Odonto P2 2008-2009 [PDF]

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Zitiervorschau

1 FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON ANNEE UNIVERSITAIRE 2008-2009

P2 – SESSION DE JANVIER NOM DE L’EPREUVE : COEFFICIENT : DUREE : NOM DU CORRECTEUR

ANATOMIE DENTAIRE 1 1 heure Dr KAPRIELIAN

2 questions : - pour la question I joindre à votre copie la grille de réponses aux QCM - pour la question II joindre à votre copie la feuille comportant le schéma I – Questionnaire à choix multiples

(10 points)

Vous avez à répondre aux questions numérotées de 1 à 20 dans la grille de réponses fournie. Il est recommandé de bien lire le texte des questions. A chaque question correspond une seule réponse. Ne pas oublier de joindre à votre copie la grille de réponses aux QCM. 1 – Parmi les affirmations suivantes, lesquelles sont vraies ? D’après la nomenclature internationale, a – La canine définitive inférieure gauche est désignée par le numéro 33. b – La deuxième molaire définitive inférieure droite est désignée par le numéro 47. c – Le numéro 54 correspond à la première prémolaire temporaire supérieure droite. d – La canine temporaire maxillaire gauche est désignée par le numéro 63. e – La dent de sagesse maxillaire droite est désignée par le numéro 18. Réponses : A – a, d, e B – a, b, d, e C – a, d D – d, e E – b, c, e 2 – Parmi les affirmations suivantes, lesquelles sont vraies ? a – La dentition désigne l’ensemble des dents présentes dans la cavité buccale. b – La denture désigne l’ensemble des dents présentes dans la cavité buccale. c – En denture lactéale on dénombre classiquement 20 dents. d – En denture définitive on dénombre classiquement 28 dents. e – On distingue 3 dentitions et 2 dentures. Réponses : A – b, c B – b, c, d C – a, e D – b, c, e E – a, c, d, e 3 – Parmi les affirmations suivantes, lesquelles sont vraies ? a – La face distale est la face proximale la plus proche du plan sagittal médian. b – Dans le plan frontal, les faces occlusales des dents mandibulaires sont orientées vers les joues. c – La région cervicale désigne la limite entre couronne et racine. d – La face mésiale d’une 21 est en contact avec la face mésiale de la 11. e – Le collet anatomique est invariable dans sa forme et sa situation au cours du temps. Réponses : A – a, b, c, d, e B – c, e C – b, d, e D – a, d E – c, d, e

2 4 – Parmi les affirmations suivantes, lesquelles sont vraies ? On désigne par le terme denture mixte a – L’ensemble des dents temporaires et des dents définitives. b – L’ensemble des dents maxillaires et mandibulaires. c – La présence simultanée sur l’arcade de dents temporaires et de dents définitives. d – La présence simultanée sur l’arcade de dents surnuméraires et d’agénésies dentaires. e – La présence simultanée sur l’arcade de dents déciduales et de dents de lait. Réponses : A – a, b B–a C–c D – c, e E–d 5 – Parmi les affirmations suivantes, lesquelles sont vraies ? D’après la nomenclature internationale, a – L’incisive centrale temporaire inférieure droite est désignée par le numéro 71. b – La première molaire temporaire inférieure droite est désignée par le numéro 74. c – La troisième molaire temporaire inférieure droite est désignée par le numéro 76. d – La deuxième prémolaire temporaire inférieure droite est désignée par le numéro 75. e – La canine temporaire inférieure droite est désignée par le numéro 73. Réponses : A – a, b, c, d, e B – a, b, e C – a, b, d, e D – a, b E – Aucune 6 – Parmi les affirmations suivantes, lesquelles sont vraies ? a – En vue vestibulaire ou linguale, le diamètre coronaire le plus important est toujours occlusal, le moins important est cervical. b – En vue proximale, le diamètre coronaire le plus important est toujours cervical, le moins important est occlusal. c – En vue occlusale, les faces vestibulaires sont plus larges que les faces linguales sauf 16 et 26 ainsi que 35 et 45 lorsqu’elles sont tricuspidées. d – Les faces distales sont moins hautes dans le sens occluso-apical que les faces mésiales de toutes les dents. e – Les faces mésiales sont toujours plus aplaties que les faces distales sauf 34 et 44. Réponses : A – a, b, c, d, e B – a, b, c, d C – a, b, c D – a, b E–a 7 – Parmi les affirmations suivantes, lesquelles sont vraies ? a – Les incisives permanentes mandibulaires sont en série descendante. b – Les incisives permanentes maxillaires sont en série descendante. c – Les molaires permanentes maxillaires sont en série descendante. d – Les prémolaires permanentes mandibulaires sont en série descendante. e – Les molaires temporaires mandibulaires sont en série descendante. Réponses : A – a, b, c, d, e B – a, c, d, e C – b, c, d, e D – b, c, E – aucune 8 – Parmi les affirmations suivantes, lesquelles sont vraies ? a – La table occlusale est décalée du côté vestibulaire pour les dents cuspidées mandibulaires et du côté lingual pour les dents maxillaires. b – Les fosses sont des dépressions caractérisant les faces vestibulaires et linguales des dents.

3 c – Les crêtes marginales sont des éminences allongées qui limitent les faces occlusales en mésial et distal. d – Les crêtes cuspidiennes mésio-distales forment les limites vestibulaires et linguales des faces occlusales. e – Les faces occlusales sont limitées par la table occlusale. Réponses : A – a, b, c, d, e B – c, d, e C – c, d D – c, e E–c 9 – Parmi les affirmations suivantes, lesquelles caractérisent une incisive centrale supérieure ? a – Son éruption prend place vers les 7-8 ans. b – Avec l’usure, son bord libre s’incline en direction cervicale et palatine. c – Son bord distal est plus oblique que son bord mésial. d – La face vestibulaire est marquée par la présence de 3 lobes dont le lobe central est le plus volumineux. e – En coupe transversale, sa racine a une section triangulaire . Réponses : A – a, b, c, d, e B – a, b, c, e C – a, d D – c, e E – b, c, d 10 – Parmi les affirmations suivantes, lesquelles sont vraies ? a – L’incisive centrale inférieure définitive est le premier type de dent définitive à apparaître sur l’arcade. b – L’incisive latérale supérieure définitive apparaît sur l’arcade à l’âge de 9-10 ans. c – les incisives inférieures définitives sont en série ascendante. d – La racine de l’incisive centrale inférieure définitive est plus large dans le sens vestibulolingual que dans le sens mésio-distal. e – Les incisives temporaires, comme les incisives permanentes, présentent toujours, lors de leur éruption, un bord libre en « fleur de lys ». Réponses : A – a, b, c, d, e B – a, b, c C – c, d, e D – a,c, d E – aucune 11 – Parmi les affirmations suivantes, lesquelles sont vraies ? a – Les cuspides mésio-palatine et mésio-vestibulaire de la première molaire supérieure permanente sont reliées entre elles par un pont d’émail. b – Les cuspides mésio-palatine et disto-vestibulaire de la première molaire supérieure permanente sont reliées entre elles par un pont d’émail. c – Les cuspides mésio-vestibulaire et disto-palatine de la première molaire supérieure permanente sont reliées entre elles par un pont d’émail. d – Les cuspides mésio-palatine et disto-vestibulaire de la première molaire inférieure permanente sont reliées entre elles par un pont d’émail. e – Les cuspides mésio-vestibulaire et disto-palatine de la première molaire inférieure permanente sont reliées entre elles par un pont d’émail. Réponses : A – a, c B – b, d C–a D–b E–c

4 12 – Parmi les affirmations suivantes, lesquelles sont vraies ? a – Les prémolaires possèdent toujours une seule cuspide vestibulaire. b – Les prémolaires maxillaires sont en série descendante, alors que les prémolaires mandibulaires sont en série ascendante. c – En vue occlusale, les prémolaires maxillaires sont allongées dans le sens vestibulo-palatin alors que les prémolaires mandibulaires ont un diamètre mésio-distal pratiquement équivalent au diamètre vestibulo-lingual. d – Les prémolaires maxillaires possèdent 2 cuspides de même développement, alors que les prémolaires mandibulaires ont une cuspide vestibulaire plus volumineuse que la (ou les) cuspides linguales. e – Le sillon principal mésio-distal des prémolaires mandibulaires sépare la table occlusale en 3/4 vestibulaire et 1/4 lingual. Réponses : A – a, b, c, d, e B – a, c, d, e C – a, b, e D – c, d, e E – b, c, e 13 – Parmi les affirmations suivantes, lesquelles sont vraies ? Au niveau de la première prémolaire mandibulaire, a – Le contour lingual présente un bombé (sommet) au 1/3 cervical. b – Le contour lingual présente un bombé (sommet) au 1/4 occlusal. c – La face vestibulaire est fortement inclinée en direction linguale. d – Elle a une forme et un volume voisin de la deuxième prémolaire mandibulaire, à l’inverse des 2 prémolaires maxillaires qui sont très différentes l’une de l’autre. e – Le plan occlusal entre les sommets cuspidiens est incliné de 20 ° en direction linguale. Réponses : A – a, c, d, e B – b, c, d, C – a, c, D – b, c, E – b, e 14 – Parmi les affirmations suivantes, lesquelles sont vraies ? a – Les molaires maxillaires comme mandibulaires sont en série ascendante. b – Les molaires mandibulaires possèdent 4 cuspides principales bien développées (2 vestibulaires et 2 linguales) et une cinquième (mésio-vestibulaire) toujours moins développée. c – Le diamètre vestibulo-palatin est supérieur au diamètre mésio-distal pour les molaires maxillaires. d – Le diamètre vestibulo-lingual est supérieur au diamètre mésio-distal pour les molaires mandibulaires. e – La table occlusale des molaires maxillaires est déportée en vestibulaire, alors que la table occlusale des molaires mandibulaires est déplacée en lingual. Réponses : A – a, b, c, e B – b, c, e C – b, d D – aucune E – c, e 15 – Parmi les affirmations suivantes, lesquelles sont vraies ? a – Le point de contact mésial d’une canine maxillaire se situe au 1/3 occlusal de la hauteur de la couronne. b – Le point de contact mésial d’une canine maxillaire se situe à la moitié de la hauteur de la couronne. c – Le point de contact mésial d’une canine maxillaire se situe au 1/3 cervical de la hauteur de la couronne. d – Le point de contact mésial d’une canine maxillaire se situe au 1/4 cervical de la hauteur de la couronne.

