. reculée.Mesarrière-neveux me La neveux,la postérité v . Orient. 3 .Monseiextérieure dela peauqu'onnommel'ar- devrontcetombrage. Ehbien!défendez-vous ausage guidél'arrière-ban, HHGO, superficie l educde A les combats meurDESC. 5. Desedonnerdes soins le d 'autrui? Bretagne DesarrièreLA gneur pour rière-faix, Foetus, ||Auplur. pour plaisir triers Convoqué de Nanteà Mortagne L'arrière-faix. FONT. Fab.XI,8. bandeses guerriers,ID.Bail.6. || Auplur. Des —HIST.xvies. L'arriere-faix a estéainsiappelle —HIST. xvies. Nosarrierenepveux, MONT, I, 86. arrière-bans. du vulgaire,parcequ'il vient aprèsl'enfant,et t ARRIÈRE-NIÈCE s. f. Lafille (a-riê-re-niè-c'), — REM. la des vassaux d irects estunautrefaixà lafemme le du oudela disparition neveu à Après qu'il ; lict,parceque nièce,parrapport l'oncleouà dela couronne,lesdeuxmotsbanet arrière-banl'enfanty est couchéet enveloppé, et y demeure ; la tante.|| Auplur.Desarrière-mèees. finirentpar n'avoirplus de signification la la s. m. pratique délivrance, parcequ'estanthors, femmeest t ARRIÈRE-PANAGE (à-rié-re-pa-na-g'), ces distincte.Onexprimait, Termed'eauxet forêts.Letempsoù les bestiaux _par motsoupararrière- entièrement délivrée,PARÉ , xvm, 18. banseul,le servicemilitaireexigédespossesseurs t ARRIÈRE-FENTE s. f. Termepeuventdemeurerdans les bois aprèsle panage (a-riê-re-fan-f), « de fiefs. Notrebanet arrière-ban,dit Chante-deganterie.Fentequel'onfaitsurun gantdu côté (voy.PANASE). IlAuplur. Desârrière-panages. estuneconvocation de tous lesvasdela dela main. s. f. PenreauLeFèvre, paume || Au plur. Desarrière- ARRIÈRE-PENSÉE (a-riê-re-pan-sée), sauxpourservirle roidanssonarmée.» fentes. séequ'ontientenarrière,qu'ondissimule. C'estun —HIST. F aiteschascun baronensa terre xn'sS. ARRIÈRE-FIEF (a-riê-re-fiéf),s.-m.Fiefmou- hommefrancet sansarrière-pensée. || Auplur.Des envoier,Partoutl'arriérebanqu'ilpourrajusticier, vantd'unautre. Lesfiefsétantdevenushéréditai-arrière-pensées. Sax.vi. || xmes. Parfoi, distli baronset sescon- res, et lesarrière-fiefs s'étantétendus,MONTESQ. ARRÏERE-PETIT-FILS s. m. (a-riênre-pe-ti-fi), saustous,vousnetrouvères nuluiquine vousloeà Espr.xxvm,9.\\Auplur. Desarrière-fiefs. ARRIÈRE-PETITE-FUXE (a-riê-re-pe-ti-te-fi-U') ,s. mandervoarriere-ban dontvousavésassés,Ch.de —HIST. xin"s. Toutelaiejuriditions duroyaumef. Lefils,la filledupetit-filsou de la petite-fille. des arrière-petiMains,p. 75.BrunregardedeverslesruesEt voit esttenuedu Royenfiefou en arrièrefief,BEAUM. Il Auplur. Desarrière-petits-fils, l'arriérebanvenir,Ren.9375.Leroyot conseilque xn, 42.S'aucunsest semonsporaidierlorsignor tes-filles." il ne partiroitde Damiettejusquesà tant queson contresesennemis,il n'estpastenus,s'ilneveut, tARRIÈRE-PETITS-ENFANTS(a-ri.ê-re-pe-ti-z frèrele contede Poitiersseraitvenu,quiamenoità issirhorsdu fiefoudesarrièrefiés sonsigneur, fan),s. m. plur. Lesenfantsdu petn-fils ou de la l'arierebandeFrance,JOINV. 218.|| xrves. Bancet ID.50. 11convientque li siressuefre,par cous-petite-fille.. arierebanc, toutle povbirde France,Girartde tume,quece qui est tenudelien fief,viegneen f ARRIÈRE-PLAN s. m. Plansi(a-riê-re-plan), Ross.4744. en sonarrière m .XLvn. tué en arrièred'un autre. Ces ouvertures fief, partie [inter—ÉTYM. valles de nelaissent voir afrièreBas-latin,aribannum,arribannum, f ARRIERE-FLEUR l°Terme montagnes] qu'un (a-riê-re-fleur),s./'. || herebannum. Ménage, adoptantl'opinionde Case-de jardinage.Secondefloraison. || 2°Termedemé- planderochersaussiaridesquelespremiersplans, neuve,admetquecemota étéforméde arrièreet gisserie.Restedefleurqu'ona omisd'ôteret d'en- CHATEAUB. Itin. il, 485.|| Au plur. Desarrièredeban: Varrière-ban étantproprement Jaconvoca-leverde dessusles peauxen les effleurant. || Au plans. tiondesvassauxquitiennentles arrière-fiefs, et le plur. Desarrière-fleurs. ARRIERE-POINT s.m.Pointd'ai(a-riê-re-poin), ban étantcelledesvassauxquitiennentles fiefs t ARRIÈRE-FOIN (a-riê-re-foin) , s. m. Termeguillequiempiètesurceluiqu'onvientde faire. mouvants duroisansmoyen.Celaest sans doute d'agriculture. Au Des estplususitéaujourd'hui. Regain.|| plur. arrière-foins.|| Point-arrière || Auplur. vrai; maisil està croireaussiquele bas-latinari- f ARRIÈRE-FROIDURE s. f. Désarrière-points. (a-riê-re-froi-du-r'), - poin-teu-z' bannuma étécaused'uneconfusion l a Froids viennent dans l'arrière-saison. parlaquelle qui (a-riê-re || Auplur. t ARRIÈRE-POINTEUSE ), a au motarrière; Desarrière-froidures. s. f. Ouvrière fait Au Des première partieon" été assimilée qui l'arrière-poiht. || plur. aribannumou herebannum a.unetoutautreorigine, —HIST. rvi*s.Parcraintedesarrière-froidures, arrière-pointeuses. dérivantde l'allemand 709. ARRIÉRER Lasyllabe riéprendl'accent Seer,armée,etdeban,con- 0. DESERRES, (a-riê-ré. vocation ARRIÈRE-GARANT s.m.Termegravedevantune syllabemuette,j'arriére, mais (voy.BAN). (a-riê-re-ga-ran), ARRIÈRE-BEC s. m. Terme d 'arde Garant d u (a-riê-re-bek), jurisprudence. garant.\\Auplur.Des nonaufuturet au conditionnel: j'arriérerai,j'architecture. d'une de e n t). L'éperon pile pont aval.|| Au arrière-garants. a. i" Retarder. A rriérerun payeriérerais), || Desarrière-becs. ARRIÈRE-GARDE s. i"La ment.Ilfaut plur. encoreinterrompre ici cette matière (a-riê-re-gar-d'),f. || ARRIÈRE-BOUCHE s.f.Termepartied'unearméede terre quifermela marche.qui arriéreraittrop Jes autres, ST-SIM. (a-riê-re-bou-che), 78, a. d'anatomie. Partiepostérieure de la bouche.|| Au 11 Dansunearméedemer, division faitla qui queue || 2°S'arriérer,v. réfl.Rester,demeurerenarrière. del'arméeouquiestsousle vent.|| 2"Fig.Dèsqu'il Dansune marchelongueet rapidebeaucoupde plur.Desarrière-bouches. s. f. eutledostourné,Dieusaitcomme ondonnasurson soldatss'arriérèrent. ARRIÈRE-BOUTIQUE (a-riê-re-bou-ti-k'), || 3°Être en retarddespaye-.
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montsarrivésà échéance.Ce fermiers'arriére —ÉTYM. du combatdeLipari,4676,dans JAL.Ce A,etm, termedemarine(voy.RIS);es- Relation d'annéeenannée.|| 4°Êtreen retard,en parlant pagn.arrisar. ne eûtvoulu,vnvqui l'empêchait pasd'arriver,s'il s. m. 1°Abord desnad'untravail.Cet employése néglige:il s'arriére ARRIVAGE Mm. d ansJAL. Vander (a-ri-va-j'), || LETTE, 4675, Putten, qui touslesjours.Malgré des menaitTavant-garde mesefforts,mabesognes'ar- vireset desbateauxdansun port.|| 2°L'arrivée des Hollandais,arrivasur marchandises riére. nousdefortbonnegrâce,m.ib. ':': -; dequelfrontila parudansla salledeWestminster' . ' • ' '•'''. MENT). d'hui,ce n'est qu'un trait rapide....li.ib.Mort. danslà de aiséALE(Ô-gu-ral,ra-1'),•adj.Terme' et Ausiècled'aujourd'hui à ine AUGURAL., peuventjuger Quivoudras'abaisser place "Whitehall, ' mentcombien i l était à la têtedesesarromaine. 1° à Qui B OIL. Sat.v. àd'antiquité || appartient l'augure, intrépide ^servir d'appui? || Aujourd'hui, opposé à celuiquiobserveles présages.Bâton-augurai.mées,combien aumilieude demainou hier,exprime un tempsindéterminé. Qn augusteet majestueux La et desa B OSS. 'Reine Ilnefaut 2° a a ux a ux son ce l'on condamnait hier. cour, d'Angl. || Qui rapport augures, présages. palais iapprouve aujourd'hui que ôtent a ux science Livres Il surles détails dansl'opulence,': demaindanslamisère. a uguraux. q ui augurale. || ' suittoujoûrs jamaiss'appesantir petits ;Aujourd'hui ' " lesubstantif. toutce ont . grandsévénements qu'ils d'important;|| 3°Aujourd'hui que, au tempsactueloù. Au—ÉTYM. a nov. 4 761. et voLT.ieKr. la Schouvaloff, Auguralis,d'augur(vovrAÙGuRE-i). d'auguste, jourd'huique vapeurabrègeles distances.On romaine. 1.AUGURE où. Aujourd'hui Papierauguste,pa- iditdansle mêmesensaujourd'hui (ô-gu-r"),s. m. Termed'antiquité.Il2°Termed'antiquité les':oùcevicea infectétousles âges....MASS. Celuidontla chargeétait, chezles'Romains; deti- pierdepremièrequalité,composé desenveloppes Prod. Cé- plusfinesdupapyrus lepapier Il4°D'aujourd'hui, rer desprésagesdu voletduchantdésoiseaux; à partir du momentoù'nous jjui servaità fabriquer Histoire r ecueil contient sarest désignésouverain des'augures',' VOLT. Catil. des-anciens. sommés: Cen'est auguste, qui (I pasd'aujourd'hui quetu saisal•et deleurscompétiteurs depuis 1, i.' . "':-::::" :: la viedesempereurs *' lier Lavertu,les forfaits,l'amant, le meurtrier, —HIST. moz Carin. xrV°s. Augur,auguremenssont Adrienjusqu'à VOLT. Catil.11,2.D'aujourd'hui Asenjecommence — et ital. faites enchàns PuenihoùÉTYM. dematriste à divinations :tir toutle ID. auguapartenans Provenç.augusi;espagn. puissance, Orpiiel; poids f°t; vemensdésoiseaus;BÈRCHEURE; seulement sto;de aujusfus,quiparaîtforméde augere,aug- rv, t. D'aujourd'hui jejouisdemilgloire, d e s errer. —ÉTYM. m ots d ont c omme Andr. 5 . OùmonAbél 'est-iltparle,est-ce RAG. 11, ahgustus,étroit, angere, Latin,augur;ombrien,uht'ur; menter, 2. f AUGUSTE Caïn?quetuconultérieureesttrèsidôutéùséiiQuélquesQuenouscraignons (ô-gu-sf),S.m. Hi°Titredéréré.d'aujourd'hui l'étymologie les sénat à Octave et l ui unsletirentà'aùgere,accroître,' desorte'quel'au- parle Mortd'Âbel,ch. vili.Cetfest portédepuis par empe-^,naissahaine?GILB. Par roi serait reursromains s essuccesseurs: le monde; || extension, pasd'aujourd'hui gure "célui'quiaugmenté',quiconsacre,' qui quel'opinion gouverne àmidés lettres. U n et rend auguste.D'autres un neutre du-, ouprincemagnifique liv. vi, lett. -i. [| D'aujourd'hui AugusteBALZ. , depuis "supposent fairedes 2 °Nom de sorte l'auaisément delà J e le commencement journée. n'e"l'ai'point peut Virgile,BOiL.Sat. 1.1| gus, égalau greceSxoç,prière, "que donnèrent aumois dit sextilis des serlesRomains RAC. seraitle celui j usencoreembrassé_d'aujourd'hui,' quiprononce que Andr:.li;'6. gure priant, ":;L': et futnommé ments. n'ont qu'un aujourd'hui. Auguste grandpontife, Il 5° S. m. Leshommes qu'alors,lorsque ...,' 'et moisd'août estnotremoisd'-àbût. 3"Nom du s.m. i° Terme Il semble nousnous immortels 2.AUGURÉ d'antiquitéqui || que (6-gu-r'J, ']| que croyions retourvers nousdevionsau moinspasserdé plusieurssiècles romaine.Présagetirédu voldesbiseaux' Allez,Cà- dansVoltaire,qui,par'tin malheureux aoûten auguste,et cetaujourd'hui tilinane craintpasles augures,VOLT; Catil.'1, S. l'originelatine,voulût^changer quele FilsdeDieunousatoutefois C es Mon dontla tentativen'eûtaucunsuccès. paquetsmarquécommel'uniqueobjetde nos soinset où Il2°Fig.Toutce quiprésagequelque;'chose. VOLT. dû moisd'auguste, un malheureux' il veutque nousles renfermions, BOURD. coeurmêmeen conçut augure,RAC.