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French Pages 221 [224] Year 2009
Copyright Édition
© 2009 Micro Application 20-22, rue des Petits-Hôtels 75010 Paris Deuxième Édition - Novembre 2009
Auteur
Corentin ORSINI Toute représentation ou reproduction, intégrale ou partielle, faite sans le consentement de MICRO APPLICATION est illicite (article L122-4 du code de la propriété intellectuelle). Cette représentation ou reproduction illicite, par quelque procédé que ce soit, constituerait une contrefaçon sanctionnée par les articles L335-2 et suivants du code de la propriété intellectuelle. Le code de la propriété intellectuelle n’autorise, aux termes de l’article L122-5, que les reproductions strictement destinées à l’usage privé et non destinées à l’utilisation collective d’une part, et d’autre part, que les analyses et courtes citations dans un but d’exemple d’illustration.
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MICRO APPLICATION 20,22 rue des Petits-Hôtels 75010 PARIS Tél : 01 53 34 20 20 Fax : 01 53 34 20 00 http://www.microapp.com
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Retrouvez des informations sur cet ouvrage ! Rendez-vous sur le site Internet de Micro Application www.microapp.com. Dans le module de recherche, sur la page d’accueil du site, entrez la référence à 4 chiffres indiquée sur le présent livre. Vous accédez directement à sa fiche produit.
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1 Premiers contacts avec votre Mac
9
Votre premier démarrage
10
Un nouvel environnement
10
Le Bureau
10
Le Dock
11
Les menus
13
Le disque dur
16
2 Configurez et utilisez votre Mac
21
Les Préférences Système
22
Bureau et économiseur d’écran
22
Dock et Stacks
25
Souris
28
Les réglages de confort
38
Les options de présentation
38
La luminosité et le volume sonore
39
Archivage et transfert de données
39
Transférez facilement vos données du PC au Mac
39
Compression et décompression
42
Gravure de CD et DVD
44
3 Internet, courriels et Wifi Votre première connexion
47 48
Par câble Ethernet
48
Par CPL (courant porteur)
49
Par Wifi
49
Internet avec Safari
51
Importez vos favoris depuis votre PC
52
D’Internet Explorer à Safari
54
Découvrez les flux RSS
62
Vos courriels avec Mail
68
Importez vos courriels depuis votre PC
68
Mail au quotidien
69
Le chat avec iChat
73
Première utilisation
73
Un petit tour dans les préférences…
75
Les widgets (Dashboard) 4 Votre musique avec iTunes
77
81
Quelques réglages importants
82
Transférez votre musique
85
Depuis votre PC
85
Depuis vos CD
87
Organisez votre musique
87
Achetez de la musique en ligne avec l’iTunes Store
89
Synchronisez votre iPod/iPhone
92
5 Vos photos avec iPhoto
95
Quelques réglages importants
96
Transférez vos photos
98
Depuis votre PC
98
Depuis votre appareil photo/carte mémoire
99
Classez, triez, rangez !
100
Affichages et gestion des événements et des photos
100
Mots-clés et notations
103
Les albums intelligents
105
Lieux et visages
106
Retouchez, imprimez, créez !
109
Les outils de retouche
109
L’impression des photos
113
Commandez des tirages, des calendriers et des albums !
115
Partagez vos clichés !
117
Appréciez vos photos sur grand écran avec Apple TV
121
Riez un peu avec Photo Booth
123
Utilisez Aperçu
124
6 Votre bureautique Vos contacts et vos rendez-vous
127 128
Vos contacts avec le Carnet d’adresses
128
Vos rendez-vous avec iCal
131
Vos textes, de Word à Pages et TextEdit
133
Présentation de la suite iWork
134
De Word à Pages
134
Ouvrez vos fichiers Word PC sur votre Mac
137
L’alternative gratuite : TextEdit
138
Vos feuilles de calcul : d’Excel à Numbers
142
Numbers, le tableur d’Apple
143
Ouvrez vos fichiers Excel PC sur votre Mac
146
Vos présentations : de PowerPoint à Keynote
147
Keynote, les présentations à la Apple
147
Ouvrez vos fichiers PowerPoint PC sur votre Mac
151
7 Vos vidéos et votre TV La lecture des films et des vidéos
153 154
Les DVD vidéo
154
Les DivX et autres vidéos immatérielles
154
Montage vidéo De Windows Movie Maker à iMovie
155 155
La TV sur votre Mac
160
Épatez la galerie avec Front Row
161
8 Vos sauvegardes automatiques Mise en route de Time Machine
163 164
Choisissez votre disque dur externe
164
Configuration de Time Machine
166
Récupération des sauvegardes
168
Vous voulez restaurer votre ancien Mac sur un Mac flambant neuf
168
Vous voulez restaurer votre ancien Mac sur un autre Mac, déjà utilisé
168
9 Et si vous êtes nostalgique de Windows…
171
Achat de Windows et installation
172
Utilisation au quotidien
173
Les alternatives : VMware et Parallels
174
10 Récupérez votre matériel PC
175
Les imprimantes et les scanners
176
Les micros et les enceintes
177
Les moniteurs
177
Les claviers et les souris
178
La RAM et les disques durs
179
11 Choisissez vos accessoires indispensables
181
Les imprimantes et les scanners
182
Les appareils photo
182
Les clés USB et les disques durs externes
183
12 Installez des sharewares et des freewares Images, photos et dessins
185 186
Les freewares
186
Les sharewares
186
Internet
188
Les freewares
188
Les sharewares
190
Sauvegardes
191
Les freewares
191
Les sharewares
192
Personnalisation du Mac
192
Les freewares
192
Les sharewares
192
Jeux
193
Les freewares
193
Les sharewares
194
13 Dépannez votre Mac
197
Des ralentissements surviennent
198
Des fichiers ont été effacés par mégarde
199
Le système est endommagé
199
Le courriel ne part pas
199
Le DVD ne s’éjecte pas
201
Un écran bleu apparaît et le Mac ne démarre pas
202
14 Quel Mac pour quelle utilisation ?
205
iMac, l’ordinateur familial par excellence
206
MacBook, le portable courant
207
MacBook Pro, la puissance portative
208
MacBook Air, le nomade de luxe
209
Mac Pro, la puissance maximum
210
Mac mini, pour les budgets serrés
211
15 Extinctions et débogage
213
Une extinction plus logique
214
Une mise en veille bien pratique
214
La fermeture de session
214
Pour vous sortir d’un mauvais pas
215
16 Les dix dernières questions que vous vous posez
217
Qu’en est-il de la garantie Apple ?
218
Où trouver de l’aide relative au Mac ?
218
Où acheter un Mac moins cher ?
218
Puis-je acheter mon Mac à l’étranger ?
219
Comment nettoyer mon Mac ?
220
Dois-je éteindre mon Mac après chaque utilisation ?
220
Que faire de mon vieux Mac quand j’en change ?
220
Puis-je synchroniser mon BlackBerry ou un autre Smartphone avec un Mac ?
220
Suis-je vraiment à l’abri des virus ?
221
Puis-je réutiliser mon vieux PC ?
221
Fichier production - draft 30.07.2009
1
Premiers contacts avec votre Mac
Vous avez reçu votre Mac, apprécié l’étape de déballage particulièrement soignée et réussi à le brancher au secteur. Maintenant, il est temps de l’allumer ! Si c’est un iMac, appuyez sur le bouton qui se trouve sur la face arrière, côté gauche. Si c’est un Mac mini, le bouton est à droite, sur la face arrière également. Sur les portables, il est au-dessus et à droite du clavier. Notez la différence de tonalité à l’allumage par rapport au PC : c’est ainsi que démarrent les Mac depuis plus de vingt ans !
Votre premier démarrage C’est ici que les choses sérieuses commencent. Ce qui suit concerne uniquement votre tout premier démarrage : c’est l’installation du système (Mac OS X) une fois pour toutes. Vous n’aurez plus à faire cela avant votre prochain Mac ! En fait, il s’agit de suivre les instructions données par votre Mac. Entrez les informations qu’il vous demande au fur et à mesure. Mais ne vous inquiétez pas : si vous sautez une ou plusieurs étapes, ce n’est pas grave ! Il vous suffira de procéder à quelques réglages par la suite, tous décrits dans ce livre.
Mac World
Certaines étapes correspondent en fait aux applications livrées par Apple avec tous ses Mac, comme Mail, la boîte aux lettres électroniques du Mac, équivalent d’Outlook ou du système de gestion des mails de Windows Vista. C’est donc simplement pour configurer Mail que votre Mac vous demande votre adresse électronique par exemple.
Des publicités originales Peut-être avez-vous été influencé, dans votre décision d’acheter un Mac, par l’une de ces désormais fameuses publicités à destination des switchers, ces utilisateurs qui passent du PC au Mac (autrement dit, vous !). Il s’agit de petits spots vidéo diffusés sur le Web et à la télévision, dans lesquels le Mac est incarné par un jeune plutôt cool et le PC, par un homme plus vieux, plus enrobé et assez gauche. Ce dernier est toujours tourné en ridicule parce qu’il pense pouvoir réaliser une tâche que, finalement, le Mac effectuera bien mieux et bien plus vite que lui. Très percutantes, ces pubs ont connu un vif succès sur le Web.
Un nouvel environnement Une fois le système installé, votre Mac est prêt à être utilisé. Un petit tour du propriétaire s’impose, car vous pourriez être un peu dérouté au début.
Le Bureau Le Bureau, c’est tout cet espace « vide» que vous avez devant vous après le démarrage du Mac. Enfin, pas tout à fait vide, puisque vous pouvez y admirer une magnifique photo d’aurore boréale ! Souvent, on y met une photo que l’on aime bien (nous verrons comment faire dans quelques pages). En haut à droite du Bureau se trouve le disque dur et en bas ce qu’on appelle le Dock, que nous allons étudier juste après.
Le Bureau porte bien son nom : il peut accueillir des piles désordonnées de dossiers et de fichiers, ou être au contraire impeccablement rangé, exactement comme dans la réalité ! C’est tout simplement ici qu’apparaîtront les clés USB et les disques durs externes que vous brancherez à votre Mac, comme des dossiers, mais dotés d’une icône particulière bien reconnaissable, tout comme celles des CD et DVD que vous introduirez, qui apparaîtront aussi sur le Bureau et non, comme sur Windows, dans un obscur Poste de travail…
Un Bureau de Mac affichant une clé USB et un CD-Rom
Le Dock Le Dock, c’est cette barre horizontale grisée en bas de votre écran, sur laquelle des icônes sont alignées. Il s’agit en fait d’alias, c’est-à-dire de raccourcis comme on dit dans le monde PC. Ce ne sont donc pas les « vraies» applications mais des images qui vous permettent d’y accéder plus rapidement, en un clic !
Le Dock tel qu’il est au premier démarrage
1 / Premiers contacts avec votre Mac
11
C’est vous qui organiserez cette barre, ce Dock, comme vous le voudrez. Vous pourrez y placer des applications et des documents que vous utilisez très souvent, pour pouvoir y accéder rapidement. Vous pourrez aussi enlever presque toutes les icônes qui y sont placées par défaut si vous n’en avez pas besoin. Pour cela, il vous suffira de cliquer sur l’icône dont vous voulez vous débarrasser, de maintenir le clic enfoncé et de glisser l’icône au-dessus du Dock, sur le Bureau ! Cela n’effacera pas l’application à proprement parler, qui est stockée dans votre disque dur, mais seulement son alias (son raccourci) qui se trouvait là pour des raisons pratiques. Vous pourrez l’y replacer quand bon vous semblera, simplement en glissant l’icône originale depuis votre disque dur vers le Dock ! Mais tout cela vous semblera plus clair un peu plus loin.
Retirez du Dock les raccourcis dont vous ne vous servez pas
À l’extrême gauche du Dock se trouve une icône bleue représentant un visage : c’est l’icône qui se réfère au système Mac OS X que vous avez devant les yeux ; vous pouvez d’ailleurs remarquer la petite loupiote en dessous, qui signifie que le système est en marche. Cette petite loupiote apparaît sous chaque icône dès lors que l’application en question est ouverte. Par exemple, vous remarquerez que lorsque vous lancez Safari pour naviguer sur Internet, une petite loupiote s’allume sous son icône dans le Dock. À l’extrême droite du Dock se trouve la Corbeille. C’est ici que vous devez glisser un fichier ou un dossier que vous souhaitez effacer. Comme sur Windows, le simple fait de le glisser dans
la Corbeille ne le supprime pas. Vous pouvez toujours le récupérer tant que vous n’avez pas vidé la Corbeille. Cependant, après l’avoir vidée, vous ne pourrez plus rien récupérer (à moins de faire appel à un logiciel complexe ou à une société spécialisée…). Pour vider la Corbeille et ainsi libérer de l’espace sur votre disque dur, vous avez deux solutions : Pour vider rapidement la Corbeille
— Clic droit sur la Corbeille ([Ctrl] + clic pour l’instant), puis Vider la corbeille dans le menu contextuel qui apparaît. — Clic gauche sur le menu Finder en haut à gauche, puis Vider la corbeille.
Le Dock sert aussi parfois à réduire, donc à masquer temporairement, certaines fenêtres encombrantes. Sur Windows, vous aviez peut-être le réflexe de réduire certaines fenêtres en cliquant en haut à droite sur une case représentant un trait. Sur Mac, l’équivalent de cette case se trouve en haut à gauche des fenêtres : il s’agit d’un bouton orange contenant lui aussi un trait horizontal. En cliquant dessus, la fenêtre va se nicher dans le Dock, comme aspirée vers le bas. Vous la ferez réapparaître en cliquant sur sa miniature, dans le Dock.
Les menus Contrairement à Windows, Mac OS X affiche en permanence une barre de menus, tout en haut de votre écran. Le fameux menu a
Le premier menu est toujours le menu Pomme (a), représenté par le dessin d’une pomme croquée, logo d’Apple depuis toujours. Vous y trouverez, outre quelques raccourcis et infos, cinq actions utiles : Forcer à quitter au cas où une application serait bloquée, Suspendre l’activité pour mettre votre Mac en veille, Redémarrer, Éteindre et Fer mer la session si vous avez créé plusieurs sessions pour différents utilisateurs. Toutes ces fonctions sont détaillées à la fin de ce livre, dans le chapitre Extinctions et débogage.
1 / Premiers contacts avec votre Mac
13
Le menu de l’application en cours, ici Finder
Le deuxième menu est toujours dévolu à l’application dans laquelle vous vous trouvez et porte d’ailleurs son nom. Ainsi, au démarrage, c’est Finder qui est affiché, un mot qui se rapporte au système Mac OS X en entier. Si vous démarrez une application, son nom sera affiché ici. Les deux principales utilités de ce menu sont en général Préférences, pour régler les façons d’utiliser l’application en question, et Quitter, pour arrêter cette application.
Le menu Fichier, commun à de très nombreuses applications
Le troisième menu, Fichier, permet principalement de créer des nouveaux dossiers lorsque vous êtes dans le système, ou des nouveaux documents lorsque vous êtes dans une application, ou bien encore de sauvegarder vos fichiers lorsque ceux-ci sont ouverts et ont été modifiés. Mais nous verrons tout cela plus en détail pour chaque application dans les chapitres thématiques de cet ouvrage.
Le menu Edition
Le quatrième menu, Édition, que vous retrouverez lui aussi partout, du système aux applications, permet principalement d’utiliser le Copiercoller ainsi que l’action Annuler.
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Le menu Aller, lui, propose des raccourcis vers certains dossiers importants du Mac, comme Applications ou Utilitaires. Le menu Fenêtre vous permet de basculer d’une fenêtre à l’autre, au sein d’une même application : par exemple entre deux documents Word. Enfin, le menu Aide propose, comme son nom l’indique, un glossaire d’aide pour votre Mac.
Le menu Bluetooth
Le menu Airport
À droite de la barre de menus, vous trouverez un menu représentant trois petites croix au-dessus d’un signe composé de deux triangles, ressemblant un peu à un nœud papillon à la verticale : il s’agit du menu Bluetooth, cette liaison sans fil qui permet de connecter votre Mac à une souris ou un téléphone portable. Via ce menu, vous pouvez activer ou désactiver cette liaison et configurer un appareil sans fil. Immédiatement à droite de ce menu se trouve le menu Airport, en forme d’éventail : Airport est le nom donné par Apple à ce que vous connaissez dans le monde PC sous le nom de Wifi. Comme pour le Bluetooth, ici, vous pouvez activer et désactiver cette liaison.
En continuant vers la droite, vous avez le menu du volume, puis celui du clavier, puis l’heure et la date, et enfin une loupe (Spotlight) pour rechercher un terme dans un nom de fichier de votre ordinateur et dans le fichier lui-même ! Par exemple, si vous tapez le mot Vacances dans le champ de texte de cette petite loupe et si vous avez utilisé ce mot dans un texte stocké sur votre Mac, dont le fichier s’appelle, disons, Textes divers, Spotlight est capable de vous désigner ce fichier comme contenant le mot Vacances !
1 / Premiers contacts avec votre Mac
Ensuite, le menu Présentation vous servira à configurer l’affichage de votre système, nous y reviendrons en détail au prochain chapitre.
N’hésitez pas à utiliser Spotlight pour chercher n’importe quel terme, n’importe où sur votre Mac. Les résultats peuvent ensuite être consultés facilement en cliquant sur Tout afficher, et même filtrés efficacement grâce aux petits boutons au-dessus de la liste de résultats.
Spotlight, pour une recherche efficace
Le disque dur Sur PC, le disque dur est caché dans les méandres du menu Démarrer et du fameux Poste de travail. Sur Mac, pas de complication : le disque dur est comme n’importe quel autre dossier, mais il est « posé» sur le Bureau, en haut à droite. Pour l’ouvrir, double-cliquez simplement dessus ! La fenêtre qui s’affiche comporte deux parties : une principale, classique, comme sur PC, et une colonne à gauche, présentant des accès rapides aux dossiers importants (le dossier Utilisateur, qui porte le nom de votre session et qui est représenté par une petite maison, le Bureau, le dossier Applications et le dossier Documents). Vous pouvez y ajouter des dossiers que vous avez souvent besoin d’ouvrir.
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1 / Premiers contacts avec votre Mac
Le contenu du disque dur
Le dossier Utilisateur, portant le nom de votre session (celui que vous avez entré lors du premier démarrage du Mac) et symbolisé par une petite maison, contient plusieurs dossiers aux intitulés multimédias : Séquences, Musique, Images, etc. C’est là que vous pouvez stocker manuellement vos fichiers si vous en avez envie, mais c’est surtout là que seront rangés d’office les originaux de vos fichiers si vous utilisez les applications Apple : iTunes, iPhoto, etc. En effet, lorsque vous importerez vos photos et votre musique depuis votre PC, comme nous le verrons dans les chapitres Votre musique avec iTunes et Vos photos avec iPhoto, les fichiers originaux seront copiés par le Mac dans ces dossiers, auxquels il est recommandé de ne pas toucher. Le mieux est de laisser le Mac les gérer.
Le dossier d’utilisateur, portant le nom de votre session
Cependant, si pour une raison ou pour une autre vous décidiez de ne pas utiliser ces logiciels, vous pouvez tout à fait stocker vos fichiers ici et les gérer manuellement, exactement comme vous en aviez l’habitude sur Windows. Mais ce serait passer à côté de l’un des grands intérêts de Mac OS X : ses logiciels ergonomiques et puissants.
Si vous cliquez sur Bureau, les images de tout ce que vous stockez sur votre Bureau s’afficheront dans la fenêtre principale. L’intérêt est limité, puisque vous pouvez y accéder simplement en fermant la fenêtre…
Vous pouvez accéder au bureau depuis une fenêtre du disque dur
Le dossier Applications, lui, est la destination parfaite des nouveaux logiciels que vous ferez tourner sur votre Mac. Une fois que vous avez installé une nouvelle application, si vous comptez l’utiliser souvent, glissez-la sur le Dock, comme nous l’avons décrit précédemment : cela vous évitera d’avoir à ouvrir chaque fois le dossier Applications.
Le dossier Applications
Le dossier Documents est l’alter ego de celui de Windows : placez-y vos fichiers texte, vos feuilles de calcul ou ce que vous voulez !
Au fait, connaissez-vous la différence entre un dossier et un fichier ? Un dossier peut accueillir un nombre infini de fichiers, c’est une sorte de boîte. L’icône par défaut d’un dossier sur Mac est bleutée. Et un fichier, c’est un document, donc un texte, un tableur, une photo, etc. Il possède généralement une icône en rapport avec l’application dont il est issu.
Mac World
Il peut donc y avoir dix fichiers dans un dossier, ou même dix dossiers et cent fichiers dans un dossier, mais il ne peut pas y avoir de dossiers dans un fichier ! Vous me suivez ?
Les virus en question Sur PC, on recense des millions de virus et les utilisateurs qui passent au Mac demandent souvent des conseils à propos d’un bon antivirus. Clairement, vous n’avez aucun besoin d’acheter ou d’installer un antivirus. Cela fait vingt ans que j’utilise des Mac et je n’en ai jamais rencontré un seul personnellement, ni aucun de mes amis autour de moi ! Le fait est qu’il n’y en a tout simplement pas. Mac OS X est un système très sûr et très résistant, et puis les concepteurs de virus préfèrent se focaliser sur Windows, un marché beaucoup plus grand ! Cependant, il est tout à fait possible de se faire intercepter son numéro de carte bancaire sur Internet, même à partir d’un Mac, cela n’a rien à voir avec un virus. Mais rassurez-vous, cela reste tout de même assez rare. De plus, les banques ont des assurances pour vous rembourser en cas de piraterie. Bref, surfez tranquille !
1 / Premiers contacts avec votre Mac
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2
Configurez et utilisez votre Mac Lorsque vous recevez votre Mac, celui-ci est configuré selon des paramètres d’usine, qui ne tirent pas tout à fait parti de toutes ses fonctionnalités et qui ne correspondent pas forcément à votre utilisation. Comme sous Windows, il convient donc d’adapter quelque peu l’ordinateur à vos habitudes. Mais rassurez-vous, tout cela est d’une grande simplicité et peut même être plaisant pour les plus perfectionnistes d’entre vous. Souvenez-vous encore une fois de l’image de la voiture : lorsque vous entrez dans une nouvelle auto, vous réglez la hauteur des sièges, l’inclinaison des rétroviseurs, la clim, le volume de la radio… Eh bien c’est exactement pareil pour votre Mac !
Les Préférences Système S’il y a bien une application incontournable à connaître dans Mac OS X, c’est celle des Préférences Système, accessible via l’icône grise représentant trois roues crantées, dans le Dock. C’est ici que vous réglerez vos problèmes en matière d’ergonomie, mais aussi que vous découvrirez certaines options malignes et utiles.
Bureau et économiseur d’écran Bureau 1/
Cliquez sur l’icône grise affichant des roues crantées, celle des Préférences Système, dans le Dock.
2/ La fenêtre principale des Préférences Système s’affiche, avec de nombreuses icônes, cha-
cune dévolue à un thème ou à un type de périphérique. Cliquez sur la deuxième icône de la fenêtre des Préférences Système : Bureau et économiseur d’écran.
Les Préférences Système
3/ Dans la colonne de gauche, sélectionnez un thème d’images parmi ceux qui sont proposés par Apple. Notez que vous pouvez également sélectionner le dossier Images, qui se trouve
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4/ Dans la colonne de droite, sélectionnez l’image que vous voulez mettre en fond d’écran, c’est-à-dire sur votre Bureau, à la place de celle de l’aurore boréale. Sélectionnez la photo de votre choix
5/ Vous pouvez ajuster la photo par rapport à la taille de votre écran grâce au menu déroulant
au-dessus de la colonne de droite : si vous choisissez Ajuster aux dimensions de l’écran, il se peut que la photo en question soit déformée. Et si vous choisissez Centrer ou Adapter à l’écran, il se peut que certaines zones du Bureau ne soient pas couvertes par la photo (notamment si celle-ci est trop petite), auquel cas, un cadre de couleur apparaît à droite du menu déroulant, pour que vous puissiez choisir la couleur de remplissage de ces zones.
Pour que le fond d’écran change à chaque démarrage
6/ Une option originale est
accessible en bas de la fenêtre : le changement d’image. Vous pouvez en effet faire en sorte que toutes vos photos, ou seulement certaines d’entre elles, défilent à intervalle de temps régulier, ou simplement qu’elles changent à chaque fois que vous démarrez votre ordinateur. Pour cela, sélectionnez un dossier ou un album dans la colonne de gauche et cochez la case Changer d’image, puis sélectionnez la fréquence de changement dans le menu déroulant à droite.
2 / Configurez et utilisez votre Mac
dans le dossier Utilisateur de votre disque dur (celui qui porte le nom de votre session, créé au tout premier démarrage du Mac), et aussi les Albums iPhoto, qui représentent tout le contenu de votre bibliothèque iPhoto (voir le chapitre Vos photos avec iPhoto).
Économiseur d’écran 1/ Cliquez sur l’icône grise affichant des roues crantées, celle des Préférences Système, dans le Dock. 2/ Cliquez sur la deuxième icône, Bureau et économiseur d’écran. 3/ Cliquez sur l’onglet Économiseur d’écran en haut de la fenêtre. 4/ Dans la colonne de gauche, vous pouvez choisir une série de photos parmi celles qui sont livrées par Apple. Lorsque vous aurez vos propres photos sur votre Mac (grâce à iPhoto, voir le chapitre Vos photos avec iPhoto), vous pourrez revenir ici pour les sélectionner. 5/ À droite s’affiche un aperçu de l’économiseur. Vous pouvez le voir en plein écran en cliquant en dessous sur le bouton Tester. À gauche, en cliquant sur le bouton Options, vous avez accès à quelques réglages esthétiques. De nombreux économiseurs d’écran
6/ À gauche du bouton Options se trouvent trois petits boutons. En cliquant sur chacun
d’eux, vous verrez qu’un autre style de diaporama apparaît dans l’aperçu au-dessus : choisissez celui qui vous convient ! Le troisième est assez impressionnant, mais il faut avoir une grosse bibliothèque de plusieurs milliers de photos pour qu’il soit vraiment efficace. Il s’agit d’une mosaïque affichant l’une de vos photos composée de plusieurs centaines ou milliers d’autres !
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2 / Configurez et utilisez votre Mac
Une mosaïque dynamique formée avec vos photos !
7/ Enfin, en dessous, la réglette vous permet de déterminer après combien de temps d’inactivité doit se lancer l’économiseur d’écran.
Dock et Stacks Dock 1/ Dans les Préférences Système, cliquez sur Dock, soit la troisième icône. 2/ La première réglette vous permet de déterminer la taille du Dock : déplacez le curseur et constatez l’effet sur le Dock en temps réel.
Personnalisez le Dock
3/ La deuxième réglette peut être activée ou pas, selon que vous décidez d’agrandir ou non le Dock lorsque vous passez la souris dessus. Certains aiment, d’autres non. À vous de voir à l’usage.
4/ Vous avez ensuite la possibilité de placer le Dock verticalement, à gauche ou à droite, ou horizontalement, en bas de l’écran. Le Dock à gauche, avec un effet d’agrandissement maximum
5/ Le type de réduction, un peu gadget, influe sur l’animation à laquelle vous avez droit lors-
que vous cliquez sur le petit bouton orange en haut à gauche des fenêtres, pour les réduire et les cacher dans le Dock.
6/ Vous avez la possibilité également d’activer le rebond de l’icône d’une application lorsqu’elle s’ouvre : c’est un peu gadget aussi, mais cela permet de vous assurer que vous n’avez pas cliqué sur la mauvaise icône ! 7/ Enfin, si vous cochez la case Masquage/affichage automatique, le Dock disparaît. Il n’apparaîtra que lorsque vous placerez le pointeur de votre souris à l’extrême sud de votre écran, essayant presque de le sortir de l’écran. Essayez et voyez si cela vous convient : cela peut vous faire gagner un peu de place si vous avez un petit écran.
Stacks 1/ À droite du Dock, juste avant la Corbeille, il y a deux icônes : Documents et Téléchargements. Cliquez sur l’une d’elles.
2/ Lorsque vous cliquez dessus, puis sur le bouton Afficher, apparu immédiatement après, vous pouvez voir que vous avez ouvert le dossier correspondant qui se trouve dans votre disque dur, plus précisément dans le dossier Utilisateur (la petite maison qui porte votre nom). Il s’agit donc d’un accès rapide vers ces dossiers.
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2 / Configurez et utilisez votre Mac
Le dossier Téléchargements, dans le dossier Utilisateur
3/ Maintenez la touche [Ctrl] de votre clavier enfoncée (cela correspondra à un clic droit
à l’avenir, comme nous allons le configurer juste après) et cliquez à nouveau sur l’une des deux icônes : un menu contextuel apparaît, dans lequel vous pouvez choisir les modes de classement et de présentation de tous les fichiers que vous placerez dans ces dossiers. En choisissant le classement par Date de l’ajout et un affichage en Éventail, vous aurez accès très rapidement au dernier fichier téléchargé ou enregistré, via le Dock, ce qui peut se révéler pratique. Nous verrons plus loin (au chapitre Internet, courriels et Wifi) comment désigner le dossier Téléchargements comme dossier de destination par défaut pour les fichiers que vous récupérez sur Internet.
Les derniers documents ajoutés au dossier s’affichent en éventail
Souris Si vous avez opté pour un Mac de bureau, vous contrôlez votre ordinateur avec une souris, certainement la souris blanche d’Apple. Si vous avez opté pour un portable, je vous conseille quand même de brancher une souris, pour plus de confort. Si vous préférez utiliser le trackpad, cliquez sur l’icône à droite de celle de la souris dans les Préférences Système et regardez les vidéos de démonstration pour apprendre à maîtriser les gestes utiles.
1/ Dans les Préférences Système, cliquez sur Souris, sur la deuxième ligne. 2/ Le Mac tente de détecter une souris Bluetooth ou reconnaît une souris USB le cas échéant. 3/ La souris d’Apple (Mighty Mouse) s’affiche alors. Pour activer la fonction de clic droit dont tout ex-utilisateur de Windows est friand, sélectionnez Bouton secondaire dans le menu déroulant de droite, désignant la zone droite de votre souris tactile. Assignez vos fonctions préférées à votre souris
4/ Le menu déroulant du haut se rapporte au petit bouton que constitue la molette de
défilement de la souris. Je vous conseille de sélectionner Dashboard ici (nous aborderons le Dashboard plus loin, au chapitre Internet, courriels et Wifi).
5/ Le menu déroulant du bas, lui, est dédié en fait à une action bien particulière : le pince-
ment des deux zones grises de la souris, situées de part et d’autre de celle-ci, vers le bas. Si
vous vous sentez à l’aise avec cette souris, je vous conseille de sélectionner Exposé : Bureau, qui vous permettra d’accéder très rapidement à votre Bureau : faites l’essai en pinçant la souris ! Vous pouvez aussi choisir un autre type d’Exposé : toutes les fenêtres, qui permet d’avoir un aperçu rapide de toutes les fenêtres ouvertes (c’est la même action que la touche [F3]). Sur Mac, on a tendance à avoir beaucoup de fenêtres qui « flottent » les unes derrière les autres : il faudra vous y habituer ! Testez la fonction, et si vous pensez que cela va vous déstabiliser, choisissez Désactivé.
Exposé, une fonction pratique pour basculer d’une application à une autre
6/ Laissez le menu déroulant Défilement à sa valeur par défaut : Vertical et Horizontal. Ainsi vous pourrez profiter à fond de la molette intelligente d’Apple. 7/ En dessous, les trois réglettes influent sur la vitesse de déplacement du curseur, le volume de défilement de la molette et la vitesse du double-clic. À vous de régler ces petites préférences à votre convenance ! 8/ Vous avez aussi la possibilité d’activer un zoom en maintenant une touche du clavier enfoncée simultanément à l’utilisation de la molette. Par défaut, il s’agit de la touche [Ctrl]. Ne l’activez que si vous maîtrisez bien la souris.
