Bourdieu Le Sens Pratique PDF [PDF]

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Zitiervorschau

LE SENS PRATIQUE

OBJECTIVER L'OBJECTIVATION

doxale avec l'experience doxique qu'implique la these fondamentale du primat de la langue (en faveur de laquelle il invoque cependant !'existence des langues mortes et le mutisme tardif qui atteste que l'on peut perdre la parole tout en conservant la langue ou encore la faute de langue qui designe la langue comme norme obfective de la parole), Saussure remarque bien que tout incline a croire que la parole est « la condition de la langue » : en effet, outre que la langue ne peut etre apprehendee en dehors de la parole, l'apprentissage de la langue se fait par la parole et la parole est a l'origine des innovations et des transformations de la langue. Mais il observe aussitot que les deux processus invoques n'ont de priorite que chronologique et que la relation s'inverse des que l'on quitte le terrain de l'histoire individuelle ou collective pour s'interroger sur les conditions logiques du dechiffrement : de ce point de vue, la Iangue, en tant que medium qui assure l'identite des associations de sons et de sens operes par les interlocuteurs et, par la, la comprehension mutuelle, est premiere, en tant que condition de l'intelligibilite de la parole 3• Saussure qui professe ailleurs que « le point de vue cree l'objet.. », designe id tres clairement le point de vue auquel il faut se situer pour produire « l'objet propre » de la nouvelle science structurale : on ne peut faire de la parole le ~ geJg lan_g!:l~ g21e si et seulemeni sCon se situe dans l'ord!i,Jg_gj!l!!:e de l'intelligibilrte. TI vaudrait 5aiiSaoiii:e la pefoe d'essayer d'enoncer completement !'ensemble des postulats theoriques qui se trouvent impliques dans le fait d'adopter ce point de vue, comme le primat de la logique et de la structure, synchroniquement apprehendee, sur l'histoire individuelle ou collective (c'est-adire l'apprentissage de la langue et, pour parler comme Marx, « le mouvement historique qui lui a donne naissance » ), ou le privilege accorde aux relations internes et specifiques, justiciables d'une analyse « tautegorique » (selon le mot de Schelling) ou structurale, par rapport aux determinations externes, economiques et sociales. Mais, outre que cela a ete souvent fait, au moins partiellement, il parait plus important de porter !'attention sur le point de vue lui-meme, sur le 0

