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Grimorio del papa Honorio el Grande 3 ene 10 Etiquetas: claviculas de salomon, El verdadero Dragón Rojo, enchiridon, Gran Alberto, grimoire, Grimorio del papa Honorio el Grande, grimorios, indice de libros prohibidos, libros de magia medievales, lista de grimorios, los diez nombres de Dios, Pequeño alberto, Picatrix. Escrito por Ana Vázquez Hoys. 18 comentarios
Los Grimorios,libros de magia
La palabra «grimorio» procede, según la Real Academia Española de la lengua, del francés grimoire, y éste es a su vez de una alteración de grammaire, «gramática», según el Trésor de Langue Française. Esto se debe en parte a que, en la Edad Media, las «gramáticas» latinas (libros sobre dicción y sintaxis del latín) eran fundamentales para la educación escolar y universitaria, y controlados pues por la Iglesia Católica, mientras que la mayoría iletrada sospechaba que los libros no eclesiásticos eran mágicos. De esta forma, «gramática» también denotaba, tanto para letrados como para iletrados, un libro de enseñanza básica.
(Wikipedia en francés) Un grimoire est un livre composé de recettes de potions, de sorts et autres choses magiques.
Définition par Claude Lecouteux : le grimoire est un « livre de magie » qui « se présente comme un mélange de recettes diverses, aussi bien pour guérir certains maux que pour conjurer ou invoquer les démons, obtenir tel avantage, fabriquer des talismans et des amulettes, lever ou jeter des sorts, etc. » ; le grimoire appartient à « un type d’écrits anathémisés par l’Église » [1]. Les critères sont donc les suivants : c’est un livre qui parle de magie, qui s’adresse à des magiciens ou sorciers, qui contient des formules, qui est condamné par l’Église. Exemple: « De l’amour réciproque de l’homme et de la femme. Comme il n’y a rien de plus naturel à l’homme d’aimer & de se faire aimer, je commencerai l’auverture de mon petit trésor par les secrets qui conduisent à cette fin (…). Tirez de votre sang un vendredi du printemps ; mettez-le sécher au four dans un petit pot, comme est dit ci-dessus, avec les deux couillons d’un lièvre & le foie d’une colombe : réduisez le tout en poudre fine, & en faites avaler à la personne sur qui vous aurez quelque dessein, environ la quantité d’une demi-drachme; & si
l’effet ne suit pas à la première fois, réitérez jusqu’à trois fois, & vous serez aimé.” »—— ——————————————————————————————– ————— Albert Petit, Secrets merveilleux de la magie naturelle et cabalistique du petit Albert Le terme désignait originellement une grammaire en ancien français. Les grimoires, en effet, insistent sur les noms (noms de Dieu, noms d’anges…), sur les lettres, les mots magiques, les alphabets, les signatures des esprits (paraphes laissés, prétendument, par des démons ou anges). « Voici les soixante-douze noms de Notre-Seigneur. Quiconque les portera sur soi n’aura crainte d’aucun malheur ni danger. Hon, Trinité, saint, Dieu des armées, Hemon, Adonai, Eloi, Usion, sauveur, alpha et omega, premier-né, commencement, fin, voie, vérité, vie, sagesse, vertu, Paraclet, je suis celui qui suis, médiateur, agneau… » — Pape Léon, Enchiridion
Histoire Les premiers grimoires apparaissent au milieu du XIII° siècle. On en trouve la liste chez divers auteurs, dont Roger Bacon, Guillaume d’Auvergne dans son De legibus et son De universo, Pierre d’Abano.
Les condamnations de l’Église pleuvent. Le pape Paul IV, en 1557, condamne divers livres de magie : ainsi commence l’Index librorum prohibitorum, qui listera jusqu’en 1966. Ces livres furent imprimés dès le XVI° s. Ces ouvrages ont fasciné de nombreux écrivains, parmi lesquels Milton dans Le paradis perdu, Goethe dans son Faust, Gérard de Nerval, Lovecraft.
