Expression Écrite EE TEF [PDF]

  • Author / Uploaded
  • bon
  • 0 0 0
  • Gefällt Ihnen dieses papier und der download? Sie können Ihre eigene PDF-Datei in wenigen Minuten kostenlos online veröffentlichen! Anmelden
Datei wird geladen, bitte warten...
Zitiervorschau

la vidéosurveillance motive les employés Monsieur le rédacteur en chef Je suis une fidèle lectrice de votre journal, et comme l’indique l’objet du présent courrier, je voudrais réagir à l’article paru le premier septembre dernier, dans lequel vous déclariez que «  la vidéosurveillance motivait les employés », après lecture des réactions positives je voudrais à mon tour apporter quelques réflexions. De nos jours, la vidéosurveillance est de pratique courante. IL est vrai que les caméras dans les lieux de travail est un moyen sûr et bien éprouvé de contrôler les négligences. Cependant, je pense que son utilisation et son efficacité restent discutables, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, il est avéré que la vidéosurveillance n’est aucunement un moyen de motivation. c’est plutôt une atteinte à la vie privée et à la démocratie . en effet, en étant surveillé un salarié se sens géné, soumis, voire enchainé, et ne pourra jamais étre libre dans son espace professionnel. D’ailleurs, Le respect de la vie privée en temps et lieux de travail est préservé par la loi. En outre, les caméras de surveillances rompent la confiance employeurs-employés, ce qui se répercute négativement sur le rendement et le chiffre d’affaires des entreprises. En faisant fil de cet instrument de contrôle, l’employeur instalera la confiance chez ses employés disposés à prendre des initiatives louables et responsables. A preuve, La communauté Québecoise qui a observé des comportements positifs de la part des employés en leur faisont confiance. Enfin, ce mode de fonctionnement coércitif est une sorte de flicage des salariés, il augmente le stress et diminue le rendement. ne pouvant surmenté ce stress qui les brise,certains salariés finissent par penser au suicide. A cet égard, une étude menée par l’office national des statistiques affirme que le taux de suicides professionnels a considérablement augmenté depuis l’avènement de la vidéosurveillance. Autants d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent mon recul à l’égard de cet objet œil espion. Tout bien considéré, je suis convaincue qu’il n’est pas le bon procédé pour stimuler les employés. Toujours fidèle Veuillez accepter, monsieur, mes salutations les plus distinguées.

Les parents n’ont aucune autorité sur leurs enfants Monsieur le rédacteur en chef Je suis une fidèle lectrice de votre journal, et comme l’indique l’objet du présent courrier je voudrais réagir à l’article paru le premier novembre dernier, dans lequel vous déclariez que « les parents n’avaient aucune autorité sur leurs enfants », après lecture des réactions quelque peu outrées de nombres de vos lecteurs, je voudrais à mon tour apporter quelques réflexions. Certes, les parents ont toujours fait preuve d’autorité vis-à-vis de leurs enfants. Ces derniers ne peuvent prendre ni décisions, ni franchir un pas sans avoir l’accord de leurs parents despotes. Cependant, je pense ces manières arbitraires des parents, ces pratiques léguées par la tradition sont d’un autre temps révolu, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, les jeunes d’aujourd’hui adoptent une attitude de refus.Ils s’insurgent contre l’autorité de leurs parents, réclamant plus de liberté, ce qui engendre des conflis. Les parents pris dans ce mouvement de contestation ont conscience que leur pouvoir est ébranlé . A cet égard, Une étude récente affirme que plus de 70% des parents demandent au lieu d’exiger à leurs enfants. En outre, la société moderne en plain évolution a fait en sorte que les chefs de familles rennencent à leur autorité. Les parents d’aujour’hui déterminés à ne pas élever leurs enfants comme ils l’ont été, sont motivés par le desir d’élever leurs descendance de façon respectueuse, en tentant de les responsabiliser et leur cedant le contrôle de certains affaires. D’ailleurs on donne désormais le droit aux enfants de piquer une crise afin d’apprendre à gérer leurs émotions. Enfin, les parents d’aujourd’hui ont adopté une nouvelle méthode d’éducation bien loin de l’autorité de leurs ascendants. L’obéissance totale autrefois louangée, est aujourd’hui perçue comme dépassée. Beaucoup de familles encouragent leurs enfants à prendre la parole , et à exprimer librement leurs pensées. A preuve , les pédopsychiatres affirment qu’ un enfant obéissant est de nature à se laisser faire. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent les différents changements qu’a subit l’éducation des enfants.Veuillez accepter , monsieur , mes salutations les plus distinguées.

Les jeunes de 20-30 ans habitent chez leurs parents pour des raisons de facilité et de confort Monsieur le rédacteur en chef Je suis une fidèle lectrice de votre journal, et comme l’indique l’objet du présent courrier, je voudrais réagir à l’article paru le premier septembre dernier, dans lequel vous déclariez que « les jeunes de 20-30 ans habitaient chez leurs parents pour des raisons de facilité et de confort », après lecture des réactions quelque peu outrées de nombre de vos lecteurs, je voudrais à mon tour apporter quelques réflexions. Aujourd’hui, nous parlons souvent dans les médias des différentes séparations au sein des membres d’une famille. Pour certains lecteurs, l’acquisition d’une maturité ne peut se faire que dans le cas ou le jeune vit seule. Je pense que cette idée est biaisée , et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, la santé des parents exige la présence continue des enfants à la maison. En effet , les ainées souffrent de maladies chroniques nécessitant une assistance et des soins à domicile. De par mon expérience personnelle, j’ai du m’occuper de ma mère atteinte de sclerose en plaque pendant plusieurs années. Outre cela, le foyer familial acceuille tous les membres de la famille quelque soit leur âge. Ainsi dans un tel climat de sécurité et de respect les enfants se sentent bien, et ressentent moins le besoin de se détacher du domicile familial. A preuve, Les psychologues soulignent que les jeunes n’ayant pas quittés le domicile de leurs parents entretiennent de meilleures relations avec eux. Enfin, j’adhère à l’idée que rester chez les parents n’est pas synonyme d’échec financier, au contraire certains jeunes habitent chez leurs parents afin de leur apporter un soutient picunière et morale en raison du montant insuffisant et dérisoir de leur pension de retraite. A cet égard, un sondage affirme que 60% des jeunes payent le loyer de leurs parents. Autant d’éléments. Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent les motivations des jeunes à rester chez leurs parents. Je suis convaincue que l’amour des siens ne peut être remplacé par aucune richesse picunière.

La place de la femme n’a pas évolué

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé «  la place de la femme n’a pas évolué » paru à la une de votre journal, le premier septembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpelle vivement, je voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles sur ce sujet qui alimente de nombreux débats. Le statut de maitresse de maison a été préservé par la femme depuis plusieurs décennies. Plus de 50% des femmes de ma communauté estiment qu’être femme au foyer est aussi épanouissant qu’un travail rémunéré. Toutefois, je pense que les mentalités ont changé et qu’ une prise de conscience a été observée chez la nouvelle génération, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, Etant considéré comme une mineure à vie, la femme passait de la tutèle de son père à c’elle de son mari. Elle devait faire le ménage élevé les enfants et surtout obéir à son mari, alors qu’aujourd’hui les deux parents se partagent les tâches, que ce soit pour l’éducation des enfants ou encore les tâches ménagères. Une étude menée sur le sujet stipule que le nombre de père au foyer a considérablement augmenté ces deux dernières années. Outre cela, la femme d’hier, celle des années 40 ou 50 notamment, n’avait aucun droit au chapitre. Alors qu’ aujourd’hui , elle a frayé son chemin dans la société et a acqui, haut la main, les même droits que l’homme grâce aux différentes lois qui ont été promulguées ces deux dernières décennies. Le droit au vote et à avoir un compte bancaire par exemple. Enfin, en compétition avec son confrère l’homme, la femme occupe maintenant tous les espaces, découvrant ainsi une nouvelle dimension de la vie. Grâce à son intelligence et ses initiatives ,elle a ôté des postes de hauts niveaux, autrefois réservé au genre masculin. A preuve, L’ex présidente de la Croatie a réussi à faire ses preuves malgré l’acharnement qu’elle a subi. Autant d’éléments, Monsieur, le rédacteur en chef qui expliquent l’évolution impressionnante de la femme au fil du temps. Toujours fidèle à votre journal, je vous prie d’accepter, Monsieur, mes salutations les plus distinguées.

Les ONG Monsieur le rédacteur en chef Je suis une fidèle lectrice de votre journal, et comme l’indique l’objet du présent courrier, je voudrais réagir à l’article paru le premier septembre dernier, dans lequel vous déclariez que «  les ONG avaient un rôle important dans l’éradication de la pauvreté », après lecture des réactions positives, je voudrais à mon tour apporter quelques réflexions. le problème de pauvreté a toujours été une priorité pour les organismes non gouvernés. Ces derniers déploient chaque année des ressources humaines et des mannes financière afin d’éradiquer ce fléau. Cependant, je pense que leurs actions et leur efficacité restent discutables et pour cause. Tout d’abord, les indicateurs de pauvreté ne se limitent pas à un revenu monétaire d’un individu. En effet, la pauvreté est un enchainement de manques cruciaux qui se déclinent en termes de crise de logement, de santé et de chômage  qui affectent les classes défavorisées. Ne pouvant faire face à l’intensité de ce fléau , et à la pression, toujours croissante ,des gens pauvres les efforts des ONG demeurent édulcorés. A preuve, Le taux de chômage dans les pays du tiers monde, n’a pas régressé depuis deux ans, en dépit des actions soutenues de ces organismes philantropiques. En outre, si le financement de ces organismes est assuré par des leaders du monde des affaires « Apple, Microsoft …… » , ces sommes d’argents aléatoires, qui ne sont ni garantie, ni fixes, ne sont guère un moyen éprouvé d’assurer un revenu mensuel, régulier et durable aux personnes fragilisées. A cet égard, une étude récente affirme que plus de 30% des entreprises qui assuraient le financement des ONG ont manifesté leur défection cette année. Enfin, les gouvernements sont les premiers responsables de leurs terres .les institutions non gouvernés ne peuvent pas mener des actions humanitaires sans l’accord de ces derniers. Elles ne possèdent ni le potentiel humain, ni les possibilitées financières afin de venir en aide aux personnes démunies vivant dans des conditions exceptionnelles. Les pays en guerre,l’exemple de la Syrie n’arrivent toujours pas à bénéficier des aides fournies par les ONG, en raison des difficultés de circuler sur leurs territoires. Autant d’éléments, monsieur le rédacteur en chef, qui me laissent paeplexe quant à l’éradication complète de la pauvreté par les ONG. J’incline à penser que ces organismes ne sont que des intermédiaires paliatifs qui atténuent, peu ou prou , l’intensité de ce fléau. T

En somme, c’est pour cela que je perciste à croire que le role de la femme ne cesse d’évoluer, et qu’elle est aujourd’hui loin des conditions qu’elle vivait il ya 100 ans. J’espère que mon article vous plaira en vue de le publier dans une prochaine édition de votre journal. Veuillez accepter, monsieur , mes salutations les plus distinguées.

