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Théories des organisations
Théorie des parties prenantes
Sommaire
Introduction ........................................................................................................... 1 Contexte de la théorie des coûts de transactions ................................................... 2 Définition............................................................................................................... 3 Auteurs .................................................................................................................. 4 Apports .................................................................................................................. 4 Limites ................................................................................................................... 6 Application ............................................................................................................ 7 Conclusion ............................................................................................................. 8 Bibliographie ......................................................................................................... 9
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Théorie des parties prenantes
Introduction Durant ces vingt dernières années, la théorie des parties prenantes a couvert un large domaine des études en management. Elle est parmi les concepts les plus populaires du domaine de l’éthique des affaires. La notion de "parties prenantes", popularisée par Edward Freeman en 1984, est aujourd’hui largement utilisée au sein des cercles académiques et politiques ainsi que dans le milieu des affaires et qui s’intéresse essentiellement à la satisfaction des besoins, des intérêts des groupes et individus qui participent à la vie de l’entreprise et à ceux qui composent son environnement. L’entreprise est représentée comme un système ouvert, composé de parties prenantes (employés, propriétaires, fournisseurs, collectivités locales, Etat…), cette réflexion a pour objet de déterminer la place des entreprises dans la société et s’inscrit aujourd’hui au cœur des débats relatifs à la gouvernance d’entreprise et à la responsabilité sociale des entreprises (RSE). La nécessité donc d’une gouvernance de l’entreprise intégrants toutes les parties prenantes se faits de plus en plus sentir. Mais la question à soulever est : comment l’entreprise peut satisfaire toutes ces légitimes attentes ? C’est à cette problématique que la théorie des parties prenantes essaye à réponde. On va présenter, tout d’abord, les origines de cette théorie ainsi que les principales définitions de la notion des parties prenantes. Puis, un bilan critique de cette théorie et un cas de son application s’avèrent nécessaire. Enfin une synthèse récapitulant les divers principes de la théorie.
Contexte Le rôle de l’entreprise, de ses dirigeants et la nature de leurs obligations envers le reste de la société font l’objet d’un débat ancien. L’approche Stakeholder prend véritablement ses racines dans le travail de Berle et Means (1932), qui constatent le développement d’une pression sociale s’exerçant sur les dirigeants pour qu’ils reconnaissent leur responsabilité auprès de tous ceux dont le bien-être peut être affecté par les décisions de l’entreprise. Décrivant l’évolution probable du concept d’entreprise, ils indiquent que « le contrôle des grandes entreprises devrait conduire à une technocratie neutre équilibrant les intérêts des différents groupes de la communauté » (Berle et Means). Cette idée est reprise notamment par Bowen (1953), dont l’étude sur la doctrine de la responsabilité sociale, insiste à de très nombreuses reprises sur l’obligation sociale et morale qu’ont les hommes d’affaires de mieux tenir compte des groupes externes affectés par leurs décisions dans leur gestion. C’est au cours des années 1960 qu’émerge le terme de « parties prenantes ou Stakeholder Theory » qui provient, à l’époque, d’une volonté délibérée de jouer avec le terme de Stockholder (désignant l’actionnaire) afin d’indiquer que d’autres parties ont un intérêt (Stake) dans l’entreprise.
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Il semble qu’Ansoff (1968) soit le premier à se référer à la théorie des parties prenantes dans sa définition des objectifs organisationnels : l’entreprise doit ajuster ses objectifs de manière à donner à chaque groupe une part équitable de satisfactions. Le terme est véritablement popularisé par Freeman (1984) en lui donnant une acception très large. Cet élargissement considérable dans l’esprit des interlocuteurs de l’entreprise conduit les promoteurs du concept de parties prenantes à en justifier la pertinence théorique.