2 / Configurez et utilisez votre Mac
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Un zoom qui peut s’avérer utile
9/ L’onglet Bluetooth permet de voir d’un coup d’œil où en est le niveau des piles de votre
Mac Malin
souris si vous avez opté pour le modèle sans fil.
Le clavier du Mac Comme vous l’avez peut-être déjà remarqué, le clavier d’un Mac est différent de celui d’un PC. D’abord, la touche [Alt] ne se trouve pas immédiatement à côté de la [Barre}d'espace] : il y a la touche [Cmd] (X, qui remplace la célèbre touche A) entre les deux. Ensuite, les symboles ne sont pas disposés de la même manière. Les deux tirets, par exemple, sont sur la même touche, à gauche de la touche d’effacement et non sur les touches [6] et [8]. En ce qui concerne les symboles monétaires, sachez que vous avez accès à l’euro (€) via la combinaison de touches [Alt] + [$]. Enfin, les touches de fonction ([F]) sont agrémentées de symboles qui se rapportent… à une fonction ! Celles-ci sont détaillées dans les chapitres de ce livre.
Économiseur d’énergie 1/ Dans les Préférences Système, cliquez sur Économiseur d’énergie, sur la deuxième ligne. 2/ La première réglette commande l’arrêt de l’activité du Mac et la deuxième, seulement de l’écran. Choisissez par exemple 20 ou 30 minutes pour la mise en veille de l’écran et 60 minu-
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2 / Configurez et utilisez votre Mac
tes pour la mise en veille de l’ordinateur, mais attention, s’il vous arrive de laisser « travailler » votre ordinateur de longs moments en votre absence, positionnez la réglette sur Jamais. Pour réactiver le Mac, il vous suffira de bouger la souris si c’est seulement l’écran qui est en veille ou d’appuyer sur une touche du clavier si c’est le Mac lui-même qui est endormi.
Les réglages de mise en veille dépendent de votre utilisation
3/ Si vous avez besoin de faire démarrer et/ou éteindre votre Mac à des heures précises, cliquez sur le bouton Programmer, en bas à droite, et choisissez vos heures et vos jours. 4/ En haut de la fenêtre, cliquez sur l’onglet Options, puis cochez la case Permettre au bouton d’alimentation de suspendre l’activité : c’est pratique pour mettre rapidement en veille votre Mac, un peu comme votre téléviseur.
Comptes 1/ Dans les Préférences Système, cliquez sur Comptes, sur la quatrième ligne. 2/ Ici, vous pouvez modifier le mot de passe de votre session, que vous avez choisi lors de
votre premier démarrage. Commencez par cliquer sur le cadenas en bas à gauche de la fenêtre et entrez votre mot de passe de session, le tout premier.
La gestion des comptes d’utilisateurs
3/ À présent, pour créer une session supplémentaire, pour un membre de votre famille par exemple, cliquez sur le bouton +, en bas à gauche. Si vous avez créé plusieurs sessions mais que vous voulez quand même que le Mac démarre toujours automatiquement sur une en particulier, cliquez sur Options en bas, puis sélectionnez la session qui doit se lancer par défaut dans le menu déroulant en haut à droite. L’ouverture de la session par défaut
4/ Pour chaque session créée, vous pouvez décider d’assigner une ou plusieurs applications ou documents qui se lanceront automatiquement au démarrage. Pour cela, cliquez sur l’onglet Ouverture en haut à droite, en ayant bien pris soin de sélectionner une session dans la colonne de gauche. Puis, cliquez sur le bouton + apparu en dessous de la liste d’applications pour désigner la ou les applications qui se lanceront toutes seules à chaque démarrage de cette session. Le lancement automatique d’applications au démarrage
2 / Configurez et utilisez votre Mac
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Pour partager des documents entre plusieurs utilisateurs, il suffit de glisser ces documents dans le dossier Partagé, qui se trouve dans le dossier Utilisateur, lui-même sur votre disque dur. Au besoin, dupliquez-les avant de les partager, en faisant un clic droit et en choisissant Dupliquer. Le dossier Partagé, commun à toutes les sessions
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Mac World
Steve Jobs écarté par les actionnaires En 1985, neuf ans après avoir fondé Apple, Steve Jobs se voit nommé président du directoire par ses actionnaires, ce qui équivaut à le mettre de côté. Cette mise à l’écart se fait à l’instigation de John Sculley, que Jobs était allé démarcher chez Pepsi deux ans plus tôt pour venir diriger Apple. Suite à cette décision, Jobs démissionne et fonde Next, une nouvelle entreprise informatique… qui sera rachetée par Apple pour 400 millions de dollars en 1996 !
Exposé et Spaces Dans les Préférences Système, cliquez sur Exposé et Spaces. Cette partie comporte deux onglets et s’ouvre par défaut sur Spaces.
Spaces 1/ Spaces est une fonction empruntée à Linux, qui permet de scinder virtuellement votre écran en plusieurs parties (de deux à seize), de manière à réduire l’encombrement de votre Bureau. En effet, sur Mac, les utilisateurs ont tendance à multiplier les fenêtres ouvertes et à « noyer » l’écran. Avec Spaces, vous allez pouvoir garder vos applications et vos fenêtres ouvertes, tout en les mettant de côté. Pour commencer, cliquez sur Activer Spaces. Spaces est très utile pour dégager le Bureau
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3/ En dessous, dans la zone qui est pour l’instant vierge, vous pouvez attribuer des applications à des espaces en particulier. Dès lors, chaque fois que vous ouvrirez l’une de ces applications, elle se chargera automatiquement dans l’espace défini. Ajoutez une application grâce au bouton +, au-dessous de la liste. 4/ Le bas de la fenêtre est consacré aux raccourcis clavier et propose d’abord, pour activer Spaces, de choisir l’une des touches de fonction, seule ou accompagnée de x ([Maj]), X ([Cmd]), [Ctrl] ou z ([Alt]). Attention, cette fonction semble ne pas fonctionner sur les portables. 5/ Ensuite, Pour basculer d’un espace à l’autre vous propose de choisir trois touches à adjoin-
dre aux flèches, pour passer rapidement d’un espace à l’autre. Testez les raccourcis immédiatement et vous comprendrez tout seul le fonctionnement de Spaces. Revenez au bon espace et terminez vos réglages avec le troisième menu, dans lequel vous pouvez par exemple choisir les touches numérotées.
À chacun son espace !
2 / Configurez et utilisez votre Mac
2/ Le schéma en dessous est assez explicite. Par défaut, Spaces offre quatre tableaux. Vous pouvez ajouter et enlever des colonnes et des rangées à loisir, en vous aidant du petit + et du petit - à droite. Cochez également la case Afficher les espaces dans la barre des menus, au-dessus, pour un accès rapide à vos différents espaces.
Exposé 1/ Cliquez sur l’onglet Exposé en haut. Vous allez pouvoir choisir les différentes façons d’accéder aux fonctions d’Exposé. Il s’agit de fonctions purement pratiques, qui cachent les fenêtres affichées en un clin d’œil et qui peuvent les faire réapparaître aussi vite. Comme je vous le disais ci-dessus, il est fréquent qu’un utilisateur de Mac se retrouve avec de nombreuses fenêtres flottantes. Il peut alors être très utile de faire appel à Exposé pour glisser un fichier depuis une fenêtre jusque sur le Bureau par exemple. Les différents types d’exposés
2/ Je ne vous conseille pas d’assigner un coin d’écran à Exposé, comme le permet le haut de la fenêtre. Vous risqueriez d’activer souvent la fonction sans le vouloir, en passant votre souris dans un coin. 3/ Intéressez-vous plutôt au milieu de cette fenêtre, à la partie Raccourcis clavier et souris. Exposé consiste en fait en trois fonctions différentes, l’une agissant sur Toutes les fenêtres, l’autre sur les Fenêtres de l’application et la troisième permettant d’Afficher le Bureau. À vous d’assigner la touche de votre choix à chaque fonction, en gardant à l’esprit que la première fonction est liée par défaut à la touche [F3], comme celle-ci l’affiche fort bien sur le clavier !
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2 / Configurez et utilisez votre Mac
La fonction Exposé agissant sur toutes les fenêtres : [F3]
4/ Le Dashboard affiche des widgets, de petits utilitaires bien pratiques. Pour en savoir plus sur leur utilisation, rendez-vous à la fin du chapitre Internet, courriels et Wifi. Sachez que les widgets sont liés par défaut à la touche [F4], mais vous pouvez ajouter une autre touche et même un bouton de la souris, celui de la molette par exemple. Dashboard
Les réglages de confort Rares sont ceux qui prêtent attention d’eux-mêmes à ces petits détails informatiques. Pourtant, cela peut changer votre façon d’aborder un Mac. À ne pas négliger donc !
Les options de présentation 1/ Fermez toutes vos fenêtres et vos applications. Vous ne voyez plus que le Bureau. 2/ Déroulez le menu Présentation et sélectionnez Afficher les options de présentation. Les options de présentation
3/ La première réglette influe sur la taille
des icônes, la deuxième, sur leur espacement. En dessous, vous pouvez régler la taille de la police, l’emplacement du texte par rapport aux icônes et l’affichage des informations de poids des fichiers, etc.
4/ Si vous ouvrez à présent le disque dur, les options de présentation s’appliquent aux dos-
siers ouverts et non plus au Bureau. De grandes icônes et un fond jaune
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Liste, colonnes, icônes ou images…
La luminosité et le volume sonore Pour la luminosité de l’écran, c’est très simple, Apple a tout prévu : sur le clavier des Mac, vous trouverez deux touches arborant un soleil plus ou moins grand, aux emplacements [F1] et [F2].
Mac World
Pour le volume des haut-parleurs, vous avez trois touches, [F10], [F11] et [F12], pour enlever le son, le diminuer et l’augmenter. La période des clones En 1994, alors qu’Apple commence à être sérieusement mise à mal par Microsoft, le nouveau PDG, Michael Spindler, autorise d’autres constructeurs à produire et vendre des Mac, c’est-à-dire des machines capables de faire tourner le système Mac OS. Umax, Motorola et PowerComputing deviennent donc des producteurs de «clones» : des Mac moins chers, au design quelconque, mais aussi puissants que les originaux. Mais l’aventure ne va pas durer longtemps : lorsque Steve Jobs revient, en 1997, il prend la décision de mettre fin aux contrats liant Apple aux cloneurs.
Archivage et transfert de données Lorsque vous souhaitez archiver des données, plusieurs solutions s’offrent à vous, comme sur PC : la compression, la gravure, et même les deux solutions combinées.
Transférez facilement vos données du PC au Mac Plusieurs solutions sont disponibles, concernant le transfert de vos données depuis votre PC vers votre Mac. De manière générale, vous disposez de trois méthodes de transfert :
2 / Configurez et utilisez votre Mac
5/ En haut à gauche de chaque fenêtre, vous avez quatre boutons correspondant chacun à un type de présentation des fichiers et dossiers : par icônes, par liste, par colonnes ou par images défilantes (Cover Flow). Choisissez celui que vous préférez !
Le support intermédiaire, c’est-à-dire la clé USB ou le disque dur externe, que vous branchez à votre PC, que vous formatez au format Fat32 (clic droit sur l’icône de la clé ou du disque puis Formater…) et sur lequel vous copiez vos données. Ensuite, vous débranchez le disque ou la clé, vous le branchez sur le Mac et vous glissez-déposez vos fichiers depuis le disque externe vers votre Bureau par exemple, ou encore vers votre disque dur.
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Importation de fichiers PC depuis une clé USB
Lire le format NTFS Peut-être avez-vous déjà rencontré un problème en branchant un disque dur externe sur votre Mac. Il se peut que vous ne soyez pas parvenu à y copier quoi que ce soit. La raison est simple : ce disque dur a dû être branché en premier lieu sur un PC et donc formaté en NTFS, un format que le Mac ne reconnaît pas à la base (le format des Mac étant le HFS). Si vous avez besoin des données qui se trouvent à l’intérieur du disque dur externe et que vous ne pouvez pas le formater en Fat32 (le format universel Mac et PC) sous peine de perdre ces fichiers, vous avez toujours la possibilité d’installer un module spécifique sur le Mac, pour le rendre totalement compatible avec le format NTFS. Pour 30 euros, vous pouvez acheter et télécharger un tel module sur www.paragon-software.com/fr/home/ntfs-mac/. Une version d’essai de 10 jours et même disponible gratuitement.
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Le réseau. Cette méthode est plutôt destinée aux utilisateurs confirmés : Connectez-vous au même réseau wifi, sur le PC et sur le Mac (comme décrit au chapitre Internet, courriels et Wifi). Sur le PC, déroulez le menu général, autrefois appelé menu Démarrer et cliquez sur Réseau. Le nom du PC s’affiche alors. Notez-le.
Le nom du PC
Sur le Mac, dans le menu Aller, choisissez Se connecter au serveur. Dans le champ Adresse du serveur, laissez smb:// et tapez à la suite le nom du PC. Entrez le nom du PC sur le Mac
2 / Configurez et utilisez votre Mac
L’envoi par mail. Cette méthode ne concerne que les fichiers et données de moins de 10 Mo en tout. Il vous suffit de vous envoyer un mail à vous-même, avec, en pièces jointes, les fichiers à transférer. Vous n’aurez plus qu’à les récupérer en vous connectant à votre compte mail sur le Mac.
Cliquez sur Se connecter sur le Mac. Au bout d’un instant, la boîte de dialogue d’authentification s’affiche. Entrez le nom d’utilisateur et le mot de passe du PC sur le Mac, pour vous y connecter : vous avez ainsi accès au contenu du dossier Public du PC, lui-même dans le dossier qui porte le nom du PC (ici, PC-DE-LAURE).
Le dossier Public du PC, depuis le Mac
Compression et décompression Parfois, pour gagner de la place, il peut être utile de compresser des données. Mac OS X intègre une fonction de compression facile à utiliser et bien sûr, son indispensable cousine, la décompression. Pour compresser des fichiers ou des dossiers, c’est très simple : il vous suffit de les sélectionner puis de faire un clic droit sur l’un d’eux et de choisir la commande Comprimer X éléments. Cette opération crée un fichier nommé Archive.zip, dans lequel est compressée une copie des fichiers ou dossiers.
2 / Configurez et utilisez votre Mac
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Compression de dix dossiers
Lorsque vous souhaitez décompresser une archive que vous avez créée ou que vous avez téléchargée depuis Internet (la quasi-totalité des applications téléchargeables sur le Web est compressée), double-cliquez simplement dessus et les fichiers contenus à l’intérieur de l’archive apparaîtront à l’endroit même où l’archive est stockée. Un fichier zippé et son contenu
Les archives comportant l’extension .dmg sont particulières : il s’agit d’images disque. Lorsque vous en ouvrez une, elle fait apparaître un disque virtuel sur votre Bureau, dont l’icône est la même que celle d’une clé USB. Ouvrez ce disque virtuel : l’application que vous avez téléchargée se trouve à l’intérieur. Mais elle n’est pas totalement installée sur votre ordinateur pour le moment, même si vous pouvez l’ouvrir. Pour l’installer définitivement, glissez son icône vers votre dossier Applications, dont un raccourci est parfois présent dans le disque virtuel. Si tout cela vous paraît étrange, vous avez probablement raison ! Souvenez-vous simplement qu’il vous faut toujours installer vos applications dans le dossier Applications, ce qui coule de source…
L’installation d’une application depuis un disque virtuel
Gravure de CD et DVD Vous pouvez graver des fichiers, qu’ils soient compressés ou pas. La seule condition, c’est qu’il y ait suffisamment de place sur le volume vierge.
1/ Commencez par créer un Nouveau dossier à graver, à l’aide du menu Fichier, où vous le souhaitez dans votre système. Un dossier avec un symbole de CD apparaît. Vous pouvez le renommer comme bon vous semble.
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2 / Configurez et utilisez votre Mac
Création d’un dossier à graver
2/ Glissez dans ce dossier spécial tous les fichiers que vous souhaitez graver. Vous remarquerez que les originaux restent en place et que ce sont des copies qui se retrouvent à l’intérieur du dossier à graver.
Des raccourcis temporaires sont créés
3/ Introduisez un disque vierge et sélectionnez Ouvrir le Finder (le système) dans la boîte de dialogue qui s’affiche. L’option Ouvrir iTunes est utile si vous voulez graver un CD musical depuis votre bibliothèque de musique iTunes. Ouvrir le Finder
4/ Ouvrez le dossier à graver que vous avez créé et cliquez sur le bouton Graver en haut à droite de la fenêtre. Une boîte de dialogue vous demande d’entrer un nom pour le disque et une vitesse de gravure. Validez et la gravure commence. Gravure depuis un dossier du Finder
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Internet, courriels et Wifi Les Mac sont conçus depuis maintenant quinze ans pour accéder à Internet facilement et rapidement. D’ailleurs, saviez-vous que le « i » de iMac se rapporte (entre autres) à « Internet » ? Les pages qui suivent sont consacrées à la partie matérielle mais aussi à l’utilisation d’Internet au quotidien : mails, chat, navigation, flux RSS, etc. Même si rien n’est fondamentalement différent par rapport à Windows, certaines pratiques méritent d’être explorées, pour éviter de « régresser » en passant du PC au Mac : ce serait tout de même dommage !
Votre première connexion Vous possédez un accès à Internet chez vous, que vous utilisiez avec votre PC, et vous voulez naturellement en faire profiter votre Mac. Vous avez donc le choix entre remplacer votre vieille machine ou ajouter votre Mac à votre installation existante. Dans les deux cas, il n’y a rien de compliqué !
Par câble Ethernet Si vous possédez ce que l’on appelle une « box », qui regroupe l’accès à Internet, le téléphone et la TV, ou un routeur ou un modem/routeur :
1/ Vous devez d’abord vous procurer un câble Ethernet. Si vous remplacez votre PC par un Mac, utilisez l’ancien. Sinon, achetez-en un autre. 2/ Branchez le câble entre votre Mac et la box, qui offre généralement trois, quatre ou cinq prises pour autant d’ordinateurs. 3/ Lancez Safari, le navigateur web d’Apple (l’équivalent d’Internet Explorer ou de Firefox), qui se trouve dans le Dock, en bas. 4/ Tapez une URL dans la barre d’adresse. Si le site ne s’affiche pas, recommencez plusieurs fois. Après plusieurs essais infructueux, redémarrez le Mac en allant dans le menu a et réessayez. Une page d’erreur de connexion
Si vous possédez un modem simple, qui n’est pas aussi un routeur :
1/ Débranchez le câble entre le PC et le modem et branchez-le au Mac. 2/ Si c’est un câble Ethernet (qui ressemble à un câble de téléphone), vous n’aurez rien d’autre à faire que lancer Safari, le navigateur d’Apple. 3/ Si c’est un câble USB, il se peut que la connexion fonctionne toute seule. Si ce n’est pas le cas après plusieurs essais et un redémarrage du Mac, il vous faut installer les pilotes de votre modem sur votre Mac. Ceux-ci étaient livrés avec votre modem, sur un CD-Rom.
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Par CPL (courant porteur) Si vous devez ou souhaitez placer votre modem/routeur dans un endroit particulier de votre maison et votre Mac dans un autre, vous pouvez utiliser la technologie CPL. Pour ce faire, vous devez acheter deux boîtiers CPL. extrémité doit être branchée dans une prise estampillée « ordinateur » ou « PC » de la box. En fait, votre routeur doit être relié deux fois au courant électrique : une fois pour l’alimentation et une fois pour partager la connexion.
2/ Raccordez maintenant votre Mac à la prise de courant, de la même manière, avec le deuxième boîtier CPL. 3/ Lancez votre navigateur Safari : vous êtes connecté !
Par Wifi Si votre réseau Wifi est déjà établi et que votre PC y est déjà connecté, alors vous devez connaître l’identifiant et le mot de passe. Sinon, ils sont inscrits sous votre box. L’identifiant est dénommé « ID » ou « login » et le mot de passe, « wep », « wpa » ou « key ». Une fois ces indications connues :
1/ Cliquez en haut à droite, dans la barre de menus, sur le logo du Wifi en forme d’éventail et sélectionnez Activer Airport. Airport est le nom donné au Wifi par Apple. Airport, le Wifi à la sauce Mac
3 / Internet, courriels et Wifi
1/ Raccordez votre box à la prise de courant à l’aide de l’un des deux boîtiers CPL. L’autre
Un réseau sécurisé
2/ Vous remarquez que le logo a changé.
Cliquez à nouveau dessus et sélectionnez le nom de votre réseau sans fil, celui qui est inscrit sous votre box. Le cadenas à droite indique que c’est un réseau sécurisé : c’est le cas par défaut de tous les réseaux chez les particuliers.
3/ Une fenêtre s’ouvre, vous demandant le mot de passe du réseau. Cochez la case Afficher le mot de passe pour voir ce que vous tapez, puis entrez-le.
4/ Si cela ne fonctionne pas, réessayez en changeant la casse ou en enlevant ou ajoutant des tirets à la place des espaces. Affichez le mot de passe et respectez la casse
5/ Si vos tentatives sont toujours infructueuses, c’est peut-être que vous devez « prévenir » votre box qu’un nouvel ordinateur va s’y connecter. Généralement, il suffit d’appuyer sur un bouton de la box une ou plusieurs secondes pour activer la reconnaissance d’un nouvel ordinateur. Référez-vous de toute façon au mode d’emploi de votre fournisseur d’accès à Internet.
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6/ Si vous ne parvenez toujours pas à connecter votre Mac au réseau Wifi, sélectionnez Ouvrir Préférences réseau dans le menu en forme d’éventail, cliquez sur le bouton Assistant en bas et suivez les instructions.
Mac World
3 / Internet, courriels et Wifi
L’assistant de configuration réseau
En 1998, le premier iMac destiné à Internet En août 1998, Apple dévoile ce qui allait devenir le modèle d’ordinateur le plus vendu dans le monde : l’iMac. Ce bloc de plastique bleu, doté d’un écran cathodique de 15 pouces, d’un petit clavier coloré et d’une souris toute ronde, détonne grandement à l’époque. Il est en plus équipé d’un modem interne permettant de le connecter à Internet 5 minutes après l’avoir déballé, ce qui est une prouesse pour l’époque. Le « i » de iMac se rapporte justement à Internet, même si « interactif » est parfois cité. Le fait est que l’iMac a contribué à la démocratisation d’Internet chez les particuliers, tout comme celle du port USB et du lecteur de CD-Rom !
Internet avec Safari Oubliez Internet Explorer ! Apple livre avec ses Mac un excellent navigateur : Safari. Si vous utilisiez Firefox sur votre PC et que vous voulez continuer à le faire, vous pouvez télécharger sa version Mac sur le site www.mozilla-europe.org. Mais pour cela, vous devrez ouvrir et utiliser au moins une fois Safari !
Importez vos favoris depuis votre PC Si vous utilisiez des favoris avec Internet Explorer pour accéder rapidement à vos sites préférés, ne vous inquiétez pas, vous n’aurez pas besoin de les entrer manuellement dans Safari. Il vous suffit pour cela d’exporter puis d’importer vos favoris (qui sont appelés « signets » dans Safari…). Si vous ne connaissez ni les signets ni les favoris, vous trouverez plus d’informations à leur sujet un peu plus loin dans ce chapitre.
1/ Sur votre PC, lancez Internet Explorer. 2/ Déroulez le menu Outils en haut à droite de la fenêtre, puis sélectionnez Barre de
menus.
3/ Une fois que cette barre de menus est apparue, déroulez le menu Fichier, puis sélectionnez Importer et exporter. Cliquez sur Suivant.
L’export des favoris depuis Internet Explorer
4/ Sélectionnez Exporter les favoris dans la liste de propositions. Cliquez sur Suivant. Exporter les favoris
5/ Si vous aviez créé plusieurs dossiers de raccourcis et que vous souhaitez tout exporter,
laissez Favorites en surbrillance, sinon sélectionnez les favoris et/ou les dossiers de favoris que vous voulez transférer sur votre Mac. Cliquez sur Suivant.
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6/ Par défaut, le fichier regroupant tous vos favoris est appelé Bookmark.htm et est enregistré dans votre dossier Documents. Mais vous pouvez tout à fait choisir l’emplacement de sauvegarde en cliquant sur Parcourir. Cliquez ensuite sur Suivant, puis sur Terminer.
Formatage de la clé dans Windows
8/ Branchez votre clé USB ou votre
disque dur externe sur votre Mac. Attention : ils doivent être formatés en Fat32 pour être compatibles à la fois avec Windows et avec Mac OS. Pour formater un disque ou une clé, faites un clic droit sur leur icône dans Windows et choisissez Formater.
9/ Ouvrez Safari, déroulez le menu Fichier, puis cliquez sur Importer des signets.
10/ Il vous suffit maintenant de sélectionner le fichier Bookmark.htm qui se trouve sur la clé USB (ou le disque dur) dans la fenêtre d’importation et de cliquer sur le bouton Importer.
Importez les favoris dans Safari
3 / Internet, courriels et Wifi
7/ Allez chercher Bookmark.htm là où vous l’avez sauvegardé et copiez-le sur une clé USB, un disque dur externe ou envoyez-le à votre adresse par mail en pièce jointe.
11/ L’outil de gestion des signets s’affiche, avec un dossier nommé par défaut Importé le… dans la colonne de gauche et tous vos favoris (pardon, vos signets !) dans la colonne de droite. 12/ Si vous désirez ajouter tout ou partie de vos signets à la barre de signets, entre la barre d’adresse et la page web, il vous suffit, comme souvent sur Mac, de glisser vos signets depuis la colonne de droite vers la phrase « Barre de signets » à gauche, en dessous de Collections. Vous verrez qu’ils apparaîtront instantanément sur cette barre ! L’ajout de signets importés à la barre de signets
N’hésitez pas à créer des dossiers (à l’aide du bouton + en bas) dans lesquels classer vos favoris. Vous verrez, votre gain de temps sera considérable en organisant ainsi votre petite navigation de tous les jours sur le Web !
D’Internet Explorer à Safari La première chose qui va probablement vous étonner avec Safari, c’est la vitesse de navigation et donc d’affichage des pages. La différence avec Internet Explorer est assez flagrante ! Faites l’essai avec les sites que vous avez l’habitude de consulter et vous verrez que vous n’aurez plus très envie de revenir à IE !
Configuration optimale Nous allons à présent configurer correctement Safari pour l’utiliser de manière optimale. Comme pour presque toutes les applications sur Mac, il faut aller faire un tour du côté du menu spécifique à l’application, ici Safari, puis Préférences.
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Le menu juste en dessous détermine le délai avant la suppression automatique de l’historique des pages web consultées. Je vous conseille de choisir Un an, par confort. Immédiatement en dessous se trouve un menu important : il sert à choisir la destination des fichiers que vous téléchargerez via Safari, que ce soit une pièce jointe dans un mail, un nouveau logiciel ou encore une vidéo. Je vous recommande d’opter pour le dossier Téléchargements, qui se trouve dans votre dossier Utilisateur (représenté par une petite maison). Ainsi, vous aurez accès à vos téléchargements très rapidement, grâce au raccourci vers le dossier Téléchargements qui se trouve sur la droite de votre Dock, comme nous l’avons vu plus avant. Les deux dernières options ont assez peu d’importance. Les préférences de Safari
2/ Le deuxième onglet, Aspect, permet une personnalisation pointue de l’apparence du texte dans les pages web que vous visiterez. 3/ Dans le troisième onglet, Signets, vous choisissez d’inclure ou non dans les signets les adresses web stockées dans vos contacts (voir le chapitre Votre bureautique) ou dans iChat. Vous pouvez aussi choisir de synchroniser vos signets entre plusieurs Mac et même l’iPhone, grâce à MobileMe, le service de synchronisation automatique d’Apple. Vous trouverez plus d’infos sur www.me.com.
3 / Internet, courriels et Wifi
1/ Le premier onglet, Général, permet quelques réglages de base, très utiles au quotidien. D’abord, la sélection de votre navigateur par défaut, c’est-à-dire celui qui s’ouvrira si vous cliquez sur un lien dans un mail par exemple. En dessous, la classique page d’accueil, comme avec Internet Explorer, que vous personnaliserez entièrement. Entrez-y l’adresse de votre moteur de recherche préféré par exemple.
4/ L’onglet Onglets (!) est réservé à celles et ceux qui naviguent frénétiquement, avec de très nombreux onglets (et donc de très nombreux sites web) ouverts simultanément. Vous pouvez y régler vos préférences en termes de raccourcis clavier.
Je vous recommande cette configuration
5/ L’onglet RSS influe sur vos abonnements à certains blogs et sites, dont vous pouvez consulter le contenu mis à jour depuis ce que l’on appelle un « lecteur RSS ». Safari peut faire office de lecteur RSS. Pour plus d’informations sur les flux RSS, consultez la section Découvrez les flux RSS, ci-après.
6/ L’onglet suivant, Remplissage automatique, vous propose d’activer ou de désactiver le remplissage automatique des formulaires avec vos coordonnées prérenseignées. En fait, Safari va chercher vos informations personnelles dans le Carnet d’adresses (voir le chapitre Votre bureautique) et les incorpore dans n’importe quel formulaire de renseignement que vous rencontrez sur le Web. Si vous n’avez pas encore rempli votre fiche dans le Carnet d’adresses, c’est le moment de le faire, en cliquant sur le premier bouton Modifier, en face de Utiliser les informations de mon carnet d’adresses. Ce dernier s’ouvre et vous invite à compléter les champs vides. Une fois ces champs remplis, quittez le Carnet d’adresses et revenez aux préférences de Safari. Vous pouvez également activer les deux autres options, à savoir le remplissage automatique des noms et des mots de passe et celui des formulaires divers, que Safari ne réussira pas à remplir tout seul. Ne cochez pas ces cases si votre ordinateur est utilisé, sur une seule et même session, par plusieurs personnes que vous ne connaissez pas. Mais dans le cadre familial et en présence de plusieurs sessions dédiées chacune à un membre de la famille, il n’y a aucun problème.
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3 / Internet, courriels et Wifi
Le remplissage automatique lié au Carnet d’adresses
7/ L’onglet Sécurité est assez utile, notamment pour gérer les pop-ups, ou « fenêtres surgissantes » en français. Je vous conseille de cocher la case Bloquer les fenêtres surgissantes pour ne pas subir les publicités intempestives. Et lorsque c’est une fenêtre utile qui s’ouvre, vous avez la possibilité de l’afficher quand même, au cas par cas. Concernant les cookies, acceptez seulement ceux qui proviennent des sites consultés. L’onglet Sécurité
8/ L’onglet Avancées concerne surtout les personnes malvoyantes, qui pourront régler une taille de police minimale et activer une surbrillance spéciale.
Navigation directe contre navigation assistée Avec les navigateurs de nouvelle génération, comme Safari ou Firefox, vous avez la possibilité de taper directement dans la barre d’adresse un mot, une marque par exemple, sans forcément inclure le .com et les www. On appelle cela la navigation directe : c’est très pratique puisqu’il vous suffit dans la plupart des cas de connaître le nom de l’entreprise que vous cherchez. Ainsi, en tapant seulement Renault dans la barre d’adresse de Safari, on accède au site du constructeur automobile français : Safari se charge d’ajouter les www et les .com/.fr nécessaires. Et si vous avez déjà visité le site auparavant, Safari vous le conseillera même, juste en dessous de la barre d’adresse, comme « meilleur résultat » et « historique ». Il vous suffira alors de cliquer dessus avec votre souris ou d’appuyer sur la touche [Entrée] de votre clavier.
Safari vous propose les sites en rapport avec le mot-clé tapé
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Je vous conseille vivement d’utiliser la navigation directe lorsque vous cherchez à vous connecter au site d’une grande marque ou d’un produit très connu, d’autant que la plupart des grands groupes ont acheté de nombreux noms de domaine en .fr, .com, .net et même leur marque mal orthographiée, qui renvoient tous vers la bonne adresse. Si vraiment cela n’aboutit pas, il sera toujours temps de passer par les moteurs de recherche !