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « les ONG sont les mieux placées pour lutter contre la pauvreté » paru à la une de votre journal le premier septembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de lecteurs, m’interpelle vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles sur ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. A ceci d’abord, la pauvreté a toujours été une priorité pour les organismes non gouvernés. Chaque année des ressources humaines et financière sont déployées par les ONG afin de d’éradiquer ce fléau. Plus de 50 millions d’euro ont été mobilisés l’année précédente en faveur des plus démunies. Il n’en demeure pas moins que leurs actions et leur efficacité restent discutables. Les indicateurs de pauvreté ne se limitent pas à un revenu monétaire d’un individu, c’est plutôt un enchainement de précarités « logement, santé, chômage ». Ne pouvant faire face à l’intensité de ces précarités, les efforts des ONG demeurent édulcorés. A preuve le taux de chômage dans les pays du tiers monde n’a pas baissé depuis deux ans malgré les actions menées par les organismes non gouvernés dans ce sens. Le financement de ces organismes est assuré par des leaders du monde des affaires «  Apple, Microsoft ». N’étant pas garanties ou fixes, ces sommes d’argent ne peuvent pas étre un moyen éprouvé afin de verser un revenu mensuelle aux personnes dans le besoin. A cet égard une étude récente affirme que plus de 30% des entreprises assurant le financement des ONG se sont retirées cette année. Les gouvernements sont les premiers responsables de leurs terres, les ONG ne peuvent pas instaurer des actions humanitaires sans l’accord de ces derniers. Elles ne possèdent ni le potentiel humain, ni financier afin de venir en aide aux personnes démunies vivant dans des conditions exceptionnelles. Les pays en guerre comme la Syrie n’arrivent toujours pas à bénéficier des aides fournies par les ONG vu la difficulté de circuler sur leur territoire. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, me laissent perplexe quant à l’éradication de la pauvreté par les ONG, je suis convaincu qu’ils ne sont qu’ un facteur minimisant l’intensité de ce fléau, pour arriver à son éradication il faudrait plutôt collaborer avec les gouvernements. Veuillez a ccepter, Monsieur, mes salutations les plus distinguées.

la société hyperactive ne peut pas faire de rencontres  Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « la société hyperactive ne peut pas faire de rencontres », paru à la une de votre journal le premier septembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpelle vivement, je voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles sur ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. Nous savons tous que le monde est en accélération continue. La nouvelle génération a la possibilité de tisser de nouvelles relations avec des gens aux quatre coins du monde. Twetter, Facebook, Instagram sont des réseaux sociaux à l’origine de tas de relations amicales et amoureuses. Cependant, je pense que ces relations sont malheureusement virtuelles, et ne se concrétisent presque jamais, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, nous vivons dans un monde mobile qui change très vite, ou l’hyperactivité règne . Touchant ainsi tous les domaines : politiques, économiques, ou vie privée. Des transformations nombreuses s’opèrent dans cette société moderne , ce qui a permis l’émergence de nouvelles technologies qui favorisent les rencontres virtuelles et écartent le contact réelle. Rendant ainsi les vrais rencontres aléatoire voire quasi-impossibles. . De par mon expérience personnelle, je n’ai réussi à faire que des rencontres brèves et de courte durée via les réseaux sociaux ces deux dernières années. Outre cela, Pris par les enfants, les jeunes parents n’arrivent plus à consacrer un moment pour les loisirs personnels. Ils doivent jongler entre les activités des enfants, d’un cour de musique, à un entrainement de foot. le temps d’apprendre à connaitre de nouvelles personnes n’est plus une sinécure .C’est dans ce sillage qu’une chronique a été publiée dans le journal « le monde » on y trouve des témoignages qui en disent long sue ce rythme soutenu des nouveaux parents. Enfin,La vie professionnelle est de plus en plus exigeante. Les employeurs demandent toujours plus aux salariés ne leur laissant aucun répit, et ces derniers s’y consacrent complètement. En passant des heures interminables au bureau, la vie sociale et privée sont mises de côté. A cet égard une étude menée par l’office national des statistiques affirme que 80% des personnes qui ont une belle situation professionnelle vivent un échec sur le plan social et privé. Autant d’éléments, Monsieur, le rédacteur en chef, qui expliquent l’impact de l’hyperactivité sur les relations humaines. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter, monsieur, mes salutations les plus distinguées

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « donner des cours d’informatiques aux plus âgées n’est plus utile » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement, je voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles sur ce sujet qui alimente de nombreux débats. Habitués aux lettres et aux romans, les seniors n’ont pas accordé d’intérêt à la nouvelle technologie. Mes grands-parents trouvent qu’en restant des heures devant mon ordinateur je passais à côté de ma jeunesse. Cependant, je pense que les outils informatiques sont en mesure d’assurer un quotidien plus fluide aux ainées.et je m’appuie sur ce qui suit. Premièrement, les outils informatiques sont un excellent moyen pour combattre la solitude. Ils permettent de communiquer avec autrui à n’importe quel moment, et à n’importe quelle distance en ajoutant une image au song. Les seniors peuvent ainsi communiquer avec des amies et des proches tout en ayant l’impression d’être avec eux. En outre, l’état de santé des plus âgées limite leur habilité aux déplacements. En les initiant aux outils informatiques on leur permet d’écarter les difficultés. Ils peuvent effectuer des payements bancaires, ou faire des courses via internet par un simple clic. Par ailleurs, les outils informatiques préservent les capacités intellectuelles. Les tablettes et téléphones portables disposent de logiciels et jeux permettant d’exercer sa mémoire. A cet égard, une étude menée à l’université de Harvard stipule que les jeux en ligne constituent un excellent exercice cérébral permettant de maintenir les capacités cognitives des seniors. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent mon point de vue quant à l’initiation des seniors aux outils informatiques, je suis convaincue que l’accès à la technologie est primordial quel que soit l’âge de la personne. Toujours fidèle à votre journal, je vous prie d’accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

les personnes agées de plus de 65 ans doivent repasser le permis de conduire Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « les personnes âgées de plus de 65 ans doivent repasser le permis de conduire » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui alimente de nombreux débats. De nos jours, les accidents de la route sont responsables de plus de 1,35 million de décès par ans. Certains lecteurs, pensent que l’insouciance des jeunes est à l’origine de ce taux élevé de mortalité. Cependant, je trouve que les personnes âgées sont encore plus dangereuses que les jeunes et doivent être surveillées, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, les problèmes de santé chez les seniors se multiplient et se compliquent. La majorité des personnes âgées soufrent de tension artérielle, de vertige, et la quasi-totalité voit leur acuité visuelle diminuée, induisant ainsi des malaises subits au volant. D’ailleurs, dans les pays Scandinaves, une visite médicale régulière pour les conducteurs de plus de 50 ans a menée à des résultats positifs sur le terrain En outre, le vieillissement entraine un manque de vigilance et un allongement du temps de réaction. En effet, le manque de concentration et la diminution des réflexes a fait en sorte que la prise de conscience du danger soit plus lente chez les seniors. Faisant ainsi d’eux un réel danger public. A cet égard, une étude réalisée par l’assureur AXA affirme que les personnes âgées sont à l’origine d’un accident mortel sur quatre par ans. Enfin, imposer aux ainés de repasser le permis de conduire s’avère une décision importante afin de s’adapter aux nouvelles exigences imposées par la réglementation routière. Le code de la route a connu des modifications profondes ces dernières années, ainsi repasser le l’examen de par cette tranche d’âge est primordial afin d’assurer la sécurité routière. A preuve, en Espagne un examen est organisé tous les 10 ans pour les conducteurs, comportant des questions sur les modifications du code de la route Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui viennent appuyer votre affirmation. Je suis convaincue que nos ainés doivent être surveillés car ils constituent un réel danger pour eux-mêmes et pour les usagers de la route. Toujours fidèle à votre journal, je vous prie d’accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

Internet nous rend isolé de la société  Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « internet nous rend isolé de la société » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais ici apporter quelques réflexions à ce sujet qui alimente de nombreux débats. Do nos jours, le problème d’addiction à internet fait souvent la une des médias. Certains lecteurs pensent qu’en surfant des heures sur le net, on a tendance à s’isoler, et à mettre de côté la vie privée et sociale. Je trouve que cette idée est biaisée, et je m’appuie sur ce qui suit. Premièrement, c’est un excellent moyen pour combattre la solitude. Internet permet de communiquer avec autrui à n’importe quel moment et n’importe quelle distance. Nous rapprochant ainsi davantage de nos proches et amis. De par mon expérience personnelle, j’arrive à communiquer régulièrement avec ma meilleure amie qui réside au canada grâce aux réseaux sociaux. Par ailleurs, étant la première source d’information. Internet nous permet de suivre l’actualité mondiale par un simple clic sans avoir à sortir de chez soi. A preuve, c’est ainsi que tout le monde a suivi l’évolution de la pandémie du coronavirus tout en étant confiné. Enfin, il y a des personnes qui souffrent de phobie sociale, autrement dit ils rencontrent des difficultés à créer de nouvelles relations. Internet leur donne la possibilité de faire de nouvelles rencontres sans sortir de leur zone de confort. A cet égard, les dernières études affirment que 80% des personnes ayant ce problème se sont mariées grâce à internet. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent que contrairement à ce que l’on croit, internet n’est aucunement un moyen d’isolement, c’est plutôt une fenêtre qui nous permet de s’ouvrir sur le monde. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

«  avec internet un médecin ne sert plus à rien  Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé «  avec internet un médecin ne sert plus à rien » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions d’un grand nombre de lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais ici apporter quelques réflexions à ce sujet qui alimente de nombreux débats. De nos jours, l’internet touche à tous les domaines y compris le domaine scientifique, il est vrai qu’on peut désormais consulter un médecin en ligne par un simple clic sans avoir à se déplacer. Livi .fr est un site internet qui propose des téléconsultations avec des médecins généraliste ou spécialistes. Néanmoins, je trouve que remplacer son médecin par internet est inconcevable, et je m’appuie sur ce qui suit. D’abord, il ne faut jamais faire confiance aux informations disponibles sur internet. Le contenu publié sur le net peut se baser sur des recherches scientifiques pointu, comme il peut être érronné ou complètement faux. A preuve, la mélatonine qui est un médicament toxique à fortes doses, mais présentée sur internet comme étant l’hormone miracle du sommeil. En outre, les actes chirurgicaux nécessitent la présence d’un chirurgien. Dans ce cas de figure internet ne peut que fournir des informations théoriques sur le déroulement de l’intervention. A titre d’exemple la célioscopie qui est décrite dans ses moindres détailles sur le web, mais sur le terrain elle nécessite un chirurgien et un bloc opératoire. Enfin, l’importance de l’échange entre le médecin et son patient ne peut pas être négligée. A mon sens, il est impossible de remplacer un diagnostic établi après consultation chez un médecin, par un diagnostic basé sur les résultats d’un questionnaire sur internet. L’angine, pour exemple, exige la vérification de l’aspect de la gorge et des amygdales pour pouvoir déterminer son origine ( virale ou bactérienne). Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent mon recul à l’égard de votre affirmation, je suis convaincue qu’un médecin est irremplaçable quelque soit l’évolution technologique atteinte. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

« apprendre le chinois aux enfants en bas âge » Monsieur le rédacteur en chef Votre article intitulé « apprendre le chinois aux enfants en bas âge » paru le premier novembre dernier à la une de votre journal, ainsi que les réactions d’un grand nombre de vos lecteur m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui alimente de nombreux débats. Aujourd’hui, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux de l’importance de privilégier la langue maternelle aux langues étrangères. Certains lecteurs pensent qu’ un retard d’apprentissage de la langue maternelle survient lorseque l’enfant apprend une deuxième langue. je trouve que cette idée est biaisée , et je m’appuie sur ce qui suit. En premier lieu, la capacité d’assimilation diminue avec l’âge. Plus on est jeune , plus l’apprentissage est facile. Etant de véritables éponges les enfants absorbent les informations plus rapidement. Permettant ainsi une meilleure maîtrise de la langue. De par mon expérience personnelle, apprendre le chinois en bas âge m’a permis de le maitriser à la perfection. Outre cela, étant leader dans le monde des affaires, la chine est la destination de rêve pour les étudiants. Avec la montée en puissance de la chine surtout dans le domaine économique , il est bien normal de se préparer à l’avance. En apprenant le chinois aux enfants, on leur garantie une belle carrière professionnelle. A preuve, une étude menée par l’office national des statéstiques que 50% des directeurs des multinationales maitrisent le chinois depuis leur jeune âge. Enfin, parler chinois est un excellent exercice cérébral. Pour parler chinois, il faut apprendre plus de 3000 caractères, ce qui améliore la mémorisation et l’esprit de déduction chez l’enfant. A cet égard, une étude menée par l’université de Paris affirme que les enfants qui maitrisent le chinois ont une meilleure flexibilité cognitive. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent mon point de vue quant à l’importance d’initier les enfants aux chinois. Je suis convaincue que cette langue est le meilleur moyen pour améliorer le potentiel de l’enfant. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

« le télétravail est nocif  Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « le télétravail est nocif » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui alimente de nombreux débats.

