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![Le Grand Dictionnaire de La Psychanalyse [PDF]](https://vdoc.tips/img/200x200/le-grand-dictionnaire-de-la-psychanalyse.jpg)
Grand dictionnaire de la psychologie / [sous la dir. de Henriette Bloch, Roland Chemama, Eric Dépret, et al.] Source gallica.bnf.fr / Larousse
 
 Grand dictionnaire de la psychologie / [sous la dir. de Henriette Bloch, Roland Chemama, Eric Dépret, et al.]. 1999.
 
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 aux Editions
 
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 a été spécialement
 
 Larousse en 1999 ; du CNL. recomposée
 
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 Gallica.
 
 par avec la
 
 GRAND
 
 DICTIONNAIRE
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 NOUVELLE
 
 ÉDITION
 
 Responsable
 
 éditorial
 
 Jean-Christophe
 
 Tamisier
 
 assisté par Claire Brillaud Conception
 
 graphique
 
 de l’ouvrage
 
 Henri-François Serres Cousiné Fabrication Nicolas Perrier Composition
 
 et photogravure
 
 APS-Chromostyle Lecture-Correction Service de lecture-correction
 
 Larousse
 
 Iconographie Valérie Vidal
 
 © Larousse
 
 1991 pour la première
 
 © Larousse-Bordas
 
 1999 pour
 
 édition
 
 la présente
 
 édition
 
 ISBN : 2-03-501050-0 Dépôt Distributeur
 
 légal : Septembre
 
 1999
 
 exclusif au Canada : Messageries ADP, 1751 Richardson, Montréal
 
 (Québec).
 
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 Présentantion
 
 Le Grand dictionnaire
 
 Dictionnaire
 
 de la Psychologie
 
 des sciences
 
 psychologiques.
 
 à la fois le plus complet sible. C’est pourquoi, clopédique,
 
 développements
 
 : 1o des définitions
 
 : auteurs
 
 Le public
 
 auquel possible
 
 étudiants,
 
 les professionnels
 
 et, aussi,
 
 tier aux savoirs
 
 est
 
 confrontés
 
 à leur activité, public cultivé,
 
 aujourd’hui
 
 le
 
 notamment
 
 les
 
 aux pro-
 
 les chercheurs
 
 désireux
 
 et aux pratiques
 
 qui connaissent
 
 des
 
 naire
 
 de s’ini-
 
 psychologiques,
 
 une expansion
 
 couverts
 
 de la Psychologie
 
 sciences
 
 extension
 
 psychologie chologie
 
 différentielle
 
 psychothérapie, chanalyse,
 
 toxicologie
 
 valent anglais également
 
 psy-
 
 psychologie
 
 dans cet ouvrage
 
 quelques
 
 et
 
 institutions,
 
 pour chaque
 
 noms de ces disciplines.
 
 ; les termes
 
 suivis du mot allemand des termes
 
 sieurs sens sont classées
 
 sont
 
 correspondant.
 
 chaque
 
 fois
 
 qu’elle
 
 peut aider
 
 plus commodément
 
 le
 
 du savoir
 
 où la définition
 
 se situe,
 
 ainsi
 
 les éditeurs dans l’ordre
 
 ont jugé préde la présenta-
 
 encyclopédique.
 
 dans les secteurs comme
 
 la perception, Dictionnaire
 
 où
 
 la physiologie,
 
 par exemple,
 
 volet qui éclaire
 
 les notions
 
 la
 
 constidéfinies
 
 de la Psychologie.
 
 et schémas
 
 contient
 
 plus de 3 500 acceptions).
 
 Le
 
 est d’environ
 
 quelque
 
 une
 
 3 200 articles
 
 Parmi ceux-ci,
 
 de sujets importants,
 
 (et
 
 250 envi-
 
 ont été présentés
 
 sur deux colonnes.
 
 mettre
 
 articles
 
 au lecteur
 
 mentaux
 
 lecteur
 
 sont suivis
 
 a été conçue
 
 d’une
 
 bibliographie.
 
 essentiellement
 
 la consultation
 
 pour per-
 
 de livres
 
 sur le sujet, ce qui ne désigne le dernier
 
 bibliographies
 
 la rubrique
 
 de la Psychologie
 
 centaine.
 
 spé-
 
 p. XV. On a indiqué
 
 À vrai dire, il consti-
 
 Dictionnaire
 
 de dessins
 
 sous des rubriques
 
 donnée
 
 insépa-
 
 pour la cerner
 
 et développement
 
 dans le Grand
 
 où celui-ci
 
 en est
 
 indispensable
 
 elle s’avère indispensable,
 
 plu-
 
 utilisées
 
 un complément
 
 iconographique,
 
 qui possèdent
 
 ; la liste des abréviations à situer
 
 L’illustration
 
 sairement
 
 cifiques
 
 est conçu
 
 au sens large du terme, et c’est aussi
 
 tion, définition
 
 Celle-ci
 
 ou d’un équi-
 
 de la psychanalyse
 
 comme
 
 de rapprocher,
 
 Certains
 
 gramma-
 
 la
 
 et le secteur
 
 encyclopédique
 
 pour laquelle
 
 ron, traitant
 
 matière
 
 rapprocher
 
 qu’il cherche
 
 sa compréhension.
 
 une définition
 
 de façon
 
 il appartient.
 
 Le dictionnaire
 
 animale
 
 immédiatement
 
 Le développement
 
 et renforcer
 
 gras, est suivie
 
 encyclopédique,
 
 d’un terme
 
 du savoir auquel
 
 nombre
 
 psy-
 
 à toutes ses signi-
 
 en caractères
 
 puisse
 
 tue un autre
 
 psychopharmaco-
 
 et de sa traduction
 
 Les acceptions
 
 domaine
 
 que le lecteur
 
 neuroanatomie,
 
 psychiatrie,
 
 mot est suivi de sa catégorie
 
 ticale en français
 
 et expé-
 
 et toxicomanie,
 
 méthodologiques
 
 ainsi que les grands
 
 sa plus
 
 statistique,
 
 clinique,
 
 psychopathologie,
 
 des aperçus
 
 dans
 
 des
 
 psychophysiolo-
 
 et tests,
 
 ; à cela s’ajoutent
 
 Chaque
 
 définition,
 
 de son développement
 
 férable
 
 et du développement,
 
 psychologie
 
 neuropsychiatrie,
 
 Diction-
 
 générale
 
 cognitive,
 
 de l’enfant
 
 sociale,
 
 éthologie
 
 Chaque
 
 tue dans le Grand
 
 sans
 
 le champ
 
 envisagé
 
 : psychologie
 
 psychologie
 
 gie, psychologie
 
 le Grand
 
 constituent
 
 psychologiques
 
 rimentale,
 
 logie,
 
 par
 
 par rapport
 
 que dans
 
 fications.
 
 une raison
 
 secteurs
 
 grande
 
 un emploi très partiel
 
 rable de la définition,
 
 précédent. Les
 
 que dans les cas où le mot n’est expliqué
 
 signification
 
 s’adresse
 
 ; il comprend
 
 le grand
 
 ; 2o° des
 
 ; 3o° enfin
 
 l’ouvrage
 
 qui touchent
 
 ency-
 
 et institutions.
 
 plus large blèmes
 
 pos-
 
 tout dictionnaire
 
 encyclopédiques
 
 noms propres
 
 Il se veut
 
 et le plus accessible
 
 comme
 
 il contient
 
 est un
 
 paru,
 
 est très important
 
 sur les sujets
 
 traités.
 
 sauf dans
 
 Cependant,
 
 d’accès
 
 les le
 
 facile
 
 on a indiqué
 
 de revues
 
 dans les cas où cette mention
 
 le cas
 
 pour but d’aider
 
 les ouvrages
 
 à des articles
 
 pas néces-
 
 à lire. En effet,
 
 ont en général
 
 qui recherche
 
 références
 
 livre
 
 fonda-
 
 les
 
 spécialisées
 
 paraissait
 
 indispen-
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 sable.
 
 Enfin,
 
 référence
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 certaines
 
 bibliographies
 
 unique et parfois ancienne
 
 qui s’appuient
 
 sur une recherche
 
 qui fait autorité. des ouvrages
 
 Les responsables
 
 fondamentale
 
 ont fait appel
 
 et
 
 de la
 
 aux spécialistes
 
 de leur
 
 discipline. sont placés
 
 l’aide d’astérisques
 
 d’information,
 
 énumération
 
 de termes
 
 tique
 
 précédée
 
 biais
 
 de permettre
 
 petit groupe
 
 d’une
 
 VI
 
 placés flèche
 
 de notions
 
 donnée.
 
 d’une
 
 alphabé-
 
 Il s’agit
 
 par ce
 
 de se constituer
 
 dont fait partie et qui forment
 
 de concepts un premier
 
 forme
 
 en ordre ().
 
 soit à
 
 le lecteur à un
 
 soit sous
 
 au lecteur
 
 la notice qu’il consulte constellation
 
 dans les articles,
 
 (*) pour renvoyer
 
 complément
 
 discipline
 
 répond
 
 trouvera
 
 et d’intérêt
 
 discipline
 
 domaine
 
 le sujet de
 
 ensemble
 
 ; il peut ainsi
 
 un
 
 une
 
 constituer
 
 à l’intérieur
 
 de mesurer
 
 ; 4o°quelques
 
 dans la lecture Grand
 
 institutions
 
 notamment
 
 auteurs sociales
 
 en psychiatrie.
 
 est de l’ordre
 
 générale
 
 des sciences l’évolution
 
 Le
 
 de 160. psycholo-
 
 de situer dans leur contexte de suivre
 
 » du
 
 les prin-
 
 des doctrines,
 
 les jeux d’influence.
 
 Un glossaire importante
 
 les plus importants
 
 ; 2o les « pères fondateurs
 
 des noms propres
 
 auteurs,
 
 Le lecteur
 
 du XXe siècle ; 3o°certains
 
 pratique,
 
 giques permet cipaux
 
 exigences.
 
 en effet : 1o les auteurs
 
 contemporains nombre
 
 qui figurent dans ce dic-
 
 à plusieurs
 
 Une chronologie
 
 Des renvois
 
 rapidement
 
 tionnaire
 
 XIXe et du début
 
 anglaise.
 
 Dictionnaire
 
 Le choix de noms propres
 
 de chaque
 
 comprennent
 
 en langue
 
 du Grand
 
 la
 
 pour les sujets
 
 Ces bibliographies
 
 et des articles
 
 Psychologie
 
 indiquent
 
 anglais-français
 
 peut aider le lecteur
 
 de la littérature
 
 anglo-saxonne,
 
 pour tous les domaines
 
 Dictionnaire
 
 d’un glossaire
 
 couverts
 
 de la Psychologie.
 
 allemand-français
 
 très par le
 
 Il est suivi
 
 relatif à la psycha-
 
 nalyse.
 
 d’une LES ÉDITEURS
 
 Directeurs
 
 Henriette
 
 de l’ouvrage
 
 à briser
 
 Bloch
 
 des cadres
 
 lourds.
 
 devenus
 
 Ce qui, d’évidence,
 
 scientifiques
 
 Directeur à l’École pratique des hautes études, directeur de l’U.R.A. 315 du
 
 nières
 
 C.N.R.S.
 
 confirmer,
 
 trop
 
 caractérise
 
 du développement
 
 années,
 
 c’est
 
 nées qui a permis de corriger,
 
 La psychologie La psychologie continue
 
 dans
 
 une
 
 évolution
 
 celle de la vie entière
 
 intelligible
 
 non seulement
 
 tion ou les étapes
 
 le cours
 
 difficile
 
 d’accès
 
 la vieillesse, fortement
 
 siège aider
 
 comparatives
 
 à analyser,
 
 ont autant
 
 changé
 
 dominée
 
 par des théories
 
 psychologie pendant Puis les
 
 plus
 
 ou voisines,
 
 la paléontologie,
 
 née à reformuler anciennes,
 
 du temps.
 
 générales
 
 à poser
 
 un effort
 
 qui ont charge
 
 de ce
 
 qui ont été retenus
 
 ici sont
 
 rencontre
 
 devenue
 
 » aussi bien que dans les écrits
 
 « classique
 
 du langage
 
 Nombre
 
 courant
 
 dans une littérature
 
 d’entre
 
 eux nous viennent
 
 et du sens commun.
 
 à peu vu se préciser
 
 et se transformer
 
 tion. Ces évolutions justifiées.
 
 sont signalées Nombre
 
 Ils ont peu
 
 et, autant
 
 d’entre
 
 que
 
 eux demeurent
 
 : quand
 
 leurs domaines
 
 d’application
 
 ou les courants
 
 de pen-
 
 sée, on a pris soin d’illustrer
 
 ces différences
 
 par des
 
 exemples.
 
 leurs
 
 leur accep-
 
 polysémiques
 
 sens
 
 diffèrent
 
 Nulle partie d’une discipline
 
 selon
 
 ni aucune dis-
 
 la
 
 consacrée
 
 des
 
 la linguistique,
 
 qui appartiennent à des disciplines
 
 pour son usage
 
 Le choix présenté
 
 encore
 
 disciplines la génél’ont amenouvelles
 
 du développement en commun
 
 voisines,
 
 propre.
 
 quitte
 
 On en trou-
 
 vera ici maints exemples.
 
 psychologiques prétendre
 
 dans ce dictionnaire s’est voulu
 
 exhaustif,
 
 depuis toujours
 
 et
 
 et considérables.
 
 large
 
 s’agissant
 
 des sciences
 
 ; il ne saurait
 
 d’un secteur
 
 à la contribution
 
 dont les transformations
 
 des problématiques
 
 des questions
 
 à les spécifier
 
 seules et de façon stricte-
 
 La psychologie
 
 à d’autres secteurs,
 
 D’abord
 
 et plus
 
 ment autonome.
 
 emploie des concepts
 
 à leur validation.
 
 la neurobiologie,
 
 ou réviser
 
 trans-
 
 et fortes,
 
 s’est
 
 dans
 
 et notions
 
 cipline ne se construisent
 
 âges.
 
 propres
 
 des techniques réalisées
 
 peut
 
 de la psychologie
 
 d’un demi-siècle
 
 avancées
 
 tique,
 
 à d’autres
 
 du développement
 
 le progrès
 
 parentes
 
 au cours
 
 et justifierait
 
 aux méthodes
 
 de ses
 
 : peu de secteurs
 
 actuel des sciences,
 
 ceux que le lecteur
 
 possible,
 
 ; à l’aval, qu’elle
 
 grâce
 
 formations
 
 ses
 
 la vie foetale,
 
 demeure
 
 applique
 
 à la mesure
 
 aussi
 
 son essor,
 
 de changements
 
 qu’elle
 
 place
 
 depuis
 
 positif
 
 antérieures.
 
 de rendre
 
 mais
 
 : à l’amont, qu’elle
 
 plus ré-
 
 La psychologie
 
 n’a cessé,
 
 ses frontières
 
 puis,
 
 de don-
 
 secteur.
 
 contemporains.
 
 de cette évolu-
 
 et ses aboutissements.
 
 d’élargir
 
 qui est
 
 collecte
 
 et spéculations
 
 des institutions
 
 Les concepts
 
 la longue
 
 – exige
 
 qui la balisent,
 
 du développement
 
 Une
 
 sur
 
 d’abord,
 
 cemment,
 
 aussi
 
 et
 
 scientifique,
 
 de son ambition,
 
 – celle de l’enfance,
 
 origines
 
 a tenu
 
 la littérature
 
 à la mesure
 
 : éclairer
 
 durée
 
 développement
 
 plus soutenu
 
 considérable.
 
 Une place grande
 
 du
 
 de tenir,
 
 une place
 
 du développement
 
 globalement
 
 les études
 
 mais aussi parfois de
 
 Le bilan, à l’aune du panorama apparaît
 
 ou trop
 
 dans les trente der-
 
 l’abondante
 
 des intuitions
 
 étroits
 
 actuelles
 
 ouvert
 
 pluridisciplinaire s’avèrent
 
 se
 
 et
 
 rapides
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 Roland Chemama Psychanalyste.
 
 hommes
 
 comme
 
 pour les femmes
 
 évoquer
 
 la question
 
 mination
 
 individuelle
 
 de jouissance,
 
 La psychanalyse
 
 qui séparerait
 
 exclut toute démarche radicalement
 
 à la scientificité
 
 y serait
 
 quelques
 
 parce
 
 qu’il ferait croire à une équivalence
 
 possible
 
 entre
 
 des catégories
 
 qui procèdent
 
 Ne pouvant
 
 on a préféré privilégier ter dans certains tuels ultérieurs l’oeuvre
 
 Il reste qu’elle
 
 constitue
 
 serait
 
 défini
 
 Winnicott,
 
 rentes,
 
 il serait
 
 soit qu’on privilégie,
 
 tion à l’histoire
 
 sion événementielle, tanciel
 
 On sait qu’elle assez
 
 mette
 
 de Jacques des articles
 
 d’abord
 
 le choix
 
 et l’importance
 
 seconde
 
 sur
 
 inspire
 
 des thèmes
 
 qui fut
 
 de chacun
 
 ici de constituer
 
 un corps de doctrine
 
 matique
 
 ; mais, là où la compréhension
 
 d’une grande d’analyse
 
 richesse
 
 Sur le plan international,
 
 appliquées
 
 ne va pas de soi, le choix d’une orien-
 
 Dès lors, définir
 
 tation
 
 qui a marqué
 
 concepts
 
 ment
 
 psychanalytique
 
 cohérence. seulement dienne gage)
 
 souligné
 
 assure
 
 ; il a repris
 
 du mouve-
 
 est structuré plusieurs
 
 comme
 
 questions
 
 en particulier
 
 pulsion
 
 de la satisfaction
 
 nombre :
 
 de
 
 de mort sur la représentation
 
 visée par le sujet humain
 
 core à ce qui différencie qu’un même symbole
 
 pourquoi
 
 essentielles
 
 aux conséquences
 
 ; ou en-
 
 les deux sexes, s’il est vrai organise
 
 la sexualité
 
 Tenter
 
 pour les
 
 ment diques
 
 de nombreuses
 
 l’ensemble
 
 disciplines
 
 du vocabulaire sociale
 
 chaque
 
 dans l’espace
 
 constituait
 
 une ga-
 
 concept
 
 nous eût C’est
 
 de ne proposer en accordant
 
 aux développements auteur
 
 plus spécifique.
 
 restreint
 
 et des
 
 et à la partialité.
 
 d’entrées
 
 il s’est agi de regrouper constituant
 
 de la vie
 
 de la santé...
 
 pour que chaque
 
 en un nombre
 
 et par-
 
 du travail, des organisa-
 
 nous avons décidé
 
 le vocabulaire
 
 constitue
 
 des problèmes
 
 aux lacunes
 
 de place
 
 sociale
 
 à l’analyse
 
 de définir
 
 restreint
 
 dans les
 
 de la psychologie
 
 qui nous était imparti
 
 condamnés
 
 un lan-
 
 – au point où Freud les avait laissées
 
 on peut penser
 
 geure.
 
 que Lacan n’a pas
 
 sociaux.
 
 majeurs
 
 de la psychologie
 
 restreint
 
 une réelle
 
 à sa façon une thèse déjà freu-
 
 (l’inconscient
 
 d’une
 
 français
 
 On peut enfin ajouter
 
 – et délicates l’idée
 
 l’ensemble
 
 niveaux
 
 et pas seulement
 
 dans le domaine
 
 freudiennes claire
 
 par nature,
 
 plusieurs
 
 la psychologie
 
 tions, de l’éducation,
 
 des thèses
 
 psychologiques
 
 il s’agit d’une science
 
 qui intègre
 
 sociale, d’où l’émergence
 
 dog-
 
 sociale
 
 dans l’étude des comportements
 
 ticipe activement
 
 d’eux. Il n’est pas
 
 question
 
 dans ses méthodes,
 
 l’un des domaines
 
 directement
 
 la psychologie
 
 des sciences
 
 dans
 
 du Grand Dic-
 
 sociales. Interdisciplinaire
 
 pays anglo-saxons,
 
 les
 
 et, peut-être,
 
 abordés
 
 de la Psychologie,
 
 diverse
 
 le
 
 assurément
 
 à l’édition précédente
 
 et des sciences
 
 structurelle
 
 sociale
 
 rappelé Serge Moscovici
 
 se situe à l’intersection
 
 et de discours
 
 de psychanalyse
 
 relative
 
 tionnaire
 
 circons-
 
 perspective,
 
 l’a justement
 
 son introduction
 
 son atten-
 
 l’aspect
 
 de langage
 
 Lacan,
 
 auteurs
 
 Comme
 
 diffé-
 
 l’accent
 
 dans la dimension
 
 Cette
 
 à
 
 lacaniens.
 
 La psychologie
 
 du sujet dans sa dimen-
 
 à l’univers
 
 qui le produit. celle
 
 de croire
 
 et, pour le dire plus précisément,
 
 sujet rattaché
 
 proprement
 
 associés
 
 noble.
 
 dont le sens
 
 lectures
 
 plus structurale,
 
 où il apparaît,
 
 concepts
 
 nécessaire,
 
 la psychanalyse
 
 close,
 
 soit qu’on
 
 étant resitué
 
 (Melanie
 
 par exemple,
 
 individuelle
 
 une perspective
 
 concernant
 
 illusoire
 
 une doctrine
 
 lieu à plusieurs
 
 ici une place
 
 et celui de discours.
 
 du département de psychologie de l’université Pierre-Mendès-France, Gre-
 
 etc.).
 
 une fois pour toutes.
 
 a pu donner
 
 fondaconcep-
 
 qui les ont introduits
 
 elle-même,
 
 du phallus,
 
 qui réinterroge
 
 Docteur de l’université du Massachusetts, maître de conférences et directeur
 
 au surmoi, quitte à présen-
 
 que, en ce qui concerne
 
 freudienne
 
 freudiens
 
 dans le cadre d’articles
 
 Klein, Donald Woods
 
 celui de sexuation,
 
 Éric Dépret
 
 donc tout rassembler,
 
 cas des développements
 
 des auteurs
 
 qui ne
 
 d’orientations
 
 les concepts
 
 de l’inconscient
 
 à des concepts
 
 le
 
 où il se constitue. néfaste
 
 mentaux,
 
 du sujet de ce qui produit
 
 prétendant
 
 particulièrement
 
 très différentes.
 
 VIII
 
 un discours
 
 de l’expérience
 
 Ainsi, l’éclectisme
 
 objectivante,
 
 la déter-
 
 à l’oeuvre chez Freud : le concept
 
 la problématique Ils trouvent
 
 La psychanalyse
 
 de ce qui rapproche
 
 social. De là la place donnée sont pas encore
 
 ; on peut enfin
 
 suffisamencyclopé-
 
 puisse
 
 y aborder
 
 En d’autres
 
 un maximum de thèmes
 
 ainsi une série d’articles
 
 qu’un
 
 termes,
 
 de concepts
 
 fondamentaux, originaux
 
 dont
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 l’ensemble
 
 représente
 
 cohérent
 
 de psychologie
 
 Ce qui qualifie caractère
 
 collectif
 
 à chacun
 
 ce travail,
 
 et international réalisée
 
 de collègues
 
 de Psychologie
 
 auprès
 
 Sociale
 
 traités et manuels
 
 produit
 
 concepts
 
 entrées
 
 avons
 
 francophones, des thèmes
 
 de thèmes.
 
 en France,
 
 Grande-Bretagne,
 
 Pays-Bas
 
 et Italie. On fournissait
 
 travail éditorial
 
 troductive
 
 Quant
 
 articles.
 
 (une
 
 liste
 
 en annexe)
 
 ils apprécieront
 
 : université
 
 nominative
 
 université
 
 (Belgique),
 
 catholique
 
 (Belgique),
 
 de Grenoble
 
 université
 
 université
 
 université
 
 de Nancy
 
 tel (Suisse),
 
 université
 
 université
 
 de Paris-X
 
 (France),
 
 (France),
 
 université
 
 de Porto (Portugal),
 
 université
 
 (Canada),
 
 de St. Andrews
 
 (Espagne).
 
 université université
 
 (France),
 
 nition des concepts
 
 parce que les efforts de défi-
 
 constituent
 
 jugée superficiellement
 
 une activité théorique
 
 comme de peu d’intérêt
 
 empirique,
 
 fondée
 
 sur un travail
 
 rigueur
 
 serait obtenue
 
 positifs
 
 d’expérimentation
 
 une « science
 
 d’observation
 
 pour
 
 naturelle
 
 »,
 
 minutieuse.
 
 plus par le contrôle
 
 La
 
 des dis-
 
 et/ou d’observation,
 
 par
 
 la qualité des faits, que par la rigueur des définitions et la cohérence disparité
 
 des propositions.
 
 révélée par l’existence
 
 différents
 
 Il en résulte
 
 de trois vocabulaires
 
 :
 
 à l’éthologie
 
 comme
 
 qui ont une acception empreinte,
 
 liés en réalité à des écoles ;
 
 2. ceux
 
 qui appartiennent exploration,
 
 au langage
 
 hiérarchie,
 
 sans grande consistance
 
 comme interaction Le choix
 
 courant malléables,
 
 à d’autres
 
 disciplines
 
 ;
 
 ou phénotype.
 
 technique
 
 ayons été contraints vent évidente,
 
 ou
 
 termes
 
 a été fait de représenter
 
 vocabulaire
 
 propre
 
 par exemple,
 
 Umwelt,
 
 les écoles
 
 de la discipline,
 
 et le
 
 mais nous
 
 aussi de définir, de façon sou-
 
 le vocabulaire
 
 fique mais largement lecteur,
 
 une
 
 habituel
 
 moins
 
 spéci-
 
 utilisé par les éthologistes
 
 nous l’espérons,
 
 comprendra
 
 ; le
 
 ces nécessi-
 
 tés.
 
 Pierre Leconte Professeur de psychologie à l’université de Lille-III.
 
 de Poitiers université du Québec
 
 La psychophysiologie
 
 de Reims (France),
 
 (Grande-Bretagne),
 
 versité de Tilburg (Pays-Bas),
 
 mais
 
 uni-
 
 université
 
 de Paris-V
 
 université
 
 de la discipline,
 
 de Neuchâ-
 
 de Nice (France),
 
 (Canada),
 
 à Montréal
 
 de la jeunesse
 
 université
 
 (Canada),
 
 université
 
 (France),
 
 peut-
 
 plus vraisemblablement
 
 de Montpel-
 
 d’Ottawa
 
 d’Aix-en-Provence
 
 est hétérogène,
 
 de Laval (Canada),
 
 de Montréal
 
 université
 
 de
 
 de Genève
 
 (France),
 
 université
 
 (France),
 
 uni-
 
 de Lou-
 
 université
 
 université
 
 de Lille (France),
 
 lier (France), versité
 
 (Suisse),
 
 (Espagne),
 
 de Louvain
 
 (Suisse),
 
 de Lausanne
 
 (par ordre alpha-
 
 catholique
 
 (France),
 
 université
 
 de
 
 catholique
 
 Clermont-Ferrand
 
 de l’éthologie
 
 3. ceux qui sont empruntés
 
 est disponible
 
 université
 
 université
 
 vain à Louvain-la-Neuve
 
 auteurs
 
 la reconnaissance
 
 (Italie),
 
 être à cause
 
 comme
 
 des remerciements
 
 de Barcelone
 
 de Bologne
 
 in-
 
 de la psychologie
 
 d’appartenance
 
 de Lille (France),
 
 au fil de
 
 qui sont les véritables
 
 individuels
 
 à Leuven
 
 en article,
 
 des enseignants-cher-
 
 de ce travail, je sais qu’au-delà
 
 Le vocabulaire
 
 1. les mots techniques
 
 une connaissance
 
 à l’ensemble
 
 leurs universités
 
 La fin du
 
 en l’établissement
 
 du domaine
 
 cheurs francophones
 
 Portugal,
 
 associés.
 
 consisté
 
 et se constituer
 
 sérieuse
 
 Belgique,
 
 à chaque auteur la
 
 d’article
 
 L’éthologie
 
 une discipline
 
 de vingt-sept
 
 Espagne,
 
 de renvois entre les différents On peut donc naviguer
 
 alors
 
 renommés
 
 Suisse,
 
 et des concepts a surtout
 
 de
 
 regroupés
 
 Nous avons
 
 originaires
 
 Canada,
 
 liste des thèmes
 
 nous
 
 centaines
 
 pour la plupart spécialistes
 
 distinctes
 
 ses intérêts,
 
 sociale,
 
 enseignants-chercheurs
 
 en question,
 
 universités
 
 ainsi que d’une ency-
 
 patiemment
 
 plus de quarante
 
 versité
 
 les plus
 
 de cette enquête,
 
 une liste de plusieurs
 
 en une cinquantaine
 
 bétique)
 
 demandant
 
 de psychologie
 
 que nous
 
 sociale.
 
 Européenne
 
 Expérimentale,
 
 internationale
 
 contacté
 
 di-
 
 Maître de conférences, laboratoire Neurobiologie et comportement, université de Toulouse-III.
 
 pour couvrir le champ de la psychologie
 
 de plusieurs avons
 
 de plusieurs
 
 de l’Association
 
 sociale ». Sur la base des résultats clopédie
 
 Alain Gallo
 
 c’est son
 
 : tout a débuté
 
 de lister « les quarante
 
 importantes
 
 d’un manuel
 
 sociale.
 
 essentiellement
 
 par une enquête zaines
 
 les chapitres
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 université
 
 uni-
 
 de Valence
 
 La position
 
 prise d’emblée
 
 liste de psychophysiologie due aux seuls
 
 concepts
 
 pour la constitution a été d’en limiter utilisés
 
 dans
 
 de la l’éten-
 
 les travaux IX
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 où la problématique
 
 est de nature psychologique
 
 n’était pas question,
 
 en effet, de faire un dictionnaire
 
 de physiologie
 
 inclus dans un dictionnaire
 
 ; il
 
 consacré
 
 aux sciences psychologiques. renvoient
 
 définition à des concepts physiologiques.
 
 Il s’est alors
 
 agi que le lecteur puisse avoir, rapidement, tion de ces derniers lui permettant que possible.
 
 une défini-
 
 une approche
 
 La définition
 
 aussi
 
 succincte
 
 d’un
 
 très grand nombre de concepts de neuroanatomie, exemple,
 
 s’est avérée nécessaire
 
 les articles de psychophysiologie indigestes
 
 par
 
 par
 
 pour ne pas rendre hermétiques
 
 ou trop
 
 par la nécessité de définir chaque terme uti-
 
 lecteur,
 
 pour un mot dont il ignorerait
 
 normalement mentaire,
 
 assortie
 
 qui permet
 
 préciser
 
 Pour l’élaboration
 
 elle-même laquelle
 
 fondamen-
 
 taux, les index des ouvrages de psychologie chophysiologie sentielles.
 
 et de psy-
 
 les plus récents ont été les sources es-
 
 La difficulté a été de déterminer
 
 la longueur
 
 relative de chaque article : chaque spécialiste
 
 à qui a
 
 information
 
 les connaissances
 
 dire de cette partie de la mémoire son lexique,
 
 des connaissances
 
 dent, mais il s’applique Il concerne
 
 à des situations
 
 a déjà une signification ressentant
 
 qu’elle ne correspond
 
 de radio sur lequel on s’efforce
 
 pour l’ensemble
 
 des articles. Un autre avantage
 
 lié au
 
 petit nombre d’auteurs a été de permettre une relative cohérence
 
 dans les articles
 
 consacrés
 
 à un champ
 
 d’investigation. certainement concepts,
 
 aussi
 
 des omissions.
 
 il aurait peut-être
 
 sur les données
 
 de réduire
 
 psychologiques
 
 résiduelle,
 
 Sur certains
 
 fallu davantage
 
 les plus récentes.
 
 a été aussi d’éviter sciences
 
 » qui s’utilise
 
 cision la longueur
 
 insister
 
 Mais le problème le dictionnaire
 
 des
 
 à un manuel alphabétique.
 
 L’analogie
 
 il s’agit d’abord, du mot quand
 
 par exemple
 
 pour un poste
 
 de trouver avec pré-
 
 c’est bien de faciliter de bien régler
 
 tion, afin de rendre
 
 la meilleure : ce dont
 
 la réception
 
 le stade
 
 C’est, terminal
 
 de ce mot, celui de l’interprétafacile son insertion
 
 de la phrase
 
 exacte
 
 efficace
 
 Mais, au-delà,
 
 objectif a également
 
 le deuxième
 
 portée sociolinguistique pourrait
 
 cette
 
 : au lieu de « réglage
 
 fois au piano.
 
 à la « mise
 
 tions », principe
 
 une », on
 
 », la réfé-
 
 Il s’agit
 
 en commun
 
 obligatoire
 
 au
 
 et harmonieuse.
 
 aussi bien parler d’« accordage étant
 
 dans
 
 et, donc, de garantir
 
 lecteur une compréhension
 
 contribuer
 
 Le Ny
 
 qu’il vise
 
 il est utilisé dans un contexte.
 
 la signification
 
 à la
 
 » – au sens de
 
 est ici assez parlante
 
 plus précisément,
 
 rence
 
 Jean-François
 
 objectif
 
 d’onde qui permettra
 
 de la saisie cognitive
 
 Il y a sans aucun doute une hétérogénéité
 
 plus exactement
 
 à assurer un « réglage des concepts
 
 audition.
 
 en soup-
 
 et à l’usage actuels.
 
 d’articles à écrire. Les auteurs d’un volume total
 
 mais en la
 
 comme un peu floue ou, même,
 
 une liste conséquente
 
 tout en restant à l’intérieur
 
 le lecteur
 
 à sa disposition
 
 « réglage
 
 longueur
 
 différentes.
 
 en effet les mots pour lesquels
 
 a été limité afin que chacun ait de
 
 ne sont pas
 
 tant. Il est fondé sur les mêmes bases que le précé-
 
 nombre de rédacteurs
 
 des réajustements
 
 font
 
 mérite qu’on s’y arrête un ins-
 
 On peut alors dire de ce deuxième
 
 d’opérer
 
 – suivant
 
 définitionnelles.
 
 Pour compenser
 
 alors libres
 
 de l’idée –
 
 de mots, c’est-à-
 
 où elles
 
 conceptualisation
 
 étaient
 
 correspondant.
 
 de chaque individu
 
 restreinte la place qui était faite à ses centres d’intérêt. de la longueur de chaque article, le
 
 et de
 
 encyclopédiques
 
 çonnant
 
 dans l’appréciation
 
 d’enrichir
 
 partie, elles aussi, des significations
 
 objectif
 
 est
 
 complé-
 
 psychologique
 
 été confiée la rédaction de ces articles a pu trouver trop les erreurs qui auraient pu être faites
 
 définition
 
 va à la rencontre
 
 éminemment
 
 au
 
 le sens, une
 
 Cette
 
 à l’utilisateur
 
 Une telle organisation
 
 Le deuxième
 
 de la liste des concepts
 
 d’apporter
 
 dans son esprit le concept
 
 séparées
 
 utilisés dans les autres articles.
 
 d’une
 
 prin-
 
 de savoir « ce que
 
 veut dire » le mot en question.
 
 physiologiques
 
 car
 
 est naturellement
 
 concise qui lui permette
 
 que l’on appelle
 
 ici sont indispensables
 
 à trois objectifs
 
 Le premier
 
 lisé. Dans la très grande majorité des cas, les concepts présents
 
 répondent
 
 cipaux. définition
 
 Mais les concepts de psychophysiologie
 
 complète
 
 dans ce dictionnaire
 
 alors
 
 de
 
 des significa-
 
 pour toute communauté
 
 de langue, sans lequel la communication
 
 avec autrui
 
 devient stérile.
 
 Professeur à l’université de Paris-Sud, centre scientifique d’Orsay.
 
 Enfin,
 
 le troisième
 
 par la partie d’apporter
 
 objectif,
 
 et la
 
 recherche
 
 visé
 
 du dictionnaire,
 
 est
 
 encyclopédique
 
 à l’utilisateur
 
 bien à jour, appuyée
 
 La psychologie générale et appliquée psychologie cognitive
 
 qui est également
 
 sur les développements
 
 psychologique
 
 mettre d’élargir
 
 une information récente,
 
 ses connaissances
 
 de base de la
 
 afin de lui perdans le domaine
 
 considéré. Les articles et notamment X
 
 de psychologie de psychologie
 
 générale
 
 et appliquée,
 
 cognitive,
 
 présentés
 
 Le choix des mots a répondu liées à la nature
 
 de l’ouvrage,
 
 à des considérations le dictionnaire
 
 ency-
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 clopédique.
 
 Il accorde
 
 un peu moins
 
 d’importance
 
 aux néologismes
 
 et aux termes
 
 très techniques
 
 l’histoire
 
 parmi
 
 une décantation,
 
 a opéré
 
 de sorte qu’un
 
 certain
 
 ceux-ci
 
 nombre
 
 d’entre
 
 et n’ont pas survécu.
 
 avons
 
 en quelque
 
 tionnaire langue,
 
 à faire,
 
 conceptuel en faisant
 
 à l’égard
 
 plutôt preuve
 
 des termes
 
 sorte,
 
 qu’un
 
 ment
 
 notamment par
 
 l’usage. Nous
 
 avons
 
 accordé
 
 aux aspects
 
 historiques
 
 qui constituent
 
 des idées,
 
 des concepts.
 
 chissent
 
 et aussi
 
 Une partie
 
 par l’apport
 
 de faits nouveaux,
 
 ils s’appliquent
 
 sans difficulté
 
 se constituent
 
 les connaissances
 
 Mais d’autres
 
 concepts
 
 grès de la recherche la modélisation, Nous
 
 avons,
 
 distingué mots. choisis
 
 descriptif
 
 Cela n’implique concepts
 
 et interprétatif
 
 sont ancrés dans
 
 pas qu’aient
 
 qui sont directement
 
 l’épistémologie
 
 dans
 
 cepte parfaitement
 
 l’utilisation
 
 qui ne sont reliés de la recherche termédiaires.
 
 qu’au travers Néanmoins,
 
 avec les observables
 
 qui ont été la recherche
 
 d’abord
 
 propres
 
 :
 
 d’aujourd’hui
 
 ac-
 
 affaire.
 
 de raisonnements
 
 in-
 
 ultime possible
 
 élaborés
 
 relle à l’application.
 
 sa propre recherche,
 
 appliquée
 
 utilisait
 
 conceptualisation, un autre,
 
 et l’application,
 
 pourvu
 
 aucune
 
 une préoccu-
 
 temps
 
 comme
 
 – et qui heu-
 
 un vocabulaire, et la psychologie
 
 la
 
 avec de
 
 de confusion. que l’effort
 
 discussion
 
 à des intervalles
 
 de façon
 
 d’usagers
 
 qui n’ont aucune » quelque
 
 désespérée.
 
 cun, qu’une
 
 d’« entendre
 
 par quelque
 
 chose
 
 ? – peut se révéler
 
 elle-même.
 
 cas,
 
 en oeuvre.
 
 d’appliquer
 
 des sciences
 
 des idées
 
 à la confec-
 
 psychologiques
 
 que l’on peut tirer de la C’est
 
 à travers
 
 c’est-à-dire
 
 qui sont présents discipline
 
 à l’égard
 
 Mais, dans les autres
 
 fait de son langage,
 
 les concepts,
 
 intention
 
 peut aider à la mettre
 
 quelques-unes
 
 : « Qu’en-
 
 qui, certes,
 
 chose
 
 En bref, nous avons essayé
 
 psychologie
 
 se demandent
 
 de pensée
 
 qu’il s’en rencontre
 
 un dictionnaire
 
 fruc-
 
 par le mot x ? » C’est une
 
 de communication
 
 totalement
 
 de
 
 plus ou moins espa-
 
 leur communauté
 
 exactement
 
 trop voisins.
 
 des problèmes
 
 se dérouler
 
 exactement
 
 vers
 
 : nous avons
 
 les sens différents
 
 technique
 
 qu’elle
 
 les uns des autres
 
 sans que les interlocuteurs
 
 l’un à l’autre,
 
 nor-
 
 que les sens
 
 générateurs
 
 ne peut
 
 et dont
 
 polysémie
 
 plus gênante
 
 permanente
 
 tion de ce dictionnaire
 
 de façon natu-
 
 est dommageable
 
 continus vecteur
 
 ont aussi
 
 peu à peu – dans laquelle
 
 Les échanges un puissant
 
 et, plus
 
 : une situation
 
 un certain
 
 se résorbe
 
 psychologie
 
 s’adaptent
 
 importance
 
 leurs
 
 que les concepts
 
 C’est évidemment
 
 celle qui a prévalu reusement
 
 clinique
 
 appliquée
 
 eu le souci
 
 par la recherche
 
 pation de grande
 
 que, dans
 
 la psychologie
 
 avons
 
 tueuse
 
 justifiés
 
 des sens doit s’exercer
 
 – niera-t-on
 
 la psychologie
 
 Nous
 
 bien défini. Cette
 
 tendez-vous
 
 systématisées
 
 à des observables
 
 généralement,
 
 est assez
 
 cés selon
 
 de termes théoriques
 
 est un critère que nous avons
 
 conditions,
 
 chacun
 
 psychologie
 
 mis en oeuvre avec constance. C’est
 
 sens également
 
 En vérité,
 
 opérationnalisables
 
 la liaison
 
 plusieurs
 
 de façon
 
 dur de
 
 pour un même
 
 vocable,
 
 veillé à bien séparer
 
 seuls droit de cité les
 
 aux observations
 
 aussi se développent,
 
 la distinction
 
 l’expérimentation.
 
 psychologique
 
 Mais parfois
 
 sont plus proches
 
 par
 
 les sens peuvent
 
 de façon valide.
 
 en question
 
 faites
 
 le noyau
 
 desquelles
 
 se cristalliser
 
 C’est donc
 
 des
 
 : dans ces cas,
 
 constituer
 
 et, par là, plus aisément
 
 nécessaire,
 
 théoriques
 
 et, notamment,
 
 de
 
 de l’intérieur.
 
 fois que c’était
 
 les termes
 
 et définis
 
 objective
 
 ou les exigences
 
 était de contribuer
 
 systématisées
 
 qui doivent
 
 et de
 
 plus haut que
 
 les concepts
 
 autour
 
 pas un
 
 de leur vocabulaire
 
 du dictionnaire
 
 male peut être d’autant
 
 pour suivre les pro-
 
 se transformer
 
 En outre,
 
 dont
 
 encyclopédiques.
 
 empirique
 
 les usages
 
 auxquels
 
 : c’est la façon
 
 doivent,
 
 chaque
 
 s’enri-
 
 n’ont
 
 Nous avons indiqué
 
 connaissances
 
 de l’affermisse-
 
 de ceux-ci
 
 souci égal de l’exactitude
 
 la recherche
 
 caractéristique
 
 floue : tous les
 
 psychologique
 
 ce sont les observations
 
 de sens,
 
 des individus
 
 une nébuleuse
 
 à régler et à accorder
 
 particulière
 
 des changements
 
 une manifestation
 
 de l’évolution ment
 
 une importance
 
 les usages
 
 de la langue
 
 l’un des objectifs
 
 est impor-
 
 autour d’un sens pivot relative-
 
 dessinent
 
 leurs concepts.
 
 sémantique
 
 qu’elle prend deux formes
 
 bien définissable,
 
 usagers
 
 de
 
 non consacrés
 
 Parfois,
 
 particuliers
 
 un dic-
 
 la variabilité
 
 tante. On peut considérer principales.
 
 Nous
 
 dictionnaire
 
 de vigilance,
 
 étrangers
 
 ;
 
 eux ont été
 
 peu à peu abandonnés cherché
 
 psychologiques,
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 l’usage en fait par
 
 dans l’esprit de cha-
 
 peut véritablement
 
 se déve-
 
 lopper.
 
 pour tous.
 
 de sens entre la recherche qu’ils soient rigoureux,
 
 de progrès
 
 à l’intérieur
 
 sont
 
 Jacques Postel
 
 de la
 
 psychologie. Nous avons accordé problèmes
 
 d’ambiguïté.
 
 une particulière
 
 attention
 
 Pour beaucoup
 
 aux
 
 de termes
 
 Médecin-chef
 
 du centre hospitalier
 
 Sainte-Anne, ancien professeur associé XI
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 de psychopathologie versité de Paris-VII.
 
 nèse, de la psychogenèse
 
 clinique à l’uni-
 
 la pathologie, génétique) stress,
 
 La psychiatrie
 
 et la psychologie
 
 et la psychopathologie
 
 sont traitées
 
 et de l’acquis
 
 les difficultés
 
 théories
 
 L’aspect
 
 chaque
 
 prendre
 
 sur l’anthropologie
 
 entité morbide
 
 et l’évolution
 
 parfois
 
 ésotériques
 
 à éviter
 
 en nous
 
 avons
 
 existentielles,
 
 non forcément
 
 notions
 
 logiques
 
 sans
 
 ou même
 
 critique
 
 s’est longtemps la pathologie particulier, France,
 
 née au début somatique
 
 Sans
 
 peut se contenter
 
 namiques
 
 tème relationnel
 
 On comprend
 
 XII
 
 nécessaires pourquoi
 
 chaque
 
 etc., sans négliger
 
 à la compréhension par celle
 
 chopathologie
 
 souvent
 
 domaines
 
 psychologiques.
 
 à part, la psychiatrie
 
 font partie intégrante
 
 Elles en sont même l’ensemble
 
 gagnera
 
 des autres
 
 des sciences
 
 d’être des spécialités
 
 paraissent
 
 d’une notion. C’est
 
 la lecture de ces notices
 
 du dictionnaire
 
 et de la pa-
 
 fois qu’elles
 
 peut-être
 
 Loin
 
 et la psy-
 
 de cet ouvrage.
 
 le liant qui donne
 
 sa cohérence
 
 et son unité profonde.
 
 Maurice
 
 Reuchlin
 
 à
 
 Professeur émérite de psychologie différentielle de l’université de Paris-V.
 
 La psychologie
 
 différentielle
 
 s’est
 
 a cessé enfin
 
 Les termes
 
 définis
 
 et commentés
 
 de la psychologie sés en quelques
 
 différentielle
 
 ralement,
 
 dispositifs individuelles
 
 régissant
 
 la construction
 
 dispositifs
 
 ; caractéristiques
 
 des neurosciences. mentale
 
 sémiologiques,
 
 et donner
 
 ne
 
 à un autre.
 
 de
 
 employés
 
 d’examens qu’ils soient, un traitement.
 
 intersubjective, et de son insertion
 
 et familial,
 
 de cette variation.
 
 et le
 
 générale
 
 On trouvera mentaires
 
 reste
 
 ainsi
 
 au
 
 de l’organoge-
 
 se trouve en Les
 
 en effet
 
 en psychologie
 
 susceptibles
 
 de varier
 
 d’un
 
 aussi être l’objet d’une
 
 provisoirement
 
 abstraction
 
 d’intérêts
 
 ces convergences
 
 sur les grandes
 
 être
 
 à l’égard
 
 s’appliquent
 
 – entre les études différentielles rales portant
 
 peuvent
 
 et de créancière.
 
 ces convergences – et donc
 
 d’un individu
 
 différentielle
 
 de la mesure
 
 faisant
 
 de ces
 
 sous-disciplines,
 
 à un autre peuvent
 
 qui jouent
 
 » mentale.
 
 problématiques
 
 individu étude
 
 parfois
 
 variant
 
 psychométriques
 
 et les caractéristiques
 
 les dif-
 
 méthodologiques
 
 de ces termes
 
 la psychologie
 
 utilisation
 
 et, plus géné-
 
 et l’utilisation
 
 à la fois de débitrice
 
 méthodes
 
 être clas-
 
 pour mesurer
 
 ; notions
 
 dans d’autres
 
 au sein d’un sys-
 
 le déclenchement
 
 que la psychiatrie
 
 position à toute
 
 psychody-
 
 Plusieurs
 
 desquelles
 
 : tests
 
 utilisés
 
 ni les
 
 dans le domaine peuvent
 
 catégories
 
 et de ses troubles
 
 et d’interactions
 
 des grandes
 
 médicale
 
 et sociale,
 
 de la biologie
 
 férences
 
 souffrant
 
 de sa « maladie
 
 les données
 
 à
 
 En
 
 aux mala-
 
 à la fois des éléments
 
 dans
 
 thologie
 
 à l’anthropologie,
 
 à l’ethnologie,
 
 pas la
 
 qui est forcément
 
 social
 
 pour autant
 
 D’où la né-
 
 individuelle
 
 ne renie-t-elle
 
 aussi sophistiqués
 
 un rôle prédominant maintien
 
 et qu’elle
 
 ou biologiques,
 
 de l’individu
 
 dans un milieu
 
 en
 
 1967 qu’elle
 
 de techniques
 
 un diagnostic
 
 doit tenir compte
 
 en subissant,
 
 de la souffrance
 
 complémentaires, Son approche,
 
 de
 
 consacrée
 
 doute
 
 tests psychométriques pour établir
 
 le modèle
 
 » pour devenir
 
 fondamentales
 
 son approche
 
 permanents
 
 une
 
 qui
 
 de la neurologie.
 
 depuis
 
 du cerveau
 
 acquisitions
 
 du XIXe siècle,
 
 de suivre
 
 une « neuropsychiatrie
 
 connaissance
 
 centre
 
 C’est une spécia-
 
 de cette dernière
 
 dies de l’esprit.
 
 Mais
 
 par une période
 
 véritablement
 
 dans sa globalité.
 
 à la psychologie
 
 c’était
 
 actuellement
 
 c’est seulement
 
 une discipline
 
 quand
 
 Car la psychia-
 
 abusive
 
 l’écologie,
 
 que comme
 
 des
 
 de provisoire.
 
 l’autorité
 
 d’emprunts
 
 du soma et de
 
 mais
 
 avoir de problé-
 
 médicale
 
 enfin séparée d’être
 
 de montrer,
 
 contentée
 
 cartésienne
 
 Dépassant
 
 et psychopatho-
 
 de son développement. jeune
 
 cultivé,
 
 pouvaient
 
 et passe
 
 lité encore
 
 cherché
 
 de saisir l’essentiel
 
 psychiatriques
 
 négliger
 
 C’est
 
 des défini-
 
 à tout homme
 
 ce qu’elles
 
 trie évolue
 
 obs-
 
 un rideau de
 
 à la clarté
 
 spécialiste,
 
 diverses
 
 derrière
 
 de l’homme
 
 les
 
 les conditions
 
 elle ne peut se définir
 
 médecine cessité
 
 la dualité
 
 à être complétée
 
 d’être
 
 constamment
 
 efforçant
 
 tions et en permettant
 
 matique
 
 d’une
 
 et peu compréhensibles.
 
 que nous
 
 nécessaire,
 
 de mieux com-
 
 aux psychiatres
 
 curs et de cacher leur science un défaut
 
 n’a pas été
 
 d’un concept,
 
 la psyché,
 
 (les traumatismes,
 
 de la personnalité).
 
 à la sociologie,
 
 près
 
 ou d’un simple néologisme.
 
 On reproche termes
 
 et les
 
 depuis
 
 historique
 
 fois qu’il permettait
 
 l’origine
 
 et
 
 et scientifiques
 
 et les enrichissent
 
 siècles.
 
 négligé
 
 qui l’éclaire
 
 philosophiques
 
 qui les sous-tendent de deux
 
 constamment
 
 ici à la fois sur un mode spécifique
 
 avec de larges ouvertures diverses
 
 clinique
 
 de
 
 de celles aussi de l’inné (héréditaire,
 
 du développement
 
 La psychiatrie
 
 et de la sociogenèse
 
 complélexicales
 
 et les études géné-
 
 fonctions,
 
 sur le déve-
 
 ;
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 loppement
 
 de l’enfant,
 
 Cependant,
 
 le découpage
 
 rédaction
 
 des articles
 
 masquer
 
 conceptuel
 
 suggérer
 
 biaisée
 
 de termes
 
 risque
 
 désignant
 
 psychométriques
 
 « différentielles
 
 ». Il ne faudrait
 
 les préoccupations raffinements
 
 tient seulement
 
 Le contenu
 
 de la psychologie
 
 qui devrait
 
 les distorsions seulement
 
 pouvant
 
 ponctuelle
 
 naître
 
 au lecteur
 
 d’éviter
 
 variables thétique
 
 consultation
 
 thodes
 
 d’un dictionnaire.
 
 On ne s’étonnera naire
 
 des
 
 paraissent
 
 nombre
 
 de termes
 
 moderne thématique.
 
 psychologiques de statistique.
 
 empruntées
 
 Comme
 
 sur l’observation facteurs
 
 affectées
 
 de variation,
 
 pour contrôler
 
 les sciences
 
 quelque
 
 nombre
 
 de parvenir
 
 d’entre
 
 Dictionnaire
 
 incontournable
 
 Son accessibilité, de la discipline
 
 précise
 
 de la présente soit-elle,
 
 de l’évolution consultation
 
 avons
 
 retenu
 
 l’idée
 
 pas à des mathépar la psychode façon
 
 une intuition
 
 aussi
 
 des notions
 
 employées
 
 et
 
 par les psy-
 
 devrait
 
 être acces-
 
 d’une
 
 utilisée
 
 et les limites dans
 
 un ouvrage
 
 psychologiques.
 
 les
 
 aperçus
 
 au lecteur.
 
 édition
 
 pour tous ceux, chercheurs, des sciences
 
 touchant
 
 Enfin, quelques
 
 ont été suggérés
 
 méthode
 
 comme
 
 enseignants,
 
 une référence étudiants,
 
 pra-
 
 psychologiques. un moyen privilégié
 
 d’en appréhender
 
 d’accès
 
 les contours
 
 à la connaissance et la diversité,
 
 ou de
 
 à telle ou telle question.
 
 édition,
 
 et de procéder
 
 certaine
 
 En ce qui concerne
 
 présentation
 
 l’esprit
 
 épistémologiques
 
 désireux
 
 les probléma-
 
 les objectifs,
 
 en ont fait également
 
 pour tous les non-spécialistes
 
 important,
 
 de suggérer
 
 paru en 1991, n’a pas tardé à s’imposer
 
 dans le champ
 
 sa clarté d’écriture
 
 une réponse
 
 S’agissant puleuse
 
 leur activité
 
 un progrès
 
 de comprendre
 
 sur la présente
 
 et un outil de travail irremplaçable
 
 ticiens qui exercent
 
 trouver
 
 de la Psychologie,
 
 hypo-
 
 sible à un large public et permettre
 
 sciences
 
 les
 
 sur des
 
 de ces mé-
 
 nous
 
 statistiques
 
 Cette
 
 statistique
 
 eux. Il
 
 à dégager
 
 Remarques Le Grand
 
 de
 
 effort que l’on fasse
 
 les effets de certains
 
 est donc indispensable
 
 uti-
 
 observées
 
 mais à un public intéressé
 
 chologues.
 
 fondées
 
 sur la compatibi-
 
 ne s’adresse
 
 que possible
 
 de relations
 
 récents
 
 en psychologie.
 
 des méthodes
 
 ma-
 
 la psychologie
 
 d’un grand
 
 précise
 
 de notions
 
 de ren-
 
 aux méthodes
 
 de modifier
 
 logie. On s’est efforcé
 
 La psychologie
 
 à cette discipline
 
 toutes
 
 maticiens
 
 un certain
 
 d’ouvrages
 
 raisonnables
 
 constituer
 
 que ce dictionnaire
 
 le diction-
 
 fréquent
 
 et l’expérience,
 
 lise des données
 
 dans
 
 lecteur
 
 tel ou tel modèle
 
 le style de ces articles,
 
 fait en effet un usage
 
 et de méthodes
 
 avec
 
 pas les
 
 dans ce dic-
 
 des structures
 
 peut-être
 
 tiques utilisées
 
 pas de trouver
 
 sciences
 
 qu’un
 
 : les développements
 
 susceptible
 
 La statistique
 
 d’introduire
 
 de données
 
 multiples
 
 qui
 
 et nous avons eu
 
 éventuellement
 
 lité d’un ensemble
 
 dans toutes
 
 ne sont
 
 fait leur place
 
 d’envisager
 
 et de s’interroger
 
 d’un diffé-
 
 d’une
 
 permettant
 
 par
 
 à une autre. Mais ces
 
 a des chances
 
 Nous avons
 
 et
 
 d’inévi-
 
 de ces méthodes
 
 ne sont que relatives
 
 tous les termes
 
 contrer.
 
 actuels
 
 celles
 
 l’ambition
 
 avec
 
 inégaux,
 
 le plus souvent
 
 de psychologie
 
 les
 
 (psychologie
 
 permettre
 
 tionnaire
 
 proba-
 
 – ces termes
 
 à des degrés
 
 de toute façon
 
 de
 
 ces tendances
 
 sont employées
 
 d’une sous-discipline
 
 distinctions
 
 dont le sens
 
 ont fait l’objet
 
 développé
 
 mêmes
 
 pondération
 
 et l’orientation
 
 différentielle
 
 relativement
 
 rentielle),
 
 pensé
 
 statistiques
 
 sont employées
 
 et aux
 
 seront
 
 Si des méthodes
 
 d’attribuer
 
 a manipulées
 
 confondus
 
 aléatoires.
 
 ses sous-disciplines,
 
 que
 
 par les lecteurs
 
 d’être
 
 tables fluctuations
 
 la psychologie,
 
 les entrées
 
 de tests
 
 que l’expérimentateur
 
 risquant
 
 à distin-
 
 permet
 
 de ses hypothèses,
 
 ces effets
 
 différentia-
 
 différentielle
 
 – du moins l’a-t-on
 
 plus techniques. article
 
 et
 
 Cette
 
 le plus souvent
 
 de psychologie
 
 blement
 
 des épreuves
 
 au fait que les termes
 
 sera cherché textes
 
 le
 
 pas en conclure
 
 méthodologiques.
 
 de
 
 peut-être
 
 parmi
 
 à la construction
 
 en fonction
 
 des observations,
 
 que l’expérience
 
 aux variables
 
 de ce do-
 
 des psychologues
 
 se limitent
 
 de
 
 même
 
 principales
 
 guer les effets
 
 par l’ensemble
 
 du contenu
 
 des méthodes
 
 tendances
 
 à la
 
 risque
 
 C’est ainsi que l’on remarquera
 
 grand nombre
 
 listes
 
 inhérent
 
 couvert
 
 Ce découpage
 
 une image
 
 sociales.
 
 d’un dictionnaire
 
 l’unité du domaine
 
 de ces concepts. maine.
 
 sur les conduites
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 il est apparu
 
 souhaitable
 
 à une refonte
 
 sensible
 
 des sciences
 
 psychologiques
 
 d’aller au-delà
 
 d’une simple mise à jour, si scru-
 
 de ce grand dictionnaire,
 
 depuis
 
 1991, mais également
 
 en vue de tenir compte d’accroître
 
 la facilité
 
 de
 
 de l’ouvrage. XIII
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 Il a été tiré profit des travaux de la Psychiatrie, du Dictionnaire
 
 de J. Postel, des Drogues,
 
 été aussi tenu compte, tionnaire
 
 fondamental
 
 De nombreuses nouveau
 
 édition
 
 qui faisait
 
 du Dictionnaire
 
 à la précédente,
 
 d’une chronologie
 
 défaut.
 
 Un index
 
 été créées
 
 générale
 
 éditorial
 
 sociale,
 
 des noms propres
 
 Il a
 
 du Dic-
 
 un souci de
 
 de ses métiers.
 
 Au total,
 
 inédits.
 
 une dimension
 
 renforce
 
 des apports
 
 avec notamment
 
 dans toute l’étendue
 
 plus de 300 articles
 
 et J.-L. Senon.
 
 de Didier Casalis.
 
 pour la circonstance,
 
 introduit
 
 et B. Vandermersch,
 
 de D. Richard
 
 la psychologie
 
 publié sous le conseil
 
 même de la psychologie,
 
 offre, par rapport
 
 de R. Chemama
 
 et des Dépendances,
 
 pour ce qui concerne
 
 ont, de surcroît,
 
 sur la pratique
 
 ou la mise à jour, selon les cas, du Dictionnaire
 
 de la Psychanalyse,
 
 des Toxicomanies
 
 de la Psychologie,
 
 L’ajout en fin d’ouvrage versale
 
 pour la réalisation
 
 particulièrement
 
 entrées
 
 d’ouverture
 
 la présente
 
 effectués
 
 à la fois diachronique
 
 également
 
 les possibilités
 
 et trans-
 
 de circulation
 
 dans l’ouvrage. Nous espérons aux possesseurs
 
 que le Grand Dictionnaire de l’édition
 
 princeps,
 
 de la Psychologie et qu’il répondra
 
 rendra ainsi des services
 
 pleinement
 
 à l’attente
 
 accrus et renouvelés
 
 des générations
 
 nouvelles. LES ÉDITEURS
 
 XIV
 
 Ont collaboré
 
 Mélinée
 
 Agathon
 
 Chargée
 
 à cet ouvrage
 
 tion de bio-psychopathologie
 
 de recherche
 
 au C.N.R.S.,
 
 de l’unité comportementale
 
 Henri-Rousselle,
 
 directeur
 
 du centre
 
 Sainte-Anne.
 
 Guy Beugnon Directeur
 
 Isabelle
 
 Amado-Boccara
 
 Interne
 
 en psychiatrie
 
 de recherche
 
 d’éthologie des hôpitaux
 
 de Paris,
 
 vice hospitalo-universitaire
 
 de santé
 
 mentale
 
 thérapie
 
 du centre
 
 hospitalier
 
 comportementale
 
 seret
 
 au C.N.R.S.,
 
 et de psychologie
 
 laboratoire
 
 animale,
 
 université
 
 de Toulouse-III. François
 
 Bing
 
 Service
 
 Sainte-Anne.
 
 du docteur
 
 Jacques
 
 Postel,
 
 C.H.S.
 
 Sainte-Anne.
 
 Amiel
 
 Médecin
 
 centre
 
 hospitalier
 
 Sainte-Anne.
 
 Gérard
 
 hôpital
 
 de l’enfant,
 
 Chantal
 
 psychiatre,
 
 chef de clinique
 
 des univer-
 
 Blain-Lacau
 
 Orthoptiste,
 
 docteur
 
 en psychologie.
 
 sités. Henriette
 
 Bloch
 
 Nicole Anquetil
 
 Directeur
 
 à l’École
 
 Psychiatre,
 
 C.N.R.S.,
 
 laboratoire
 
 psychanalyste.
 
 pratique
 
 des hautes
 
 de psychobiologie
 
 études, du déve-
 
 loppement. Françoise Maître
 
 Askevis-Leherpeux
 
 de conférences
 
 à l’université
 
 de Paris-V.
 
 Mireille
 
 Bonnard
 
 Chargée Gabriel
 
 membre
 
 internationale,
 
 Turin ; titulaire
 
 d’une
 
 de l’Association
 
 de la SFPPG maîtrise
 
 clinique,
 
 de psychopathologie,
 
 d’études
 
 supérieures
 
 Brigitte
 
 et de l’IPP,
 
 d’un diplôme
 
 de droit privé.
 
 membre
 
 Directeur
 
 de l’Association
 
 de psychologie
 
 † Marie-Claire
 
 freu-
 
 de recherche
 
 Bénédicte à Paris-V.
 
 Directeur
 
 Beauvois université
 
 de
 
 au C.N.R.S.
 
 à l’université
 
 du Québec,
 
 Mon-
 
 de psychologie.
 
 de Boysson-Bardies de recherche
 
 Marie-Charlotte sociale,
 
 de Stras-
 
 Bourhis
 
 tréal, Département
 
 de psychologie
 
 à l’université
 
 Botte
 
 Ph. D., professeur
 
 Bardin
 
 Professeur
 
 Professeur
 
 Richard
 
 de conférences
 
 Jean-Léon
 
 Bonnet
 
 bourg.
 
 de psychologie
 
 internationale.
 
 Laurence Maître
 
 Claude
 
 freu-
 
 Balbure
 
 Psychanalyste, dienne
 
 au C.N.R.S.
 
 Balbo
 
 Psychanalyste, dienne
 
 de recherche
 
 au C.N.R.S.
 
 Cadeau
 
 Psychanalyste.
 
 Nice Sophia-Antipolis. Jean-Claude Jean Bergès Psychiatre,
 
 Enseignant psychanalyste,
 
 chargé
 
 de la sec-
 
 louse.
 
 Cadieu agrégé
 
 en sciences
 
 naturelles,
 
 Tou-
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 Nicole Cadieu Chargée
 
 des sciences
 
 de recherche
 
 d’éthologie
 
 au C.N.R.S.,
 
 et de psychologie
 
 laboratoire
 
 animale,
 
 université
 
 Cadilhac
 
 Praticien
 
 Jean-Mchel
 
 Cruanes
 
 Psychiatre
 
 à l’hôpital
 
 service
 
 médicale,
 
 de psychiatrie
 
 C.H.U.,
 
 Marc Darmon
 
 Toulouse.
 
 Campan
 
 Directeur
 
 dienne
 
 de recherche
 
 d’éthologie
 
 au C.N.R.S.,
 
 et de psychologie
 
 animale,
 
 université
 
 Campan
 
 Professeur,
 
 laboratoire
 
 logie animale,
 
 d’éthologie
 
 université
 
 Isabelle
 
 Carchon
 
 Docteur
 
 en psychologie
 
 et de psycho-
 
 de Toulouse-III.
 
 (Psychologie
 
 expérimen-
 
 tale et développementale).
 
 Séverine Maître
 
 sociale
 
 à l’université
 
 Professeur
 
 à l’université
 
 laboratoire
 
 de psychologie
 
 de psychologie
 
 sité Charles-de-Gaulle,
 
 à l’univer-
 
 Lille-III.
 
 est signé des initiales
 
 d’article
 
 du
 
 de Paris-X. du dictionnaire
 
 de son ou ses auteur(s). certaine
 
 convient
 
 à la liste générale
 
 de se reporter
 
 de ces derniers,
 
 il
 
 présentée
 
 en annexe p. 1049. Dégrange
 
 Delafond clinicienne,
 
 Delmas
 
 Maître
 
 de conférences
 
 dienne
 
 de linguistique,
 
 université
 
 en psychologie
 
 en psychologie,
 
 sociale,
 
 Grenoble-II.
 
 chargé
 
 catholique
 
 psychanalyste, Charolles
 
 internationale.
 
 Pierre-Mendès-France,
 
 à l’université
 
 au C.N.R.S.
 
 membre
 
 De Neuter
 
 Docteur
 
 de recherche
 
 psychanalyste,
 
 freudienne
 
 Florian
 
 Patrick
 
 Chapouthier
 
 Professeur
 
 sociale
 
 directeur
 
 Pour une identification
 
 université
 
 Cathelineau
 
 Psychanalyste.
 
 Michel
 
 de Paris-X,
 
 *Chaque article ou partie
 
 de l’Association
 
 de conférences
 
 Directeur
 
 Deconchy
 
 Psychologue
 
 Casalis
 
 Georges
 
 Jean-Pierre
 
 Nathalie
 
 (Italie).
 
 Pierre-Christophe
 
 freu-
 
 Psychanalyste.
 
 de psychologie
 
 de Bologne
 
 de l’Association
 
 internationale.
 
 Pascale
 
 Félice Carugati Professeur
 
 membre
 
 laboratoire
 
 de Toulouse-III. Raymond
 
 de l’université
 
 et de Psychanalyste,
 
 Mireille
 
 international
 
 de Paris.
 
 hospitalier,
 
 psychologie
 
 de Flandres-Artois
 
 (Lille-I).
 
 de Toulouse-III. Philippe
 
 et techniques
 
 d’enseignement
 
 de Louvain
 
 membre
 
 (Belgique)
 
 de l’Association
 
 ;
 
 freu-
 
 internationale.
 
 de NancyMichel Denis
 
 II. Didier A. Chartier Psychiatre, d’étude
 
 psychanalyste,
 
 membre
 
 du Centre
 
 Directeur
 
 de recherche
 
 au C.N.R.S.,
 
 Centre
 
 d’études
 
 de psychologie
 
 cognitive
 
 à l’université
 
 de Paris-Sud,
 
 Orsay.
 
 et d’expression. Éric Dépret
 
 Roland
 
 Chemama
 
 Agrégé
 
 de philosophie,
 
 Ph. D. de l’université psychanalyste.
 
 de conférences
 
 de Massachusetts,
 
 en psychologie
 
 sociale
 
 maître à l’univer-
 
 sité de Grenoble-II. Richard
 
 Clément
 
 Ph. D., professeur socié,
 
 École
 
 titulaire,
 
 de psychologie,
 
 directeur université
 
 et doyen
 
 as-
 
 d’Ottawa
 
 (Canada).
 
 Jean-Claude
 
 Deschamps
 
 Docteur
 
 en psychologie
 
 l’Institut
 
 des sciences
 
 de l’université
 
 sociale, sociales
 
 professeur
 
 à
 
 et pédagogiques
 
 de Lausanne.
 
 Anne Coppel Sociologue,
 
 directrice
 
 du Centre
 
 Émergence
 
 biac, Paris.
 
 XVI
 
 Tol-
 
 Catherine Maître
 
 Jean-Marie
 
 Coquery
 
 Professeur
 
 de psychophysiologie
 
 Isabelle à l’université
 
 Desprats-Péquignot
 
 de conférences
 
 à l’université
 
 Diaz
 
 Psychiatre,
 
 psychanalyste.
 
 de Paris-VII.
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 Blandine
 
 Didier
 
 Alain Gallo
 
 Interne
 
 au service
 
 fesseur
 
 H. Lôo, hôpital
 
 hospitalo-universitaire
 
 Professeur
 
 de psychologie
 
 sociale
 
 à l’université
 
 Lille-III.
 
 de psychologie
 
 de Genève
 
 (Suisse).
 
 logie du comportement,
 
 C.N.R.S.,
 
 sociale
 
 à l’université
 
 psychanalyste.
 
 en biologie
 
 Christian
 
 ciale, université
 
 psychiatriques.
 
 de Toulouse-
 
 George
 
 Professeur
 
 titulaire
 
 de psychologie
 
 de Montréal
 
 (Canada).
 
 so-
 
 Jacques
 
 de psychologie
 
 générale
 
 à l’université
 
 Gervet
 
 Directeur
 
 de recherche,
 
 d’éthologie
 
 Nicole Dubois ès lettres
 
 et sciences
 
 seur de psychologie
 
 humaines,
 
 à l’université
 
 de Paris-VIII.
 
 Choula
 
 Marie-Dominique
 
 Emrich de l’Association
 
 freu-
 
 Maître
 
 internationale.
 
 de psychologie
 
 sociale
 
 à l’université
 
 Gineste
 
 de conférences
 
 à l’université
 
 de Paris-
 
 Nord (Villetaneuse).
 
 Fagard
 
 Michel Godfryd
 
 de recherche
 
 au C.N.R.S.
 
 Psychiatre
 
 des hôpitaux,
 
 vice hospitalier,
 
 Fayol
 
 Professeur
 
 de Tou-
 
 Ghiglione
 
 Psychanalyste.
 
 Jacqueline
 
 animale
 
 de Nancy. Professeur
 
 membre
 
 laboratoire
 
 louse-III.
 
 profes-
 
 Perla Dupuis-Elbaz
 
 Psychanalyste,
 
 C.N.R.S.,
 
 et de psychologie
 
 Rodolphe
 
 de psychologie
 
 à l’université
 
 de Bour-
 
 gogne.
 
 Josiane
 
 tique,
 
 de conférences
 
 en psychopathologie,
 
 en psychologie université
 
 clinique
 
 et
 
 de Toulouse-Le
 
 Mirail.
 
 médecin-chef
 
 licencié
 
 de ser-
 
 en droit.
 
 Hamers
 
 Professeur
 
 Lydia Fernandez Maître
 
 de l’université
 
 de Paris-VIII.
 
 Ph. D., professeur
 
 Michel
 
 de
 
 III.
 
 des hôpitaux
 
 Chargée
 
 université
 
 de Gaulejac
 
 Docteur
 
 Lise Dubé
 
 dienne
 
 de neurobio-
 
 Garnier
 
 Psychiatre,
 
 Dorgeuille
 
 Docteur
 
 laboratoire
 
 Fabienne
 
 Professeur
 
 Médecin
 
 de conférences,
 
 Philippe
 
 Doise
 
 Claude
 
 Maître
 
 Toulouse-III.
 
 Di Giacomo
 
 Charles-de-Gaulle,
 
 du pro-
 
 Sainte-Anne.
 
 Jean-Pierre
 
 Willem
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 au département
 
 université
 
 François
 
 Laval
 
 et linguis-
 
 (Canada).
 
 Hartmann
 
 Chef de clinique, hôpital
 
 de langues
 
 service
 
 du professeur
 
 H. Lôo,
 
 Sainte-Anne.
 
 Pierre Ferrari Professeur
 
 de psychiatrie
 
 de Paris-Sud,
 
 infantile
 
 médecin-chef
 
 à l’université
 
 de la fondation
 
 Val-
 
 Yvette Hatwell Professeur
 
 tale, université
 
 lée (Gentilly).
 
 dès-France Catherine
 
 de psychologie
 
 des sciences
 
 expérimen-
 
 sociales
 
 Pierre-Men-
 
 (Grenoble-II).
 
 Ferron
 
 Psychologue,
 
 Michel Hautefeuille
 
 psychanalyste.
 
 Praticien † Pierre Fouquet Président
 
 émérite
 
 hospitalier,
 
 tan, Paris, Centre
 
 fondateur
 
 de la Société
 
 française
 
 psychiatre, Imagine,
 
 hôpital
 
 Marmot-
 
 Soisy-sous-Montmo-
 
 rency.
 
 d’alcoologie. André Galinowski Chef de clinique,
 
 service
 
 de santé mentale
 
 et de thérapeutique
 
 seur H. Lôo, hôpital
 
 Anne-Marie
 
 de la Haye
 
 Professeur
 
 de psychologie,
 
 université
 
 de Poitiers.
 
 hospitalo-universitaire
 
 Sainte-Anne.
 
 du profes-
 
 Jean-Paul Docteur
 
 Hiltenbrand en médecine,
 
 psychanalyste. XVII
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 André Holley Professeur
 
 Alain Lancry à l’université
 
 directeur
 
 Claude-Bernard,
 
 du laboratoire
 
 de physiologie
 
 Lyon-I, neurosen-
 
 sorielle.
 
 Docteur
 
 en psychologie,
 
 gie à l’université Patrick
 
 Chargé
 
 de recherche
 
 psychologie
 
 sociale
 
 Blaise-Pascal,
 
 (laboratoire
 
 de la cognition),
 
 de
 
 université
 
 C.H.U.,
 
 enseignant
 
 universitaire,
 
 Nancy.
 
 Directeur
 
 Hurtig
 
 de Picardie.
 
 hospitalier,
 
 Jean-Pierre
 
 Clermont-Ferrand.
 
 Marie-Claude Chargée
 
 au C.N.R.S.
 
 de psycholo-
 
 Laure
 
 Praticien
 
 Pascal Huguet
 
 professeur
 
 Lecanuet de recherche
 
 au C.N.R.S.
 
 Pierre Lecocq
 
 de recherche
 
 au C.N.R.S.,
 
 recherche
 
 en psychologie
 
 Provence,
 
 Aix-en-Provence.
 
 centre
 
 cognitive,
 
 de
 
 université
 
 de
 
 Ancien
 
 professeur
 
 versité
 
 de Lille-III.
 
 de psychologie
 
 cognitive,
 
 uni-
 
 Pierre Leconte Tomas
 
 Ibañez
 
 Professeur
 
 Professeur
 
 de psychologie
 
 autonome
 
 de Barcelone
 
 sociale
 
 Docteur
 
 clinique,
 
 titulaire
 
 d’un D.E.A.
 
 en philosophie,
 
 Angela
 
 Jesuino-Ferretto
 
 Titulaire
 
 d’un DESS
 
 de philosophie
 
 et
 
 psychothérapeute.
 
 université
 
 à l’université
 
 de psychologie
 
 de psychologie
 
 clinique
 
 et
 
 Rozenn
 
 de conférences
 
 de Lille-III.
 
 de Paris-V,
 
 du développement,
 
 laboratoire C.N.R.S.
 
 Le Duault
 
 Psychanalyste, dienne
 
 membre
 
 de l’Association
 
 freu-
 
 internationale.
 
 Jouen
 
 Chargé
 
 de recherche
 
 au C.N.R.S.,
 
 université
 
 de
 
 Rouen.
 
 Jacqueline
 
 Légault
 
 Psychiatre,
 
 Robert-Vincent Docteur
 
 ès lettres
 
 et sciences sociale
 
 vence,
 
 Aix-en-Provence.
 
 Michel
 
 Kail
 
 humaines, à l’université
 
 profes-
 
 Professeur
 
 de Pro-
 
 centre
 
 et historien
 
 de la psychologie,
 
 univer-
 
 sité de Paris-V. Michèle
 
 Le Ny entérite
 
 scientifique
 
 Jean-Claude Chargé
 
 Philosophe
 
 psychanalyste.
 
 Jean-François
 
 Joule
 
 seur de psychologie
 
 chophysiologie
 
 Maître
 
 Directeur
 
 de recherche
 
 Martine
 
 cognitive,
 
 Ancienne
 
 Lacôte élève de l’ENS, agrégée
 
 psychanalyste,
 
 membre
 
 La Salpêtrière.
 
 de psychologie
 
 à l’univer-
 
 (Paris-X).
 
 Lerude psychanalyste.
 
 psychanalyste. Claude
 
 Christiane
 
 unité de psy-
 
 Le Rouzo
 
 de conférences
 
 Psychiatre,
 
 de l’Université,
 
 au C.N.R.S.,
 
 au C.N.R.S.
 
 Kress-Rosen
 
 Agrégée
 
 de Paris-Sud,
 
 d’Orsay.
 
 de recherche
 
 Marie-Louise
 
 Kail
 
 à l’université
 
 Lepecq
 
 sité de Nanterre
 
 Nicolle
 
 maître
 
 Roger Lécuyer Professeur
 
 d’un DEA de psychanalyse. François
 
 de psychologie,
 
 de psychologie,
 
 et en psychopathologie
 
 d’une maîtrise
 
 de Lille-
 
 Claire Leconte-Lambert
 
 Cécile Imbert-Collée en psychanalyse
 
 à l’université
 
 III.
 
 à l’université
 
 (Espagne).
 
 Docteur
 
 de psychologie
 
 de philosophie,
 
 de l’Association
 
 freu-
 
 Lévy-Leboyer
 
 Professeur
 
 de psychologie
 
 à l’université
 
 V, directeur
 
 du laboratoire
 
 de psychologie
 
 l’environnement
 
 (associé
 
 Jacques-Philippe
 
 Leyens
 
 de Parisde
 
 au C.N.R.S.).
 
 dienne internationale. Gilbert Lagrue Professeur Mondor, XVIII
 
 émérite, Créteil.
 
 Professeur tabacologue,
 
 hôpital
 
 Henri-
 
 catholique gique.
 
 de psychologie de Louvain,
 
 sociale
 
 à l’université
 
 Louvain-la-Neuve,
 
 Bel-
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 Fabio Lorenzi-Cioldi
 
 Françoise
 
 Maître
 
 d’enseignement
 
 faculté
 
 des sciences
 
 université
 
 et de recherche économiques
 
 de Genève
 
 à la
 
 en biologie,
 
 membre
 
 de l’Association
 
 et d’Espace expérimentale
 
 éditeur
 
 freu-
 
 analytique,
 
 Jacqueline
 
 de Bonneuil.
 
 à l’I.N.S.E.R.M.
 
 sité de Paris-VIII, de psychologie
 
 de psychologie
 
 cognitive,
 
 au Centre université
 
 Psychiatre
 
 d’études
 
 ciation
 
 de Paris-
 
 clinique
 
 Philippe
 
 membre
 
 internationale,
 
 de l’Asso-
 
 ancien
 
 chef de
 
 Oberlé
 
 de conférences
 
 en psychologie
 
 de Paris-X,
 
 sociale
 
 à
 
 Nanterre.
 
 Janine Pages-Berthier
 
 Maugendre
 
 Pharmacien,
 
 univer-
 
 médicale.
 
 l’université
 
 de Paris-VIII.
 
 de psychologie,
 
 (Canada).
 
 freudienne
 
 Maître
 
 Matalon à l’université
 
 humaines,
 
 au C.N.R.S.
 
 et psychanalyste,
 
 Dominique
 
 Professeur
 
 (Suisse).
 
 Nusinovici
 
 à l’univer-
 
 Sud. Benjamin
 
 et sciences
 
 département
 
 sité de Montréal
 
 de Porto (Portugal).
 
 chercheur
 
 ès lettres
 
 de recherche
 
 Valentin
 
 de conférences
 
 of Psychology
 
 co-
 
 Claire Nadeau
 
 Daniel Martins Maître
 
 d’État
 
 Professeur,
 
 à l’université
 
 de Genève,
 
 Nadel
 
 directeur
 
 José Marques Professeur
 
 à l’université
 
 cli-
 
 Pierre Marcie de recherche
 
 ordinaire
 
 du Swiss Journal
 
 Docteur
 
 Chargé
 
 à l’univer-
 
 Mugny
 
 Professeur
 
 à l’École
 
 de cours
 
 (Suisse).
 
 internationale
 
 nicienne
 
 chargée
 
 sité de Paris-V.
 
 et sociales,
 
 Nicole Maya Malet dienne
 
 Morange-Majoux
 
 Docteur
 
 Gabriel
 
 Psychanalyste,
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 Agence
 
 du médicament,
 
 Saint-De-
 
 nis.
 
 Psychologue,
 
 Centre
 
 Jean-Dollfus,
 
 Paris.
 
 Jean Pailhous Directeur
 
 Jean Médioni Professeur
 
 émérite
 
 de l’université
 
 de Toulouse-
 
 de recherche
 
 Claude
 
 Parada
 
 III.
 
 Interne
 
 en psychiatrie.
 
 Daniel Mellier
 
 Luc Passera
 
 Professeur
 
 de psychologie
 
 de l’enfant,
 
 U.F.R.
 
 sciences
 
 de psychologie,
 
 de l’éducation,
 
 Charles
 
 Melman
 
 Ancien
 
 médecin
 
 membre
 
 du développement université
 
 Professeur,
 
 laboratoire
 
 sociologie,
 
 logie animale,
 
 de Rouen.
 
 III.
 
 fondateur
 
 psychiatriques,
 
 de l’Association
 
 Directeur
 
 freudienne
 
 lettres
 
 d’éthologie
 
 C.N.R.S.,
 
 Marie-Germaine des hôpitaux
 
 au C.N.R.S.,
 
 Marseille.
 
 et de psycho-
 
 université
 
 de Toulouse-
 
 Pêcheux
 
 de recherche
 
 et sciences
 
 au C.N.R.S.,
 
 docteur
 
 ès
 
 humaines.
 
 internationale. Guido Peeters Paul Mengal
 
 Maître
 
 Professeur versité
 
 au département
 
 de Paris-XX,
 
 de philosophie,
 
 Val-de-Marne,
 
 uni-
 
 Créteil.
 
 Michka
 
 de recherches
 
 scientifique fesseur
 
 (FWO-Vlaanderen)
 
 à l’université
 
 Juan Antonio
 
 Écrivain,
 
 Paris.
 
 Professeur
 
 Mollaret
 
 Maître
 
 de conférences
 
 en psychologie,
 
 université
 
 de Reims. Jean-Marc
 
 Monteil
 
 Professeur Blaise-Pascal,
 
 de psychologie
 
 sociale
 
 Clermont-Ferrand.
 
 à l’université
 
 de la Recherche [Belgique]
 
 de Louvain
 
 et pro-
 
 (K.U. Leuwen).
 
 Perez de psychologie
 
 de Valencia Patrick
 
 du Fonds
 
 sociale
 
 à l’université
 
 (Espagne).
 
 Jean Périn Professeur
 
 à Paris-VIII,
 
 Anne-Nelly
 
 Perret-Clermont
 
 Professeur
 
 à l’université
 
 directeur
 
 du séminaire
 
 psychanalyste.
 
 de Neuchâtel
 
 (Suisse),
 
 de psychologie. XIX
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 Annick Pétraud-Périn Psychologue
 
 Denis Richard
 
 clinicienne,
 
 psychanalyste.
 
 Chef de service, pitalier
 
 Gilberte
 
 Henri-Laborit,
 
 directeur
 
 de recherche
 
 de psychobiologie
 
 E.P.H.E.-C.N.R.S.,
 
 au C.N.R.S.,
 
 labo-
 
 Jean-François Professeur
 
 du développement,
 
 Piolat
 
 Maître
 
 de conférences
 
 à l’université
 
 de psychologie
 
 de Tilburg Association
 
 chopharmacologie,
 
 Bernard
 
 Rimé
 
 versité
 
 Poirier-Littré hôpital
 
 Sainte-Anne.
 
 du
 
 Professeur
 
 ancien
 
 au centre
 
 professeur
 
 clinique
 
 à l’université
 
 Viviane
 
 Pouthas
 
 Directeur
 
 hospitalier
 
 associé
 
 Sainte-Anne,
 
 de psychopathologie
 
 (Belgique).
 
 au C.N.RS.
 
 Rouquette à l’université
 
 psychophysiologie
 
 Paul-Valéry
 
 de Montpel-
 
 unité de
 
 La Salpêtrière.
 
 Joëlle Provasi de conférences
 
 de psychobiologie
 
 Roy de psychophysiologie
 
 à l’E.P.H.E.,
 
 laboratoire
 
 de
 
 Georges
 
 Ruetsch
 
 Praticien
 
 hospitalier,
 
 psychiatre,
 
 Centre
 
 hospitalier
 
 Henri-Laborit,
 
 Denise
 
 Sainte Fare Garnot
 
 Médecin,
 
 psychanalyste.
 
 Edmonde
 
 Salducci
 
 chef de service, Poitiers.
 
 du développement. Psychanalyste,
 
 Py de conférences
 
 expérimentale,
 
 à l’université
 
 Lille-I.
 
 au C.N.R.S.,
 
 cognitive,
 
 Jean-Claude Professeur
 
 de Paris-VII.
 
 de recherche
 
 Jacques
 
 à l’uni-
 
 lier.
 
 Postel
 
 Médecin-chef
 
 expérimentale
 
 Louvain-la-Neuve
 
 de recherche
 
 Michel-Louis
 
 développement. Jacques
 
 de Louvain,
 
 Directeur de psychobiologie
 
 de psychologie
 
 Hector Rodriguez-Tomé
 
 Porton-Deterne Laboratoire
 
 à l’université
 
 pour la neuro-psy-
 
 Paris.
 
 C.R.I.-I.B.S.E.R.M.,
 
 sociale
 
 (Pays-Bas).
 
 Professeur
 
 C.N.R.S.,
 
 de l’information
 
 John Rijsman
 
 Pharmacologue,
 
 Isabelle
 
 2297 « psy-
 
 de Provence,
 
 Pirot
 
 Marie-France
 
 et traitement
 
 de Paris-
 
 ».
 
 Professeur Sylvain
 
 à l’université
 
 de l’U.R.A.-C.N.R.S.
 
 cognitive
 
 symbolique
 
 Aix-en-Provence.
 
 de psychologie
 
 université
 
 sociale
 
 de Provence,
 
 Aix-en-
 
 Provence.
 
 membre
 
 dienne
 
 internationale.
 
 Patrick
 
 Salvain
 
 de l’Association
 
 freu-
 
 Psychanalyste.
 
 Yvon Queinnec Professeur, université
 
 Alain Savoyant
 
 laboratoire
 
 « Travail
 
 de Toulouse-Le
 
 et Cognition
 
 »,
 
 Chargé
 
 de recherche
 
 François
 
 Rastier
 
 Directeur
 
 Maître
 
 de recherche
 
 au C.N.R.S.
 
 Mirail. Georges
 
 langue
 
 hos-
 
 Richard
 
 VIII, directeur
 
 Paris.
 
 Michel
 
 Maître
 
 Centre
 
 Poitiers.
 
 de psychologie
 
 chologie
 
 Maître
 
 centrale,
 
 Piéraut-Le-Bonniec
 
 Ancien ratoire
 
 pharmacie
 
 au C.N.R.S.
 
 (Institut
 
 de la
 
 Schadron de conférences
 
 chologie
 
 de l’université
 
 au Département catholique
 
 de psy-
 
 de Lille.
 
 française). Benoît Schaal
 
 Stephen
 
 David Reicher
 
 Professeur Maurice
 
 à l’université
 
 Saint-Andrews
 
 (Écosse).
 
 Reuchlin
 
 Professeur
 
 honoraire
 
 de l’université XX
 
 Docteur
 
 de psychologie
 
 de Paris-V.
 
 différentielle
 
 en neurosciences,
 
 chargé
 
 de recherche
 
 au C.N.R.S. Gérard
 
 Schmaltz
 
 Maître
 
 de conférences
 
 l’université
 
 de Lille-I.
 
 de psychophysiologie
 
 à
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 Laurent
 
 Schmitt
 
 Professeur
 
 Josiane
 
 des universités,
 
 chef de service,
 
 vice hospitalo-universitaire psychologie Scania
 
 médicale,
 
 C.H.U.,
 
 et de
 
 Toulouse.
 
 au C.N.R.S.,
 
 docteur
 
 ès
 
 humaines.
 
 dienne
 
 de psychologie
 
 René-Descartes
 
 expérimentale,
 
 uni-
 
 (Paris-V).
 
 Senon
 
 Professeur
 
 des universités,
 
 service
 
 de psychiatrie
 
 Centre
 
 hospitalier
 
 freu-
 
 Thon UFR STAPS,
 
 université
 
 de Toulouse-
 
 III.
 
 Institut
 
 cognitives,
 
 Marc Valleur
 
 et psychologie
 
 médicale,
 
 et C.H.U.,
 
 des hôpitaux,
 
 Centre
 
 médical
 
 Marmot-
 
 tan, Paris.
 
 chef de service,
 
 Henri-Laborit
 
 des sciences
 
 Lyon.
 
 Psychiatre
 
 Jean-Louis
 
 de l’Association
 
 internationale.
 
 Professeur,
 
 Laboratoire
 
 membre
 
 Guy Tiberghien
 
 Juan Segui
 
 versité
 
 Psychanalyste,
 
 Professeur,
 
 de recherche
 
 et sciences
 
 Thomas-Quilichini
 
 Bernard
 
 de Schonen
 
 Directeur lettres
 
 de psychiatrie
 
 ser-
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 Françoise
 
 Poi-
 
 Maître
 
 Van Düuren
 
 de conférences
 
 à l’université
 
 de Lille-III.
 
 tiers. Bernard Xavier Seron Professeur faculté
 
 de Louvain, Pierre Vermersch
 
 unité de neuropsycholo-
 
 Psychologue,
 
 (Belgique).
 
 de l’Association
 
 Docteur
 
 Advocacy-France.
 
 de recherche
 
 ancien
 
 de recherche langage,
 
 sur l’acquisition
 
 U.R.A.
 
 Jean-Pierre
 
 au C.N.R.S.,
 
 1031,
 
 du
 
 Paris-V.
 
 gie et comportement,
 
 université Jean-Pol
 
 laboratoire université
 
 Collège
 
 et de recherche
 
 de neurobiolo-
 
 de Toulouse-III.
 
 directeur
 
 du Centre
 
 en psychopathologie,
 
 de Toulouse-Le
 
 Mirail.
 
 René-Descartes de recherche
 
 de psycho(Paris-V),
 
 en psychologie
 
 du
 
 Weil ès lettres,
 
 maître
 
 de conférences,
 
 univer-
 
 Annick Weil-Barais Professeur
 
 de psychologie,
 
 université
 
 d’Angers.
 
 Yzerbyt
 
 Professeur
 
 à l’université
 
 unité de psychologie
 
 catholique
 
 sociale,
 
 de Louvain,
 
 Louvain-la-Neuve
 
 (Belgique).
 
 Tassin
 
 de France,
 
 Dominique
 
 Vincent
 
 des universités,
 
 Neuropharmacologue,
 
 honoraire
 
 sité de Strasbourg-I.
 
 Henri Sztulman
 
 d’études
 
 professeur
 
 directeur
 
 Docteur
 
 Suzzoni
 
 de conférences,
 
 Professeur
 
 au C.N.RS.
 
 développement.
 
 laboratoire
 
 et la pathologie
 
 d’État,
 
 logie à l’université
 
 Sprenger-Charolles
 
 Chargée
 
 chercheur
 
 Eliane Vurpillot
 
 Sola
 
 Présidente
 
 Maître
 
 catholique
 
 de psychologie,
 
 Martine
 
 Liliane
 
 Psychanalyste.
 
 à l’université
 
 gie cognitive
 
 Vandermersch
 
 Tania Zittoun directeur Paris.
 
 INSERM
 
 U114,
 
 Chercheur châtel
 
 en psychologie
 
 à l’université
 
 de Neu-
 
 (Suisse).
 
 XXI
 
 Liste des abréviations
 
 Liste des abréviations
 
 des rubriques
 
 ANIMAL.
 
 Psychologie
 
 animale
 
 BIOL.
 
 Biologie
 
 CARACTÉROL. DÉVELOP.
 
 Caractérologie Psychologie
 
 de l’enfant
 
 DIFFÉR.
 
 et du développement
 
 Psychologie
 
 différentielle Éthologie.
 
 ÉTHOL.
 
 GÉNÉR.
 
 Psychologie
 
 générale,
 
 expérimentale
 
 et cognitive
 
 LING.
 
 Linguistique
 
 LOG. MATH.
 
 Logique Mathématiques
 
 NEUROBIOL.
 
 Neurobiologie
 
 NEUROPSYCHOL.
 
 Neuropsychologie
 
 PSYCHAN.
 
 Psychanalyse
 
 PSYCHIATR.
 
 Psychiatrie
 
 PSYCHOL.
 
 Psychologie
 
 PSYCHOPHYS.
 
 Psychophysique
 
 Psychophysiol.
 
 Psychophysiologie
 
 PSYCHOSOCIOL.
 
 Psychosociologie
 
 RÉFLEX.
 
 Étude des réflexes
 
 SOCIAL.
 
 Psychologie
 
 STAT. THÉRAP. TOXICOL. TYPOL.
 
 et logique
 
 sociale
 
 Statistique Thérapie
 
 et psychothérapie Toxicologie Typologie
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 Liste des abréviations
 
 ordinaires
 
 adj.
 
 adjectif
 
 allem.
 
 allemand
 
 amér.
 
 américain
 
 angl.
 
 anglais
 
 art.
 
 article
 
 coll.
 
 collaborateurs
 
 contr.
 
 contraire
 
 dir.
 
 sous la direction
 
 Éd. ou éd.
 
 édition
 
 Éd(s)
 
 Éditeur(s) [directeur(s)
 
 de la publication]
 
 Fig.
 
 Figure
 
 fr. n. m., f.
 
 de
 
 français nom masculin,
 
 féminin
 
 p.
 
 page
 
 pl.
 
 pluriel
 
 syn.
 
 synonyme
 
 tr., trad.
 
 traduction
 
 v.
 
 voir
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 A rement
 
 A (TYPE) (angl. Type A, A-Type Personality)
 
 Selon
 
 une définition
 
 ressentie
 
 ou redoutée
 
 table, comme dans l’attente
 
 empirique,
 
 en-
 
 semble des observations faites sur des sujets particulièrement susceptibles d’être atteints par certains troubles cardio-vasculaires. M. R.
 
 toujours
 
 virtuellement
 
 la réalisation advient,
 
 de la réalité vient alors se substituer
 
 ciation
 
 l’histoire d’abandon
 
 réelle d’abansouvent
 
 du patient
 
 dans
 
 des épisodes
 
 réel ou de deuil, de rejet par les
 
 parents à l’occasion de divorce
 
 de discorde
 
 conjugale,
 
 ; mais on sait par ailleurs
 
 beaucoup
 
 d’enfants
 
 orphelins,
 
 que
 
 ou séparés
 
 très jeunes de leurs parents, ne deviendront pas pour autant
 
 des abandonniques.
 
 donc chez ces derniers ou des interactions
 
 Il y a
 
 une prédisposition
 
 parentales
 
 pathogènes
 
 très précoces qui en ont fait des sujets hypersensibles, caractériel,
 
 anxieux,
 
 instables sur le plan
 
 fragiles sur le plan émotionnel,
 
 et réagissant
 
 en général
 
 fort
 
 mal à toute
 
 frustration. psychologique,
 
 à la fois une souffrance repli
 
 il y a chez eux
 
 de déréliction,
 
 sur soi, une autodévalorisation, et à des positions
 
 même temps l’autre,
 
 à perpétuellement
 
 et en
 
 impulsif.
 