N’hésitez pas à entrer directement une marque dans la barre d’adresses
Encore un conseil : pensez à utiliser les onglets, c’est très pratique ! Il s’agit de maintenir ouvertes plusieurs pages web sans pour autant avoir de nombreuses fenêtres qui « flottent ». Pour cela, utilisez le menu Fichier, puis Nouvel onglet ou, mieux, la combinaison de touches X+[T] au clavier (la touche X est également identifiée par un [Cmd] ; elle se situe de part et d’autre de la [Barre{d'espace]). Cette combinaison affiche une page vierge dans la même fenêtre principale, intitulée « Sans titre », et garde simultanément votre première page ouverte : son titre est affiché à gauche, juste en dessous de la barre de signets. Vous pouvez y revenir en cliquant simplement dessus. Vous pouvez aussi fermer un onglet en cliquant sur la croix située à gauche de chacun d’eux.
3 / Internet, courriels et Wifi
À l’inverse, certains (souvent des internautes débutants) tapent le mot-clé recherché ou même l’adresse du site dans la barre de recherche de Google, à droite de la barre d’adresse, ou bien encore ils se connectent sur www.google.fr ou www.yahoo.fr pour taper ce mot-clé qui correspond par exemple à une marque ou un produit, puis cliquent sur l’adresse du site de la marque, qui n’est autre que le même nom auquel on a ajouté le .com ou le .fr. Quelle perte de temps !
Autre possibilité pratique : ouvrir un lien dans un nouvel onglet, pour l’activer, le charger et le consulter par la suite. Pour cela, faites un clic droit sur un lien qui vous intéresse au sein d’une page web, puis sélectionnez Ouvrir le lien dans un nouvel onglet.
Ouverture d’un lien dans un nouvel onglet
Mac Célère
Si vous utilisez beaucoup les signets, sachez que vous pouvez en ouvrir directement dans un nouvel onglet en faisant un clic droit sur le nom d’un signet dans la barre des signets et en choisissant Ouvrir dans un nouvel onglet.
Pour utiliser Safari comme un pro – X+[T] : nouvel onglet. – X+[N] : nouvelle fenêtre. – X+x+[Flèche] : onglet suivant/précédent. – X+[{-{] et X+[{+{] : réduire et agrandir la taille du texte. – X+[R] : rafraîchir la page (la recharger).
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Lorsque vous naviguez sur le Web, vous avez besoin de connaître des adresses (sous la forme www.xxx.com) et de les taper dans la barre d’adresse, en haut, pour y accéder. Le problème, c’est qu’au bout de quelques mois vous aurez visité des centaines de sites et qu’il vous sera difficile de vous rappeler l’adresse d’un site en particulier sur lequel vous voudriez vous rendre de nouveau. Pour vous faciliter la tâche, il existe deux outils : l’historique, qui garde en mémoire les adresses consultées, et les signets, qui proposent un accès direct à vos sites préférés. L’historique est accessible via le menu du même nom. Déroulez-le et vous verrez listés les noms des sites que vous avez visités récemment. En en sélectionnant un, vous y accéderez immédiatement. En dessous se trouvent des sous-menus avec des dates : déroulez-les pour consulter les sites sur lesquels vous avez surfé ces jours-là. Encore en dessous, en choisissant Afficher tout l’historique, vous accéderez à une liste complète des sites visités, classés dans des dossiers datés et avec un aperçu des sites en question, présentés avec Cover Flow, en éventail horizontal (à la manière de l’iPhone). Un historique complet et esthétique
Les signets, eux, fonctionnent un peu comme l’historique, sauf qu’ils ne retiennent que ce que vous leur demandez de retenir. Si vous vous rendez régulièrement sur un site et que vous voulez pouvoir y accéder rapidement, commencez par vous y connecter. Sélectionnez ensuite Ajouter aux signets dans le menu Signets. Safari vous demande de donner un nom à ce signet (choisissez ce que vous voulez) et de décider du dossier dans lequel l’enregistrer.
3 / Internet, courriels et Wifi
L’historique et les signets
Si vous choisissez Barre de signets, le signet ira se placer juste en dessous de la barre d’adresse de Safari, ce qui est plutôt pratique. En optant pour Afficher tous les signets dans le menu Signets, vous vous retrouverez en fait presque au même endroit que l’historique. Ici, vous pourrez organiser vos signets en les faisant glisser dans des dossiers pour les classer. Pour créer un dossier de classement, cliquez sur le petit bouton +, en bas à gauche.
Grâce à la barre de signets, vous accédez en un clic au site de votre choix
Découvrez les flux RSS La technologie des flux RSS, c’est le principe de l’abonnement à votre revue préférée transposé au Web. D’un côté, les sites éditoriaux, les blogs et autres sites de marques régulièrement alimentés et remis à jour, et de l’autre, un « lecteur de flux » qui regroupe les derniers articles en date, comme s’il s’agissait de mails. Cela vous intéresse ? Plusieurs méthodes de consultation de ces flux RSS s’offrent à vous. Voici les trois principales.
Méthode simple et rapide avec Safari 1/ Dans le menu Préférences de Safari, vérifiez bien, dans l’onglet RSS, que le lecteur RSS par défaut est Safari.
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2/ Connectez-vous à votre site d’actualités préféré ou à un blog que vous lisez régulièrement. Cliquez sur le bouton gris RSS à droite de la barre d’adresse de Safari et choisissez, le cas échéant, le type d’informations désiré. Attention : si vous ne voyez pas ce bouton gris, optez pour la troisième méthode, ci-dessous. La liste des flux RSS disponibles sur Liberation.fr
3/ Les derniers articles en date s’affichent sous forme simplifiée, les uns à la suite des autres, sans mise en page esthétique. Sur la droite de la fenêtre, une colonne grise vous permet d’influer sur ces éléments : un champ de recherche, une réglette pour modifier la longueur de l’aperçu de l’article, et des possibilités de tri selon divers critères.
3 / Internet, courriels et Wifi
Safari, lecteur de flux RSS
Le site de Libération sous forme de flux RSS
4/ Tout en bas de la colonne de droite, vous trouverez l’option Ajouter aux signets, qui fonc-
tionne exactement comme celle d’ajout de sites dans les favoris. Pour retrouver le flux par la suite, il vous suffira de cliquer sur le symbole du livre ouvert, à gauche de la barre de signets, puis sur Tous les flux RSS dans la colonne de gauche. Vous pouvez également les glisser vers la barre de signets pour y accéder encore plus vite.
Méthode simple avec Mail 1/ Dans le menu Préférences de Safari, vérifiez bien, dans l’onglet RSS, que le lecteur RSS par défaut est Mail. Réglage du lecteur RSS par défaut
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3/ Le logiciel Mail s’ouvre alors, avec une fenêtre Ajouter des flux RSS. Lorsque vous validez, le flux s’ajoute dans la colonne de gauche, sous l’étiquette RSS. Vous pouvez ajouter autant de flux que vous voulez.
Lisez les nouvelles comme vos mails
4/ Les flux RSS fonctionnent de la même manière que les mails au sein de l’application Mail : cliquez sur un flux pour faire apparaître les articles correspondants, précédés d’un point bleu lorsque vous ne les avez pas encore lus. Vous êtes prévenu dès la mise à jour du flux, comme lorsque vous recevez des mails, à condition que Mail soit ouvert.
Méthode plus complète avec des lecteurs en ligne 1/ Commencez par choisir un lecteur de flux RSS en ligne. Il en existe beaucoup, mais deux
sont largement utilisés, Netvibes (www.netvibes.com) et Google Reader (www.google.fr/reader). Ils diffèrent beaucoup visuellement (l’interface du premier est recherchée, tandis que le deuxième privilégie la vitesse d’affichage), mais le principe reste le même. Créez-vous un compte sur l’un des deux (ou les deux, pour comparer).
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2/ Connectez-vous à votre site d’actualités préféré ou à un blog que vous lisez régulièrement. Cliquez sur le bouton gris RSS à droite de la barre d’adresse de Safari et choisissez, le cas échéant, le type d’informations désiré. Attention : si vous ne voyez pas ce bouton gris, optez pour la troisième méthode, ci-dessous.
La page d’accueil de Netvibes
2/ Connectez-vous à votre site d’actualités préféré ou à un blog que vous lisez régulièrement. Repérez dans la page le logo orange du flux RSS et cliquez dessus. Sur les sites des grands médias, cette action affiche en général une liste des différents flux disponibles, avec des boutons d’abonnement correspondant aux principaux lecteurs de flux, soit Netvibes, Google Reader et parfois Mon Yahoo. Dans ce cas, cliquez sur le bouton correspondant au lecteur auquel vous vous êtes inscrit pour ajouter le flux directement dans votre lecteur. Sélectionnez votre lecteur de flux RSS pour vous abonner
3/ Deuxième solution : vous cliquez, comme avec les deux méthodes précédentes, sur le logo RSS bleu dans la barre d’adresse de Safari. Ceci ouvre Mail ou la page RSS de Safari, selon votre configuration dans les préférences de Safari, mais cela n’a pas d’importance. Ce qui importe ici, c’est de récupérer l’adresse du flux RSS, qui est différente de l’adresse web classique. L’adresse du flux s’affiche donc soit dans la fenêtre d’abonnement de Mail, soit carrément dans la barre d’adresse de Safari. Sélectionnez-la, copiez-la et allez la coller dans votre lecteur de flux en ligne, Netvibes ou Google Reader, après avoir choisi Ajouter un flux. Cette méthode peut vous sembler complexe, mais elle permet une utilisation optimale des flux RSS, au sein desquels vous pouvez, avec Google Reader notamment, effectuer des recherches précises, qu’il est possible d’archiver, classer, commenter, etc. Idéal pour de la veille sur un sujet bien précis par exemple !
Mac Community
Ajoutez manuellement une source de flux RSS
Les fans de Mac sont présents en très grand nombre sur la Toile. Voici quelques adresses incontournables : - www.macgeneration.com : une mine d’informations en temps réel et en français sur Apple et son univers. - http://store.apple.com/fr : c’est l’adresse du magasin Apple en ligne. En bas à droite de cette page, vous trouverez un lien vers les offres spéciales. Il s’agit de produits Apple reconditionnés, vendus avec des rabais importants ! - www.aventure-apple.com : des chronologies détaillées autour d’Apple, ainsi que des biographies, sans oublier une rubrique Flops. - www.versiontracker.com : ici vous trouverez des milliers de sharewares et de freewares à télécharger pour votre Mac.
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Vos courriels avec Mail Vous utilisez peut-être une adresse mail gratuite, fournie par Yahoo!, Google, La Poste, ou un autre. Ou peut-être une adresse liée à votre fournisseur d’accès Internet, Free, Orange, Neuf… Sachez que, dans les deux cas, vous pouvez récupérer votre courrier sans passer par votre navigateur, grâce au logiciel Mail. Sur Windows, vous fonctionniez peut-être avec Outlook. Sur Mac, vous pouvez télécharger Outlook, mais je vous conseille d’opter pour Mail, fourni avec tous les Mac, pour son intégration complète avec les autres applications d’Apple.
Importez vos courriels depuis votre PC Si vous utilisiez un logiciel de réception et de classement de vos courriels sur PC, cette section est faite pour vous. Si, au contraire, vous préfériez une interface web pour consulter votre courrier électronique et que vous voulez continuer ainsi, vous pouvez passer directement à la partie suivante ! L’import/export de mails entre un PC et un Mac peut être très simple ou relativement compliqué. Tout dépend du logiciel que vous exploitiez sur Windows. Si c’était Thunderbird, l’opération est facile. Il suffit d’exporter vos mails à l’aide de la fonction d’export, puis de les importer dans Mail, à l’aide de la fonction d’import. Logique ! Même chose pour les utilisateurs d’Eudora. En revanche, ceux qui employaient Outlook vont devoir user d’une petite astuce. Voici laquelle :
1/ Sur votre PC, téléchargez Thunderbird, ouvrez-le, puis importez votre compte Outlook grâce au menu Outils, à la commande Importer puis Courrier et Outlook. Localisez ensuite les archives de vos mails en vérifiant le chemin d’accès dans Outils et Paramètres des comptes. Copiez le dossier Local Folders sur une clé USB. Localisez et copiez les archives du courrier
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2/ Sur votre Mac, branchez la clé USB, lancez Mail, déroulez le menu Fichier puis choisissez Importer des boîtes aux lettres. Cochez Thunderbird, validez et sélectionnez le dossier Local Folders sur votre clé USB. L’importation démarre et une nouvelle boîte aux lettres s’ajoute dans la colonne de gauche, nommée Importation.
3 / Internet, courriels et Wifi
Importez votre boîte aux lettres
Pour Outlook Express, vous devrez faire appel à un petit utilitaire additionnel :
1/ Localisez le dossier contenant vos mails sur votre PC, faites-en une copie et utilisez
DbxConv (téléchargez-le sur Internet et lisez les instructions fournies ; attention, ce n’est pas évident !) pour convertir cette copie de votre boîte aux lettres au format .mbx. Changez l’extension du fichier obtenu en .mbox.
2/ Transférez ce fichier via une clé USB ou un disque dur externe sur votre Mac. Attention : ils doivent être formatés en Fat32 pour être compatibles à la fois avec Windows et Mac OS. Pour formater un disque ou une clé, faites un clic droit sur leur icône dans Windows et choisissez Formater. 3/ Ouvrez Mail et allez dans Fichier puis Importer des boîtes aux lettres. Cochez Fichiers mbox, puis sélectionnez le fichier .mbox.
Mail au quotidien Lorsque vous ouvrez Mail pour la première fois, celui-ci vous propose d’entrer les informations relatives à votre compte de courrier électronique. Si vous avez déjà ouvert Mail plusieurs fois sans faire cette opération, il vous suffit d’aller dans le menu Mail, puis Préférences, onglet Comptes, et de cliquer sur le petit + en bas de la colonne de gauche. Une fenêtre vous invite à entrer votre nom, votre adresse mail ainsi que votre mot de passe. Si vous cochez la case Configurer automatiquement le compte, Mail se chargera des réglages techniques pour les principaux fournisseurs d’adresses électroniques.
Entrez simplement vos informations de base pour configurer Mail
Si cela ne fonctionne pas, vous devez aller chercher sur le site de votre fournisseur de courrier les adresses de serveur d’envoi, de réception, et éventuellement le numéro de port. Ces informations doivent être entrées manuellement dans l’onglet Comptes. Les serveurs de réception et d’envoi devront peutêtre être réglés manuellement
Une fois votre compte correctement configuré, un petit tour dans les préférences de Mail vous permettra d’adapter le logiciel à votre utilisation.
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Le menu Dossier de téléchargement est le même que dans Safari ; ici, il concerne les pièces jointes reçues avec vos mails, qui peuvent être enregistrées en un clic dans le dossier de votre choix, et notamment Téléchargements, pour pouvoir y accéder rapidement depuis le Dock (voir la section Stacks au chapitre Configurez et utilisez votre Mac). Tout en bas de la fenêtre, vous trouverez à nouveau le bouton MobileMe, qui concerne la synchronisation automatique de votre Mac et de votre iPhone. Vous trouverez plus d’informations sur ce sujet sur www.me.com.
Les préférences générales de Mail
2/ L’onglet Comptes sert à configurer Mail avec votre fournisseur de courrier (voir ci-dessus). 3/ L’onglet RSS se rapporte aux abonnements à vos flux RSS dans Mail. 4/ L’onglet Indésirable concerne le spam, ces mails publicitaires que vous n’avez pas sollicités, mais qui arrivent quand même dans votre boîte aux lettres. Généralement, les fournisseurs
3 / Internet, courriels et Wifi
1/ Le premier onglet des préférences, Générales, concerne les réglages basiques de relève de courrier. Le deuxième menu déroulant correspond à la fréquence de relève du courrier. Elle n’a d’influence que lorsque Mail est ouvert. Le menu Ajout des invitations dans iCal, s’il est positionné sur Automatiquement, vous facilitera la vie en vous proposant, dès que votre souris survole une date dans le texte d’un mail, d’ajouter cette date dans votre calendrier iCal et d’y créer un événement. Ainsi, vous n’aurez même plus besoin d’utiliser le copier-coller !
de mail gratuit, comme Google ou Yahoo!, appliquent eux-mêmes des filtres efficaces contre le spam ; vous n’avez donc pas vraiment besoin d’une protection supplémentaire. Mon conseil : décochez la case Filtrer le courrier indésirable pour commencer et voyez ce que cela donne sur plusieurs jours. Si vous ne recevez pas de spam, laissez cette case décochée. Mais si vous êtes submergé par le spam, cochez-la et appliquez vos préférences : placer le courrier dans une boîte séparée ou simplement marquer le courrier comme étant indésirable. En tout cas, je vous conseille de cocher les cases concernant les expéditeurs qui se trouvent dans votre carnet d’adresses ou dans vos destinataires précédents, etc. Si vous recevez un grand nombre de mails, vous pouvez utiliser l’option de filtrage avancé pour repérer d’un coup d’œil tel ou tel message. Pour cela, cliquez sur Appliquer des actions personnalisées puis sur le bouton Avancé pour établir des règles précises de tri des mails, dont vous pouvez afficher certains d’une couleur différente par exemple.
La gestion du spam dans Mail
5/ L’onglet Polices/couleurs influe sur l’affichage de votre boîte aux lettres, de vos mails, des réponses à vos mails, etc.
6/ L’onglet Présentation peut vous aider à repérer plus rapidement un nouveau message, ou
un message venant d’une personne en particulier, ou encore plusieurs échanges de mails avec la même personne. En effet, en cochant la case Surligner les messages associés avec la couleur et en choisissant une couleur à droite, vous pourrez voir très vite quels messages s’inscrivent dans une discussion continue. Il vous suffira d’aller dans le menu Présentation et de sélectionner l’option Organiser par fil de discussion. Ceux qui ont une adresse en @gmail.com connaissent bien cette fonction, qui est utilisée par défaut sur l’interface web.
7/ L’onglet Rédaction est réglé par défaut sur des options classiques, comme le fait de citer le mail auquel on répond en dessous de la réponse, de vérifier l’orthographe pendant la frappe, d’envoyer les mails au format .rtf, etc. Vous pouvez laisser les réglages par défaut.
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Personnalisez votre signature automatique
9/ Enfin, l’onglet Règles sera utile à tous ceux qui désirent trier le courrier qui arrive en fonction de critères comme l’adresse de l’expéditeur, la date d’envoi, la présence d’une pièce jointe, etc. Si vous voulez rediriger certains mails répondant à ces critères vers des dossiers spécifiques, il vous faudra au préalable créer ces dossiers à l’aide du petit + en bas à gauche de la fenêtre principale de Mail.
Le chat avec iChat Apple livre avec son système d’exploitation un logiciel de chat (clavardage en français), baptisé iChat. Il est très agréable à utiliser, mais surtout, il est compatible avec plusieurs réseaux, comme vous allez le voir.
Première utilisation La première fois que vous l’ouvrez, iChat vous demande de choisir un type de compte et d’entrer un nom et un mot de passe. Comme vous venez du monde PC, il y a de grandes chances pour que vous n’ayez pas de compte correspondant, à part peut-être un compte Google Talk qui n’est autre que votre adresse mail en @gmail.com. Si vous avez déjà ouvert iChat en annulant cette demande de compte, vous pouvez y avoir de nouveau accès en allant dans les préférences d’iChat dans le menu iChat puis dans l’onglet Comptes.
3 / Internet, courriels et Wifi
8/ L’onglet Signature est important, puisqu’il influe sur tous les mails que vous envoyez à partir de votre Mac. Pour ajouter automatiquement une signature à tous vos futurs mails, cliquez sur le petit + et entrez votre texte dans le champ de texte de droite. Vous pouvez aussi cocher la case Placer la signature avant le texte cité, en bas de la fenêtre, pour éviter que votre signature ne se retrouve tout en bas d’un très long échange de mails le cas échéant.
Parmi les différents comptes proposés, vous avez le choix entre MobileMe (compte vendu par Apple, permettant de synchroniser votre Mac et votre iPhone automatiquement : vous trouverez plus d’informations sur ce sujet sur www.me.com), Mac.com (auquel vous pouvez vous inscrire gratuitement en cliquant en dessous sur Ouvrir un compte iChat), AIM (qui est très utilisé aux États-Unis), ou Jabber et Google Talk (pour importer des comptes extérieurs). Si vous ne connaissez personne sur Mac, vous ne connaissez personne qui utilise un compte MobileMe ou Mac.com pour clavarder. Cela vous est donc inutile. Si vous connaissez d’autres utilisateurs de Mac qui clavardent, demandez-leur quel type d’adresse ils utilisent pour vous inscrire au même service et ainsi communiquer. Sinon, vous pouvez entrer votre adresse Google Talk (Gmail) pour profiter de l’interface agréable d’iChat pour clavarder plutôt que l’interface web. Vous verrez, c’est plus pratique, plus ergonomique et plus esthétique ! Entrez votre compte de clavardage
Votre liste de contacts
Renseignez votre adresse et votre mot de passe. S’il s’agit d’une adresse Google Talk, vos contacts s’affichent automatiquement et ceux qui sont en ligne sont précédés d’une bulle verte. S’il s’agit d’un autre type d’adresse, vous devez ajouter manuellement vos contacts. Pour ce faire, cliquez sur le bouton + en bas de la fenêtre, puis sur Ajouter un contact.
Une session de bavardage
Pour discuter avec l’un de vos amis, faites simplement un double-clic sur son nom : une fenêtre avec un champ de texte apparaît. Si vous préférez discuter de vive voix ou même en visioconférence, faites un clic droit sur le nom de votre ami et choisissez Inviter à une conversation vidéo ou audio. Attention, ces fonctionnalités ne marchent qu’avec vos contacts utilisant iChat sur Mac, tout comme la fonction Partage d’écran, qui permet de montrer à votre ami votre écran en direct, et inversement.
Un petit tour dans les préférences… Allez dans le menu iChat puis Préférences. Cliquez sur l’onglet Général.
1/ Dans l’onglet Général, vous pouvez choisir Afficher l’état dans la barre des menus : ceci ajoute une bulle en haut à droite de votre écran, à côté des logos Bluetooth et Airport, qui vous permet de voir en un clic qui est connecté et de changer votre statut. Tout en bas de la fenêtre des préférences, vous retrouvez, comme dans les préférences de Safari et de Mail, le menu de sélection du dossier de destination des fichiers transférés. Les préférences générales d’iChat
3 / Internet, courriels et Wifi
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2/ L’onglet Comptes vous servira à supprimer ou ajouter une adresse pour clavarder. 3/ L’onglet Messages propose de choisir la police et la couleur du texte de vos discussions dans iChat, ainsi que des options pour les utilisateurs réguliers, comme Rassembler les conversations dans une seule fenêtre, qui évite d’encombrer votre écran avec toutes les discussions en cours. Vous pouvez aussi archiver vos conversations dans le dossier de votre choix, en le sélectionnant dans le menu déroulant qui, par défaut, se trouve sur iChats, lui-même dans le dossier Documents. Les préférences des conversations
4/ L’onglet Alertes est utile pour régler les alertes sonores lorsque certains faits interviennent dans iChat. Le menu déroulant Événement contient tout ce qui peut se produire lors de l’utilisation d’iChat : connexion d’un contact, réception d’un fichier, invitation vidéo, etc. À vous de faire correspondre à chaque événement un son et éventuellement une animation visuelle. Rassurez-vous, les sons par défaut sont plutôt bien choisis : vous n’avez pas vraiment besoin d’y toucher, à moins d’y tenir particulièrement ! 5/ Lorsque vous cliquez sur l’onglet Audio/vidéo, vous devez vous voir apparaître à l’écran ! iChat est en effet capable de tirer parti de la webcam intégrée à votre Mac pour faire des visioconférences qui peuvent réunir jusqu’à quatre personnes simultanément ! Pour essayer, cliquez sur la petite icône de caméra verte qui apparaît à droite du nom de certains de vos contacts. Si elle n’apparaît pas, c’est que votre contact n’a pas de caméra !
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3 / Internet, courriels et Wifi
Mise au point de la webcam
Les widgets (Dashboard) La touche [F4] de votre clavier arbore un cercle flanqué d’un thermomètre et de quelques petits traits, comme sur une réglette. En appuyant dessus, vous devriez voir apparaître plusieurs fenêtres spéciales que vous n’aviez jamais vues auparavant. Ce sont les widgets, l’équivalent des gadgets de Windows Vista, sauf que sur Mac, ils n’apparaissent pas sur le Bureau mais sont bien cachés, dans un univers appelé Dashboard - mais cela n’a pas d’importance. Vous pouvez aussi les afficher en cliquant sur la molette de votre souris, si vous avez suivi mes conseils de réglage de la souris du chapitre Configurez et utilisez votre Mac. Au départ, vous n’avez que quatre widgets : calculatrice, horloge, météo et calendrier. Mais sachez qu’il en existe des milliers. Voici comment en profiter.
1/ Connectez-vous sur www.apple.com/fr/downloads/dashboard. 2/ En dessous de Widget Browser, vous avez une liste de catégories de widgets. Cliquez sur une catégorie qui vous intéresse pour afficher la liste des widgets correspondants. Puis cliquez sur le titre d’un widget.
La liste de widgets
Localisez et ouvrez le fichier de widget
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4/ Allez chercher le fichier là où il s’est téléchargé. Souvenez-vous, les fichiers que vous téléchargez avec Safari s’enregistrent par défaut sur votre Bureau, mais je vous ai conseillé précédemment de choisir plutôt le dossier Téléchargements, pour un accès direct depuis le Dock et pour ne pas encombrer le Bureau. Ouvrez le fichier, qui se décompresse automatiquement et fait apparaître un nouveau fichier, avec une icône reconnaissable. 5/ Double-cliquez sur ce fichier noir : une fenêtre apparaît et vous demande si vous voulez installer ce widget. Cliquez sur Installer. 6/ Les widgets apparaissent avec celui que vous venez d’installer. Celui-ci est flanqué de deux boutons : Supprimer ou Conserver. Ainsi, vous pouvez essayer le widget et décider si vous voulez le garder. Le widget météo côté pile
7/ Tous les widgets comportent un petit i sur lequel vous devez cliquer pour les régler à votre convenance. Lorsque vous cliquez sur le i, le widget se retourne et vous avez accès à son côté pile (ou face, c’est selon !). 8/ Une fois vos réglages effectués, validez et essayez le widget. S’il ne vous satisfait plus, vous pouvez vous en débarrasser à tout moment en maintenant la touche [Alt] enfoncée et en survolant le widget en question : une croix apparaît alors pour le faire disparaître. La croix de suppression d’un widget
9/ Si vous voulez réinstaller un widget que vous avez supprimé, appuyez sur F4 pour appeler les widgets, puis cliquez sur le + cerclé en bas à gauche de votre écran. Là, vous trouverez les widgets que vous aviez précédemment installés. Cliquez sur celui que vous voulez ressusciter !
3 / Internet, courriels et Wifi
3/ Un résumé des fonctions du widget s’affiche à droite. Cliquez sur More info pour en savoir plus, puis sur Download à droite pour le télécharger, s’il vous semble intéressant. Validez avec OK.
Mac Malin
Réinstallez un widget facilement
Quelques widgets bien utiles – Percentages : permet de rapidement calculer une augmentation ou une diminution en pourcentage. – Stocks : pour surveiller les cours de Bourse de vos valeurs préférées. – Traduction : comme son nom l’indique, pour traduire rapidement un ou plusieurs mots. – Convertisseur : pour convertir des distances, des poids, des devises… – Mac Tips and Tricks : des trucs et astuces pour votre Mac !
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Votre musique avec iTunes
iTunes, vous connaissez peut-être déjà, même si vous n’avez jamais allumé un Mac de votre vie. Apple a en effet développé une version Windows de son lecteur de musique, compagnon de l’iPod. Sur Mac, c’est le passage obligé pour gérer une bibliothèque musicale, mais aussi pour accéder à l’iTunes Store, la plus grande plate-forme de téléchargement légal de musique, films et séries. iTunes est donc devenu au fil des années un logiciel très complet, très riche, qui peut être un peu déroutant au premier abord, même s’il reste globalement facile à utiliser.
Quelques réglages importants iTunes est livré gratuitement avec tous les Mac. Il se trouve donc dans le dossier Applications, et un raccourci est placé par défaut dans le Dock.
1/ Ouvrez iTunes et cliquez sur Accepter après avoir lu les conditions d’utilisation. 2/ Cliquez sur Suivant puis encore sur Suivant pour accepter qu’iTunes soit votre lecteur de
musique par défaut pour le Web (cela a peu d’importance).
3/ iTunes vous demande s’il doit explorer votre disque dur à la recherche de fichiers musicaux. Si vous avez déjà transféré des fichiers .mp3 sur votre Mac, vous pouvez choisir Oui pour les importer maintenant. Sinon, peu importe que vous cliquiez sur Oui ou sur Non. 4/ Validez enfin par Terminer. La fenêtre principale d’iTunes s’affiche, et ce dernier se connecte automatiquement à l’iTunes Store si vous avez une connexion Internet. Pour le moment, allons faire un tour dans les préférences. Choisissez le menu iTunes et sélectionnez Préférences.
1/ L’onglet Général s’affiche par défaut. Vous pouvez y renommer votre bibliothèque, choisir les médias à afficher dans iTunes, ainsi que l’action à effectuer à l’insertion d’un CD musical. Libre à vous de décider ce qu’iTunes doit faire dans ce cas. Si vous souhaitez numériser un grand nombre de CD à la suite, je vous recommande de choisir Importer le CD puis l’éjecter pour être averti dès que la numérisation d’un CD est terminée. Sinon, vous pouvez opter pour Commencer la lecture, si vous avez l’intention de vous servir parfois de votre Mac comme d’un lecteur CD. En cochant les deux cases en dessous, vous n’aurez pas (dans la majorité des cas) à entrer manuellement le nom des chansons que vous importez : iTunes s’en chargera grâce à une base de données en ligne. De même, iTunes vous avertira des mises à jour les plus récentes et vous proposera automatiquement de les installer. Je vous conseille donc de laisser ces deux cases cochées. Les préférences générales d’iTunes
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2/ Dans l’onglet Lecture, vous pourrez paramétrer iTunes de manière qu’il ne hache pas la lecture de plusieurs morceaux à la suite et qu’il égalise le volume de tous les morceaux, ce qui est utile s’ils proviennent tous de sources différentes. Les réglages en dessous concernent les films et séries achetés sur l’iTunes Store, mais aussi les clips et les vidéos que vous y stockerez éventuellement.
4 / Votre musique avec iTunes
Les préférences de lecture
3/ L’onglet Partage concerne uniquement ceux qui possèdent plusieurs ordinateurs connec-
tés sur le même réseau. Ainsi, il vous est possible d’accéder à la musique de l’un des ordinateurs via un autre appareil, et inversement, grâce à la fonction de partage. Ici, vous pouvez donc choisir précisément ce que vous voulez partager dans votre bibliothèque.
4/ L’onglet Store concerne la boutique en ligne et vos préférences quant à son utilisation. À vous de régler la navigation comme vous l’entendez. Il y a aussi une option intéressante à cocher ici, Télécharger automatiquement les illustrations d’album manquantes, qui influe sur vos CD importés, dont vous pourrez admirer la pochette en version numérique, pour repérer visuellement un CD que vous connaissez bien, avec la navigation Cover Flow, comme sur l’iPhone. L’onglet Store
5/ L’onglet Parental permet aux parents de mettre des verrous pour leurs enfants sur certains types de films, certaines radios et même l’iTunes Store. 6/ L’onglet Apple TV présente la liste des boîtiers Apple TV (voir la fin du chapitre Vos photos avec iPhoto) connectés à votre Mac. Vous pouvez y désactiver la synchronisation automatique.