3. F. de Saussure, Cours de linguistique generate, Paris, Payor, 1960, p. 37·38.

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rapport a l'objet qui s'y affirnie et tout ce qui en decoule, a commencer par une theorie determinee de la pratique. Ce qui suppose qu'on abandonne un moment, pour tenter de l'objectiver, la place d'avance assignee et reconnue de l'observateur objectif et objectivant qui, tel un metteur en scene jouant a sa guise des possibilites offertes par les instruments d'objectivation pour rapprocher OU eloigner, grandir OU reduire, impose a son objet ses propres normes de construction, dans une sorte de reve de puissance. Se situer dans l'ordre de l'intelligibilite comme le fait Sai.iSsure-·c'est ado2t~kJ?.01nt de vue du « spectateur impar~ tiar;>·q~I; attach~ a__ compxendre pour comprendre, est porte fiiiettte cette in!~JJti()n hermi.n.rn#que atLJ2!:!rr9.Pe de: J~. pra~ .~des agerits., a faire ~omme s'il~ s~__pgsaient le; questions 9.tLlug_pqse a leur propos. A la difference de,! or~teur, le grammairien n'a rien a faire du langage que de 1etud1er pour le codifier. Par le traitement meme qu'il Jui fait subir, en le prenant pour objet d'analyse au lieu de s'en servir pour penser et parler il le constitue en tant que logos oppose a la praxis (et au~si, bien sur, au langage pratique) : est-il besoin de dire que ~!i1ceJ?tTle ·pcmvoir d'agfr Cfans l 'h,i§_!Qji:e. cqmgie _ag!sseg_t ~l1ns. le~__ph£~~es _9~. discours his!.0:£.iq_u~J~s_ ll10tsgui)es des!gnent, ffpersonnijie les colleciJlL.~J en fait jes sujets respgn~ables d'acticms historique11 (avec des phrases fomme-« la bourgeoisie veut que ... » ou « la classe ouvriere n'acceptera pas que 17 ... »). Et, lorsque la question ne peut etre eludee, il sauve les apparences en recourant ades notions systematiquement-ambigues, comme disent les linguistes pour designer des phrases dont le contenu representatif varie systematiquement avec le contexte d'utilisation. C'est ainsi que la notion de regle qui peut evoquer indifferemmen t la regulari te immanente aux pra tiques (une correlation statistique, par exemple), le modete construit par la science pour en rendre raison ou la norme consciemment posee et respectee par les agents, permet de concilier fictivement des theories de !'action mutudlement exclusives. On pense evidemment a Chomsky qui affirme a la fois (clans des contextes differents) que les regles de grammaire sont des instruments de description de la langue, que ce sont des systemes de normes dont les agents ont une certaine connaissance et enfin qu'il s'agit de mecanismes neurophysiologiques ( « Une personne qui conna!t une langue possede dans son cerveau un systeme tres abstrait de structures en meme temps qu'un systeme abstrait de regles qui determinent, par libre iteration, une infinite de correspondances son-sens 18 »). Mais il faut aussi relire tel paragraphe de la preface a la deuxieme edition des Structures etementaires de la parente

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17. En postulant !'existence d'une « conscience collective » de groupe de classe et er: portant au compte des g;-oupes ?es. ~ispositions ,qui ni; '· peuvent se const1tuer que· clans Jes consciences md1v1duelles, mem.e s1 l elles sont le produit de conditions collectives, comme la prise de conscience l des interets de classe, la personnification des collectifs dispense d'analyser l ces conditions et, en particulier, celles qui determinent le degre d'homo\ geneitle __c!~Q.p2ur gm ne r~sp1r~ que dans ~.umvers ~ di:.L~S~!):SC_iegce oupeJa ~< pra..l{~S ». ~t S.artre S .msu.rg~, non sans raison, contre la soc1olog1e « obie~uy~ » }ie ~iraIS objectiviste) qui ne peut saisir qi:'une « socialite d u~ertl~ ~· Son volontarisme activiste, impatient de toutes les necess1tes .transcendantes, le porte a refuser la classe C?mm~. classe de conditions et de conditionnements, done de d1sposltlons et de la pensee humaine; c'est le seul Di~u createur » (]. P. Sartre, Desca:tes: Geneve-Paris, Editions des Tr.ois collu~es, 1946, P: 44:45). Et plu~ lom_: , II faudra deux ,siecles de cr1se - cr1se de la For, crrse de la Science . ;our que l'homme recupere cette liberte creatric;. que Descartes 'ella m~e en Dieu et pour qu'on soup~onne enfin c~tte v~r.1te, ba.se es~ent! e e !'humanisme : l'homme est l'etre do~t I apparlt!on, fa~t qu un mo~de e iste Mais nous ne reprocherons pas a Descartes d avo1r donne . a D1eu q~i nous revient en propre : nous l'admirero;is plu~ot d'.avo'.r, da,n~ une epoque autoritaire, jete !es ~as,es ~e la dei;nocrat1e; d :ivmr sm_v1 'us u'au bout !es exigences de ! 1dee d autonomze et d ~vo'.r compr1s, bie~ avant le Heidegger de Vom W esei; des Grundes, que 1 umque fondement de !'etre etait la liberte » (op. Cit., p. 51-52). 5. ]. P. Sartre, L'Etre et le neanti op. c!t., P: 543. . 6. ]. P. Sartre, Critique de la raison dzalectzque, op. czt., p. 161. 7. J.P. Sartre, op. cit., p. 305.