5 e – Le point de contact distal d’une canine maxillaire se situe plus haut (plus cervical), dans le sens vertical, que le point de contact mésial de cette dent. Réponses : A – a, e B–b C – c, e D–d E – b, e 16 – Parmi les affirmations suivantes, lesquelles sont vraies ? a – La première molaire supérieure définitive possède 4 cuspides qui sont par ordre décroissant de volume : cuspide mésio-linguale, cuspide mésio-vestibulaire, cuspide disto-vestibulaire, et cuspide disto-linguale. b – La première molaire supérieure définitive possède 4 cuspides qui sont par ordre décroissant de volume : cuspide mésio-vestibulaire, cuspide mésio-linguale, cuspide disto-vestibulaire et cuspide disto-linguale. c – La deuxième molaire inférieure définitive possède 4 cuspides qui sont par ordre décroissant de volume : cuspide mésio-linguale, cuspide mésio-vestibulaire, cuspide disto-vestibulaire et cuspide disto-linguale. d – La deuxième molaire inférieure temporaire possède 4 cuspides qui sont par ordre décroissant de volume : cuspide mésio-linguale, cuspide mésio-vestibulaire, cuspide disto-vestibulaire et cuspide disto-linguale. e – La troisième molaire inférieure temporaire possède 4 cuspides qui sont par ordre décroissant de volume : cuspide mésio-vestibulaire, cuspide mésio-linguale, cuspide disto-linguale et cuspide disto-vestibulaire. Réponses : A – a, c, d, e B – b, c, d, e C – a, c, D – b, e E-a 17 – Parmi les affirmations suivantes, lesquelles sont vraies ? a – Les dents temporaires sont aussi appelées dents de lait ou dents déciduales. b – Le rapport couronne/racine des dents temporaires est plus faible que celui des dents permanentes. c – Les cavités pulpaires des dents temporaires sont proportionnellement plus développées que celles des dents permanentes. d – Les racines des incisives et canines temporaires sont infléchies en vestibulaire et en distal. e – Les racines des molaires temporaires sont nettement plus divergentse que celles des dents permanentes. Réponses : A – a, b, c, d, e B – a, b, c, d C – a, c, d, e D – b, d E – a, c 18 – Parmi les affirmations suivantes, lesquelles sont vraies ? a – La racine palatine de la première prémolaire supérieure définitive est plus large et plus longue que la racine vestibulaire de cette dent. b – Les faces proximales de la racine de la secondes prémolaire inférieure définitive sont, en général, parcourues par un sillon longitudinal. c – La racine de la première prémolaire inférieure définitive est plus petite que celle de la canine inférieure. d – La racine palatine de la première molaire supérieure définitive est plus divergente du côté palatin que celle de la deuxième molaire supérieure. e – La racine palatine de la première molaire supérieure définitive est deux fois plus large, dans le sens mésio-distal, au niveau cervical qu’au niveau apical.

6 Réponses : A – a, b, c, d, e B – b, c, d, e C – c, d, e D – d, e E – a, c, d 19 – Parmi les affirmations suivantes, concernant la première molaire supérieure définitive, lesquelles sont vraies ? a – Elle s’appelle aussi dent de 12 ans car son éruption se fait au cours de cette année. b – Elle présente trois racines qui sont par ordre décroissant de volume : la racine palatine, la racine mésio-vestibulaire et la racine disto-vestibulaire. c – En vue vestibulaire, on voit non seulement la face vestibulaire de la couronne, mais aussi une partie de la face mésiale de celle-ci ; d – En vue occlusal le grand contour vestibulaire est oblique de vestibulaire en lingual et de distal en mésial. e – Son éruption n’est pas liée à la chute d’une molaire temporaire. Réponses : A – a, b, c, d, e B – a, b, c C – b, d, e D – b,e E – c, e 20 – Parmi les affirmations suivantes, lesquelles sont vraies ? En ce qui concerne la première prémolaire maxillaire permanente, a – La pulpe camérale (ou pulpe coronaire) présente 2 cornes pulpaires. b – La pulpe radiculaire présente le plus fréquemment deux canaux radiculaires. c – La racine est plus large dans le sens mésio-distal que vestibulo-palatin. d - Le volume de la chambre pulpaire augmente au cours du temps. e – Le plancher pulpaire a la forme d’un arc à convexité occlusale. Réponses : A – a, b, c, d, e B – b, c, d, e C – b, c, e D – a, b, e E – a, c, d

P2 ANATOMIE DENTAIRE Session de janvier 2008-2009

Ne rien écrire ici

Nom :

Prénom :

Ne rien rien écrire Ne écrireiciici

QUESTIONS 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20

A

B

C

D

E

Ne rien écrire ici

P2 ANATOMIE DENTAIRE Session de janvier 2008-2009 Nom :

Prénom :

Ne rien écrire ici

II – Schéma à intituler et décrire (10 points) Ci-dessous vous est présentée la vue schématique d’une face dentaire. Vous avez dans un premier temps à intituler (dénomination de la dent et de la face) et orienter le schéma ci-dessous que vous joindrez à votre copie. Puis, sur une copie, vous devrez la décrire en mettant l’accent sur les points caractéristiques de la face qui vous est proposée ainsi que citer les autres variantes de la disposition des sillons intercuspidiens principaux que l’on peut retrouver fréquemment sur cette dent.

FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON ANNEE UNIVERSITAIRE 2008-2009

P2 – SESSION DE JANVIER NOM DE L’EPREUVE : BIOCHIMIE COEFFICIENT : 1,5 DUREE : 1H

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN : REPONDRE SUR 2 COPIES SEPAREES

CORRECTEUR : F. BLEICHER Question 1

(8 points)

Comment S. mutans s'adapte t-il à la concentration en glucose disponible dans le milieu buccal? Question 2

(7 points)

Quelles sont les protéines salivaires qui participent à la formation de la pellicule exogène acquise? Par quel(s) mécanisme(s) ?

CORRECTEUR : H. MAGLOIRE Question 1

(9 points)

Représentez à l’aide de 2 schémas : - Une molécule de tropocollagène de type I - La formation de la triple hélice

Question 2

(6 points)

Structure globale des collagènes fibrillaires

FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON ANNEE UNIVERSITAIRE 2008-2009

P2 – SESSION DE JANVIER NOM DE L’EPREUVE : BIOMATERIAUX COEFFICIENT : 2 (40 points) DUREE : 1 heure NOM DU CORRECTEUR (pour chaque question) : Dr Patrick EXBRAYAT NOMBRE DE POINTS ATTRIBUES (à chaque question) :

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN :

1) Tracer, commenter et expliquer la solidification d’un diagramme d’équilibre binaire correspondant à une solubilité mutuelle complète (s’appuyer sur un exemple précis de composition 80% A – 20 % B) (25 points)

2) Expliquer par un schéma l’oxydation à haute température des alliages Ni-Cr et son intérêt (10 points)

3) Citer les 3 principales contraintes du milieu buccal sur les biomatériaux (5 points)

FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON ANNEE UNIVERSITAIRE 2008-2009

P2 – SESSION DE JANVIER NOM DE L’EPREUVE : EMBRYOLOGIE DE LA TETE ET DU COU COEFFICIENT : 1 DUREE : 1 heure NOM DU CORRECTEUR (pour chaque question) : Pr J-C FARGES NOMBRE DE POINTS ATTRIBUES (à chaque question) :

NOM……………………………………………………………………………………………. PRENOM……………………………………………………………………………………….

Ce fascicule comprend 4 pages, y compris la page de garde. Veuillez le contrôler. Vos noms et prénoms seront inscrits uniquement sur la page de garde. Répondre impérativement dans l’espace aménagé à cet effet. Ne pas détacher les feuillets.

Ne rien inscrire dans ce cadre

Question 1 (5 points) : Légendez le schéma suivant montrant l’origine et la destination des cellules des crêtes neurales céphaliques (embryon humain au début du deuxième mois) (pas d’abréviations) :

Question 2 (5 points) : QCM : cochez les affirmations justes : 1) Le modelage de la face : (2 affirmations justes) Il a lieu entre la 8ème et la 10ème semaine. La face est formée par la fusion des 5 bourgeons faciaux primitifs : le bourgeon nasofrontal, les 2 bourgeons maxillaires et les 2 bourgeons mandibulaires. Ces bourgeons contiennent de nombreuses cellules des crêtes neurales céphaliques. Les bourgeons maxillaires sont à l’origine des mâchoires supérieures et du palais primaire. Le bourgeon naso-frontal forme le front, le nez, les tempes, une partie des lèvres supérieures et le palais secondaire. 2) Les éléments squelettiques du viscérocrâne : (2 affirmations justes) Ils dérivent des arcs pharyngés. Le 1er arc donne la mandibule et le maxillaire. Le 2ème arc possède un cartilage appelé cartilage de Meckel. Le 4ème arc participe à la formation de l’os hyoïde. Les 2 derniers arcs forment les cartilages du pharynx. 3) Avant leur migration, les CCNs : (2 affirmations justes) sont des cellules mésodermiques jointives et stationnaires. sont des cellules endodermiques jointives et stationnaires. sont des cellules ectodermiques jointives et stationnaires. sont situées à la jonction de l'endoderme dorsal et de la gouttière neurale. sont liées aux cellules voisines par de nombreuses jonctions intercellulaires. 4) Les crêtes neurales céphaliques donnent naissance aux : (3 affirmations justes) CNs trigéminées. CN rachidiennes. CNs facio-acoustiques. CNs glossopharyngo-vagales. CNs spinales.

5) Les CCNs trigéminées migrent : (3 affirmations justes) dans le deuxième arc pharyngé. dans le premier arc pharyngé. autour de l'ébauche du cerveau antérieur. vers les placodes otiques. vers les placodes olfactives. 6) Rôle des homéogènes divergents dans la localisation des sites de développement des dents et l'initiation de l'odontogenèse (3 affirmations justes). Les techniques d'hybridation in situ permettent de déterminer les sites de localisation des protéines. Le rôle des gènes dans le développement dentaire peut être déterminé in vivo suite à l'inactivation de gènes chez la souris. L'inactivation de certains gènes chez la souris entraîne l'absence de la totalité des dents (pas de dents visibles en bouche). L'inactivation de certains gènes chez la souris n'entraîne jamais l'arrêt du développement dentaire à un stade précoce. L'inactivation de certains gènes chez la souris entraîne l'apparition de dents surnuméraires. 7) Les gènes Msx (3 affirmations justes). Avant l'initiation du germe dentaire, Msx1 est exprimé par les cellules ectomésenchymateuses du premier arc branchial. L'expression de Msx1 dans l'ectomésenchyme s'amplifie au moment de la formation de la placode, puis devient faible dans les cellules qui se condensent sous le bourgeon. Msx1 est fortement exprimé dans les odontoblastes. Msx1 est fortement exprimé dans les zones de forte prolifération. Msx1 est considéré comme un facteur fortement impliqué dans l'expansion volumétrique des tissus qui l'expriment. Avant l'initiation du germe dentaire, Msx1 est exprimé par les cellules de l'ectoderme buccal. 8) Les gènes Msx : (1 affirmation juste) Des mutations du gène Pax9 provoquent généralement chez l’homme un phénotype identique à celui observé lorsque Msx1 est muté. Les mutations du gène Pax9 entraînent généralement l'absence de toutes les prémolaires. Les mutations du gène Pax9 entraînent essentiellement une absence de formation des molaires. L'absence d'incisives chez des familles présentant une mutation de Pax9 serait due à l'augmentation de l'expression de Msx1.

Le syndrome de Witkop, une dysplasie ectodermique caractérisée par des agénésies dentaires et une dysgénèse des ongles, est dû à une mutation non-sens du gène Pax9. 9) Les gènes Msx (1 affirmation juste). Msx2 n'est exprimé dans l'embryon que dans les bourgeons dentaires Au cours du développement des germes dentaires, Msx2 n'est exprimé que dans l'ectomésenchyme. Dans les bourgeons maxillaires et mandibulaires, Msx2 est d'abord exprimé dans l'ectoderme buccal. Dans les bourgeons maxillaires et mandibulaires, Msx2 est d'abord exprimé dans l'ectomésenchyme. Msx2 pourrait être impliqué dans le signal d'origine ectodermique qui est responsable de l'invagination épithéliale. 10) Les gènes Msx (3 affirmations justes). Les souris déficientes en Msx2 ont une agénésie dentaire complète. Les souris déficientes en Msx2 ont un nombre de dents normal. Les dents présentes montrent des anomalies de la morphogenèse cuspidienne. Les dents présentes montrent des défauts de la dentine. Les dents présentes montrent des défauts de l'émail.