Aujourd’hui, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux sur l’impact négatif du télétravail. Pour certains, le télétravail est une pratique qui nuit au bon fonctionnement des entreprises, en induisant un manque d’intérêt et de rigeur de la part des salariés. Cependant, Je trouve que ce mode de fonctinnement révolutionnaire a permis de dépasser plusieurs obstacles, et d’augmenter ainsi le chiffre d’affaires de plusieurs entreprises, et je m’appuie sur ce qui suit. Premièrement, ce mode de fonctionnement permet une meilleure intégration des salariés handicapés. Les entreprises qui ne possédent pas de locaux aménagés aux personnes handiquapées, peuvent tout de même en recruter grâce au télétravail. A preuve, une étude menée par l’office national des statistiques affirme que le taux de chômage au sein de cette catégorie a considérablement diminué après l’avènement du télétravail. Par ailleurs, la confiance employeurs-employés est maintenue. En effet en lui faisant confiance un employé donnera le meilleur de lui-même, et n’agira que dans l’intérêt de son entreprise. La majorité des entreprises Québequoises adoptant ce mode de fonctionnement ont réussi à se faire un noms dans le marché mondial grâce au serieux et à l’assiduité de leurs employés. Enfin, en offrant une meilleure flexibilité et permettant de concilier vie privée et vie professionnelle, le télétravail diminue le stress et augmente le rendement. Les travailleurs avancent dans leurs tâches sans avoir à subir la pression d’un supérieur. A cet égard, une étude menée à l’université de Lyon affirme que le taux de suicide professionnel a diminué de 60% depuis l’avènement du télétravail. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent la touche positive qu’a eu le télétravail sur plusieurs plans. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter monsieur l’expression de mes salutations les plus distinguées.

«  l’anglais menace les autres langues et cultures » Monsieur le rédacteur en chef Votre article intitulé «  l’anglais menace les autres langues et cultures » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui alimente de nombreux débats. Aujourd’hui, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux sur l’impact de l’anglais sur les langues nationales. En s’imposant en langue universelle, il détruit la diversité culturelle. A preuve, nous avons des chinois avec des noms anglais , qui ne savent même plus parler le cantonais. Cependant, je pense que l’anglais n’est pas en mesure d’effacer les langues et les cultures, et je m’appuis sur ce qui suit. Tout d’abord, il ne faut pas confondre universalité et capacité à communiquer. L’anglais est la langue la plus utilisée dans le monde des affaires, notamment dans le commerce international , mais pour pouvoir communiquer aisément avec les gens il faut maitriser d’autres langues que l’anglais. Demander son chemin dans un village en Espagne par exemple peut être compliqué si on ne parle que anglais. Outre cela, la langue n’est pas le seul véhicule des cultures, il existe également les dialectes. Même si l’anglais est enseigné au même titre que la langue nationale dans de nombreux pays, et peut avoir une certaine influence sur leur culture, cette dernière est largement diffusée à travers les dialectes. C’est le cas de ma culture amazigh qui a été transmise de génération en génération à travers le dialecte kabyle. Enfin, l’expansion de plus en plus importante d’autres langues. L’anglais figure à la deuxième place des langues les plus parlées dans le monde, mais il est tallonné de près par plusieurs grandes langues tel l’arabe, l’espagnole et le français. Selon l’office national de statistique , le nombre de personnes maitrisant une autre langue que l’anglais autant que deuxième langue a significativement augmenté ces deux dernières années. En somme, c’est pour toutes ces raisons, que je persiste à croire que malgré son universalité, l’anglais n’a pas réussi à effacer les autres langues et encore moins les cultures. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

«  il est inutile de connaitre une autre langue que l’anglais » Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé «  il est inutile de connaitre une autre langue que l’anglais » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles sur ce sujet d’actualité qui alimente encore de nombreux débats. Aujourd’hui, nous parlons souvent dans les médias sur la prédominance de l’anglais dans le monde. Par son universalité, cette langue a réussi à s’imposer dans tous les domaines. Cependant, je pense que ne pas se limiter à l’anglais et parler plusieurs langues permettera d’améliorer notre potentiel, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, le plurilinguisme constitue la clef de la réussite professionnelle. Le critère linguistique fait la différence entre deux candidats dans tous les domaines. Parler plusieurs langues permet de garantir une belle carrière professionnelle. Lors des recrutements des multinationales par exemple, les polyglottes sont favorisés par rapport aux anglophones. Outre cela, apprendre les langues étrangères est le meilleur moyen de se cultiver et s’enrichir. En effet comprendre plusieurs langues nous donne accès à des cultures que nous n’aurions pas pu comprendre sans traduction, telles la music et la littérature. Enfin, être polyglotte permet de garder le cerveau agile et rapide. Il s’agit d’un exercice cérébral de tous les jours permettant de modifier la structure du cerveau afin de le rendre plus efficace. A cet égard une étude récente réalisée à l’université de médecine à Lyon affirme que parler plusieurs langues permet de lutter contre l’Alzheimer. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent l’importance du plurilinguisme. Je suis convaincue qu’il ne faut surtout pas se limiter à l’anglais afin de se démarquer. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

«  les tâches ménagères sont réservées aux femmes » Votre long article intitulé «  les tâches ménagères sont réservées aux femmes » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet d’actualité qui alimente de nombreux débats . Aujourd’hui, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux sur la répartition des tâches dans les foyers modernes. Les sociologues affirment que les hommes s’impliquent davantage dans le quotidien familial. Cependant, je pense que cette mission est essetiellement assuré par les femmes , et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, les femmes ont du male à déléguer. Malgré tous les efforts fournis par leurs conjoints, ces dernières estiment que ce n’est jamais bien fait ou du moins pas comme elles le souhaitent. A preuve , un sondage récent affirme que 80% des femmes ne supportent pas la manière dont leur conjoint fait le ménage. Outre cela, j’adhère à l’idée que les femmes ont intériorisé le rôle de maitresse de maison. Elles sont soucieuses d’être de bonnes mères et de créé un espace harmonieux à leurs enfants, par contre les hommes préfèrent se concentrer sur leur carrière professionnelle. Plus d’un tiers des femmes de ma communauté estiment qu’être femme au foyer est aussi épanouissant qu’un travail rémunéré. Enfin, le rôle de l’éducation dans le sexisme des tâches. On a tendance à solliciter davantage les filles pour les tâches domestiques que les garçons , et la transmission intergénérationnelle a fait en sorte que ces pratiques soient préservées. Selon l’office national des statistiques, seulement un garçon sur dix est sollicité pour les tâches ménagère par les parents. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent que malgré les efforts fournis par une certaine catégorie d’homme, à l’heure actuelle les tâches ménagères restent réservées aux femmes. Toujours fidèle à votre journal veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

Votre long article intitulé « la lecture des romans est une perte de temps, il vaut mieux lire les journaux », ainsi que les réactions d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement, je voudrais ici apporter quelques réflexions à ce sujet qui alimente de nombreux débats. Aujourd’hui, le mode de vie actuel a fait en sorte que les romans perdent leurs lecteurs, ces derniers se sont tournés vers les journaux. Certains lecteurs estiment que contrairement aux romans, les journaux leur permettent de s’enrichir sans perdre beaucoup de temps. Je trouve que cette vision est biaisée, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, les romans s’adressent à toutes les tranches d’âge, d’un enfant de 4 ans à un sénior de 90ans. Ils permettent également de développer l’imagination et la créativité grâce à leur aspect fictif. A preuve, Les pédopsychiatres conseillent de faire lire les romans aux enfants dès leur jeune âge afin de développer leur faculté cognitive. Outre cela, contrairement aux journaux, les romans utilisent un vocabulaire avancé. Compte tenu de la diversité des romans qui existent (policier, scientifique, fantastique), Leur lecture nous amène à adopter de nouveaux mots, de nouvelles expressions. Selon une étude menée par des étudiants à l’université de Lyon, les lecteurs de romans ont un vocabulaire plus avancé que les autres lecteurs. Enfin, la lecture des romans est un excellent antistress. En raison des journées qu’on endure, nous avons tous besoin d’un petit moment échappatoire, lire un roman contribue largement à cela. A l’opposé les journaux nous ramènent toujours à la dure réalité. Selon des chercheurs britanniques, après six minutes de lecture, nous sommes plongés dans un état d’apaisement avec la diminution de la tension musculaire et du rythme cardiaque. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent la particularité des romans. Je suis convaincue que les journaux n’arriveront jamais à les remplacer. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées. ,