La firme est appréhendée comme un véhicule permettant de coordonner les intérêts de différentes parties prenantes (Evan et Freeman, 1993). Pour fonder l’existence d’une relation fiduciaire entre les dirigeants et les parties prenantes, ces auteurs s’inspirent des principes kantiens : l’entreprise doit être dirigée pour le bénéfice de ses parties prenantes, ceux-ci doivent être reconnus et participer aux décisions qui affectent leur bien-être ; les dirigeants ont une relation fiduciaire avec les parties prenantes. Chaque parties prenantes mérite de la considération et pas seulement parce qu’il est capable de servir les intérêts des autres. Il est également fait référence aux théories de la justice pour compléter cette analyse. Freeman (1994) s’inspire des principes de Rawls (1971) : chacun a droit à une égale considération, c'est-à dire à être traité de manière équitable. Il emprunte à Rawls le concept de « voile d’ignorance » : les parties prenantes, délibérant de façon rationnelle derrière un tel voile, adopteraient des principes de contractualisation équitables et souhaiteraient la représentation des intérêts de tous. Ces tentatives conduisent à un courant de la théorie des parties prenantes davantage préoccupé la recherche de la justice sociale.
Définition : Dans la définition originelle du Stanford Research institute (1963), le concept de parties prenantes désignait les groupes indispensables à la survie de l’entreprise. Cette acception est très voisine de celle de Rhenman et Stymne (1965) pour qui une partie prenante est un groupe qui dépend de l’entreprise pour réaliser ses buts propres et dont cette dernière dépend pour assurer son existence. Depuis, les définitions se sont multipliées et peuvent se ranger dans un continuum allant de l’acception la plus large à la plus restreinte (Michell 1999; Martinet 1984) La définition la plus mobilisée et qui donne au terme de parties prenantes le sens le plus large est celle que propose Freeman (1984), et que reprennent notamment Carroll et Buchholtz (2000) : « Une partie prenante est un individu ou groupe d’individus qui peut affecter ou être affecté par la réalisation des objectifs organisationnels ». Dans cette vision, les parties prenantes désignent les fournisseurs, clients, employés, investisseurs, la communauté, etc. 2
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Auteurs : R. Edward Freeman né en 18 décembre1951, américain philosophe et professeur de l'administration des affaires à la Darden School de l'Université de Virginie . Il est surtout connu pour ses travaux sur la théorie des parties prenantes (1984) et sur les œuvres d’affaires. Son dernier livre, La gestion des parties prenantes avec Jeffrey Harrison et Andrew C. Wicks, a été publié par Yale University Press en 17 octobre 2007. Ed Freeman a également fourni les chapitres sur la théorie des parties prenantes et la gestion des parties prenantes pour la première du monde « Dictionnaire de la RSE », de la responsabilité sociale des entreprises.
Les apports : Freeman (1984) propose trois niveaux de réflexion pour appréhender les différentes parties prenantes d'une entreprise : le niveau "rationnel" : approche descriptive qui conduit à une identification exhaustive des parties prenantes ; le niveau "processus" : s’intéressant à la procédure systématiquement développée par l’entreprise pour prendre en compte les intérêts des parties prenantes dans son processus d’élaboration, de mise en œuvre et de contrôle de la stratégie (Freeman, 1984, Carroll, 1989); le niveau "transactionnel" : cherchant à comprendre comment interagir, négocier, gérer les parties prenantes. D'autres typologies existent, notamment celles fondées sur la distinction interne / externe à l'entreprise et sur la notion de contrat. Ainsi, Carroll (1989) et Freeman (1984) distinguent : les parties prenantes "primaires", internes ou externes à l'entreprise, impliquées directement dans le processus économique et ayant une relation formelle, officielle ou contractuelle, avec l'entreprise (actionnaires, employés et dirigeants, représentants du personnel, fournisseurs, clients, banquiers, etc.) des parties prenantes "secondaires", ayant des relations volontaires ou non avec l'entreprise dans le cadre d'un contrat implicite ou moral, appartenant à la "société civile" (ONG, associations de consommateurs, collectivités territoriales, monde politique, monde médiatique, etc.). Mitchell, Agle et Wood (1997) critiquent cependant ces modèles de représentation des parties prenantes de l'entreprise pour leur caractère statique. Ils proposent un modèle dynamique en identifiant les parties prenantes à partir de trois critères : le pouvoir, la légitimité et l'urgence: le pouvoir est détenu par des groupes d'acteurs qui peuvent influencer les décisions actuelles ou futures de l'entreprise. 3