A REDIGER SUR UNE COPIE D’EXAMEN

Question 3 (6 points) : Formation des palais primaire et secondaire. Question 4 (4 points) : Décrire l’expression des gènes Dlx1, Dlx2, Dlx5 et Dlx6 dans les bourgeons maxillaires et mandibulaires de souris et les conséquences de leur inactivation sur le développement dentaire.

FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON ANNEE UNIVERSITAIRE 2008-2009

P2 – SESSION DE JANVIER NOM DE L’EPREUVE : EMBRYOLOGIE DENTAIRE COEFFICIENT : 1 DUREE : 1 heure NOM DU CORRECTEUR (pour chaque question) : Pr J-C FARGES NOMBRE DE POINTS ATTRIBUES (à chaque question) :

NOM……………………………………………………………………………………………. PRENOM……………………………………………………………………………………….

Ce fascicule comprend 4 pages, y compris la page de garde. Veuillez le contrôler. Vos noms et prénoms seront inscrits uniquement sur la page de garde. Répondre impérativement dans l’espace aménagé à cet effet. Ne pas détacher les feuillets.

Question 1 (5 points) : Légendez la coupe histologique suivante d’un germe de première molaire de souris de 1 jour (pas d’abréviations) :

Question 2 (4,5 points) : Légendez le schéma suivant montrant les différents mécanismes de transport du calcium par les odontoblastes (pas d’abréviations) :

Question 3 (4 points) : QCM : cochez les affirmations justes : 1) Le stomodeum, l'odontogenèse (2 affirmations justes) Avant la rupture de la membrane bucco-pharyngée, le stomodeum est tapissé par du tissu endodermique. La cavité orale primitive est limitée par les 5 bourgeons faciaux : le bourgeon nasofrontal, les 2 bourgeons maxillaires et les 2 bourgeons mandibulaires. L’odontogenèse débute aux environs du 28ème jour de développement intra-utérin par la formation du mur saillant dans la région de l'incisive centrale inférieure temporaire. L’odontogenèse débute au moment de la rupture de la membrane bucco-nasale. L'odontogenèse débute lorsque l'embryon a une longueur de 4 centimètres. 2) Le stade du bourgeon (2 affirmations justes) L'invagination de la lame dentaire et du bourgeon dentaire dans l'ectomésenchyme est facilitée par des enzymes qui dégradent la matrice extracellulaire mésenchymateuse. Les noms de bourgeon, cupule et cloche reflètent la morphologie que prennent progressivement les germes dentaires en développement. Au stade du bourgeon, l’invagination épithéliale commence à acquérir une morphologie spécifique de chaque dent. L’ordre chronologique des stades de la phase de morphogenèse est : bourgeon-clochecupule. Le stade du bourgeon commence au début de la 10ème semaine pour l'incisive centrale inférieure temporaire. 3) Le stade de la cupule (3 affirmations justes) Au début de la 9ème semaine, la densité cellulaire augmente rapidement dans l'ectomésenchyme situé sous le bourgeon de l'incisive centrale inférieure temporaire. Cette augmentation provient d'un regroupement local de cellules ectomésenchymateuses. Cette augmentation ne provient pas d'une augmentation de la prolifération cellulaire. Au stade de la cupule, l'ectomésenchyme s'aplatit sur le bourgeon épithélial et l'entoure progressivement. Les extrémités de la cupule, appelées boucles cervicales, entourent progressivement la condensation ectomésenchymateuse sous-jacente. 4) Le noeud de l'émail (2 affirmations justes) Au stade de la cupule, des cellules basales et suprabasales de l'invagination épithéliale se mettent à proliférer pour former le nœud de l’émail. Le cordon de l’émail relie le nœud de l’émail primaire à l'extrémité de la boucle cervicale. Les cellules du nœud de l’émail synthétisent des molécules qui contrôlent la forme de la dent selon les modes autocrine et paracrine.

La formation des cuspides débute à la fin de la phase de morphogenèse. Le nœud et le cordon de l’émail disparaissent à la fin du stade de la cupule suite à de nombreuses apoptoses cellulaires. 5) Le germe dentaire et le follicule dentaire (3 affirmations justes) La papille ectomésenchymateuse dentaire donne naissance à la gaine d’Hertwig et au cément intermédiaire au moment de la formation de la racine. L’organe de l’émail est issu de la lame dentaire. Le follicule dentaire entoure le germe dentaire formé par la papille ectomésenchymateuse dentaire et l’organe de l’émail. Le follicule dentaire est responsable de la formation de la majeure partie du cément. La papille ectomésenchymateuse dentaire est responsable de la formation du ligament parodontal et de l'os alvéolaire. 6) Le stade de la cloche (2 affirmations justes) L'organe en cloche reste accroché à l'épithélium oral par la lame dentaire jusqu'à l'éruption de la dent. Les cellules de la lame dentaire vont disparaître par apoptose. Cette disparition a lieu dès le début du stade de la cloche. L'éruption dentaire n'est qu'un exemple parmi d'autres de franchissement naturel d'un épithélium dans l'organisme. L'éruption dentaire implique des enzymes protéolytiques qui vont dégrader l'ectomésenchyme séparant le germe de l'épithélium oral. 7) Innervation et vascularisation du germe dentaire (2 affirmations justes) Les fibres nerveuses qui innervent les bourgeons maxillaires et mandibulaires proviennent du nerf facial. Elles pénètrent dans la condensation ectomésenchymateuse dès la fin du stade du bourgeon. Au stade de la cupule, des vaisseaux sanguins provenant de l'artère alvéolaire pénètrent dans la papille ectomésenchymateuse. A ce stade, le follicule dentaire est très peu vascularisé. La vascularisation de la papille ectomésenchymateuse est plus précoce que son innervation. 8) Les germes des dents définitives (2 affirmations justes) Les prémolaires sont précédées de dents de lait. Les molaires définitives sont précédées de dents de lait. Les germes dentaires donnant naissance aux dents définitives résultent d'une invagination de l'ectomésenchyme dans l'ectoderme. Le germe dentaire de la dent définitive se forme en position vestibulaire par rapport au germe de la dent temporaire correspondante.

L'initiation de la troisième molaire définitive a lieu après la naissance. A REDIGER SUR UNE COPIE D’EXAMEN

Question 4 (3,5 points) : Différenciation morphologique de l’odontoblaste. Question 5 (3 points) : Formation de la gaine de Hertwig des dents pluriradiculées.

FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON ANNEE UNIVERSITAIRE 2008-2009

D1 – SESSION DE JANVIER NOM DE L’EPREUVE : EQUILIBRE FONCTIONNEL COEFFICIENT : 1 DUREE : 1h NOM DU CORRECTEUR (pour chaque question) : Dr Ch JEANNIN NOMBRE DE POINTS ATTRIBUES (à chaque question) :

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN : Question 1 : (13 points) Un patient en classe II (avec contacts dento-muqueux au niveau du secteur antérieur) consulte pour un examen. Décrivez les étapes depuis la prise des empreintes jusqu’à l’obtention des modèles en justifiant chaque réponse par rapport au risque d’erreur encouru. Question 2 : (7 points) Pour ce patient, décrivez l’installation du patient sur le fauteuil dans la perspective d’enregistrer une relation intermaxillaire. Justifiez votre réponse.

FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON ANNEE UNIVERSITAIRE 2008-2009

P2 – SESSION DE JANVIER NOM DE L’EPREUVE : Génétique et Histopathologie des anomalies dentaires COEFFICIENT : 1 DUREE : 1 heure

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN : Question 1 :

(Carrouel ; 10 points)

Expliquer les différentes étapes qui ont permis de mettre en évidence le rôle du gène Msx1 dans les agénésies dentaires. Question 2 :

(Carrouel ; 7,5 points)

Décrire les différents types de dentinogénèses imparfaites. Quels sont les gènes impliqués ? Comment expliquer que leurs mutations provoquent des dentinogénèses imparfaites ? Question 3 :

(Carrouel ; 2,5 points)

Vous souhaitez réaliser une réaction de PCR afin d’amplifier un gène. Quels sont les réactifs nécessaires ? Vous prélevez 20μL d’une solution initiale à 200mM. Après ajout des autres réactifs, le volume final total est de 100μL. Quelle est la concentration finale de cette solution ?

1 FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON ANNEE UNIVERSITAIRE 2008-2009

P2 – SESSION DE JANVIER NOM DE L’EPREUVE : HISTOLOGIE ET HISTOPATHOLOGIE DENTAIRE COEFFICIENT : 1 DUREE : 1 heure NOM DU CORRECTEUR (pour chaque question) : Pr J-C FARGES NOMBRE DE POINTS ATTRIBUES (à chaque question) :

NOM……………………………………………………………………………………………. PRENOM……………………………………………………………………………………….

Ce fascicule comprend 3 pages, y compris la page de garde. Veuillez le contrôler. Vos noms et prénoms seront inscrits uniquement sur la page de garde. Répondre impérativement dans l’espace aménagé à cet effet. Ne pas détacher les feuillets.

Ne rien inscrire dans ce cadre

2 Question 1 (4 points) : Légendez la coupe histologique suivante montrant la périphérie de la pulpe dentaire humaine à fort grossissement (pas d’abréviations) :

dentine tubuli prolongements barre terminale odontoblastes nerfs noyau pulpe

Ne rien inscrire dans ce cadre

3 Question 2 (6 points) : Légendez le schéma suivant montrant la dérivation du courant sanguin en cas d’inflammation aiguë d’une corne pulpaire (pas d’abréviations) :

A REDIGER SUR UNE COPIE D’EXAMEN Question 3 (5,5 points) : Structure histologique de la dentine circumpulpaire.

Question 4 (4,5 points) : Les caries de l’émail à évolution rapide.

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P2 – SESSION DE JANVIER NOM DE L’EPREUVE : immunologie générale et dentaire COEFFICIENT : 1 DUREE : 1h NOM DU CORRECTEUR (pour chaque question) : Dr B.Thivichon-Prince NOMBRE DE POINTS ATTRIBUES (à chaque question) :

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN :

- Structure des immunoglobulines (5points) -

Immunisation active et immunisation passive (15 points)

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P2 – SESSION DE JANVIER NOM DE L’EPREUVE : OCE COEFFICIENT : 1,5 DUREE : 1 h NOM DU CORRECTEUR (pour chaque question) : NOMBRE DE POINTS ATTRIBUES (à chaque question) :

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN :

REDIGER SUR DES COPIES SEPAREES NOM DU CORRECTEUR : Dr SEUX 1 - Les fraises diamantées : leurs différents rôles en Odontologie Conservatrice en fonction de la granulométrie et de la forme (10 POINTS). 2 - L’extension préventive : évolution de ce concept (5 POINTS).

NOM DU CORRECTEUR : Dr LUCCHINI 1. A quel cahier des charges devrait idéalement répondre un matériau de restauration coronaire ? (10 POINTS). 2. Quelles sont les actions induites par le mordançage amélo-dentinaire ? (5 POINTS).