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styles de vie durables, clans laquelle il voit une classe chose, une classe essence, enfermee clans son etre reduite a l'inertie ~one a l'impuissance,_ et a laquelle il oppo~e « le groupe tota~ hsant clans une praxis », ne de la classe chose, mais contre 8 elle • Toutes les descriptions « objectives » de cette classe « objective » lui paraissent s'inspirer d'un pessimisme sournoisement demob~lisateur, qui vise a enfermer, voire a en/oncer la classe ouvriere clans ce qu'elle est et a l'eloigner ainsi d~ ce qu'elle a a etre, de la classe mobilisee, dont on pourrait dire, comme du sujet sartrien, qu'elle est ce qu'elle se fait. Pareille theorie de l'action individuelle et collective s'accomplit naturellement clans le projet desespere d'une genese transcendentale de la societe et de l'histoire (on aura reconnu la Critique de la raison dialectique) que semble designer Durkheim lorsqu'il ecrit clans Les regles de la methode sociologique : « C'est parce que le milieu imaginaire n'offre a l'espr~t aucune resistance que celui-ci, ne se sentant contenu par rien, s'abandonne a des ambitions sans bornes et croit possible de construire ou, plutot, de reconstruire le monde par ses ~eules forces .au gre de ses desirs 9 • » Et l'on pourrait contm1:1er avec N1etzsche : « La philosophie est cet instinct tyrannique, celle volonte de puissance la plus intellectuelle de toutes, la volonte de "creer le morrde", la volonte de la cause ., io N . d pre~mere . » e pouvant voir « ans les arrangements sociaux que des combinaisons artificielles et plus ou moins arbitraires », comme dit Durkheim 11 , cet artificialisme social subordonne sans deliberer la transcendance du social reduite a la « reciprocite des contraintes et des autonomie; » a la « transcendance de l'ego », comme disait le premier Sa~tre : « Au cours de cette action, l'individu decouvre la dialectique comme transparence rationnelle en tant qu'il la fait et c~mme necessite absolue en tant qu'elle lui echappe, c'est-adire tout simplement, en tant que les autres la font ; pour finir, clans la mesure meme ou il se reconnalt clans le depasse-

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8. J.P. Sartre, op. cit., p. 357. Le probleme des classes sociales est un .des. !errains l?ar excellence de !'opposition entre l'objectivisme et le \ subJeCttvtsme, qui enferme la recherche dans une serie d'alternatives ' fict1ves. '-.. 9. E. Du;kheim, Les regles de la methode sociologique, op. cit., p. 18. 10. F. Nietzsche, Par-dela le bien et le mal, Paris, Mercure de France, 1948, p. 22. 11. E. Durkheim, op. cit., p. 19.