Votre long article intitulé «  avec les films et les séries TV, la lecture reste moins importante » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier , ainsi que les réactions d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je vooudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui alimente de nombreux débats. Aujourd’hui, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux sur l’impact négatif des films et séries tv sur la lecture. Certains lecteurs pensent que regarder un film est aussi enrichissant que lire un livre. Je trouve que cette idée est biaisée, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, les films résument l’histoire dans une projection de deux heures maximum, alors que les livres décrivent le déroulement des évènements dans leur moindre détail, préservant ainsi la magie de l’histoire. La « Saga Twilight » par exemple a perdu toute sa magie lors de son adaptation en film. Outre cela, la lecture nous permet de de développer notre vocabulaire. Contrairement aux films et séries tv qui utilisent un vocabulaire basique, les livres emploient un vocabulaire avancé , nous permettant ainsi d’adopter de nouveaux mots et de nouvelles expressions. De par mon expérience personnelle, mon vocabulaire s’est nettement amélioré depuis que je me suis mise au bouquinage. Enfin, la lecture est un excellent antistress. Elle stimule le cerveau et augmente l’espérence de vie. A preuve, des chercheurs britanniques affirme que après six minute de lecture nous plongeons dans un état d’apaisement avec une baisse de la tension musculaire et du rythm cardiaque. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent mon point de vue. Je suis convaincue que le bouquinage est le meilleur moyen pour améliore le potontiel de la personne. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé «  les jeux vidéos développent la créativité des jeunes, on devrait les utiliser à l’école » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles à ce sujet qui alimente de nombreux débats. De nos jours, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux sur les aspects positifs des jeux vidéo et leur impact sur les facultés cognitives des enfants. Les psychologues affirment que les jeux vidéos augmentent la capacité de mémorisation chez l’enfant. Cependant je pense que les points négatifs sont plus important que les points positifs, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, les jeux vidéos ont un aspect addictif. Ils captivent et capturent l’attention de l’enfant et finissent par l’isolé dans un monde virtuel. Une étude menée par des pédopsychiatres de l’hôpital saint Anne affirme que plus d’un enfant sur deux n’entend rien de ce qui se passe autour de lui quand il est face à sa console de jeux. Par ailleurs, ces jeux encouragent la passivité. Les enfants sont capable de rester sédentaire et grignoter pendant des heures devant leur console de jeux, développant ainsi un risque d’obésité. Une étude publier par l’office national des statistiques affirme que le taux d’obésité est nettement plus élevé chez les adeptes de jeux vidéo que chez les enfants qui se dépensent en jouant à l’extérieur. Enfin, l’inconvénient majeur des jeux vidéos est la violence. A force de jouer à ces jeux les enfants se familiarisent avec des images violentes et des messages virulents , et les reproduisent dans la vie réelle. « god of war » est un jeux vidéo qui encourage l’agressivité sous tous ses aspects. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui me laissent perplexe quant à l’introduction de ces jeux dans les écoles. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « l’uniforme scolaire doit être obligatoire » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement . Je voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. Aujourd’hui, nous parlons souvent dans les médias et les résaux sociaux de l’uniforme scolaire et son impact sur les écoliers. Pour certains, imposer une tenue vestimentaire aux jeunes, restreint l’expression de leur personnalité. Je trouve que cette idée est biaisée, et je tiens à vous résumer mon opinion qui s’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, j’adhère à l’idée que l’uniforme lutte contre les inégalité au niveau des établissements scolaires. Les classes sociales sont masquées, diminuant ansi le sentiment de jalousie et d’infériorité que certains élèves pauvres peuvent ressentir. Les psychologues affirment que l’uniforme a permis une meilleure intégration des élèves appartenant à une classe sociale inférieur. Outre cela, il crée un sentiment d’appartenance chez les écoliers. En reflétant l’identité de l’établissement, l’uniforme unis les élèves à l’extérieur de l’école. A preuve, lors des concours intellectuels entre écoles, on remarque une meilleure symbiose chez les élèves en uniforme. Enfin, l’uniforme lutte contre la violence. Du fait de l’image qu’il renvoie, il permet d’avoir un meilleur comportement de la part des écoliers, et favorise également un apprentissage de dicipline. Selon une étude récente, les incidents lié à la violence et l’harcélement scolair ont considérablement diminué depuis l’adoption de l’uniforme. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent l’importance de l’uniforme dans . Je suis convaincue que son adoption ne peut qu’être bénéfique pour les écoles et leurs élèves. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « les parents n’ont aucune autorité sur leurs enfants » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. Aujourd’hui, les relations intergénérationnelles font souvent la une des journaux. Les parents ont toujours fait preuve d’autorité vis-à-vis de leurs enfants, ces derniers ne peuvent prendre ni discision, ni franchir un pas sans avoir leur accord. Avant l’âge adulte un enfant devra impérativement avoir l’aval de ses parents pour pouvoir voyager. Cependant, je trouve que la société moderne a fait en sorte que les modes d’éducations changent, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, les jeunes parents veulent éviter les conflits. Motivés par le désir d’élever leurs enfants de façon respectueuse, ils finissent par leur donner le contrôle. A preuve, un sondage affirme que 70% des parents demandent au lieu d’exiger à leurs enfants. Outre cela, la priorité des parents d’aujourd’hui est que leurs enfants se sentent respectés, et entendus dès leur jeune âge. L’amour a fait en sorte qu’ils soient déterminés à ne pas élever leurs enfants comme ils l’ont été. D’ailleurs on donne désormais le droit aux enfants de piquer une crise afin d’apprendre à gérer leurs émotions. Enfin, les chefs de familles ont adopté une nouvelle méthode d’éducation bien loin de l’autorité de leurs ascendants. L’obéissance totale, autrefois louangée, est aujourd’hui perçue comme dépassée. Beaucoup de familles encouragent leurs enfants à exprimer librement leurs pensées. Les pédopsychiatres affirment qu’un enfant obéissant est de nature à se laisser faire. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent mon point de vue quant à l’évolution des méthodes d’éducations. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé «  la recherche spatiale aboutira un jour à des découvertes importantes » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs ,m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. De nos jours, les retombées de la recherche spatiale font souvent la une des journaux. Des sommes colossales sont investies dans ce domaine, sans aucun résultat satisfaisant. Cependant, je trouve que ce domaine de recherche ne peut qu’ être bénéfique pour l’humanité, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord , la conquête spatiale s’est invitée de différentes manières dans nos vies. Les avancées technologiqus apportées par cette conquête nous servent aujourd’hui. A preuve, le GPS, la télévision, l’IRM , L’airbag, font partie intégrante de notre vie. Outre cela, la recherche spatiale permet de minimiser les risques de catastrophes naturelles et les crises humanitaires qui en découlent. L’observation de la terre qui fait appel à des images satellites, permet de détecter et de suivre les risques des aléas naturels, et de mesurer leur vulnérabilité. D’ailleurs la précision des conditions météorologiques en 2017 a permis de gérer les évacuations et sauver des vies durant la saison des ouragans dans l’Atlantique. Enfin, les ressources sur terre sont limitées et la population ne cesse d’augmenter ,on a donc besoin d’un plan B afin de sauver l’humanité. La recherche spatiale permet d’explorer de nouvelles planètes susceptible de nous accueillir si la vie sera anéantie sur notre planète d’origine. Des missions de la NAZA indiquent que des ressources peuvent être minées à partir de régolithe afin de développer un habitat durable sur la lune. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent l’importance de l’exploration spatiale. Je suis convaincue que en relevant ce défi nous améliorerons nos connaissance et notre technologie. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé «  la télévision source d’appauvrissement intellectuel » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. Aujourd’hui, nous parlons souvent dans les médias et réseaux sociaux de l’impact négatif de la télévision sur les facultés cognitives de la personne. Captivé, le téléspectateur passe des heures devant la télévision, mettant ainsi en péril son esprit critique. Il a été prouvé que les gens qui passent des heures devant la TV avaient les mêmes idées que les chaines suivies. Cependant, je trouve que par les différents programmes qu’elle propose , la télévision pourrait être un excellent moyen d’enrichissement intellectuel, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, la TV est une fenêtre qui nous permet de s’ouvrir sur le monde. Elle nous permet de voyager virtuellement à travers le monde afin de . L’émission « le tour du monde diffusée sur TF1 nous fait découvrir les coutumes et les traditions des autres pays. Outre cela, la télévision constitue un excellent moyen permettant d’acquérir des connaissances dans différents domaines. Compte tenu de la diversité des programmes qu’elle propose, la TV nous permet de développer notre culture générale. De par mon expérience personnelle , la chaine TV Ushuaia m’a permis d’enrichir mes connaissances dans le domaine écologique. Enfin, la TV est une sorte de catalyseur qui incite les gens à la lecture. En regardant un documentaire, le téléspectateur aura l’appétit d’approfondir ses informations sur l’édit sujet. A cet égard, un article scientifique récent a souligné le rôle prépondérant de la télévision dans l’enrichissement culturel de l’individu. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent mon point de vue quant au rôle de la TV dans le développent culturel de la personne. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « avec le tourisme tous les pays se ressemblent » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. De nos jours, les agences de voyages proposent des formules standard quel que soit le pays en question, masquant ainsi les cultures et les traditions qui font la typicité de ces derniers. A preuve, aujourd’hui voyager en Afrique ou en Europe demeure presque identique vu la ressemblance des formules proposées. Cependant, je pense que les points de divergence entre les pays sont plus fort qu’il en a l’aire, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, il ne faut pas confondre entre tourisme commercial et tourisme culturel et naturel. Même si on retrouve les mêmes chaines d’hôtels et les mêmes enseignes de commerces dans différents pays, la culture et les paysages diffèrent d’un pays à un autre et c’est ce qui les rends uniques. D’ailleurs, je cherche toujours à découvrir les traditions et les paysages des pays que je visite, car je trouve que c’est ce qui fait leur âme. Outre cela, l’avènement d’une nouvelle culture de tourisme. Le tourisme pour cause, ce type de tourisme est tributaire d’une cause précise. Une grande majorité de personnes voyagent afin d’accomplir un devoir, souvent dicté par une cause écologique, économique ou religieuse. A preuve, le brésil est visité chaque année par des milliers de VERT, ce sont des écologistes qui se déplacent pour lutter contre la déforestation de l’Amazone. Enfin, l’expérience humaine qu’on pourrait vivre en séjournant dans un pays est unique. Les rencontres inopinées font que l’escapade ait un charme spécial et surtout des souvenirs immortels. Une étude récente affirme que plus de 50% des touristes qui visitent un pays dont ils sont tombés amoureux, décident de s’y installer Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent les points qui font que chaque pays soit complètement différent d’un autre. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « il faut interdir les portables à l’école » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent tellement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. Aujourd’hui, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux sur l’importance de l’intoduction des téléphones portables dans les écoles. Avec l’apparition des livres numériques, les portables donnent la possibilité aux élèves d’avoir tous les livres dont ils ont besoin en poche, évitant ainsi de les transporter chaque matin. Cependant, je pense que l’impact négatif des téléphones sur les écoliers est plus fort qu’il en a l’air, et je m’appuie sur ce qui suit . Tout d’abord, les téléphones portables encouragent l’harcèlement scolaire et la violence. Certains élèves s’amusent à filmer l’agression physique de leurs camarades et la diffuser sur le net, induisant ainsi des troubles psychiques chez les victimes. D’ailleurs, les téléphones portables sont désormais interdit dans les écoles à Moutier à cause de ce genre d’incidents. Outre cela, les Smartphones encouragent la tricherie. La facilité d’utilisation des téléphones intelligents ainsi que leur capacité de stockage facilitent davantage le copiage. Selon l’office national des statistiques, plus de 59% des lycéens ont triché au moins une fois durant leur scolarité grâce aux Smartphones . Enfin, les portables sont une source de distraction. Ils impliquent une baisse significative de l’attention et de la concentration, perturbant ainsi le déroulement normal du cours. Les pédopsychiatres affirment qu au contact des téléphones portables, les capacités cognitives des enfants sont fortement perturbées. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui me laissent perplexe quant à l’introduction des téléphones dans les écoles. J’incline à penser que ces derniers doivent être interdit dans les établissements scolaires afin de maintenir un environnement saint pour nos enfants. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé «  les vingt ans sont les meilleures années » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. Aujourd’hui, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux sur le jeunisme et le refus de vieillir. Vouloir rester jeune, heureux et en bonne santé est une aspiration tout à fait légitime. Selon un sondage récent ,plus de 40% des personnes affirment qu’ils n’ont jamais été aussi heureux que durant leurs vingt ans. Cependant, je pense que cette phase de vie pourrait être la plus compliquée qu’il en a l’air , et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, les meilleures années dépendent du vécu de la personnes. En effet on doit faire face à plusieurs expériences dans notre vie, et chaque personne grandi et vieilli à son rythme. Un individu qui a vécu une guerre à vingtt ans, ne considère pas cette période comme étant la meilleure. Outre cela, durant cette période la majorité des jeunes sont dépendants financièrement. Ils continuent à vivre chez leurs parents, limitant ainsi leur liberté pour la prise des décisions, concernant le mode de vie, les achats et les loisirs. Les psychologues affirment que la majorité des jeune âgés entre 20 ET 26 ans sont complètement frustrés de ne pas pouvoir subvenir à leurs besoins. Enfin, à vingt ans les jeunes sont soucieux de leur avenir. C’est l’âge des choix, de l’autonomie et des premiers pats dans le monde adulte, C’est également la période ou le sentiment de solitude s’intensifie . A cet égard une étude récente affirme que plus de 60% des jeunes âgés entre 20 et 28 ans souffrent d’anxiété. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent mon point de vue. Je suis convaincue que l’âge est loin d’être un indicateur de bonheur. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé «  il ya pas de différence entre les jeunes d’aujourd’hui et les générations précédentes » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. Aujourd’hui, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux des relations intergénérationnelles. Certains psychologues affirment qu’il existe une rupture entre les deux générations en raison du fossé qui s’est installé au fil du temps. A vrai dire cela ne me laisse pas indifférente , voilà pourquoi je tiens à étayer cette opinion. Tout d’abord, les conditions socio-économiques ont complètement changé. Engendrant ainsi un changement de comportement et par conséquent de style de vie. A l’époque un jeune de 24 ans devait être responsable d’un foyer, alors que de nos jours il se concentre plutôt sur sa carrière professionnelle. Outre cela, l’avènement des nouvelles technologies a complètement bouleversé nos habitudes. Nous empruntons un train de vie plus intelligent à l’aide des différents outils mis à notre disposition. Désormais la notion de frontières physiques a pris un autre sens, c’est pourqoi nos relations et liaisons peuvent paraitre virtuelles pour l’ancienne génération. Enfin, la nouvelle génération est plus tolérante, et plus ouverte d’esprit que la génération précédente. Contrairement à l’époque de nos parents ou il y’avait pratiquement pas de mixité sociale, notre époque fait preuve de plus de civisme et de tolérance vis-à-vis des autres religions, et couleurs de peaux. A cet égard, une étude récente affirme que le taux d’incidents liés au racisme a significativement baissé ces dernières décennies. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent les différents points de divergence entre les deux générations. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