Typologie Les prescriptions sont tantôt savantes tantôt populaires ; elles relèvent tantôt de la magie blanche, de la théurgie (magie divine), de la médecine, donc d’un but positif, tantôt de la magie noire, de la sorcellerie, du satanisme, donc d’un but destructif. On trouve des grimoires d’astrologie (Picatrix), de magie, de médecine (Le médecin du pauvre), de talismanie (Enchiridion du pape Léon), de satanisme (Grimoire du pape Honorius, Le dragon rouge), etc.
Bibliographie Liste de grimoires
pseudo-al-Majrîtî (Picatrix), Le but des sages dans la magie (Ghâyat al-hakîm fi’lsihr) (Picatrix) (vers 1050), trad. de la version latine (1256) : Le Picatrix. Un traité de magie médiéval, Turnhout (Belgique), Brepols, “Miroir du Moyen-Âge”, 2003, 383 p. Extraits en ligne : [1] Le Grand Albert (avec des morceaux remontant en partie à Albert le Grand, au milieu du XIIIe s.). Édi. classique : Admirables secrets d’Albert le Grand, contenant plusieurs traités sur la conception des femmes et les vertus des herbes, des pierres précieuses et des animaux, Cologne, 1703. Édi. par Claude Seignolle : Les Évangiles du diable. Le Grand et le Petit Albert, Paris, Robert Laffont, coll. “Bouquins”, 1999, 1050 p., pp. 687-806 (Le Grand Albert), 807-895 (Secrets merveilleux de la magie naturelle et cabalistique du Petit Albert). Extraits en ligne du Grand Albert [2].
Enchiridion Leonis papae. Enchiridion du pape Léon (1525, 1601, mais daté de 800, entre Charlemagne et le pape Léon III). Première trad. fr. 1579. Enchiridion du pape Léon : pentacles protecteurs de Pape Léon III, Bussière, coll. “Diffusion scientifique”, 1990. Très estimé d’Éliphas Lévi, qui y voit “un recueil de prières allégoriques ayant pour clef les pentacles les plus mystérieux de la kabbale” (Histoire de la magie, IV, 3). Art de découvrir son “propre génie” (son bon ange). Grimoire du pape Honorius le Grand, avec un recueil des plus rares secrets (1670, en réalité après 1728 ; daté du pape Honorius III vers 1220) [3] [4], Bussière, coll. « Grimoires de magie », 1995, 132 p. Le diable y est montré comme un instrument de puissance.
Le Livre de Romain (Romanus-Büchlein). Grimoire très répandu en Allemagne du XVIIe à la fin du XXe s. Extraits dans Cl. Lecouteux, Le livre des grimoires, p. 224-247. Véritables clavicules de Salomon (vers 1700, mais daté de 1517), Bussière, coll. « Grimoires de magie », 1998, 100 p. Les vrais clavicules du roi Salomon [5] Clavicules de Rabbi Salomon et Le livre de la Clavicule de Salomon Roy des Hébreux (fin du XVII° s.)[2] Le Petit Albert ou Le secret des secrets de nature (1ère éd. 1706). Édi. classique : Secrets merveilleux de la magie naturelle et cabalistique du Petit Albert, traduits exactement sur l’original latin qui a pour titre : Alberti Parvi Lucii Libellus de mirabilibus naturae arcanis [6]. Le grand et le Petit Albert, Trajectoire, 1999, 391 p.
Le véritable Dragon rouge, où il est traité de l’art de commander les esprits infernaux, aériens et terrestres, faire apparaître les morts, lire dans les astres, découvrir les trésors, sources minières, etc. (1750 - ?) , Bussière, 1999, 105 p. D’après Éliphas Lévi, ce grimoire serait détenteur des clefs de la magie noire, et Papus affirmait que c’était un des rares traités qui détaillait le moyen de faire des pactes avec les démons. La poule noire. Sciences des talismans et anneaux magiques, art de la nécromancie et de la cabale, pour conjurer les esprit aériens et infernaux, les sylphes, les ondins, les gnomes : acquérir la connaissance des sciences secrètes ; découvrir les trésors et obtenir le pouvoir de commander à tous les êtres, déjouer tous les maléfices et sortilèges (XVIIIe s.). In François Ribadeau-Dumas, Grimoires et rituels magiques (1972) ; Le véritable dragon rouge plus la poule noire, De Boree, 2008.