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P2 – SESSION DE JANVIER NOM DE L’EPREUVE : PROTHESE COEFFICIENT : 1,5 DUREE : 1h 30 NOM DU CORRECTEUR (pour chaque question) : Dr VIGUIE NOMBRE DE POINTS ATTRIBUES (à chaque question) :

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN Question1: (15 points) Définissez et décrivez en détails les fonctions occlusales utilisées en Prothèse Partielle Amovible.

Question 2: (15 points) Enoncez sans les décrire les facteurs d’équilibre d’une PPAM

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P2 – SESSION DE JUIN NOM DE L’EPREUVE : Anatomie tête et cou COEFFICIENT : 2 DUREE : 1h30 NOM DU CORRECTEUR (pour chaque question) : Dr Toquet NOMBRE DE POINTS ATTRIBUES : 10 points

REDIGER SUR UNE COPIE :

1. Compléter le schéma suivant (2 points):

2. L’articulation temporo-mandibulaire : description des moyens d’union capsule et ligaments (4 points). 3. Description anatomique de la fosse ptérygoïde (4 points).

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P2 – SESSION DE JUIN NOM DE L’EPREUVE : ANATOMIE Tête et Cou COEFFICIENT : 2 DUREE : 1h30 NOM DU CORRECTEUR: Sophie VEYRE-GOULET

REPONDRE SUR LES FEUILLES IMPRIMEES Vérifier que ce document soit complet : 11 pages (avec les 4 schémas) QUESTION 1 : ( 7 points) Donner un Titre au schéma 1 :

Remplir les légendes du Schéma 1 :

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10

11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25

QUESTION 2 : ( 6 points) Donner un Titre au schéma 2 :

Remplir les légendes du Schéma 2 :

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18

19 20 21

QUESTION 3 : ( 6 points) Donner un Titre au schéma 3 :

Remplir les légendes du Schéma 3 :

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13

14 15 16 17 18 19 20 21

QUESTION 4 : ( 3 points) Le muscle digastrique : insertions d’origine et de terminaison, trajet, innervation et action :

QUESTION 5 : ( 5 points) Donner un Titre au schéma 4 :

Remplir les légendes du schéma 4 :

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18

QUESTION 6 : ( 3 points) Le muscle temporal : insertions d’origine et de terminaison, trajet, innervation et action :

SCHEMA 1 1 2 3 24 23

4

22

25

21 20 19 18 17

5 6

16

7

15

8 9

14 13 12 11

10 10

SCHEMA 2

1

2

3

21

4 5

20

6 7 15

19

8 9

18

10

17

11 12

16 13 14

SCHEMA 3

20

21

1

19

6

18 2 17 16

3

15 14

4

13 12 11

5

10

6

9

8

7

SCHEMA 4

16

18

17

15 14

1 13

2 3 4 5

6 7 8 9 10 12 11

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P2 – SESSION DE JUIN NOM DE L’EPREUVE : BIOPHYSIQUE COEFFICIENT : 0,5 DUREE : ½ heure NOM DU CORRECTEUR (pour chaque question) : Roland ITTI NOMBRE DE POINTS ATTRIBUES (à chaque question) : 5

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN : Question 1 : Les examens d’imagerie médicale ne sont pas toujours sans risque : ils s’accompagnent parfois d’effets indésirables ou « iatrogènes ». Pouvez-vous citer des exemples de ces risques (5 au maximum) en donnant chaque fois la modalité d’imagerie concernée ?

Question 2 : Les imageries « en coupes » : quelles sont les modalités d’imagerie tomographiques et parmi celles-ci lesquelles exigent un traitement informatique pour la reconstruction de ces coupes ?

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P2 – SESSION DE JUIN NOM DE L’EPREUVE : HISTOLOGIE GENERALE COEFFICIENT : 1 DUREE : 1 h NOM DU CORRECTEUR (pour chaque question) : NOMBRE DE POINTS ATTRIBUES (à chaque question) :

ATTENTION : 2 COPIES SEPAREES

Question 1 notée sur 6 points (N. Auvergnon) La paroi gastrique. Question 2 notée sur 6 points (N. Auvergnon) Les particularités des neurones. Question 3 notée sur 8 points (Pr J. Trouillas) L’hypophyse (schéma).

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P2 – SESSION DE JUIN NOM DE L’EPREUVE : imagerie médicale COEFFICIENT : 1 DUREE : 1 heure NOM DU CORRECTEUR (pour chaque question) : Thomas Fortin NOMBRE DE POINTS ATTRIBUES (à chaque question) : 20

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN :

Quelles sont les différences entre le scanner X et la tomographie à faisceau conique ? Citer quelques indications.

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P2 – SESSION DE JUIN NOM DE L’EPREUVE : Physiologie Générale COEFFICIENT : 1.5 DUREE : 1 h 30 Pr ROBIN – 20 POINTS

COCHER SUR LA GRILLE DE REPONSE LA LETTRE (A – B – C OU D) CORRESPONDANT A LA PROPOSITION CORRECTE 1 - Les astrocytes sont : A – les cellules gliales les plus nombreuses du système nerveux central B – responsables de la myélinisation des axones du système nerveux central C – les 2 propositions A et B sont vraies D – les 2 propositions A et B sont fausses 2 – Les axones du système nerveux central : A - sont incapables de régénération après section B - du fait d’une action inhibitrice de facteurs de croissance C - les 2 propositions A et B sont vraies D - les 2 propositions A et B sont fausses 3 - Le potentiel d’équilibre de l’ion K+ : A – est proche du potentiel de membrane de repos du neurone B – évolue au cours du potentiel d’action C – les 2 propositions A et B sont vraies D – les 2 propositions A et B sont fausses 4 - Les mouvements ioniques à l’origine du potentiel d’action impliquent : A – une augmentation initiale rapide de la conductance potassique B – une diminution simultanée de la conductance sodique C – les 2 propositions A et B sont vraies D – les 2 propositions A et B sont fausses 5 – La période réfractaire absolue : A - concerne la phase descendante du potentiel d’action (PA) B - permet de limiter la fréquence d’émission des PA à environ 100/s C - les 2 propositions A et B sont vraies D - les 2 propositions A et B sont fausses 6 - Les récepteurs au glutamate de type NMDA : A – s’activent secondairement à une dépolarisation du neurone B – sont impliqués dans la sensibilisation des neurones nociceptifs C – les 2 propositions A et B sont vraies D – les 2 propositions A et B sont fausses 7 - Les récepteurs-canaux (ionotropiques) : A – permettent une réponse biologique rapide (0,5ms) B – déclenchent l’ouverture ou la fermeture des canaux ioniques C – les 2 propositions A et B sont vraies D – les 2 propositions A et B sont fausses 8 - Le potentiel post-synaptique excitateur (PPSE) : A – s’obtient par sortie de K+ de la cellule post-synaptique B – a une amplitude maximale de 20 mV C – les 2 propositions A et B sont vraies D – les 2 propositions A et B sont fausses

1   

9 – L’inhibition de la recapture de la sérotonine est recherchée dans le traitement de : A - la dépression nerveuse B - la maladie de Parkinson C - les 2 propositions A et B sont vraies D - les 2 propositions A et B sont fausses 10 - La voie mésolimbique A – est sérotoninergique B – prend naissance dans le locus coeruleus C – les 2 propositions A et B sont vraies D – les 2 propositions A et B sont fausses 11 - Les benzodiazépines : A – ont un effet anxiolytique B – en bloquant le fonctionnement des récepteurs gabaergiques C – les 2 propositions A et B sont vraies D – les 2 propositions A et B sont fausses 12 - Les récepteurs suivants sont à adaptation rapide : A – fuseaux neuromusculaires B – corpuscules de Pacini C – les 2 propositions A et B sont vraies D – les 2 propositions A et B sont fausses 13 - Le diencéphale comprend : A – les noyaux gris centraux B – le thalamus C – les 2 propositions A et B sont vraies D – les 2 propositions A et B sont fausses 14 - Les aires corticales préfrontales sont : A – à l’origine des voies motrices B – impliquées dans les processus émotionnels C – les 2 propositions A et B sont vraies D – les 2 propositions A et B sont fausses 15 – Le thalamus se situe autour du : A – 3° ventricule B – 4° ventricule C – les 2 propositions A et B sont vraies D – les 2 propositions A et B sont fausses 16 – L’hippocampe est plus spécifiquement impliqué dans : A – l’émotion de peur B – la mémoire antérograde C – les 2 propositions A et B sont vraies D – les 2 propositions A et B sont fausses 17 – Le cortex cingulaire est une structure appartenant : A – aux noyaux gris centraux B – à l’hypothalamus C – les 2 propositions A et B sont vraies D – les 2 propositions A et B sont fausses 18 – La formation réticulée régule : A – les niveaux de vigilance B – le tonus des muscles posturaux C – les 2 propositions A et B sont vraies D – les 2 propositions A et B sont fausses

2   

19 - Les pyramides bulbaires contiennent : A – les fibres du tact épicritique B – les fibres du tact protopathique C – les 2 propositions A et B sont vraies D – les 2 propositions A et B sont fausses 20 - Les faisceaux sensitifs des colonnes dorsales de la moelle transmettent : A – la sensibilité tactile épicritique B – la sensibilité proprioceptive consciente C – les 2 propositions A et B sont vraies D – les 2 propositions A et B sont fausses 21 – Les voies spino-cérébelleuses sont les voies : A - de la proprioception consciente B - du tact protopathique C - les 2 propositions A et B sont vraies D - les 2 propositions A et B sont fausses 22 - Le faisceau spino-thalamique transmet : A – le tact épicritique B – le tact protopathique C – les 2 propositions A et B sont vraies D – les 2 propositions A et B sont fausses 23 - Les motoneurones gamma innervent : A – les fibres extrafusales B – les fibres intrafusales C – les 2 propositions A et B sont vraies D – les 2 propositions A et B sont fausses 24 – Les terminaisons primaires (annulospirales) des fuseaux neuromusculaires sont : A - connectées à des fibres A alpha B - à l’origine du réflexe myotatique inverse C - les 2 propositions A et B sont vraies D - les 2 propositions A et B sont fausses 25 – La fonction antigravitaire est contrôlée par le système moteur : A – extrapyramidal B – pyramidal C – les 2 propositions A et B sont vraies D – les 2 propositions A et B sont fausses 26 - La rigidité de décérébration : A – démontre l’influence inhibitrice des noyaux gris centraux sur le tonus musculaire B – est obtenue par une ablation des lobes préfrontaux C – les 2 propositions A et B sont vraies D – les 2 propositions A et B sont fausses 27 – La proportion de fibres motrices cortico-spinales qui croisent la ligne médiane est de : A – 10% B – 90% C - les 2 propositions A et B sont vraies D - les 2 propositions A et B sont fausses 28 – La zone intermédiaire des hémisphères cérébelleux est impliquée dans : A - le contrôle des muscles posturaux B - la coordination des mouvements rapides C - les 2 propositions A et B sont vraies D - les 2 propositions A et B sont fausses

3   

29 – Les effecteurs suivants ont une innervation uniquement orthosympathique : A - glandes sudorales B - glandes salivaires C - les 2 propositions A et B sont vraies D - les 2 propositions A et B sont fausses 30 - La mise en jeu du système nerveux orthosympathique : A – permet la reconstitution des réserves énergétiques de l’organisme B – favorise une hyperglycémie C – les 2 propositions A et B sont vraies D – les 2 propositions A et B sont fausses

A REDIGER SUR UNE COPIE Pr BENZONI – 10 POINTS

Décrire, dans un ordre logique et en justifiant votre réponse, les examens que vous seriez tentés de mettre en œuvre pour confirmer l’existence d’une hypothyroïdie et en préciser l’origine.