étaientducommencement Pensées, deBouil3 ,sr)[uov, miséricordieux, musse main, ue queau- iv. Et dessousuneaumusseL'ambition, avoirpitié.Onvoitdansl'historiq dansleslanguesromanes,desnomsfé- èXeéw, l'amour, constances, merveille. Aumaitte f ini debonne s e Sat.ix. môneavait parprendrelesensgénère! l'avarice musse,RÉGNIER, mininssinguliers:mirabilia, — KEM. un étaitanciennement un bonnet L'aumuce les action. t, pour signifiedoncproprement animaux,elesbêtes à a vecle et la ÉE(ô-mô-né,née),part, passé.Une depeaud'agneau lesanimauxparexcellence, poil, chapese porAUMÔNE, cultivateur, auxhôpitaux. tait par-dessus. Ensuiteon fit descendre ,cebonnet sommeaumônée cornes. sur v.a.Termedepratique an- sur les épaules,et pardegrésjusque lesreins. (ô-mô-né), | AUMÉES (6-mée),s. f. plur. Termedechasse. AUMÔNER devintensuitel'unique à payerune Lacommodité cienne.Êtrecondamné règle,etdelà Lesmaillesdesfiletsquandellessonttriples. judiciairement habillement des —ÉTYM. vientla variétéqu'onvoitdanscet sommeau profitdespauvres. Origineinconnue. s. f. || 1"Cequ'ondonneaux —HIST. xines.Parle [la]resondecequ'àsainte chanoines, pour AUMÔNE quin'estplusmêmequ'unornement (ô-mô-ne), l'uest le bras s uivant L'aumône le descozus amniosle s ur les obligé ceux gauche, qu'où qui portent Égliseappartient [la]garde pauvrespour soulager. dedonnerl'au- nées et amortiesheritavlement, Prov.12.L'obligation BEAUM. defaire,PASC. LVI,6. sagele pluscommun. xmes. Sire,fait-il,parsainteLuce,Cel Guillaume aquestale dithéritage,et le peustdon- —HIST. mône, ID.Rëfut,de la rép.à la 42elettre.Quand ID. ouvendresansretraite,ID.XLIV, 2. vilainà celrougeaumuce,Je n'en oi onquesautre ils ne donnentpointl'aumônedeleursuperflu, ner, aumosner Prov.9.Lesloupsn'étaientpasgensquidonnassentLitierscasquiapartientàsainteEglise,siestdetoz mestre,Ren.6454. Carja si granssolersn'aura, ne large Oies.Onse souvienttoujourslesbienset detoutesammosnes quisontdonnées,Neja tant fairene sauraGrantchaperon, l'aumône,LAFONT. et que les aumônesammosnées ou amorties,porsainteEgliseserviret aumuce,Quenatureou cuerne se muce,la Rose, qu'ondistribuedes aumônes, lafortune malheureux c e 44243. Renartest, quantveut,abbé;Quantil veut, ID.XI,4. ne rendentpas aux que soustenir, Laqueue à soncommandement, Aumône leura ôté, maisce quela natureseuleleur refuse, —ÉTYM. prentTout ; provenç.almornar;anç.es- l'aumuce s. n e l'avoit daignésaMASS. Usagedesrevenusecclés.Necroyezpasqu'il pagn.almosnar;portug.esmolar;ital.limosinare.de-Renart.|| xive Puisqu'il aumucella.. desmalheureux s. f. || i° Chargeluerne oster s'aumussete,DU'CANGE, ausoulagement queles AUMÔNERIE (ô-mô-ne-rie), n'employât ne la couronne aumônes soustint d'aumônier. restesinutilesde sonluxe,et queses Il2°Dansles abbayes,offiseclaustraiPourmettreenl'aumucequi desaumônes. Xleurassemblée, à la distribution l'empereur fussent.quelesdébrisde ses passions,ID.Villars. affecté || 3°Lagrande du roy,m.almucium. et et debonnes tout et chaperon jus; le roiosta Unefemmeforte,pleined'aumônes aumônerie de France,la chargede grandaumô- ostal'aumusse ID.ib. sonchapeltantseulement, BOSS. le Tellier.Cesteneffetla vraiegrâce nier.IlL'hôteldu g-andaumônier. oeuvres, dimi— — de despauvres, ÉTYM. de l'aumône,en soulageant HIST. xii"s. Del'apostolie[pape]esteitfrère Provenç.almussa;portug.mursa;ital. esteitil atur- moMetla;bas-lat.aumucia,aumucella, almucium, nuer en nousd'autresbesoins,ID.AnnedeGong.Francmultprivez,E à s'aumosnerie Le de l'allemand Mûsze,bonnet; nez; Ensunserviseesteitnuite jur apisstez,Th. almucia,armutia; Il Mettreà l'aumône,réduireà la mendicité. réduit de d'avoir holland. domaine se 65. lemart. muts; l'ancienverbe contrôleurdu suédois,meessa; justifiait — L'h.aux40écus, Quantau ÉTYM. Aumôner; muosan,couvrir,orner(voy.MDSSER). provenç.almonaria. vingtfamillesà l'aumône,VOLT. 1ÈRE(ô-mô-nié,niê-r), ad). préfixeau oual, c'estl'articlearabeal, jointquelaud.ducontr.gén.Sonmariage[deBellisle]avec 1. AUMÔNIER, Vieuxet peuusité. quefois,dansles languesromanes,à desmotsqui unesoeurduducdeLeviachevadele mettreàl'au- Ili° Quifaitsouventl'aumône. étaitun bonet honnêtehomme,charita- ne sontpas d'originearabe.Ontrouvebien aussi 830,84. Il Fig. Onluia faitl'au- Helvétius mône,ST-SIM. mônedequelques Quoi1d'unecharteonnous ble, patient,aumônier,droit, et quine manquaitdansIsidore,armilausa,sortede vêtementmiliéloges. nouscour- ni d'espritni de sens,ST-SIM. Etsouslejougvousvoulez afaitl'aumône, 221,248.|| 2°S. m. taire. Mais,outrequearmilausadonneraitdifficiun acTomb.de juillet.||ll dérobel'au- Termed'argot.Sedit d'unevanétédevoleursqui lementaumusse,l'aumusseest précisément ber! BÉRANG. de coutrement tête. môneauxpauvres,seditd'unhommequidemandesesertd'unmendiantcompère. — à l'aune. Terme de h' s. m. || 1°Mesurage fainéantise. 8* niST. x ir s. Cis o ùsont l'aumônepar pratique. aumosner, AUNAGE (ô-na-j'), || paradis amendeà laquelleon condamnait,en floue,p. 98.Ilxiii»s.Etmoût[elle]ert [était]preude Il 2° Nombred'aunesd'unepièced'étoffe.Vérifier Autrefois, aertainscas,ceuxquiperdaientleurprocès.|| 3°En femmeet très-bonneaumosniere, Berte,cxxx.I« l'aunage.|| 3°Termedeféodalité.Droitde marque lesmarchands. quepayaient jurisprudence féodale,aumônesfieffées,terreste- royfu si largeaumosnier, queparto-tla oùil aloit et d'étalonnage nuesen francheaumône,terres qui relèventen en sonroyaume,il fesoitdonneraus poureses- —ÉTYM. Auner. francheaumône,terreset rentesdonnées à l'Egliseglises,à maladreries,à mesonsDieu,à hospi- AUNAIE (ô-nê),$.f. Lieuplantéd'aunes. — le roi autreobliIl HIST. xmes. oupar quelque taulz....JOINV. 293.Ilxv*s. estoitdoux,courtois seigneur,sans Bois,vignes,aunois,gardins, par la mesuredesterde lestenaitde celui et ne semesurent et et chastede so:n reconnaître passelonc gationque qu'on corps, prés, débonnaire,vierge 8 reculéjuslesavait N ous BEAUM. 40. xiv s. Ilsfurent données. qui xxvi, || ni, in, 9a.llj;vies. res, ç largeaumosi'' F?OI«;.
AUN
AUP
AUR
245
44996.|) xv*s. Ettou- || Fig.etfamilièrement. Aunerl'habitdequelqu'un)gis de votremaîtresse,MOL. quesà un aunoy,Guescl. Mèd.m. lui, ni, 4. se mettaient.... en lui d es e t donner d ebâton, Je l'aivu gensd'armes, jourspassoient coups périrtoutauprèsde moi,FÊN.TH.xvn. un aulnoy,et là se quatissoient à la couverte,et —HIST. xmes.Atantestes-vos le vilainQuil'aune Le cardinalAlberoni autrefoiscuréde villageauattendaient l'un l'autre,FROISS. 484. s. tenoiten sa Son à auner de ||xvie S. deLouisXV, 4. || Fig. n, n, main; drap encommence,près Parme....VOLT. Qu'auxlieuxplusbassoientlesestangs,saussaies,Ren.42024.Cilquiseraitpris aunantà troppetite Ladépensedu maréchala été tout auprèsd'être 46.Bienfu li mastinsdeceflz;ridicule,SÉV.597.Il fut un peu auprèsde la aunaies,ozeraieset sembla-aune,BEAUM. peuplaies,tremblaies, XXVI, blesboisaquatiques, o. DESERBES, 46. Desgardesfu aparceûs;Omacueset o tiniausLi cadence[ildansaun peucontrela mesure],m.79. —ÉTYM. arbre. ontbienaunesssburiaus[habits],Ren.43993. || 3"Il exprimel'assiduité à l'égardd'unepersonne. d'alnus,aune, ' 4. AUNEAlnetum, — i° ancienne de ÉTYM. s. Mesure Aune 4. demoi t a CORN. (ô-n'), f. || Reprends auprès placeaccoutumée, 3pieds7 pouces40lignes6/6,équivalant à 4™,482. AUNEUR (ô-neur),s. m.Officier préposéautre- Cinna',v, 3. Curiuss'étaitruinéauprèsd'elle,et del'aunage. il luiavaitétéagréabletantqu'illuiavaitétéutile., || 2°Lachosemesurée.Uneaunede soie,de drap, foisà l'inspection 8 — condegalon.|| 3°Fig.Savoircequ'envautl'aune, HIST. XIIIs. Et h corratierne porrontestre VERTOT, Révol.rom.1. XII,p. 470.|| 4° Fig.Dans naîtreparexpérience lesdifficultés, les périls,les marcheantne auneeur, ne auneeurne pourrontl'esprit,dansl'opinionde.Trouver dela faveurauTabouche Familièrement. estrenrarcheant ne L iv.desmet.392. des debien.Bienvenu peinesd'unechose. d éjà || corratier, près gens auprèsdesescons'ouvrelarged'uneauneftu bâilleset ouvresune —ÉTYM. Auner. Usantde sonautoritéauprèsdu maître citoyens. Dans un grandebouche],BOIL. adv. delà Épitr.xi. Levisageallongé AUPARAVANT maison. C'estpassertroplongtemps (ô-pa-ra-van), pourtraître d'uneaune[visageexprimant le désappointement], L'hiver moisauparavant. Hèrael.Vf, 6. ||S°En.compatempsantérieur. Quelques auprèsdelui, CORN. SÉV.586.|| Toutdu longde l'aune, excessivement. fléchir l eurinraison de. Heureux d'auparavant. Puissé-jeauparavant auprèsde nous.Ilstrouvaient C'estvéritablement latourde Babylone, Carchacunjustice,RAG. t elle cettepertelégèreauprèsdespremières. Iphig.il, 2.Et siRomeestencor Qu'avais-je 4. e ttoutdu de M OL. Tari. CORN. 3. Ta I , ybabille, long l'aune, rageaupa- àmeplaindreauprèsdescraintasquej'aiprésentequ'auparavant, Fomp.iv, on ravantseraseulepunie,VOLT. Il en auratout,le longde l'aune, c'est-à-dire, 382.Lesansd'Abraham et d'Isaac,qui Mérope,iv, 2. On ment?,SÉV. luiferatoutlemalqu'onpourra.11Onditd'ungrand exposesonsalutauxdangersd'auparavant, FLÉCH. ontfaitparaîtresicourtsceuxde Jacob,s'évanouismangeur qu'ila toujoursdixaunesde boyauxvides Serin,n, 232.Unecompagnie etde quiprenaitdespartis sentauprèsdela viedeSem,quecelled'Adam Leshomsesbonsamis. Proverbes. ellen'avait le le Tellier.|| Proverbe. pourfestoyer || Sivousn'en auxquels paspensé jourd'auparavant,Noéefface,BOSS. mesne se mesurentpasà l'aune; cen'estpas d'a- et dontelles'étonnait VOLT. S. voulez couchez-vous s editfamilièredeLouisXÏV, ensuite, auprès, lesautres 5. Aulieu de treDtevaisseauxqu'onavaitjoints mentàpoint, prèslataillequ'onlesapprécie. unepersonne r efuse uneoffreraisonnable. || Mesurer qui àsonaune;jugerdesautresd'aprèssoi.