Patrologia  Orientalis Tomus Vicesimus  Quintus [PDF]

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Zitiervorschau

'

PATROLOGIA ORIENTALIS TOMUS VICESIMUS QUINTUS



Ht,

'f GIUFFIN

It.

PATROLOGIA ORIENTALIS TOMUS VICESIMUS QUINTUS

I.



Maurice BRIERE. Li:s

Homiliae Cathedrales

Urs II.

-

XC1

ä

Lectionnaire de

III.



Jean Ell CEE.

IV.



Mal

l.a

EüCHOLOGlüM SlNAlTICUM

Lj;s

kick

Severe ü'Antioche.

Home

BURM ESTER.

O. H. E. Ei

Di-;

XCV/II.

Semaine Sainte

(Suite).

(Su/'/r).

BRIERE.

Homiliae Cathedrales de Severe d'Antioche. Hpme-

Urs

CIY

ä

CA//.

PARIS FIRM1N-DIÜOT ET

C", IMPR1MEURS-ED1TEURS LIBRAIRIE DE PARIS, 56, RUE JACOB 1943

u

LES HOMILIAE CATHEDRALES DE

SEVERE D'ANTIOCHE TRADUCTION SYRIAQUE DE JACQUES D'EDESSE

(HOMELIES XCI A XCVIlIj

path. on.



t.

xxv.



[-.

l.

LES HOMILIAE CATHEDRALES DE

SEVERE D ANTIOCHE TRADUCTION SYRIAQÜE DE JACQUES D'ßDESSE (suite)

HOMELIES XCI A XGVIII EDITEES ET TRADUITES EN FRANCAIS PAP.

MAURICE BRIERE

NIHIL OBSTAT Parisiis, die

I!

decima quinta martii 1935.

tili

AI

TIN

I'KRMIS D'IMI'HIMKM

Paris, le 15

mars 1935. V.

DU PIN

\ ic.

gön.

WKRTISSKMENT

Des homelies XCI d'apres

la

ä

XCVIII de Severe d'Antioche, que nous publions

traduction syriaque de Jacques d'Edesse, seuls quelques frag-

raents grecs de l'homelie article intitule

:

XCIV

out ete edites et traduits par F.

Nau dans un

Quelques nouveaux textes grecs de Severe d'Antioche, ä Foccasion

d'une recente publicaiion, Revue de VOrient chretien,

Avec Thomelie XCI

se termine le manuscrit

t.

XXVII,

du Vatican

pp. 23-30. Sir. u° 141,

dont

les derniers feuillets particulierement sont en tres mauvais etat. Par suite,

pour etablir British

ment par JV.

P.O.,

B. t.

le

texte syriaque, nous ne disposons plus que du manuscrit

du

commence

precise-

XCI. La pagination entre crochets de ce fascicule continue

celle de

Museum Add.

12 löO, dont

le

troisieme volume

l'liomelie



XXIII,

fasc. 1.

L V

= :

British

Museum

Vatican n° 141.

AdJ. 12 159.

• !. fol. i-"

^



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JJL~o |ifx.*^o oöi

(lajoü

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V l3aßm-3/.

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3.

piques

Dans

5

ET CONTRE LES

L

(sie).

I



L

i.

i"

etait

que

le

meme. son ßls,

la

Loi

(vops)

jooi

v-^/

appele ä

la

ip^».^]J

fais-le

homölies

S6vere, du 1" mai :!.

b.

-i^o

L

fol.

198

la grande ville d'Alexan-

OlYM-

(iy«v)

graud pretre

(äp-^ieps-is)

et la vie qui est

Dieu de l'univers

le

finissait la vie d'ici-bas et

annoncee, celui qui, apres

il

disait

monier sur

la

Aaron de

sa

ses vetements),

egalement

ä Moise

*

:

sa robe

revetit

Prends Aaron

montagne de Hör en presence de rohe

(ozo\r

t

)

et

revSts-en

et

alors (ctoa-a

Eleazar, 'Vfoi.an

toute l'atsemblee

Eleazar,

son

ßls;

et,

lorsqu'Aaron sera reeueilli, qu'il meare In'. I.es

V fol. 211

)io_^

^oi.. I

diguite de grand pretre, aussitöt et sur l'heure,

C'est pourquoi

d'Israel; depouille

1.