 Faure, le problème eux « de l’ordre
 
 Comme psychoaffectif
 
 d’une frustration
 
 l’a vu J. L. est chez imaginai-
 
 incapacité
 
 de la volonté,
 
 par
 
 une aboulie
 
 par
 
 d’un comportement
 
 et des paraboulies idéative,
 
 rationnel,
 
 dues à une obsession
 
 une idée fixe impulsive
 
 ou une
 
 phobie.
 
 chez l’enfant
 
 à partir
 
 d’avidité
 
 affective insatiable
 
 tionnelle
 
 que conflictuelle) d’angoisse,
 
 d’un fond
 
 Abraham
 
 (Karl)
 
 Médecin
 
 et psychanalyste
 
 (Brême
 
 1877-Berlin
 
 allemand
 
 1925).
 
 travaille
 
 ghölzli,
 
 avec E. Bleuler
 
 l’hôpital
 
 au Bur-
 
 psychiatrique
 
 de Zurich.
 
 (plus constitu-
 
 Il y rencontre
 
 C. Jung, qui l’initie
 
 et par une asso-
 
 de S. Freud.
 
 Il fonde
 
 d’agressivité
 
 nelle, de non-valorisation
 
 J. P.
 
 Il
 
 réaction-
 
 de soi (non aimé et de mentalité
 
 de
 
 tion psychanalytique branche
 
 en 1910 l’Associade Berlin,
 
 de l’Association
 
 internationale,
 
 aux idées première
 
 psychanalytique
 
 dont il devient
 
 le président
 
 catastrophe
 
 avec risque de passages à l’acte
 
 en 1925. Il est l’un de ceux qui ont le plus
 
 suicidaires.
 
 Guex distinguait
 
 contribué
 
 négatif-agressif
 
 deux types : le
 
 passant facilement
 
 à l’acte,
 
 et le positif-aimant
 
 de pronostic
 
 rable.
 
 de cette névrose
 
 L’isolement
 
 contesté
 
 (en particulier
 
 J. Favez-Boutonier)
 
 tant sur le plan struc-
 
 que le caractère
 
 existe comme spécifique
 
 a été
 
 par D. Lagache et
 
 turel que sur le plan clinique. pas moins
 
 plus favo-
 
 Il n’en reste
 
 abandonnique
 
 un mode de réaction
 
 de certaines
 
 assez
 
 personnalités
 
 fra-
 
 à la diffusion
 
 hors de Vienne.
 
 de la psychanalyse
 
 Sa contribution
 
 person-
 
 nelle est très riche : introduction tion d’objet
 
 partiel,
 
 sus d’introjection
 
 définition
 
 de la nodes proces-
 
 et d’incorporation,
 
 des stades prégénitaux.Outre
 
 étude
 
 sa correspon-
 
 dance avec Freud, son oeuvre comporte nombreux
 
 états limites,
 
 et par d’autres
 
 psychonévroses berg).
 
 Examen de l’étape la plus précoce de la libido (1916). R. L.
 
 généralement
 
 dans celui des
 
 narcissiques
 
 La psychothérapie
 
 (O. Kern-
 
 peut les aider,
 
 de type orthodoxe
 
 inopérante
 
 de
 
 ouvrages : Rêve et Mythe (1909),
 
 giles classées par certains dans le cadre des
 
 ABRÉACTION n.f. (angl. Abreaction
 
 ; allem. Abreagieren)
 
 est
 
 et déconseillée. J. P.
 
 Apparition conscience
 
 dans le champ de la d’un affect jusque-là re-
 
 foulé. Certains
 
 ABOULIE n.f. (angl. Aboulia ou Abulia)
 
 ressentis
 
 actualité,
 
 Diminution indécision
 
 de la volonté et impuissance
 
 C’est un trouble psychasthènes
 
 affects, qui n’ont
 
 malement
 
 agresser
 
 dans une sorte de comportement
 
 réactionnel
 
 noso-
 
 des
 
 infantiles,
 
 impuissance
 
 une aboulie
 
 Celle-ci
 
 un
 
 tendances à régresser vers un retour au sein maternel
 
 et G.
 
 par cet abandonnisme
 
 mais la psychanalyse
 
 À l’analyse
 
 une entité
 
 d’abandon.
 
 parce que non aimable)
 
 on trouve
 
 infantile
 
 d’isoler
 
 serait caractérisée
 
 ses parents
 
 Sans doute,
 
 suisses C. Odier
 
 la névrose
 
 développé
 
 port avec une situation don.
 
 (avec P. Foulquié)
 
 à l’at-
 
 ».
 
 ont tenté
 
 logique,
 
 sans rap-
 
 l’atténue,
 
 tingue
 
 dans la mesure sans doute où l’expérience
 
 Sentiment et état psychoaffectif d’insécurité permanente, liés à la crainte irrationnelle d’être abandonné par ou ses proches,
 
 elle
 
 sur ce senti-
 
 ment ou même, paradoxalement,
 
 Guex Complex)
 
 si par accident
 
 s’avère sans influence
 
 Les psychanalystes ABANDONNISME n.m. (angl. Abandonment
 
 d’un abandon
 
 possible (mais dont
 
 concrète,
 
 tente imaginaire)
 
 TYPE A ET TYPE B
 
 et inaccep-
 
 entraînant à agir.
 
 assez fréquent
 
 et les obsessionnels.
 
 au moment
 
 se sont trouvés
 
 l’inconscient le souvenir
 
 pas été norde leur
 
 maintenus
 
 dans
 
 en raison de leur liaison avec d’un
 
 traumatisme
 
 chez les
 
 Affects et souvenirs
 
 On dis-
 
 refoulés
 
 psychique.
 
 ainsi liés ont alors été
 
 à cause de leur caractère pénible.
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 Lorsque
 
 l’affect
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 et la verbalisation
 
 venir font irruption la conscience,
 
 en même temps dans
 
 l’abréaction
 
 se manifeste
 
 du sou-
 
 se produit
 
 et
 
 par des gestes et des paroles
 
 explicitant
 
 ces affects.
 
 l’abréaction
 
 a lieu
 
 R. C.
 
 de toute
 
 boisson
 
 alcoolique. P. F.
 
 ABSTRACTION
 
 au cours d’une sur
 
 n.f. (angl. Abstraction) ABSTINENCE n.f. (angl. Abstinence, Teetotalism)
 
 R. L.
 
 ABSENCE n.f. (angl. Absence)
 
 (5
 
 d’atténuation
 
 ou
 
 à 12 de
 
 se manifestant
 
 suspension
 
 de
 
 de par
 
 l’activité
 
 avec conservation amnésie
 
 lacunaire
 
 la une
 
 des au-
 
 et suivie
 
 d’une
 
 des événements
 
 de
 
 cette période.
 
 riques.
 
 se rencontre
 
 Mais
 
 chez les hysté-
 
 elle constitue
 
 variété de crise épileptique gnant
 
 surtout
 
 une
 
 ne s’accompa-
 
 pas de manifestations
 
 généralisées,
 
 convulsives
 
 très caractéristique
 
 de l’épilep-
 
 sie infanto-juvénile.
 
 Elle se traduit
 
 troencéphalographie
 
 par des pointes-ondes
 
 et synchrones
 
 à l’élec-
 
 la fin du paroxysme
 
 ABSINTHE n.f. (angl. Absinthe)
 
 obtenue plante
 
 par
 
 absinthium),
 
 variété
 
 macération
 
 dans
 
 l’alcool
 
 répétée
 
 manifestations
 
 toxiques
 
 et dont
 
 des
 
 (psychiques
 
 de l’absinthine,
 
 propriétés
 
 tives. C’est dans l’association
 
 de
 
 riche en
 
 de la toxicité (le titre
 
 70 %) que résident
 
 le
 
 secret de la « fée verte » et le ressort de ses maléfices. C’est à partir thisme
 
 des années 1870 que l’absin-
 
 se répandit
 
 tiques et littéraires,
 
 dans les milieux
 
 l’apparition
 
 populaire,
 
 voire
 
 à la fin du siècle et de prendre
 
 les proportions de l’absinthe
 
 artis-
 
 avant de se généraliser
 
 (avec une connotation interlope)
 
 d’un fléau. L’interdiction (1915 en France) a déterminé
 
 ou
 
 mais
 
 sations
 
 médicales
 
 peuvent
 
 aider
 
 aussi
 
 tabac, l’alcool
 
 ou thérapeutiques avec le
 
 toxication,
 
 l’objet
 
 ayant pour objectif l’apprentissage)
 
 Son instaura-
 
 des cures* de désin-
 
 confortées
 
 à l’expres-
 
 de ». L’abstraction
 
 est souvent, en psychologie
 
 cognitive,
 
 par des postcures*
 
 le réapprentissage
 
 (ou
 
 d’une vie affective, sociale
 
 libre de dépendance
 
 aux psy-
 
 chotropes.
 
 sélec-
 
 tive ». Elle a une grande importance
 
 dans la
 
 des activités intellectuelles.
 
 damment
 
 un objet indépen-
 
 de sa couleur,
 
 ou de sa forme,
 
 ou de ceux qui mange(nt),
 
 de celui
 
 de ce qui y est
 
 mangé, du lieu où il se déroule, l’un et l’autre
 
 cas on néglige
 
 pects, certaines parties
 
 ou certains
 
 Cette activité tement
 
 etc. Dans
 
 certains
 
 caractéristiques, objets
 
 cognitif
 
 as-
 
 certaines
 
 constituants.
 
 relève du dispositif des individus
 
 roule sur de courtes J.-L. S.
 
 reliée
 
 à l’« attention
 
 etc., un repas indépendamment
 
 durable permet seule de venir
 
 de la dépendance.
 
 correspond
 
 Ainsi on peut considérer
 
 ou les drogues.
 
 L’abstinence
 
 Cette acception
 
 plupart
 
 des préconi-
 
 un sujet à rompre
 
 d’autres.
 
 ou même assimilée
 
 motivations,
 
 en accord avec un contexte
 
 précis,
 
 de trai-
 
 et elle se dé-
 
 durées (des secondes
 
 ou des minutes).
 
 LES TÂCHES
 
 ABSTINENCE (RÈGLE D’) (angl. Rule of Abstinence ; allem. Abstinen
 
 La réussite
 
 zregel)
 
 mise en évidence
 
 Principe selon lequel le travail de la cure ne peut être mené à bien que s’il exclut ce qui pourrait pallier dans l’immédiat les diffiultés névrotiques
 
 de classification
 
 du sujet, notamment les satisfactions qu’il pourrait trouver en réponse à l’amour de transfert.
 
 demande
 
 S. Freud estime que l’énergie
 
 réinvestie
 
 psychique
 
 disponible
 
 pour la
 
 sur des objets extérieurs
 
 vail lui-même. patients
 
 Aussi
 
 de prendre
 
 décisions
 
 à l’analyste lui suffire
 
 leur cure des
 
 le sujet
 
 qui pourraient
 
 désormais
 
 qui conduit
 
 décision cures.
 
 importante Mais,
 
 d’abstinence
 
 du principe
 
 qui se distinguent
 
 et leur taille, par exemple, à ce sujet de « mettre
 
 leur
 
 et qu’on ensemble
 
 tous les objets grands », il devra faire abstraction
 
 de la couleur
 
 lui demande, regrouper réussir
 
 et de la forme. Si on
 
 de façon plus complexe,
 
 de
 
 « tous les objets qui sont grands » (ou « ronds »), il ne pourra
 
 cette tâche qu’en écartant
 
 tous les
 
 objets petits, même s’ils sont ronds, et tous les objets carrés, même s’ils sont grands, et
 
 etc., c’est-à-dire
 
 ensemble en faisant
 
 aussi bien des abstraction
 
 de
 
 comporter
 
 un
 
 la couleur.
 
 Rôle des critères
 
 ont toute
 
 le temps
 
 des
 
 nombre
 
 tâches
 
 peuvent
 
 plus ou moins
 
 de classification, sion prenant
 
 grand
 
 de facteurs
 
 et divers critères de déci-
 
 en compte
 
 exemples précédents
 
 ces facteurs
 
 illustrent
 
 : les
 
 l’usage d’un
 
 historiquement,
 
 le principe
 
 seul critère, ou de deux. Ces tâches peuvent
 
 a eu cette valeur
 
 de remettre
 
 naturellement
 
 de l’analyste
 
 S. Ferenczi,
 
 à interdire
 
 durant
 
 en cause la représentation tralité
 
 forme
 
 au
 
 d’absti-
 
 Les psychanalystes
 
 renoncé
 
 d’objets
 
 les uns des autres par leur couleur,
 
 De telles
 
 généralement
 
 : si on présente à un sujet
 
 beaucoup
 
 changement.
 
 nence est délicate.
 
 dans les tâches simples
 
 objets bleus que des objets verts ou rouges,
 
 affectives
 
 actuelle
 
 est bien
 
 il recommande
 
 nécessaire le travail
 
 L’évaluation
 
 activité
 
 aussi en mettant
 
 de gratifier
 
 et rendre
 
 un ensemble
 
 telle
 
 pour la suite de
 
 également,
 
 d’éviter
 
 de satisfactions moins
 
 durant
 
 aux
 
 DE CLASSIFICATION
 
 d’une
 
 et circulaires
 
 au tra-
 
 déconseille-t-il
 
 très importantes
 
 nettement
 
 des apéritifs anisés. R. L.
 
 2
 
 De semblables
 
 leur vie. Ainsi,
 
 psychoac-
 
 et de celle de l’alcool
 
 jadis jusqu’à
 
 morales
 
 nombre
 
 cette situation qu’un certain
 
 sion « faire abstraction
 
 de motivations
 
 cure que si elle n’est pas immédiatement
 
 et en son dérivé oxydé, la thuyone,
 
 de la thuyone
 
 sexuels - la continence,
 
 ne peut être vraiment
 
 et amère. Elle recèle aussi de
 
 qui a d’importantes
 
 allait
 
 la
 
 entraîne
 
 0,2 à 0,5 % d’une huile aromatique thuyol
 
 après
 
 majeures.
 
 contient
 
 nature tonique
 
 (Artemisia
 
 d’armoise,
 
 consommation
 
 L’absinthe
 
 distillation
 
 aromatique
 
 et neurologiques)
 
 volon-
 
 religieuses,
 
 généralement
 
 à bout
 
 » l’abstention
 
 -, en fonction
 
 culturelles. social
 
 d’abord
 
 particulière donnée, un individu néglige certaines parties ou certaines
 
 critique.
 
 ÉPILEPSIE
 
 d’une
 
 la chasteté
 
 on entendait
 
 dès J. P.
 
 Liqueur
 
 taire des plaisirs
 
 et culturelle
 
 à une fréquence
 
 de 2-3 cycles par seconde, disparaissant
 
 « abstinence
 
 tion constitue
 
 du « petit
 
 mal », forme la plus fréquente
 
 bilatérales
 
 caractéristiques de pour n’en retenir
 
 essentiellement
 
 volontaire
 
 habituelle
 
 moteurs,
 
 L’absence
 
 (alcool, par
 
 secondes)
 
 perte
 
 conscience,
 
 tomatismes
 
 tif
 
 tabac ou drogue).
 
 par
 
 de traitement cognidans une situation
 
 Abstention volontaire et durable de la consommation d’un produit susceptible de donner lieu à dépendance Anciennement,
 
 période
 
 Activité laquelle,
 
 GÉNÉR. 1.
 
 l’analyste.
 
 Courte
 
 qui paralysent
 
 le travail analytique.
 
 lors de la levée de la
 
 et grâce au transfert
 
 répétitives
 
 Se dit de qui refuse la consommation
 
 Le plus souvent,
 
 résistance à cette irruption, cure analytique
 
 taines pratiques
 
 ABSTÈME adj. et n. (angl. adj. Abstemious, n. Abstainer)
 
 d’une totale neu-
 
 : c’est ce qui apparaît
 
 dans la « technique qui proscrit
 
 active », de
 
 notamment
 
 cer-
 
 d’objets,
 
 concerner
 
 ou d’entités
 
 objets (par exemple,
 
 toutes
 
 sortes
 
 qui ne sont pas des lors d’une classifica-
 
 tion des pays selon les critères de taille de la population
 
 et de revenu national).
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 Utilisation
 
 dans les tests
 
 Ces tâches expérimentales
 
 mations
 
 peuvent être uti-
 
 lisées, dans une perspective
 
 de psychologie
 
 générale ou comparative
 
 (par exemple,
 
 cours du développement
 
 de l’enfant),
 
 l’étude des activités généralement traction
 
 intellectuelles,
 
 de l’intelligence,
 
 est une composante
 
 pour
 
 ou plus
 
 dont l’abs-
 
 sous forme
 
 de test mental
 
 et permettre
 
 l’état des capacités
 
 chologie
 
 en psychologie
 
 du
 
 ou en psychopathologie,
 
 pour déterminer
 
 les détériorations
 
 capacités, etc. Bien que l’intérêt
 
 de ces
 
 de tels tests
 
 soit très grand et qu’ils appartiennent batteries
 
 qu’ils
 
 pourraient
 
 à de
 
 psychométriques,
 
 il faut naturellement
 
 se garder
 
 fournir
 
 a fortiori,
 
 de façon simple
 
 de l’« intelligence
 
 MODIFICATION
 
 On peut utiliser
 
 et,
 
 ».
 
 par exemple,
 
 les stocke tuelle.
 
 ensemble
 
 semblables
 
 de problème.
 
 férentes,
 
 générales et
 
 censé disposer
 
 déjà de la connaissance,
 
 ou implicite,
 
 de ce qu’est
 
 taille,
 
 une couleur,
 
 une forme,
 
 à-dire
 
 des facteurs
 
 de classification,
 
 leur relation
 
 c’est le critère de classification, demeurant à changer
 
 classification
 
 sa classifiensemble
 
 constant.
 
 ainsi
 
 de critère
 
 très importante
 
 de l’abstraction. troisième
 
 tout le reste
 
 de
 
 est une seconde caractéris-
 
 tique cognitive
 
 capacité
 
 d’une
 
 : celle qui consiste
 
 et de
 
 une taille,
 
 etc.). On
 
 est explicite
 
 si
 
 dans le langage qui
 
 et implicite
 
 ou procédurale
 
 Parmi
 
 le ou les bon(s) critère(s)
 
 fication,
 
 lorsque ceux-ci ne sont pas fournis
 
 de classi-
 
 ou par l’expérimentateur.
 
 Le sujet doit, en général, essayer plusieurs critères, et les changer s’ils sont inadaptés.
 
 les facteurs
 
 catégorie
 
 de classification,
 
 essentielle
 
 caractéristiques En psychologie,
 
 on parle
 
 d’attributs
 
 pour désigner
 
 téristiques
 
 ou propriétés
 
 pour désigner
 
 par les
 
 des objets.
 
 ordinairement de telles carac(telles
 
 celles
 
 et de valeurs d’attribut*
 
 leurs modalités
 
 (telles que
 
 leur », « petit » ou « moyen » pour l’attribut « taille », « carré » ou « rond » pour l’attribut « forme », etc.). On considère damental décrire
 
 DE PROBLÈMES
 
 « cou-
 
 le fait suivant
 
 comme
 
 : il est possible de
 
 les objets, et les concepts à partir
 
 (et de la disjonction)
 
 fon-
 
 qui leur
 
 de la conjonction
 
 de valeurs d’attribut.
 
 dif-
 
 extraient
 
 cognitive,
 
 de l’information
 
 décrit
 
 générale
 
 d’abstraction
 
 différent
 
 précédemment.
 
 Il s’étend
 
 des semaines
 
 ou des mois)
 
 les structures
 
 de la mémoire
 
 alors que l’abstraction
 
 (des jours,
 
 et détermine à long terme,
 
 initialement
 
 relève de la mémoire
 
 décrite
 
 de travail.
 
 Le langage y joue un rôle déterminant ne cesse de croître
 
 qui
 
 avec l’âge du sujet et
 
 aussi avec le développement
 
 cognitif
 
 les attributs quement
 
 abstraits
 
 ne sont psychologi-
 
 maniables
 
 qu’à la condition
 
 être nommés. nombre
 
 de connaissances
 
 sont in-
 
 dans les sociétés modernes,
 
 Propriété d’un concept, ou d’une signification de mot, qui les rend plus ou moins abstraits, par LOG.
 
 LING.
 
 ET
 
 comparaison concrets).
 
 avec d’autres
 
 La caractéristique distinguer
 
 (dits
 
 d’abstraction,
 
 des activités
 
 plus
 
 qu’il faut
 
 d’abstraction,
 
 s’ap-
 
 plique aux concepts et aux significations mots. On peut dire que l’abstraction propriété
 
 des concepts au même titre que la
 
 et la grandeur
 
 des objets. Ainsi,
 
 le concept
 
 latère » est abstrait le concept
 
 sont des propriétés par comparaison
 
 de « prairie
 
 signification
 
 de « quadriavec
 
 », de même que la
 
 du mot « végétal » (significa-
 
 tion qui, normalement,
 
 coïncide
 
 aussi avec
 
 celle du mot « salade ». Par extension,
 
 typiquement problèmes.
 
 Le dernier
 
 correspond
 
 aux tâches de résolution
 
 creux, en faïence, etc.
 
 de
 
 La réussite y dépend très large-
 
 ment de la sélection des bons critères, ceux qui sont pertinents On a montré simples
 
 par rapport
 
 que dans
 
 d’arithmétique
 
 l’école du premier
 
 provient
 
 Celle-ci
 
 relationnelles
 
 des objets
 
 ou des entités
 
 ») l’échec
 
 le plus souvent d’informations
 
 attention,
 
 formations
 
 les relations,
 
 les et
 
 des ininfor-
 
 perceptive.
 
 (par exemple le nombre, formes,
 
 la récursivité
 
 sous ses diverses
 
 d’un nombre,
 
 manipuler
 
 la vali-
 
 ou d’une méthode,
 
 d’une procédure,
 
 le produit
 
 brut dans une économie nationale,
 
 etc.) sont aussi des attributs, difficiles
 
 avec on
 
 pourra parler de l’« abstraction d’un mot » : on désigne ainsi ce qui est, en toute rigueur, l’« abstraction
 
 de la signification
 
 de ce
 
 mot ».
 
 que les précédents ; les attributs
 
 progressivement conceptuelles.
 
 Il est commode
 
 de considérer
 
 priété des concepts l’appeler traction
 
 plutôt
 
 comme
 
 graduée et de
 
 « degré ou niveau
 
 ». Cela implique
 
 subdiviser
 
 cette pro-
 
 les concepts ou les significations
 
 en seulement
 
 deux classes, auxquelles
 
 appliquerait
 
 les termes
 
 d’« abstrait
 
 on » et
 
 de « concret », mais en beaucoup plus.
 
 plus
 
 Bien entendu,
 
 le degré d’abstraction
 
 à acquérir
 
 et à
 
 pas strictement
 
 mesurable,
 
 des hiérarchies
 
 d’abs-
 
 qu’on ne doit pas
 
 toutefois
 
 se complexifient
 
 et forment
 
 LES DEGRÉS D’ABSTRACTION
 
 Au-delà,
 
 la masse ou la vitesse d’un corps,
 
 dité d’un raisonnement national
 
 que
 
 perceptifs)
 
 en considération
 
 concernant
 
 ils
 
 mais qui
 
 exige souvent
 
 d’origine
 
 le caractère premier
 
 pour la résolution
 
 (notamment
 
 que l’on prenne
 
 de
 
 l’est par comparaison
 
 (ceux déjà cités) sont essengéométriques,
 
 l’on néglige les critères de classification plus habituels
 
 Les
 
 arithmétiques,
 
 dans les données et auxquelles
 
 du problème.
 
 et concepts, et de leurs relations.
 
 les propriétés
 
 de
 
 fournies
 
 ne sont pas pertinentes
 
 de tels at-
 
 (problèmes
 
 tiennent
 
 à porter
 
 ou la maîtrise
 
 donc
 
 tiellement
 
 ce qu’ils
 
 sont habitués
 
 tributs
 
 repose
 
 des problèmes
 
 de trains
 
 compte
 
 cognitif
 
 sur la connaissance plus simples
 
 degré, du type « robi-
 
 nets » ou « parcours des écoliers
 
 à l’objectif.
 
 Le fonctionnement
 
 de
 
 est une
 
 un objet généralement
 
 tâches cognitives.
 
 au
 
 moyen du langage.
 
 se retrouve
 
 plat ou
 
 de
 
 Au reste, un très
 
 un concept),
 
 circulaire,
 
 des
 
 sociétés, dans la mesure où les concepts et
 
 Ainsi, une assiette peut être décrite comme
 
 toutes les
 
 en
 
 concep-
 
 La mise en oeuvre de ces modes d’activité dans pratiquement
 
 de
 
 sont ensuite stoc-
 
 sur des durées longues
 
 forme
 
 généralement
 
 Celles-ci
 
 est un processus
 
 troduites, une
 
 est constituée
 
 ou propriétés
 
 correspondent, RÉSOLUTION
 
 D’ATTRIBUT
 
 RÔLE DES VALEURS
 
 et partiellement
 
 générale, qui se constitue
 
 Cette extraction
 
 grand
 
 LE
 
 partiel-
 
 tuelle.
 
 pouvoir
 
 « rouge » ou « bleu » pour l’attribut à
 
 trouver
 
 LA
 
 etc., c’est-
 
 aux objets (du fait qu’un bloc
 
 citées plus haut),
 
 qui relève
 
 Elle est le support
 
 par la situation
 
 une
 
 dans le cas contraire.
 
 les carrés bleus ». Ce que l’on change ainsi,
 
 La capacité
 
 le sujet est
 
 s’effec-
 
 de situations
 
 kées dans la mémoire
 
 de celui
 
 du sujet qu’il « mette
 
 cation et de « mettre maintenant
 
 de la situation
 
 concep-
 
 On
 
 de la mise en
 
 les individus
 
 connaissances.
 
 plutôt
 
 lui correspond,
 
 : après avoir,
 
 de modifier
 
 d’où
 
 cognitif.
 
 qu’elle
 
 à partir
 
 lement
 
 Dans les exemples précédents,
 
 les objets grands et ronds », on
 
 peut lui demander
 
 tue par abstraction
 
 est une clé essen-
 
 dans sa mémoire
 
 le sujet peut l’exprimer
 
 encore cette même situa-
 
 obtenu
 
 faire
 
 Activité d’apprentissage par à partir d’un ensemble de
 
 de bois a une forme,
 
 DES CLASSIFICATIONS
 
 tion de façon plus complexe
 
 généralement d’ensembles
 
 dira que cette connaissance
 
 LA
 
 considère relation
 
 des connaissances
 
 explicite
 
 de penser
 
 une mesure de la capacité d’abstraction
 
 à toutes
 
 situations partiellement semblables et partiellement différentes, un sujet extrait
 
 un aspect très
 
 du développement
 
 non per-
 
 des caractéristiques
 
 d’une situation
 
 laquelle,
 
 en psy-
 
 développement,
 
 nombreuses
 
 tinentes
 
 constitue
 
 important
 
 : savoir
 
 D’ATTRIBUT
 
 VALEURS
 
 et il
 
 l’information
 
 abstractives
 
 Elles sont utilisées
 
 différentielle,
 
 abstraction
 
 GÉNÉR. 2.
 
 se présenter
 
 d’un individu.
 
 intellectuelles
 
 tielle de toute résolution
 
 aussi
 
 portée
 
 semble qu’ils soient généralisables les activités
 
 L’ACQUISITIONDES Leur acquisition
 
 ont une grande
 
 essentielle.
 
 peuvent
 
 et plus
 
 abstraites que les précédentes. Ces résultats
 
 au
 
 Ces tâches de situer
 
 qui sont moins familières
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 estimé et exprimé
 
 mais il peut être
 
 au moyen de techniques
 
 et d’échelles. Ainsi on dira, en utilisant jugements
 
 n’est
 
 ordonnés,
 
 des
 
 que « être vivant » est 3
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 à un niveau
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 d’abstraction
 
 « animal », celui-ci lui-ci
 
 plus élevé que
 
 que « mammifère
 
 que « chien », celui-ci
 
 celui-ci
 
 », ce-
 
 » : on a dans
 
 ce cas 6 degrés ou niveaux d’abstraction.
 
 le niveau
 
 de difficultés
 
 d’abstraction
 
 appartiennent distincts
 
 ses extrémités.
 
 que « setter »,
 
 que « setter irlandais
 
 On a davantage
 
 vers le milieu de l’échelle plutôt qu’à une de
 
 ATTENTION,
 
 ATTRIBUT,
 
 COMPRÉHENSION, NIVEAU,
 
 à comparer
 
 de concepts
 
 J.-F. L. N.
 
 qui
 
 à des domaines sémantiques
 
 EXTENSION,
 
 SÉLECTIF,
 
 SÉLECTION
 
 Bibliographie P. H., Norman,
 
 de l’information
 
 cule » est-il situé à un niveau d’abstraction
 
 introduction
 
 plus élevé que celui d’« animal
 
 Éditions
 
 », ou l’in-
 
 CONCEPT,
 
 PROBLÈME,
 
 Lindsay,
 
 : par exemple, le concept de « véhi-
 
 CLASSIFICATION,
 
 D. A., 1980, Traitement
 
 et comportement à la psychologie.
 
 humain.
 
 pour
 
 fournir
 
 expérimentales
 
 éprouvées,
 
 des estimations
 
 du niveau
 
 d’abstraction des domaines.
 
 Trad. fr. Montréal,
 
 RÉFLÉCHISSANTE
 
 introduite
 
 des échelles et élaboré des « tables » qui in-
 
 différencier
 
 diquent
 
 sur les objets
 
 le niveau comparatif
 
 d’abstraction
 
 d’un ensemble de concepts, ou de significa-
 
 tion
 
 tions de mots.
 
 élevés sur une échelle. C’est un sens légèrement différent
 
 du précédent
 
 d’abstrac-
 
 d’un
 
 relevant
 
 ET COMPRÉHENSION
 
 d’abstraction/concrétude
 
 corrélée à celle de « généralité/spécificité plus un concept
 
 est abstrait,
 
 néral, et, inversement,
 
 porte
 
 préhension
 
 » d’un
 
 une loi logique
 
 leur organisation.
 
 des propriétés
 
 », dite
 
 de se référer
 
 nouveaux,
 
 à
 
 la réalité de
 
 nouveau
 
 construites
 
 ont confirmée.
 
 Il existe aussi
 
 empirique
 
 élevée entre le
 
 des concepts
 
 « degré de familiarité corrélé
 
 et leur
 
 » (qui est lui-même
 
 à des fréquences,
 
 celle des mots
 
 et celle des objets ou des situations). doit mentionner
 
 aussi la corrélation
 
 entre le niveau d’abstraction d’imagerie
 
 », appliqués
 
 On élevée
 
 et le « degré
 
 à des mots.
 
 portant
 
 même le très jeune enfant
 
 des estimations
 
 d’abstraction
 
 sur des objets nouvelles.
 
 expérimentale
 
 le niveau
 
 d’abstraction
 
 d’une signification
 
 peut s’observer
 
 férenciée
 
 en empruntant
 
 cer-
 
 à des structures
 
 déjà
 
 réfléchissante
 
 différentes. doit être dif-
 
 de ce que Piaget appelle
 
 traction
 
 réfléchie
 
 ce qu’on
 
 d’un
 
 concept
 
 cognitif.
 
 que plus les concepts
 
 ou
 
 On affirme
 
 matisation
 
 plus
 
 de
 
 généralement
 
 la
 
 rétroactive,
 
 c’est-à-dire
 
 d’une
 
 de la pensée sur ses propres
 
 acti-
 
 vités cognitives.
 
 sémantiques.
 
 se rapportent
 
 au niveau de base des repréconduisent
 
 un niveau d’abstraction légié, pour le traitement, 4
 
 qui varie selon
 
 les domaines sentations,
 
 Les études qui
 
 à penser qu’il existe préférentiel,
 
 cessifs de la chaîne verbale constitue
 
 Piaget,
 
 une
 
 privi-
 
 mais il se trouve
 
 (ou reconnaissance)
 
 mot stimulus
 
 toutes
 
 appa-
 
 à long terme ou qu’il est capable de
 
 reconstruire. d’autre
 
 L’accès au lexique
 
 part l’activation
 
 syntaxiques
 
 désambiguïsation
 
 comporte
 
 des informations
 
 et du sens lexical,
 
 incluant
 
 la
 
 de celui-ci lorsque le mot
 
 est ambigu. Le rôle de l’accès au lexique est particulièrement
 
 critique
 
 dans la lecture. J.-F. L. N.
 
 LEXIQUE,
 
 MÉMOIRE
 
 ACCESSIBILITÉ n.f. (angl. Accessibility)
 
 Propriété hypothétique d’un contenu de mémoire qui fait que celui-ci est plus ou moins aisément recouvré. Cette notion
 
 tire son origine
 
 faite initialement
 
 Un contenu
 
 E.E.G., t. 35, Paris, P.U.F.
 
 représentation
 
 (un souvenir,
 
 de la capacité
 
 mathématiques
 
 la
 
 à reconnaître
 
 des chiffres
 
 boles arithmétiques
 
 par
 
 et des sym-
 
 et à effectuer
 
 des
 
 élémentaires. R. L.
 
 c’est-à-dire
 
 ». une pré-
 
 mais plus ou moins facile
 
 lors d’un rappel
 
 connaissance.
 
 caractérisée
 
 par E. Tulving
 
 de mot, une signification,
 
 à recouvrer
 
 d’aphasie
 
 d’une dis-
 
 » et « accessibilité
 
 de mémoire
 
 n.f. (angl. Acalculia)
 
 calculs
 
 fine
 
 rentées, que le sujet possède dans sa mé-
 
 sent en mémoire,
 
 ou former
 
 du
 
 de mot qui convient
 
 celles, plus ou moins
 
 ACALCULIE
 
 perte
 
 perceptive
 
 sur une sélection
 
 etc.) peut être disponible,
 
 Forme
 
 Cet accès
 
 dans son contexte : celle-ci est
 
 de la représentation parmi
 
 du processus
 
 du discours.
 
 entre « disponibilité
 
 J., 1977, Recherches sur l’abstraction
 
 réfléchissante,
 
 fication
 
 tinction
 
 Bibliographie
 
 En fait, cela semble n’être vrai
 
 que d’une façon partielle,
 
 des mots suc-
 
 ». Il s’agit alors d’une thé-
 
 ou signifi-
 
 cations sont concrets, plus leur traitement cognitif est facile, rapide et dépourvu d’erreurs.
 
 de chacun
 
 l’« abs-
 
 », qui est du ressort
 
 nomme
 
 « métacognition
 
 réflexion
 
 peut résoudre
 
 dans des situations
 
 L’abstraction
 
 Ainsi,
 
 que
 
 est un facteur important
 
 pour son traitement souvent
 
 a bien montré
 
 Ensemble des opérations par lesquelles une unité lexicale est activée en présence du stimulus correspondant. (Syn. accès lexical.)
 
 moire
 
 G. P.-L. B.
 
 L’étude
 
 ACCÈS AU LEXIQUE (angl. Lexical Access)
 
 fondée, en principe,
 
 d’autres
 
 à tous les stades de développement.
 
 piriques incluant
 
 du niveau
 
 s’organiser
 
 réfléchissante
 
 un problème
 
 de
 
 d’assimilation*
 
 dans des situations
 
 L’abstraction
 
 de ses
 
 et des propriétés
 
 logico-mathématiques
 
 taines coordinations
 
 niveau
 
 R. L.
 
 Le traitement
 
 Il élabore ainsi les cadres
 
 que toutes les études em-
 
 une corrélation
 
 dépend enfin ‘un certain modèle
 
 actions ou opérations
 
 cette corrélation, d’abstraction
 
 ceptabilité
 
 »:
 
 Il n’est pas
 
 pour observer
 
 du message). L’ac-
 
 au lexique repose d’une part sur une identi-
 
 » et la « com-
 
 nécessaire à la psychologie
 
 ou lisibilité
 
 sur un plan supérieur
 
 la relation
 
 concept).
 
 (audibilité
 
 est
 
 là ce qui a été parfois exprimé
 
 entre l’« extension
 
 sociales
 
 de compréhension
 
 actions et opérations
 
 inverse
 
 atten-
 
 sation de ses activités par une transposition
 
 plus il est concret,
 
 (concernant
 
 antérieurement
 
 sur ces schèmes eux-
 
 On retrouve
 
 loi de Port-Royal
 
 (mémoire,
 
 étape nécessaire et répétitive
 
 plus il est gé-
 
 « loi logique
 
 non fournis
 
 1977). L’abstraction
 
 dans lesquels pourront
 
 d’une
 
 par
 
 de «schèmes» sen-
 
 par l’objet, mais construits
 
 plus il est spécifique.
 
 sous la forme
 
 psycholo-
 
 mêmes. Le sujet procède à une conceptuali-
 
 ET AUTRES
 
 PROPRIÉTÉS
 
 La propriété
 
 sa couleur
 
 ou conceptuels
 
 réfléchissante EXTENSION
 
 des conditions
 
 lement plus courtes par oral que par écrit.
 
 des « instruments
 
 par le sujet » (Piaget,
 
 trait »).
 
 mais également
 
 de phrase : elle exige des phrases généra-
 
 objet une propriété
 
 il faut utiliser
 
 sori-moteurs
 
 peu abs-
 
 un processus
 
 sa forme,
 
 abstrait
 
 (« caractère de ce qui est concret,
 
 portant
 
 quelconque, d’assimilation
 
 »
 
 pour
 
 de l’abstraction,
 
 Pour extraire
 
 fie dans ce cas « caractère de ce qui est très » ; son opposé est « concrétude
 
 aux règles de grammaire,
 
 et opérations.
 
 exemple,
 
 : le mot signi-
 
 de la conformité
 
 tion des sujets) et des conditions
 
 par J. Piaget
 
 de
 
 : elle dépend non seulement
 
 mené par le sujet sur ses propres
 
 actions
 
 L’usage veut que l’on utilise également le mot abstraction pour désigner les niveaux
 
 est liée à un modèle
 
 giques liées à la situation
 
 (angl. Reflective Abstraction)
 
 Notion
 
 L’acceptabilité performance
 
 vivantes.
 
 ABSTRACTION
 
 qui soient indépendantes On a établi par ce moyen
 
 Caractère d’un énoncé qui est à la fois conforme aux règles de la grammaire (il est dit grammatical) et à la fois naturellement émis par celui qui l’émet et facilement compris par celui qui le reçoit.
 
 Une
 
 verse? On peut également mettre en oeuvre des techniques
 
 ACCEPTABILITÉ n.f. (angl. Acceptability)
 
 ou d’une re-
 
 Le taux de réussite et la rapi-
 
 dité de ces activités dépend de deux grandes catégories de facteurs : l’une est constituée par les conditions (par
 
 exemple,
 
 indices
 
 mêmes du recouvrement rappel
 
 ou en contexte,
 
 impliquant
 
 diverses
 
 libre,
 
 rappel
 
 avec
 
 reconnaissance
 
 sortes et proportions
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 de distracteurs,
 
 activation
 
 et par les rapports recouvrement
 
 implicite,
 
 etc.)
 
 entre ces conditions
 
 et celles dans lesquelles s’est
 
 opérée la mise en mémoire.
 
 Mais il existe
 
 d’autre part une caractéristique spécifique de chaque contenu
 
 intrinsèque de mémoire
 
 sa plus ou moins grande accessibilité. exemple,
 
 le nom propre
 
 familière
 
 ver en mémoire
 
 concernée.
 
 personne à retrou-
 
 On a montré
 
 de recouvrement
 
 de
 
 qui est un
 
 à partir de la mé-
 
 moire
 
 lexicale, est fonction
 
 moins
 
 grande familiarité
 
 de leur plus ou pour les utilisa-
 
 teurs, et donc de leur fréquence
 
 statistique
 
 Aspiration de l’individu
 
 J.-F. L. N.
 
 En psychologie, sement,
 
 se retrouvent
 
 (angl.
 
 besoin, soit au concept de motivation.
 
 de motif
 
 qui porte
 
 un besoin quelque
 
 GÉNÉR.
 
 Élévation
 
 du seuil
 
 de réponse
 
 d’une fibre nerveuse lorsque le temps d’établissement du courant de stimulation est long. Le seuil d’excitation le courant courant
 
 s’établit
 
 est le plus bas quand
 
 instantanément.
 
 est progressif,
 
 c’est-à-dire
 
 pente est faible, plus l’intensité
 
 et organiser
 
 se fait
 
 survient
 
 échec de l’assimilation* l’autre
 
 ; l’une
 
 sont complémentaires
 
 l’adaptation*, pement
 
 qui exprime
 
 de l’individu
 
 L’accommodation maximale
 
 y a
 
 comme
 
 au sein de le dévelop-
 
 dans son milieu.
 
 visuelle atteint
 
 sa valeur
 
 à 3 mois. Elle n’est observée chez
 
 le nourrisson
 
 qu’à partir
 
 du début
 
 le besoin d’accomplissement
 
 du 2e E. V.
 
 Need for Achievement,
 
 ou N Ach].
 
 En particulier,
 
 McClelland,
 
 le Thematic
 
 Apperception
 
 Mécanisme
 
 met d’accroître tion du cristallin
 
 réflexe
 
 qui
 
 per-
 
 le pouvoir de réfracpar une contraction
 
 L’intensité
 
 est la différence
 
 entre deux dis-
 
 base des différentes
 
 PROFONDEUR
 
 de la consommation drogue, et provoquant
 
 le désir de la renouveler. 1969, le terme
 
 pour les experts de l’Organisation
 
 mondiale
 
 de la santé : un désir de conti-
 
 nuer à prendre de tendance
 
 de la drogue
 
 à augmenter
 
 dépendance psychique des effets nuisibles habitude,
 
 les doses ; une
 
 possibles,
 
 ;
 
 mais seule-
 
 Il désignait donc une
 
 s’opposant
 
 de la toxicomanie
 
 représente
 
 ; peu ou pas
 
 mais non physique
 
 ment pour l’individu. simple
 
 d’accoutumance
 
 à l’aliénation
 
 ou assuétude. l’accoutumance
 
 ne
 
 que l’un des aspects de la phar-
 
 macodépendance
 
 ou des toxicomanies
 
 d’accomplissement
 
 trope.
 
 la fréquence
 
 peut classifier
 
 sur la
 
 catégories et sous-caté-
 
 ou habituation
 
 :
 
 Elle implique
 
 de dépendance certains
 
 un degré indubitable
 
 psychologique,
 
 auteurs
 
 synonyme
 
 du sujet exposé
 
 et est pour
 
 (par exemple,
 
 A. Porot)
 
 du phénomène
 
 de tolérance
 
 : l’adaptation
 
 de l’organisme
 
 mentation
 
 des doses pour obtenir
 
 à toutes les histoires
 
 identique.
 
 La tolérance
 
 par le total des scores qu’il
 
 a pro-
 
 duites. De
 
 la dépendance
 
 nombreuses
 
 conduites
 
 en utilisant
 
 McClelland. ont
 
 expériences
 
 contribué
 
 Dans l’ouvrage
 
 définir
 
 la théo-
 
 à l’accomplissement.
 
 Motives in Fantasy, Action
 
 and Society (1958),
 
 on a analysé,
 
 c’est-à-dire
 
 l’espoir
 
 du succès
 
 et la peur de l’échec. Le premier un motif
 
 la perspective
 
 d’approche
 
 la crainte théorie
 
 auteur,
 
 l’intensité
 
 produit
 
 de l’intensité
 
 tions
 
 (angl.
 
 positif,
 
 une
 
 Selon cet
 
 de la motivation du motif,
 
 est le
 
 de l’attente
 
 et des motivaSi le produit
 
 on parle de « motivation est négatif,
 
 est
 
 à la réuson parle de
 
 économique
 
 physique.
 
 Pour une même
 
 les opiacés,
 
 selon les effets :
 
 il existe une tolé-
 
 rance aux effets psychotropes, à la dose mortelle.
 
 mais aussi
 
 Les toxicomanes
 
 sont
 
 donc amenés à consommer
 
 quotidienne-
 
 ment des doses qui tueraient
 
 un non-habi-
 
 tué. Pour les barbituriques
 
 au contraire,
 
 la
 
 tolérance ne s’exerce pas sur la dose létale : le danger d’accoutumance
 
 est alors évident. M. V.
 
 qu’il existe une et
 
 des sociétés.
 
 Selon cet auteur, développement
 
 ACÉTYLCHOLINE n.f. (angl. Acetylcholine)
 
 Neuromédiateur être perturbée tropes. Premier ment
 
 dont l’action peut par divers psycho-
 
 neuromédiateur
 
 mis en évidence
 
 1920),
 
 l’acétylcholine,
 
 à 15 % des neurones humain,
 
 est impliquée
 
 historique-
 
 (dans
 
 et déclin
 
 de la motricité, tains neurones innervent
 
 dans 10
 
 du système nerveux dans le fonctionne-
 
 ment de tous les neurones ceux des membres
 
 les années
 
 présente
 
 qui innervent
 
 les muscles striés squelettiques
 
 à éviter l’échec ». McClelland
 
 entre besoin d’accomplissement
 
 développement
 
 est l’une des clés de
 
 substance, elle est variable ainsi pour
 
 un effet
 
 Dans
 
 d’accomplis-
 
 à réussir.
 
 Incentives).
 
 qui
 
 a élaboré
 
 (1961) a essayé de montrer relation
 
 et le deu-
 
 d’une punition.
 
 subjective)
 
 alors une aug-
 
 qui implique
 
 d’éloignement
 
 du besoin
 
 implique
 
 est défini
 
 d’une récompense,
 
 les années 1960, Atkinson véritable
 
 parmi
 
 deux aspects du besoin d’accom-
 
 plissement,
 
 implique
 
 été
 
 le test développé par
 
 à mieux
 
 rie de la motivation
 
 d’autres,
 
 ont
 
 Les résultats de ces recherches
 
 « motivation
 
 PRESBYTIE,
 
 État résultant répétée d’une
 
 obtenus
 
 remotum),
 
 ACUITÉ,
 
 ACCOUTUMANCE n.f. (angl. Drug Habituation)
 
 à une substance
 
 (punctum
 
 C. B.
 
 Croft.
 
 est donné
 
 et l’autre
 
 avec l’âge.
 
 Century
 
 individu
 
 site »; si le produit
 
 tive. Elle diminue
 
 Appleton
 
 physiologique
 
 proximum) est effec-
 
 New York,
 
 1953, The Achievement
 
 plissement (angl. N Ach Score) pour chaque
 
 (punctum
 
 entre lesquelles l’accommodation
 
 H.A.,
 
 gories prévues. Le score du besoin d’accom-
 
 tances, l’une proche lointaine
 
 Murray,
 
 Plus généralement,
 
 d’accomplissement.
 
 du besoin
 
 (la probabilité
 
 dioptries,
 
 Morgan,
 
 à la prise régulière d’une substance psycho-
 
 du besoin
 
 sur des images de la rétine. mesurée en
 
 Van Nostrand.
 
 l’intensité
 
 sement ou motivation
 
 d’accommodation,
 
 Society,
 
 l’adaptation
 
 du muscle ciliaire quand le point fixé par les yeux est plus proche de l’observateur, et d’assurer la vision nette L’amplitude
 
 Van Nostrand.
 
 D. C., 1961, The Achieving
 
 Princeton,
 
 Motive,
 
 in Fantasy,
 
 Test, a élaboré un système pour mesurer
 
 xième comme un motif PHYSIOL.
 
 (ou parfois
 
 [angl.
 
 comme
 
 mois.
 
 mesurer
 
 de réussite)
 
 qu’on
 
 lorsqu’il
 
 Ce dernier
 
 pour
 
 des réponses
 
 d’assimilation lorsque ceux-ci s’avèrent inopérants dans une nouvelle situation. L’accommodation
 
 une méthode
 
 plus la
 
 Pour Piaget, ajustement qui par modification des schèmes
 
 McClelland,
 
 signifiait
 
 de J.W.
 
 et D. C. McClelland.
 
 en employant
 
 1958, Motives
 
 and Society, Princeton,
 
 des objets
 
 sous la direction
 
 a développé
 
 Action
 
 J. W. (Ed.),
 
 Avant
 
 par une équipe de
 
 en enregistrant
 
 G. S. DÉVELOP.
 
 a été étudié
 
 Atkinson
 
 Atkinson,
 
 à do-
 
 Par la suite, le besoin d’accom-
 
 est quantifiée
 
 s’élève.
 
 à
 
 un niveau élevé,
 
 Plus le liminaire
 
 l’individu
 
 personnes et idées, à surmonter
 
 psychologues
 
 R. L
 
 ce besoin
 
 chose de difficile,
 
 manipuler
 
 de
 
 (Explora-
 
 comme miner,
 
 Bibliographie
 
 et à celui
 
 H. A. Murray 1938) définit
 
 plissement
 
 Ajustement actif d’un organisme aux pressions du milieu.
 
 Achievement)
 
 tions in Personality,
 
 à exceller.
 
 BIOL.
 
 stable dans une
 
 associés soit au concept
 
 les obstacles et à atteindre ACCOMMODATION n.f. (angl. Accommodation)
 
 M. R.
 
 les termes d’accomplis-
 
 de réussite
 
 physiques,
 
 MÉMOIRE
 
 généralement à atteindre
 
 avec l’éduca-
 
 tion à l’indépendance.
 
 compétition un but conforme à des normes d’excellence ou simplement à réaliser une tâche en fonction d’un critère d’excellence.
 
 accomplir
 
 plus ou moins élevée dans la langue.
 
 d’une société sont en rapport
 
 ACCOMPLISSEMENT (BESOIN D’) (angl. Achievement Need, Need to Achieve, Need Achievement, N Ach)
 
 aussi
 
 des mots
 
 langue par un locuteur,
 
 indice de leur accessibilité
 
 :
 
 Par
 
 que les caractéristiques
 
 que la rapidité d’une
 
 d’une
 
 est souvent plus difficile
 
 la personne
 
 de
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 - tels que
 
 -, qui sont les effecteurs
 
 ainsi que dans celui de cerdu système
 
 végétatif
 
 qui
 
 les muscles lisses - par exemple 5
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 ceux du tube digestif -, le muscle strié car diaque ainsi que les glandes. Au niveau du cerveau, impliquée
 
 l’acétylcholine
 
 dans les phénomènes
 
 cycle veille/sommeil, taines activités
 
 relatifs au
 
 au contrôle
 
 motrices,
 
 est
 
 de cer-
 
 à l’apprentissage
 
 Le système neuronal
 
 à acétylcholine
 
 vient dans les effets de la nicotine celle-ci
 
 dénommés
 
 récepteurs
 
 nicotiniques.
 
 le curare
 
 du tabac,
 
 particuliers
 
 tylcholine,
 
 pour
 
 cette raison sur
 
 situés au niveau
 
 neuro-musculaires
 
 : en bloquant
 
 qu’agit
 
 les récepteurs,
 
 le
 
 curare entraîne une paralysie de l’ensemble des muscles
 
 striés
 
 squelettiques.
 
 système nerveux
 
 périphérique,
 
 teurs nicotiniques
 
 répartis,
 
 dense, au niveau
 
 du cerveau. Au niveau de ce dernier leurs, des récepteurs
 
 pliqués dans
 
 dominent,
 
 type, les récepteurs
 
 les phénomènes
 
 prentissage maladie
 
 nicotiniques)
 
 relatifs
 
 et de mémoire.
 
 d’Alzheimer,
 
 au cycle d’ap-
 
 Au cours de la
 
 démence
 
 se caractérise essentiellement
 
 sénile qui
 
 par une perte
 
 on observe d’ailleurs
 
 une dé-
 
 nystagmus
 
 témoignant
 
 fonctionnalité
 
 qu’absence
 
 il peut n’y avoir
 
 de perception
 
 des tonalités
 
 chromatiques,
 
 avec ou sans déplacement
 
 du maximum
 
 de la courbe
 
 et absence d’efficacité courtes
 
 indus-
 
 à l’heure
 
 ac-
 
 lumineuse
 
 mnésique
 
 réel chez les patients
 
 la maladie d’Alzheimer encore clairement Les propriétés substances quité,
 
 établi.
 
 depuis
 
 ait jamais
 
 que
 
 parler
 
 de
 
 Ainsi, la servent,
 
 à traiter
 
 les désordres
 
 - ils ralentissent
 
 les contrac-
 
 et réduisent
 
 acide de l’estomac logie. D’autres
 
 utilisée
 
 médicaments
 
 muscariniques
 
 dans le traitement
 
 la sécrétion
 
 -, contient
 
 encore couramment
 
 l’atropine,
 
 en ophtalmobloquant
 
 les
 
 sont indiqués
 
 de la maladie de Parkin-
 
 son ou pour prévenir moteurs
 
 entendu
 
 plante dont les extraits
 
 tions de l’intestin
 
 récepteurs
 
 bien avant
 
 et d’acétylcholine.
 
 depuis Hippocrate, intestinaux
 
 les récepteurs
 
 sont connues depuis l’Anti-
 
 neuromédiateur belladone,
 
 de certaines
 
 les effets indésirables
 
 des neuroleptiques
 
 (trihexyphé-
 
 nidyle et autres molécules atropiniques).
 
 C. B.
 
 ACQUISITION (PROCESSUS (angl. Acquisition, Acquiring)
 
 d’acquisition.
 
 1. TRANSFERT
 
 ACROPHASE n.f. (angl. Acrophase)
 
 Position temporelle du pic d’une fonction sinusoïdale : c’est le moment où le maximum d’intensité du rythme apparaît. définissant
 
 est un des paramètres un rythme
 
 le rythme
 
 biologique.
 
 biologique
 
 Par
 
 de la tem-
 
 pérature centrale, qui est un rythme circadien, présente son acrophase en début
 
 BIOLOGIQUE
 
 ACTANT n.m. (angl. Actant)
 
 Notion qui renvoie aux différents rôles que jouent les protagonistes d’une action. Cette notion
 
 D’)
 
 guistique.
 
 a été importée
 
 Accroissement des connaissances et modifications du comportement intervenant au cours du développement. Le processus
 
 qu’un
 
 d’acquisition
 
 des habiletés
 
 Cette expression
 
 résultat
 
 est toujours
 
 la performance. une connotation le terme
 
 est sou: dans les
 
 et, de plus, le
 
 Cependant,
 
 des conditions
 
 a
 
 » que
 
 qui, lui, renvoie
 
 spécifiques
 
 de contrôle,
 
 tements
 
 et de développement
 
 conditionnées obtenus
 
 C’est par un abus de langage que l’on ople terme acquis au terme
 
 inné, car le patrimoine forcément
 
 héréditaire
 
 des contraintes
 
 impose
 
 à l’acquisition.
 
 À l’inverse, il faut prendre en considération l’importance
 
 de l’expérience
 
 en ce qui concerne
 
 patient,
 
 un instrument,
 
 là une structure fondamentale 2. lorsqu’ils
 
 individuelle
 
 le flux génétique
 
 évo-
 
 lutif.
 
 dividus
 
 du processus
 
 par l’amélioration
 
 performance
 
 : un agent, un
 
 un lieu, etc. ; c’est
 
 de connaissance
 
 et permanente sont informés
 
 cherchent
 
 générale,
 
 ; par le langage
 
 activement
 
 à savoir qui
 
 de bénéficiaire,
 
 sont là des structures de traitement formation
 
 qui sous-tendent
 
 compréhension
 
 etc. ; ce de l’in-
 
 directement
 
 la
 
 des phrases. J.-F. L. N.
 
 AGENT,
 
 CAS, PATIENT
 
 ACTE n.m. (angl. Acting)
 
 Unité
 
 de comportement
 
 d’acquisi-
 
 ponctuelle
 
 mais également
 
 d’une
 
 par le fait
 
 isolable
 
 de
 
 l’ensemble des conduites de l’individu, adaptée et caractérisée par sa signification fonctionnelle. La signification interprétée l’animal
 
 On rend compte
 
 distincts,
 
 de nombreuses
 
 séances d’apprentissage.
 
 pose simplement
 
 qui ont des rôles différents
 
 fins, de
 
 ou de compor-
 
 après
 
 des protagonistes
 
 d’agent, de patient,
 
 est dû aussi bien à des fac-
 
 réactions
 
 plus souvent
 
 à
 
 d’acquisition
 
 d’actes moteurs
 
 ou états de choses, il existe le
 
 (ou quoi) se trouve dans les rôles respectifs
 
 et à des modèles. Le processus
 
 qu’à la répétition
 
 les actions
 
 savent que dans toutes
 
 à
 
 des théories
 
 teurs de maturation
 
 d’actant renvoie
 
 sur une action ou un état de choses, les in-
 
 plus générale,
 
 et plus « naturelle
 
 apprentissage,
 
 de
 
 l’acquisition
 
 beaucoup
 
 lieu, possesseur, etc. Il
 
 la notion
 
 1. tous les individus
 
 de
 
 une amélioration
 
 instrument,
 
 aux deux grandes hypothèses suivantes :
 
 son comporte-
 
 grâce à l’expérience
 
 origine,
 
 En psychologie,
 
 des connaissances,
 
 au cours
 
 (ou objet),
 
 n’en n’existe pas de liste fixe.
 
 s’applique
 
 se procure
 
 à la séman-
 
 pour désigner des rôles tels
 
 patient
 
 destination,
 
 à des compé-
 
 deux cas, le sujet modifie ment
 
 qu’agent,
 
 très générale
 
 individu
 
 de la lin-
 
 Elle a été incorporée
 
 tique cognitive
 
 tion S. P.
 
 dans J. P.
 
 RYTHME
 
 Sensibilité tactile relevant du sens de la piqûre et relative à la perception du caractère pointu ou émoussé de la pointe d’une aiguille.
 
 plus informelle
 
 médicinales
 
 c’est-à-dire
 
 quiconque
 
 de
 
 n’est pas, toutefois,
 
 qui bloquent
 
 muscariniques
 
 atteints
 
 d’autres situations
 
 donc intervenir
 
 P. L.
 
 ACMESTHÉSIE n.f. (angl. Acmesthesia)
 
 par la mise au point de molécules
 
 Le bénéfice
 
 posables et peuvent
 
 de soirée.
 
 vent associée à l’apprentissage*
 
 muscariniques.
 
 et des stratégies qui sont trans-
 
 exemple,
 
 longueurs C. B.
 
 son existence.
 
 les récepteurs
 
 vers les
 
 d’onde.
 
 tuelle, de pallier ce déficit en acétylcholine synthé-
 
 met en jeu des intégrations
 
 L’acrophase
 
 photopique,
 
 ou vers les grandes
 
 tences,
 
 du cerveau. Certains
 
 ». En effet,
 
 absence de
 
 des cônes.
 
 Dans les formes atypiques,
 
 à acétylcholine
 
 par conséquent,
 
 d’amblyopie,
 
 d’une
 
 cognitives
 
 à apprendre
 
 mais
 
 de la présence d’un scotome fovéal et d’un
 
 de manière
 
 tiques agissant (on parle d’« agoniste ») sur
 
 6
 
 rare, ce déficit s’accompagne
 
 générescence massive de certains neurones triels tentent
 
 typique
 
 im-
 
 et dans les processus
 
 de mémoire,
 
 vision colorée chez un sujet qui ne perçoit alors que des niveaux lumineux (ou niveaux de gris).
 
 muscari-
 
 sont notamment
 
 (avec les récepteurs
 
 veille/sommeil
 
 par ail-
 
 pour l’acétylcholine
 
 niques. Ces derniers
 
 de
 
 du
 
 les récep-
 
 sont également
 
 d’une façon relativement
 
 autre
 
 ou acquise,
 
 Domi-
 
 nants dans les synapses ganglionnaires
 
 d’un
 
 congénitale
 
 de l’acé-
 
 C’est d’ailleurs
 
 nicotiniques
 
 des jonctions
 
 inter-
 
 se fixe avec une forte affi-
 
 nité sur des récepteurs
 
 les récepteurs
 
 Absence,
 
 ce processus
 
 Dans la forme congénitale,
 
 et à la mémoire.
 
 puisque
 
 que l’on « apprend
 
 ACHROMATOPSIE n.f. (angl. Achromatopsia)
 
 en termes
 
 peut être
 
 d’adaptation
 
 à sa niche écologique
 
 rapportée besoin
 
 fonctionnelle
 
 ou bien être
 
 à une source de satisfaction
 
 pour
 
 de d’un
 
 le sujet. L’acte est générale-
 
 ment constitué
 
 de plusieurs
 
 sous-unités
 
 de
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 comportement
 
 (mouvements).
 
 Ces sous-
 
 en induisant
 
 une perturbation
 
 unités sont cohérentes les unes par rapport
 
 ture ne semble dépendre,
 
 aux autres grâce aux représentations
 
 degré de refoulement,
 
 qui
 
 les programment
 
 et au but qui en marque
 
 l’aboutissement.
 
 L’acte peut être réflexe, in-
 
 volontaire
 
 ou volontaire,
 
 significations
 
 mettant
 
 conscientes
 
 ou inconscientes. F. M.-M.
 
 n’a jamais
 
 aux actes manqués, de plein droit psychique.
 
 au fonctionnement
 
 Il réunit
 
 en apparence même corps
 
 disparates et sans lien en un de formations psychiques, du point de vue théo-
 
 par deux principes
 
 En premier
 
 de la vie
 
 avec
 
 directement
 
 sortes de mécanismes
 
 bien illustrés
 
 par les lapsus,
 
 de nombreux
 
 à des formations
 
 en tant
 
 eux-mêmes
 
 : l’acte manqué
 
 apparaît
 
 bien
 
 comme une formation
 
 de compromis
 
 l’intention
 
 du sujet et son désir
 
 consciente
 
 ; lequel compromis
 
 lieu, les actes manqués
 
 ont un
 
 entre
 
 s’exprime
 
 qui affectent la forme
 
 manqué
 
 psychanalytique
 
 se trouvent
 
 duites les tentatives organiques,
 
 alléguées à l’endroit
 
 des associations
 
 cieusement
 
 appliquée
 
 significa-
 
 » de la vie psychique. libres,
 
 à l’analyse
 
 judide ces
 
 tifs revient à supposer qu’ils résultent d’une
 
 « accidents
 
 intention.
 
 milation
 
 qui est faite de l’acte manqué à un
 
 véritable
 
 symptôme
 
 C’est pourquoi
 
 considérés comme
 
 ils doivent
 
 être
 
 des actes psychiques
 
 au
 
 », ne cesse de conforter
 
 sens strict. L’intuition
 
 neuve de Freud sera, non seu-
 
 lement d’identifier
 
 l’origine
 
 de l’acte man-
 
 qué, mais encore de chercher à en expliciter le sens au niveau de l’inconscient Si l’acte manqué un phénomène
 
 apparaît qu’il
 
 du sujet.
 
 volontiers
 
 un effet du hasard ou de l’inattention,
 
 à
 
 c’est
 
 que le désir qui s’y manifeste est inconscient et lui signifie précisément ce dont il
 
 de compromis
 
 d’accomplissement
 
 que de sa
 
 de désir. En
 
 outre, eu égard à la nature des mécanismes inconscients
 
 qui gouvernent
 
 de tels « accidents lytique
 
 au sujet comme
 
 attribue
 
 fonction
 
 l’assi-
 
 aussi bien pour ce qui
 
 est de sa structure
 
 la production
 
 », la théorie
 
 des actes manqués
 
 introduction
 
 la compréhension
 
 psychana-
 
 constitue
 
 fondamentale
 
 une
 
 à l’étude
 
 et à
 
 du fonctionnement
 
 de
 
 l’inconscient. R. L.
 
 tique acte psychique
 
 à son insu. S’il faut voir dans
 
 l’acte manqué
 
 l’expression
 
 conscient
 
 freudienne
 
 nécessairement refoulement.
 
 présuppose
 
 l’intervention
 
 tue donc la condition production avoir
 
 consciente
 
 indispensable
 
 se manifester
 
 refoulement
 
 le
 
 doit pour
 
 par la perturbation
 
 de l’autre. Elle doit être troublée avant de devenir
 
 à la
 
 comme
 
 Freud : « Une des intentions
 
 pouvoir
 
 À L’)
 
 ACTH n.f. (angl. Adrenocorticotrophic
 
 perturbatrice
 
 elle-même » (Introduc-
 
 tion à la psychanalyse, 1916).
 
 L’ACTH maillons miers
 
 est formée
 
 Hormone)
 
 hormone
 
 d’une chaîne de 39
 
 sont identiques
 
 dans toutes
 
 les es-
 
 pèces et sont responsables de l’activité logique.
 
 La sécrétion
 
 d’ACTH
 
 à trois facteurs de régulation tion (feed-back
 
 négatif)
 
 mée par l’alternance lation
 
 est soumise : rétrorégula-
 
 ; régulation
 
 veille-sommeil
 
 par une agression
 
 quelconque
 
 hémorragies
 
 bio-
 
 ryth; régu(état
 
 [syndrome
 
 d’alarme
 
 de Selye]).
 
 L’excès
 
 de deux intentions
 
 différentes.
 
 d’ACTH
 
 provoque
 
 un hypercorticisme
 
 conscient
 
 du sujet tentera de s’ex-
 
 primer
 
 malgré
 
 son intention
 
 consciente,
 
 trois
 
 périodes
 
 niveaux
 
 de mise en train
 
 une période
 
 mance maximale
 
 d’effi-
 
 de perfor-
 
 (période actile) et une pé-
 
 riode de détérioration
 
 de la performance.
 
 de la période
 
 actile dépend,
 
 d’une part, du niveau d’exigence de la tâche et, d’autre
 
 part, de caractéristiques
 
 indi-
 
 Elle peut être allongée ponctuelle
 
 par une
 
 de l’exécution
 
 de
 
 la tâche. A. L.
 
 ACTING-OUT n.m. (allem. Agieren)
 
 Agir donné à déchiffrer à un autre, le psychanalyste notamment, dans une adresse le plus souvent inconsciente ; l’acting-out doit être clairement tingué du passage à l’acte. Pour S. Freud, couvrir
 
 l’Agieren
 
 dis-
 
 tentait
 
 de re-
 
 les actes d’un sujet aussi bien hors
 
 de l’analyse d’Agieren
 
 laisse naturellement
 
 ambiguïté fications
 
 puisqu’il
 
 deux signi-
 
 d’agir,
 
 de faire
 
 ; celle de réactualiser
 
 une action antérieure.
 
 précis, pour Freud, l’Agieren place d’un
 
 Ce terme planer une
 
 recouvre
 
 : celle de bouger,
 
 une action transfert
 
 que dans l’analyse.
 
 « se remémorer
 
 dans le
 
 Dans ce cas viendrait
 
 à la
 
 » : agir donc,
 
 que de se souvenir,
 
 de mettre
 
 en
 
 (maladie
 
 biguïté. En effet, il signifie
 
 aussi bien jouer
 
 une pièce, un rôle, donner
 
 à voir, montrer
 
 des mesures.
 
 terme pour
 
 français
 
 d ‘« acting-out traduction
 
 ont adopté le
 
 » en lui adjoignant
 
 et synonyme
 
 celui
 
 de
 
 « passage à l’acte », mais en ne retenant
 
 de
 
 l’acte que la dimension
 
 de l’interprétation
 
 à
 
 donner dans le transfert.
 
 L’acte manqué résulte alors de l’interférence (refoulé)
 
 (angl. Warm-Up),
 
 Les psychanalystes
 
 d’acides aminés, dont les 24 pre-
 
 de choc, brûlures, Le désir in-
 
 1962). Dans ce type de
 
 que agir, prendre
 
 Hormone d’origine hypophysaire qui contrôle la sécrétion du cortisol par le cortex surrénalien. (Syn. corticostimuline, corticotrophine, corticotrope.)
 
 d’un désir consti-
 
 d’un acte manqué,
 
 subi un certain
 
 c’est le
 
 perturbatrice
 
 de l’intention
 
 du sujet. Le refoulement
 
 du
 
 qui fait irruption
 
 sous l’espèce d’une tendance qui va à l’encontre
 
 alors
 
 préalable
 
 Dans l’acte manqué,
 
 du désir refoulé
 
 précise
 
 ACTE (PASSAGE
 
 du sujet qui se réalise malgré lui,
 
 l’hypothèse
 
 retour
 
 d’un désir in-
 
 soutenue
 
 mots. L’anglais to act out respecte cette amACTING-OUT
 
 ; acte que le sujet exé-
 
 cute, toutefois,
 
 ou d’une
 
 une attention
 
 cacité : une période initiale
 
 plutôt
 
 ne veut rien savoir. C’est en tant que l’acte manqué réalise ce désir qu’il est un authen-
 
 et répétitive
 
 à différents
 
 La longueur
 
 activité
 
 soit pu-
 
 soit psychophysiolo-
 
 giques, fréquemment
 
 d’une
 
 écon-
 
 d’explication,
 
 La méthode
 
 psychiques
 
 de l’acte
 
 radicalement
 
 chiques
 
 sont des phénomènes
 
 correspondant
 
 interruption
 
 Avec la théorie
 
 au cours
 
 on peut distinguer
 
 tidienne.
 
 de tels « accidents
 
 que les actes manqués
 
 tâche,
 
 à l’une des
 
 de la performance
 
 continue
 
 viduelles.
 
 sens ; en second lieu, ce sont des « actes psy». Postuler
 
 opérateur
 
 d’« accidents » ou de « ratés » de la vie quo-
 
 rement
 
 fondamentaux.
 
 d’un
 
 d’évolution
 
 (K. F. H. Murrell,
 
 les actes manqués
 
 résultent
 
 périodes
 
 actile correspond
 
 en 1901
 
 de symptômes
 
 que les symptômes
 
 La période
 
 tâche nécessitant
 
 de la vie quotidienne.
 
 On peut donc identifier
 
 Période de performance optimale dans l’exécution d’une tâche.
 
 Freud
 
 dont
 
 exemples
 
 ACTILE (PÉRIODE) (angl. Actil Period)
 
 monotone,
 
 particulièrement
 
 tous ces phénomènes
 
 dont il rend compte rique
 
 qu’il prend
 
 par des perturbations
 
 les intègre
 
 simplement
 
 se trouvent
 
 d’un conflit
 
 seulement
 
 avouée ; selon,
 
 perturbateurs
 
 inconscient
 
 particulière
 
 S. Freud
 
 se confond
 
 dans Psychopathologie
 
 traditionnelle
 
 prêté d’attention
 
 encore, qu’il
 
 fournit
 
 Acte par lequel un sujet substitue, malgré lui, à un projet ou à une intention qu’il vise délibérément, une action ou une conduite totalement imprévues. que la psychologie
 
 l’intention
 
 sa place. Ces trois
 
 ACTE MANQUÉ (angl. Bungled Action, Parapraxis ; allem. Fehlleistung)
 
 Alors
 
 ne parvient
 
 qu’à modifier
 
 elle ; selon, enfin,
 
 en fait, que du
 
 selon, par exemple,
 
 que le désir refoulé
 
 en jeu des
 
 dont la na-
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 de sécrétion
 
 Jusque-là, l’acting-out défini
 
 comme un acte inconscient,
 
 accom-
 
 pli par un sujet hors de lui-même,
 
 effectué
 
 à la place d’un « se souvenir
 
 de ». Cet acte,
 
 toujours
 
 impulsif,
 
 aller
 
 meurtre
 
 ou au suicide.
 
 R. L.
 
 pouvait
 
 s’étaient
 
 vues régulièrement
 
 jusqu’au
 
 Pourtant,
 
 bien la justice que la psychiatrie
 
 aussi
 
 classique
 
 confrontées
 
 à
 
 ces questions d’actes hors de toute relation transférentielle,
 
 pour déterminer
 
 tuelle responsabilité
 
 une éven-
 
 civile.
 
 C’est à partir de là que la psychanalyse posé la question
 
 de Cushing).
 
 était habituellement
 
 s’est
 
 : qu’est-ce qu’un acte pour
 
 un sujet ? 7
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 J. Lacan, dans son Séminaire X 1962-1963,
 
 même qu’il
 
 ne soutient
 
 L’angoisse, a proposé une conceptualisation
 
 sujet l’avait
 
 installé
 
 différenciée
 
 Dora
 
 entre l’acte, le passage à l’acte
 
 et l’acting-out,
 
 en s’appuyant
 
 sur deux ob-
 
 aurait-il
 
 plus la place où le
 
 ? Comment
 
 pu aisément
 
 que la complaisance
 
 le père de
 
 comprendre
 
 de sa fille tenait
 
 », cette évasion
 
 de son fantasme, rendre compte.
 
 à ce
 
 lorsque
 
 de leur
 
 l’Autre,
 
 nine (1920). Dans ces deux cas, les Agieren
 
 Comment
 
 étaient situés dans la vie de ces deux jeunes
 
 ment
 
 filles
 
 sage à l’acte ? Car l’acting-out est précisément un coup de folie destiné à éviter une
 
 à l’Autre,
 
 analytique.
 
 angoisse trop violente.
 
 ment incarné
 
 Ainsi, qu’est-ce donc qu’un acte ?
 
 aussi bien du rejet de ce que pourrait
 
 avant
 
 n’aient
 
 Pour
 
 même
 
 que l’une
 
 ou l’autre
 
 envisagé la possibilité
 
 Lacan,
 
 structurante
 
 toujours
 
 qui permet
 
 retrouver,
 
 d’un travail
 
 un acte est toujours
 
 fiant. L’acte inaugure
 
 signi-
 
 une coupure
 
 à un sujet de se
 
 dans l’après-coup,
 
 transformé,
 
 radicalement
 
 autre que ce qu’il était avant
 
 cet acte. La différence pour
 
 : Fragment
 
 distinguer
 
 introduite
 
 acting-out
 
 par Lacan
 
 et passage à
 
 l’acte peut être illustrée cliniquement.
 
 Tout
 
 le manège de Dora avec Monsieur monstration
 
 de ce qu’elle
 
 les relations Madame
 
 K était
 
 n’ignorait
 
 pas
 
 que son père entretenait
 
 avec
 
 K, et c’est là ce que sa conduite
 
 En ce qui concerne
 
 la jeune homosexuelle,
 
 tout le temps qu’elle
 
 passe à se promener
 
 avec sa dame sous les fenêtres de son père ou autour un temps d’acting-out
 
 du bureau
 
 de leur maison à l’endroit
 
 dont
 
 est
 
 du couple
 
 : elle vient leur montrer
 
 mondaine
 
 la demi-
 
 elle est éprise,
 
 et qui est
 
 deviné, aurait-il aurait-elle
 
 dire angoissant
 
 même
 
 pu y répondre
 
 ou un pas-
 
 de l’autre,
 
 être le
 
 que du dévoilepas. Il est le
 
 de ce qu’un faux réel
 
 vienne à la place d’un impossible
 
 jours
 
 autre-
 
 Il est mise en scène
 
 signe fait à quelqu’un,
 
 Durant
 
 il
 
 pu le dire à Dora ?
 
 ment de ce que l’autre n’entend
 
 à dire.
 
 une analyse, l’acting-out
 
 de la cure
 
 est, du fait de l’analyste,
 
 dans une impasse.
 
 Il révèle
 
 de l’analyste,
 
 la défaillance
 
 forcément
 
 son incompétence. par exemple, l’analyste,
 
 soutenir
 
 sa place, se comporte
 
 ou fait une interprétation
 
 pas
 
 Il s’impose
 
 lorsque,
 
 au lieu de en maître
 
 inadéquate,
 
 Pas plus qu’un interpréter
 
 autre,
 
 voire
 
 est donc une conduite
 
 par un sujet et donnée à déchiffrer
 
 tenue à l’autre
 
 à qui elle s’adresse. C’est un transfert, que le sujet ne montre
 
 bien
 
 l’analyste
 
 ne peut
 
 mais il peut, par
 
 de sa position
 
 transféren-
 
 tielle, donc de son écoute, permettre patient
 
 de se repérer
 
 autrement
 
 passer cette conduite s’insérer
 
 à nouveau
 
 à son
 
 et de dé-
 
 de monstration,
 
 pour
 
 dans un discours.
 
 un faux réel implique
 
 Car pour
 
 que le sujet puisse en revenir.
 
 C’est un billet aller-retour,
 
 sauf s’il entraîne
 
 dans sa suite un passage à l’acte qui, lui, est le plus souvent un aller simple.
 
 hors de toute
 
 Le passage
 
 à l’acte
 
 Pour Dora,
 
 lement. donne à entendre
 
 à un autre
 
 devenu sourd. C’est une demande de symbolisation Pour
 
 exigée dans un transfert
 
 la jeune
 
 monstration
 
 homosexuelle, dévoile,
 
 ce que sa
 
 c’est qu’elle
 
 désiré, comme phallus, au moment
 
 sauvage.
 
 aurait
 
 un enfant du père,
 
 où, âgée de treize ans, un petit
 
 frère vient s’ajouter
 
 à la famille
 
 rache la place privilégiée
 
 et lui ar-
 
 qu’elle
 
 occupait
 
 auprès de son père. Pour Dora, d’avoir la cheville ouvrière
 
 pour faciliter
 
 entre son père et Madame
 
 la relation
 
 K ne lui permet
 
 en rien de savoir que c’est Madame jet qui cause son désir. L’acting-out, une recherche
 
 été
 
 de la vérité,
 
 mime
 
 K l’obdans ce qu’il
 
 ne peut dire, par défaut de symbolisation. Celui qui agit dans l’acting-out
 
 ne parle pas
 
 en son nom. Il ne sait pas qu’il est en train de montrer,
 
 pas plus qu’il
 
 ne peut recon-
 
 naître
 
 le sens de ce qu’il
 
 l’autre
 
 qu’est confié le soin de déchiffrer,
 
 d’interpréter
 
 dévoile.
 
 C’est à
 
 les scénarios. C’est l’autre qui
 
 moment
 
 le passage à l’acte se situe au
 
 même où Monsieur
 
 c’est cet instant
 
 regard courroucé se fait le chevalier
 
 s’arrache de son bras et se précipite d’un
 
 parapet,
 
 frer
 
 l’acting-out,
 
 lui qui ne sait pas lui-
 
 le
 
 servant de sa dame, elle du haut
 
 sur une voie de chemin
 
 de
 
 fer désaffectée. Elle se laisse tomber (allem. niederkommen),
 
 dit Freud. Sa tentative
 
 de
 
 suicide
 
 autant
 
 se
 
 consiste
 
 en cette chute,
 
 « laisser choir », qu’en un « mettre bas, accoucher », les deux sens de niederkommen. Ce « se laisser tomber essentiel
 
 », c’est le corrélat
 
 de tout passage à l’acte,
 
 Lacan. Il complète
 
 ainsi l’analyse
 
 précise faite par
 
 Freud en soulignant que, à partir de ce passage à l’acte, lorsqu’un sujet est confronté radicalement
 
 à ce qu’il
 
 pour l’Autre,
 
 il y réagit sur un mode im-
 
 pulsif,
 
 est comme
 
 par une angoisse
 
 qu’il est pour l’Autre déchif-
 
 où, croisant
 
 de son père, alors qu’elle
 
 incontrôlable,
 
 de mourir.
 
 cet autre pourrait-il
 
 à personne
 
 incontrôlée
 
 en s’identifiant
 
 objet et
 
 à cet objet
 
 et en se laissant choir.
 
 Dans le passage à l’acte, c’est toujours côté du sujet que se repère
 
 du
 
 ce « se laisser
 
 jouir
 
 de sa mort.
 
 à l’acting-out, et n’attend
 
 il ne s’adresse
 
 aucune
 
 même s’il survient
 
 interpré-
 
 lors d’une cure
 
 analytique. Le passage à l’acte est demande de reconnaissance désespoir,
 
 ne peut se vivre évacuer.
 
 symbolique
 
 demande
 
 sur fond de
 
 que comme
 
 un déchet
 
 sa
 
 vue par son
 
 qu’homosexuelle,
 
 dans une
 
 désirante était exclue.
 
 Refus donc d’un certain familiale.
 
 à
 
 homosexuelle,
 
 demande était d’être reconnue, père autrement
 
 d’amour,
 
 faite par un sujet qui
 
 Pour la jeune
 
 statut dans sa vie
 
 Par ailleurs, il faut remarquer
 
 que
 
 c’est à propos de la jeune homosexuelle
 
 que
 
 Freud fait son unique à ses patients. l’analyse
 
 passage à l’acte face
 
 C’est de son fait qu’il arrête
 
 de la jeune fille pour l’adresser
 
 à
 
 une analyste femme. Le passage à l’acte se situe du côté de l’irrécupérable,
 
 de l’irréversible.
 
 franchissement
 
 Il est toujours
 
 de la scène, au-devant
 
 réel, action impulsive
 
 de s’inscrire
 
 Il est jeu
 
 de soi ; il constitue
 
 la
 
 ponctuelle,
 
 pour un sujet
 
 symboliquement
 
 dans le réel
 
 déshumanisant.
 
 Il est souvent le refus d’un
 
 conscient
 
 et accepté
 
 et la mort.
 
 entre
 
 Il est révolte
 
 l’incontournable
 
 sujet. Il est victoire triomphe
 
 du
 
 dont la plus typique
 
 en la défenestration.
 
 née contre
 
 sexuelle,
 
 comme
 
 pour lui imaginaire-
 
 et pouvait
 
 Contrairement
 
 prévoir,
 
 homo-
 
 est
 
 et non pas un acte.
 
 tration
 
 Le passage à l’acte chez la femme
 
 extrême
 
 Il s’éjecte en s’offrant
 
 devenait
 
 inconscient
 
 pour moi. » Et, alors que rien ne le laissait elle le gifle et s’enfuit.
 
 d’un
 
 Le passage à l’acte est donc un agir impulsif
 
 choix
 
 quement
 
 Mais comment
 
 si cet Autre
 
 la cour, lui déclare : « Ma femme n’est rien
 
 se doit de savoir que se taire est métonymiun équivalent
 
 K, lui faisant
 
 au moment
 
 lieu vide du signifiant,
 
 seule possibilité,
 
 possible et hors de toute levée d’un refou-
 
 L’acting-out
 
 devenue impossible.
 
 aveugle et négation
 
 remémoration
 
 a qu’il est pour
 
 pour lui, toute symbolisation
 
 consiste
 
 rien. Quelque chose
 
 au dévoile-
 
 et d’une émotion
 
 famille où sa position
 
 l’acting-out,
 
 une modification
 
 grand embarras lorsque,
 
 pour un sujet
 
 de l’objet
 
 et c’est toujours
 
 tation,
 
 est tou-
 
 le signe que la conduite
 
 l’acting-out
 
 se montre,
 
 bien
 
 que par une dénégation
 
 être seulement
 
 cause de son désir. L’acting-out
 
 ? Et quand
 
 trop juste ou trop hâtive.
 
 tentait de masquer.
 
 parental
 
 l’aurait
 
 désir
 
 puisse s’en
 
 est confronté
 
 d’une analyse d’hystérie (Dora) [1905] et Psychogenèse d’un cas d’homosexualité fémi-
 
 de Freud
 
 et sans qu’il
 
 celui-ci
 
 ment intempestif
 
 cliniques
 
 hors de la scène
 
 Il se produit
 
 qu’ils aient tous deux le même objet, cause
 
 servations
 
 8
 
 tomber
 
 la caspassion-
 
 division
 
 de la pulsion
 
 du
 
 de mort,
 
 de la haine et du sadisme. Le pas-
 
 sage à l’acte est aussi le prix toujours
 
 payé
 
 trop cher pour soutenir
 
 inconsciemment
 
 une position
 
 dans l’aliénation
 
 de maîtrise,
 
 la plus radicale,
 
 puisque
 
 le sujet est même
 
 prêt à la payer de sa vie. C. E.
 
 ACTION n.f. (angl. Action)
 
 Modification
 
 du
 
 choses, réalisée d’un but. Une action
 
 cours
 
 naturel
 
 par un agent
 
 est définie
 
 des
 
 en vue
 
 par quatre com-
 
 posantes : 1. le type d’intervention
 
 dans le cours natu-
 
 rel des choses. Si le cours naturel des choses est un état, l’action un changement un objet)
 
 peut consister (par
 
 exemple,
 
 ou à laisser la situation
 
 (par exemple,
 
 conserver
 
 à initier déplacer en l’état
 
 ce qu’on a). Si le
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 cours
 
 naturel
 
 des choses est un change-
 
 ment (un procès), l’action interrompre
 
 peut consister
 
 le déroulement
 
 à
 
 du procès (par
 
 exemple, retenir quelqu’un laisser se dérouler
 
 l’hypothèse
 
 qui tombe) ou à
 
 le procès (laisser le robi-
 
 exister
 
 que, dans le second cas, il peut
 
 des niveaux
 
 d’activité d’états
 
 plutôt
 
 que simplement
 
 peut à partir
 
 2. le type d’état ou de procès sur lequel porte l’action. L’état peut être une locali-
 
 L’hypothèse
 
 sation, la valeur d’un attribut
 
 nérale
 
 froid),
 
 d’existence.
 
 un état de possession
 
 ou
 
 Le procès peut être un change-
 
 jacente
 
 théorique
 
 à ces modèles
 
 majeure
 
 d’autres
 
 un assemblage
 
 selon la relation
 
 d’un objet avec parties-tout
 
 (par
 
 exemple, une construction, ment, une fixation, etc.) ;
 
 un rassemble-
 
 3. l’environnement
 
 qui définit
 
 paramètres
 
 actantiel
 
 de l’action
 
 de l’action,
 
 : l’agent responsable
 
 le patient,
 
 lieu, l’instrument
 
 les
 
 éventuellement
 
 le
 
 ;
 
 par le stimulus
 
 automatique
 
 antérieure
 
 renté, B (le mot « infirmier
 
 sousgé-
 
 On considère
 
 du modèle
 
 (par exemple
 
 sentation
 
 ou structures
 
 sont considérées
 
 tinent,
 
 les princi-
 
 cognitives
 
 activées sont des représentations s’agisse d’items lexicaux,
 
 cognitives d’unités
 
 sé-
 
 supplémentaire,
 
 depuis une représen-
 
 d’activation
 
 4. le but en vue duquel est réalisée l’action
 
 de stéréotypes,
 
 et qui est responsable
 
 De tout cela on peut inférer
 
 qu’une struc-
 
 Les modèles
 
 ture
 
 lorsque
 
 d’être
 
 l’action.
 
 du déclenchement
 
 Le but est généralement
 
 de l’action, entendu,
 
 le résultat
 
 mais il peut aussi se faire, bien que l’action
 
 ait des effets secon-
 
 daires non escomptés voulant
 
 de
 
 prendre
 
 (par exemple,
 
 la bouteille,
 
 « en
 
 il renversa
 
 le
 
 vase »).
 
 cognitive
 
 remplies munes
 
 deux conditions en psychologie
 
 ACTION
 
 RESEARCHn.f.
 
 com-
 
 expérimentale
 
 dont
 
 l’activation
 
 comportement,
 
 certaines
 
 de ses caractéristiques,
 
 moignent
 
 de l’activation
 
 même
 
 ;
 
 et de
 
 stimulus ACTIVATION n.f. (angl. Activation)
 
 Processus hypothétique dans une famille de modèles
 
 utilisé cogni-
 
 tifs, en vertu duquel des représentations ou des procédures cognitives peuvent être portées à des niveaux variables d’activité. En psychologie d’activation
 
 générale,
 
 désigne
 
 la notion
 
 un processus
 
 hypo-
 
 boratoire
 
 mesure utilisée
 
 tives, fonctionnellement
 
 cogni-
 
 définies, le sont.
 
 Mais l’usage en psychologie
 
 générale
 
 et on ne peut sans précaution
 
 est gé-
 
 néraliser d’un domaine à l’autre. La notion d’activation est, malgré tout, largement de façon hypothétique
 
 une famille cognitive.
 
 de modèles
 
 de psychologie
 
 Cette modélisation
 
 les idées suivantes. des entités
 
 D’abord,
 
 (elles-mêmes cognitives,
 
 que celles-ci peuvent deux états différents
 
 repose sur étant donné
 
 hypothétiques)
 
 telles que des procédures sentations
 
 dans toute
 
 ou des repré-
 
 on peut
 
 supposer
 
 exister en étant dans : un état inactif
 
 ou un
 
 état actif. Ensuite, on ajoute généralement
 
 la présence Une
 
 fréquemment
 
 ou de réponse.
 
 tuation
 
 J.-F. L. N.
 
 Augmentation du du système nerveux
 
 Sur le terrain
 
 physiologique,
 
 (
 
 et de l’usage des temps de réponse
 
 lexicale,
 
 que « docteur de réponse
 
 la nature
 
 de la stimula-
 
 et la signification
 
 et le niveau d’excita-
 
 cette activation
 
 sont nombreux
 
 cueille aux niveaux (activité
 
 ») précédé par un stimulus un certain temps
 
 laires, fréquence ture centrale urinaires, centrale
 
 formance (détection
 
 un autre temps de décision,
 
 à A. L’expérimentation plus court
 
 montre
 
 que t0 (quelques
 
 millisecondes)
 
 : ce résultat
 
 t1,
 
 que t1 est dizaines
 
 définit
 
 de
 
 le phé-
 
 nomène d’amorçage. Dans un modèle d’activation,
 
 on interprète
 
 ce fait en disant qu’une représentation telle que R(A)
 
 co-
 
 (ici la signification
 
 permettant
 
 des indices de définir
 
 tels que la per-
 
 d’une relation
 
 ou des réponses
 
 d’autoestimation
 
 En 1951, D.B. Lindsley
 
 l’activité
 
 tempéra-
 
 entre le niveau d’activité
 
 de signaux)
 
 de l’activation
 
 »), on
 
 élec-
 
 à des épreuves dites de vigilance
 
 vigilance.
 
 est sémantiquement
 
 réponse
 
 pupillaire,
 
 de vigilance,
 
 on
 
 A précédé d’un
 
 cardiaque,
 
 et le comportement,
 
 peut appeler t0. Si, maintenant,
 
 observera
 
 débit
 
 etc.). On utilise encore, puisqu’il
 
 des questionnaires
 
 « infirmier
 
 ; on les re-
 
 ou taux de catécholamines
 
 »),
 
 (par exemple,
 
 de
 
 central et périphérique
 
 diamètre
 
 de décision
 
 apparenté
 
 de la
 
 électroencéphalographique,
 
 des niveaux
 
 un mot A (tel
 
 B qui lui
 
 au moment
 
 Les indices physiologiques
 
 existe une relation
 
 d’amorçage
 
 stimulus
 
 gnitive
 
 stimulation.
 
 on présente
 
 présente ce même stimulus
 
 du chan-
 
 facteurs, dont
 
 comportementaux
 
 à A (« temps
 
 il faut garder
 
 gement dépend de plusieurs
 
 Si, dans une tâche de dé-
 
 neutre, on peut observer qu’on
 
 d’activation,
 
 par le phénomène
 
 AMORÇAGE).
 
 cision
 
 d’une telle si-
 
 des niveaux
 
 niveau central.
 
 présent à l’esprit que l’importance
 
 trodermale,
 
 caractéristique
 
 inférer
 
 et non
 
 sanguin cérébral, tonus ou réflexes muscu-
 
 à cet effet est le temps de réaction
 
 est fourni
 
 tivées, mais non que des structures
 
 de la-
 
 d’activation.
 
 comportementale
 
 neu-
 
 définies, sont ac-
 
 sont les situations
 
 différents
 
 pour
 
 ronales, anatomiquement
 
 analogique
 
 directe.
 
 tion qui le provoque,
 
 en faisant varier les situations,
 
 Elles
 
 de dire que des structures
 
 percep-
 
 dans lesquelles on tente d’inférer,
 
 de niveaux
 
 il
 
 des deux domaines
 
 bilité du système nerveux Plus intéressantes
 
 vations
 
 bien établies pour l’attester.
 
 la représentation
 
 tive correspondante.
 
 Un exemple
 
 différent,
 
 : un
 
 visuel tel qu’un oiseau réel, ou un
 
 thétique. Dans le domaine de la neurophysiologie, on dispose de catégories d’obserpermettent
 
 directs
 
 dessin d’oiseau, ou des parties d’oiseau, est
 
 GÉNÉR.
 
 on l’a dit au début,
 
 qui té-
 
 qui ont un carac-
 
 sont les stimulus
 
 supposé activer
 
 ; cela vaut
 
 et, le cas échéant,
 
 pertinentes
 
 tère primitif
 
 ont l’avantage avec les notions
 
 qu’une correspondance une coïncidence
 
 avec
 
 à l’informatique.
 
 d’activation
 
 si, comme
 
 PHYSIOL.
 
 Les situations
 
 empruntées
 
 bien compatibles
 
 d’activité
 
 ACTION
 
 des phénomènes,
 
 n’y a entre les notions
 
 de son niveau.
 
 RECHERCHE-
 
 est en compétition,
 
 et données de la neurobiologie
 
 : la
 
 pertinente,
 
 on suppose qu’elle détermine d’un
 
 sont
 
 primitives,
 
 présence d’une situation l’observation
 
 J.-F. R.
 
 utilisée
 
 a été activée
 
 des notions
 
 de « pas-
 
 vers une autre, ici de R(B)
 
 pour l’interprétation
 
 de stratégies, etc.).
 
 celle de propa-
 
 sage » de l’activation
 
 La notion
 
 de schémas d’actions,
 
 exige qu’on introduise c’est-à-dire
 
 cution
 
 dures, d’opérations,
 
 per-
 
 gation de l’activation,
 
 à R(A).
 
 s’agisse de règles, de procé-
 
 été
 
 le mot B.
 
 ou de frames*, etc.) et des structures d’exé(qu’il
 
 par la repré-
 
 activée par son stimulus
 
 tation cognitive
 
 d’images mentales, de schémas
 
 de « docteur ») a
 
 »), qui avait elle-même
 
 une notion
 
 comme susceptibles d’être
 
 cogni-
 
 R(B) (la signification
 
 Cette interprétation
 
 qui
 
 appa-
 
 »).
 
 préactivée
 
 cognitive
 
 d’« infirmier
 
 mentales,
 
 par la pré-
 
 que la représentation
 
 été indirectement
 
 d’activation,
 
 A (le mot
 
 d’un stimulus
 
 aux entités
 
 Dans les modèles
 
 mantiques,
 
 pertinent
 
 et non consciente,
 
 directement
 
 (qu’il
 
 et pri-
 
 correspondent
 
 psychologiques
 
 pales entités
 
 de façon normale
 
 tive R(A) (la signification
 
 etc.).
 
 également
 
 activée
 
 neuronales
 
 son existence, de sa possession, de sa locamais il peut être
 
 ») s’est trouvée
 
 « docteur »), mais aussi, de façon anticipée,
 
 sur
 
 de psychologie
 
 est que des structures
 
 particulières
 
 mitive,
 
 sentation
 
 des percepts, des représentations
 
 de ses attributs),
 
 non seulement,
 
 deux. On
 
 ment d’état d’un objet (du point de vue de lisation,
 
 élevés
 
 de là faire des hypothèses
 
 les déterminants.
 
 chaud,
 
 du mot « docteur
 
 : on a donc alors une multiplicité
 
 net couler) ;
 
 (sec, humide,
 
 plus ou moins
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 à
 
 de la
 
 a proposé la théorie
 
 sur la base de la constatation entre les comportements
 
 électroencéphalographique
 
 servable lorsque
 
 et ob-
 
 ces comportements
 
 sont
 
 émis. Il ne s’agit pas d’une simple
 
 corré-
 
 lation
 
 puisque
 
 la stimulation
 
 tion réticulée
 
 mésencéphalique
 
 centrale
 
 la stimulation
 
 activation
 
 dont
 
 généralisée
 
 de structures
 
 de la forma(structure entraîne
 
 une
 
 d’un grand nombre
 
 cérébrales)
 
 est suivie de mo9
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 difications
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 comportementales
 
 sité est fonction
 
 dont l’inten-
 
 de l’intensité
 
 de la stimula-
 
 tion : on peut, de cette manière, déclencher des comportements
 
 d’attente,
 
 ou de rage. Inversement, de cette structure
 
 la destruction
 
 activatrice
 
 entraîne
 
 comportements
 
 d’apathie
 
 Selon la théorie
 
 de l’activation,
 
 tement
 
 d’excitation
 
 dépend
 
 zone fixée,
 
 mations
 
 en vue de l’atteinte
 
 oculomotricité.]
 
 l’adulte,
 
 plusieurs
 
 des Les types
 
 le compor-
 
 donc du degré d’activité P. L.
 