7/ L’onglet Appareils regroupe les iPod et iPhone qui ont été branchés sur ce Mac. 8/ L’onglet Avancé est l’onglet le plus important : il influe sur l’emplacement et le mode de
sauvegarde de votre bibliothèque iTunes. Par défaut, l’emplacement de sauvegarde est un dossier iTunes Music dans le dossier iTunes, lui-même dans le dossier Musique, lui-même dans votre dossier Utilisateur, celui qui est représenté par une petite maison et qui porte votre nom (ou du moins celui que vous avez entré lors du premier démarrage de votre Mac). Les deux cases en dessous sont très importantes : je vous recommande vivement de les cocher toutes les deux. La première concerne l’arborescence du dossier dans lequel se trouvent vos fichiers musicaux et la deuxième, lorsqu’elle est cochée, oblige iTunes à copier automatiquement tout fichier musical importé dans le dossier iTunes Music. Ainsi, toutes les musiques que vous importerez dans le futur seront physiquement regroupées dans ce dossier, auquel vous n’aurez plus jamais besoin de toucher.
Autrement dit, à chaque fois que vous importerez de la musique dans votre bibliothèque iTunes (comme détaillé ci-dessous), celui-ci copiera le fichier dans ses archives (iTunes Music), l’affichera dans sa bibliothèque, et vous pourrez supprimer le fichier d’origine, où qu’il soit : sur votre disque dur, sur une clé USB, etc. Seule condition : ne modifiez jamais le dossier iTunes Music ! Le stockage de la bibliothèque musicale
Le procès contre les Beatles En 1978, seulement deux ans après sa création, Apple est attaquée par une société appartenant aux Beatles, Apple Corps, pour violation de marque commerciale. Un accord est signé et la hache de guerre est enterrée jusqu’en 1989, date à laquelle Apple Corps attaque à nouveau Apple Computer en raison des capacités audio de ses nouveaux ordinateurs. Un autre accord est signé. Mais la sortie, en 2003, de l’iTunes Store fait à nouveau enrager Apple Corps, qui cette fois-ci est déboutée en 2006 par la justice anglaise. Un troisième accord est également signé l’année d’après. Depuis, de nombreuses rumeurs prédisent l’arrivée des albums des Beatles sur l’iTunes Store…
Transférez votre musique Vous aviez peut-être numérisé votre musique sur votre PC et vous voulez la transférer sur votre nouveau Mac. Ou alors vous n’aviez rien numérisé du tout et c’est le moment de le faire, grâce à iTunes !
Depuis votre PC Il y a deux cas de figure : soit vous stockiez toute votre musique dans un dossier quelconque de Windows, soit vous utilisiez un logiciel spécialisé pour les stocker et les lire : iTunes, Windows Media Player ou autre. Commençons par le cas numéro 1
Copiez vos musiques
4 / Votre musique avec iTunes
Mac World
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1/ Sur le PC, copiez le dossier contenant vos musiques sur une clé USB ou un disque dur externe. Attention : ils doivent être formatés en Fat32 pour être compatibles à la fois avec Windows et avec Mac OS. Pour formater un disque ou une clé, faites un clic droit sur leur icône dans Windows et choisissez Formater. 2/ Branchez le disque dur externe ou la clé USB sur le Mac. 3/ Ouvrez iTunes sur le Mac. Assurez-vous d’avoir correctement configuré iTunes comme nous
l’avons indiqué dans les pages précédentes. Ouvrez le menu Fichier et sélectionnez Ajouter à la bibliothèque.
4/ Sélectionnez le dossier contenant vos fichiers musicaux dans le disque dur externe. Cliquez sur le bouton Ouvrir. iTunes importe tous vos fichiers et va les stocker dans votre ordinateur. Il affiche ensuite la liste de vos morceaux importés dans sa fenêtre principale. Vos morceaux se trouvent physiquement dans le dossier Musique qui est lui-même dans votre dossier Utilisateur, en forme de maison. Mais vous n’avez pas besoin de toucher à ce dossier, vous pouvez gérer votre bibliothèque entièrement depuis iTunes. Importez les fichiers dans le Mac
5/ Vous pouvez retirer votre disque dur ou votre clé USB en glissant son icône vers la Corbeille ou en appuyant sur la touche d’éjection de votre clavier. Cas numéro 2, vous utilisiez un logiciel de gestion de musique sur votre PC :
1/ Sur votre PC, repérez l’emplacement de vos fichiers musicaux. Dans la grande majorité des cas, les fichiers se trouvent dans le dossier Musique, lui-même dans le dossier portant le nom de votre session (généralement votre prénom). Si ce n’est pas le cas, essayez de glisser les morceaux de musique directement depuis votre logiciel de gestion de musique vers la clé ou le disque externe. 2/ Copiez le dossier contenant vos musiques sur le disque dur externe ou la clé USB. Suivez la même procédure que pour le cas numéro 1 pour l’importation sur le Mac.
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Depuis vos CD iTunes se révèle très pratique pour numériser des CD audio. Si vous devez en numériser un grand nombre, n’hésitez pas à choisir Importer le CD puis l’éjecter dans les préférences d’iTunes, comme nous l’avons expliqué plus haut. Voici la marche à suivre pour importer vos CD :
2/ Une boîte de dialogue s’affiche et vous demande si vous souhaitez importer le CD. Cliquez sur le bouton Oui. Si rien n’apparaît ou si vous avez cliqué sur Non, vous pouvez cliquer sur le bouton Importer le CD en bas à droite de la fenêtre d’iTunes. Import d’un CD dans iTunes
3/ L’importation démarre. Une barre de progression apparaît en haut de la fenêtre d’iTunes. 4/ Un petit son se fait entendre lorsque l’opération est terminée. Et le CD est éjecté si vous
avez choisi cette option dans les préférences d’iTunes. Sinon, éjectez-le manuellement, avec la touche du clavier prévue à cet effet.
5/ En cliquant sur Musique dans la colonne de gauche, vous trouverez les morceaux importés, correctement nommés si vous êtes connecté à Internet et que le CD figure dans la base de données d’iTunes.
Organisez votre musique Maintenant que vous avez importé de la musique dans iTunes, il vous faut la classer correctement pour pouvoir accéder facilement et rapidement au morceau de votre choix. Quelques réflexes sont bons à connaître pour vous faciliter la vie. Tout d’abord, sachez que, comme dans les dossiers de votre disque dur, vous avez le choix entre trois types de présentation. Dans iTunes, le choix s’effectue via les trois petits boutons en haut à droite. Cliquez sur l’un d’eux pour tester le mode d’affichage et choisissez celui que vous préférez, le plus original étant le troisième, Cover Flow, qui reprend le célèbre principe de défilement des albums de l’iPhone.
4 / Votre musique avec iTunes
1/ Ouvrez iTunes, puis introduisez votre CD dans le lecteur de votre Mac.
L’affichage de la musique par pochettes de CD (Cover Flow)
Le premier et le troisième modes d’affichage intègrent tous les deux des colonnes (Artiste, Nom, Album, Genre…) dont le haut est cliquable pour organiser un classement par ordre alphabétique. Par exemple, si vous voulez que vos morceaux soient classés par ordre alphabétique de leur artiste, cliquez simplement sur Artiste, en haut de la colonne. Pour ajouter ou enlever des colonnes, il vous suffit de faire un clic droit sur le haut d’une des colonnes et de cocher celles que vous voulez faire apparaître et décocher celles que vous souhaitez enlever. Pour ce qui est du mode d’affichage du milieu, la grille, vous avez accès à quatre onglets différents, permettant d’afficher tous les albums, de les regrouper par artiste, par genre ou par compositeur. Vous avez aussi une réglette sur le côté droit, qui influe sur la taille des vignettes. Le classement alphabétique dans iTunes
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En bas à gauche de la fenêtre principale d’iTunes se trouvent quatre boutons utiles : le premier sert tout simplement à créer une liste de lecture, une sorte de dossier dans lequel vous pourrez glisser toute la musique que vous voudrez. La liste apparaît au-dessus, sous Listes de lecture. Le deuxième active et désactive le mode de lecture aléatoire. Ce mode peut être utilisé dans toute votre bibliothèque ou simplement au sein d’un album. Lorsque le bouton est bleu, le mode aléatoire est en fonction. Le troisième bouton active et désactive la lecture en boucle : là encore, la fonction peut s’appliquer à la bibliothèque entière, à un album ou simplement à un seul morceau. Le quatrième bouton affiche ou masque le visualiseur juste au-dessus, pour les pochettes de CD ou les clips vidéo. L’une des fonctionnalités intéressantes d’iTunes s’appelle la liste de lecture intelligente. Dans le menu Fichier, choisissez Nouvelle liste de lecture intelligente. Dans la fenêtre qui apparaît, vous pouvez ajouter de nombreuses règles auxquelles va obéir cette liste de lecture. Vous pouvez par exemple regrouper tous les morceaux de Michael Jackson sortis entre 1989 et 1995 et dont le BPM est supérieur à 80 !
Les listes intelligentes
Les commandes de lecture, elles, sont regroupées en haut à gauche, avec le volume. En haut à droite, vous trouverez aussi Spotlight, la barre de recherche présente partout sur votre Mac. Elle peut vous être utile dans iTunes, pour rechercher rapidement un artiste dont vous n’avez qu’un morceau, par exemple.
Achetez de la musique en ligne avec l’iTunes Store En cliquant sur iTunes Store dans la colonne de gauche, vous accédez instantanément à la plus grande plate-forme de téléchargement légal au monde. Eh oui, Apple ne tire plus uniquement ses revenus de la vente d’ordinateurs, mais aussi de la distribution de musique, de films et d’applications pour iPhone. On peut trouver tout cela sur l’iTunes Store et bien plus encore. Essayez !
4 / Votre musique avec iTunes
Les principaux boutons de fonction
Par défaut, l’iTunes Store s’ouvre sur la page d’accueil, qui privilégie la musique. Des nouveautés sont mises en avant et vous pouvez télécharger un morceau gratuit chaque semaine : il est accessible en plein centre de la fenêtre. Sur la gauche de la page d’accueil, vous avez d’autres classements : ceux des séries TV, des clips vidéo et des podcasts. Sur la droite, vous avez les morceaux et albums, mais aussi les applications pour iPod et iPhone.
iTunes Store
En haut à gauche, à côté de Musique, se trouve un petit menu déroulant : Genres. Vous pouvez ainsi accéder à l’univers que vous affectionnez le plus, consulter le classement des ventes, découvrir de nouveaux artistes, etc. Pour acheter un morceau, cliquez sur l’album puis sur le bouton Acheter le morceau dans la liste de lecture de l’album qui s’affiche en bas. Pour acheter l’album, le bouton est en haut, à côté de la pochette. Vous pouvez laisser des commentaires dans la rubrique Avis des utilisateurs. Pour aller au bout de votre achat, vous devez entrer vos coordonnées bancaires. Celles-ci seront conservées par Apple pour vos futurs achats. Ainsi, vous n’aurez qu’un clic à faire pour acheter un nouveau morceau ! Si vous avez déjà créé un compte MobileMe (www.me.com), vous pouvez l’utiliser ici.
4 / Votre musique avec iTunes
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L’achat d’un morceau ou d’un album
Mac World
Pour revenir à la page d’accueil, cliquez sur le petit bouton affichant une maison, en haut de la fenêtre. Chaque type de média est organisé sensiblement de la même manière, avec un classement des ventes, des nouveautés, des mises en avant et la possibilité de regarder ou d’écouter un extrait. Lorsque vous achetez un épisode d’une série TV, celui-ci s’ajoute automatiquement au dossier Films de la colonne de gauche. Un succès exponentiel pour l’iTunes Store La sortie de l’iTunes Music Store, en 2003, n’a pas fait grand bruit. Le marché n’était pas encore tout à fait prêt : ceux qui utilisaient Internet téléchargeaient illégalement et n’encouraient (à l’époque) aucun risque, et ceux qui n’avaient pas Internet achetaient encore des CD. Il a fallu attendre 2006 pour atteindre un milliard de téléchargements. Ensuite, tout s’est accéléré : il a fallu moins d’un an pour atteindre deux milliards de téléchargements, et parallèlement, Apple a signé des partenariats avec les principaux studios de cinéma et de TV pour distribuer des films, séries et émissions sur sa plate-forme, rebaptisée iTunes Store. Aujourd’hui, Apple est le plus important vendeur de musique aux États-Unis, devant Wal-Mart !
Synchronisez votre iPod/iPhone Vous avez peut-être un iPod, comme des centaines de millions de personnes dans le monde, ou un iPhone, comme des dizaines de millions (pour l’instant !). Alors vous n’êtes pas sans savoir qu’iPod rime avec iTunes : ce dernier est en effet la voie quasi obligée pour utiliser le fameux baladeur. Si certains n’aiment pas cette obligation, il faut bien reconnaître que dans un monde parfait (« j’achète ma musique sur l’iTunes Store, je l’organise dans iTunes et je la transfère dans mon iPod »), c’est un système parfait ! Quoi qu’il en soit, le fonctionnement de la synchronisation mérite que l’on s’y penche un minimum. Lorsque vous branchez votre iPod/iPhone sur votre Mac, iTunes se lance automatiquement et affiche le baladeur ou le téléphone dans la colonne de gauche, sous Appareils. Il affiche aussi une page de résumé avec, en bas, trois cases à cocher/décocher.
L’iPod/iPhone dans iTunes
La première case permet de lancer la synchronisation automatiquement, dès le branchement de l’appareil au Mac. La deuxième case implique une gestion précise de votre musique : en la cochant, vous demandez à iTunes d’accorder de l’importance aux petites cases à cocher qui se trouvent à l’extrême gauche de vos morceaux de musique, dans votre bibliothèque. iTunes ne synchronisera que les morceaux que vous cocherez. Cela peut être fastidieux.
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La troisième case permet de gérer manuellement la musique et les clips, c’est-à-dire qu’elle autorise le glissement des titres depuis votre bibliothèque vers l’icône de votre iPod/iPhone, dans la colonne de gauche d’iTunes. Cochez-la si vous n’aimez pas ordonner votre musique et vos listes de lecture et si vous souhaitez simplement ajouter « à la main » vos médias.
Le premier onglet, Infos, concerne les fonctions bureautiques de l’iPhone ou de l’iPod Touch. Vous pouvez ainsi décider de synchroniser, ou pas, vos contacts, vos calendriers, vos favoris issus de Safari (signets), ainsi que vos réglages de compte courrier. Tout ceci se synchronisera lorsque vous brancherez votre iPhone/iPod à votre Mac, à moins que vous ne souscriviez à MobileMe (www.me.com), auquel cas la synchronisation s’effectuera automatiquement via le réseau téléphonique. Un iPhone synchronisé automatiquement avec MobileMe
L’onglet Sonneries concerne uniquement l’iPhone : vous pouvez acquérir des sonneries sur l’iTunes Store, qui sont en fait des extraits de chansons, tout simplement. C’est ici que vous décidez lesquelles synchroniser. L’onglet Musique se rapporte à la fonction iPod. En cochant la case Synchroniser la musique, vous signifiez votre volonté de lier exactement la bibliothèque musicale de votre Mac à celle de votre iPod/iPhone. Néanmoins, vous pouvez restreindre ce lien à certaines listes de lecture grâce au cadre en dessous.
4 / Votre musique avec iTunes
Pour régler avec précision vos choix de synchronisation, utilisez les onglets en haut de la fenêtre principale d’iTunes, lorsque vous avez sélectionné votre iPod. Voici leur détail :
La synchronisation de la musique
L’onglet Photos permet de synchroniser les photos stockées dans iPhoto (voir le chapitre Vos photos avec iPhoto) ou dans un autre dossier avec votre iPod/iPhone. Dans le cas d’iPhoto, vous pouvez restreindre la synchronisation à certains albums ou certains événements. L’onglet Podcasts concerne la synchronisation de ce que l’on appelait les « blogs vidéo » il y a quelques années : vous pourrez vous abonner à des podcasts via l’iTunes Store, puis les synchroniser à l’aide de cet onglet. Même chose pour l’onglet Vidéo qui peut lier votre iPod/iPhone aux films et émissions TV que vous avez téléchargés depuis l’iTunes Store et qui sont donc stockés dans iTunes. Enfin, l’onglet Applications concerne la synchronisation des jeux, utilitaires et autres gadgets que vous pouvez trouver sur l’iTunes Store.
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Pour éjecter votre iPod/iPhone, utilisez le petit symbole d’éjection dans iTunes, à droite du nom de votre baladeur, ou glissez son icône depuis le Bureau vers la Corbeille. Le phénomène iPod Le tout premier iPod est sorti en 2001. Il coûtait 400 dollars et offrait une capacité de stockage de 5 Go ! Les ventes sont restées «confidentielles» jusqu’en 2004, année qui a vu le nombre de ventes d’iPod dépasser celui de ventes de Mac et qui a élargi la gamme, avec l’iPod mini. L’année suivante, c’est l’iPod shuffle qui est lancé, sans écran et sans réelle possibilité de choisir sa musique : original ! Aujourd’hui, il s’est vendu au total près de 200 millions d’iPod dans le monde…
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Vos photos avec iPhoto
Souvent, ceux de mes proches que je parviens à faire passer du PC au Mac me citent spontanément iPhoto comme étant la véritable valeur ajoutée de leur Mac, après quelques mois d’utilisation. Il est vrai que ce logiciel de gestion de photos est particulièrement bien pensé et assez puissant pour gérer efficacement des milliers de clichés. Cela peut sembler flou au premier abord mais croyez-moi, vous aurez du mal à vous passer d’iPhoto après y avoir goûté ! Du diaporama hyperpersonnalisé à la retouche de photos en passant par la recherche intelligente de vos clichés, les fonctions d’iPhoto sont nombreuses et nécessitent quelques conseils avisés. Les voici !
Quelques réglages importants Les logiciels d’Apple obéissent de manière générale aux mêmes règles ergonomiques et fonctionnelles : vous ne devriez pas être dérouté par iPhoto si vous utilisez déjà iTunes par exemple. Nous allons donc commencer, comme d’habitude, par faire un tour dans les préférences.
1/ Déroulez le menu iPhoto et sélectionnez Préférences. 2/ Générales est le premier onglet des préférences. Dans cet onglet, vous pouvez cocher la
deuxième case, pour que iPhoto affiche le nombre de photos contenues dans chaque dossier. Le deuxième menu déroulant, en bas, sert à sélectionner le logiciel utilisé pour envoyer vos photos par courrier électronique. Généralement, il s’agit de Mail (voir le chapitre Internet, courriels et Wifi). Le troisième menu influe sur l’application qui s’ouvre automatiquement lorsque vous branchez votre appareil photo numérique ou votre carte mémoire sur votre Mac. Je vous conseille de laisser ici iPhoto sélectionné.
Les préférences générales d’iPhoto
3/ Le deuxième onglet des préférences est intitulé Apparence. Les choix que vous ferez ici
sont d’ordre esthétique. N’hésitez pas à utiliser la réglette Arrière-plan pour assombrir le fond de la fenêtre et ainsi faire ressortir vos clichés.
Les réglages esthétiques
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4/ L’onglet Événements, comme son nom l’indique, influe sur la classification en événements, accessible via la colonne de gauche d’iPhoto. La sous-partie Division automatique en événement concerne, elle, l’importation de vos clichés : lorsque vous brancherez votre appareil photo numérique et que vous transférerez vos photos, iPhoto divisera automatiquement vos clichés selon leur date de prise de vue, pour vous faciliter la vie. Bien entendu, ce classement est ensuite révisable manuellement. Il s’agit juste ici d’une de vos préférences.
5/ L’onglet Partage s’adresse à ceux qui ont plusieurs ordinateurs à la maison, en réseau. Vous pouvez ainsi voir, sur un ordinateur, des photos stockées sur une autre machine. Et vous pouvez donc, ici, choisir quels dossiers vous voulez partager avec les autres Mac. 6/ L’onglet Web concerne les utilisateurs de MobileMe (www.me.com) et de Flickr (www.flickr. com). Ces deux services proposent, entre autres, des fonctions de partage et de sauvegarde en ligne de vos photos.
7/ L’onglet Avancé est important. Je vous recommande vivement de cocher la première case, Copier les éléments dans la photothèque iPhoto. Ainsi, tous les fichiers originaux de vos photos seront regroupés dans un seul et même paquet, géré par iPhoto, et vous n’aurez pas à vous en soucier. En fait, ces fichiers originaux seront physiquement dans le dossier Images, lui-même dans votre dossier Utilisateur, affublé d’une petite maison. Ainsi, vous gérerez vos photos avec iPhoto sans vous soucier de ce dossier ni du lieu où vous avez rangé telle ou telle photo. Croyez-moi, cela vous simplifiera grandement la vie ! Le reste des options de cet onglet est réservé aux photographes avertis. Gestion de la photothèque
5 / Vos photos avec iPhoto
Division en événements
Transférez vos photos Il est temps d’importer quelques clichés récents ou anciens dans iPhoto, pour que les choses sérieuses puissent commencer ! Vous avez peut-être accumulé de nombreuses photos sur votre PC au fil des années. Dans ce cas, vous souhaitez naturellement les transférer sur votre Mac. Mais vous devez également vous pencher sur les photos qui n’existent pas encore : celles que vous ferez bientôt ! Heureusement, tout cela est d’une simplicité déconcertante !
Depuis votre PC 1/ Sur votre PC, copiez vos photos sur une clé USB ou un disque dur externe. Attention : ceux-ci doivent être formatés en Fat32 pour être compatibles à la fois avec Windows et avec Mac OS. Pour formater un disque ou une clé, faites un clic droit sur leur icône dans Windows et choisissez Formater. 2/ Branchez le disque externe sur votre Mac. Ouvrez iPhoto. Déroulez le menu Fichier, puis choisissez Importer dans la photothèque. Dans la fenêtre qui s’affiche, sélectionnez votre support externe et validez en cliquant sur le bouton Importer. Sélection du dossier contenant les photos à importer
3/ Vous allez voir vos photos défiler pendant l’importation. Si vous avez plusieurs milliers de photos, cela peut prendre plusieurs heures.
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4/ À la fin de l’importation, iPhoto affiche toutes les nouvelles photos. Si vous classiez vos photos par thématiques, mauvaise nouvelle, votre classification n’apparaîtra pas. En effet, par défaut, iPhoto range les clichés chronologiquement. Ce qui ne vous empêchera pas d’établir aussi un classement thématique par la suite.
Depuis votre appareil photo/carte mémoire 2/ Vous avez la possibilité de sélectionner les photos que vous souhaitez importer et de cliquer sur Importer la sélection ou de cliquer sur Tout importer. 3/ À la fin de l’importation, iPhoto vous demande s’il doit supprimer les photos de votre
appareil photo. À vous de décider !
4/ Avec cette opération, les photos ont été copiées dans le dossier Images de votre dossier Utilisateur, sur votre disque dur, mais peu importe, vous les gérez et les affichez dans iPhoto !
L’import de photos dans iPhoto
5 / Vos photos avec iPhoto
1/ Branchez votre appareil photo numérique ou votre lecteur de carte mémoire à votre Mac. iPhoto s’ouvre automatiquement, conformément au réglage effectué dans les préférences.
Mac World
Les fichiers sont stockés dans le dossier Images
Le concept du monobloc Une grande partie de la gamme Apple a toujours été constituée d’ordinateurs monoblocs : l’écran fait corps avec l’unité centrale. C’est une caractéristique importante des Mac depuis le début et c’est aussi ce qui les différencie des PC. Dès le départ, il suffisait d’un câble électrique pour installer un Mac contre au minimum trois pour un PC, et cela a souvent été un argument de vente. Sans compter que le gain de place est considérable !
Classez, triez, rangez ! Ici, il y a deux écoles, comme dans la « vraie vie » : ceux qui classent, rangent et étiquettent, et les autres. Je vous conseille de rejoindre la première catégorie en ce qui concerne iPhoto ! En effet, si vous daignez prendre un peu de temps pour vous en occuper à chaque fois que vous importez de nouvelles photos sur votre Mac, vous le regagnerez au centuple lorsqu’il s’agira de retrouver un cliché en particulier parmi vos milliers de photos ! Et vous en épaterez plus d’un !
Affichages et gestion des événements et des photos Dans la colonne de gauche, vous avez le choix entre Événements et Photos. Ce n’est pas particulièrement clair, mais sachez que l’affichage par événements est un peu plus souple à l’utilisation : il permet par exemple de classer les photos par thèmes, au contraire de l’affichage Photos qui, lui, montre par défaut les photos par ordre chronologique.
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Le mode Événements
5 / Vos photos avec iPhoto
Après vos importations, vous vous retrouvez avec un ou plusieurs événements sans titre, chacun contenant une ou plusieurs photos. D’ailleurs, en survolant chaque événement, vous verrez défiler les photos qu’il contient. En faisant un double-clic sur un événement, vous ouvrez le dossier, et les photos contenues à l’intérieur s’affichent. À ce stade, vous pouvez régler la taille d’affichage des clichés dans la fenêtre, avec la réglette qui se trouve en bas à droite d’iPhoto. Pour revenir à l’affichage des événements, cliquez en haut à gauche sur le bouton Tous les événements.
Le mode Événements dans iPhoto
Pour changer le nom d’un événement, il vous suffit de cliquer une fois sur son nom (en général Événement sans titre) et d’en taper un nouveau en terminant par la touche [Entrée]. Pour créer un nouvel événement à partir de photos déjà importées, ouvrez l’événement en question, sélectionnez les photos qui vous intéressent, puis déroulez le menu Événements et choisissez Scinder l’événement ou Créer un événement. Vous vous retrouvez ainsi avec deux événements distincts. Vous pouvez bien entendu en créer autant que vous voulez. Dans le mode d’affichage par événements, vous pouvez, simplement en cliquant dessus et en maintenant la souris appuyée, déplacer à loisir un événement.
Le mode Photos Dans la colonne de gauche, vous pouvez passer au mode d’affichage Photos, qui est un peu moins esthétique que le mode Événements, mais peut-être plus facile à prendre en main. Ici, les photos sont classées dans des dossiers, qui sont eux-mêmes rangés par ordre chronologique.
Le mode Photos dans iPhoto
Un clic sur le petit triangle, à droite de chaque vignette, déroule le contenu du dossier et affiche donc les photos correspondantes. Vous pouvez scinder un dossier en sélectionnant les photos que vous voulez séparer, puis en déroulant le menu Événements et en choisissant Créer un événement. Vous pouvez aussi déplacer une photo d’un dossier à l’autre, simplement en la faisant glisser sur la vignette de l’autre dossier qui, du coup, est cerclée de jaune pour indiquer que le dossier a bien pris en compte l’opération. Pour renommer un dossier, c’est le même procédé que dans le mode d’affichage par événements : cliquez sur le titre du dossier, à droite du triangle servant à dérouler ledit dossier, entrez le nouveau nom et validez avec la touche [Entrée].
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Mots-clés et notations Mots-clés L’une des fonctions les plus utiles et puissantes d’iPhoto est le classement par mots-clés. Vous pouvez en effet faire correspondre à chaque photo un ou plusieurs mots-clés, très facilement.
1/ Commencez par activer l’affichage
des mots-clés dans le menu Présentation. Il faut que la commande Mots-clés soit cochée, sur la gauche.
2/ Ensuite, lorsque vous survolez une photo avec votre souris, la phrase « Ajouter des motsclés » apparaît en dessous de ladite photo. Cliquez simplement sur cette phrase pour faire apparaître un champ de texte dans lequel vous allez ajouter tous les mots-clés que vous voulez. C’est particulièrement utile pour les photos sur lesquelles apparaissent des proches ou pour les photos prises dans un endroit précis, lors d’un voyage par exemple.
Entrez un mot-clé
5 / Vos photos avec iPhoto
La commande Mots-clés est activée
3/ Une fois l’opération effectuée sur plusieurs photos, testez la fonction de recherche. Le champ de recherche se trouve en bas à gauche, à droite d’une petite loupe. Tapez le nom d’une personne qui apparaît sur vos photos : un filtre s’active et iPhoto n’affiche que les clichés correspondants ! Et si vous ajoutez un autre nom dans le champ de recherche, iPhoto n’affichera que les photos sur lesquelles les deux individus apparaissent. Pratique, non ? Si vous avez plusieurs milliers de photos, étiqueter chacune d’elles peut être une opération très longue. Heureusement, un plug-in permet d’accélérer considérablement les choses : il s’agit de Keyword Manager. Vous pouvez l’acheter sur www.bullstorm.se pour 19 euros.
1/ Dézippez simplement le fichier téléchargé pour l’installer. Ensuite, lorsque vous lancerez iPhoto, vous verrez un nouveau bouton en bas à gauche, arborant une clé. Cliquez dessus : le bouton devient bleu et ouvre deux petites fenêtres flottantes à droite : Attribution rapide et Gestionnaire de mots-clés. 2/ Dès lors, sélectionnez plusieurs photos avec la touche [Cmd] (X) ou [Maj] (x) enfoncée, puis cliquez dans le champ Attribuer les mots-clés et entrez le mot-clé commun à toutes ces photos. Il s’ajoute ainsi automatiquement à chaque photo sélectionnée ! Vous pouvez le vérifier en regardant en dessous de chaque photo. Attribuez des mots-clés en série
3/ La fenêtre Gestionnaire de mots-clés vous permet de classer vos mots-clés par thèmes et surtout d’effectuer des recherches encore plus précises qu’avec la barre de recherche intégrée à iPhoto. Vous pouvez taper le nom d’une personne à rechercher, cocher la case correspondante à droite de ce nom, puis effacer le nom, en saisir un autre, cocher la case correspondante à
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nouveau, etc : les filtres s’empilent ! Ainsi, il devient facile d’afficher toutes les photos de votre femme et vous à Paris par exemple !
Notations
Les albums intelligents Maintenant que vous savez classer vos photos, les étiqueter et les noter, vous pouvez constituer ce que l’on appelle des albums intelligents, qui vont regrouper toutes les photos qui répondent à des critères précis. De plus, à l’avenir, ces dossiers se mettront à jour automatiquement, avec les nouvelles photos qui reprennent les mêmes critères ! Voici comment procéder :
1/ Après avoir étiqueté et noté vos photos, cliquez sur le bouton +, en bas à gauche de la fenêtre d’iPhoto.
2/ Dans la boîte de dialogue qui s’affiche, cliquez sur le deuxième onglet intitulé Album intelligent. Le premier champ de texte désigne le nom de cet album, que vous pouvez modifier maintenant mais également plus tard. 3/ En dessous se trouvent les critères de sélection intelligente des photos. Le premier menu déroulant permet de sélectionner un élément qui fédérera quelques-unes de vos photos, la date de prise de vue par exemple, et les deux autres permettent de préciser cet élément en entrant une fourchette de dates, un mot-clé ou encore une vitesse d’obturation. Vous pouvez ajouter jusqu’à dix critères différents en cliquant sur le bouton + à droite de la ligne de critères. Nous pouvons imaginer par exemple créer un album regroupant toutes les photos prises entre le 10 juillet 2009 et le 31 août 2009, sur lesquelles figurent Paul et Virginie, et que nous avons classées au moins « 3 étoiles ». Cliquez sur le bouton OK lorsque vous avez fini. Création d’un album intelligent
5 / Vos photos avec iPhoto
Dans la lignée des mots-clés, iPhoto propose également de classer vos photos par étoiles. Pour y avoir accès, il faut activer Classement dans le menu Présentation. Ensuite, lorsque vous survolez une photo, cinq petits points apparaissent en dessous. Chaque point correspond à un classement : si vous cliquez sur le dernier à droite, cela affichera cinq étoiles, sur l’avant-dernier, quatre étoiles, et ainsi de suite…
4/ L’album intelligent que vous venez de créer s’ajoute à la colonne de gauche d’iPhoto, sous le titre Albums, avec une icône violette, et les photos qu’il contient s’affichent. Si vous voulez ajouter ou retirer un critère, faites un clic droit sur l’album et choisissez Modifier l’album intelligent. 5/ Faites en sorte de faire correspondre un nouveau cliché aux critères de votre album intelligent : vous verrez qu’il ira se placer tout seul dans le dossier. Pratique pour constituer automatiquement des diaporamas !