|| Aubout l'annéed'auparavant à la flotteanglaise,onen joi- —SYN. i. AUPRÈS PRÈS DE. Ils expriment une DE, del'aunefautle drap; touteschosesontleurfin. gnitquarante,ID.ib.44.Laterreurdeschosespas- idéede proximité. Maisprèsmarqueuneproximité —HIST. XII»s. Dedans Plusdemalheursplusvague;et auprèsune proximitéplus déter[il]l'en[luien]boute[de séesFaisaitprévoiràleurspensées 97.Seila lance]uneaineetun quartier,Ronc.p. -MALH. minée.Il demeureprès d'iciveutdire quesa dequ'auparavant, n, 4. santeainesoutli templesde lung, e vintdeled, —REM. Dansla langueactuelle,auparavant est meuren'est paséloignée : et, il demeureauprès l e l i e t licontes 246. xines. ne Quant et de On nedit sa postaus demeure esttrès-peuéloignée. Rois, || adverbe, prendpas complément. d'ici,signifieque moult car il savoient si en furent l'annéeprochaine dolant, DE.Auprèsdeestplusgésorent, plusauparavant ; ni auparavant|| 2. AUPRÈS DE,AUPRIX bien combienc'estoitl'aune,Chr.de Rains,-H8. defaireni auparavant fit:cesontdesarchaïsnéral au qu'il que prixde, qui ne se ditquedeschoses. s on une droite Dontil voloit Aiefu querre mes.C'estVaugelas de- ou des personnesqui peuventse priser.aune, Ainsion quia établiqueauparavant Ren. 4 1996. S ansfaillece n'est e t cessait d 'être pas venait a dverbe oucondira: mesmalheurs n e sont rienauprèsdeceux drap auner, préposition Corneille et sescontemporains, maisonne dirait merveille,S'ous[si vous]n'en savésquartierne jonction.-Mais.pour quim'attendent; pas, au prixde. le la Carvousavés bec cesdeux étaient c orrects e t usités.Envoici Au trop jaune, Rose, aune; emplois contraire,ondira également:ma maisonn'est 430)7.|| xves. Il prit à sonusagejme longuees- desexemples : Lavilled'Agenfut tranquille et sou- rien auprèsde la vôtre,ou, au prix de la vôtre; la sédition,seulement commeauparavant II, 48.Lesau- miseen apparence, aveccettenuance,que auprèsexprime pêequiavoitdeuxaunes,FROISS-.H, tres y vinrentpourpillerce queles dits AngloisLAROCHEF. Mènx. 224.Je nesaisquel'archevêque de la comparaison del'apparence etau prix extérieure, avoientlaissé;carilsn'avoientemportéforsor, ar- Bourges à qui cela [êtrearchevêque sansavoirété exprime la comparaison de la valeurintrinsèque. fûtarrivéauparavant lui [l'abbéde Mailly], —HIST. xvies. Unefilled'auprèsde Pise, MONT, précieux,hauberset aunesde évêque] gent, vestements MONSTREL. liv. ch. 466. 460,(85.Apprenez-moi le crimeauparavantI, 402.Nouslestenonspourbienfournies,parce ST-SIM. grandvaleur, i, — ÉTYM. ital. auna.Ce Je ROTR. 6. vaisparuncheminqu'ellesont un hommeauprez,ID.ni, 327.Elle Provenç.alna, auna; l'arrêt, Bélisaire, v, dulatinulna;il passe d'épineset de flamme,Maisqu'auparavant motnevientpasdirectement moi destroussoit ceulxquipassoientparauprèsdu lieu du l'intermédiaire bas-latin vient a Dieului-même battu, ROTR. St Gen.iv, 4.C'est oùellese tenoit,AMYOT, 44. Arehimedes alena, qui par ne Thésée, dugoth.aleina;anc.hautallemelina;allem.Elle, M.le conseiller, voussouhaite lebonse soucioit d etout comme aussin'estoitmadame,qui point cela, qui, àleur tour, se rattachentà ulna, jour,et, auparavantquede venir,vousenvoiedes cerien auprèsdes enginsqu'ilavoitinventez,ID. avant-bras; Comtesse d'Esc.43. Et Marcel, n. avant-brâs, grecà\êvr\,coude,dew),o;,coude.Ulna poiresdesonjardin,MOL. — estl'avant-bras comme la a ÉTYM. Auet près. On disait, dansl'ancien et, mesure, coudée,qui l'eûtmiseen état, malgrétoutsonappui,Des'en et c'est eneffetla longueurd'unavant-bras à CORN. ; par plaindrePompée auparavant qu'àlui, Pomp. français,emprès. a été donnéeà n, 4. Pesez,auparavant extensionque cettedénomination quede rien intenter, La t AURA(ô-ra),s. f. Termede médecine. Sensadupied juste occasionquidoitvousy porter,ROTR. l'aunequi, d'aprèsSaigey,estle quadruple Béli- tion,d'unesortedevapeurquisemblesortirdutronc romain. quesortirdelavie,LAFONT.oudesmembres,avantl'invasion desattaquesd'ésaire,iv, 6.Auparavant 2. AUNE(ô-n'),s. m. Arbrequi croîtdansles Mul.Auparavant c ela et d'hystérie. Auraépileptique, quej'examine plussoigneuse-pilepsie hystérique. —ÉTYM. lieuxhumides(betulaalnus,L.).Lesvalléesétaient ment,DESC. Médit.3. souffle(voy.ORAGE). Latin,aura, XVes. Et moûten y eut quiparavant fAURANTIACÉ, ÉË (ô-ran-si-a-sé,sée), adj. plantéesde myrtes, d'auneset de sycomores, —HIST. CHATEAUBR. Mart.65.|| Aunenoir,nomvulgaire de avoienttenu le partiauducPhelipeet au ducJe- Termede botanique.Quiressemble à l'oranger. la bourdaine 4 I l futderechef 420. a verti le curé S. (voy.BOURDAINE). famiEe de que dont H f.plur.Lesaurantiacées, plantes — HIST.xive s. J'ay entendupar aucuns: qui han,FENIN, le feucommeauparavant de la dé- l'orangerestle type. alloitesteindre semésa chambredefeuillesd'aune,les pucess'y fense,LOUIS xi, Nouv.LXXIII. || xvi"s. Auparavant —ÉTYM. Voy.ORANGE. 7. Nous a vons faireaucune I, ||xvies. plu- quelui prennent,Ménagier, prièrepournouset nosnéces- t AURATE (ô-ra-tf),s. m.Termedechimie.Sel sieursarbresdesquelsla teintureest noire,aussi sitez,nousluirequérons sa vodans l e premièrement que lequel peroxyded'or joue le rôled'acide bien commedesnoixde galle, entreautresles lontésoitfaite,CALV. In-stit.732.Je netrouvepoint (acideaurique). teinturenoire,PALISSY, aulnesouvergnesapportent nomaitestéen ID.ib.949. —ËTYM. ce Aurum(voy.OR). usageauparavant, que 290.Autantqu'autrearbre aquatique,s'allongeEt lorssontfaictsdèbteursqui paravantestoyent fAUREILLON (ô-rè-Uon, «mouillées),s. m. l'aune, en d'aucunsendroitsappelléeverne; de presteurs,RAB.Pant. m, 4. L'officedescouvrePartiedumétierà fabriquer lesétoffesdesoie. l'escorcedecestarbre,leschapeliers et tanneursse l'homme;au paravant,on ne sçaytpour certain —ÉTYM. Voy.oreille. serventà taindreleur ouvrageen couleurnoire, quel il est, ID.ib. ni, 48.Xtous accidensnon fAURÉLIÈRE (ô-ré-liê-r'),s.f. Un des noms 800.Dupieddesvieillesaunes,ti- soubsonnez, o. DESERRES, nos sens pâtissentplusénormesper- vulgaires duperce-oreille. ID.803. rera-ondesrejettonsenracinés, estépreveuz, — ÉTYM. Oreille. quesieussentauparavant turbations, — ËTYM. namur. Alnus;wallon,onai,aunai; ID.ib. iv, 4. Quelquesannéesauparavant,MONT,t AURÉOLAIRE (ô-ré-o-lê-r'), adj. Termedidacaurnia;rouchi,auniau,auniclie. à tout 49. Cette ce pie print desdaing qu'elletique.Quiimiteuneauréole. I, ID.II, 475.Cesbarbares, —ÉTYM. f AUNEAU (ô-nô),s. m. Termed'agriculture.sçavoitdire auparavant, Auréole. Arcurequ'onformeavecun sarmentde vignede sansconserve d'aucunes avoient la lettres, s. f. || Ie Cerclelumineux cognois- AURÉOLE (ô-ré-o-P), l'annéeprécédente bien800ansauparavant,dontlespeintres pourlui faireproduireplusde sancedeschosesadvenues entourent ordinairement latêtedes fruits. 27. Pré Ce est n'est qui auparavant plus saints.|| Parextension. AMYOT,f.m, oùluitson Quipeutmedire —ËTYM. Est-ceuneformevulgairedeanneau? quefictionestrange,ID.Thésée,4. Sa mère,tout auréole? DesonexilDieul'a-t-ilrappelé?BÉRANG. AUNE,ÉE (ô-né, née),part,passé.Mesuréà le tempsau paravantluy avoitceléqui estaitson 'Angeexilé.Opalais,soisbéni! soisbjnie,ô ruine! l'aune.Unepièced'étoffe bienaunée. vraipère, ID.ib.6.Auparavant à jamaist'illumine deluy1JeanFrois-Qu'uneaugusteauréole !v. HUGO, 4.AUNÉE m édicinale dont l ara(ô-née),s. /'.Plante sardet Enguerrantde Monstrelet mirentpar es- Rayonsetombres.ii. de || 2°Ledegré gloirequidistinet amère(inulalielenium, cineest aromatique On doit L.). crit... M.DUBELL. Prolog. sçavoirque guelessaintsdansle ciel. L'auréoledes martyrs. —ÉTYM.. Dulatin fictif,lielenata,de lielenium,vingtansauparavantonn'avoitsentiun sidurhi- || 3°Terme d'astronomie. Couronne simpleoudouble nomlatindela plante,d'aprèsScheler; del'aune, verqueceluiqu'ilfaisoitlors,LANOUE, 659. quisevoitsurtoutdansleséclipses. Inula paraîtêtreunecorrup- —ÉTYM. —ÉTYM. et amnt. d'aprèsBescherelle. Au,par Auréola,sous-entendu corona, cou» tiond'ÈAÉVIOV. l'sselie AUPRÈS étaitunemai- ronned'or, d'aurum,or (voy.cemot). ( ô-prê ; auprès ; f 2.AUNÉE (ô-née),s. f. L'étendued'uneaune. son;dites: 6-prê-zétait),adv.|| i" Dansle voisi- t AURIBARBE (ô-ri-bar-b'), adj.TermedezooloOndit ordinairement, ence sens,aune. Êtreou setenirtout situé Ê tre tout a unebarbe dorée. nage. auprès. Qui gie. —ÉTYM. Auner. sivousn'êtesauprès,Nousau- —ÉTYM. auprès. M onsieur, Aurum,or, etbarbe. AUNER (ô-né),v. a. Mesurerà l'auneet, sub- ronsdela peineà retenirAgnès,MOL. ÉC.desf. t AURICOLLE (ô-ri-ko-P), adj. Termede zooloavectoutemesuredu mêmegenre. v, 3.|| 2"Auprèsde, prép.Samaisonestauprèsde gie.Quia le coud'un sidiairement, jaunedoré. Onauneaujourd'hui avecle mètraAunerdudrap. la mienne.Alleztoujoursm'attendreauprèsdulo- —ÉTYM. Aurum,or, et collum,cou,
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AUR
AUS
AUS
AURICULAIRE (ô-ri-ku-lê-r'), adj. || 1*Quia AURORE (o-ro-r'),s. f. || 1°Lalueurquiprécède, Monattachement et mongoût pourvotreexcellence rapport,qui appartientà l'oreille.Nerf,conduità l'horizon,le leverdu soleil.Nouseûmesle plai- pourl'ouvrage sousvos entrepris VOLT. auriculaire. || S*Témoin auriculaire,celuiquiaoui sir, toutle longdu chemin,devoirle coucheret Leltr.Schouvalof, » nov.4764. auspices, cequ'ilraconte.|| Confession confession l'auroredusoleilenmêmetemps;il se coucha,ce _—HIST.xiv*s Auspice,cen'estautrechosei: auriculaire, faità l'oreilleduprêtre.Laconfession 'auri- jour-là,à onzeheures,et selevaà deux,REGNARD, quise diremesaûr [heur]ou fortuneou félicitéoubon le M ONTESQ. e n 264.C'estun de culaire,l'extrême-onction, mariage, R>y. Laponie,p. plaisir voir commencement, i°4, verso. BERCHEURE, le petitdoigt, leverl'aurore,SËV. 290.Demain,sansdifférer,je —ÊTYM. Ssp.xrx",«8.|j 3*Doigtauriculaire, de avis,quiadonnéoiseau Auspicium, nosvaisseaux qu'onpeutintroduiredansl'oreille,ou s. m.l'au- prétendsquel'auroreDécouvre déjà (voy.ce mot),etdespveere, considérer '(voy.SPEC' riculaire. RAC. ilithr. in, 4. Quandl'été TACLE). . .> || Plumesauriculaires, plumesquigarnis- loindu Bosphore, sentlesoreillesdesoiseaux. || 4°Diphthonguesaurivient,le pauvreadore!L'été,c'estla saisonde feu, AUSSI demême.H (ô-si),ado.|| i*Pareillement, les font celles C'estl'airtièdeet lajraîcheaurore....v. BUGO, culaires, diphthongues Voix y avaitaussiun de mesamis.Je véritables, qui l'auraistrompé entendredeuxsons,commeni danshuile,par op- intér.v.|| Fig.Unepersonne aussi.Luiet les autresaussi.Et moi je fus aussi [dansnostragédies]trèsà estnommée un position diphthongue une pasteurdansl'Arcadie, qui imparfaite oculaire,diphthongue soleil,outoutaumoins DELISLE, Jardins, i*. Si le n'estquepourl'oeil,commeou. F ÉN. 242. 