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P2 – SESSION DE JUIN NOM DE L’EPREUVE : Physiologie Oro-Faciale COEFFICIENT : 1.5 DUREE : 1 h 30 NOM DU CORRECTEUR (pour chaque question) : Pr O. ROBIN NOMBRE DE POINTS ATTRIBUES : 30 POINTS POUR L’ENSEMBLE DES QUESTIONS COCHER SUR LA GRILLE DE REPONSE LA LETTRE (A – B – C OU D) CORRESPONDANT A LA PROPOSITION CORRECTE 1 – Le noyau du faisceau solitaire reçoit des afférences : A – des V, IX et X B – des VII, IX et X C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 2 – Les neurones thermoalgésiques issus de la cavité buccale se projettent majoritairement au niveau : A – du noyau principal du noyau sensitif trigéminal B – du noyau spinal du noyau sensitif trigéminal C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 3 - Le nerf lingual contient des fibres somesthésiques innervant : A – le 1/3 postérieur de la muqueuse linguale B – les 2/3 antérieurs de la muqueuse linguale C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 4 – Le X participe à l’innervation : A – motrice du voile du palais B – sensitive du voile du palais C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 5 – La sécrétion salivaire d’origine masticatrice est assurée principalement par : A – les glandes submandibulaires B – les glandes parotides C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 6 – La concentration de la salive en sodium : A – est plus élevée dans la salive finale que dans la salive primaire B – augmente dans la salive finale lorsque le débit salivaire augmente C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 7 – L’hypotonicité de la salive finale varie en fonction : A – du pH salivaire B – du débit salivaire C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 8 – La formation de la salive finale fait intervenir, au niveau des canaux striés, une réabsorption: A – d’ions potassium B – d’ions bicarbonates C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses

1

9 – Les influx parasympathiques provoquent la sécrétion d’une salive : A – aqueuse et fluide B – pauvre en mucines C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 10 – La xérostomie correspond à une : A – hypersalivation réflexe B – asialie C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 11 – Chez l’homme, les bourgeons du goût : A – atteignent leur distribution définitive vers 16 ans B – sont au nombre de 50 000 environ C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 12 – Les papilles fongiformes sont principalement situées au niveau: A – des 2/3 antérieurs de la langue B – du V lingual C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 13 - Le premier relais des afférences gustatives primaires s’effectue au niveau : A – du noyau du faisceau solitaire B – du noyau ambigu C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 14 – Les aires corticales gustatives primaires correspondent principalement aux régions de : A – l’insula B – de l’opercule frontal C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 15 – Les connexions nerveuses à l’origine des réflexes gusto-salivaires s’établissent au niveau : A – du noyau du faisceau solitaire B – du noyau gustatif pontique C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 16 – La transduction de la saveur amère peut s’effectuer par : A – un blocage des canaux sodiques B – l’activation de la phospholipase C C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 17 – La spécificité des cellules gustatives vis à vis des 4 saveurs fondamentales est : A – absolue B - relative C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 18 - La fin du temps buccal de la déglutition est marquée par : A – l’élévation passive du voile du palais B – le relâchement des piliers antérieurs C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses

2

19 – Au cours de la déglutition, la fermeture des voies aériennes inférieures s’obtient par l’élévation : A – du complexe pharyngo-laryngé B – de l’épiglotte C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 20 – Le déclenchement de l’onde péristaltique pharyngée : A – est volontaire B – nécessite l’abaissement du voile du palais C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 21 – La durée moyenne des pressions linguales rétroincisives liées à la déglutition est de l’ordre de : A – 4 heures par 24 heures B – 40 minutes par 24 heures C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 22 – Les principales différences entre la déglutition mature et la déglutition infantile concernent le temps : A – oesophagien B - pharyngien C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 23 – Les principales caractéristiques de la déglutition atypique sont : A – une forte activité de la musculature faciale B – l’interposition linguale entre les arcades dentaires C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 24 - Les fibres nociceptives C : A – sont polymodales B – ont une vitesse de conduction comprise inférieure à 2 m/s C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 25 – L’inflammation neurogène : A – résulte d’une sensibilisation des fibres C B – provoque une libération de prostaglandines par les fibres C C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 26 – Le(s) sous-noyau(x) du noyau sensitif trigéminal principalement impliqué(s) dans la nociception est (sont) : A – le sous-noyau oral B – le sous-noyau interpolaire C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 27 – La sensibilisation nociceptive centrale résulte de l’activation des récepteurs NMDA par : A – le glutamate B – la kétamine C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 28 - Les neurones nociceptifs spécifiques sont : A – surtout localisés au niveau des couches I et II du sous-noyau caudal B – à l’origine des douleurs référées C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses

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29 – Les projections des voies de la douleur sur le cortex préfrontal participent au traitement : A – cognitif des messages douloureux B – émotionnel des messages douloureux C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 30 - Le contrôle suprasegmentaire de la douleur met en jeu une voie : A – noradrénergique B – sérotoninergique C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 31 – Les fibres nerveuses pulpaires se terminent majoritairement : A – sous la couche odontoblastique B – à l’intérieur des canalicules dentinaires C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 32 – La stimulation du ganglion cervical supérieur provoque : A – une vasoconstriction pulpaire B – une vasodilatation pulpaire C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 33 - L’excitation des fibres A delta pulpaires se fait essentiellement par : A – des stimulations mécaniques B – des médiateurs chimiques pro-inflammatoires C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 34 – L’hypersensibilité dentinaire : A – se traduit par des douleurs dentinaires spontanées B – résulte d’une inflammation pulpaire chronique C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 35 – Le(s) facteur(s) d’incertitude concernant la théorie odontoblastique de la sensibilité dentinaire est (sont) : A – l’extension du prolongement odontoblastique dans les canalicules B – la rapidité de déplacement du fluide C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 36 - Les extérocepteurs parodontaux : A – sont à l’origine de sensations conscientes B – ont un seuil d’activation élevé C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 37 - Les principaux mécanorécepteurs desmodontaux sont de type : A – Golgi B – Ruffini C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 38 – Le réflexe d’ouverture de la gueule décrit chez le chat peut être déclenché par : A – la percussion des dents B – une stimulation nociceptive au niveau de la région buccale C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses

4

39 – Les incisives et les molaires se différencient par leurs valeurs de seuil : A – actif B – passif C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 40 - Le réflexe myotatique trigéminal est : A – polysynaptique B - homolatéral C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 41 - Les facteurs suivants s’opposent, de façon passive, à l’effet de la pesanteur sur la posture mandibulaire : A – l’élasticité musculaire B – le tonus musculaire C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 42 – La position de repos mandibulaire est contrôlée par des influences suprasegmentaires issues : A – de la formation réticulée B – du cervelet C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 43 - L’espace libre d’inocclusion diminue : A – sous l’effet du stress B – lors d’une flexion de la tête C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 44 – Au cours de la mastication, les contacts dentaires : A – s’établissent systématiquement à la fin de chaque cycle masticateur B – s’effectuent en occlusion d’intercuspidation maximale C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 45 - 80% des sujets ont une mastication : A – unilatérale B – bilatérale alternée C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 46 – Le nombre moyen de cycles masticateurs constituant une séquence masticatrice est de l’ordre de : A – 15 à 40 B – 45 à 100 C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 47 – Le centre générateur de la mastication est localisé au sein : A – des noyaux gris centraux B – du tronc cérébral C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 48 - La théorie Thégosis du bruxisme fait intervenir : A - les structures nerveuses télencéphaliques B - le système limbique C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses

5

49 - Le sigmatisme interdental : A - est souvent associé à une position de langue trop antérieure B - peut s’associer à des erreurs d’articulation inaudibles C - les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 50 - Lors de l’articulation des consonnes : A - la langue appuie sur la face linguale des incisives, pour les consonnes t et d B - la langue passe entre les incisives supérieures et inférieures pour les consonnes s et z C - les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses

6

FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON ANNEE UNIVERSITAIRE 2008-2009

P2 – SESSION DE JUIN NOM DE L’EPREUVE : PROTHESES COEFFICIENT : 0,5 DUREE : ½ H NOM DU CORRECTEUR : Docteur VIENNOT NOMBRE DE POINTS ATTRIBUES : 10 points

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN :

Les différents niveaux des limites cervicales en Prothèse fixée : définitions et indications.

Ne rien écrire ici

P2 ANATOMIE DENTAIRE Session de Septembre 2008-2009 Coef : 1 Durée : 1 h Nom du correcteur : Dr KAPRIELIAN

Nom :

Prénom :

Ne rien écrire ici

Ci-dessous vous sont présentés 2 schémas représentant chacun une face dentaire. Vous avez dans un premier temps à intituler (dénomination de la dent et de la face) et orienter les schémas ci-dessous que vous joindrez à votre copie. Puis, sur une copie, vous devrez les décrire en mettant l’accent sur les points caractéristiques de chacune des faces qui vous est proposée. Schéma 1

Schéma 2

FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON ANNEE UNIVERSITAIRE 2008-2009

P2 – SESSION DE SEPTEMBRE NOM DE L’EPREUVE : Anatomie tête et cou COEFFICIENT : 2 DUREE : 1H30 NOM DU CORRECTEUR (pour chaque question) : Dr Toquet NOMBRE DE POINTS ATTRIBUES : 10 points

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN :

1. Compléter le schéma suivant (2 points):

2. Quels sont les rapports anatomiques de l’articulation temporo-mandibulaire (4 points). 3. Description anatomique de la fosse ptérygoïde (4 points).

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P2 – SESSION DE SEPTEMBRE NOM DE L’EPREUVE : ANATOMIE Tête et Cou COEFFICIENT : 2 DUREE : 1h30 NOM DU CORRECTEUR: Sophie VEYRE-GOULET

REPONDRE SUR LES FEUILLES IMPRIMEES Vérifier que ce document soit complet : 7 pages QUESTION 1 : (6 points) Donner un Titre au schéma 1 :

Remplir les légendes du Schéma 1 :

1 2 3 4 5 6 7 8 9

1

10 11 12 13 14 15 16 17 18

QUESTION 2 : ( 10 points) Donner un Titre au schéma 2 :

Remplir les légendes du Schéma 2 :

1 2 3 4 5 6 7 8 9

2

10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28

3

QUESTION 3 : (4 points) Le muscle mylohyoïdien : insertions d’origine et de terminaison, trajet, innervation et action :

QUESTION 4 : ( 4 points) Citer les branches terminales de l’artère carotide externe :

Citer les branches collatérales de l’artère carotide externe :

4

QUESTION 5 : ( 6 points) Citer les branches du tronc antérieur du Nerf mandibulaire (V3) :

Citer les branches du tronc postérieur du Nerf mandibulaire (V3) :

5

SCHEMA 1

1 18

17

2 3

16

15

4 5 6

14

7

13

12

11

10

9

8

6

SCHEMA 2

28 27 26

25 24 23 22 21 20 19 18 1 17

2

16

3

15

4 6

14 13

12

5

7 11

10

9

8

7

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P2 – SESSION DE SEPTEMBRE NOM DE L’EPREUVE : BIOCHIMIE COEFFICIENT : 1,5 DUREE : 1H

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN : REPONDRE SUR 2 COPIES SEPAREES CORRECTEUR : F. CARROUEL Question 1

(6 points)

Donnez un exemple de l’importance des intégrines dans le contact focal.