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la légitimité : les auteurs reprennent la définition de Suchman (1995) qui définit la légitimité comme « l'impression partagée que les actions de l'organisation sont désirables, convenables ou appropriées par rapport au système socialement construit de normes, de valeurs ou de croyances sociales ». l'urgence caractérise les parties prenantes qui demandent une attention immédiate. Elle est fonction à la fois de la sensibilité au temps (elle représente le degré de réaction considéré comme acceptable ou non par les parties prenantes) et de l'aspect critique de la demande. Friedman et Miles (2002) s'appuyant sur la double distinction compatible/incompatible avec les intérêts de l'entreprise, et nécessaire (lorsqu'il s'agit d'une partie prenante interne) / contingente (pour une externe), aboutissent à la constitution de quatre groupes (Friedman et Miles, 2002) : les relations nécessaires et compatibles : actionnaires, direction, partenaires les relations nécessaires mais non compatibles : syndicats, salariés, gouvernement, clients, fournisseurs, prêteurs, organisations, les relations contingentes et compatibles : public en général, organisations connectées dans des associations communes. les relations contingentes mais non compatibles : ONG. De même Bonnafous-Boucher et Pesqueux (2006) propose une classification ordonnant les parties prenantes selon le caractère explicite ou implicite de leurs relations avec la firme et définissent : les parties prenantes contractuelles comme les acteurs en relation directe et déterminée contractuellement avec l'entreprise (actionnaires, salariés, clients, fournisseurs), les parties prenantes diffuses comme les acteurs situés autour de la société et qui peuvent affecter ou être affectés par cette société sans forcément se trouver en lien contractuel (autorités publiques, collectivités locales, associations, ONG…).
Les limites : La théorie des parties prenantes, un cadre aux implications managériales limitées :
Des concepts peu opératoires :
L’analyse du concept de parties prenantes a mis en évidence un certain manque de rigueur ainsi que des divergences fortes quant à son opérationnalisation. Ainsi, la question centrale de l’identification des parties prenantes n’est pas véritablement résolue. Le concept entretient une certaine confusion entre les individus et les groupes, voire une redondance. En effet, un même individu peut fort bien appartenir à plusieurs groupes : il peut être, à la fois, actionnaire, employé, membre de la communauté et consommateur. De même, l’idée que l’entreprise est dépendante pour asseoir sa 4
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légitimité de la façon dont elle gère ses relations avec ses parties prenantes reste une notion plutôt vague. La théorie se contente d’indiquer que l’entreprise doit reconnaître des obligations envers les parties prenantes mais elle en précise fort rarement le contenu. Les critiques portent également sur la question de la hiérarchisation des intérêts des parties prenantes.
La hiérarchisation des intérêts des parties prenantes :
La théorie des parties prenantes propose que ce soient les forces sociales plutôt que les forces du marché qui déterminent l’allocation des ressources aux différents intérêts concurrents : dans ce contexte, quel critère appliquer ? Les auteurs semblent partagés sur la question. La théorie des parties prenantes ne paraît donc pas très précise en matière de distribution de pouvoir et n’indique quasiment jamais comment les parties prenantes peuvent être représentées ou comment distribuer le pouvoir de façon à assurer la protection des intérêts de chacun.