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L'ANTHROPOLOGIE IMAGINAIRE DU SUBJECTIVISME

ment de ses besoins, il reconnalt la loi que lui imposent les autres en depassant les leurs (il la reconnalt : cela ne veut pas dire qu'il s'y soumette), il reconnalt sa propre autonomie (en tant qu'elle peut fare utilisee par 1'autre et qu'elle l'est chaque jour, feintes, manreuvres, etc.) comme puissance etrangere et l'autonomie des autres comme la loi inexorable, qui permet de les contraindre 12 • » La transcendance du social ne peut etre que l'effet de la « recurrence », c'est-a-dire, en derniere analyse, du nombre (de la l'importance accordee a la « serie ») ou de la « materialisation de la recurrence » clans les objets culturels 13 , !'alienation consistant clans l'abdication libre de la liberte au profit des exigences de la « matiere ouvree » : « L'ouvrier du xix· siecle se fait ce qu'il est, c'est-adire qu'il determine pratiquement et rationnellement l'ordre de ses depenses - done il decide clans sa libre praxis - et par cette liberte il se fait ce qu'il etait, ce qu'il est, ce qu'il doit etre : une machine dont le salaire represente seulement les frais d'entretien ( ... ). L'etre-de-classe comme fare praticoinerte vient aux hommes par les hommes a travers les syntheses passives de la matiere ouvree 14 • » L'affirmation du primat « logique » de la « praxis individuelle », Raison constituante, sur l'Histoire, Raison constituee, conduit a poser le probleme de la genese de la societe clans les termes memes qu'employaient les theoriciens du contrat social : « L'Histoire determine le contenu des relations humaines clans sa totalite et ces relations ( ... ) rel).voient a tout. Mais ce n'est pas elle qui fait qu'il y ait des relations humaines en general. Ce ne sont pas les problemes d'organisation et de division du travail qui ant fait que des rapports se soient etablis entre ces objets d'abord separes, les hommes 15 • »De meme que chez Descartes Dieu se trouve investi de la tache a chaque instant recommencee de creer ex nihilo, par un libre decret de sa volonte un monde qui n'enferme pas en lui-meme le pouvoir de sub~ister, de meme le refus typiquement cartesien de l'opacite visqueuse des « potentiali!es,. o.bJec.tives » et du sens objectif conduit Sartre a donner a I mitiative absolue des « agents historiques », individuels ou collectifs, comme « le 12. J.P. Sartre, op. cit., p. 133. 13. Op. cit., p. 234 et 281. 14. Op. cit., p. 294. 15. Op. cit., p. 179, souligne par moi.

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Parti », hypostase du sujet sartrien, Ia tache indefinie d'arracher le tout social, OU la classe, a l'inertie du « praticoinerte ».Au terme de !'immense roman imaginaire de la mort et de la resurrection de la liberte, avec son double mouvement, « l'exteriorisation de l'interiorite » qui conduit de la liberte a l'alienation, de la conscience a la materialisation de la conscience, ou, comme le dit le titre, « de la praxis au pratico-inerte », et « l'interiorisation de l'exteriorite » qui, par les raccourcis abrupts de la prise de conscience et de la« fusion des consciences », mene « du groupe a l'histoire », de la reification du groupe aliene a !'existence authentique de l'agent historique, la conscience et la chose sont aussi irremediablement separees qu'au commencement, sans que rien qui ressemble a une institution ou un agent socialement constitue (le choix meme des exemples en temoigne) ait pu jamais etre constate OU construit ; Jes apparences d'un discours dialectique ne peuvent masquer !'oscillation indefinie entre l'ensoi et le pour-soi, ou, dans le langage nouveau, entre la materialite et la praxis, entre l'inertie du groupe reduit a son « essence », c'est-a-dire a son passe depasse et a sa necessite (abandonnes aux sociologues), et la creation continuee du libre projet collectif, serie indefinie d'actes decisoires, indispensables pour sauver le groupe de l'aneantissement clans la pure materialite. Comment ne pas attribuer a l'inertie d'un habitus la constance avec laquelle !'intention objective de la philosophie sartrienne s'affirme, au langage pres, contre les intentions subjectives de son auteur, c'est-a-dire contre un projet permanent de « conversion », jamais aussi manifeste et manifestement sincere que dans certains anathemes qui ne revetiraient sans doute pas une telle violence s'ils n'avaient pas une saveur d'autocritique, consciente ou inconsciente ? Ainsi, il faut avoir a la memoire l'analyse fameuse du gars;on de cafe pour apprecier pleinement une phrase comme celle-d : « A tous ceux qui se prennent pour des anges, les activites de leur prochain semblent absurdes parce qu'ils pretendent transcender l'entreprise humaine en refusant d'y participer 16 • » L'exemple de Sartre, l'intellectuel par excellence, ~--,~