Question 2

(4 points)

A l’aide d’un schéma, décrire la structure des MMPs. Quelles sont les fonctions des MMPs ?

CORRECTEUR : H. MAGLOIRE Question 1

(10 points)

Synthèse intracellulaire du pro-collagène : modifications post-traductionnelles

Question 2

(5 points)

Schéma d’une microfibrille de collagène

Question 3

(5 points)

Citez les différents types de collagène

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P2 – SESSION DE SEPTEMBRE NOM DE L’EPREUVE : BIOMATERIAUX COEFFICIENT : 2 (40 points) DUREE : 1 heure

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN :

Question n°1 : Docteur Patrick EXBRAYAT

(20 points)

Tracer et légender la courbe de traction typique d’un alliage dentaire Ni-Cr

Question n°2 : Docteur Nicolas KAPRIELIAN Définir la résine dentaire prothétique idéale

Les questions sont à rédiger sur des feuilles séparées

(20 points)

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P2 – SESSION DE SEPTEMBRE NOM DE L’EPREUVE : BIOPHYSIQUE COEFFICIENT : 0,5 DUREE :1/2 heure NOM DU CORRECTEUR (pour chaque question) : Roland ITTI NOMBRE DE POINTS ATTRIBUES (à chaque question) : 5

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN :

Question 1 : Imagerie numérisée : quels sont les avantages de l’imagerie numérisée par rapport à l’imagerie analogique ?

Question 2 : Radiobiologie : illustrez par deux exemples simples les différences entre les effets cliniques provoqués par la mort cellulaire, d’une part, et par la mutation cellulaire radio-induite, d’autre part.

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P2 – SESSION DE SEPTEMBRE NOM DE L’EPREUVE : EMBRYOLOGIE DE LA TETE ET DU COU COEFFICIENT : 1 DUREE : 1 heure NOM DU CORRECTEUR (pour chaque question) : Pr J-C FARGES NOMBRE DE POINTS ATTRIBUES (à chaque question) :

NOM……………………………………………………………………………………………. PRENOM……………………………………………………………………………………….

Ce fascicule comprend 4 pages, y compris la page de garde. Veuillez le contrôler. Vos noms et prénoms seront inscrits uniquement sur la page de garde. Répondre impérativement dans l’espace aménagé à cet effet. Ne pas détacher les feuillets.

Ne rien inscrire dans ce cadre

2 Question 1 (5 points) : Légendez le schéma suivant montrant l’origine et la destination des cellules des crêtes neurales céphaliques (embryon humain au début du deuxième mois) (pas d’abréviations) :

Ectoderme

Bourgeo

Question 2 (5 points) : QCM : cochez les affirmations justes : 1) Le modelage de la face : (2 affirmations justes) Il a lieu entre la 8ème et la 10ème semaine. La face est formée par la fusion des 5 bourgeons faciaux primitifs : le bourgeon nasofrontal, les 2 bourgeons maxillaires et les 2 bourgeons mandibulaires. Ces bourgeons contiennent de nombreuses cellules des crêtes neurales céphaliques. Les bourgeons maxillaires sont à l’origine des mâchoires supérieures et du palais primaire. Le bourgeon naso-frontal forme le front, le nez, les tempes, une partie des lèvres supérieures et le palais secondaire. 2) Les éléments squelettiques du viscérocrâne : (2 affirmations justes) Ils dérivent des arcs pharyngés. Le 1er arc donne la mandibule et le maxillaire. Le 2ème arc possède un cartilage appelé cartilage de Meckel. Le 4ème arc participe à la formation de l’os hyoïde. Les 2 derniers arcs forment les cartilages du pharynx.

3 3) Avant leur migration, les CCNs : (2 affirmations justes) sont des cellules mésodermiques jointives et stationnaires. sont des cellules endodermiques jointives et stationnaires. sont des cellules ectodermiques jointives et stationnaires. sont situées à la jonction de l'endoderme dorsal et de la gouttière neurale. sont liées aux cellules voisines par de nombreuses jonctions intercellulaires. 4) Les crêtes neurales céphaliques donnent naissance aux : (3 affirmations justes) CNs trigéminées. CN rachidiennes. CNs facio-acoustiques. CNs glossopharyngo-vagales. CNs spinales. 5) Les CCNs trigéminées migrent : (3 affirmations justes) dans le deuxième arc pharyngé. dans le premier arc pharyngé. autour de l'ébauche du cerveau antérieur. vers les placodes otiques. vers les placodes olfactives. 6) Rôle des homéogènes divergents dans la localisation des sites de développement des dents et l'initiation de l'odontogenèse (3 affirmations justes). Les techniques d'hybridation in situ permettent de déterminer les sites de localisation des protéines. Le rôle des gènes dans le développement dentaire peut être déterminé in vivo suite à l'inactivation de gènes chez la souris. L'inactivation de certains gènes chez la souris entraîne l'absence de la totalité des dents (pas de dents visibles en bouche). L'inactivation de certains gènes chez la souris n'entraîne jamais l'arrêt du développement dentaire à un stade précoce. L'inactivation de certains gènes chez la souris entraîne l'apparition de dents surnuméraires. 7) Les gènes Msx (3 affirmations justes). Avant l'initiation du germe dentaire, Msx1 est exprimé par les cellules ectomésenchymateuses du premier arc branchial. L'expression de Msx1 dans l'ectomésenchyme s'amplifie au moment de la formation de la placode, puis devient faible dans les cellules qui se condensent sous le bourgeon. Msx1 est fortement exprimé dans les odontoblastes. Msx1 est fortement exprimé dans les zones de forte prolifération. Msx1 est considéré comme un facteur fortement impliqué dans l'expansion volumétrique des tissus qui l'expriment.

4 Avant l'initiation du germe dentaire, Msx1 est exprimé par les cellules de l'ectoderme buccal. 8) Les gènes Msx : (1 affirmation juste) Des mutations du gène Pax9 provoquent généralement chez l’homme un phénotype identique à celui observé lorsque Msx1 est muté. Les mutations du gène Pax9 entraînent généralement l'absence de toutes les prémolaires. Les mutations du gène Pax9 entraînent essentiellement une absence de formation des molaires. L'absence d'incisives chez des familles présentant une mutation de Pax9 serait due à l'augmentation de l'expression de Msx1. Le syndrome de Witkop, une dysplasie ectodermique caractérisée par des agénésies dentaires et une dysgénèse des ongles, est dû à une mutation non-sens du gène Pax9. 9) Les gènes Msx (1 affirmation juste). Msx2 n'est exprimé dans l'embryon que dans les bourgeons dentaires Au cours du développement des germes dentaires, Msx2 n'est exprimé que dans l'ectomésenchyme. Dans les bourgeons maxillaires et mandibulaires, Msx2 est d'abord exprimé dans l'ectoderme buccal. Dans les bourgeons maxillaires et mandibulaires, Msx2 est d'abord exprimé dans l'ectomésenchyme. Msx2 pourrait être impliqué dans le signal d'origine ectodermique qui est responsable de l'invagination épithéliale. 10) Les gènes Msx (3 affirmations justes). Les souris déficientes en Msx2 ont une agénésie dentaire complète. Les souris déficientes en Msx2 ont un nombre de dents normal. Les dents présentes montrent des anomalies de la morphogenèse cuspidienne. Les dents présentes montrent des défauts de la dentine. Les dents présentes montrent des défauts de l'émail.

A REDIGER SUR UNE COPIE D’EXAMEN

Question 3 (6 points) : Formation des palais primaire et secondaire. Question 4 (4 points) : Citer 4 types cellulaires qui se différencient à partir des cellules des crêtes neurales céphaliques.

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P2 – SESSION DE SEPTEMBRE NOM DE L’EPREUVE : EMBRYOLOGIE DENTAIRE COEFFICIENT : 1 DUREE : 1 heure NOM DU CORRECTEUR (pour chaque question) : Pr J-C FARGES NOMBRE DE POINTS ATTRIBUES (à chaque question) :

NOM……………………………………………………………………………………………. PRENOM……………………………………………………………………………………….

Ce fascicule comprend 4 pages, y compris la page de garde. Veuillez le contrôler. Vos noms et prénoms seront inscrits uniquement sur la page de garde. Répondre impérativement dans l’espace aménagé à cet effet. Ne pas détacher les feuillets.

Ne rien inscrire dans ce cadre

2 Question 1 (7 points) : Légendez la coupe histologique suivante d’un germe de première molaire inférieure de rat au 19ème jour de développement intra-utérin (pas d’abréviations) :

Ectoderme

Lame

Cavité

Reticul um

Langu

Os alvéol Vaiss eau

Cartila ge

Question 2 (4,5 points) : Légendez le schéma suivant montrant le début de la synthèse de matrice dentinaire par les odontoblastes (pas d’abréviations) :

Epithélium dentaire

Sécrétion de Couche odontoblas

3 Question 3 (4 points) : QCM : cochez les affirmations justes : 1) Le stomodeum, l'odontogenèse (2 affirmations justes) Avant la rupture de la membrane bucco-pharyngée, le stomodeum est tapissé par du tissu endodermique. La cavité orale primitive est limitée par les 5 bourgeons faciaux : le bourgeon nasofrontal, les 2 bourgeons maxillaires et les 2 bourgeons mandibulaires. L’odontogenèse débute aux environs du 28ème jour de développement intra-utérin par la formation du mur saillant dans la région de l'incisive centrale inférieure temporaire. L’odontogenèse débute au moment de la rupture de la membrane bucco-nasale. L'odontogenèse débute lorsque l'embryon a une longueur de 4 centimètres. 2) La phase de cytodifférenciation (3 affirmations justes) La dentine est formée par les cellules périphériques de la papille ectomésenchymateuse. L'émail est formé par les cellules de l'épithélium dentaire externe. Les cellules qui forment l'émail sont les odontoblastes. Les cellules qui forment la dentine sont les odontoblastes. Le dépôt de la dentine commence avant celui de l'émail. 3) La différenciation odontoblastique (2 affirmations justes) Les cellules périphériques de la papille ectomésenchymateuse se trouvant près de la membrane basale commencent à proliférer pour s’accrocher aux fibrilles d’ancrage de la membrane basale. Les organites des pré-odontoblastes sont répartis de manière uniforme dans la cellule. Lors de la polarisation odontoblastique, le noyau se rapproche de la membrane basale. Dans le cytoplasme odontoblastique, le reticulum endoplasmique est orienté perpendiculairement au grand axe de la cellule. L’odontoblaste émet un prolongement au contact des fibrilles d’ancrage, ce prolongement peut se ramifier pour donner une ou plusieurs branches principales. 4) La différenciation odontoblastique (3 affirmations justes) Le prolongement odontoblastique émet de nombreuses ramifications secondaires. Il contient de nombreux organites de synthèse. Ces organites sont situés près de l'extrémité du prolongement, à distance du corps cellulaire. Il contient de nombreux éléments du cytosquelette. Il contient des vésicules de sécrétion renfermant des composants de la matrice dentinaire. 5) La différenciation odontoblastique (3 affirmations justes) Au cours de la différenciation odontoblastique, une zone de jonction intercellulaire apparaît. Cette zone de jonction permet la formation de la couche odontoblastique et assure sa cohésion.