 VIGILANCE
 
 Anderson,
 
 J. R., 1983, The Architecture
 
 Cognition,
 
 Cambridge,
 
 Harvard
 
 en mouvements
 
 Press. C., Denhière,
 
 et la diffusion
 
 critique
 
 », l’Année psychologique,
 
 : une revue
 
 30 à 50 par
 
 et de grande fréquence,
 
 Cette sorte de tremblement
 
 Le Ny, J.-F., 1989, Science cognitive hension
 
 et compré-
 
 du langage, Paris, P.U.F.
 
 Reuchlin,
 
 M., 1981, Psychologie,
 
 tagmus
 
 4e
 
 d’empêcher
 
 éd., Paris,
 
 P.U.F.
 
 soient excitées de façon conti-
 
 plus ou moins
 
 de l’effet du micronys-
 
 longue
 
 En pédagogie, méthodes fondées sur la participation, l’initiative et l’autonomie des élèves. R. L.
 
 un mobile
 
 rétine périphérique, ce stimulus
 
 lumineuse
 
 Ensemble
 
 des déplace-
 
 en vision
 
 fovéale.
 
 ments et des mouvements nisme.
 
 d’un orga-
 
 très rapide (environ
 
 ACTIVITÉ
 
 L’enchaînement
 
 de saccades
 
 constitue
 
 un trajet
 
 est déterminée
 
 l’obscurité
 
 qu’en milieu
 
 nos yeux à un rythme ACTIVITÉ 2. n.f. (angl. Activity)
 
 Dans la caractérologie
 
 ments
 
 et E. Wierma, caractéristique d’une personne qui présente en elle-même une disposition à l’action à l’égard des buts qu’elle poursuit. L’activité
 
 s’oppose à la non-activité.
 
 classe les sujets en actifs/non-actifs
 
 nous déplaçons
 
 moyen de 2 à 3 fois Les déplace-
 
 sont plus fréquents
 
 oculomoteurs exécuter
 
 doivent
 
 vertical,
 
 ment pour un mouvement sur certains
 
 pri-
 
 contraste,
 
 contour
 
 ses points
 
 d’inflexion
 
 pour
 
 2 seule-
 
 horizontal.
 
 oculaires se concentrent
 
 tiellement
 
 R. L.
 
 ce qui peut
 
 se coordonner
 
 un déplacement
 
 fixations
 
 et
 
 par le simple fait que 6 muscles
 
 On
 
 maires, secondaires, etc.
 
 ACTIVITÉ
 
 s’expliquer
 
 points
 
 Les
 
 préféren-
 
 (zone à fort
 
 d’une figure et surtout qui constituent
 
 véritables
 
 pôles d’attirance
 
 DÉVELOP.
 
 Toutes
 
 de
 
 ces activités
 
 oculomo-
 
 pendant
 
 (angl. Activity Box)
 
 ments
 
 les premiers oculaires
 
 Espace clos muni d’un dispositif qui sert à mesurer l’activité spontanée
 
 latence
 
 d’un animal.
 
 amplitude J.-F. L. N.
 
 ACTOGRAPHE
 
 mois,
 
 sont moins
 
 plus grande
 
 les déplacerapides,
 
 (plusieurs
 
 secondes
 
 pour une saccade chez le nouveau-né), successives réaliser
 
 plus faible peuvent
 
 leur
 
 (plusieurs
 
 leur
 
 10
 
 psycholinguistique
 
 même qu’avec la difficulté sion d’un comme
 
 de
 
 a mis en évidence
 
 texte. La pratique
 
 le déchiffrage
 
 de
 
 de compréhend’une
 
 tâche,
 
 d’une radiographie,
 
 entraîne une économie dans le nombre durée des fixations, répartition
 
 de celles-ci,
 
 d’une meilleure
 
 qui s’accompagne
 
 performance.
 
 L’exploration
 
 visuelle
 
 de 3 à 9 ans a été enregistrée cognitives
 
 différenciation du trajet
 
 phases. Jusqu’à
 
 environ
 
 6 ans, l’activité
 
 de l’intérêt
 
 que suscite
 
 par sa nouveauté, sa com-
 
 oculaire
 
 Aussi se contenteune zone très limiLa forme
 
 est déterminée
 
 structurales
 
 par les :
 
 sur les pôles
 
 les déplacements
 
 font de préférence
 
 de
 
 du stimulus
 
 se concentrent
 
 d’attirance,
 
 indépen-
 
 de la tâche : l’enfant
 
 lui présente.
 
 caractéristiques
 
 L’évo-
 
 passe par deux
 
 d’explorer
 
 tée de ce qu’on
 
 ou
 
 oculaire
 
 plexité, sa signification.
 
 oculaires
 
 se
 
 le long d’alignements
 
 discrets, surtout L’exploration
 
 matériel
 
 d’objets
 
 est pratiquement
 
 en lui le stimulus
 
 d’éléments
 
 et de
 
 (E. Vurpillot).
 
 regarde en fonction
 
 zontaux.
 
 au cours de
 
 dessins
 
 dante des exigences
 
 son trajet
 
 d’enfants
 
 d’identification entre
 
 oculomotrice
 
 et la
 
 ainsi qu’une meilleure
 
 s’ils sont hori-
 
 est modelée par le
 
 : le trajet oculaire change de forme
 
 en même temps que celui-ci,
 
 même quand
 
 la tâche demeure la même, alors qu’il garde la même forme lorsque l’enfant
 
 doit exécu-
 
 ter une autre tâche avec le même matériel. partir
 
 de 6 ans apparaissent
 
 de véritables
 
 stratégies
 
 d’exploration.
 
 Par exemple,
 
 lorsqu’ils
 
 ont à décider
 
 si deux maisons
 
 ou deux colliers
 
 sont identiques
 
 les enfants récoltent qu’ils
 
 jugent
 
 trajet
 
 autant d’informations
 
 nécessaire
 
 à une décision oculaire
 
 de disposer
 
 pour
 
 et organisent
 
 leur
 
 en fonction
 
 sons qu’ils se proposent
 
 des comparai-
 
 de faire. Bref, leurs
 
 critères de décision (définition ou de la non-identité l’exemple
 
 de l’identité
 
 de deux objets dans
 
 choisi) deviennent
 
 déterminants
 
 ou non,
 
 les principaux
 
 de l’étendue et de la structure
 
 de l’exploration.
 
 saccades
 
 E. V.
 
 être nécessaires pour
 
 la poursuite
 
 et même le réflexe de ACTIVITÉ
 
 fixation). ACTIVITÉ OCULOMOTRICE (angl. Oculomotor Activity)
 
 ont apporté
 
 entre leurs valeurs et les exi-
 
 gences du traitement
 
 arriver
 
 du regard).
 
 trices sont présentes dès la naissance mais,
 
 (CAGE D’)
 
 une relation
 
 les fixations
 
 éclairé, que ce der-
 
 plus amples que les verticaux,
 
 de G. Heymans
 
 dont la
 
 Aussi bien dans
 
 chez l’adulte.
 
 horizontaux
 
 et de fixa-
 
 par les localisations
 
 des fixations.
 
 par seconde
 
 de l’oeil.
 
 oculaire
 
 nier soit ou non structuré,
 
 (CAGE D’)
 
 oculaire
 
 t-il souvent
 
 dont la trajectoire
 
 avant le départ
 
 forme
 
 30
 
 pour 5 degrés d’arc, 100 ms
 
 successives R. L.
 
 La saccade
 
 est programmée tions
 
 de la
 
 a pour effet d’amener
 
 est un déplacement
 
 l’exploration
 
 lution
 
 ché par une stimulation
 
 d’infor-
 
 en faveur de cette position.
 
 en gardant
 
 déclen-
 
 de
 
 d’un but. Chez
 
 recherches
 
 de scènes familières
 
 le regard
 
 délibérée
 
 et de mise en relation
 
 des yeux qui permet
 
 pour 40o chez l’adulte)
 
 ÉTHOL.
 
 est un
 
 des fixa-
 
 une analyse fine des paramètres
 
 tâches
 
 par adaptation
 
 La poursuite
 
 continu
 
 millisecondes ACTIVITÉ 1. n.f. (angl. Activity)
 
 recherche
 
 DÉVELOP.
 
 et plus ou moins
 
 fixé sur lui. Le réflexe de fixation,
 
 ACTIVES (MÉTHODES)
 
 de
 
 entraîne une disparition
 
 des cellules stimulées. déplacement
 
 ET
 
 artificielle
 
 de la perception,
 
 de suivre
 
 BIOL.
 
 que les cellules
 
 par une stabilisation
 
 complète
 
 est
 
 et non perçu par le sujet. Il
 
 l’image rétinienne
 
 p. 237-255.
 
 amplitude,
 
 mum,
 
 nue. La suppression
 
 G., 1988, « l’Acti-
 
 de l’activation
 
 de très faible
 
 a pour fonction
 
 University
 
 consiste 50 au maxi-
 
 incontrôlable
 
 of
 
 tions la trace d’une stratégie
 
 Ainsi
 
 oculaires
 
 20 secondes d’arc en moyenne,
 
 réceptrices
 
 Kekenbosch,
 
 de mouvements
 
 Le micronystagmus
 
 GÉNÉR.
 
 seconde.
 
 Bibliographie
 
 et dans la séquence
 
 des arguments
 
 ou de sommeil.
 
 réticulaire.
 
 vation
 
 mus, nystagmus optocinétique) ; les autres sont déclenchés par des stimulus lumineux (réflexe de fixation, saccade, poursuite visuelle). [Syn.
 
 PERCEPTIVE
 
 PERCEPTIVE
 
 (ACTIVITÉ)
 
 Activités
 
 oculaires
 
 et activités
 
 cognitives
 
 Ensemble des déplacements de l’oeil dans l’orbite et des mouvements conjugués des deux yeux par lesquels
 
 GÉNÉR.
 
 Très tôt les psychologues
 
 tentés
 
 de voir
 
 est assurée la fonction visuelle. Les mouvements sont de deux sortes : les uns sont spontanés (micronystag-
 
 d’un
 
 dans
 
 pauses du regard, choix
 
 estimation ment
 
 la localisation
 
 ou fixations,
 
 délibéré,
 
 ont été la marque
 
 dans leur durée une
 
 du temps nécessaire
 
 de l’information
 
 des
 
 disponible
 
 au traitedans la
 
 ACTIVITÉ PHASIQUE DU SOMMEIL (angl. Phasic Activity of Sleep)
 
 Ensemble
 
 des
 
 phénomènes
 
 transi-
 
 toires apparaissant dans certaines périodes de sommeil, tels que les mouvements oculaires rapides et les
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 secousses musculaires du sommeil paradoxal, ou les spindles du stade 2 de sommeil. P. L.
 
 ACTIVITÉS INTELLECTUELLES (angl. Mental Processes)
 
 au départ partir
 
 et celles qui ont été déduites
 
 d’elles. On a des manipulations
 
 consistent
 
 ce sont les actions physiques
 
 constituent
 
 théorèmes
 
 symbolique
 
 :
 
 et les règles générales la validité
 
 et, dans l’autre,
 
 ce sont les
 
 les actions licites dans
 
 par exemple,
 
 ne jamais
 
 avoir
 
 plus de cannibales que de missionnaires
 
 L’ensemble
 
 des états accessibles
 
 règles de transition
 
 par les
 
 entre états définit La situation
 
 cet espace. Élaborer
 
 l’intelligence,
 
 distingue
 
 gence théorique pratique. validité
 
 qui, dans la mesure de des tests d’intelli-
 
 telles
 
 tration
 
 est également
 
 consiste
 
 à relier
 
 elle ne l’a plus pour les tâches complexes
 
 à démontrer.
 
 qui exigent une décomposition
 
 ce cheminement
 
 qu’on puisse atteindre,
 
 ordonnancement
 
 de ces objectifs, la mise en
 
 oeuvre d’heuristiques
 
 de recherche
 
 sence de procédures
 
 connues,
 
 des résultats
 
 de l’action
 
 un
 
 en l’ab-
 
 l’évaluation
 
 et éventuellement
 
 une remise en cause de l’interprétation
 
 de
 
 la situation.
 
 un
 
 nombre
 
 Ces tâches font intervenir
 
 considérable
 
 d’inférences,
 
 que ce
 
 soit pour comprendre
 
 la situation
 
 élaborer des décisions
 
 d’action.
 
 corrélations
 
 sont faibles,
 
 obtenues
 
 on met en relation tâches complexes d’intelligence.
 
 ou pour
 
 De fait, les quand
 
 les performances et les résultats
 
 Cela s’explique
 
 aux
 
 aux tests
 
 en premier
 
 des théorèmes
 
 qui utilisent
 
 vités perceptives,
 
 d’autre
 
 automatisées
 
 cipalement
 
 qui sont essentielles
 
 Les activités
 
 tâches complexes.
 
 Une seconde raison est
 
 que les tâches abstraites tests sont en grande gico-mathématique ou de nature de termes),
 
 partie
 
 et que celles
 
 vités cognitives
 
 utilisées
 
 perceptives actuelle,
 
 sont conçues
 
 de traitement
 
 cette distinction
 
 pour
 
 ont souvent importantes. où les acticomme
 
 des
 
 de l’information,
 
 perd son sens. Les tâches
 
 de démonstration géométrique
 
 (définition
 
 pratique
 
 Dans la perspective
 
 lo-
 
 de règles)
 
 métalinguistique
 
 des composantes
 
 dans les
 
 de nature
 
 (découverte
 
 mesurer l’intelligence
 
 activités
 
 utilisées
 
 des traitements
 
 de type démonstration
 
 ou transformation
 
 algébrique
 
 sont analysées dans le même cadre conceptuel que les problèmes d’états
 
 de transformation
 
 tels que le problème
 
 naires et des cannibales de Hanoi*.
 
 des mission-
 
 ou celui de la tour
 
 Dans cette perspective,
 
 des états qui sont les états physiques situation disponibles,
 
 et un ensemble celles
 
 dénomination
 
 mettent
 
 l’es-
 
 des sti-
 
 pour cette raison
 
 symboliques
 
 Bottom utilisent
 
 des connaissances, de traitements
 
 d’où la
 
 descendants
 
 Une partie de ces trai-
 
 sont extrêmement
 
 tels ceux qui interviennent oeuvre des savoir-faire lexique.
 
 pour
 
 ascendants (angl.
 
 des significations
 
 automatisés, dans la mise en
 
 ou dans l’activation
 
 associées aux termes du
 
 Ils constituent
 
 les savoirs spécia-
 
 lisés caractéristiques
 
 de l’expertise.
 
 savoirs
 
 par l’extrême
 
 sont marqués
 
 Ces rapi-
 
 dité de leur mise en oeuvre, par leur spécificité et leur faible transférabilité, caractère implicite, difficile.
 
 par leur
 
 qui rend leur étude très
 
 Leur étude relève de la mémoire
 
 dans la mesure où ils sont constitués des connaissances en uvre dépend
 
 implicites,
 
 par
 
 dont la mise
 
 essentiellement
 
 de méca-
 
 nismes d’activation. Sous l’appellation
 
 gage et la compréhension physiques,
 
 dans la mesure où celle-ci
 
 en jeu des connaissances 2. les activités consistent
 
 de raisonnement.
 
 à produire
 
 unes de nature
 
 d’activités
 
 de
 
 et visant la compréhenl’acquisition
 
 ou l’élaboration
 
 de
 
 de déci-
 
 sions ; 3. l’acquisition
 
 de connaissances. Elle se pro-
 
 duit soit par l’enseignement soit par une expérience la résolution
 
 ou les textes,
 
 de découverte
 
 des problèmes
 
 4. l’élaboration notamment
 
 dans
 
 ;
 
 de décisions d’action.
 
 la planification
 
 C’est
 
 de tâches com-
 
 plexes, telles que celles qui sont réalisées quotidiennement
 
 dans l’activité
 
 profes-
 
 sionnelle.
 
 COMPRÉHENSION
 
 LA
 
 La compréhension
 
 traite
 
 tions véhiculées situations répond
 
 des significa-
 
 par des textes ou par des
 
 physiques.
 
 Comprendre
 
 à différentes
 
 finalités
 
 intellectuelles,
 
 : communi-
 
 un message),
 
 des informations
 
 événementielles
 
 ou romanesques),
 
 acquérir
 
 didactique),
 
 (dans
 
 une perspective
 
 mode d’emploi,
 
 L’information ou utilisée
 
 recette).
 
 qui sera stockée en mémoire pour
 
 l’action
 
 terme de l’activité
 
 immédiate
 
 de la compréhension.
 
 La compré-
 
 de textes qui ont pour finalité
 
 production
 
 d’actions
 
 ment à spécifier au contexte
 
 l’énoncé
 
 particulier
 
 qui exige d’ajouter qui est fournie
 
 consiste
 
 lesquels
 
 appelle
 
 constituent
 
 la
 
 principale-
 
 pour l’appliquer de la situation,
 
 de l’information
 
 ce
 
 à celle
 
 par l’énoncé.
 
 Un texte de consignes ou une recette décrivent une façon de faire pour obtenir
 
 un ré-
 
 sultat précis, ce que l’on appelle une procédure. Ce qu’il convient
 
 de faire est décrit de
 
 façon assez générale et exige en fait beaucoup de connaissances
 
 de la part du lec-
 
 teur. Le texte est loin d’énoncer
 
 la suite de
 
 toutes les actions à réaliser : il y a beaucoup d’implicite
 
 et il faut faire de nombreuses
 
 inférences pour passer du texte aux actions. hension
 
 explicités
 
 la compré-
 
 consiste le plus souvent
 
 des acteurs, qui, en général,
 
 ce que l’on
 
 est le
 
 qui dépend de la
 
 des inférences
 
 sur des connais-
 
 au
 
 de compréhension
 
 résultat d’une élaboration hension
 
 (réelles
 
 réaliser des actions spécifiques
 
 (consigne,
 
 finalité
 
 acquérir
 
 des connais-
 
 de la
 
 reposant
 
 un texte
 
 quer (interpréter
 
 ter des actions
 
 des raisonnements,
 
 les
 
 les autres
 
 sion, la communication, connaissances
 
 Elles
 
 des inférences,
 
 inductive,
 
 déductive
 
 met
 
 ;
 
 Dans un texte à visée narrative,
 
 sances explicitables,
 
 du lan-
 
 de situations
 
 on considère les activités qui mettent en jeu
 
 données
 
 Elles in-
 
 à la fois la compréhension
 
 sances générales
 
 en oeuvre
 
 de l’information appelle
 
 prin-
 
 implicites.
 
 qui consistent
 
 (angl. Top Down).
 
 de l’information
 
 on a
 
 d’informations
 
 qui étaient
 
 principalement
 
 tements
 
 qui utilisent
 
 perceptives
 
 Up). Les traitements
 
 dans les
 
 dans
 
 part aux activités
 
 des connaissances
 
 des traitements
 
 de l’action,
 
 des connaissances
 
 mesure, d’une part aux acti-
 
 ne mettent
 
 et de réorientation
 
 de l’information
 
 ou du moins explicitables
 
 une certaine
 
 cluent
 
 du traite-
 
 on oppose plutôt
 
 symbolique
 
 et qu’on
 
 de contrôle
 
 à partir
 
 types d’activi-
 
 et des propositions
 
 de traitement
 
 mulus
 
 luation,
 
 faire
 
 Dans la perspective
 
 dans les tests ne sont pas finalisées et donc pas en oeuvre les activités d’éva-
 
 peut
 
 connus
 
 à extraire
 
 utilisées
 
 admises
 
 est l’espace de toutes les
 
 les activités
 
 fortement
 
 qui
 
 vraies à la proposition
 
 de l’information,
 
 explicites,
 
 le
 
 L’espace dans lequel se situe
 
 sentiel
 
 lieu par le fait que les situations
 
 un cheminement
 
 que l’on
 
 de départ.
 
 qui
 
 Une démons-
 
 les propositions
 
 comme
 
 déductions
 
 ment
 
 consiste
 
 l’état constituant
 
 de l’état initial.
 
 au départ
 
 en sous-objectifs
 
 une solution
 
 de rejoindre
 
 que celles qui sont proposées dans les tests, de la tâche
 
 un état dans
 
 dans cet espace un chemin
 
 but à partir
 
 a une certaine
 
 pour les tâches élémentaires
 
 à trouver permette
 
 et des tests d’intelligence
 
 Si cette distinction
 
 est également
 
 à
 
 quatre
 
 1. les activités de compréhension.
 
 nature
 
 les données du problème,
 
 Cette opposition
 
 démontrer)
 
 un
 
 initiale,
 
 est un état ; le but (ou la proposition
 
 sur la psychométrie
 
 sur
 
 une rive.
 
 que constituent
 
 principalement
 
 du
 
 dans les systèmes
 
 experts.
 
 du traitement
 
 le domaine de l’intelligence abstraite qu’on oppose souvent à l’intelligence pratique. s’appuie
 
 accès et qui est formalisée
 
 tés relevant
 
 utilisables
 
 de l’exper-
 
 tise, celle à laquelle on a le plus facilement
 
 état à un autre : dans un cas, ce sont les
 
 espace de recherche. intellectuelles
 
 une part importante
 
 On peut distinguer
 
 la situation,
 
 blèmes.
 
 également
 
 tions. On a enfin des règles de passage d’un
 
 règles qui définissent
 
 utilisant des connaissances explicites, intervenant dans la compréhension, le raisonnement, l’acquisition de connaissances et la résolution de pro-
 
 Les activités
 
 ou les déduc-
 
 de la logique qui garantissent
 
 de l’informaautomatisées,
 
 qui
 
 à passer d’un état à un autre :
 
 raisonnement,
 
 Activités de traitement tion symbolique peu
 
 à
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 à remon-
 
 qui sont décrites n’ont
 
 par le texte au moment
 
 tion est décrite, et à remonter
 
 aux buts pas été où l’ac-
 
 des buts aux 11
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 contraintes
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 de la situation
 
 et aux intérêts
 
 des individus
 
 qui ont pu motiver
 
 Comprendre,
 
 c’est retrouver
 
 sale qui a produit Beaucoup compris
 
 la chaîne cau-
 
 les événements
 
 d’informations
 
 le texte sont
 
 ces buts.
 
 décrits.
 
 fournies
 
 alors négligées
 
 dans
 
 : ce qui est
 
 est plus général que ce qui est dit.
 
 L’interprétation
 
 consiste surtout
 
 à généra-
 
 liser, alors que dans le cas précédent, consiste
 
 principalement
 
 Les relations
 
 qu’il
 
 tement
 
 décrits
 
 d’ajouter
 
 à particulariser.
 
 est nécessaire
 
 entre les éléments
 
 elle
 
 d’établir
 
 d’information
 
 et ceux qu’il
 
 pour construire
 
 explici-
 
 est nécessaire une interpréta-
 
 tion du texte qui soit adaptée à sa finalité peuvent
 
 être produites
 
 ou peuvent
 
 être récupérées
 
 en mémoire, demment
 
 par des inférences
 
 si l’on
 
 directement
 
 a déjà traité
 
 des situations
 
 similaires
 
 résultats de ces traitements
 
 On
 
 peut
 
 construction tion
 
 quatre
 
 inférées
 
 sont retrouvées
 
 éléments
 
 en mémoire, consiste
 
 de
 
 des inforà celles qui et du fait que
 
 description
 
 des événements plusieurs
 
 construction
 
 peuvent
 
 que la
 
 eux-mêmes.
 
 de ces modes de
 
 intervenir
 
 dans la compréhension
 
 simultad’un texte
 
 précis. Ainsi, dans la compréhension énigme
 
 policière,
 
 qu’une
 
 action
 
 mander
 
 de
 
 des événements,
 
 plus schématique
 
 Bien entendu, nément
 
 objet
 
 d’une
 
 il ne suffit pas de savoir
 
 a été réalisée, il faut se de-
 
 comment
 
 elle a été réalisée dans
 
 le détail, quels instruments
 
 ont été utilisés,
 
 quel temps elle a pris, etc.
 
 lisaient
 
 des hypothèses
 
 des illustrés
 
 chez le médecin
 
 » permet
 
 jeune
 
 comme
 
 personne
 
 l’assistante
 
 médicale,
 
 schéma
 
 connaissances
 
 une cé-
 
 de faire cuire un oeuf C’est une unité de
 
 qui est autonome,
 
 La deuxième fonction du schéma permettre d’inférer des informations quantes. Dans l’exemple inférer
 
 insécable
 
 que les illustrés
 
 sont probablement
 
 qui sont mis à la disposition
 
 à un
 
 concrètes
 
 férentes. De ce fait, ils contiennent
 
 dif-
 
 Utilisation
 
 La construction
 
 de la représentation
 
 d’un domaine
 
 et les propriétés
 
 domaine
 
 pour comprendre
 
 a montré cialistes triques modèle
 
 l’interprétation à partir
 
 de la boîte
 
 d’un
 
 L’analyse
 
 des
 
 des non-spé-
 
 les phénomènes
 
 élec-
 
 selon des modèles Dans
 
 le courant
 
 un parcours
 
 le
 
 et celle de la
 
 à aucune
 
 de relations
 
 décrite
 
 n’est assimi-
 
 des situations
 
 comprendre
 
 que l’on
 
 consiste à construire au fur et à mesure
 
 de la lecture du texte. Les informations
 
 de
 
 de courant,
 
 de mobiles
 
 la largeur
 
 (au sens de structure Certaines
 
 ment et simplement
 
 sont éliminées
 
 à d’autres
 
 texte,
 
 sont
 
 proposition
 
 informations
 
 remplacées
 
 plus générale
 
 ensemble
 
 pour
 
 du
 
 par une
 
 qui résume un
 
 de propositions.
 
 sont construites
 
 pure-
 
 parce qu’elles ne sont
 
 pas connectées d’autres
 
 prédicat-
 
 D’autres
 
 exprimer
 
 enfin
 
 les rela-
 
 du texte. Dans le cas d’un récit, ce sont les
 
 de mobiles
 
 : le nombre
 
 positions
 
 tions de haut niveau entre les informations
 
 électrique
 
 une foule dans le métro aux
 
 heures de pointe)
 
 lable
 
 des
 
 relations
 
 de causalité entre les événements,
 
 les relations actions
 
 de buts à sous-buts
 
 des personnages,
 
 entre les
 
 qui constituent
 
 couloirs
 
 est la résistance
 
 et la poussée des
 
 la superstructure
 
 mobiles
 
 est le voltage.
 
 Dans le modèle
 
 récit et qui permet
 
 de dire qu’on l’a com-
 
 de même que l’eau s’écoule
 
 pris. Dans certains
 
 cas, plusieurs
 
 supers-
 
 peuvent être construites,
 
 qui sont
 
 hydraulique,
 
 l’électricité
 
 circulant
 
 est l’analogue
 
 est consi-
 
 dans des fils. Le de la pression
 
 la résistance
 
 dans
 
 est l’analogue
 
 du
 
 du tuyau.
 
 Le recours à l’analogie terprétation
 
 intervient
 
 dans l’in-
 
 que l’on se fait des appareils
 
 utilisés quotidiennement. dans le registre mémoire
 
 la copie
 
 du nombre
 
 étant l’analogue
 
 n’étant
 
 affiché
 
 physique,
 
 d’un magasin.
 
 affiché est considéré
 
 plus présent et comme
 
 être utilisé
 
 compatibles
 
 son sens au
 
 avec les informations
 
 C’est la caractéristique
 
 fournies.
 
 des romans
 
 poli-
 
 ciers où l’interprétation que l’on est incité à construire tout d’abord n’est pas l’interprétation
 
 définitive
 
 et devra être remise en
 
 cause.
 
 ne
 
 dans un calcul, ce qui
 
 Le recours
 
 à l’analogie
 
 peut
 
 : pour faire
 
 Construction
 
 d’un
 
 la retenue
 
 à un
 
 échange, avec ses deux faces, l’emprunt
 
 et
 
 en faisant réaliser l’opération
 
 modèle
 
 de situation
 
 On peut être amené dans certains construire tion
 
 une interprétation
 
 qui
 
 consiste
 
 concrètement
 
 cas à
 
 de la situa-
 
 à se représenter
 
 très
 
 les lieux, les personnages
 
 ou
 
 les actions. La compréhension
 
 de consignes.
 
 Si on lit
 
 dans une recette « écraser dans un bol quatre cuillerées
 
 à soupe de beurre
 
 ramollir
 
 la restitution,
 
 qui donne
 
 Ainsi, dans l’uti-
 
 lisation d’une calculette à mémoire,
 
 De la sorte, le nombre
 
 tructures
 
 on peut assimiler
 
 Le
 
 contenant,
 
 une information.
 
 réseau
 
 la situation
 
 argument).
 
 les circuits électriques
 
 mécanique,
 
 Lorsque
 
 d’un
 
 traction,
 
 généralement
 
 comme
 
 en algèbre
 
 Construction
 
 par les de
 
 d’affec-
 
 de trois analogies :
 
 pour conserver
 
 faut comprendre
 
 qui lui sont spécifiques.
 
 schéma a deux fonctions.
 
 l’analogie
 
 ce
 
 d’un nom qui lui sert d’étiquette
 
 ou d’éléments
 
 comme le basic, à partir
 
 le sens de la retenue dans la sous-
 
 : le résultat
 
 on
 
 dans un langage de programmation
 
 acquérir
 
 est le schéma particularisé.
 
 Un schéma est sélectionné
 
 des
 
 On en a de nom-
 
 être utilisé dans l’enseignement
 
 de la situation
 
 Il
 
 ce qui se passe
 
 ou hydrauliques.
 
 est la quantité
 
 à l’opération
 
 un réseau de relations
 
 de la situation.
 
 éléments
 
 riable » relativement
 
 connues
 
 physiques.
 
 sont construites
 
 (par exemple,
 
 Ainsi,
 
 le concept de « va-
 
 connaît,
 
 est inexact.
 
 ses variables
 
 connue.
 
 dans la compréhension
 
 concernant
 
 est vu comme
 
 pouvant
 
 schéma et remplacer
 
 peut faire comprendre
 
 : une
 
 pour corriger
 
 de la première.
 
 : on utilise les
 
 que les conceptions
 
 mécaniques
 
 de variables qui sont destinées
 
 sélectionner
 
 multiples
 
 base sont considérées comme étant les pro-
 
 de l’analogie.
 
 exemples
 
 son
 
 très intéressant
 
 d’analogies
 
 celle de l’égalité
 
 dans un autre domaine. La pratique
 
 d’engendrer
 
 le test délimite
 
 de correction
 
 est l’utilisation
 
 se fait
 
 à un autre domaine
 
 relations
 
 comme
 
 c’est d’abord
 
 ceux
 
 Son inté-
 
 d’analogies
 
 avec une situation
 
 significations
 
 un cer-
 
 en utilisant
 
 Un moyen
 
 tation
 
 pour
 
 de validité.
 
 mémoire
 
 à être remplies par des éléments spécifiques un schéma,
 
 et
 
 des clients.
 
 la mémoire
 
 générales qui s’appliquent
 
 Comprendre
 
 on peut
 
 que la pièce est la salle d’attente
 
 structures
 
 tain nombre
 
 est de man-
 
 précédent,
 
 est conçue comme un transport
 
 de situations
 
 autres,
 
 manquantes.
 
 et récupérée en bloc. Les schémas sont des grand nombre
 
 12
 
 ou
 
 de mariage, une visite chez le mé-
 
 SCHÉMA.)
 
 et les trois
 
 dont
 
 les insuffisances
 
 voltage
 
 des événements
 
 des actions : un repas au restaurant,
 
 (
 
 ou
 
 des informations
 
 diamètre
 
 à la coque.
 
 la secrétaire
 
 domaine
 
 est de permettre
 
 Inférence
 
 formations
 
 decin ou la manière
 
 la
 
 situations.
 
 seconde analogie est utilisée
 
 les tuyaux,
 
 rémonie
 
 d’identifier
 
 rêt principal
 
 très puissant
 
 comme des clients qui attendent.
 
 Un schéma est un ensemble organisé d’inconcernant
 
 », le schéma « visite
 
 à travers les tuyaux,
 
 d’un
 
 à son égard. Elle reste ce-
 
 de nouvelles
 
 dérée comme Particularisation
 
 taine méfiance
 
 peut
 
 ce qui suscite une cer-
 
 aborder
 
 réponses concernant
 
 a pour
 
 à l’erreur,
 
 jeune personne le fit entrer dans une sorte de petit salon où il y avait trois adultes qui
 
 à la situation par définition
 
 du texte. Si je lis
 
 conduire
 
 un mécanisme
 
 des phénomènes
 
 une explication
 
 les
 
 son utilisation
 
 pendant
 
 ce qui est dit dans le texte pour l’adapter construire
 
 général pas complète,
 
 dans un récit : « Il alla voir le médecin. Une
 
 breux
 
 à particulariser
 
 ou qu’elle
 
 La première
 
 d’interpréter
 
 d’information
 
 par analogie
 
 en fonc-
 
 relative
 
 par rapport
 
 l’interprétation
 
 est de permettre
 
 s’agit du transfert
 
 modes
 
 d’une interprétation
 
 de l’importance
 
 mations
 
 récupérées
 
 d’une interprétation.
 
 distinguer
 
 des éléments.
 
 et si les
 
 est plus ou moins importante
 
 dans la construction
 
 fonction
 
 ont été mémo-
 
 risés. La part des informations en mémoire
 
 précé-
 
 Interprétation
 
 qu’on
 
 ramolli
 
 », il
 
 doit d’abord
 
 faire
 
 le beurre en le laissant un moment
 
 à la température
 
 de la pièce après l’avoir
 
 sorti du réfrigérateur,
 
 puis prendre
 
 un bol,
 
 avec des cubes, des réglettes de dix cubes et
 
 ensuite prélever quatre cuillerées
 
 des blocs de dix réglettes.
 
 et enfin écraser le beurre dans le bol. Il faut
 
 Les limites
 
 et les corrections
 
 de l’analo-
 
 gie. Dans la mesure où l’analogie
 
 n’est en
 
 donc ajouter beaucoup doivent
 
 de beurre
 
 d’informations,
 
 être inférées (à partir
 
 qui
 
 des connais-
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 sances que l’on a sur la cuisine), pour déter-
 
 visée pragmatique.
 
 miner
 
 objectif
 
 la suite des actions à réaliser.
 
 activité
 
 de production
 
 Cette
 
 des inférences
 
 qui
 
 sont nécessaires pour l’explicitation consigne
 
 n’est faite automatiquement
 
 si l’on a des connaissances On a montré
 
 certaines
 
 explicite
 
 quatre
 
 cuillerées
 
 ou implicite beurre
 
 de
 
 « faites ramollir
 
 »), ils mentionnent
 
 ment moins souvent les actions
 
 de
 
 d’énoncés,
 
 à faire des généralisations. d’action
 
 les objectifs,
 
 expérimentés, présentent
 
 des sujets
 
 les sujets novices
 
 pas, au moment
 
 la façon de réaliser
 
 ne se re-
 
 de raisonnements
 
 les
 
 et ceux dont spécifiques.
 
 Les premiers
 
 car
 
 sont
 
 Les premiers
 
 sont orientés
 
 seconds sont utilisés
 
 de connaissances
 
 rales à des contenus
 
 la représentation
 
 du détail
 
 actions
 
 et de la topographie
 
 des
 
 des lieux
 
 ne
 
 inférences
 
 et
 
 géné-
 
 particuliers.
 
 les inférences
 
 et les déductions.
 
 Les
 
 dans la déduction
 
 distinguer
 
 récits,
 
 plu-
 
 de connaissances.
 
 les deux catégories de sujets. de
 
 aux règles
 
 nouvelle.
 
 Le raisonnement
 
 Une première est constituée Celui-ci
 
 on peut
 
 proprement
 
 Les déductions
 
 dont la validité
 
 dites
 
 sont des
 
 est garantie
 
 le fait qu’elles sont produites
 
 par
 
 en suivant des
 
 de raisonnement
 
 par le raisonnement
 
 comporte
 
 la formation d’une
 
 inductif
 
 catégorie
 
 et l’évaluation
 
 part,
 
 d’information
 
 pour tester des hypothèses,
 
 de situations
 
 une règle de classi-
 
 (identification
 
 de concepts).
 
 sont construits
 
 tain nombre
 
 ont été étu-
 
 à partir
 
 à identifier
 
 stimulus
 
 La formation
 
 d’hypothèses
 
 diées principalement fication
 
 d’autre part.
 
 des hypothèses.
 
 et l’évaluation
 
 à partir
 
 d’attributs
 
 (taille, forme, cou-
 
 leur, etc.) qui en général ont chacun deux valeurs
 
 possibles
 
 (grand
 
 et petit,
 
 le stimu-
 
 lus a une valeur (grand, rond, bleu, etc.).
 
 classification.
 
 définit
 
 Celle-ci
 
 dimensionnelle
 
 une valeur
 
 donné,
 
 à la classe donnée
 
 par exemple
 
 les bleus. Dans la procédure
 
 courante,
 
 montre
 
 un stimulus
 
 indique
 
 au sujet si l’objet appartient
 
 valeur
 
 correspondant
 
 accompagnés
 
 à cette classe sont
 
 de l’information
 
 OUI et que
 
 ont montré
 
 inférences
 
 très important
 
 dans la réussite
 
 les énigmes
 
 policières.
 
 On a montré
 
 que,
 
 qui n’ajoutent
 
 pas d’informa-
 
 tion mais qui dégagent les implications
 
 des
 
 après l’écoute d’un passage d’une nouvelle
 
 énoncés tenus pour vrais. Les inférences
 
 de C. Doyle, racontant
 
 sens strict
 
 Holmes saient
 
 et le docteur nuitamment
 
 maître chanteur
 
 comment Watson
 
 Sherlock
 
 pour récupérer
 
 d’un
 
 des lettres
 
 des
 
 NON,
 
 : c’est la base de la démons-
 
 de dessiner le plan de la
 
 tration
 
 scientifique
 
 villa et le trajet effectué par les héros dans
 
 Depuis
 
 l’Antiquité,
 
 la villa pour se rendre
 
 a été de définir
 
 seconde lecture, les attendait, fournir
 
 Pourtant
 
 informés
 
 à une
 
 de la tâche qui
 
 ils se sont révélés capables de
 
 un plan relativement
 
 Ces résultats montrent teuse du point
 
 de vue cognitif,
 
 réalisée automatiquement jets très familiers
 
 qui n’est
 
 que par des su-
 
 du domaine,
 
 et qui n’est
 
 mise en oeuvre que si elle est nécessaire la réalisation
 
 de la tâche dans laquelle
 
 intégrée la compréhension
 
 leur domaine
 
 effort se poursuit
 
 à est
 
 du texte.
 
 aujourd’hui
 
 Raisonner,
 
 c’est produire
 
 l’on considère
 
 la nature des inférences
 
 sont faites, on peut distinguer
 
 Si qui
 
 deux classes
 
 où il y a au-
 
 est considéré
 
 valeur
 
 informations importante
 
 de valide
 
 des
 
 que l’on a. Une autre qualité d’un raisonnement, c’est-à-dire
 
 c’est d’être
 
 de permettre d’orienter
 
 de for-
 
 la recherche
 
 vers des voies dont la validité
 
 soit posi-
 
 possible
 
 de la couleur.
 
 est OUI. En fait, pratique-
 
 une hypothèse incompatible
 
 avec l’information ci est positive
 
 présentée
 
 (par exemple,
 
 quand cellel’hypothèse
 
 « bleu », si le stimulus
 
 est jaune et si l’on
 
 a OUI).
 
 jusqu’à
 
 En revanche,
 
 infirmée stimulus NON).
 
 fréquemment
 
 10 ans, ils
 
 une hypothèse
 
 par une information l’hypothèse
 
 négative
 
 « jaune », si le
 
 est jaune et si l’information La raison
 
 que les jeunes enfants ne savent pas former une hypothèse négative,
 
 à partir
 
 alors qu’ils
 
 tir d’une information
 
 d’une information
 
 savent le faire à parpositive.
 
 Le premier
 
 chances de rapprocher
 
 difficulté
 
 une hypothèse,
 
 de raisonnements
 
 : les raisonnements
 
 à
 
 C’est ainsi que se développent
 
 visée épistémique
 
 et les raisonnements
 
 à
 
 dites non monotones,
 
 quoi.
 
 des logiques
 
 dans lesquelles
 
 un
 
 est
 
 est vraisemblablement
 
 peut servir à étudier
 
 de ne rien faire ou de faire n’importe
 
 On
 
 si le stimulus
 
 dès 6-7 ans, les enfants rejettent ment toujours
 
 est
 
 si « bleu » est
 
 essai du problème
 
 que
 
 Si
 
 compa-
 
 n’est pas assurée mais qui ont de meilleures de la solution
 
 (in-
 
 que les exemples.
 
 est bleu et si l’information
 
 (par exemple,
 
 ne puisse plus rien déduire
 
 de cette
 
 logiquement
 
 peut faire la même inférence
 
 nement
 
 : il arrive que dans certains cas on
 
 apportent
 
 tible avec cette information
 
 conservent
 
 ou l’action
 
 des inférences.
 
 domaines
 
 facteur
 
 est jaune et si l’information
 
 comme stable. La validité n’est pas nécessairement la qualité première d’un raison-
 
 mer des hypothèses,
 
 LE
 
 pour définir
 
 classique,
 
 le discours
 
 et Cet
 
 de vérité et où l’univers
 
 quel s’applique
 
 productif,
 
 RAISONNEMENT
 
 de validité.
 
 des règles valides dans d’autres deux valeurs
 
 est une tâche coû-
 
 des logiciens
 
 des règles de déduction
 
 que celui de la logique
 
 précis.
 
 que la construction
 
 d’un modèle de situation
 
 de délimiter
 
 l’effort
 
 qu’un
 
 « bleu » est une hypothèse
 
 l’autre
 
 et de l’argumentation.
 
 NON.
 
 Les contre-exemples
 
 autant d’information
 
 préoccupé
 
 de la validité
 
 de l’information
 
 NON)
 
 s’est beaucoup
 
 plupart
 
 les documents.
 
 de
 
 formation un stimulus
 
 raisonnements
 
 trouvaient
 
 par remontée
 
 tive ou négative.
 
 On
 
 les sujets étaient pour la
 
 dans la pièce où se
 
 que
 
 pas cette valeur
 
 tâche est le fait que l’information
 
 la chaîne causale ou par spécification.
 
 compromettantes, incapables
 
 de l’information,
 
 ce soit par généralisation,
 
 s’introdui-
 
 dans la maison
 
 ajoutent
 
 au
 
 la classe
 
 qui est telle que tous les objets qui ont la
 
 Ces recherches
 
 le cas dans
 
 ou non
 
 à la classe. Le sujet doit identifier
 
 sont accompagnés
 
 c’est souvent
 
 on
 
 à chaque essai, et on
 
 par la logique. Les inférences, au sens large, englobent les déductions, qui sont des
 
 comme
 
 d’un
 
 les ronds ou
 
 au moment requiert,
 
 de
 
 est en général uni-
 
 : appartiennent
 
 les objets ayant attribut
 
 une règle
 
 tous les objets qui n’ont
 
 de la suite du texte le
 
 carré et
 
 rond, etc.). Pour chaque attribut,
 
 règles bien précises qui sont celles définies
 
 où la compréhension
 
 Les
 
 d’un cer-
 
 semble pas faite en général spontanément de la lecture, sauf dans les cas
 
 :
 
 d’hypothèses,
 
 la recherche
 
 La formation
 
 inductif.
 
 deux types d’activités
 
 L’expérimentateur
 
 de règles et de lois,
 
 de vue de la validité,
 
 récit. Dans la lecture
 
 des
 
 les seconds des particula-
 
 Du point
 
 d’un
 
 plus
 
 produisent
 
 le temps global de lecture est le même pour
 
 La lecture
 
 des pré-
 
 deux formes
 
 les conclusions
 
 dans l’application
 
 mais cette program-
 
 mation des actions est très automatisée,
 
 à celui
 
 des
 
 : ceux dont les conclu-
 
 vers la construction
 
 donc ce type d’informa-
 
 modes de réalisation,
 
 la
 
 à cette réali-
 
 distinguer
 
 rimentés
 
 de la lecture en inférant
 
 et à programmer
 
 par rapport
 
 tôt vers la découverte
 
 tion au moment
 
 à définir
 
 le degré de généralité
 
 seulement par leur résultat. Les sujets expéajoutent
 
 de
 
 des plans d’action
 
 nécessaires
 
 on peut
 
 risations.
 
 exprimées
 
 en conformité
 
 tion ou une déduction
 
 consistant
 
 généralisations,
 
 de la lecture,
 
 les actions
 
 l’élaboration
 
 sions sont plus générales que les prémisses
 
 que les actions explicites.
 
 qu’à la différence
 
 à imaginer
 
 Les
 
 sation.
 
 misses,
 
 Cela signifie
 
 les implications
 
 : ils consistent
 
 en vue de les réaliser
 
 En revanche,
 
 les
 
 des
 
 à déterminer
 
 décrites.
 
 actions implicites
 
 à engendrer
 
 prétations,
 
 conclusions
 
 aussi fréquemment
 
 Ils consistent
 
 de res-
 
 à tester la cohérence des inter-
 
 que celles qui sont explicitement
 
 mentés rappellent
 
 déduit
 
 la
 
 hypothèses,
 
 implicite
 
 expéri-
 
 d’évé-
 
 de causes, l’identification
 
 Si l’on compare
 
 de manière
 
 les sujets
 
 la filiation
 
 énoncé
 
 peut être remis en cause par une informa-
 
 dans le diagnostic,
 
 suite des actions
 
 nette-
 
 dans une épreuve de
 
 formulées
 
 d’établir
 
 qui interviennent
 
 décisions
 
 en le mettant
 
 (« écrasez quatre cuillerées
 
 d’apprendre,
 
 seconds ont pour objectif
 
 de la pièce et écrasez-le »)
 
 ramolli
 
 rappel
 
 de la cuisine dans laquelle
 
 de beurre
 
 à la température
 
 à des
 
 ont pour
 
 : c’est le cas des raisonnements
 
 demande
 
 sont données
 
 (comme
 
 nements
 
 ponsabilités.
 
 une recette
 
 informations
 
 d’argumenter,
 
 recherche
 
 que si l’on
 
 de mémoriser
 
 que
 
 de comprendre,
 
 spécialisées.
 
 sujets n’ayant pas de pratique
 
 façon
 
 de la
 
 Les premiers
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 de former
 
 au départ du problème thèse privilégiée.
 
 la
 
 puisque
 
 il n’y a pas d’hypo-
 
 Dans le cas où le stimulus
 
 est un exemple de la classe, les sujets, dès 13
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 6-7 ans, adoptent une hypothèse
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 pratiquement
 
 compatible
 
 inexacte,
 
 Il n’en va pas de
 
 l’information
 
 est négative
 
 avant 10 ans, ils choisissent compatible
 
 on maintient
 
 avec l’informa-
 
 tion qui leur a été fournie. même lorsque
 
 toujours
 
 bien qu’ayant
 
 confirmations
 
 fournie
 
 qui est en fait
 
 reçu beaucoup
 
 Une deuxième
 
 catégorie
 
 syllogisme.
 
 de l’exemple
 
 plus étudiés sont les syllogismes
 
 qu’elle
 
 est invalide.
 
 pas de différence
 
 Chez l’adulte,
 
 il n’y a
 
 se marque
 
 la relation
 
 par des
 
 y compris taire,
 
 de traiter
 
 leur
 
 négative. Il faut
 
 dans ce cas en effet raisonner plément
 
 : du constat
 
 sur le com-
 
 que l’objet
 
 par exemple et que l’information
 
 de contenu
 
 référentiel
 
 est NON,
 
 ne peuvent
 
 être rattachés
 
 de l’expérience.
 
 de « jaune » pour la couleur
 
 énoncés
 
 plausible
 
 les sujets
 
 puisque « jaune » est exclu. La recherche
 
 de l’information.
 
 sonnement lement
 
 inductif,
 
 de former
 
 thèses à partir mation
 
 Dans le rai-
 
 et d’évaluer
 
 des hypo-
 
 de l’information
 
 que l’on
 
 rechercher
 
 utile pour tester la validité
 
 hypothèse
 
 : cela correspond
 
 d’expérimentation. stratégies
 
 Avant
 
 l’apparition
 
 systématiques,
 
 varier un attribut constants,
 
 de
 
 en maintenant
 
 tégie plus primitive les situations
 
 chez les enfants
 
 simples,
 
 complexes.
 
 stratégie consiste à rechercher telle que, si l’hypothèse tester est correcte,
 
 une situation
 
 que l’on cherche à
 
 elle soit confirmée
 
 une information
 
 positive
 
 plutôt
 
 une information
 
 négative.
 
 formel,
 
 en l’absence
 
 c’est-à-dire
 
 En revanche,
 
 applicables
 
 de
 
 plutôt
 
 de déduction
 
 de la difficulté
 
 de déduction
 
 des
 
 est le raison-
 
 de toutes
 
 en démontrant
 
 les autres
 
 la
 
 alternatives
 
 casse-tête logiques
 
 interprétation
 
 de la même
 
 que celle invoquée
 
 sur ce type de raisonnement.
 
 de vérifier
 
 positive.
 
 à comprendre qui consistent
 
 la modalité
 
 correspondant
 
 est présente,
 
 revient
 
 où, si l’hypothèse confirmée
 
 une situation
 
 où
 
 à rechercher
 
 des cas
 
 est vraie, elle puisse être
 
 positivement,
 
 c’est-à-dire
 
 par
 
 des connaissances ration
 
 et de résolution
 
 l’apprentissage
 
 truction,
 
 explique
 
 tées de façon
 
 sous le nom de « biais de confirmation Il consiste à rechercher si l’hypothèse
 
 des situations
 
 que l’on cherche à vérifier
 
 vraie, elle soit confirmée
 
 elle est vraie, soit confirmée mation conduire
 
 négative.
 
 est
 
 de l’intégration
 
 :
 
 solution
 
 si
 
 par une infor-
 
 de confirmation
 
 de problèmes,
 
 sont construites
 
 et
 
 sont présen-
 
 et sont organisées qui est celle et déjà
 
 par la ré-
 
 les connaissances
 
 progressivement
 
 donc des connaissances sont organisées
 
 d’explo-
 
 aux connaissances
 
 à partir
 
 de la tâche : ce sont spécifiques
 
 non pas à partir
 
 et qui
 
 d’une lo-
 
 à la
 
 spécifiques.
 
 ne sont
 
 par l’inssemblent
 
 pas mises en
 
 où elles seraient
 
 fait la remarque
 
 les élèves n’utilisent
 
 que
 
 pas les connaissances
 
 ne sont pas assimilées.
 
 est en réalité
 
 La démarche
 
 en
 
 à des problèmes
 
 des connaissances interne
 
 La
 
 de transformer
 
 applicables
 
 qui sont orga-
 
 selon une logique
 
 de
 
 et non en fonction qu’elles
 
 peuvent
 
 des per-
 
 inverse est réalisée dans l’ap-
 
 prentissage
 
 par l’action
 
 On cherche la solution
 
 et la découverte. de problèmes
 
 spéci-
 
 fiques et, à partir de là, on construit
 
 par des
 
 procédures
 
 et véri-
 
 inductives
 
 (formation
 
 d’hypothèses)
 
 sur la situation
 
 par la
 
 entre les informations
 
 du contexte particulier :
 
 mais
 
 On a souvent
 
 fication
 
 par l’ins-
 
 propre
 
 Ce ne sont
 
 est que les connaissances
 
 des connaissances
 
 qui sont structurées
 
 les problèmes
 
 à résoudre.
 
 sances, on peut déduire plus générales, de situations,
 
 possédées. Dans l’apprentissage
 
 Cette façon de faire peut
 
 à des illusions
 
 d’une logique
 
 de la cohérence
 
 serait de recher-
 
 telles que l’hypothèse,
 
 à partir
 
 générale
 
 où,
 
 par une informa-
 
 tion positive. L’alternative cher des situations
 
 ».
 
 les connaissances
 
 Les exemples
 
 d’un apprentissage
 
 mettre de résoudre.
 
 par l’instruction.
 
 Dans le cas de l’apprentissage
 
 que l’on a décrit
 
 La difficulté
 
 que
 
 de problèmes,
 
 l’énoncé.
 
 des connaissances
 
 de problèmes
 
 types de problèmes
 
 de base d’acquisition de situations
 
 dans
 
 suit le plus souvent
 
 pas des applications
 
 cohérence
 
 CONNAISSANCES
 
 : l’apprentissage
 
 à partir
 
 un cas qui est un exemple de la classe. Cela le phénomène
 
 à cette difficulté
 
 des connaissances.
 
 et à
 
 par les élèves.
 
 Il y a deux formes découverte
 
 à l’hypothèse
 
 Les exemples
 
 qui est celle de l’organisation
 
 nisées en mémoire
 
 à des contradictions
 
 L’ACQUISITIONDE
 
 en vue
 
 une logique
 
 à dé-
 
 en montrant
 
 pour être
 
 un exposé général, accompagné
 
 Il y
 
 pour ex-
 
 Chercher,
 
 une hypothèse,
 
 conduit
 
 très mal compris
 
 pliquer la plus grande facilité de traitement de l’information
 
 de remédier
 
 concrets
 
 Ces résultats
 
 et relèvent
 
 de comprendre.
 
 procédures
 
 c’est le cas du raisonnement par l’absurde abondamment utilisé en mathématiques et
 
 le contre-exemple
 
 à même tentent
 
 généraux
 
 abstraites qu’ils possèdent : cela est imputé
 
 sa négation
 
 que
 
 des énoncés
 
 utiles.
 
 bleu plutôt qu’un objet jaune.
 
 plus convaincant
 
 concrète
 
 difficulté
 
 d’un énoncé
 
 une proposition
 
 apparaît
 
 Mais il faut
 
 une représentation
 
 à la vérité
 
 montrer
 
 l’exemple
 
 existantes.
 
 spontanément
 
 au fait qu’elles
 
 choisissent
 
 que
 
 à faire acquérir
 
 oeuvre dans les contextes
 
 Un exemple
 
 plus faci-
 
 duire
 
 nement par exclusion. Il consiste à conclure
 
 des preuves
 
 l’idée
 
 et de rattacher
 
 soit capable de pro-
 
 mémorisées
 
 du type de celles de manipulation
 
 l’avantage
 
 que celui qui apprend
 
 truction
 
 que des règles
 
 Un haut
 
 présente
 
 aux connaissances
 
 le
 
 auquel expo-
 
 et les relations.
 
 les connaissances
 
 résolution
 
 : ce sont ces schémas qui guident
 
 déductions,
 
 typique
 
 des
 
 à des classes bien délimitées
 
 admettre
 
 corroborent
 
 concerne
 
 ne sont que des illustrations.
 
 de tout
 
 de raisonnement,
 
 a beaucoup de difficulté
 
 des cas un objet
 
 ne sont pas
 
 La première
 
 de généralité
 
 interne
 
 purement
 
 ils possèdent
 
 recte, les enfants de fin d’école élémentaire dans la plupart
 
 indépendantes.
 
 ou non d’exemples,
 
 très peu de
 
 au niveau
 
 reposent
 
 cor-
 
 ou
 
 que les sujets non manient
 
 possibles. De nombreux
 
 Par exemple,
 
 dont
 
 sont nettement
 
 règles de déduction
 
 fausseté
 
 par
 
 que par
 
 pour tester si « bleu » est l’hypothèse
 
 Cela montre
 
 règles formelles
 
 Cette
 
 les
 
 directe
 
 que l’on enseigne en logique.
 
 pour
 
 mais aussi chez les
 
 adultes dans les situations
 
 les performances
 
 générales
 
 a été mise en évidence une stra-
 
 Ces deux dimensions
 
 Toutefois
 
 leurs
 
 les autres
 
 sation.
 
 logique d’utili-
 
 connues,
 
 situations
 
 telles que faire
 
 d’organisation-logique
 
 la mesure où ils particularisent
 
 schémas pragmatiques
 
 aux situations
 
 la dimension
 
 qui peuvent être rattachées à des situations
 
 contenu.
 
 d’une
 
 quand
 
 à des situations
 
 spécialistes de logique
 
 l’infor-
 
 à un domaine
 
 ont une expérience
 
 meilleures.
 
 il ne s’agit pas seu-
 
 reçoit, il faut également
 
 se réfèrent
 
 pas
 
 et l’ap-
 
 : la dimension
 
 interne
 
 lement
 
 et qui de ce fait
 
 En revanche,
 
 particulier-général,
 
 d’être économique
 
 lorsqu’on
 
 qui n’ont
 
 prentissage par l’instruction
 
 degré
 
 universi-
 
 des déductions
 
 arbitraires
 
 par la découverte
 
 ser les concepts
 
 que les sujets,
 
 d’erreurs
 
 est jaune
 
 est « bleu » et
 
 et la mise
 
 qui distinguent
 
 choix du degré de généralité
 
 RAISONNEMENT.)
 
 de faire
 
 sur des énoncés
 
 fondés sur
 
 de niveau
 
 font beaucoup
 
 il faut inférer que la valeur complémentaire que « bleu » est une hypothèse
 
 d’implication,
 
 (
 
 les adultes
 
 demande
 
 condition-
 
 catégoriques,
 
 d’inclusion.
 
 est le
 
 qui ont été le
 
 Toutes les études ont montré
 
 temps de réponse plus longs quand il s’agit de l’information
 
 le prototype
 
 Les syllogismes
 
 et les syllogismes
 
 au niveau de la réussite,
 
 mais cette asymétrie
 
 dont
 
 nels, fondés sur la relation
 
 et pour reconnaître
 
 l’apprentissage
 
 de raisonnement
 
 Il n’y a donc pas symétrie entre le traitement
 
 une hypothèse
 
 Ce sont par là des connais-
 
 Il y a deux dimensions
 
 est la déduction,
 
 pour
 
 rencontrés.
 
 des problèmes
 
 en oeuvre dans des contextes spécifiques. La déduction
 
 et celui du contre-exemple.
 
 mais à partir
 
 sances orientées vers l’utilisation
 
 les deux tiers des cas seulement.
 
 former
 
 de
 
 :
 
 dans
 
 est privilégié
 
 gique interne,
 
 positives.
 
 une hypothèse
 
 avec l’information
 
 Jusqu’à 10 ans, l’exemple
 
 14
 
 une hypothèse
 
 procédures propriétés Celles-ci
 
 valables
 
 De ces connaisdes procédures pour
 
 des classes
 
 et à partir de l’analyse de ces peuvent
 
 être construites
 
 relationnelles permettent
 
 Le savoir procédural des acquisitions
 
 les procé-
 
 leur bien-fondé.
 
 est construit
 
 relationnel
 
 ensuite.
 
 d’abord,
 
 L’efficacité
 
 de connaissances
 
 dans la combinaison
 
 des
 
 de ces situations.
 
 de déduire
 
 dures et par là expliquent le savoir
 
 par
 
 judicieuse
 
 réside
 
 de ces deux
 
 modes d’apprentissage. Pour
 
 ces deux
 
 deux facteurs
 
 formes
 
 d’apprentissage,
 
 sont essentiels : le rattache-
 
 ment aux connaissances
 
 antérieures
 
 (par
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 l’analogie
 
 notamment)
 
 et la nécessité des
 
 élaborations,
 
 c’est-à-dire
 
 de la production
 
 d’inférences
 
 pour former
 
 des hypothèses
 
 partir
 
 des observations
 
 relations
 
 ou pour établir
 
 entre les différentes
 
 du texte.
 
 Il y a beaucoup
 
 à
 
 des
 
 de différences la production
 
 préhension
 
 de textes,
 
 soit dans l’analyse
 
 des incitations améliorent
 
 à la production
 
 les acquisitions,
 
 chez les
 
 mettant
 
 des étapes intermédiaires le but.
 
 est construit
 
 de l’examen
 
 de ce que
 
 Quand
 
 ménagé par corrections
 
 et le choix des actions
 
 effectuer,
 
 tenu de la tâche choisie.
 
 compte
 
 (L’élaboration
 
 des décisions
 
 analysée ici ; pour le choix (
 
 d’action
 
 à est
 
 des objectifs.
 
 problème
 
 mettent
 
 sonnements
 
 ou de résolution
 
 en jeu beaucoup
 
 de
 
 de rai-
 
 qui sont à visée pragmatique,
 
 mais qui relèvent
 
 des mêmes
 
 pas explicitement
 
 de faire des inférences
 
 ou des déductions,
 
 des va-et-vient
 
 marche descendante
 
 fait apparaître
 
 est ébauché
 
 des contraintes
 
 qui n’avaient
 
 cette démarche
 
 choix
 
 des dé-
 
 d’un
 
 niveaux
 
 d’abstraction.
 
 Le
 
 d’abstraction
 
 est
 
 et d’ajustement.
 
 Il
 
 bon niveau
 
 de compromis
 
 n’est pas judicieux
 
 de considérer
 
 plan est extrêmement
 
 l’activité
 
 place à un niveau trop abstrait,
 
 est vrai tant des problèmes tête que des problèmes
 
 de type casse-
 
 qui se rencontrent
 
 dans la vie professionnelle, la détection
 
 et la récupération
 
 de fonctionnement inférences
 
 le
 
 dans les raisonnements : formation
 
 dans la comà visée épisté-
 
 d’hypothèses
 
 à partir
 
 de la connaissance des relations causales, évaluation des hypothèses à partir des qui sont faites sans qu’elles
 
 soient provoquées,
 
 recherche
 
 de situations
 
 adéquates pour tester les hypothèses, vérification de la cohérence de l’interprétation par rapport formation
 
 à l’ensemble disponibles.
 
 Les raisonnements
 
 dans l’élaboration
 
 décisions
 
 relèvent
 
 d’action
 
 deux niveaux matique,
 
 on néglige
 
 d’exécution,
 
 est souvent
 
 de sorte
 
 amené à repenser
 
 l’organisation
 
 du bon niveau
 
 si l’on se
 
 com-
 
 du plan. Le choix
 
 est crucial
 
 et demande
 
 haut niveau d’expertise. J.-F. R.
 
 Bibliographie
 
 des
 
 se situe à
 
 : un niveau général et sché-
 
 qui concerne l’organisation
 
 géné-
 
 rale de la tâche, le découpage en sous-buts des sous-buts
 
 (à ce
 
 permettant temporelle
 
 comportementale L’actographe détecter
 
 Oléron,
 
 P., 1972, les Activités
 
 intellectuelles,
 
 J.-F., 1990-1995,
 
 mentales
 
 : comprendre,
 
 solutions,
 
 Paris, Armand
 
 Richard, (Éd.),
 
 J.-F., Bonnet,
 
 les Activités
 
 raisonner,
 
 cognitive,
 
 trouver
 
 des
 
 et enregistrer
 
 C., et Ghiglione,
 
 (moment,
 
 quence, etc.). La mise en activité provoque
 
 des modifications
 
 Tracé obtenu après analyse des enregistrements de l’activité d’un individu placé dans un actographe. ÉTHOL.
 
 actogramme
 
 la répartition
 
 le premier exemple produisant nement
 
 thermique,
 
 espèce nocturne
 
 : il consiste à déduire
 
 permet
 
 temporelle
 
 en séquence
 
 claire)
 
 (acrophase
 
 les actions à réaliser à partir des procédures
 
 sombre)
 
 disponibles,
 
 à réaliser un ordonnancement
 
 tériser une espèce crépusculaire
 
 des actions
 
 qui soit compatible
 
 petites espèces (Souris, Mulot,
 
 avec les
 
 mettre
 
 en
 
 des émissions
 
 lumi-
 
 neuses, etc. Dans le second cas, lorsqu’une énergie extérieure l’activité
 
 est fournie
 
 de l’animal
 
 modifier
 
 au système,
 
 aura pour
 
 quantitativement
 
 ment le signal utilisé.
 
 effet
 
 de
 
 ou qualitative-
 
 La source d’énergie
 
 peut être distante de l’animal
 
 (par exemple,
 
 rayon
 
 d’ultrasons,
 
 lumineux,
 
 faisceau
 
 source radioactive) par l’animal
 
 ; elle peut être portée
 
 (particule
 
 aimantée
 
 lorsque
 
 l’animal
 
 se déplace dans une bobine d’in-
 
 duction,
 
 traceur
 
 animaux
 
 de taille suffisante,
 
 de repérer lisant
 
 à distance
 
 L’évolution permis
 
 radioactif,
 
 etc.) ; chez les il est possible
 
 leur activité
 
 les émetteurs
 
 radio
 
 technique
 
 en uti-
 
 miniaturisés.
 
 des actographes
 
 a
 
 de réaliser des études en réduisant
 
 au minimum
 
 les perturbations
 
 chez l’animal
 
 par le matériel
 
 sence de l’expérimentateur.
 
 provoquées ou par la pré-
 
 Elle a aussi perglobale
 
 particulières
 
 mentation,
 
 prise de boisson,
 
 permettant
 
 de qualifier
 
 (ali-
 
 locomotion)
 
 à tout moment
 
 le
 
 du sujet étudié.
 
 de
 
 de l’ac-
 
 ACTUARIEL, ELLE ou ACTUARIAL, adj. (angl. Actuarial)
 
 E
 
 Se dit d’une
 
 la sta-
 
 ou une
 
 en séquence
 
 ; il peut être diphasique
 
 et carac; certaines
 
 Musaraigne)
 
 méthode
 
 utilisant
 
 tistique et le calcul des probabilités dans l’étude de questions relevant de la prévoyance sociale (assurances, etc.). En psychologie, rielles
 
 les méthodes
 
 ont été utilisées
 
 pour
 
 dans des domaines ou l’évolution
 
 des
 
 tels que
 
 de troubles de la
 
 le risque de récidive
 
 pour un dé-
 
 libéré, l’échec scolaire,
 
 tous ces cas, le pronostic
 
 actua-
 
 établir
 
 pronostics
 
 linquant
 
 l’exécution
 
 pour
 
 par
 
 une énergie sonore, un rayon-
 
 conduite,
 
 fiquement
 
 Dans
 
 oeuvre un système de cage à bascule, ou en
 
 sique, et caractérise alors une espèce diurne (acrophase
 
 ou
 
 interviendra
 
 par son poids
 
 l’exécution).
 
 des sous-buts et concerne spéci-
 
 la détection,
 
 par le sujet lui-même
 
 cas, l’animal
 
 l’apparition
 
 réalisation
 
 pour
 
 au système de l’extérieur.
 
 tivité du sujet : le tracé peut être monopha-
 
 niveau est celui de la
 
 Cette variation
 
 nécessaire
 
 niveau ne sont pas considérés les détails de L’autre
 
 du sujet
 
 énergétiques
 
 dans son environnement. d’énergie,
 
 fré-
 
 de l’information
 
 ACTOGRAMME n.m. (angl. Actogram)
 
 connaître
 
 durée, intensité,
 
 R. L.
 
 Paris, Dunod.
 
 d’un
 
 caractéristiques
 
 R.
 
 » t. 2, in Traité de psychologie
 
 L’aspect
 
 qui doit
 
 du sujet en observation
 
 certaines
 
 comportement
 
 Colin.
 
 1990, « le Traitement
 
 symbolique
 
 est un appareil
 
 du sujet à celle d’activités
 
 Paris, P.U.F. Richard,
 
 d’un être vivant.
 
 l’activité
 
 de celle-ci
 
 de mesurer la de l’activité
 
 mis de passer de l’étude de l’activité
 
 de la planifica-
 
 La planification
 
 et l’ordonnancement
 
 un
 
 des éléments d’in-
 
 qui interviennent tion de l’action.
 
 de contraintes
 
 Par contre,
 
 prati-
 
 dans les systèmes. Les
 
 sont celles qui sont à l’oeuvre
 
 observations
 
 de plans alternatifs
 
 impossible.
 
 plètement
 
 d’incidents
 
 qui interviennent
 
 préhension mique
 
 de pannes,
 
 trop qu’on
 
 notamment
 
 et la réparation
 
 diagnostic
 
 Cela
 
 du
 
 lourde et coûteuse et
 
 la considération quement
 
 d’emblée
 
 car l’élaboration
 
 cisions d’action. La compréhension de la situation est un élément fondamental de de problème.
 
 qui se ca-
 
 ractérise par des allers et retours constants
 
 le détail de l’exécution,
 
 de résolution
 
 à un
 
 pas été prises en compte au niveau général
 
 viennent
 
 que dans l’élaboration
 
 ascen-
 
 et sa mise en oeuvre
 
 affaire
 
 la situation
 
 entre la dé-
 
 et la démarche
 
 schématique
 
 entre différents
 
 de
 
 Dispositif répartition
 
 apportée Il y a souvent
 
 mais la réalisation de la tâche exige ce genre d’activité. Ces raisonnements intertant dans la compréhension
 
 basal intense, un tracé polyphasique.
 
 peut être produite
 
 tion opportuniste
 
 Dans ces
 
 tâches, on ne demande
 
 au cours de sa
 
 où il avait été élaboré. On a appelé planifica-
 
 processus
 
 que ceux décrits précédemment.
 
 obtenues
 
 mise en oeuvre.
 
 niveau
 
 Les tâches d’exécution
 
 successives à partir
 
 dante : un plan général
 
 DÉCISION.)
 
 plan a été
 
 il est mis en oeuvre et il est réa-
 
 des informations
 
 et des situations,
 
 les effets
 
 un premier
 
 choix des objectifs
 
 des motivations
 
 pour se rap-
 
 du but et en anticipant
 
 construit,
 
 tenu des valeurs,
 
 se
 
 : le plan
 
 des actions.
 
 et des tâches à réaliser,
 
 per-
 
 Elle peut
 
 l’on peut faire dans la situation
 
 DES DÉCISIONS
 
 métabolisme
 
 ACTOGRAPHE n.m. (angl. Actograph)
 
 prospective
 
 Les décisions se placent à deux niveaux : le compte
 
 ou qui mini-
 
 faire aussi de façon
 
 procher
 
 d’un
 
 R. L.
 
 peut se faire par une dé-
 
 à partir
 
 en raison
 
 des actions qui
 
 communs
 
 d’atteindre
 
 présentent,
 
 de l’exécution,
 
 telles que le regroupement
 
 de définir
 
 que
 
 sujets de niveau plus faible.
 
 L’ÉLABORATION
 
 qui
 
 marche régressive qui part du but et essaie
 
 d’inférences
 
 surtout
 
 d’optimalité
 
 au moment
 
 La planification
 
 soit dans la comOn a montré
 
 sont introduites
 
 et
 
 misent les déplacements.
 
 d’inférences de l’action.
 
 dans la procédure
 
 contraintes
 
 ont des prérequis
 
 spontanée des résultats
 
 définies
 
 avec d’autres
 
 informations
 
 entre les sujets concernant
 
 contraintes
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 relatif
 
 etc. Dans à un indi-
 
 vidu est calculé (en termes de probabilités) à partir de certaines observations cet individu
 
 et des relations
 
 faites sur
 
 statistiques, 15
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 constatées antérieurement
 
 dans la popula-
 
 valeur
 
 tion à laquelle il appartient,
 
 entre ces obser-
 
 deux points
 
 vations doit
 
 et l’événement
 
 porter
 
 le pronostic.
 
 peuvent s’appliquer à partir
 
 ultérieur
 
 sur lequel
 
 Ces méthodes
 
 dans des domaines
 
 des mêmes observations,
 
 nostic
 
 est souvent
 
 attitude
 
 où,
 
 un pro-
 
 émis en adoptant
 
 et une méthode
 
 une
 
 cliniques.
 
 minimale
 
 de deux figures
 
 minimum
 
 entre
 
 ou lignes pour laquelle
 
 perception
 
 il y a
 
 distinctes.
 
 Le
 
 separabile, ou acuité de sépara-
 
 tion, est mesuré à l’aide d’optotypes de l’alphabet,
 
 carte de Teller*,
 
 L’acuité d’alignement, mesurée
 
 M. R.
 
 de l’écart angulaire
 
 : lettres
 
 trames, etc.
 
 ou acuité-vernier,
 
 par le décalage minimal
 
 est
 
 percep-
 
 tible entre deux segments verticaux.
 
 nouvel équilibre de fonctionnement la suite d’une perturbation. Adaptation d’adaptation
 
 surée chez le nourrisson
 
 ACUITÉ n.f. (angl. Acuity)
 
 du temps
 
 Capacité d’atteindre une certaine limite du pouvoir séparateur d’une modalité sensorielle, c’est-à-dire de sa capacité à discriminer deux stimulations. L’acuité visuelle (angl. Visual Acuity), limite
 
 de résolution
 
 du plus petit discriminer (
 
 (angl.
 
 angle visuel
 
 qui permet
 
 Stereoacuity)
 
 minimale
 
 de récepteurs persistance
 
 du plus
 
 rétinienne
 
 permet-
 
 termes, c’est la distance pour laquelle
 
 Les valeurs obtenues chez
 
 et profondeur voisines
 
 sont
 
 pour un même individu.
 
 dans lesquelles
 
 rée : elle peut atteindre variation
 
 elle est mesu-
 
 en vision
 
 éclairage.
 
 lorsque les points à distinguer tactile
 
 fovéale et
 
 Elle diminue
 
 Les enfants
 
 6 minutes
 
 L’acuité
 
 du plus petit
 
 écart
 
 deux stiauditive
 
 désigne la finesse de discrimination
 
 dans
 
 d’un son. On peut appeler
 
 ADAPTATION n.f. (angl. Adaptation)
 
 Ensemble
 
 des
 
 C. B. et E. V.
 
 l’oeil par le plus petit angle sous lequel deux points sont vus distinctement. d’une taille
 
 L’acuité
 
 espèce à l’autre. et de la densité
 
 niens,
 
 Elle dépend des récepteurs
 
 sur les neurones
 
 et ganglionnaires. de définir
 
 de la réti-
 
 Le minimum
 
 de perception la taille
 
 d’une
 
 minimale
 
 laquelle
 
 de papier
 
 bipolaires
 
 Il y a plusieurs
 
 et de mesurer
 
 visuelle.
 
 16
 
 est variable
 
 ainsi que du taux de convergence
 
 des récepteurs
 
 pour
 
 visuelle
 
 manières
 
 un seuil d’acuité
 
 visibile figure
 
 d’un point
 
 est le seuil
 
 réalisés
 
 il est perçu sur une feuille
 
 ; le minimum
 
 separabile
 
 est la
 
 se traduit
 
 de la sensibilité
 
 visuelle, due principalement tion des pigments
 
 désigne
 
 aussi
 
 de la sensibilité
 
 dans les
 
 sensibles sélectivement
 
 aux ca-
 
 ractéristiques
 
 de la stimulation
 
 orientation,
 
 fréquence
 
 (couleur,
 
 spatiale,
 
 et sens du mouvement, tation
 
 En psychophy-
 
 la notion
 
 une modification neurones
 
 à la régénéra-
 
 rétiniens.
 
 sique sensorielle,
 
 et
 
 direction
 
 etc.). Cette adap-
 
 sélective entraîne,
 
 à la cessation
 
 de
 
 des effets consécutifs*.
 
 Le
 
 sélective désigne aussi
 
 expérimentales
 
 utilisées
 
 ces effets.
 
 Adaptation
 
 prismatique.
 
 Certains
 
 entraînent
 
 une déviation
 
 prismes
 
 systématique
 
 des
 
 Ensemble des modifications des conduites qui visent à assurer l’équilibre des relations entre l’organisme et ses milieux de vie et, en même
 
 nuent
 
 temps, des mécanismes et processus qui sous-tendent ce phénomène.
 
 l’on enlève les prismes, des erreurs de sens
 
 Les processus
 
 d’adaptation
 
 oeuvre chaque fois qu’une
 
 sont mis en
 
 situation
 
 éléments
 
 ou simplement
 
 com-
 
 nouveaux,
 
 J. Piaget les dit assimilateurs
 
 quand
 
 ils in-
 
 tègrent les données nouvelles à des patterns comportementaux
 
 antérieurement
 
 tués, et accommodateurs nouvelles schème
 
 préexistant
 
 un pattern
 
 pour
 
 le rendre
 
 avec les exigences les premiers
 
 succion
 
 essentielles
 
 pement de l’individu,
 
 mais aussi chanet accommo-
 
 par Piaget comme pour le dévelop-
 
 l’adaptation
 
 plus élevée et la plus complète biologique
 
 elle à des régulations
 
 des fins de connaissance
 
 la
 
 ; elle pro-
 
 en procédant successives à
 
 et non plus sim-
 
 de survie.
 
 puis s’annulent.
 
 une recalibration
 
 des représentations
 
 spatiales
 
 quer cette disparition
 
 d’adaptation.
 
 H. Helson,
 
 pour expli-
 
 (effet consécutif),
 
 à leur tour disparaissent Niveau
 
 progressive
 
 des erreurs. Lorsque
 
 opposé se produisent
 
 médian
 
 de stimulus.
 
 qui
 
 progressivement. Dans la théorie
 
 le niveau d’adaptation apparent
 
 Ce point
 
 moyenne géométrique
 
 de
 
 désigne
 
 d’une
 
 série
 
 est supposé être la de la série. C. B.
 
 ACCOMMODATION, CUTIF
 
 (EFFET),
 
 ASSIMILATION,
 
 1. ÉQUILIBRATION,
 
 CONSÉ-
 
 RÉGULATION
 
 ADDICTION n.f. (angl. Addiction)
 
 de dépendance
 
 jectivement l’existence trée autour
 
 vécue
 
 comme aliénante, du sujet se trouvant de la répétition
 
 subtoute cen-
 
 d’une
 
 ex-
 
 périence, au détriment d’investissements affectifs ou sociaux. La notion
 
 dépasse le cadre de la dépendance à des substances psychoactives, pour s’étendre aux toxicomanies sans drogue, ou addictions comportementales. « Addiction
 
 E. V.
 
 Ensemble des phénomènes sensoriels et comportementaux qui se traduisent par la mise en place d’un PHYSIOL.
 
 On invoque
 
 dimi-
 
 d’addiction englobe celles de « toxicomanie » et de « dépendance », mais
 
 Le développement
 
 représente
 
 longe l’adaptation
 
 à la forme
 
 dont elles expriment
 
 ensemble le dynamisme.
 
 plement
 
 de localisation
 
 progressivement
 
 Situation
 
 etc.), il y a extension
 
 sont considérées
 
 comme
 
 les erreurs
 
 com-
 
 et ses manifesta-
 
 de la réaction,
 
 de l’intelligence
 
 prolongé,
 
 à divers objets (le pouce,
 
 la tétine,
 
 des activités
 
 tion apparente des objets. Lors de leur port
 
 de la situation.
 
 du nouvel objet. Assimilation dation
 
 ou un
 
 exercices du réflexe de
 
 du nouveau-né
 
 et, donc, de la localisa-
 
 consti-
 
 quand les données
 
 transforment
 
 lumineux
 
 le point
 
 non familiers.
 
 sur un fond, noir unique
 
 à l’obscurité
 
 SENSA-
 
 par une baisse des seuils de luminance,
 
 pour produire
 
 gement de forme par ajustement
 
 de
 
 (
 
 rayons
 
 progressive
 
 séparateur
 
 par la
 
 par un organisme pour survivre et perpétuer son espèce dans un environnement écophysique donné.GÉNÉR.
 
 le hochet,
 
 pouvoir
 
 entraînée
 
 BIOL.
 
 ajustements
 
 tions appliquées ACUITÉ VISUELLE (angl. Visual Acuity)
 
 en gé-
 
 transitoire
 
 stimulation.
 
 L’adaptation
 
 la stimulation,
 
 ACUITÉ
 
 Entre
 
 de durées.
 
 GÉNÉR.
 
 d’arc à 6 mois.
 
 E. V.
 
 patible
 
 acuité temporelle un seuil de discrimination
 
 du
 
 rapidement
 
 que les adultes.
 
 inconnus
 
 L’acuité de latéralisation
 
 Mesure
 
 ce qui
 
 de 4 ans ont la même acuité
 
 sont de plus
 
 spatial qui permet de discriminer
 
 la latéralisation
 
 atteindre
 
 porte un ou plusieurs
 
 sur la rétine.
 
 est la mesure
 
 mulations.
 
 d’arc,
 
 vues à 30 cm. Elle augmente pour
 
 est très
 
 à des raies de 2,5 cm de large
 
 baisse et/ou
 
 lorsque l’éclairage
 
 en plus excentriques
 
 (une
 
 de 0,4 mm est per-
 
 çue à 1 m de distance) avec un excellent
 
 avec les
 
 5 secondes
 
 de profondeur
 
 rapidement
 
 ali-
 
 remarqua-
 
 Mais cette valeur varie fortement conditions
 
 30 minutes
 
 évo-
 
 de profon-
 
 pour les seuils de séparation,
 
 blement
 
 environ
 
 d’une
 
 les procédures
 
 entre deux points
 
 gnement
 
 faible,
 
 correspond
 
 du nouveau-né
 
 sensoriels,
 
 est la mesure
 
 l’un d’eux est perçu plus proche que l’autre l’adulte
 
 L’acuité
 
 et des potentiels
 
 désigner,
 
 donc par une amélioration
 
 du nystag-
 
 de
 
 ou deux barres.
 
 une différence
 
 de l’observateur.
 
 qués.
 
 relatif,
 
 pour
 
 à la suite de E.
 
 néral, une baisse de sensibilité
 
 terme d’adaptation
 
 petit écart de disparité* deur. En d’autres
 
 par les méthodes
 
 de fixation
 
 mus optocinétique
 
 peut être me-
 
 utilisée
 
 L’acuité stéréoscopique
 
 SUIVANT.)
 
 tant de percevoir
 
 ou
 
 spatiale, est la mesure
 
 deux points
 
 ARTICLE
 
 visuelle
 
 La notion
 
 a été d’abord,
 
 D. Adrian,
 
 TION.)
 
 L’acuité
 
 DÉVELOP.
 
 neurosensorielle.
 
 à
 
 » est un emprunt
 
 à la langue
 
 anglaise, où ce mot désigne un attachement exclusif à quelque chose, partant, comanie.
 
 une toxi-
 
 Le mot anglais dérive lui-même
 
 d’un terme de l’ancien
 
 français désignant la
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 situation
 
 d’asservissement
 
 du vassal inca
 
 - tout d’abord,
 
 pable de régler ses dettes à son suzerain.
 
 LE POURQUOI
 
 DU CONCEPT
 
 Des toxicomanies
 
 Les recherches
 
 sur les toxicomanies
 
 dialectiquement proches
 
 partagées
 
 opposées,
 
 entre
 
 quant
 
 même qu’elles accordent
 
 des ap-
 
 au phénomène.
 
 lique
 
 sur « le toxicomane », « le joueur
 
 et, d’autre
 
 part,
 
 illicites parmi
 
 », etc.,
 
 des recherches
 
 consa-
 
 ou addictions
 
 sens large : la toxicomanie
 
 au
 
 conduite
 
 d’un mode très répandu
 
 sur le caractère comaniaque,
 
 conduite,
 
 supposée prévisible s’opposant
 
 tiels, interhumains
 
 de
 
 irréductible
 
 sur sa démesure,
 
 À
 
 des
 
 existen-
 
 l’importance
 
 des « recoupe-
 
 des troubles
 
 des toxicomanies,
 
 des conduites
 
 la fréquence
 
 régulièrement
 
 devenir
 
 alcoolique,
 
 addiction
 
 pouvant
 
 à une
 
 puis ache-
 
 ;
 
 la parenté
 
 dans les propositions
 
 Particulièrement
 
 traide, basés sur les « traitements
 
 d’en-
 
 en douze
 
 en France du moins et depuis plus de vingt
 
 les mêmes
 
 ans - comme
 
 principes
 
 toxicomanie
 
 la forme
 
 la plus « pure » de
 
 ; les expériences
 
 du « shoot »,
 
 en effet
 
 aux alcooliques,
 
 concourent
 
 joueurs,
 
 chique
 
 un monde
 
 « toxicomaniaque
 
 celui du commun
 
 psy-
 
 » différent
 
 de
 
 des mortels.
 
 le produit
 
 spécificité
 
 conduite
 
 que la
 
 du sujet : d’où l’intérêt
 
 aux « addictions sont la forme
 
 apporté
 
 comportementales
 
 actuelle
 
 », qui
 
 des « toxicomanies
 
 large
 
 toutefois
 
 d’addiction
 
 du discours
 
 l’initiateur
 
 du regroupement
 
 du contrôle nuel
 
 des impulsions
 
 statistique
 
 américain
 
 comme
 
 d’addiction
 
 des maladies
 
 pans entiers
 
 il semble que
 
 résulte de l’applica-
 
 devenue la forme paradigma-
 
 tique des « maladies dépendance,
 
 » de l’habitude,
 
 pathologique,
 
 concernant
 
 par exemple,
 
 se reproduisent,
 
 changés depuis qui opposent les tenants
 
 montre
 
 des décennies,
 
 en matière
 
 Le regroupement un vaste ensemble, d’addiction,
 
 moins
 
 discuté.
 
 ments
 
 très forts
 
 englobant
 
 les toxicomanies,
 
 le tabagisme, troubles conduites
 
 d’addiction
 
 des conduites
 
 reuses « aliénantes
 
 »:
 
 et que la médecine,
 
 par
 
 du concept d’adl’ensemble
 
 des
 
 humaines.
 
 Définir
 
 Le psychiatre
 
 les addictions
 
 et psychanalyste
 
 l’accent
 
 Il est donc particulièrement
 
 important
 
 J. Berge-
 
 à l’étymologie,
 
 sur un sens particulier
 
 « addiction
 
 a mis du terme
 
 », celui de contrainte
 
 par corps.
 
 de
 
 claires, et de faire la
 
 psy-
 
 que la dépendance corporelle
 
 de la part du sujet à une tenta-
 
 tive inconsciente
 
 de régler une dette, à une
 
 peine auto-infligée
 
 : « Il s’agit de considé-
 
 rer à la suite de quelles carences affectives le sujet dépendant contractés
 
 est amené à payer par
 
 par ailleurs.
 
 taphorique
 
 non tenus et
 
 » L’addiction,
 
 dans
 
 était une désignation
 
 mé-
 
 de la toxicomanie.
 
 Mais c’est indépendamment dérations
 
 que le terme
 
 des définitions
 
 de ces consi-
 
 s’est répandu,
 
 plus descriptives,
 
 opérationnelles,
 
 in-
 
 milation
 
 » aux
 
 par la comparaison
 
 simplement cutable
 
 de la perte de liberté
 
 gênantes, avec la forme
 
 des addictions
 
 c’est-à-dire
 
 non seulement
 
 géné-
 
 cette dépendance
 
 la dépendance mais le fait que
 
 soit devenue le centre - à
 
 la fois but et moyen psychique
 
 - de toute l’existence
 
 et sociale du sujet.
 
 se sont
 
 saires. Goodman, une définition
 
 conforme
 
 voire plus
 
 révélées
 
 notamment,
 
 et
 
 néces-
 
 a proposé
 
 aux critères
 
 du
 
 La psychiatre
 
 américain
 
 A. Goodman
 
 à celles du DSM,
 
 voire les les amou-
 
 en utilisant
 
 d’abus de substances
 
 a,
 
 conforme des critères
 
 psychoactives
 
 et du
 
 Mais le risque d’extension
 
 2. Sensation
 
 infinie,
 
 rive, de passage de la métaphore
 
 de dé-
 
 à l’explica-
 
 tion justifie sans doute le fait que les addic-
 
 croissante
 
 dant immédiatement
 
 de tension
 
 précé-
 
 le début du compor-
 
 tement. 3. Plaisir ou soulagement
 
 pendant sa durée.
 
 4. Sensation de perte de contrôle
 
 pendant le
 
 comportement. d’au moins
 
 cinq de ces neuf
 
 critères : a) Préoccupation comportement b) Intensité
 
 jeu pathologique.
 
 de résister aux impulsions
 
 à réaliser ce type de comportement.
 
 5. Présence
 
 au sens large, l’alcoolisme,
 
 indis-
 
 : la toxicomanie,
 
 à une substance chimique, en
 
 l’assi-
 
 d’habitudes
 
 en 1990, proposé une définition
 
 sexuelles ou les relations
 
 minalité.
 
 cette perspective,
 
 des équiva-
 
 de l’adoption
 
 alimentaires,
 
 et de la cri-
 
 du sujet, et, de l’autre, la métaphore,
 
 diverses
 
 le jeu pathologique,
 
 : par
 
 com-
 
 Il existe en effet des argu-
 
 de cette notion
 
 deviennent
 
 disposer de définitions
 
 champs
 
 1. Impossibilité
 
 est en fait de moins en en faveur
 
 dans de nouveaux
 
 jective) de l’aliénation,
 
 ».
 
 sous le terme
 
 que des
 
 des habitudes
 
 en vienne à traiter
 
 conduites
 
 entre
 
 à la Bur-
 
 redoutent
 
 le biais de cette extension diction,
 
 sur son emploi
 
 son corps les engagements
 
 de l’existence,
 
 lents de maladie,
 
 mais
 
 le jeu
 
 de toxicomanie
 
 d’entités
 
 de cette notion,
 
 DSM, caractérisée par les traits suivants :
 
 les débats
 
 de « modèles de maladie
 
 possible
 
 des
 
 part entre, d’un côté, la réalité (même sub-
 
 en des termes
 
 défenseurs d’un « modèle adaptatif
 
 rique
 
 de la
 
 ou de la démesure.
 
 Une étude des discours ment
 
 sur la
 
 au contraire,
 
 anodines,
 
 doit
 
 Il suggérait ainsi, selon une approche
 
 gênante de regarder un feuil-
 
 D’autres,
 
 cli-
 
 la
 
 pour le chocolat,
 
 » dans le ma-
 
 tion à d’autres champs des réflexions toxicomanie,
 
 du junky
 
 leton stupide à la télévision.
 
 de l’abord
 
 nique des sujets toxicomanes, la notion
 
 ou l’habitude
 
 plutôt
 
 Plus que d’une invalidation
 
 que dans la
 
 ou socialement
 
 des « troubles
 
 mentales [DSM]).
 
 d’entre
 
 » : plus de différence
 
 roughs, le goût immodéré
 
 être considéré
 
 patholo-
 
 des addictions
 
 aussi avec une réflexion
 
 équivalait
 
 américain
 
 teur peut d’ailleurs
 
 mais rupture,
 
 et « joueur
 
 de définition
 
 aux
 
 se dissolve
 
 gênante
 
 tragique
 
 Subjective-
 
 gique », comme entre buveur et alcoolique.
 
 simple
 
 l’existence
 
 dès 1945 (cet au-
 
 joueur
 
 chanalytique,
 
 « non correcte
 
 d’être la proie d’un
 
 et
 
 sur la toxicomanie,
 
 sans drogue », décrites par le psychanalyste Otto Fenichel
 
 toxicomane,
 
 ainsi banalisée et ramenée au niveau d’une habitude
 
 joueurs patholo-
 
 entre usager de drogues et
 
 ret, en se référant
 
 notion
 
 d’importance
 
 aux toxicomanes,
 
 craignent
 
 des sujets qui,
 
 exemple ceux de la délinquance
 
 eux. Certains
 
 de sen-
 
 qui sont proposés
 
 et acceptés par nombre
 
 À l’opposé, dans le second type d’approche, a moins
 
 de conversion
 
 morale
 
 du « flash », de la « planète », du manque à constituer
 
 exactement
 
 de traitements
 
 de rédemption
 
 saut qualitatif,
 
 abus de l’extension
 
 Ce sont
 
 -
 
 toxicomanes,
 
 la di-
 
 donc aller de pair avec une limitation
 
 impor-
 
 des groupes
 
 d’aliénation
 
 qui leur échappe.
 
 Le travail
 
 Anonymes.
 
 est considérée
 
 subjectif
 
 personnelle,
 
 ment, il n’y a pas continuité,
 
 par exemple
 
 puis joueur,
 
 à un concept très
 
 de maladie, soulignent
 
 de souffrance
 
 processus
 
 « Al-
 
 nette. Les mouvements
 
 giques, ont l’impression
 
 ;
 
 de type
 
 » est, ici encore,
 
 qui recourent
 
 alcooliques,
 
 alimen-
 
 taires, chez les joueurs pathologiques - également,
 
 Anonymes
 
 particulièrement
 
 timent
 
 voire
 
 du discours
 
 cooliques
 
 mension
 
 étapes », du type Alcooliques
 
 cet égard, l’héroïnomanie
 
 L’importance
 
 métaphorique
 
 de l’al-
 
 des
 
 maladies mentales.
 
 tions : nous avons vu la fréquence du tabagisme,
 
 pas encore une place en tant
 
 que telles dans les manuels statistiques
 
 d’entraide,
 
 tante est ici l’existence
 
 sur sa diffé-
 
 rence radicale avec d’autres expériences.
 
 à l’incertitude
 
 ;
 
 thérapeutiques.
 
 du vécu toxi-
 
 par le sujet,
 
 tions n’aient
 
 ments » (overlaps) entre les diverses addic-
 
 - enfin,
 
 met l’accent
 
 et
 
 d’une
 
 de désir, ou simplement
 
 teur compulsif
 
 type d’approche
 
 regroupés,
 
 par la répétition
 
 autre, un toxicomane
 
 humaine.
 
 Le premier
 
 s’y trouvent
 
 notée de passages d’une
 
 aux drogues
 
 n’est dans ce cadre qu’une variante d’autres
 
 définis
 
 coolisme,
 
 », « l’alcoo-
 
 pathologique
 
 crées aux dépendances
 
 qui sont
 
 - ensuite,
 
 à la spécificité
 
 On trouve ainsi, d’une part, des recherches portant
 
 qui
 
 rapports
 
 sont
 
 entre les divers
 
 troubles
 
 maîtrisable,
 
 aux addictions
 
 la parenté
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 portantes
 
 fréquente
 
 au sujet
 
 du
 
 ou de sa préparation. et durée des épisodes plus im-
 
 que souhaitées à l’origine.
 
 c) Tentatives
 
 répétées pour réduire, contrô-
 
 ler ou abandonner
 
 le comportement. 17
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 d) Temps
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 important
 
 consacré
 
 à préparer
 
 les épisodes, à les entreprendre,
 
 ou à s’en
 
 remettre.
 
 addictions
 
 que l’on
 
 conjuguant
 
 les apports
 
 en
 
 de disciplines
 
 très
 
 De façon générale,
 
 le sujet doit accomplir
 
 des obligations
 
 tions doit commencer
 
 familiales
 
 scolaires
 
 pro-
 
 sociales,
 
 récréatives
 
 majeures
 
 professionnelles sacrifiées
 
 ou
 
 du fait du
 
 venstein
 
 comme
 
 personnalité,
 
 du comportement
 
 bien que
 
 le sujet sache qu’il cause ou aggrave un problème persistant cial, financier,
 
 ou récurrent
 
 psychologique
 
 d’ordre
 
 so-
 
 Aucun
 
 marquée
 
 ter l’intensité nir l’effet
 
 : besoin d’augmen-
 
 ou la fréquence
 
 de même
 
 intensité. i) Agitation
 
 ou irritabilité
 
 bilité de s’adonner 6. Certains
 
 en cas d’impossi-
 
 au comportement.
 
 éléments du syndrome
 
 et un moment
 
 de ces éléments
 
 pour une appréhension mène, et il est évident
 
 de l’addiction
 
 comme
 
 sus, mise en avant par Stanton
 
 la
 
 qu’aucun
 
 maîtriser
 
 spécialiste
 
 les disciplines
 
 et querelles
 
 tance chimique.
 