2°Jour dela vie. L es ravaXXI, me fuit, aussifait lé sommeil, aurore, || plaisir MALH. V, —HIST.in* s. Leoubolde soustientle doigtan- ges,l'exil,la mort,l'ignominie, Dèsma première46. Si vousentrez partout, aussi font les pronulaireet auriculaire, »ARÉ, IV,38. aurore,ontassiégémavie,VOLT. Fab.rv, 8. |f 2* Encore,deplus, Mérope, v, 4. Ap- fanes,LAFONT. —ÉTYM. 1accessoires. prenezqueNinus,à sadernièreaurore,SÛT en Aurieulariuifd'auricula(voy.OREILLE). sus. qu'un Comptezaussi les dépenses i»Terme d*anae n AURICULE mortel le m. + (ô-ri-ko-l"), poison terminait cours.... Simiram. Il dit aussiqu'il avaitdu poiSson *./. || Chezlui. Celui tomie.L'oreilleexterneou pavillonde l'oreille.iv, 3. Maisjusqu'àsadernièreaurore,In buvant quimet un freinala fureurdes flotsSaitaussi ar- frais,s'épanouir, Mesamis,cen'estpasvieillir,BÉ- desméchantsarrêterles || if En'botanique,aurîcules'j petitsappendices aie. Alfci, 41. cemjdpis, rondisqu'onobserveà la basedèspétales,étami- RANG. Vieillesse. Comme unefleurquin'avuqu'une |l 3?Autant,devantun adjectif et un adverbe. Rien feuilles o u decertaines delà RAC. Esth. 6. Le voit ses aun'est nes, pétioles p lantes ; aurore, i, aussi la poète populaire que bonté.Aussibonpèrede ' Veuillesauriculées,pétiolesauriculés.roresSeleversanstroubleet sanspleurs,v. HUGO, l'expression famillequeboncitoyen.Si le soleilestaussigrand de certainesqu'il le paraît.Je suispresqueaussi"éripeineque || Oreffle d'ouft,jolieprimevère. || 8»Termedezoo- Odes,i, 4. || 3"Fig.Commencement de surles decerchoses. Cessectesnesontqu'uneébauche-et logie.Bouquet plumésplacé commelui. Cettemaisonest aussifréquentée yeux QueJamais. tainsoiseaux.';''' l'auroredela réforme,BOSS. Var.45.LesFrançais;'Enaussipetitnombrequepossible. Aussi longtemps —ÉTÎM. sousLouisXIII,commencèrent à serendrerecom- que....Tu lesconnaisaussibien'quemoi.L'âne Âuriàtla, petiteoreille(voy.OREILLE). est ÏE (o-ri4u-lé,lée), adj. Termemandâmes de l'es- deson naturelaussihumble,aussipatient,aussi f AURICULE, par les grâceset les politesses Qui est muni d'auriculesou d'oreil- prit; c'étaitl'auroredu bon goût, VOLT. didactique: Moeurs,tranquillequele chevalestfier,ardent,impétueux, lettes.' 476.Lejourquivouséclaireest pourvousà l'au--'BDFF./Be. Aussivivantparl'espritqu'ilétaitmou—ÊTYM. Âuricule. ID. t. Ils le rant le le TeUier. rore, Zaïre, m; n'éclipseront pas jour par corps, BOSS. \\ t»Tellement. t AURIÈRE (ô-ri;*-r'),*. f. Termed'agriculture,quivientd'éclore,Et dont l'Europeentièreà vu Dansune patrieaussiglorieuse. Avecune sagesse fausseorthographe brillerl'aurore,ST.LAMB. pourorière. Saisons,Hiver.Rayondi- aussirare.Etantaussisobre.Jenemepropose point contient de es-tul'auroreDu t AURIFÈRE Qui (o-ri-fê'-r'),adj. vin, jourqui ne doit pasfinirf d'autreordredansunematièreaussiimportante, MASS . l'or.Terrainoupaysaurifère.Fleuveaurifère. LAMART. JfeUi, 4. || 4°Poétiquement, l es Car. P etitnombre. La dansunesituation a ussi l'orient, voyant —ÊTYM.Aurum, or (voy.OR),et ferre,por- payssituésà l'orient.Qu'unventvienne à soufflerbrillante,je l'ai suppliéede Vousenvoyer quelques te. du soiroude l'aurore,LAMART. Harm.l, B.Em- secours,BERN. DESTPIERRE, Poulet Tirg.|f6°Conj. s. f. Termede brasezpar nosmainsle couchantet l'aurore,nie. C'estpourquoi,à causedecela.11mepriaitdet'éf AURIFICATION (o-ri-fi-kai-sion), roi quinaguère,avecquelqueappa- criré; aussile»fais-je. Asecouruttoujoursl'inforchirurgie. quiconsisteà obturerlesdents Jft'fftr.in,4.Un Opération creusesavecdesfeuillesd'or. '" . rence,Del'auroreau couchantportaitsonespé- tune; aussia-t-ilà sontourtrouvédesamis',ouhien, —ÊTTM. ÂuriHqùe. rance,ID.tb. in, 4.Ilsiedmalde vengerl'affrontaussiil a trouvéà sontourdesamis.Aussifaut-il v, à. Termedechirur- de Théodore X cellequirégit le couchantet l'au- donnerà l'animalun pointQuela planteaprèstout f ÂDRÏttÉR'!(6-ri-fl-é), P aurification. ROTR. Bélis. dumidi, du n'a point, LAFONT. Fab.x, 4. Lespierresontété gie.Pratiquer i, 3. Lesbrigands rore, ala nordet de V OLT. 4. K* informées êtretaillées AURIFIQUE Qui et pouren fairedeschât (Ô-rifi-k"), adj. puissance l'aurore, Tancr.i, || Adj. pour deproduiredel'oroudechangerquelquechoseen var. Decouleurorangéclair. La couleuraurore; teaux;aussimonseigneur aun très^beaù château, vertu les alchimistes attribuaient àleur uneteinture d es rubans d es VOLT. 4 . d or; que pouaurore; aurore; garCandide, Aussi, ansle discours quevous dredeprojection. nituresaurore.Laprunelle estchezeux[lesAlbinos]venezd'entendre, Je parlaispourl'âigrirét nonpour —ÉTYM. d'unecouleurauroretrès-brillante, VOLT. Ch.deno- medéfendre, CORN. Àurumjor, etfaeere,faire. Cinna,v, 2.Aussi ferai-jeetcette AURUXARD ORILLARD. 4 77. S. m.Lacouleur nuit tre a urore.L'aurore BEAUHARCH. Barb. de (ô-ri-llar),adj.Voy. globe, || même, SéviUe,iv, 4. s. m.Nomvulgaireduloriot devotrerobeest plus beauqueceluidovotreca- || 6*Aussibien, loc.adv.Danslefait.Hnes'agitpas t AURIOL (o-ri-ol), commun. pote.|| 6*Auroreboréale,météorelumineux quiest de réfutercesrêveriesdesPlatoniciens qui, aussi —ÊTYM. d e couleur dans d'or (voy.LO-très-fréquent les régionspolaires.|| 7°Dans bien,tombent BOSS. Aureolus, Bist. u niv. d'elles-mêmes, ii,42. renonculejaune.Aurorenaissante,Aussibien,enunseul,voicidesmàuxsansnombre, RIOT). l'horticulture, violet. Rod.il, 3.Vousêtes,aussibien, le véritable CORN! t AURtPEAU (ô-ri-p6),s. m. Voy.ORIPEAU. nomd'unoeillet — AURIPENNE Terme dezooloHIST. xvi* s . Susl'heure la Nicom.n, 2. Qu'ilpérisse;aussibienil j (6-ri-pè-n'), adj. que joyeuseaurore roi, CORN. alesailesdorées. aux rosatzdechassera l es vit Qui R AB. ne Androm.v, 4. Aussi doigtz gie. pluspour nous,RAC. ténèbres, —ÊTYM. Pont,ni, 43. bien ces soupçons,cesplaintesassiduesOntfait Aurum,or, etpenna,aile. — 4. ATJRIQCE Termede marine. I l dit ÊTYM. du ID.Brit. (ô-n-k'),adj. Aurora, pour ausora, sanscritcroireà tousceuxquilesontentendues.... se dit desvoilesquiontquatrecôtés,ouralingues,ush, brûler(voy.USTION). 2. Aussi b ience la n'est iv, pas premièreinjustice sansêtrecarrées. s. m.Termede chimie. Dontla Grèced'Achille a payéle service,n>.Andr. fAURURE (ô-ru-r'), —ÊTYM. LeDictionnaire deJalnedonneaucuneCombinaison del'oravecun autremétal,en pro- i, 2. Aulieu de ces moeursmondaines qui aussi d éfinies. bienvous r efusez... MASS. Saiuf: Car étymologie. portions damneront, — d e Terme chimie. or. b ien e st Qui ÊTYM. aussi le salaire D'unécrivain au«.fAURIQUE quel grand (ô-ri-k*), adj. Aurum, à l'or.Acide se rapporté s. f. Termede dessusdu vulgaire? x.B.RoCSs.'Épit. auri'qùè. AUSCULTATION (ô-skul-ta-sion), i, liv.i, Aux —ÊTYM. o r. Action d e l'oreille 7°Aussi bien médecine. loc. D Aurum, prêter pourpercevoirmuses.|| que; conj. emêmeque. AURISCALPE s. m.Cure-oreille. estaussibienun remèdeà lahaineQu'un lessonsquise produisent danslapoitrine,dansle L'absence f (6-ri-skal-p'), —ÊTYM. de oreille dans les contre coeur e t vaisseaux. Fab. x, 2. Et que Auriscalpium, auris, (vOy. l'amour,LÀFONT. appareil — ÊTYM. écouter(voy. toutl'univers,sachantcequim'anime,S'étonne du OREILLE), etscalpere,gratter(voy.SCALPEL). Auscultatio, d'auscultare, Termede aussibien du CORN. cemot). fAURIVENTRE (ô-ri-vah-tr'),adj. que' crime, Cinna, supplice la EE 2. Perdez-en mémoire aussibien Quia leventredoré. ï & zoologie. que la vue. f AUSCULTÉ,(ô-skul-té, tèe),parï.passé. v; " —ÊTYM. et rentre. Mithr. 4. deux avecsoin. i ib. sontliés Aurum,or, iv, || Quand; substantifs; poitrineauscultée s. m. Undesnomsvulgai- t AUSCULTER AUROCHS 6t'e» on mettrete v. a. Terme d eméde(6-roks), verbe (ÔVskul-té), par,aussi que, peut ^iû sinresdu boeufunis,quiest un boeufdésprairieset' cine.Ecouterles bruitsqui se produisent au e n le dansla; gulierou pluriel, soitauxdeux rapportant desbruyères. le coeur o ulesvaisseaux. soità l'unseulement Cela n'empêche poitrine, pas j ensemble, —ÊTYM. sa Motallemandcomposéde Auejpour' —ÉTYM. toute aussibien VoyAUSCULTATION. divinité, que huqueitô^itfespn boeuf :boeufdeplaine;sanscr.> AUSPICE *.m. || i' Termed'antiquitémanité, n'y soitdansune conjohptiqii'Nécessaire, (ô-spi-s1), Aue,plaine,et Qcfrs, dura- romaine.Divination de l'avenir,surtoutd'aprèsle PASC. Prov.46.Celuiqui écouteaussibienqueceusa», bc^ul,taureau,cheval,probablement dicalvaK,porter(voy.VÉHICULÉ). lesauspices. Sousde bons,;luiquiparle, serontenveloppés dansune même voldesbiseaux.Prendre '",''•' esNom d'une mauvais Annoncer des' sousde FLÊCH. Serm. '....' auspices. auspicesruine, i, 364, At3ROrïK^rOrn'),«.f. vulgaire Unsim- —REM. aussigarde-robe,contraires. Lieuconsacré 1.Aussise metdanâlé.^ensaXfi'rmàtif : je par lesauspices. pècedu genrearmoise,nommée *. f. et auronedesjardins(arlemisiaabrotonum,pleofficierdu peuple,quin'avaitni auspices ni ju- leyeuxaussi.Dansle sensnégatif,on'dit:nonplus. £.). || Aurone. femelle,petitcyprèset garde-robe,ridiction,J.J.ROUSS. Contrat,iv, B.|| 2"Fig.Heu- Vousnelevoulezpas, ni nioïnonplus,fel estl'ulasantbline favorable. nomsvulgaires de reuxauspice. malheureux,saged'à présent;niaisles meilleurs,auteurs du (voy.SÀNTOLINE). Auspice Auspice —HIST. xm*s. Abroigne, une herbequi bone tristeoufâcheux. Nésouslesplusheureuxauspices.xvirsiècleontemployé aussiavec.lanégation. Cette estau mouton,Bist.occid.des Croisades,t n, Jamaishymenformésousun plus noir auspice',tournurea vieilli,ilest vrai;maisil estencorebon aurosneet tenasie,PARÉ, , RACMithr.i, 2. Nousautresréunissousdemeil- d'enétudierles exemples. Comme ilsn'avaientni p. 882.|| xvi'.s.Absinthe, Nie.v, 40. Qu'enredoublecupiditéni intérêt,ils n'avaient aussini divisionni XXII,B.L'auronne,ditte menu cyprès,pour le, leursauspices,CORN. a autrement demainlesheureux sacrifices leur FLÉCH. 374.Il Quenous offri- jalousie, grandrapportqu'elle aveccest arbre, n'y a pointd'éPanig.l^. se plantepar,remettons enraci- ronssousde meilleursauspices,ID.Cinna,v, 3. tat plusnobleni plusrelevé'queceluidesprêtres; appellée garderobe, l a nés, à fautedesquelssuppléera semence,o. DE || 3°Souslesauspices.de quelqu'un,sots la direc- il n'y en a pointaussiqui.,demandeplus de préB68. dequelqu'un.... Vousmarchiezparation,ID.ib. n, p. 390,Cen'est pas aussiaux tion,parl'influence SERRES, —ÊTYM. RAC. Brit.iv,'2. sagesconseils Wallon,Mrrone;rouchl, ivrone;pi- au campconduitsousmesauspices, qu'il fautattribuerlesheureuxsucs ommes en Nous sûreté sousses SËV. 226. BOSS. Si je ne goûtepas lesdéde àëpÔTovov. Marie-Thér. auspices, cès, card,avrogne;de abrotonum,