Votre long article intitulé « les jeunes n’accordent plus d’importance à la famille » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. Nous savons tous que le foyer familial a toujours été un endroit chaleureux ou tous les membres de la famille, quelque soit leur âge, se retrouvent dans un climat de sécurité et de respect. Cependant, je pense que le mode de vie actuel a eu un impact sur l’intérêt que porte les jeunes à leurs familles, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, les jeunes d’aujourd’hui cherchent la liberté et l’autonomie. Ils pensent dès leur jeune âge à quitter le cocon familial dans le but de s’imposer et de créer leur propre monde. D’ailleurs on dénombre de plus en plus de jeunes âgés entre 15 à 16 qui cherchent à s’émanciper afin de pouvoir vivre seule. Outre cela, l’influence de la technologie sur le comportement des jeunes. La digitalisation et l’attachement à l’internet sont parmi les facteurs qui ont contribué à la rupture avec la famille, les jeunes se voient rarement rassemblés avec leurs parents alors qu’ils passent des heures devant leurs téléphones. A cet égard une étude menée par l’école nationale de psychologie de Strasbourg, affirme que l’internet constitue un grand risque de rupture physico-émotionnelle avec la famille, au point que les jeunes n’accordent plus d’importance à leurs relations familiales. Enfin, l’obsession par la carrière professionnelle a complètement isolé les jeunes. En passant des heures interminables au travail ces derniers n’ont plus de temps à accorder à leur famille. A preuve, une étude récente démontre que la majorité des personnes ayant une belle carrière professionnelle vivent un échec sur le plan familial. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent l’ampleur de la barrière qui est entrain de se construire entre les jeunes et leurs familles. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

Monsieur le rédacteur en chef, Votre long article intitulé « la vidéosurveillance n’éradique pas la criminalité » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. Présente partout, la vidéosurveillance est de pratique courante de nos jours. Il est vrai que la caméra dans les lieux public est un moyen sur et bien éprouvé de contrôler Les petits délits. Plus de 30 agresseurs ont été arrêtés grâce aux caméras de surveillances l’année dernière à Lyon. Cependant, je pense que son efficacité reste discutable, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, le manque de vigilance dans la vérification des caméras de surveillances. En passant des heures à analyser les caméras, les agents ont tendance à lâcher prise. A preuve, le bilan dressé par la police de Paris l’année dernière affirme que sur 2000 actes de délinquances il n’ya eu que 200 arrestations grâce à la vidéosurveillance. Outre cela, on souligne la mauvaise qualité des caméras de surveillance. En effet, sur quatre caméras, trois ne disposent pas de zoom, compliquant ainsi le processus d’identification. D’ailleurs, l’identification des plaques d’immatriculation des délinquants en fuite demeure impossible. Enfin, avec l’avènement de la vidéosurveillance il y’a eu un effet de déplacement de la criminalité. La présence de caméras de surveillances dans les rues ne diminue pas la délinquance et les autres formes de criminalités, elles les déplacent seulement vers les zones non surveillées. A cet égard, une étude menée par l’office national des statistiques démontre que le taux de criminalité a baissé de 2% dans les zones surveillées, contre une augmentation de 9% dans les zones non surveillées. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent mon recul à l’égard de cet objet œil espion, tout bien considéré, je suis convaincue qu’il n’est pas le bon procédé pour éradiquer la criminalité. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

Monsieur le rédacteur en chef Votre article intitulé « donner de l’argent de poche aux adolescents est un mauvais service qu’on leur rend » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions at avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. De nos jours, certains parents ne veulent pas donner de l’argent de poche à leurs enfants de façon régulière pour ne pas les habituer à recevoir de l’argent sans fournir l’effort de l’obtenir. Selon eux l’argent doit se gagner, c’est le fruit d’un effort. Cependant, je trouve que cette vision est biaisée, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, j’adhère à l’idée que donner de l’argent de poche aux adolescents est un moyen éducatif. C’est un premier pas vers l’autonomie, car il incombe à l’enfant de gérer seul son argent même si celui-ci est maigre, Lui permettant ainsi de gagner en maturité. Il peut par exemple acheter des jeux vidéos sans demander à ses parents. Outre cela, donner de l’argent de poche aux adolescents est une manière de les aider à réfléchir sur leurs rapports à l’argent. Par ce geste on les incite à faire des choix et à comprendre concrètement la notion d’épargne dans le temps. De par mon expérience personnelle, mon fils épargne pendant des mois pour pouvoir se permettre un diné avec ses amis. Enfin, le versement d’une allocation régulière renforce la relation de confiance entre parents et adolescents pendant cette phase critique. L’adolescence est la période la plus difficile pour les parents et les adolescents, en accordant un revenu mensuel, les parents réussissent à minimiser les confrontations tendus. A cet égard, une étude récente affirme que les adolescents qui bénéficient d’argent de poche font preuve de plus d’indulgence envers leurs parents. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent l’impact de l’argent de poche sur les adolescents. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé «  il faut interdir aux jeunes de moins de 10 ans de regarder la TV » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. De nos jours, nous parlons souvent dans les médias sur l’influence positive de la télévision sur les enfants. Certains parents l’utilisent comme un catalyseur afin d’inciter leurs enfants à la lecture. Cependant, je pense que la TV a un impact néfaste sur le bon développement de l’enfant, et je m’appuie sur ce qui suit . Tout d’abord, la télévision appauvrit l’imagination et la créativité de l’enfant. A cet âge la capacité d’assimilation est à son maximum, il serait donc plus judicieux de passer ce temps perdu devant la TV à faire du sport, du dessein ou encore de la music, qui contrairement à la télévision contribuent à améliorer le potentiel de l’enfant. A preuve, une étude récente affirme que les enfants qui pratiquent du sport ont de meilleurs résultats scolaires que c’eux qui n’ont font pas. Outre cela, le comportement des enfants est fortement influencé par la télévision. Les enfants sont exposés à un amas d’informations non adaptés à leurs âge, les images violentes et messages virulents risquent de rendre l’enfant agressif dans ses gestes et paroles. D’ailleurs, l’entité régulatrice de l’audiovisuelle a installé des restrictions de visualisation depuis quelques années, le fameux (-10 ans). Enfin, la télévision constitue un réel danger sur la santé des enfants, elle les rend passifs. Ces derniers ont tendance à passer des heures sans bouger et à grignoter devant la TV, risquant ainsi de développer une obésité qui peut induire de sérieux problèmes cardiovasculaires. A cet égard, une étude menée par l’université de médecine à Toulouse affirme que 70% des cardiopathes ont souffert d’un problème d’obésité à leur jeune âge. Autant d’élément, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent le danger que représente la TV sur nos enfants. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « les enfants apprennent plus sur internet qu’à l’école » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. L’évolution technologique a fait en sorte que les enfants aient un accès instantané à l’information, ce qui se répercute positivement sur leurs résultats scolaires. Une étude menée par l’office national des statistiques affirme que les résultats des élèves en science naturelle a augmenté de 35% depuis l’avènement d’internet. Cependant je pense que l’enseignement via internet n’est pas adapté à leur âge, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, contrairement à l’école qui est un milieu adéquat au développement de l’enfant, le monde d’internet peut être très dangereux pour nos petits. Cette boite noire contient pleins de bonnes et de mauvaises informations ; or un enfant n’est pas en mesure de trier ce tas d’informations, risquant ainsi de consulter des contenus non adaptés à son âge. D’ailleurs les statistiques ont montré que cette technologie a accentué le taux de délinquance juvénile. Outre cela, l’apprentissage via internet pourrait être inefficace. Les enfants sont beaucoup trop jeunes pour avoir le sens de responsabilité et d’autodiscipline, ils pourraient perdre leur temps à surfer sur les réseaux sociaux au lieu de s’appliquer sur leurs cours. De par mon expérience personnelle autant que maman de deux enfants, lors du dernier confinement mes enfants avaient beaucoup de mal à se concentrer sur leurs cours via internet. Enfin, l’internet a un effet désastreux sur le cerveau de nos enfants. L’exposition prolongée des écoliers aux écrans pourrait leur causer des problèmes d’insomnies et d’isolement social pouvant mener à l’échec scolaire. Les pédopsychiatres affirment que l’exposition prolongée des enfants aux écrans a un effet à court et à long terme sur leur comportement. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui me laisse perplexe quant à l’enseignement via internet. Je suis convaincue que les méthodes d’apprentissage traditionnelles sont mieux adaptées à nos petits, et je ne peux que les applaudir. Toujours fidèle à votre journal veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