Lieux et visages Les appareils photo numériques seront fournis de plus en plus avec une puce GPS intégrée. Apple l’a bien compris et iPhoto propose désormais une fonction de localisation de vos clichés. Soit votre appareil possède déjà un GPS (c’est fréquent sur les téléphones par exemple) et vos photos renferment les coordonnées précises du lieu de leur capture, soit ce n’est pas le cas et vous pourriez avoir besoin d’ajouter ces coordonnées. Voici comment procéder :
1/ Survolez une photo avec votre souris. Un petit i, pour « informations », apparaît en bas à droite de la photo. Cliquez dessus. 2/ Une carte du monde s’affiche, ainsi que diverses informations. Cliquez dans le champ de texte Lieu de la photo et tapez le nom de la ville ou de l’endroit où cette photo a été prise. Une liste de propositions apparaît au fur et à mesure de votre frappe. Cliquez sur la bonne proposition. La carte affiche alors la ville recherchée, avec une sorte de punaise jaune. Entrez le lieu de prise de vue
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3/ Si vous souhaitez renseigner une localisation plus précise, cliquez à nouveau dans le champ de texte et sélectionnez Rechercher « XX » sur la carte. Une autre carte apparaît, sur laquelle vous pouvez déplacer la punaise jaune et élargir la zone à l’aide de flèches bleues. En plaçant la zone sur un lieu dont le nom est présent sur la carte, l’emplacement prendra ce nom. Cliquez sur le bouton Attribuer à la photo pour valider la zone. Cliquez sur OK pour revenir à votre photothèque. autant de repères rouges que vous en avez entrés. En survolant l’un de ces repères, vous ferez apparaître le nom du lieu ainsi qu’une flèche sur laquelle vous pourrez cliquer pour afficher tous les clichés pris à cet endroit précis. Le double bouton en bas à gauche permet de passer du mode de vue en carte à un autre, où les noms des lieux sont classés par ordre alphabétique.
La carte du monde de vos clichés
Visages est une autre fonction novatrice d’iPhoto, peut-être plus impressionnante encore. Il s’agit d’une fonction de reconnaissance automatique des visages.
1/ Cliquez sur l’une de vos photos où apparaît une personne. La photo se cercle de jaune et le bouton Nommer, en bas à gauche, devient disponible. Cliquez dessus. 2/ La photo s’agrandit et un rectangle noir intitulé Sans nom s’affiche sous le visage. En le
survolant, un cadre apparaît autour du visage. Cliquez sur le rectangle noir pour entrer le nom de cette personne. Validez avec la touche [Entrée] puis en cliquant sur le bouton Terminer.
5 / Vos photos avec iPhoto
4/ Dans la colonne de gauche, cliquez sur Lieux. Une carte du monde s’affiche, arborant
Attribuez un nom à un visage
3/ À présent, si vous cliquez sur Visages dans la colonne de gauche, la photo apparaît, virtuellement punaisée sur un tableau en liège. En cliquant sur le petit i en bas à droite de la photo, vous pouvez entrer d’autres informations concernant cette personne. Mais surtout, lorsque vous double-cliquez sur cette photo, iPhoto va proposer, juste en dessous, d’autres clichés sur lesquels ce même personnage est susceptible d’apparaître. Et force est de constater que cela fonctionne plutôt bien ! La liste des personnes reconnues par iPhoto
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4/ Si vous cliquez sur le bouton Confirmer le nom, en bas, une ligne de texte apparaît sur chaque
cliché suggéré : « Cliquez ici pour confirmer. » Lorsque vous vous exécutez, le bas de la photo devient vert et affiche le même nom que celui de la première photo. Si vous confirmez une photo par erreur, cliquez à nouveau sur la photo et elle ne sera plus considérée comme représentant la même personne. Elle affichera la phrase « Autre que X » dans un rectangle rouge.
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Le seul élément manquant avec cette fonction, c’est son lien avec les mots-clés. Cela fera certainement l’objet d’une prochaine mise à jour d’iPhoto : ainsi, vous n’aurez quasiment plus à saisir de mots-clés, iPhoto le fera tout seul et vous n’aurez plus qu’à les confirmer ou les infirmer ! Steve Jobs, ancien hippie En 1975, après son premier emploi chez Atari, Steve Jobs voyage en Inde et au Népal, où il se convertit au bouddhisme et devient végétarien. Il fait l’expérience de certaines drogues et suit ainsi plus ou moins la mouvance hippie. Contrairement à d’autres, il n’a jamais renié ce passé et suivrait d’ailleurs toujours aujourd’hui un régime végétarien. Mais cette “cool attitude” ne fait pas pour autant de lui un patron calme : il est connu pour ses sautes d’humeur et ses colères impressionnantes.
Retouchez, imprimez, créez ! iPhoto n’est pas seulement capable de classer vos photos, il intègre aussi des fonctions de retouche, d’impression et de création d’albums divers et variés. C’est une plate-forme complète, offrant de nombreuses possibilités, comme vous allez le voir. Pour la majorité des utilisateurs, en fait, nul besoin d’autres logiciels !
Les outils de retouche Lorsque vous sélectionnez une photo dans votre photothèque iPhoto, vous pouvez cliquer sur le bouton Édition, en bas, surmonté d’une icône de crayon. La photo s’agrandit alors et une rangée de boutons apparaît en dessous. Voici le détail de leur fonction : Faire pivoter applique simplement une rotation de 90° à la photo. Vous pouvez bien sûr enchaîner plusieurs rotations. Rogner permet de ne conserver qu’une partie de l’image, en d’autres termes d’effectuer un recadrage. Lorsque vous cliquez sur le bouton, un cadre apparaît sur la photo : en faisant glisser l’un des coins, vous modifiez sa taille et ne conservez de la photo que ce qui se trouve à l’intérieur de ce cadre.
5 / Vos photos avec iPhoto
5/ Une fois les ressemblances confirmées ou infirmées, cliquez sur le bouton OK en bas à droite. iPhoto intègre ces informations et vous propose alors d’autres clichés qui pourraient correspondre, selon sa nouvelle base de données…
Contrainte est une option intéressante, proposée dans le petit menu déroulant juste en dessous de la photo. Si vous cochez la case et choisissez un format dans le menu déroulant, le cadre adoptera automatiquement et de manière fixe un format standard, correspondant au format d’origine de la photo ou à certains formats d’impression répandus. Cliquez sur le bouton Appliquer pour valider.
L’outil de rognage
Redresser est une fonction très utile pour vos clichés un peu penchés. Le bâtiment que vous avez photographié n’est pas bien droit ou la ligne d’horizon de vos photos prises à la mer est penchée ? Cliquez sur ce bouton et jouez de la réglette pour rétablir l’inclinaison correcte, grâce à la grille jaune qui apparaît au-dessus du cliché. Améliorer est une fonction complètement automatique qui rehausse les couleurs et la lumière de votre photo. Le résultat est souvent meilleur, parfois moins bon. Dans ce cas, n’hésitez pas à revenir en arrière grâce à la commande Annuler dans le menu Édition. Yeux rouges facilite grandement l’opération qui consiste à enlever les yeux rouges sur les photos prises avec un flash. Lorsque vous cliquez dessus, une réglette apparaît, ainsi qu’un bouton Auto. Ce bouton fonctionne relativement bien : essayez-le en premier. Si ce n’est pas concluant, annulez (X + [Z]) et procédez manuellement : réglez d’abord la taille du cercle correspondant à celle des pupilles sur votre photo avec la réglette. Ensuite cliquez avec ce cercle sur les pupilles rouges, une à une.
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Retoucher sert à corriger des défauts présents sur certaines de vos photos. Par exemple, une tache sur une table unie ou encore un bouton sur un visage. Cliquez sur Retoucher, puis modifiez la taille du curseur avec la réglette. Ensuite, cliquez sur la zone à harmoniser. Selon les cas, il vous faudra cliquer seulement une fois ou plusieurs, avec un curseur très fin ou très large, ou encore cliquer et faire glisser la souris sur toute une zone. Souvenez-vous que vous pouvez toujours avoir un aperçu de la photo d’avant la retouche en appuyant sur la touche [Maj], et que vous pouvez annuler la retouche avec [Cmd] + [Z]. Enlevez cette tache noire en un clic
5 / Vos photos avec iPhoto
Enlevez les yeux rouges
Effets est une collection de neuf filtres applicables sur votre photo, pour la convertir en noir et blanc ou en sépia par exemple. Ajuster est l’outil le plus complet. Il affiche plusieurs réglettes qui correspondent à des paramètres précis : exposition, contraste, teinte… N’ayez crainte : nul besoin de s’y connaître pour utiliser ces fonctions. Testez-les une à une et admirez le résultat ! Et si une configuration vous séduit en particulier, vous pouvez la copier en cliquant sur le bouton Copier en bas de la fenêtre flottante. Puis, si vous éditez une autre photo, cliquez sur le bouton Ajuster et sur le bouton Coller : les mêmes critères seront appliqués !
Mac Célère
L’outil d’ajustement, plutôt complet
iPhoto Lorsque vous appliquez des retouches à vos photos et que vous voulez comparer le résultat obtenu avec le cliché d’origine, il vous suffit d’utiliser la touche [Maj] : laissez-la enfoncée pour faire apparaître le cliché non retouché, et relâchez-la pour afficher la nouvelle version. Si vous préférez la version non retouchée, utilisez [Cmd] + [Z], qui est bien sûr la fonction d’annulation. Pour naviguer dans vos photos, vous pouvez utiliser les flèches, et pour agrandir les vignettes, au lieu de double-cliquer dessus, sélectionnez-en une et appuyez sur la [Barre}d'espace]. Vous pouvez procéder de la même manière à l’intérieur d’un diaporama.
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L’impression des photos
5 / Vos photos avec iPhoto
Pour imprimer une photo, rien de plus simple : sélectionnez-la, puis déroulez le menu Fichier et choisissez Imprimer. Le raccourci clavier est le même que dans toutes les applications : X+ [P]. Une fenêtre s’affiche, avec différentes options. Dans la colonne de gauche, vous pouvez choisir d’ajouter une bordure ou un cadre et aussi de créer une planche-contact (il faut pour cela avoir sélectionné plusieurs clichés).
Une impression classique
En cliquant sur le bouton Personnaliser, vous accédez à d’autres possibilités de mise en page plus poussées. La ou les photos s’affichent en grand dans la fenêtre principale et des options apparaissent en bas :
Les options d’impression
Réglages d’impression : pour revenir à la fenêtre précédente, ouverte avec X+P. Thèmes : ils correspondent à la colonne de gauche de la fenêtre précédente, cadres, bordures, planche-contact, etc. Arrière-plan : vous avez le choix entre trois couleurs de fond sur votre feuille, blanc, gris ou noir. Contours : ils s’apparentent à une bordure blanche, grise ou noire, plus ou moins épaisse. Disposition : choisissez l’orientation de vos photos sur votre feuille. Ajuster : cette option n’est disponible que si vous cliquez sur votre photo d’abord, ce qui fait également apparaître une réglette pour zoomer, en haut de la photo. La fonction d’ajustement regroupe quelques options vues plus haut, comme le réglage du contraste ou de la luminosité. Réglages : influe sur la police du texte éventuellement utilisée à l’impression. Bien entendu, pour un meilleur rendu, je vous conseille d’utiliser du papier photo, et même, encore mieux, le papier photo de la marque de votre imprimante !
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Commandez des tirages, des calendriers et des albums ! Apple a passé des accords avec Kodak, ce qui permet ainsi aux utilisateurs Mac de créer et de commander des livres de photos, des calendriers et des cartes de vœux très facilement, sans quitter iPhoto ! Pour commander simplement des tirages de vos photos, sélectionnez-les (à l’aide de la touche x [[Maj]], ou X [[Cmd]]) et déroulez le menu Fichier puis Commander des tirages. Décidez du format et de la quantité, payez et c’est tout !
1/ Commencez par sélectionner les photos que vous souhaitez inclure dans votre création. Pas besoin de les sélectionner toutes, vous pourrez en ajouter plus tard. Si vous préférez quand même faire une sélection complète dès le début, je vous conseille de créer un album dans lequel vous glisserez tous les clichés choisis. Procédez comme pour un album intelligent, mais en choisissant simplement Album et non pas Album intelligent. 2/ Cliquez ensuite sur l’un des trois boutons du bas : Livre, Calendrier ou Carte. Une fenêtre de sélection apparaît dans chacun des cas, dans laquelle vous devez choisir votre style. Vous pourrez tout de même l’affiner par la suite, ajouter des pages, modifier certaines options de mise en page, etc. Mais cette sélection insuffle un certain caractère à votre création. Sélectionnez le genre d’album que vous souhaitez créer
3/ iPhoto affiche la première page, avec une ou plusieurs zones grises sur lesquelles vous allez devoir glisser vos photos et des champs de texte dans lesquels vous allez pouvoir écrire ce que vous voulez. En haut se trouvent les vignettes des photos que vous avez préalablement sélectionnées pour votre création. En cliquant sur le bouton à gauche de cette bande, vous affichez les pages de votre livre.
5 / Vos photos avec iPhoto
Pour les commandes de produits plus complexes, c’est un peu plus long, mais pas très compliqué :
Glissez vos photos sur les emplacements gris
4/ Commencez à glisser vos photos depuis le haut vers les zones grises et regardez ce que cela donne. S’il vous manque des photos pour remplir certains endroits, revenez dans votre photothèque en cliquant sur Photos dans la colonne de gauche, et faites glisser les photos manquantes vers la colonne de gauche, à la ligne appelée par défaut Livre sans titre, Calendrier sans titre ou Carte sans titre. Cette opération les ajoute à la bande horizontale de photos, en haut de votre création. Revenez à votre livre en cliquant dessus dans la colonne de gauche. 5/ Vous pouvez changer de thème en cours de route à l’aide du bouton Thèmes en bas, même s’il est possible que vous perdiez certains blocs de texte qui ne seraient pas prévus dans le nouveau thème. Vous pouvez aussi choisir la couleur de fond via Arrière-plan, la Disposition, Ajouter des pages, Ajuster et faire certains Réglages, le tout étant très proche des options d’impression décrites dans la partie précédente. La fonction Formatage automatique, elle, se charge de placer automatiquement les photos sélectionnées dans le livre. C’est plus rapide, mais moins personnel ! 6/ En ce qui concerne le thème « Voyage », si vous souhaitez ajouter une autre carte de votre
périple, utilisez le bouton Disposition puis la commande Page de texture. Cette fonction de carte est d’ailleurs en lien avec les lieux, comme nous l’avons vu plus haut.
5 / Vos photos avec iPhoto
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Un bel album de voyage, avec les itinéraires
7/ Lorsque vous êtes satisfait de votre création, cliquez sur le bouton Acheter le livre en bas à
droite. Si vous avez un compte Apple (avec lequel vous achetez de la musique sur l’iTunes Store par exemple, voir le chapitre Votre musique avec iTunes), entrez votre identifiant et votre mot de passe. Sinon, suivez la procédure pour vous inscrire. iPhoto s’occupe d’envoyer les fichiers sur les serveurs adéquats et vous demande simplement l’adresse de livraison des photos, du livre ou du calendrier !
Partagez vos clichés ! Signe des temps, la dernière version d’iPhoto ne comporte plus de bouton Imprimer en bas à droite (il faut maintenant passer par le menu Fichier) mais quatre boutons qui permettent de partager vos clichés en ligne ! Il faut dire que les soirées photo ont un peu disparu ces dernières années, au profit de la consultation sur le Web des photos des amis qui reviennent de vacances… Ou alors si, les soirées photo, ça existe encore, mais désormais on regarde un beau diaporama sur la télé (voir la partie suivante à ce propos) ou l’ordinateur !
Chez vous, avec un diaporama 1/ Sélectionnez les photos dont vous voulez faire un diaporama à l’aide des touches x ([Maj]) et X ([Cmd]). 2/ Cliquez sur le bouton Diaporama en bas. Le diaporama se lance avec un thème et des musiques par défaut. Si vous souhaitez le personnaliser, cliquez sur le bouton Pause puis sur celui affichant des icônes de diapositives. Vous pourrez choisir un thème, avec des transitions différentes. Vous aurez aussi accès à deux autres onglets : l’un vous permettra de choisir votre musique dans votre bibliothèque iTunes, et l’autre de déterminer une durée d’affichage des photos ainsi qu’un mode aléatoire et/ou en boucle, comme pour la lecture de musique dans iTunes ou sur un iPod. Des diaporamas recherchés
3/ Vous pouvez utiliser la petite télécommande blanche, livrée en option avec les Mac, pour mettre le diaporama sur pause ou passer d’un cliché à l’autre. 4/ Pour quitter avant la fin, appuyez sur la touche [Esc] de votre clavier.
Sur le Web, avec les réseaux sociaux 1/ Sélectionnez les photos que vous voulez mettre en ligne. 2/ Cliquez sur l’un des quatre boutons en bas à droite : MobileMe, Facebook, Flickr ou Courrier.
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5 / Vos photos avec iPhoto
—— MobileMe est l’espace de synchronisation et de stockage d’Apple, sur lequel vous avez droit à 20 Go d’espace pour 79 euros par an. Vous pouvez vous inscrire sur Me.com. Cela peut être une bonne solution de sauvegarde de vos photos. Une fois inscrit, lorsque vous utilisez cette option depuis iPhoto, celui-ci vous demande de préciser vos options de confidentialité et la qualité de téléchargement : Optimisé ou Taille réelle. Le premier choix entraînera un temps de téléchargement plus court mais une qualité d’archivage moindre : tout dépend de ce que vous voulez en faire et de vos autres précautions de sauvegarde (via Time Machine notamment, voir le chapitre Vos sauvegardes automatiques.
L’interface web de MobileMe
—— Facebook est le plus gros réseau social du monde. L’inscription est gratuite sur www. facebook.com. Ici, il ne s’agit pas vraiment d’archivage de vos photos (elles sont stockées en petite taille) mais plutôt de partage avec vos amis. —— Flickr est, lui, un réseau social spécialisé dans le partage de photos (et de courtes vidéos). Pour 15 euros par an, vous accédez à un espace de stockage infini ! C’est à la fois un espace de stockage et une plate-forme de partage. La navigation n’y est pas des plus simples, mais c’est la solution la plus économique pour ceux qui possèdent beaucoup de photos et souhaitent les sauvegarder sur le Web. Lorsque vous utilisez cette fonction d’iPhoto, celui-ci vous demande vos préférences de confidentialité et de reformatage de vos clichés. Les options Taille réelle et Optimisée sont à utiliser en priorité, Web réduisant considérablement la taille de vos photos.
L’interface web de Flickr
—— Enfin, le bouton Courrier permet de redimensionner en un clic plusieurs photos et de les envoyer par mail, via le logiciel Mail d’Apple ou votre webmail préféré. Très pratique pour envoyer plus de cinq, dix ou vingt photos dans le même mail sans passer une demi-heure à les retailler dans Photoshop ou autres… D’ailleurs, la fonction existe aussi sur Windows. Envoi de trois photos par courriel
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Appréciez vos photos sur grand écran avec Apple TV
L’Apple TV
1/ Si vous voulez acheter l’Apple TV, vous trouverez ce petit boîtier sur l’Apple Store (http:// store.apple.com/fr) ou chez les revendeurs spécialisés Apple. Il y a deux modèles : 40 ou 160 Go. Choisissez la capacité qui correspond à votre besoin de stockage en photo, vidéo et/ou musique, mais gardez à l’esprit que vous ne stockerez pas forcément tous vos fichiers en même temps sur l’Apple TV. Vous pourrez en effacer certains, en remettre de nouveaux, sans que cela n’affecte votre Mac. 2/ Raccordez l’Apple TV à votre téléviseur à l’aide d’un câble HDMI (non fourni). Branchez-le également au secteur. À l’aide de la petite télécommande blanche, sélectionnez Réglages, Général, Réseau, et Configurer le réseau sans fil. Dans la liste des réseaux qui apparaît, choisissez le vôtre, puis entrez le mot de passe, le cas échéant. Il peut arriver que la connexion échoue ; dans ce cas, comme il est très fastidieux d’entrer plusieurs fois le mot de passe très long réglé par défaut sur les box, je vous conseille de changer ce mot de passe pour un autre beaucoup plus court, avant de connecter l’Apple TV. Chaque fournisseur d’accès a prévu sa propre méthode de modification du mot de passe : reportez-vous à son site web. 3/ Une fois l’Apple TV raccordé à votre réseau domestique, ouvrez iTunes sur votre Mac. Vous devriez voir apparaître « Apple TV » dans la colonne de gauche. Cliquez dessus pour accéder aux réglages de synchronisation. Comme pour un iPod ou un iPhone, vous devez choisir entre une synchronisation automatique ou une synchronisation personnalisée.
5 / Vos photos avec iPhoto
Vous êtes devenu un inconditionnel d’iPhoto ? Je vous comprends ! Et je peux même vous conseiller d’aller plus loin en achetant un petit boîtier magique qui se branche à votre téléviseur : j’ai nommé l’Apple TV ! Il s’agit tout simplement d’un disque dur externe doté de la fameuse prise HDMI, qui fait passer des images en haute définition vers les téléviseurs. Ainsi, ce petit boîtier va chercher, sans fil, grâce au Wifi, les photos stockées sur votre Mac, pour les afficher sur votre écran LCD ou plasma, dans votre salon ! Et même, si vous désirez, vos vidéos et votre musique…
Choisissez l’une ou l’autre, mais cliquez ensuite sur l’onglet Photos, en haut. Ici, vous avez la possibilité de régler l’Apple TV de manière à synchroniser tout le contenu d’iPhoto, simplement les événements ou encore certains albums (classiques et intelligents). Commencez par exemple avec un album pour vous assurer du bon fonctionnement de l’ensemble. Cliquez sur le bouton Synchroniser en bas à droite. La première synchronisation peut être longue. Vérifiez que l’opération est finie à l’aide de la barre de progression en haut de la fenêtre d’iTunes. Retournez devant votre télé et sélectionnez, toujours avec la télécommande, le menu Photos puis encore Photos. Votre album devrait apparaître à l’écran, avec son nom et quelques vignettes qui défilent. Validez encore une fois avec le bouton de lecture : une grille de photos s’affiche. Vous pouvez choisir d’en afficher une seule en plein écran ou de lancer un diaporama. Admirez le résultat !
La synchronisation de l’Apple TV
4/ Pour revenir au menu précédent, appuyez sur le bouton Menu de la télécommande. Vous pouvez à présent régler vos préférences de diaporama. Pour cela, rendez-vous dans le menu Photos, puis Réglages. C’est ici que vous décidez de tout : durée d’affichage des photos, type de transition, musique, mode aléatoire, lecture en boucle, effet Ken Burns (zoom et « dézoom » sur les photos, apportant un effet plus dynamique mais masquant les extrémités des photos). 5/ N’oubliez pas : tout ce qui concerne l’Apple TV se règle via iTunes. Mais si vous souhaitez
créer des dossiers de photos pour des diaporamas spécifiques sur votre TV, alors vous devez le faire dans iPhoto puis les synchroniser sur l’Apple TV grâce à iTunes et à l’onglet Photos !
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Comme nous l’avons vu au chapitre précédent, vous pouvez acheter des séries TV sur l’iTunes Store. Sachez que vous pouvez les regarder sur votre Apple TV. Il vous suffit de les synchroniser à l’aide du bouton du même nom, dans iTunes, après avoir réglé vos préférences dans l’onglet Films. C’est la même chose pour la musique bien entendu. À chaque média son onglet dans iTunes !
Riez un peu avec Photo Booth
Mais surtout, vous pouvez ajouter des effets en temps réel, en cliquant sur le bouton Effets. Vous avez trois pages d’effets différents : la première regroupe les effets graphiques, la deuxième, la plus drôle, les effets déformants, et la troisième permet d’inclure un fond personnalisé derrière vous, histoire de faire croire que vous vous trouvez devant une chute d’eau ou sur une plage tropicale ! Vous pouvez même ajouter votre propre photo et vous balader dans des photos animées !
Autoportrait à la Warhol
5 / Vos photos avec iPhoto
Ouvrez le dossier Applications de votre Mac, puis Photo Booth. Il s’agit d’un petit logiciel de capture de photos via la webcam intégrée des Mac. Vous devriez vous voir apparaître à l’écran. Vous pouvez prendre une photo en cliquant sur le bouton rouge.
Lorsque vous avez pris la photo, vous pouvez en un clic l’envoyer par mail, l’ajouter à votre photothèque iPhoto, l’assigner à votre session ou à votre profil de clavardage. Vous pouvez aussi la supprimer, bien sûr !
Utilisez Aperçu Aperçu est une petite application simple et légère qui sert à ouvrir les images et, au besoin, à les recadrer ou à en changer la taille. Les images, lorsqu’elles sont ouvertes depuis le Finder (et non depuis iPhoto), s’affichent par défaut avec Aperçu. 1/ Si vous avez besoin, par exemple, de réduire la taille d’une photo tout en gardant une
copie originale, glissez la photo depuis iPhoto vers le Bureau ou n’importe quel dossier de Mac OS.
2/ Ouvrez cette copie avec Aperçu. Déroulez le menu Outils, puis Ajuster la taille. Dans
le premier menu déroulant, vous pouvez choisir une taille prédéfinie, standard. En dessous, vous pouvez entrer précisément les valeurs de votre choix, en pourcentages, en pixels, en centimètres…
Redimensionnez une image
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3/ Si vous cochez Échelle proportionnelle, Aperçu fixera la valeur de la hauteur en fonction de
celle que vous entrerez pour la largeur, et inversement. Sinon, la photo sera déformée. Validez et enregistrez. Si vous ouvrez plusieurs images en même temps avec Aperçu, des vignettes correspondant à ces images apparaîtront à droite de la fenêtre et vous pourrez passer de l’une à l’autre en cliquant dessus.
5 / Vos photos avec iPhoto
Pour sélectionner une partie de l’image, tracez simplement un cadre autour de la zone que vous souhaitez conserver. Vous pouvez ajuster ce cadre avec les habituelles poignées situées aux quatre coins du cadre. Pour ne conserver que cette sélection et effacer le reste, déroulez le menu Outils et sélectionnez Rogner (ou X + [K]).
Mac Malin
Il est facile de rogner une photo avec Aperçu
Coup d’œil (Quick Look) Si vous voulez simplement jeter un coup d’œil rapide à un document (où qu’il se trouve dans votre Mac) sans pour autant le charger, lui et le logiciel qui va avec, il existe une fonction pratique, nommée Coup d’œil. Elle est accessible très simplement, en sélectionnant le fichier avec la souris puis en appuyant sur la [Barre{d'espace]. Essayez par exemple avec un fichier photo : le cliché s’affiche instantanément dans une fenêtre transparente. Appuyez à nouveau et il disparaît. C’est la même chose pour les vidéos et les fichiers de texte. Si vous devenez accro à cette fonction, n’hésitez pas à l’étendre à d’autres domaines, grâce à des plug-ins facilement téléchargeables sur Internet. Il en existe par exemple pour les archives .zip ou les fichiers au format Illustrator.
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Votre bureautique
Ce ne sont certes pas les fonctions les plus glamours d’un ordinateur, encore moins d’un Mac, mais il faut bien reconnaître que tous ces logiciels peuvent être d’une grande aide dans de très nombreux cas de figure. Vous vous occupez bénévolement d’une association, vous voulez gérer votre budget, organiser votre mariage ou vous avez tout simplement beaucoup d’amis et de connaissances ? Dans ce cas comme dans bien d’autres, votre Mac vous sera très utile ! Et ne croyez pas que tout cela est complexe ou ennuyeux comme sur un PC. Sur un Mac, même la gestion de la paperasse est conviviale !
Vos contacts et vos rendez-vous Si vous n’êtes pas un jeune cadre dynamique, il y a de grandes chances pour que vous ne gériez pas encore vos contacts et vos rendez-vous par ordinateur. Peut-être les gérez-vous pour l’instant avec votre téléphone ou avec un simple calepin… L’achat de votre Mac est peut-être l’occasion rêvée pour vous y mettre ! Pour les autres, sachez qu’il est assez facile de transférer ces données depuis votre PC et qu’il existe des logiciels de synchronisation pour la plupart des smartphones, le « must have » restant bien entendu l’iPhone, pensé pour fonctionner de concert avec un Mac.
Vos contacts avec le Carnet d’adresses Importation depuis votre PC 1/ Sur votre PC, ouvrez le dossier Contacts Windows. Cliquez sur le bouton Exporter en haut à droite pour exporter toutes vos fiches, ou sélectionnez celles que vous voulez exporter et cliquez sur le bouton affichant des guillemets français puis sur Exporter. Windows vous demande de choisir le format d’exportation : cliquez sur Vcards. Sélectionnez le dossier de destination de l’export, puis validez. Copiez ensuite ces fichiers sur une clé USB (au format Fat32, voir le chapitre Votre musique avec iTunes). L’exportation au format Vcards
2/ Branchez la clé USB sur votre Mac. Ouvrez le Carnet d’adresses et déroulez le menu Fichier. Choisissez Importer puis Vcard. Sélectionnez les fiches à importer depuis la clé USB en utilisant X+clic pour en choisir plusieurs à la fois. Validez. Autre méthode : glissez les fichiers depuis la clé USB vers la fenêtre du Carnet d’adresses.
6 / Votre bureautique
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Importez tous vos contacts en un clic
3/ Vérifiez que les fiches ont bien été ajoutées grâce à la fonction de recherche intégrée au Carnet d’adresses. Seules les photos de vos contacts ne s’exportent pas automatiquement.
Utilisation du Carnet d’adresses au quotidien Cliquez simplement sur l’icône du calepin marron dans le Dock pour ouvrir le Carnet d’adresses. Une fenêtre composée de trois colonnes s’affiche. À gauche, vous avez les sous-dossiers, au milieu les noms de vos contacts, et à droite leurs détails. Cliquez sur l’un de vos contacts importés (si vous en avez) pour afficher ses détails à droite. Si vous désirez vous constituer votre premier carnet d’adresses, voici la marche à suivre :
1/ Cliquez sur le deuxième bouton +, en bas de la colonne des noms. Une nouvelle entrée se crée dans cette liste de noms et des champs de texte apparaissent dans la partie droite. Entrez les informations que vous voulez : prénom, nom, adresse, numéro de téléphone, mail, etc. Si vous saisissez un numéro de téléphone, un petit bouton + cerclé de vert apparaît juste à gauche, vous permettant d’en ajouter d’autres. Même chose pour le mail et l’adresse physique. En faisant un double-clic sur la silhouette en haut, vous pouvez ajouter une photo. Lorsque vous avez fini, cliquez en bas sur le bouton Modifier, qui cesse d’être bleu. Pour modifier à nouveau la fiche, cliquez sur ce même bouton.
Création/ modification d’une fiche de contact
2/ Pour rayer une fiche de votre Carnet d’adresses, sélectionnez-la, déroulez le menu Édition
puis choisissez Supprimer une fiche, ou utilisez la touche [Effacer] ou [Suppr] de votre clavier.
3/ Comme avec iPhoto, il est possible de constituer des groupes intelligents, à savoir des dossiers contenant tous vos contacts qui répondent à certains critères. Cela peut être utile pour envoyer des mails communs par exemple. Pour créer de tels groupes, allez dans le menu Fichier, puis sélectionnez Nouveau groupe intelligent. Entrez vos critères, puis validez : le groupe s’affiche dans la colonne de gauche et les fiches correspondantes dans celle du milieu. Un groupe intelligent de contacts
L’un des grands intérêts du Carnet d’adresses, c’est sa compatibilité totale avec l’iPhone et surtout sa mise à jour « over the air » grâce à MobileMe. En effet, en vous abonnant au service MobileMe d’Apple (www.me.com), vous n’avez même pas besoin de brancher votre iPhone sur votre Mac pour synchroniser les contacts et les rendez-vous : tout cela se fait automatiquement, via le réseau téléphonique ! Imaginez : vous entrez un nouveau contact dans votre iPhone lors d’une soirée chez des amis. Quelques semaines plus tard, vous avez besoin d’écrire un mail à cette personne : c’est très facile, son adresse électronique se trouve dans le Carnet d’adresses de votre Mac ! En un clic, vous lui envoyez donc un mail !