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247 licesflontvousjouissez,aumoinsn'ai-jepasaussi vous.Voiciunessaid'explication decetteanomalie.aussià ce compte..;,ID.I, 25. Chrysippusn'eust ces,heuresde. chagrinet d'accablement, VOIT.Dansl'ancienfrançaisonaditautantcomme,aussi pasestédecetadyis;et moyaussipeu, ID.i, 29. 40.11 nefaut l'homme nevoie rien comme,marquantla comparaison non par que, Aussi[c'estpourquoi] Lett., làpeur surmonte-elle en aipasque dutout; il ne. faut pasaussiqu'il en voieassez maisparcomme. Toutefois formé d e tantum tous.... 63. Géinx autant, greur iD.-i, qui'estimentchose pourcroirequ'ilpossèdela vérité,:PASG. Pensées,quia le corrélatifquantum,a pu très-bienavoir malséante,qued'èstreloué; néfontaussirien qui part.il, art.47.Doncje ne suispasunêtrenéces- quepourcorrélatif,commecelaest arrivé.Il n'en merixequel'on lesloue,AMÏÔT, Préf.vi, 32. Ils n i infini mais formé de ne suis aussiéternel est de même deaussi est n'usent d efondes e n bataillé ; j e saire,je pas pas qui sic;-là, point Nyd'arcs'aussi, voishien qu'ily a dansla nature,un être néces^.lecorrélatif ne pouvaitêtre quecommeet ne pou- maisd'estocet détaille; ID.Thésée, è.H.s'en!rené n >. i b. 4.L'homme vaitêtre Néanmoins a fini emmenant et -lés i nfini, poupar saire,éternel,, i, que. -que remplacertourna, quand luy autres-jeunes vantreposerdans.aucun de cesvicespar ses.rai- commepouraussi,-ainsiquepour autant.Cette enfansd'Athènes,et Ariadne ussi,m; Thésée,22. 'aaussiest ni aussilesfuir ID.ib. substitution étant il auraitfalluêtreconséLamer bienà est bienle feu, sonnements, tous, part,i, faite, craindre', le 4 la M ais c e arrive art. 4.Comme Etle cielquandil est de tonnerres'esméu,RONqui partout. la'.-religion n'y étaitplusintéressée,quentet poursuivre : 4 7.Sachez onmodifie u nelocune intéressai I D. P rov. souvent c'est 425. . ' ''. . je m'y plusaussi, plus que,quand SARD, — fait e t leur,objet[desjésuites]n'estpas de cor- tiondansunelangue,la conséquence, défaut; ÉTYM. Bourguig.ossi;L'ancienneforme'aldonc-que et l'anleur mais h ésitant e ntréla nouvelle f orme l es cen'est' alsi montre l'oreille, dessein, rompre moeurs, pas tresi, l'origine: oïteritmsic, àlîudsic, d ès.lors ilsn'ontpasaussi:pouruniquebutceluidelesré- cienne,introduitdesvariationsfondées autreainsi(pouralterum,aliud, voy.AUTRE , et donc maissur c 'estainsi m.Prov.6. Ces ne nonsurla l'usage; paroles peuvent grammaire, poursic,voy.si, adv.). former, servir-qu'à--vousconvaincrevous-même d'impos-que, disantaussirichequevous,onne dit pas,il t AUSSIÈRE (ô-siè-r'),s. f. Termede marine s il'oreille a vaitacaussi l'aime aussi comme davantage pour quevous; ture, et ellesne-servent pas. (voy.HAUSSIÈRE). 42e déla à la lett. ID. rép. ceptél'usagede:aussiavecque,quandaussiétait AUSSITÔT justifierVasquez, Réfut. (ô-si-tô),adv. ||, i" Danslemoment ou un deconsode un Jene demande-pas-d'avoir par adverbe, même. aussitôt. Aussitôtaprèsvotredépart. séparé quepar adjectif J 'irai une:plénitude immédiala de le auraitdû suivre sans c'est vie maisnon aucunesouffrance, Toutaussitôt,et cetaussitôtfutun peuétrange,on gloire; quand que " lation d eslocutions estce aussid'êtredansune tement a ussi. l 'histoire ne demande qui pas plénitude Bref, je apportasurlelit du roiuneespècede livreou de comme s oitavec un étatde Jadisondisait a ussi demauxsansconsolation; carc'est ju- les explique. petitetable, ST-SIM. 405,43. || 2° Aussitôtque, le de 4 Lefidèle soit lesverbes. Dans art. 9. les avec m . aussi v ite V otre qui adjectifs passage daïsme, Pensées,part,n, que.... pèrey seraaussitôtquevous, nesouffrerienici-bas,'nesauraitaussirienespérerl'ancienfrançaisau françaismoderne,que ayant PÊN.Tél.i. Aussitôt' fait quedit, LAFONT. Fàb. dit les n'est un s'est avec MASS. Rèsurr. S ice aussi 40.J'encache les adjec-vin, pas remplacé pourJ'avenir, Myst. comme, que deuxtiersaussitôtqu'arrivés, dit lesverce nes'est avec d uchoix d'un tifsoulesadverbes et doitdécider CORN. 3. Aussitôt la letétat, plus goûtdérégléqui Cid,rv, || Elliptiquement. eu disant ID. F bc.On se V oilà le bes. tre reçue, vouspartirez,c'est-à-direaussitôtque n'estpasaussiun respecthumain, Car. fait,quej'essayed'expliquer le d 'en être comme cen'est uneaffaire aussine le jour, aussitôt comportant pasétymologiquementvousaurezreçula lettre.Aussitôt que; pas que, persuade a la moaussi circonstance corrélatif Aussitôt empêché que,cette coupable[de certainsdéfauts],il n'y a pas quele jourparaît.|| Fig:et familièrement. les cas -grandmal-d'én.êtfe Médis. Etcomme dification d es'étendre à tous dit ID. i b. que présenaussitôt se de"toute chose censeur, pris, pendu", quise ' la honte-qui découvre les misèresde notrecon- taitl'ancienfrançais. faitimmédiatement, sansretard.|| 3°Aussitôt que.... — altresicorne un I'enchaeirient la douleur a ussi xics. Si sciencen'estpresque HIST. loc.conj.Dèsque....Aussitôt lànouvelle se réplussensible,que neif blanche c orne Roi.cxxxv. A ltresi les d e m.ib.Inconst. Ch.de Aussitôt le khânde Tartarie a déteste n'a qui jamais suite,ours, pandit.... que djné.j Et commeonne peutrien ajouterà l'excèsdeson [neige]surgelée,ib.CCXL. || xir s. Blanche[il] ot un hérautcrie quetouslès autresprincesde la Durs terrepeuvent allerdînerSibon leur semble,MONhoqueton,Bouc.p. -125. amour,rienne manqueaussià l'excèsde sa dou- labarbeaussicomme ib. -128. Lett.pers.44.Aussitôtquele charchemine, leuret desonmartyre,ÏD. ib.Passion.Commeil [ils]ontlescuirsautresicommefers; p. TESQ. ib. 444. ne être i l Elle lagloire, n'est personnequi veuille altresi, p. applaudi, Mahom[il]reclame,Tervagant [lamouche]s'enattribuéuniquement bienet fit Judas,ce sai-je LAFONT. Fab.vn, 9.Pourmoi,toutaussitôtqueje n'estpresqueaucunaussiqui nese fasseun artet Altresi[semblablement] me ne Ausi c omvousle elle croi,ift,.p. -199. unméritedemédire,ID.ib. Médis.Comme poezdoner, l'envisparée,-Jenefisplusétatdela toisondorée, e lle ne craint l e me l'estime des v ous souhaitepas hommes, Quand plaira, poez retraire, Coud,u. CORN. n, 5.|| 4°Aussibien.Dieuatoujours Médée, pris mourir doie lui Bonh. est dela conservation de votre aussileur I D. d es Et s'ausi [je] un soinsi justes. quepour [elle] pas mépris, Avent, particulier etje ne prétends[doive],Ceestla mortdontmieuxmourir[je]de- maison....qu'illaisseraitaussitôttoucherà sesauNousne savonspascequ'ilsouffre, toussainset maugréDieu tels....qu'àdespersonnes ni affaiblir quiluisontchèrescomme pardespein- vroie,ib. p. 420.Maugré pasaussivousl'expliquer, Roet malsoit-il turesvulgaires une imagesi effrayante,ID.Car. aussiRevientQuesnes, venans, vousêtes,BALZ. liv.iii, lett.4. l'a dou— deli de su403. A u Aussitost qu'ily a tant soitpeu Iln'enest xvics. Mann,riche. HIST. départir [elle],[il] pas[devérités] plus mancero,y. com vu. Ausi MONT, quelé dangiersoitesloingné, II, d'apparence blimes,iln'enestpasaussideplusignorées,ID.Car. cementbaisie,Et eleluiàusi....Sax. Siestleur la cesnobles m ouvements est 93.Il aussitost DU Petitnombre. en la mer puissanz balaine, poesestparfaict Quinesentpas queconceu, BELLAY,ib.xxx. xni°s. Et nous n esent vendueun tel exploit font aux tezenterre recto. S ur nous | | Bollonghe pas souveraine, m, 46, qui aspirer grandspostes, bone vous serde e naussi l'eut fontoser grandesactions, vousjureronsquenous, il fit, Qu'aussi tost qu'il aussiceuxquiBOUS foi, veue,aussitost.illa ID.vin, 26, recto. ID.Petitcor.Drapeaux. || 2.Avecne....que,onmet virons en'l'ostcornenousfeïssionslui, VILLEH. prit, — fais Bertainet de XXIV.L'histoirede" ÉTYM. nonplus ou aussi.Il lit incessamment; Pépinaussi, je ne Bourguig.osseto;de aussi, et tôt. On de a"dit, dans le xvii' siècle,aussitôtcomme....Il lire; ou: je ne faisaussique lire.Là Berle,i. [Ils]Surentprèsd'aussibienle îrançois nonplus-que au à confondus chrétienParis Comseil fussentné, bourg St-Denis,rendraleursdessèiris....Aussi-tqst comme traditiondu peuplejuifet celledù'-;peuple r el'avoit même aussicom MALH. 4. ne fontensemblequ'une su'ite'de-religion; ib. v. Tout [à]-Symon[elle] délibérés, u, Floreson ne font aussi ib. LI.Le d esdeux Testaments AUSTER lesécritures conneû père et roy (ô-stèr),s. m. NomquelesLatinsdon[déclaré], Berte i b.LIX. voit Hist. [elle]regretemqutaussi, Quand naientauventdumidi. qu'un mêmecorpsetun même livre,'BOSS. —ÉTYM. ib. cxxvu.Blanchedel'homme mère 4 3. Comme i l a et sa univ.il, sonpère autresi, n'y quel'esprit Ausler,du grec,au«,dessécher: vent li brûlant,-, quisachecequisepassedansl'homme,il n'y a que fleurss'est dressée,aussifit rois Flores,ib.. desséchant, i ssir voit vins c e se le dela forest Quatre le coeuraussiquipuissesavoir qui passe"dans cxxvni.Fors AUSTERE [il] aoj."" (ô-stê-r'),, J| 1°Quiaune saveur Lecoinga une saveuraustère. Cor.Lazare.|| 3. Suivantdesgrammai-damestôt alsi, Lai du trot.|| xv°s. Leflundela âpreet astringente. coeur,MASS. estoit a donc tout r efluer l a S évère m oralement. Unhomme que,placéeaprèsaussi, mer[quifaisait Somme] austère.Meriens,aprèsla conjonction || 2°Fig. deîe: plein: si ne purentpasser: aussibienconvenoit-il leVerbe nerunevieaustère.Uneaustèrevertu.Jeûne.àustère, siun adjectifsuit,ilfaùtfaireprécéder Roivenoient degensâustèrespour ; et Esth.1,3.Combien'voit-op ellen'estpasaussidoucequ'ellelesemblait au roi attendreses gens"qui aprèslui, RAC. d'aiderà la dame Une aussiforte C orin279.Aussifroids les doux a dit : FROISS. place qu'était poureux-mêmes! FLÉCH.Ï, lin, qui i, i, autres, p. 496. cette commeils en. avoientestéen granddésir, ID,I, Austèredevoir,RAC. ^nâr..iïï,..4.Austèretutelle, Malgré the,auraitdûdire,quel'étaitCorinthe. correcte et toutes r ivières 2.Austère la de Rollinest etvoir Phèd. HO. Ondit, grosses est,que ip. fierté,w. Srit. n, 2. Aus, u, décision', phrase I, ruisseaux e t de plusieurs tèreconseil,ID.Iphig.v,'è. || Entermesde beaux pourraitêtre imitée',puisquece cas présenteune sont faiteset rassemblées extraites e t comforte Corinthe était aussilessciences sont lesagréments. Le très-facile : aussi : 'que fontaines arts, qui rejetteles.ornements, ellipse bien nesemetquedevantunadjec-piléesdeplusieursclercs,ID.Prol.Aussi [d'un genreaustèreest opposéau genregracieux.Ces forte.|]4.Aussi....o/ue contre champsqui, l'hivermême,ont d'austèresappas, : autrecôté]il y a des peuplesqui offencent onditcommùnêment tif ouun adverbe;cependant dit : cene fut v. HUGO se- leurseigneur,COMM. 48.Chacune il a aussisoifquevous.Lalocutionmoins négligée v, , Voixintér.'xrx,, — — — moi LOUIS o uautant d esoif n'a moi ne à HIST. xives. Poureviemehoienttrèsdure et rait:il asoifautantquevous, aussi, xi, que pasà moi Roà Nouv.m. || xvi"s. Il ne faut pointaussiattribuertrès austère, Girartde Ross.234s. Comme vous.