CLAVICULAS DE SALOMON El secreto de los secretos, traducido del hebreo por Iroe el mago. Copia de la edición hecha en Amberes en el año 1721. 102 páginas con 22 láminas y dibujos.
ENCHIRIDION LEONIS PAPAE
Oraciones misteriosas enviadas por el Papa Leon como un raro presente al emperador
Carlomagno. Copia de la edición hecha en Roma en el año 1740. 114 páginas con 25 láminas y dibujos
EL GRAN GRIMORIO Con una recopilación de los mas raros secretos mágicos. Copia de la edición hecha en Roma en 1760. 112 paginas con 30 láminas y dibujos Obra completa en tres volúmenes de 110 x 160 mm. Encuadernación en imitación de piel. Estampación en dorado en lomos y cubiertas
Études sur les grimoires
Claude Lecouteux, Le Livre des grimoires. De la magie au Moyen Âge, 2002, Imago, 3° éd. revue 2008. Extraits et commentaires. François Ribadeau-Dumas, Grimoires et rituels magiques (1972), Pré aux clercs, 2008, 529 p. Édition des grands grimoires : Livre des conjurations du pape Honorius, Enchiridion du pape Léon III, Le Dragon rouge”, La Poule noire ou le livre de la science du Bien et du Mal, Le Génie et le Trésor du Vieillard des Pyramides, La Chouette noire (suite de la narration du Vieillard), le Rituel de Haute Magie du pseudo-Henri-Corneille Agrippa de Nettesheim. Pierre Saintyves, Les grimoires à oraisons magiques, Nourry, 1926.
1. 2.
↑ Claude Lecouteux, Le Livre des grimoires, 2002, Imago, 3° éd. revue 2008 p. 9) ↑ Extraits : Robert-Léon Wagner, “Sorcier” et “Magicien”. Contribution à l’histoire du vocabulaire de la magie, Droz, 1939, p. 269-276.
Para otros, la palabra “Grimorio”, viene del italiano “Rimario”, como quien diría: composición de versos. Los antiguos estaban persuadidos de que los versos coadyuvaban la fuerza de las operaciones mágicas; por esto las llamaban “incantatationes”, de donde hemos formado la palabra “encanto”, porque según hemos dicho antes, en ellas se empleaban la poesía y el canto. Seguramente el grimorio más influyente en todas las obras teúrgicas posteriores es el Sobre los Misterios Egipcios de Jámblico de Calcis. Escrito hacia finales del siglo III d. C. cuando todavía no se les daba ese nombre a tal género de libros. A los Grimorios también se les conoció ya en la Edad Media como “Libros Negros”. (Wikipedia en inglés) The first grimoires appear in the High Middle Ages, growing out of earlier traditions, notably of medieval Jewish mysticism, which continued traditions dating back to Late Antiquity. Thus, the 13th century Sefer Raziel Ha-Malakh is significantly based on the Sefer Ha-Razim (ca. 4th or 5th century), which is in turn influenced by Hellenistic Greek magical papyri. Notable 13th to 17th century grimoires include:
The Picatrix, or, Ghâyat al-Hakîm fi’l-sihr; also known as The Aim of the Sage (13th century) Liber Iuratus, or, the Sworn Book of Honorius (13th century) Sefer Raziel Ha-Malakh Liber Razielis Archangeli (13th century) The Book of the Sacred Magic of Abra-Melin the Mage (1450s) The so-called Munich Handbook (15th century) Libri tres de occulta philosophia by Heinrich Cornelius Agrippa (1531) The Greater Key of Solomon (16th century) Pseudomonarchia Daemonum (16th century) The Lemegeton, or, the Lesser Key of Solomon (17th century)
The Voynich manuscript has never been deciphered, and is difficult to date, but may also qualify as a 15th century grimoire.