'

^:=^»v

dounee par Moise,

qui a ete le

trepasse etait depouille (de

et

.oiV.i

AMATEURS DES SPECTACLES DES JEIX

pour l'heritage excellent

lui,

o)L\.x*i-^o

r'OXuiAicfa).

ordonnait que, lorsque partait

+3

oiloX

öt^s ,_«.bJ^

JN.JlQ.13

."^..JV^O.,/}

Sir Athanase le Grand, confesseuk, eveque de 2

—X^ixio

vO-»°t

?

HOMELIE XGr

*

DBIE

^-.v^^---01-^

•.

-.J.iaioi

LaiaJ •.saLCDolKio +3 yoiot/o

V U'i\imiW

2.

>X^;

oöt

VlSJjl^o

tjL»j

i

^OU^S_a/o

^.äol 1.

v o.jSi Jj^JS. J-iöp

5^,3 ^_iOj

c*\ öu.iLZi^.J

v

La\o

«vt.. V

,

:J.s»ot;

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jpw^>Jlo

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yOioiJJ

III

jjüiuboo

laju»t^

.oiV^.£o|J

m/o

n

la\

jjlia...

198

;i

Nombres (LXX),

XCI .">1-•/; ^«'i

woi

.yotiaio»

^.cx-s

.

mtier celui qui

nvt'lait tont

.-^-^MÖtK-iO

.)j*la*.\

pour autre chose

pour nous enseigner par le

)

nm v>

jn.)

»s/;

»-a^*/ "^s-OOl

In»

JK..000

oöi;

.)ts^io_i K_aJ^,7

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j_^^-s; ^

J_i_^:m

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jJ»o

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i.o', .

..;

m

Lfol. 198 [° b.

.JJ^öCSs jbä, ^isot JHo fcoLÜ-^ va^j7

I^oaau-

U-*"!

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^- »fM ;

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oöt

V-^v

9

XCI.

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jfto.^3 Jbo_co o^lo

.

J_ö£Ss yOJot

U-~ ;o -J^K.*.»

v b.

' •

)

1

a\ so

v

och

,A«l».



2.

a_»

J-iöiO

:J^»

yoi^o yNwN;

M.jl-^jl3 1.

:j_Oo

oot

oöi

oöi

*

110s

propres paroles; car celui qui

de la perfection, tardivement parfois, en vient

oreilles. 5

pour

Lorsque

moi,

et

c'est

succes (xa-ropöwaa

immense,

c'est

avec

la

d'Athanase,

)

gnement, en

eflet,

pur

et

veritablement de

future et de la vie divine et sans (faire)

un panegyrique

ä s'exprimer

comme

il

(x\e'o?)

faut?

fin,



satisfaire

vos

que

ainsi

d'une

mer

Sagesse, qui sait bien meder une bois-

science

la

fait l'eloge »Lfol. 198

ä la pratiqüer.

memes

des paroles divines

mile pour vous, quittez la stupidite

j'ai

Sagesse pour uivre, 10

oöi

capacite et que je l'aurai

petite

son de ce genre, que je crierai ces expressions Buvez du ein que

meme

grande chose que de

une

un vase de

j'aurai place

rempli des heureux

grande

:^do-^ä>|jJL/

K»*3 0/ j^in-^Ja.,^/

J.iJLfcö>fcoo

:J»|A>

J-iot

V l'WU-

dant (nous rougissions) de

Gependant,

i>-.^

:J.joi

redressez la

et

vivez,

l'intelligence*

.

:

cherchez la

C'est l'ensei-

sagesse, de l'intelligence, de la voie

que

je

mets devant vous, non pas pour

car quelle est aussi la parole qui parvient

— mais pour (presenter)

un simple

recit

*

seule-

f

Vfol.2H v° b.

ment. Atlianase"

15

le

docteur,

fois

1.

P.O..

— car

c'est celui-lä

1'aywvtcTfl's,

tous ces (titres)

comme un

Prov. (LXX),



t.

ix, 5-6.

XXIII. pp. 223-234.

— le

grand pontife

(ap^ispetj«),

le

pasteur,

c'est-ä-dire le lutteur, pour la verite. qui possede ä la

2.

seul et (qui) a fait

preuve de chaeun d'eux

Snr saint Alhanase, voir VHistoire eccUsiaslique de Barhadbesabba,

:öu.o^

y^.1

, ff»;n)

)

-Jod

+2

y^\

N.