|| 5.Auxvir siècle,'on disait,conformément Dieu surviennent aussi lede bertBriseteste féusttrèsausters m erveilqui pour auxestoileslesvengeances [violent], l'usagedessiècles précédents, comme, 449. C en'est à eux aussi M a foi leuxet DU austeritas. disons seule telles n ous pas \\xvies. merancolieux,CANGE, présentement que. causes,CALVIN, quel pour nul le enest commun du aussi secélèbre à Athènes l a festede de reformerl'estat aussipureetbelleComme sujet beau,MÀLH. peuple, Auquel jour Cerès, 223.Si avez du estlà austère duré o nm'avuconstamID. Tant neles en qui pourmoy Thésmophoria, plus laguerre, requiert, quis'appelle qu'a v, 4?. ai moins s olennité d e toute vous n'en boncitoyencommeparfaitamant,CORN. P our et,la triste, mentAussi pas aussi, plus l'année,; AMTOT, MÀROT, soucy, et tu mensaussi b ien 44.Gros v innoir 3. comme 328.Sil austère, Hor.I, Peut-êtreque VI,49a avoytquelquesimperfections", aussy Démpsth. PARÉ, n, Pant.ni, Prol. Ils proposent des imagesdé vierelevésoubiensi avezvous, aussyavonsnous,RAB. lui,ID.Ment,iv, 7. —SYN.AUSSI, AUTANT. Aussi'venantde sic, Personnen'a interesten sa ruyne; aussibienne difficileset austères,quelà praticqueen estimautantvenantdeton- prestoytil rien; aussibienn'eustil paraprezrien possible,CHARRON, Sagesse, i, 53. ainsi,marquela similitude« I, 45. ventdisposer, Pomp.1,4.Uneseconde danscepalaistremblante son Desesamis Comme Lamachus fustd'advisqued'arrivéeon al- sez,s'ilvousplaît,XtraiterLaodiceen reinecomme pour fils, lesavis,RAC. troublésdemande Phèd.n, 4. Je ne lastdroitdevantSyracuse,AMYOT, Il elle 25. ID. 3. Je viis consulterun Mcias, est, Nicomède, 11, D.Gare,iv, 7. selaissaallerà la renversesurle lict, oùil estoit avocatet aviserdesbiaisquej'ai à prendre.IKM,. prendsavisquedemapassion,MOL. i Donneurd'avis,hommequi a la.maniededon- à table,commene prenantplusd'advisà cequ'ilz Scapin,n, -4.||Imaginer.Quivousa fait svvwrde
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AVI
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AVÔ
cetour?LAFONT. Conf.Sansallerdesurcroîtavisergleterre,ID.i, i, 8. Etainsile vint-ildirede nuit vif.Lefeuavivé.La passionavivéeparlesobsta=e •sottement De faireun chagrinquin'anulfonde-à la roined'Angleterre, etl'avisadu périloù elle cles. MOL. 4 Coc. 3. Certains I D. 42..Etavoient ententede prendre AVIVER ment, imag. v. a. || 1°Rendrevif,donner impertinentsestoit, i, i, (a-vi-vé), de laquaisquiviennentprovoquer lesgenset les terreà un portqu'ilsavoientavisé; maisilsne pu- dela vivacité. Aviverun tableau,unecouleur,une faireaviserde boirelorsqu'onn'y songepas,ID.l'Av. rent, ID.I, I, 48. Et un pointquej'avise,C'est statue.Leventavivelefeu. || Fig.Lamarcbea quel5" 11,2.|| S'aviser,v.réfl.S'imaginer de,remarquer,qu'entretouzcourtvoixet renommée Depisavoir quechosequiavivemesidées,J.J. ROUES, (Umf.iv. trouver.S'aviserd'unexpédient, d'unstratagème. Si pourle peupleet l'Eglise,E.DESCU. du || 2°Termed'arts.Aviverunefigurede nronze,la Souffrance nes'avi- peuple.Etfutadviséqueleursgênaneviendroientnettoyer,pourla rendrepluspropreà îa dorure. jenem'étaisaviséplustôtd'écrire.Personne nes'a- plusavant,COMM. se,delui-même, dumérited'autrui,LABRUY.2.Il I, 8. Leroy[Louis XI]en venant || Aviverl'or, l'étendre,aprèsqu'il a étéamalgamé visaitguèredece quipouvait faireplaisirauxautres, à Peronne,ilne s'estoitpointadviséqu'ilavoiten- avecle vif-argent.|| 3"Couperle boisà vivearête. FÉN. Tél.xvi.Jemesuisavisétroptardquec'estde- voyédeuxambassadeurs, ID.H, 7. Et lesvinsles ||4°Blanchiravecdel'étainlasurfaceduplombque mainStRemy,BOSS. Lett.abb.92. Avez-vous re- meilleurs dontsepeultadviser,ID.IV,9. Inconti-l'on veutsouder.||5° S'aviver,v. réfl.Devenir vif. oLioh!voilàquiestex- nentquele roysceutl'alléeduditconnestable, il Unecouleurquis'avive.Sadouleurs'aviva. marquéce commencement comme u n s'avise ohl oh! homme advisa donner xiues. Et sachesquedu regarderFeras traordinaire, qui d'y remède,ID.IV.42. Prince,tant —HIST. toutd'uncoup,MOL. Lesprie.rxd.40.Maisje m'a- vit fol qu'il s'advise,VILLON, Ballade.\\ xn' s. tonouerfrireet larder,Et toutadèsen regardant vise[jefaisréflexion], ID.Sgan.6.J'aiajouténon- Alexandre advisaque la fureurdu chevalne ve- Aviveras le feuardant,la Rose,2356.Et douterne seulement touslesornements dontj'ai pum'aviser,noytquede frayeurqu'ilprenoytà sonumbre,HAB.sedoiventdesprelasquior vivent,S'enmeursou maisencore....FONTEN. nes'avivent, J.DEMEONG. Test. I, Oracl.Préface.11y avait Garg.:, 44.Ponocrates advisoyt quelquejour bien en scienceautrement unhommequidepuissixjoursétaitàl'agonie, onne serainet ilsfaisoyent la plusgrandechieredontilz 688.Vinrentde bonpoivreavivéEt jeune»et cos ne se povoyent savaitplusqueluiordonner,ettouslesremèdes ID.t'6.i, 24.Gargantua futadvisésauvaiges.Fabït'aua;, 88.Voiezla édit.BARBAz.t.iv,p. adviser, faisaientrien; on s'avisaà la findelui donnerde parEudemon dedans l e croist que, chasteau,estoytquel- malicedumonde,Comment tousjours etavive, leFest.m, 4.Tune t'étaisjamais querestedesennemyz,ID.t'6.i, 34.Adviser Bestiaire d ansDU avivare. l'émétique,MOL. pour CANGE, ||xrv*s. Carmes avisédeluifairele moindrepetitprésent,HAMILT. le mieulx,MONT, 48. s'advi-voloirsà ce s'avive,Nedoufairene serayjà lassez, I, LesLacedemoniens Gramm.4. Le monarquedesdieuxs'avisa,"pourserentde s'escarterpour.... ID.I, 49.J'advisay d'en Tantqu'encemondvousplairaquejevive,MACHAULT , bienfaire....LAFONT. Fab.n, 8. Laisse-les tirer Etobeïdesiramvenir; quelqueusage,ID.i, 96. J'en suisutilementp. 4. Quantilha servilonguement de la pluscruellemanièredont advisé[averti]parcerécit,ID.I, 402.Enestilde- ment,Jà soitce qu'enbonespoir je te les sacrifierai vive,Adèsdésirs se ID. liv. jamaisfeinme&oitavisée, Psyché, i,p.6i. venumeilleurouplusadvisé lieD, ?ID.I,42.Pourveuqueenlui s'avive,ID.p. 29.|| xv*s.-L'amoureux || G*Avoirl'audace,la téméritéde. Si vousvous toutd'untrain ils advisassent d'establirquelquelequeln'empesche mie un à poursuivirle noble avisezde malparlerde moi-,vousvousen repenti- hommede bienen la placeducondamné, ID.IV, exercice desarmes,ainçoisestce quiplusfaites rez.Je voudrais s'avisât d evous donB3. L eslourdauts quequelqu'un n'advisoient pasqu'ilsnefaisoientjeunescoeursaviveret croistrele désirdel'honnoner-descoupsdebâton,vousverriezde quellema- querecouvrer unepartiedu leur,LAEOÉTIE, 63.Et rable poursuitechevalereuse , Bouciq.l, rti. 7. nière....MOL. 4 .Jouez à c es aussi leFest.iv, pièces Nankin; pourtantqu'ellesoitchaste,si est-ilbesoing|| xvi"s Puiseslargie[laflamme]avivasa pasmaisne vousavisezpasde les représenter aujour-qu'elles'advised'estregracieuseet ID. ture Despinsgommeux qui sontsecs de nature, d'huià Parisou à Florence,VOLT. Lelt.à l'Acad.295.Rogerellecroitqu'elleadvisé,Ecourtoise, ttoutà coup RpNS. 642. V ous v ous êtesavisés d e sans — sonoeil m oite Si d'un o u d'unlafranc. l'attaquer qu'on cheval ÉTYM. Àet vif; provenç.avivar,avidar;es; s'esgaye s'enaperçoive,PASC. 4 Horsvous et Prou. 7. C'estun message : ainsiellese paye, pagn.avivar;ital.avivare. moi, quets'advise, d e ne crois s 'avise ID. 4 80. P artousles d ont je monsieur, pasquepersonne moyens ilz se pouvoient AVIVES(a-vi-v"),s.f.plur. Termede vétéricourirmaintenantles rues, MOL. Sicilien,se. 3. adviser,AMYOT, desglandesparotideschez Lyc.38. Cefutla femmedu roy, naire.|| 1"Engorgement Voirsa vie, son reposet ses biensdépendredu quil'advisadecestemanièredesupplier,ID.Thém.le cheval.|| 2°Cesglandesmêmes.|| Battrelesavice que vousavezà fairepourvostre ves,opération premiertémérairequis'aviserade.... ID.leFes- 46. Advisez barbaredesempiriques, qui consis6. voilàce nous Bon! tin, m, qu'il faut,qu'un salutet seureté,ID.Fab.7. Lorsil advisaceulxqui taità contondre la parotidemalade,afind'enobde créancier de estoienten embusche, 1 De quoi s'avise-t-il compriment dela venuedeMarcellus, ID. tenirla guérison. Si vousne luidonnez || Proverbe. nousvenirdemander del'argent,et quene lui di- Marcel. 4». îl désirefort cela,Uen auralesavives,c'est-à-dire sais-tuque monsieurn'y est pas? ID.t'6.îv, 2. — ÉTYM. A et viser;picard,awisieret adviser, cela. || Proverbes.Unfouavisebienun sage,c'est-à- regarder;provenç. xrv*s. Quantchevala vives,Ménagier, avisar,avizar.,espagn. avisar; —HIST. unbonconseil venird'oùonne l'attend ital. dire, peut avvisare. de serpent n, 3. || xvi*s. Puisluimitune langue" s. m.Petit pas.|| Unverredevinavisebienun homme,c'est- AVISO navire envoie à dansl'oreille afin le un (a-vi-zu), qu'on , que cheval,par trembleà-direl'excitation donne un devinnenuit la de découverte l'ennemi,ou qu'onemploie que coup à por- mentcontinuel,semblastavoir-lesavives,YVER-, ter desordres,desavis,des nouvelles. pas.|| Onnes'avise jamaisdetout. Lesavisos.p. 642.Leplusasseuréremède,est d'arracherles — KESI. Dansaviser, le sens d'apercevoir est —ÉTYM. de aviso; ital. avivesavecla lancette,ce quefaitl'expertmaresEspagn.embarcacion le plusancien,maisilestdevenufamilier.Lespuris- avviso,quisignifieaviset qui est le mêmemot chal,o. DESERBES, 983.Avésvouspointouyqu'on tes du xviP sièclele condamnaient ; toutefoisil a qu'avis.Auxvirsièclesetteespècedebateauavait sceut charmerung chevaldes avyves?PALSGR. car c'est un des jolis le nomdebarqued'avis. survécu,et heureusement, p. 481. de mots notrelangue. AVISSURE ouAVISURE t (a-vi-su-r") (a-vi-zu-r'), — ÉTYM. Espagn.adivas,avivas,del'arabead—HIST. xii"s. Sirereis,faitli il, formentaidé- s. f. Bordrabattud'unepiècedeferblanterie. dziba,ad-dîba,sortedî mal degorgechezle chesiréQueunefeizvuseusseveûe avisé,Et que jo —ÉTYM. Avir. val (DOZY). bûcheà hucheeusseà vusparlé, Th. le mart.77. AVITAILLÉ, ÉE(a-vi-tâ-llé, Il s. m. Termededoreur. mouillées), fAVIVOIR(a-vi-voir), Sursuncute[coude] à unmoineli sainzhuems'as- part, passé.Pourvude vivres.liée, UnevilleavitailléeInstrument quisert à aviver,à étalerl'amalgame Ensun l esharuns Mais séants'assist; avisa, del'or. puia, pourunlongsiège. mult pitusementles quatrereguarda,i6. 