 Peele dès
 
 l’expérience optique,
 
 Selon Peele,
 
 initiale
 
 à la conduite
 
 rait une fonction
 
 d’évitement
 
 des relations humaines
 
 au-
 
 de situations à l’incertitude
 
 le déroulement
 
 séquence
 
 Le
 
 addictive
 
 en substituant
 
 d’une
 
 de
 
 primordiale.
 
 recours répétitif
 
 visible
 
 agréable
 
 n’est pas, dans cette
 
 d’une importance
 
 anxiogènes,
 
 sujets
 
 et non d’une subs-
 
 Le caractère
 
 de chapelle ne
 
 Bien
 
 tout
 
 vision
 
 et diverses
 
 pré-
 
 comportementale
 
 des débats
 
 entre
 
 spécialistes
 
 à des oppositions
 
 dimensions,
 
 res-
 
 lytiques,
 
 qui voient
 
 valent
 
 l’institution
 
 », ou une forme
 
 de mécanisme
 
 des représentations façon d’éviter situations
 
 une carte
 
 de défense
 
 mi-
 
 l’inexistence
 
 n’implique
 
 tions
 
 a, pour
 
 l’intérêt
 
 pas
 
 d’un pôle Sud !
 
 les auteurs
 
 aux addic-
 
 « maladie
 
 », simplement
 
 étroite
 
 de
 
 basée sur l’inte-
 
 raction
 
 entre une substance et un individu
 
 (sinon
 
 entre une molécule et une synapse).
 
 fluence
 
 que, notamment
 
 de la psychanalyse, à relativiser
 
 « addictions
 
 sous l’in-
 
 nous sommes
 
 la place du produit Dans
 
 le cas des
 
 comportementales
 
 » ou des
 
 sans drogue », nous avons
 
 à faire
 
 une place
 
 à ce qui est
 
 de la drogue dans la toxicoma-
 
 nie, et cela à deux niveaux : l’effet, l’éprouvé
 
 contre
 
 particulier
 
 (ou une
 
 addictive
 
 de
 
 et la mise en jeu de
 
 du terme).
 
 qui est au centre de la conduite (lié à des modifications
 
 du sujet
 
 les études sur le « choix
 
 » de
 
 En France, plusieurs
 
 Il semble toutefois
 
 tervention
 
 de référence
 
 que la crainte une prolifération
 
 de l’éclectisme de modèles,
 
 raient à être rapprochés.
 
 réduction
 
 précis (psy-
 
 chanalyse, comportementalisme,
 
 etc.) ainsi conduisent
 
 à
 
 qui gagne-
 
 C’est en quelque
 
 sorte vers une « métamodélisation
 
 d’affronte-
 
 ment, de recherche de sens.
 
 d’autre part.
 
 dans un champ
 
 de transgression,
 
 » des
 
 les divisions
 
 une voie
 
 d’abord
 
 des conduites
 
 années agité le champ des risques
 
 de substitution,
 
 début de modélisation
 
 de l’in-
 
 autour
 
 de la
 
 ou des traitements
 
 peuvent
 
 trouver,
 
 dans ce
 
 des addictions,
 
 une
 
 explication. D’un
 
 aussi
 
 féconde
 
 d’addiction.
 
 d’envisager
 
 Face
 
 ici avec pertil’ensemble
 
 des théories et des auteurs, le choix est fait, d’une façon évidemment
 
 arbitraire,
 
 d’évo-
 
 quer le seul champ des toxicomanies.
 
 Historicité
 
 Dans
 
 du questionnement
 
 la théorie
 
 élaborée
 
 par Freud,
 
 question
 
 de la toxicomanie
 
 abordée,
 
 sinon
 
 fragmentaire.
 
 la
 
 est rarement
 
 de manière
 
 épisodique
 
 Il en va d’ailleurs
 
 et
 
 de même
 
 Freud s’attache plutôt à rechercher de la dépendance tout premiers
 
 humaine,
 
 l’origine
 
 qu’il situe aux
 
 stades de la vie psychique.
 
 Cet état de détresse extrême du nouveau-né radicalement la condition
 
 dépendant fonde à ses yeux humaine. Avec le recours à la
 
 masturbation, s’ancrer
 
 la première
 
 addiction
 
 dans le psychisme.
 
 c’est là le besoin
 
 primitif.
 
 appétits (besoin
 
 d’alcool,
 
 tabac) ne représentent des produits
 
 vient
 
 Pour Freud, Tous les autres
 
 de morphine,
 
 de
 
 que des substituts,
 
 de remplacement.
 
 De même,
 
 dans le lien figé qui unit le buveur à son vin, il n’y a pas de véritable la relation
 
 accès à la sphère de
 
 d’objet*.
 
 cher, littéralement
 
 un Sorgenbre-
 
 un « briseur de soucis »,
 
 « Nous ne pouvons
 
 Il écrit en 1929 :
 
 nous passer de sédatifs de trois espèces [...] qui nous permettent
 
 de considérer notre misère comme peu de choses, puis des satisfactions substitutives qui l’amoindrissent,
 
 enfin des stupéfiants
 
 qui nous y rendent
 
 insensibles.
 
 de ces moyens
 
 sable » (Malaise
 
 qu’un
 
 dans la civilisation,
 
 une jouissance extérieur.
 
 lateur
 
 de l’humeur
 
 PUF,
 
 des drogues
 
 immédiate
 
 degré d’indépendance
 
 monde
 
 ou
 
 nous est indispen-
 
 Paris, 1981, p. 18-19). L’action procure
 
 L’un
 
 ainsi
 
 à l’égard
 
 Ce recours d’origine
 
 du
 
 à un réguchimique,
 
 Freud le connaît bien, pour avoir lui-même
 
 côté, des thérapeutes
 
 aux théories
 
 et consti-
 
 nence, dans un cadre restreint,
 
 l’autre
 
 qui ont durant
 
 en toxicomanie,
 
 sont nom-
 
 discordantes,
 
 de fortes diversions,
 
 sens, l’autre
 
 que le désir de s’inscrire
 
 parfois
 
 divers).
 
 entre modèles
 
 ou psychosociaux,
 
 psychanalytiques
 
 [...], ils sont peut-être
 
 opposition
 
 comportementalistes
 
 DU PSYCHANALYSTE
 
 la « drogue », et les abords psychologiques
 
 une apparente
 
 d’une part, et modèles
 
 tuent
 
 REGARD
 
 destiné à éviter le déplaisir.
 
 » dans l’histoire
 
 1997) montre
 
 psychopathologiques
 
 SOUSLE
 
 du « produit
 
 (Pedinielli,
 
 psychanalytiques,
 
 d’être M. V.
 
 Freud voit dans le toxique
 
 des addictions
 
 des modèles
 
 de ce qui
 
 considéré « comme » une maladie.
 
 logiques, même en l’absence de « drogue » extérieure), et, d’autre part, le sens, la place (qui justifie
 
 les addictions
 
 neurobio-
 
 L’addiction elle-même serait à deux faces : l’une de désubjectivation, d’effacement du
 
 L’étude
 
 la signification
 
 chez Jacques Lacan (1901-1981).
 
 anglo-saxons,
 
 de dépasser une vision
 
 l’équivalent
 
 de défense, au sens habituel
 
 Modéliser
 
 l’erreur
 
 n’en a plus et nécessite au contraire
 
 du globe
 
 sur l’une des repré-
 
 Le passage de la toxicomanie
 
 toutefois
 
 d’un
 
 à la fois l’affrontement
 
 soulignent
 
 en deux
 
 exacte
 
 d’un pôle Nord,
 
 « toxicomanies
 
 agie d’équi-
 
 anxiogènes
 
 anxiogènes,
 
 mécanismes
 
 psychana-
 
 dans des formes
 
 neures de toxicomanies « néo-besoin
 
 entre des vues
 
 de représenter,
 
 : l’existence,
 
 habitués
 
 être fait entre cette approches
 
 attachés à des ap-
 
 à mettre à tout prix du sens
 
 à l’impossibilité
 
 ou de la société.
 
 dans les toxicomanies.
 
 pourrait
 
 pragmatiques,
 
 qu’ardue
 
 et un pharmacologue,
 
 Il y a longtemps
 
 maintes fois vécue. Un parallèle
 
 proches
 
 de la biologie,
 
 sentations,
 
 dépendants,
 
 simple interaction
 
 De l’autre, des soignants
 
 breuses,
 
 (en coll. deviennent
 
 chronique,
 
 entre le corps du sujet et une substance.
 
 de vue des protagonistes. Un psychologue, par exemple, pourra nier toute importance
 
 de l’impossibilité
 
 proces-
 
 que certains
 
 une maladie
 
 au diabète,
 
 Les théories
 
 terrestre
 
 c’est d’une expérience
 
 comparable
 
 sont trop souvent que l’effet de l’étroitesse
 
 1975, dans son ouvrage Love and Addiction avec A. Brodsky).
 
 très médicaux
 
 dans certains discours
 
 nuer à rechercher
 
 partielles, toutes vraies, mais toutes incomplètes. Comme si l’on se battait autour
 
 conception
 
 manie redeviendrait
 
 : la toxico-
 
 globale du phéno-
 
 une période plus longue. avec
 
 conceptuelle
 
 par une aussi vaste probléma-
 
 rôle de la culture
 
 ont duré
 
 est en phase
 
 comme
 
 dans ce qui est devenu processus, à conti-
 
 semblent
 
 définition
 
 le risque
 
 de substitution
 
 ne doit être éludé
 
 plus d’un mois ou se sont répétés pendant
 
 Cette
 
 ments
 
 qui consisterait
 
 Les oppositions
 
 de l’effet
 
 par un comportement
 
 de traite-
 
 tique.
 
 pour obte-
 
 désiré, ou diminution
 
 entre une
 
 ».
 
 concernées h) Tolérance
 
 résu-
 
 par C. Olie-
 
 « la rencontre
 
 ne peut totalement
 
 ou physique.
 
 acte des
 
 du phénomène,
 
 un produit,
 
 socioculturel
 
 comportement. g) Perpétuation
 
 par prendre
 
 mées pour les toxicomanies
 
 ou sociales.
 
 f) Activités
 
 tout abord des addic-
 
 diverses dimensions
 
 ou universitaires,
 
 sociales ont vécu la promotion d’une régression
 
 des épisodes lorsque
 
 fessionnelles,
 
 18
 
 tendre,
 
 différentes.
 
 e) Survenue fréquente
 
 procuré
 
 devrait
 
 psychanalytiques
 
 qui se réfèrent ou psycho-
 
 consommé tabagisme*.
 
 de la cocaïne
 
 et être sujet au
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 La psychanalyse
 
 à l’épreuve
 
 de la
 
 La toxicomanie
 
 toxicomanie
 
 Néanmoins, proche pour
 
 sible pour se mettre
 
 on peut se demander
 
 psychanalytique le traitement
 
 imprévisibles
 
 si l’ap-
 
 égard d’une part à la problématique
 
 de l’objet,
 
 aucune catégorie puisqu’il
 
 n’existe
 
 sonnalité
 
 unique
 
 sonnalité
 
 toxicomaniaque.
 
 vient seulement structure
 
 il n’est pas à même d’éprouver
 
 On peut
 
 en évidence
 
 un cer-
 
 de caractères
 
 rencontrés
 
 : dépressivité,
 
 difficultés
 
 communs
 
 d’élaboration
 
 psychique.
 
 dique une spécificité
 
 reven-
 
 de la toxicomanie
 
 ». Le toxicomane
 
 présente, à
 
 ses yeux, une part malade et une part non malade, puisque chez lui le stade du miroir* est en réalité mier moment se définit d’autrui.
 
 de la formation
 
 à l’image
 
 Le recours à l’addiction
 
 constitue-
 
 intériorisée
 
 le défaut
 
 « magique
 
 d’une mère adéquate.
 
 rences de l’intériorisation
 
 le sujet doit
 
 d’amour
 
 de l’indi-
 
 externes,
 
 ainsi
 
 (1991)
 
 une
 
 ».
 
 que les qualités
 
 liées à ces objets, à l’intérieur
 
 tration.
 
 de lui-même
 
 :
 
 de la douleur
 
 On doit
 
 de la recherche
 
 positive
 
 plaisir
 
 jouissance
 
 se trouve
 
 évacuée du champ
 
 inter-
 
 et déplacée sur le toxique, de risque,
 
 sur
 
 sur le jeu avec le
 
 des toxicomanes
 
 lement paradoxale,
 
 est essentiel-
 
 et nombre
 
 lacanienne,
 
 puyant
 
 ne peut avoir
 
 d’incorporation
 
 viendra s’y substituer
 
 réaliser au sens propre
 
 pour
 
 ce qui n’a normale-
 
 autothérapeutique.
 
 au toxique
 
 En effet,
 
 peut être considéré
 
 une autoconservation
 
 À travers gnier
 
 la diversité
 
 connu
 
 des pathologies
 
 la psychanalyste
 
 Piera Aula-
 
 une transe
 
 l’activité
 
 périodique
 
 entraîne
 
 corporelles,
 
 de la douleur
 
 aiguisant
 
 : la souffrance
 
 constitue
 
 Aucun
 
 plaisir
 
 rencer.
 
 Le problème
 
 ne saura plus la concur-
 
 : comment
 
 dans le corps les objets les plus
 
 divers : nourriture, ringue*
 
 alcool,
 
 (kentomanie*),
 
 corporation
 
 forcenée
 
 de morcellement* d’unité.
 
 toxiques. supprime corporelles
 
 Ces pratiques
 
 de se-
 
 Cette inl’angoisse
 
 en redonnant
 
 temps aux sensations blant
 
 aiguille
 
 des
 
 face à l’intensité
 
 le toxicomane
 
 ainsi
 
 engendré
 
 devienne
 
 accessible
 
 toprotection
 
 contre
 
 lement psychotique, psychiatre
 
 comane,
 
 la réflexion
 
 d’une
 
 classique sur la drogue).
 
 indiquait
 
 déjà
 
 surinvestissement
 
 de sensations
 
 vient se substituer
 
 à la relation
 
 et c’est lorsqu’apparaît
 
 en son lieu
 
 et à sa place
 
 manque vient à manquer
 
 sition
 
 difficile
 
 à la jouissance immédiate
 
 quelque
 
 et prévisible
 
 qu’il connaît,
 
 voie longue
 
 et frustrante
 
 SOUSLE
 
 REGARD
 
 serait de se sentir
 
 extrêmes, d’objet.
 
 nir les conditions
 
 la nouvelle
 
 jeu perpétuel
 
 en effet contre
 
 manquant
 
 à
 
 dépendance tentent de réu-
 
 nécessaires à l’émergence
 
 du désir, afin de se sentir
 
 vivant,
 
 dans un
 
 avec le vide et avec le plein,
 
 que la philosophe
 
 d’un traitement J. P.-B.
 
 l’angoisse
 
 (1985) : le
 
 la
 
 du manque.
 
 elle viendrait
 
 ainsi créée, les toxicomanes
 
 pour choisir
 
 psychanalytique.
 
 du processus
 
 le
 
 d’engager un toxico-
 
 mane à renoncer
 
 le plus efficace de lutter Malgré
 
 Quoi qu’il en soit, il
 
 donc en fait, de
 
 façon inversée, le révélateur
 
 nouveau.
 
 quel-
 
 le soignant dans la po-
 
 ne peut que le
 
 sur l’utilité
 
 thérapeutique
 
 de demandeur.
 
 reste toujours
 
 et que surgit l’an-
 
 goisse. La drogue constitue
 
 proposition
 
 Le moyen
 
 du corporel,
 
 par la recherche
 
 chose
 
 n’y a
 
 du manque.
 
 le manque
 
 de l’aide.
 
 ébauche de
 
 on peut s’interroger
 
 La compréhension
 
 comme le souligne compulsif
 
 se figurer,
 
 même,
 
 de gérer sa consomma-
 
 conque, qui mettrait
 
 (1962-
 
 qu’il
 
 se trouve
 
 prise de conscience de la part du sujet toxi-
 
 devenant alors objet de désir (ce qui inverse
 
 Lacan
 
 au psychana-
 
 d’une semblable
 
 saturer la place vide laissée par le manque.
 
 la menace de morcel-
 
 Aimé Charles-Nicolas
 
 lui-même
 
 sur l’angoisse
 
 de la
 
 pour que le
 
 tion pour qu’il vienne demander
 
 un semd’au-
 
 éblouissant
 
 vécu de malaise se manifeste
 
 Chez le toxicomane,
 
 être envisagées comme des tentatives
 
 fondée sur la
 
 poudre. Il semble qu’il faille attendre qu’un
 
 que le sujet a peur, selon Claude
 
 Dans son Séminaire
 
 de si
 
 du lien unissant
 
 au flash*
 
 pour un
 
 ont ainsi pu
 
 alors revenir
 
 lyste. Il faut que le toxicomane
 
 Par définition
 
 s’introduire
 
 qui se pose à lui est
 
 La non-satisfaction
 
 (1987), le manque
 
 le sujet a
 
 avec la drogue.
 
 patient
 
 du besoin
 
 satisfac-
 
 une extase*
 
 de la cure psychanalytique, parole,
 
 la perception
 
 ces comportements
 
 à
 
 voulant
 
 loin ? On mesure dès lors le risque d’échec
 
 de la
 
 une réapparition
 
 indicible,
 
 par la fusion
 
 le suivant
 
 (1979) repère une même souffrance accompagnant
 
 de complète
 
 Dans le cas de la toxicomanie,
 
 et manquer
 
 pas - et pour cause - d’image
 
 compulsivement
 
 freudien
 
 s’ap-
 
 tion.
 
 paradoxale,
 
 ment de sens qu’au figuré. Cela expliquerait où le sujet va chercher
 
 Lacan
 
 pour le sujet une preuve de son existence.
 
 1963),
 
 étranges et frénétiques
 
 Dans la
 
 de ne pas apporter
 
 Olievenstein
 
 lieu, le fantasme
 
 hors des
 
 une dimension
 
 En l’absence
 
 trojection
 
 son
 
 qu’il soit dans la nature même de la pulsion
 
 manque (1978), si ce processus d’in-
 
 et, surtout,
 
 voient dans le processus de la toxicomanie
 
 trojection.
 
 et Maria Torok
 
 de la
 
 l’accès à la jouissance
 
 sur un paradoxe
 
 c’est ce que l’on appelle le processus d’in-
 
 Abraham
 
 l’intensité
 
 à une limitation,
 
 dans l’impossibilité
 
 Nicolas
 
 avec la
 
 imposées par la civilisation.
 
 par le manque permet alors d’échapper à la mort psychique. C’est précisément du
 
 Pour les psychanalystes
 
 essentiel
 
 caractère « sauvage », c’est-à-dire limites
 
 de
 
 dans la
 
 qu’elle procure,
 
 est soumis
 
 de soignants
 
 compte
 
 comme
 
 c’est précisément
 
 théorie
 
 La clinique
 
 tenir
 
 d’une intensité
 
 Le problème
 
 drogue,
 
 pas seuleet de la frus-
 
 également
 
 souffrance.
 
 de la réalité
 
 faire passer ses objets
 
 de la
 
 ne signifie
 
 dans le plaisir
 
 du manque normal
 
 à l’épreuve
 
 sensations,
 
 pensée. Le retour
 
 de type
 
 une
 
 en péril leur corps,
 
 La relation duelle étant vécue comme trop menaçante, l’intensité nécessaire au
 
 limites vidu,
 
 a nommé
 
 d’objet addictive
 
 compulsive
 
 anorexie-boulimie. Dans le développement
 
 ment l’évitement
 
 chez eux ce que le psychiatre
 
 addictives,
 
 se retrouveraient
 
 également dans les comportements
 
 La toxicomanie
 
 amenée
 
 Ces ca-
 
 de
 
 leur existence et leur pensée même.
 
 La prise de drogues
 
 pour les sujets addictifs.
 
 Jouir
 
 de représentation
 
 douloureuse
 
 En réalité, il y a peut-être
 
 de même qu’ils mettent
 
 par le sujet
 
 la drogue étant à la fois remède et poison.
 
 »
 
 même s’il existe toute
 
 que
 
 avec l’autre est vécue comme
 
 Jeammet
 
 comme
 
 du pre-
 
 par une identification
 
 pallier
 
 à
 
 du moi, qui
 
 rait par la suite une tentative pour
 
 plutôt
 
 abandonné
 
 dangereuse
 
 le recours
 
 brisé. Chez les sujets dépen-
 
 dants, on assiste à une perturbation
 
 passionnelle
 
 manque.
 
 et
 
 de son approche, qu’il qualifie de « clinique de l’intensité
 
 manes recherchent,
 
 psychanalyse
 
 relationnel
 
 Claude Olievenstein
 
 une relation
 
 d’être
 
 « néo-relation
 
 et
 
 en tant que tel que les toxico-
 
 une culture de l’expression
 
 il s’agit en
 
 une chose privée de conscience,
 
 les conduites Le psychiatre
 
 Paradoxalement,
 
 somme d’établir
 
 Philippe
 
 dans la
 
 parler
 
 mise en péril constante de leur satisfaction,
 
 On repère
 
 aux
 
 quête d’identité*
 
 le manque
 
 pas à proprement
 
 ce manque.
 
 trop
 
 les états limites*
 
 du vécu de la
 
 blessure du rejet ou de la perte n’est dès lors
 
 La rencontre
 
 se greffer sur telle ou telle privilégié.
 
 de
 
 Ce n’est peut-être
 
 aimé.
 
 La dépendance
 
 l’ambiguïté
 
 quoi que ce soit pour qui que ce soit... La
 
 de risquer
 
 la per-
 
 aménagements
 
 clinique
 
 isolable,
 
 qui constituerait
 
 néanmoins
 
 divers
 
 à
 
 de per-
 
 un terrain
 
 tain nombre
 
 n’appartient modèle
 
 de personnalité,
 
 représentant mettre
 
 aucun
 
 aucune
 
 sensibilité,
 
 en soulignant
 
 défonce* toxicomaniaque.
 
 est
 
 spéci-
 
 en tant que tel ?
 
 psychiquement
 
 en tant qu’il
 
 eu
 
 plus à craindre. En réalité, « le » toxicomane
 
 des réactions
 
 n’existe : inerte et dépourvu
 
 de la drogue.
 
 existe-t-il
 
 à l’abri
 
 réciprocité
 
 fique de ces sujets, et, d’autre part, à l’indi-
 
 Le toxicomane
 
 une stratégie pos-
 
 lui aussi un sujet. Avec le toxique,
 
 est bien adéquate
 
 des toxicomanes,
 
 cible de l’expérience
 
 constitue
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 Giulia Sissa met en relief
 
 proposer chologie
 
 doit
 
 des modèles expliquant
 
 permettre
 
 théoriques
 
 en psy-
 
 Les modèles pharmanotamment
 
 de la dopamine*
 
 des systèmes
 
 mésolimbiques,
 
 de
 
 le processus à l’oeuvre
 
 (cf. infra), reposant
 
 sur l’implication l’activation
 
 psychopathologique
 
 addictif
 
 dans la dépendance. cologiques
 
 DU PSYCHOLOGUE
 
 dans
 
 de récompense
 
 ne permettent
 
 pas d’expli19
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 quer toutes les situations
 
 addictives,
 
 de comprendre
 
 et l’on
 
 des actes car les conséquences
 
 ce qui
 
 sont
 
 demeure
 
 fort loin
 
 construit
 
 dans le cerveau un processus
 
 de
 
 dépendance. constituent
 
 un phéno-
 
 mène soumis à un déterminisme
 
 social et
 
 ainsi que, pour certaines
 
 elles, les toxicomanies, sciences
 
 (comme
 
 développement
 
 d’entre
 
 à l’avancement
 
 en témoignent
 
 des
 
 l’usage
 
 du XIXe siècle ou le
 
 de la seringue à partir
 
 sociales,
 
 il est possible de repérer dans le processus une logique
 
 quate d’un relevant D’une
 
 négatifs
 
 (induisant
 
 de résolution
 
 problème
 
 interne
 
 du champ façon
 
 de repérer
 
 inadé-
 
 ou externe
 
 il est possible
 
 six modèles
 
 cigarette forcement
 
 positif
 
 alors
 
 lier car lié à l’histoire
 
 une cigarette
 
 pour
 
 lequel il se manifeste,
 
 la sédation
 
 d’une souffrance
 
 d’un
 
 Approche
 
 Stanton
 
 Peele ; 3) le modèle
 
 de sensations de Marvin théorie
 
 J. Apter
 
 hédonique
 
 de recherche
 
 Zuckerman
 
 du renversement
 
 Michael
 
 de
 
 social. Élaborée
 
 cette théorie
 
 ; 4) la
 
 psychologique
 
 ; 5) le modèle
 
 de
 
 de gestion
 
 de Iain Brown ; 6) la théorie gé-
 
 nérale des addictions
 
 et le système d’action
 
 humain,
 
 Pour
 
 est fondamentale
 
 car la conscience
 
 de
 
 l’individu
 
 fait que la sélection
 
 portement
 
 ne s’opère pas d’une façon pure-
 
 ment mécanique
 
 d’un com-
 
 (comme le laisse supposer
 
 le modèle de Skinner). ou plutôt
 
 d’Eric Loonis.
 
 des
 
 peut s’adapter à des stimuli.
 
 chez l’être
 
 La notion
 
 l’idée subjective
 
 Approche
 
 cognitivo-comportementale
 
 L’approche
 
 théorique
 
 fumer
 
 d’être libre, doit
 
 des comportemen-
 
 talistes repose sur le principe
 
 tissage et sur les études de traitement l’information, par notre
 
 conscient
 
 le cognitif
 
 trois
 
 do-
 
 : le comportemental,
 
 pavlovien
 
 liées au rôle et à l’usage so-
 
 cial du tabac. Ces adolescents d’autres
 
 liens, d’autres
 
 Celles-ci
 
 répondent
 
 où la cigarette
 
 logiste
 
 russe Ivan Pavlov
 
 (apaisement
 
 simple
 
 : un stimulus
 
 Un stimulus
 
 conditionnelle.
 
 matériel
 
 d’injection,
 
 consommation
 
 lieux
 
 induire
 
 sera le comportement exemple, le stimulus
 
 vont, si le sujet une réponse
 
 conditionnel
 
 stimuli
 
 qu’une
 
 qui
 
 période
 
 parfois fort prolongée d’une rechute
 
 lorsque
 
 puisse certains
 
 skinnérien
 
 psychologue
 
 américain
 
 (1904-1990),
 
 l’homme
 
 ronnement, portement.
 
 à modifier
 
 De ce fait, il finit
 
 ou, au contraire, portements.
 
 par éviter
 
 donc renforcer
 
 les comportements. positifs
 
 gestion des dif-
 
 des événements informations celles-ci
 
 entre
 
 et le cerveau engendre des qui sont traitées
 
 Le cerveau en fonction
 
 des
 
 nouvellement
 
 rencontrées,
 
 hors
 
 de la volonté
 
 et hors de la conscience.
 
 actes, des situations
 
 ou des émotions
 
 blables à ceux qui furent
 
 initialement
 
 base de la mémorisation
 
 viennent
 
 veau activer
 
 acquis,
 
 réutilisés
 
 ces savoirs
 
 et éventuellement
 
 et de ses problèmes.
 
 Des semà la
 
 à nouqui sont
 
 « actualisés
 
 pour résoudre
 
 douloureuse,
 
 un échec qui constamment,
 
 plan personnel finit
 
 réaliser
 
 le geste addictif. renforçateur
 
 sentiment
 
 de cette son com-
 
 par repérer com-
 
 des actes
 
 progressivement une répétition
 
 au vécu,
 
 métabolisent
 
 en représentations
 
 »
 
 capables
 
 de déclencher
 
 des comportements, sonnalité, raction fragilisé
 
 le
 
 cognitives, sens
 
 les informations internes,
 
 en images
 
 ou de maintenir
 
 selon les types de per-
 
 les traits psychologiques.
 
 substitutive
 
 dont
 
 est puissant.
 
 Mais
 
 sens négatif
 
 à un para-
 
 doxe : répéter le geste addictif
 
 pour tenter
 
 d’en limiter tion abolit
 
 l’incidence le constat
 
 négative.
 
 L’inte-
 
 (satis-
 
 mais, en même temps,
 
 le majore (perte d’estime de soi). critique
 
 de l’existence
 
 stress*, isolement,
 
 à une période de la vie n’offrant tion positive
 
 divorce), aucune op-
 
 (vécu en situation d’exclusion)
 
 de guerre,
 
 ou dans
 
 lial, l’expérience d’organiser
 
 de la dépendance
 
 un
 
 permet
 
 la vie du sujet, structure
 
 son
 
 temps, et propose des sensations étayantes et prévisibles. avant tout
 
 Pour Peele, l’addiction
 
 un mal de la « socialité
 
 développement découle
 
 des conduites
 
 de l’introversion
 
 de l’égoïsme
 
 est » : le
 
 addictives
 
 des individus,
 
 et de l’individualisme.
 
 Le
 
 de soi, l’estime de soi, la possibilité
 
 de s’accomplir,
 
 de développer
 
 des compé-
 
 autant de valeurs protec-
 
 trices. L’individu
 
 est donc non une simple
 
 entité biologique
 
 mais l’acteur de sa propre
 
 socialisation, propre
 
 l’inlassable
 
 chercheur
 
 sens et d’une cohérence
 
 qui, seule, peut lui permettre
 
 de son
 
 intérieure d’échapper
 
 à une forme ou une autre de dépendance. Le modèle
 
 de Peele permet
 
 de dépasser le
 
 modèle médical
 
 de la dépendance
 
 tant en lumière
 
 l’importance
 
 psychologiquement,
 
 un type de
 
 non biologiques
 
 des addictions
 
 déclenchant
 
 L’addic-
 
 de défaillance
 
 où le sujet est
 
 et un stimulus
 
 le
 
 en le confrontant
 
 entre des situations
 
 personnalité
 
 modifie
 
 d’estime de soi du sujet dans un
 
 Dans ce modèle, donnent
 
 de ne plus
 
 La dépendance
 
 est donc une satisfaction le pouvoir
 
 au
 
 de tout autre centre
 
 et s’avère incapable
 
 des processus cognitifs.
 
 même de façon inconsciente,
 
 à réussir
 
 et social. Le sujet addicté
 
 par se détourner
 
 d’intérêt
 
 une situation
 
 de sa capacité
 
 »). Pour le
 
 sujet est actif, car ses structures
 
 Elle constitue
 
 une stratégie
 
 tences constituent
 
 Skinner
 
 À ses yeux, l’ad-
 
 contexte privé de soutien social et/ou fami-
 
 utilise
 
 régulièrement,
 
 situations
 
 pendant
 
 en situation
 
 et emma-
 
 Peele
 
 découle de la vie même du sujet dé-
 
 (adolescence*,
 
 L’interaction
 
 gasinées à long terme.
 
 diction
 
 Face à une situation
 
 développement
 
 amicaux formels).
 
 Les théories cognitives.
 
 Stanton
 
 entre les années
 
 sociologique.
 
 d’accommodation
 
 Il existe des renforce-
 
 (induisant
 
 des rapports
 
 la variable
 
 faction substitutive),
 
 a un effet d’autorégulation
 
 à New
 
 à la variable psychologique
 
 des épisodes ultérieurs
 
 certains
 
 Les conséquences
 
 une microso-
 
 interpersonnelles,
 
 dance intégrant
 
 aussi
 
 agit sur son envi-
 
 et les conséquences
 
 le conduisent
 
 viennent
 
 Burrhus
 
 ficultés
 
 sociale
 
 1975 et 1985 un modèle extensif de dépen-
 
 contrôle
 
 (dit
 
 » ou « instrumental
 
 au besoin des adoles-
 
 des tensions,
 
 Peele
 
 (né en 1946) a développé
 
 par le cerveau : le psychologue évoque à ce titre une phase initiale d’assimilation et
 
 agissent associés à la drogue.
 
 « répondant
 
 ments*
 
 allumette
 
 la réponse condition-
 
 Conditionnement
 
 action
 
 Par
 
 cigarette
 
 nelle fumer. Cela explique être suivie
 
 qui
 
 de la présentation
 
 conditionnel
 
 toujours
 
 d’abstinence
 
 le
 
 associés à la
 
 toxicomaniaque.
 
 peut être annonciateur stimulus
 
 une
 
 une boîte d’allumettes
 
 de drogue
 
 y est confronté,
 
 déclenche
 
 entraîne En pratique,
 
 et, aussi bien, certains
 
 d’un
 
 une réponse.
 
 conditionné
 
 réponse
 
 est
 
 de
 
 le fait d’être devenu dépendant
 
 ciété, en marge de celle des adultes, qui leur permet d’imposer des idées, des valeurs, et
 
 pondant »). Le schéma décrit par le physioinduit
 
 recherchent
 
 pôles d’attraction
 
 cents car elles reproduisent
 
 (dit aussi « ré(1849-1936)
 
 par les motivations,
 
 mais aussi les grandes amitiés et les bandes.
 
 et l’émotionnel.
 
 Conditionnement
 
 20
 
 de
 
 ou inconscient,
 
 pensée. Elle recoupe
 
 maines de l’existence
 
 les croyances
 
 de l’appren-
 
 le besoin et le désir de
 
 sont renforcés
 
 un regard
 
 du thérapeute.
 
 Columbia),
 
 le font douter
 
 de liberté,
 
 être prise en compte. Par exemple, chez les adolescents fumeurs,
 
 singu-
 
 du sujet chez
 
 implique
 
 de psychologie
 
 York (université
 
 met en avant
 
 c’est-à-dire
 
 cet auteur, l’anticipation
 
 addictif,
 
 propre
 
 Stanton
 
 Professeur
 
 de l’apprentissage
 
 individu
 
 étant entendu
 
 biopsychosociale
 
 liée à l’anxiété
 
 processus conscients ou non par lesquels un
 
 biopsychosocial
 
 également singulier
 
 par thérapie*
 
 renforcement
 
 dance : 1) le modèle ; 2) le modèle
 
 Une recons-
 
 des addictions
 
 psychique)
 
 susceptibles de rendre compte de la dépenmental
 
 traitements
 
 que chaque comportement
 
 la sphère de la cognition,
 
 cognitivo-comporte-
 
 de
 
 de ces schémas est à la base des
 
 quelque
 
 d’un
 
 même si perçoit
 
 la situation.
 
 (ils lui apportent
 
 en permettant
 
 par A. Bandura,
 
 psychologiques
 
 erronée
 
 cognitivo-comportementale,
 
 les effets du sevrage en
 
 pour
 
 des besoins. Des distorsions
 
 de ren-
 
 participe
 
 Théorie
 
 de solution,
 
 font que l’individu
 
 truction
 
 par la
 
 qui constitue
 
 des facteurs
 
 éviter de ressentir
 
 déplaisir,
 
 façon
 
 de fumer,
 
 induite
 
 chose dans son économie
 
 nicotine*
 
 cognitives
 
 Chez un fumeur
 
 intellectuelle
 
 constituent
 
 négatif
 
 de l’action
 
 du tabac, le plaisir
 
 la stimulation
 
 elle implique
 
 par exemple.
 
 de la psychologie.
 
 schématique,
 
 dépendant
 
 la dépendance,
 
 le sujet une modalité
 
 un évitement
 
 sont jugées déplaisantes).
 
 que le fait de prendre
 
 récent des designer-drugs).
 
 Mais, au-delà des considérations addictif
 
 ments
 
 explique
 
 et des renforce-
 
 des actes car les conséquences
 
 Les dépendances culturel
 
 jugées plaisantes)
 
 de l’action
 
 sociaux, situationnels,
 
 en met-
 
 des facteurs
 
 ritualistes,
 
 (culturels, dévelop-
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 pementaux,
 
 de personnalité
 
 et cognitifs)
 
 la question
 
 qui leur enlèvent leur caractère inéluctable.
 
 besoins
 
 psychobiologique
 
 et qui lui avaient
 
 du corps dans la
 
 de sensations.
 
 conduits
 
 permis
 
 de proposer
 
 de Michael
 
 une
 
 Michael
 
 J. Apter
 
 échelle pour évaluer le besoin de stimulation corticale induite par le vécu de sen-
 
 tannique,
 
 sations fortes, Marvin
 
 a développé
 
 a défini
 
 versité
 
 J. Apter
 
 (chercheur
 
 actuellement de Georgetown,
 
 L’existence
 
 qui part des observations
 
 a été largement
 
 validée depuis :
 
 d’une façon schématique,
 
 Zuckerman
 
 pos-
 
 structurale
 
 postule
 
 l’existence
 
 notamment
 
 d’états psychologiques
 
 ne sont pas
 
 de nos journées.
 
 stimulées
 
 et qu’elles vont donc rechercher
 
 déterminent
 
 de façon
 
 plus ou moins
 
 nons à nos motivations.
 
 compulsive
 
 d’augmenter
 
 des
 
 capables
 
 cette activité neurobiologique
 
 (la nicotine* est connue pour et donne lieu à dépendance). nées neurobiologiques gonadiques,
 
 (taux
 
 déterminent
 
 et
 
 chez
 
 par la prise de psychotropes
 
 ou par des activités compulsives
 
 Le modèle
 
 de gestion Iain Brown
 
 Iain Brown (de l’université
 
 Ces paires
 
 d’états
 
 Écosse) a prolongé
 
 car elles
 
 ment psychologique
 
 que nous don-
 
 de Michael
 
 et de contextes
 
 psychologiques
 
 lièrement
 
 impliquée
 
 d’activation,
 
 opposé
 
 : l’état
 
 de recherche
 
 à l’état
 
 d’évitement
 
 Par exemple,
 
 d’activation,
 
 addicté ment,
 
 dans l’état de
 
 entrent
 
 la poursuite
 
 vité addictive.
 
 Ce modèle
 
 chercheurs
 
 stimulant,
 
 alors que son passage à l’état
 
 des valeurs
 
 psychologique
 
 opposé (évitement
 
 malaise. Aussi les sujets de type HSS ont-ils
 
 vation)
 
 tendance
 
 verse, dans un contexte
 
 stimulations
 
 fortes afin d’élever
 
 de façon
 
 agréable leur niveau d’activation Cette recherche
 
 de sensations
 
 et les
 
 cérébrale.
 
 lui permettra
 
 l’état d’évitement dra soudain
 
 comportements
 
 vers l’autre
 
 risque (dans le domaine
 
 ou de prise de
 
 des sports ou dans
 
 le vécu des « extrêmes », par exemple) provoquent
 
 secondairement
 
 chotropes.
 
 des effets psy-
 
 Les études ont montré
 
 entre la recherche l’impulsivité,
 
 de sensations
 
 l’agressivité,
 
 nisme et l’extraversion. toxicomanies,
 
 alcoolisme
 
 tant sur le plan biologique, montrent
 
 le trait de personnalité
 
 que
 
 actuels entre
 
 ainsi que
 
 au jeu* ou la multiplica-
 
 pas encore le mécanisme
 
 passage de la recherche dépendance.
 
 de sensations
 
 Une réflexion
 
 tique sur ce mécanisme
 
 de à la
 
 des émotions,
 
 tion des contenus
 
 internes
 
 sance des objets internes,
 
 à une caractéristique « recherche
 
 tion Seekers de Marvin « d’évitement Michael
 
 étudié les mécanismes dans la recherche
 
 cognitifs
 
 qui permettent
 
 l’état de recherche
 
 xiété. Par exemple, approcher excitant
 
 d’exci-
 
 réfléchir
 
 et des activi-
 
 et source de plaisir
 
 d’un tigre est parce qu’il y a
 
 protecteur
 
 ne s’agit que d’un tigre
 
 (le tigre ou bien il
 
 par procuration,
 
 le à
 
 peuvent tendance,
 
 de cette recherche
 
 apparaître.
 
 pour des raisons
 
 individus qui tiennent
 
 gère sa tonalité
 
 sont considé-
 
 hédonique
 
 d’activation
 
 psychologiques.
 
 Cette
 
 l’enfance
 
 artificiels
 
 et sur ses états gestion
 
 dans cer-
 
 Dans ce cas, des
 
 personnelles
 
 prédisposantes
 
 accroissent
 
 le « décalage hédonique
 
 l’individu,
 
 défini
 
 comme
 
 entre les niveaux tolérer
 
 de dysphorie
 
 la réduction
 
 hédoniques
 
 facilement
 
 des activités
 
 destinées
 
 activités.
 
 saillante Quatre
 
 correspond
 
 des activités
 
 a) l’éventail
 
 des activités
 
 entrent
 
 facile-
 
 en jeu :
 
 accessibles dans
 
 ; c) les propriétés
 
 social pour inhérentes
 
 la tonalité
 
 (par exemple,
 
 d’activation)
 
 dans la manipulation
 
 préfé-
 
 aux autres
 
 ; b) le support d’affecter
 
 à
 
 particulière
 
 par rapport facteurs
 
 des
 
 à réduire
 
 dans la hiérarchie
 
 du répertoire
 
 ce
 
 accessibles
 
 ment accessibles : une activité devient
 
 peut
 
 de l’éventail
 
 ce décalage. Une addiction rentielle
 
 qu’il
 
 et ceux qu’il vit habituellement,
 
 qui entraîne au profit
 
 » de
 
 la différence
 
 tences acquises pour utiliser à
 
 apprise
 
 des besoins secondaires
 
 : les addictions.
 
 vulnérabilités
 
 en jouant
 
 peut produire
 
 taines conditions
 
 changements
 
 ont
 
 sans
 
 extrême de phémotivationnelle
 
 sur ses niveaux
 
 nique de l’individu
 
 et les addictions
 
 Certains
 
 dividu
 
 à cette activité
 
 d’activa-
 
 physiologiques,
 
 dans la vie de tous les jours. L’in-
 
 cette activité
 
 anxiogène.
 
 dans le parcours
 
 rées comme une forme nomènes d’autogestion
 
 l’environnement
 
 la présence
 
 cogni-
 
 psychologiques
 
 les addictions
 
 un changement
 
 de l’an-
 
 par
 
 être niés, restant secondaires. Dans le cadre
 
 activités
 
 et de pou-
 
 et agréables à l’abri
 
 du tigre serait hautement
 
 sur la réduction
 
 également
 
 la
 
 de passer dans
 
 d’activation
 
 tion que les dépendances
 
 On pourrait
 
 comme
 
 mise en place de cadres psychologiques
 
 de générer devenir.
 
 ont
 
 mis en jeu
 
 d’activation,
 
 Sans ce cadre psychologique,
 
 ou sur l’insuffi-
 
 dont il faut sans cesse contrôler
 
 celle
 
 et ses collaborateurs
 
 C’est à partir
 
 tation
 
 »
 
 » des Low Sensation Seekers).
 
 J. Apter
 
 déterminées
 
 social de nature
 
 les facteurs
 
 durant
 
 vu dans un film ou évoqué par un roman).
 
 sur l’externalisa-
 
 régulière
 
 d’activation
 
 Zuckerman,
 
 du désir au besoin et sur le besoin répétitif l’émergence
 
 et cor-
 
 personnelle
 
 est en cage, il y a un dompteur,
 
 au
 
 dans
 
 du type High Sensa-
 
 un cadre psychologique
 
 s’interro-
 
 ger sur la place dévolue aux sensations détriment
 
 est appelé dominance
 
 tés excitantes
 
 psychanaly-
 
 pourrait
 
 phénomène
 
 addictif,
 
 ordinaire
 
 que dans l’autre. Ce
 
 voir ainsi vivre des situations
 
 tion des expériences sexuelles. Pour autant, on ne connaît
 
 un état psychologique
 
 protecteurs
 
 et la consommation
 
 de tabac ou d’alcool,
 
 par la dépendance
 
 et
 
 caractérisé par la re-
 
 cherche de sensations de drogues,
 
 entre
 
 une corrélation
 
 sont plus souvent
 
 peut être rapprochée
 
 complexes,
 
 Les travaux
 
 cependant
 
 individus
 
 (la dominance
 
 clinique
 
 Bien que tous les in-
 
 tout au long de leurs journées,
 
 fortes et
 
 et tabagisme
 
 quête de sensations demeurent
 
 certains
 
 liés à des attentes, à
 
 qui sont prépondérants
 
 de ce modèle,
 
 il devien-
 
 soient amenés à basculer d’un état
 
 respond
 
 l’exhibition-
 
 de l’activation,
 
 anxieux.
 
 les liens
 
 Les relations
 
 psychopathologique.
 
 qui
 
 dividus
 
 sera
 
 mais, s’il vient à basculer dans
 
 par la consommation abusive de substances psychotropes (drogues, alcool) ou par des compulsifs
 
 le
 
 sujet en état de recherche d’activation euphorique,
 
 peut passer
 
 de stimulation,
 
 psychologique
 
 tive. Ce sont ces facteurs
 
 de se relaxer. À l’in-
 
 de l’acti-
 
 comme des phéno-
 
 elles-mêmes
 
 un apprentissage
 
 de l’acti-
 
 par l’individu
 
 ou le déclin
 
 considère les addictions
 
 un sujet éprouvera
 
 des
 
 en jeu pour le développe-
 
 mènes motivationnels,
 
 les sensations
 
 des
 
 représentent
 
 jective et son interprétation
 
 est plus particu-
 
 s’il n’est pas dans un contexte
 
 à rechercher
 
 le phénomène
 
 les addictions
 
 de l’ennui
 
 et
 
 J. Apter en
 
 prenant comme modèle le jeu pathologique
 
 sés aux Low Sensation Seekers (LSS, ou « bas qui génère ennui
 
 du renverse-
 
 tueurs en série. Dans son modèle de gestion
 
 (aux sources de stimula-
 
 des sensations fortes), une paire
 
 recherche
 
 cérébrale
 
 de Glasgow, en
 
 la théorie
 
 et, plus récemment,
 
 En ce qui concerne
 
 de
 
 stratégies de gestion des niveaux de plaisir/ déplaisir pour lesquelles l’expérience sub-
 
 « hauts chercheurs
 
 d’activation
 
 hédonique
 
 tout au
 
 ou d’activités
 
 de l’activation.
 
 de sensations ») - un bas niveau
 
 de prise de
 
 psychotropes
 
 les sujets High Sensation Seekers (HSS, ou de sensations ») - oppo-
 
 d’activation
 
 de hauts niveaux
 
 hédonique,
 
 d’états
 
 de MAO
 
 constamment
 
 re-
 
 tion en général, qu’il s’agisse de substances produisant
 
 d’hormones
 
 d’endorphines*,
 
 de cathécholamines*)
 
 agir ainsi Des don-
 
 de tels individus
 
 s’opèrent
 
 l’interprétation
 
 les dépendances
 
 sentir un ennui mortel,
 
 dans des sans res-
 
 Il
 
 de paires
 
 sont dites métamotivationnelles,
 
 d’activation
 
 une anxiété insurmontable,
 
 opposés, entre les-
 
 long
 
 substances ou des comportements
 
 Incapables de
 
 risque ou de transgression.
 
 de l’inconsis-
 
 des êtres humains.
 
 ont un taux peu élevé d’activation lorsqu’elles
 
 ori-
 
 tance psychologique
 
 quels des renversements
 
 cholaminergique
 
 à rester confinés
 
 ou incapables de se détendre contextes de moindre stimulation cherchent
 
 et phénoménologique
 
 tule que les personnes avides de sensations caté-
 
 à l’uni-
 
 depuis 1975 une théorie
 
 par la recherche sensations
 
 bri-
 
 aux États-Unis)
 
 ginale,
 
 de
 
 d’origine
 
 rattaché
 
 caractérisé
 
 de la recherche
 
 sans éprouver
 
 psychologique
 
 en 1972 un trait de personnalité de sensations.
 
 nement social particuliers,
 
 et d’environ-
 
 sur la recherche d’activation.
 
 du renversement
 
 dès 1964
 
 Zuckerman
 
 des contextes psychologiques
 
 passer dans l’état d’évitement La théorie
 
 d’un modèle biologique
 
 de néo-
 
 de Marvin
 
 Zuckerman
 
 À la suite de travaux
 
 à la création
 
 et à la question
 
 recherche Approche
 
 du plaisir,
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 hédopar des
 
 ; d) les compécette activité
 
 de la tonalité
 
 hédo-
 
 nique. 21
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 Pour Brown diction
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 et d’autres
 
 n’est jamais
 
 une trajectoire
 
 auteurs,
 
 inéluctable,
 
 qui débute
 
 de découverte-révélation des rituels,
 
 une ad-
 
 qui engendre
 
 elle suit
 
 l’estime de soi et les besoins d’étayage).
 
 des défaillances
 
 Le modèle
 
 sant des états anxieux
 
 ou dépressifs
 
 drogues constitueraient
 
 alors une véritable
 
 par une phase
 
 ; puis s’installent
 
 des habitudes
 
 et, à partir
 
 de
 
 l’addiction.
 
 Par la suite, une sortie
 
 de l’addiction
 
 est toujours
 
 redistribution
 
 et la dispersion
 
 Cependant,
 
 possible
 
 des activités.
 
 une vulnérabilité
 
 persistera
 
 à la rechute
 
 de moindre
 
 gestion hédonique)
 
 (modèles
 
 permanent.
 
 générale
 
 système
 
 Eric
 
 d’actions
 
 Loonis
 
 Mirail)
 
 de l’addiction d’Eric
 
 (université
 
 a développé
 
 et du
 
 Loonis
 
 de Toulouse-Le
 
 une théorie
 
 M. J. Apter
 
 de l’addiction
 
 (TGA)
 
 basée sur le concept
 
 de système
 
 d’actions.
 
 Selon
 
 comme
 
 du bruit
 
 d’adaptation
 
 que l’on connaît,
 
 et une fonction
 
 Le regard pendances
 
 nos
 
 sont appelées « actions
 
 forment
 
 entre elles un système d’actions
 
 d’activités
 
 se définit
 
 au détriment
 
 et ses facilités de remplacer
 
 selon la qualité
 
 d’une action
 
 parti-
 
 se répar-
 
 (AVQ)
 
 l’individu
 
 rendant
 
 ce continuum. continuum,
 
 deux extrémités
 
 d’actions
 
 de surinvestissement variété d’actions
 
 d’action,
 
 disponibles
 
 ; d’autre
 
 avec peu une grande
 
 et une grande
 
 part, à l’autre
 
 l’activité
 
 qui correspond hédonique
 
 se
 
 Le système d’actions
 
 à
 
 entre les actions.
 
 est construit
 
 il est l’héritier
 
 portant
 
 à la plupart
 
 ressortant
 
 paradoxes
 
 de morphine
 
 ne signalent-ils des symptômes
 
 l’administration
 
 durant
 
 du système d’ac-
 
 individus
 
 du sujet (la faiblesse nar-
 
 dépendants
 
 « disposition
 
 désorganisation
 
 chez les
 
 et caractérise comme
 
 narcissique
 
 », correspond
 
 à la
 
 de leur système d’actions,
 
 mer est maximal
 
 peuvent
 
 induire
 
 de sevrage
 
 sans pour autant être addictifs.
 
 Par ailleurs,
 
 les études cliniques
 
 global de la dépendance.
 
 Enfin, l’hypothèse
 
 de l’automédication
 
 la simple
 
 de la dépendance
 
 conséquence
 
 ont-ils
 
 pu sans problème
 
 leur retour
 
 dont 75 à 80 %
 
 aux États-Unis
 
 participation
 
 de l’héroïne,
 
 « décrocher ? Quelle
 
 de la pharmacologie
 
 » à est la
 
 au fait
 
 que les signes de sevrage des héroïnomanes puissent
 
 donner
 
 La pharmacologie, connaissances,
 
 en l’état
 
 des
 
 ne peut donc proposer
 
 que
 
 le sont d’ailleurs demment
 
 ?
 
 actuel
 
 incomplets,
 
 comme
 
 les autres schémas précé-
 
 envisagés.
 
 neurobiologique
 
 selon
 
 laquelle
 
 pliquer
 
 traînent
 
 toxicomane de drogue(s)
 
 cherche
 
 non seulement
 
 cherchant
 
 pour
 
 pendant
 
 éprouver
 
 un certain
 
 aussi pour prévenir voire les douleurs ci. Les drogues
 
 des taux
 
 physiques ne seraient
 
 le plaisir
 
 la drogue temps
 
 l’inconfort
 
 cellulaires
 
 Cela est toutefois la plupart
 
 physique
 
 l’alcool,
 
 et
 
 peu pro-
 
 des drogues
 
 une dépendance
 
 psychique
 
 ensans
 
 associée - seuls les
 
 le tabac et les anxioly-
 
 tiques induisent
 
 un syndrome
 
 caractérisé.
 
 de sevrage
 
 En outre,
 
 les sys-
 
 et les processus
 
 mis en
 
 jeu dans les deux phénomènes
 
 sont dis-
 
 tincts : la dépendance
 
 résulte de
 
 psychique
 
 la mise en jeu majoritaire,
 
 mais pas exclu-
 
 sive, des neurones contenant et appartenant
 
 la dopamine*
 
 au système de récompense physique
 
 est,
 
 quant à elle, liée en partie à la désensibilisation des récepteurs opiacés de la moelle épinière et à un dysfonctionnement probable du locus coeruleus. physique
 
 La dépendance
 
 est un phénomène qu’elle
 
 d’autant
 
 plus
 
 l’objet
 
 d’un
 
 peut faire
 
 de type pavlovien
 
 Dépendance
 
 le
 
 dans l’organisme,
 
 que procure
 
 virtuelle-
 
 (cf.
 
 à ex-
 
 de dépendance,
 
 à maintenir
 
 suffisant(s)
 
 seraient
 
 supra, Sous le regard du psychologue).
 
 physique
 
 les phénomènes
 
 de la dé-
 
 dès lors que l’on tente
 
 conditionnement
 
 Selon une des hypothèses
 
 ce
 
 dépendances
 
 les éléments
 
 moléculaires.
 
 complexe
 
 Dépendance
 
 physique
 
 le cas.
 
 du cerveau ; la dépendance
 
 lieu à conditionnement*
 
 fait
 
 de la tolérance*,
 
 et psychique
 
 opiacés,
 
 est arrêtée
 
 les soldats amé-
 
 dépendants
 
 que le
 
 pour le traitement
 
 tèmes neuronaux
 
 devenus
 
 ont bien montré
 
 du sevrage est de peu de secours
 
 tés gratifiantes étaient
 
 non ap-
 
 un syndrome
 
 dépendance
 
 de sevrage lorsque
 
 ricains engagés au Vietnam,
 
 spontanément
 
 celles où les symptômes de sevrage sont les plus sévères. Inversement, divers produits
 
 bable, puisque
 
 des
 
 qu’exceptionnel-
 
 ? Comment
 
 physique
 
 sont souvent dissociées de
 
 d’en identifier
 
 les pa-
 
 des quantités
 
 de l’analgésique
 
 expé-
 
 lique, les périodes où le besoin de consom-
 
 réellement
 
 moins
 
 reconnaît
 
 animal
 
 et qu’ils peuvent vivre à nouveau des activi-
 
 et son développement
 
 est lié à la construc-
 
 une dépendance
 
 ment indissociables,
 
 de l’observa-
 
 pour traiter
 
 à le faire
 
 pétent consomme la drogue. De plus, chez l’homme, notamment chez le sujet alcoo-
 
 physique
 
 breux
 
 des
 
 part, il ne suffit pas d’induire
 
 l’hypothèse
 
 des dépendances,
 
 pas pour autant les nom-
 
 et l’euphorie
 
 cissique, que la clinique
 
 un modèle
 
 mais n’expliquent
 
 tions des parents et des modèles culturels, tion narcissique
 
 de proposer
 
 ou continuent
 
 et
 
 pendance physique est loin d’être totalement établi. Certains auteurs ont proposé
 
 sur le système de récom-
 
 pense permettent
 
 à une
 
 privilégiée,
 
 addictifs
 
 Le substratum
 
 Les travaux
 
 de
 
 de variété des actions et à une de vicariance
 
 récents
 
 contredisent
 
 à s’administrer
 
 qui n’est pas toujours
 
 toxicomanogènes
 
 sur le cerveau.
 
 des schémas explicatifs
 
 ou acti-
 
 le système d’actions
 
 addictive,
 
 un manque
 
 l’enfance,
 
 extré-
 
 par le fort surinvestissement
 
 action de gestion difficulté
 
 entre
 
 pathologiques
 
 (abus de substances psychotropes caractérise
 
 part,
 
 (substitution)
 
 mité, du côté des addictions vités compulsives),
 
 du
 
 d’une
 
 équilibré,
 
 de vicariance
 
 les actions
 
 de
 
 de sa place sur
 
 on peut décrire,
 
 un système
 
 facilité
 
 les modalités
 
 compte
 
 Aux
 
 jusqu’aux
 
 d’actions
 
 et leur action
 
 lement
 
 tions de la vie quotidienne
 
 du système
 
 vers les produits
 
 douleurs
 
 qui va des addic-
 
 d’organisations
 
 est bien sûr, historiquement,
 
 croissantes
 
 de vicariance (la possibilité une action par une autre).
 
 pathologiques,
 
 tourné
 
 sur les dé-
 
 tients auxquels on administre
 
 tissent sur un continuum addictions
 
 produits
 
 implicitement
 
 tion d’usagers de drogues : pourquoi
 
 des autres, sa variété
 
 Suivant ce modèle, les addictions
 
 POUR LE
 
 du pharmacologue
 
 commun
 
 que l’on observe en surface. Ce
 
 du surinvestissement culière
 
 » et elles
 
 la face cachée du système
 
 système d’actions
 
 22
 
 Dans
 
 activités
 
 LA DÉPENDANCE
 
 PHARMACOLOGUE
 
 à soi, c’est-
 
 fonction,
 
 d’actions
 
 des sociétés et au niveau pla-
 
 FIGURESDE
 
 (les
 
 D’une part, l’animal
 
 commencent
 
 traitement
 
 appelée
 
 dèles de M.J. Apter et de Iain Brown).
 
 qui représente
 
 qui analyse les
 
 L. F. et H. S.
 
 (selon les mo-
 
 le cadre de cette seconde
 
 sur une écologie de l’action
 
 au monde
 
 » d’adaptation
 
 à-dire de gestion hédonique
 
 Il ouvre enfin
 
 nétaire.
 
 toutes nos activités de la vie quotidienne remplissent deux fonctions : une fonc-
 
 « pragmalogique
 
 une souf-
 
 france psychique intrinsèque.
 
 aux niveaux
 
 indui-
 
 de données,
 
 et cliniques,
 
 l’homme
 
 pour qu’un
 
 conditions
 
 des systèmes
 
 Nombre
 
 rimentalement
 
 lié à des
 
 (hypothèse
 
 neurobiologiques
 
 automédication).
 
 D’autre
 
 Il per-
 
 d’un système de gestion hédonique cérébrales
 
 voire pour compenser
 
 en l’absence de toute dépendance physique.
 
 le dérapage
 
 ce modèle,
 
 tion pragmatique
 
 Iain
 
 toutes les addictions,
 
 avec ou sans drogue,
 
 soulager,
 
 cette interprétation.
 
 ainsi que les modèles
 
 du narcissisme).
 
 viennent
 
 expérimentales
 
 de G. F. Koob
 
 de S. Peele, M. Zuckerman,
 
 interdépendances
 
 générale
 
 tant du
 
 (modèle de gestion
 
 de fond cérébral) qui déterminent La théorie
 
 fait
 
 que de la psychologie
 
 met de comprendre
 
 un contrôle
 
 travaux,
 
 homéostasique
 
 psychanalytiques
 
 succès dans la
 
 nécessitant
 
 côté de la neurobiologie hédonique
 
 en tant
 
 de l’addiction,
 
 la synthèse de nombreux
 
 Brown,
 
 à long terme (baisse de la vigi-
 
 lance, période
 
 générale
 
 et de M. Le Moal)
 
 par la
 
 la baisse de
 
 du système d’actions,
 
 que théorie
 
 distorsions cognitives, se mettent en place de puissants conditionnements pour prolonger
 
 la dépression,
 
 - du
 
 -, mais
 
 du sevrage,
 
 La dépendance motivée
 
 psychique
 
 psychique,
 
 par le plaisir
 
 éprouvé
 
 prise de drogue, est liée à l’action dérante
 
 de cette drogue
 
 récompense
 
 neurones à dopamine innervent.
 
 pas consom-
 
 cés, le cannabis*,
 
 lors de la prépon-
 
 sur le système de
 
 cérébral, autrement
 
 dues à celui-
 
 dit sur les
 
 et les structures
 
 Les psychostimulants*, la nicotine*
 
 mées pour leurs effets positifs de renforce-
 
 ment l’alcool
 
 ment*
 
 ou non, les voies neuronales
 
 mais pour les effets aversifs qu’elles
 
 exclusivement
 
 stimulent
 
 qu’ils
 
 les opia-
 
 et probable-
 
 tous, directement contenant
 
 la
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 dopamine,
 
 neuromédiateur
 
 autres dans le contrôle
 
 impliqué
 
 entre
 
 des conduites
 
 affec-
 
 tives et dans la régulation en particulier
 
 psychique
 
 peut par consé-
 
 être liée aux effets hédonistes
 
 drogues, mière
 
 selon le schéma suivant
 
 consommation
 
 des
 
 : la pre-
 
 du produit
 
 active
 
 le système de récompense
 
 et entraîne
 
 « satisfaction
 
 d’où une moti-
 
 vation
 
 » cérébrale,
 
 à répéter
 
 son tour,
 
 active
 
 décisionnels
 
 ce qui,
 
 les systèmes
 
 exécutifs,
 
 est possible,
 
 et permet
 
 expérience.
 
 Cependant,
 
 de cette conceptualisation
 
 clairement
 
 marquées
 
 sont
 
 par des données cli-
 
 niques et expérimentales. synonyme
 
 lequel des stimulations électriques répétées d’une fibre nerveuse ou d’un muscle provoquent une réponse, tandis que les mêmes stimula tions délirestent
 
 L’activation
 
 des
 
 d’effet
 
 de récompense
 
 ou, selon
 
 liptique
 
 de C. Richet (1879), une addition
 
 substances (LSD*, cannabis,
 
 Il existe
 
 dopaminergique
 
 également
 
 des
 
 nicotine,
 
 capables de stimuler
 
 sont inconstants,
 
 bar-
 
 la trans-
 
 mais dont
 
 sur modèle
 
 les
 
 animal,
 
 faibles, voire nuls. Il faut
 
 prendre
 
 en compte
 
 l’effet
 
 des
 
 drogues
 
 sur certains
 
 autres systèmes neu-
 
 ronaux,
 
 en particulier
 
 les neurones à nora-
 
 drénaline*
 
 et à sérotonine*.
 
 chez l’homme,
 
 nombre
 
 tifs (nicotine, n’ont
 
 sants ; certains, induisent
 
 par exemple)
 
 hédonistes
 
 (Alfred)
 
 malaises, d’anxiété
 
 accompagnée
 
 Médecin
 
 et
 
 (Vienne
 
 psychologue
 
 D’autre part, les effets plaisants
 
 les conséquences
 
 néfastes de leur consom-
 
 prolongée,
 
 mane traduit
 
 dépassés par
 
 et le discours
 
 du toxico-
 
 souvent sa souffrance
 
 d’avoir
 
 perdu sa liberté. Enfin, il est fréquent server une dissociation besoin de consommer,
 
 évolutive
 
 décroissant. à l’instar
 
 La dépendance
 
 Salzbourg
 
 congrès
 
 de la dépendance
 
 mise à un conditionnement
 
 sans cesse
 
 physique,
 
 est, sou-
 
 de type pavlo-
 
 vien. S. P.
 
 ADDICTION SEXUELLE (angl. Sex Addiction)
 
 Comportement contre lequel (une intense
 
 sexuel compulsif, le sujet essaie de lutter douleur
 
 morale
 
 à la quasi-impossibilité désir), et qui ne constitue phélie, ni une dysfonction un trouble Le DSM-IV « trouble
 
 de psychanalyse
 
 de
 
 (1908). Il se sépare rapide ment
 
 du mouvement
 
 maturation
 
 pubertaire,
 
 au démarrage
 
 même si les limites
 
 pas l’opinion
 
 sur le rôle de la pulsion
 
 de Freud
 
 sexuelle, et pense
 
 et psychosociales
 
 à l’adolescence
 
 sont accomplies
 
 poursuive
 
 fait l’expérience
 
 dans
 
 son enfance, ainsi que de l’infériorité organes.
 
 Selon Adler, est compensé
 
 puissance montrer
 
 le sentiment
 
 que le sentiment
 
 d’infé-
 
 par une volonté
 
 qui pousse l’enfant supérieur
 
 des
 
 de l’adolescence
 
 par la convergence taux, à partir
 
 d’infériorité
 
 de trois faits fondamen-
 
 desquels on peut dresser un
 
 qui vient masquer les mobiles être approfon-
 
 dis.) Adler fonde son propre groupe et intitule sa théorie
 
 la psychologie
 
 individuelle.
 
 Ses principaux
 
 ouvrages sont : le Tempéra-
 
 ment nerveux (1912), Théorie et Pratique de la psychologie individuelle
 
 (1918), la Psycho-
 
 logie de l’enfant difficile (1928), le Sens de la vie (1933).
 
 des événements
 
 qui
 
 de la croissance,
 
 dont la
 
 poussée staturale est l’un des signes les plus frappants
 
 ;
 
 duisent
 
 mais il pense que c’est une qui doivent
 
 - vive accélération
 
 se
 
 est un symp-
 
 est marquée
 
 adulte :
 
 - importance
 
 aux autres (Freud admet
 
 domaines
 
 le passage de l’enfance à l’âge
 
 de
 
 à vouloir
 
 se
 
 et selon d’autres modalités.
 
 caractérisent
 
 chacun
 
 vers l’âge
 
 au-delà dans d’autres
 
 à partir
 
 dance dont
 
 propres
 
 de 18 ans, bien que le développement
 
 chique de l’individu
 
 qui résulte de l’état de dépen-
 
 biologiques,
 
 psychologiques
 
 tableau compréhensif
 
 d’infériorité
 
 de retenir
 
 et le statut de jeune adulte.
 
 compte de la vie psy-
 
 riorité
 
 vers l’âge
 
 sont floues entre la fin
 
 que l’on peut rendre
 
 du sentiment
 
 de la
 
 se situe vers l’âge
 
 de 11-12 ans et son achèvement
 
 La période
 
 psychanalytique,
 
 des changements
 
 et qui intéressent
 
 l’organisme - grande
 
 qui se pro-
 
 l’ensemble
 
 de
 
 et de la personne ;
 
 variabilité
 
 interindividuelle
 
 vitesse de ces changements (âge) de leur survenue d’un enfant à l’autre
 
 et le moment
 
 varient
 
 largement
 
 ; et grande variabilité
 
 intra-individuelle
 
 : chez un même
 
 vidu, les changements au même
 
 : la
 
 moment,
 
 indi-
 
 ne se font pas tous ni suivant
 
 le même
 
 rythme,
 
 dans tous les secteurs du dévelop-
 
 pement
 
 : physique,
 
 fectif.
 
 intellectuel,
 
 Ces deux formes
 
 inhérentes
 
 socio-af-
 
 de variabilité
 
 au développement
 
 sont
 
 normal.
 
 R. L. Répercussions
 
 entre le
 
 psychique
 
 associé
 
 d’ob-
 
 sans cesse croissant,
 
 et le plaisir de la consommation,
 
 1937).
 
 Élève de S. Freud dès 1902, il participe
 
 inconscients, de
 
 autrichien
 
 1870-Aberdeen
 
 construction
 
 et souvent de réactions
 
 des drogues sont rapidement mation
 
 euphori-
 
 giquement
 
 chronolo-
 
 En effet, les transformations
 
 tôme fréquent,
 
 des états dysphoriques
 
 de l’humeur
 
 colériques).
 
 addic-
 
 dont les hallucinogènes*,
 
 même
 
 (instabilité
 
 Par ailleurs,
 
 de produits
 
 anxiolytiques,
 
 pas d’effets
 
 el
 
 de l’adolescence,
 
 de l’adolescence Adler
 
 de l’adolescence
 
 de 18 ans, terme qu’il convient
 
 car il ne partage
 
 effets de récompense,
 
 l’expression
 
 G. S.
 
 activateurs
 
 mission
 
 une addition
 
 latents
 
 (1910)
 
 bituriques*)
 
 traduit
 
 d’effets
 
 (le stress, par exemple, a de puissants effets de ce système).
 
 Caractérisation
 
 Le début Ce phénomène
 
 au premier
 
 n’est pas obligatoi-
 
 Période du développement au cours de laquelle s’opère le passage de l’enfance à l’âge adulte.
 
 inefficaces.
 
 la quête
 
 les limites
 
 rement
 
 dans
 
 latente.
 
 de la dépen-
 
 s’enclenche.
 
 à dopamine
 
 sommation
 
 Lorsque celle-ci
 
 le cercle vicieux
 
 dance psychique
 
 à
 
 ADOLESCENCE n.f. (angl. Adolescence)
 
 de
 
 vrées isolément
 
 une
 
 l’expérience,
 
 et moteurs
 
 d’une nouvelle
 
 neurones
 
 Phénomène
 
 le plaisir.
 
 La dépendance quent
 
 des états émotifs,
 
 ADDITION LATENTE (angl. Latent Addition)
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 (ACIDE DÉSOXYRIBONUCLÉIQUE) n.m. (angl. DNA, DesoxyriboNucleic
 
 le
 
 ni une parasexuelle, ni
 
 sexuel spécifique.
 
 sexuel non spécifié ».
 
 l’identité
 
 ne saurait
 
 la question
 
 être élucidée
 
 sujet sans en référer
 
 au corps,
 
 et enroulées en double hélice autour d’un axe commun, chaque nucléotide
 
 se modifie
 
 comprenant une molécule d’acide phosphorique, un sucre, le désoxyribose, et une base organique qui peut être l’adénine, la guanine, la thymine
 
 peu de temps en moyenne
 
 ou la cytosine.
 
 formation,
 
 assumer son identité
 
 des
 
 masculine
 
 ou féminine,
 
 La séquence répé-
 
 le chemin
 
 menant
 
 caractères titive
 
 est le support héréditaires.
 
 sucre-acide
 
 chaque
 
 brin
 
 phosphorique
 
 de la double
 
 un rôle structural.
 
 hélice
 
 constitue et joue
 
 Les bases sont à l’inté-
 
 ; elles représentent
 
 de l’A.D.N.
 
 matériel
 
 la partie variable
 
 et recèlent l’information
 
 généG. S.
 
 si
 
 le corps de l’enfant dans son
 
 et dans son apparence ; en
 
 un corps d’adulte, doit s’adapter
 
 par le
 
 même
 
 dans sa morphologie,
 
 fonctionnement
 
 de
 
 ne s’épuise pas là. Au
 
 cours de la puberté,
 
 4 ans, il devient
 
 sexualisé.
 
 L’adolescent
 
 à ces changements,
 
 intégrer
 
 dans les images de soi ce corps en transde genre,
 
 et s’avancer
 
 à la sexualité
 
 sur
 
 génitale
 
 adulte. La grande majorité vient
 
 des adolescents
 
 sans connaître
 
 psychologiques pourtant D’autant
 
 y par-
 
 de perturbations
 
 majeures
 
 ; la tâche n’est
 
 pas aisée et comporte
 
 inquiétudes,
 
 tique. R. C.
 
 à l’adolescence,
 
 le sens de l’identité
 
 rieur
 
 la classe sous la rubrique
 
 Acid)
 
 Centrale
 
 pubertaire
 
 Acide nucléique formé de deux chaînes de nucléotides très longues
 
 L’A.D.N.
 
 répond
 
 d’assouvir
 
 A.D.N.
 
 de la maturation
 
 des doutes,
 
 bien des
 
 des angoisses.
 
 que, si la maturation
 
 pubertaire 23
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 touche l’adolescent porelle,
 
 dans son intimité
 
 elle entraîne
 
 également
 
 gements dans la manière
 
 cor-
 
 des chan-
 
 dont il est perçu
 
 et suggèrent
 
 et le maniement
 
 : parents,
 
 du développement
 
 camarades,
 
 enseignants,
 
 De sorte
 
 L’influence
 
 porels
 
 etc.
 
 aux changements
 
 cor-
 
 se joue aussi dans le contexte
 
 relations
 
 avec autrui,
 
 souvent
 
 par des représentations croyances portant ou tardif
 
 influencées
 
 collectives
 
 sur l’avènement
 
 de la puberté,
 
 et des précoce
 
 la matura-
 
 l’apparition
 
 des pre-
 
 mières règles chez la fille), ainsi que par les standards culturels de beauté et de séduction associés aux formes de l’homme
 
 et de
 
 la femme.
 
 Des changements
 
 importants
 
 de fonctionnement
 
 s’observent
 
 au cours
 
 Selon la théorie changements
 
 dans
 
 le
 
 de la pensée de l’adolescence.
 
 opératoire
 
 de J. Piaget, ces
 
 correspondent
 
 tion des structures
 
 à l’acquisi-
 
 prendre
 
 ment
 
 boration
 
 cognitif.
 
 la pensée formelle
 
 forte-
 
 et le fait que toutes
 
 de la logique
 
 des conduites
 
 degré, la
 
 formelle
 
 à l’éla-
 
 adaptatives.
 
 Il en
 
 de l’intelligence
 
 (par
 
 lui-même
 
 le rappelle,
 
 la
 
 logique n’est pas tout dans la pensée. Aussi, pour mieux comprendre lescent,
 
 doit-on
 
 la pensée de l’ado-
 
 se référer
 
 dalités
 
 de fonctionnement
 
 rement
 
 dépendantes
 
 à d’autres
 
 mo-
 
 non nécessai-
 
 de l’acquisition
 
 de la
 
 ou du moins ne s’y rédui-
 
 apparaissent
 
 de
 
 qui concerne
 
 notamment
 
 la métacognition
 
 en ce
 
 (connais-
 
 sance que chacun peut avoir de ses propres
 
 et le possible ; celui-ci
 
 ne se manifeste
 
 (penser à la pensée, de soi ou d’autrui
 
 plus
 
 mentaux)
 
 pense qu’il
 
 d’un prolonge-
 
 et la pensée récursive : « je
 
 pense que tu penses que... »).
 
 ment du réel ou des actions exécutées sur
 
 Ces deux aspects de la pensée réfléchie
 
 la réalité,
 
 retrouvent
 
 le réel qui se
 
 se
 
 dans le penchant de l’adolescent
 
 pour l’introspection,
 
 la rumination,
 
 tue alors qu’une réalisation parmi d’autres. Dans cette perspective, l’adolescent devient
 
 verie, et se traduisent
 
 dans la construction
 
 apte à raisonner
 
 de soi et d’autrui
 
 au possible, dont il ne consti-
 
 en termes
 
 énoncées verbalement,
 
 d’hypothèses,
 
 et non plus seule-
 
 bien
 
 en tant que personnes
 
 différenciées
 
 par leurs
 
 traits de personnalité,
 
 pensée hypothético-déductive
 
 : la logique
 
 évolution
 
 des propositions
 
 ou s’ajoute
 
 trui
 
 à la logique des classes et des relations tant sur des objets concrets, l’une des acquisitions
 
 por-
 
 qui constitue
 
 majeures de l’enfant
 
 d’âge scolaire. La mise en place de la pensée formelle
 
 suppose la construction
 
 structures l’oeuvre
 
 opératoires
 
 lorsqu’en
 
 ambiguïtés,
 
 leurs
 
 leurs émotions,
 
 alimentent
 
 Cette
 
 de soi et d’au-
 
 des arguments
 
 pour autant le moteur) d’autonomie,
 
 leurs
 
 contradictions.
 
 des conceptions
 
 apporte
 
 idées, leurs
 
 (sans en être
 
 aux revendications
 
 d’égalité et de réciprocité tant de conflits
 
 qui
 
 de l’adolescent
 
 avec son entourage.
 
 la situation
 
 turbations l’adolescent
 
 (à
 
 face d’un
 
 ultérieur
 
 est marquée
 
 veaux mécanismes mènent,
 
 des relations
 
 par réciprocité, dépendamment cette structure
 
 La pensée de l’adolescent
 
 se distingue
 
 core de celle de l’enfant
 
 nouveaux
 
 des transforma-
 
 en un seul système les (ou négation)
 
 et
 
 lesquelles fonctionnent indans la pensée de l’enfant ; intervient
 
 la compréhension
 
 notamment
 
 dans
 
 des systèmes mathéma-
 
 rogation
 
 enrichie
 
 en-
 
 par les tentatives
 
 des contacts
 
 groupes
 
 et institutions.
 
 sur soi s’étend
 
 ties, comme
 
 l’amour
 
 et l’amitié,
 
 la justice, la religion, théories
 
 originales
 
 faisant,
 
 ils se donnent
 
 moyens
 
 d’insérer
 
 relatifs. utilisant
 
 des
 
 épreuves dérivées des travaux d’Inhelder Piaget, ont fait apparaître centages d’adolescents, ne les réussissaient mettent
 
 et
 
 que de forts pouret même d’adultes,
 
 pas. Ces résultats
 
 en cause la généralité
 
 de noudu moi qui
 
 avec autrui.
 
 abandonner jusqu’ici
 
 des théories
 
 nibles
 
 pas des
 
 acquiescent
 
 et à des idéologies
 
 dans leur environnement
 
 un fait de l’adolescence poser pour la première
 
 ; mais ce
 
 tout de même
 
 le quotidien
 
 un cadre interprétatif
 
 dispoles
 
 vécu dans
 
 qui le dépasse. C’est que de saisir et de fois, sous une forme
 
 achevée et compréhensive, sens de la vie et de la mort.
 
 la question
 
 du
 
 l’enfant
 
 le mode de rapport
 
 qu’il avait
 
 un autre dans lequel l’autonomie tité
 
 des partenaires
 
 seront
 
 reconnues.
 
 La conduite
 
 se modifier
 
 en conséquence,
 
 point
 
 doit
 
 avec ses parents, et en construire et l’iden-
 
 pleinement
 
 des parents
 
 que pour
 
 ce qui tient
 
 Cette transition
 
 ne va pas sans conflits. pas toujours
 
 que peut suggérer observations
 
 des affects
 
 à leur rôle en tant
 
 qu’agents de socialisation. prennent
 
 doit
 
 aussi bien du
 
 de vue de l’expression
 
 Mais l’allure
 
 ceux-ci
 
 ne
 
 dramatique
 
 une généralisation
 
 des
 
 faites par les cliniciens
 
 dans
 
 leur pratique. En même temps que ses relations famille
 
 changent,
 
 monde
 
 l’adolescent
 
 beaucoup
 
 les camarades importante.
 
 vont prendre Les groupes
 
 avec la
 
 s’ouvre à un
 
 plus large
 
 dans lequel une place très
 
 de camarades
 
 de puissants
 
 agents de socialisation
 
 les fonctions
 
 sont plutôt
 
 dont
 
 complémentaires
 
 à celles du groupe familial.
 
 amicales,
 
 très investies
 
 de l’identité
 
 des
 
 à l’ado-
 
 de l’intimité
 
 les identifications
 
 et contribuent
 
 ; ils
 
 réciproques
 
 ainsi
 
 au remaniement
 
 personnelle
 
 et sociale
 
 ; ils
 
 enfin aux adolescents la possibilité
 
 d’expérimenter
 
 des rôles et des situations
 
 sociales qui s’inscrivent
 
 dans une dialec-
 
 tique du « faire » et de l’« interdit tivement
 
 Ils
 
 en effet, le développement
 
 stimulent
 
 donnent
 
 de
 
 dans cette période
 
 lescence, et l’expérience
 
 Bien sûr,
 
 que l’on prenne,
 
 il est clair qu’à l’adolescence
 
 L’inter-
 
 la société,
 
 la moralité.
 
 ; la plupart
 
 mécaniques
 
 recherches,
 
 doit
 
 de défense et le renfor-
 
 relations
 
 inves-
 
 tous les adolescents ne construisent à des croyances
 
 De nombreuses
 
 des anciennes
 
 l’élaboration
 
 avec de
 
 alors à des ques-
 
 tions plus vastes, émotionnellement
 
 tiques, physiques ou cinématiques, tels les proportions arithmétiques, les équilibres ou les mouvements
 
 L’issue de la crise
 
 Quelle que soit l’approche
 
 du monde,
 
 en jeu
 
 les combinaisons
 
 par inversion
 
 et
 
 entre autres, à une diversification
 
 en envisageant
 
 réversibilités
 
 entre un
 
 normales
 
 cement des activités autonomes
 
 facilitent,
 
 tions qui coordonne
 
 de
 
 parentales (l’adolescent
 
 en faire son deuil),
 
 concrète
 
 et le groupe
 
 comme
 
 par l’abandon
 
 identifications
 
 tous les aspects de son expérience
 
 possibles),
 
 transitoires
 
 fort et un moi relativement
 
 plus équilibré.
 
 pour ensuite les associer méthodiquement toutes
 
 se
 
 Les per-
 
 du conflit
 
 sont conçues
 
 qu’opposées
 
 les facteurs
 
 oedipienne.
 
 résultant
 
 un sens à
 
 on dissocie
 
 la
 
 dans une répé-
 
 et inadaptations
 
 qu’il fait de donner, ou de trouver,
 
 problème
 
 déclenchée
 
 sexuelle enfantine,
 
 même âge constituent
 
 de deux
 
 : la combinatoire
 
 par exemple
 
 la rê-
 
 de formes plus élaborées de la connaissance
 
 ment en se référant à des objets concrets et à leurs manipulations ; il accède donc à la se superpose
 
 réactive
 
 Freud,
 
 même nécessaires pour un développement
 
 professionnel).
 
 processus
 
 subordonne
 
 de la période
 
 faible,
 
 d’exercice
 
 d’A.
 
 que provoque
 
 de la puberté,
 
 domaines
 
 de sens entre le réel
 
 c’est au contraire
 
 au moment tition
 
 dans
 
 sexuelle. Selon cette approche,
 
 ça relativement
 
 Piaget
 
 à partir
 
 la crise d’adolescence,
 
 va de même pour ce qui est des différents
 
 B.
 
 entre 11-12 et 14-15 ans
 
 sous la forme
 
 que la psychanalyse,
 
 maturation
 
 qui s’accroît
 
 et
 
 C’est dans ce contexte
 
 artistiques,
 
 s’opère une inversion simplement
 
 familial.
 
 littéraires,
 
 pas, ni au même
 
 à l’enfant
 
 D’après
 
 et J. Piaget, avec l’avènement
 
 le milieu
 
 affective
 
 se négocie d’abord
 
 par le réveil des pulsions
 
 à l’adolescence,
 
 contribution
 
 à l’état d’autonomie
 
 sociale de l’adulte
 
 situe
 
 de dépendance
 
 la différen-
 
 pratiques
 
 n’impliquent
 
 Mais il faut
 
 infantile
 
 de l’état
 
 en compte
 
 des aptitudes
 
 scientifiques,
 
 fami-
 
 La transition
 
 de l’adolescent
 
 sant pas. Des progrès sensibles par rapport
 
 le stade d’achèvement
 
 du développement
 
 à l’adolescence.
 
 est évidente.
 
 logique formelle,
 
 de la pensée formelle,
 
 qui caractérisent Inhelder
 
 ciation
 
 Comme
 
 à l’adolescence
 
 possibles
 
 offertes par l’environnement
 
 lier des enfants
 
 ne
 
 dans ce sens des stimu-
 
 exemple, le domaine La pensée
 
 mode
 
 lations
 
 cognitif
 
 positive
 
 également
 
 sur la nature et le
 
 sens des signes qui annoncent tion sexuelle (comme
 
 des
 
 formelle
 
 seraient que l’une des réalisations
 
 par son entourage
 
 Socialisation
 
 que l’acquisition
 
 de la logique
 
 et considéré
 
 que l’adaptation
 
 24
 
 piagétiennes
 
 autonome
 
 par rapport
 
 » relaà l’ordre
 
 institutionnel. Autre
 
 agent
 
 de socialisation,
 
 d’une part crée des conditions la constitution groupes
 
 l’école, propices
 
 et au fonctionnement
 
 de camarades,
 
 et d’autre
 
 mule, ou devrait stimuler,
 
 des
 
 part sti-
 
 la confrontation
 
 avec les statuts professionnels
 
 à
 
 adultes.
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 La question
 
 Le remaniement
 
 de l’identité
 
 de l’identité
 
 à l’adopté
 
 représente un
 
 en l’ajoutant
 
 nier. L’adoption
 
 simple
 
 à celui de ce der-
 
 à l’aide
 
 est révocable
 
 recueillir
 
 et il
 
 enjeu majeur de cette période : l’adolescent
 
 est également possible de la transformer
 
 doit assimiler
 
 adoption
 
 tations
 
 et intégrer
 
 dans les représen-
 
 de soi l’ensemble
 
 des changements
 
 physiques,
 
 psychologiques
 
 plénière
 
 Les enfants adoptés
 
 dans une perspective
 
 temporelle
 
 un agrément
 
 lisée : se reconnaître
 
 dans un passé qui est
 
 personnade la conti-
 
 de la commission
 
 général.
 
 nuité de soi, et, en ayant conscience du ca-
 
 l’objet
 
 ractère transitoire
 
 les conditions
 
 à un avenir qu’il peut essayer de construire. H. R.-T.
 
 F., et Rodriguez-Tomé,
 
 Conscience
 
 de grandir
 
 alii (Eds),
 
 Préadolescence.
 
 H., 1994, « la
 
 », in Bolognini, Théorie,
 
 recherche
 
 Rodriguez-Tomé,
 
 H., et Bariaud,
 
 temporelles
 
 (marche,
 
 Rodriguez-Tomé,
 
 H., Jackson,
 
 blir
 
 S., et Bariaud,
 
 1997, Regards actuels sur l’adolescence,
 
 parole)
 
 à l’enfant,
 
 De possibles
 
 un retard
 
 la majorité
 
 d’éta-
 
 conduire
 
 les notions
 
 à En
 
 de l’adoption
 
 des auteurs pensent
 
 qu’il doit y avoir une manière
 
 adaptée à chaque âge. Cela contraste antérieures
 
 nelle de l’adoption
 
 de révélation
 
 à l’enfant
 
 avec solen-
 
 DU COMPORTEMENT
 
 enfant
 
 diffèrent
 
 également
 
 de avec
 
 de ceux de
 
 de soi suscepdans les
 
 perçu
 
 des relents
 
 au cours de l’enfance, animistes.
 
 représente
 
 dans
 
 du dessin et dans Entre 3 et 4 ans, un
 
 un bonhomme
 
 chemin en continuant il attribue
 
 sur un
 
 les lignes du chemin
 
 volontiers
 
 des qualités
 
 aux objets inanimés
 
 des êtres vivants,
 
 l’intention,
 
 l’émotion,
 
 fois, il manifeste verbalement, s’opposent
 
 telles que
 
 les affects.
 
 Toute-
 
 par ailleurs, en particulier
 
 des distinctions
 
 claires
 
 à une interprétation
 
 qui
 
 adualiste.
 
 Aussi celle-ci est-elle rejetée au profit plications niveaux
 
 de 4-5 ans. M. G.
 
 GÉNÉTIQUE
 
 bruit
 
 à travers le corps du sujet. la même époque,
 
 d’acquisition
 
 ou l’impossibilité
 
 d’un
 
 à l’égard du milieu.
 
 les réactions
 
 ca-
 
 graves de la personnalité.
 
 actuellement
 
 Acte juridique créant, entre deux personnes qui ne sont pas nécessairement parentes par le sang, un lien de
 
 extérieur
 
 certains traits transitoires
 
 des proou s’il a été
 
 ce qui concerne la révélation
 
 ADOPTION n.f. (angl. Adoption)
 
 à être extrait
 
 qui a, lui, élaboré un schéma cor-
 
 On avait
 
 des liens stables peuvent
 
 des troubles
 
 Paris, P. U. F.
 
 l’adulte,
 
 est souvent demandé
 
 ou de collectivité
 
 pas
 
 du nouveau-
 
 tibles de jouer un rôle organisateur
 
 s’il a été changé souvent
 
 rences affectives,
 
 Paris,
 
 le monde
 
 conduites
 
 poser
 
 est aujourd’hui
 
 moins que le comportement
 
 Un
 
 peut
 
 primitif
 
 externes. Si la
 
 porel et une connaissance
 
 à apprécier
 
 au plan familial,
 
 élevé en pouponnière.
 
 F., 1987, les
 
 à l’adolescence,
 
 adopté
 
 des réponses
 
 récusée, il n’en demeure
 
 d’adualisme
 
 de nourrice
 
 P.U.F. F. (Eds),
 
 font
 
 et psychologique.
 
 examen psychiatrique
 
 blèmes éducatifs
 
 et
 
 Paris, E. S. F.
 
 Perspectives
 
 du
 
 adoptants
 
 visant
 
 d’accueil
 
 financier
 
 L’enfant
 
 M., et
 
 d’adualisme
 
 on a pu
 
 fond, ce qui suggère que ses rapports
 
 départe-
 
 à cet effet.
 
 Bibliographie
 
 clinique,
 
 Les futurs
 
 d’investigations
 
 éducatif,
 
 chez le nouveau-né
 
 né demande
 
 qui reçoivent
 
 nouvelles,
 
 organisées à des stimulations notion
 
 être
 
 mise en place par le président
 
 conseil
 
 du présent, se rapporter
 
 de l’État peuvent
 
 par des personnes
 
 mentale
 
 de méthodes
 
 à juste titre
 
 pupilles
 
 dont il fait l’objet ; il doit, de plus, s’insérer
 
 Bariaud,
 
 toute la mino-
 
 rité de l’enfant.
 
 et relationnels
 
 le sien et qui fonde la certitude
 
 pendant
 
 en
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 d’ex-
 
 plus nuancées qui admettent de fonctionnement
 
 sentation
 
 différents
 
 des
 
 ou de repré-
 
 et simultanés.
 
 (ANALYSE)
 
 H. B.
 
 filiation. L’adoption
 
 vise actuellement
 
 à pour-
 
 voir de parents les enfants abandonnés orphelins
 
 et à doter d’enfants
 
 (parfois
 
 les célibataires)
 
 à en avoir.
 
 Chaque
 
 adoptions nombre
 
 sont
 
 ou
 
 qui n’arrivent
 
 pas
 
 année, 4 000 à 5 000
 
 prononcées,
 
 alors que le
 
 distingue
 
 à ce chiffre.
 
 Le Code civil
 
 deux types d’adoption
 
 tion plénière
 
 et l’adoption
 
 L’adoption
 
 plénière
 
 une filiation
 
 qui se substitue
 
 par le sang. L’adoption
 
 cesse d’appartenir de l’adoptant
 
 par les deux époux, le nom du
 
 enfant
 
 (en cas
 
 plénière
 
 nécessite
 
 nombre
 
 de conditions
 
 tant par les futurs futur
 
 adopté
 
 prononcée,
 
 d’abord
 
 L’adoption
 
 qu’un
 
 soient
 
 adoptable).
 
 de l’enfant,
 
 certain
 
 remplies,
 
 adoptants
 
 après instruction
 
 provisoire tribunal
 
 et les mêmes obli-
 
 (conditions
 
 juridiquement
 
 de l’adop-
 
 légitime.
 
 le critère le plus fréquent
 
 que par le
 
 d’âge,
 
 enfant
 
 L’adoption
 
 est
 
 et placement
 
 par un jugement
 
 du
 
 de grande instance. Le recours en plénière
 
 est irrévocable.
 
 tion
 
 plus rare, qui maintient
 
 l’enfant
 
 avec sa famille
 
 conserve
 
 dans celle-ci
 
 tamment
 
 ses droits
 
 tion simple
 
 confère
 
 d’adop-
 
 les liens de
 
 d’origine.
 
 L’enfant
 
 tous ses droits,
 
 héréditaires.
 
 pour qualifier
 
 en particulier
 
 des gestes
 
 no-
 
 L’adop-
 
 le nom de l’adoptant
 
 l’exercice
 
 de sa pleine
 
 Pratique
 
 citoyenneté.
 
 de médiation à soutenir
 
 sociale,
 
 troduction
 
 visant
 
 toutes les formes de
 
 recours dans les situations de privation
 
 viduelles, l’advocacy
 
 d’exclusion, des libertés
 
 se caractérise
 
 dans de semblables
 
 de indi-
 
 par l’incontextes
 
 d’un tiers qui se donne pour tâche d’am-
 
 Indifférenciation et les objets et personnes
 
 entre soi du monde
 
 DÉVELOP.
 
 extérieur. L’adualisme
 
 a longtemps
 
 caractéristique et considéré
 
 principale comme
 
 comportement L’agitation
 
 pendant
 
 de
 
 l’enfance.
 
 de réponses
 
 le faisaient différenciées
 
 de l’environnement.
 
 mières réactions
 
 la source des pre-
 
 circulaires,
 
 des accommodats.
 
 n’a jamais
 
 la demande
 
 parler
 
 à sa place. De la sorte, elle permet
 
 du patient/usager,
 
 aux différents
 
 points
 
 un ajustement
 
 dans un dialogue
 
 tueux.
 
 sans
 
 de vue de trouver
 
 Elle peut induire
 
 respec-
 
 ou accompagner
 
 le recours en justice, mais le rôle de la perde l’avocat proprement
 
 dit.
 
 L’advocacy
 
 s’inscrit
 
 mouvement
 
 consumériste,
 
 de faire valoir porte
 
 au début du siècle, voyait dans primitif
 
 plifier
 
 sonne advocate ne se superpose pas à celui
 
 comme aussi l’apa-
 
 du nouveau-né,
 
 incapable
 
 un adualisme
 
 tion
 
 du nouveau-né
 
 de masse, les colères brusques et
 
 thie soudaine
 
 comme
 
 été pris pour
 
 un trait résurgent
 
 les pleurs irrépressibles,
 
 J. Baldwin, est une forme
 
 le terme
 
 ADUALISME n.m. (angl. Adualism)
 
 aux sollicitations
 
 simple
 
 de habileté*,
 
 sent mal écoutée ou insuffisamment respectée par ses interlocuteurs institutionnels, rencontre des obstacles à
 
 ségrégation,
 
 judiciaire
 
 L’adoption
 
 Désignant
 
 H. B.
 
 croire
 
 l’adoption
 
 en
 
 Mode d’aide à l’expression, par l’intervention d’un tiers, d’une personne qui s’estime victime d’un préjudice, se
 
 notamment
 
 appel est possible, mais dès que la décision est définitive,
 
 est la rapidité)
 
 les traits essentiels. voisine
 
 (dont
 
 confère
 
 d’adoption
 
 qu’un
 
 économie
 
 à
 
 le nom
 
 gations
 
 parti-
 
 manuels.
 
 à l’enfant
 
 L’adopté a dans la famille
 
 précision,
 
 des mouvements,
 
 à sa filiation
 
 sa famille
 
 Pertinence,
 
 d’adresse est employé surtout
 
 à l’enfant
 
 : l’adopté
 
 comportemental efficace.
 
 une notion
 
 simple.
 
 confère
 
 tant les mêmes droits
 
 n.f. (angl. Advocacy)
 
 Ajustement culièrement
 
 composent
 
 : l’adop-
 
 d’origine
 
 mari).
 
 ADVOCACY
 
 les couples
 
 de demandes reste, lui, très large-
 
 ment supérieur
 
 ADRESSE n.f. (angl. Skill)
 
 le droit
 
 toutefois
 
 champ spécifique
 
 dans le droit-fil puisqu’il
 
 du s’agit
 
 des usagers (il im-
 
 de souligner
 
 que dans le
 
 de la santé mentale,
 
 termes d’« usager » et de « consommateur
 
 qu’il décrivait
 
 offrent
 
 Cette concep-
 
 tout au moins ne prend pas en compte
 
 été unanimement
 
 parta-
 
 les
 
 un aspect réducteur
 
 dimensions
 
 d’atteinte
 
 qui évacue ou
 
 à la dignité
 
 gée. Combattue
 
 par A. Gesell, elle a volé
 
 sonnes et de stigmatisation
 
 en éclats autour
 
 des années 1960 quand,
 
 psychique).
 