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Vos rendez-vous avec iCal Importation depuis votre PC 1/ Sur le PC, ouvrez le Calendrier Windows. Dans le menu Fichier, choisissez Exporter. Nommez votre fichier et sauvegardez-le où vous voulez. Copiez ce fichier sur une clé USB.
6 / Votre bureautique
L’exportation d’un calendrier
2/ Branchez la clé USB sur votre Mac. Ouvrez iCal et déroulez le menu Fichier. Choisissez Importer, laissez la case Importer un fichier iCal cochée par défaut et cliquez sur Importer. Sélectionnez le fichier sur votre clé USB et validez. iCal vous demande dans quel calendrier vous souhaitez importer ces nouveaux événements. Choisissez le calendrier de destination dans le menu déroulant et cliquez sur OK. L’importation d’un calendrier
3/ Vérifiez que vos événements ont été correctement importés en affichant les dates auxquelles vous aviez ajouté des rendez-vous.
Utilisation d’iCal au quotidien iCal se trouve lui aussi dans le Dock, affichant une icône de calendrier papier. Ouvrez-le. Une fenêtre apparaît, avec les jours de la semaine en ordonnées, les heures en abscisses, et le jour d’aujourd’hui bleuté. C’est la vue par semaine. Vous en avez deux autres : par jour et par mois, accessibles via les boutons en haut de la fenêtre. Pour ajouter vos rendez-vous :
1/ En mode Jour ou Semaine, cliquez sur la zone grise à l’heure de début de votre rendez-
vous, maintenez la souris enfoncée et faites-la glisser jusqu’à l’heure de fin. En mode Mois, faites un double-clic sur le jour de votre choix. Une zone colorée apparaît. Entrez le nom de l’événement, puis faites un double-clic sur cette nouvelle zone colorée pour l’éditer.
Ajout d’un événement
2/ Vous pouvez alors ajouter des détails, comme le lieu de l’événement, les heures précises, le type de calendrier défini par une couleur (personnel, professionnel, etc), une ou plusieurs
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6 / Votre bureautique
alarmes de différentes sortes, les participants à cet événement, des pièces jointes, une adresse web et des remarques. Cliquez sur Terminer pour valider.
Ajout d’un participant depuis le Carnet d’Adresses
3/ Si vous voulez supprimer un événement, sélectionnez-le et appuyez sur la touche [Suppr] de votre clavier. Vous avez toujours la possibilité de modifier un événement en double-cliquant dessus, puis en cliquant sur le bouton Édition. Comme pour le Carnet d’adresses, l’un des grands intérêts d’iCal, c’est sa compatibilité totale avec l’iPhone et surtout sa mise à jour « over the air » grâce à MobileMe.
Vos textes, de Word à Pages et TextEdit Tout le monde a déjà utilisé un ordinateur pour taper du texte. Mais l’expérience peut être très différente suivant la plate-forme (Mac, PC, Linux…), le logiciel (Word, TextEdit, Calepin, Pages, OpenOffice…) et même le clavier ! Petit tour d’horizon des différentes solutions qui s’offrent à vous et à votre Mac.
Présentation de la suite iWork Vous connaissez certainement la suite Office, ensemble de trois logiciels principaux que sont Word, Excel et PowerPoint, développés par Microsoft et utilisés dans l’immense majorité des entreprises de la planète. Apple possède sa propre suite : iWork. Elle regroupe elle aussi trois logiciels, Pages (l’équivalent de Word), Numbers (l’équivalent d’Excel) et Keynote (l’équivalent de PowerPoint). Cette suite iWork est vendue 79 euros par Apple, elle n’est pas incluse avec les Mac, comme l’est parfois la suite Office avec certains PC. Pour comparaison, Office 2007 PC est vendu 139 euros et Office 2008 Mac, 119 euros. Je vous conseille d’essayer la suite iWork, c’est gratuit pendant 30 jours. Vous pouvez télécharger iWork sur http://store.apple.com/fr. La version d’essai expire au bout de 30 jours
De Word à Pages Vous avez décidé de sauter complètement le pas en switchant aussi pour iWork ? Bravo ! Voyons comment bien débuter :
1/ Ouvrez Pages. Une vidéo de présentation vous est proposée. Visionnez-la si vous voulez, puis cliquez sur le bouton Fermer. Pages vous demande de choisir entre du traitement de texte et de la mise en page, mais aussi entre plusieurs modèles pour chacun des deux choix. Commençons par le plus simple : Vierge. 2/ Une feuille blanche apparaît, avec une barre d’outils et quelques boutons au-dessus. Dans la barre d’outils, vous trouverez globalement les mêmes fonctions que dans Word, avec, le plus souvent, les mêmes repères graphiques. Ainsi, l’alignement des paragraphes, la couleur et le style du texte ou encore les listes sont reconnaissables au premier coup d’œil.
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3/ Pour les options plus avancées, cliquez sur le bouton bleu en haut à droite, nommé
Inspecteur. Vous avez alors accès à une petite fenêtre flottante, décomposée en dix onglets, dans lesquels se trouvent des fonctions avancées mais néanmoins assez courantes, comme les marges, les règles d’alignement des objets et des images par rapport au texte, les reliefs, les tableaux, les graphiques ou les éléments multimédias.
L’interface de Pages et l’inspecteur
6 / Votre bureautique
Le sélecteur de modèles
4/ Choisissez à présent Créer à partir de la liste de modèles dans le menu Fichier, pour essayer le mode Mise en page. Sélectionnez par exemple le modèle Dépliant classique. Vous pouvez partir de ce modèle pour créer votre propre dépliant, avec vos photos et votre texte, très rapidement. Pour les photos, il suffit de les glisser depuis votre Bureau ou disque dur vers l’emplacement des photos déjà incluses : elles viennent les remplacer. Autre méthode : si vous utilisez iPhoto pour ranger vos photos, cliquez sur le bouton Données multimédias en haut à droite et parcourez votre photothèque grâce à la petite fenêtre flottante qui apparaît. Glissez ensuite le cliché vers l’endroit de votre choix. Vous pouvez aussi zoomer sur la photo avec la réglette qui est en dessous et même la déplacer à l’intérieur du cadre en cliquant sur le bouton Modifier le masque. Pour modifier le texte, c’est très simple, il suffit de le sélectionner à l’intérieur de sa zone de texte et de remplacer les mots d’origine par les vôtres ! Pour ce qui est des styles prédéfinis de caractères et de paragraphes, cliquez sur le petit bouton rond et bleu en haut à gauche arborant le symbole du paragraphe.
Importez vos photos
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6 / Votre bureautique
5/ Vous pouvez bien sûr déplacer les zones de texte et d’image en cliquant dessus et en les glissant plus loin. Vous pouvez aussi les réduire, grâce aux poignées qui apparaissent tout autour de ces zones lorsqu’elles sont sélectionnées. Pour passer d’une page à l’autre, utilisez la colonne de gauche, qui affiche les vignettes d’aperçu de ces pages.
Modifiez vos blocs de texte
Ouvrez vos fichiers Word PC sur votre Mac Pour ouvrir vos anciens fichiers au format Word PC, rien de plus simple. Commencez par les transférer sur votre Mac, comme nous l’avons décrit à la fin du chapitre Configurez et utilisez votre Mac, puis double-cliquez simplement dessus pour les ouvrir. À ce stade, tout dépend des logiciels que vous avez installés sur votre Mac :
1/ Si vous n’avez rien acheté ni installé de spécial, c’est TextEdit qui ouvrira le fichier (voir plus loin). Peut-être que vous devrez l’indiquer au Mac en allant le sélectionner dans le dossier Applications si on vous demande de choisir une application pour ouvrir le fichier. Autre solution plus rapide : faites un clic droit sur le fichier à ouvrir, puis choisissez Ouvrir avec TextEdit.
Ouvrir avec…
2/ Si vous avez installé Pages (et donc acheté ou essayé pendant 30 jours la suite iWork), il y a de fortes chances pour que le fichier soit ouvert automatiquement par ce logiciel. Si ce n’est pas le cas, vous pouvez l’y contraindre en faisant un clic droit sur le fichier et en sélectionnant Ouvrir avec Pages. 3/ Il faut procéder de la même façon avec Word, si vous avez acheté et installé la version Mac d’Office.
Mac World
Sachez que si le Mac peut théoriquement lire tout fichier texte issu d’un PC, il arrive que certaines fonctions évoluées ou certaines mises en page élaborées soient inactives sur Mac, dans Pages ou TextEdit. Dans ce cas-là, il vous faudra acheter la version Mac d’Office, pour une compatibilité totale. Mon conseil : commencez par tester la compatibilité de vos fichiers avec TextEdit, puis, si cela n’est pas parfait, avec Pages (essai gratuit de 30 jours). Enfin, en cas de problème majeur de compatibilité (c’est rare ou ne concerne que les utilisateurs avancés), achetez la suite Office sur Mac… Quand Microsoft était actionnaire d’Apple En août 1997, Steve Jobs surprend le monde entier en passant un accord avec Bill Gates, le patron de Microsoft. Ce dernier rachète 6 % du capital d’Apple pour 150 millions de dollars et obtient le droit d’utiliser les technologies brevetées par Apple pour les cinq années qui suivent, tant que la version Mac d’Office continue à être mise à jour. Les fans de la première heure ne sont pas contents, mais la presse salue cette décision, qui intervient alors qu’Apple est au plus mal.
L’alternative gratuite : TextEdit Si vos besoins en matière de traitement de texte sont relativement limités (ce qui est le cas de beaucoup de monde), vous pouvez vous satisfaire de TextEdit, un logiciel gratuit, fourni avec tous les Mac. D’ailleurs, pour ne rien vous cacher, le livre que vous tenez entre les mains a été écrit sur TextEdit (mais il n’en va pas de même pour la mise en page, bien entendu).
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1/ Ouvrez TextEdit, qui se trouve dans le dossier Applications. Remarquez la rapidité avec
laquelle il s’ouvre ! Une feuille vierge apparaît, toute simple, sans marges apparentes. Commencez à taper un peu de texte.
2/ Pour afficher la fenêtre flottante de gestion de la police, déroulez le menu Format, puis choisissez Police et enfin Afficher les polices. Vous trouverez dans cette fenêtre les principales options utiles à la mise en forme simple d’un texte. TextEdit, le traitement de texte gratuit d’Apple
6 / Votre bureautique
TextEdit est livré gratuitement avec les Mac
3/ Notez que certains mots sont automatiquement soulignés en rouge ou en vert dans votre texte : il s’agit de fautes décelées par le correcteur intégré. Faites un clic droit sur le mot pour choisir la bonne orthographe ou faire en sorte que TextEdit le mémorise. Le correcteur d’orthographe en temps réel
La critique - légitime - souvent adressée à TextEdit concerne l’absence de compteur de mots et de caractères. Heureusement, il est tout à fait possible d’y remédier.
1/ Il suffit de télécharger WordService sur www.devon-technologies.com (rubrique Download) et de placer le fichier téléchargé, après l’avoir décompressé, dans un dossier Services (que vous créerez s’il n’existe pas) qui se trouve dans le dossier Bibliothèque, lui-même dans votre dossier d’utilisateur, qui porte le nom de votre session et ressemble à une petite maison.
Placez correctement le fichier WordService
2/ Après cette opération et un redémarrage de votre session, lancez TextEdit, déroulez le
menu TextEdit, sélectionnez la commande Services, puis Préférences Services. Dans la liste de fonctions qui s’affiche, cochez Statistiques.
Activez la fonction Statistiques
6 / Votre bureautique
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3/ Quittez les Préférences Système et retournez dans TextEdit. Sélectionnez à présent une portion de texte et déroulez le menu TextEdit, le sous-menu Services puis la commande Statistiques. Vous aurez alors accès au nombre de mots, de caractères, d’espaces et de lignes au sein de votre sélection ! Pour un accès plus rapide à cette fonction, référezvous à l’encadré qui suit.
Mac Célère
La commande Statistiques
TextEdit - X + [T] : affiche la fenêtre de gestion de la police. - X + [B] : met la sélection en gras. - X + [{I{] : met la sélection en italique. - X + [+] : augmente la taille du texte sélectionné. - X + [{-{] : diminue la taille du texte sélectionné. - X + x + [{i{] : affiche le nombre de caractères sélectionnés (après avoir installé le plug-in WordService).
Vos feuilles de calcul : d’Excel à Numbers Comme pour le texte, vous avez le choix entre le logiciel maison d’Apple, Numbers, ou la version Mac d’Excel, incluse dans le pack Office. Les deux sont payants, donc, ici, contrairement au traitement de texte, il n’y a pas d’alternative gratuite préinstallée sur les Mac. Cependant, vous pouvez
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toujours télécharger une version d’OpenOffice, gratuite, qui vous permettra d’ouvrir les fichiers Excel sans problème. Pour obtenir OpenOffice, allez sur http://fr.openoffice.org.
Numbers, le tableur d’Apple
6 / Votre bureautique
1/ Ouvrez Numbers. Un choix de modèles vous est proposé. Commencez par le plus simple, Vierge. Une feuille de calcul classique s’affiche.
Le choix des modèles dans Numbers
2/ Comme dans Pages, la barre d’outils se trouve en haut, elle ne diffère pas beaucoup de celle d’Excel. Encore au-dessus, les gros boutons colorés permettent de faire appel aux fonctions de base : somme, produit, moyenne, graphique, commentaire… À droite, on retrouve le bouton Inspecteur, comme dans Pages, grâce auquel vous pouvez régler les marges du document et les formats des tableaux et des graphiques par exemple. À côté, le bouton Données multimédias permet d’aller chercher des photos dans iPhoto, du son dans iTunes et des vidéos dans ces deux logiciels et dans iMovie. Il vous suffit de glisser le média de votre choix vers la feuille de calcul pour l’inclure.
L’interface de Numbers et l’inspecteur
3/ Lorsque vous souhaitez sauvegarder votre document, vous avez deux choix : la procédure habituelle, avec la commande Enregistrer dans le menu Fichier, qui enregistre le document au format Numbers, mais aussi la commande Enregistrer sous, avec laquelle vous pouvez choisir le format d’enregistrement Excel, pour pouvoir lire le document sur un PC. 4/ Essayez à présent la commande Créer à partir de la liste de modèles dans le menu Fichier, pour prendre la mesure de la facilité d’utilisation de Numbers. Choisissez par exemple le modèle Dîner. Un document apparaît, que vous allez pouvoir modifier à loisir. Pour remplacer le texte, placez simplement votre curseur dessus. Pour les photos, utilisez Données multimédias pour glisser les clichés à la place de ceux qui s’affichent par défaut. Entrez les quantités correspondant à votre recette dans les tableaux sous les photos. Les proportions se calculent automatiquement, en fonction de la liste de vos invités, contenue dans une autre page du document. Pour y accéder, cliquez sur Liste des invités dans la colonne de gauche.
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5/ Une liste d’invités fictifs apparaît. Remplacez-les par les vôtres en vous servant du clavier ou, mieux, de votre Carnet d’adresses, que nous avons configuré dans ce chapitre. Ouvrez le Carnet d’adresses et faites glisser les fiches de vos invités vers la liste dans Numbers : ceux-ci sont ajoutés automatiquement, avec leurs coordonnées pour pouvoir les prévenir rapidement ! Ajoutez vos invités depuis le Carnet d’adresses
6 / Votre bureautique
Le modèle Dîner
6/ La dernière page de ce modèle est une liste de courses intelligente, sur laquelle vous pouvez cocher les ingrédients que vous possédez déjà et qui calcule le prix de vos futurs achats.
La liste de courses intelligente
7/ N’hésitez pas à utiliser ces modèles pour gérer votre quotidien : dans leur majorité, ils ne
requièrent quasiment aucune connaissance technique.
Ouvrez vos fichiers Excel PC sur votre Mac Commencez par transférer vos fichiers du PC au Mac, en suivant la méthode décrite à la fin du chapitre Configurez et utilisez votre Mac. Ensuite, trois solutions s’offrent à vous : Une solution gratuite, en utilisant OpenOffice, téléchargeable sur http://fr.openoffice.org. Ensuite, faites simplement un clic droit sur le fichier Excel et choisissez Ouvrir avec OpenOffice. Si vous ne voyez que Ouvrir avec, sélectionnez cette commande, puis OpenOffice dans la liste qui apparaît.
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Une solution gratuite pendant 30 jours, et payante ensuite : l’achat de la suite iWork qui comprend Numbers. Choisissez donc Ouvrir avec Numbers après avoir fait un clic droit sur la feuille de calcul. Une solution payante, qui consiste simplement à acheter la suite Office pour Mac dans laquelle vous trouverez la version Mac d’Excel. Il vous faudra donc simplement sélectionner Ouvrir avec Excel après avoir fait un clic droit sur la feuille de calcul.
Vos présentations : de PowerPoint à Keynote Keynote est à PowerPoint ce que l’iPhone est au BlackBerry : un concurrent plus branché, plus moderne et plus beau.
Keynote, les présentations à la Apple
Les modèles de présentation
6 / Votre bureautique
Là encore, comme pour vos fichiers texte, je vous conseille d’essayer d’ouvrir vos fichiers PC d’abord avec la solution gratuite, OpenOffice, puis, s’il y a des éléments manquants ou qui fonctionnent mal, de télécharger la suite iWork (gratuite pendant 30 jours) qui comprend Numbers et de tester la compatibilité de vos fichiers, et enfin, si les résultats sont toujours infructueux, d’acheter la suite Office pour Mac, qui comprend Excel.
1/ Ouvrez Keynote. Un sélecteur vous propose de nombreux modèles de présentations. Pour avoir un aperçu de chacun des modèles, survolez-les avec votre souris de gauche à droite. Vous verrez les diapositives défiler. Choisissez celui qui s’approche le plus de ce que vous voulez faire et déterminez la résolution de votre présentation avec le menu en bas à droite. 2/ Vous pouvez facilement éditer les zones de texte en cliquant deux fois à l’intérieur. Pour importer un média, comme avec Numbers ou Pages, utilisez le bouton Données multimédias.
Ébauche d’une présentation
3/ Vous avez la possibilité de décider comment chaque objet va apparaître ou disparaître lors de votre présentation. Pour cela, sélectionnez-le et cliquez sur le bouton Inspecteur. Cliquez sur le troisième onglet de l’inspecteur, qui concerne les compositions. Ici, vous trouvez trois sous-onglets : Entrée, Sortie et Opération, qui vous permettront de mettre au point une composition bien précise. N’hésitez pas à tester les effets grâce au menu déroulant du même nom et à la petite fenêtre d’aperçu au-dessus. Précisez bien l’ordre d’apparition de l’effet dans le menu déroulant de droite, ainsi que sa durée en bas à droite.
6 / Votre bureautique
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Apparition d’un graphique par balayage
4/ Pour ajouter une nouvelle diapositive, cliquez simplement sur le bouton Nouveau en haut à gauche. Pour lancer la lecture, utilisez le bouton immédiatement à sa droite. À tout moment, vous avez la possibilité de changer de thème grâce au bouton Thèmes affichant un menu déroulant. Le bouton juste à droite, Modèles, permet de gagner du temps sur la mise en page en faisant appel à des modèles de page simples et efficaces, modifiables évidemment. 5/ Vous pouvez là encore rendre votre présentation compatible PC grâce à la commande Enregistrer sous du menu Fichier puis à l’option Enregistrer la copie comme présentation PowerPoint. Sachez que les Keynotes de Steve Jobs dont il est question dans l’encadré qui suit sont réalisées avec ce logiciel !
Mac Malin
Modifiez votre thème en cours de route
Steve Jobs et ses Keynotes Steve Jobs est réputé, entre autres, pour ses shows impressionnants. Trois à quatre fois par an, il convie des centaines voire des milliers de personnes (journalistes, passionnés, investisseurs, amis…) à San Francisco ou à Cupertino en Californie pour annoncer le lancement de ses nouveaux produits. Dans un spectacle de plus de deux heures, il captive son auditoire avec un suspense travaillé, des petites piques à destination de Microsoft ou d’autres concurrents, des intervenants prestigieux et surtout des démonstrations en direct de ses nouveautés. En janvier 2007, par exemple, lors de la première annonce officielle de l’iPhone, il a joué avec l’objet pendant une demi-heure, montrant tout ce qui s’y passait sur l’écran géant de la salle de conférence. La salle était survoltée et applaudissait toutes les 10 secondes. Certains parlent d’un “champ de distorsion de la réalité” pour expliquer ces réactions, parfois démesurées, du public face aux discours extrêmement rodés de Steve Jobs et à ses présentations de nouveautés parfois relativement minimes en réalité.
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Ouvrez vos fichiers PowerPoint PC sur votre Mac Là encore, comme pour les textes et les tableaux, commencez par transférer vos fichiers depuis votre PC vers le Mac (voir la fin du chapitre Configurez et utilisez votre Mac). Puis, trois solutions s’offrent à vous : Une solution gratuite, en utilisant OpenOffice, téléchargeable sur http://fr.openoffice.org. Ensuite, faites simplement un clic droit sur le fichier PowerPoint et choisissez Ouvrir avec OpenOffice. Si vous ne voyez que Ouvrir avec, sélectionnez cette commande et choisissez OpenOffice dans la liste qui apparaît.
Une solution payante, qui consiste simplement à acheter la suite Office pour Mac, dans laquelle vous trouverez la version Mac de PowerPoint. Il vous faudra donc simplement sélectionner Ouvrir avec PowerPoint après avoir fait un clic droit sur la présentation.
6 / Votre bureautique
Une solution gratuite pendant 30 jours, et payante ensuite : l’achat de la suite iWork, qui comprend Keynote. Choisissez donc Ouvrir avec Keynote après avoir fait un clic droit sur la présentation.
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Vos vidéos et votre TV
Le Mac a toujours eu une réputation - méritée - d’ordinateur pour artistes. Effectivement, un grand nombre de réalisateurs de documentaires, de photographes, de musiciens ou de graphistes travaillent sur Mac. Ceux-ci étaient plus puissants et plus stables que les PC et offraient des logiciels plus performants. Ce n’est plus le cas aujourd’hui, les PC ayant largement rattrapé leur retard, mais il reste certain que le Mac est tout de même une excellente machine pour créer. Et bien sûr aussi, pour visionner les créations des autres !
La lecture des films et des vidéos Nous sommes dans une période de transition : la dématérialisation des films a progressivement lieu, comme a eu lieu celle de la musique. Hélas, s’il est aujourd’hui facile d’acheter de la musique dématérialisée (via l’iTunes Store notamment, voir le chapitre Votre musique avec iTunes), ce n’est pas la même histoire pour les films. Les droits de vente et de diffusion sont souvent différents d’un pays à l’autre, de même que les règles et les délais de sortie, ce qui fait que le catalogue de films proposés par Apple en France sur l’iTunes Store est quasi inexistant. Quelques séries sont proposées au téléchargement, mais avec beaucoup de retard. Et les utilisateurs Mac sont presque toujours exclus des sites de VOD (Video On Demand) à cause des DRM Windows utilisés par ces loueurs nouvelle génération. Il vous reste les bons vieux DVD et les fichiers vidéo encodés - légalement bien sûr - au format DivX et autres.
Les DVD vidéo Sur Mac, lire un DVD vidéo est encore plus facile que sur un lecteur de salon : introduisez simplement la galette de plastique dans le lecteur et la lecture démarrera. En bougeant la souris, vous ferez apparaître un menu en bas avec les commandes classiques de pause, avance et retour rapide, stop, etc. Naviguez dans les menus avec les flèches de votre clavier ou avec votre souris, ou bien encore avec la petite télécommande blanche proposée en option.
Les commandes de lecture des DVD
En déplaçant le curseur vers le haut de l’écran, vous aurez accès à des menus influant sur la lecture ou le rapport de la fenêtre. Vous pouvez aussi afficher les préférences dans le menu Lecteur DVD pour déterminer par exemple votre langue de lecture par défaut - dans l’onglet Configuration du disque. Pour éjecter le DVD, utilisez la touche [Éject], au-dessus de la touche d’effacement du clavier.
Les DivX et autres vidéos immatérielles Par défaut, le Mac ne lit pas les vidéos DivX ni celles au format Windows Media Video. Heureusement, il existe des utilitaires qui ajoutent cette fonction à QuickTime, le lecteur vidéo vedette d’Apple, et aussi des lecteurs externes, qui se chargent de lire à peu près tous les formats qui existent.
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Si vous avez besoin de lire des vidéos au format Windows Media
Première solution : télécharger VLC, lecteur gratuit, sur www.videolan.org. Vous devrez toujours utiliser ce logiciel pour lire ce genre de vidéos à l’avenir.
Deuxième solution : télécharger Flip4Mac, utilitaire payant, sur www.flip4mac.com, qui vient s’ajouter à QuickTime pour que celui-ci puisse lire ce genre de vidéos.
Si vous avez besoin de lire des vidéos au format DivX Première solution : télécharger VLC, lecteur gratuit, sur www.videolan.org. Vous devrez toujours utiliser ce logiciel pour lire ce genre de vidéos à l’avenir.
Spartacus, le Mac collector En 1997, pour fêter ses 20 ans, Apple crée une machine d’exception, produite en série limitée, qu’elle appelle Spartacus. Vendu 50 000 francs, le Spartacus est une sorte d’iMac avant l’heure : il intègre écran, clavier, trackpad, enceintes et même tuner TV ! Son design, aujourd’hui un peu ringard, était impressionnant à l’époque. C’est à présent une machine de collection, très rare.
Montage vidéo Non seulement les Caméscopes numériques se sont démocratisés, mais il est désormais possible de réaliser des vidéos correctes avec un bon appareil photo numérique. Dès lors, les besoins en montage vidéo augmentent et Apple comme Microsoft l’ont bien compris ; l’un et l’autre intègrent un logiciel de montage dans leur système : iMovie pour Apple et Windows Movie Maker pour Microsoft.
De Windows Movie Maker à iMovie Windows Movie Maker est assez simple à prendre en main. Bizarrement, iMovie est plus déroutant : c’est, semble-t-il, l’exception qui confirme la règle ! Mais au bout de quelques minutes, le montage vidéo ne sera plus qu’un jeu d’enfant pour vous et vous trouverez en fait iMovie très simple à utiliser !
7 / Vos vidéos et votre TV
Deuxième solution : télécharger Perian, utilitaire gratuit, sur www.perian.org, pour permettre à QuickTime de lire de nombreux formats de vidéos.
Mac World
L’interface de Windows Movie Maker
Lorsque vous lancez iMovie, celui-ci vous propose de prendre en compte les séquences vidéo que vous auriez éventuellement déjà ajoutées dans iPhoto (celles issues de votre appareil photo par exemple). En acceptant, vous vous retrouverez avec une collection de vidéos à partir desquelles vous pourrez travailler. Si vous n’avez jamais ajouté de vidéos dans iPhoto, aucun problème : vous allez pouvoir en transférer dès à présent, dans iMovie.
Capture d’une séquence via la webcam
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1/ Pour ajouter des séquences vidéo dans iMovie, cliquez simplement sur le bouton affichant une caméra, à gauche de l’écran. Choisissez ensuite, dans le menu déroulant, la source : iSight (la caméra intégrée à votre Mac, celle que vous utilisez pour la visioconférence) ou bien le Caméscope qui est branché à votre Mac en ce moment. Cliquez ensuite sur le bouton Capturer et choisissez le disque dur sur lequel vous allez importer la vidéo, le nom de l’événement et le mode de coupe. 2/ Une fois l’importation réalisée, vous pouvez la retrouver dans votre bibliothèque d’événements, sous son nom ou à Dernière importation. La séquence s’affiche à droite sous forme de vignettes se succédant, comme une pellicule. Sélectionnez le morceau qui vous intéresse avec la souris et glissez-le vers la fenêtre supérieure. iMovie vous demande de nommer l’événement et de choisir le format d’image, entre 16/9, 3/2 et 4/3.
3/ Continuez simplement à glisser les morceaux de vidéos que vous souhaitez utiliser vers la fenêtre du haut, les uns à la suite des autres. Si vous avez choisi un modèle particulier, les transitions et les introductions se font toutes seules : vous aurez un aperçu de ce que cela donne en survolant la séquence avec la souris ou en lançant la lecture avec la [Barre}{d'espace].
Un montage avec un thème automatique
7 / Vos vidéos et votre TV
Si vous avez plusieurs sources vidéo de plusieurs formats différents, ce n’est pas grave : choisissez l’un ou l’autre, de préférence celui pour lequel vous avez le plus de séquences. Les parties enregistrées sous un autre format s’afficheront simplement avec des bandes noires aux extrémités. Vous pouvez aussi choisir un style de montage, une sorte de modèle dans lequel les transitions sont toutes faites, ce qui peut vous faire gagner du temps.
4/ Vous pouvez à tout moment supprimer un bout de séquence en le sélectionnant avec la souris puis en appuyant sur la touche [Suppr]. Si l’aperçu de votre séquence est trop long ou trop court, vous pouvez en modifier l’échelle avec la réglette en bas à droite de la fenêtre supérieure. Si vous ne parvenez pas à couper une scène exactement comme vous voulez, essayez l’éditeur de précision, accessible via le menu en forme de roue crantée qui apparaît lorsque vous survolez une séquence. Le détail s’affiche alors en bas et vous avez accès à une vue image par image grâce à la réglette du bas.
L’éditeur de précision
5/ Si vous voulez décider vous-même du style de chacune de vos transitions, cliquez sur l’avant-dernier bouton de droite, entre le T et la planète Terre, pour afficher toutes celles qu’iMovie propose, juste en dessous. Survolez-les pour avoir un aperçu de leur style et glissez-en une entre deux séquences dans la fenêtre du haut à gauche pour l’ajouter à votre montage. 6/ Pour insérer du texte sur votre montage, utilisez le bouton T, à gauche de celui des transi-
tions : de nombreux styles sont disponibles. Glissez-en un sur votre montage : des champs de texte apparaissent sur la vidéo. Cliquez dessus pour y ajouter votre propre commentaire. Pour réduire ou augmenter le temps d’affichage du texte, utilisez votre curseur avec la barre bleutée qui est apparue au-dessus de la séquence, dans la fenêtre en haut à gauche.
7/ Les autres boutons à droite permettent d’aller chercher des médias dans iPhoto et iTunes et même d’ajouter des cartes du monde à votre montage.
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7 / Vos vidéos et votre TV
8/ Lorsque l’enchaînement des plans est à votre goût, il est peut-être temps d’ajouter votre voix à l’ensemble, pour faire un commentaire par exemple. Pour cela, utilisez le bouton Voix hors-champ, reconnaissable à son micro, au centre de l’écran. Une fenêtre flottante apparaît, dans laquelle vous pouvez choisir la source d’entrée de la voix : micro intégré ou micro externe le cas échéant. Réglez également le volume d’entrée. Cliquez ensuite sur l’image à partir de laquelle vous voulez faire débuter l’enregistrement de la voix. Un compte à rebours de 3 secondes commence, puis vous pouvez parler. Cliquez n’importe où pour arrêter l’enregistrement. Une barre violette est ajoutée en dessous de la séquence : c’est votre voix. Vous pouvez la déplacer avec votre souris ou l’effacer avec la touche [Suppr] du clavier.
Ajoutez une voix off, comme au 20 heures ! Les options de présentation
9/ Une fois le projet terminé, il ne vous reste plus qu’à l’exporter dans le format qui vous convient. Pour cela, utilisez le menu Partage. Dans ce menu, vous trouverez plusieurs options d’exportation automatique vers YouTube, MobileMe, iTunes, iDVD, etc. Si vous voulez encore plus d’options d’exportation, choisissez Exporter à l’aide de QuickTime. Dans le menu déroulant Exporter, vous trouverez une vingtaine de formats, dont certains sont personnalisables avec le menu déroulant Mode.