18th to 19th century
The Black Pullet (18th century) Le Grand Grimoire (19th century, allegedly 1522) Grimoirium Verum (18th century) Sixth and Seventh Books of Moses (1700s – 1849)
In the late 19th century, several of these texts (including the Abra-Melin text and the Key of Solomon) were reclaimed by para-Masonic magical organizations such as the Hermetic Order of the Golden Dawn and the Ordo Templi Orientis. Many false or poorly translated grimoires have been circulated since the 19th century (many original texts are in French or Latin, and are quite rare); however, faithful editions are available for most of the above titles.
20th century to present The Secret Grimoire of Turiel claims to have been written in the 16th century, but no copy older than 1927 has been produced. A modern grimoire is the Simon Necronomicon, named after a fictional book of magic in the stories of author H. P. Lovecraft, and inspired by Babylonian mythology and the Ars Goetia, a section in the Lesser Key of Solomon which concerns the summoning of demons. The Azoëtia of Andrew D. Chumbley has been described as a modern grimoire.[2] The Neopagan religion of Wicca publicly appeared in the 1940s, and Gerald Gardner introduced the Book of Shadows as a Wiccan Grimoire Davies, Owen (2009). Grimoires: A History of Magic Books. Oxford University Press USA. ISBN 0199204519 9780199204519. OCLC 244766270.
(Wikipedia español)El Grimorio de San Cipriano o Ciprianillo. El Libro de la Magia Sagrada de Abra-Melin el Mago. El Liber Juratis, Grimorium Honorii Magni o Libro del Papa Honorio III. El Poule Noir. La Clave Mayor de Salomón. El Lemegeton o Clave Menor de Salomón. El Gran Grimorio. El Grimorio Secreto de Turiel. Edición muy polémica de Max Turiel. ISBN:978-8496785-31-1.
A finales del siglo XIX, algunos de estos textos como el de Abra-Malin y las Claves de Salomón fueron reivindicados por organizaciones mágicas para-masónicas como la Orden Hermética del Amanecer Dorado y la Ordo Templi Orientis. Aleister Crowley, gran promotor de estos grupos, dio pie para basar en ellos diversos movimientos modernos como la Wicca, el neo-satanismo, y la magia del Caos. Desde el siglo XIX ha existido también un pequeño sector económico dedicado a la venta de grimorios falsos o mal traducidos (la mayoría de los textos originales están en francés o latín, y son muy raros). No obstante, existen traducciones fieles de la mayoría de libros indicados. Existen algunos grimorios de ficción contemporáneos. El más conocido de todos ellos probablemente sea el Necronomicón, un supuesto libro mágico de las obras de H.P. Lovecraft inspirado por la mitología sumeria y el Ars Goetia, una parte de la Clave Menor de Salomón que trata sobre cómo invocar demonios. El manuscrito de Voynich podría también tratarse de un grimorio, aunque su texto nunca ha sido descifrado, o también un fraude de siglos de antigüedad(Wikipedia).