 » les
 
 des per-
 
 du problème
 
 25
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 Le concept et la pratique pour terre d’élection,
 
 de l’advocacy
 
 depuis
 
 ont
 
 une dizaine
 
 d’années, divers pays du nord de l’Europe (Grande-Bretagne,
 
 Suède, Finlande,
 
 Bas, Luxembourg,
 
 Autriche,
 
 Pays-
 
 Allemagne).
 
 L’advocacy y revêt des formes des plus variées, et renvoie soit à l’organisation
 
 de col-
 
 lectifs d’usagers, soit à l’institutionalisation de la fonction Ainsi,
 
 d’intermédiaire
 
 aux Pays-Bas
 
 de l’advocate.
 
 et au Luxembourg,
 
 l’obuschmann
 
 est appointé
 
 par la collecti-
 
 vité publique
 
 pour recevoir
 
 les plaintes
 
 aider à la résolution
 
 des problèmes,
 
 restant indépendant
 
 des institutions.
 
 En Grande-Bretagne,
 
 on distingue
 
 advocacy (« advocacy
 
 juridique
 
 sentation
 
 juridique
 
 et
 
 tout en
 
 la legal
 
 »), repré-
 
 des personnes
 
 par des
 
 sollicitors (autrement dit des avocats), la self-advocacy (« auto-advocacy ») - les personnes
 
 parlent
 
 la collective
 
 pour
 
 elles-mêmes
 
 ou class advocacy
 
 d’advocacy
 
 ») - soit l’union
 
 de personnes
 
 (« groupe
 
 d’un groupe
 
 qui exercent
 
 pour faire évoluer
 
 -,
 
 une pression,
 
 la législation,
 
 les droits
 
 des personnes -, la citizen advocacy (« advocacy citoyenne et bénévoles fendent
 
 ») - des intervenants organisés
 
 les droits
 
 en association
 
 et la dignité
 
 ne sont pas pleinement de leur handicap sociale,
 
 formés dé-
 
 de ceux qui
 
 en mesure, du fait
 
 de le faire ; les citizens advocates des services - et enfin la
 
 peer advocacy (« advocacy par les pairs ») : les advocates sont eux-mêmes
 
 des patients,
 
 des usagers ou des ex-usagers
 
 Expression lement conflits
 
 émotionnelle,
 
 réprimée constitutifs
 
 des services
 
 montre
 
 des
 
 au contexte
 
 En 1997 a été créée l’association cacy-France,
 
 qui se propose
 
 voir le concept
 
 et de l’adapter
 
 d’un pays latin où le droit encore
 
 naissant.
 
 difficile
 
 pour
 
 de promou-
 
 au regard de ses
 
 des usagers est
 
 En particulier,
 
 les patients
 
 il reste
 
 ou ex-patients
 
 de se reconnaître
 
 en tant qu’usagers d’un
 
 service
 
 psychiatriques,
 
 de soins
 
 tant
 
 le
 
 stigmate est fort ; le savoir médical et psychiatrique occupe encore trop souvent en maître
 
 sans réplique
 
 mentale.
 
 Advocacy-France
 
 une association faire travailler handicapés),
 
 - a choisi
 
 de réunir
 
 et de
 
 ensemble usagers (malades, parents d’usagers,
 
 représentants
 
 soignants,
 
 de la société civile.
 
 interne
 
 privilégié
 
 - qui n’est pas
 
 d’usagers et de patients ou
 
 anciens patients
 
 ralisme
 
 le champ de la santé
 
 apparaît
 
 comme
 
 de l’émergence
 
 Ce plule moyen
 
 d’une culture
 
 du
 
 dialogue. Le but poursuivi par l’advocacy, action de facilitation de la mise en présence des différents
 
 acteurs
 
 (« médi-action
 
 bien au-delà de la conciliation ou de la recherche d’intérêts promotion sa dignité
 
 »),
 
 des parties
 
 médians, est la
 
 du respect de la personne, dans et son humanité, l’ouverture
 
 J. Lacan consiste
 
 générale. Je connais trois méca-
 
 de conversion) (obsessions) (névrose
 
 des affects (hystérie
 
 ; le déplacement
 
 de l’affect
 
 mélancolie).
 
 » Dans
 
 repérage, on constate que, pour
 
 Freud, la pulsion un affect
 
 sexuelle se manifeste
 
 : l’angoisse.
 
 transforme
 
 Cette
 
 donc de trois
 
 un symptôme
 
 vertiges)
 
 de l’affect
 
 ; la transformation
 
 d’angoisse,
 
 ce premier
 
 mant
 
 et une
 
 angoisse
 
 (paralysie,
 
 une atteinte
 
 orga-
 
 en une réaction
 
 corporelle
 
 diate et catastrophique cauchemars).
 
 (crise d’angoisse,
 
 Cette première
 
 est en relation
 
 immé-
 
 conception
 
 avec la façon de diriger
 
 cure à cette époque. Dès 1894, dans Études la cure se fait soit par l’hyp-
 
 où les dif-
 
 férences puissent se vivre ensemble. M. S.
 
 26
 
 par sa patiente
 
 du refoulé
 
 consistant
 
 ou du retour
 
 à ramener
 
 nirs et les affects trop violents nables, pour obtenir
 
 Cure »,
 
 Anna O), et
 
 les traces mnésiques,
 
 dans le les souve-
 
 ou condam-
 
 la levée du symptôme
 
 hystérique. Tous
 
 ces concepts
 
 sont repris
 
 en 1915, dans Métapsychologie. son article l’affect
 
 L’inconscient
 
 par Freud Ainsi,
 
 (1915),
 
 il définit
 
 de cette façon : « Les affects et les
 
 sentiments
 
 correspondent
 
 à des processus
 
 de décharge dont les manifestations sont perçues comme « l’inhibition
 
 finales
 
 des sensations.
 
 plus, il rend le refoulement notion
 
 dans
 
 responsable
 
 de la transformation
 
 pulsionnelle
 
 » De
 
 en affect
 
 de
 
 d’une
 
 », laissant
 
 ainsi le sujet prisonnier
 
 de ces éléments pa-
 
 thogènes inconscients.
 
 Mais, si l’approche
 
 intuitive
 
 de l’affect
 
 nos sentiments, Freud
 
 décrit
 
 actuel de
 
 c’est également par lui que
 
 expose son concept
 
 puisque, dit-il,
 
 l’état
 
 de la pulsion,
 
 « si la pulsion n’apparaissait
 
 de
 
 à avoir
 
 surgir
 
 à faire
 
 ce que le désir d’un sujet comporte
 
 comme
 
 conséquence
 
 dire l’angoisse 1962).
 
 Pour
 
 universelle,
 
 » (Leçon Lacan,
 
 manifestation qu’il
 
 consiste toujours
 
 c’est-à-
 
 du 14 novembre
 
 que l’affect
 
 pulsionnelle
 
 soit l’être donné
 
 soit une
 
 n’implique
 
 pas
 
 dans son immédia-
 
 teté, ni que ce soit non plus le sujet sous
 
 nous
 
 converti,
 
 le retrouvons
 
 déplacé,
 
 inversé,
 
 voire fou. Il est toujours plus que la pulsion, comme
 
 fect est refoulé, lui, l’affect
 
 est toujours
 
 à l’Autre,
 
 mais
 
 ce sont, dit Lacan,
 
 comme
 
 « les
 
 » (ibid.).
 
 Pour
 
 lié à ce qui nous
 
 sujet
 
 : à l’autre
 
 comme
 
 désirant,
 
 dans
 
 notre semblable
 
 lieu du signifiant,
 
 de la représentation
 
 ; à l’objet
 
 notre désir, l’objet Cela, la névrose
 
 cause de
 
 a. traumatique
 
 peut nous
 
 Dans cette névrose,
 
 celui-ci
 
 pour
 
 a été confronté,
 
 à l’imminence
 
 de sa mort.
 
 La gravité de cette névrose est d’autant patente
 
 que le quantum
 
 ce
 
 en an-
 
 goisse, c’est un affect qui s’est produit un sujet quand
 
 d’affect
 
 plus
 
 refoulé
 
 été plus important.
 
 Ce qui a été actualisé
 
 dans cette névrose,
 
 c’est un traumatisme
 
 dont le prototype
 
 archaïque
 
 naissance.
 
 Ce trauma
 
 l’existence
 
 même du sujet, et ce, comme
 
 dans le temps premier dance à la mère. mordial, naître
 
 remet
 
 en question
 
 de radicale
 
 dépen-
 
 La mère, cet objet
 
 pri-
 
 dont la présence et l’absence font chez l’enfant
 
 tous les affects,
 
 rien savoir d’elle ».
 
 satrice, à son insu, de la proche inscription
 
 C’est le deuxième
 
 volet de l’affect dans son
 
 et de sa relation
 
 aspect quantitatif.
 
 En effet, par le biais du refoulé,
 
 du destin de nos pul-
 
 ment dépendant
 
 subsiste tel quel ; soit il subit une transfor-
 
 objet toujours
 
 d’affect,
 
 qualitati-
 
 dans ce qui nous
 
 affecte, en tant que sujet, toujours l’Autre,
 
 en un quantum
 
 La mère, dispen-
 
 au besoin, à la demande et
 
 au désir. Nous sommes,
 
 sions qu’il dit être de trois types : soit l’affect mation
 
 à l’angoisse.
 
 de la
 
 satisfaction
 
 de cet affect
 
 a
 
 est celui de la
 
 pas sous forme d’affect, nous ne pourrions
 
 quantitatif
 
 ;
 
 donc
 
 qui est refoulé et qui est transformé
 
 dans la réalité,
 
 Pas
 
 ce qui de l’af-
 
 qui l’amarrent
 
 notre relation
 
 métabolisé,
 
 il n’est refoulé,
 
 signifiants constitue
 
 toujours
 
 à la dérive.
 
 dans la pulsion,
 
 aider à l’illustrer.
 
 Freud rend compte
 
 puisse être entendue,
 
 la
 
 l’apport
 
 principalement
 
 qui nous sollicite
 
 L’affect,
 
 tissant
 
 l’affect,
 
 affec-
 
 tion du désir d’un sujet. Pour lui, « l’affect
 
 sur un autre objet (crainte
 
 obsédante de la
 
 satisfaite,
 
 de façon plus précise la constitu-
 
 une forme brute.
 
 le préjudice,
 
 où la
 
 expliqué
 
 nique mais sans angoisse ; en se déplaçant
 
 facteur
 
 singularité
 
 se
 
 façons : en for-
 
 hystérique
 
 vécu comme
 
 par
 
 puisque
 
 soit satisfaite, avec les manifestations
 
 En ce qui concerne
 
 d’un espace où puissent se dire la douleur, la blessure, le stigmate,
 
 est soit partiellement
 
 des névroses
 
 de
 
 ne saurait
 
 inconscient,
 
 sance de la psychanalyse) : « J’ai maintenant
 
 nismes : la conversion
 
 Ce
 
 le destin
 
 pulsionnels
 
 tives que cela entraîne.
 
 conception
 
 pulsion
 
 des avatars
 
 De même,
 
 affects. Il écrit à W. Fliess en 1894 (Nais-
 
 conscient
 
 au contexte
 
 pulsion.
 
 la pulsion
 
 selon la façon
 
 par le biais de l’abréaction
 
 Advo-
 
 de ladite
 
 classification
 
 ainsi nommée
 
 français
 
 elle bien consciente,
 
 nous être totalement
 
 nose, soit par la parole (la « Talking Vers une adaptation
 
 sentation,
 
 nalyse, puisque S. Freud opère sa première
 
 une vue d’ensemble
 
 qu’une
 
 qui nous en donne une idée, c’est la repré-
 
 l’intrication
 
 nos investissements
 
 dont un sujet se comporte
 
 c’est-à-dire
 
 objet de la conscience.
 
 poraine de la naissance même de la psychades névroses
 
 en an-
 
 est franchement
 
 empêché. Freud reconnaît ne peut devenir
 
 obligée des concepts d’affect, de pulsion et d’angoisse. La notion d’affect est contem-
 
 sur l’hystérie,
 
 psychiatriques.
 
 principalement
 
 que son développement
 
 éventuel-
 
 ou déplacée, du sujet.
 
 Cet aspect descriptif
 
 différent,
 
 goisse ; soit l’affect est réprimé,
 
 mort d’une personne aimée) ; en se conver-
 
 ou de leur stigmatisation
 
 sont indépendants
 
 vement
 
 AFFECT n.m. (angl. Affect ; allem. Affekt)
 
 totale-
 
 de ce désir qui nous lie à
 
 et qui nous oblige à n’être qu’en cet méconnu
 
 et manquant. C. E.
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 AFFECTIVITÉ n.f. (angl. Affectivity)
 
 Ensemble l’individu
 
 Les psychologues distinguent
 
 de
 
 thymie, qui recouvre
 
 et les émotions,
 
 partir
 
 (1938).
 
 organisée et différenciée, ou catathymie, qui recouvre des manifestations plus com-
 
 par H. A.
 
 Explorations
 
 in
 
 Il peut être évalué
 
 des réponses
 
 Apperception
 
 vitaux,
 
 de l’affectivité
 
 plexes telles que les passions
 
 dans son ouvrage
 
 Personality
 
 de base, ou holo-
 
 les sentiments
 
 C’est l’un des besoins identifiés Murray
 
 et les physiologues
 
 l’affectivité
 
 l’humeur
 
 L’âge conceptionnel
 
 sonne, à gagner son affection ; à rester fidèlement attaché à un ami.
 
 des réactions psychiques face au monde extérieur.
 
 à
 
 du sujet au Thematic
 
 Test. Dans ce domaine,
 
 les
 
 De manière souvent engendré
 
 corrélation
 
 négative
 
 est constatée
 
 avec le
 
 Selon J. J. Gibson (1979), ensemble des aspects psychologiquement pertinents et significatifs de l’environnement d’un être vivant.
 
 on envisage
 
 comme
 
 un message et ache-
 
 miné vers le système nerveux central. Chez immédiatement
 
 après leur
 
 entrée dans la moelle (par les racines dorse divisent
 
 les fibres afférentes
 
 en deux groupes ascendants : le
 
 système lemniscal
 
 qui véhicule rapidement
 
 et de manière très précise les messages issus principalement des mécanorécepteurs, et qui
 
 permet
 
 une discrimination
 
 localisation
 
 et une
 
 très fine du stimulus
 
 tème spino-thalamique la conduction
 
 ; le sys-
 
 antérolatéral
 
 dont
 
 est plus lente et les projec-
 
 tions plus diffuses, et qui véhicule une large gamme de modalités
 
 sensorielles
 
 (douleur,
 
 Les affordances
 
 sont
 
 réelles
 
 des objets
 
 qui peuvent
 
 valeur
 
 utile
 
 leur observateur.
 
 portent
 
 pour
 
 avoir
 
 Ensemble d’actes du thérapeute ayant directement comme but de le relier aux membres de la famille ou au système familial. tion sont l’accommodation,
 
 Elles
 
 cevons qu’un
 
 petit
 
 objet est préhensible,
 
 alors qu’un grand ne l’est pas. Les affordances sont déterminées conjointement par les caractères
 
 physiques
 
 par les capacités
 
 sensorielles,
 
 mentales
 
 d’un être vivant.
 
 objet, elles diffèrent d’un individu Ainsi,
 
 d’un objet et motrices
 
 un caillou
 
 et
 
 Pour un même
 
 d’une espèce à l’autre,
 
 ou d’une situation l’élément
 
 d’un jardin
 
 de
 
 E. V.
 
 n.m.
 
 ou
 
 CONSÉCUTIF
 
 (EFFET)
 
 ÂGE n.m. (angl. Age)
 
 Temps écoulé depuis le début de la vie d’une personne, d’un être vivant. façons de fixer la date de
 
 de la naissance.
 
 tracking,
 
 le thérapeute
 
 communications
 
 habituels.
 
 à
 
 Dans le
 
 « suit le contenu
 
 des
 
 des membres de la famille
 
 et de leur comportement
 
 » comme une ai-
 
 guille suivant le sillon d’un disque. Avec le mimétisme,
 
 il essaye de ressembler
 
 de bébés nés à terme ou prél’importance
 
 la maturation
 
 respective
 
 et de l’expérience
 
 acquise
 
 types de tâches. Ainsi,
 
 conceptionnel
 
 de à âge
 
 égal, de jeunes nourrissons
 
 nés à terme et prématurés
 
 de 3 semaines,
 
 ont la même performance
 
 dans certaines
 
 épreuves de différenciation
 
 entre dessins,
 
 que, dans des épreuves
 
 c’est à âge postnatal
 
 spatiales,
 
 égal que prématurés
 
 et enfants nés à terme ont la même performance. E. V.
 
 ÂGE MENTAL (angl. Mental Age)
 
 Niveau de développement intellectuel défini, dans un test comportant une série d’épreuves de difficulté croissante (« échelle »), par les réponses observées en moyenne dans la population nologique
 
 des enfants déterminé.
 
 d’un âge chroM. R.
 
 ARRIÉRATION QUOTIENT
 
 MENTALE,
 
 DÉVELOPPEMENT,
 
 D’INTELLIGENCE
 
 le plus
 
 possible aux personnes du groupe familial. M. G.
 
 fréquente,
 
 C’est l’évaluation
 
 Besoin qui se manifesterait par une tendance éprouvée par le sujet à se sentir proche d’une personne qui lui ressemble ou qui l’aime, avec laquelle la coopération ou les échanges lui soient agréables ; à plaire à cette per-
 
 Absence
 
 de
 
 structure
 
 biologique.
 
 Ainsi,
 
 développement
 
 cas d’agénésie
 
 constituent
 
 utiles en psychophysiologie.
 
 l’agénésie
 
 du corps calleux
 
 une approche originale différentiel
 
 d’une
 
 permet
 
 du fonctionnement
 
 de chacun de nos hémisphères
 
 point
 
 ou gestationnel
 
 écoulé depuis
 
 d’origine
 
 premier
 
 AGENT n.m. (angl. Agent)
 
 à laquelle se réfère l’état civil.
 
 L’âge conceptionnel le temps
 
 la plus
 
 jour
 
 la conception.
 
 est fixé arbitrairement des dernières
 
 mère. La marge d’erreur
 
 règles
 
 est Le au de la
 
 est de plusieurs
 
 jours. L’âge corrigé n’est utilisé
 
 que pour les pré-
 
 maturés. Il est calculé de la façon suivante : on compte le nombre de semaines et de AFFILIATION (BESOIN D’) (angl. Affiliation Need, Need for Affiliation, N Aff)
 
 AGÉNÉSIE n.f. (angl. Agenesis)
 
 P. L.
 
 de s’affi-
 
 congruant
 
 ou par
 
 cérébraux.
 
 ce début.
 
 modation
 
 ses modes relationnels
 
 l’âge postnatal
 
 des modèles
 
 L’âge postnatal est le temps écoulé à partir
 
 en devenant
 
 par l’âge conceptionnel
 
 Certains
 
 L’accom-
 
 au thérapeute
 
 L’appa-
 
 à l’autre.
 
 peut être perçu comme
 
 un presse-papiers,
 
 Il y a plusieurs
 
 d’affilia-
 
 le tracking,
 
 de l’environnement.
 
 de ce sur quoi on peut agir. Ainsi, nous per-
 
 suivi à la trace, et le mimétisme. lier à la famille
 
 riement
 
 du degré
 
 une
 
 sur ce que l’on perçoit en fonction
 
 AFTER-EFFECT
 
 AFFILIATION n.f. (angl. Joining)
 
 permet
 
 d’expérience
 
 estimation
 
 ÂGE MENTAL
 
 des propriétés
 
 J. P. et M. B.
 
 techniques
 
 la meilleure
 
 rocaille ou un marteau.
 
 chaleur, froid).
 
 Les trois principales
 
 donne
 
 dans certains M. R.
 
 biologique.
 
 sales essentiellement),
 
 alors que l’âge postnatal
 
 alors
 
 au niveau périphérique
 
 les Vertébrés,
 
 ment biologique,
 
 de comparer
 
 Une
 
 AFFORDANCE n.f. (angl. Affordance)
 
 restrictive,
 
 l’afférence
 
 du niveau de développe-
 
 plus élevée que celle des hommes.
 
 R. L.
 
 Entrée d’un système
 
 prié à l’évaluation
 
 maturés a permis dans une certaine mesure
 
 ments sociaux.
 
 AFFÉRENCE n.f. (angl. Afferent System)
 
 paraît le mieux appro-
 
 femmes tendent à avoir une note moyenne
 
 besoin d’accomplissement*.
 
 et les senti-
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 jours
 
 qui séparent
 
 prématuré
 
 l’âge gestationnel
 
 de l’âge gestationnel
 
 né à terme (soit 40 semaines). ensuite
 
 le chiffre
 
 obtenu
 
 tal du bébé prématuré.
 
 du
 
 d’un bébé On déduit
 
 de l’âge postnaAinsi,
 
 un bébé né
 
 Type de cas sémantique qui désigne, dans une phrase ou dans un LING.
 
 texte, celui (ou ce) qui fait l’action. Type particulier d’objet qui se détermine lui-même dans ses actions. GÉNÉR.
 
 Outre
 
 les personnes,
 
 qui sont bien évi-
 
 demment
 
 des agents, des objets
 
 les robots
 
 « intelligents
 
 clus dans la présente confond de l’animé
 
 » peuvent définition,
 
 pas avec la définition (d’autant
 
 très nombreuses
 
 plus qu’elle
 
 être inqui ne se
 
 biologique exclut de
 
 espèces de vivants).
 
 5 semaines avant terme, aura à l’âge post-
 
 La théorie cognitive
 
 natal de 13 semaines,
 
 trois classes de propriétés
 
 un âge gestationnel
 
 tels que
 
 de Leslie (1995) retient
 
 de 48 semaines (35 + 13) et un âge corrigé
 
 qui distinguent
 
 de 8 semaines.
 
 physiques : des propriétés
 
 du monde
 
 réel
 
 les agents des autres objets mécaniques,
 
 des 27
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 propriétés
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 référées à l’action et des proprié-
 
 psychiatrique,
 
 tés cognitives.
 
 quence,
 
 Les propriétés
 
 mécaniques.
 
 Les agents pos-
 
 sèdent une source d’énergie interne et renouvelable, simples
 
 objets physiques
 
 d’énergie
 
 des
 
 dont les sources
 
 sont externes. Les agents sont, de
 
 ce fait, considérés
 
 comme
 
 et apparaît
 
 principale
 
 À tel point
 
 (ou de force)
 
 à la différence
 
 tion
 
 la source de la
 
 à la fois sa cause et sa consé-
 
 du XXe, et que l’agitation
 
 moitié
 
 comme le symptôme doit traiter commencé tation
 
 Les propriétés
 
 d’action.
 
 agents se meuvent événements,
 
 et prennent
 
 mais encore
 
 poursuivant
 
 les
 
 part aux
 
 ils agissent
 
 en
 
 qu’ils perçoivent.
 
 au contraire
 
 À cet égard,
 
 avec les objets, ils agissent
 
 en
 
 d’un état de la réalité qui n’est pas
 
 encore arrivé
 
 : ils agissent ou réagissent
 
 quelque
 
 à
 
 sorte habituel
 
 d’aliénés
 
 exclusivement,
 
 ne s’applique
 
 pas seulement
 
 l’action
 
 L’intentionnalité
 
 des malades ». L’effort
 
 caments
 
 téléolo-
 
 gique, elle est aussi psychologique, où elle implique priétés
 
 la reconnaissance
 
 cognitives
 
 au sens des pro-
 
 des agents et des liens
 
 entre leur traitement
 
 de l’information
 
 et
 
 leur comportement
 
 (il va faire A parce qu’il
 
 croit
 
 se trouvent
 
 que X). Ainsi
 
 liées la notion
 
 fortement
 
 d’agent et celle d’accès méta-
 
 représentationnel
 
 à l’intentionnalité. J. N.
 
 A., 1995, « A Theory
 
 Sperber, (Eds),
 
 D., Premack,
 
 Causal
 
 Clarendon
 
 of Agency
 
 D., et Premack,
 
 Cognition
 
 (pp. 121-141),
 
 par une série de
 
 », in A. J. Oxford,
 
 de loin
 
 pouvait
 
 Dans
 
 être provoquée asilaire
 
 elle-même.
 
 souvent
 
 du pavillon
 
 de l’atmosphère
 
 » permettait
 
 de calmer l’agitation
 
 et pouvait
 
 conduire
 
 la disparition
 
 des malades,
 
 tout
 
 l’hôpital
 
 du quartier
 
 ». Mais
 
 psychopathiques,
 
 maniaques,
 
 épileptiques,
 
 schizophré-
 
 hystériques
 
 et alcoo-
 
 liques seront les cadres les plus fréquents Mais celle-ci ne se déclenche,
 
 le plus souvent,
 
 que dans une situation
 
 généralement du milieu
 
 au patient,
 
 de vie pénibles,
 
 même insupportables
 
 28
 
 accompagne
 
 avec
 
 ou avec devenues
 
 pour ce dernier,
 
 chez lui, soit à l’hôpital. l’agitation
 
 en rapport
 
 soit
 
 C’est pourquoi souvent
 
 l’urgence
 
 lobe pariétal
 
 essentiellement
 
 c’est aussi à cette
 
 des neuroleptiques,
 
 à utiliser
 
 la chlorpro-
 
 mazine.
 
 Ce médicament
 
 a un effet sédatif
 
 puissant
 
 sur l’agitation.
 
 Il en est de même
 
 de tous ses dérivés
 
 si largement
 
 de la naissance
 
 employés
 
 par les structures
 
 pour les agnosies tactiles
 
 somatiques,
 
 dans le lobe temporal
 
 agnosies auditives le lobe occipital
 
 déclenchants
 
 mêmes de
 
 que l’accès
 
 par une prescription appropriée.
 
 sone, halopéridol,
 
 médica-
 
 Certaines
 
 fiques du traitement
 
 molécules
 
 comme
 
 de l’agitation
 
 spéci(fluani-
 
 lévomépromazine,
 
 sul-
 
 (aire de Heschl)
 
 J. P.
 
 (aires associatives)
 
 fond renouvellement le domaine
 
 des recherches
 
 des agnosies sous l’impulsion
 
 la psychologie
 
 cognitive
 
 Ces recherches des déficits
 
 et de l’intelligence
 
 visent à préciser
 
 agnosiques
 
 On distingue,
 
 pendant
 
 selon
 
 concernée,
 
 la modalité
 
 des agnosies
 
 et visuelles
 
 (l’odorat
 
 au niveau Certaines
 
 supramodales
 
 sen-
 
 tactiles,
 
 et le goût,
 
 symbolique,
 
 pas d’y repérer
 
 spécifiques).
 
 dans
 
 l’organisation
 
 et
 
 des différentes
 
 de l’information
 
 per-
 
 ceptive. J. P. et X. S.
 
 AGONISTE adj. et n.m. (angl. Agonist)
 
 Se dit d’une tion
 
 molécule
 
 qui mime
 
 du neurotransmetteur
 
 site récepteur quent
 
 des
 
 propriété structurales
 
 l’ac-
 
 sur son
 
 et entraîne
 
 par consé-
 
 effets
 
 identiques.
 
 provient
 
 des
 
 analogies
 
 entre
 
 l’agoniste
 
 existant
 
 Cette
 
 et le neurotransmetteur. S. P.
 
 AGONISTIQUE adj. (angl. Agonistic) ÉTHOL.
 
 Se dit d’une
 
 cifique
 
 susceptible
 
 un combat
 
 conduite
 
 effectif,
 
 mais parfois
 
 à ses actes initiaux,
 
 en partie
 
 ne
 
 des agnosies
 
 agnosies
 
 sont ce-
 
 comme les agnosies
 
 on décrit
 
 différents
 
 types
 
 intraspé-
 
 de déboucher
 
 sur aussi
 
 au moins
 
 ritualisés.
 
 l’occupation
 
 de l’espace, etc., les
 
 agonistiques
 
 la distribution
 
 pour la repro-
 
 jouent un rôle dans
 
 spatiale et dans la régulation
 
 démographique
 
 d’une
 
 population.
 
 Elles
 
 peuvent revêtir une forme très violente, lors des combats
 
 par
 
 entre fourmi-
 
 lières ou bandes de Rats, ou une forme ritualisée exprimant
 
 une rivalité
 
 sans risque
 
 de blessure. Le terme est parfois interspécifiques
 
 étendu à des rapports
 
 apparus
 
 en situation
 
 de
 
 concurrence,
 
 mais ne saurait s’appliquer
 
 des conduites
 
 de prédation.
 
 spatiales. Enfin, au sein d’une même modalité sensorielle,
 
 la nature
 
 en les situant
 
 normal
 
 étapes de traitement
 
 exemple
 
 formes.
 
 permettent
 
 de
 
 artificielle.
 
 conduites
 
 Atteinte des fonctions d’intégration perceptive caractérisée par une incapacité d’identifier certains objets et
 
 utilisés
 
 dans
 
 de travaux et de modèles en provenance
 
 duction,
 
 AGNOSIE n.f. (angl. Agnosia)
 
 moins
 
 pour les
 
 Depuis les années 1970, on assiste à un pro-
 
 Liées à une concurrence
 
 auditives
 
 et dans
 
 agnosies visuelles.
 
 réduite
 
 etc.).
 
 sorielle
 
 pour les
 
 On sait, de nos
 
 se sont même positionnées
 
 topride,
 
 et
 
 en charge aussi bien les élé-
 
 ments contextuels lui-même
 
 bien embar-
 
 et de l’entretien
 
 psychiatrique.
 
 dans le
 
 de
 
 autant de types d’agitadéficitaires,
 
 se situent
 
 de ces
 
 d’agités,
 
 époque (1952) qu’on commence
 
 menteuse
 
 confusionnels,
 
 troubles
 
 responsables
 
 « à
 
 en même temps que la transformation
 
 lence, le théâtralisme, l’érotisme, la violence, l’anxiété et plus généralement tous les phénomènes à expression émotionnelle et motrice d’un état d’inadaptation grave et actuelle dépendant à la fois d’une structure psychopathologique particulière et de conditions environnementales défavorables.
 
 des conditions
 
 le plus
 
 progressivement
 
 totale
 
 jours, prendre
 
 l’intolérance
 
 collectif
 
 Les lésions corticales
 
 le fonctionnement
 
 générale
 
 liées
 
 du schéma corporel.
 
 trait que la « modification
 
 l’institution
 
 tion que de maladies mentales en cause. Les
 
 (somatognosies)
 
 des modèles qui décrivent
 
 de l’agitation
 
 On peut décrire
 
 agnosies somatiques
 
 On décrit aussi des
 
 dans un quartier d’agités, P. Paumelle mon-
 
 Comportement à base d’excitation psychomotrice, où peuvent se manifester l’agressivité, la colère, la turbu-
 
 particulière
 
 et entre-
 
 sa thèse sur le Traitement
 
 rassante,
 
 AGITATION n.f. (angl. Agitation)
 
 de l’agitation.
 
 les
 
 Ce n’est qu’au
 
 a ainsi fait oublier la question,
 
 niques,
 
 les médi-
 
 seront
 
 en psychiatrie.
 
 de
 
 de nos jours. Et l’usage des neuroleptiques
 
 Press.
 
 états anxieux,
 
 aura
 
 but la sédation
 
 neurosédatifs
 
 le premier Bibliographie Leslie,
 
 ou presque
 
 ; et c’est pourquoi
 
 plus utilisés
 
 en
 
 et l’asile
 
 thérapeutique
 
 principal
 
 cette agitation
 
 l’agi-
 
 à peu près égal à celui
 
 tenue par l’institution
 
 au niveau de
 
 : elle n’est pas seulement
 
 constitué
 
 des visages [ou prosopagnosie],
 
 à des perturbations
 
 spé-
 
 l’état
 
 de l’aliéné,
 
 a été exclusivement,
 
 l’agitation cognitives.
 
 comme
 
 des objets,
 
 a
 
 début des années 1950 qu’on a réalisé que
 
 distance dans le temps et dans l’espace. Les propriétés
 
 considérée
 
 donc comme
 
 de ce qui concerne leur contact
 
 mécanique
 
 était
 
 des conditions
 
 pour les aliénés,
 
 cellules en nombre
 
 des buts et réagissent à l’envi-
 
 ronnement
 
 fonction
 
 Non seulement
 
 à s’occuper
 
 dans le domaine
 
 : l’agnosie
 
 l’agnosie des couleurs).
 
 que
 
 que « l’on
 
 on décrit
 
 des stimulus
 
 l’agnosie des lettres [ou alexie agnosique] et
 
 J. B. M. Parchappe
 
 en 1853 que depuis
 
 visuel,
 
 la nature
 
 (par exemple,
 
 l’agnosie
 
 apparaît
 
 le plus important
 
 l’aliéniste.
 
 ciales d’habitation
 
 objet).
 
 ».
 
 tout le XIXe siècle et la première
 
 pendant
 
 de la causalité
 
 un
 
 à interner
 
 selon
 
 considérés
 
 que fou et agité se confondent
 
 force quand ils sont en interaction avec des objets, et estimés déterminer la direction soulever
 
 la manifesta-
 
 de la « folie
 
 écrivait
 
 (par exemple,
 
 comme
 
 d’agnosies
 
 à
 
 J. G. AGRESSIVITÉ,
 
 RITUALISATION,
 
 TERRITOIRE
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 La théorie
 
 AGORAPHOBIE
 
 AGRAMMATISME
 
 n.f. (angl. Agoraphobia)
 
 n.m. (angl. Agrammatism)
 
 Peur
 
 immotivée
 
 se traduisant
 
 l’appréhension bilité
 
 et
 
 parfois
 
 l’impossi-
 
 seul,
 
 des places,
 
 de traverser,
 
 des ponts,
 
 des rues,
 
 un tunnel
 
 par
 
 de passer
 
 ou de se trouver
 
 dans
 
 espace découvert. recouvre
 
 peur de se rendre
 
 également
 
 dans des lieux
 
 la
 
 publics,
 
 d’être pris dans une foule, un rassemblement
 
 ou un moyen
 
 de transport
 
 public
 
 dont
 
 on ne pourrait
 
 s’échapper
 
 rapide-
 
 sensations
 
 d’angoisses
 
 vertigineuses
 
 dont
 
 dans des lieux publics, confiné
 
 s’écarter
 
 et de
 
 parfois de
 
 chez lui et de ne pouvoir
 
 d’un étroit périmètre
 
 tant leur diagnostic
 
 (DSM-III
 
 suivant
 
 non accompagnées les troubles tains
 
 mentaux
 
 cliniquement,
 
 d’agoraphobies
 
 cas, survenir
 
 pendante
 
 d’une
 
 atteinte
 
 motrice,
 
 se voyant
 
 dans
 
 certaines
 
 aphasies
 
 d’expression
 
 de l’écriture,
 
 et
 
 dans
 
 les syndromes
 
 sont ou
 
 Comportement
 
 L’intention
 
 de faire
 
 l’agression
 
 proprement
 
 de normes,
 
 ou d’un
 
 phy-
 
 lien entre frustration gréable) et agression.
 
 (stimulation
 
 mal
 
 admise,
 
 subjectivité
 
 Une reformulation
 
 distingue
 
 (
 
 les termes
 
 NORME
 
 « intention
 
 » et
 
 subjectifs.
 
 Cette
 
 fait en sorte que victime,
 
 agres-
 
 seur et observateur
 
 ne s’entendront
 
 pas
 
 handicap
 
 entraînant,
 
 d’agression.
 
 généralement L’agression
 
 pas pour but premier
 
 s’échapper d’un
 
 maintenir
 
 son statut ou son pouvoir.
 
 également, celle de se donner
 
 pulsive,
 
 débute rarement
 
 avant l’âge
 
 n’a
 
 de faire mal, mais de
 
 ou de préserver, appelée
 
 types
 
 instrumentale
 
 lieu, celle de ne pas être secouru à temps et, en spectacle.
 
 deux
 
 par exemple, L’agression
 
 im-
 
 aussi hostile ou émotion-
 
 nelle, a pour but essentiel de nuire à autrui.
 
 de 20 ans et, d’après les études disponibles,
 
 C’est donc cette dernière qui sera envisagée
 
 semble
 
 ici.
 
 prévaloir
 
 chez les femmes.
 
 celles qui exercent
 
 une profession
 
 les hommes, ses conséquences et social
 
 Chez et chez
 
 sur les plans
 
 en augmentent
 
 la
 
 gravité.
 
 On parle parfois sion, de violence, d’agressivité. tinguer
 
 est classée parmi les troubles
 
 anxieux et constitue
 
 une indication
 
 ou de thérapie
 
 de psy-
 
 comportemen-
 
 indistinctement
 
 Les chercheurs
 
 de précision. sion physique. une tonalité
 
 des symptômes
 
 correspond
 
 manifestations pression, impression
 
 théorie. Selon la théorie
 
 d’attaques
 
 de panique
 
 telles que palpitations,
 
 gêne thoracique, de vertige
 
 ou de op-
 
 transpiration,
 
 ou d’évanouisse-
 
 dinale
 
 plutôt
 
 lative égoïste, un individu nière agressive lorsqu’il
 
 pas acceptable,
 
 sonne qui a l’habitude
 
 ment, etc. M. A.
 
 manière
 
 agressive.
 
 s’estime personnel-
 
 lement lésé par rapport à d’autres individus quelqu’un La privation
 
 nelle interviendrait
 
 relative
 
 lorsque
 
 pas au niveau
 
 en tant que membre rapport
 
 les gendarmes D’autres
 
 distinctions
 
 la personne mais
 
 d’un groupe
 
 bénéficient
 
 à l’inverse
 
 frater-
 
 individuel
 
 à un autre groupe
 
 mentaires,
 
 pas
 
 attendue, alors que d’autres
 
 l’obtiennent). ne réagit
 
 qui n’obtient
 
 lésé par
 
 (par exemple, d’heures supplé-
 
 d’autres
 
 militaires).
 
 ont récemment
 
 été
 
 proposées par Guimond et Tougas (1994) ; elles veulent rendre compte plus des mouvements
 
 de contestation
 
 l’agression
 
 sociale
 
 que de
 
 individualisée.
 
 » est due à L. Berkowitz
 
 à l’agressurtout L’hostilité attitun’est
 
 pas, et je suis
 
 prêt à lui faire un sort). L’agressivité, à elle, désigne la personnalité
 
 de ma-
 
 tration-agression
 
 (telle personne
 
 je ne l’aime
 
 réagirait
 
 re-
 
 davantage
 
 à la composante
 
 de l’agression
 
 de la privation
 
 la plus célèbre de la « frus-
 
 qui peut mener
 
 d’agression.
 
 deux versions de cette
 
 La reformulation
 
 La colère implique
 
 émotionnelle
 
 et
 
 Jusqu’à pré-
 
 dis-
 
 préfèrent
 
 La violence se limite
 
 à un comportement
 
 lorsqu’elle
 
 d’hostilité
 
 ces termes pour obtenir
 
 tale. Il reste cependant à préciser l’étiologie de l’agoraphobie
 
 de colère,
 
 d’agres-
 
 absolue, mais relative,
 
 sent, on a distingué
 
 une promotion
 
 On distingue
 
 désa-
 
 relative. Ce ne
 
 qui importerait.
 
 une agression.
 
 outre la peur de ne pouvoir
 
 s’accompagne
 
 serait pas la valeur de la privation
 
 communé-
 
 du
 
 célèbre de cette théorie
 
 est celle de la (dé)privation
 
 culier constitue
 
 ino-
 
 pas cri-
 
 ou la suffisance
 
 Dans cette définition
 
 SOCIALE.)
 
 D’autres
 
 ainsi que la nécessité
 
 des compo-
 
 et souvent
 
 mais ne s’y limite
 
 avec
 
 sur l’étude brusque
 
 une certaine
 
 météorologiques).
 
 (par exemple,
 
 des attaques de panique
 
 de
 
 par exemple, des injures et des
 
 sur le fait qu’un acte parti-
 
 pinée est un énorme
 
 chothérapie
 
 ; elle comprend
 
 nécessairement
 
 dont la survenue
 
 L’agoraphobie
 
 de frustration
 
 se porte plus
 
 santes somatiques
 
 déclenchent
 
 désagréable » a remplacé celle
 
 L’attention
 
 les agoraphobies.
 
 professionnel
 
 que des frustrations
 
 adopté
 
 accident.
 
 On s’écarte ainsi de l’hypothèse
 
 de toutes
 
 et que des situations
 
 une agression. Par la suite, l’expression
 
 dite d’une violation
 
 « mal » sont relativement
 
 serait à l’origine
 
 ne mène
 
 tiques ont visé le caractère inné de la réaction agressive, sous-entendu par la théorie,
 
 ou psychologiquement.
 
 apparue
 
 frustration
 
 n.f. (angl. Aggression)
 
 siquement
 
 quelle une angoisse de séparation
 
 d’un but),
 
 variations
 
 deux types
 
 suivant la-
 
 d’une frustration
 
 AGRESSION
 
 de faire mal à autrui,
 
 de
 
 toute tenta-
 
 dans la poursuite
 
 que toute
 
 (elle inclut,
 
 l’intention
 
 indépendamment
 
 sa
 
 Ensuite, si l’on s’en tient
 
 classe de frustrations
 
 SOCIAL.
 
 dans cer-
 
 autres
 
 Tout d’abord,
 
 prévient
 
 pas à une agression
 
 amé-
 
 de panique,
 
 il est clair
 
 s’est
 
 elle a provoqué
 
 classique
 
 (un obstacle
 
 précé-
 
 aux niveaux théorique,
 
 première
 
 « stimulation
 
 ment
 
 L’agoraphobie
 
 indé-
 
 serait
 
 Si cette théorie
 
 et empirique.
 
 à la définition
 
 même invi-
 
 invisible,
 
 nombre de critiques
 
 n.f. (angl. Agraphia)
 
 grave
 
 entre frustration
 
 très heuristique,
 
 tive de réfutation.
 
 et alii,
 
 une agression et toute
 
 même
 
 AGRAPHIE
 
 et DSM-III
 
 pouvant,
 
 agression,
 
 de
 
 il y aurait
 
 et agression. Toute frustration, sible, déclencherait
 
 rendre
 
 (Dollard
 
 1939). Selon cette formulation,
 
 montrée
 
 Altération
 
 pour
 
 est la théorie
 
 la frustration-agression
 
 dée d’une frustration.
 
 du langage dans la schizophrénie,
 
 l’agoraphobie.
 
 spécifiquement
 
 de désin-
 
 J. P.
 
 permet-
 
 qu’elles
 
 d’attaques
 
 paniques
 
 dans l’enfance
 
 syn-
 
 Dans les cas
 
 les classifications
 
 des troubles
 
 R) distinguent,
 
 aussi aphasie
 
 de sécurité dont tous
 
 rester seul chez lui.
 
 ricaines
 
 appelée
 
 qu’à l’intérieur
 
 lui sont familiers.
 
 actuelle,
 
 une forme d’aphasie
 
 C’est parfois une forme
 
 tégration
 
 de l’agression
 
 un lien causal universel
 
 démentiels.
 
 les plus graves, il ne lui est plus possible de
 
 À l’heure
 
 taxique.
 
 compte
 
 la plus répandue
 
 formulation
 
 l’intensité
 
 au point
 
 de son domicile
 
 les recoins
 
 C’est généralement
 
 La théorie
 
 conceptuel
 
 peut être telle que le sujet évite de se rendre rester
 
 syntaxiques.
 
 J. P.
 
 en 1871, l’agora-
 
 phobie est accompagnée
 
 et des
 
 une dyslogie.
 
 ment. par C. Westphal
 
 cor-
 
 des désinences
 
 d’expression,
 
 L’agoraphobie
 
 Décrite
 
 marques
 
 dans un
 
 de construire
 
 ses phrases avec mésusage
 
 ou disparition
 
 de la frustration-agression et ses reformulations
 
 Perte de la capacité rectement
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 quant
 
 d’une per-
 
 de se comporter
 
 de
 
 (1993).
 
 Selon cet auteur,
 
 désagréables à l’action, choisira
 
 provoquent
 
 les stimulations deux tendances
 
 la fuite ou l’attaque, en fonction
 
 des circonstances
 
 de ses expériences antérieures. à l’attaque siologique,
 
 entraînera
 
 transformera inhibitions
 
 phy-
 
 moteurs
 
 le rappel d’épisodes
 
 sifs, une émotion
 
 et
 
 La tendance
 
 une activation
 
 des comportements
 
 de préparation,
 
 et l’individu
 
 de colère diffuse.
 
 en agression impulsive
 
 agresElle se si les
 
 à l’égard de celle-ci ne sont pas
 
 trop élevées, et ce d’autant
 
 plus facilement 29
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 que l’environnement
 
 comprend
 
 associés à l’agression.
 
 Si la valeur prédictive
 
 de cette formulation
 
 n’est pas énorme, elle
 
 explique
 
 remarquablement
 
 bien deux phé-
 
 nomènes très intéressants. L’effet
 
 vue d’armes
 
 d’une stimulation
 
 peut faciliter
 
 désagréable
 
 le passage à l’acte agressif.
 
 Non pas que l’arme ment l’outil
 
 devienne
 
 de l’agression
 
 et même contradictoire la dissuasion.
 
 plus facile-
 
 ; ce serait trivial
 
 avec l’hypothèse
 
 de
 
 La vue de l’arme faciliterait,
 
 en fait, n’importe
 
 quelle agression pourvu
 
 que cette arme soit associée à l’idée de violence. Les facteurs
 
 cognitifs
 
 tants dans cette conception. pend de la signification est anxiogène, bitions
 
 sont imporLa réaction dé-
 
 de l’arme. Si l’arme
 
 elle augmentera
 
 les inhi-
 
 de la réaction
 
 agressive.
 
 à l’égard
 
 L’arme n’est qu’un exemple d’indices ciés à l’idée d’agression.
 
 asso-
 
 Les films agressifs
 
 peuvent avoir, et ont, le même effet. Le bouc émissaire.
 
 facteurs
 
 L’environnement
 
 sont
 
 et de
 
 d’agression, entraîner
 
 est indubitablement
 
 facteur le plus important d’agression.
 
 d’envisager
 
 le
 
 dans les manifes-
 
 Cela ne dispense
 
 pas
 
 Il n’y a pas de consensus quant à l’innéité de l’agression,
 
 mais tout le monde
 
 corde
 
 un instinct
 
 à rejeter
 
 s’ac-
 
 qui « pousse-
 
 rait » l’agression en dehors de l’individu.
 
 Ce
 
 qui est certain, c’est qu’il existe des facteurs génétiques
 
 qui contribuent
 
 à susciter
 
 passages à l’acte plus fréquents aisés. Assurément,
 
 des
 
 et/ou plus
 
 les hormones
 
 sexuelles
 
 mâles et, sans doute, le chromosome constituent
 
 de tels facteurs.
 
 est de mieux facteurs
 
 influencent
 
 comment
 
 le processus
 
 sion. En ce qui concerne XYY,
 
 par exemple,
 
 représentés ailleurs
 
 XYY
 
 Le problème
 
 comprendre
 
 ces
 
 d’agres-
 
 le chromosome
 
 ses porteurs
 
 sont sur-
 
 dans les prisons. Il semble par
 
 que ces hommes
 
 la moyenne.
 
 moins
 
 contre-sélectif. existant
 
 ceux-ci
 
 prennent
 
 minimisant La sélection
 
 d’une
 
 impliquant tement
 
 de sélection
 
 entre
 
 des jeux
 
 d’adaptation
 
 portant
 
 déclenchement
 
 nible
 
 dans l’environnement
 
 susciter
 
 d’inhibitions
 
 théorie
 
 particulières.
 
 du bouc émissaire
 
 répandue (
 
 et de ne pas est largement
 
 INTERGROUPES.)
 
 leurs aspirations, munauté
 
 puissante,
 
 Parmi
 
 est relativement
 
 les enfants
 
 bagarreurs
 
 à l’école,
 
 Frustrés dans d’une com-
 
 par de l’agression
 
 en-
 
 qui seraient
 
 considérés
 
 comme responsables.
 
 le resteront
 
 stable.
 
 qui concerne l’agression instrumentale,
 
 vers les membres d’une autre communauté, moins
 
 nalité, l’agressivité
 
 traits de person-
 
 intergroupe.
 
 les membres
 
 réagiraient
 
 à d’autres
 
 beaucoup
 
 dans le domaine
 
 RELATIONS
 
 La
 
 Contrairement
 
 à l’âge adulte. En ce
 
 a pu être un renforçateur d’individus.
 
 pour
 
 beaucoup
 
 Quant à la stabilité
 
 de l’agres-
 
 sion impulsive, ticularités
 
 elle
 
 elle peut être due à des par-
 
 du style cognitif
 
 ou du processus
 
 émotionnel. J.-P. L. ÉMOTION,
 
 RELATIONS
 
 INTERGROUPES
 
 La catharsis ÉTHOL.
 
 Une idée fréquente l’agression mite
 
 fonctionne
 
 à pression.
 
 permis,
 
 consiste
 
 comme
 
 Si aucun
 
 la marmite
 
 les gens peuvent
 
 à croire
 
 que
 
 une mar-
 
 exutoire
 
 n’est
 
 explose. Si, par contre,
 
 manifester
 
 leurs pulsions
 
 agressives à petites doses, ne serait-ce que de manière
 
 vicariante
 
 (par exemple, par la
 
 Attaque
 
 tant de l’exacerbation agonistique. L’agression orientée
 
 attribuant
 
 motivation
 
 cette hypothèse nifestations plutôt
 
 vont
 
 qu’elles
 
 ne signifient
 
 rarement
 
 une conduite
 
 : en règle générale, les ma-
 
 une situation
 
 s’autorenforcent
 
 ne purifient.
 
 individus
 
 Ces résultats
 
 pas pour autant que l’expres-
 
 sion de griefs, à l’occasion
 
 d’un conflit
 
 par
 
 contemporaine
 
 de concurrence
 
 biologiquement
 
 comme
 
 qui survient
 
 l’accès
 
 dans
 
 entre deux
 
 à un même
 
 nécessaire à la satisfaction ritoire),
 
 comme une
 
 d’une fonction
 
 importante
 
 proie, partenaire
 
 objet
 
 : étendue (tersexuel.
 
 : celle
 
 tout congénère,
 
 des rencontres,
 
 composite
 
 cette théorie
 
 dite du Bourgeois
 
 dans une population
 
 et à déterminer
 
 ainsi la diffusion
 
 du comportement
 
 territorial
 
 dans le patri-
 
 moine éthologique
 
 de l’espèce. J. G.
 
 AGONISTIQUE,
 
 AGRESSIVITÉ,
 
 DOMINANCE,
 
 TERRITOIRE
 
 AGRESSIVITÉ n.f. (angl. Aggressivity, Aggressiveness)
 
 Tendance à attaquer autrui, ou tout objet susceptible de faire obstacle à une satisfaction immédiate. L’agressivité,
 
 qui n’est pas synonyme peut
 
 se manifester
 
 comportements
 
 par de
 
 différents.
 
 caractère
 
 l’attention
 
 en raison
 
 spectaculaire
 
 Ils vont des gestes menaçants
 
 au meurtre,
 
 utilisent
 
 ou un médiateur indirectement
 
 la force de l’agresseur
 
 (arme),
 
 peuvent s’exercer
 
 (envers des objets).
 
 De la tolérance plus ou moins grande de la société à leur égard dépend le seuil à partir duquel ils deviennent
 
 des délits, voire des
 
 crimes.
 
 agressives
 
 Les attitudes
 
 (regards,
 
 etc.) ont un caractère très pro-
 
 sivité
 
 rence intraspécifique
 
 agressives peuvent l’être ouvertement
 
 de la situation
 
 réinterprétation
 
 qui sera responsable
 
 diminution
 
 éventuelle
 
 contre, la non-expression peut entraîner
 
 de la
 
 de l’agression.
 
 Par
 
 des mêmes griefs
 
 une augmentation
 
 dance à se montrer
 
 et c’est cette
 
 de la ten-
 
 agressif, non pas à cause
 
 et concourt
 
 lation démographique. un agent sélectif
 
 Par là, elle constitue
 
 qui exclut
 
 dance les animaux
 
 Ce mode de sélection
 
 conduisant,
 
 rie de Berkowitz,
 
 « course aux armements
 
 ruminations
 
 agressives.
 
 tant
 
 en génération,
 
 une limitation,
 
 vocateur
 
 et peuvent
 
 plus active
 
 de gé-
 
 du fait qu’un
 
 en retour.
 
 insi dieuse (médisance, Enfin,
 
 les fantasmes
 
 mement
 
 une agresLes paroles
 
 ironie,
 
 causticité).
 
 et les formations
 
 de
 
 à valeur agressive sont extrê-
 
 fréquents
 
 et d’ailleurs
 
 utilisés
 
 dans la cure analytique.
 
 pour-
 
 Chez l’enfant
 
 et l’adolescent,
 
 excès
 
 troubles
 
 de
 
 (me-
 
 ou de façon plus
 
 le thérapeute
 
 à une forme », rencontre
 
 déclencher
 
 naces, insultes, critiques)
 
 l’inconscient
 
 aux agressions.
 
 nération
 
 de
 
 de la descen-
 
 les moins aptes à résister
 
 d’une pression accrue, mais, selon la théoà cause d’un surcroît
 
 à la régu-
 
 de leur
 
 dangereux.
 
 présente la forme la plus directe de concur-
 
 réinterprétation
 
 le
 
 et potentiellement
 
 tion des griefs peut fournir
 
 d’une
 
 Les
 
 actes agressifs sont ceux qui retiennent
 
 Dans un cadre darwinien,
 
 l’occasion
 
 et
 
 qui attaque sur son ter-
 
 à l’emporter
 
 mimiques, re-
 
 du
 
 celle de
 
 exemple, ne puisse être bénéfique. L’exposi-
 
 l’agression
 
 de
 
 agressives.
 
 stratégies
 
 que la stratégie
 
 plus souvent
 
 À la diffé-
 
 mais plutôt
 
 régulatrice
 
 pour
 
 sur
 
 éventuellement
 
 l’agression
 
 distincte,
 
 de
 
 d’agression
 
 à l’encontre
 
 entraînant
 
 rence de Lorenz, l’éthologie
 
 C’est l’hypothèse nées expérimentales
 
 qui débouche
 
 mode
 
 des valeurs de coût et de bénéfice
 
 nombreux
 
 une mobilisation
 
 blessures et mort de l’opposant. considère
 
 tend
 
 un
 
 et cède lorsque il est en dehors. En
 
 de violence,
 
 représente
 
 un combat,
 
 résul-
 
 d’une conduite
 
 de l’organisme,
 
 vision de films agressifs), la pression tombe. de la catharsis. Les don-
 
 intraspécifique
 
 aléatoire
 
 qui cède à tout opposant,
 
 montre
 
 à cause de leur intelligence.
 
 qu’à
 
 sur les conditions
 
 trois
 
 Faucon, attaquant
 
 ritoire
 
 prévoit
 
 des conduites
 
 Elle distingue
 
 dans
 
 leurs réactions,
 
 se
 
 où les ren-
 
 de manière
 
 La théorie
 
 sique, et qu’ils soient moins
 
 qui a le seul tort d’être dispo-
 
 affrontés,
 
 entre les individus.
 
 aux résultats
 
 inhibés
 
 du compor-
 
 individuel
 
 contres s’opéreraient
 
 celle du Bourgeois
 
 dans des interactions
 
 ritualisée,
 
 sous-populations
 
 un niveau purement
 
 intelligents
 
 soient
 
 agression
 
 graves.
 
 conçoit plus aisément selon un mécanisme
 
 la Colombe,
 
 que
 
 de blessures
 
 des deux individus
 
 phy-
 
 innocente,
 
 qui dimiritualisée,
 
 une modification
 
 agressives, à cause de leur apparence
 
 sur une personne
 
 d’une espèce per-
 
 une forme
 
 le risque
 
 désagréable,
 
 peut se déplacer
 
 devient
 
 génétique
 
 met alors une pression sélective
 
 davantage
 
 l’agression
 
 La communauté
 
 entre membres
 
 élevées quant à la source de la stimulation sur un bouc émissaire,
 
 30
 
 chez les deux opposants,
 
 soient plus cos-
 
 Il se peut donc qu’ils
 
 impliqués
 
 de par les blessures qu’il peut
 
 nue les conséquences nocives des combats ;
 
 d’autres influences.
 
 tauds et peut-être
 
 Si les inhibitions
 
 génétiques
 
 personnalité
 
 tations
 
 des armes. La simple
 
 au moment
 
 Innéité,
 
 des indices
 
 du comportement
 
 par
 
 de nombreux peuvent
 
 avoir
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 une connotation
 
 agressive
 
 songes, troubles
 
 alimentaires,
 
 vais résultats
 
 scolaires,
 
 latente
 
 Approches
 
 : men-
 
 fugues, mau-
 
 conduites
 
 Différents
 
 margi-
 
 courants
 
 donné proche
 
 Évaluation
 
 logue ou le criminologue, l’agressivité fréquent,
 
 d’un individu
 
 donc de prévenir agressives.
 
 de
 
 est un problème
 
 essentiel et extrêmement
 
 Elle est sous-tendue
 
 telle
 
 l’évaluation
 
 difficile.
 
 la survenue de conduites
 
 prédiction
 
 de façon
 
 éléments comme
 
 étant
 
 Quelques
 
 toutefois
 
 être dégagés
 
 des facteurs
 
 prédisposant
 
 à une plus grande potentialité l’existence
 
 de violences
 
 fance, des antécédents sivité
 
 :
 
 subies dans l’end’agres-
 
 envers les autres mais aussi envers
 
 soi-même,
 
 ainsi que certains traits de per-
 
 sonnalité,
 
 comme l’impulsivité,
 
 émotionnelle,
 
 une labilité
 
 une irritabilité
 
 une intolérance
 
 caractérielle,
 
 aux frustrations
 
 (comme
 
 dans l’abandonnisme). À ces données s’ajouter
 
 les apports
 
 giques. profil
 
 très parcellaires
 
 Le MMPI, type d’une
 
 montre
 
 des tests psycholo-
 
 personnalité
 
 projectifs
 
 paranoïa,
 
 permettent,
 
 sonnalité Enfin,
 
 Les tests
 
 eux, une approche replacée dans
 
 de la structuration
 
 de la per-
 
 et de ses mécanismes
 
 il faut signaler d’évaluation
 
 qualitative
 
 de l’agressivité
 
 d’hostilité
 
 de défense.
 
 l’existence
 
 spécifiques
 
 d’outils
 
 quantitative (questionnaire
 
 été retrouvé
 
 Aucun
 
 élément
 
 n’a
 
 comme étant lié de façon spé-
 
 et indiscutable
 
 recherches
 
 génétiques
 
 tendu « chromosome
 
 de la
 
 les malades mentaux dangereux. mark, une étude systématique pelés aurait retrouvé
 
 et
 
 Au Danechez les ap-
 
 une impulsivité
 
 plus
 
 chez ces sujets. Mais ces notions
 
 sont à replacer dans le contexte
 
 d’une per-
 
 sonnalité
 
 anomalies
 
 marquée
 
 un retard mental), univoque
 
 Sur le plan hormonal. simplificateur l’hormone
 
 et toute
 
 est abusive.
 
 Il apparaît tout aussi
 
 de faire de la testostérone de l’agression,
 
 semble effectivement sensibilité
 
 par d’autres
 
 même
 
 si elle
 
 jouer un rôle dans la
 
 à la menace et à la frustration.
 
 triomphe
 
 la
 
 l’agressivité,
 
 la structuration rapport
 
 en particulier
 
 progressive
 
 à l’objet.
 
 comportement
 
 et elle
 
 dans la matura-
 
 tion de la personnalité,
 
 Pathologies
 
 psychiatriques
 
 et agressivité
 
 Dans les états névrotiques, d’autant
 
 moins
 
 l’agressivité
 
 apparente
 
 avec l’agressivité.
 
 du sujet par
 
 n’est sans rapport
 
 En ce qui concerne
 
 s’exprimer
 
 que les méca-
 
 l’agressivité
 
 obsessionnelle
 
 les
 
 plus masquée par des formations
 
 réaction-
 
 nelles extrêmement
 
 Quelques
 
 organisées.
 
 tics,
 
 ironie),
 
 mais
 
 désir de punition. vité s’inscrit
 
 Chez les psychopathes,
 
 mentée.
 
 sant à un trouble
 
 Les états psychotiques
 
 vité ne peut trouver
 
 son sens positif.
 
 fants privés d’amour,
 
 « En-
 
 ils deviendront
 
 des
 
 adultes pleins de haine » (R. Spitz). L’approche
 
 biologique
 
 les travaux
 
 des neurophysiologistes,
 
 particulier tout
 
 comportement
 
 portement
 
 instrumental
 
 par en
 
 Pour cet auteur,
 
 agressif
 
 l’angoisse
 
 s’inscrivant
 
 une biographie
 
 voient
 
 motivée,
 
 discordante
 
 de l’intrication
 
 « réflexe
 
 » en grande
 
 génétiquement,
 
 dépressions
 
 partie
 
 redouter
 
 un niveau où
 
 une connotation
 
 les expériences
 
 et le contexte
 
 de l’agressivité
 
 socioculturel.
 
 la notion
 
 est totalement
 
 on a pu montrer taines structures
 
 Sur
 
 d’un centre réfutée, mais
 
 le rôle essentiel
 
 de cer-
 
 cérébrales : dans la modé-
 
 ration de la réactivité
 
 aux stimulus
 
 sogènes » interviendraient l’hypothalamus
 
 per-
 
 « agres-
 
 en particulier
 
 ventromédian,
 
 les noyaux du raphé. C’est dans ces noyaux que se situent sérotonine,
 
 la plupart
 
 ce qui corrobore
 
 déficit
 
 sérotoninergique
 
 tations
 
 d’agressivité
 
 sur laquelle neurones
 
 la notion
 
 d’un
 
 excessive. L’amygdale,
 
 se projette centrale
 
 comportement
 
 à
 
 lors des manifesune partie
 
 sérotoninergiques,
 
 une structure d’un
 
 des neurones
 
 de ces
 
 semble
 
 être
 
 dans l’élaboration agressif
 
 : c’est à ce
 
 Mais, outre ce cas exrepérer
 
 des mani-
 
 toujours
 
 un risque suicidaire. faire
 
 Chez l’enfant
 
 tout comportement rechercher
 
 faire agres-
 
 une pathologie
 
 dépressive sous-jacente. L’agressivité niques
 
 des états déficitaires
 
 traduit
 
 l’altération
 
 orga-
 
 du contrôle
 
 émotionnel. Chez l’épileptique, ment
 
 elle s’inscrit
 
 dans les troubles
 
 classique-
 
 de personnalité
 
 mais elle peut aussi survenir
 
 en paroxysmes
 
 lors des crises, allant jusqu’à la fureur épileptique,
 
 le septum et
 
 le suicide altruiste
 
 et elles doivent
 
 et l’adolescent, sif doit
 
 un modèle
 
 agressives discrètes au cours des
 
 de comporpré-
 
 l’illustre
 
 des mélancoliques. festations
 
 trois
 
 affective, en fonction du vécu individuel, enfin un niveau d’élaboration cognitive où sont pris en compte
 
 ;
 
 entre auto- et hétéroagres-
 
 trême, on peut souvent
 
 tement
 
 dans les
 
 aux persécutions
 
 Les états dépressifs représentent
 
 de cette straté-
 
 : un niveau
 
 directe avec
 
 la déstructuration
 
 en réaction
 
 relationnel.
 
 possibles
 
 de mécanismes
 
 des schizophrènes
 
 sivité, comme
 
 niveaux
 
 des
 
 psychoses délirantes aiguës ; agressivité im-
 
 ou de désirs, soit la défense contre ce qui menace l’intégrité physique ou l’équilibre schématiquement
 
 survenir
 
 en relation
 
 psychotique,
 
 tour-
 
 dans
 
 de besoins
 
 gie comprendrait
 
 frus-
 
 dans les délires paranoïaques.
 
 une stratégie, dont les buts sont soit l’affir-
 
 L’élaboration
 
 à la moindre
 
 agressifs
 
 divers : agressivité
 
 agressivité
 
 est un com-
 
 de soi et la satisfaction
 
 l’élaboration
 
 de la conscience et le vécu délirant
 
 est dominée
 
 ceux de Karli.
 
 les passages à l’acte
 
 surviennent
 
 comportements
 
 l’agressi-
 
 de l’autre.
 
 court-circuitent et jalonnent
 
 et le
 
 dans la mise
 
 en échec et la culpabilisation
 
 lences exercées très tôt par le père, aboutis: l’agressi-
 
 le remords
 
 Dans l’hystérie,
 
 tration
 
 symbolique
 
 à l’acte
 
 et sont souvent mar-
 
 plus ouvertement
 
 psychique,
 
 (colères,
 
 les passages
 
 des carences affectives précoces et des vioet à un
 
 que
 
 est la plus intense mais aussi la
 
 agressifs
 
 défaut d’élaboration
 
 de
 
 de façon codée, sont plus effi-
 
 comportements agressifs pathologiques, la clinique psychanalytique insiste sur le rôle
 
 de l’identification
 
 est
 
 nismes de défense, qui lui permettent
 
 qués par l’ambivalence,
 
 par
 
 Pour D. Lagache, aucun
 
 humain
 
 a un
 
 et de contrôle.
 
 restent exceptionnels
 
 supérieure
 
 (XYY) chez les criminels
 
 rôle essentiel de modulation
 
 C’est dans la névrose
 
 agressi-
 
 et de dévoration)
 
 le plan physiologique,
 
 d’un chromosome
 
 préfrontal
 
 de destruction
 
 est associée au stimulus
 
 », dernier
 
 le cortex
 
 émergences peuvent se manifester
 
 fait
 
 du crime
 
 Enfin,
 
 sa signification
 
 très importante dans la première enfance, apparaît dès les premiers mois (fantasmes
 
 ont beaucoup
 
 du pré-
 
 acquiert
 
 aux
 
 caces.
 
 et naît le comporte-
 
 : certaines études ont constaté
 
 Y surnuméraire
 
 interprétation
 
 destructrice
 
 des
 
 correspon-
 
 : de la désunion
 
 programmé
 
 la notion
 
 S. Freud
 
 au dualisme
 
 sonnelles
 
 criminologie
 
 (en particulier
 
 globalement
 
 Les
 
 avatar du courant bioanthropologique la fréquence
 
 de vie et de mort,
 
 Dans
 
 d’union-désunion
 
 à l’agressivité.
 
 parler d’elles en induisant
 
 marquée
 
 de
 
 etc.).
 
 Sur le plan biologique.
 
 pulsions
 
 mation et
 
 de Caine, échelle d’hostilité
 
 Buss-Dunkee,
 
 cifique
 
 des échelles
 
 manie.
 
 plus globale de l’agressivité, le contexte
 
 pas de
 
 agressive,
 
 souvent une élévation
 
 psychopathie,
 
 peuvent
 
 s’il ne retrouve
 
 la notion
 
 joue un rôle fondamental
 
 agressive
 
 personnels
 
 des pulsions,
 
 ment agressif. Pour M. Klein,
 
 en pratique.
 
 peuvent
 
 de plus en plus
 
 introduit
 
 pulsion
 
 de
 
 avec la
 
 par les psychanalystes. théorie
 
 affective.
 
 par référence
 
 l’ap-
 
 L’importance
 
 ont été soulignés
 
 précisément
 
 de
 
 fournit
 
 et son lien complexe
 
 vité-sexualité
 
 suffisamment
 
 Sur le plan psychopathologique.
 
 sexualité
 
 dant
 
 de faire une
 
 sûre pour qu’elle soit acceptable sur le plan éthique et utilisable
 
 la plus complète.
 
 sa dernière
 
 par l’idée de prédire,
 
 Il est impossible
 
 La psychanalyse
 
 l’agressivité
 
 le psycho-
 
 ont
 
 théoriques
 
 que le stimulus,
 
 traces mnésiques,
 
 (com-
 
 phénoménologie)
 
 des interprétations
 
 l’agressivité.
 
 niveau
 
 psychologiques
 
 portementalisme,
 
 nales, etc.
 
 Que ce soit pour le psychiatre,
 
 théoriques
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 particulièrement
 
 Il faut mentionner sions pathologiques l’agressivité
 
 violente.
 
 deux exemples d’expresbien particulières
 
 : chez le patient
 
 tique, l’agressivité
 
 prisonnière
 
 de
 
 psychosomas’inscrit
 
 sur
 
 le corps ; chez le pervers, elle est érotisée et canalisée dans le scénario choisi. Enfin, l’alcool désinhibiteur,
 
 et les drogues, par leur effet favorisent
 
 la survenue
 
 des
 
 passages à l’acte agressifs. 31
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 Traitement
 
 méconnaissances
 
 Outre les cas où elle s’inscrit ladie psychiatrique ment propre,
 
 dans une ma-
 
 peutique.
 
 Celle-ci
 
 devra souvent
 
 différents
 
 niveaux d’action.
 
 Les chimiothérapies
 
 oedipienne
 
 peut nécessiter,
 
 en tant que telle, une intervention
 
 peuvent
 
 place tout à fait justifiée
 
 ments
 
 plus
 
 : certaines
 
 sont maintenant
 
 spécifique
 
 situa-
 
 cacité des thymorégulateurs bamazepine) désormais
 
 établie.
 
 que par la satisfaction
 
 sèque qu’il
 
 procure
 
 de certains facteurs
 
 avec certains
 
 de soi (angl. contrôlent
 
 indiquées
 
 : les thérapies
 
 tales permettent ment
 
 peuvent
 
 analytiques globale
 
 offrent
 
 des mécanismes
 
 dimension
 
 cite à privilégier,
 
 plus
 
 du problème
 
 in-
 
 dans toute la mesure du
 
 des interventions
 
 tion lors de conflits, visant à renforcer, tudes de tolérance, dérivation
 
 actions pédagogiques les atti-
 
 de compréhension,
 
 de l’agressivité
 
 tions symboliques
 
 l’agressivité
 
 de l’enfant
 
 etc.,
 
 vers des situa-
 
 (fêtes, jeux, sports, etc.). J. P.
 
 Ensemble des manifestations réelles ou fantasmatiques de la pulsion d’agression. PSYCHAN.
 
 freudienne
 
 évolué parallèlement sions.
 
 de l’agressivité
 
 à la théorie
 
 Dans un premier
 
 temps,
 
 l’oeuvre
 
 d’une
 
 fique. Cette spécificité
 
 Éducateur et psychanalyste chien (Vienne 1878-id. 1949).
 
 rement
 
 a
 
 étudiées,
 
 ment en deux :
 
 distingue
 
 de Vienne
 
 et analysé par
 
 un champ d’application
 
 pos-
 
 À la source
 
 de
 
 à la vie sociale, qu’il appréd’investi-
 
 que les névroses, il repère une perdes relations
 
 objectales précoces,
 
 à l’analyste
 
 de se situer
 
 à
 
 la place du moi idéal du délinquant.Son ouvrage principal,
 
 écrit en 1925, est Verwa-
 
 hrloste Jugend (Jeunesse à l’abandon). R. L.
 
 les réactions d’évitement.
 
 très précocement,
 
 évo-
 
 Leur in-
 
 subdivise les réactions d’agrippe-
 
 1. la réponse traction, 7 semaines.
 
 observable Une traction
 
 jusqu’à passive
 
 du bras et de l’épaule entraîne la fermeture de la main et une flexion culations
 
 de la délin-
 
 qui les a particuliè-
 
 des réactions
 
 S. Freud
 
 ne ferait que recou-
 
 professionnelle
 
 dans le domaine
 
 et recommande
 
 teraction joue un rôle décisif dans la genèse de la préhension volontaire. ( ÉVITEMENT.)
 
 environ
 
 autri-
 
 il est admis en 1922 à la Société
 
 turbation
 
 Twitchell,
 
 Twitchell
 
 spéci-
 
 une pratique
 
 l’inadaptation
 
 Réaction primitive réflexe de la main à des stimulations tactiles, par laquelle un bébé saisit un objet. C.M.
 
 (August)
 
 délinquance
 
 des passions,
 
 luent avec l’âge puis disparaissent.
 
 vrir à ses yeux celle de toute pulsion : une poussée contraignante qui doit surmonter
 
 de toutes les arti-
 
 du membre intéressé ;
 
 AIDE (COMPORTEMENT D’) (angl. Helping Behaviour, amér. Behavior)
 
 Comportement
 
 consistant
 
 à apporter
 
 une assistance à d’autres personnes dans des situations quotidiennes ou à porter secours à une victime dans des situations d’urgence telles qu’accidents ou agressions. Le concept de comportement distinguer
 
 d’aide est à
 
 de celui d’altruisme. Un compor-
 
 tement est altruiste s’il est adopté volontaidans le but qu’une
 
 modifiée
 
 qui débute vers 2 semaines. Une légère pression de la paume de la main facilite
 
 autre personne en bénéficie, et s’il est émis
 
 simplement
 
 une conséquence
 
 en 1920, de la
 
 de mort ; Freud rend alors compte
 
 du sadisme
 
 par la partie de la pulsion
 
 mort mise directement sion sexuelle,
 
 au service de la pul-
 
 et du masochisme
 
 par une autre partie de la pulsion qui reste dans l’organisme, la libido
 
 par l’excitation
 
 perspective
 
 de Freud,
 
 sion apparaît l’extérieur
 
 (
 
 sexuelle.
 
 ACTING-OUT).J.
 
 dans une perspective rente (l’Agressivité thèse d’une la relation
 
 de mort
 
 ces deux doigts, suivie de celle de toutes les
 
 Dans la
 
 agressivité narcissique
 
 articulations
 
 déclenche
 
 la flexion
 
 de
 
 de la main. Un peu plus tard,
 
 la pression de n’importe
 
 quelle partie de la
 
 comportement
 
 positive.
 
 Par contre,
 
 un
 
 d’aide peut être altruiste
 
 ou
 
 égoïste selon les motivations
 
 Les facteurs
 
 externes
 
 Un comportement
 
 de l’aidant.
 
 dans la motivation
 
 d’aide peut être spon-
 
 tané ou non. Dans le premier
 
 l’expression
 
 ché (par exemple, l’index d’un adulte), et la
 
 des comportements
 
 tournée
 
 prise est assez vigoureuse
 
 une situation
 
 d’agresvers
 
 peu diffé-
 
 en psychanalyse,
 
 dans Écrits, 1966) puisqu’il
 
 plus locale, entre
 
 le pouce et l’index,
 
 Lacan se place
 
 quelque
 
 4 semaines, une pression
 
 Puis, vers
 
 comme une fin en soi et non pour en retirer
 
 paume est efficace, la main serre l’objet tou-
 
 la pulsion
 
 de mort
 
 la réponse traction.
 
 érogène
 
 où elle est liée à
 
 donc comme
 
 même de la pulsion
 
 de
 
 dit,
 
 s’il est adopté
 
 2. le réflexe d’agrippement
 
 avec l’introduction,
 
 proprement
 
 rement,
 
 les obstacles. Cette vue sera sensiblement pulsion
 
 32
 
 Aichhorn
 
 hende avec les mêmes méthodes
 
 des pul-
 
 pulsion
 
 J. P.
 
 sible de la psychanalyse.
 
 J. D., 1986, Biologie
 
 Toutes apparaissent
 
 se refuse à reconnaître, comme A. Adler l’y invite dès 1908, derrière les conduites agressives
 
 des comportements
 
 Paris, P.U.F.
 
 d’agrippement
 
 La conception
 
 sant dans les atteintes du nerf facial et du nerf glossopharyngien.
 
 P. Federn. Il est l’un des rares à faire de la
 
 P., 1982, Neurologie
 
 d’agression,
 
 Diminution marquée ou abolition complète du sens gustatif, se produi-
 
 psychanalytique
 
 Tou-
 
 louse, Privat. Karli,
 
 n.f. (angl. Ageusia, Ageustia)
 
 quance,
 
 de l’autre. Essai sur
 
 et de l’adolescent,
 
 INSOMNIE
 
 AGUEUSIE
 
 d’éducateur
 
 AGRIPPEMENT n.m. (angl. Grasping)
 
 de média-
 
 en les valorisant,
 
 REFLEX
 
 AGRYPNIE n.f. (angl Agrypnia)
 
 gation
 
 : amélioration
 
 de vie, tentatives
 
 GRASPING
 
 Après
 
 TYPE A ET TYPE B
 
 sociales pourront
 
 s’avérer essentielles
 
 des conditions
 
 PULSION,
 
 Paris, O. Jacob.
 
 liales, de groupe).
 
 parfois
 
 mieux leur agressivité.
 
 P., 1974, la Mort
 
 Vincent,
 
 possible, les prises en charge élargies (fami-
 
 Enfin,
 
 Scale) M. R.
 
 Castets,
 
 en jeu ; mais la
 
 relationnelle
 
 année.
 
 que une
 
 Bibliographie
 
 ; les thérapies
 
 une appréhension
 
 en
 
 person-
 
 Self-Consciousness
 
 ACTING-OUT,
 
 assez rapide-
 
 des comportements
 
 facteurs
 
 être
 
 comportemen-
 
 de modifier
 
 jouant
 
 note élevée sur une échelle de conscience
 
 reste plus hypo-
 
 psychothérapies
 
 de situation
 
 dépend
 
 agressifs, dans certaines circonstances, les sujets de type B. Les sujets obtenant
 
 paraît
 
 thétique. Différentes
 
 à l’agresseur,
 
 intrin-
 
 de J. Strelau. Les sujets de type A sont plus
 
 (lithium-car-
 
 Celle des antidépres-
 
 seurs sérotoninergiques
 
 s’expliquer
 
 nels tels que « l’appétit de stimulation », qui peut être évalué par un questionnaire
 
 : l’effi-
 
 dans cette indication
 
 DIFFÉR.Le déclenchement de l’agression « spontanée », paraissant ne pouvoir
 
 interaction
 
 de façon
 
 comme agressivolytiques
 
 d’agrippement E. V.
 
 R. L.
 
 des traite-
 
 utilisés
 
 Le réflexe
 
 persiste jusqu’à la fin de la première
 
 que cette agressivité pourra être
 
 associer
 
 avoir ici une
 
 préventive,
 
 la formation
 
 sa face interne.
 
 dépassée.
 
 théra-
 
 tions d’urgence nécessitent un traitement sédatif par des tranquillisants. Dans une perspective
 
 qui caractérisent
 
 sys-
 
 du moi » ; ce n’est que par l’identification
 
 avérée, qui a son traite-
 
 l’agressivité
 
 tématique
 
 et d’objectivation
 
 1948,
 
 émet l’hypo-
 
 qui serait liée « à et aux structures
 
 de
 
 pour permettre
 
 de soulever le bébé.
 
 il s’agit de comportements du réflexe se développe
 
 cadre de situations
 
 à partir
 
 semaine,
 
 par l’aidant
 
 16e
 
 une indépendance chacun
 
 adoptés en réaction
 
 progressive
 
 d’eux pouvant
 
 marqué
 
 par
 
 des doigts,
 
 se plier isolément
 
 en réponse à une stimulation
 
 localisée sur
 
 adoptés dans le
 
 activement
 
 (volontariat).
 
 recherchées C’est surtout
 
 l’aide spontanée qui a retenu l’attention chercheurs, fournie
 
 à
 
 non prévue. Dans le second,
 
 Un fractionnement de la
 
 cas, il s’agit
 
 et plus particulièrement
 
 dans des situations
 
 des l’aide
 
 d’urgence.
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 Cette attention
 
 par ticulière
 
 quence des questions de la passivité
 
 posées par le constat
 
 des spectateurs
 
 à de telles situations. été un fait divers
 
 Le point de départ a
 
 semblables
 
 : une jeune femme
 
 fut
 
 la victime
 
 la scène de leur
 
 plus d’une demi-heure, recherches
 
 aucun de ces voila police.
 
 Des
 
 réalisées pour comprendre
 
 ce
 
 phénomène
 
 ni n’appela (Latané
 
 et Darley,
 
 que l’absence
 
 xalement
 
 1970) ont
 
 d’aide peut parado-
 
 être une conséquence
 
 du nombre
 
 vateur
 
 etc.), on a pu constater de personnes
 
 vols,
 
 que plus le nombre
 
 présentes
 
 et susceptibles
 
 de
 
 ressentie
 
 par chaque assistant et à l’ambiguïté
 
 de la
 
 situation.
 
 ont aussi un impact
 
 de
 
 : un obser-
 
 susceptible
 
 d’aider
 
 positives
 
 normes
 
 envers soi et les autres,
 
 morales
 
 émotionnelle.
 
 empathie,
 
 intériorisées
 
 et stabilité
 
 Par exemple,
 
 les personnes
 
 qui ont sauvé des Juifs persécutés nazis se distinguent
 
 d’appartenir
 
 au même groupe,
 
 de partager
 
 la même identité
 
 la personne
 
 à aider
 
 sociale
 
 a également
 
 un effet
 
 favorable.
 
 L’aide est plus facilement
 
 nie entre
 
 membres
 
 d’une
 
 que four-
 
 même famille,
 
 en la justice et une grande capacité d’empa-
 
 étranger
 
 dans une tâche si celle-ci
 
 à un domaine
 
 important
 
 pour
 
 l’estime qu’ils ont d’eux-mêmes. Leur crainte est en effet que l’ami ne fasse alors mieux qu’eux-mêmes
 
 on observe qu’une
 
 bonne humeur
 
 dans ce domaine.
 
 Qu’en
 
 est-il
 
 des facteurs
 
 de la motivation
 
 dants potentiels
 
 ? Un premier
 
 aux ai-
 
 constat
 
 est
 
 comportement
 
 d’aide découle
 
 lyse des coûts et profits Notamment,
 
 souffrante
 
 serait
 
 d’autres, souci
 
 l’aide
 
 à une victime
 
 motivée
 
 par le désir de que produit
 
 de la souffrance.
 
 l’aide
 
 La motivaégoïste. Pour
 
 découlerait
 
 de l’autre.
 
 d’un véritable
 
 De nombreuses
 
 D’une part, plus les spectateurs sont nom-
 
 puissants
 
 conceptions.
 
 breux, plus la responsabilité
 
 de chacun est
 
 Darley
 
 et Batson
 
 part, lorsque
 
 chemin
 
 de séminaristes
 
 diluée par le nombre. la situation préter
 
 est ambiguë,
 
 la passivité
 
 indication
 
 chacun peut inter-
 
 des autres comme
 
 du fait
 
 requise.
 
 D’autre
 
 qu’aucune
 
 Par contre,
 
 time
 
 d’un
 
 une
 
 quelque
 
 aide n’est
 
 connaît
 
 dans une situation
 
 où
 
 malaise.
 
 (1973)
 
 ont
 
 mis sur le
 
 une personne
 
 Le besoin
 
 peu ambigu, l’importance.
 
 Ainsi, vic-
 
 d’aide était
 
 facteur La moitié
 
 dont
 
 on
 
 des sémi-
 
 naristes avaient en tête la parabole
 
 du bon
 
 d’autant
 
 (1981)
 
 placer elles-mêmes
 
 des chocs électriques
 
 faire
 
 plutôt
 
 que l’on est responsable
 
 un exposé sur ce sujet. L’autre moitié
 
 avait
 
 cette fuite est aisée.
 
 soit apportée,
 
 gens sont capables
 
 la plupart
 
 d’apporter
 
 des
 
 le secours
 
 nécessaire même s’ils croient
 
 devoir
 
 pour
 
 préparé un exposé sur un thème sans rapport avec l’aide. Les chercheurs s’étaient arrangés pour qu’une partie des sémina-
 
 cela courir eux-mêmes un danger. C’est ce qu’ont montré Clark et Word (1974) dans
 
 ristes se croient en retard pour leur exposé,
 
 une expérience
 
 guïté du besoin d’aide et le danger que les
 
 leur temps. L’aide dont bénéficia la victime fut fonction du temps dont disposaient les
 
 gens croyaient
 
 séminaristes,
 
 où ils ont fait varier l’ambicourir
 
 s’ils intervenaient.
 
 Il
 
 tandis
 
 que les autres croyaient
 
 et pas du tout fonction
 
 s’agissait de venir en aide à un technicien
 
 modèle qu’ils avaient en tête.
 
 apparemment
 
 Cela
 
 tion.
 
 victime
 
 Cette situation
 
 ou moins
 
 d’une d’urgence
 
 claire. L’intervention
 
 électrocu-
 
 internes
 
 d’aide pa-
 
 nalité
 
 raissait soit sans danger, soit impliquer risque d’électrocution.
 
 ne veut
 
 était plus un
 
 Lorsque la situation
 
 avoir tout
 
 pas dire
 
 que les facteurs
 
 tels que les valeurs des personnes
 
 inopérants.
 
 du
 
 Par exemple,
 
 graphiques
 
 et les analyses
 
 d’aide et des préoccupations
 
 Elles montrent
 
 de l’humanité.
 
 que l’homme
 
 est non seulement
 
 du bien-être
 
 d’autrui,
 
 des personnes
 
 a Source
 
 Journal
 
 of Personality
 
 que ce qu’elles sont et font a un impact important sur ce qui leur arrive. ( LOCUS OF
 
 Neuf « héros » sur dix : on est loin d’une
 
 hommes
 
 passivité des spectateurs !
 
 s’expliquer
 
 L’émission
 
 d’un comportement
 
 donc largement tuationnels
 
 dépendre
 
 sociaux,
 
 De tels facteurs
 
 font
 
 ment des spectateurs à l’héroïsme.
 
 D’autres
 
 des facteurs
 
 extérieurs varier
 
 à l’acteur.
 
 de la passivité facteurs
 
 également.
 
 à-dire
 
 les règles de conduite
 
 totale
 
 de ce type
 
 Ainsi, les normes, c’estdonnée,
 
 en vigueur
 
 interviennent
 
 elles aussi.
 
 (
 
 puissante
 
 est celle de la réciprocité,
 
 pousse
 
 si-
 
 le comporte-
 
 jouent
 
 dans une société
 
 d’aide peut
 
 NORME
 
 SOCIALE.)
 
 les gens à aider
 
 aidés volontairement.
 
 qui
 
 ceux qui les ont
 
 La norme de justice
 
 aident
 
 d’urgence, les
 
 plus souvent,
 
 attendus de la part
 
 des deux sexes. Un facteur culièrement
 
 interne
 
 de ressentir
 
 Il s’agit de la capacité
 
 ce que vit une autre personne
 
 un peu comme
 
 si on le vivait
 
 tout en gardant conscience ne permettent
 
 terme
 
 le
 
 d’aide dans toutes les situa-
 
 Ce sont surtout
 
 s’engagent
 
 du fait que l’on
 
 pas de prédire les volontaires
 
 dans des actions
 
 qui se distinguent
 
 C.D.,
 
 Duncan,
 
 qui
 
 d’aide à long
 
 par une « per-
 
 B.D., Ackerman,
 
 P.,
 
 K., 1981, « Is Empathic of Altruistic
 
 Motivation
 
 ? »,
 
 and Social Psychology,
 
 40,
 
 p. 290-302. Clark,
 
 R.D. III, et Word,
 
 the Apathetic ristics
 
 L.E., 1974, « Where
 
 Bystander
 
 ? Situational
 
 of the Emergency
 
 », Journal
 
 lity and Social Psychology, Darley,
 
 J., et Batson,
 
 salem to Jericho» Dispositional Journal
 
 Variables
 
 of Personality
 
 is
 
 Characteof Persona-
 
 29, p. 279-287.
 
 C.D., 1973, « «From
 
 : A Study
 
 of Situational
 
 in Helping
 
 Jeruand
 
 Behavior
 
 »,
 
 and Social Psychology,
 
 27,
 
 p. 100-108. Fiske, A.P., 1991, « The Cultural Selfish Individualism.
 
 soi-même,
 
 de l’autre. Ces variables de per-
 
 comportement tions.
 
 parti-
 
 effectif est la capacité d’empa-
 
 thie des personnes.
 
 est distinct
 
 ce qui peut
 
 par les normes sociales concer-
 
 nant les comportements
 
 sonnalité
 
 Une norme
 
 sociale, ou encore qui croient
 
 Dans les situations
 
 assurer
 
 Bibliographie
 
 Emotion
 
 CONTROL.)
 
 pour
 
 est
 
 G. S.
 
 plus aigu de res-
 
 91 %.
 
 mais aussi qu’il
 
 totalement
 
 celles qui ont un sentiment
 
 que jusqu’à
 
 préoccupé
 
 celui-ci.
 
 T. et Birch,
 
 d’aidants
 
 dans
 
 vidualiste
 
 Buckley,
 
 la proportion
 
 altruistes
 
 égoïste ou indi-
 
 sonnes intervinrent.
 
 ne faisait diminuer
 
 historiques
 
 à une vision exclusivement
 
 Batson,
 
 reux de l’aide à fournir
 
 ethno-
 
 toutes les cultures (Fiske, 1991), s’opposent
 
 est juste aident De même pour
 
 ponsabilité
 
 si
 
 la présence des comportements
 
 qui croient que le monde davantage que les autres.
 
 à 36 % si le besoin d’aide était quelque peu ambigu. Par contre, le caractère dange-
 
 même
 
 ainsi que les données
 
 était claire et sans danger, 100 % des perCe résultat descendait
 
 douloureux
 
 Ces études, confirmant
 
 rem-
 
 qui paraît
 
 la situation,
 
 prêt à payer de sa personne
 
 ou la person-
 
 soient
 
 que de fuir
 
 Buckley
 
 préfèrent
 
 une victime
 
 justement
 
 nécessaire
 
 coûte peu,
 
 que des per-
 
 sonnes douées d’empathie
 
 Samaritain,
 
 du fait que l’aide
 
 ces deux
 
 Ackerman,
 
 ont montré
 
 le besoin d’aide est clair, et où il est évident
 
 car ils allaient
 
 qu’elle
 
 mais Batson, Duncan,
 
 recevoir
 
 études
 
 Certes, il est vrai que l’aide est
 
 plus probable
 
 et Birch
 
 le
 
 de ce comporte-
 
 ont été réalisées pour départager
 
 externes.
 
 égoïste
 
 d’une ana-
 
 que de tels facteurs sont sans doute moins que les facteurs
 
 de
 
 à aider. Pour certains,
 
 tion serait donc finalement
 
 internes
 
 les fac-
 
 ou, au contraire,
 
 faire cesser l’état désagréable
 
 internes
 
 des facteurs
 
 parmi
 
 auteurs sur le caractère effecti-
 
 l’observation Le rôle
 
 de
 
 est liée à l’interrogation
 
 altruiste
 
 ment.
 
 personne
 
 de l’empathie,
 
 teurs internes, vement
 
 moins per-
 
 est plus susceptible d’aider.
 
 L’importance nombreux
 
 ou entre amis. Une exception, toutefois : les gens sont plus réticents à aider un ami
 
 par les
 
 par une foi profonde
 
 manents,
 
 fournir l’aide était élevé, moins cette aide était fournie. Les raisons de cet effet ont trait au niveau de responsabilité
 
 à soi. Les caractéristiques
 
 attitudes
 
 », incluant
 
 sentiment
 
 appartient
 
 accidents,
 
 s’ils paraissent
 
 altruiste
 
 thie. Parmi les facteurs internes
 
 situations
 
 mises en scène par les chercheurs
 
 peuvent
 
 sonnalité
 
 une personne au physique jugé agréable. Le
 
 qu’un
 
 simulée,
 
 d’être aidé. Les mo-
 
 sera davantage
 
 élevé de spectateurs. En effet, dans diverses (crise d’épilepsie
 
 si cet autrui est
 
 aussi jouer un rôle, surtout
 
 en
 
 Bien que l’assassinat ait duré
 
 sins n’intervint
 
 perçu comme méritant
 
 survenu
 
 observaient
 
 appartement.
 
 incite à aider autrui surtout
 
 dèles présents dans une situation
 
 par un agresseur alors que 38
 
 de ses voisins
 
 montré
 
 confrontés
 
 dramatique
 
 1964 à New York poignardée
 
 a été la consé-
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 Anthropological
 
 dence that Humans
 
 are Inherenthly
 
 in Clark
 
 Review
 
 M.S. (Ed.),
 
 Social Psychology p. 176-214,
 
 Relativity
 
 Newbury
 
 Latané,
 
 B., et Darley,
 
 ponsive
 
 Bystander
 
 EviSociable
 
 of Personality
 
 : vol. 12, Prosocial
 
 of »,
 
 and
 
 Behavior,
 
 Park, CA, Sage. J.M., 1970, The Unres-
 
 : Why doesn’t he Help ?, New
 
 York, Appleton-Century-Crofts. Vallerand,
 
 R.J., et Senécal,
 
 C.B., 1994, « le
 
 33
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 Comportement
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 d’aide : perspectives
 
 et contemporaines les Fondements 615, Québec,
 
 », in Vallerand de la psychologie
 
 Gaëtan
 
 R.J. (Éd.),
 
 Morin.
 
 administratif
 
 ou A.S.E.
 
 adapté
 
 à son environnement.
 
 (angl. Ontogenetic
 
 années 1983 et suivantes,
 
 des
 
 ce service public
 
 du conseil
 
 général.
 
 Gérant des foyers de l’enfance ainsi que des établissements
 
 spécialisés, l’A.S.E. a égale-
 
 ment dans ses attributions familiaux
 
 et l’adoption
 
 quement
 
 les placements
 
 des enfants juridiM. G.
 
 ONTOGÉNÉTIQUE
 
 Adaptation
 
 transitoire
 
 particulières
 
 au cours de
 
 la vie (selon S. Oppenheim, L’expression, mith
 
 en 1912,
 
 adaptations elles
 
 1981).
 
 ture
 
 cellulaire
 
 K. Brodmann
 
 aujourd’hui
 
 numérotées
 
 de 1 à 52, en se fondant
 
 taille des neurones,
 
 sur la
 
 leur densité, le nombre
 
 c’est-à-dire
 
 et parce que, obéissant
 
 cipe de conservation, l’adjectif
 
 de réfé-
 
 fait, il s’agit de phénomènes
 
 peu explicite
 
 (Julien
 
 Neuropsychiatre
 
 français
 
 d’origine
 
 espagnole (Bilbao 1911-Villefranque, Pyrénées-Atlantiques, 1993).
 
 biochimiques,
 
 de disparaître,
 
 sous l’influence,
 
 ment, de J. Lhermitte,
 
 notam-
 
 de H. Wallon
 
 et de J.
 
 Piaget. Dès 1949, il publie avec H. Hecaen le Cortex cérébral, qui ouvre la voie à une nouvelle
 
 spécialité
 
 : la neuropsychiatrie
 
 (« neuropsychopathologie
 
 »). Cette orien-
 
 tation ne cesse de s’affirmer sa carrière
 
 tout au long de
 
 et, en particulier,
 
 activité
 
 clinique
 
 chiatrie
 
 infantile,
 
 vaux aboutit
 
 à travers
 
 et ses recherches où l’ensemble
 
 à la publication
 
 de psychiatrie
 
 de l’enfant,
 
 vrage rassemble
 
 en psy-
 
 de ces tra-
 
 d’un Manuel
 
 en 1970. Cet ou-
 
 le produit
 
 d’un enseigne-
 
 ment dispensé principalement de médecine
 
 son
 
 à la faculté
 
 de Genève, où il est profes-
 
 à ou
 
 pas leur trace.
 
 Chez les Vertébrés
 
 supérieurs,
 
 les migra-
 
 tions cellulaires
 
 massives de la gastrula,
 
 de la plaque neurale à partir
 
 chordomésoderme
 
 essentiellement
 
 le développement mières
 
 de l’enfant
 
 années, s’efforcent
 
 dans une vaste synthèse, d’expériences, neurologie,
 
 d’observations
 
 de la psychiatrie,
 
 logie expérimentale
 
 axées sur
 
 dans ses pre-
 
 antagonistes
 
 de l’épigenèse. transitoire,
 
 et fonctionnel,
 
 développement
 
 Un
 
 ; selon Rakic (1975), elles
 
 la migration
 
 des cellules granu-
 
 celles-ci
 
 des matériaux
 
 et assurent,
 
 et de la psychanalyse. R. L.
 
 ainsi à la for-
 
 également
 
 profondes.
 
 sont constituées,
 
 lules gliales se différencient
 
 de la psycho-
 
 : des cellules
 
 des couches granulaires
 
 Lorsque
 
 exemple
 
 très tôt dans le cerve-
 
 lées, et elles contribueraient mation
 
 alors, d’autres de nombreuses
 
 fonctions.
 