4 Elle sépare le compartiment extracellulaire prédentinaire du compartiment extracellulaire sous-améloblastique. Elle est parfaitement étanche et ne laisse pas passer d'éléments de la matrice extracellulaire. Elle laisse passer des fibres collagéniques de diamètre important. 6) La différenciation améloblastique (2 affirmations justes) Le stade d'histodifférenciation précède le stade de sécrétion. Le stade de transition précède le stade de sécrétion. Le stade de transition précède le stade de maturation. Le stade de transition succède au stade de maturation. Le stade de sécrétion succède au stade de maturation. 7) La différenciation améloblastique (3 affirmations justes) est caractérisée par l'arrêt de la prolifération cellulaire. est caractérisée par le raccourcissement de la cellule pré-améloblastique. est caractérisée par l'allongement de la cellule pré-améloblastique. est caractérisée par une inversion de polarité de la cellule. Le noyau migre en direction de la membrane basale. 8) La différenciation améloblastique (2 affirmations justes) La première couche d'émail déposée par l'améloblaste sécréteur est appelée émail aprismatique externe. La première couche d'émail déposée par l'améloblaste sécréteur est appelée émail prismatique. La première couche d'émail déposée par l'améloblaste sécréteur est appelée émail aprismatique interne. Elle est déposée au contact de la dentine et établit la jonction amélo-dentinaire. La différenciation améloblastique s'accompagne de la formation d'un prolongement de forme conique qui s'allonge très fortement au fur et à mesure du recul de l'améloblaste.

A REDIGER SUR UNE COPIE D’EXAMEN

Question 4 (3 points) : Minéralisation du manteau dentinaire.

Question 5 (1,5 points) : Citer les 3 évolutions possibles des cellules épithéliales de la gaine de Hertwig.

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P2 – SESSION DE SEPTEMBRE NOM DE L’EPREUVE : Génétique et Histopathologie des anomalies dentaires COEFFICIENT : 1 DUREE : 1 heure

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN :

Question 1 :

(Carrouel ; 10 points)

Expliquer les différentes étapes qui ont permis de mettre en évidence le rôle de l’amélogénine dans l’amélogénèse imparfaite liée à l’X. Question 2 :

(Carrouel ; 7,5 points)

Décrire en vous appuyant d’un schéma la technique qui permet de localiser le locus d’un gène impliqué dans une maladie. Question 3 :

(Carrouel ; 2,5 points)

Vous souhaitez réaliser une digestion enzymatique. Quels sont les réactifs nécessaires ? Vous préparez 20mL de gel d’agarose à 5%. Quelle masse d’agarose devez-vous peser ? Quel est le nom du tampon dans lequel vous ajoutez l’agarose ? Que doit-on ajouter au gel pour visualiser les doubles brins d’ADN sous UV ?

1 FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON ANNEE UNIVERSITAIRE 2008-2009

P2 – SESSION DE SEPTEMBRE NOM DE L’EPREUVE : HISTOLOGIE ET HISTOPATHOLOGIE DENTAIRE COEFFICIENT : 1 DUREE : 1 heure NOM DU CORRECTEUR (pour chaque question) : Pr J-C FARGES NOMBRE DE POINTS ATTRIBUES (à chaque question) :

NOM……………………………………………………………………………………………. PRENOM……………………………………………………………………………………….

Ce fascicule comprend 3 pages, y compris la page de garde. Veuillez le contrôler. Vos noms et prénoms seront inscrits uniquement sur la page de garde. Répondre impérativement dans l’espace aménagé à cet effet. Ne pas détacher les feuillets.

Ne rien inscrire dans ce cadre

2 Question 1 (5,5 points) : Légendez la coupe histologique suivante montrant le début de la formation de la racine (pas d’abréviations) :

améloblas

o

vaisse pul E EA

Ne rien inscrire dans ce cadre

3 Question 2 (5,5 points) : Légendez le schéma suivant montrant la terminaison des fibres nerveuses sensitives à la périphérie de la pulpe dentaire humaine (pas d’abréviations) :

A REDIGER SUR UNE COPIE D’EXAMEN Question 3 (4 points) : La vascularisation pulpaire (artérielle, veineuse et lymphatique).

Question 4 (5 points) : La dentine réactionnelle.

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P2 – SESSION DE SEPTEMBRE NOM DE L’EPREUVE : imagerie médicale COEFFICIENT : 1 DUREE : 1 h NOM DU CORRECTEUR (pour chaque question) : Thomas Fortin ATTENTION : 2 COPIES SEPAREES

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN : Panoramique dentaire : principe générale et positionnement du patient lors de l’examen.

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P2 – SESSION DE SEPTEMBRE NOM DE L’EPREUVE : immunologie générale et dentaire COEFFICIENT : 1 DUREE : 1h NOM DU CORRECTEUR (pour chaque question) : Dr B. Thivichon-Prince NOMBRE DE POINTS ATTRIBUES (à chaque question) :

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN :

- Rôle des odontoblastes et des cellules dendritiques dans la réponse immunitaire pulpaire non spécifique (15 points) - La mémoire immunologique (5points)

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P2 – SESSION DE SEPTEMBRE NOM DE L’EPREUVE : OCE COEFFICIENT : 1,5 DUREE : 1 h NOM DU CORRECTEUR (pour chaque question) : NOMBRE DE POINTS ATTRIBUES (à chaque question) :

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN :

REDIGER SUR DES COPIES SEPAREES

NOM DU CORRECTEUR : Dr SEUX 1- Lors de la préparation d’une cavité occluso-mésiale peu profonde sur une 15, pour une obturation coronaire à l’amalgame, quelles sont les différentes formes de cavités que vous pouvez réaliser. (15 POINTS).

NOM DU CORRECTEUR : Dr LUCCHINI 1- Un patient présente une lésion carieuse de site 2 stade 3 mésio-occlusale sur 46. Les conditions d’hygiène bucco-dentaire et de terrain carieux sont favorables et conduisent à la réalisation d’une cavité profonde pour composite dont la limite cervicale proximale est juxta-gingivale. Décrivez les différentes étapes de votre traitement (respect de la chronologie). (15 POINTS).

1

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P2 – SESSION DE SEPTEMBRE NOM DE L’EPREUVE : Physiologie Générale COEFFICIENT : 1.5 DUREE : 1 h 30 Pr ROBIN – 20 POINTS

COCHER SUR LA GRILLE DE REPONSE LA LETTRE (A – B – C OU D) CORRESPONDANT A LA PROPOSITION CORRECTE 1 - Les neurones représentent environ : A – 10% des cellules du tissu nerveux B – 50% des cellules du tissu nerveux C – les 2 propositions A et B sont vraies D – les 2 propositions A et B sont fausses 2 - La gaine de myéline : A - joue le rôle d’isolant électrique B - grâce à sa teneur élevée en lipides C - les 2 propositions A et B sont vraies D - les 2 propositions A et B sont fausses 3 - Les astrocytes sont : A – les cellules gliales les plus nombreuses du système nerveux central B – responsables de la myélinisation des axones du système nerveux central C – les 2 propositions A et B sont vraies D – les 2 propositions A et B sont fausses 4 - Le potentiel d’équilibre de l’ion K+ : A – est proche du potentiel de membrane de repos du neurone B – évolue au cours du potentiel d’action C – les 2 propositions A et B sont vraies D – les 2 propositions A et B sont fausses 5 - Les potentiels électrotoniques : A – correspondent toujours à une dépolarisation membranaire B – ont une amplitude invariable C – les 2 propositions A et B sont vraies D – les 2 propositions A et B sont fausses 6 - L’excitabilité de la membrane axonale s’explique par : A – une grande densité de canaux Na+ voltage-dépendants B – un potentiel de membrane élevé C – les 2 propositions A et B sont vraies D – les 2 propositions A et B sont fausses

2

7 - Le blocage des canaux Na+ voltage-dépendants : A – est obtenu par la tétrodotoxine B – est à l’origine de l’anesthésie locale C – les 2 propositions A et B sont vraies D – les 2 propositions A et B sont fausses 8 – Le N méthyl D aspartate : A - est un agoniste des récepteurs AMPA B - favorise l’entrée de Na+ dans la cellule post-synaptique C - les 2 propositions A et B sont vraies D - les 2 propositions A et B sont fausses 9 - Les protéines G : A – peuvent agir directement sur les canaux ioniques B – agissent par un effet exclusif sur l’adényl cyclase C – les 2 propositions A et B sont vraies D – les 2 propositions A et B sont fausses 10 - Le potentiel post-synaptique excitateur (PPSE) : A – s’obtient par sortie de K+ de la cellule post-synaptique B – a une amplitude maximale de 20 mV C – les 2 propositions A et B sont vraies D – les 2 propositions A et B sont fausses 11 - La voie mésolimbique A – est sérotoninergique B – prend naissance dans le locus coeruleus C – les 2 propositions A et B sont vraies D – les 2 propositions A et B sont fausses 12 - Le site transducteur A – se situe toujours sur une cellule sensorielle réceptrice B – est à l’origine du potentiel d’action C – les 2 propositions A et B sont vraies D – les 2 propositions A et B sont fausses 13 – Les récepteurs phasiques sont des récepteurs à adaptation : A – lente B – rapide C – les 2 propositions A et B sont vraies D – les 2 propositions A et B sont fausses 14 – L’aqueduc de Sylvius assure la communication entre : A – 2° et 3° ventricule B – 3° et 4° ventricule C – les 2 propositions A et B sont vraies D – les 2 propositions A et B sont fausses

3

15 – La lésion des lobes frontaux : A - fait toujours courir un risque vital aux patients B - se traduit généralement par des désordres émotionnels C - les 2 propositions A et B sont vraies D - les 2 propositions A et B sont fausses 16 - Le noyau ventro-postéro-latéral du thalamus est un relais des voies : A – sensitives B – motrices C – les 2 propositions A et B sont vraies D – les 2 propositions A et B sont fausses 17 – L’hippocampe est plus spécifiquement impliqué dans : A – l’émotion de peur B – la mémoire antérograde C – les 2 propositions A et B sont vraies D – les 2 propositions A et B sont fausses 18 - Le bulbe rachidien : A – dérive du cerveau postérieur (rhombencéphale) B – correspond au myélencéphale C – les 2 propositions A et B sont vraies D – les 2 propositions A et B sont fausses 19 - Le lobe postérieur du cervelet correspond : A – à l’archéocervelet B – aux hémisphères cerebelleux C – les 2 propositions A et B sont vraies D – les 2 propositions A et B sont fausses 20 - Les faisceaux sensitifs des colonnes dorsales de la moelle transmettent : A – la sensibilité tactile épicritique B – la sensibilité proprioceptive consciente C – les 2 propositions A et B sont vraies D – les 2 propositions A et B sont fausses 21 – L’aire somesthésique secondaire : A - se situe dans le lobe pariétal B - correspond aux aires 1, 2 et 3 de Brodmann C - les 2 propositions A et B sont vraies D - les 2 propositions A et B sont fausses 22 - Le faisceau spino-thalamique transmet : A – la sensibilité proprioceptive inconsciente B – la sensibilité douloureuse C – les 2 propositions A et B sont vraies D – les 2 propositions A et B sont fausses