439. AV1TAILLEMENT Il Aviver. (a-vi-tâ-lle-man,mouillées, —ÉTYM. famé s. Pour lui et non s.m. de regarder q uel [ils] pourront AVOCASSER v. n. Faire, dansla ||xin" a-vi-ta-ye-man), Approvisionnement (à-vo-ka-sé), ce distla s avez o ù in. e t demunitions. vivres et l'obscurité,la professiond'avocat. aviser,fierté, Fille, vieille, médiocrité — i6.LXXVI. Moûtlui plutli pals, quant HIST. xv"s. Et que ravitaillement ne saurait || Il se conjugue avoir. avecl'auxiliaire je m'avise? dist ce la — elel'otavisé,ib.LXXXI. estresi la moitié de Dame, vieille, HIST. xiv s. Quel'advocatquiplaiderapour grandqu'avantque l'hyverfust nefussentaussià destroit,commeilses- sa partiela plaideseulement bienestesavisée,t'6.xvi.Quantunsrenduz[moine] passée,ils par sa bouche,puis s'est apuiez,Quidelezle puis s'estcouchiez,Si toientlors, COMM. 8. xvrs. Ilsfirent escrireà queilauracommencé à plaider,sansquenulautre v, || desavilaillemens, U'AUB. advocatestantavecluienla causeen puisseparler prentdedenzà regarder,Et ïsengrinàaviser[aper- Ouartiquileurdemandoit Jim. 6942. l'ot marcha Quant Hist. 33. Il sa longement avisé, Ord.desroisde France,t. u, p. 8. cevoir], il, pour première diligencene advocasser, -Entrecesbou- à ravitaillement Sor la testegietele cop,t'6.4»ar>7. duMasdeVerdun,ID.t6. n, 460. || xvi*s. Il avoitaccoustumé des'enaller de grand - tonsen eslui — sii>es bel ÉTYM. Acilailler. et plaiqu'envers villesd'alenvironadvocasser [j'en élus] L'ng matinauxpetites celuiNusdesautresriensne prisié,Puisquege AV1TAILLER Il mouillées,et non derpourceulxquis'adresse ientàluy,AMYOT, Caton,6. (a-vi-tâ-llé, 4666.Libaillisdoitsi jus- a-vi-ta-yé), l'oibienavisié,./olîose, v.a. Pourvoir devivresetdemunitions —ÉTYM. Avocat.Dansl'ancienfrançais,avocastementouvrerensonofficequenuledespartiesqui uneplaceforte,un vaisseau en partance. S'avitailsern'avait a ucunsensdéfavorable. || ontdevantlui à pledier,ne soientaviséesparli, ler, v. réfl.Sepourvoir de vivres. s. /".Terme fat AVOCASSERIE (a-vo-ka-se-rie), 34.Jemesuisaviséque,sejedemeure, BEAUM. xves. Etconvenoit lesFrançois sur,le pays milier.|| 1°Pardénigrement, je n'i —HIST. la profession d'avocat, seperde,JOINV. chevaucher douzeou quinzelieuespouravitailler|| 2°Mauvaise voypointdepérilquemonroyaume chicane. s'avisaquele soudanc ve- l'ost,Fnoiss. — 267.Leferrais[tapissier] 9. de Contre Avocasser. ÉTYM. ii,n, Avitaillél'ay Confort, et sapuissance, CH.D'ORL. noittouzjoursjouerauseschezaprèsrelevée,sus Dangier Bal.49. Sitost fAVOCASSIER, 1ÈRE(a-vo-ka-ssié, ssiè-r'), auroientàvitailléNancy,ilss'en ad]. Seprenden mauvaise les natîs qui estoientau piezde sonlit, ID.243. quelesAllemans Quiconcerneles part. d'ar- mauvaisavocats. Lagentavocassière. pourDieude quoiil s'avisa, yroient,COMM. V, 8.|| xvi*s. 46ooohommes || xiv*s. Orescoutez — Guecd-49436.Àcesfais-cise doittoutegent avi- mes,etc.le toutsouldoyé etavitaillé six ÉTYM. Avocasser. pour moys fortuneveultsa roe si tost et BAS. 47.Il Car s'en tourner, AVOCAT que quatrejours, venoit, ser; Garg.i, (a-vo-ka;le t selie dansle parlersoudessous 454 estdessus f aH t '6. 63. son avitailler Celluiqui avec armée, avaler, Carignan,CARL. I, 44. tenu: un avocathabile,dites:a-vo-kà-t-habile ; au à la raison, pluriel,l'sse lie: desavocats Ilvented'unfroitventquià haussers'estpris; N'est Douzenaviresequippésset avitaillées habiles,dites: a-vo474. hommequi durast,ne chevalne roncins;Avisez-M.DOBELL. r ime avocats avec ka-z-habiles; fracas,appas),s. — à e t Attendons dechevalier ÉTYM. Àet victuaille i» amis, est de plaideren vous,Bertran, vitailk,aujourd'hui (voy. m. || Celuidontla profession i6. 48236.Ors'enva ce mot). mainquejourssoitesclarcis, U navocat savant e testimé estcertainement justice. li prtsuset li sénés;Seli contesl'atent,il f AVIVAGE Bauduins s. m. d e deceuxquiontachetépourun peud'ar(a-vi-va-j'), Terme métiers.au-dessus estmalavisés,Baud.deSeb.vi, 724.Oroiesdont Actiond'aviver|| Opération o n enlève ledroitd'être parlaquelle gent injustes;un tel avocatseraitun t 6. 348. xv* s. s'est au coton la la.bêle,seignour, avisée, u, teir-tà garancesateintebruneet som- excellentconseiller || ; maisoù estle conseillerqui bre.|| Entermesde miroitier,premièrefaçondela seraitun bonavocat?VOLT. Etavoientaviséunevilleassezprès de là, FROISS. Leît. Lavaisse,4 juil86.Làs'avisa ladame se qu'elle par- feuilled'étain,qu'onfrottede mercure. [résolut] laI, l, let, 4762.La fonctiondel'avocatest et vuideroitle royaumed'An- AVIVÉ,ÉE(a-vi-vé,vée), part.passé.Rendu borieuse,et supposedans celui qui.pénible, tironttout coyement l'exerceun
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46. delafamilledesgraminées,quifournitunalimentTrouvant richefondset de grandesressources,LABRUY. quej'avaispeude latin, il entrepritd« celui aux Avocat bêtesdesomme. 2°Le Un d'am'en quis'occupe particuliè|| plaidant, || grain. picotin enseignerdavantage,j. j. ROUSS. Conf.m. rementde plaidoiries. vous f aire || Avocatconsultant,celui voine.Deuxmuletscheminaient,l'un d'avoineOui,monsieur,seulement pour peur,el donne desconseils dansson et desavis LA FONT. Fàb. 4. Balle vousôterl'envie d enous t outes l es fairecourir qui cabinet,' chargé.... nuits, 1, || d'avoine,peldu roi, liculequienveloppe écritssurles affaireslitigieuses.|| Avocat le grain.|| 3°S. f. plur. L'a- 'commevousaviezde coutume,MOL. Scap.11,6. avocatd6la république, avocatimpérial,qualifica-voinesurpied.Lesavoines belles cetteannée. sont ansqu'ilservaitle roi, Que,depuisquarante-deux tionque,dansl'usagedes tribunaux,ondonne,à Il Proverbes.Chevald'aveine,chevalde peine, il avaitla consolation dene lui avoirjamaisdonné l'audienceseulement, auxsubstituts du procureurc'est-à-dire unhommebienpayédoitbientravail-deconseilqueselonsa conscience, BOSS. te Têlliet. duroiouduprocureurimpérial. Avocat ler. Cheval faisant l a ne Par i l sedit deschoses. C ette villea de g énéral, || Il peine mangepasPaveine,Il analogie avant4789,membredu ministèrepublicprèsdes c'est-à-dire cen'estpasceluiquia le plusde peine beauxédifices. Cettemaisona beaucoup delocatail e courssupérieures l a ondisait estle mieux traité. res.Ah! untel a d'excès honneur quiportait parole; qui sire, trop pour xines. Si a choisi[aperçu] enun ples- moi,CORN. Hor.v, 2. Si tu l'aimesencor,cesera procureurgénérala la plume,l'avocatgénérala la —HIST. —Je n'enmurmurepoint,ila tropde du pro- sié, Parencoste d'unesavaines,Uneabaïedeblans tonsupplice. plaidoirie. Depuis4810,titredessubstituts cureurgénéralprèsla courde cassation, oudecer- moines,lien.6519.Longue estet megreetlasseet justice,ID.Cinna,v, 3. Lorsque l'obéissance atant tainssubstitutsdes procureursgénérauxprès les vaine;Grandsoffretle a de paind'avaine,la Rose, d'impiété, Larévoltedevientunenécessité, ID.Rocoursimpériales, etdonnédansl'usageà touslessub- 10198. Li painsetli avoinelor esttote faillie,Ch. dog.111, 5. Seigneur, quandce desseinauraitquell orsstitutsduprocureur Lebledet d'Ant.vu, 414.yxv"s. lesavoines furent quejustice,ID.Nicom. générallorsqu'ils siègent, v, 6.Ceprojetquipourvous leur ou d'eux. Les avocats denon F ROISS. 66. s. esttoutbrillant d e rienpourmoi parle lorsqu'on parle respitées ardoir, H,H, ||xvr gloire,N'aurait-il • qu'on sont b i aux simEscouterles aveineslever(proverbe), Ré- d'uneactiontropnoire?ID.Sertor.m, 2.Unmoment généraux érarcbiquement supérieurs GÉNIN, maislesfonctions lesmêmes. sont t . 239. desa pertea pourmoides supplices,ID.ib. ni, 4. créât, plessubstituts; 11,p. — Ilne fautpassefairel'avocat ÉTYM. || 2°Fig.Intercesseur. aivonne;Berry,aveine;pi- Toutesles autresmortsn'ontmériteni marque, Bourguig. del'injustice. lia finiparêtre l'avocatnavardde card, avène;provenç.et espagn.avena;portug.Celle-ci porteseuleun éclatradieux,MALH. II, 42. . lasuperstition,voLT.£eMr\ 8nov.1762.avêa;ital.avena;dulatinavena.Aveineestla pro- Lessceptresdevanteuxn'ontpointdeprivilèges, m. Damilaville, de nonciation Ilsn'étaientquedesavocats subtilsetvéhéments d ela France. Ace nos n'auront de del'ouest ib. coup frayeurs plus raison, detouteslescauses,n>.Leur.Mme du f AVOINERIE laplusmauvaise France estgouvernée, s. Terme vosconseils l a (a-voi-ne-rie),f. d'agri- Puisquepar 1 mars 766. 3"L'avocat du c elui en 2. 4° ID.iv, Deffant, || diable, qui culture.Terresemée avoine. y Trouver,rencontrer.Nousavons dansuneconférence Avoine. des genscapablesd'exécutervotreprojet.En te objections religieuse, —ÉTYM. proposeles en celui une Rod.II. et, général, quidéfend chosepeudigne 1. AVOIR(a-voi.Auxvi"s. on écrivaitaurai, perdantj'ai sur qui me venger, CORN. d'êtredéfendue.|| Avocat dePoncePilate,avocatauras, etc.maisonprononçait, en d'aprèsBèze,arai, J'avaispourdetelscoupscertainevieille main, : aras,etc.AuxyrTs.d'aprèsDangeau, sanscauses,à causedesparolesde Ponce-Pilate Éc.desf. m, 4. Et quandon a quelqu'un ayant,ayons, MOL. causant. Jeude desononinvenio a-iant,a-ions,a-ies.Aujour-qu'onhaitou quidéplaît,Luidoit-ondéclarerla || l'avocat,jeu ayezse prononçaient fautive:il fautdireé- chosecommeelleest? ID.Mis.1, 4.|| 5° Se prociétéen dialogue. d'hui,c'estuneprononciation .—HIST. XIIes. [Unroi]Dulz,charitables e gen- iant,é-ions,é-iei.ï Parisle peupleprononce euou curer, acquérir, obtenir, gagner, acheter.Ce Juz avocaz d e sainte deu c'estunarchaïsme sur evu aulieu tils, [juste], Eglise,BENOÎT, lequel qu'ona pourdel'argent.Ona quatrepommes pour [eu]; 1658. Lacruiz fist à sa au xvrrsiècle la La débattait encore dixsous. O nne rienavoirde cet ouvrier. on arcevesqual p orter destre, prononciation u, ; peut Et la reisgnedelfreintint en la mainsenestre;u estaujourd'hui laseulecorrecte),j'ai, tuas, il a, cabales'estréveillée auxsimplesconjectures-qu'ils sunniestre,Th. nousavons,vousavez,ils ont;j'avais;j'eus,nous ontpu avoirde la chose,MOL. 2*placetau roi. Fait ontSunavocatde Jesu-Crist lemart. 38. || xrnes. Etbiensaciésde voirqueli eûmes;j'aurai; j'aurais;aie, ayons,ayez,qu'ils Et que j'avaisde quoi le connaître,PASC. dans doimeillour avocatdela court[deRome]parqui aient;'quej'aie,quetu aies,qu'ilait, quenousayons, COUSIN. Ila trouvéle moyendefaireavoirdesbénévousesploiterés tostdevostre nous ficessansargent,PASC. Prov.42. || 6°Avoir plus besoigne aciever,quevousayez,qu'ilsaient;quej'eusse,que à, suivi c'estorset argens,Chr.deRains,244.Mess'ilsunt eussions;ayant; objet d'uninfinitif,êtrechargédusoin de, êtredansla eu,eue,ti.a. || 1°Posséderun eus En la cause as fins l a advocat ouquelque chosedans cas.de.Avoiruneterre à cultiver.Il a de grands por amoreus, physique,posséder quelqu'un 49576. E t cil autruisont état.Il a une sur travauxà exécuter. rienà vous certain Je n'aiabsolument quiparolentpour un Rose, propriétépatrimoniale 4. de écrire.Je n'ai rienà craindre.J'ai eu à choisir. Il fautuserde cequ'ona. Avoir V, Lorssefontavocas,qu'il notrecommune. apeléavocat,BEAUM. Il Comme n'ont-d'autrerecors,Et s'envont en enfertout la fortune.Avoirdesalliés.N'avoirpasd'eni'ants. il y a toujoursunegrandedifférence entre droitplusquele cors,J. DEMEUNG, Test.629.Moûtn'apasd'argent.N'avoirrien.Il eutun pèretrès- les chosesqui ontà êtreet cellesqui sonten efn'en dout Sont Lett.124.Vousavezà combattre etles d'escrivains, je pas, peintres,et illustre.Et de quelquesbonsyeuxqu'onaitvanté fet....VOIT. 12.Ila tousavocasPeignenten leur parole,Ditdespein- Lyncée,Il ena demeilleurs,MALH. dieuxet les RAC. 3.J'ai votre II, 1'phommes, Tphig.v, Es un homme à moi bien M OL. tres.