16. J.P. Sartre, op. cit., p. 182-183.

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· pour les dire des caEable de v1vre comme 1·11es d't 1 et comme ,--c··-···· •. -,----,·a:··~· x eriences » produites par -~t_p~ur Tanaiyse, ,c es!-a- ;r~ ~"'.T': -·----. .•.•,_,.t_..... · r· d'etre vec.ues parce qu elles menae ces cnoses qm men en -~-------. .. ' .. . . . . ;::.::.-=~,..,.A--···--·-·-, ·--r:~cvofr ue comme 1 ob1ecnv1sme un~: tent d etre racontees, ril_l -- g -!--·-r·i------.-· . 1·-- ·15·-- -~·rr-··--r·~-r-~p·p~o-·r··l--S-_;V.ant a l'olJ1et ae a science, e SU Jee versa 1se 1e a : .. . " · · f · · • d d' tbism;-univ~rsalise _l'e~perience que le S~Jet u i~cours ant se fiitcte1ui-meme e11_ ~ant gue_ s~e.t. Pr~fessionnel s~---oue' a' l'illusion de la « conscience sans de rn conscience v 1 · . . sans passe et sans exterieur' il dote tous es su1ets merne », , , a· ' pres auxquels il accepte de s'idenfifie_r -. c e~t-ad ire a P~d t'fiexclusivement le peuple pro1ecuf qm na1t , ~ cette : en de . « ge'ne'reuse » - de sa. propre experience vecue cation sujet pur' sa~.s attaches ni racmes. . . 1 L'interet de l'analyse sartrienne e~t ~e f.a1;e voir {1ue . . et l'enjeu de la lutte entre 1 ob1ecuv1sme et e su. rrn~c1pe est l'idee que la science de l'homme se fa1t iectivisme . · ·d jet de la de l'homme, c'est-a-dire de l'obiet mais auss1 u su l' b' ectiscience (et qui varie sans doute dans le sens d~ o J d visme ou du subjectivisme se~on .qu'est pl~s o~ n;o~~tgd; 1 distance objective et subiective du sujet a .1 o J • a. Ell int a poser explicitement les que:_St;!()ES science). e contra --~------ ·n -a,.·:-::r1·fference 11 s par....un,...... me1ange . an thr~:E.O1o~igues ~u~que e , ··-. · · · .mu· ·~- ···~1 -cr'inconscience theoriques, les eco11,?m1stes ( comme ~s ~-310i~--- 1es lirigU1stesrrepondent sans les avo1r anturoE_~-2.Bues 2}:! . b' · ~--f de maniere incohenosees c'est-a-dire, 1en souven ' 1 h' c-.~:::::_ et qui recouvrent tres exac:te111~nt celles, q11e es J~.. 1-.. - . . ....a~·-r·,-·sous age d e 1a b ou rgeoisie na1ssante, . .. . ... ·1·be· - ... , 1rente h , posaient oso~-~--,-.'-a··-ra ·uestion"des rappoi:tsentre la 1 rt~ raforme su1illmee e ~-· ............~.... · ·· ·a effet a ....-----~~·~~···-~····--·· ·- ·1, nalooie histonque ai e en dlvme et ies essences. _g_.:.o::.:;:..- ___ .,. ·1 ····· , ' , t des theorie de l'acuon et, pus prec1semen , ~l1~..~-- . . 1 conditions objectives ( ou les rapports- entre les agents et l'economie oscille perpetuel. d' ' l' utre clans sffuctures) que met en oeu ___......- "d'' - ·--'cr·~1·t al' au tre et parfo1s une page a a b' · · 1ement, un e · soumet les ecrit entre une vision 0 1ectiv1ste q~1 , .. ifb:r~:eet les 'volc;:mtesa~un.determinisme ~x.teneur .et I?i~:~ nTque 0.u interieur et .in tellectuel e~ ~dne Vt lSld~ l~~pe~~:tion ... "'fi''' r . subsume aux antece en s . ··11·e_t~ na iste qm d ro"et et de }'action intentionne e . les fins futures u P J fi ' · C'est ainsi que .causale -·· 1 b. 1 ou s1.. ·l' on ve ut , l'esperance des .pro ts·1 a.. vemr. ta ~lieorie