^t

P

)

^

1.198

)

y>

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^»! va^\J-*>

»N^litbo

>

i \.

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J_oq..jl:s

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10

v" a

:Joot ^a-^a- : *>

vaJÖi\

V fol.2l2^»j r

J.*-«JLo

J-^4 ^r°

V*

-.

v?-"*^

N*^-alo J-sloio

y wLa»ao.

1

d'une maniere

si

superieure qu'il passerait pour etre riche de

exceller en celui-ci plus Ie pontilicat

nourriture

que dans

les autres, etait porte

seul

lui

ei

mystiquement vers

des les langes memes, alors qu'il se nourrissait, corame d'une

commune,

d'etre

promu d'avance dans

les (ordres) sacrös.

C'est de lä qu'est descendue jusqu'ä nous egalement une ancienue anecdote

de ce genre. Lorsqu'il

etait petit enfant

äge s'amusaient devant

les portes

crcrent eveque et pontife

les actions les plus

comme

Car

la

du temps, meine un

198

*

de

la

Vfoi.212 tres petites,

parmi et

il

Athanase eut recu

les enfants,

imitait,

la

premiere

I.iii.

a

*

autant qu'il etait possible,

La pelite enfance

x;i«) de



I10MKUE

[455]

Jjoo

K_)oCSso .

5

-j/lt

»

^.ÖCH -

;

)Lfcia»K*)^l

'

-

K_.Ji_3u~

K-./;

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-Ol

J-oo-ilS.

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10

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JjL.t^ua^oi^oj vQJÖi

L^POO ,vOO|^

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JLaCLS

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yo^Loo

l.

5.

i,

Ui^.£»L=«

(sii-

k»la9m»a>>»3

V

Or

,_~

faisait

verite



io



>£oo'4a»i^

dune maniere

etait

Pierre,

arrive une

tröne

le

parole sacree dont

d'Athanase n'etaient pas s'arreta et

qu'il (T)eut appris

ordonnes. Et

il

interrogeait

il

et eut

fixe

des

fils,

les tenait

apres qu'il les eut

par

s'exercer,

1.

Litt.

:

)oO|

J-CS^-S JK.-ÖCSN

'K_t3a.aoaL^A3 vOi^ts.,!



4.

LV

margine

in

!&*•"»»•

:

-

ce que je dirai avec plus de virile et divine, etait la

et

de la sainte Eglise d'Alexandrie \

il

«

ä

preoecupait



(poflr

Qu'est ce qui

amusement

Athanase avec *

se

une plaisanterie :

i

1

)i~

le

moyen

Alexandrins

».

l'ait

com-

Lorsqu'Alexan-

martvr.

le

se

qu'il

car ces enfan-



lni)

fait?

etait

les

»

mu Et,

par apres

Finterieur de

im Symbole

et

il

recevait

jeunes gens qui avaient ete

l'esflise

et

il

leur

education d'homme, qui etait de premier ordre, remarquable tante,

000|*Vfol.21

son esprit d'une maniere tres divine sur ce

pensait que cet

il

eomme

lui,



(äp^igpwJ?)

(Opovo;)

Dieu,

qui se faisait,

is

jooi

jjj»>

passa ä cöte de l'amusement des enfants, apres

tillages

chez

V U'ij«^Sm-

enfantine, ou

pontife

le

oecupait alors

dre, qui

il

3.

^o

OUiO

)^-*-*>^0

J.iÄiCL.|_SO

.-K_.Jjj)?o

marque d'avance d'une maniere

sortit sur la place et fut

.ya^äNj; f3^/ ,Ji

l°OI

ÖI..K../

)^ .»**»< —Öl jKw^sU yOOi^

)fcs^>V^°

V^JJ

jotSs N!

jour präsent, oü cela avait lieu par amusement d'une maniere sacree

le

et se

lui

V

2.

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:)laa.*w.

)J

t-*-^v

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(sie).

memoraison de 5

*^vi\



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J-«^.^ )cls-

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J.*\

— otok^./ ^*;

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)ooi

11

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V^o7

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oöi

J-^4;

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-OOI

'»SO

fts^JLjPO

^cdoV^3; ou,jo; 'Joot

oöi

jl..»