|| xiv*s. vous etmagloireà défendre,m.t"6.iv, 7. fleuri, Tart,11,3. filleensemble venir,Qui reiilerougeetle teint biensembloitestre advocas,Quiparlersceûsten J'aipouraïeullepèreetle maîtredesDieux,RACINE, seraisheureux sij'avaisà le faire,ID.Bérén. Queje touscas,BMYANTdans Jfénajier,t. n, p.24.||xv s. Phèdre,iv, 6. J'auraisà cetteheurede quoivous m, 4. Sonpouvoirn'ayantplusà s'étendreplus Leducde Berryfut pourle vicomtede Chaslelsi écrireun beaupoulet,VOIT. Lett.S8. || Familière-loin,Il brisel'instrument dontil n'a plusbesoin, seconclut du ment.Avoirdequoi,êtredansl'aisance.|| 2"Por- ROTR. bonet sicertainavocat, Bélis.v, 6. 11futensuiteau sénat,et il dequelabesogne 24. s . toutà sonentente,FROISS. xvi* Tout à lamainune u neboite. mandaqu'oneût, parun sénatus-consulte, à dégam,"iv, || coupe, ter, tenir.Avoir beaudiseurressemble àbassindejongleur, Ayantun casquesurla tête.Il n'avaitpasdecanne ger sa paroleet à abolirtouteslesdettes,VERTOT, advocat Récréât,t. n, p. 250. envenant.|| Entermesdejeux,avoirla boule,le Rétol.rom.liv. 1.Lesénatlui ayantfaitdire[à GÉNIN, —ÉTYM. Bourguig.aiïocar; provene.avocat, dé, etc. êtreentour de jouerouêtrele premierà Mithridate] qu'ileût à retirersestroupesdetoutes une ital. jouer.H 3° Fig. Posséder choseimmatérielle,cesprovinces, ID.ib.liv.x, p. 33.Onpubliale déadvocat;espagn.abogado;portug.advogado; de de et une sensation o u un senticretdusénat advocato; advocatus, ad, à, vocatus,ap- une qualité;éprouver quiordonnait qu'oneûtà lespoursuiest a u pelé:celuiqui appelé secours;devocare,de ment;êtredansun état;êtreâgéde; êtred'unedi- vreauxdépensdu public,ID.ib.liv.x, p. 46.11 c'est-à-dire vox(voy.voix). Avocatest un motfaitdansle mensionde. Qu'avez-vous? quelleest nousfaitremarquereuenousayonsà lui préparer Avoirdroitsurquelquechose.Avoirlesvoies,MASS. Délai.|| N'avoirqu'à, n'avoirrien xii' sièclesuradvocatus, qui avaitdonné,dansle votreémotion? a uoue. J'ail'intention d e.J'ai autrechoseà faireque db.Vousn'avezqu'àlever la paix.Avoirdansl'esprit. françaisprimitif, s. Celle intercède. fait Les hommes AVOCATE toutà f. une (a-vo-ka-f), qui opposée. qui lesyeux.Vousn'avezqu'àdireun mot,et la chose opinion futsonavocate. d es L'avocate pécheurs,ont dela prudence. Cesgensont coutumede.J'ai serafaite.|| 7° Avoi/de, tenirde, avoirreçude. Sa mère contenir.Avoirmal à la tête. J'ai cetteterredu chefdemonpère.Dequi avezla sainteVierge. la à me eude peine xv's.Monseigneur, —HIST. la dame,je Il avait vingt ans.Ruequia 40m.de large.Ces vousla nouvelle? créer.Uavaitdes respondit || 8°Engendrer, le c hevalier et vaillant dansleurcoeur n ele d eses a unfilsdu roi, D ieu enfants deux femmes. E lle croique gentil prud'hommeenfants....Ayant purent f ors 246.y9°Imiter,reproduire. Avoirlestraitsde n'a nuleavocate moi,FROISS. m, iv, 30. 1, 4. Et, pourvuqu'ilsoitcru, nous SÉV. louer,MALH. —ÉTYM. Avocat. ne sache ID. 42. Elle femme m aladie n'avait d 'une n'avons Qu'il guérir, II, quele corps.Il quelqu'un. s. m.Arbredel'A- Maisserait-ceraisonqu'unemêmefolieN'eûtpas atoutvotreair.Avoirla couleur duminium.||10°Avoir (a-vo-ka-tié), f AVOCATIER du dont l e ala familiarité avecle forme d 'une ID. i b. Tu as donc c omme. Avoir la vertu mêmeloyer, fruit,qui mérique Sud, pour,regarder poursuspecte la Princ.d'Él.m, 3. Ledé- même,LABRUY. 43.Etjevoussupplierai d'avoirpour poire,est employécommealiment,et princed'Ithaque,MOL. très-grosse a de mieux sentir et me fasse u n sur sirsefait Queje antidyssentérique. parcequ'il l'agitation agréable peugrâce votrearréputé —ÉTYM. le Tellier.Qu'avez-vous aouicate. dumouvement, BOSS. Mis.1, i. Eh bien,messouverains, aurezdonc, rêt, MOL. Caraïbe, BOIL. ni. J'ai vouslie Sat. vous lavoiren sa finlamangezpoint? agréableQue,n'ayantpu (a-vo-ca-toi-r'), adj. Qui rap- dit-ii,que +AVOCATOIRE c hoses imalettrespar lesquelles mentable aumoinsapporterdevant un beaucoup quej'avais déplaisiràvoiries , Nousla fassions pelle.Lettresavocatoires, un a bsolusur les Leltr. 3 8. ses d'un VOIT. Etat étrangerginées, Ayant empire souverainrappelle sujets nous?MAiRET, Sophon.v, 7.1|Avoir quelqu'un quel32. contrelequelil esten guerre. || S. m.Unavoca- esprits,BOIL. Longin,Sublime, Ah!,n'aiepoint'quechosepoursoi,l'avoireasa faveur.Ilsontpour l'Étour.u,7. Je euxlajustice.Elleapourellesabeauté. Ilsuffitqueta toire.Maximilien, gagnépar le pape, fit publierpourmoisigrandeindifférence,MOL. delaterrede et il VOLT. écrisà lavue cause estlacause de E t avocatoires 413. vous les Barbarie, n'y impériaux, Moeurs, Dieu, qu'avecquetonbraselle —ÉTYM. n'a elleet moi canal a entre Lessoinsde MALH. q ui pasplusque Avocate,de a, indiquant qu'un a, pourladéfendre, Richelieu, éloignement, 11, de bien ce soitl'Océan e t 12. 11° l a lieues Avoir dans une trois avoirla et vocare,appeler(voy.voix). largeur, que y parole assemblée, VOIT. s. f.Sorted'oiseau. toutensemble, Leltr.39. permission deparler.|| 12°Avoir Lala- lamerMéditerranée à dîner, (a-vo-sè-f), f AVOCETTE quelqu'un les tua l eurdonna cette luidonner à etl'arcrebroussé dubecdel'avocette la Lefer qui dînoi.'. Ilaeubeaucoup demondeà son nièreflexible [desenfants] si de fairebien ilsn'eurent l'esd 'unaliment bal. Avoir a vec àvivrt; BUFF. Avocette. êtreavec réduisent pas grâceQue, Il quelqu'un soi, mou, quelqu'un, —ÉTYM. le de Ilsn'eurent fairemal en Aire Ital.Avocetta. Ilavait'un ami aveclui. p as temps aussi, pace, accompagné. demafoil'innocence 13°Avoir s.m.Terme d e MALH. 4. u r-e brasserie. Donner I, Quandj'avais pre- Il femme,obtenirsesfaveurs.C'est f AVOI(a-voi), nuitdela mortm'eût de d 'une S ila une libreet de mauvaisecompagnie. f aire couler cuvedansuneautre. privé un àvoi, mière, lumière, expression — ETÏM.Peut-êtrede l'ancienverbeavoyer, Je n'auraispasla peurd'uneéternellenuit, ID.ib. Il14°Enavoir, gallicisme quisignifieêtre irrité de chose eu Ehbien1ne mangeons à . Je nesaisà mettreenvoie. plus ayant vie, contre,songer qui il en avait,SÉV. Fab. 5. Ce a euenluide 473.Jenesais à quienontvosfemmesavecleurs AVOINE qu'ily plus (a-voi-tf)ou AVEINE(a-vè-n'.CetteLAFONT. x, 1. c 'est a vait LABRUY. ID.6H.Ja f orme e n *. IePlante s ublime, lui demandai à qui elle en avait dernière tombe désuétude) éminent, l'espritqu'il voeux, , f. ||
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out ORESME, Eth. 92.Nous, sur ceheut [eu]certaine ib.iv. LireisMarsile de sevouloirruiner,ID.444.5 quien as-tudonc, lesmaiset lessoufraites, DUCANGE, il enaura, information, avonsretenuet retenons.... Gramm.2. sonconseilfinet,ib.v. S'ilveutostages, ousic'estauxangesqueturis?HAMiLT. dit vous se- par veir [pour vrai], ib.vi.Tanti aurat de be- arramentum. de menace,TOUS Sire,ce Bertran, parlezpour || Vousen aurez,expression et S'autre chosen'i a, ce medittes: Va-t'-en, ix. Moût ontoûdet ib. [ils] peines noient; rezpuni,maltraité.|| Enavoirdansl'aile,êtreat- sansesmerez, 43526.Maisli bonscappitains lordit: Laisteintdequelqueperte, de quelqueaccidentgrave. ahans,ib.xix.Carde feriroi je si grant besoin, Guescl. J'ai ib. civ. Il dist après: Paien, mal aiestu! ib. siez ester; J'arai de lor pourceaux,sansnousde auxiliaire dansla conjugaison. || 15°Avoir,verbe dire.Ce Se je vifauques,moûtgrantprod[vous]i riensgrever,ib.4244. Jecroisavoirentendu dit.Ilavaitordonné. qui CXLIV. n'ontquefairedechau. conseilai-jeevudtouztemps, —xves. Etsi [lesEscots] ne m'apastrompé.aurez,ib.ccLii.Vostre a été ditparvous.L'événement duchamp?ib. dieresnede chaudrons,carils cuisentbien leurs avec le ib.CCLVI. Averum nousla victoire || 16°Avoirse prendimpersonnellement Il ya, ilexiste. —xir s. Cité[il] n'i a qui, Ronc.p. 4. Qui chairsaucuirdesbestesmesmës,FROISS. I, 1, s*. delocutions. pronom ydansbeaucoup Il y Francea à bailler,ib. p. 6.Biena setans,ib. p.40. [Leroivoulaitépargnerses genset son artillerie] Il y auradesvicestantqu'ily auradeshommes. desangversé.Il Illocavoit[ily avait]un noblepugnaor,ib. p. 25. car il pensoitbien qu'ilen auroità faire,ID.I, I, ena quipensent.... Ily eutbeaucoup Et vous,aiezvostregrantostbanie,ib. p. 28. Et 273.Et s'il euistjustement pensé....ID.in, iv, 28. yadelabonteà....IIyalongtempsque....Ya-t-ilrien ib. p. 43. Quandceuxdela villevirentle périlet le dommage sescompeins quioit[eut]nomEstramant, déplusindigne?Pourvuqu'ilyait assezd'argent. siclaire?Il [Tu]Quienla croizeus toncorspené, ib. p. 56. si apparent,ilseurentconseilqu'ilsse rendroient, Peut-ily avoirdesdoutesenunequestion ot [ily eut]moût bon chevalier,ib. sauvesleursvies,ID.I, I, 20.Etaussiil avoitbien y auraitdelafolieàdouterd'unevéritésiuniversel-En Margaric ib.p.73. causequ'ilsle festassent; carilsne l'avoientvupuis BOIL. lementreconnue, Longin,Sublime,32.[Haut p. 63.Nousn'avienznulmeillorchevalier, l'ost d essus ID. ne nousvaut il n'y Sonentli grailles[trompettes], la bataille comme dite, I, I, 486.11 convenir quantquepar quecesJuifssontdeshommes max.Phil.25.|| Iln'yaqu'à en a, ib. p. 96. Tant que Dexvoille,du champ rienici demourerni tenir; nousn'y ariemesjaNOUV. enapoint,DIDER. ilsuffitde parler.|| Il n'ya qu'à aienz[ayons]l'onor,ib. p. 408. Quantl'empereremaisnullebonneaventure,ID.11,m, 34.Voussaparler,c'est-à-dire '}& || Fanii- ot sa gententerrée,ib. p. 156.Quen'oi[jen'eus], vezqueje vousfeisfoyPieçade tout ce que j'apluiepeutsurvenir. pleuvoir,c'est-à-dire a, Viensdans talentdefuirne d'aler,ib. p. 485.Hui vousaurai voye,EtvouslaissayenlieudemoyLe gaigeque lièrement.OventdonUjpuisqueventy Bal.43.Je ferai, les brasdenotrebelle,LAFONT.FOÎ). rc,7.Madame,vaincuet recréant,ib. p. 488.Si vousaitJésus plus chier j'amoye,en. D'ORL. G.Dand.1,4.||Tantya, Christ,qui en croixse peina!ib. p. 492. Carjoie maugréqu'ilen ait, Encontreluy une aliance,ID. ya, KOL. puisquemadame à escripre,seloncequ'on ; tant a courtedurée,Quiavientpar tel folor,Coud,i. Bal.22.Etlà ha continué quoiqu'ilen soit.Vousmevantezcethomme rien Seje vousaim,j'i assezai raison,ib.n. Maisquant ha rapporté,JUVÉN. CharlesVI,