Des objectifs organisationnels peu clairs :
La reconnaissance des intérêts des parties prenantes et le développement de stratégies visant à répondre à ces intérêts légitimes peuvent nuire à l’existence d’une vision claire des objectifs organisationnels. L’entreprise qui doit gérer les relations avec ses parties prenantes selon les préconisations de la théorie des parties prenantes risque de devenir une entreprise ingouvernable en créant une confusion sur les buts à suivre. Le fait pour l’entreprise d’être redevable aux différentes parties prenantes revient à dire qu’elle n’est redevable à personne. Les critiques radicales portant sur les fondements de la théorie des parties prenantes défendre la primauté des actionnaires :
Une confusion sur la nature de la responsabilité :
Certains auteurs rejettent principalement la dimension normative de la théorie des parties prenantes et considèrent qu’elle conduit à une confusion entre responsabilités et objectifs organisationnels : les intérêts des parties prenantes autres que les actionnaires constituent des contraintes à prendre en compte plutôt que des buts à atteindre.
La réaffirmation des droits de propriété des actionnaires :
D’autres auteurs cherchent à défendre le modèle traditionnel qui prend en compte exclusivement les droits des actionnaires. Leur domination se justifie en se référant à la notion de droit de propriété : la théorie des parties prenantes conduit à nier le droit aux propriétaires de déterminer la façon dont leur propriété est utilisée. Les actionnaires sont alors dépossédés de l’attribut « Usus ». De plus, le fait de vouloir donner des droits à des groupes qui peuvent bénéficier du succès de l’entreprise mais qui n’y contribuent pas est dangereux. 5
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En outre, les parties prenantes ont choisi librement de se mettre à disposition de l’entreprise pour contribuer à l’objectif de maximisation du profit. Enfin, certains partisans d’un modèle actionnarial de gouvernance avancent l’idée que les préconisations de la TPP sont faites pour arranger les intérêts des dirigeants. Elles conduisent à augmenter leur liberté et donc leur permettent de poursuivre leurs propres intérêts.
Application : Il a été plusieurs fois question, en 2011, de la catastrophe sanitaire et humaine qui a été provoquée par l’utilisation industrielle de l’amiante. Une phrase a frappé les esprits : le «cynisme incroyable avec lequel des connaissances scientifiques ont été balayées par appât du gain ». Cette phrase accompagnait un jugement du tribunal civil de Bruxelles condamnant l’entreprise Eternit à verser 250.000 euros de dommages et intérêts à une famille de victimes. Les difficultés rencontrées par les victimes pour défendre leurs droits devant la justice, spécialement la justice pénale, ont également été soulignées. Elles témoignent d’une répartition des pouvoirs défavorable aux individus. Le problème posé par un tel déséquilibre des pouvoirs est bien connu de l’éthique des affaires académique. Ainsi, certains défenseurs de la théorie des parties prenantes prennent en quelque sorte le parti des individus lorsque ceux-ci ont des revendications légitimes à faire valoir à l’égard d’une firme. C’est « la première victoire d’une simple famille contre la multinationale Eternit », a déclaré le bénéficiaire du jugement du tribunal civil de Bruxelles qui a été prononcé le lundi 28 novembre 2011. Sa mère, victime « environnementale » de l’amiante, est décédée en 2000 d’un cancer de la plèvre. De leur côté, les travaux menés au sein de l’éthique des affaires académique qui se sont intéressés à la catastrophe de l’amiante ont souvent proposé des analyses morales inspirées du cas Johns Manville, cette firme industrielle américaine qui fit le choix, en 1982, de se placer sous le régime des faillites (le « chapitre 11 » de la loi sur les faillites aux États-Unis) pour éviter d’avoir à prendre en charge les conséquences financières des procès que leur auraient intenté les victimes de l’amiante. La décision opportuniste de Johns Manville fut largement commentée parce que ce groupe était alors classé au 181ème rang mondial par le magazine Fortune et qu’il disposait d’importants actifs financiers. Mais ces analyses ne s’intéressent pas spécifiquement aux déséquilibres de pouvoir entre les victimes, en particulier les personnes, et les firmes qu’elles accusent d’être responsables de leurs maladies. Pourtant on trouve, dans l’éthique des affaires académique, des arguments qui, d’une part, dénoncent le caractère moralement problématique de ces déséquilibres de pouvoir, et qui, d’autre part, prennent le parti – ou reviennent à prendre le parti – des individus face aux organisations lorsque ces individus ont des revendications légitimes à faire valoir. Ces arguments sont notamment exposés dans le cadre du modèle théorique dominant de cette discipline : la théorie des parties prenantes.