Monsieur le directeur en chef Votre long article intitulé « les voyages en solitaire c’est plus amusant » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. De nos jours, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux des voyages en groupe. Certains lecteurs pensent que les voyages organisés sont l’unique myoen de profiter de ses vacances au maximum. je trouve que cette vision est biaisée , et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, les voyages en solitaire nous procurent plus de liberté. Nous avons la possibilité de programmer notre séjour à notre rythme, sans avoir à suivre un programme établi par une agence ou par les personnes qui nous accompagnent. Par exemple, se lever quand on veut, visiter ce qu’on veut, et rester plus longtemps dans un endroit qu’on apprécie. Outre cela, être seule lors d’un voyage nous permet de forger notre personnalité. On apprend à être autonome et à ne compter que sur soi, c’est également un moyen pour régénérer son âme. D’ailleurs plusieurs écrivains affirment que leurs plus grandes inspirations ont eu lieu lors des voyages en solitaire. Enfin, les voyages en solitaire augmentent la possibilité de faire de nouvelles rencontres, des rencontres avec les locaux, et également avec les groupes de touristes. En étant seule on dispose de plus de temps libre, et on a tendance à aller vers les gens. A cet égard, le bloggeur voyageur Julien, témoigne avoir rencontré sa femme Belge lors d’un voyage en solitaire en Inde. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent mon penchant pour les voyages en solitaire. Je suis convaincue qu’il s’agit d’une expérience de vie exceptionnelle. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « une ville moderne ou les boutiques ne ferment pas » paru à la une de votre journal le premier septembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. De nos jours, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux des villes qui ne dort pas. Cette nouvelle mode constitue un excellent investissement touristique. D’ailleurs les villes telles Tokyo et New York font partie des villes les plus visités dans le monde. Cependant, je pense que la question doit être traitée autrement en raison des circonstances actuelles, et je vous résume mon opinion à travers ces trois arguments. Tout d’abord, L’avènement du e-commerce concurrence fortement les magasins. Cette nouvelle technologie propose l’achat à tout moment par un simple clic avec une livraison inclus. L’office national des statistiques affirme que le taux de conversion du commerce traditionnel au e-commerce ne cesse de croitre. Outre cela, notre conjoncture actuelle ne nous permet pas d’accentuer la consommation des énergies fossiles. Une ville qui ne dort pas est une ville qui consomme deux fois voire trois fois plus d’électricité qu’une ville ordinaire. Or nous luttons actuellement à réduire le plus possible l’empreinte carbone de nos métropoles. A preuve, Tokyo ne cesse de construire des centrales électriques pour maintenir l’équilibre des commerces nocturnes au détriment de la préservation des écosystèmes. Enfin, faire travailler les employés la nuit contribue fortement à l’expansion du phénomène de désocialisation. Plusieurs familles souffrent du mode de vie que nous empruntons, le surmenage et l’hyperactivité ont fait en sorte que les familles soient moins disponibles pour leurs enfants. Les pédopsychiatres affirment que plus de 50% des enfants qui présentent des troubles psychiques, souffrent de l’absence permanente de leurs parents. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui me laissent perplexe quant à l’ouverture permanente des magasins. Je suis convaincue qu’il serait plus judicieux d’investir dans le domaine écologique afin de préserver notre planète. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé «  nous devons changer nos comportements alimentaires » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles à ce sujet d’actualité qui alimente encore de nombreux débats. De nos jours, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux sur les nouveaux modes de consommations de notre société . La conjoncture actuelle a fait en sorte que les gens consomment excessivement sans se soucier de notre environnement. Cependant je pense qu’une prise de conscience est vitale afin de péserver notre planète, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, la consommation excessive des viandes implique la pollution de l’air. En consommant plus de légumes et de fruits et moins de viande, on diminue le nombre des élevages et par conséquent le taux du gaz méthane dégagé par les animaux d’élevages. A preuve, le taux de pollution en Floride est très important à cause de la concentaration élevé des élevages dans cette région. Outre cela, la grande agression que subit notre planète est tributaire du nouveau mode d’agriculture qui a empoisonné la terre. La consommation des produits or saison implique la pratique d’agriculture conventionnelle qui fait appel aux pesticides at aux produits chimiques. Nous devons donc agir contre ce courant afin de minimiser les dégats. Le BIO est considéré actuellement comme étant l’argument imparables des activistes Verts qui luttent pour un environnement sain et dépollué. Enfin, la production de certains produits agroalimentaires a un effet néfaste sur notre écosystème. La vérification des étiquettes et de la provenance des produits qu’on consomme doit être systématique pour ne pas contribuer à la destruction de notre planète. La production de l’huile de palm qui est un composant de 80% des produits agroalimentaires, implique une large déforestation ainsi que la disparition de plusieurs espèces rares telles les oranges-outanas. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent la gravité de la situation actuelle. Je suis convaincue que le changement des comportements alimentaires aura des répercutions positives sur notre planète. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « le plus important c’est la vie professionnelle » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. De nos jours, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux de l’importance de la carrière professionnelle. Notre conjoncture actuelle a fait en sorte que la réussite professionnelle soit une priorité. Pour certains réussir professionnellement est synonyme d’accomplissement de soi. Cependant, je pense que cette vision est biaisée , et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, j’estime que l’équilibre entre la vie professionnelle et la vie privée est important pour entretenir une vie saine et heureuse. En se focalisant sur le plan professionnel, on a tendance à négliger la vie de famille. A preuve, de nos jours beaucoup d’enfants se plaignent de l’absence permanente de leurs parents. Outre cela, réussir professionnellement implique des sacrifices. Les personnes ayant la carrière professionnelle comme priorité passent beaucoup de temps à travailler afin de gravir les échelons. Ecartant ainsi les petits plaisirs de la vie tels les voyages et les sorties entre amis. Il a été prouvé que la majorité des personnes qui réussissent professionnellement vivent un échec sur le plan social. Enfin, l’acharnement professionnel nuit à la santé. En passant des heures interminables à travailler, on se prive de dormir suffisament, de manger sainement et de faire du sport régulièrement, ce qui engendre de sérieux problèmes de santé tels le surpoids, l’hypertension et le diabète. A cet égard une étude menée par des professeurs de l’université de médecine à Toulouse , affirme que 70% des fonctionnaires buralistes souffrent de maladies métaboliques par manque d’activité physique. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui me laissent perplexe quant à l’importance accordée à la vie professionnelle. Je suis convaincue que cette dernière n’est qu’un fragment de la vie d’un individu, il suffit de trouver le bon équilibre pour être heureux. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter mes salutations les plus distinguées.