 On a
 
 raisons de pen-
 
 ont une fonction
 
 étrangère à leurs fonctions
 
 les cel-
 
 en astrocytes
 
 ser que les contacts entre neurones, précocement,
 
 pairs sociale
 
 sensibles aux aspects spémilieux
 
 est confronté
 
 auxquels
 
 dans sa vie, ont
 
 sur ces phénomènes
 
 Mais une notion
 
 aussi clairement
 
 que celle d’ajustement suscite à bon droit
 
 raison des difficultés
 
 tran-
 
 ontogé-
 
 la défiance,
 
 de la contrôler
 
 en
 
 ou de
 
 la réfuter. H. B.
 
 AKINÉSIE ou ACINÉSIE n.f. (angl. Akinesia)
 
 Incapacité partielle d’exécuter un mouvement. GÉNÉR.
 
 ou totale
 
 Signe majeur du syndrome parkinsonien qui se traduit par la rareté du geste, la difficulté de la mise en route, la perte du balancement du bras au cours de la marche et qui, pour une grande part, est à l’origine de l’amimie et de la rareté du clignePSYCHIATR.
 
 ment
 
 palpébral. R. L.
 
 a été noté dans le
 
 du cervelet
 
 gliales apparaissent
 
 mais
 
 à la fois morpho-
 
 de rassembler, issues de la
 
 et
 
 dans de nombreuses
 
 des phénomènes
 
 guideraient
 
 Ses recherches,
 
 La surproduction
 
 de cellules,
 
 professeur
 
 du développement.
 
 du
 
 régions du système nerveux central, consti-
 
 logique
 
 entre
 
 la
 
 et la présence de bran-
 
 chies en font partie.
 
 let des Primates
 
 au Collège de France, à la chaire
 
 de tous
 
 de ce type.
 
 d’ajustement
 
 réciproques
 
 des actions
 
 des différents
 
 sitoires.
 
 des traits
 
 normaux
 
 cifiques
 
 attiré l’attention
 
 les êtres organisés,
 
 tuent
 
 du niveau
 
 dans lesquelles on ne
 
 dans l’embryologie
 
 seur de 1959 à 1975. En 1975, il est nommé de neuropsychologie
 
 34
 
 On remarque,
 
 la mort
 
 adap-
 
 pour laisser place à d’autres
 
 généralement
 
 formation
 
 (par
 
 la bouche)
 
 un mode d’interaction
 
 qui
 
 Il s’oriente très tôt vers la recherche neuropsychologique
 
 ouvrir
 
 Les imitations
 
 Les éthologistes,
 
 nétique
 
 d’adaptation,
 
 retrouve
 
 entre
 
 ensuite le pas à d’autres formes d’échange.
 
 et qui ont pour caracet de s’éteindre,
 
 très
 
 attractif
 
 servir de régulateur
 
 l’individu
 
 de répondre
 
 s’interpose
 
 et la réponse
 
 la bouteille,
 
 constituent
 
 finaliste
 
 principaux
 
 année, comme
 
 stimulus
 
 et la synchronie
 
 que nerveux
 
 physiologiques
 
 des besoins immédiats formes
 
 transitoires
 
 qui, elles, persistent
 
 le biberon)
 
 En
 
 être aussi bien morphologiques,
 
 tères distinctifs
 
 de)
 
 » ap-
 
 et même ambigu.
 
 et comportementaux Ajuriaguerra
 
 à
 
 que, dans cette
 
 « ontogénétique
 
 à une sen-
 
 spécifique aux enfants de 2 à 3 ans, qui cède
 
 à un prin-
 
 elles contribuent
 
 On conviendra
 
 peuvent
 
 est
 
 comme
 
 et de façon immédiate, d’un
 
 tée (saisir
 
 à des
 
 des changements
 
 paraît
 
 G. S.
 
 l’apparition
 
 d’activation.
 
 enfance,
 
 de Moro
 
 tout au long de la première
 
 exemple
 
 au cours de l’embryologie
 
 La carte
 
 rence.
 
 dans
 
 les ajus-
 
 Il en est de même des
 
 rythmiques,
 
 pour la plupart,
 
 la survie.
 
 parmi
 
 [RÉ-
 
 : on tend aujourd’hui
 
 de vection.
 
 et pourrait
 
 rapide)
 
 ARCHAÏQUE
 
 à compter
 
 transitoires
 
 (les exemples qui en sont donnés se situent,
 
 l’abondance
 
 sert toujours
 
 tements
 
 fréquemment,
 
 et la personnalité
 
 acception,
 
 établie par Brodmann
 
 seraient
 
 FLEXE]),
 
 (
 
 le pédalage ; cette réaction
 
 apparaissent
 
 bien délimités
 
 de couches présentes dans chaque région et des axones myélinisés.
 
 Si
 
 des transformations
 
 périodes où le rythme
 
 en 52 aires différentes,
 
 d’archaïques
 
 réactions
 
 d’ontogénétiques,
 
 (1908)
 
 cérébral de l’homme
 
 des
 
 pas nécessairement
 
 temporel
 
 mais semble
 
 à la naissance.
 
 sation
 
 et de la prime
 
 le cortex
 
 une préparation
 
 désigne
 
 des moments
 
 chez
 
 pas due à des
 
 de mécanismes,
 
 d’équilibration
 
 et par sa fonction. a divisé
 
 n’apparaît
 
 une réponse
 
 qui affectent l’organisme
 
 du cortex cérépar son architec-
 
 les Mammifères,
 
 la dimi-
 
 de la gestation,
 
 le réflexe
 
 qualifiées
 
 le décours
 
 Région délimitée bral, caractérisée
 
 semaines
 
 des
 
 foetaux, dans les
 
 à considérer
 
 sur le cours du développement.
 
 comme
 
 Ainsi,
 
 forgée par Delage et Golds-
 
 qui n’ont
 
 sont
 
 dans leur majorité,
 
 des mouvements
 
 qualifiés
 
 aux situations
 
 rencontrées
 
 ou présu-
 
 Certains réflexes du nouveau-né, voués à une disparition plus ou moins rapide et
 
 Adjustment)
 
 c’est à la fois parce qu’elles AIRE CORTICALE (angl. Cortical Area)
 
 nution
 
 les ajuste-
 
 repérés
 
 fonctionnelles.
 
 constituer
 
 d’effet
 
 adoptables.
 
 adaptations
 
 changements
 
 tives et éducatives
 
 Depuis les lois sur la décentralisation
 
 ontogénétiques
 
 dernières J.-F. L. N.
 
 AJUSTEMENT
 
 les plus favorables.
 
 du comportement,
 
 més représentent,
 
 ADAPTATION
 
 départemental
 
 du président
 
 ments
 
 Ensemble des modifications de l’organisme destinées à le rendre mieux
 
 qui a pour rôle d’assurer aux enfants la protection et les conditions affec-
 
 dépend
 
 Au plan
 
 AJUSTEMENT n.m. (angl. Adjustment)
 
 sociale, p. 567-
 
 AIDE SOCIALE À L’ENFANCE
 
 Service
 
 classiques
 
 établis
 
 trophique
 
 ultérieures.
 
 ALCOOLÉMIE n.f. (angl. Blood Alcohol Level, BAL)
 
 Présence d’alcool
 
 dans le sang.
 
 Le taux d’alcoolémie s’exprime en grammes par litre de sang. En France, la loi fixe à 0,80 g d’éthanol le taux au-delà véhicule
 
 duquel
 
 automobile
 
 en l’absence d’accident Code de la route.
 
 pur par litre de sang la conduite
 
 est un délit,
 
 d’un même
 
 ou d’infraction
 
 La loi s’applique
 
 ment aux auteurs et aux victimes et délits de droit commun.
 
 au
 
 égale-
 
 de crimes
 
 La mesure de ce
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 taux d’alcoolémie lyseur d’haleine, d’éthanol
 
 s’opère soit par un anaou éthylomètre
 
 dans l’air
 
 lyse chimique
 
 expiré),
 
 (détection
 
 soit par ana-
 
 du sang prélevé par ponction
 
 que des échanges internationaux, participation
 
 de l’Organisation
 
 de la santé (
 
 avec la
 
 (O.M.S.),
 
 mondiale
 
 furent
 
 la famille chimique
 
 d’éthanol, avec la formule
 
 ALCOOLOGIE.)
 
 LES BOISSONS Elles se composent
 
 P. F.
 
 dont
 
 on
 
 qu’il est dangereux En adoptant relative
 
 nité, les premiers qu’un
 
 peut
 
 au traitement
 
 1954
 
 une loi
 
 des alcooliques
 
 dan-
 
 propriétés
 
 sucré
 
 à l’air
 
 un breuvage ayant des
 
 psychotropes
 
 ci furent
 
 exposé
 
 en quelques jours, grâce aux
 
 levures ambiantes,
 
 pour autrui.
 
 le 15 avril
 
 hommes avaient observé
 
 jus de fruits
 
 libre devenait
 
 présumer
 
 d’abord
 
 Les boissons
 
 Les vins sont alcoolique
 
 du raisin.
 
 l’extrême
 
 de la saveur et du degré alcoolique.
 
 Celui-ci
 
 peut varier
 
 Christ,
 
 délinquants
 
 et ceux qui ne présentent
 
 de troubles
 
 mentaux
 
 pas
 
 justifiant
 
 d’un inter-
 
 nement. En effet, de nombreux
 
 alcooliques,
 
 bien que n’entrant catégories, danger
 
 dans aucune de ces deux
 
 n’en présentent
 
 pas moins
 
 pour leur entourage
 
 Toutefois,
 
 la loi
 
 un
 
 ou la société.
 
 ne définit
 
 pas en quoi
 
 millénaires
 
 avant Jésus-
 
 la bière et le vin étaient connus des
 
 Sumériens
 
 et peut-être
 
 aussi des Chinois.
 
 Plus tard, chez les Grecs, Homère expressément
 
 dans l’Iliade
 
 en parle
 
 et l’Odyssée,
 
 tandis que ces boissons sont fabriquées Chaldée,
 
 en Judée, en Palestine
 
 la vigne et d’en sélectionner
 
 plants.
 
 matière
 
 eucharistique. l’art
 
 Aux premiers
 
 l’expansion
 
 Les
 
 de cultiver, les
 
 siècles de notre
 
 du christianisme
 
 avec l’extension
 
 ère,
 
 de la viticulture
 
 culièrement
 
 difficile
 
 la cervoise. Deux événements majeurs mar-
 
 d’alcoolique
 
 dangereux.
 
 aux Barbares
 
 du nord de l’Europe,
 
 ils savaient fabriquer quèrent
 
 une variété de bière,
 
 alors l’histoire
 
 de l’alcool
 
 :
 
 - au VIIe siècle après Jésus-Christ, prohiba
 
 Perte de la liberté cool (P. Fouquet).
 
 de s’abstenir
 
 2.
 
 En 1849, un médecin gastro-entérologiques, festement
 
 affections
 
 neurologiques,
 
 cardiologiques
 
 psy-
 
 étaient
 
 liées à l’absorption
 
 d’eau-de-vie
 
 d’al-
 
 suédois, M. Huss,
 
 ayant observé que de nombreuses chiatriques,
 
 mani-
 
 inconsidérée
 
 de haut degré alcoolique,
 
 créa
 
 le mot alcoolisme, désignant ainsi le commun dénominateur de cette pathologie si diverse. Le terme en usage jusqu’alors
 
 était
 
 ivrognerie. Ce nouveau mot en « isme » avait l’avantage moins
 
 de ne plus véhiculer,
 
 de minorer
 
 rejetait
 
 la charge
 
 les ivrognes
 
 ou tout au affective
 
 qui
 
 dans le domaine
 
 du
 
 péché. Ce « vice », longtemps par les classes dirigeantes nage des classes laborieuses, rapporté
 
 considéré
 
 des seules boissons distillées, fermentées
 
 volontiers
 
 nuire
 
 » et sans
 
 balayèrent l’alcool
 
 pendant
 
 chez tous les peuples islamisés ;
 
 - la découverte
 
 de l’art de la distillation,
 
 fin du premier
 
 millénaire,
 
 Europe
 
 et Arnaud
 
 de Villeneuve),
 
 pas établi si l’invention (aqua vitae) obtenue fut connue
 
 comme
 
 Lulle
 
 bien qu’il ne soit de l’alambic
 
 XVIIe siècle, ayant été jusqu’alors
 
 du
 
 réservée à
 
 - préparation
 
 teintures
 
 - et à des fins thérapeutiques
 
 conserver
 
 la jeunesse et prolonger
 
 entreprises
 
 et
 
 Les boissons
 
 On trouve
 
 parmi
 
 vie. Alors peuvent
 
 les eaux-de-vie
 
 16o,
 
 par exemple, calvados
 
 des pour
 
 la vie.
 
 visage des boissons alcooliques
 
 ou agricole madère,
 
 20o,
 
 Les liqueurs
 
 fortement
 
 aromatisée
 
 à base de
 
 ou à base d’alou encore des sont des
 
 titrant
 
 de 15 à 60o.
 
 MÉTABOLISMEDE L’ALCOOL L’alcool
 
 ingéré
 
 duodénum sivement
 
 écri-
 
 Trois
 
 catalase
 
 l’éthanol
 
 et méos)
 
 par des mécanismes
 
 Les travaux capital
 
 (par
 
 transforment Celui-ci
 
 par
 
 récents
 
 font ressortir envers
 
 du métabolisme
 
 l’alcool
 
 cellulaires.
 
 de l’alcoolisme, courante,
 
 en plus de certains tests hépatiques
 
 de 1919 à
 
 minase par exemple)
 
 ce n’est dans
 
 globulaire
 
 moyen
 
 soit au
 
 du tissu cérébral,
 
 des membranes
 
 de pratique
 
 le rôle
 
 dans la survenue
 
 islamique,
 
 » ayant reçu le nom
 
 à son
 
 en acétate, qui est éliminé
 
 de l’acétaldéhyde
 
 jourd’hui
 
 de la
 
 est
 
 Le dépistage biologique
 
 véhémentes
 
 mas-
 
 complexes,
 
 de la dépendance niveau
 
 Il arrive
 
 du
 
 systèmes enzymatiques
 
 en acétaldéhyde.
 
 fermentées de joie,
 
 au niveau
 
 au foie par l’intermédiaire
 
 veine porte. (ADH,
 
 est absorbé
 
 et du jéjunum.
 
 l’organisme.
 
 qu’au XIXe siècle qu’elle fut introduite
 
 50o).
 
 très sucrées à base d’eau-de-vie
 
 excessive,
 
 vers 1635 (Bornehave),
 
 de grain
 
 ou digestifs
 
 soit des hymnes de glorification
 
 aux États-Unis
 
 17o)
 
 cool (anis ou pastis, 45 à 50o)
 
 soit au contact
 
 après la prohibition
 
 de fruit
 
 (jusqu’à
 
 vin (porto,
 
 mondiale,
 
 exemple,
 
 de cidre type
 
 sont des apéritifs
 
 boissons
 
 :
 
 50o
 
 gin, genièvre, vodka, aquavit,
 
 chéance. D’où, dans la littérature soit des condamnations
 
 de 40 à
 
 Les spiritueux
 
 bitters.
 
 ne
 
 supérieur
 
 les eaux-de-vie
 
 (50o),
 
 le double
 
 ou distillées : ferments de réconfort,
 
 fermentées
 
 les eaux-de-vie
 
 industriel
 
 métabolisé
 
 juristes,
 
 reconnu
 
 les eaux-de-
 
 titrent
 
 les eaux-de-vie
 
 (40o),
 
 losophes,
 
 vains et poètes avaient
 
 celles-ci
 
 avoir un degré d’alcool
 
 tour,
 
 d’Église,
 
 distillées
 
 que les boissons
 
 Depuis Platon jusqu’à Huss, médecins, phihommes
 
 d’une solution
 
 était
 
 boisson qu’à partir
 
 d’alcool
 
 prévalut, furent
 
 ne fut connue en
 
 grâce à ce procédé ne
 
 des fins pharmaceutiques
 
 probable-
 
 de miel dans l’eau de pluie.
 
 due aux Grecs ou aux Arabes. L’eau-de-vie
 
 que des
 
 objectives
 
 à la
 
 qu’au XIIIe siècle (Raymond
 
 1933). « L’eau brûlante
 
 recherches
 
 arabes
 
 des siècles l’usage de
 
 d’alcoo-
 
 maladie
 
 de
 
 boisson alcoolique,
 
 par fermentation
 
 rhum
 
 Guerre
 
 comme
 
 s’obtient
 
 les conquêtes
 
 du Prophète,
 
 L’hydromel,
 
 6o.
 
 ment la toute première
 
 mort
 
 la prohibition
 
 que la notion
 
 de 5 à
 
 type whisky,
 
 sources de misère et de dé-
 
 étaient
 
 et titrent
 
 celle du vin. Après la
 
 pour certains
 
 (vin et bière)
 
 selon qu’il s’agit d’une
 
 de luxe. Les cidres et poirés proviennent
 
 et particulièrement
 
 fut d’abord alors que les
 
 crus ; la bière titre
 
 bière blonde de table ou d’une bière brune
 
 type kirsch
 
 et de « santé », mais aussi
 
 excessive
 
 d’orge
 
 d’alcool
 
 9o
 
 à la pureté de l’âme,
 
 danger. Ce n’est guère qu’après la Seconde lisme
 
 de toute subs-
 
 de convivialité
 
 réputées « hygiéniques mondiale
 
 Mahomet
 
 l’apa-
 
 comme
 
 à la consommation
 
 boissons
 
 la consommation
 
 tance pouvant
 
 Dépendance à l’égard de l’alcool et ensemble des manifestations pathologiques dues à cette dépendance.
 
 entre 4 et
 
 à
 
 M. G.
 
 1.
 
 plus de grains
 
 en Gaule.
 
 Quant
 
 ALCOOLISME n.m. (angl. Alcoholism)
 
 et du malt d’orge pur ou associé à 30 % au
 
 alla de pair
 
 de cette dangerosité. Ces facteurs restant le plus souvent contingents, il est donc partide porter le diagnostic
 
 avec du houblon
 
 d’eau
 
 consacre
 
 de tailler
 
 et sociaux dans l’appréciation
 
 fabriqué
 
 poires fraîches avec ou sans addition
 
 Jésus-Christ
 
 connaissaient
 
 situationnels
 
 lique d’un moût
 
 alcoo-
 
 Dans les Évangiles, Romains
 
 des facteurs
 
 par fermentation
 
 La
 
 ou de
 
 de l’alcool
 
 compte
 
 vins doux naturels.
 
 du jus de pommes
 
 lique, l’effet désinhibiteur
 
 De plus, il faut tenir
 
 et parfois
 
 13o
 
 la fermentation
 
 le vin comme
 
 du passage à l’acte font est toujours potentielle.
 
 de 8,5 à
 
 en Égypte. Le vin est très cité dans la Bible.
 
 Or, chez l’alcoo-
 
 rôle de facilitateur que la dangerosité
 
 en
 
 et surtout
 
 consiste cette dangerosité.
 
 et son
 
 en
 
 fonction
 
 les alcooliques
 
 qui ne sont pas
 
 : rouges,
 
 blancs, rosés, mais aussi selon le terroir
 
 bière est obtenue
 
 dangereux
 
 à
 
 à des fins mys-
 
 utilisées
 
 Quatre
 
 Ils sont diversifiés
 
 spéciales. Celles-
 
 profanes.
 
 se pro-
 
 par fermentation
 
 en crus fort nombreux
 
 posait de faire soigner de façon obligatoire
 
 le Parlement
 
 fermentées
 
 obtenus
 
 plus pour certains
 
 pour autrui,
 
 ALCOOLIQUES
 
 de deux grands groupes.
 
 tiques et sacrées avant de servir aux usages
 
 gereux
 
 CH2CH3OH.
 
 L’ALCOOL Il est admis que, depuis l’aube de l’huma-
 
 Alcoolique
 
 des alcools sous le nom
 
 instaurés.
 
 veineuse.
 
 ALCOOLIQUE DANGEREUX (angl. Dangerous Alcoholic)
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 au-
 
 comporte (transa-
 
 la mesure du volume
 
 et le dosage d’une
 
 zyme. La constatation est un stigmate fréquent
 
 en-
 
 d’une macrocytose d’alcoolisme,
 
 tan35
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 dis que l’augmentation
 
 de la gamma G.T.
 
 sibles entre alcoolisme
 
 et dépression
 
 peut sous certaines réserves signer l’intoxi-
 
 observations
 
 et des études géné-
 
 cation alcoolique.
 
 tiques tendent certains
 
 RÉALITÉSET
 
 AMPLEUR
 
 ALCO-
 
 DU PHÉNOMÈNE
 
 les conséquences
 
 viduelles
 
 et collectives
 
 d’alcool
 
 ont été mal connues
 
 ment sous-estimées
 
 en France, l’Association vention
 
 de l’alcoolisme
 
 chaque
 
 année
 
 concernant
 
 cas, alcoolisme
 
 (G. Winokur,
 
 Perrier
 
 Plus récemment,
 
 (A.N.P.A.)
 
 publie
 
 tet (1978),
 
 fiables
 
 (1979) ont montré :
 
 C. Brisset
 
 (nombre
 
 mas identificatoires
 
 présents
 
 dans l’ensemble
 
 relatives pour
 
 le nombre
 
 à l’alcool, sociale,
 
 narcissiques.
 
 des activités
 
 de l’État
 
 et celles de la
 
 la mortalité
 
 (3e cause de
 
 D’autres
 
 par l’application ner les traits
 
 vasculaires
 
 personnalité
 
 (environ
 
 2 à 2,5 millions
 
 la morbidité
 
 d’alcooliques
 
 en
 
 France, dont 25 % de femmes, avec presque autant
 
 de surconsommateurs,
 
 haut risque
 
 sur le point
 
 thentiques
 
 malades
 
 individus
 
 de devenir
 
 alcooliques).
 
 aussi que l’absentéisme
 
 à
 
 d’auOn sait
 
 par arrêt de travail
 
 pour maladie
 
 (de 2 à 4 fois plus élevé chez
 
 les alcooliques
 
 que dans le groupe témoin
 
 pris en compte),
 
 les changements
 
 de poste
 
 (dans 40 % des cas) ou les incidences ridiques
 
 (19 % de toutes
 
 confondues) mation
 
 ju-
 
 les infractions
 
 ou individuelles
 
 supposés
 
 d’éducation
 
 L’ensemble
 
 aucun profil
 
 des hypothèses psychologique
 
 étiologiques
 
 vulnérable
 
 sus-
 
 à l’alcool un indi-
 
 chez certains
 
 individus
 
 susceptibles
 
 rabilité
 
 et la tolérance
 
 l’apparition
 
 alcoolopathie
 
 ? La notion
 
 préalcoolique
 
 peut-elle
 
 de
 
 d’une
 
 être retenue
 
 pathologique
 
 liée à ses effets psychotropes
 
 ? La
 
 d’alcool
 
 est
 
 : le plaisir pour
 
 beaucoup, l’annihilation
 
 de l’angoisse pour
 
 certains.
 
 symptôme
 
 Or, l’angoisse,
 
 de la pathologie Bergeret
 
 être l’expression
 
 psychotique,
 
 peut
 
 temporairement, velles libations,
 
 peu féconde
 
 J.
 
 d’où nécessité
 
 mais
 
 de nou-
 
 ce qui peut être une voie s’est montrée
 
 La psychiatrie relativement
 
 dans le secteur alcoologique,
 
 sauf en ce qui concerne
 
 à l’alcool.
 
 Plusieurs
 
 ont été émises : au niveau
 
 les relations
 
 pos-
 
 individuelles
 
 de rester
 
 ont toujours sobres.
 
 ou
 
 Traditionnelle-
 
 ment, les juifs, consommateurs alcooliques,
 
 de
 
 de l’alcoolisme
 
 de boissons
 
 eu la réputation
 
 S. Snyder
 
 a mené plu-
 
 sieurs enquêtes aux États-Unis, montrant que le taux d’alcoolisme dans le groupe de ceux qui pratiquaient religion
 
 effectivement
 
 était particulièrement
 
 dans les années différents
 
 cette
 
 faible. Mais,
 
 1980, l’observation
 
 groupes
 
 d’immigrés
 
 a révélé que le problème
 
 des
 
 en Israël
 
 de l’alcoolisme
 
 existe bel et bien dans cette jeune nation. Les immigrés
 
 irlandais
 
 aux États-Unis,
 
 très
 
 nombreux
 
 au XIXe siècle et au début du XXe siècle, le plus souvent d’origine rurale, ont dû faire
 
 face à de grosses difficultés
 
 d’adaptation.
 
 Le taux d’alcoolisme composant
 
 chez
 
 ce groupe est très
 
 élevé, mais, dès la deuxième
 
 génération,
 
 il
 
 passe de 38 % à 20 %. Les communautés installées
 
 aux États-Unis
 
 cent en raison de traditions anciennes un contrôle vigilant
 
 vis-à-vis
 
 exer-
 
 culturelles
 
 familial
 
 très
 
 et social très
 
 de l’alcool,
 
 contrôle
 
 avec la civilisation
 
 que
 
 américaine
 
 aux mécanismes
 
 français,
 
 A. Robert,
 
 biodes
 
 (rôle des produits
 
 de
 
 rôle des catécholamines
 
 et
 
 logiques ments
 
 et ethnologiques populaires
 
 alcooliques.
 
 vis-à-vis
 
 Le rôle du cabaret, des débits
 
 de boissons, tavernes ou cafés est bien celui d’un lieu privilégié de sociabilité.
 
 où se tissent
 
 font une large place à l’alcool.
 
 s’expriment
 
 dans les enquêtes
 
 neuronales
 
 publique.
 
 en fonction
 
 l’intérêt
 
 de leurs structures.
 
 de ce type sont au centre
 
 des chercheurs
 
 contemporains.
 
 même, des études génétiques de la transmission
 
 tion héréditaire bilité
 
 innée à l’alcool
 
 une vulnéra-
 
 de jumeaux
 
 fants adoptés, la part probable (notion
 
 bons repas que les déchéances peut
 
 entraîner.
 
 l’alcoolique,
 
 l’opinion
 
 agréables et les
 
 Tout
 
 éventuelles en rejetant
 
 publique
 
 française
 
 admet le mythe de l’ivresse joyeuse et virile.
 
 ont mis en évidence,
 
 grâce à l’observation héréditaire
 
 et évoque
 
 De
 
 qu’il
 
 d’opinion
 
 symbolise
 
 beaucoup plus les réunions
 
 d’une disposi-
 
 provoquant
 
 L’alcool
 
 à l’égard de l’alcool
 
 de
 
 qui posent le
 
 les liens
 
 Bien des remèdes populaires
 
 lisme cérébral et au niveau des membranes
 
 du métabo-
 
 socio-
 
 des boissons
 
 culturelles
 
 au niveau
 
 a
 
 des comporte-
 
 Les attitudes
 
 Facteurs
 
 ou d’en-
 
 d’un facteur
 
 de profil génétique
 
 spé-
 
 cifique).
 
 Ils constituent concernant
 
 économiques
 
 l’ensemble
 
 des éléments
 
 la production,
 
 et la consommation
 
 la distribution
 
 d’alcool
 
 ainsi que les
 
 pressions exercées sur le groupe ou les inFacteurs
 
 ou
 
 Le recours
 
 les tensions,
 
 d’entrée dans la dépendance. traditionnelle
 
 névrotique
 
 états limites.
 
 peut apaiser
 
 selon
 
 la vulné-
 
 d’une structure
 
 d’une structure
 
 celle de certains à l’alcool
 
 mentale,
 
 majeur
 
 d’influencer
 
 aty-
 
 relatives
 
 problème
 
 de personnalité
 
 la position
 
 bien étudié les données historiques,
 
 des dispositions
 
 hypothèses
 
 Les travaux
 
 ou psychopatho-
 
 innés ou acquis, susceptibles
 
 consommation
 
 36
 
 des
 
 sociale. Enfin, les
 
 exemples.
 
 Un anthropologue
 
 physiologiques
 
 de la sérotonine), psychologiques
 
 quelques
 
 les contacts
 
 piques
 
 condensation,
 
 ou d’interdire
 
 au
 
 de la conduite
 
 ou des prédispositions
 
 neurotransmetteurs
 
 provoquer
 
 dans le champ
 
 l’ensemble
 
 du syndrome
 
 lique.
 
 de son éducation,
 
 à
 
 n’ont pas entamé.
 
 les trois
 
 alcoo-
 
 modalités
 
 chinoises
 
 reste vif.
 
 chimiques
 
 logiques,
 
 ne permet
 
 pour essayer de répondre
 
 il y a lieu d’envisager
 
 psychologiques
 
 diver-
 
 type. Mais l’intérêt
 
 formulées
 
 vidu dans son milieu,
 
 facteurs
 
 on effectue des prédictives : W.
 
 contradictoires,
 
 somatiques
 
 alors agent pathogène)
 
 Existe-t-il
 
 et les ano-
 
 de la consom-
 
 Pour saisir les conditions
 
 Facteurs
 
 d’une
 
 de ces travaux multiples,
 
 gents, parfois de tracer
 
 de la pyramide
 
 les individus
 
 Facteurs
 
 dimensions
 
 de cer-
 
 Jones (1968).
 
 alcoolique
 
 ÉTIOLOGIE
 
 (devenu
 
 ou
 
 (1960), C. Robins (1962) et G. H.
 
 Ils constituent
 
 de rendre
 
 recueillies
 
 On étudie égale-
 
 malies parentales. Enfin, recherches longitudinales MacCord
 
 sont
 
 spécifiques
 
 alcoolique.
 
 ment les conditions
 
 pathologique.
 
 ceptibles
 
 types d’études
 
 défi que représente l’opacité
 
 font partie des conséquences
 
 collectives
 
 et des déficits
 
 avec pour objectif
 
 l’intérieur
 
 Voici
 
 évolue à un
 
 stable ou variable
 
 collectives.
 
 des tests d’efficience
 
 de personnalité
 
 décès en France après les maladies cardioet les cancers),
 
 initiaux
 
 professionnel
 
 (1959),
 
 des sché-
 
 réalisés grâce à des informations
 
 le coût de l’alcoolisme
 
 les finances
 
 Sécurité
 
 d’emplois
 
 De plus, cet individu
 
 pèsent sur les conduites
 
 pour l’alcoo-
 
 ou des altérations
 
 joue un rôle im-
 
 des au-
 
 F. Cur-
 
 de la société,
 
 rurale ou urbaine,
 
 son groupe social vis-à-vis
 
 en cause le plus souvent
 
 des anomalies
 
 ou socialiste,
 
 (1911),
 
 M. Lasselin
 
 de l’intérêt
 
 lisme en mettant
 
 vin, bière, cidre, rhum, etc.), la distribution de débits),
 
 (1978),
 
 :
 
 (1973), F.
 
 (1974), J. Bergeret (1978),
 
 de pré-
 
 (par catégories
 
 J. Clavreul
 
 et S. A. Shentoub
 
 nationale
 
 la production
 
 portant.
 
 psychogénétiques
 
 comme
 
 A. de Mijolla
 
 Aujourd’hui,
 
 des informations
 
 et états dépressifs
 
 S. Ferenczi
 
 de la structure
 
 dans laquelle vit l’individu niveau
 
 (1908),
 
 teurs français
 
 majo-
 
 dans
 
 avait au début du siècle
 
 S. Rado (1933).
 
 L’influence capitaliste
 
 1972).
 
 K. Abraham
 
 et délibéré-
 
 ou, à l’inverse,
 
 en évidence,
 
 élaboré des hypothèses
 
 indi-
 
 de la consommation
 
 rées de façon occasionnelle.
 
 à mettre
 
 La psychanalyse
 
 OL-ALCOOLISATION-ALCOOLISME
 
 Pendant longtemps,
 
 cliniques
 
 : des
 
 Par facteur semble
 
 socioculturel,
 
 qui s’exercent
 
 en tant
 
 appartient
 
 certain milieu,
 
 adhère
 
 conceptions
 
 qu’il
 
 l’ensur à un
 
 qu’il fait partie d’un groupe
 
 défini,
 
 des coutumes qu’il
 
 on entend
 
 des influences
 
 l’individu ethnique
 
 dividus qui ont des intérêts engagés dans ce
 
 socioculturels
 
 observant traditionnelles,
 
 à une religion, métaphysiques
 
 des moeurs ou ou encore
 
 secteur de l’activité. La France est le premier dial
 
 de vin,
 
 producteur
 
 avec une part
 
 échanges internationaux 1996, les exportations sées - environ
 
 mon-
 
 de 45 % des
 
 (en valeur).
 
 En
 
 de boissons alcooli-
 
 1/5 du total des exportations
 
 à certaines
 
 agro-alimentaires
 
 ou morales.
 
 de 36,8 milliards
 
 - ont atteint
 
 le montant
 
 de francs (soit quelque 120
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 Airbus),
 
 dont un tiers pour les spiritueux
 
 on mesure l’importance Environ
 
 des intérêts en jeu.
 
 600 000 personnes travaillent
 
 le secteur
 
 des vins,
 
 bières
 
 dont 270 000 emplois
 
 soutenus
 
 cité importante.
 
 Celle-ci
 
 Evin).
 
 limitations
 
 Les prix de
 
 et d’accessibilité
 
 sont manifestes,
 
 de
 
 en 1988 et 1991 (loi
 
 Le poids des facteurs
 
 économiques,
 
 léger dans les contrées non productives,
 
 est
 
 lourd dans les pays producteurs. L’intrication
 
 des trois
 
 physiologiques, miques,
 
 est constante.
 
 réciproque. linek,
 
 et écono-
 
 Leur influence
 
 La formulation
 
 qui remonte
 
 valable
 
 sortes de facteurs,
 
 socioculturels
 
 tolérant
 
 à 1960, reste toujours
 
 que de faibles
 
 quotidiennes
 
 est
 
 de E. M. Jel-
 
 : « Dans les groupes d’alcool,
 
 sociaux
 
 à penser qu’il
 
 mais des alcoolismes.
 
 polymorphisme
 
 des alcoolopathies
 
 En 1960, thies pour
 
 laquelle
 
 premières
 
 lettres
 
 coolisme
 
 alpha
 
 l’alcool
 
 constituerait décrite
 
 dépendance
 
 puisse
 
 surtout
 
 ciales courent
 
 de consommateurs
 
 torisent
 
 de fortes consommations
 
 lières, il suffit de présenter lité mineure,
 
 d’ordre
 
 journa-
 
 une vulnérabi-
 
 psychologique,
 
 être exposé
 
 à ce risque.
 
 l’alcoolisme
 
 est bien multifactorielle.
 
 ner, définir
 
 ces multiples
 
 leur mode d’action,
 
 » L’étiologie
 
 de Cer-
 
 facteurs, préciser
 
 les mettre en place, leur
 
 assigner une valeur reste difficile, qu’il existe toujours interaction
 
 pour
 
 d’autant
 
 une intrication
 
 et une
 
 des uns avec les autres.
 
 sissant plutôt
 
 des boissons
 
 bêta serait
 
 l’alcoolisme lisme
 
 delta décrit
 
 gamma,
 
 la consommation
 
 d’alcool,
 
 quelques
 
 détails
 
 coolisme
 
 delta, avec incapacité
 
 tenir
 
 d’alcool
 
 près à l’alcoolose.
 
 forte composante
 
 toxique
 
 alcoolite.
 
 simple : premiers
 
 avec le patient pour recueillir
 
 giques,
 
 des informamédicaux,
 
 ou proprement
 
 relatives
 
 alcoolo-
 
 aux retentissements
 
 son comportement professionnelle
 
 de
 
 sur sa vie familiale,
 
 et sociale. On pratique
 
 ces sujets des tests psychologiques, mens physiques derniers,
 
 est
 
 entretiens
 
 tions relatives à ses antécédents psychiatriques
 
 et biologiques
 
 sur
 
 des exa(pour
 
 ces
 
 recherche du taux de gamma G.T.
 
 et du volume
 
 globulaire
 
 moyen).
 
 contact
 
 complexe,
 
 en cause la personna-
 
 est infiniment
 
 lité du patient et celle du médecin. En effet, le polymorphisme
 
 des tableaux
 
 cliniques
 
 déroutant
 
 car parfois
 
 est particulièrement
 
 aucun signe n’est apparent ; le malade vient consulter
 
 pour des manifestations
 
 logiques
 
 patho-
 
 qui sont déjà des complications
 
 epsilon
 
 très comparables
 
 En 1980, l’Association chiatrie
 
 américaine
 
 a édité un manuel
 
 et statistique
 
 DSM III, qui distingue les critères
 
 d’abus
 
 d’alcool,
 
 handicap
 
 de fonctionnement
 
 professionnel
 
 adopter
 
 ; le malade
 
 face au médecin
 
 une attitude
 
 fensive, refuser de coopérer, muler
 
 qu’il est déjà
 
 de la tolérance
 
 peut dé-
 
 tentatives
 
 depuis
 
 nier ou dissi-
 
 plus ou moins ; il peut enfin exister
 
 une pathologie
 
 associée, physique
 
 ou psy-
 
 sur l’osophage,
 
 La plupart
 
 des clini-
 
 concernant
 
 pour
 
 interviennent divers
 
 et permettent
 
 de rendre
 
 chiffres : modifications la consommation
 
 sevrage*
 
 globale, différents compte
 
 à des de ces
 
 et augmentation
 
 d’alcool filles,
 
 de
 
 et des ivresses
 
 acceptabilité
 
 plus
 
 grande d’une alcoolisation
 
 « sociale » des
 
 femmes, liée à l’évolution
 
 des moeurs et à
 
 publicitaire
 
 et médiatique
 
 désormais
 
 (les
 
 à 81 % indis-
 
 de l’alcool à leurs convives avec eux),
 
 et, surtout,
 
 plus grande aux soins spécia-
 
 l’alcoolisme
 
 cette accroissement
 
 féminin
 
 de
 
 en France doit être re-
 
 lativisé : aux États-Unis,
 
 moins d’un alcoo-
 
 le nombre
 
 tandis qu’à
 
 des femmes alcoo-
 
 2. un âge de début plus tardif moyenne)
 
 (35 ans en
 
 avec deux pics, à 15-30
 
 ans et
 
 ; avant la de-
 
 le syn-
 
 simples aigu,
 
 ne
 
 gastroencancer
 
 stéatose, cir-
 
 neuropsychiatrique
 
 ou pathologiques, subaigu
 
 délire
 
 ou chronique, polynévrites,
 
 Il existe aussi une pa-
 
 cardio-vasculaire
 
 l’homme
 
 ;
 
 4. le type d’alcool
 
 consommé,
 
 liée aux alcoo-
 
 qui varie
 
 d’un pays à l’autre. En Écosse, par exemple, on ne trouve
 
 pas de différence
 
 significa-
 
 tive entre hommes et femmes alors que, en France, les femmes alcooliques
 
 (gastrites,
 
 névrite optique rétrobulbaire,
 
 lopathies.
 
 n’est
 
 d’énumérations
 
 pancréatites,
 
 soit d’ordre
 
 thologie
 
 ont
 
 des alcoolopathies
 
 et hépatique
 
 laquelle se cache le syndrome faut savoir dépister).
 
 hospitalisés
 
 3. la durée de l’intoxication
 
 alcoolique.
 
 que faire l’objet
 
 encéphalopathies).
 
 qu’il
 
 dépendants
 
 les malades alcoolo-
 
 et syndrome
 
 a décidé d’appeler
 
 Les complications
 
 chique (état dépressif par exemple, derrière toxique
 
 alcoo-
 
 liques est presque égal à celui des hommes ;
 
 mais elles ont le
 
 la réflexion
 
 drome de dépendance
 
 alcoolique
 
 repérée comme
 
 autour de la ménopause
 
 nosologiques
 
 satisfaisante,
 
 ce que l’O.M.S.
 
 (ivresses
 
 à mesurer avec préci-
 
 sion : de 1 femme
 
 la Martinique
 
 et un
 
 40 ans. Aucune
 
 de stimuler
 
 rhose),
 
 difficile
 
 dont la réalité
 
 mande de soins, qui est plus brève que chez
 
 Bien d’autres
 
 térologique
 
 est toutefois
 
 comportant
 
 succinctes. Elles sont soit d’ordre
 
 (il n’en parle pas).
 
 une augmentation,
 
 lique sur deux est une femme,
 
 ;
 
 liées à son intoxication de l’alcool
 
 :
 
 lié à cette consommation
 
 peuvent
 
 dépendant
 
 le
 
 et
 
 augmentation
 
 total d’al-
 
 d’alcoolo-dépendants
 
 lisés. Par ailleurs,
 
 social
 
 de dépendance
 
 :
 
 au total). Il faut noter que ces chiffres ma-
 
 accessibilité
 
 pa-
 
 défini
 
 le syndrome
 
 mérite
 
 2, 5 millions
 
 pensable d’offrir
 
 c’est-à-dire
 
 soigneusement
 
 numérique
 
 en France, soit 800 000 à 900 000
 
 femmes estiment
 
 pour l’alcoolisme
 
 thologique
 
 entièrement
 
 sur le nombre
 
 a
 
 de psy-
 
 à la fois un mode de consommation
 
 vu le jour
 
 30 % de femmes (pour
 
 de l’al-
 
 par : importance
 
 cooliques
 
 à
 
 social.
 
 1. une moindre
 
 la pression
 
 aux
 
 mentaux,
 
 la clandestinité
 
 se différencie
 
 féminin
 
 à
 
 diagnostique
 
 des troubles
 
 de sa prise
 
 L’alcoolisme
 
 et de consommer
 
 mais qui, pour lui, ne sont pas à l’évidence De bonne foi, il peut ignorer
 
 une
 
 de sevrage.
 
 En fait, le premier mettant
 
 de s’abs-
 
 L’alcoolisme
 
 la difficulté l’opprobre
 
 chez les jeunes
 
 somalcooloses.
 
 de ces états pathologiques
 
 théoriquement
 
 à
 
 et correspond
 
 organiques
 
 laquelle le condamne
 
 degrés
 
 L’al-
 
 un seul jour, comporte
 
 psychonévro-
 
 en charge thérapeutique,
 
 facteurs
 
 de
 
 correspond
 
 presque
 
 des troubles
 
 s’est accrue. De manière
 
 qui précède de contrôle
 
 son intrication
 
 tion de femmes parmi
 
 de
 
 plus bas. L’alcoo-
 
 avec perte
 
 caractéris-
 
 à 4 pour 12 en 1990. De même, la propor-
 
 choi-
 
 En fait, l’alcoo-
 
 la forme
 
 a pour
 
 pudique,
 
 lique pour 12 hommes en 1960, on est passé
 
 ici
 
 fermentées
 
 faibles degrés alcooliques. lisme
 
 il s’agit
 
 hypertolérants
 
 des caractéristiques Le diagnostic
 
 forts,
 
 se porte
 
 collec-
 
 voile
 
 à des facteurs
 
 nifestent de
 
 que dans la
 
 gamma le choix de l’alcool
 
 la forme
 
 LES ALCOOLOPATHIES
 
 en évidence
 
 Alors
 
 sur des alcools
 
 de
 
 polynévrites),
 
 mettre
 
 physique.
 
 forme
 
 qui au-
 
 durée au cours de
 
 (cirrhoses,
 
 ont tendance à s’opposer à ces normes so-
 
 de la
 
 des complications
 
 sa gravité,
 
 coolisme masculin
 
 à une alcoolisation
 
 et de longue
 
 type somatique
 
 En réalité,
 
 plus bas. L’alcoo-
 
 lisme bêta correspond surviennent
 
 à
 
 L’alcool
 
 le prélude
 
 tique
 
 d’un
 
 qui l’accompagnent,
 
 des douleurs
 
 cette forme
 
 seuls des individus
 
 dans les groupes sociaux
 
 soulager
 
 la méconnaissance
 
 tiques, l’ampleur
 
 grec. L’al-
 
 psychologique.
 
 par les spécialistes,
 
 féminin
 
 constante
 
 un recours
 
 ou émotionnelles.
 
 excessive
 
 a
 
 il s’est servi des cinq
 
 pour
 
 gamma
 
 contourné
 
 tive, le recouvraient
 
 des alcoolopa-
 
 comporte
 
 qui, en raison d’une grande vulnérabilité,
 
 l’inverse,
 
 (1890-1963)
 
 somatiques forme
 
 Longtemps
 
 qui, partageant
 
 du syn-
 
 de l’alphabet
 
 purement
 
 est employé
 
 FÉMININ L’ALCOOLISME
 
 l’alcoolisme
 
 une classification
 
 sans qu’on
 
 À
 
 a incité
 
 à l’intérieur
 
 E. M. Jellinek
 
 consommations
 
 un risque d’intoxication.
 
 Le
 
 drome alcoolique.
 
 laquelle
 
 ne
 
 n’y a pas
 
 un alcoolisme,
 
 publié
 
 par une publia fait l’objet
 
 ciens s’accordent
 
 à des classifications
 
 bas, les efforts de
 
 de présentation
 
 quelques
 
 dans
 
 et spiritueux,
 
 directs.
 
 vente sont relativement diffusion,
 
 :
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 d’une
 
 tendance
 
 paroxystique, hommes,
 
 témoignent
 
 à une alcoolisation cyclique
 
 recourant
 
 plus
 
 et sévère que les
 
 plus volontiers
 
 aux
 
 alcools forts. Il y a unanimité ganisme
 
 pour reconnaître
 
 féminin
 
 que l’or-
 
 est plus vulnérable
 
 celui de l’homme.
 
 L’âge moyen
 
 tion des cirrhoses
 
 chez les femmes
 
 10 années inférieur Un
 
 homme
 
 met
 
 à celui
 
 que
 
 d’appariest de
 
 des hommes.
 
 10 à 20 ans pour
 
 constituer
 
 une cirrhose,
 
 ne mettre
 
 que 5 années.
 
 une femme
 
 se peut
 
 Les anomalies 37
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 électroencéphalographiques fréquentes
 
 chez les femmes
 
 hommes, tions
 
 sont
 
 plus
 
 que chez les
 
 les polynévrites
 
 et les complica-
 
 neuropsychiatriques
 
 plus précoces
 
 et plus sévères. La surmortalité femmes
 
 alcooliques
 
 chez les
 
 jeunes montre
 
 aussi
 
 qu’elles sont plus touchées que les hommes alcooliques
 
 du même âge. L’inégalité
 
 siologique
 
 s’ajoute
 
 phy-
 
 donc à une inégalité
 
 sociologique. Du point
 
 de vue clinique,
 
 des problèmes majeure.
 
 est
 
 On repère des structures
 
 névro-
 
 tiques ou de forts éléments
 
 dépressifs
 
 approches
 
 en France (M.
 
 Fontan,
 
 psychanalytiques Lasselin)
 
 montrent
 
 passe comme si la femme d’elle-même
 
 que tout
 
 une image trouée,
 
 et se voyait
 
 comme un terrain
 
 de blessures
 
 narcissiques
 
 Ce vide central visoirement
 
 avait
 
 de failles et
 
 non cicatrisées.
 
 ne peut être comblé
 
 réel, l’alcool. Au-delà
 
 pro-
 
 de l’objet
 
 du poids des facteurs
 
 et de la vulnérabilité
 
 logique propre à l’organisme cours pathologique
 
 se
 
 morcelée
 
 que par l’ingestion
 
 sociologiques
 
 ; les
 
 alcoolique
 
 physio-
 
 féminin,
 
 que chez l’homme,
 
 nue plus ;
 
 chiatre),
 
 - on tend à passer d’un consommation
 
 mode régulier
 
 type d’ivresse
 
 en fin de semaine
 
 ceinte alcoolique conséquences
 
 chez une femme est difficile
 
 en-
 
 à établir.
 
 pour le foetus peuvent
 
 très sévères (retard
 
 de croissance, spécifiques
 
 crâne et les membres,
 
 malformations).
 
 contraception
 
 pose des problèmes
 
 - avec l’âge, on constate une augmentation de la consommation
 
 est plus forte chez les
 
 garçons, avec plus d’ivresses ; - un certain
 
 profil
 
 excessive ;
 
 traditionnelle
 
 Selon l’enquête
 
 dans la famille.
 
 1993 de l’INSERM,
 
 ou par goût a succédé un recours
 
 à l’alcool
 
 qui parfois se substitue
 
 comanie*
 
 mais qui peut aussi y conduire
 
 l’accompagner.
 
 L’alcoolisation
 
 un caractère
 
 particulier,
 
 délinquance,
 
 tendance
 
 dence délibérée automobile
 
 à la toxi-
 
 et 66 % des filles
 
 consomment
 
 ; 40 % des garçons
 
 de l’alcool
 
 et 12 % des filles en boivent Autre
 
 constatation
 
 d’expérimentateurs consommateurs, d’alcool
 
 avec agressivité,
 
 en matière
 
 impru-
 
 de conduite
 
 ou de véhicule à deux roues.
 
 : une large
 
 majorité
 
 de drogues
 
 sont
 
 le plus souvent
 
 plus précisément
 
 les dix der-
 
 nières années, selon un article de synthèse de la revue Actualité
 
 et dossier en santé pu-
 
 peute est un acte important,
 
 de son savoir-faire.
 
 des
 
 réguliers,
 
 pas vers la constitualcoolique
 
 tion
 
 l’âge adulte
 
 et à une stabilisa-
 
 de bon aloi. Par contre,
 
 lisations
 
 la morosité
 
 l’anxiété,
 
 ou des structures
 
 sous-jacentes
 
 précoces
 
 la
 
 peuvent
 
 nécessiter
 
 une
 
 prise en charge thérapeutique.
 
 jusqu’en
 
 qui
 
 1950 se sont substituées
 
 thérapeutiques
 
 très diverses,
 
 mises
 
 en oeuvre
 
 dans des structures
 
 soins
 
 originales.
 
 Les responsables
 
 santé publique,
 
 l’opinion
 
 de de la
 
 médicale,
 
 nion publique
 
 ont beaucoup évolué.
 
 Les objectifs
 
 à atteindre
 
 l’opi-
 
 écouter
 
 ou de
 
 les plaintes pourra
 
 thérapeutique.
 
 ordres. Il faut en effet traiter alcool et ses complications, fectuer une rupture un sevrage, suivi
 
 nel des moyens
 
 patient
 
 c’est-à-dire
 
 ef-
 
 opérer totale
 
 Il faut aussi aider l’ensemble
 
 lésée par l’alcool,
 
 vie, restaurer
 
 le symptôme
 
 abstinence
 
 à reconstruire
 
 trajectoire
 
 de deux
 
 d’une
 
 réorganiser
 
 sa
 
 serait possible
 
 sur les boissons
 
 [IREB],
 
 en-
 
 ou neurologique.
 
 sur la santé des
 
 mulée indirectement
 
 jeunes,
 
 Choquet
 
 employeur,
 
 vie Ledoux, [Comité
 
 enquêtes réalisées par le CFES
 
 français d’éducation
 
 il ressort concernant
 
 et Syl-
 
 par la santé]),
 
 autorités demander
 
 du travail,
 
 de santé publique,
 
 reconnaît
 
 la consommation
 
 alcoolique
 
 au thérapeute,
 
 mal le bien-fondé, risque
 
 police,
 
 etc. Poussé à
 
 une aide thérapeutique
 
 suivantes,
 
 - à la différence
 
 par un tiers : conjoint,
 
 médecin
 
 les caractéristiques
 
 des adolescents :
 
 digestive
 
 Souvent aussi elle est for-
 
 quête 1993 de l’INSERM menée par Marie
 
 d’emprunt,
 
 dont il
 
 le patient, face
 
 de se montrer
 
 réti-
 
 cent, voire hostile. de ce que faisaient
 
 appa-
 
 raître les données de 1985, la consomma-
 
 Classiquement, généraliste
 
 ou spécialiste
 
 (ici
 
 qu’il
 
 soit
 
 plus parti-
 
 sans pour autant
 
 alcoolique.
 
 ou sociales
 
 de la
 
 Après de nombreuses la plupart
 
 au caractère
 
 des auteurs
 
 fallacieux
 
 de cette
 
 notion. Dès le début de l’application thérapeutique
 
 du programme
 
 se pose la question suivante :
 
 une hospitalisation
 
 est-elle
 
 nécessaire
 
 ou
 
 non ? Le choix sera guidé par les appréciations portées sur : - l’état
 
 du malade, d’un
 
 manifestant
 
 ou non
 
 sevrage ambulatoire,
 
 grave de son état général, des
 
 comportements
 
 psychiatriques,
 
 possibles, une dangerosité
 
 des réac-
 
 ;
 
 - le degré d’intolérance
 
 de l’entourage,
 
 cessitant ou non une rupture
 
 né-
 
 momentanée
 
 avec le milieu. Les chimiothérapies constituées
 
 sont essentiellement
 
 par les tranquillisants,
 
 dépresseurs,
 
 les neuroleptiques
 
 les antiet les vita-
 
 mines. Les techniques
 
 d’aversion
 
 l’apomorphine
 
 que les techniques
 
 d’interdiction dications
 
 le médecin,
 
 se fixer comme
 
 les manifestations
 
 physiques
 
 une altération
 
 Elle est parfois masquée derrière
 
 Certains
 
 d’une consommation
 
 que réapparaissent psychiques,
 
 les
 
 d’une tolérance normale
 
 contrôlée
 
 potentielle
 
 une symptomatologie
 
 plus haut.
 
 La reprise
 
 claire et
 
 explicite.
 
 il doit tenir compte
 
 définis
 
 la demande de soins est rarement
 
 sont difficiles
 
 Choisi par
 
 en accord avec le pa-
 
 à l’alcool.
 
 en un mot vivre ces
 
 et prévision-
 
 de chacun pour atteindre
 
 but la restauration
 
 l’impossibilité
 
 sans alcool. Faciles à énoncer,
 
 thérapeu-
 
 et sociologiques.
 
 tient et son entourage,
 
 relationnelles,
 
 ses capacités
 
 son autonomie,
 
 le
 
 le programme
 
 de soins médicamenteux,
 
 le ou les thérapeutes,
 
 maladie
 
 à un premier
 
 cohérent
 
 expérimentations,
 
 avec le toxique, d’une
 
 concourir
 
 Le programme
 
 ont changé ».
 
 scientifiques
 
 de la famille
 
 tique est l’ensemble
 
 concluent sont
 
 de
 
 Savoir
 
 thérapeutes ont cru pouvoir
 
 thérapeutique
 
 ou d’effi-
 
 même que les examens biologiques.
 
 deux objectifs
 
 pessimisme
 
 La pra-
 
 cience) peut être un moyen de contact,
 
 des situations
 
 THÉRAPIE
 
 en évitant de
 
 tique des tests (de personnalité
 
 psychologiques
 
 à des alcoo-
 
 l’alcoo-
 
 la vérité trop ouvertement.
 
 tions suicidaires
 
 de recherches
 
 il
 
 comme tel, à exposer
 
 tout ou partie de sa situation
 
 En effet,
 
 (étude
 
 Non seulement
 
 mais d’amener
 
 lique à se reconnaître
 
 à suivre.
 
 récentes
 
 qui inaugure
 
 Il n’est plus question de
 
 faire un diagnostic,
 
 principes
 
 études
 
 et théra-
 
 pour le médecin de faire montre de
 
 de baisser et les modes de consommation
 
 diverses
 
 dans le suivi
 
 entre patient
 
 bilan global qui va orienter
 
 ne débouche
 
 heureux
 
 « Jeunes 1996 » de l’Institut
 
 38
 
 contact
 
 lisation
 
 moyenne
 
 Des
 
 surtout
 
 l’entourage
 
 retrouver
 
 chez les jeunes a cessé
 
 de ces person-
 
 Dans la majeure partie des cas, cette alcoo-
 
 blic (no 20, sept. 1997), « la consommation d’alcool
 
 thérapeutique
 
 à long terme.
 
 travestir
 
 (88 %) ou de tabac (67 %)
 
 et inconditionnelle. Concernant
 
 régulièrement.
 
 ou
 
 prend alors
 
 suicidaire,
 
 à 18
 
 ans, 80 % des garçons
 
 régnait
 
 habitude
 
 de groupes néphalistes.
 
 son savoir, mais aussi, avec tact et patience,
 
 spéci-
 
 par
 
 en alcoologie, psyainsi que d’anciens
 
 une très longue relation.
 
 La
 
 par imitation,
 
 visiteurs
 
 sation précoce initiée
 
 des conduites sation
 
 prédispose
 
 sociales,
 
 à cette
 
 convient
 
 prépsychotiques
 
 à l’alcooli-
 
 activement
 
 : assistantes
 
 Le pouvoir
 
 de la fonction
 
 - la France détient le record pour l’alcooli-
 
 Au lourd
 
 décennies,
 
 participent
 
 entreprise
 
 ou psy-
 
 Mais, en fait, bien d’autres
 
 intervenants
 
 Le premier
 
 psychosocial
 
 à une consommation
 
 dépression,
 
 L’ALCOOLET LES JEUNES
 
 thérapeutique.
 
 nels est incontestable,
 
 être sur le
 
 est seul investi
 
 malades adhérents
 
 et une baisse de l’abs-
 
 tinence ;
 
 fiques.
 
 Dans les dernières
 
 avec des
 
 gastro-entérologue
 
 sociaux, conseillers chologues, infirmiers
 
 Les ano-
 
 malies morphologiques
 
 à
 
 amis ;
 
 grâce à une maturation le pronostic
 
 de
 
 à un mode occasionnel,
 
 tion d’un syndrome
 
 celle d’un leurre et celle d’un échec. Enfin,
 
 culièrement
 
 le re-
 
 à l’alcool chez la femme
 
 a la même signification
 
 de cette classe d’âge ne dimi-
 
 - la consommation
 
 l’importance
 
 psychonévrotiques
 
 tion moyenne
 
 tandis
 
 ont recours
 
 (disulfirame
 
 Enfin, le magnésium
 
 utilisent
 
 à d’autres
 
 mé-
 
 et métronidazole). fait partie de certains
 
 schémas chimiothérapiques.
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 Toutes les psychothérapies de groupe
 
 individuelles
 
 ont été utilisées.
 
 ne peut se prévaloir
 
 Aucune
 
 ou
 
 d’elles
 
 d’une supériorité
 
 longée sauf celle, originale, tique par les associations
 
 pro-
 
 mise en pra-
 
 d’anciens buveurs
 
 décret du 30 décembre
 
 1998, ces C.H.A.A.
 
 sont devenus des C.C.A.A ambulatoire
 
 (centres de cure
 
 en alcoologie).
 
 En 1998, plus
 
 du facteur
 
 français. La plupart
 
 L’évolution
 
 sibles et échappent (ou les) rechute(s),
 
 à toute description. La c’est-à-dire la reprise
 
 de la consommation des éléments
 
 de prévention
 
 qui a succédé au Comité
 
 qui sont imprévi-
 
 d’entre
 
 (Association
 
 De nombreuses
 
 n’est qu’un
 
 qu’à l’étranger,
 
 de la trajectoire.
 
 Elle ne doit
 
 gnation
 
 montrent
 
 alcoolique
 
 tant en France
 
 le rôle de l’impré-
 
 sur les accidents
 
 parition
 
 pour tenter d’enrayer
 
 suicidaire
 
 mérite d’être mentionnée
 
 son de sa relative répétitif
 
 fréquence.
 
 en rai-
 
 Le caractère
 
 rehospitalisation,
 
 rechute,
 
 etc., doit inciter
 
 à une nouvelle
 
 du programme,
 
 à la mise en cause des théainsi que de l’appré-
 
 des facteurs
 
 tionnels
 
 dans lesquels l’alcoolique
 
 enfermé.
 
 individuels
 
 Si les éléments
 
 révèlent
 
 généralement
 
 alcoolémie d’alcool
 
 supérieure
 
 morts
 
 se trouve
 
 l’alcoolisation
 
 inadéquats,
 
 se
 
 les ré-
 
 par an sont ainsi directement
 
 responsables mortels
 
 peuvent
 
 de maîtriser
 
 qui a été l’objet
 
 de soins attentifs
 
 pendant
 
 des conducteurs.
 
 liées à
 
 (précisons
 
 que les femmes sont 3,4 fois moins souvent
 
 sultats eux-mêmes à court, moyen ou long terme, fonction de tant de paramètres, ne être évalués de façon globale. Tel
 
 au taux légal de 0,5 g
 
 pur par litre de sang. Plus de 4 000
 
 ou situa-
 
 pronostiques
 
 de
 
 Garches : près de 40 % des accidents mortels sont en corrélation directe avec une
 
 estimation
 
 ciation
 
 16 000 morts et 300 000 blessés en
 
 menées en France par C. Got à l’hôpital
 
 sation, rechute,
 
 eux-mêmes
 
 routière
 
 que les hommes
 
 avec une alcoolémie
 
 série de nouvelles
 
 d’accidents illicite).
 
 Une
 
 lois ou décrets tentent
 
 le phénomène,
 
 d’une application
 
 mais ils restent
 
 difficile
 
 malgré
 
 les pro-
 
 10 années avec des échecs constants et réitérés peut arriver à une excellente période
 
 grès récents en matière de dosage d’alcool dans le sang (à l’Alcootest a succédé l’éthy-
 
 de stabilité
 
 lomètre).
 
 pendant
 
 les années suivantes. À
 
 [
 
 ALCOOLÉMIE.]
 
 l’inverse,
 
 après avoir conçu un bon résultat
 
 Dans le domaine
 
 pendant
 
 10 à 20 ans, tel autre va rechuter
 
 efforts sont accomplis
 
 au niveau des indi-
 
 vidus et de l’opinion.
 
 Tâche ingrate
 
 gravement
 
 et entrer
 
 thologique
 
 sévère et durable.
 
 visibilités
 
 dans une phase pa-
 
 et ces incertitudes
 
 pas inciter
 
 les équipes
 
 découragement
 
 et à l’abandon.
 
 complications
 
 organiques
 
 détériorations
 
 nécessaire,
 
 ne doivent
 
 trouvé
 
 au
 
 Sauf si des
 
 graves ou des
 
 psychiques
 
 terviennent,
 
 Ces impré-
 
 thérapeutiques
 
 irréversibles
 
 in-
 
 il y a lieu de poursuivre
 
 défaillance
 
 sans
 
 les thérapies entreprises.
 
 réels sont difficiles
 
 L’élaboration gislatifs
 
 d’un ensemble
 
 et réglementaires
 
 de textes lé-
 
 mais
 
 (en particu-
 
 tandis que ses effets à mesurer.
 
 La méde-
 
 cine du travail correspond à un système de médecine préventive placé sous le double contrôle
 
 des bénéficiaires et de l’État
 
 (comité
 
 (inspection
 
 périodique
 
 d’entre-
 
 du travail).
 
 des salariés permet
 
 de dépister
 
 les surconsommateurs
 
 alcooliques,
 
 et de prévoir
 
 (changements
 
 est contempo-
 
 bien des
 
 n’a pas encore
 
 ses bases scientifiques
 
 lier épidémiologiques),
 
 prise)
 
 MÉDICO-SOCIALE
 
 de la prévention,
 
 la prévention
 
 L’examen ALCOOLOGIE
 
 et les
 
 certains accidents
 
 de poste). Dans certaines en-
 
 raine de l’évolution des idées concernant l’alcoolisme à partir de 1950. Les causes
 
 treprises,
 
 économiques
 
 peut jouer un rôle actif dans l’information
 
 sont visées dans la mesure
 
 où la surproduction
 
 favorise la surconsom-
 
 la médecine
 
 avec les groupes
 
 du travail,
 
 néphalistes
 
 en accord
 
 corporatifs,
 
 tion et freiner a institué pour
 
 la publicité.
 
 une procédure
 
 P. F.
 
 inciter
 
 ALCOOLITE n.f. (angl. Alcohololitis)
 
 la distribu-
 
 les alcooliques
 
 complexe) dangereux
 
 à
 
 se soigner,
 
 mais en même temps
 
 la première
 
 fois a créé des établissements
 
 et pour
 
 L’alcoolite
 
 comporte
 
 chique
 
 25 lits. L’application
 
 reste insuffisante.
 
 sujet - individu
 
 Haut Comité
 
 et d’information
 
 l’alcoolisme partir
 
 Le sur
 
 a été créé la même année. À
 
 des années 1970, le ministère
 
 de la
 
 Santé a créé des centres dits « d’hygiène mentaire prévention médecin
 
 » (en fait centres alcoologiques et de soins), de la S.N.C.F.,
 
 à l’initiative le
 
 Dr
 
 est lente
 
 l’apparition
 
 hépato-digestives
 
 de troubles du comportement. toxique augmente parallèlement
 
 ou
 
 Le facteur au facteur
 
 de tolérance. P. F.
 
 ALCOOLOGIE n.f. (angl. Alcohology)
 
 « Discipline consacrée à tout ce qui a trait, dans le monde, à l’alcool éthylique : production, conservation, distribution, consommation normale et pathologique avec les implications de ce phénomène, causes et conséquences soit au niveau collectif, national et international, social, économique et juridique, soit au niveau individuel, spirituel, psychologique et somatique. Cette discipline autonome emprunte ses outils de connaissance aux principales sciences humaines, économiques, juridiques et médicales, trouvant, dans son évolution, ses lois propres » (P. Fouquet, 1967). L’alcoologie
 
 a en principe
 
 tout ce qui concerne les grands pline
 
 se sont articulés
 
 alide d’un
 
 Le Go. Par
 
 non prédominant
 
 en priorité
 
 diennement quantités
 
 et en compagnie
 
 de boissons faiblement
 
 quoti-
 
 que dans tous
 
 névrotique, manifeste
 
 apparemment psychotique
 
 aucune
 
 sont disponibles),
 
 la grande
 
 buveurs
 
 consomment
 
 profitent
 
 dans la convivialité
 
 euphorisantes
 
 majorité
 
 des
 
 avec modération
 
 et
 
 des propriétés
 
 et anxiolytiques
 
 de l’alcool.
 
 On ignore, par ailleurs, quelle était la situation dans les siècles passés, les descriptions ou les données valeur
 
 recueillies
 
 représentative
 
 n’ayant
 
 globale.
 
 pas de
 
 Ce qui est
 
 clair, c’est que la poésie et la littérature ont accordé
 
 oc-
 
 une place de choix
 
 aux états de conscience altérés par l’alcool, qu’il existe, de façon générale, une culture
 
 que l’alcoologie,
 
 viticole)
 
 problèmes
 
 qui
 
 et de l’ivresse,
 
 de la bière, mais
 
 quant à elle, se préoccupe
 
 avant tout non pas des plaisirs
 
 mais des
 
 liés à l’alcool.
 
 Le modèle
 
 Sénèque, traitant
 
 ou modé-
 
 qui boivent
 
 structure
 
 de culpabilité,
 
 moral
 
 de l’ébriété (Lettres à Luci-
 
 lius, 83), a d’avance donné le ton à l’alcoologie moderne
 
 ou perverse. Il ne
 
 pas de sentiment
 
 les pays
 
 autant que des données statistiques
 
 de fortes
 
 alcoolisées, vin, bière ou cidre - ne
 
 présente
 
 et de
 
 à son égard. Aussi importe-
 
 de rappeler
 
 : le
 
 » qui, dès
 
 consomme
 
 autour
 
 psy-
 
 au départ
 
 « para-normal
 
 la fin de l’adolescence,
 
 rément
 
 un facteur
 
 cette disci-
 
 de l’abus de ce produit,
 
 la dépendance (pour
 
 objet
 
 ; cependant,
 
 débats qui agitent
 
 des questions t-il
 
 pour
 
 l’alcool
 
 et de même une culture
 
 Une des formes cliniques des alcoolopathies, la plus répandue chez l’homme en France.
 
 de soins, centres de 100 lits ou sections de d’étude
 
 L’évolution
 
 vante les mérites de l’alcool
 
 La loi de 1954 (trop
 
 et les ivresses sont
 
 du vin (couplée à une industrie
 
 de cru, contingente-
 
 ment des débits pour ralentir
 
 rares.
 
 progressif
 
 10 à 20 ans avant
 
 cidentales
 
 et la prévention.
 
 mation, d’où tentatives de limitation du vignoble, abolition progressive du privilège des bouilleurs
 
 un
 
 1976). Les études les plus précises ont été
 
 de certaines séquences : hospitali-
 
 rapeutes
 
 (jusqu’à
 
 l’hécatombe
 
 jouent
 
 de la
 
 route. Dès 1955, des mesures ont été prises
 
 avec risque
 
 relativement
 
 de manifestations
 
 être ni majorée ni passée sous silence. L’apdépressifs
 
 de tolérance,
 
 pendant
 
 enquêtes,
 
 de milieu
 
 un asservissement
 
 national
 
 de lutte
 
 d’alcoolisme
 
 ; la sexualité est normale.
 
 de l’alcoolisme),
 
 contre l’alcoolisme.
 
 d’alcool,
 
 d’éléments
 
 rôle important
 
 sur le territoire nationale
 
 ou d’accidents
 
 et les facteurs
 
 On observe
 
 eux sont gérés par l’A.N.P.A.
 
 cidents
 
 familial
 
 : les antécédents
 
 de 200 centres de cet ordre étaient répartis
 
 ou groupes néphalistes. au long cours est émaillée d’in-
 
 ou guère
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 en stigmatisant
 
 les buveurs
 
 très souvent à l’excès, ainsi que
 
 ceux qui sont « esclaves de l’alcool rait aujourd’hui la thématique
 
 dépendants. développée
 
 ments de tempérance
 
 », on di-
 
 Mais c’est de
 
 par les mouve-
 
 apparus en Grande39
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 Bretagne
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 et en Nouvelle-Angleterre
 
 début du
 
 au
 
 siècle que sont issues bien
 
 XIXe
 
 des idées qui ont toujours
 
 plus ou moins
 
 cours dans le champ de l’alcoologie cette thématique,
 
 l’alcool
 
 libère
 
 qui a introduit en France
 
 le modèle
 
 au début
 
 ou aug-
 
 d’alcoologie
 
 1950, ces mêmes notions progressivement
 
 transformé
 
 des alcooliques.
 
 En mettant
 
 de manière
 
 le désir pour le produit trôlable
 
 telle que
 
 finit par être incon-
 
 ; il est cause d’une grande
 
 des problèmes
 
 sociaux
 
 sujet autant
 
 partie
 
 (criminalité,
 
 a permis
 
 de la recherche
 
 vreté, foyers brisés), et il enlève à l’usager la
 
 logiques
 
 discipline,
 
 la stigmatisation
 
 la force et la raison qui lui sont
 
 nécessaires pour prospérer économiquement. Comme derrière l’ivrognerie se profile une intention de transgresser
 
 mauvaise,
 
 une volonté
 
 les règles morales,
 
 mouvements
 
 produit.
 
 tion
 
 selon
 
 laquelle
 
 d’alcool
 
 est un syndrome
 
 et caractérisé,
 
 c’est-à-dire
 
 Au début
 
 s’est toutefois dominant
 
 publié
 
 dans les années 1950, à la fois
 
 dans les associations et dans le monde
 
 d’anciens
 
 médical.
 
 à la même
 
 morale que Pinel, ou Freud après
 
 lui, a préconisée mentaux. ses origines Benjamin
 
 Rush (l784) et des Anglais
 
 Lettsom (1785) Rush a introduit
 
 et Thomas Trotter (1804). la notion de progression :
 
 boire, soutenait-il, de la volonté,
 
 John
 
 commence
 
 par un acte
 
 puis se transforme
 
 celui études
 
 ont
 
 vérifié
 
 et le désir, le sujet étant contrôlé
 
 par une
 
 ment des troubles
 
 force ressentie comme incoercible
 
 ; il déve-
 
 et attentes
 
 loppe également
 
 maladies
 
 déterminants
 
 C’est l’addiction,
 
 tionnels.
 
 antisociales.
 
 Cette idée d’une
 
 volonté
 
 devenue
 
 versé le
 
 l’un des concepts centraux des Alcooliques aux États-Unis, Prohibition.
 
 liques devaient
 
 cus que l’alcoolisme n’est
 
 qu’une
 
 qu’ils
 
 pouvaient
 
 fois ce préalable accepter
 
 une expérience
 
 le soutien
 
 abstinents
 
 spirituelle
 
 dans leur
 
 cornichon,
 
 absolue dit-on,
 
 nir concombre
 
 de nature
 
 À la
 
 a réaffirmé
 
 de l’abstinence
 
 : un
 
 ne peut jamais redevedans son article de 1952
 
 sur les phases de l’alcoolisme subséquents,
 
 et dans ses
 
 et par P. Fouquet,
 
 de l’alcool
 
 culaire,
 
 nerveux, cardio-vas-
 
 immunologique, des cellules
 
 aux niveaux
 
 des
 
 et de la molécule)
 
 à la vulnérabilité
 
 différentielle
 
 innée et acquise.
 
 En mettant
 
 le contexte,
 
 aux
 
 dans tous
 
 et
 
 à l’alcool, l’accent
 
 l’épidémiologie
 
 sociale
 
 sur et les
 
 sciences du comportement
 
 ont cherché
 
 dégager les caractéristiques
 
 bio-psycho-so-
 
 buveurs
 
 à
 
 matière d’alcool, des produits
 
 à l’accessibilité
 
 ainsi qu’aux
 
 valeurs culturelles
 
 gnostiques
 
 et les sciences soen
 
 et au prix
 
 normes
 
 et aux
 
 qui sous-tendent
 
 toutes
 
 En clinique,
 
 la psychiatrie
 
 ont dégagé les critères
 
 pour l’évaluation
 
 et dia-
 
 des buveurs et pro-
 
 d’intervention
 
 et des
 
 critères pour en évaluer l’efficacité. Bien que le succès des travaux
 
 de
 
 soit manifeste, d’étude
 
 cette approche
 
 exclusif
 
 comporte
 
 - croyances
 
 effet, cette étanchéité
 
 de l’alcool,
 
 et l’environnement
 
 en Californie,
 
 est fictive
 
 a
 
 les diverses pratiques et d’en analyser les tra-
 
 d’analyse
 
 En
 
 l’agent
 
 : les proces-
 
 entrent en synergie
 
 chez le sujet qui boit. L’avenir niveaux
 
 par champ
 
 des limites.
 
 gie est dans cette intégration
 
 qui commence
 
 précités
 
 entre l’hôte,
 
 sus bio-psycho-sociaux
 
 facteurs motiva-
 
 des années 1960 avec l’équipe
 
 de l’alcoolodes différents
 
 en un seul système, car
 
 il serait simpliste
 
 de concevoir
 
 cette disci-
 
 pline uniquement
 
 sous l’angle d’une de ses
 
 facettes. Tous ses éléments s’imbriquent
 
 les
 
 uns dans les autres, le tout étant plus grand La réduction
 
 des risques
 
 C. N.
 
 1990, l’épidémie
 
 chez les utilisateurs
 
 du
 
 de drogues injecen al-
 
 Bibliographie Dumont-Damien, Génétique
 
 et en toxicomanie
 
 à un réexamen
 
 l’INSERM.
 
 des idées reçues. Faisant
 
 de l’issue fatale
 
 Edwards,
 
 coolisme
 
 en santé publique à
 
 d’action
 
 posé des protocoles
 
 du sida leur fer de lance, des intervenants
 
 ! Ces idées ont été reprises
 
 par E. M. Jellinek, travaux
 
 d’un
 
 et vivre
 
 rétablissement.
 
 suite de Rush, le mouvement la nécessité
 
 accompli
 
 se sont consacrées
 
 L. et M.
 
 tables a obligé tous les intervenants
 
 ; ce
 
 et l’agent,
 
 que la somme de ses parties.
 
 VIH
 
 être convain-
 
 l’hôte
 
 axées sur
 
 à risque et des buveurs dépendants,
 
 ini-
 
 En parallèle, la mise en oeuvre des
 
 Au cours de l’année
 
 ainsi que les alcooest une maladie
 
 d’alcooliques
 
 les aider
 
 de ce mouve-
 
 tout d’abord
 
 liés à l’alcool
 
 de comparer
 
 les sciences biomédicales,
 
 la psychologie
 
 que
 
 l’importance
 
 à Berkeley,
 
 des chercheurs.
 
 Ainsi,
 
 ces décisions.
 
 jectoires.
 
 du mouvement
 
 Le fondateur
 
 et
 
 social dans le développe-
 
 de consommation
 
 anonymes, fondé en 1935 deux ans après la fin de la
 
 ment, Bill W., estimait
 
 groupe
 
 permis
 
 siècle et s’est imposée comme
 
 XIXe
 
 pré-
 
 et leurs collaborateurs,
 
 contextuels,
 
 de D. Cahalan
 
 rante chez l’alcoolique tandis qu’il souffre d’un « besoin obsédant d’alcool » a tra-
 
 et
 
 menés à par-
 
 du sujet vis-à-vis
 
 au milieu
 
 inopé-
 
 réciproque
 
 favorisé
 
 ciales se sont intéressées aux politiques
 
 de nombreuses
 
 enquêtes populationnelles,
 
 ou la dépendance.
 
 cet isolement
 
 ont également
 
 de Londres,
 
 était plus faible
 
 à démontrer
 
 l’apprentissage
 
 théoriques
 
 De fortes opposi-
 
 dants. La santé publique
 
 tir des années 1970 par A. Marlatt, W. Miller
 
 bien délimités.
 
 de l’Institut les cliniciens
 
 ultérieurs,
 
 de
 
 ou des sujets dépen-
 
 ses constatations
 
 tiales. Les travaux
 
 sont la résultante
 
 des grands
 
 que le taux de consomen 1962,
 
 réalisa-
 
 alors direc-
 
 par son successeur, G. Edwards,
 
 présenté
 
 problématiques
 
 des buveurs modérés,
 
 sentées par Davies ont été réexaminées
 
 ont continué
 
 et s’engage dans des conduites
 
 parmi
 
 pathologique
 
 d’autres
 
 d’analyse
 
 ciales des abstinents,
 
 Journal of Studies
 
 Même si les données
 
 tude pour dégénérer en nécessité. À ce dernier stade, il y a divorce entre la volonté
 
 de nombreuses
 
 crise
 
 Un article
 
 de l’université
 
 un conflit
 
 d’étude
 
 organes,
 
 non pa-
 
 une véritable
 
 d’alcoologie
 
 les chercheurs.
 
 Sobell,
 
 en habi-
 
 en
 
 à l’alcool
 
 de manière
 
 par D. L. Davies,
 
 de l’unité
 
 mation
 
 dans les textes de l’Américain
 
 sur les
 
 reliées à la santé, les principales
 
 mécanismes
 
 de l’alcoolisme
 
 en alcoologie.
 
 qui a démontré
 
 trouve
 
 les
 
 de la
 
 une dépendance
 
 dans le Quartely
 
 pondérées
 
 pour les autres troubles
 
 Cette conceptualisation
 
 teur
 
 pour
 
 les systèmes (digestif,
 
 a provoqué
 
 provoque
 
 Ce paradigme
 
 invite, s’agissant de l’alcoolisme, neutralité
 
 du modèle
 
 Comme
 
 tions
 
 par là le fait que certains sujets
 
 de psychiatrie
 
 buveurs
 
 bio-
 
 instaurée
 
 de la réversibilité
 
 of Alcohol
 
 établie comme le paradigme
 
 dans
 
 travaux qui ont été menés dans des champs
 
 des années 1960, la remise
 
 paradigmatique
 
 une maladie,
 
 centrée
 
 des niveaux
 
 tions de l’alcoologie
 
 le modèle
 
 maladie
 
 thologique)
 
 complexe
 
 sur le
 
 tout en réduisant
 
 en question
 
 puissent reconsommer
 
 la surconsomma-
 
 l’accent
 
 qu’avaient
 
 qui présentent L’idée
 
 le traitement
 
 de tempérance.
 
 (entendons de la maladie
 
 jusque-là
 
 L’intégration
 
 et ont
 
 sur les déterminants
 
 il n’est
 
 question
 
 du plaisir
 
 seuls problèmes.
 
 le développement
 
 de l’alcoolisme,
 
 La remise
 
 que de limiter, voire d’éliminer, la consommation de l’agent nocif que représente le
 
 Le modèle
 
 psychiatrique
 
 que sur le produit,
 
 de la maladie
 
 pau-
 
 une discipline
 
 ont été incluses
 
 duisant
 
 morale ; il transforme
 
 française
 
 la prise en compte
 
 en 1978. Au début des années
 
 dans la nosologie
 
 la sensibilité
 
 duire
 
 1950 et
 
 de Société
 
 mente les passions et les désirs, tout en réles besoins physiques
 
 40
 
 des années
 
 qui fut le fondateur
 
 : selon
 
 de la maladie
 
 dification
 
 ont subordonné
 
 des habitudes
 
 tion à l’évitement
 
 la mo-
 
 de consomma-
 
 des risques chez les per-
 
 sonnes dont on ne peut s’attendre
 
 qu’elles
 
 cessent de consommer
 
 des drogues
 
 l’alcool
 
 proche.
 
 dans un avenir
 
 lèle, les études démontrant de la consommation rée d’alcool troubles
 
 En paral-
 
 les bienfaits
 
 régulière
 
 pour la santé, surtout
 
 ischémiques,
 
 ou de
 
 et modépour les
 
 sont venues intro-
 
 E., Duyme,
 
 et Alcoolisme,
 
 M., 1993,
 
 Paris, Éditions
 
 G., et alii (Eds.),
 
 1994, The Alcohol
 
 Policy and the Public Good, Oxford, University Marlatt,
 
 Relapse Prevention in the Treatment York, Guilford
 
 compréhension
 
 versité Vaillant, holism,
 
 J. R. (Eds.),
 
 : Maintenance of Addictive
 
 1985,
 
 Strategies
 
 Behaviors,
 
 New
 
 Press.
 
 L., Biron,
 
 Collection
 
 Oxford
 
 Press. G. A., Gordon,
 
 Nadeau,
 
 de
 
 C., 1998, Pour une meilleure
 
 de la toxicomanie,
 
 « Toxicomanies
 
 Québec,
 
 », Presses de l’uni-
 
 Laval. G., 1983, The Natural Cambribge,
 
 Harvard
 
 History University
 
 of AlcoPress.
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 ALCOOLOPATHIE
 
 Alexander
 
 n.f. (angl. Alcoholopathy)
 
 Psychanalyste américain d’origine allemande (Budapest 1891-New York
 
 État
 
 comportemental
 
 ment
 
 constitué
 
 tolérance
 
 essentielle-
 
 par des troubles
 
 à l’éthanol
 
 de la
 
 à l’égard de ce
 
 l’un
 
 des études
 
 des premiers
 
 de psychanalyse
 
 produit. Ensemble phisme
 
 hétérogène
 
 alcoolopathies
 
 est très vaste, les
 
 revêtent
 
 au niveau
 
 des significations
 
 Leur étiologie
 
 de l’in-
 
 existentielles
 
 diverses dont le commun la perte de la liberté
 
 pionniers
 
 dont le polymor-
 
 expressionnel
 
 dividu
 
 1964). Après
 
 et par l’installa-
 
 tion d’une dépendance
 
 (Franz)
 
 de s’abstenir
 
 étudiants de Berlin
 
 est
 
 d’alcool.
 
 de psychanalyse
 
 P. F.
 
 pie analytique
 
 un aménagement
 
 de la « cure type ». Cette
 
 active ne cessera d’être confortée
 
 tout soucieux
 
 très fréquente
 
 Le facteur frustrations, troubles
 
 est dominant
 
 faible tolérance
 
 quête affective
 
 de la sexualité,
 
 chopathique,
 
 états limites,
 
 matique :
 
 aux
 
 inassouvie,
 
 déséquilibre
 
 de favoriser
 
 psy-
 
 etc. Le facteur
 
 avant
 
 l’adaptation
 
 sociales du patient.
 
 resse également
 
 chez la femme.
 
 psychique
 
 angoisse, dépression,
 
 l’intégration
 
 américain,
 
 à la médecine
 
 et
 
 Il s’intépsychoso-
 
 et préside la Société américaine
 
 recherche
 
 de
 
 en médecine psychosomatique.
 
 Il est l’auteur
 
 de nombreuses
 
 publications,
 
 dont The Scope of Psychoanalysis Papers of F. Alexander (1921-1961), thérapie analytique : principes
 
 Incapacité émotions.
 
 de pouvoir
 
 la description malades
 
 psychosomatiques
 
 : Selected Psycho-
 
 et application
 
 une vie fan-
 
 tasmatique
 
 et émotions,
 
 particulièrement
 
 de pensée et de discours
 
 lement
 
 orientée (
 
 les épisodes pathologiques tion solitaire
 
 intensité
 
 car
 
 de consomma-
 
 sont intermittents,
 
 disconti-
 
 uniquement
 
 au travers
 
 somatiques
 
 une évolution l’ordre
 
 relativement
 
 de quelques
 
 l’apparition
 
 - de
 
 années - en raison
 
 de troubles
 
 du comportement
 
 brève
 
 de
 
 graves et précoces
 
 (ivresses atypiques).
 
 peuvent
 
 leur état émotionnel.
 
 en effet de grandes difficultés
 
 distinguer
 
 leurs mouvements
 
 affectifs
 
 de
 
 Ce tableau
 
 clinique
 
 est souvent
 
 une symptomatologie
 
 somatique
 
 tante. Il se rencontre
 
 fréquemment
 
 associé à imporchez les
 
 sujets à statut socio-économique
 
 et cultu-
 
 rel bas, chez certains toxicomanes des événements des maladies
 
 traumatiques
 
 et après
 
 graves. Dans
 
 psychosomatiques
 
 les patients
 
 comme
 
 alexithymiques nettement
 
 pré-
 
 plus défa-
 
 vorable que ceux qui ne le sont pas. Ils sont Certains
 
 pensent même que l’alexithymie d’une
 
 malformation
 
 et en particulier
 
 connexions
 
 d’un défaut de
 
 interhémisphériques
 
 (agénésie
 
 du corps calleux, séquelles de commissurotomie - Tenhouten
 
 et Hope).
 
 Conçue par W. P. Alexander (Une échelle de performance pour la mesure de l’intellipour des enfants de 11
 
 ans, l’échelle d’Alexander
 
 s’est révélée utili-
 
 à
 
 leurs sensations corporelles.
 
 est la conséquence
 
 Échelle de performance, c’est-à-dire d’intelligence pratique, concrète, non verbale.
 
 Ils
 
 éprouvent
 
 cliniciens
 
 Alexander (ÉCHELLE D’) (angl. Alexander’s Scale)
 
 gence pratique,1950) P. F.
 
 de leurs plaintes
 
 que de tels patients
 
 laisser apparaître
 
 cérébrale, après
 
 Et c’est
 
 PSYCHOSOMATIQUE.)
 
 peu sensibles à la psychothérapie.
 
 nus et de brève durée. Ces malades sont amenés à consulter
 
 essentiel-
 
 vers des préoccupations
 
 sentent une évolution
 
 reste de moyenne
 
 pauvre et une
 
 activité
 
 Psychoanalytic Pioneers (1966).
 
 teur toxique
 
 se caractéri-
 
 leurs sentiments
 
 lesquels l’alcool
 
 R. L.
 
 de certains à verbaliser
 
 l’asthme,
 
 que par goût. Le fac-
 
 à
 
 sant par une grande difficulté
 
 (1946), Principes de psychanalyse (1948) et
 
 agent thérapeutique
 
 ses
 
 apparu aux États-
 
 de la personnalité
 
 de tolérance est moyen chez des sujets pour fort est utilisé plus comme
 
 exprimer
 
 Le terme d’alexithymie
 
 concrètes.
 
 brève », qui apparaît comme
 
 n.f. (angl. Alcoholosis)
 
 pathies,
 
 qu’il met
 
 de la « psychothéra-
 
 par le contexte analytique
 
 des alcoolo-
 
 de psychanalyse
 
 C’est dans le cadre de cet institut
 
 ALCOOLOSE
 
 cliniques
 
 de Chicago
 
 de Chicago.
 
 technique
 
 Une des formes
 
 aux États-
 
 à l’université
 
 ALEXITHYMIE n.f. (angl. Alexithymia)
 
 Unis vers 1973 (P. E. Sifneos), s’applique
 
 dès 1930, professeur
 
 au point les principes
 
 est mal connue.
 
 de l’Institut
 
 de la psychanalyse
 
 il est nommé,
 
 il est
 
 (1919). Un des
 
 et fonde en 1931 l’Institut
 
 très
 
 dénominateur
 
 Unis,
 
 de médecine,
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 J. P.
 
 ALGÉSIMÈTRE n.m. (angl. Dolorimeter)
 
 sable de l’âge de 7 ans jusqu’à l’âge adulte. ALERTE
 
 Elle comprend
 
 n.f (angl. Alertness)
 
 construction
 
 avec cubes et Passalong. Ce der-
 
 nier consiste
 
 Mobilisation tente
 
 de l’organisme
 
 dans l’at-
 
 d’un événement.
 
 Cet état se produit
 
 le sujet est
 
 éveillé.
 
 C’est une réaction
 
 globale
 
 duisant
 
 par une facilitation
 
 généralisée des
 
 récepteurs d’alerte
 
 et des effecteurs. est une focalisation
 
 capacités de l’organisme très spécifique
 
 d’informations
 
 pour
 
 l’organisme. L’alerte
 
 présente
 
 d’alerte
 
 se différencie
 
 car elle suscite celle-ci Elle englobe
 
 pertinentes.
 
 que ce dernier L’état
 
 corres-
 
 spécifique
 
 de l’attention,
 
 la réponse d’orientation,
 
 yeux vers un stimulus
 
 (état
 
 sans la maintenir.
 
 consiste en une orientation
 
 qui
 
 de la tête et des
 
 visuel, olfactif
 
 ditif, et varie selon l’intensité
 
 ou au-
 
 du stimulus. J. P.
 
 RÉPONSE
 
 D’ORIENTATION
 
 de pièces rouges et bleues doit
 
 être modifiée
 
 par le sujet, par glissement
 
 des pièces, pour reconstituer position
 
 reproduite
 
 une autre dis-
 
 sur la carte modèle.
 
 Dispositif qui permet de mesurer l’intensité d’une stimulation atteignant le critère liminaire algomètre.) Les appareils des piqûres,
 
 qui élimine
 
 sion, est aujourd’hui
 
 Forme d’agnosie visuelle caractérisée par la perte de la capacité de lire la langue écrite ou imprimée, en dépit de la conservation de l’intelligence et Il faut
 
 visuelle.
 
 distinguer
 
 pure sans agraphie intérieur,
 
 ni trouble
 
 optique
 
 à diverses concentrations Le critère de la douleur
 
 une réponse un réflexe
 
 de substances
 
 physiologique
 
 de flexion),
 
 ou par peut être
 
 (par exemple
 
 comportementale
 
 (par exemple une réaction
 
 d’échappement) échelle subjective
 
 d’intensité).
 
 du langage
 
 des objets et de
 
 l’espace, enfin une alexie s’accompagnant lorsque
 
 ischémie.
 
 d’une stimula-
 
 J.-M.
 
 C.
 
 optico-agnosique
 
 avec agnosie des couleurs, d’agraphie
 
 peut également
 
 de solutions
 
 ou verbale (par exemple
 
 une alexie
 
 une alexie
 
 chimiques
 
 de la chaleur
 
 d’un usage courant.
 
 de la douleur
 
 tion électrique,
 
 ou des pin-
 
 le contact de la pres-
 
 être réalisée par application
 
 ALEXIE n.f. (angl. Alexia)
 
 (Syn.
 
 les plus anciens utilisaient
 
 des compressions
 
 La mesure
 
 de la fonction
 
 de la douleur.
 
 cements calibrés. L’utilisation radiante,
 
 M. R.
 
 des
 
 de la nouveauté
 
 pond à un état de vigilance III).
 
 rapide
 
 de la prégnance du stimulus,
 
 et selon l’intérêt
 
 de difficulté
 
 La réaction
 
 sur une catégorie
 
 L’alerte se fait en fonction de la situation,
 
 se tra-
 
 en 9 problèmes
 
 graduée, dans chacun desquels une certaine disposition
 
 lorsque
 
 trois tests : cubes de Kohs,
 
 le patient
 
 ne peut plus
 
 ni lire ni écrire.
 
 ALGORÉCEPTEUR n.m. (angl. Nociceptor)
 
 Synonyme J. P.
 
 de nocirécepteur. R. L.
 
 41
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 vait que le rendre dangereux
 
 ALGORITHME n.m. (angl. Algorithm)
 
 et pour lui-même,
 
 Séquence
 
 MATH.
 
 ordonnée
 
 automatise
 
 ce qui rendait
 
 et exécute les
 
 algorithmes.
 
 que l’utilisation
 
 sion aliénation
 
 de l’expres-
 
 de distinguer
 
 fonctions
 
 rousseauiste)
 
 (ramenant
 
 et ré-
 
 la folie dans l’unique
 
 des pratiques
 
 médicales).
 
 Elle
 
 : l’hypothalamus
 
 et l’hypothalamus
 
 latéral.
 
 dans l’hypothalamus
 
 des neurones modalités odeur,
 
 deux régions aux
 
 antagonistes
 
 On trouve
 
 mentale est à la fois géné-
 
 reuse (d’inspiration ductrice
 
 ont permis ventromédian
 
 Il en découle
 
 champ
 
 sensibles à une ou plusieurs
 
 d’un stimulus
 
 alimentaire
 
 aspect. Les signaux
 
 récepteurs
 
 latéral
 
 olfactifs,
 
 : goût,
 
 sont issus des
 
 tactiles
 
 et gustatifs
 
 du
 
 Méthodes de résolution de problèmes qui garantissent d’aboutir
 
 implique
 
 à la solution, sous réserve que chaque étape soit correctement réalisée.
 
 à la loi du 30 juin 1838) et l’organisation
 
 font partie des « circuits
 
 d’une assistance hospitalière
 
 du cerveau et si, par exemple, l’on permet à
 
 PSYCHOL.
 
 M.-D.
 
 G.
 
 l’institution
 
 médico-légal
 
 de tout un dispositif
 
 (de l’article
 
 cédée et complétée préventive
 
 (pouvant
 
 Trouble grave et prolongé de l’activité psychique, proche des notions de folie et de maladie mentale, signifiant à la fois une perte du contact normal à la réalité et avec autrui, et une profonde atteinte de la liberté morale. Ph. Pinel nation
 
 préconise
 
 mentale
 
 le terme tives
 
 l’expression
 
 dès 1797 pour
 
 d’alié-
 
 remplacer
 
 de folie, qui n’est pas, pour
 
 assez médical,
 
 renvoyant
 
 existentielles
 
 la fin du
 
 aller jusqu’à la stérili-
 
 dence d’autostimulation
 
 à des perspec-
 
 et anthropologiques
 
 comme
 
 On comprend
 
 est par ailleurs modulée par l’expérience
 
 de la dégénérescence
 
 à
 
 par l’apprentissage
 
 que l’expression
 
 des fonctions « terme
 
 intellectuelles
 
 heureux
 
 leur latitude dement
 
 ou dérangement
 
 qui exprime
 
 ». Il le préfère
 
 également
 
 à celui
 
 de vésanie qui aurait
 
 un sens trop
 
 limité
 
 et largement
 
 par celui de névrose,
 
 renvoyant
 
 connoté
 
 aux maladies organiques
 
 tème nerveux
 
 (dans la signification
 
 avait donnée W. Cullen). en fait un retour d’aliénation rencontre début
 
 du sys-
 
 Pour Pinel, c’est
 
 à la vieille
 
 terminologie
 
 d’esprit (alienatio dans le discours
 
 de la Renaissance
 
 Paré à la fin du
 
 que lui
 
 litiques
 
 de Rousseau).
 