La Clavícula Salomonis, uno de los grimorios más famosos de la historia. Escrito en latín vulgar y hebreo, edición de 1557 en Praga, impresor anónimo. El texto abierto tiene poco menos de 20 cms Entre estas obras maravillosas ocupan indisputablemente primer lugar el “Gran Grimorio” y el “Enchiridion Leonis papae“. Los dos son propiamente el ritual y el breviario de los magos. El primero tiene por título “Gran Grimorio o arte de conjurar los espíritus celestes, aéreos, terrestres o infernales, con el verdadero secreto de hacer hablar a los muertos, de ganar siempre que juega a la lotería, de descubrir tesoros ocultos, etc”. El “Gran Grimorio” ha sido sacado de diversas fuentes y extractado de diferentes autores, entre otros de “La sagrada magia que Dios comunicó a Abraham a su Laneth y traducida del hebreo el año 1458″, y después de las “Clavículas de Salomón” (Clavicula Salomonis ad filium roboam). Referencia: http://www.apocatastasis.com/magia-negra-pacto-demonio-lucifagorofacale.php#ixzz0bVJvipUA © Apocatastasis: Literatura y Contenidos Seleccionados La Clavícula Salomonis es uno de los grimorios más famosos de la historia. Escrito en latín vulgar y hebreo, edición de 1557 en Praga, impresor anónimo. El texto abierto tiene poco menos de 20 cms El Nuevo Testamento indica la existencia de manuales mágicos en Hechos 19:19 cuando “bastantes de los que habían practicado artes mágicas llevaron sus libros y los quemaron”. Pero los grimorios auténticos empezaron a producirse hacia el siglo XII y hasta bien
entrado el siglo XIX y ocasionales escarceos en el siglo XX. Siempre contienen fórmulas astrológicas, listas de ángeles y demonios, conjuros para controlarlos, hacer medicinas y amuletos. Debido a la semejanza entre grimorios y las fórmulas sacramentales se sospecha que estos libros surgieron de gente del clero. En los grimorios confluyen por un lado, la magia judía, la Cábala. Por otro lado, la magia egipcia, que aportó la idea de palabras con carga mágica, en especial los nombres de sus divinidades: los cristianos se limitaron a cambiarlos por nombres de ángeles o demonios. Y finalmente la magia helenística, que juntaba la tradición persa y griega de conocimientos astrales (ni un grimorio deja al azar las condiciones astrológicas y climáticas adecuadas para un conjuro, algo coherente con la magia grecorromana). La mayoría de los libros conservados están en el British Museum, la Biblioteca del Arsenal, en París, y la Universidad de Yale. Su importancia es debatida, pero los estudiosos aceptan que, aun si fueran supersticiones, aportan para comprender nuestra historia y espiritualidad y sería una lástima perderlos por intolerancia. El testamento de Salomón. El primero de los grimorios. El texto proclama ser una narración del rey Salomón en persona sobre la construcción del templo de Jerusalén. De verdad se trata de un libro escrito entre los siglos I a IV d.C., casi mil años después de los acontecimientos que narra. Es importante por ser el primer texto que detalla como un humano, Salomón, pone a los demonios a su servicio, abriendo un nuevo horizonte literario y religioso. Y explica la reputación del rey como experto en el tema demoniaco.
“El juicio de Salomón”. Techo de la Celda del Prior en el Monasterio de El Escorial. La historia aparece en 1Reyes 3:16-28 y es una de las historias fundacionales de la ética occidental. Dos mujeres reclaman como propio un hijo y en ausencia de pruebas el rey ordena partirlo por la mitad y que cada una de las mujeres se lleve un pedazo, a lo cual una de las mujeres clama que lo cede pero que no lo maten, demostrando ser la madre verdadera. La historia es el ejemplo más citado de la “sabiduría salomónica” Salomón es una figura curiosa. A diferencia de su padre, David, nadie ha podido comprobar su existencia. Es sinónimo de sabiduría; construyó el Templo para el Arca de la Alianza y fue el último rey que gobernó el reino integrado. Por estas razones es el pináculo de la cultura judía. Pero también está su enigmática historia con la reina de Saba (la Biblia ni menciona ni niega que fueran amantes, aunque sugiere que pasaban el día contándose adivinanzas, pero la literatura apócrifa se empeña en describir qué pasaba entre los acertijos), sus onerosos impuestos (en 1Reyes 10 aparece por primera vez el número 666 para contar los talentos que recibía el tesoro anualmente, una cifra obscena) y sus mujeres (según 1Reyes 11:3 tenía setecientas esposas y trecientas concubinas) contradiciendo la Ley. Y para empeorar las cosas, acabó idolatrando dioses como Astarté, iniquidad de la que la Biblia culpa a sus mujeres. Toda la literatura oscila entre esos dos extremos.