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « dans le monde moderne de compétition, les gens sont devenus moins solidaire » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet d’actualité qui alimente encore de nombreux débats. De nos jours, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux sur le mode de vie actuel et ses répercutions sur nos comportements. Certains lecteurs, pensent que la compétition est un moyen permettant d’améliorer le potentiel de l’individu . Je pense que cette vision est biaisée , et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, je trouve que la compétition est souvent liée à l’égoisme. La conjoncture actuelle a engendré l’intérêt abusif de soi. Les gens ne prennent plus en considération ni les sentiments ni les réactions des autres tout ce qui compte pour eux c’est de réussir. A pReuve, de nos jours La rivalité entre les mannequins va jusqu’à l’agression physique. Outre cela, l’appat de gain est un facteur irradiant l’altruisme. En ne s’intéressant qu’à gagner plus , on néglige les conséquences que nos actes peuvent avoir sur autrui. Les industries pharmaceutiques ne manifestent que peu d’intérêt à la santé des gens, le plus important c’est l’argent. Par conséquent, ils produisent des médicaments qui nous gardent en vie mais malades. Enfin, les enjeux sont si importants que l’égoisme est devenu un instinct de survie dans le milieu professionnel. En effet, les salariés n’hésitent pas à utiliser des pratiques dépourvus de toute éthique afin d’accéder à des postes et des privilèges. A cet égard, une étude menée par l’office national des statistiques affirme que 70% des employés n’hésitent pas à dénigrer leurs collègues afin de gravir les échelons. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent les conséquences de la compétition sur nos comportements. Je suis convaincue que c’est notre désir insatiable de supériorité qui a rendu la compétition déstructive entre nous. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « l’intérêt de la sieste au travail » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et vis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles à ce sujet d’actualité qui alimente encore de nombreux débats. Aujourd’hui, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux sur l’importance d’une sieste pour les employés. Pour certains lecteurs, le rythme actuel imposé par la plupart des entreprises ne laisse pas de place pour la sieste. Cependant, je pense que cette dernière présente plusieurs bienfaits sur les performances des employés, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, la sieste maintien la confiance employeurs-employés. Elle démontre aux employés que leur bien-être est important. Ces derniers voudront rester fidèle, et seront plus productifs car ils savent qu’ils évoluent dans un environnement sain. A preuve, Nike et Google disposent d’un espace de détente et accordent une sieste à leurs employés. Outre cela, la sieste permet de préserver la santé des employés. Elle lutte contre le stress, les risques cardiaques et la dépression. Il s’agit d’un besoin biologique contre lequel on ne devrait pas lutter. Dans certains pays comme le Japon et la Chine, la sieste au travail est un droit qui fait partie de leur constitution. Enfin, la sieste permet au travailleur d’être plus productifs. Elle améliore la mémoire, accroit la créativité et augmente la vigilance. Un employé reposé ne penserait pas à dormir et serait davantage présent pour ses missions. A cet égard, la Nasa a affirmé qu’une micro sieste permet d’augmenter la concentration et la production des salariés de 35%. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent l’importance de la sieste au travail. Je suis convaincue que son adaptation jouera en faveur des entreprises. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « on ne se fie que lorsqu’on achète des courses de grandes marques » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet d’actualité qui alimente encore de nombreux débats. Aujourd’hui, on parle beaucoup de l’équilibre entre les entreprises locales et les géants de la grande distribution. Selon certains médias, les grandes marques demeurent des incontournables des grandes surfaces. Je crois que cette vision est biaisée, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, les grandes marques subissent actuellement des compagnes de boycottes de plus en plus intenses. En effet, en quête de rentabilité plusieurs entreprises multinationales délocalisent leurs usines afin de réduire au maximum le cout de la production. Certains utilisent des méthodes peu orthodoxes pour atteindre leurs objectifs en employant des enfants. Ceci engendre chez le consommateur un sentiment de culpabilité qui se traduit par une abstinence d’achats. Outre cela, nous préférons acheter des produits locaux afin de soutenir notre économie. Avec les nouvelles mesures prisent par le gouvernement, nos agriculteurs trouvent leur compte et les effets de libéralisme aveugle commencent à se réduire. Le meilleur exemple réside sur l’essor que connait actuellement le marché de légumes Bio. enfin, nous remarquons la naissance d’une nouvelle culture chez les consommateurs. Celle-ci les rend plus sélectifs. Ainsi, ils font attention à l’empreinte carbone quand ils font leurs achats. A cet égard, une étude menée par le centre national des statistiques affirme que la vente des produits qui consomment moins d’énergie a augmenté de 75% . De plus elles appartiennent à des marques peu connues. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent mon point de vue quant à la fiabilité des grandes marques. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « zéro déchets zéro gaspillage» paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. Aujourd’hui, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux sur les nouveaux modes de consommations. Certains lecteurs, pensent que les dégats subient par notre environnement sont irréversibles. Je pense que cette vision est biaisée, et je m’appuie sur ce qui suit Tout d’abord, nous devons rationaliser notre consommation afin de diminuer le taux de gaspillage. En effet, nous avons tendance à acheter plus que ce qu’il en faut surtout en matière de denrées alimentaires qui représentent le taux le plus élevé de gaspillage. . Plusieurs blogs anti-gaspi voient le jour afin de cuisiner les restes au quotidien. Outre cela, limiter les emballages pour réduire les déchets alimentaires. Il est possible de faire un geste pour l’environnement en achetons des produits sans ou avec très peu d’emballages. Aussi privilégier les sacs régis aux sacs en plastiques. Les écologistes appellent à la favorisation des sacs réutilisables et des produits en vrac afin de limiter au maximum les déchets. Enfin, consommons responsable en favorisant les produits d’occasion. En achetant et en réutilisant des produits qui sont encore en état de marche, l’impact environnemental est énorme puisque l’on réduit considérablement nos déchets. D’ailleurs il existent plusieurs plateformes sur internet qui facilitent la commercialisation des produits d’occasions telles Tripoteur, Bon coin….. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent l’impact que nos gestes peuvent avoir sur l’environnement. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « la publicité influence sur le comportement de nos achats » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. De nos jours, nous parlons souvent des contenus publicitaires qui nous interpellent par leur caractère créatif. Pour certains citoyen, ces spots occupent une grande place dans les journaus à grand tirage, influançant ainsi nos choix lorsque nous faison nos achats. A vrai dire ce sujet me tient à cœur, et j’aimerais vous expliquer mon opinion. Tout d’abord, la publicité est faite fondamentalement pour booster les ventes qui stagnent. En effet, c’est un véritable levier pour les responsables marketing. Elle est employée non seulement pour accroitre les recettes, mais aussi pour éviter le naufrage financier. A cet égard, une étude menée par l’office national des statistiques stipule que la publicité est à l’origine de 90% des achats impulsifs. Outre cela, les jeunes sont très souvent victimes de certains contenus publicitaires. Malheureusement, l’expansion de la commercialisation du tabac bat son plein. Les professionnels de ce secteur utilisent des artifices de plus en plus attirant afin de gagner une jeune clientèle. D’ailleurs, l’entité nationale de protection du consommateur ne cesse de tirer la sonnette d’alarme afin de canaliser le phénomène de tabagisme juvénile. Enfin, l’essor des technologies a fait en sorte que les publicités soient de plus en plus ciblés. Le contenu web est tracé, les industriels récupèrent automatiquement les cookies de nos recherches afin de nous proposer subtilement un produit susceptible de nous intéresser. Il est désormais courant de recevoir des notifications sur notre compte Facebook portant objet la vente d’un produit dont nous avons effectué la recherche auparavant. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent la face cachée de la publicité et son pouvoir à influencer nos achats. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « internet, mail, réseaux sociaux, le mélange entre vie privée et vie professionnelles est inévitable » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. De nos jours, nous avons tendance à confondre entre vie privée et vie professionnelle. L’essor des technologies a fait en sorte que la frontière entre les deux sphères s’estompe. Cependant, je pense qu’une bonne organisation permet d’éviter ce phénomène, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, la multitude des outils technologiques permet de différencier entre le professionnel et le personnel. En effet, on trouve sur le web des plateformes dédiées par contenus permettant d’écarter la confusion entre les deux sphères. Facebook pour l’aspect personnel et Viadeo pour le professionnel. Outre cela, une bonne organisation au quotidien permet d’assurer un équilibre entre les deux sphères. Il suffit d’adopter des pratiques simples afin d’être efficace au travail la journée et libre de tout engagement le soir. Ne pas gaspiller son temps à surfer sur les réseaux sociaux la journée permet de clôturer ses tâches et être libre en soirée par exemple. Enfin, il revient à chacun de nous de garder une partie de sa vie privée et professionnelle en dehors de la sphère numérique. Cela évitera une complexité de gestion, et permettra de protéger nos proches, amis, collègues et nous même de toute intrusion extérieure. A preuve, l’hygiène numérique est adoptée par une grande majorité de Quesquois. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent les pratiques à adopter afin d’éviter toute confusion. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « avec internet la vie privée n’existe plus » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. De nos jours, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux des pratiques à adopter afin de garder notre vie privée à l’écart de la sphère numérique. Certains lecteurs pensent que l’hygiène numérique est susceptible de protéger leur vie privée. Je trouve que cette vision est biaisée, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, sur internet on ne peut rien contrôler. En effet, tout ce qu’on partage sur internet peut être récupéré par une autre personne et publié à nouveau. Ainsi rien n’est privé mais tout est public. Les photos de profil sur Facebook par exemple, peuvent être récupérées par n’importe quelle personne par une simple capture d’écran. Outre cela, les piratages et les usurpations d’identité sont des pratiques très courantes sur internet. Les hackers peuvent pirater des comptes et récupérer les informations permettant l’identification de l’individu pour les utiliser à des fins malveillantes. A preuve, la cybercriminalité affirme que plus de 30% des internautes ont été victime d’usurpation d’identité. Enfin, sur internet les données personnelles sont souvent utilisées à des fins commerciales. Les informations personnelles que nous saisissant sur le net, et les recherches que nous effectuant sont stockées et vendus à des industriels. Ces derniers les utilisent afin de nous proposer des produits susceptibles de nous intéresser. D’ailleurs, nous recevons souvent des notifications sur Facebook portant objet la vente d’un produit dont nous avons effectué la recherche auparavant. Autant d’éléments, monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent le danger que représente l’internet sur l’intimité des individus. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « avec l’ordinateur on n’a pas besoin d’apprendre l’écriture à la main aux enfants » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. De nos jours, l’écriture à la main disparait au profil des nouvelles technologie. Certains individus pensent qu’il faut la bannir de nos écoles afin d’initier nos enfants à la dactylographie. Je trouve que cette vision est biaisée, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, l’écriture à la main offre plus de liberté et permet de s’approprier le contenu. Elle incite à faire un effort de synthèse puisque l’on ne peut pas tout noter, ce qui représente la première étape dans le processus d’apprentissage. Les pédopsychiatres affirment que l’écriture à la main permet d’organiser sa pensée de manière plus efficace que la dactylographie. Outre cela, ne pas apprendre l’écriture à la main aux enfants c’est ouvrir la porte à une extinction du savoir. En effet, l’évolution de l’histoire est basée sur l’écriture, il s’agit de la plus importante invention de l’humanité. Elle a permis de transmettre le savoir de génération en génération. D’ailleurs, en archéologie nous devons faire appel à des spécialistes afin de déchiffrer des manuscrits anciens. Enfin, l’écriture manuscrite est un exercice cérébral de tous les jours. Elle active des fonctions cérébrales telle la langue, la pensée et la mémorisation. Alors, si on apprend plus l’écriture à la main aux enfants, on appauvrit leur apprentissage. A cet égard, une étude menée par des neurologues à l’université de Toulouse affirme que l’écriture à la main facilite la mémorisation. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent les vertus de l’écriture manuscrite et son impact sur le processus d’apprentissage. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « l’internet met en danger l’avenir du livre » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet d’actualité qui alimente encore de nombreux débats. De nos jours, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux sur l’avenir du livre dans notre société hyperactive. Certains individus pensent qu’il est préférable d’adopter les livres numériques à la place des livres en papier. Je pense que cette vision est biaisée, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, contrairement aux livres numériques, les livres en papier ne sont tributaire d’aucun facteur. En effet, pour consulter un livre sur internet on a besoin de réseau et d’énergie avec le risque de se retrouver avec une batterie à plat. De par mon expérience personnelle, lors de mes voyages je préfère largement prendre un livre en papier, le tenir et le feuilleter à tout moment. Outre cela, la lecture numérique a des effets néfastes sur la santé des lecteurs. La lecture prolongée sur un écran a pour conséquence une fatigue oculaire et des migraines. D’ailleurs la majorité des ophtalmologues recommandent des livres papier à leurs patients. Enfin, contrairement aux livres, la fiabilité des informations disponible sur internet n’est pas garantie. Le contenu disponible sur le web n’est pas soumis à un contrôle. Ainsi on risque d’être induit en erreur. A preuve, la mélatonine qui est un médicament toxique à forte dose, est présentée comme l’hormone miracle du sommeil sur internet. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent l’importance des livres. Je suis convaincue que ces derniers ne pourront jamais être remplacés. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « on devrait réintroduire les véhicules à traction animale » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. De nos jours, nous luttons afin de réduire le plus possible l’empreinte carbone de nos métropoles. Certains individus pensent que la solution serait de limiter le taux des gaz à effet de serre émis par le transport, en réintroduisant les véhicules à traction animale. Je trouve que plusieurs autres paramètres doivent être pris en considération, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, réintroduire les véhicules à traction, c’est passer un trait sur tous les progrès effectués ces dernières décennies. En effet, plus une nation possède une plateforme logistique performante et des moyens de transports performants, plus son économie gagne en puissance. Ainsi, les entreprises et les usines risquent de mettre la clef sous la porte à cause des retards de livraisons des biens par exemple. Outre cela, adopter ce moyen de transport aura certainement un impact sur la société. Suite aux problèmes économiques engendrés par ce changement le taux de licenciement va doubler voire tripler, induisant ainsi une insuffisance de revenus et une régression du pouvoir d’achat. Par conséquent, l’adoption de ce changement aggravera les phénomènes sociaux tels la mendicité et la précarité. Enfin, l’impact sanitaire est considérable. Nos villes et nos rues ne sont pas équipées afin de subir ce changement, car cela implique une certaine organisation pour éviter une crise sanitaire. Il faudra penser à nourrir la bête, gérer ses excréments et mettre en place des étables. Dans l’absence des moyens d’adaptations nous risquons de se retrouver avec des déchets animaliers partout. Ainsi nous risquons d’être plongés rapidement dans une crise sanitaire semblable à c’elle du Covid19. Autant d’éléments, monsieur le rédacteur en chef, qui me laisse perplexe quant à l’introduction de ces véhicules dans nos villes. Je suis convaincue que cela ne va servir que pour des activités loisirs. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé «  aujourd’hui dans le domaine sportif c’est l’argent qui est le maitre » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. Aujourd’hui, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux de la noblesse du sport. Ce domaine véhicule plusieurs valeurs telles la tolérance, l’honnêteté, l’honneur et le courage. Cependant, je pense que le sport occulte une autre face cachée qui mérite d’être soulignée, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, des sommes exorbitantes sont déboursées pour le recrutement des sportifs. En effet, les clubs de football n’hésitent pas à débourser des montants colossaux , avoisinant parfois les réserves de change de tout un pays. Comme en témoigne le fameux transfert du joueur brésilien Neymar pour le Paris-Saint-Germin. Outre cela, les agents sportifs n’hésitent pas à transformer leurs joueurs en produits marketing. Les marques exploitent les atlhètes sportifs qui deviennent des stars sur la scène publique afin de générer d’importantes retombées financières. David Beckam par exemple, compte à son compte d’indénombrables compagnes publicitaires ainsi que des galas et une marque de vêtement à son nom. Enfin, le point le plus important est la corruption dans le domaine sportif qui prive le sport de ses valeurs d’éthiques. Effectivement, les médias font souvent la une sur des affaires de matchs truqués et de malversations dans des tournois. Les enquêtes de la fédération intestinale football par exemple font souvent le point sur des affaires de corruption. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent l’ampleur des changements que ce domaine a subit. Je suis convaincue que le domaine sportif doit être encadré au plus vite au risque de le voir dépourvu de toute ses valeurs. Toujours fidèle à votre journal veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « les séniors et les jeunes n’ont plus rien à partager » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. Aujourd’hui, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux sur les relations intergénérationnelles. Les jeunes peuvent toujours profiter de l’expérience des ainés afin de mieux avancer et éviter les échecs sur tous les plans de la vie. Cependant, je pense que les séniors sont de plus en plus susceptibles d’être marginalisés, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, l’état de santé des ainés les empêche de partager des activités ludiques avec les enfants. On déplore chaque jour l’état de nos EHPAD, la dureté de vie de l’ancienne génération a laissé des séquelles. A preuve, plus d’un tiers des personnes nées dans les années quarante et cinquante seraient actuellement atteintes d’une maladie chronique. Outre cela, les nouvelles technologies demeurent un mystère pour de nombreux séniors. Engendrant ainsi une barrière pour la communication intergénérationnelle. A cet égard, une étude menée par l’office national des statistiques affirme que seulement 20% des personnes agées entre 70 et 90 ans utilisent un téléphone intelligent. Enfin, le mode de vie des deux générations est complètement divergent. Les jeunes aiment voyager en dehors des sentiers battus. Ils préfèrent des destinations exotiques qui contrastent leur vie quotidienne. Or les ainés les voient comme des téméraires vu le nombre important de faits divers qui découlent de ce genre de voyage. Il est donc impossible pour un adolescent de planifier des vacances avec ses grands parents. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent l’ampleur de la rupture intergénérationnelle. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

Votre article intitulé « on devrait imposer la gratuité des transports » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. De nos jours, plusieurs métropoles ont déjà instauré la gratuité des transports en commun. Certains individus pensent que cette initiative ne pourra qu’être bénéfique, car elle permettra de réduire l’utilisation des véhicules personnels très polluants. Cependant je trouve que cette vision est biaisée, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, au niveau symbolique, la gratuité modifie l’image et le statu des lieux, elle les désacralise. En effet, la gratuité introduit un doute sur la valeur de l’offre «  ce qui est gratuit n’as peut-être pas de valeur », engendrant ainsi un désengagement de la part des voyageurs. A preuve, les transports gratuits de certaines villes ont des chaises démontées et desvitres cassées. Outre cela, la gratuité est associée à une affluence excessive de la population. Cela peut nuire à la qualité de l’expérience et des services : files d’attentes, bruit, manque d’espace, ainsi que le manque d’informations et les contraintes de planification des voyages. D’ailleurs les habitants de Chateauroux se plaignent souvent des retards excessives enregistrés par les transports publics. Enfin, la gratuité perturbe les sources de financement. Les recettes perçus des transports servent à les entretenir et à payer le personnel. Ainsi la gratuité induira la hausse des dépenses de la commune et l’augmentation du budget pour faire face à ces charges. A cet égard, une étude menée par l’office national des statistique affirme que le budget de la ville de Lyon a connu une hausse de 30% après l’instauration de la gratuité des transports. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent les inconvénients de la gratuité des services. Je suis convaincue que d’autres secteurs plus vital devraient être gratuit tels la santé et l’éducation. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