XCI.

et

donnait une*vroi.2i2 tres

impor-

mediter les paroles divines nuit et jour

d'autres

preoecupations, d'une

et

maniere philoso-

SEVERE D ANTIOCHE.

12

•:-JbsjLiajiL;

)lo;po-5 +3

•)—^>^ »

L

fol.

Ujoo

oöi

»coo

.

)jL^-^l V>

198 ^ o J-^oq-Ol^o .J_.k_*ja

vQJ

-.Joot

»

ji^/o

Jloj^iO;

-Öl

I

««

n

^QJl- .'P©/ t^ t-ooo J_sfco j^tClLiO '^oj

OÖl ^»1

i-i

O^J^Oe

o&.

Jcul^Äo -.1^.)^^^

j_s'»Kjo

•>s.^ö

i^»^

och

,

m)j)lJJ

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t-Su^o

)

[456]

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I

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V-co^^-Aioio

uoai^ga^Dojao.

_

2.

V

in

Jfco*.. Mi

margine

:

s>\§Si\c>W>

5

etait le

il

Alors,

de

le

meme

de toute

n'etait

pas

vint ä la primaute

il

alors

que

c'est

lui

qui

sans qu'il en füt lui-meme orne.

Verbe Dieu de l'essence

Creatcur

J»oi

(t^ic), tandis qu'il occupait

perfection,

(cet) etat,

^»j

l

et tres pure,

lorsque la rage d'Arius eut prevalu sur

qu'elle separait le

creature

meme

•)Ki .^

non pas d'une maniere qui

(sa)



\\a^is.

V

3.

premier de cet ordre

premiere Situation ä cause de

ornait la preeminence



.

^io» ^öi .-J-ooK^j»;

^cl-»-o

J.»»(Wi\

oöi

mais d'une maniere tres sainte

des diacres et la

^aö

JJ

JJ^ofcOJL;

se fut avance dans les degres sacres, sainte,

)1q-.K^XKj>j :o..«/

Jla*jo—.\





^^io

1.

)^—o jj^a^

liaijL-»

(oüsuc)

la creation,

la

religion (eüoeSeta) et

de Dieu et Pere, disait

par les mains de qui tout

a ete, et prönait que celui qui etait de celui qui est, est engendre eternel10

lement

et s'est leve

pieux

(eviceStis),

ment

la

Trinite

*

royaute l'unite

sans scission, n'etait pas jadis, Constantin, l'empereur

qui, avec la pourpre et le sceptre de l'empire,

et

de

la

religion

des

chretiens,

une seule primaute de

aima egale- * v fol. 212

laquelle proclame dans

l'univers,

la

parce qu'en verite un

seul Dieu est compris en trois hypostases, reunit ä Nicee, ville de Bithynie 15

-

qui autref'ois d'une part

d'autre part est fameuse --

etait le

inconnue

ä

beaucoup,

ä

cause de cela

concile des trois cent dix-huit saints Peres et

v °'

vaii-^io Jj

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-^

d'autre part

combats en

le



-vfol.213 v °''

V

)ooi

cöte,

autre cöte,

L'une de celles-ci etait des vaisseaux qui



3. I.

(Qpo'vo;)

livrer,

(et)

ceux-lä

imvi'..>o

(eü-seS-r^)

:

^»/ ^a^

..sa_coQ^ 001

J-icuJio^

''

de Marc, ou plutöt (^iXkos U) les

qui (ont lieu) pour la

parce que les chiens

le

foi (et) qu'il lui

ceux-ci

d'Arius,

meme en (le mordant) en seul, comme contre celui

lui

ils *

1

JV-^^ *s

^^is

^-3

^oV-=>

)

\.^Ll

nc pouvaient aucünement

ils

an^ s lN^o

}.3L^iö

^.1 (sie

(jcivSuvo-.)

et

aupres du pieux

Dun

\\

)^£io.*.

10

V--^ &l Jooi oto.ioo osjl^I/j

J001 v-oioN^/

>&>»!.

tröne

le

dents contre

-.^^soü^

**-^ ooü* .J^ajo

dangers

(xiv&uveöffai)

leurs

la foi

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cn höritage

dirige tout. D'un

repris.

J-co'^^jo

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mordant en public

saient

de

2.