La TV sur votre Mac Moyennant l’achat d’un petit tuner pas plus gros qu’une clé USB, vous pouvez recevoir la télévision sur votre Mac. Quel intérêt ? Avoir une deuxième télé à la maison, mais aussi pouvoir programmer des enregistrements numériques ! Voici ce qu’il faut savoir :
Une fenêtre de TV dans votre Mac
Il existe plusieurs marques de tuners pour Mac, dont les principales sont : Elgato www.elgato.com), Miglia, (www.miglia.com), Formac (www.formac.com) Pinnacle (www. pinnaclesys.com). Préférez un tuner TNT HD. Généralement, les fabricants de tuners vendent aussi de petites antennes bâton. Elles fonctionnent bien si vous êtes à un étage élevé et que l’émetteur n’est pas trop loin. Sinon, vous pourrez brancher votre tuner à une prise TV murale. Un enregistrement d’une heure peut peser plusieurs gigaoctets, surtout si c’est de la haute définition ! Prévoyez un gros disque dur et/ou archivez vos vidéos sur des DVD de temps en temps !
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Épatez la galerie avec Front Row
7 / Vos vidéos et votre TV
Dans vos applications, vous trouverez Front Row : il s’agit d’une interface de lancement et de gestion de vos fichiers multimédias. Cela a l’air obscur mais c’est en réalité ultra simple : en ouvrant Front Row, vous transformez votre Mac en une sorte de juke-box multimédia, un peu comme l’Apple TV.
Front Row, une belle interface multimédia
Vous n’y gagnez rien si ce n’est une belle interface, compatible avec la petite télécommande blanche optionnelle .dernières bandes-annonces de films. Mais vous pouvez épater la galerie en lançant la lecture de vos DVD, photos, vidéos et musiques de cette manière !
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Vos sauvegardes automatiques
On ne répétera jamais assez combien il est important de faire des sauvegardes. N’accordez pas votre entière confiance à un ordinateur, même un Mac ! Les disques durs, en plus d’être fragiles, ont une durée de vie limitée. Que diriez-vous si le disque dur de votre Mac grillait, emportant avec lui vos 10 000 photos, votre bibliothèque musicale, vos documents importants, vos e-mails, bref, votre vie numérique ? Sachez que c’est beaucoup plus courant que vous ne le pensez.
Croyez-moi, l’investissement d’une centaine d’euros dans un disque dur externe n’est rien comparé à la perte potentielle de vos données. Mais il est vrai qu’il y a peu de temps encore sauvegarder ses données était relativement fastidieux : il fallait savoir précisément ce que l’on avait sauvegardé la dernière fois et ce qu’il fallait alors ajouter. Apple l’a bien compris et propose désormais un outil qui va changer votre vie : Time Machine. Il s’agit en quelque sorte d’un robot qui sauvegarde automatiquement votre Mac, sans que vous ayez à vous en soucier. Mon conseil : utilisez-le !
Mise en route de Time Machine Time Machine nécessite quelques préparations au départ pour pouvoir être complètement opérationnel et vous laisser l’esprit libre concernant vos sauvegardes. Il y a deux étapes importantes : le choix du disque et la configuration de Time Machine.
Choisissez votre disque dur externe Il faut tout d’abord bien cerner vos besoins en termes de sauvegardes. Qu’avez-vous besoin de sauvegarder ? Seulement vos photos, seulement vos vidéos, l’ensemble de vos documents, ou absolument tout le contenu de votre ordinateur ?
La capacité Dans tous les cas, prévoyez large. Si vous voulez sauvegarder vos photos par exemple, voyez la place qu’elles occupent sur votre disque en ouvrant votre dossier Utilisateur (celui qui porte généralement votre nom et qui affiche une maison) puis votre dossier Images et en faisant un clic droit sur iPhoto Library et en choisissant Lire les informations. Dans l’onglet Général, vous trouverez la taille totale de votre photothèque. Mon conseil est de doubler, tripler, voire quadrupler ce chiffre pour déterminer la capacité minimale dont vous aurez besoin pour votre disque dur externe. Pourquoi ? Parce que d’abord vous allez accumuler d’autres clichés dans les années à venir, et ensuite que la capacité réelle d’un disque dur est inférieure de 10 % à celle affichée sur sa boîte, enfin parce que Time Machine a besoin de beaucoup d’espace pour fonctionner de manière optimale. Pour le cas où vous voudriez sauvegarder la totalité de votre Mac, ne choisissez donc pas un disque dur externe d’une capacité égale à celle de votre disque interne, mais plutôt supérieure de 50 % voire du double.
L’interface et le format matériel Il existe plusieurs formats de disques, dont deux principaux pour le grand public : 2,5 pouces et 3,5 pouces. Le format 2,5 pouces est plus petit et regroupe donc les disques durs facilement
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transportables et très souvent autoalimentés (ils ne nécessitent pas de branchement électrique). Il est aussi plus fragile. Le format 3,5 pouces est plus grand, plus robuste et a besoin d’être alimenté en électricité. Il est aussi beaucoup moins cher. Je vous conseille plutôt le format 3,5 pouces, sauf si vous devez absolument transporter souvent ce disque (ce que je ne vous recommande pas !). Ensuite, il vous faut choisir une interface, autrement dit un type de prise : USB, FireWire 400 ou FireWire 800. Je vous conseille ces deux dernières pour laisser libres un maximum de ports USB, utilisés pour quasiment tous les autres périphériques. Mais encore une fois, c’est à vous de voir : si vous ne comptez pas utiliser de périphériques comme des imprimantes, des scanners ou autres, vous pouvez opter pour un disque au format USB, moins cher, mais aussi moins rapide.
Vous avez acheté un disque dur externe et l’avez branché à votre Mac ? Parfait. Ultime étape avant de vous plonger dans Time Machine : le formatage du disque. Allumez votre disque et attendez qu’il apparaisse sur le Bureau de votre Mac. Ouvrez le dossier Applications, le dossier Utilitaires, puis Utilitaire de disque. Sélectionnez le disque externe en question dans la colonne de gauche, puis cliquez sur l’onglet Partitionner. Sélectionnez 1 partition dans le menu déroulant, cliquez sur le bouton Options en bas, cochez Tableau de partition GUID, et validez. Sélectionnez Mas OS étendu (journalisé) dans le menu déroulant Format et cliquez enfin sur le bouton Appliquer en bas à droite. Confirmez en cliquant sur Partitionner.
Le formatage correct pour Time Machine
8 / Vos sauvegardes automatiques
Le formatage logiciel
Mac World
Les campements devant les Apple Stores À chaque ouverture d’un nouvel Apple Store dans le monde, c’est la même scène : des tentes et des sacs de couchage envahissent le trottoir d’en face. Il s’agit tout simplement de fans d’Apple qui campent devant le magasin en chantier pour être les premiers à y pénétrer ! Et c’est même le cas lors de la sortie de certains nouveaux produits, comme l’iPhone dernièrement. Le phénomène est plus particulièrement présent aux États-Unis, mais gageons que l’ouverture du premier Apple Store à Paris, prévue dans le carrousel du Louvre fin 2009, attirera son lot de fidèles quelques jours avant !
Configuration de Time Machine Une fois le disque branché, allumé et partitionné, il convient de configurer Time Machine.
1/ Un message vous demande si le Mac doit utiliser le disque dur externe pour sauvegarder avec Time Machine. Confirmez en cliquant sur Utiliser comme disque de sauvegarde. Les préférences de Time Machine se lancent et vous pouvez voir que le gros bouton, à gauche, est positionné sur Activé. Les préférences de Time Machine
2/ Cliquez sur le bouton Options à droite pour déterminer ce que Time Machine ne doit pas sauvegarder. Cliquez sur le bouton + pour ajouter un dossier à ne pas sauvegarder. Ne faites rien si vous souhaitez que Time Machine sauvegarde tout le contenu de votre Mac. Validez pour revenir à la fenêtre principale.
167 Deux dossiers à ne pas sauvegarder
l’état de Time Machine dans la barre des menus pour lancer des sauvegardes rapidement, depuis un menu. À l’aide du bouton Choisir un disque, vous pouvez vérifier que le disque sélectionné est bien celui que vous voulez utiliser pour vos sauvegardes, ou vous pouvez en désigner un nouveau. Quittez les Préférences Système.
4/ La première sauvegarde commencera toute seule, mais vous pouvez aussi la forcer à démarrer immédiatement en allant dans le menu de Time Machine (une flèche formant un cercle), en haut à droite, dans la barre de menus et en choisissant Sauvegarder maintenant. La première sauvegarde peut durer plus de dix heures. Ne l’interrompez pas. Les prochaines sauvegardes seront bien plus rapides.
Mac Malin
Vous pouvez faire démarrer la sauvegarde quand bon vous semble
Préserver au maximum votre disque dur externe Je vous conseille de le laisser éteint en permanence et de ne l’allumer que de temps en temps, une fois par semaine par exemple. Ainsi, Time Machine fera une sauvegarde hebdomadaire : vous la verrez progresser dans la barre de menus, en haut. Lorsque le logo ne tournera plus, la sauvegarde sera terminée. Vous pourrez alors éjecter le disque dur externe en glissant son icône verte depuis le Bureau vers la Corbeille, et éteindre votre disque… jusqu’à la prochaine sauvegarde !
8 / Vos sauvegardes automatiques
3/ Vous pouvez cocher la case Afficher
Le menu Time Machine
Récupération des sauvegardes Votre Mac a grillé ? On vous l’a volé ? Ou, tout simplement, vous changez de Mac ? Il est temps de récupérer ce que Time Machine a sauvegardé pendant des mois, voire des années.
ous voulez restaurer votre ancien Mac V sur un Mac flambant neuf Rien de plus simple. Lors du premier démarrage de votre nouveau Mac, celui-ci vous demandera si vous voulez importer les données de votre ancien Mac. Il vous faudra alors choisir Importer depuis une sauvegarde Time Machine et brancher le disque dur sur lequel vous avez sauvegardé votre ancien Mac. Vous aurez ainsi presque l’impression de ne pas avoir changé d’ordinateur !
ous voulez restaurer votre ancien Mac V sur un autre Mac, déjà utilisé Dans ce cas, il y a deux solutions : soit vous importez toutes vos données en écrasant simultanément celles qui sont déjà présentes dans votre nouveau Mac, soit vous créez une nouvelle session pour importer vos données en conservant celles qui sont sur le nouveau Mac.
Pour importer vos données en effaçant les éléments déjà présents Branchez votre disque dur externe à votre nouveau Mac et allumez-le. Mac OS vous demande si vous souhaitez utiliser ce disque pour sauvegarder avec Time Machine. Cliquez sur Annuler : vous ne voulez pas sauvegarder mais au contraire récupérer une sauvegarde. Cliquez ensuite sur l’icône de Time Machine dans le Dock. Il se peut qu’une boîte de dialogue vous informe qu’aucun emplacement de stockage n’a été défini. Cliquez alors sur le bouton Disque précédent. Sélectionnez votre disque dur externe dans la liste qui apparaît, puis cliquez sur le bouton Utiliser le disque sélectionné. De toute manière, l’interface de Time Machine apparaît alors, affichant la galaxie et une chronologie. Si votre disque dur offre suffisamment de place de stockage, vous pouvez remonter le temps et choisir une configuration datant de plusieurs semaines ou mois. Si vous voulez restaurer la sauvegarde la plus récente, revenez à l’écran Aujourd’hui et cliquez sur Restaurer, en bas à droite.
Pour importer vos données en conservant les éléments déjà présents Créez une nouvelle session sur votre nouveau Mac, en vous référant à la méthode décrite au chapitre Configurez et utilisez votre Mac. Démarrez sur cette nouvelle session. Suivez la procédure décrite ci-dessus. Vous vous retrouvez avec deux sessions, l’une correspondant à votre nouvel ordinateur, l’autre, à votre ancien !
8 / Vos sauvegardes automatiques
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Mac Malin
La galaxie Time Machine
Les sauvegardes en ligne Les plus prudents d’entre vous pourraient être tentés de doubler leur sauvegarde avec une solution en ligne… et ils auraient bien raison ! Sachez tout de même que l’opération est longue, relativement fastidieuse et souvent coûteuse. Je vous conseille de ne sauvegarder sur Internet que ce qui vous est vraiment précieux. Vous pouvez utiliser MobileMe (www.me.com), le service d’Apple, mais aussi bien d’autres services comme Steekr (www.steekr.com), Mozy (www.mozy.com), Box (www.box.net) ou encore LiveDrive (www.livedrive.com).
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Et si vous êtes nostalgique de Windows… Vous utilisez votre Mac depuis maintenant quelques mois, mais vous n’êtes toujours pas convaincu ? Vous avez besoin de travailler avec un logiciel qui malheureusement ne tourne que sur PC ? Votre fils veut installer les derniers jeux vidéo sortis ? Pas de panique ! Depuis quelques années, il est possible d’installer Windows sur un Mac. En fait, vous conserverez Mac OS X, mais vous aurez aussi accès à Windows. Tout cela est possible grâce aux processeurs Intel, utilisés désormais par Apple dans ses Mac. Ainsi, vous pouvez profiter du meilleur des deux mondes.
Achat de Windows et installation Il va d’abord falloir acheter une version de Windows. Eh oui, Windows est payant, même si vous ne vous en rendiez pas toujours compte lorsque vous achetiez un PC, puisque le système de Microsoft est systématiquement inclus dans les nouvelles machines (comme l’est le système d’Apple dans les Mac !). Ensuite, suivez la procédure d’installation :
1/ Ouvrez votre disque dur, puis votre dossier Applications, et Utilitaires. Lancez Assistant Boot Camp. Cliquez sur Imprimer le guide d’installation et de configuration pour vous référer à ce document en cas de souci.
L’Assistant Boot Camp
2/ Choisissez la fraction de votre disque dur qui sera dévolue à Windows et retenez-la. Cliquez ensuite sur Partitionner. 3/ Insérez le DVD d’installation de Windows, puis cliquez sur Démarrer l’installation. 4/ Le Mac redémarre sur le DVD de Windows. Vous devez choisir la partition sur laquelle vous désirez installer Windows, celle-là même que vous avez définie quelques minutes auparavant. Choisissez ensuite Formatage de la partition en NTFS.
173 Prévoyez suffisamment large pour faire tourner Windows correctement
insérez le DVD d’installation de Mac OS X pour mettre en place les pilotes nécessaires à une bonne utilisation de Windows sur le Mac.
Utilisation au quotidien 1/ Lorsque vous démarrez votre Mac, maintenez la touche z ([Alt]) enfoncée pour pouvoir choisir entre Windows et Mac OS X. 2/ Lorsque vous êtes sur Mac OS X et que vous voulez que le prochain démarrage s’effectue
sous Windows, ouvrez les Préférences Système, puis Démarrage, et choisissez Windows au lieu de Mac OS X qui est sélectionné par défaut. Quel système se lancera au prochain démarrage ?
9 / Et si vous êtes nostalgique …
5/ L’installation s’effectue et votre Mac redémarre en affichant Windows. Dernière opération :
Les alternatives : VMware et Parallels Il y a encore mieux que Boot Camp : VMware Fusion (www.vmware. com/fr/products/fusion) et Parallels Desktop (www.parallels.com/fr/ products/desktop) permettent d’utiliser Windows sans avoir à redémarrer, autrement dit, directement à l’intérieur de Mac OS X !
Jonglez entre les systèmes !
Si vous avez souvent besoin de passer de Mac à Windows et vice versa, de jongler avec des fichiers et des applications issus des deux univers, considérez donc l’achat de l’un de ces deux logiciels ! Sachez que vous pouvez également installer Linux sur votre Mac et ainsi avoir accès aux trois univers sur la même machine !
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Récupérez votre matériel PC D’une manière générale, vous ne devriez pas rencontrer de problèmes majeurs pour utiliser vos anciens périphériques PC sur votre Mac flambant neuf. En une dizaine d’années, le port USB s’est imposé en standard sur tous les ordinateurs, PC ou Mac. Les derniers soucis de compatibilité qui existent se trouvent donc au niveau logiciel, et notamment des pilotes.
Les imprimantes et les scanners La majorité des imprimantes et des scanners du marché fonctionneront dès que vous les brancherez à votre Mac, sans même installer de pilote. Lorsque vous branchez une imprimante pour la première fois, lancez l’impression d’un texte et choisissez Ajouter une imprimante dans le menu Imprimante. Une liste s’affiche, dans laquelle vous devez sélectionner la bonne imprimante et valider avec le bouton Ajouter.
Ajoutez une imprimante
Pour un scanner, après l’avoir branché, lancez le Transfert d’images, qui se trouve dans le dossier Applications, et effectuez une numérisation. Si vous rencontrez des problèmes avec ces méthodes très simples, installez les pilotes depuis le CD-Rom livré avec votre périphérique, si ceux-ci existent en version Mac. Parfois, il faut les télécharger sur le site du constructeur de l’appareil. Si vous ne trouvez pas les pilotes ni sur le CD-Rom ni sur le site du constructeur, allez sur le site www.touslesdrivers.com, qui recense une quantité impressionnante de pilotes. En dernier recours, si aucun pilote Mac n’existe pour votre imprimante ou votre scanner, vous avez la possibilité d’utiliser un pilote Linux (Mac OS X est plus ou moins dérivé de Linux). Allez sur Internet et faites une recherche sur le modèle et la marque de votre périphérique, et les
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mots-clés “ pilote mac ” et/ou “ linux ”. Vous trouverez certainement des méthodes pour pouvoir utiliser votre appareil sur votre Mac, grâce au pilote Linux !
Les micros et les enceintes
Le Mac, machine universelle Depuis qu’Apple intègre des processeurs Intel dans ses Mac, ces derniers sont capables de faire tourner Windows comme n’importe quel PC. Et comme ils supportent aussi très bien Linux, on peut dire qu’ils sont universels. En effet, le Mac est le seul ordinateur à pouvoir faire tourner les trois principaux systèmes d’exploitation informatiques. Les PC ne peuvent pas accueillir Mac OS X, sauf si vous bidouillez des heures pour un résultat médiocre. C’est pourquoi certains développeurs de logiciels optent pour des Mac, par souci d’économie !
Les moniteurs Si vous aviez investi dans un grand écran pour votre PC, vous pourriez être tenté de l’utiliser avec votre Mac. Sachez que c’est tout à fait possible. Il vous faudra simplement acheter le bon câble. Aujourd’hui, tous les Mac ont adopté le standard DVI. Si votre écran ne possède qu’une entrée VGA, ce n’est pas grave : il existe des câbles VGA vers DVI. Si vous avez le choix entre les deux formats, optez pour le DVI, plus récent et capable d’afficher de la haute définition. Si vous branchez un moniteur VGA, il vous faudra régler la résolution de l’affichage en allant dans Préférences Système puis dans Moniteurs et dans la colonne de gauche. Essayez plusieurs résolutions et conservez celle que vous trouvez la plus adaptée.
10 / Récupérez votre matériel PC
Mac World
Pour récupérer vos anciennes enceintes, rien de plus simple : les Mac possèdent tous une sortie son au format Jack. Pour les microphones, c’est différent : la prise n’est pas amplifiée et les sons enregistrés par les micros les plus simples seront quasiment inaudibles. Il vous faudra un amplificateur ou un micro amplifié.
Choisissez la résolution adaptée
Les claviers et les souris Vous pouvez bien sûr utiliser votre ancien clavier et votre souris sur votre Mac en les branchant tout simplement sur un port USB. Mais certains claviers spécifiquement conçus pour les PC possèdent des touches de fonction qui seront inactives sur Mac, à moins qu’il n’existe des pilotes Mac. Même chose pour les souris, dont les boutons seront affectés arbitrairement à des fonctions si vous n’installez pas de pilote. Mais vous pouvez très bien vous contenter des fonctions basiques d’une souris et d’un clavier.
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La RAM et les disques durs Vous pouvez récupérer la mémoire vive (RAM) de votre PC pour votre Mac, mais sachez que la plupart des emplacements mémoire des Mac sont petits. Ils correspondent donc aux barrettes de RAM pour PC portables (So-Dimm). Renseignez-vous bien sur le type de barrette que vous souhaitez récupérer, pour qu’il corresponde à celui de votre Mac. Si c’est bien le même type, vous pouvez réutiliser vos barrettes.
Les produits Mac friendly Parmi les très nombreuses marques de matériel informatique, seules quelques-unes ont une véritable dimension Mac et une histoire liée aux ordinateurs d’Apple. On peut citer Formac, Lacie et Macway pour les disques durs, Belkin et Griffin pour les petits accessoires pour iPod, Epson pour les imprimantes ou Macally pour divers accessoires. Cela ne veut pas dire que les autres marques ne sont pas valables !
10 / Récupérez votre matériel PC
Mac World
Pour les disques durs, c’est plus facile. Vous pouvez récupérer le disque dur interne d’un PC et acheter un boîtier vide, du même format, dans lequel vous le placerez et que vous brancherez à votre Mac, via le port USB ou autre. Ainsi, rien ne sera perdu !
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Choisissez vos accessoires indispensables Un ordinateur, même un Mac, ne se suffit pas à lui-même. Pour en tirer vraiment parti, vous devrez vous équiper de périphériques divers et variés : imprimante, scanner, clé USB, etc. Mais il existe un tel choix et de telles différences entre les marques, les modèles et les fonctions, qu’il convient d’étudier sérieusement les points importants des appareils que vous souhaitez acquérir.
Les imprimantes et les scanners Il faut d’abord bien cibler vos besoins. Avez-vous besoin d’imprimer des photos, des documents en couleur, en noir et blanc, simplement du texte ? Dans ce dernier cas, privilégiez une imprimante laser, très rapide et efficace pour imprimer de nombreuses pages de texte. Pour les photos, optez pour le jet d’encre. Il existe aussi des modèles tout-en-un, avec scanner et donc copieur intégrés. D’une manière générale, les critères à prendre en compte sont : La vitesse d’impression. Celle-ci est exprimée en pages par minute (ppm). Elle est plus élevée sur les imprimantes laser et pour l’impression de texte. Une vitesse de 16 pages par minute est un standard pour le texte noir et blanc aujourd’hui. Pour les scanners, il s’agit de la vitesse de numérisation. La capacité et le type du bac à feuilles. Il faut au moins 100 feuilles et les bacs “ cachés ”, c’està-dire placés en dessous de l’imprimante, sont les meilleurs. La possibilité de partager l’imprimante en réseau. Pour ceux qui possèdent plusieurs ordinateurs et qui souhaitent pouvoir lancer des impressions depuis l’un ou l’autre, il suffit de brancher l’imprimante sur votre routeur, avec un câble Ethernet. Mais encore faut-il qu’elle possède un port Ethernet ! Certaines sont même Wi-Fi désormais.
Les appareils photo Les appareils photo numériques se sont clairement démocratisés ces dernières années, mais aussi grandement améliorés. À présent, le nombre de pixels importe peu, mais de nombreux points sont primordiaux pour le choix d’un bon appareil. Il convient de regarder : La réactivité. C’est le point faible des appareils compacts, contrairement aux reflex. Mais certains compacts tirent leur épingle du jeu, avec une mise au point comprise entre une demiseconde et une seconde selon la luminosité et un démarrage autour d’une seconde. Les reflex, eux, ne connaissent aucun problème à ce niveau : il n’y a quasiment pas de délai entre la pression du déclencheur et la prise de la photo. Le zoom. Les compacts ont longtemps stagné à des zooms médiocres de 3X ou 4X, jusqu’à ce que Panasonic sorte une gamme de compacts dotés de zoom 10X. Depuis, les autres constructeurs s’y mettent et l’on a enfin droit à des zooms dignes de ce nom. Sur les reflex, vous achetez les objectifs que vous voulez, donc les zooms que vous voulez. La sensibilité. Au-delà de 400 ISO, le grain est très présent sur les photos prises avec des compacts moyens. Fuji maîtrise depuis plusieurs années les hautes sensibilités et ses appareils sont capables de prendre des clichés de nuit, en 800 et même 1 600 ISO, très corrects. Les reflex
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sont encore une fois meilleurs que les compacts sur les hautes sensibilités, mais ce n’est pas toujours le cas. À vérifier. Le mode manuel. Certains compacts sont “ débrayables ”, c’est-à-dire qu’ils autorisent l’utilisateur à régler lui-même les conditions de prise de vue : temps d’exposition, ouverture et autres. Cela peut être pratique pour certaines photos de nuit ou pour apprendre la photo à votre rythme. Les reflex, par définition, comportent tous un mode manuel. Le mode vidéo. Certains compacts (et même des reflex) offrent un mode vidéo assez avancé, allant même jusqu’à la vidéo HD (haute définition). La mise au point n’est pas toujours parfaite mais, en plein jour, le résultat peut être plutôt bon.
Les clés USB et les disques durs externes Pratiques pour sauvegarder ou transférer des données, les supports de stockage externes, comme les clés USB ou les disques durs externes, sont devenus quasiment indispensables. Ce que vous devez savoir :
* Concernant les disques durs externes, leur vitesse de transfert dépend aussi de leur liaison : USB, FireWire ou eSata.
Mac World
Les disques durs existent au format 2,5 et 3,5 pouces. Les premiers sont totalement portables et auto-alimentés et les seconds sont plutôt destinés à rester fixes.
Le Newton En 1993, Apple sort l'ancêtre de l'iPhone : le Newton. Il s'agit d'un assistant personnel, dans lequel il est possible d’entrer ses rendezvous et de prendre des notes, à l'aide de l'écran tactile à reconnaissance d'écriture ! Mais ce n'est pas un téléphone, et son prix est élevé. En outre, il arrive probablement trop tôt sur le marché. La gamme s’arrêtera en 1998.
11 / Choisissez vos accessoires…
Il existe plusieurs vitesses de lecture et d’écriture (de transfert) pour les clés USB. Choisissez la plus haute possible, au-delà de 25 Mo/seconde si possible. Ce sera appréciable pour vos transferts volumineux.
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Installez des sharewares et des freewares
Les Mac ont beau être livrés avec une dizaine de logiciels maison, puissants et ergonomiques, vous aurez quand même parfois besoin d’en installer d’autres, pour des besoins spécifiques. Dans ce cas-là, vous devrez trouver la perle rare : le logiciel peu cher, voire gratuit, efficace et simple à utiliser. La recherche n’est pas toujours des plus faciles et lorsque vous aurez trouvé, vous devrez peut-être faire des choix. Voici donc quelques conseils de bons petits logiciels utiles, classés par genre, avec éventuellement leur équivalent PC. D’autre part, vous trouverez sur le site www.versiontracker.com des milliers d’utilitaires pour Mac, classés par catégorie.
Images, photos et dessins Vous connaissez, au moins de nom, Photoshop et Illustrator. Mais savezvous réellement vous servir de ces logiciels plutôt destinés à un public de professionnels ? Comme la majorité des utilisateurs, vous n’utilisez que 10 % de leurs fonctions. Il ne s’agit pas pour autant de faire une croix sur une application capable de sublimer vos photos, de faire des montages ou encore de recadrer vos clichés. Il existe, en effet, sur Mac, de nombreux outils de retouche de photos, simples, légers et tout aussi efficaces.
Les freewares FreePhotoConverter (www.macfreeware.fr) : permet de convertir rapidement plusieurs photos en .jpeg et de réduire leur taille. Très pratique lorsque vous devez envoyer de nombreuses photos par courriel ou les transférer sur une clé USB.
Mac World
Blender (www.blender.org) : du modelage 3D gratuit ! Créez votre propre animation en relief.
Profitez des périodes d'essai N'hésitez pas à télécharger des sharewares, même si vous n'êtes pas sûr de les acheter : vous pourrez profiter des périodes d'essai, limitées à quelques jours ou quelques utilisations. Ainsi, vous serez à même de décider si le logiciel ou le jeu vous sera utile. Si vous n'en voulez plus, désinstallez-le correctement en faisant glisser le dossier entier dans la Corbeille ou en utilisant l'installateur et en choisissant Désinstaller, le cas échéant.
Les sharewares Pixelmator (www.pixelmator.com) : c’est un concurrent de Photoshop, bien moins cher et tout aussi efficace pour les opérations courantes de retouche. Totalement compatible avec iPhoto, Pixelmator gère aussi les calques, comme Photoshop. Son prix : 59 dollars. Graphic Converter (www.lemkesoft.com) : un autre concurrent du logiciel star d’Adobe, un peu moins ergonomique, mais présent sur Mac depuis de très nombreuses années. Son prix : 30 euros. * Plexoo (www.app4mac.com) : très pratique pour redimensionner des photos à la volée, pour qu’elles pèsent moins lourd par exemple. Son prix : 29 euros.
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Autopano Pro (www.autopano.net/fr) : comme Stitcher, Autopano Pro permet d’assembler vos photos pour en faire des vues panoramiques magnifiques. Il vous faudra pour cela avoir fait plusieurs photos se chevauchant d’un même panorama. Son prix : 120 euros.
Un panorama à partir de deux photos
12 / Installez des sharewares …
Pixelmator, le concurrent de Photoshop
Snapz Pro X (www.ambrosiasw.com) : l’outil le plus complet pour réaliser des captures d’écran, fixes ou animées, de n’importe quel format. Son prix : 69 dollars. Keyword Manager (www.bullstorm.se) : ce plug-in pour iPhoto est indispensable pour ceux qui souhaitent utiliser la fonctionnalité des mots-clés. Il permet d’ajouter le même mot-clé à plusieurs photos en même temps. Son prix : 19 euros. Pour plus d’infos, consultez le chapitre Vos photos avec iPhoto.
Internet Depuis une dizaine d’années, avec le développement fulgurant d’Internet, une myriade de petites applications ont fait leur apparition pour nous aider à naviguer, à accéder à nos services préférés ou à stocker nos données en ligne. Certaines vous paraîtront indispensables dès la première utilisation, d’autres plus obscures… jusqu’à ce que vous en ayez besoin !
Les freewares FileZilla (www.filezilla.fr) : un client FTP gratuit et simple à utiliser, pour mettre à jour votre site web ou envoyer de gros fichiers à vos amis.
FileZilla, sobre, mais efficace
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Vienna (Vienna-rss.sourceforge.net) : un lecteur de flux RSS très complet et agréable à utiliser, qui peut vous avertir dès qu’un nouvel article est publié, à la manière de Mail. Pour en savoir plus sur les flux RSS, consultez le chapitre Internet, courriels et Wi-Fi. Flock (www.flock.com) : un navigateur original, puisqu’il permet d’interagir directement avec les principaux réseaux sociaux, en plus de fournir une navigation de qualité, basée sur Firefox. Parfait pour les accros au nouveau Web. Twhirl (www.twhirl.org) : un client Twitter discret mais efficace, qui vous avertit à la réception d’un nouveau tweet et qui permet de raccourcir les liens que vous postez. Indispensable pour vraiment tirer parti de Twitter.
12 / Installez des sharewares …
Accédez à Twitter sans vous connecter au site
Cooliris (www.cooliris.com) : ce plug-in pour Safari ou Firefox vous permet littéralement de plonger d,ans les photos stockées sur le Web. En consultant la galerie de photos d’un ami ou d’un site spécifique, vous pourrez activer Cooliris et naviguer dans la galerie en 3D, à l’aide du clavier ou de la souris. Une belle expérience de navigation esthétique.
Chax (Ksuther.com/chax) : un bon plug-in pour iChat, qui ajoute des fonctions comme le regroupement des contacts de tous vos comptes en une seule fenêtre, l’activation automatique du mode “ indisponible ” lorsqu’un économiseur d’écran se met en route, ou encore les notifications de connexion et de changement de statut de vos contacts, sans qu’il soit nécessaire d’afficher la fenêtre (avec Growl).