4

23 - Les motoneurones alpha : A – ont un diamètre plus grand que celui des motoneurones gamma B – innervent les fibres extrafusales C – les 2 propositions A et B sont vraies D – les 2 propositions A et B sont fausses 24 – Le fuseau neuromusculaire : A - reçoit une innervation motrice B - est activé par l’augmentation de tension musculaire C - les 2 propositions A et B sont vraies D - les 2 propositions A et B sont fausses 25 – Les motoneurones gamma : A - provoquent la contraction des fibres extrafusales B - s’activent lors du raccourcissement musculaire C - les 2 propositions A et B sont vraies D - les 2 propositions A et B sont fausses 26 – Les noyaux gris centraux exercent une action inhibitrice sur: A - les mouvements volontaires B - le tonus musculaire C - les 2 propositions A et B sont vraies D - les 2 propositions A et B sont fausses 27 – Le cortex moteur primaire contrôle directement la contraction : A – des muscles de la face B – des muscles des doigts C – les 2 propositions A et B sont vraies D – les 2 propositions A et B sont fausses 28 – Le cervelet reçoit des informations en provenance des propriocepteurs musculaires grâce aux voies : A – vestibulo-cérébelleuses B – spino-cérébelleuses C - les 2 propositions A et B sont vraies D - les 2 propositions A et B sont fausses 29 – Les fibres post-ganglionnaires destinées à l’innervation cervicocéphalique sont originaires : A – du ganglion cervical supérieur B – du ganglion coeliaque C - les 2 propositions A et B sont vraies D - les 2 propositions A et B sont fausses 30 - Les arcs réflexes autonomes utilisent : A – les voies afférentes du système nerveux somatique B – les voies efférentes du système nerveux somatique C – les 2 propositions A et B sont vraies D – les 2 propositions A et B sont fausses

5

A REDIGER SUR UNE COPIE - Pr BENZONI – 10 POINTS

Nature et mécanismes d’apparition des troubles résultant d’un déficit en 21 hydroxylase surrénalienne.

Ne rien écrire ici

P2 - SESSION DE SEPTEMBRE - 2008-2009 PHYSIOLOGIE GENERALE

Nom :

Prénom :

Ne rien écrire ici PHYSIOLOGIE GENERALE

QUESTIONS

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30

A

B

C

D

FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON ANNEE UNIVERSITAIRE 2008-2009

P2 – SESSION DE SEPTEMBRE NOM DE L’EPREUVE : Physiologie Oro-Faciale COEFFICIENT : 1.5 DUREE : 1 h 30 NOM DU CORRECTEUR (pour chaque question) : Pr O. ROBIN NOMBRE DE POINTS ATTRIBUES : 30 POINTS POUR L’ENSEMBLE DES QUESTIONS COCHER SUR LA GRILLE DE REPONSE LA LETTRE (A – B – C OU D) CORRESPONDANT A LA PROPOSITION CORRECTE 1 – Le noyau sensitif trigéminal comprend : A – le noyau principal B – le noyau spinal C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 2 – Les neurones de la sensibilité tactile épicritique oro-faciale se projettent majoritairement au niveau : A – du noyau principal du noyau sensitif trigéminal B – du noyau spinal du noyau sensitif trigéminal C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 3 – Le territoire sensitif du nerf facial est : A – étendu à l’ensemble de la face B – restreint au méat acoustique externe C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 4 – Les fibres gustatives du IX innervent : A – les 2/3 antérieurs de la muqueuse linguale B – le 1/3 postérieur de la muqueuse linguale C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 5 – Le débit salivaire de repos est : A – de l’ordre de 750 ml par 24 heures B – multiplié par 3 à 4 au moment des repas C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 6 – La sécrétion salivaire d’origine masticatrice est assurée principalement par : A – les glandes submandibulaires B – les glandes parotides C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses

7 – La concentration de fluor dans la salive est dépendante de l’apport : A – systémique de fluor B – topique de fluor C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 8 – La formation de la salive finale fait intervenir, au niveau des canaux striés : A – une réabsorption d’ions sodium B – une sécrétion d’ions bicarbonates C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 9 – Les influx orthosympathiques provoquent la sécrétion d’une salive : A – aqueuse et fluide B – pauvre en mucines C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 10 – Le sujet âgé est caractérisé par : A – une diminution notable du débit salivaire stimulé B – une diminution de la concentration salivaire en protéines C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 11 – Les récepteurs somesthésiques de la cavité buccale permettent de détecter : A – la température des aliments B – la consistance des aliments C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 12 – Chez l’homme, les bourgeons du goût : A – atteignent leur distribution définitive vers 16 ans B – sont au nombre de 50 000 environ C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 13 – Le premier relais des afférences gustatives primaires s’effectue au niveau du noyau : A – parabrachial B - ambigu C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 14 – La transduction au niveau des cellules gustatives se traduit par : A – une sortie d’ions calcium B – une entrée d’ions calcium C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses

15 – Une substance est qualifiée de palatable : A – lorsqu’elle est détectée par les récepteurs gustatifs du palais B – lorsqu’elle induit une indifférence gustative C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 16 – Les dysgueusies : A – ont le plus souvent une origine non neurologique B – traduisent un dysfonctionnement des mécanismes de transduction C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 17 – La fin du temps buccal de la déglutition est marquée par : A – l’élévation passive du voile du palais B – le relâchement des piliers antérieurs C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 18 – Le déclenchement de l’onde péristaltique pharyngée : A – est volontaire B – nécessite l’abaissement du voile du palais C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 19 – L’activité du centre bulbaire de la déglutition : A – permet de coordonner l’activité des muscles déglutiteurs B – est sous le contrôle des centres supérieurs C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 20 – Chez le nouveau – né, les zones réflexogènes pour la déglutition sont innervées par : A – le VII B – le V C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 21 – Les fibres nociceptives A delta : A – sont polymodales B – ont une vitesse de conduction comprise entre 4 et 30 m/s C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 22 – L’inflammation neurogène : A – résulte d’une sensibilisation des fibres C B – provoque une libération de prostaglandines C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses

23 – Le noyau spinal du noyau sensitif trigéminal est le principal relais des messages : A – tactiles oro-faciaux B – thermo-algésiques oro-faciaux C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 24 – La substance P : A – est un neuromédiateur des fibres nociceptives C B – appartient à la famille des acides aminés excitateurs C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 25 - Les neurones nociceptifs non spécifiques sont : A – surtout localisés au niveau de la couche V du sous-noyau caudal B – à l’origine des douleurs référées C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 26 – Les projections des voies de la douleur sur le cortex préfrontal participent au traitement : A – cognitif des messages douloureux B – émotionnel des messages douloureux C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 27 – Une analgésie peut être provoquée par la stimulation électrique : A – de la substance grise périaqueducale B – du noyau magnus C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 28 – Les glossodynies : A – ont une étiologie bien identifiée B – traduisent souvent un contexte anxio-dépressif C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 29 – La vitesse de déplacement du fluide dentinaire dépend : A – de la pression intrapulpaire B – du diamètre des canalicules C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses

30 – Les dents immatures contiennent une plus grande proportion de fibres nerveuses : A – myélinisées B – amyéliniques C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 31 – La stimulation du ganglion cervical supérieur provoque : A – une vasoconstriction pulpaire B – une vasodilatation pulpaire C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 32 – Le pourcentage de canalicules dentinaires innervés au niveau des cornes pulpaires est de l’ordre de : A – 8% B – 40% C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 33 – L’excitation des fibres A delta pulpaires se fait essentiellement par : A – des stimulations mécaniques B – des médiateurs chimiques pro-inflammatoires C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 34 – La moindre efficacité des anesthésiques locaux en milieu inflammatoire s’explique notamment par : A – l’installation d’une acidose B – la sensibilisation des fibres C pulpaires C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 35 – Les principaux mécanorécepteurs desmodontaux sont de type : A – Golgi B – Ruffini C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 36 - Les extérocepteurs parodontaux : A – sont à l’origine de sensations conscientes B – ont un seuil d’activation élevé C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses

37 – La sensibilité des mécanorécepteurs desmodontaux : A – est maximale pour les forces de faible intensité B – augmente avec l’intensité du stimulus C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 38 – Le réflexe d’ouverture de la gueule présente une composante : A – activatrice pour les abaisseurs B – inhibitrice pour les élévateurs C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 39 – Chez l’homme, la réponse réflexe des masséters déclenchée par des stimulations mécaniques : A – est toujours une inhibition B – diffère selon le mode d’application de la force C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 40 - Les récepteurs préférentiellement impliqués dans la discrimination d’objets de grande épaisseur sont les récepteurs : A – parodontaux B – musculaires C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 41 – Le réflexe myotatique trigéminal est : A – polysynaptique B - bilatéral C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 42 - Les fibres afférentes à l’origine du réflexe myotatique trigéminal inverse sont de type : A – A alpha B – A beta C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 43 - L’espace libre d’inocclusion augmente : A – pendant le sommeil B – lors d’une extension de la tête C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses

44 – Les forces masticatrices physiologiques sont normalement : A – inférieures à 50 Kg B – supérieures à 50 Kg C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 45 – Les cycles masticatoires varient en fonction : A – de la dureté des aliments B – de la morphologie occlusale C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 46 – Le centre générateur de la mastication est localisé au sein : A – des noyaux gris centraux B – du tronc cérébral C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 47 - Le bruxisme du sommeil a été mis en évidence durant : A - le stade 2 du sommeil B - les stades 3 et 4 du sommeil C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 48 – L’atonie posturale des muscles toniques qui caractérise le sommeil paradoxal est due aux afférences : A – glycinergiques B – gabaergique C – les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 49 - Pour avoir une voix forte, le plus important est : A - d’inspirer amplement B - de se tenir assis C - les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses 50 - Devant un patient dont la voix est rauque, il faut lui demander : A- s’il fume ou est exposé au tabac B- si sa voix a changé et depuis combien de temps C - les deux propositions A et B sont vraies D – les deux propositions A et B sont fausses

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P2 – SESSION DE SEPTEMBRE - 2008- 2009 PHYSIOLOGIE ORO-FACIALE

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QUESTIONS

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P2 – SESSION DE SEPTEMBRE NOM DE L’EPREUVE : PROTHESES COEFFICIENT : 0,5 DUREE : ½ H NOM DU CORRECTEUR : Docteur VIENNOT NOMBRE DE POINTS ATTRIBUES : 10 points

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN :

Détaillez les différentes situations cliniques pour lesquelles une prothèse fixée peut se révéler iatrogène pour le parodonte.

FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON ANNEE UNIVERSITAIRE 2008-2009

P2 – SESSION DE SEPTEMBRE NOM DE L’EPREUVE : PROTHESE COEFFICIENT : 1,5 DUREE : 1h 30 NOM DU CORRECTEUR (pour chaque question) : Dr VIGUIE NOMBRE DE POINTS ATTRIBUES (à chaque question) :

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN Question1: (15 points) Citez sans les décrire tous les traitements pré-prothétiques que l’on peut mettre en œuvre avant un traitement par PPAM.

Question 2: (15 points) Conséquences d’un édentement unitaire non compensé.