(äywv) et les

courir

fallait

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[460J

cacbette, aiguiqui

bien

avait

5

calomnier au sujet

empereur Constantia; car tout avait

ete

sc servaient sans preuve de diflerentes calomnies.

qu'

menaient

Alhanasc avait ose intereepter

«

du ble ä

la

ville

imperiale

».

la

Et

uavigation

pourquoi

10

faut-il parier beaueoup?

L'empereur se laisse persuader par cela redio-ee, le

sur l'heure, contre celui qui avait

ebef des euisiniers (payeipoc) de

qu'il

etait

un

avec Joseph, avait aecuse

homme il

bon,

il

et

:

ete"

savait d'une

part

adultcre

Ic

jeune

homme

la

lettre d'exil (e£opi'a) etait

ealomnie. En

Pharäon aussi

admil d'autre part cependant

comme

une

(^ut

que

le

effet,

lorsque

vendu Joseph, Seigneur Dieu

alors ^tait

calomnie de sa femme, qui

patient et chaste. Car l'auteur

15

HOMELIE

[461

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Jood.

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213

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1

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213 v° b.

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2.

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XCI.

la lin

de quatorze lignes.

des combats (iyüv) de

5

prosperite et de

en verite de

la

des athletes

(«ffk-twns),

(objet),

et

sans qu'ils se

2

malheureuses

,

ils

saut

qui sSs,;

)-iJu.sj

J.S**oj;

.JJ.I

J*-p5 |^-*J^-/

(ecWa).

l'exil

II

2.

Paus V,

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V-

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lin

po

de quelques

Celles

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I

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19

^^ot

J^ö-^/? *vfoi.2i< r" b.

Lfol. 199

I

Ji.a.i.jus}).-*}

10

001

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l.

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-2.

cessivement tous

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in

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margine

:

.-Jooi

Kwv[cjTavno;].

les autres (faits), c'est

d'un autre cöte qu'il dit

que

oguaopo

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,

2l^>o

>o^

-

-

^s* yok-u;

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J)-^"

J-**-*-i?

^.A.».^koo;

"3

«-.oio,:../

Apacvio?.

meine une accusation de meurtre, pour l'amener sur celui memo maniere l'amour de Dien et l'amour des liommes ei

qu'ils poursuivirent

qui avait de la

avait ete forme et instruit ä aimer

meme e1

v '

II

.

de

en

etait accuse,

avait coupe une

l'art

vroi.2i4

1

le

Seigneur Dieu

comme

ei le

procliain

celui qui avait tue

comme

laquelle mairi les accusateurs

soi-

uu certain Arseue

maiu du mort, pour pratiquer de mauvais tours

sorcellerie,

la

eilet,

w.y.-'r:r^;\

(iropo;)

et

•>

döteaaieal

* la cachait; uous d'autre part, « Athanase dum' part disant chez eux, en Q 0Ua a lui avons enlevee en vue de l'accusation. » Et celui-ci d'uu cöte* :

l

etail

luge"

sur ce(fait); le Seigneur des prodiges

cöte, qui a vieillards

comme

eveille

l'esprit*

de

Daniel

impudiques concernant

s'(il

etait

venu) de

l'air,

la et

de sa propre volonte, alorsque sa teurs (K»T«Yopo;) pour de Tor

il

et

des miracles d'uu autre

et

repris

lii

jugement inique des

le

chaste Suzanne,

l'uite

et qu'il

a

qu'Arsene se

descendit ttnt

aupres des juges

personnelle etait vendue aux accusa-

etait

convenu par

lui

pourungrand

prix,

des liiens (qui sonti a vendiv, qu'il ae serait vu nulle part absopour le dire en peu de mots, jusqu'ä ce que eette (affaire) de

comme Tun luinent,

calomnie

tut

terminee. Et, lorsqu'il etait present devant eux, qu'il eut sorti vel imenl et qu'il les eut mou-

ses deux mains qui etaient caehers sous son 1.

Cl

Mattt».,

w.i.

37, 39.



'2.

Ct. Hau.,

xm.

15.

1"

en volant,

15

HOMEUE

[465]

)^2il^ ycijöi s-ch

:

J.

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21

XCI.

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V'fol. 214

V"b.

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KavoTavxioe.

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seul conserve. ..