Les sites de rencontres La conjoncture actuelle a fait en sorte que les rencontres se fassent essentiellement via internet. La majorité des personnes ayant un emploi du temps chargé ont réussit à trouver leur âme sœur grâce aux sites de rencontres. Cependant je pense que cette nouvelle technologie oculte une autre face caché et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, les plateformes de rencontres risquent d’accentuer un problème de phobie sociale. En effet, les personnes souffrant de ce problème choisissent la facilité, ils préfèrent parler derrière un écran et ne font plus l’effort d’aller vers les gens. S’isolant ainsi davantage dans leur zone de confort. La majorité des psychologues interdisent à leurs patients d’adhéré aux sites de rencontres. Outre cela, à cause de la gratuité du service, les relations humaines sont devenues jetables. En effet, ces sites créent un sentiment de détachement par rapport à autrui. Nous sommes devenus interchangeables et rapidement remplaçables, ce phénomène nous éloignent donc comme jamais. Une étude menée par l’office national des statistiques affirme que le taux de divorce chez les couples formés sur ces plateformes à dépassé les 50% . Enfin, il s’agit d’un marché virtuel basé sur des critères qui n’existent pas forcément dans la vie réelle. Effectivement, ces plateformes sont basées sur les apparences et non pas sur les qualités propres à la personne. Par conséquent, cet outil n’est pas performant pour trouver son âme sœur et ce à cause de sa superficialité. A Preuve, une étude menée par le HCP affirme que 60% des personnes inscrites sur ces sites depuis plus d’un ans sont encore célibataires. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui me laissent perplexe quant à l’impact de ces sites sur les relations humaines. Je suis convaincue que ces plateformes nuisent à la qualité des rencontres et la pérennité des couples. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « les séniors sont plus éduqués que les jeunes » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. De nos jours, les relations intergénérationnelles font souvent la une des médias. Certains lecteurs pensent que les parents cherchent à éduquer leurs enfants de la manière dont ils l’ont été, afin d’avoir une descendance avec des valeurs et des principes aussi fort que les leurs. Cependant, je trouve que la conjoncture actuelle a fait en sorte que les méthodes d’éducations soient complètement divergentes, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, nos ainés sont plus éduqués parce qu’ils ont bénéficié d’une éducation stricte, ou punitions et discipline étaient les seuls mots d’ordre. Alors que de nos jours, les jeunes adoptent une attitude de refus réclamant plus de liberté. L’obéissance totale est donc considérée comme étant d’un temps révolu . D’ailleurs, les jeunes parents demandent au lieu d’exiger à leurs enfants. Outre cela, l’individualisme et le changement des conditions socio-économiques ont engendré un changement de style de vie. Contrairement à nos parents qui ét aient très attachés à leurs familles, les jeunes d’aujourd’hui sont égoistes et ne cherchent que leur propre intérêt. Une étude des nations unis affirme que 80% des jeunes d’aujourd’hui n’ont aucune relation avec leurs proches et entourages. Enfin, l’avènement de la technologie a eu un impact sur l’éducation des enfants. Ces derniers sont tellement captivés par leur écran qu’ils ne savent plus écouter. Engendrant ainsi des comportements négatifs tels la violence et l’insolence. A cet égard, une étude menée par des sociologues à l’université de Paris affirme que les actes de violence chez les jeunes ont augmenté de 30% ces 10 dernières années. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent l’impact négatif de la modernisation sur l’éducation des enfants. Je suis convaincue que les méthodes d’éducations traditionnelles ont forgé une génération beaucoup plus éduquée que la notre. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « l’expérience de vie et des voyages vaut mieux que les diplômes » paru à la une de votre journal, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. De nos jours, nous parlons souvent dans les médias de l’importance des diplômes dans l’acquisition du savoir et le savoir faire permettant d’obtenir une offre d’emplois valorisante et intégrer le marché du travail. Cependant, je pense que pour améliorer son savoir être, et acquérir d’autres compétences fondamentales afin de réussir dans la vie, les diplôme restent insuffisants, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, les voyages sont très important pour le développement personnel. En effet, ils permettent de tisser des relations avec des gens issus de différents pays, pratiquer différentes langues étrangères et assumer des discussions dans différents sujets renforçant ainsi la confiance en soi. De par mon expérience personnelle, malgré mon cursus universitaire radieux, seuls les voyages que j’ai effectué m’ont permis de forger ma personnalité. Outre cela, les voyages permettent de s’enrichir en découvrant les autres cultures et traditions. En visitant plusieurs pays on se frotte aux locaux et on immerge dans leur monde , cela permet de développer davantage notre culture générale. Mon voyage en Malaisie m’a permis de découvrir les différentes religions qui cohabitent dans se magnifique pays, l’islame, le bouddhisme….. Enfin, la découverte des différentes cultures et traditions nous apprend la tolérance et l’ouverture d’esprit. Ces caractéristiques ne s’apprennent pas à l’école ou à l’université, elles sont plutôt inculquées suite à la découverte des autres dans leur milieu natal. A cet égard une étude menée par des sociologues à l’université de Paris affirme que la nouvelle génération est beaucoup plus tolérante visà-vis des autres religions et couleurs de peaux que la précédente. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui me laissent perplexe quant à l’importance des diplômes. Je suis convaincue que ces derniers ne servent pas à grand chose si la personne reste cloisonnée dans sa coquille. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

Votre long article intitulé «  vivement que les robots nous remplacent aux travail » paru à la une de votre journal le premier novembre dernier, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. De nos jours, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux sur la robotisation et son impact sur la société. Certains lecteurs pensent que cette technologie est susceptible de remédier aux erreurs humaines surtout dans le monde du travail. Cependant, je trouve que cette robotisation occulte une face caché qui mérite d’être interrogée, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, les machines risquent de nous mettre tous au chômage. En effet, l’impact des progrès dans le robotique et l’intelligence artificielle est plus visible sur le plan social. De plus en plus d’emplois autrefois réservés aux humains passent aujourd’hui entre les mains des robots. A preuve, chez Amazone, les machines représentent environ 20% de la force du travail. Outre cela, l’avènement des machines tueuses ou militaires représente un danger pour l’humanité. Ces robots existent déjà, mais les progrès vont contribuer à les doter de capacités exceptionnelles et les rendre autonomes. Leur utilisation risque donc de prendre de l’ampleur dans l’avenir. D’ailleurs, la police de Dallas a utilisé un robot tueur pour éliminer un criminel l’an dernier. Enfin, alors que la production des robots est en hausse au niveau mondial, il ya des risques de sécurité qui découlent de leur cohabitation avec les humains. Même si les comportements des robots sont anticipés par leurs créateurs, les dysfonctionnements ne sont pas impossibles. A cet égard, une étude menée par la Naza stipule que les avions sans pilotes peuvent être facilement piratés afin de ne plus répondre aux commandes. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent les enjeux de la robotisation et leur impact sur la société. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « les robots et la technologies vont tous nous mettre au chômage »paru à la une de votre journal, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions personnelles à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. De nos jours, nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux de la robotisation et son impact sur la société. Certains lecteurs pensent que cette technologie risque de mettre en péril plusieurs postes d’emplois, accentuant ainsi le taux de chômage. Je trouve que cette vision est biaisée, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, la suppression de certains postes va de paire avec la création de nouveaux emplois. En effet, il s’agit d’une complémentarité et d’une redistribution du travail entre l’homme et la machine. Il revient à l’homme de concevoir des entraineurs, des vérificateurs, des éducateurs et des évaluateurs de machines. A preuve, le fameux robocop de Dubai a pour vocation d’informer les policiers, il ne se substitue pas à eux quand il s’agit d’effectuer des arrestations. Outre cela, la spécificité de certains emplois fait que la menace est moindre. Il ya une catégorie d’emploi qui ne sera guère menacée et ne pourra être automatisée ou robotisée compte tenu de leur particularité. Ainsi les psychanalystes, les dentistes, les athlètes et les ecrivains ne pourront être remplacés vu la qualité de leurs tâches. Enfin, les machines ont pour but d’éradiquer la pénibilité et les accidents du travail. Cette technologie assure le bien-être des travailleurs en effectuant des tâches désagréables, pénibles et dangereuses. A cet égard, une étude menée par l’office national des statistiques affirme que le taux des accidents de travail a diminué de 30% depuis l’avènement des robots. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent l’impact de la robotisation sur l’emploi. Je suis convaincue que cette technologie est en mesure de simplifier la vie des travailleurs. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « les célibataires sont plus heureux que les mariés » paru à la une de votre journal, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. De nos jours , nous parlons souvent dans les médias et les réseaux sociaux sur les vertus du célibats. Certains individus pensent qu’être célibataire nous procure plus de liberté afin de profiter de la vie au maximum. Cependant je trouve que cette idée est biaisée, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, le célibat induit la solitude et le risque d’isolement. En effet, il ya des moments dans la vie ou nous avons besoin d’une oreille attentive notamment le soir , afin de partager ses joies et ses peines après une journée épuisante. D’ailleurs, les psychanalystes affirme que le fait de rire, de dialoguer et de se faire câliner le soir contribue à se décharger de toutes les ondes négatives accumulées durant la journée. Outre cela, le mariage assure une sérénité intérieure. En effet, partager un lien solide à long terme avec un partenaire qu’on aura choisi modifie nos comportements et nos attitudes. A preuve, des professeurs de l’université de Chicago affirme que chez les mariés le taux de cortisol baissent considérablement ce qui les aides à gérer les facteurs de stress intérieur, ils ont le sentiment qu’à deux ils sont plus fort. Enfin, l’un des avantages et non des moindres dont se privent les célibataires est le bonheur d’avoir des enfants. Devenir parents est source d’allégresse, veiller à leur bonne éducation, leur apprendre des choses de la vie et les voir grandir sont autant de raison qui rendent la personne heureuse, de plus ce bonheur tend à s’affirmer au fil des années. De par mon expérience personnelle, je n’ai jamais éprouvé autant de bonheur que lorsque j’ai eu ma petite princesse. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui me laissent perplexe quant aux avantages du célibat, qui sont à mon sens ponctuels et délimités par le temps. Je suis convaincue que le conjoint et les enfants sont les meilleurs alliés d’une vie heureuse. Toujours fidèle à votre journal, veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées. L’éthique du sport est profondément ébranlée

Monsieur le rédacteur en chef Votre long article intitulé « avec internet on peut tous faire même trouver des amis »paru à la une de votre journal, ainsi que les réactions et avis mitigés d’un grand nombre de vos lecteurs, m’interpellent vivement. Je voudrais apporter ici quelques réflexions à ce sujet qui alimente encore de nombreux débats. De nos jours, l’impact négatif d’internet sur notre société fait souvent la une des journaux. Certains lecteurs, pensent que cette technologie empêche les gens de développer des relations réelles en les emprisonnant dans un monde virtuel. Cependant, je trouve que cette vision est biaisée, et je m’appuie sur ce qui suit. Tout d’abord, l’internet a impacté positivement le monde du travail. En effet cette technologie est à l’origine du télétravail. Ce dernier a permis d’une part aux employés d’avoir plus de flexibilité et de concilier vie privée et vie professionnelle, et d’une autre part aux employeurs d’augmenter la productivité tout en diminuant le taux d’absentéisme. A preuve, malgré la fermeture des locaux qui a été imposée lors du confinement, les entreprises ont réussit à travailler normalement grâce au télétravail. Outre cela, l’internet constitue un excellent moyen pour la recherche de l’information et du savoir. En permettant un accès instantané aux informations, cette dernière a simplifié la vie des étudiants. Impactant ainsi positivement sur leurs résultats. Une étude menée par l’office national des statistiques affirme que les résultats des étudiants en science naturelle ont augmenté de 35% ces 10 dernières années. Enfin, ce réseau favorise la communication humaine.. Compte tenu des différentes applications qu’il propose, internet a été à l’origine de plusieurs relations amicales et amoureuses. A cet égard, une étude menée par des sociologues affirme que 45% des personnes souffrant de phobie sociale ont réussi à trouver leur âme sœur grâce à internet. Autant d’éléments, Monsieur le rédacteur en chef, qui expliquent l’impact positif d’internet sur notre société . Je suis convaincue que cette technologie a simplifié davantage notre quotidien professionnel et personnel. Toujours fidèle à votre journal , veuillez accepter l’expression de mes salutations les plus distinguées.