Les préférences d’iChat avec Chax
Les sharewares Rapid Weaver (www.realmacsoftware.com) : une bonne solution pour créer facilement votre site web et le mettre en ligne. Idéal pour placer quelques pages d’informations personnelles sur la toile. Son prix : 79 dollars. * PowerSnipe (www.powersnipe.com) : pour les accros à eBay, cet utilitaire va placer une enchère sur l’objet qui vous intéresse, seulement quelques secondes avant que l’enchère expire. Ainsi, vous êtes presque sûr de remporter l’achat. Son prix : 45 dollars par an.
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Sauvegardes Comme vous l’avez vu, il est très important de sauvegarder vos données régulièrement. Reportez-vous à ce sujet au chapitre Vos sauvegardes automatiques. Cependant, Time Machine peut sembler limité pour certains utilisateurs, qui pourraient alors se tourner vers d’autres solutions, aussi diverses qu’adaptées à des besoins précis.
Les freewares Carbon Copy Cloner (www.bombich.com) : un bon logiciel pour faire un clone de votre Mac, à partir duquel vous pouvez même démarrer si vous le souhaitez.
12 / Installez des sharewares …
Dropbox (www.getdropbox.com) : pour synchroniser plusieurs Mac, sauvegarder votre système ou créer de belles galeries de photos, Dropbox est le logiciel tout indiqué.
Dropbox
CrashPlan Pro : son nom est explicite… Il s’agit de vous préparer à un éventuel crash de votre disque dur, en organisant des sauvegardes, accessibles depuis un PC, un Mac ou un ordinateur sous Linux.
Les sharewares SuperDuper (shirt-pocket.com) : permet de faire des sauvegardes compressées du système et de les mettre à jour directement, sans avoir à tout sauvegarder à nouveau. Son prix : 21 euros. Mozy (www.mozy.com) : sauvegardez vos données sur Internet de manière illimitée, très simplement, depuis un menu qui vient s’ajouter au système du Mac. Son prix : 5 dollars par mois.
Personnalisation du Mac Même si leur utilisation n’est pas vraiment recommandée pour cause de ralentissements éventuels du Mac, vous pourriez être tenté d’aller plus loin dans la customisation de votre Mac en optant pour des applications de personnalisation graphique. Il existe pour cela plusieurs solutions, généralistes ou très spécifiques. En voici quelques-unes…
Les freewares Magnifique (www.magnifiqueapp.com) : ce logiciel gratuit peut changer le thème graphique de votre Mac et en afficher un inédit, que vous aurez téléchargé sur le site de Magnifique ou ailleurs. LiteIcon (www.freemacsoft.net/LiteIcon) : vous pouvez changer les icônes officielles de votre Mac avec ce petit utilitaire gratuit.
Les sharewares Candybar (www.panic.com/candybar) : un logiciel puissant, capable de modifier l’apparence du Dock et des icônes du système par simple glisser-déposer. Son prix : 29 dollars.
Candybar en action
Jeux Le Mac a longtemps été le parent pauvre du jeu vidéo. C’est aujourd’hui moins vrai, d’abord grâce à la possibilité d’installer Windows sur son Mac, ensuite parce que les éditeurs de jeux adaptent plus souvent leurs titres phares sur Mac. Mais sachez qu’il y a également des milliers de petits jeux sans prétention, mais très ludiques et très bien faits, à télécharger sur le Web, gratuits ou vendus quelques euros. En voici quelques-uns qui pourraient vous plaire…
Les freewares TicTacToe : un simple jeu de morpion, toujours efficace.
12 / Installez des sharewares …
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MacBombs : vous le connaissez déjà sous le nom de Démineur ; il est livré avec Windows. Vous pouvez ici influer sur le nombre de bombes et la taille du plateau de jeu.
Les sharewares Chocolatier (www.playfirst.com) : une simulation originale puisqu’il s’agit de se mettre dans la peau d’un chocolatier et ainsi de parcourir le monde à la recherche des meilleures recettes et ingrédients et de bâtir votre empire industriel au fil des années. Un jeu très prenant, à l’univers coloré et plaisant. Son prix : 20 dollars.
Bâtissez votre empire dans le chocolat
Diner Dash (www.playfirst.com) : vous ouvrez votre restaurant et devez faire face aux hordes de clients. Accueillez-les, placez-les, prenez leur commande, servez-les et débarrassez… en un temps record ! Son prix : 20 dollars.
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* Youda Sushi Chef (www.playfirst.com) : le même principe que Diner Dash, mais en version Sushi Bar. Composez les sushis et servez-les sur le tapis roulant. Puis, vous pourrez acheter un meilleur matériel et même faire des livraisons à domicile. Son prix : 20 dollars.
Repoussez les orcs
* Big Bang Board Games (www.freeverse.com) : un ensemble de sept jeux connus de tous (échecs, morpion, reversi…), jouables tout seul ou à plusieurs via Internet. Détails graphiques soignés. Son prix : 25 dollars.
12 / Installez des sharewares …
Hordes of Orcs (www.freeverse.com) : le principe est simple… Il s’agit d’empêcher les orcs d’atteindre votre village. Pour ce faire, vous pouvez construire des tourelles défensives, avec chacune sa spécialité : flèches, feu, glace, etc. Certains orcs sont très résistants, d’autres plus faibles, d’autres encore sont immunisés contre certaines attaques. Son prix : 25 dollars.
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Dépannez votre Mac
Bien que les problèmes soient beaucoup moins fréquents sur Mac que sur PC, il peut vous arriver de faire une mauvaise manipulation. Dans ce cas, ne tentez rien sans savoir précisément ce que vous faites. Mais sachez que presque rien n’est irréparable et que vous pourrez même peut-être résoudre le problème tout seul… après l’avoir correctement déterminé bien sûr ! N’oubliez pas de faire régulièrement les mises à jour du système, lorsque celui-ci vous avertit de leur nécessité. La fréquence de ces mises à jour peut être réglée dans les Préférences Système.
Des ralentissements surviennent Si vous trouvez que votre Mac ralentit quelque peu, met du temps à effectuer une tâche toute simple ou se bloque quelques secondes sans raison, vous pouvez essayer d’y remédier en commençant par vérifier l’encombrement de votre disque dur. Celui-ci doit disposer de plus de 15 % de son espace total de libre. Si ce n’est pas le cas, supprimez des fichiers inutiles et videz la Corbeille, puis redémarrez. Supprimez aussi les applications dont vous ne vous servez pas. Si vous ne constatez pas d’amélioration significative, vous pouvez ajouter de la mémoire vive (RAM). Il vous faut acheter le type de RAM qui correspond précisément à votre modèle de Mac. Pour les portables et les iMac, il s’agit de So-Dimm, autrement dit de petites barrettes. Mais pour le reste, renseignez-vous en magasin ou sur Internet pour ne pas vous tromper. Vous aurez besoin de la date d’achat de votre Mac et, bien sûr, de son modèle. Sachez que vous ne pouvez pas ajouter de RAM à un MacBook Air. Pour les MacBook et MacBook Pro, l’ajout de barrettes de RAM est relativement facile… Retournez votre portable et, au choix : Si vous avez acheté votre Mac avant juin 2009, la batterie est amovible. Retirez-la puis repérez deux languettes à actionner pour extraire les barrettes de mémoire RAM. Introduisez les nouvelles barrettes à la place, remettez les languettes en place ainsi que la batterie. Si vous avez acheté votre Mac après juin 2009, la batterie est inamovible. Il vous faut donc dévisser les dix petites vis qui entourent votre Mac portable lorsqu’il est retourné. Ensuite, retirez la plaque métallique et vous apercevrez immédiatement les barrettes de mémoire, au centre de la machine. Extrayez-les délicatement et remplacez-les. Pour les iMac, l’opération est encore plus facile : il vous suffit de poser l’ordinateur à l’horizontale et de dévisser la petite grille en aluminium, en dessous de l’écran, à l’aide d’un très petit tournevis. Ensuite, insérez la barrette de RAM à côté de celle déjà en place ou remplacez-la. Revissez la petite grille et rebranchez votre iMac. Pour vous assurer que votre manipulation a bien été prise en compte, démarrez votre Mac, déroulez le menu a et choisissez À propos de ce Mac. La procédure complète, avec les schémas, figure dans le mode d’emploi livré avec votre Mac. Si vous l’avez perdu, il est accessible en ligne, sur le site d’Apple, à la rubrique Support.
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Des fichiers ont été effacés par mégarde Il arrive parfois que l’on supprime malencontreusement un fichier important. Rassurez-vous, tout n’est pas perdu, même si vous avez vidé la Corbeille. Le fichier ne disparaîtra pas réellement tant que vous n’aurez pas installé quelque chose à sa place. Premier réflexe, donc : ne rien faire ! N’installez rien, ne supprimez rien. Procurez-vous un logiciel de récupération de données, comme Data Rescue, FileSalvage, FileRecovery Pro, etc. Si l’opération est infructueuse, vous avez la possibilité de faire appel à une entreprise spécialisée, capable de récupérer à peu près tout. Préférez une boutique ayant pignon sur rue, qui vous fera un devis avant toute intervention. Et pensez à faire des sauvegardes la prochaine fois !
Le système est endommagé
Le courriel ne part pas Un message d’erreur évoquant un problème de port s’affiche lorsque vous tentez d’envoyer du courriel ? Le bouton Envoyer est grisé ? Essayez la méthode suivante :
1/ Ouvrez Mail. 2/ Choisissez Préférences dans le menu Mail. 3/ Cliquez sur l’onglet Comptes dans la fenêtre des préférences. 4/ Sélectionnez votre compte à gauche de la fenêtre si vous disposez de plusieurs comptes. 5/ Cliquez sur l’onglet Informations du compte. 6/ Assurez-vous que l’item Aucune n’est pas sélectionné dans le menu local Serveur d’envoi (SMTP). Si c’est le cas, sélectionnez votre serveur.
13 / Dépannez votre Mac
Si votre Mac ne démarre plus ou réagit de manière inhabituelle, rendant impossibles certaines actions, vous avez peut-être un problème de système. Essayez de démarrer depuis le DVD d’installation fourni par Apple, en l’insérant dans le lecteur puis en redémarrant avec la touche [C] enfoncée. Le Mac devrait démarrer correctement. Si c’est le cas, essayez ensuite de réinstaller le système en ayant pris soin de sauvegarder vos données importantes sur un disque externe. Sinon, le problème est plus grave et vous devrez faire appel à un centre de dépannage agréé.
Sélectionnez le bon serveur d’envoi.
Si le courriel ne parvient toujours pas à être envoyé, essayez cette deuxième méthode :
1/ Dans le menu déroulant Serveur d’envoi (SMTP), sélectionnez Modifier la liste des serveurs. 2/ Sélectionnez le serveur SMTP correspondant à votre fournisseur de messagerie. Si aucun serveur ne correspond, cliquez sur le bouton + et ajoutez-en un en opérant les réglages indiqués par votre fournisseur d’accès à Internet. 3/ Cliquez sur l’onglet Avancé. 4/ Vérifiez que les réglages de port, d’authentification, de nom d’utilisateur et de mot de passe correspondent également aux informations fournies par votre fournisseur d’accès à Internet. Dans le cas contraire, remplacez-les par les informations correctes.
201 Vérifiez les informations
5/ Cliquez sur OK. 7/ Fermez la fenêtre des préférences et enregistrez.
Le DVD ne s’éjecte pas Vous rencontrez un problème avec un CD ou un DVD qui refuse de s’éjecter ? Voici ce que vous pouvez faire :
1/ Mettez l’ordinateur en mode veille. 2/ Appuyez sur la touche d’éjection de disque dans l’angle supérieur droit du clavier. 3/ Si cela ne fonctionne pas, faites glisser l’icône du disque vers la Corbeille. 4/ Si cela ne fonctionne toujours pas, redémarrez l’ordinateur, puis maintenez le bouton de la souris enfoncé.
13 / Dépannez votre Mac
6/ Vérifiez que le serveur SMTP est toujours sélectionné dans le menu Serveur d’envoi.
Mac World
La Pippin En 1996, Apple sort la Pippin, une console de jeux construite en collaboration avec Bandai. Vendue 600 dollars et peu fournie en jeux face à la concurrente Playstation, c'est un échec commercial. L'idée de départ est en fait de vendre un produit hybride, un mini-ordinateur de salon, pour jouer certes, mais aussi se connecter à Internet, une pratique qui commence à se développer chez les particuliers. La production sera rapidement arrêtée.
Un écran bleu apparaît et le Mac ne démarre pas Si, après une mise à niveau du système Mac OS X, votre Mac redémarre sur un écran bleu fixe et ne va pas plus loin, il s’agit d’un problème relatif à un changement d’apparence de votre ordinateur. Vous avez certainement utilisé un logiciel de customisation graphique pour modifier vos icônes, vos menus ou votre Dock et un conflit a eu lieu lors de l’installation du nouveau système. Lisez à ce sujet le chapitre Installez des sharewares et des freewares. Pour résoudre le problème, vous avez trois options…
Utilisez un autre Mac pour supprimer le logiciel de customisation Si vous possédez un deuxième Mac avec un port FireWire et un câble FireWire pouvant être connecté aux deux ordinateurs, mettez en œuvre la solution suivante :
1/ En maintenant la touche T enfoncée, démarrez votre Mac en panne, en mode Disque cible, et connectez-le au deuxième ordinateur. Les volumes du disque dur de l’ordinateur affecté devraient s’afficher sur le Bureau du deuxième ordinateur. 2/ Ouvrez le volume du disque monté du deuxième ordinateur, puis ouvrez les dossiers Système, Bibliothèque et finalement Configuration système. 3/ Recherchez le fichier ApplicationEnhancer.bundle et déplacez-le vers la Corbeille. 4/ Si vous y êtes invité, entrez le nom et le mot de passe du compte administrateur. 5/ Débranchez le câble FireWire. 6/ Éteignez l’ordinateur qui posait problème et redémarrez-le normalement.
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Si le problème persiste ou si vous n’avez pas pu trouver le fichier ApplicationEnhancer.bundle sur le volume Leopard, passez à la deuxième option.
Réinstallez Leopard Si vous n’arrivez pas à résoudre le problème en appliquant la procédure précédente, vous devrez peut-être effectuer une installation de type Archiver et installer de Leopard. Archiver et installer déplace les fichiers système Mac OS X existants vers un dossier nommé Système précédent, puis installe une nouvelle copie de Mac OS X sur le volume sélectionné. Les applications intégrées à Mac OS X, telles que le Carnet d’adresses et Safari, sont archivées et les nouvelles versions sont installées dans le dossier Applications. Une installation de ce type peut nécessiter la réinstallation des applications, modules externes et autres logiciels. Vous pouvez cocher Conserver les utilisateurs et les réglages de réseau au démarrage de l’installation.
Utilisez la ligne de commande pour supprimer le logiciel de customisation Optez pour cette solution si vous connaissez bien Terminal et que des logiciels de customisation sont installés sur votre système. Vous pouvez supprimer ces logiciels en procédant comme suit :
2/ Exécutez les commandes suivantes, en les saisissant chacune sur une seule ligne et en appuyant sur [Entrée] à chaque fin de ligne :
Mac Célère
/sbin/fsck -fy /sbin/mount -uw / rm -rf /System/Library/SystemConfiguration/ApplicationEnhancer.bundle reboot Pour débloquer une situation Si un logiciel met plus de temps que d’habitude à effectuer une tâche simple, essayez de passer à un autre logiciel avec la combinaison de touches X + [Tab]. Si, en revenant au logiciel de départ, celui-ci est toujours bloqué, forcez à quitter avec X + z + [Esc]. Pour fermer une fenêtre, utilisez X + [W], et recourez à X + [W] + z pour fermer toutes celles qui sont ouvertes dans l'application en cours..
13 / Dépannez votre Mac
1/ Démarrez en mode Utilisateur unique en maintenant les touches X + [S] enfoncées après le redémarrage de l’ordinateur. Le mode Utilisateur unique utilise toujours la disposition du clavier américain.
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Quel Mac pour quelle utilisation ?
La gamme Apple compte six modèles de Mac, chacun décliné en plusieurs versions plus ou moins puissantes. Les prix s’échelonnent de 600 à plus de 3 000 euros et chaque Mac est spécifiquement conçu pour un type d’utilisateur. Vous pouvez bien entendu acheter celui que vous voulez, mais sachez qu’il ne vous servira à rien d’acheter le modèle le plus cher en pensant acquérir le meilleur matériel. Il vaut mieux identifier vos besoins et acheter en conséquence.
iMac, l’ordinateur familial par excellence L’iMac existe depuis 1998 et il a considérablement évolué. Son écran a presque quadruplé de taille et la profondeur de l’engin a été divisée par 10 ! Le concept est toujours le même : un ordinateur monobloc, facile à brancher, à utiliser et prêt pour Internet et toutes les nouvelles activités numériques (photo, vidéo, audio…). L’avantage, par rapport à un PC, c’est aussi le gain de place : pas d’unité centrale séparée à cacher sous un bureau, tout est derrière l’écran ! C’est donc idéal pour une petite chambre ou un bureau et pour une utilisation quotidienne courante et diverse. Assez puissant pour faire tourner les jeux les plus récents et faire du montage vidéo, l’iMac représente un excellent rapport qualité/prix, à partir de 1 099 euros.
L’iMac
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MacBook, le portable courant
Le MacBook
14 / Quel Mac pour quelle utilisation
Si vous voulez vous initier au Mac ou que vos besoins informatiques se limitent à un peu de navigation web, du traitement de texte et le visionnage de vos photos de vacances, le MacBook est parfait pour vous, au cas où vous souhaiteriez un portable. Compact et néanmoins complet, il offre un écran de 13,3 pouces et une autonomie record de 7 heures ! Idéal pour vos premiers pas dans l’univers Mac, avant de craquer pour un iMac par exemple !
MacBook Pro, la puissance portative Le MacBook Pro est à la fois puissant et portable : il conviendra parfaitement à un amateur de jeux vidéo puissants, désireux d’emmener son Mac avec lui en vacances par exemple, ou à la fac. En effet, à partir du modèle de milieu de gamme, doté d’un écran de 15 pouces, le MacBook Pro est équipé d’une bonne carte graphique, qui lui permet de faire tourner des logiciels et des jeux gourmands. Le MacBook Pro 17 pouces, lui, peut tout à fait être utilisé comme un ordinateur principal et transporté de temps en temps.
Le MacBook Pro
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MacBook Air, le nomade de luxe
Le MacBook Air
14 / Quel Mac pour quelle utilisation
Le MacBook Air n’est pas un ordinateur principal. Mais c’est le Mac idéal à emmener en voyage : il pèse seulement 1,3 kg et mesure moins de 2 centimètres d’épaisseur. Il permet de surfer sur le Web en Wi-Fi n’importe où et d’avoir en permanence accès à une machine qui reste confortable, avec son écran de 13,3 pouces. Parfait compagnon d’un iMac 24 pouces qui restera à la maison, le MacBook Air représente l’ordinateur du futur : pas de lecteur de DVD, peu d’espace de stockage, très nomade, il est résolument hors norme. C’est un Mac pour les hommes d’affaires et les voyageurs exigeants.
Mac Pro, la puissance maximum C’est l’un des ordinateurs les plus puissants du marché. Le Mac Pro est clairement destiné aux professionnels du graphisme, de la vidéo ou du son. Relié à un grand écran 30 pouces, c’est le Mac rêvé des plus créatifs, ceux qui utilisent les applications les plus gourmandes en ressources. C’est aussi le plus cher de la gamme, avec un prix d’entrée de 2 300 euros sans écran.
Le Mac Pro
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Mac mini, pour les budgets serrés
Le Mac mini
14 / Quel Mac pour quelle utilisation
Si vous possédez déjà un grand écran plat qui était branché sur votre PC et que vous ne vouliez pas investir une fortune dans un Mac, le Mac mini est peut-être la machine faite pour vous. Elle affiche des performances modestes, mais tout à fait suffisantes pour une utilisation courante. Et vous pouvez empiler des disques durs additionnels sur ce petit pavé si vous avez besoin de stockage supplémentaire. Vous pouvez aussi réutiliser votre clavier et votre souris, le temps de vous décider pour un Mac tout-en-un.
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Extinctions et débogage Peu d’utilisateurs savent qu’il y a plusieurs manières d’arrêter leur ordinateur après chaque utilisation quotidienne. Et lorsqu’ils le savent, ils ne connaissent pas toujours les différences qui existent entre les options de fermeture. Faisons le point.
Une extinction plus logique Contrairement à Windows, le Mac ne s’éteint pas via un menu appelé Démarrer. Il s’éteint via le menu a, puis la commande Éteindre. Originalité : une boîte de dialogue apparaît alors, vous demandant de confirmer. Si vous ne faites rien pendant une minute, le Mac s’éteindra effectivement, ceci pour éviter toute mauvaise manipulation. En cas de fausse manip, vous pouvez rectifier le tir
Sur les Mac portables, vous pouvez aussi afficher une variante de cette boîte de dialogue (sans le compte à rebours) en appuyant sur le bouton physique d’allumage/extinction, en haut à droite du clavier.
Une mise en veille bien pratique Au lieu d’éteindre votre Mac, vous pouvez le mettre en veille, également via le menu a, puis la commande Suspendre l’activité. Sur les portables, vous avez deux possibilités supplémentaires de mise en veille : vous pouvez replier l’écran alors même que votre portable est allumé, ou appuyer sur le bouton physique d’allumage/extinction et choisir Suspendre. Pour réactiver votre Mac après une suspension d’activité, appuyez sur n’importe quelle touche de votre clavier ou sur le bouton physique d’allumage/extinction. Voyez comme le démarrage est bien plus rapide ! Vous pouvez utiliser la mise en veille la plupart du temps, mais pensez à éteindre complètement votre Mac de temps en temps (toutes les cinq à dix utilisations) pour lui permettre de « souffler » un peu. Vous y gagnerez en réactivité.
La fermeture de session Cette fonction peut vous être très utile si vous avez créé plusieurs comptes sur votre Mac et que vous voulez en fermer un pour passer à l’autre, sans éteindre votre ordinateur.
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Allez dans le menu a et choisissez Fermer la session XX. Validez. Votre session se ferme et le Mac affiche la page de sélection de session.
Basculez sur une autre session sans fermer la première
Pour vous sortir d’un mauvais pas Si votre Mac se bloque, s’il ne répond plus ou s’il « mouline » (avec une roue colorée à la place de votre curseur) sans s’arrêter pendant plusieurs minutes, essayez la combinaison de touches X + z+ [Esc]. Choisissez dans la liste qui apparaît l’application qui pose problème et cliquez sur Forcer à quitter. L’astuce fonctionne dans de nombreux cas.
15 / Extinctions et débogage
Il y a une méthode encore plus rapide pour passer d’un utilisateur à l’autre, avec en plus un bel effet visuel ! Commencez par vous rendre dans les Préférences Système, puis dans Comptes, Options. Déverrouillez ces options grâce au cadenas en bas et cochez Activer la permutation rapide d’utilisateur. Fermez la fenêtre. Dès lors, à tout moment, cliquez sur le menu qui porte le nom de votre session, en haut à droite de l’écran, puis choisissez la session que vous voulez lancer dans le menu. Un cube géant se tourne et vous affiche la bonne « face ».
Mac Malin
Une astuce bien pratique pour débloquer les situations
Le redémarrage Parfois, la combinaison de touches ci-dessus ne fonctionne pas et le Mac semble clairement bloqué. Et parfois, le Mac n’est pas bloqué, mais impossible pour vous d’accomplir une tâche pourtant banale ! Ce sont les joies de l’informatique ! Essayez de redémarrer le Mac via le menu a puis la commande Redémarrer. En général, tout rentre dans l’ordre au démarrage suivant.
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Les dix dernières questions que vous vous posez À présent, vous êtes un pro du Mac. L’engin n’a plus de secrets pour vous… ou presque. Car vous vous posez peutêtre des questions d’ordre plus général sur votre ordinateur, auxquelles il est souvent difficile de trouver une réponse.
Qu’en est-il de la garantie Apple ? La garantie standard d’Apple pour les Mac dure 1 an et englobe toutes les anomalies matérielles. Vous avez également droit à une assistance téléphonique gratuite pendant 90 jours. Vous pouvez étendre ces deux services à 3 ans en souscrivant à AppleCare Protection Plan pour 179 euros.
Où trouver de l’aide relative au Mac ? Vous pouvez vous connecter au site officiel d’Apple (www.apple.com/fr) et cliquer sur la rubrique Assistance. Vous trouverez des vidéos explicatives, des modes d’emploi textuels, des solutions de dépannage, etc. Si vous préférez les contacts humains, vous pouvez vous rendre dans un Apple Store qui abrite un Genius Bar, et poser vos questions aux experts Apple disponibles. Les premiers Apple Store français ouvriront fin 2009 à Paris et Montpellier, mais il y en a déjà des centaines d’autres dans le monde.
Où acheter un Mac moins cher ? Vous trouverez les Mac au même prix chez tous les revendeurs. Cependant, il existe deux manières d’acheter un Mac avec une bonne réduction. D’abord le Refurb, une rubrique du site de vente d’Apple, accessible en bas à droite de la page du Store. Il s’agit de Mac défectueux à la base, qui ont été renvoyés à Apple par les consommateurs, réparés et remis en vente, avec des réductions de 5 % à 40 % ! C’est un véritable bon plan et ces Mac bénéficient de la même garantie que les autres. Ensuite, il existe des réductions et des offres spéciales pour les étudiants et les professeurs. Allez dans le Store d’Apple et cliquez sur Apple Store Education dans l’angle supérieur gauche de la page, pour y accéder.
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De bonnes réductions sur les Mac dans le Refurb
Vous pouvez tout à fait profiter d’un taux de change favorable et de la détaxe, lors d’un voyage à l’étranger, pour acheter un Mac. Mais attention, vous devrez régler la TVA une fois rentré en France, en déclarant votre achat à la douane. Et n’oubliez pas que les claviers étrangers sont différents des claviers français : Qwerty aux États-Unis – au lieu de Azerty –, pas d’accents… En revanche, du côté du système, pas de crainte : tous les Mac du monde sont livrés avec le même Mac OS X, en version multilangue.
16 / Les dix dernières questions…
Puis-je acheter mon Mac à l’étranger ?
Comment nettoyer mon Mac ? Pour nettoyer l’écran de votre Mac, utilisez un morceau de papier essuie-tout imbibé de produit pour vitres. Pour le clavier, débranchez-le et passez une éponge propre ou un chiffon humide sur les touches. La petite molette de la souris d’Apple, la Mighty Mouse, a tendance à s’encrasser au bout de quelques mois, ce qui la rend inopérante. Pour y remédier, appuyez sur la molette, maintenez-la enfoncée et faites-la rouler énergiquement de haut en bas plusieurs fois. Cela devrait la rendre fonctionnelle à nouveau.
Dois-je éteindre mon Mac après chaque utilisation ? Non ! Allumez-le lorsque vous en avez besoin, le matin par exemple, et laissez-le allumé jusqu’à la prochaine utilisation. Entre-temps, l’économiseur d’écran se lancera. Si vous préférez, mettez-le en veille. Il redémarrera très vite. La nuit, éteignez-le.
Que faire de mon vieux Mac quand j’en change ? Comme les Mac fonctionnent généralement bien, même plusieurs années après leur achat, il existe un vrai marché de l’occasion. Vous pouvez donc le revendre facilement sur les sites web spécialisés. Ne vous attendez pas à le vendre une fortune non plus : comme les voitures, la décote est rapide et importante. Mais cela vous fera un pécule pour l’achat de votre nouveau Mac !
Puis-je synchroniser mon BlackBerry ou un autre Smartphone avec un Mac ? Oui. Il existe de nombreux pilotes et utilitaires de synchronisation pour ce genre d’appareils : vous n’êtes pas obligé d’acheter un iPhone pour avoir un outil compatible avec votre Mac. Visitez le site www.markspace .com/fr et vous trouverez certainement de quoi synchroniser votre mobile avec votre Mac.
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Suis-je vraiment à l’abri des virus ? Oui ! Les antivirus ne servent à rien sur Mac : il n’y a pas de virus pour l’instant. Vous pouvez en revanche acquérir un logiciel de contrôle parental pour vos enfants si vous le souhaitez.
Puis-je réutiliser mon vieux PC ?
Apple et Google, les frères ennemis Eric Schmidt, le P.D.G. de Google depuis 2001, entre en 2006 au conseil d’administration d’Apple. Mais il le quitte à l’été 2009 à cause du risque de conflit d’intérêts. En effet, Google a pour projet de développer son système d’exploitation pour téléphones portables, Android, son navigateur Chrome et surtout son système d’exploitation pour ordinateurs, Chrome OS. La guerre risque bien de faire rage entre les deux entreprises californiennes ces prochaines années, car toutes deux ont compris l’importance de l’ergonomie et de la stabilité des logiciels.
16 / Les dix dernières questions…
Mac World
Oui, bien sûr, essayez. Je ne vous donne pas deux jours pour revenir au Mac ! ;-)
A AIM, 74 Airport, 15, 49 Alias, 12 Appareil photo, 182 Apple Store, 121
B BlackBerry, 220 Boot Camp, 172 Box, 48 Bureau, 10, 22
C Calendrier, 132 • Windows, 131 CD audio, 87 Chat, 73 Clavardage, 73 Clavier, 178 Clé USB, 53, 69, 86, 98, 128, 131 Clé USB, 183 Clic droit, 28 Clones, 39 Comptes, 31 Contacts Windows, 128 Corbeille, 12 Cover Flow, 39, 87 CPL, 49
D Dépannage, 197 Disque dur, 16, 163, 183 • Externe, 69, 86, 98 Dock, 11, 25 DRM Windows, 154
E Économiseur d’énergie, 30
Écran bleu, 202 Effets, 112 Enceintes, 177 Ethernet, 48 Eudora, 68
K
Exposé, 29
Liste de lecture, 89
F Facebook, 119 Fat32, 53, 69, 86, 98, 128 Favoris, 52 Firefox, 51, 58 FireWire, 165 Flickr, 119 Flip4Mac, 155 Flux RSS, 56, 62, 65 Formater, 53 Freeware, 185 FTP, 188
G Garantie, 218 Google, 59 • Talk, 73 GUID, 165
Keyword Manager, 104
L Livres de photos, 115 Luminosité, 39
M MacBook, 207 • Air, 209 • Pro, 208 Mac • Mini, 211 • Pro, 210 Menu Pomme, 13 Micro, 177 Mighty Mouse, 28 MobileMe, 55, 74, 97, 119, 130, 133, 169 Moniteur, 177 Monobloc, 100
N Nettoyage, 220
I
NTFS, 172
iCal, 71 iChat, 73 iMac, 51, 206 Imprimante, 176, 182 Internet, 47, 188 Internet Explorer, 52 iPhone, 130
O
iTunes Store, 154
Office, 134 Options de présentation, 38 Outlook, 68
P Partitionner, 165
J
Perian, 155
Jabber, 74
Photo, 95, 186
Jeu, 193
Photoshop, 120
Personnalisation, 192
Podcasts, 94 Pop-ups, 57 Portable, 207 Poste de travail, 11, 16 Préférences Système, 22
Q QuickTime, 154
R Raccourci, 12 RAM, 179, 198 Remplissage automatique, 56
S Safari, 54, 58 Sauvegarde, 191 Scanner, 176, 182
Session, 31 Shareware, 185 Signets, 52, 55 Souris, 28, 178 Spaces, 34 Spam, 71 Spartacus, 155
V Virus, 19, 221 Visioconférences, 76 VLC, 155 Volume sonore, 39
Spotlight, 15, 89
W
Stacks, 26
Webcam, 76
Suite Office, 134
Wep, 49
Synchronisation, 92
Widgets, 37 Wifi, 15, 49
T Téléchargement légal, 89 Télécommande, 118 Thunderbird, 68
Windows, 11, 13 Windows Media Player, 85 Wpa, 49
Tuner TNT, 160
Y
Twitter, 189
Yeux rouges, 110