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l

5.

in

manque de

qui etaient reunis, ces morts ä cause du

morts ä cause de

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*^-iö

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V ^£*o. — 2. Dans V, au Ibl. 214 r* b, 1^.^. — i. I. j'n margine

l.

in

J-.^A

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Ja*»

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J^iai-ico

:J.^iQ-».-;;

In

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la\

J-ia-



3.

LV

margine

foi,

cos

calomnie, ces voleurs de morts, qui par Jalousie intro-

la

duisaient im proces de meurtre, pour se procurer la verite sur uae

main qui I,

elait

uu objet de mensonge, se tenaient muets,

comrae des pierres,

Que

dirai-je

(ses) actions.

le

alors

*

qu'ils etaient figes

et a la flu ils s'enfuirent.

desormais? Car

Enumererai-je

je

suis fatigue, en considerant

la

mer de

grand nombre de marclies sur

sur

la

mer, les repos et les habitatious dans

le

desert? Citerai-je les empe-

reurs qui le menacaient de meurtre, (ä savoir) Constance', Valens et Julien

ceux-lä

dune

lidecs)

des pai'ens,

15

expugnable; mais

tous ceux qui regardaient

et

il

la

vie

d'Athanase

propre religion? Pour aueun d'eux,

leur

etait

vraiment

'A9«v*ffio;,

c'est-ä-dire

il

Litt.

:

«

,

comme

ne devint

immortel,

qui luttait d'une maniere immortelle dans un corps mortel et par les

1.

2

part malades des (opinions) d'Arius et celui-lä d'autre part des

destruetion de

la

Conslanlin

».



2.

II

fallait dire

Julien

(

l

fol.

v

les diflerents exil.s (e^opi'x;), les fuites, les departs,

Valens

.

lui faits.

200

fol. r" a.

V

montees ä Rome, non seulement ä l'ancienne, mais aussi ä la nouvelle, la route et les voyages, les dangers (x.iv-»Öt

.-o.j/

10

-.K_).JL*.oi

Ja:»

\.x>\.)

Colin.

raison du combat d'une maniere apostolique

corps corruptible revite rincorruplihilitr'

ce

^-»N.ait.a

"^^.io oino; -K.io/

o£>^_~ ^.^.io

.-)lajL3^.iaij oiJLo^Uo

lacunc,

l-°-*?J?

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:)ocx

^iö oa~./co

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s oIT>e> vli>V .

(SovpoTa) avec Euzo'ius, qu'il

fit

cause de

io



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JK^~»

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J.JOI

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..^-lno-üo

J-a.,?;

'»--nn^

arrosait

il

continuellement cette

Eglise

en donnant des avertissements dans ses lettres

Dicu, en amenant la bonne entente, en unissant ce qui etait

une fronde

cesgeants qui

spirituelle,

(etaient)

en blessant

comme

dogmes

Goliath Leontius et

Ariens et combattaient contre Dieu (öeopa^os),

aussi, renversa et montra impurs, celui-lä d'une part qui, ä luxure et de Timpudicite de sa vie, osa se couper les organes geni

tomber la

taux et s'en priver lui-meme, pour etre sans crainte avec celles qu'il aunaiV, et celui-ci d'autre part qui, ä cause de l'amour du pouvoir (otixsyjx), changeait

un siege pour un siege, repaissait son ventre gourmand

et

auginen-

(son) impiete?

tait

C'est pourquoi nous avons place egalement cette solennite avec sa

memoraison, comme une dette envers 15

r>

Euguio;.

eloigne, en chassant les loups, en lancant sur eux les pierres des 5

laio^i

.^-.j ooC^ .Jooi Joou

JNjlx-

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margine

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^o fc^x^ od^Jb p

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Jo£s

jl;J.*>

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.•)ooi

^o».^

Jip. ),oC^ d/;

23

XC1.

recueillant et en acquerant par lä

Car, hrsqu'on les

faii

l'eloge

peuples sont dans

I.

dun

juste,

le

docteur

I.

en

un avautage pour nous-memes encore. une parole sacree dit quelque part que

In joie*.

Voir Socrale, Hisloire eccldsiastique,

com-

et le lutteur (äyüjvia-r/,;,

II. c.

xxvi



2.

Prov.

I.XX

.

\\i\.

'J.

* Lfol.

s

SEVERE DANTIOCHE.

_!',

J_L3_/

JboLl!^-,



^coa^i/»

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1.