 Trop
 
 médical
 
 dès le
 
 (et qu’utilise
 
 siècle) pour
 
 XVIe
 
 les élèves de Pinel, E. Esquirol par certains législateurs comme point
 
 celle
 
 soigner,
 
 celle aussi qui n’est parfois
 
 par ivresse). tion
 
 que les médecins
 
 (par exemple,
 
 une aliénation
 
 du sens que J.-J. Rousseau
 
 Alors libre
 
 justement
 
 de sa liberté
 
 naturelle
 
 aliéner
 
 une partie
 
 en faveur
 
 de chacun,
 
 le mot asile, son corollaire.
 
 sera de plus en plus absente médical,
 
 l’alié-
 
 perdu sa
 
 le soin à
 
 la fois de protéger (par des mesures d’interou de déresponsabilisation
 
 liberté
 
 devant
 
 sociales) et d’assister (par des
 
 mesures de traitement, d’hygiène)
 
 d’hospitalisation
 
 et
 
 celui qui a perdu l’usage de cette
 
 conventionnelle
 
 tion de son esprit. avait redonné
 
 1958 en impose
 
 ministérielle
 
 du
 
 la disparition
 
 et
 
 par le terme de maladie
 
 mentale.
 
 du fait de l’aliéna-
 
 Sans doute, la folie lui
 
 un usage brutal et archaïque
 
 de sa liberté naturelle.
 
 Mais celle-ci ne pou-
 
 lamus
 
 PSYCHIATRIE
 
 non alimentaires
 
 atteint
 
 latéral
 
 alimentaire
 
 à la fin du
 
 d’une réduction
 
 ces raisons, latéral
 
 on a
 
 comme
 
 un « centre de la faim ». L’hypothalamus
 
 latéral
 
 inhibiteur
 
 tromédian,
 
 est soumis
 
 au
 
 de l’hypothalamus
 
 où l’on
 
 trouve
 
 stomacale,
 
 ven-
 
 des neurones
 
 métaboliques
 
 : taux d’insuline
 
 tromédians
 
 réduit
 
 leur destruction
 
 de P. Pinel,
 
 de
 
 ou de glucose,
 
 température
 
 et sans
 
 une obésité
 
 des noyaux ven-
 
 la prise de nourriture, l’augmente
 
 importante
 
 et durable. comme
 
 perturbe
 
 dique, favorisant
 
 Ces
 
 l’hypothaun « centre
 
 de la satiété ». On a pu montrer qu’il n’agit pas directement
 
 ALIÉNISTE n.m. (angl. Alienist)
 
 et entraîne
 
 données ont amené à considérer lamus ventromédian
 
 MENTALE
 
 toutefois
 
 : d’une part, sa
 
 le métabolisme
 
 la constitution
 
 lipi-
 
 de réserves
 
 de graisse aux dépens de leur utilisation
 
 Synonyme ancien de psychiatre qui désignait jusqu’à la fin du XIXe siècle le qui
 
 Pour
 
 l’hypothalamus
 
 destruction
 
 médecin mentaux.
 
 s’accompagne
 
 de la prise de nourriture,
 
 d’aphagie.
 
 considéré
 
 de l’hypotha-
 
 une compulsion
 
 en graisse. La stimulation
 
 J. P. ALIÉNATION
 
 provoque
 
 De
 
 doute poids du corps et état des réserves
 
 siècle.
 
 XVIIIe
 
 électrique
 
 ; sa destruction
 
 distension
 
 de folie.
 
 celui d’insensé, sous l’influence
 
 (sécrétion
 
 dans la prise de nourriture.
 
 l’organisme
 
 Se dit d’un malade
 
 déclenche-
 
 végétatives
 
 sensibles aux conditions
 
 ALIÉNÉ, E adj. et n. (angl. Alienated, Insane, Lunatic, Mad)
 
 préférés
 
 par exemple) et somatomotrices
 
 intervenant
 
 contrôle J. P.
 
 FOLIE,
 
 les fonctions
 
 d’insuline,
 
 voire
 
 puis administratif,
 
 s’occupait
 
 des malades J. P.
 
 d’autre
 
 part, elle accroît
 
 aspects sensoriels frein
 
 l’importance
 
 des aliments,
 
 sur la sensibilité
 
 l’hypothalamus
 
 des
 
 levant
 
 un
 
 des neurones
 
 latéral aux influences
 
 sorielles ou centrales
 
 ;
 
 de sen-
 
 qui déclenchent
 
 leur
 
 activité.
 
 la liberté
 
 C’est à la société, repré-
 
 sentée par le médecin, qu’incombe
 
 les sanctions
 
 À tel
 
 Si les facteurs
 
 ALIMENTAIRE (COMPORTEMENT) (angl. Feeding Behaviour, amér. Behavior)
 
 qu’intègre
 
 du fait des graves lésions de
 
 son entendement.
 
 diction,
 
 péjorative,
 
 de la so-
 
 pour
 
 niste, l’aliéné mental a totalement liberté morale
 
 social.
 
 le citoyen
 
 ciété, seule capable de défendre conventionnelle
 
 a donné
 
 dans son Contrat
 
 que, pour le philosophe, devait
 
 que
 
 ; les stimulus
 
 fait, la stimulation
 
 et administrateurs,
 
 doivent
 
 Mais c’est aussi une évoca-
 
 au mot aliénation
 
 en tête, et
 
 progressivement
 
 qu’elle
 
 par
 
 A.
 
 décrire
 
 la folie, transitoire
 
 employée
 
 Ce terme, devenu désuet, avait remplacé
 
 mentis) qu’on
 
 importantes
 
 et
 
 de décharge plus
 
 raient
 
 certains concepts philosophicopo-
 
 dans toute
 
 les diverses lésions de l’enten-
 
 des variations
 
 (comme
 
 son remplacement
 
 ») : c’est un
 
 aliéna-
 
 : les aliments
 
 sont sans effet. Ces neurones
 
 4 février
 
 mentale
 
 Leur activité
 
 tion mentale subira peu à peu un discrédit
 
 du langage
 
 vésa-
 
 croît avec le degré
 
 de nourriture.
 
 entraînent
 
 »
 
 on observe que la ca-
 
 -
 
 l’Encyclopédie
 
 (« Manie,
 
 de privation
 
 de récompense
 
 héréditaire
 
 jusqu’à ce que la circulaire
 
 méthodique
 
 risque-
 
 siècle).
 
 XIXe
 
 elle deviendra
 
 lui,
 
 pré-
 
 ou du foie. Ces neurones
 
 un Rat de les stimuler,
 
 trop générales. Il écrit dans son article de nies, aliénation
 
 (l’asile),
 
 teurs de l’intestin
 
 de mesures d’hygiène
 
 rait d’être considérée thèse des partisans
 
 nez et de la cavité orale, des chémorécep-
 
 64 du Code pénal
 
 sation des malades dont l’aliénation
 
 ALIÉNATION MENTALE (angl. Insanity)
 
 42
 
 cet usage
 
 intolérable.
 
 d’instruc-
 
 tions permettant d’effectuer une opération en un nombre fini d’étapes. L’informatique
 
 pour la société
 
 Ensemble des activités et de prise de nourriture. Le comportement
 
 de recherche
 
 par le système nerveux central, des informations l’état
 
 concernant
 
 de l’organisme
 
 métaboliques, antérieure.
 
 est régulé qui intègre
 
 les aliments,
 
 et de ses fonctions
 
 l’expérience
 
 Des expériences d’enregistrement
 
 de l’hypothalamus.
 
 de lésion, de stimulation de l’activité
 
 gétique de l’organisme,
 
 ils sont néanmoins
 
 neuronique
 
 dividu
 
 à l’expérience
 
 : l’apprentissage.
 
 l’éducation
 
 passée de l’inprennent
 
 le pas
 
 purement
 
 physiques
 
 ou
 
 : la fréquence
 
 et l’heure
 
 des
 
 largement
 
 côté des préférences
 
 conditionnées
 
 ; à
 
 innées (goût pour les
 
 sucrés, aversion
 
 tances amères) spécifiques
 
 éner-
 
 Chez l’Homme,
 
 et la culture
 
 sur les facteurs
 
 aliments et
 
 ont un rôle ma-
 
 de l’équilibre
 
 repas sont
 
 princi-
 
 et sensoriels
 
 jeur dans la régulation
 
 organiques
 
 alimentaire
 
 Le système intégrateur
 
 pal se situe au niveau
 
 l’hypothalamus
 
 subordonnés
 
 alimentaire
 
 métaboliques
 
 pour
 
 se développent
 
 d’un groupe
 
 ou d’un
 
 les subsdes goûts individu
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 (appétence
 
 pour les cuisines
 
 nationales).
 
 Ces derniers
 
 en jeu les structures régulation
 
 facteurs
 
 ou
 
 la famille
 
 et peut ainsi être à l’origine
 
 mettent
 
 troubles
 
 dans la
 
 membres du groupe naturel.
 
 intervenant
 
 des conduites
 
 limbique,
 
 familiales
 
 psychopathologiques
 
 de
 
 chez l’un des
 
 apprises : système
 
 M. G.
 
 C.
 
 Bibliographie B., et Foulon, alimentaires,
 
 Modalité
 
 (RYTHMES) Rhythms)
 
 provosur les
 
 quatre
 
 per-
 
 rationnelle
 
 Pour
 
 cette alliance
 
 la contrepartie
 
 giques en nutrition
 
 s’instaure
 
 circannuels mentaire
 
 circadiens,
 
 dans le comportement spontané
 
 peuvent
 
 ultradiens
 
 et ali-
 
 et la prise alimentaire
 
 prise alimentaire
 
 d’environ
 
 de périodicité
 
 dence d’un rythme en milieu
 
 circadien
 
 avec un creux
 
 de la journée, couplé à un rythme
 
 circannuel
 
 ; mêmes
 
 types de rythmicité
 
 chez l’adulte)
 
 ;
 
 2. la plupart
 
 des rythmes
 
 sistent
 
 durant
 
 régime
 
 particulièrement
 
 implique
 
 le jeûne
 
 un
 
 ce qui
 
 circadien
 
 d’un
 
 de variables physiologiques
 
 n’est pas induit nutritifs
 
 restrictif,
 
 que le rythme
 
 grand nombre
 
 ou pendant
 
 par le rythme
 
 des apports
 
 ;
 
 Elle empêcherait
 
 manière
 
 ne joue pas un rôle
 
 port à l’analyste, plain-pied
 
 ment
 
 qu’on
 
 distinguer
 
 les analystes
 
 solutions
 
 proposer
 
 adaptées à chaque individu
 
 pour
 
 ce qui concerne la qualité et la quantité prises alimentaires. Diverses études pu montrer
 
 que les rythmes
 
 avaient un impact l’activité
 
 des des ont ou
 
 particulier
 
 C. L.-L.
 
 le Moi
 
 défense (1936)
 
 que cette dernière
 
 de moi adaptatif
 
 générationnelle à modifier
 
 est illégitime.
 
 la hiérarchie
 
 Elle aboutit
 
 fonctionnelle
 
 de
 
 ait, d’une
 
 part, le besoin et la capacité
 
 de réactions
 
 de
 
 de régresser,
 
 et,
 
 part, « un moi fort, ou cette forme
 
 particulière permet
 
 de plasticité
 
 d’interrompre
 
 du moi
 
 Cette variante
 
 qui lui
 
 sa régression
 
 établir une alliance de travail et motivée » (H. W. Loewald).
 
 pour
 
 raisonnable
 
 de la cure type a soulevé de critiques
 
 chez les psychanachez ceux qui s’oppo-
 
 saient à l’égopsychologie
 
 dont elle s’inspi-
 
 rait. Si certains se sont contentés de dire que d’autant
 
 n’était pas vraiment plus nombreux, psychanalyse.
 
 mieux que le patient malade », d’autres,
 
 les
 
 avec J. Lacan en particuperversion
 
 de la
 
 Pour Lacan, une telle analyse le moi
 
 en partie saine et en partie ma-
 
 avait développé
 
 ces
 
 autonomes se feraient
 
 jour
 
 Ces notions
 
 dès
 
 se sera
 
 d’autonomie
 
 de
 
 du moi et de leur déve-
 
 autonome
 
 fondement
 
 celui-ci
 
 ont donc donné son
 
 et sa justification
 
 à l’alliance
 
 L. Stone, H. W. Loewald
 
 la préconiser
 
 1950, à l’époque
 
 à la fin
 
 d’ailleurs
 
 déjà décrite
 
 aux États-
 
 au patient
 
 d’arriver
 
 à la fin de sa cure. Ils recette modalité
 
 dans le transfert
 
 de cure
 
 rationnel
 
 autant
 
 sa parole
 
 rant que la terminaison moi de l’analyste
 
 du sujet avec le
 
 (W. Hoffer),
 
 sujet de toute fondation l’analyste
 
 ne pourrait
 
 rien communiquer
 
 au patient « qu’il ne tienne d’un savoir préconçu ou d’une intuition immédiate, c’està-dire qui ne soit soumis à l’organisation de son propre
 
 moi » (Lacan, Variantes
 
 de
 
 ces critiques
 
 et le fait qu’elle
 
 thérapeutique
 
 préconisée
 
 et utilisée
 
 chothérapies
 
 d’inspiration
 
 cognitive.
 
 C’est
 
 mesurer
 
 la qualité
 
 le patient
 
 dans diverses
 
 ainsi
 
 de l’identifica-
 
 au travail qu’ils doivent accom-
 
 plir en commun.
 
 à
 
 analytique
 
 qu’il
 
 existe,
 
 de la relation
 
 et son thérapeute,
 
 Alliance Questionnaire parallèles,
 
 de psychothérapeutes, psychothérapie
 
 l’une destinée
 
 ou pour entre deux
 
 au ma-
 
 Pour beaucoup
 
 l’efficacité
 
 dépendrait
 
 psy-
 
 un Helping
 
 qui comporte
 
 lade et l’autre au soignant.
 
 s’intéresser
 
 soit
 
 reste largement
 
 repérait
 
 le conduisant
 
 de
 
 la cure-type).
 
 versions
 
 tion du patient à l’analyste
 
 on exclut le
 
 dans sa parole. Et
 
 O. Fenichel (1941), et dans ce que R. Sterba en 1929, à propos
 
 ». En considé-
 
 de la psychanalyse
 
 l’identification
 
 l’alliance
 
 où les analyses sont jus-
 
 pour permettre
 
 en parlant
 
 tombée en désuétude avec le déclin de l’égopsychologie chez les psychanalystes,
 
 vont
 
 des années
 
 devenues interminables
 
 du sa-
 
 «son langage», on ne lui rendra
 
 pas pour
 
 Malgré
 
 thérapeutique. Greenson,
 
 où se reflète
 
 vant pour la «pensée morbide»,
 
 implique
 
 du moi
 
 du
 
 se réduiraient à la limite au moi de l’analyste. Et dans cette voie, « peu importe que
 
 au patient E.
 
 au moi lorsque
 
 loppement
 
 et défenses de
 
 mois de la vie et qui appar-
 
 certaines fonctions
 
 trouvent
 
 toute alliance trans-
 
 n’en sont pas capables. Il faut que le patient
 
 bien le retour au dédain traditionnel
 
 en confondant
 
 Dès 1939, Hartmann
 
 les rudiments
 
 plus rapidement
 
 Au niveau familial,
 
 psycho-
 
 psychotiques
 
 l’on procède selon une formule
 
 apporte
 
 avec H. Hartmann,
 
 les fonctions
 
 les premiers
 
 de
 
 l’école américaine
 
 mêmes conceptions. dont
 
 cet aspect
 
 et les Mécanismes
 
 de l’égopsychologie
 
 Unis,
 
 Union, accord entre deux ou plusieurs personnes, afin de concourir à des buts ou à des intérêts communs.
 
 pathes et à plus forte raison
 
 du patient
 
 C’est en effet avec
 
 du même coup résistances
 
 tement ALLIANCE n.f. (angl. Alliance)
 
 borderline,
 
 d’un moi avec un moi ». En divisant
 
 facile-
 
 classiques
 
 ou utilisaient
 
 du transfert.
 
 son ouvrage
 
 donc
 
 des enfants scolarisés.
 
 narcissiques,
 
 en effet ne ferait que dessiner « la relation
 
 l’impor-
 
 alimentaires
 
 sur le comportement
 
 sujets
 
 que les
 
 moi du sujet » qui, poussées ad infinitum,
 
 ignoraient
 
 individualisé.
 
 qui pourrait
 
 » (R.
 
 par E.
 
 pouvait
 
 désexua-
 
 qu’ils
 
 Cela devrait chrononutrition
 
 « rationnel,
 
 de
 
 lade, on crée une série de « bipartitions
 
 tiendront
 
 une
 
 cette forme
 
 des analystes de l’école de A. Freud suivant
 
 connus et leurs effets pris en considération. de constituer
 
 analytique
 
 Le terme semble avoir été introduit
 
 décrivait
 
 permettre
 
 ses
 
 soit capable de
 
 lier, y ont vu une véritable
 
 ;
 
 être
 
 relativement
 
 « ça marchait
 
 de
 
 R. Greenson).
 
 circadiens
 
 du
 
 transfert
 
 nombreuses
 
 dans la situation
 
 l’acrophase
 
 de certains rythmes
 
 ren-
 
 s’il veut entrer et travailler
 
 influencer
 
 doivent
 
 définitive,
 
 ne
 
 en marge de ses réactions
 
 Kris et R. Lowenstein
 
 des nutriments
 
 au thérapeute.
 
 un autre type de rap-
 
 de calories et de protéines
 
 métabolisme
 
 à l’analyste,
 
 et interprétant
 
 et de contrôler
 
 lystes, en particulier
 
 important
 
 peut
 
 serait
 
 Car il serait nécessaire que le « névrosé éta-
 
 ce moi. Parallèlement,
 
 biopériodiques
 
 le patient réa-
 
 partielle
 
 Mais il faut qu’il
 
 maintenir
 
 d’autre
 
 dant l’analyse interminable.
 
 important de synchroniseur chez l’homme, même si la prise alimentaire d’un nombre
 
 4. les changements
 
 d’alliance,
 
 sur lui-même
 
 transfert
 
 que cette dernière
 
 d’une
 
 la notion
 
 3. la prise d’aliments
 
 et les
 
 qui la préco-
 
 Zetzel, en 1956. Elle en montrait
 
 per-
 
 sa et
 
 nécessaire de la névrose de
 
 tance et soulignait circadiens
 
 du patient
 
 lisé et non agressif ». Il est évident
 
 à la cure et
 
 qui lie le patient
 
 de transfert,
 
 90 minutes ; à 4 ans, mise en évi-
 
 rapeute.
 
 et entre-
 
 thérapeutique
 
 blisse et maintienne
 
 être mis en évidence (chez le nou-
 
 veau-né,
 
 de coopérer
 
 les psychanalystes
 
 transfert
 
 1. des rythmes
 
 analyse,
 
 l’aptitude à suivre les conseils insights de l’analyste.
 
 mettent de présenter les résultats des recherches utilisant des méthodes chronolo:
 
 de son
 
 tenue par le désir de surmonter névrose, la volonté consciente
 
 nisent,
 
 aspects
 
 psychanalyses,
 
 par une aide apportée adaptatif du patient à la
 
 poursuite
 
 Comportement alimentaire en fonction des variations spontanées du métabolisme énergétique.
 
 Reinberg,
 
 de certaines
 
 caractérisée par le moi
 
 Incidence des variations quées de ce comportement activités psychologiques.
 
 s’échan-
 
 résistances, un peu comme le fait son thé-
 
 Paris, Masson.
 
 2.
 
 mutuelle
 
 et le moi analysant de l’analyste ». En effet,
 
 travaillant
 
 C. (Eds),
 
 1.
 
 Pour
 
 de collaboration
 
 lise une identification
 
 ALLIANCE THÉRAPEUTIQUE (angl. Therapeutic Alliance)
 
 ALIMENTAIRES (angl. Alimentary
 
 volonté
 
 dans cette relation J.-M.
 
 1994, les Conduites
 
 Sterba avait aussi noté, en 1934, que cette geait « entre le moi raisonnable
 
 néocortex.
 
 Samuel-Lajeunesse,
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 de leur
 
 en grande par-
 
 tie de la qualité de cette alliance de travail, 43
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 qu’ils
 
 cherchent
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 à provoquer
 
 ture. C’est la C.A.F. qui assure la liquida-
 
 fessionnelle
 
 dès le début de la prise en charge. Et, dans
 
 tion et le paiement
 
 justifier
 
 d’une impossibilité
 
 les études les plus récentes sur les facteurs
 
 ception
 
 n’existe
 
 par ailleurs
 
 de succès des psychothérapies,
 
 titre personnel
 
 bien rare que l’alliance
 
 et à repérer
 
 il est en fait
 
 thérapeutique
 
 ne
 
 de l’allocation.
 
 de l’A.A.H.
 
 entraîne
 
 et obligatoire
 
 l’affiliation
 
 à
 
 au régime gé-
 
 ressources.
 
 ; à défaut, ils doivent de travailler.
 
 Il
 
 condition
 
 de
 
 aucune
 
 Les intéressés
 
 doivent
 
 égale-
 
 néral de sécurité sociale. En cas d’hospita-
 
 ment assumer la charge effective et perma-
 
 soit pas citée comme un des plus détermi-
 
 lisation
 
 nente de l’enfant
 
 nants.
 
 plus de 60 jours, le montant J. P.
 
 Freud,
 
 A., 1936, le Moi et les mécanismes
 
 la psychanalyse, Lacan,
 
 et pratique
 
 de
 
 tr. fr. Paris, P.U.F., 1977.
 
 J., 1955, Variantes
 
 réduction
 
 cataire
 
 R. R., 1967, Technique
 
 de la cure-type,
 
 Paris,
 
 E.M.C.
 
 a un enfant
 
 ALLOCATION CAPÉS
 
 ou un ascendant
 
 les conditions
 
 d’attribution.
 
 C’est la loi d’orientation
 
 handicapées
 
 qui a
 
 instauré cette allocation aux adultes handicapés (A.A.H.). Son attribution est suborà l’existence
 
 de conditions
 
 cales, administratives
 
 vieillesse
 
 supplémentaire
 
 de solidarité. nique,
 
 la commission
 
 du Fonds national
 
 médi-
 
 régionale
 
 médicales
 
 sont appréciées
 
 technique
 
 d’orientation
 
 taux d’incapacité
 
 doit justifier
 
 permanente
 
 d’un
 
 d’au moins
 
 80 %. Ce taux est apprécié suivant le guidebarème des invalidités,
 
 applicable
 
 des pensions
 
 d’invalidité
 
 victimes
 
 militaires
 
 de guerre.
 
 À défaut doit justifier
 
 dicap
 
 physique,
 
 mental procurer
 
 la mettant
 
 au titre et des
 
 d’atteindre
 
 80 %, la personne permanent,
 
 d’un han-
 
 sensoriel
 
 dans l’incapacité
 
 ou
 
 de se
 
 D’ÉDUCATION
 
 fiées par la caisse d’allocations
 
 SPÉCIALE
 
 du 30 juin 1975
 
 en faveur des personnes handicapées instauré
 
 cette allocation
 
 d’éducation
 
 ciale (A.E.S.). C’est la commission
 
 allocation.
 
 départe-
 
 spéciale (C.D.E.S.) qui pour attribuer
 
 Un certain
 
 doivent
 
 nombre
 
 être réunies,
 
 tant en ce qui
 
 concerne les parents que l’enfant lui-même. L’enfant
 
 ou l’adolescent
 
 doit avoir moins
 
 de 20 ans et résider régulièrement tropole
 
 ou dans un département
 
 mer. Il doit en outre justifier capacité permanente taux est apprécié
 
 en méd’outre-
 
 d’un taux d’in-
 
 d’au moins 80 %. Ce
 
 suivant
 
 Les conditions
 
 de ressources
 
 ment vérifiées par la C.A.F. L’ensemble ressources de l’intéressé
 
 des
 
 ne doit pas dépas-
 
 ser un certain plafond. C’est la COTOREP tribution toujours
 
 qui fixe la durée d’at-
 
 de l’allocation temporaire,
 
 ans ; l’allocation mêmes conditions
 
 ; cette durée
 
 comprise
 
 est
 
 entre 1 et 5
 
 est renouvelable
 
 dans les
 
 que celles de son ouver-
 
 mêmes conditions
 
 ture. C’est la caisse d’allocations (C.A.F.)
 
 entraîne
 
 l’assurance
 
 l’affiliation
 
 ayant la charge
 
 est atteint
 
 sensoriel ou men-
 
 le taux d’incapacité
 
 est compris
 
 d’une telle allocation. qu’il fréquente
 
 Mais
 
 un établisse-
 
 spéciale pour handicapés à un
 
 service d’éducation spéciale ou de soins à domicile dans le cadre des mesures préconisées par la commission
 
 spéciale. L’allocation
 
 due lorsque
 
 l’enfant
 
 pée de moins d’éducation
 
 peut être accordé pour l’enfant
 
 atteint
 
 d’un
 
 handicap
 
 gravité
 
 exigent
 
 le recours fré-
 
 En cas de litige
 
 d’ordre
 
 recours
 
 peut être formé
 
 gracieux
 
 recours contentieux technique
 
 technique,
 
 elle-même
 
 peut se voir attribuer handicapés
 
 sociale.
 
 handicapée aux
 
 par la commission et de reclassement
 
 (COTOREP),
 
 plit les conditions
 
 À partir
 
 une allocation
 
 d’orientation
 
 professionnel
 
 un
 
 du contentieux
 
 de la Sécurité
 
 technique
 
 devant
 
 peut être formé devant
 
 de l’âge de 20 ans, la personne adultes
 
 un
 
 ; de même,
 
 régionale
 
 si elle en rem-
 
 légales. M. G.
 
 ALLOCENTRISME n.m. (angl. Allocentrism)
 
 Tendance
 
 de l’individu
 
 attention
 
 et ses activités
 
 plutôt
 
 à centrer
 
 son
 
 sur les autres
 
 que sur lui-même.(Contr.
 
 égo-
 
 centrisme.) M.-D.
 
 Trouble
 
 de la sensibilité
 
 caractérise
 
 par
 
 sensations
 
 une
 
 tactile
 
 G.
 
 qui se
 
 perception
 
 en un point
 
 des
 
 plus ou moins
 
 symétrique du côté opposé à celui où la stimulation s’est exercée. Si un sujet
 
 est piqué
 
 ressent une douleur
 
 au bras droit,
 
 au point
 
 il
 
 symétrique
 
 du bras gauche. M.-D.
 
 G.
 
 ALLOMÉTRIE
 
 Différence à eux, résider
 
 ou dans un département et exercer
 
 et la
 
 quent à l’aide d’une tierce personne.
 
 l’aide sociale.
 
 d’outre-mer
 
 dont la nature
 
 des dépenses particulière-
 
 n.f. (angl. Allometry)
 
 en métropole
 
 handica-
 
 n’est pas
 
 est placé en internat
 
 quant
 
 à
 
 de 20 ans. Un complément
 
 avec prise en charge intégrale des frais de séjour par l’assurance maladie, l’État ou
 
 doivent,
 
 automatique
 
 départementale
 
 d’éducation
 
 Les parents
 
 de l’allo-
 
 de cette allo-
 
 de la personne
 
 n.m. (angl. Allesthesia)
 
 de la guerre. Si l’enfant
 
 ment d’éducation
 
 familiales
 
 vieillesse des mères ou femmes
 
 victimes
 
 physique,
 
 dans les
 
 qui assure le versement
 
 cation spéciale. L’attribution cation
 
 1 et 5
 
 que celles de son ouver-
 
 ALLOESTHÉSIE
 
 de l’attribution
 
 sont égale-
 
 est renouvelable
 
 des invalidités, applicable au titre du Code des pensions militaires d’invalidité et des
 
 familiales
 
 de cette allocation.
 
 ans ; l’allocation
 
 entre
 
 le guide-barème
 
 ou bien que son état exige le recours
 
 bution
 
 comprise
 
 de condi-
 
 entre 50 et 80 %, il peut aussi faire l’objet
 
 pour l’attri-
 
 temporaire,
 
 ; cette durée est tou-
 
 cette
 
 nalité française
 
 une convention
 
 qui a spé-
 
 encore faut-il
 
 ayant conclu
 
 de l’allocation
 
 la commission
 
 sont véri-
 
 d’un pays
 
 jours
 
 les conditions
 
 qui fixe la durée d’attri-
 
 ment élevées ou nécessitent
 
 (C.A.F.). L’intéressé doit être âgé de plus de 20 ans, résider en France, être de natioou ressortissant
 
 bution
 
 handicapé lui-même s’il est majeur, à condition qu’en soient remplies les modalités d’attribution.
 
 tal dont
 
 administratives
 
 C’est la C.D.E.S.
 
 la commission
 
 C’est la loi d’orientation
 
 remplissant
 
 des droits.
 
 Prestation sociale que peut percevoir la famille d’un enfant handicapé ou le
 
 d’un handicap
 
 un emploi.
 
 Les conditions
 
 du contentieux M. G.
 
 tions
 
 et de reclassement professionnel (COTOREP) qui existe dans chaque département. La personne handicapée
 
 devant
 
 de la Sécurité sociale.
 
 mentale d’éducation
 
 et financières.
 
 par la commission
 
 tech-
 
 peut être formé
 
 est seule compétente Les conditions
 
 et
 
 s’il y a lieu l’allo-
 
 En cas de litige d’ordre
 
 un recours
 
 technique
 
 compétent
 
 du 30 juin 1975
 
 en faveur des personnes
 
 donnée
 
 cation
 
 de 60 ans, les
 
 les intéressés vers l’orga-
 
 à demander
 
 ALLOCATION
 
 Prestation sociale que peuvent percevoir les adultes handicapés qui remplissent
 
 les invitent
 
 ou si son
 
 G.
 
 HANDI
 
 à sa
 
 lui impose des frais
 
 À partir
 
 nisme d’assurance
 
 AUX ADULTES
 
 veuf ou divorcé.
 
 site l’aide d’une tierce personne
 
 C.A.F. orientent
 
 M.-D.
 
 est marié,
 
 charge. L’A.A.H. peut être augmentée de l’allocation compensatrice si le sujet néces-
 
 supplémentaires.
 
 Ensemble des variations de l’impression agréable ou désagréable produite par un stimulus externe sur un sujet en fonction de son état interne, comme la température, le poids, la déshydratation.
 
 d’ouverture
 
 n’est faite lorsque l’allo-
 
 activité professionnelle
 
 ALLIESTHÉSIE n.f. (angl. Alliesthesia)
 
 de l’allocation
 
 est réduit : de 20 % si l’allocataire Aucune
 
 de
 
 défense, tr. fr., Paris, P.U.F., 1950. Greenson,
 
 de la personne handicapée pendant
 
 de 50 % s’il est célibataire,
 
 Bibliographie
 
 44
 
 La per-
 
 normale
 
 une activité
 
 pro-
 
 éléments
 
 de dimension ou parties
 
 deux
 
 d’un ensemble.
 
 Chez les êtres organisés, différentes
 
 entre
 
 le fait que les
 
 parties du corps ont des rythmes
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 de croissance
 
 différents
 
 ports allométriques
 
 entraîne
 
 des rap-
 
 de poids et de taille. H. B.
 
 CROISSANCE
 
 ALLOMÉTRIQUE
 
 (RAPPORT)
 
 (angl. Allometric
 
 Différence parties
 
 instruction
 
 quantitative
 
 croissance
 
 entre
 
 dont
 
 deux
 
 les vitesses
 
 ne sont pas identiques.
 
 CROISSANCE
 
 (Gordon
 
 Psychologue Indiana,
 
 (Montezuma,
 
 1897-Cambridge,
 
 Massachu-
 
 à Harvard
 
 G. W. Allport
 
 étudia
 
 à partir
 
 (Personality
 
 Interpretation,
 
 de 1942,
 
 les problèmes
 
 de la
 
 : A Psychological
 
 1937 ; Becoming, 1955). R. L.
 
 (angl. Alpha Rhythm)
 
 cérébral
 
 est comprise l’amplitude C’est
 
 dont
 
 entre
 
 la fréquence
 
 8 et 13 hertz
 
 et
 
 entre 30 et 50 microvolts.
 
 H. Berger,
 
 inventeur
 
 est interrompu
 
 par des stimulations
 
 senso-
 
 rielles ou l’activité intellectuelle (c’est ce qu’on appelle la « réaction d’arrêt »). Pour chaque individu,
 
 on note une certaine constance de
 
 la fréquence de l’alpha. Ce rythme apparaît au cours des premières années de la vie et sa proportion
 
 dans le nycthémère*
 
 augmente avec
 
 l’âge.
 
 entre
 
 Test collectif
 
 répondre
 
 Il a été mis au point psychologues
 
 par un comité
 
 américains
 
 Yerkes, à partir
 
 de
 
 présidé par R.M.
 
 d’un projet
 
 initial
 
 de A.S.
 
 quelque
 
 1 250 000 personnes
 
 à
 
 au moment
 
 de leur enrôlement
 
 dans l’armée, en vue de
 
 classer et d’orienter
 
 ces recrues. Son étude,
 
 réalisée avec des moyens importants, léra les progrès
 
 des méthodes
 
 triques et leur mise en application nombreux
 
 domaines
 
 test non verbal Army,
 
 non militaires.
 
 pour illettrés,
 
 fut également
 
 dans de Un
 
 le Beta Test
 
 mis au point
 
 dans les
 
 mêmes conditions. M. R.
 
 de la personne
 
 à l’adaptation
 
 au milieu.
 
 ou de servir
 
 Ainsi,
 
 les réac-
 
 tions musculaires
 
 du nourrisson
 
 seraient
 
 d’abord
 
 produites
 
 en réponse réflexe à un
 
 excitant
 
 externe.
 
 Ce faisant,
 
 elles révéle-
 
 à elles-mêmes
 
 et leur
 
 seraient alors associées. Par cette distribution alternée des fonctions la transformation
 
 sont éga-
 
 mouvements
 
 s’expliqueraient
 
 des réactions
 
 dirigés
 
 Un autre exemple
 
 réflexes en
 
 et leur possible
 
 d’alternance
 
 (par
 
 « rouge » ou « vert »),
 
 veille-sommeil
 
 veau-né
 
 inhi-
 
 fonction-
 
 par les changements
 
 dans la première
 
 du
 
 qui surviennent
 
 année chez le bébé : les
 
 et du nourrisson
 
 du nou-
 
 répondraient
 
 à
 
 Ce comportement
 
 l’organisme
 
 est jeune et que le nouveau-
 
 choisir
 
 est à rapprocher
 
 de ce
 
 a appelé l’inhibition
 
 la tendance,
 
 librement
 
 d’une
 
 ou
 
 alternative,
 
 à
 
 J.-F. L. N. et G. C.
 
 ALTERNANCES (LOI DES) (angl. Law of Alternations)
 
 Succession d’une période caractérisée par certains aspects phyDÉVELOP.
 
 la taille,
 
 et d’une autre période par d’autres aspects géinverses. de forte augmentation
 
 non accompagnée
 
 du poids,
 
 est suivie du poids
 
 à son niveau
 
 d’une
 
 période
 
 avec maintien précédent.
 
 entre périodes
 
 périodes
 
 de repos, entre augmentation
 
 et accroissement
 
 aussi au niveau
 
 de l’absence
 
 les courbes
 
 L’al-
 
 de croissance de taille
 
 des différents
 
 La loi
 
 de
 
 d’augmenta-
 
 ternance poids
 
 biopsycholo-
 
 On sait en effet que les dépenses
 
 né consomme
 
 plus élevées que
 
 rapidement
 
 ses ressources.
 
 de ce besoin de restauration
 
 entraînerait
 
 le changement
 
 orienterait
 
 l’activité,
 
 de rythme
 
 pendant
 
 et
 
 une veille de
 
 plus en plus longue, vers l’environnement.
 
 ensuite l’autre terme.
 
 siologiques caractérisée néralement
 
 de restauration
 
 La réduction
 
 pour un Animal
 
 qui a choisi,
 
 des termes
 
 réactive,
 
 et de
 
 s’observe segments
 
 des alternances
 
 rend
 
 de parallélisme
 
 entre
 
 de croissance
 
 de taille
 
 et de
 
 L’illustration
 
 la plus expressive
 
 des alter-
 
 nances fonctionnelles
 
 réside dans l’imita-
 
 tion : induite
 
 d’abord
 
 par un modèle dont
 
 elle n’est que l’écho,
 
 puis unie au modèle
 
 dans une sorte d’« interaction elle en deviendrait
 
 enfin
 
 dans laquelle l’imitateur
 
 mimétique
 
 »,
 
 un réinvention
 
 se distingue
 
 nette-
 
 ment du modèle. La succession
 
 des alternances
 
 fonction-
 
 nelles forme des cycles qui ne sont jamais de simples toujours
 
 répétitions
 
 ; ils comprennent
 
 une modification
 
 du comportement, des actions moment.
 
 des mécanismes
 
 due à la fois à l’effet
 
 passées et à l’orientation
 
 C’est ainsi
 
 fonctionnelles Il est clair
 
 participent
 
 à l’ontogenèse.
 
 que les mécanismes
 
 en sens opposés l’accommodation
 
 du
 
 que les alternances
 
 s’apparentent
 
 distribués à ceux de
 
 et de l’assimilation,
 
 tels
 
 qu’ils sont décrits par d’autres auteurs, particulier
 
 en
 
 par J.M. Baldwin et par J. Piaget. H. B.
 
 poids obtenues chez l’enfant. E. V. CROISSANCE
 
 accé-
 
 psychomé-
 
 à la formation
 
 sont d’autant
 
 compte
 
 il fut appliqué
 
 de contribuer
 
 énergétiques
 
 Guerre facile,
 
 et susceptible
 
 de la réponse qui vient juste d’être donnée.
 
 dans la Première utilisation
 
 ture ambiguë
 
 est par na-
 
 gique.
 
 corporels.
 
 D’une
 
 de la vie psychique
 
 toute
 
 Il s’agit sans doute d’un effet d’inhibition
 
 de l’entrée des États-Unis (1917).
 
 Selon Wallon,
 
 un besoin
 
 Otis, au moment
 
 mondiale
 
 successive-
 
 on observe une tendance à l’alternance.
 
 de la taille
 
 d’intelligence.
 
 une conduite.
 
 raient les sensibilités
 
 (angl.
 
 deux éventualités
 
 d’accroissement
 
 Test Army
 
 que peut prendre
 
 très longues périodes de sommeil
 
 tion Alpha
 
 : elle rend compte des sens
 
 au hasard
 
 Une période P. L.
 
 ment
 
 (l’Évo1941), se
 
 rythme
 
 non, l’un
 
 Le rythme alpha
 
 contraires
 
 de l’enfant,
 
 lement récompensés. De façon semblable, chez des sujets humains qui ont à choisir
 
 l’essentiel
 
 pariéto-temporo-occipitales.
 
 veut explicative
 
 nelle est donné
 
 rythme
 
 dans les régions
 
 d’alternance
 
 les deux points d’arrivée
 
 ou un Homme
 
 yeux fermés), prédominant
 
 psychologique
 
 lorsque
 
 qui a appelé alpha ce
 
 veille diffuse (présent au repos, à l’obscurité ou
 
 lution
 
 sur soi à des fins
 
 due à H. Wallon
 
 bition.
 
 c’est-à-dire
 
 du tracé de
 
 L’expression,
 
 des Rats placés dans un labyrinthe en T (ou de toute autre forme à axe de symétrie)
 
 troencéphalographie, qui constitue
 
 G.
 
 Behavior) ont été observés chez
 
 que C.L. Hull
 
 de l’élec-
 
 concentrée élaboration.
 
 composante
 
 adulte.
 
 ALTERNANCE n.f. (angl. Alternation)
 
 exemple,
 
 (RYTHME)
 
 Rythme
 
 s’agit
 
 M.-D.
 
 Alternation
 
 Professeur
 
 ALPHA
 
 d’une population
 
 Des comportements
 
 setts, 1967).
 
 personnalité
 
 de type scolaire puisqu’il
 
 Tendance comportementale, lorsqu’ une suite de réponses est demandée et qu’un choix entre deux réponses est offert, à choisir alternativement l’une puis l’autre.
 
 Willard)
 
 américain
 
 ne se réduit pas à une
 
 de H. B.
 
 Allport
 
 et tantôt d’intime
 
 Enseignement de la lecture et de l’écriture aux adultes qui ne savent ni lire ni écrire. Cet enseignement
 
 Relationship)
 
 du corps
 
 ALPHABÉTISATION n.f. (angl. Alphabetization)
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 ALTERNANCES FONCTIONNELLES (angl. Alternate Functions)
 
 Oscillations naturelles qui, au cours du développement, gouvernent des orientations opposées de la vie psychique, tantôt tournée vers le monde extérieur pour s’ajuster aux situations
 
 ALTERNANT (SYSTÈME) (angl. Rotating Shift-Work)
 
 Planification dans laquelle alternativement trois nuit)
 
 des horaires
 
 de travail
 
 les travailleurs sont affectés à l’une des
 
 équipes (matin, selon une périodicité
 
 Le système alternant
 
 après-midi, donnée.
 
 le plus fréquent
 
 celui des 3 x 8 avec une périodicité
 
 est heb45
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 domadaire
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 : 7 postes de matin,
 
 d’après-midi
 
 7 postes
 
 et 7 postes de nuit suivis d’une
 
 le gène responsable
 
 de porter
 
 Un apparentement
 
 alors d’un cycle long. Le cycle, ou durée de
 
 sente la façon la plus simple
 
 rotation
 
 telle proximité
 
 des postes, définit
 
 nombreuses cussions
 
 la période entre
 
 à un poste identique.
 
 études portant
 
 du travail
 
 vie hors travail
 
 sur les réper-
 
 posté sur la santé et la
 
 démontrent
 
 long est le moins la répétition
 
 que le cycle
 
 bien supporté.
 
 5 à 7 jours consécutifs
 
 provoque
 
 des rythmes
 
 généalogique
 
 génétique
 
 d’assurer
 
 ; lorsque
 
 une
 
 patrimoine
 
 génétique
 
 se présente
 
 sous la
 
 même forme vidus.
 
 allélique
 
 Le surplus
 
 chez les deux indi-
 
 de reproduction
 
 se traduit
 
 d’un
 
 nombre
 
 aidé par la conduite
 
 certain
 
 consignes
 
 tive, opératoire
 
 de l’indi-
 
 ment,
 
 de gènes identiques
 
 intellectuelles,
 
 abstraction,
 
 synthèse,
 
 élémentaires.
 
 La mémoire
 
 considérablement global portant
 
 altruiste. Un tel mécanisme de sélection de parentèle (angl. Kin Selection) aurait notam-
 
 et de remémoration. et provoquée
 
 est grossièrement
 
 versement, qui se manifeste par un syndrome psychosomatique à dominante
 
 ment permis chez les Insectes sociaux l’ap-
 
 Les troubles
 
 de l’orientation
 
 psychique
 
 D’autres
 
 miné au moment L’organisme
 
 mais qui n’est pas terdu changement
 
 est donc en perpétuel
 
 (névrose
 
 somnolence
 
 caracté-
 
 une insomnie,
 
 postprandiale
 
 des épisodes agressifs dominante
 
 boule-
 
 de situation
 
 risée par une asthénie,
 
 une
 
 excessive
 
 et dépressifs)
 
 somatique
 
 testinaux
 
 de poste.
 
 (troubles
 
 et cardiaques).
 
 et
 
 ou à
 
 gastro-in-
 
 En revanche,
 
 le
 
 parition
 
 d’une caste stérile. formes
 
 création
 
 d’une cinquième
 
 tant ainsi le nombre
 
 la
 
 équipe, augmen-
 
 dû être hospitalisés.
 
 individus
 
 présentant
 
 être accentués par des facteurs comme l’âge, la personnalité des rythmes
 
 individuels
 
 et l’amplitude
 
 tuationnels
 
 se rapportant
 
 au type de travail,
 
 à la qualité
 
 du logement
 
 et à l’éloignement
 
 du lieu de travail. A. L. (TRAVAIL)
 
 ALTRUISME n.m. (angl. Altruism)
 
 Comportement par lequel individu vient en aide à un autre
 
 un de
 
 GÉNÉR.
 
 façon désintéressée. Toute conduite par laquelle un individu favorise la reproduction d’un ÉTHOL.
 
 autre aux dépens de la sienne propre. Cette restriction nisme
 
 d’être
 
 du sens courant
 
 : classiquement,
 
 si le porteur
 
 du gène correspondant
 
 Par contre,
 
 de l’individu
 
 de celle d’autres
 
 plus rarement
 
 répliqué
 
 progressivement
 
 que laisse
 
 à diminuer
 
 la
 
 individus
 
 doit être
 
 et donc disparaître
 
 de la population.
 
 La pré-
 
 altruiste
 
 actuelle représente
 
 dans
 
 le para-
 
 doxe de l’altruisme. Hamilton
 
 (1964)
 
 montre
 
 qu’un
 
 vidu aidé est génétiquement de l’individu
 
 altruiste
 
 trait
 
 al-
 
 si l’indi-
 
 suffisamment pour avoir
 
 ou à l’hôpital
 
 un dans
 
 continuellement
 
 ratoires et symboliques formelle,
 
 et réalisent
 
 ; l’orientation
 
 complète
 
 d’une atteinte
 
 temporo-
 
 : les dans
 
 où ils ont
 
 des activités
 
 opé-
 
 s’accompagne
 
 alors
 
 de la pensée représentative
 
 entraînant
 
 un véritable syndrome
 
 aphaso-apraxo-agnosique
 
 (J. de Ajuria-
 
 guerra).
 
 D’)
 
 par une perte complète sion symbolique.
 
 de la compréhen-
 
 On note l’écholalie,
 
 n’est que la réponse formelle
 
 Démence présénile décrite pour la première fois en 1906 par A. Alzheimer, débutant vers 55 ans, se caractérisant par une détérioration intellectuelle progressive et globale et produite par une atrophie cérébrale diffuse avec deux caractéristiques sur le plan histopathologique : la chromatolyse totale des cellules nerveuses, où les imprégnations argentiques
 
 Cliniquement,
 
 le début est lent,
 
 progressif,
 
 souvent
 
 ciser chronologiquement. sans fabulation
 
 spatiale d’emblée
 
 ce stade,
 
 avec apathie émaillée
 
 psychomotrice progressive
 
 parfois
 
 d’anxiété.
 
 mental
 
 ou idées
 
 délirantes
 
 de préjudice
 
 de type diverses
 
 peu structurées ou de jalousie.
 
 cas, une dépression
 
 atteinte
 
 Dans la pen-
 
 peut être touchée.
 
 est responsable
 
 praxies, de l’écriture,
 
 à
 
 chronique
 
 ouvre le tableau. Dès cette période, sée symbolique
 
 un
 
 des troubles
 
 Cette des
 
 de la lecture et même
 
 formelle,
 
 immédiate-
 
 ment son « écho ». Ces troubles pagnent
 
 de jargonaphasie
 
 sible. Cette dernière
 
 est initiale
 
 s’accom-
 
 incompréhen-
 
 peut être considérée
 
 une « inconscience
 
 de l’aphasie
 
 que l’aphasie
 
 »
 
 sensorielle
 
 (ce qui est le cas dans certaines
 
 atteintes cérébrales vasculaires).
 
 Ici, l’apha-
 
 sie est davantage la conséquence
 
 de la dété-
 
 rioration
 
 globale et il semble plus exact de
 
 parler de « pseudo-aphasie
 
 ». La lecture et
 
 restent parfois possibles, mais sur
 
 un plan purement épelée,
 
 formel
 
 écriture
 
 et automatique, de copiage
 
 sans
 
 du sens ; on ne peut parler » et de « pseudo-
 
 agraphie ». La disparition
 
 des fonctions
 
 tants. L’apraxie
 
 de colère ou
 
 On note encore quelquefois
 
 du mot entraînant
 
 entraîne des troubles
 
 est ralentie
 
 début avec troubles psychotiques confuso-onirique, hallucinations thèmes
 
 glo-
 
 et indifférence,
 
 de bouffées
 
 purement
 
 que de « pseudo-aphasie
 
 assez intense. Dès
 
 on note un déficit
 
 l’émission
 
 compréhension
 
 ni fausse recon-
 
 naissance (à ce stade) et par une désorientation
 
 phrases par association
 
 lecture
 
 global s’aggravant
 
 répétition
 
 de syllabes, de mots ou de courtes
 
 l’écriture
 
 à pré-
 
 Il est marqué
 
 mnésique
 
 itérative
 
 qui
 
 « en écho » à
 
 posée, et la palilalie,
 
 si l’on considère
 
 insi-
 
 difficile
 
 la question
 
 comme
 
 montrent un réseau fortement coloré (dégénérescence neurofibrillaire) ; la fréquence de plaques spéciales argyrophiles, dites « séniles ».
 
 certains
 
 truiste peut être en fait sélectionné proche
 
 cette aide. On parle
 
 leur appartement
 
 La disparition
 
 touchée.
 
 L’aphasie, de type sensoriel, est caractérisée
 
 bal. L’activité
 
 qui le porte au
 
 sence d’un tel comportement une population
 
 d’aide et la
 
 J. G.
 
 lentement
 
 que les non-porteurs.
 
 un gène incitant
 
 descendance
 
 d’accepter
 
 par un déficit
 
 réglée ne
 
 dans une population
 
 plus de descendants
 
 profit
 
 trouve
 
 une particularité
 
 génétiquement
 
 peut se répandre
 
 le comportement
 
 dans ce cas de sélection d’affinité.
 
 dieux,
 
 dans le cadre du darwi-
 
 comportementale
 
 codé. Le même allèle génique
 
 Alzheimer (MALADIE D’) (angl. Alzheimer’s Disease)
 
 et des facteurs si-
 
 sa raison
 
 un même trait géné-
 
 peuvent
 
 biologiques
 
 POSTÉ
 
 possibilité
 
 apparaître
 
 spontanée
 
 est la plus perturbée
 
 qu’entre
 
 ne pouvant
 
 AIDE (COMPORTEMENT
 
 Les effets du travail posté alternant
 
 l’espace immédiat
 
 portement
 
 de personnes exposées
 
 aux effets du travail posté.
 
 dominant
 
 malades se perdent
 
 conditionne
 
 Il nécessite cependant
 
 : il en est ainsi lorsque
 
 de fixation
 
 L’attention
 
 sont très intenses
 
 symptôme
 
 est
 
 avec un déficit
 
 sur les fonctions
 
 d’aide ce com-
 
 pas de déséquilibre gique important.
 
 produisent
 
 altérée
 
 l’exercice même du comportement opère un criblage entre génotypes,
 
 tiquement
 
 ni psycholo-
 
 de sélection
 
 un effet équivalent
 
 cycle court (2 jours par poste) ne provoque biologique
 
 spatiale
 
 juge-
 
 que sur les
 
 de copies du gène codant pour la conduite
 
 de travail
 
 est
 
 aussi bien sur
 
 à ceux de son aide, et donc, en particulier,
 
 horaires
 
 qu’au
 
 années, la démence
 
 massive, portant
 
 fonctions
 
 Là
 
 ou instrumentale.
 
 les hautes fonctions
 
 par la transmission
 
 opératoire.
 
 À la période d’état, qui ne survient profonde,
 
 des
 
 de la pensée représenta-
 
 bout de quelques
 
 assuré
 
 symbolique
 
 et dans l’activité
 
 se situe le déficit
 
 l’appapart du
 
 vidu altruiste
 
 aux
 
 tés dans la compréhension
 
 repré-
 
 une bonne
 
 pendant
 
 biologiques
 
 table apraxie ou aphasie, mais de difficul-
 
 est étroit,
 
 à l’individu
 
 un début
 
 parfois du langage. Il ne s’agit pas de véri-
 
 rentement
 
 En effet,
 
 des mêmes horaires
 
 d’ajustement
 
 De
 
 lui-même
 
 de ce comportement.
 
 période de repos de durée variable. Il s’agit
 
 deux affectations
 
 46
 
 une bonne probabilité
 
 conservation
 
 opératoires
 
 praxiques très impor-
 
 idéatoire est manifeste avec de certains
 
 tiques (l’allumette
 
 gestes automa-
 
 est frottée
 
 sur la boîte,
 
 mais, sauf par hasard, non sur le frottoir). Il y a une apraxie de l’habillage complète.
 
 Dans
 
 les résultats
 
 le copiage
 
 d’un
 
 sont très médiocres.
 
 souvent
 
 le phénomène
 
 troubles
 
 gnosiques
 
 marqués
 
 à peu près dessin, On note
 
 du closing-in.
 
 sont bien entendu
 
 : reconnaissance
 
 imparfaite
 
 Les très des
 
 couleurs, agnosie pour les formes et parfois pour
 
 les physionomies,
 
 agnosie
 
 spatiale
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 coexistant
 
 avec une apraxie géométrique
 
 et
 
 niles. Et c’est dans cette perspective
 
 des troubles du schéma corporel.
 
 a, depuis
 
 quelques
 
 Sur le plan du comportement,
 
 confondre
 
 dans le même cadre nosologique
 
 ment psychomoteur
 
 le ralentisse-
 
 aboutit à un apragma-
 
 d’une « démence
 
 années,
 
 qu’on
 
 tendance
 
 dégénérative
 
 primaire
 
 d’Alzheimer
 
 »
 
 tisme de plus en plus complet avec l’appari-
 
 la démence
 
 tion, surtout nocturne,
 
 sensu et les démences séniles dégénératives
 
 de crises d’agitation
 
 présénile
 
 à
 
 plus tardives. On parle alors de « démence
 
 intense.
 
 sénile type Alzheimer Des troubles
 
 psychotiques
 
 sont souvent
 
 signalés ; idées délirantes à thèmes de préjudice, sécution,
 
 mal structurées
 
 de jalousie,
 
 accompagnées
 
 mènes hallucinatoires. vis de l’entourage spéculaire
 
 l’impression
 
 de per-
 
 L’agressivité
 
 vis-à-
 
 ou de sa propre
 
 image
 
 due à de fausses
 
 familières,
 
 le sujet ayant
 
 d’être plongé dans un milieu
 
 étranger et hostile. J. Delay
 
 malgré
 
 notent
 
 du trouble
 
 doxalement
 
 morbide
 
 foncière
 
 est paraconservée
 
 réactionnelles
 
 « catastrophiques
 
 gnificatives
 
 « la
 
 et a pu entraîner
 
 bouffées dépressives réactions
 
 que
 
 assez longtemps
 
 la démence
 
 des
 
 ». Ces
 
 » sont très si-
 
 et s’opposent
 
 à l’indifférence
 
 des sujets atteints
 
 de maladie
 
 de
 
 Pick.
 
 de ces démences dégénératives
 
 primaires
 
 reste encore mal connue
 
 disposition
 
 héréditaire,
 
 hypothèses
 
 ces causes restent
 
 a rendu de plus en plus
 
 fréquente laquelle
 
 cette affection il n’existe
 
 possible.
 
 transitoire
 
 rien la progression
 
 sentiellement
 
 kinsonien
 
 sont es-
 
 par une hyper-
 
 musculaire)
 
 avec
 
 apparaît
 
 évolue
 
 terminale,
 
 apparition (Oral
 
 progressive mutisme certains
 
 La cachexie
 
 intercurrente
 
 de décubitus
 
 grabad’une
 
 et des complica(escarres,
 
 affections
 
 pulmonaires). L’évolution
 
 totale dure de deux à cinq ans,
 
 dans de rares cas plus de dix ans. La maladie cérébrales typique
 
 d’Alzheimer, diffuses,
 
 globale des fonctions supérieure. fonctions,
 
 progressive
 
 à tel point
 
 progressive
 
 qu’Ajuriaguerra
 
 parler de l’« alzheimérisation
 
 J. L., et Hauw,
 
 plusieurs interprétations sensorielle
 
 et
 
 favoris
 
 de
 
 de sti-
 
 lieu à deux ou
 
 à partir de l’infor-
 
 proprement
 
 dite. Dans
 
 certains cas, le sujet oscille d’une interpré-
 
 Dans le langage, l’ambiguïté contrer
 
 à différents
 
 consciente,
 
 et autres démences,
 
 lexicales.
 
 l’ambiguïté
 
 ment inaperçue
 
 : le lexique,
 
 elle est non
 
 aussi bien en production immédiate
 
 tique. C’est seulement l’ambiguïté
 
 qu’en
 
 ; dans ce dernier
 
 en cas de conflit
 
 devient consciente.
 
 des ambiguïtés
 
 cas, il y
 
 et automa-
 
 lexicales,
 
 que
 
 Dans le cas
 
 les modèles
 
 les
 
 plus courants supposent que les deux significations
 
 du mot ambigu
 
 sont stockées en
 
 mémoire
 
 à long terme, et donc disponibles
 
 pour le système de traitement. savoir
 
 comment
 
 l’une et l’autre
 
 s’effectue
 
 le choix
 
 signification
 
 est automatique.
 
 Il s’agit de entre
 
 et pourquoi
 
 il
 
 On considère souvent que
 
 les deux acceptions
 
 sont d’abord
 
 activées
 
 ensemble, puis que l’une d’elles, celle qui ne convient
 
 pas, est ensuite inhibée. stimulus,
 
 ambigus,
 
 dispositifs
 
 l’interprétation
 
 est
 
 même du traitement
 
 L’explication
 
 de l’ambi-
 
 guïté et de la désambiguïsation
 
 Paris, Flam-
 
 Dans
 
 passe générale-
 
 du locuteur,
 
 compréhension
 
 la
 
 On a tout spéciale-
 
 ment étudié les ambiguïtés un contexte,
 
 peut se ren-
 
 niveaux
 
 syntaxe, la sémantique.
 
 de l’information.
 
 J. J., 1991, Maladie
 
 doit donc
 
 reposer sur une analyse détaillée de ce traiJ.-F. L. N.
 
 AMACRINES (CELLULES) (angl. Amacrine Cells)
 
 Cellules de la rétine liaisons horizontales. au niveau
 
 DÉSAMBIGUÏSATION
 
 assurant
 
 des
 
 à un des a pu
 
 » progressive
 
 des démences aussi bien préséniles que sé-
 
 AMBIVALENCE n.f. (angl. Ambivalence
 
 ; allem. Ambivalenz)
 
 de ces cellules sont situées
 
 des jonctions
 
 synaptiques
 
 des
 
 et des cellules ganglion-
 
 naires. C. B.
 
 AMBIÉQUAL, E,AUX adj. et n. (angl. Ambiequal)
 
 Disposition psychique d’un sujet qui éprouve ou manifeste simultanément deux sentiments, deux attitudes opposés à l’endroit d’un même objet, d’une même situation. (Par exemple, l’amour et la haine, le désir et la crainte,
 
 l’affirmation
 
 La notion
 
 Dans la typologie de H. Rorschach, se dit d’un type mental dont les tendances à l’extraversion et à l’introversion s’équilibrent, ce qui traduit, le plus souvent, une prédisposition à l’indécision et à l’ambivalence. R. L.
 
 et la négation.)
 
 d’ambivalence
 
 a été introduite
 
 par E. Bleuler en 1910 à la suite de ses travaux sur la schizophrénie, dance paradoxale formes
 
 où cette ten-
 
 lui apparaissait
 
 les plus caractéristiques.
 
 S. Freud a eu recours
 
 dans ses Ensuite,
 
 à cette notion,
 
 il n’a cessé de souligner différents
 
 dont
 
 l’importance
 
 dans
 
 registres du fonctionnement
 
 psy-
 
 chique ; cela aussi bien pour rendre compte
 
 et
 
 nerveuse
 
 Elle s’adapte parfaitement
 
 donner
 
 construite au moment
 
 Hill.
 
 ainsi le cas
 
 de l’activité
 
 schéma de désorganisation
 
 McGraw
 
 par ses lésions
 
 représente
 
 de la détérioration
 
 Signoret,
 
 Medsi
 
 dans
 
 (maigreur
 
 au cours
 
 d’étude
 
 Il s’agit toujours
 
 mulus qui peuvent
 
 ou situations
 
 B., 1994, la Maladie
 
 rigidité
 
 alors l’état
 
 survient
 
 d’Alzheimer,
 
 cellules bipolaires
 
 vers un
 
 une véritable
 
 accompagne
 
 affection
 
 et diminution peut
 
 a été un des secteurs la gestaltthéorie.
 
 ambigus,
 
 de figures ambiguës,
 
 Dans le cas d’autres
 
 O. et Michel,
 
 Les dendrites
 
 archaïques
 
 L’hypertonie
 
 cas devenir
 
 et la mort
 
 tions
 
 complets,
 
 de la jargonaphasie
 
 de décérébration. taire
 
 et gâtisme
 
 boulimie)
 
 total.
 
 extrême)
 
 sont,
 
 profond
 
 de comportements
 
 Reflex,
 
 Guard,
 
 de stimulus
 
 plus particulièrement
 
 mation
 
 de per-
 
 tement.
 
 la maladie
 
 vers un état démentiel
 
 avec apragmatisme
 
 malheureuse-
 
 tardivement
 
 assez fréquentes.
 
 à sa période
 
 permettent
 
 marion.
 
 progressivement.
 
 dans certains cas. Les crises comitiales
 
 Enfin,
 
 d’assistance
 
 très diversifiée une évolution
 
 une aide de
 
 J. P.
 
 d’Alzheimer
 
 un aspect pseudo-par-
 
 et s’accentuant
 
 classiquement,
 
 médicosociale
 
 évi-
 
 Bibliographie
 
 représentées
 
 Un grasping-reflex
 
 psychique),
 
 de l’affec-
 
 neurologiques
 
 réalisant
 
 le plus longtemps
 
 une organisation
 
 ment inéluctable.
 
 (excès de tension
 
 akinésie,
 
 du patient
 
 dans son cadre de vie (pour
 
 qui ne modifie
 
 tion » (Delay et Brion). Les manifestations
 
 pas de préven-
 
 intensive
 
 à le maintenir
 
 de retarder
 
 inexorable
 
 pour
 
 Seules une prise en charge
 
 jours ou semaines, en
 
 des popula-
 
 redoutable,
 
 donc
 
 médicopsychologique visant
 
 La perception
 
 a désambiguïsation
 
 tions occidentales
 
 sa famille,
 
 variabilité
 
 des
 
 progressif
 
 variabilité
 
 quelques
 
 encore
 
 Le vieillissement
 
 die d’Alzheimer tion pendant
 
 mais n’a
 
 de recherche.
 
 ter une défaillance
 
 ou atténua-
 
 congéni-
 
 pu être confirmé), troubles métaboliques divers, intoxications, infection à virus lent,
 
 à la mala-
 
 avec exagération
 
 : pré-
 
 avec la trisomie
 
 21 s’est avéré d’abord prometteur,
 
 « Enfin, un autre élément propre est une certaine
 
 facteurs
 
 taux (un rapprochement
 
 tion
 
 sieurs sortes d’identifications, ceptions, etc.
 
 tation à l’autre.
 
 L’étiologie
 
 possible
 
 des troubles
 
 n’étant plus
 
 raissent.
 
 etc. Toutes
 
 et S. Brion
 
 conscience
 
 rence entre les deux affections
 
 la diffé-
 
 représentée que par l’âge auquel elles appa-
 
 ou à la méconnaissance
 
 des physionomies
 
 » (SDAT),
 
 ou non de phéno-
 
 est souvent
 
 reconnaissances
 
 tonie
 
 stricto
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 AMBIGUÏTÉ n.f. (angl. Ambiguity)
 
 Caractère de ce qui peut donner lieu, dans la communication, à plusieurs interprétations et, de façon plus générale, de tout ce qui suscite plu-
 
 de conflits
 
 intrapsychiques
 
 que pour ca-
 
 ractériser
 
 certaines
 
 étapes de l’évolution
 
 libidinale,
 
 voire l’aspect fondamentalement
 
 dualiste de la dynamique La coexistence, affectives
 
 des pulsions.
 
 chez un sujet, de tendances
 
 opposées
 
 à l’égard
 
 d’un
 
 même 47
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 objet induirait conflits
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 l’organisation
 
 psychiques
 
 attitudes
 
 de certains
 
 imposant
 
 parfaitement
 
 au sujet des
 
 contradictoires.
 
 Dans le même sens, M. Klein titude
 
 foncièrement
 
 généralement
 
 ristique
 
 du sujet
 
 dans sa relation
 
 à l’objet,
 
 qualitativement
 
 clivé en « bon objet
 
 ment de conflits l’hystérique
 
 évoque l’at-
 
 ambivalente
 
 psychogène,
 
 et confusionnelles paroxystiques,
 
 l’amnésie post-traumatique,
 
 L’amour
 
 un traumatisme
 
 une des oppositions l’avènement
 
 en l’espèce,
 
 les plus décisives dans
 
 de tels conflits.
 
 L’ambivalence un facteur
 
 apparaîtrait
 
 aussi comme
 
 constitutivement
 
 lié à certains
 
 stades de l’évolution
 
 libidinale
 
 (quelques
 
 minutes
 
 pulsionnelles
 
 types. L’amnésie
 
 exemple,
 
 contradictoires.
 
 l’opposition
 
 du stade sadique-oral, stade sadique-anal.
 
 amour-destruction activité-passivité
 
 cée d’évoquer
 
 du
 
 En ce sens, l’ambivaà la
 
 pulsionnelle.
 
 liée au dynamisme rait, par ailleurs, oppositionnel
 
 des pulsions
 
 sexuelles,
 
 confortée
 
 par le caractère
 
 des pulsions
 
 elles-mêmes
 
 pulsions
 
 d’évocation,
 
 :
 
 encore
 
 dans
 
 de vie - pulsions
 
 de
 
 mort. R. L.
 
 donc
 
 grade, ou de mémoration, l’impossibilité
 
 de fixer
 
 fixation, trouble
 
 général de la conscience,
 
 de la vigilance,
 
 perturbant
 
 de l’organiser
 
 n.f. (angl. Amblyopia)
 
 où la mémoire
 
 toxiques.
 
 L’amblyopie
 
 à un défaut strabisme
 
 ou
 
 ex anopsia est due
 
 d’usage d’un il par suite d’un ou d’un astigmatisme
 
 non cor-
 
 rigés.
 
 à un
 
 et même et
 
 culé ces flux jusqu’au système central. Pour
 
 [W. Köhler, signifie
 
 vent, en particulier
 
 s’associent
 
 sou-
 
 et que les fonctions
 
 sont alors globalement
 
 per-
 
 turbées : c’est l’amnésie rétroantérograde
 
 de
 
 nous percevons la portion
 
 lision
 
 J. P.
 
 déplace en direction ou ralentit
 
 dépend strictement modalités.
 
 de l’une
 
 à son contact, commence
 
 rieuse des fonctions
 
 cognitives,
 
 soit de lésions cérébrales d’un trouble l’existence
 
 purement
 
 de conflits
 
 On distingue
 
 soit
 
 traduisant
 
 psychiques.
 
 qu’elle est amo-
 
 amnésies partielles, l’amnésie
 
 de la forme,
 
 par plu-
 
 Tel est le cas par
 
 de la taille
 
 Parmi
 
 les
 
 « élective » est
 
 spatiale
 
 perceptible
 
 l’audition
 
 et le toucher.
 
 à travers
 
 que le premier
 
 objet
 
 dans la même (Michotte,
 
 contemporains
 
 « pointu
 
 deux raisons. D’abord informations
 
 la vision,
 
 1946). vont en-
 
 1966 ; Bower, quelque
 
 », « rugueux
 
 » ou
 
 parce que de telles
 
 sont susceptibles modalités
 
 le toucher
 
 d’être
 
 ap-
 
 ou successivement sensorielles
 
 et l’audition).
 
 est amodale
 
 surtout
 
 (ici,
 
 Mais la parce que
 
 tirée est représentée au niveau
 
 plus rien aux caractéristiques
 
 et en
 
 la vision,
 
 spécifique
 
 la au
 
 système visuel, alors que la température
 
 et
 
 le poids sont des propriétés
 
 au
 
 spécifiques
 
 Cette conception
 
 de la nature des percepts
 
 a des implications
 
 quant à la coordination
 
 est également attribuée
 
 à la transmission modalité
 
 sensorielles
 
 intermodal,
 
 entre
 
 c’est-à-dire
 
 des informations
 
 d’une
 
 à l’autre. Y. H.
 
 TRANSFERT
 
 l’amodalité
 
 propriétés
 
 des
 
 INTERMODAL
 
 Bibliographie Gibson,
 
 J. J., 1966, The Senses Considered
 
 Perceptual
 
 Systems, Boston,
 
 Houghton
 
 as
 
 Mifflin
 
 Co. Gibson,
 
 E.J., 1969, Principles
 
 Learning
 
 and Development,
 
 of perceptual New York,
 
 Acade-
 
 mic Press. Y., 1986, Toucher
 
 la perception
 
 par certains auteurs
 
 à certaines
 
 modalités
 
 elles et au transfert
 
 Hatwell,
 
 moderne,
 
 sensorielles
 
 de la vision, du toucher ou de l’audition.
 
 à
 
 Au contraire,
 
 est une propriété
 
 Dans la psychologie
 
 se
 
 arrive
 
 et que le deuxième
 
 1974 ; etc.). Pour eux, percevoir
 
 ou encore de
 
 (en direction
 
 distance),
 
 non seulement
 
 lorsqu’il
 
 ou de la
 
 d’un objet, qui sont perceptibles
 
 travers la vision et le toucher,
 
 couleur
 
 de ces
 
 système tactilokinesthésique.
 
 des amnésies partielles et des
 
 amnésies totales, ou extensives.
 
 48
 
 résultant
 
 organiques,
 
 affectif,
 
 sé-
 
 en pro-
 
 de l’autre, puis stoppe
 
 à se déplacer
 
 des différentes
 
 sieurs systèmes perceptifs.
 
 une atteinte
 
 notre
 
 central sous une forme abstraite qui ne doit
 
 dale si elle peut être appréhendée
 
 représente
 
 de table masquée
 
 brusquement
 
 l’information
 
 On dit d’une propriété
 
 L’amnésie
 
 des
 
 » entre deux objets si l’un d’eux
 
 par plusieurs
 
 la localisation
 
 percevoir
 
 rétine ne reçoive aucune excitation
 
 nature et l’origine.
 
 texture
 
 cela
 
 par le livre bien que sensoriellement
 
 portées simultanément
 
 Perte plus ou moins complète de la mimique, qui s’observe dans certaines
 
 Perte de la mémoire qui se marque notamment par l’impossibilité de se rappeler des expériences passées alors qu’on en recherche l’évocation.
 
 A. Michotte],
 
 livre est posé sur une table,
 
 la démence avancée, quelles qu’en soient la
 
 exemple
 
 »)
 
 « proche » se fait de manière amodale pour
 
 cognitives
 
 et gravement
 
 d’amodalité
 
 données qui n’ont aucune base sensorielle.
 
 chose comme
 
 lorsque l’état démentiel
 
 Propriété d’un objet perçu qui n’est pas liée à une modalité sensorielle particulière, par opposition à ce qui
 
 AMNÉSIE n.f. (angl. Amnesia)
 
 K. Koffka,
 
 core plus loin (J. J. Gibson,
 
 AMODALITÉ n.f. (angl. Amodality)
 
 R. L.
 
 cette notion
 
 Les psychologues
 
 AMIMIE n.f. (angl. Amimia)
 
 la
 
 qui ont intro-
 
 que nous pouvons
 
 perception
 
 comme
 
 gestaltistes
 
 aussi appelée « supramodalité
 
 direction
 
 de Korsakov,
 
 est particulière-
 
 Ces deux types d’amnésie
 
 qui a véhi-
 
 1935). De même, nous percevons la « col-
 
 C. B.
 
 affections neurologiques maladie de Parkinson.
 
 perceptif
 
 de
 
 ment touchée.
 
 s’aggrave
 
 lien avec le système
 
 venance de cette partie de la table (Koffka,
 
 à mesure, tel qu’on peut
 
 de fixation
 
 elle n’a pas (ou n’a plus) de
 
 sou-
 
 en passé. C’est,
 
 dans la psychose
 
 des causes variées, congénitales
 
 par
 
 le présent
 
 l’observer
 
 avoir
 
 antéro-
 
 liée de façon quasi constante
 
 (c’est-à-dire
 
 tirée des flux sensoriels) peut
 
 Ainsi, lorsqu’un
 
 et les plus
 
 venirs. C’est une atteinte de la mémoire
 
 AMBLYOPIE
 
 peut
 
 préser-
 
 de nouveaux
 
 l’oubli
 
 de la sensibilité
 
 une
 
 se manifeste
 
 apportée
 
 ou le goût de ce
 
 etc.). Mais la perception
 
 (parfois
 
 Elle touche
 
 L’amnésie
 
 de ce fruit,
 
 duit et développé
 
 passé
 
 les plus anciens
 
 de la sensation
 
 les psychologues
 
 d’un
 
 à la limite,
 
 Cet affaiblissement
 
 et
 
 selon la loi de T. Ribot,
 
 affectivement.
 
 empêchant
 
 Déficit fonctionnel de la sensibilité visuelle sans lésion optique apparente.
 
 plus fré-
 
 régressive,
 
 par le toucher
 
 les modalités,
 
 en suivant
 
 généralement
 
 chargés
 
 - pulsions
 
 et plus nettement
 
 le dualisme
 
 la mémoire
 
 (la sensation
 
 être amodale car, étant la même dans toutes
 
 se caractérise
 
 ou partie
 
 organisé.
 
 les souvenirs
 
 se trouve-
 
 d’autoconservation
 
 tout
 
 rement différente
 
 l’information
 
 à quelques
 
 modalité
 
 spé-
 
 apportée par la vue d’un fruit sera nécessai-
 
 fruit,
 
 de plus en plus pronon-
 
 vant longtemps,
 
 intrinsèquement
 
 après
 
 immédiatement
 
 secondes
 
 correctement marche
 
 L’idée d’une ambivalence
 
 pulsions
 
 par
 
 articulée
 
 du sujet ;
 
 On les sépare en deux grands
 
 par l’impossibilité
 
 lence est alors directement dynamique
 
 Soit,
 
 laissant après
 
 rétrograde
 
 des sen-
 
 à chaque
 
 quentes. Elles sont en général évolutives extensives.
 
 bien les perceptions
 
 cifiques
 
 avant la survenue de celui-ci).
 
 coexistent dans le même temps des motions
 
 on distingue
 
 que si
 
 et des crises
 
 Les amnésies totales sont beaucoup
 
 du sujet, où
 
 Cela ne peut se justifier
 
 Les sensations sont toujours
 
 arrête l’évocation
 
 précédant
 
 propriétés.
 
 de ces
 
 sations.
 
 survenant
 
 crânien,
 
 de la période l’accident
 
 chez
 
 mais aussi à la perception
 
 des bouffées
 
 la crise une lacune dans l’histoire
 
 « mauvais objet ». et la haine constituent,
 
 objets,
 
 ; l’amnésie lacunaire est caracté-
 
 émotionnelles
 
 » et
 
 sexuels et fréquente
 
 des crises comitiales,
 
 délirantes
 
 qui lui apparaît
 
 liée au refoule-
 
 universitaires Koffka, logy.
 
 tactile
 
 l’espace. La main
 
 de l’espace, Lille,
 
 et
 
 Presses
 
 de Lille.
 
 K., 1935, Principles
 
 of Gestalt
 
 Psycho-
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 du temps nécessaire
 
 AMOK n.m. (angl. Amuck ou Amok)
 
 du premier
 
 État d’exaltation émotionnelle avec tendances impulsives à l’homicide et à la course sauvage. Le passage à l’acte est fréquent d’une crise de « fureur ralement
 
 suivie
 
 au cours
 
 sanguinaire
 
 d’une
 
 amnésie
 
 », géné-
 
 pusculaire
 
 ou une bouffée délirante.
 
 cré-
 
 En fait,
 
 stimulus
 
 le modèle
 
 mine jusqu’au
 
 (l’«
 
 prendre
 
 conscience
 
 de la relation
 
 crit pour la première
 
 fois) et de l’Asie
 
 du
 
 Sud-Est. J. P.
 
 un processus qui se développe
 
 atteindre
 
 l’intervalle
 
 prise de conscience
 
 sémantique.
 
 Phénomène
 
 dans lequel c’est une signification qui est rendue sentation
 
 plus disponible
 
 antérieure
 
 sémantiquement
 
 secondes,
 
 de la relation
 
 du mot
 
 d’un autre mot, relié
 
 au mot concerné.
 
 séman-
 
 Le sujet peut à partir
 
 d’elle
 
 diverses. pro-
 
 dit.
 
 Un autre
 
 exemple
 
 d’amorçage
 
 peut être
 
 observé lors de la compréhension
 
 de textes.
 
 Supposons
 
 que des sujets aient à lire un
 
 paragraphe
 
 ou un texte dans lequel il est
 
 Supposons
 
 qu’à la suite
 
 on soumette
 
 de cette lecture
 
 ces sujets à une épreuve
 
 reconnaissance, Et supposons
 
 lexicale. On présente au
 
 qui est présenté
 
 J.-F. L. N. AMORÇAGE
 
 AMOUR n.m. (angl. Love ; allem. Liebe)
 
 Sentiment d’attachement d’un être pour un autre, souvent profond, voire violent, mais dont l’analyse montre qu’il peut être marqué d’ambivalence et, surtout, qu’il n’exclut pas le narcissisme. À partir
 
 que le mot « borne
 
 se trouve parmi les stimulus
 
 du moment
 
 où il introduit
 
 des pulsions
 
 de mort,
 
 se sert volontiers désigner
 
 l’ensemble
 
 (comprenant
 
 »
 
 à reconnaître.
 
 des pulsions
 
 d’autoconservation)
 
 qui s’y opposent.
 
 tel usage pourrait
 
 être trompeur.
 
 cher la force qui mène le monde,
 
 Une telle conception freudienne,
 
 tout à fait critiquable. en effet à gommer
 
 répondre
 
 trois
 
 décision.
 
 On compare
 
 situations
 
 les temps de
 
 alors trois sortes de
 
 possibles. La suite de lettres sur
 
 laquelle
 
 se fait la décision
 
 (par
 
 « beurre
 
 ») peut être présentée
 
 tement
 
 après : 1. un premier
 
 lettres
 
 neutres (par exemple
 
 2. un mot sans rapport tique
 
 (par exemple
 
 « train
 
 ce mot
 
 (par
 
 durable
 
 exemple
 
 expérimentales
 
 que c’est dans la dernière temps de décision
 
 ») ;
 
 ») ; 3. un mot
 
 sémantique
 
 Les données
 
 « xxxxx
 
 de
 
 avec
 
 « pain
 
 »).
 
 témoignent que le
 
 est le plus court
 
 ; il est
 
 le plus long dans la deuxième ; il est intermédiaire dans la première. On dit alors que « pain » a amorcé la décision sur « beurre », alors que « train » l’a ralentie (par rapport « xxxxx
 
 »). L’amorçage
 
 relations
 
 sémantiques
 
 est rapporté
 
 à
 
 ici aux
 
 qui existent entre les
 
 mots dans la mémoire
 
 à ce
 
 « xxxxx » ; 2. précédé par un mot non pré-
 
 qui distingue
 
 et désir. Freud
 
 sou-
 
 sent dans le texte ; 3. précédé par un mot
 
 ligne, par exemple,
 
 (ici « voiture ») qui se trouvait
 
 beaucoup
 
 térieur
 
 : 1. précédé
 
 sémantique
 
 On observe que c’est la dernière qui conduit
 
 à long
 
 par là interdite.
 
 d’un
 
 cette fois
 
 amorçage.
 
 Il est engendré
 
 du texte,
 
 çage devient
 
 qui est en elle-même
 
 et métaphorique,
 
 liée à celle d’activation*
 
 est fortement
 
 (et de diffusion
 
 qui en fournit
 
 de
 
 une interpréta-
 
 d’amorçage
 
 d’autre part de méthode,
 
 peut
 
 servir
 
 comme le montre
 
 sorte d’expérience
 
 en évidence
 
 citée, pour
 
 l’existence
 
 celles formées
 
 et la force
 
 moins net et, vers 50 milliseil disparaît
 
 ment. Ces valeurs donnent
 
 complète-
 
 une estimation
 
 longuement
 
 soient
 
 que la
 
 dans un article
 
 (renversement tournement
 
 C’est comme » (1915)
 
 1915]. Freud y étudie
 
 de l’activité
 
 sexuelles
 
 en passivité, re-
 
 sur la personne propre, refou-
 
 sublimation)
 
 de l’amour
 
 de
 
 traitées
 
 séparément.
 
 le sort des pulsions
 
 : lui
 
 ; et ce n’est qu’après fait valoir
 
 la singularité
 
 seul peut être renversé
 
 quant au contenu,
 
 dès lors qu’il
 
 rare qu’il se transforme
 
 n’est pas
 
 en haine.
 
 Le sujet peut en venir assez couramment haïr l’être qu’il
 
 au cours de la
 
 des sentiments unissent
 
 DÉCISION
 
 aimait
 
 non moins
 
 ; il peut aussi avoir
 
 mêlés,
 
 un profond
 
 sentiments
 
 amour
 
 puissante
 
 à qui
 
 et une haine
 
 pour la même per-
 
 sonne : c’est le sens le plus strict qu’il soit possible
 
 J. R., 1985, Cognitive
 
 Its Implications,
 
 no 8.
 
 Psychology
 
 New York, Freeman,
 
 « L’accès au lexique spécial,
 
 sans doute
 
 et destins des pulsions
 
 sémantiques,
 
 J.-F. L. N.
 
 Anderson,
 
 sinon
 
 tout ce trajet qu’il
 
 Le phénomène
 
 notamment
 
 ni aimer la femme
 
 et de la sexualité
 
 [in Métapsychologie,
 
 lement,
 
 tion théorique.
 
 Bibliographie l’effet d’amor-
 
 l’amour
 
 « Pulsions
 
 est raisonnablement
 
 l’intervalle,
 
 condes d’intervalle,
 
 au
 
 à reconnaître.
 
 d’amorçage,
 
 la dernière
 
 désirer
 
 dès lors que les questions
 
 le cas notamment
 
 par l’intermédiaire
 
 compréhension.
 
 Si l’on raccourcit
 
 On conçoit
 
 associé,
 
 l’activation),
 
 que
 
 façon de la mère, se trouve
 
 parallèlement,
 
 tance. L’effet d’amorçage survient
 
 100 à 400 millise-
 
 C’est
 
 par un mot qui vient d’être tout récemment
 
 de toutes sortes de relations
 
 court : par exemple condes.
 
 désirent.
 
 aux temps de reconnaissance en faveur
 
 descriptive
 
 ne peuvent
 
 la femme qu’ils aiment,
 
 d’une certaine
 
 les plus courts, ce qui témoigne
 
 La notion
 
 ce fait bien connu
 
 d’hommes
 
 situation
 
 Dans cette situation, l’intervalle temporel entre les deux mots a une grande imporau mieux
 
 amour
 
 femme aimée - et respectée -, trop proche
 
 mettre
 
 cet intervalle
 
 inclus, à l’in-
 
 qu’ils
 
 terme des sujets.
 
 lorsque
 
 par
 
 du texte, dans un même fragment
 
 mot critique
 
 situation
 
 C’est pour
 
 prêter attention
 
 possibles
 
 immédia-
 
 ensemble
 
 de ce qui est plus spécifiquement
 
 cela qu’il faut plutôt
 
 situations
 
 de signification.
 
 avec le mot cri-
 
 qui a un rapport critique
 
 exemple
 
 Elle re-
 
 le rôle déter-
 
 sexuel dans l’existence humaine.
 
 « oui »-« non ». On mesure
 
 la seule
 
 serait, dans l’optique
 
 en seconde position
 
 sur l’un de deux boutons
 
 cher-
 
 capable de s’opposer à Thanatos, la mort ?
 
 minant
 
 mot, en appuyant
 
 Éros n’est
 
 qu’il faudrait
 
 Ce mot peut, cette fois encore, être présenté
 
 le plus vite possible s’il s’agit d’un
 
 Un
 
 autre en effet que le dieu grec de l’Amour.
 
 viendrait
 
 avec
 
 de vie
 
 pulsions sexuelles et pulsions
 
 sujet des suites de lettres dont les unes forment un mot et les autres non. Le sujet doit
 
 dans un couple,
 
 Freud
 
 du terme grec éros pour
 
 Serait-ce dans l’amour
 
 de
 
 du type « oui »-« non », enfin
 
 le premier
 
 dans une situation d’amorçage et qui, par son action, produit le phénomène d’amorçage.
 
 l’hypothèse
 
 avec mesure du temps de reconnaissance.
 
 d’amorçage
 
 est celui qui met en oeuvre une
 
 tâche de décision
 
 la
 
 dit qu’« une voiture a renversé une borne ».
 
 par la pré-
 
 Un exemple devenu classique sémantique
 
 lui faire
 
 Mais on sort du cadre de l’amorçage
 
 Phénomène cognitif dans lequel un stimulus met préalablement en route des activités normalement produites par un second stimulus. Amorçage
 
 jusqu’à
 
 des stratégies cognitives
 
 prement
 
 Stimulus
 
 séparément
 
 deux ou plusieurs
 
 déployer
 
 GÉNÉR.
 
 est
 
 est dès lors considéré comme un
 
 Si on allonge
 
 AMORCE n.f. (angl. Prime)
 
 : on
 
 et qui prend plus de temps que l’amorçage.
 
 tique apparaît. AMORÇAGE n.m. (angl. Priming)
 
 séman-
 
 de là que la prise de conscience
 
 processus automatique.
 
 (où il a été dé-
 
 de
 
 tique qui existe entre les deux stimulus
 
 paraît spécifique aux conditions de la Malaisie
 
 che-
 
 second. Pour ces intervalles
 
 Ce dernier
 
 particulières
 
 »,
 
 le plus répandu)
 
 cet état aigu qui ne touche que les hommes culturelles
 
 activation
 
 moyens et courts, le sujet est incapable
 
 infère
 
 lacunaire
 
 qui peut évoquer un accès épileptique
 
 d’après
 
 pour que l’influence
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 », 1989, Lexique,
 
 and
 
 lence.
 
 de donner Cette
 
 ambivalence
 
 2e éd.
 
 fait de l’aliénation
 
 Numéro
 
 l’amour propre
 
 à la notion
 
 d’ambiva-
 
 s’explique
 
 du
 
 qu’il peut y avoir dans
 
 : pour qui a abdiqué dans la dépendance
 
 toute volonté amoureuse,
 
 on 49
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 conçoit
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 Le manque
 
 que la haine puisse accompagner
 
 l’attachement
 
 passionnel,
 
 l’« énamora-
 
 tion ». Mais il reste précisément compte de cette aliénation.
 
 Amour
 
 Pour
 
 le faire,
 
 d’aborder
 
 il est à présent
 
 nécessaire
 
 ce que la psychanalyse
 
 pérer quant
 
 a pu re-
 
 au rôle du narcissisme
 
 le sujet humain.
 
 Dans un article
 
 Pour introduire
 
 le narcissisme,
 
 pelle que certains hommes,
 
 de 1914,
 
 Freud rap-
 
 comme les per-
 
 vers et les homosexuels, pas leur objet d’amour
 
 pour
 
 « ne choisissent ultérieur
 
 sur le mo-
 
 clandestins
 
 (meth-labs),
 
 peut
 
 sur un écran
 
 est proposée
 
 ou la perver-
 
 mination
 
 clair,
 
 ment « glace » et « verre » en américain,
 
 toujours
 
 se projeter
 
 dans le fétichisme
 
 sion),
 
 l’amour,
 
 aucun
 
 objet
 
 c’est
 
 bien
 
 concret,
 
 aucun
 
 riel. C’est assez évident, l’enfant,
 
 dont
 
 ne vise
 
 objet
 
 maté-
 
 par exemple,
 
 les demandes
 
 chez
 
 incessantes
 
 n’ont pas pour but d’obtenir
 
 dernière
 
 signe de l’amour
 
 injectée
 
 En ce sens, comme c’est donner
 
 le dit Lacan, « aimer,
 
 ce qu’on n’a pas ». Et il est vi-
 
 pour
 
 d’amour,
 
 eux-mêmes
 
 en présentant
 
 d’objets
 
 que l’on
 
 comme objets
 
 le type de choix
 
 peut
 
 nommer
 
 narcis-
 
 insatisfaction manque
 
 l’aime surtout
 
 de quelque
 
 pour ce qui lui
 
 : seule façon de s’assurer
 
 ne vient pas boucher,
 
 qu’elle
 
 forme,
 
 dans une pipe
 
 sique » (et non selon le « type par étayage »,
 
 le désir et l’amour.
 
 directement
 
 où l’amour
 
 réductible
 
 pulsions femme
 
 d’autoconservation, qui nourrit
 
 où il vise « la
 
 », « l’homme
 
 qui pro-
 
 tège »). « De telles femmes, dit Freud, n’aiment, à strictement
 
 parler, qu’elles-mêmes,
 
 à peu près aussi intensément
 
 que l’homme
 
 les aime. Leur besoin ne les fait pas tendre à aimer,
 
 mais à être aimées,
 
 l’homme
 
 qui remplit
 
 cette condition.
 
 On peut certes discuter
 
 »
 
 l’importance
 
 Freud donne au narcissisme, ment la différence
 
 et leur plaît
 
 que
 
 et éventuelle-
 
 qu’il établit sur ce point
 
 pour autrui
 
 dissimule
 
 plus réel de sa propre
 
 apparent
 
 neurones
 
 être accordé
 
 en le transmuant
 
 établirait
 
 un équilibre
 
 du surmoi
 
 tant qu’il dépend de quelque trait qui a valeur de condition absolue » (J. Lacan, « La
 
 augmentent
 
 signification
 
 dangent
 
 du phallus
 
 1965).
 
 même comme
 
 achevée, où il a pu se reconnaître, s’aimer. C’est là la dimension sique dans l’amour qu’il
 
 peut aimer
 
 que l’on
 
 le principal
 
 ce qui détourne
 
 totalité où il a pu narcis-
 
 s’agit dans ce Notons
 
 le sujet du travail
 
 satisfaction
 
 plus rapide dans l’amour
 
 lorsqu’il
 
 une qu’il
 
 puis à éprouver
 
 de frustration,
 
 de l’agressivité,
 
 ce
 
 obstacle dans le
 
 ce qui le pousse à chercher
 
 exige de son analyste
 
 que
 
 peut situer
 
 associatif,
 
 sentiment
 
 MI-
 
 s’il est vrai que
 
 dans l’autre.
 
 c’est à ce niveau transfert,
 
 humain,
 
 du sujet qu’il
 
 qui constitue
 
 (
 
 où s’enracine
 
 y a de fondamentalement
 
 c’est toujours
 
 de la
 
 il est fait de cette image où
 
 le sujet a pu se constituer
 
 ce qu’il
 
 qui
 
 On n’oubliera
 
 pas par ailleurs
 
 l’interdit, pour
 
 que c’est la
 
 qui vient inscrire
 
 le sujet humain.
 
 si le sujet aime l’autre son amour
 
 en fonction
 
 un amour
 
 première,
 
 constitutive
 
 de ce d’abord
 
 cette opération
 
 C’est pourquoi
 
 va reposer
 
 le
 
 Dès lors,
 
 se détermine
 
 sur quoi
 
 l’amour
 
 du
 
 pour le père,
 
 éventuellement se trouve déçu.
 
 un
 
 dans la synapse.
 
 de leur contenu
 
 Ces stimulants
 
 namisants
 
 et anorexigènes
 
 temps - pendant
 
 en
 
 de l’éveil
 
 de certains cerveau*
 
 ne durent qu’un
 
 lequel l’activité
 
 réseaux
 
 se trouve
 
 nerveuse
 
 de neurones amplifiée
 
 dans le
 
 par le recru-
 
 tement sous l’effet de la drogue de toute la quantité
 
 de neuromédiateurs
 
 disponible
 
 dans la cellule.
 
 Pharmacologie
 
 Les effets de l’administration
 
 durables
 
 jadis et de
 
 agent de dopage. Venues s’inscrire, après la Seconde Guerre mondiale, dans le paysage d’une société faisant allégeance à la productivité, les amphétamines constituent l’un des (mauvais) outils de la performance*. (On dit aussi psychamine.) est le chef de file d’une
 
 de substances
 
 clinique
 
 d’amphéta-
 
 mines persistent en général de trois heures : ils sont donc sensiblement
 
 nos jours souvent utilisé dans un cadre toxicomaniaque ou comme
 
 proches
 
 La méthamphétamine
 
 L’administration à des risques
 
 d’amphétamines à la fois somatiques
 
 chiques. Au plan somatique, mines accélèrent le rythme une hypertension d’hémorragies
 
 core l’hypertension.
 
 les unes
 
 bronches.
 
 comme
 
 mines réduisent
 
 Les effets de ces drogues
 
 faible dose une euphorie
 
 ou de
 
 et des
 
 mentent
 
 totalement.
 
 aussi
 
 mais dilatent
 
 les
 
 les amphéta-
 
 le sommeil
 
 l’empêchent
 
 par l’usage de cocaïne*
 
 d’où
 
 avec risque
 
 poumon)
 
 neuropsychique,
 
 ment, comme speed (« vitesse » en anglais). de
 
 cardiaque,
 
 Elles accélèrent
 
 respiratoire
 
 Au plan
 
 sont voisins
 
 et psy-
 
 les amphéta-
 
 artérielle (cerveau,
 
 expose
 
 troubles du rythme. De plus, elles ont une action vasoconstrictrice qui aggrave enle rythme
 
 » ou, populaire-
 
 sous
 
 forme fumée donne des effets encore plus prolongés.
 
 des autres, désignées d’une façon générique « amphétamines
 
 à six plus
 
 que ceux de la cocaïne (1 heure
 
 à peu près).
 
 et
 
 chimiquement
 
 pharmacologiquement
 
 ceux induits
 
 « vi-
 
 épuisent donc les neurones. Leurs effets dy-
 
 du sujet lui-même.
 
 Produit stimulant la vigilance, administré en thérapeutique,
 
 L’amphétamine
 
 leur libération
 
 Les amphétamines
 
 » les cellules
 
 et
 
 aussi l’identification
 
 AMPHÉTAMINE n.f. (angl. Amphetamine)
 
 famille
 
 massivement
 
 neuromédiateurs.
 
 entre les exigences
 
 réalité. De par sa constitution DU]),
 
 », 1958, in Écrits,
 
 déve-
 
 et celles du ça en fonction
 
 ROIR [STADE
 
 : c’est le désir, en
 
 R. C.
 
 moi n’est pas cette instance régulatrice
 
 Dans tous les cas, les
 
 de leurs sites se stockage (les vésicules)
 
 sujet est d’abord
 
 loppé par Lacan. Pour Lacan, en effet, le
 
 le cas de l’ecstasy*).
 
 (c’est
 
 au-delà de la demande
 
 l’autre en tant qu’il est fait à son image, ou
 
 a été longuement
 
 la sérotonine*
 
 amphétamines agissent sur la libération des neuromédiateurs : elles les déplacent
 
 de la castration.
 
 Ce type d’analyse
 
 en preuve
 
 contenant
 
 sur les
 
 d’amour ». Dès lors, « il y a [...] nécessité que la particularité ainsi abolie reparaisse
 
 pour celui auquel il attribue
 
 une image favorable.
 
 : la de-
 
 de tout ce qui peut
 
 personne.
 
 de lui-même
 
 contenant
 
 « annule la particularité
 
 manque,
 
 renvoie
 
 sur les neurones*
 
 et presque spécifique
 
 ne pas voir que le sujet aime le plus souvent encore en tant qu’il
 
 pas
 
 leur activité
 
 préférentielle
 
 à l’insatisfaction
 
 un amour beaucoup Comment
 
 n’étant
 
 exercent
 
 mande, parce qu’elle passe par le langage,
 
 manque
 
 l’amour
 
 L’homme
 
 cellulaire
 
 ou la noradrénaline*. Cerelles développent une action
 
 la porte
 
 portant
 
 pas nier que, souvent,
 
 répandue.
 
 la dopamine* taines d’entre
 
 ouvre
 
 castration,
 
 ; c’est que l’on ne peut
 
 le
 
 ou dans une ciga-
 
 Pharmacologie
 
 à un être de besoin, sa demande
 
 entre les femmes et les hommes. Mais l’imest ailleurs
 
 comme
 
 par une réponse trop
 
 Les amphétamines
 
 des
 
 elle est absorbée
 
 de cocaïne et d’amphé-
 
 tamines est d’ailleurs
 
 C’est ainsi dans la demande que se nouent
 
 sur la satisfaction
 
 ou les veines.
 
 exactement
 
 les femmes
 
 s’appuie
 
 ou
 
 étant douloureuse
 
 basique,
 
 ajustée, le désir qu’il peut avoir d’elle.
 