“Encuentro de Salomón y la Reina de Saba”. Décimo pánel de las Puertas Este o Puertas del Paraíso, realizadas en bronce , Baptisterio de San Giovanni, Florencia, Italia, Lorenzo Ghiberti, 1425
Sello o Pentáculo de Salomón, el símbolo más conocido y duradero de la magia demoniaca en occidente En la tradición oral Salomón vive a la greña con un príncipe infernal, Asmodeo, en una saga que parece la de Superman contra Lex Luthor. Dios le dio a escoger a Salomón entre riquezas, gloria y sabiduría y cuando este eligió la tercera, Dios le encimó las otras dos y control sobre los ángeles y las criaturas infernales usando su pentáculo. Este sello, que merecerá su artículo, mantiene a raya a los demonios y un día el rey le ordena a Asmodeo explicarle por qué los demonios lo temen. El diablo le pide el anillo para explicárselo y en cuanto el rey se lo quita Asmodeo tira el anillo al mar, devora al rey y lo escupe a mil kilómetros. En su viaje de regreso, digno de las Mil y Una Noches (donde también aparece encerrando a un genio con su sello y el genio se parece bastante a Asmodeo), Salomón trabaja como cocinero para un rey amonita, se casa con Naamah (homónima de la que vimos aquí y, aunque no es la misma, consolidó su fama de reina infernal) y compran un pez que resulta haberse tragado el anillo y así el rey derrota a Asmodeo. Caractéres des Anges des Signes.
Malchidaël
Asmodel
Ambriel
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Muriel
Varchiel
Hamabiel
Zuriel.
Zetachiel
Adnachiel
Amaël.
Garrubiel.
Barchiel.
En otra leyenda el rey se vale de su autoridad sobre los demonios (con Asmodeo de capataz de la cuadrilla, que lo obedece pleno de resentimiento, maldice el reino y por eso será desgarrado en la siguiente generación) para que las piedras vuelen construyendo el templo en un tiempo record. Habiendo docenas de leyendas los gnósticos decidieron que si este personaje podía poner en nómina al príncipe de las tinieblas, otros también (los gnósticos no tenían en gran estima a Yahvé, que les parecía una deidad menor y perversa que había creado la materia en un arrebato de locura) y estudiando sobre todo el ejemplo de la construcción del Templo produjeron el Testamento de Salomón, el primer libro dedicado a controlar a los demonios, en qué condiciones obedecían y qué se podía hacer con ellos. La mitología del texto no es
muy desarrollada, parecido más un estudio “científico” de un fenómeno que se daba por cierto y tiene una marcada clave griega. Pero llegó en un momento inoportuno. La iglesia católica, luego del Concilio de Nicea, decidió el exterminio de los gnósticos y el mundo tenía inquietudes inmediatas como la desintegración del orden civil ante el colapso del imperio romano. Pasarían siglos antes de que alguien retomara la idea, no hay ni un grimorio registrado de los siglos V a XII y de hecho es discutible que el Testamento de Salomón ejemplifique este género, pero la idea se desarrollaría con ímpetu durante el final de la Edad Media y el Renacimiento. www.esotericarchives.com/solomon/l1203.htm Os dejo aquí el Grimorio del Papa Honorio Otros grimorios aqui El Ciprianillo El Malleus Maleficarum http://www.librosdeluz.net/el-kybalion-hermes-trimegisto-tres/ http://detodounpoco-tag.blogspot.com/2008/01/kybalin-y-libro-para-descargar-o-leer.html
LOS DIEZ NOMBRES DE DIOS. 1 Ehieh……….
ú Yo soy el que soy 2 Jahtetragrammaton. å El infinito 3 Jehova Jetragelohim à El Eterno 4 Elohim………………. á Dios juez 5 Elgibor……………… ö El Dios Fuerte 6 Schaddai Achieh……… î El Todopoderoso 7 Jehova Tsebaoth………. é EL Eterno de los ejércitos 8 Elohim Tsabaoth……. ä El Dios de los ejércitos 9 Haytsadik………….. ì Dios vivo & Justo 10 Schekinah………….. à La Majestad.