I.

margine

in

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J^ci^cm

otV..»

i68

döfiuilion et les Lois

(vöjjloj)

e1

que ses expresskms

de toute controverse

et

de (tout) doute.

Car, en combattant contre l'opinion impure d'Arius, de nn-me que ceux qui savenl tres Kabilement conduire uue

des autres herösies,

a l'une

n'etaient

pas

eprouves

dans

ä

lutte,

la

foi,

qui

äveiigles de l'autre, qui couperent en deux el

qui

le

grand (Athanase). Mais, en donnant il

dun

voyaient le

et

posa en

loi

et

(et)

6taieut

incarnö

la

tel

5

qui

s'esl

oeil

Verbe de Dien qui

en livrant

prise

011

de Theodore,

opinion (prise) parmi les höre'sies. Mais

autre

egale et nette,

ne donna pas entrde

Diodore

des pretextes pour combatlre en faveur d'Arius

saisissaienl

faveur d'une

il

l'exemple de

ou en pas

n'etait

10

nieme parole en tout

que nous ne confessions pas deux natures

le

seul

Christ apres l'union, mais qu'il laut dire la seule nature incarnee du \'erbe, >'

'Lfoi. 200 la V"

en meint' tcniiis

confusion

el

il

sc inirda avee viü'ilanee et aussi

aussi de la division de l'inhumanation

*

du tliantrement

et

ile

divine.

i.">

; 1

Comme

Nestorius et les autres partisans de Diodore et de Theodore ne

supportaient

pas

son

accusation,

ils

altererent

et

changerent

la

lettre

a

.•ycoa—floJ.jJW;

Jla^v

^io

:)jLVa..

K.O

0/

o-^io;

jooi

lai^K

;

o^-^aM

)v-V*

yaa\

l

-01

V*^v

•.

^a-Sot-Jo

1.

L

Mals

le

in

margine

et

que

.



fol.

l'ecriture

2.

215 \

L r°

margine

in

b

a el

mensonge

le

Voyez-vous que je vous

(est) la 10

de

grande

religion

des cinq

*

aime

(eüffs'ßeta.)

lüttes

3 ,

ai

(originaire)

clioix,

et

L

le

in

'

v

• ' '

K-)jv^*

linit

Ici

1.

parce

margine

^f^-"*?

qu'il :

)*t^ö-- J©

lamme de

la

V.

presenle de 110m-

0>u(in[ta8e?].

sage Cyrille,

envoye

a

le

bouche de ceux qui judaisaient, laquelle meine qu'Athanäse

le

et

mais

Christ?

maintenant.

aujourd'bui im semblable athlete

d'Egypte

et

enseigne

11

non seulement (le

meme

eneore qu'il combat

presente

combat)

011,

de

et

la ville

d'Alexandrie

2 ,

qui

pratique les combats (iywv) de c'est-ä-dire l'ensemble

tcvto.Ö'Xov,

le s'il

est possible de le dire,

il

ajoute *v fol. i° a.

Est-ce que quelque chose de

aux victoires des myriades de victoires. peut se

voir aux jeux

renverse et tomber,

Olympiques? Car

etre

tel

enlace corporellement, etre

frapper et etre frappe a son tour, c'est le propre des

beliers et des boucs, qui se piquent et se frappent les 15

uns

les autres

nouveau

cornes, et des änes, qui se frottent et se frottent de

avec leurs

les

uns

les

autres; c'esl bestial et eompletement deraisonnable. I.

P.G.,

t.

'

-.la^OÖ

l-*»-^?.

)»—.0/

^^jJso

illi.sible.

i.

la^*^.ia~

et les inventions. Ainsi, lors

est parti d'ici-bas, c'est par ses discours

-}.h'/:r-r.z)



J-JÖ.^'?

JJL.I10 *jp;> -.(.^-iofcvj



riev«[6Xov].

.'

Jao*o1

^/? ^io

^aü«

presqüe

est

est souvent effaeee.

sont) en Orient', lorsqu'il fermait la

5

:

*

qu'il s'y trouvait veritablement, aux saintes Eglises (qui

texte original, tel

prete pour

JJ/

:^j^Kj

)t—j/o

dont un vrai disciple d'Athanase,

Epictete,

etait

J.J01

;

rragment qui reste du

breuses dechirures

vÄ_x.iK.J

v/i

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1oV-äa;

J&O^-.j 3

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