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Conclusion En combinant une approche économique et sociologique, la théorie des parties prenantes répond à l’interdépendance de plus en plus forte entre les entreprises et leur environnement social. Pour ce courant de pensée, le développement d’une entreprise n’est pas seulement conditionné par sa réussite commerciale et financière. Il est également lié à la bonne compréhension d’enjeux spécifiquement politiques, c’est-àdire à la prise en compte du pouvoir que les actionnaires mais aussi les syndicats, les associations ou les politiques peuvent exercer sur l’organisation. C’est pour concilier ces intérêts différents qu’ont vu le jour des notions telles que le développement durable, la responsabilité sociale de l’entreprise « RSE » ou encore la gouvernance de l’entreprise. Plus largement, la théorie des parties prenantes traduit la nécessité d’intégrer la morale comme facteur d’efficacité et comme un élément essentiel de la réputation de l’entreprise. Cette théorie affirme d’une façon générale que les firmes doivent « se soucier » de leurs parties prenantes, c’est-à-dire qu’elles doivent les identifier dans chaque situation de choix, évaluer leurs revendications et prendre in fine des décisions équilibrées. Pour certains défenseurs de la théorie, ce « souci » est tout à fait concret. Il dénote une authentique préoccupation pour autrui qui est de la même espèce que celle qui devrait se manifester dans les relations interpersonnelles. La thèse que défendent Wicks, Gilbert et Freeman dans un article publié en 1994, est que « les buts essentiels de l’entreprise tels que les conçoivent les théoriciens féministes, visent à créer de la valeur pour des personnes spécifiques, promouvoir des projets personnels et encourager les relations entre différentes parties prenantes ». Et ils défendent l’idée selon laquelle « la solidarité préserve la possibilité de parler au nom de personnes particulières et de se soucier de leurs besoins ». Dans le même esprit, Burton et Dunn soulignent que « la théorie des parties prenantes offre la possibilité de faire des parties prenantes des entités concrètes ». On aurait tort d’écarter ces arguments au motif qu’il serait idéalistes ou inadaptés au contexte des relations professionnelles. Puisqu’en mettant en avant l’enrichissement individuel et collectif qui résulte de relations humaines gouvernées par le souci d’autrui et en insistant sur l’importance morale de la coopération et des biens humains qu’elle tend à réaliser, on parvient à démontrer son importance. On peut enfin invoquer l’importance du lien de confiance qui devrait exister entre les individus et les titulaires des différents pouvoirs politiques, administratifs, économiques, judiciaires.
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Bibliographie
Jean-Luc Guyot, Christine Mainguet, la formation professionnelle continue: Stratégies collectives A.C. Wicks, D.R. Gilbert et R.E. Freeman, « A feminist reinterpretation of the stakeholder concept », Business Ethics Quarterly, 1994, tr. fr. Laugier C., « Une réinterprétation féministe du concept de partie prenante », Textes clés de l’éthique des affaires, Paris, Vrin, 2011. B.K. Burton et C.P. Dunn, « Feminist ethics as moral grounding for stakeholder theory », Business Ethics Quarterly, 1996, A.A. BERLE et C.C. Means, «The Modern Corporation and private Property, New York», 1932 «Redefining the Corporation : Stakeholder Management and Organizational Wealth», Stanford University Press, 2002 Amartya Sen, « Ethique et Economie», PUF, 2008
http://www.eco2initiative.com/aller-plus-loin/theorie-des-parties-prenantes.
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