 « selon le type narcis-
 
 Sous cette
 
 est prisée
 
 nasale
 
 rette. L’association
 
 basique,
 
 salifiée.
 
 - l’utilisation
 
 inhalation,
 
 blanc
 
 et de crank ou de
 
 la drogue
 
 sique. » Plus souvent encore, selon Freud, aiment
 
 la forme
 
 la forme
 
 Sous sa forme crack,
 
 seulement
 
 pour
 
 la muqueuse
 
 mée en se plaignant
 
 sous la déno-
 
 transparent
 
 vaporisable,
 
 pour
 
 réclame, sauf au titre d’un simple signe, le que le don vient rappeler.
 
 à l’aspect
 
 de ses cristaux) crystal
 
 l’amphétamine
 
 de ice ou de glass (respective-
 
 aisément
 
 les objets qu’il
 
 en laboratoires
 
 aux amateurs
 
 par référence
 
 propre
 
 ils se cherchent
 
 50
 
 synthétisable
 
 par
 
 évidence,
 
 et ano-
 
 Facilement
 
 sible aussi que l’amant qui vante sa bien-ai-
 
 ». « De toute
 
 : stimulants
 
 à cette dimension. Plus nettement encore que pour le désir, dont l’objet manquant
 
 on ne saurait réduire
 
 dèle de la mère, mais bien sur celui de leur personne
 
 le crack*
 
 rexigènes.
 
 (comme
 
 et narcissisme
 
 son dérivé, l’amour
 
 Et pourtant,
 
 à rendre
 
 et le père
 
 ou, souvent,
 
 Elles induisent transitoire,
 
 de façon temporaire
 
 à
 
 aug-
 
 la vigilance
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 et abolissent
 
 la sensation
 
 déterminent
 
 aussi une anorexie.
 
 fets euphorisants
 
 de fatigue.
 
 et stimulants
 
 Elles
 
 Leurs ef-
 
 dépression,
 
 réactions
 
 d’agressivité.
 
 l’amusie
 
 ou de fredonner
 
 un air. Mais
 
 reste rare chez les aphasiques.
 
 sont rapide-
 
 ment suivis d’une phase d’abattement, irritabilité,
 
 de chanter
 
 J. P.
 
 avec AMYGDALE
 
 physique
 
 la dépendance très forte.
 
 psychique
 
 est, au contraire,
 
 La tolérance
 
 n’est quant
 
 pas clairement
 
 démontrée.
 
 toutefois
 
 les amphétamines
 
 pour
 
 de la fréquence
 
 drogue
 
 qu’une
 
 inscrites
 
 stupéfiants
 
 du 2 octobre
 
 dont
 
 leur permettant
 
 sans ordonnances,
 
 elles béné-
 
 d’être
 
 fait, à l’époque,
 
 cription
 
 vendues
 
 avaient été supprimées
 
 dès 1955), et ce bien qu’elles encore
 
 des
 
 sur la liste des
 
 l’arrêté
 
 1967 (les exonérations ficiaient,
 
 de prise de
 
 les plus puissantes
 
 en France
 
 depuis
 
 une
 
 augmentation
 
 doses. Les molécules soient
 
 à elle
 
 On observe
 
 augmentation plutôt
 
 ;
 
 n’aient
 
 l’objet
 
 internationale
 
 Complexe terne
 
 nucléaire
 
 de chaque
 
 une formation
 
 situé à la face in-
 
 lobe temporal,
 
 en crochet
 
 dans
 
 dénommée
 
 Ce noyau
 
 sous-cortical
 
 système limbique
 
 (
 
 fait
 
 LIMBIQUE
 
 ; il a des connexions
 
 l’hippocampe,
 
 avec
 
 et l’hypothala-
 
 et dans l’expression
 
 G. S.
 
 illusions
 
 sensorielles
 
 (hallucinations).
 
 Les signes
 
 somatiques
 
 sont nombreux
 
 : hypertension
 
 artérielle,
 
 accélération
 
 du rythme
 
 cardiaque
 
 cardie)
 
 et du rythme
 
 respiratoire
 
 pnée),
 
 hyperthermie,
 
 sueurs,
 
 ANACLITIQUE
 
 bilatérale,
 
 hypertonie
 
 douleurs
 
 abdominales,
 
 généralisée,
 
 surajoutent
 
 au tableau : état délirant
 
 maniaque,
 
 paranoïde,
 
 lence, suicide). trouble
 
 psychiques
 
 aigu,
 
 avec agressivité (vio-
 
 Le décès peut survenir
 
 du rythme
 
 cardiaque,
 
 par
 
 par tachycar-
 
 die ou par spasme des coronaires
 
 (infarc-
 
 tus). Les accidents artériels (hémorragie rébrale
 
 ou pulmonaire)
 
 cé-
 
 sont relativement
 
 fréquents.
 
 brutal
 
 anaclitique
 
 consécutif
 
 année
 
 prolongé
 
 a eu une relation
 
 : perte de l’expression
 
 du sourire
 
 ; mutisme,
 
 nie ; perte
 
 de poids
 
 ; retard
 
 d’une
 
 carence
 
 est réversible.
 
 est
 
 mimique,
 
 anorexie
 
 teur global. La dépression résulte
 
 ; insom-
 
 psychomo-
 
 anaclitique,
 
 affective
 
 qui
 
 partielle,
 
 Elle cesse souvent très rapi-
 
 S. P. et D. R.
 
 est restituée à l’enfant.
 
 pose à l’hospitalisme,
 
 PHYSIO.
 
 ET
 
 et durable,
 
 Écart entre d’un phénomène
 
 ÉTHOL.
 
 extrêmes
 
 également
 
 Spitz, où la séparation
 
 n.f. (angl. Amplitude)
 
 de façon permanente donnée. L’amplitude
 
 les valeurs enregistré
 
 sur une période
 
 peut engendrer
 
 décrit par
 
 anaclitique
 
 toutefois,
 
 dans son processus
 
 reste
 
 différente
 
 de la dé-
 
 RYTHME,
 
 RYTHME
 
 défi-
 
 BIOLO-
 
 GIQUE
 
 après l’instauration génitale,
 
 de l’érotisme
 
 de se manifester de l’inconscient
 
 les anal
 
 dans les pro-
 
 (idées, fantasmes
 
 Dans l’inconscient, « les concepts
 
 cadeau),
 
 d’enfant
 
 écrit
 
 d’excrément et de pénis
 
 mal et s’échangent
 
 se
 
 facilement
 
 les sujets souffrant
 
 de névrose
 
 nelle, les fantasmes
 
 conçus primitivement
 
 obsession-
 
 « se transforment
 
 en
 
 fantasmes de nature anale ». Parlant (1917) cadeau (l’excrément)
 
 du nour-
 
 risson à la personne aimée, Freud note que devant
 
 se trouve le choix
 
 l’excrément
 
 pour
 
 la première
 
 suivant
 
 fois
 
 : ou bien il cède
 
 et le « sacrifie à l’amour
 
 bien il le retient toérotique
 
 », ou
 
 « pour la satisfaction
 
 au-
 
 et, plus tard, pour l’affirmation
 
 de sa propre préfigure
 
 volonté
 
 l’un
 
 ». Ce dernier
 
 des aspects
 
 Les autres particulariet l’économie
 
 ou, selon une autre formulation, la pédanterie.
 
 choix
 
 du caractère
 
 tés sont, selon Freud, l’ordre
 
 l’avarice,
 
 Ces traits se retrouvent
 
 le caractère obsessionnel,
 
 dans
 
 où ils prennent
 
 la
 
 forme de défenses réactionnelles. R. L. STADE
 
 ANALGÉSIE n.f. (angl. Analgesia)
 
 Suppression
 
 de la douleur.
 
 L’analgésie
 
 chez l’adulte. R. L.
 
 P. L. D’UN
 
 à l’objet
 
 dynamique,
 
 nissant un rythme. PÉRIODE
 
 des pulsions
 
 un rapport
 
 Cependant,
 
 au
 
 totale
 
 des dégâts irré-
 
 La dépression
 
 fondamentalement
 
 Elle s’op-
 
 mère-enfant,
 
 versibles.
 
 pression
 
 est un des paramètres
 
 l’organisation
 
 anal : l’obstination.
 
 dès que la mère (ou le substitut
 
 maternel)
 
 anale érogène.
 
 au stade anal, comme
 
 pulsionnelles
 
 l’enfant
 
 de la
 
 avec elle. Son tableau clinique
 
 le suivant
 
 celle
 
 dit, dont
 
 de l’organisation
 
 ductions
 
 de
 
 et la passivité
 
 sexuelles permettrait
 
 du premier
 
 à l’éloignement
 
 mère après que l’enfant normale
 
 sous le nom
 
 un syndrome
 
 et plus ou moins
 
 dement
 
 AMPLITUDE
 
 stade génital,
 
 motions
 
 et éro-
 
 activité-pas-
 
 anal proprement
 
 Selon S. Freud,
 
 séparent
 
 de la première
 
 au cours de la première
 
 de l’enfant,
 
 se
 
 d’emprise
 
 sur le mode génital
 
 survenant
 
 sadique
 
 la source est la muqueuse
 
 (argent,
 
 enfance.
 
 (tachy-
 
 par la pré-
 
 entre eux ». Il souligne également que, chez
 
 dépressif
 
 de dépression
 
 nausées et vomis-
 
 sements. Des manifestations
 
 Syndrome
 
 (tachy-
 
 trismus,
 
 libidi-
 
 étant la manifestation
 
 Freud (1917),
 
 (DÉPRESSION)
 
 Dès 1945, R. Spitz décrivait
 
 mydriase
 
 l’activité
 
 et symptômes).
 
 L’intoxication
 
 avec état confusionnel,
 
 sivité,
 
 continuent
 
 tische Depression)
 
 angoisse et, parfois,
 
 des
 
 émotions.
 
 (angl. Anaclitic Depression ; allem. Anakli
 
 tivité désordonnée,
 
 et par l’opposition
 
 définitive
 
 d’une ins-
 
 par une hyperac-
 
 tico-anale
 
 extérieur.
 
 intervient
 
 péfiants. se traduit
 
 du
 
 [SYSTÈME],
 
 amygdalien
 
 dans l’élaboration
 
 partie
 
 réciproques
 
 le thalamus
 
 mus. Le complexe
 
 des pulsions
 
 de l’érotisme
 
 pas
 
 sur la liste des stu-
 
 d’organisation
 
 dominance
 
 la pulsion
 
 de ce fait « uncus ».
 
 [fig.])
 
 Stade prégénital
 
 Le stade anal est caractérisé
 
 n’est que rare-
 
 ment observée avec les psychostimulants
 
 ANAL (STADE) (angl. Anal Stage ; allem. Anale Stufe)
 
 nale, que S. Freud situe entre les stades oral et phallique (entre 2 et 4 ans).
 
 lassitude et, parfois, n.f. (angl. Amygdala)
 
 La dépendance
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 sensibilité
 
 n’est pas une anesthésie
 
 discriminative
 
 subsiste
 
 : la
 
 tandis
 
 que les messages nociceptifs
 
 sont atténués,
 
 voire supprimés.
 
 peut être réa-
 
 L’analgésie
 
 ANAGENÈSE
 
 lisée de façon endogène ou exogène. Parmi
 
 n.f. (angl. Anagenesis)
 
 les mécanismes
 
 endogènes, il faut mention-
 
 ner :
 
 Évolution sur
 
 AMUSIE n.f. (angl. Amusia)
 
 auditive
 
 caractérisée
 
 par l’incapacité d’identifier des mélodies et des timbres musicaux. est généralement
 
 due à une lé-
 
 sion des aires associatives
 
 du lobe tempo-
 
 ral du côté de l’hémisphère
 
 non dominant.
 
 Par extension,
 
 des
 
 c’est aussi l’impossibilité
 
 due
 
 et
 
 organismes
 
 critères
 
 d’adaptation
 
 Forme d’agnosie
 
 L’amusie
 
 des
 
 la
 
 d’échange,
 
 mesurée
 
 au milieu, multiplicité
 
 par
 
 l’éten-
 
 des
 
 formes
 
 par les transformations
 
 de
 
 l’environnement
 
 (terres
 
 bitat,
 
 par la complexité
 
 outillage),
 
 l’organisation
 
 1. l’effet
 
 comportementaux
 
 cultivées,
 
 des compétences
 
 haet
 
 mises
 
 véhiculés
 
 inhibiteur
 
 des messages cutanés
 
 par les fibres de gros calibre
 
 les relais spinaux
 
 des afférences
 
 H. B.
 
 nocicep-
 
 tives ; 2. l’activation cérébral
 
 de divers
 
 (substance
 
 noyau raphé magnus) par stimulation fuses qu’ils
 
 noyaux
 
 soit artificiellement
 
 électrique,
 
 reçoivent
 
 du tronc
 
 grise périaqueducale,
 
 ment par les afférences
 
 en oeuvre.
 
 sur
 
 soit naturelle-
 
 douloureuses ; ces noyaux
 
 difsont à 51
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 l’origine
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 de faisceaux
 
 descendants
 
 hibent les relais nociceptifs 3. la libération
 
 sons :: Ailes : Oiseaux
 
 spinaux ;
 
 par le tronc
 
 enképhalines
 
 qui in-
 
 genre de tests, le sujet doit découvrir,
 
 cérébral
 
 et des endorphines,
 
 des
 
 une suite de trois termes qu’on (A : B :: C : ?), le quatrième
 
 peptides
 
 convient
 
 d’une structure apparentée à celle de la mor-
 
 cas, les termes
 
 cérébral. les moyens
 
 l’utilisation
 
 exogènes,
 
 d’analgésiques
 
 exemple l’aspirine), récepteurs phine
 
 on citera
 
 mineurs
 
 (analogies
 
 (par
 
 agissant au niveau des
 
 à la douleur,
 
 ou majeurs
 
 et autres dérivés
 
 de l’opium),
 
 sant sur les structures
 
 (mor-
 
 J.-M.
 
 géométriques) verbales).
 
 Jusqu’aux
 
 années 1980, l’étude
 
 comparés
 
 le raisonnement
 
 Ressemblance objective entre deux choses distinctes qui sont comparées.
 
 à une reformulation
 
 reste
 
 à la lumière
 
 générale,
 
 un de ces termes
 
 non négligeables.
 
 de ces usages, l’analogie
 
 dont
 
 ou les ressemblances
 
 bien
 
 objets,
 
 la
 
 entre des situations,
 
 de deux démarches
 
 l’une consiste à extraire ressemblances paraison
 
 d’objets
 
 d’attribution
 
 découvert
 
 de similitude. inductive
 
 de ressemblances
 
 supplé-
 
 partielles.
 
 psychologie
 
 entre ces
 
 intérêt pour l’analogie,
 
 En effet, comparer les similitudes
 
 vités adaptatrices est changeant,
 
 est une des acti-
 
 fondamentales.
 
 tent jamais identiquement. les regrouper
 
 L’univers
 
 ne se présenL’homme
 
 doit
 
 dans des ensembles
 
 plus vastes, des catégories de situations, la base de caractéristiques on rencontre
 
 des items analogiques répondre.
 
 de sa capacité
 
 semblances.
 
 Sa réponse
 
 à extraire
 
 proportionnelle,
 
 C : D, dans laquelle la relation
 
 les ressous A : B ::
 
 qui unit A et
 
 B est la même que celle unissant identifiée
 
 », aux-
 
 Ces items se présentent
 
 la forme d’analogie
 
 sur
 
 de similitude.
 
 des « tests d’intelligence
 
 quels le sujet doit témoigne
 
 la
 
 des objets, en
 
 les situations
 
 Dans la plupart
 
 processus
 
 différents
 
 décrite tout
 
 d’abord
 
 l’analogie
 
 doit
 
 s’exprime
 
 C et D. La
 
 dans l’énoncé
 
 suivante
 
 encoder
 
 que les ailes sont à l’oiseau
 
 » exprime
 
 les parties (ailes et nageoires)
 
 ont le même
 
 dans deux organismes
 
 Sous la forme on écrira
 
 d’une
 
 que
 
 analogie
 
 « Nageoires
 
 difde
 
 : Pois-
 
 cette projection,
 
 qui aboutit
 
 remaniements.
 
 La notion
 
 logique recouvre les étapes de projection d’élaboration
 
 d’inférences.
 
 subséquent constitue La plupart tales portent
 
 sur le transfert
 
 en mémoire
 
 source pertinente.
 
 Cependant,
 
 modèles d’organisation
 
 un individu
 
 » serait
 
 dont les connaissances
 
 seraient
 
 une information
 
 pertinentes
 
 il élaborerait
 
 ; ce dernier
 
 domaine
 
 (les
 
 « Nageoires : Poissons ::
 
 activerait
 
 plus élevé
 
 Celui qui résout inférée entre
 
 terme et le second au troisième un quatrième évoquer
 
 ÉTHOL.
 
 Ensemble
 
 qui, malgré
 
 une origine
 
 d’expliquer
 
 le plus de son hypothèse,
 
 ici
 
 « oiseau ». les analogies proportiond’étude du traite-
 
 ment des analogies, ont été abandonnées la résolution
 
 de problèmes
 
 de connaissances.
 
 au
 
 comme
 
 ou l’acquisition
 
 Cependant,
 
 dans tous les
 
 tuation,
 
 présentent
 
 et les mêmes fonc-
 
 est due à une convergence.
 
 un comportement
 
 tenter
 
 dans une
 
 avec un comporte-
 
 dans une autre espèce.
 
 Bibliographie Gineste,
 
 M.-D.,
 
 1997, Analogie
 
 Étude expérimentale
 
 Analogy
 
 et Cognition.
 
 et simulation
 
 K., Thagard, in Creative
 
 informatique,
 
 P., 1995, Mental
 
 Thought.
 
 Leaps.
 
 Cambridge,
 
 MA,
 
 Press.
 
 Indurkhya,
 
 B., 1992, Metaphor
 
 Dordrecht,
 
 Kluwer
 
 Sternberg,
 
 R.J., 1977, Intelligence,
 
 Processing,
 
 and Analogical
 
 Componential Hillsdale,
 
 Academic
 
 Analysis
 
 and Cognition, Publishers.
 
 Reasoning
 
 of Human
 
 N J, Lawrence
 
 Information : The
 
 Abilities,
 
 Erlbaum.
 
 étapes sont générale-
 
 au moment
 
 de l’utilisation
 
 d’une analogie : la sélection dans la mémoire d’une
 
 et
 
 N. C.
 
 MIT
 
 plus complexes
 
 phylétique
 
 différente,
 
 espèce par comparaison
 
 Holyoak,
 
 de situations
 
 ou des organes
 
 part, on peut par l’analogie
 
 Paris, P.U.F.
 
 Il choisit le terme qui
 
 G.
 
 tions.
 
 les termes proposés.
 
 profit
 
 d’infé-
 
 « les
 
 dans les airs »,
 
 À
 
 des caractéristiques
 
 les mêmes aspects
 
 compare alors le concept qu’il a inféré avec
 
 nelles, comme situations
 
 l’activité
 
 M.-D.
 
 ment similaire
 
 comme concept générique. Si on lui donne le choix entre oiseau, homme et avion, il
 
 Progressivement,
 
 une catégo-
 
 rence peut être mise en oeuvre.
 
 D’autre
 
 se rapproche
 
 à partir
 
 un schéma plus
 
 de ce recouvrement,
 
 les organismes
 
 qui se déplacent
 
 et les rassem-
 
 dont il est une des propriétés
 
 Cette analogie
 
 animaux
 
 il en extrairait
 
 dans une représentation
 
 abstrait
 
 partir
 
 de
 
 existant entre
 
 Il pourrait
 
 de schémas ; face à
 
 nouvelle,
 
 les propriétés de laquelle
 
 et
 
 Un bon « analogiste
 
 serait le rôle des nageoires et des ailes dans
 
 possible.
 
 de schématisation
 
 stockées sous la forme
 
 blerait
 
 En particulier,
 
 accrue aux proces-
 
 sus de catégorisation, d’abstraction.
 
 avec les
 
 des connaissances
 
 humaine.
 
 ambryologique
 
 terme
 
 des hypo-
 
 déjà stockées en mémoire.
 
 termes A et B) au second (les termes C et
 
 de générer
 
 de l’information
 
 de situations
 
 pour cette analogie.
 
 essayer
 
 le recou-
 
 thèses sont avancées, compatibles dans la mémoire
 
 En
 
 sont données
 
 du transfert,
 
 plus élevé qui relie le premier
 
 pour
 
 analogique
 
 de sa réalisation.
 
 sur la phase initiale
 
 des comportements
 
 le premier
 
 expérimen-
 
 peu d’indications
 
 vrement
 
 étape.
 
 ainsi accès à toute une classe
 
 les termes
 
 applique la relation
 
 la quatrième
 
 et sur les conditions
 
 et
 
 L’apprentissage
 
 des recherches
 
 les deux premiers termes de l’analogie. Ensuite, il doit projeter une relation d’ordre
 
 l’analogie
 
 ana-
 
 et donnerait
 
 pertinents
 
 concernés.
 
 de transfert
 
 des ana-
 
 : l’individu
 
 d’ordre
 
 à des
 
 rie mentale
 
 dans sa mémoire
 
 D). Dans l’exemple
 
 parfois
 
 sous un
 
 et recouvrer
 
 ment reconnues
 
 « les nageoires sont au poisson ce
 
 cette
 
 (A : B :: C : ?) a été
 
 de la manière
 
 l’énoncé
 
 proportion,
 
 semblables
 
 logies proportionnelles
 
 dans
 
 de domaines
 
 certain aspect. Ainsi, la résolution
 
 cas, quatre grandes
 
 férents.
 
 sous-tendant
 
 et pourtant
 
 des
 
 ces similitudes,
 
 de mise en relation
 
 « A est à B ce que C est à D ». Par exemple,
 
 rôle fonctionnel
 
 des concepts
 
 Ailes : ? », cette relation
 
 en a lié l’étude à celle de l’intel-
 
 reconnaître
 
 relation
 
 de
 
 usages.
 
 Dans son premier
 
 donc
 
 de la
 
 a été opéré :
 
 aux représentations
 
 la tête du sujet qui extrait ainsi qu’aux
 
 du
 
 Un déplace-
 
 Puis il doit inférer la relation
 
 Les études expéoscillent
 
 de l’information.
 
 les attributs
 
 l’activité
 
 de l’analogie
 
 différents
 
 ligence.
 
 dans la com-
 
 ou de la reconnaissance
 
 ressemblances rimentales
 
 des
 
 à créer
 
 entre deux objets à partir
 
 connaissance
 
 :
 
 entre lesquels on n’avait
 
 usage concerne
 
 mentaires
 
 l’autre,
 
 ressemblances
 
 pas jusqu’alors L’autre
 
 et à expliciter
 
 existantes,
 
 de nouvelles
 
 distinctes
 
 des théories
 
 et l’éva-
 
 luation des inférences élaborées à la suite de
 
 on porte une attention
 
 des problématiques
 
 des situations,
 
 activité
 
 objets ou concepts. Mais ces ressemblances résultent
 
 en particulier.
 
 de ces années, on a assisté
 
 on s’est intéressé
 
 Dans l’un
 
 désigne
 
 de perfor-
 
 ment du niveau de description
 
 l’usage révèle, dans des contextes différents, des variations
 
 des sujets et
 
 sortes
 
 en particulier
 
 traitement
 
 Des mo-
 
 - ont été élaborés,
 
 mances,
 
 l’analogie
 
 52
 
 de proportion.
 
 ANALOGIE n.f. (angl. Analogy) GÉNÉR.
 
 de cette définition
 
 à ces situa-
 
 aux performances
 
 à partir
 
 de l’analo-
 
 été réduite
 
 avec d’autres
 
 Mais,
 
 « cible » - en cours de traitement
 
 revanche,
 
 corrélés
 
 En dépit
 
 ou des mots
 
 (analogies
 
 dèles - mathématiques
 
 C.
 
 (analo-
 
 des figures géométriques
 
 tions d’analogies
 
 centrales.
 
 Selon les
 
 sont des nombres
 
 gie a bien souvent
 
 agis-
 
 seule ré-
 
 de la relation.
 
 gies numériques), Parmi
 
 terme (D) qui
 
 qui dépend de la détection
 
 de la ressemblance
 
 de la douleur qu’exercent les noyaux du tronc
 
 lui donne
 
 Il n’y a qu’une
 
 ponse correcte
 
 le contrôle
 
 dans
 
 dans une liste de réponses qui lui
 
 sont proposées.
 
 phine ; ces substances ont un effet inhibiteur direct sur la moelle et renforcent
 
 ». En fait, dans ce
 
 représentation
 
 ancienne
 
 (objet,
 
 de la représentation
 
 source sur la représentation
 
 nouvelle
 
 n.m. (angl. Illiterarism)
 
 si-
 
 concept) appelée « source », la pro-
 
 jection (angl. Mapping)
 
 ANALPHABÉTISME
 
 - la
 
 État d’une d’instruction,
 
 personne
 
 qui, par absence
 
 ne sait ni lire ni écrire. M.-D.
 
 G.
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 Les analyseurs
 
 ANALYSE n.f. (angl. Analysis) GÉNÉR.
 
 premier
 
 Dans la conception
 
 vlov, l’une tielles de rieure,
 
 des deux fonctions l’activité nerveuse
 
 l’autre
 
 étant
 
 Une forme
 
 essensupé-
 
 la synthèse.
 
 d’analyse
 
 de l’environnement
 
 des stimulations
 
 est assurée par l’exis-
 
 tence d’analyseurs formes
 
 de I. P. Pa-
 
 spécifiques
 
 ; d’autres
 
 sont assurées par les processus
 
 différenciation criminatif,
 
 (ou d’apprentissage dans une terminologie
 
 de
 
 (ANALYSE
 
 J.-F. L. N.
 
 COVARIANCE,
 
 DISCRIMINANTE
 
 (ANALYSE),
 
 FACTORIELLE
 
 (ANALYSE),
 
 EN), VARIANCE
 
 GROUPES
 
 (ANALYSE
 
 décompensations
 
 n.f. (angl. Anarthria)
 
 est
 
 saisir
 
 Pour certains, les
 
 n’a que la possibilité
 
 de s’en
 
 ou de les écraser ; pour d’autres, d’analyseurs,
 
 la
 
 d’événements
 
 très fréquents. prédisposés
 
 Aphasie
 
 motrice
 
 ractérisée culation
 
 par une atteinte de la parole
 
 (ANALYSE
 
 L’anarthrie
 
 soient autant de coupures dans la réalité quotidienne, est l’enjeu d’un travail per-
 
 lité d’articuler
 
 manent.
 
 hension, R. L.
 
 se traduit
 
 des mots, alors que la compré-
 
 DIDACTIQUE
 
 (ANALYSE)
 
 On parle d’enquête anamnestique il s’agit de rassembler
 
 ANALYSE DU DISCOURS (angl. Discourse Analysis) (ANALYSE
 
 des antécédents
 
 DISCOURS
 
 « remémoration ANALYSE SÉQUENTIELLE (angl. Sequential Analysis)
 
 caractériser l’organisation d’une série d’événements
 
 réside généralement transition
 
 dans la « matrice
 
 » qui indique
 
 le nombre
 
 où deux actes comportementaux
 
 de
 
 de fois se sont
 
 connue).
 
 morbides.
 
 anamnestique
 
 Les méthodes statistiques
 
 une théorie
 
 analyse des correspondances) notamment)
 
 (chaînes de Markov
 
 permettent
 
 de révéler
 
 quelle mesure l’apparition portemental
 
 ou des modans
 
 toute recherche
 
 qu’une
 
 une anamnèse
 
 pure n’étant
 
 de la réminiscence, des troubles
 
 :
 
 une théo-
 
 mentaux,
 
 une
 
 de la conduite
 
 de
 
 Système fonctionnel qui assure dans le système nerveux l’analyse sensorielle spécifique de certaines caractéristiques Pavlov).
 
 de l’environnement
 
 (I. P.
 
 auditif,
 
 de l’analyseur
 
 etc. Dans la conception tion d’analyseur les récepteurs
 
 visuel, de
 
 pavlovienne,
 
 olfactif, la no-
 
 ne recouvre pas seulement
 
 périphériques,
 
 mais aussi les
 
 régions cérébrales qui leur correspondent.
 
 qu’une
 
 ». J. Froque
 
 de la parole n’est l’aphasie
 
 amnésie
 
 motrice
 
 verbale dis-
 
 se représente
 
 visuelle-
 
 ment le mot et peut donc l’écrire, ne l’entend
 
 s’agit
 
 cette idée en affirmant
 
 simili-anarthrie,
 
 mais il
 
 plus et ne peut donc plus le
 
 prononcer. J. P.
 
 Ce sentiment lièrement Schneider
 
 d’agir
 
 tout particules obsessions allemand
 
 une personnalité obsessionnelle
 
 avec tendance
 
 Les « anancastes
 
 pédanterie,
 
 ananet ceux
 
 ordre, éco-
 
 York
 
 Elle a consacré son enseignement,
 
 ses re-
 
 cherches et ses publications
 
 comme
 
 à la psychologie
 
 dans laquelle elle a trouvé (en
 
 lisant Ch. Spearman) un moyen de combiner son intérêt pour les mathématiques la psychologie scientifique. l’université
 
 de Fordham.
 
 Ses recherches ont la construction
 
 de tests et le rôle des différences dans l’interprétation
 
 et pour
 
 Elle a enseigné à
 
 porté sur l’analyse factorielle,
 
 principaux
 
 à l’introversion.
 
 » se présentent
 
 des sujets particulièrement une certaine
 
 K.
 
 sont à la fois ceux
 
 du caractère anal (obstination, nomie)
 
 (New
 
 différentielle,
 
 Le psychiatre
 
 de la personnalité
 
 on se sent
 
 ou de sentir
 
 accompagne
 
 a décrit
 
 américaine
 
 1908).
 
 les compulsions,
 
 et les phobies.
 
 (Anne)
 
 Psychologue
 
 ANANCASTIQUE adj. (angl. Anancastic)
 
 castique dont les traits
 
 On parle ainsi de l’analyseur
 
 verbale
 
 de l’articulation
 
 Anastasi
 
 forcé de penser, contre son gré.
 
 GÉNÉR.
 
 qu’il
 
 J. P.
 
 Se dit d’un état dans lequel
 
 ANALYSEUR n.m. (angl. Analyzer)
 
 d’une
 
 » (D. Anzieu).
 
 dépend de la nature des actes B. T.
 
 une atteinte
 
 l’existence
 
 « aphasie
 
 sociée : le malade
 
 théories
 
 d’un acte com-
 
 qui l’ont précédé.
 
 l’analyseur
 
 ment a repris
 
 (du
 
 minutieux
 
 pure en considérant
 
 d’une
 
 ac-
 
 ce qui a conduit
 
 à récuser
 
 l’atteinte
 
 sur trois
 
 de la technique
 
 l’entretien
 
 plutôt
 
 de la psychopathologie
 
 de s’appuyer
 
 rie de l’étiologie théorie
 
 peut mettre
 
 l’anarthrie
 
 de retrouver
 
 intérieur,
 
 Head
 
 faciale
 
 Un examen
 
 souvent
 
 l’investigation
 
 « Concevoir
 
 dans le domaine
 
 permet
 
 avec paralysie
 
 généralement
 
 anarthrie
 
 la cause des troubles
 
 accompagne
 
 étiologique. suppose
 
 dèles mathématiques
 
 L’anamnèse
 
 C’est pourquoi
 
 succédé au cours de la séquence observée. (test du chi carré,
 
 Une hémiplégie
 
 H.
 
 ancien-
 
 en parti-
 
 culier les mots d’épreuve classiques.
 
 du langage
 
 à retrouver
 
 sur les autres mots qu’on
 
 demande au patient de prononcer,
 
 fois dans la République
 
 en évidence l’origine, de ces méthodes
 
 conservées,
 
 compagne
 
 et dans le Ménon,
 
 mais très déformée.
 
 ne porte pas sur les locutions
 
 côté dominant).
 
 nement
 
 de départ
 
 »
 
 quelques
 
 Le trouble
 
 mais seulement
 
 le passé du ma-
 
 de géométrie
 
 est totale. Il ne peut pro-
 
 alors de dysarthrie*.
 
 lade et de sa maladie. C’est une véritable « réminiscence » (évoquée par Platon à la
 
 une démonstration
 
 successifs.
 
 Le point
 
 concernant
 
 Le malade
 
 Dans les formes moins intenses, la
 
 Il s’agit
 
 de l’affec-
 
 où Socrate aide l’esclave inculte
 
 temporelle comporte-
 
 est due à des lésions
 
 parole reste possible,
 
 quand
 
 » et une « récapitulation
 
 des souvenirs
 
 Ensemble de méthodes mathématiques et statistiques utilisées pour
 
 mentaux
 
 jurons.
 
 ce qu’on peut savoir
 
 et des débuts
 
 motrice,
 
 noncer que quelques interjections,
 
 tion. C’est donc, si l’on reprend l’étymologie grecque, un retour en arrière, une
 
 DU)
 
 demeurent
 
 très mal, ou même pas du tout
 
 lorsque l’affection
 
 (angl. Training Analysis)
 
 par une impossibi-
 
 Cette aphasie purement
 
 s’exprime
 
 Ensemble des renseignements que le médecin peut recueillir auprès du patient et de son entourage pour connaître l’histoire de sa maladie.
 
 DIDACTIQUE
 
 phonatoires.
 
 cérébrales de la zone lenticulaire.
 
 ANAMNÈSE n.f. (angl. Anamnesis)
 
 ca-
 
 de l’arti-
 
 la lecture et l’écriture
 
 normales.
 
 DE)
 
 ANALYSE
 
 à des
 
 sans qu’il y ait de
 
 lésions des organes
 
 qui
 
 (ANALYSE
 
 CONTENU
 
 Ils
 
 sous-corticale,
 
 décrite par P. Marie, ANALYSE DE CONTENU (angl. Content Analysis)
 
 et de phénomènes
 
 J. P.
 
 À la différence
 
 impersonnel.
 
 s’ac-
 
 dépressives.
 
 ANARTHRIE
 
 production
 
 DE LA)
 
 de rituels
 
 fait éclater des groupes ou des personnes unis sous les images du moi. l’analyseur
 
 sur un
 
 et même d’anxiété
 
 sont particulièrement
 
 Événement, objet dont l’action inconsciente, souvent imprévisible, produit un effet de sens et
 
 de l’analyste,
 
 de la minutie,
 
 phobo-obsessionnels
 
 PSYCHOSOCIOL.
 
 plus
 
 DES),
 
 correcte,
 
 compagnant
 
 analyseurs surgissent de façon irrationnelle
 
 (ANA-
 
 gérément
 
 fond d’inquiétude
 
 ment sur le système nerveux
 
 événement,
 
 J.-F. L. N. LYSE EN), CORRESPONDANCES
 
 un
 
 filtrage des actions de l’environne-
 
 et l’analyste
 
 PRINCIPALES
 
 censés effectuer
 
 dis-
 
 récente). DIFFÉR. COMPOSANTES
 
 sont
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 culturelles
 
 de leurs résultats.
 
 Ses
 
 ouvrages, qui ont connu plusieurs
 
 éditions
 
 successives, sont les suivants : DifPsychology
 
 soigneux,
 
 avec
 
 ferential
 
 (1937),
 
 Psychological
 
 une attitude
 
 exa-
 
 Testing (1954), Fields of Applied Psychology 53
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 (1964).
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 Elle a présidé en 1972 l’American
 
 compagne
 
 Psychological Association. M. R.
 
 de manifestations
 
 et neurovégétatives
 
 multiples
 
 tion -sophagienne,
 
 précordialgies,
 
 tachycardie, ANCRAGE (EFFET D’) (angl. Anchor Effect)
 
 tremblements,
 
 Cet effet apparaît d’une
 
 échelle
 
 dans la construction
 
 psychophysique,
 
 classements ou dans tout jugement
 
 portant
 
 : constric-
 
 du sujet ; l’autre, volontaire,
 
 dyspnée,
 
 hypersudation
 
 ce danger.
 
 extérieure),
 
 avec parfois
 
 spasmes
 
 diarrhée
 
 profuse
 
 (P. Moebius). vont
 
 accompagner
 
 d’une
 
 intense certaines crises d’angoisse
 
 paroxystique
 
 comme
 
 les « attaques de pa-
 
 nique ». J. P
 
 Affect de déplaisir plus ou moins intense qui se manifeste à la place d’un sentiment inconscient chez un sujet dans l’attente de PSYCHAN.
 
 quelque
 
 de la sensibilité.
 
 L’anesthésie aux différents
 
 peut être obtenue par action stades de la production
 
 la transmission
 
 et de
 
 du message nerveux senso-
 
 L’angoisse
 
 se traduit
 
 physiques,
 
 allant
 
 épigastrique
 
 nerveuse, de la transmission
 
 leur psychique.
 
 J.-M.
 
 C.
 
 de la simple constriction
 
 accompagnée
 
 d’une intense
 
 dou-
 
 R. L. ILLUSION
 
 comme la cause
 
 névrotiques.
 
 Ainsi,
 
 1950),
 
 dans une
 
 Freud
 
 de ses névrosés
 
 tie à la sexualité
 
 impute
 
 en grande par-
 
 : « Au début, je m’enga-
 
 geais dans de fausses voies. Il me semblait que l’angoisse dont souffraient n’était
 
 éprouvée fait
 
 les malades
 
 que la continuation pendant
 
 de l’angoisse
 
 l’acte sexuel, donc en
 
 un symptôme
 
 hystérique.
 
 » Dans consacrée à
 
 naît l’angoisse », Freud avance
 
 tion de tension pouvant
 
 pression et de resserrement et par la crainte réelle ou imaginaire d’un malheur grave ou d’une grande souffrance devant lesquels on se sent à la fois démuni et totalement impuissant à se défendre. une peur devant
 
 d’alarme
 
 qui reste in-
 
 venant le plus souvent
 
 de soi. C’est une réaction
 
 primitive,
 
 l’angoisse
 
 emprunte
 
 inscrite
 
 dans le corps,
 
 entre angoisse et anxiété est
 
 à faire. L’anglais
 
 l’anxiété.
 
 ne connaît
 
 et l’allemand il est classique
 
 que le
 
 celui de Angst. de réserver
 
 les formes
 
 les plus graves de
 
 C’est pourquoi
 
 on décrit une an-
 
 goisse psychotique, cellement,
 
 l’hystérie
 
 Mais, dit-il,
 
 ou psy-
 
 se décharger l’oeuvre
 
 et la né-
 
 « dans l’hys-
 
 », alors que
 
 physique
 
 qui ne peut
 
 psychiquement
 
 dans la névrose
 
 » qui serait à
 
 d’angoisse.
 
 tôme et angoisse : « Autrefois, moi soumis aux conditions
 
 une angoisse de mor-
 
 une angoisse de castration,
 
 une
 
 » Il
 
 en soulignant
 
 : faire entre l’angoisse ; considérer
 
 et
 
 d’« originaire
 
 » et qui serait produite
 
 l’état de détresse psychique
 
 par
 
 du nourrisson
 
 séparé de la mère, « qui satisfait
 
 tous ses
 
 besoins sans délais » (ibid.). Dans le second, l’angoisse
 
 est un affect, signal en réaction en un temps « où
 
 le moi du sujet tente de se soustraire à l’hostilité de son surmoi Freud
 
 » (ibid.). Il s’agit là pour
 
 de l’angoisse
 
 qui survient
 
 sujet « au moment (ibid.).
 
 Ainsi,
 
 chez un
 
 de la phase phallique
 
 pour
 
 Freud,
 
 la survenue
 
 » de
 
 J. Lacan consacra
 
 une année de son en-
 
 seignement
 
 à élaborer,
 
 articulation
 
 aussi précise que possible
 
 ce concept
 
 après Freud,
 
 qu’est l’angoisse
 
 1962-1963,
 
 L’angoisse).
 
 X,
 
 Pour lui, il s’agit
 
 que de la repérer
 
 structurale
 
 de
 
 (Séminaire
 
 non pas tant de la comprendre décrire
 
 une
 
 ou de la
 
 dans sa position
 
 et dans ses éléments signifiants.
 
 Voici comment
 
 il reprend
 
 la définition
 
 de
 
 Freud : l’angoisse est un affect dont la position
 
 a minima
 
 est d’être
 
 pour Lacan, l’angoisse festation
 
 d’un danger
 
 C’est l’affect vacillation,
 
 un signal.
 
 Mais,
 
 n’est pas la maniinterne
 
 ou externe.
 
 qui saisit un sujet, dans une quand il est confronté
 
 au désir
 
 de l’Autre. Si, pour Freud, l’angoisse est causée par un manque d’objet,
 
 par une séparation
 
 d’avec
 
 la mère ou le phallus, pour Lacan l’angoisse n’est pas liée à un manque d’objet. Elle surgit toujours
 
 dans un certain rapport entre le
 
 sujet et cet objet perdu avant même d’avoir existé, ce dont parle Freud dans l’Esquisse d’une psychologie
 
 et qu’il
 
 nomme
 
 « das
 
 Ding », la Chose. Pour Lacan, cet objet n’est pas aussi perdu que nous sommes portés à le croire,
 
 puisque
 
 nous en retrouvons
 
 traces visibles
 
 et patentes
 
 du symptôme
 
 ou dans les formations
 
 les
 
 sous les formes
 
 Nous reconnaissons,
 
 fait de dire que l’angoisse
 
 de
 
 dans le
 
 « n’est pas sans
 
 à l’apport
 
 ou à ses équivalents.
 
 de O. Rank,
 
 traumatisme
 
 d’angoisse la naissance
 
 le
 
 de la naissance comme inau-
 
 gural de l’angoisse, ses positions.
 
 qui considère
 
 que Freud reconsidère
 
 Et il remonte à la situation restera
 
 de la réaction
 
 de danger,
 
 le prototype.
 
 férentes : l’une, involontaire,
 
 dont Freud
 
 deux sources difautomatique,
 
 le plus souvent à un niveau essentiellement
 
 inconsciente,
 
 explicable
 
 psychique,
 
 une situation
 
 de danger analogue à celle de
 
 s’ac-
 
 » (ibid.). C’est
 
 objet », le rapport étroit qui la lie au phallus
 
 tion, etc. Alors que l’anxiété
 
 par définition,
 
 une réaction
 
 seul et unique lieu de l’angoisse. C’est grâce
 
 donne alors à l’angoisse
 
 l’angoisse,
 
 et sentiment,
 
 à une perte, à une séparation
 
 l’inconscient.
 
 particuliè-
 
 le moi comme
 
 angoisse de mort, une angoisse de destrucreste ressentie
 
 générale du
 
 sexuelle une relation intime
 
 symp-
 
 de déplaisir.
 
 sur cette conception
 
 ces deux limites
 
 Plus
 
 je considérais
 
 l’angoisse comme une réaction revient
 
 qui
 
 voie en menant
 
 somatiques
 
 « c’est une tension
 
 de
 
 psychique
 
 une mauvaise
 
 à des réactions
 
 rement
 
 à l’angoisse
 
 physique
 
 c’est une excitation
 
 La distinction
 
 En français,
 
 qui produit
 
 vrose d’angoisse. térie,
 
 », cette tension
 
 Pour lui, c’est une conversion
 
 la libido
 
 terme Anxiety,
 
 être de nature
 
 chique.
 
 comme un réflexe archaïque.
 
 difficile
 
 54
 
 décrite comme
 
 un danger
 
 connu, indéterminé, de l’intérieur
 
 accumulée
 
 tard, en 1926, il écrit dans Inhibition,
 
 S. Freud l’a longuement
 
 entre sensation
 
 « c’est un affect
 
 qu’il s’agisse de la mère ou du phallus.
 
 écrits théoriques
 
 que « l’angoisse découle d’une transforma-
 
 Ensemble de sentiments et de phénomènes affectifs caractérisé par une sensation interne d’op-
 
 Dans le premier,
 
 deux
 
 premiers
 
 « Comment
 
 PSYCHIATR.
 
 il distingue
 
 investi,
 
 cette même lettre entièrement
 
 ANGOISSE n.f. (angl. Anxiety)
 
 dont
 
 défini-
 
 lable à la perte d’un objet fortement
 
 l’angoisse
 
 alors que leurs côtés sont sous-estimés, et sous-estime les angles obtus, alors que leurs côtés sont surestimés.
 
 alors à une nouvelle
 
 L’angoisse a été repérée par Freud dans ses
 
 de la psychanalyse,
 
 optico-géométrique dans on surestime les angles aigus,
 
 d’éviter
 
 articu-
 
 lettre à W. Fliess de juin 1894 (La naissance
 
 ANGLES (ILLUSION DES) (angl. Angle Visual Illusion)
 
 Freud aboutit
 
 de tenter
 
 l’angoisse chez un sujet est toujours
 
 des troubles
 
 Illusion laquelle
 
 par des sensations
 
 à la paralysie totale, et elle est
 
 riel : blocage du récepteur, de la conduction neuroniques.
 
 fonction
 
 au danger de la castration
 
 chose qu’il ne peut nommer.
 
 souvent
 
 dans les relais
 
 situa-
 
 cette partie de l’angoisse que Freud qualifie
 
 C. B.
 
 Suppression
 
 là pour
 
 niveaux.
 
 qui
 
 réel le menace. L’angoisse
 
 tion de l’angoisse,
 
 Ces troubles
 
 consciente,
 
 par le moi lorsqu’une
 
 tion de danger
 
 ni à la température
 
 sur des niveaux ou des modalités.
 
 ANESTHÉSIE n.f. (angl. Anesthesia)
 
 serait produite aurait
 
 manière
 
 dans des
 
 la naissance et qui met en péril la vie même
 
 (à type de sueurs froides, non liées à l’effort intestinaux
 
 Effet privilégié d’une valeur de référence dans des tâches de jugement ou de choix.
 
 somatiques
 
 lorsque
 
 s’instaure
 
 tion symbolique, également.
 
 Il s’agit de la castra-
 
 comme
 
 L’angoisse,
 
 seule traduction
 
 Freud l’avançait
 
 pour Lacan, est la
 
 subjective
 
 la quête de cet objet perdu. chez un sujet quand métonymique
 
 devient
 
 d’échange.
 
 Car, pour
 
 Elle survient
 
 cet objet, équivalent
 
 du phallus,
 
 manquant,
 
 de ce qu’est
 
 structuralement
 
 un objet de partage ou Lacan,
 
 d’image possible du manque.
 
 il n’y a pas
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 Cet objet
 
 manquant
 
 concerné
 
 et spécifiquement
 
 dans l’angoisse,
 
 Lacan le qualifie
 
 de « support
 
 » puis de « cause du désir »
 
 et le nomme
 
 « objet
 
 Lacan, c’est l’objet
 
 a ». Cet objet
 
 L’angoisse
 
 est toujours
 
 dépendant
 
 de l’Autre,
 
 sans lequel il n’est pas dont
 
 (ATTAQUES
 
 de la libido.
 
 « C’est de lui dont il s’agit par-
 
 P.U.F.
 
 tout où Freud parle de l’objet quand il s’agit
 
 Klein,
 
 1962
 
 », Séminaire
 
 X, 1962-1963).
 
 Lacan, ce qui constitue
 
 quand quelque chose, n’importe apparaître
 
 à la place
 
 qu’occupe
 
 l’objet est tou-
 
 jours suscitée par cet objet qui est ce qui dit « je » dans l’inconscient s’exprimer
 
 et qui tente de
 
 par le biais d’un besoin,
 
 d’une
 
 demande ou d’un désir. Pour qu’un
 
 sujet puisse être désirant,
 
 dit
 
 Lacan, il faut qu’un objet cause de son désir puisse lui manquer.
 
 Que cet objet a vienne
 
 à ne pas manquer
 
 et nous nous trouvons
 
 précipité,
 
 sujet, dans la situation
 
 comme
 
 de l’inquiétante
 
 étrangeté
 
 et c’est alors que surgit
 
 (Unheimlich),
 
 l’angoisse.
 
 Lacan, il y a une structure, l’angoisse
 
 : c’est toujours
 
 se manifeste, où, comme crire
 
 image
 
 l’horrible,
 
 encadrée qu’elle
 
 le louche,
 
 vient
 
 s’ins-
 
 spéculaire,
 
 pour
 
 S., 1963, l’Angoisse,
 
 un sujet,
 
 habituellement
 
 son
 
 vissée
 
 s’en détache et, comme dans Le
 
 du
 
 déplaisantes,
 
 dite ne survient mois,
 
 8e
 
 D. F., Rabkin,
 
 J. G., éd., 1981, Anxiety. Concept,
 
 superficiels
 
 New
 
 perçus,
 
 ligne deux aspects importants
 
 Raven Press.
 
 organisateur
 
 que constitue
 
 mois. D’une extrêmement
 
 ANGOISSE (NÉVROSE D’) (angl. Anxiety Neurosis ; allem. Angstneurose)
 
 variables
 
 la méfiance
 
 Névrose caractérisée cliniquement par un état d’excitabilité générale et d’attente anxieuse, par des accès
 
 D’autre
 
 part,
 
 en 1895 d’isoler
 
 Différentes
 
 forme de névrose de la neurasthénie
 
 définie
 
 par G. Beard. Pour Freud,
 
 cette affection
 
 était due à une « dérivation
 
 de l’excitation
 
 sexuelle
 
 somatique
 
 chisme
 
 à distance
 
 » et à une « utilisation
 
 de cette excitation tions
 
 n’était
 
 pour
 
 l’hystérie
 
 nelle,
 
 de l’organisme
 
 période
 
 proche
 
 du somatique
 
 apparaît
 
 objectale.
 
 l’enfant
 
 elle ne relevait
 
 pas du refoulement
 
 d’une
 
 représentation
 
 et du déplacement
 
 de son
 
 6 et 15 mois),
 
 de celle-ci, peut alterner d’approche
 
 de l’adulte
 
 alors
 
 comme une réaction
 
 ambi-
 
 Elle n’est plus reconnue
 
 pour
 
 un sujet d’un
 
 de cet appui indispensable le manque.
 
 défaut
 
 qu’est pour lui
 
 En effet, ce qui engendre
 
 ne justifiait
 
 avec des tentatives ; elle pourrait
 
 manifestation
 
 et
 
 peut surve-
 
 nir en présence de la mère et, en l’absence
 
 l’image maternelle.
 
 de terreur
 
 en liaison
 
 à sa mère que
 
 a. Enfin, cette réaction
 
 de leur vie sexuelle. Et donc cette névrose
 
 source
 
 sans spécificité
 
 pas une cure psychanalytique.
 
 nosologique
 
 à
 
 dans une marge d’âge
 
 d’angoisse. Ainsi, pour Lacan, l’angoisse n’est pas le signal d’un manque mais la
 
 et désarrimé,
 
 auto-
 
 Par ailleurs, négatives
 
 avec le type d’attachement* ;
 
 dif-
 
 doit être distin-
 
 de réactions
 
 très large (entre
 
 obsession-
 
 les
 
 ; on peut
 
 férentielle cette
 
 comme
 
 étrangères
 
 arguer ici qu’une réactivité
 
 donc pas, pour psychique,
 
 ont mis en ques-
 
 cependant
 
 l’étranger
 
 ou la névrose
 
 mais restait
 
 de voix
 
 La cause déclenchante lui, du
 
 du moi.
 
 de Spitz. Tout d’abord,
 
 guée d’une relation
 
 » vers des manifesta-
 
 corporelles.
 
 du trouble
 
 anormale
 
 de relations
 
 discriminent l’odeur materodeur étrangère, et la voix
 
 maternelle
 
 du psy-
 
 sont
 
 joue un rôle déci-
 
 observations
 
 nouveau-nés nelle d’une
 
 8e
 
 irréductibles.
 
 à la construction
 
 sif dans la constitution
 
 cette
 
 du
 
 cette étape est absolument
 
 tion la théorie S. Freud proposa
 
 l’angoisse
 
 aux avances et de
 
 objectales : la frustration
 
 d’angoisse, avec des manifestations somatiques et neurovégétatives, et par des phobies.
 
 de ce second
 
 aux hurlements
 
 nécessaire
 
 Spitz sou-
 
 selon les enfants,
 
 allant de la non-réponse
 
 valente à la nouveauté,
 
 nome
 
 d’un double
 
 à
 
 objet
 
 part, ses manifestations
 
 adultes ayant subi une brutale interruption
 
 l’image
 
 alen-
 
 relation
 
 et désiré.
 
 être interprétée
 
 devient
 
 qu’aux
 
 a été construite,
 
 affect. Il s’agissait le plus souvent de jeunes
 
 Horla,
 
 l’angoisse
 
 lorsqu’une
 
 un objet libidinal
 
 Paris,
 
 associés
 
 qui peut être évoqué au-delà des attributs
 
 côté d’une pathogénie
 
 l’inquiétant,
 
 Lorsque la place du manque
 
 pas préservée
 
 au miroir,
 
 de
 
 c’est une scène, une fenêtre
 
 l’innommable. n’est
 
 Selon
 
 un champ
 
 dans le fantasme,
 
 proprement
 
 « c’est
 
 quoi vient
 
 cause du désir » (ibid.). L’angoisse
 
 York,
 
 à des expériences tours
 
 New Research and Changing
 
 Pour
 
 l’angoisse,
 
 DE)
 
 Bibliographie Favez-Boutonier,
 
 externes.
 
 de la peur en présence de stimulus C. E.
 
 PANIQUE
 
 des stimulus
 
 Mais si à ce stade le bébé peut manifester
 
 symbolisation.
 
 parle Freud, réserve dernière et irréductible
 
 » (« Leçon du 28 novembre
 
 vie, et la perception
 
 sans aucun mot, hors
 
 a, dit
 
 d’angoisse. C’est le roc de la castration
 
 de l’angoisse
 
 ce qui nous laisse
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 de
 
 M.-G.
 
 P.
 
 comme une entité
 
 actuellement. Ja. P.
 
 l’an-
 
 ANIMAL n.m. (angl. Animal)
 
 goisse de la perte du sein pour un nourrisson, ce n’est pas que ce sein puisse venir à lui manquer,
 
 mais c’est qu’il l’envahisse
 
 par sa toute-présence.
 
 C’est la possibilité
 
 de
 
 son absence qui préserve pour l’enfant
 
 un
 
 au-delà à sa demande, champ
 
 du besoin
 
 constituant
 
 ainsi un
 
 radicalement
 
 séparé de
 
 réponse
 
 qui se veut comblante
 
 peut, pour Lacan, qu’entraîner ment de l’angoisse. « la tentation
 
 ne
 
 le surgisse-
 
 L’angoisse,
 
 c’est donc
 
 non pas de la perte de l’objet,
 
 mais la présence de ceci que les objets, ça ne manque pas » (« Leçon du 5 décembre 1962 », ibid.). Lacan rend compte de l’angoisse en usant de trois (la jouissance, où la dimension dominante. ractérise
 
 Réaction négative aux personnes étrangères, qui marque une étape cruciale dans le développement psychique
 
 celui du désir. Toute
 
 ANGOISSE DU 8e MOIS (angl. Eighth Month Anxiety)
 
 points
 
 la demande,
 
 de repère
 
 le désir),
 
 du rapport
 
 à l’Autre
 
 Selon Lacan, l’angoisse
 
 est
 
 se ca-
 
 donc par ce qui ne trompe
 
 c’est le pressentiment,
 
 mais
 
 pas,
 
 ce qui est hors de
 
 du très jeune enfant
 
 Aux alentours
 
 du
 
 8e
 
 mois, le nourrisson
 
 devient
 
 capable de distinguer
 
 connus
 
 et visages inconnus,
 
 d’une personne
 
 étrangère
 
 à partir
 
 du
 
 3e
 
 à tout visage humain plaisir
 
 constitue
 
 c’est ce qui nous regarde,
 
 l’Homme au comble
 
 aux loups, à travers de l’angoisse,
 
 comme
 
 la lucarne,
 
 se voyait
 
 regardé
 
 par les cinq paires d’yeux de son fantasme.
 
 le bébé,
 
 indifféremment
 
 quand ce visage disparaît. un « Gestalt-Signal
 
 guration
 
 signifiante),
 
 perficiels
 
 (présence d’éléments
 
 du dé-
 
 Le visage
 
 » (une confi-
 
 dont les attributs
 
 lations
 
 spatiales entre éléments)
 
 su-
 
 déterminés,
 
 comme les yeux et le nez ; mouvement
 
 du doute. titude,
 
 réactive le désir
 
 et manifeste
 
 le sourire.
 
 cer-
 
 et la présence
 
 mois, sourit
 
 seuls : le visage de profil
 
 c’est l’affreuse
 
 entre visages
 
 de la mère absente. Auparavant,
 
 doute. Ce n’est pas le doute, mais la cause L’angoisse,
 
 (R. Spitz).
 
 ; re-
 
 importent
 
 ne provoque
 
 pas
 
 Être vivant forme d’une ou plusieurs cellules eucaryotes, c’est-à-dire à noyau vrai, par opposition à la cellule procaryote des Bactéries et des Cyanophycées. Les Animaux eucaryotes tement
 
 cellulaires,
 
 compte
 
 seules prises en
 
 pendant les premières
 
 semaines de
 
 et
 
 par l’absence
 
 uni-
 
 de chloroplastes
 
 squelettique
 
 entourant
 
 la
 
 cellule. Les Animaux de motricité
 
 sont très généralement doués et sont sensibles à divers sti-
 
 mulus ; les formes pluricellulaires
 
 sont do-
 
 tées le plus souvent de fibres musculaires, d’un système nerveux et d’organes des sens servant d’interface et permettant
 
 avec le milieu
 
 des relations
 
 extérieur
 
 complexes
 
 avec
 
 ce milieu. Les relations
 
 entre l’Animal
 
 s’expriment
 
 par son comportement,
 
 cognitives.
 
 internes,
 
 chlorophylliens
 
 dont ils ne sont pas net-
 
 et de membrane
 
 qu’il
 
 des expériences
 
 des autres
 
 séparés au niveau des formes
 
 interviennent
 
 le passage entre la réception
 
 (Végétaux
 
 Champignons),
 
 Le sourire est le premier organisateur en ceci marque
 
 se distinguent
 
 sa mémoire C’est l’étude
 
 et son milieu où
 
 et ses capacités de cette relation
 
 qui est l’objet de l’éthologie. N. C.
 
 55
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 ANIMAL
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 L’animisme
 
 CHRONIQUE
 
 CHRONIQUE
 
 est une caractéristique
 
 ciétés dites « primitives
 
 (ANIMAL)
 
 », où il a deux fonc-
 
 tions : 1. une fonction ANIMALE (PSYCHOLOGIE) (angl. Comparative Psychology)
 
 de
 
 la
 
 psychologie
 
 expé-
 
 dans un groupe
 
 pour tout individu
 
 ou groupe
 
 peutique,
 
 par la dévolution
 
 extérieurs
 
 de tendances,
 
 la psychologie
 
 les
 
 on peut différencier
 
 animale
 
 de l’éthologie
 
 par
 
 accordé à la rigueur
 
 tale, dans des situations reproductibles etc.),
 
 l’Animal
 
 simplifiées
 
 qu’à l’étude
 
 en milieu
 
 des activités
 
 naturel
 
 de
 
 conditionné,
 
 appui
 
 levier dans la boîte de Skinner), l’indicateur
 
 sur le
 
 considérée
 
 d’une opération
 
 - l’espèce
 
 animale
 
 « matériel
 
 utilisée
 
 biologique
 
 a le statut
 
 ;
 
 et est
 
 choisie
 
 à ce titre, et non en raison
 
 de son
 
 intérêt
 
 intrinsèque
 
 psychologie fonctions
 
 à la
 
 ou explicitement, animale
 
 enfin, la
 
 a pour référence
 
 psychologiques
 
 les
 
 de l’espèce hu-
 
 interspécifiques
 
 dans une perspective
 
 ligner
 
 et éthologie
 
 aboutissent
 
 la complémentarité
 
 ces deux approches
 
 dans ses Cinq leçons sur
 
 ter que J. Breuer,
 
 aussi chez le jeune qui se ;
 
 qu’elle
 
 le suit.
 
 à sou-
 
 heuristique
 
 l’animisme,
 
 entre
 
 soi
 
 de causalité : dans
 
 c’est l’effet qui produit
 
 O (Bertha
 
 la cause.
 
 Pappenheim,
 
 Femme viennoise
 
 du comportement
 
 des J. M.
 
 COMPORTEMENT,
 
 titres. D’abord sonnalité
 
 (1859-1936)
 
 complexité
 
 en lui-même,
 
 premier Anna
 
 sants du monde
 
 qui suppose
 
 ou fabriqués
 
 - un nuage,
 
 -, doués
 
 ment, d’humeur, Elle se représente le modèle
 
 les objets,
 
 éducation
 
 raffinée,
 
 faitement,
 
 lisait
 
 d’intention,
 
 du monde
 
 naturels un
 
 de sentiphysique
 
 psychologique.
 
 une pensée profondément intentions,
 
 sentiments,
 
 s’adressent
 
 aux vivants
 
 :
 
 des choses
 
 et manifestent
 
 une
 
 bonne ou mau-
 
 de trois
 
 que le
 
 qu’elle
 
 se De de
 
 reçu une
 
 l’anglais
 
 parde
 
 particuliers.
 
 Il semble
 
 de l’existence
 
 menait
 
 elle ait eu tendance
 
 troubles
 
 et de la vision,
 
 importants incapacité
 
 de
 
 d’étancher
 
 sa soif), ne lui ménagea pas sa
 
 sympathie,
 
 et à défaut
 
 directement, remarqué
 
 de pouvoir
 
 l’aider
 
 accepta de l’entendre.
 
 Ayant
 
 que sa patiente
 
 entrait
 
 réguliè-
 
 dans des états d’absence
 
 durant
 
 lesquels il lui arrivait
 
 de « murmurer
 
 elle-même
 
 mots qui donnaient
 
 quelques
 
 l’impression
 
 de provenir
 
 psychique
 
 qui occupait
 
 lui-même,
 
 au moyen
 
 un état psychique
 
 d’un
 
 pour
 
 ensemble
 
 sa pensée », il la mit de l’hypnose,
 
 qui rappelait
 
 dans
 
 ses états
 
 d’absence et lui répéta les mots qu’elle avait
 
 les créations psychiques qui l’avaient dominée durant
 
 les absences et s’étaient
 
 dans les paroles exprimées
 
 trahies
 
 ça et là. » Anna
 
 ne pouvait
 
 s’exprimer
 
 qu’en anglais. Elle baptisa cette méthode
 
 du
 
 exemple
 
 aussi, généralement,
 
 de guérison
 
 d’un
 
 le premier
 
 symptôme
 
 que
 
 Breuer donne dans les Études sur l’hystérie.
 
 pas dans son adolescence
 
 qu’elle
 
 avec contrac-
 
 ou encore, à un autre moment,
 
 On connaît
 
 On
 
 qu’insatisfaite
 
 membres
 
 se nourrir,
 
 ont gardé
 
 avait
 
 parlait
 
 nerveuse très pénible,
 
 ture et insensibilité,
 
 sweeping.
 
 son père, Sigmund
 
 femme
 
 (toux
 
 nom de talking cure, ou encore de chimney
 
 et l’italien.
 
 un
 
 Il faisait, forte
 
 au début de l’été 1882, une très
 
 chaleur.
 
 souffrait
 
 Malgré
 
 très durement,
 
 dans l’impossibilité à se plaindre,
 
 une soif
 
 de boire. Elle en vint
 
 nante qu’elle n’aimait
 
 de sa gouver-
 
 pas. Elle avait vu un à boire, dans un verre,
 
 à son chien, une bête répugnante. ressenti
 
 elle
 
 Anna O se trouvait
 
 sous hypnose,
 
 jour celle-ci donner
 
 dont
 
 un violent
 
 dégoût,
 
 Elle avait
 
 mais n’avait
 
 rien dit, par politesse. Après qu’elle eut ra-
 
 au sein de sa
 
 conté ce souvenir,
 
 à se réfugier
 
 toujours.
 
 le trouble
 
 La guérison
 
 disparut
 
 pour
 
 de ses autres symp-
 
 dans de longues rêveries. À cela nous pou-
 
 tômes devait passer par les mêmes voies, et
 
 vons aussi ajouter à présent que cette jeune
 
 éclairer par avance le travail thérapeutique
 
 femme
 
 avec les autres malades que Freud, notam-
 
 devait
 
 vice d’idéaux
 
 C’est
 
 de
 
 en l’appelant
 
 se montrer
 
 capable,
 
 suite, d’une activité énergique,
 
 sur
 
 égocentriste
 
 humeurs
 
 visée, une volonté d’action, vaise, à leur égard.
 
 famille,
 
 est une pensée animiste. le monde
 
 paralysie
 
 et Freud,
 
 femme
 
 le français
 
 névrotiques
 
 seulement
 
 aux
 
 une plante,
 
 considérables
 
 O, à cette époque,
 
 dans l’histoire
 
 était un riche marchand
 
 peu étriquée
 
 de l’esprit
 
 parfois
 
 en réalité Bertha Pappenheim.
 
 troubles
 
 physique.
 
 La pensée qui accorde
 
 de façons
 
 O, nous savons à présent
 
 La jeune
 
 appelé en consultation
 
 ainsi en présence du médecin
 
 Si Breuer
 
 juive orthodoxe,
 
 de rappor-
 
 reproduisit
 
 a été au centre de rectifica-
 
 à la jeune
 
 souvent
 
 de par la per-
 
 et commenté
 
 avait eu à soigner,
 
 ne signale
 
 de propriétés psychiques inanimés et aux compo-
 
 en 1909. À sa suite,
 
 « La malade se prêta au jeu et
 
 Ensuite, parce
 
 considérables
 
 pro-
 
 murmurés.
 
 de la malade et la
 
 de sa pathologie.
 
 Pappenheim,
 
 ANIMISME n.m. (angl. Animism)
 
 exemplaire.
 
 à divers
 
 de mises en perspective,
 
 famille
 
 ÉTHOLOGIE
 
 qui fut
 
 O est passionnant
 
 exceptionnelle
 
 Vienne.
 
 Attribution aux objets
 
 dite)
 
 soignée par J. Breuer et qui est souvent considérée comme la première patiente de l’histoire de la psychanalyse.
 
 son anonymat
 
 de
 
 avoir, dans
 
 auprès d’une jeune fille atteinte de troubles
 
 de la parole
 
 et un obstacle à l’éta-
 
 de la relation
 
 nommait
 
 meuble
 
 voie, notamment
 
 dans leurs Études sur l’hystérie,
 
 Animaux.
 
 choses,
 
 désirs, malaises,
 
 il affirme
 
 extérieur
 
 en
 
 s’était engagé dans cette
 
 de 2-4 ans. L’enfant
 
 de la psychanalyse.
 
 gie animale
 
 simplifiée,
 
 Freud lui-même
 
 un signe de confusion
 
 polémiques
 
 entre psycholo-
 
 en a par-
 
 à des objets
 
 et Piaget ont vu dans l’animisme
 
 blissement
 
 tions,
 
 phylogéné-
 
 qu’on
 
 une valeur
 
 la lune tout au long d’une prome-
 
 très diverses,
 
 (par
 
 tique). Ces éléments de contraste
 
 1882. Il est certain
 
 ce cas originel,
 
 emblématiquement
 
 se rencontre
 
 que ce cas, repris
 
 maine ; elle se soucie peu ou pas d’autres comparaisons
 
 à juin
 
 nous nous contentons
 
 Le cas d’Anna
 
 du monde animal ;
 
 - implicitement
 
 exemple,
 
 illustre
 
 autour
 
 voyant
 
 Anna
 
 » favorable
 
 connaissance
 
 1880
 
 rement
 
 de
 
 en tant qu’apport
 
 J. Breuer ont duré deux ans, de juillet
 
 théra-
 
 H. B.
 
 obser-
 
 séquentiel
 
 par
 
 ce qui pouvait
 
 que prise en compte et descrip-
 
 vables et de leur enchaînement
 
 », ainsi que son traitement
 
 faisant ressortir
 
 men-
 
 tion fine de l’ensemble des conduites
 
 de théâtre).Sa
 
 noncées aux États-Unis
 
 et le milieu
 
 sion de telle ou telle réponse « locale » (ré-
 
 pièces
 
 de voyages,
 
 Le chamanisme
 
 enfantin
 
 d’émis-
 
 rendus
 
 fois donné une présentation
 
 d’apparte-
 
 ; 2. une fonction
 
 nade nocturne,
 
 ou semi-natu-
 
 - études centrées sur la probabilité
 
 tale, plutôt
 
 animiste
 
 cogne à une table dit qu’elle est méchante
 
 labyrinthes,
 
 (comptes
 
 la psychanalyse, recueil de conférences
 
 Wallon
 
 comme
 
 la croyance
 
 à
 
 Elle écrivit plusieurs
 
 craintes et douleurs qui affectent l’individu.
 
 enfant,
 
 et bien
 
 rel ;
 
 flexe salivaire
 
 extérieur
 
 le sentiment
 
 nance au groupe
 
 L’animisme
 
 expérimen-
 
 (openfields,
 
 plutôt
 
 conforter
 
 béné-
 
 cette fonction.
 
 les points suivants : - privilège
 
 vient
 
 comme
 
 social et maléfique
 
 activités Animaux.
 
 chez
 
 ouvrages « maladie
 
 lui ; de cette façon,
 
 psychologiques,
 
 Il
 
 est, par exemple,
 
 considéré
 
 juives et un établisse-
 
 ment d’enseignement. essais, nouvelles,
 
 rimentale consacré à l’analyse de certains aspects du comportement, traités comme des révélateurs des
 
 Schématiquement,
 
 56
 
 politico-religieuse.
 
 Ligue des Femmes
 
 est un facteur de cohésion sociale : tel arbre fique
 
 Domaine
 
 des so-
 
 philanthropiques
 
 par la
 
 mise au sertrès forts.
 
 ment, eut à traiter.Il l’histoire
 
 est vrai cependant que
 
 de la maladie
 
 d’Anna
 
 O ne peut
 
 En effet, après avoir développé une hystérie
 
 être présentée d’une manière aussi simple.
 
 spectaculaire
 
 guéri, elle fut la
 
 Breuer
 
 pendant
 
 texte des Études sur l’hystérie,
 
 directrice
 
 et en avoir
 
 d’un orphelinat
 
 environ
 
 lui-même
 
 douze ans. Elle voyagea dans les Balkans, le
 
 dans la maladie
 
 Proche-Orient
 
 phases distinctes,
 
 et la Russie pour faire une
 
 enquête sur la prostitution.
 
 Elle fonda une
 
 ne cache pas, dans son et le traitement, avec plusieurs
 
 qu’il
 
 y eut,
 
 plusieurs rechutes.
 
 Mais une lecture de ce livre pourrait
 
 laisser
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 penser qu’à la fin de la thérapie par Breuer,
 
 Anna
 
 conduite
 
 O, reprenait
 
 O était complètement
 
 guérie. Freud
 
 devait
 
 en revanche
 
 rectifier
 
 cela
 
 quelques années plus tard. Il confia en effet à Ernest
 
 Jones que quelque
 
 chose avait
 
 empêché J. Breuer de mener jusqu’au son traitement.
 
 bout
 
 Breuer devait développer,
 
 à l’égard
 
 de sa malade,
 
 un attachement
 
 prononcé,
 
 qu’on n’avait
 
 pas encore appris
 
 des conceptions
 
 en vogue à
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 fut par la suite attribuée
 
 cette époque, et qu’en réalité Breuer avait
 
 hypophysaire
 
 permis
 
 à sa patiente
 
 des « fan-
 
 les endocrinologues.
 
 taisies
 
 » qui se rapportaient
 
 à ses états
 
 la Seconde Guerre
 
 de raconter
 
 à une insuffisance
 
 (cachexie
 
 hypophysaire) Cependant,
 
 mondiale,
 
 par
 
 depuis
 
 les progrès
 
 psychiques plutôt que le souvenir d’événements réels antérieurs. Mais la portée de
 
 de la neuroendocrinologie
 
 ont démon-
 
 tré l’origine
 
 des troubles
 
 cette remarque
 
 peut se renverser complète-
 
 endocriniens
 
 ment dès lors que nous savons que le trau-
 
 son origine
 
 matisme
 
 chopathologiques
 
 devait de toute façon perdre
 
 rôle explicatif
 
 primordial
 
 son
 
 dans les années place plus grande
 
 de l’anorexie, psychique.
 
 Les travaux
 
 psy-
 
 sont très nombreux
 
 et
 
 mais la définition
 
 du
 
 divergents,
 
 suivantes,
 
 Voyant
 
 sa femme jalouse, il décida d’inter-
 
 devait être laissée au fantasme.
 
 P. Feighner,
 
 rompre
 
 le traitement
 
 Le cas d’Anna
 
 situe avant 25 ans chez une adolescente qui
 
 O reste ainsi, quoi qu’il en
 
 fut rappelé au chevet de sa malade, en proie
 
 soit de ce débat, le premier
 
 aux douleurs
 
 se fonde
 
 d’un
 
 accouchement
 
 rique. Freud affirme tournure
 
 hysté-
 
 qu’il fut effrayé de la
 
 que prenaient
 
 clairement
 
 « verbalisation
 
 sur la parole,
 
 plus que Freud lui-même
 
 que Breuer avait toujours
 
 soutenu
 
 sait finalement
 
 qu’il n’y avait aucune composante
 
 sexuelle
 
 « aperçus sur l’étiologie
 
 d’autant
 
 dans le cas de sa malade. Il raconta aussi à Jones que Breuer
 
 partit
 
 des phénomènes
 
 résulter la naissance d’une fille. Ainsi le tra-
 
 Gallimard.Freud,
 
 vail thérapeutique
 
 ne fut jamais achevé et
 
 l’hystérie,
 
 la malade mit-elle
 
 encore quelque temps à
 
 ne naquit
 
 été discuté, notam-
 
 F. Ellenberger,
 
 y démontre
 
 par Freud.
 
 qu’aucune
 
 ment, de s’expliquer
 
 Mikkel
 
 philosophe l’histoire
 
 rectification,
 
 lui-même
 
 et novice
 
 l’analyste
 
 (chapitre
 
 révision),
 
 Paris, Seuil.
 
 d’Anna
 
 O.
 
 Paris, Aubier.
 
 M., 1988, Le transfert I, L’histoire
 
 Concept d’origine pour caractériser trouve l’individu
 
 comme
 
 en ce qui concerne
 
 de la psychanalyse,
 
 de l’âme,
 
 a tenté de sou-
 
 d’Anna
 
 O : une
 
 sociologique forgé la situation où se lorsque les cadres
 
 R. L.
 
 rejaillir
 
 un mythe moderne
 
 que le récit objectif cette appréciation
 
 de l’histoire
 
 NORME
 
 sur l’ensemble
 
 de la psychanalyse.
 
 outre
 
 la naissance
 
 grossesse hystérique On pourrait
 
 d’Anna
 
 relever que ses arguments
 
 sont
 
 sur ce point beaucoup moins convaincants. Mais est-ce de toute façon tellement
 
 essen-
 
 tiel ? Ce que Jones essaie de faire valoir, partir
 
 des indications
 
 de Freud,
 
 Breuer recula lorsqu’il cette confrontation
 
 c’est que
 
 dut constater
 
 ture sexuelle du transfert
 
 à
 
 d’Anna
 
 la naO. Que
 
 ait été amenée par un
 
 épisode de grossesse hystérique ment par la jalousie
 
 ou simple-
 
 de sa propre
 
 épouse,
 
 qui, elle, est avérée, est-ce tellement
 
 diffé-
 
 rent ?
 
 démontrer chique,
 
 tente
 
 par ailleurs
 
 que l’idée de traumatisme
 
 invoquée
 
 par Freud
 
 compte de l’étiologie térique
 
 ANOREXIE MENTALE (angl. Anorexia Nervosa)
 
 pour
 
 dans des cas comme
 
 de psy-
 
 rendre
 
 de la pathologie
 
 des
 
 rites alimentaires,
 
 des vomissements
 
 et la
 
 prise de laxatifs
 
 et de diurétiques.
 
 souvent
 
 hys-
 
 celui d’Anna
 
 L’amai-
 
 spectaculaire,
 
 est particulier, féminines
 
 atteint L’aspect
 
 avec effacement et fonte musculaire
 
 aux membres,
 
 qui sont dé-
 
 charnés. L’aménorrhée
 
 est liée aux troubles
 
 fonctionnels
 
 hypothalamo-hy-
 
 de l’axe
 
 pophysaire
 
 et elle coïncide
 
 l’apparition
 
 de l’anorexie.
 
 souvent mentaux
 
 et certains
 
 ter l’origine
 
 psychologique des troubles,
 
 médecins
 
 qu’ont d’accep-
 
 de l’anorexie
 
 souvent
 
 à un traumatisme.
 
 et
 
 banalisés Or, ce qui
 
 c’est la méconnaissance
 
 par la malade de sa maigreur, d’inquiétude
 
 appa-
 
 les difficultés
 
 les parents
 
 avec
 
 Mais, surtout,
 
 pas de troubles
 
 rents, ce qui explique
 
 son absence
 
 pour son état de santé.
 
 Au contraire,
 
 elle est heureuse de sa mai-
 
 greur et de pouvoir
 
 exercer une totale em-
 
 prise sur la forme de son corps. Elle persiste à se trouver trop grosse et se livre à d’incessantes vérifications,
 
 en particulier
 
 de son
 
 tour de cuisse. Elle tente de maîtriser
 
 turbé,
 
 son
 
 moins systématisé de s’alimenter, intervenant comme mode de réponse à des conflits psychiques. Cette conduite
 
 PSYCHIATR.
 
 écourté,
 
 de restriction
 
 même,
 
 comme
 
 pas la détente et l’abandon.
 
 De
 
 la sexualité
 
 est refoulée
 
 massive-
 
 ment par défaut d’investissement
 
 érogène
 
 du corps.
 
 L’investissement
 
 semble brillant, concernant entraîne
 
 sa réalité un refuge
 
 et paramédicales,
 
 aménorrhée
 
 et une hyperactivité de la perception anorexiques
 
 d’anorexie
 
 mentale
 
 esthétique
 
 ainsi que
 
 Le retentissement en particulier
 
 rend cette affection peut survenir
 
 aux troubles
 
 réanimation
 
 tels que l’hystérie
 
 obsessionnelle,
 
 l’anorexie
 
 médicales
 
 appel à une de l’anorexie,
 
 hydroélectroly-
 
 et les dégâts dentaires, toujours
 
 grave. La mort
 
 par dénutrition,
 
 de la conduction
 
 ou la névrose
 
 somatique
 
 mais le terme
 
 les
 
 danse, gymnastique).
 
 les troubles
 
 chard en 1883. Rattachée dès cette époque mentaux
 
 nécessaire à la
 
 ou faisant
 
 (dessin,
 
 tiques et gastriques
 
 a été créé par H. Hu-
 
 dans le conformisme
 
 plus investis sont les professions
 
 ont été décrites
 
 dès le XIe siècle (Avicenne),
 
 interne
 
 Les secteurs professionnels
 
 associées
 
 de son corps.
 
 psychique
 
 et le manque d’imagination
 
 qui présente, par ailleurs,
 
 des troubles
 
 intellectuel
 
 mais la peur de l’anorexique
 
 adolescente
 
 du caractère
 
 est perne
 
 créativité.
 
 à des changements
 
 de la fatigue, et la si l’anorexique
 
 alimentaire méthodique, avec amaigrissement, survient le plus souvent chez une une
 
 traduisant
 
 de l’ascèse. Le sommeil
 
 s’autorisait
 
 Trouble de la conduite alimentaire caractérisé par un refus plus ou
 
 Les conduites
 
 M. Borch-Jacobsen
 
 un
 
 pour la nourriture,
 
 recherche
 
 la
 
 O elle-même.
 
 Peuvent
 
 particulier
 
 ainsi sa méconnaissance
 
 ainsi en question,
 
 de la fille de Breuer,
 
 » (P. Jeammet).
 
 poids par des exercices violents,
 
 Il est frap-
 
 dérable peut reposer sur une base faible. M. remet
 
 avec lutte
 
 SOCIALE
 
 pant de voir à quel point un projet si consiBorch-Jacobsen
 
 alimentaire
 
 signe le diagnostic,
 
 son livre, Souvenirs d’Anna O, il fait même
 
 plutôt
 
 O constitue
 
 du
 
 par un dis-
 
 des accès boulimiques,
 
 ou attribués
 
 d’un cas. Dans
 
 cas d’Anna
 
 l’ensemble
 
 s’y associer
 
 la gravité
 
 et règles sociales sont absents, incompatibles entre eux ou ont perdu leur puissance de régulation des conduites.
 
 tenir la thèse selon laquelle
 
 la faim
 
 il n’existe
 
 et le désir de
 
 ANOMIE n.f. (angl. Anomia)
 
 Borch-Jacobsen,
 
 bien que se présentant
 
 Safouan,
 
 contre
 
 se
 
 Il s’agit d’une « conduite
 
 active de restriction
 
 prédominant
 
 O, Paris,
 
 assuré-
 
 cette erreur.
 
 Sur la base de cette première un autre auteur,
 
 fille
 
 Breuer à la date
 
 Il est difficile,
 
 d’Anna
 
 M., 1995, Souvenirs centenaire,
 
 alimentaire
 
 physique
 
 Paris, Fayard. Une mystification
 
 cret embonpoint.
 
 (G.
 
 L’âge de début
 
 J., Études sur
 
 H.F., 1995, Médecines
 
 (vol. 37, no
 
 un régime
 
 des formes
 
 L., 1977, L’histoire
 
 Borch-Jacobsen,
 
 DSM III).
 
 ou dépasse 25 % du poids initial.
 
 Paris, PUF.
 
 Freeman,
 
 est bien établie
 
 Cinq conférences,
 
 S. et Breuer,
 
 dans un ar-
 
 psychiatrique
 
 dans la famille
 
 indiquée
 
 ».
 
 anorexique
 
 grissement,
 
 S., Sur la psychanalyse,
 
 Ellenberger,
 
 4, 1972), repris dans son livre Médecines de l’âme. L’auteur
 
 hystériques
 
 justifie
 
 intérêt
 
 et la signification
 
 PUF.
 
 progressivement.
 
 ticle de L’Évolution
 
 : de simples
 
 Bibliographie Freud,
 
 Cet épisode a, depuis,
 
 di-
 
 R. C.
 
 noces à Venise et que de ce voyage devait
 
 ment par Henri
 
 y avoir trouvé
 
 dès le lendemain
 
 avec sa femme pour un second voyage de
 
 finir de se remettre
 
 sur la
 
 ». On n’ira pas y chercher,
 
 en revanche,
 
 les événements,
 
 où une cure
 
 syndrome
 
 confirmant
 
 à repérer sous le nom de contre-transfert. mais le soir même il
 
 alors qu’une
 
 parfois
 
 fonctionnelle
 
 cardiaque
 
 troubles
 
 ou lors d’une
 
 orale trop brutale.
 
 est rare mais peut se produire
 
 Le suicide après une 57
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 période
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 d’accès boulimiques.
 
 sont fréquentes.
 
 Les rechutes
 
 La normalisation
 
 entre
 
 le besoin
 
 n’est pas une preuve de guérison. Les règles
 
 dant
 
 sur un manque,
 
 réapparaissent
 
 amené à rejeter
 
 tardivement.
 
 Des symptômes l’évolution
 
 du poids
 
 psychiatriques
 
 de l’anorexie
 
 dépressifs, comanie,
 
 troubles
 
 : phobies,
 
 obsesétats
 
 des conduites
 
 alcoolisme,
 
 de répondre
 
 émaillent
 
 sions, accès de dépersonnalisation, compulsif
 
 (toxi-
 
 mère
 
 l’enfant
 
 à la demande
 
 à défaut
 
 de pouvoir
 
 que l’on
 
 aimer. « C’est l’enfant
 
 avec le plus d’amour
 
 tisation.
 
 Le problème
 
 de cette
 
 désir », écrit J. Lacan (Écrits, l’indication
 
 chothérapies
 
 d’anorexiques
 
 ment et à la surveillance
 
 structuration
 
 de la personnalité. que le trouble
 
 spécifique corps,
 
 la perception besoins propres
 
 qui doit être modifiée.
 
 de
 
 la mère (psychothérapie
 
 sensations
 
 ses propres
 
 les apprentis-
 
 contraire,
 
 et besoins à l’enfant
 
 au
 
 d’avec le milieu
 
 et à reconnaître
 
 M. Palazzoli-Selvini
 
 une forme
 
 monosymptomatique.
 
 de psychose
 
 E. Kestemberg
 
 sou-
 
 pulsionnelle
 
 se ca-
 
 ligne que l’organisation
 
 ractérise par un recours spécifique sochisme érogène primaire, lié directement des besoins.
 
 au ma-
 
 où le plaisir est
 
 au refus de la satisfaction Le modèle
 
 développemen-
 
 tal de l’école psychanalytique met en évidence
 
 l’attention
 
 des parents
 
 la problématique
 
 rapeutiques
 
 tiennent
 
 de l’iden-
 
 Jeammet
 
 sur l’importance
 
 autonomie-dépendance.
 
 l’isolement
 
 familial
 
 à l’influence
 
 qu’il
 
 milieu,
 
 attire
 
 du conflit
 
 de
 
 avec l’assistance de la relation
 
 entretient
 
 cela, tout spécialement, bivalence
 
 au sujet,
 
 conflictuelle
 
 mesures psychothérapeutiques pathologique
 
 avec lui. Et
 
 au regard de l’am-
 
 (haine/amour)
 
 du sujet pour ce
 
 laquelle semble sous-tendre
 
 l’effet anorexigène
 
 est très important). M. V.
 
 ANOSMIE n.f. (angl. Anosmia)
 
 Perte du sens de l’olfaction. Il s’agit parfois de formes limitées mie préférentielle,
 
 qui est une incapacité
 
 de sentir
 
 certaines
 
 odeurs
 
 anosmie
 
 spécifique,
 
 de sentir,
 
 seulement,
 
 et donc de reconnaître,
 
 plusieurs corps chimiques
 
 J. P.
 
 ANOSOGNOSIE n.f. (angl. Anosognosia)
 
 Méconnaissance par un patient, pouvant aller jusqu’à la négation, de sa maladie ou de la perte de ses capacités sensorielles ou motrices. Il peut s’agir de l’inconscience miplégie
 
 du côté non dominant
 
 de Babinski)
 
 J. P.
 
 anorexique.
 
 Bibliographie H., 1979, l’Énigme
 
 de l’anorexie.
 
 La cage
 
 dorée, Paris, P.U.F. Kestemberg,
 
 E. et J., Deabert,
 
 S., 1972, la
 
 Faim et le corps. Une étude psychanalytique l’anorexie
 
 mentale,
 
 ANOVA
 
 Sigle souvent utilisé par les auteurs de langue anglaise pour ANalysis Of VAriance. M. R.
 
 de VARIANCE
 
 Paris, P.U.F.
 
 (ANALYSE
 
 DE LA)
 
 compte
 
 des positions
 
 fixes, permet
 
 dont l’effet principal est la suppression de la sensation de faim.
 
 Se dit d’un facteur supprime la douleur.
 
 de nouer
 
 une relation
 
 plus
 
 confiante et de réaliser l’isolement, qui est considéré depuis J. M. Charcot et Ch. Lasègue comme le meilleur
 
 traitement
 
 symp-
 
 Elle va de pair avec le contrat
 
 d’une
 
 substance
 
 Les « coupe-faim tion
 
 tie pourra
 
 blème particulier
 
 être envisagée.
 
 Ce contrat
 
 doit
 
 formes
 
 Ces substances
 
 l’obésité s’accordent
 
 Il permet à la patiente
 
 un effet spectaculaire
 
 sivité et de tester la fiabilité
 
 son agres-
 
 des thérapeutes
 
 d’obésité
 
 par
 
 posent un pro-
 
 car tous les spécialistes de
 
 être respecté par les soignants et la famille. d’intégrer
 
 dont la seule indica-
 
 serait certaines
 
 boulimie.
 
 psychotrope
 
 » efficaces sont en prin-
 
 cipe des médicaments
 
 qui porte sur le poids à partir duquel la sor-
 
 sur le fait que - malgré à court
 
 terme
 
 - les
 
 anorexigènes
 
 ne sont d’aucun secours dans
 
 (Jeammet).
 
 le traitement
 
 de l’obésité
 
 Une action auprès des parents est toujours souhaitable et fait même l’essentiel du
 
 à l’arrêt
 
 traitement
 
 tement au long cours).
 
 pour les thérapeutes
 
 familiaux
 
 auteurs utilisent
 
 les
 
 thérapies comportementales.
 
 L’objet
 
 Dès sa naissance,
 
 pris dans une relation
 
 l’enfant
 
 qui satisfait
 
 nourri
 
 L’enfant
 
 À l’exception tamines
 
 se
 
 catégorie.
 
 à la mère le besoin
 
 est aussi objet d’une demande d’amour mère nourricière.
 
 sibles et l’accoutumance
 
 C.
 
 entre le besoin et la demande.
 
 alimentaire
 
 du traitement
 
 anorexigènes J.-M.
 
 qui s’inscrit
 
 par
 
 lésion du cortex occipital.
 
 Se dit
 
 trouve
 
 (syndrome
 
 ou d’une cécité corticale
 
 par voie orale, par une équipe de soignants
 
 PSYCHAN.
 
 d’une hé-
 
 Les mesures thé-
 
 théoriques des auteurs. L’hospitalisation avec réalimentation prudente, si possible
 
 D’autres
 
 un ou
 
 particuliers.
 
 ANTALGIQUE adj. et n.m. (angl. Pain Relieving)
 
 systémiques.
 
 ou
 
 qui est une incapacité
 
 ANOREXIGÈNE adj. et n.m. (angl. Anorectic Agents)
 
 tomatique.
 
 : anos-
 
 toute la R. L.
 
 Bruch,
 
 voire de cocaïne (dont
 
 strict
 
 que se résoudra
 
 ainsi soustrait
 
 de modifier
 
 au
 
 américaine
 
 l’insistance
 
 tité au coeur de l’anorexie.
 
 dans
 
 majeure permettant
 
 l’entourage,
 
 d’amphétamines,
 
 ou psychanalyse)
 
 ou l’adolescente,
 
 c’est
 
 rexie associée à un abus d’anorexigènes,
 
 Il faut donc traiter
 
 l’intervention
 
 conduite
 
 sur le contrôle du plaisir et l’importance des activités de maîtrise anale. Toutes les études placent
 
 l’adolescent
 
 ses
 
 besoins.
 
 fait de l’anorexie
 
 Chez
 
 imposé
 
 lieu de l’aider à percevoir
 
 Dans
 
 pour guérir l’enfant.
 
 (sensations,
 
 la mère aurait
 
 organique.
 
 d’objet de la mère à l’enfant
 
 du
 
 Durant
 
 au traite-
 
 mentale du nourrisson,
 
 de l’image
 
 intéroceptive
 
 sages précoces,
 
 le cas de l’anorexie c’est la relation
 
 psychothéra-
 
 conjointement
 
 et
 
 à des perturbations
 
 du corps).
 
 à tenir
 
 fondamental
 
 est un trouble
 
 secondaire
 
 H. Bruch
 
 1966). D’où
 
 d’une conduite
 
 peutique
 
 d’ano-
 
 qui refuse la
 
 et joue de son refus comme d’un
 
 affection reste entier. Les études psychopathologiques ont cherché à travers les psy-
 
 Il existe des cas cliniques
 
 et amour,
 
 d’une mère qui aime trop nourrir
 
 nourriture
 
 la
 
 en refusant
 
 nourriture
 
 psycho-
 
 à retrouver
 
 peut être
 
 comane.
 
 excessive d’une
 
 on assiste à une véritable de l’étiologie
 
 s’insère en se fon-
 
 la nourriture
 
 qui confond
 
 nourrit
 
 surtout).
 
 et la demande
 
 Parfois,
 
 considère
 
 58
 
 Dès lors que le désir de l’enfant
 
 à la
 
 demande à être
 
 et aimé dans le même temps où la
 
 tion
 
 les rend plutôt
 
 empêche tout trai-
 
 sont apparentés
 
 être rangés dans cette
 
 toxicomanie
 
 Maîtriser teindre
 
 son corps
 
 aux ano-
 
 et ses pulsions,
 
 l’extase à la limite constituent
 
 tion des voies afférentes déclenchement ou humoraux
 
 qui contrôlent
 
 relaxation
 
 at-
 
 de la défaillance
 
 physique
 
 ber la nourriture
 
 muns aux vécus de l’anorexique
 
 par
 
 nerveux
 
 le transit
 
 des
 
 par administration
 
 qui bloquent
 
 des afférences
 
 par sec-
 
 nociceptives,
 
 des mécanismes
 
 messages nociceptifs, de drogues
 
 locale,
 
 la transmission
 
 nociceptives,
 
 par hypnose,
 
 ou biofeedback. J.-M.
 
 C.
 
 ANTÉROGRADE (angl. Anterograd
 
 (AMNÉSIE) Amnesia)
 
 AMNÉSIE
 
 des éléments
 
 ANTICIPATION n.f. (angl. Anticipation)
 
 est
 
 » que l’effet psychostimulant.
 
 mère qui l’aime lui demande aussi d’absorqu’elle prépare pour lui.
 
 aux amphé-
 
 rexigènes : y seraient recherchés tant l’effet « coupe-faim
 
 par anesthésie
 
 peut être
 
 tous les
 
 sorte un usage abusif, la ques-
 
 se pose d’une
 
 de la douleur
 
 ou
 
 nui-
 
 Si tout usage d’anorexigène
 
 en quelque
 
 obtenue
 
 atténue
 
 (un effet rebond
 
 de la fenfluramine,
 
 et doivent
 
 La réduction
 
 qui
 
 com-
 
 et du toxi-
 
 Toute conduite qui manifeste une préparation spécifique à un événement futur
 
 ou une prévision
 
 consciente.
 
 En créant un lien cohérent sent et le futur, tion favorisent coordination
 
 les conduites l’adaptation
 
 entre le préd’anticipa-
 
 au milieu par la
 
 des actions et la connaissance.
 
 On observe, chez l’Animal
 
 et l’Homme,
 
 des
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 réactions
 
 anticipatrices
 
 à une stimulation
 
 est annoncée
 
 par un signal.
 
 consiste à présenter deux stimulus, ou davantage, en succes sion répétée
 
 Ces réactions se caractérisent
 
 par des temps
 
 et à demander
 
 quand celle-ci de réaction réaction
 
 très brefs, distincts
 
 à la stimulation
 
 participent
 
 du temps de
 
 elle-même,
 
 d’une « préparation
 
 cette réaction,
 
 en fait seconde.
 
 En perception,
 
 l’anticipation
 
 par l’adoption événement
 
 motrice
 
 Cette méthode
 
 où
 
 peut être utilisée avec des
 
 corporelle, avant
 
 se produise.
 
 Les conduites
 
 ceptives
 
 d’anticipation
 
 mobilité
 
 d’un organe sensoriel
 
 réclament
 
 flage. Elle a connu
 
 un grand succès durant
 
 d’un
 
 toute
 
 une période
 
 où l’on essayait de ré-
 
 que
 
 duire
 
 les phénomènes
 
 per-
 
 donc la
 
 anticipations
 
 de mémoire
 
 simples
 
 à des
 
 ; elle est beaucoup
 
 moins employée aujourd’hui.
 
 ou du seg-
 
 les premiers
 
 français
 
 Delay, P. Deniker
 
 J.-F. L. N
 
 qui le porte. Chez l’Homme,
 
 et T. Laine)
 
 antidépressive
 
 de l’isoniazide, utilisé
 
 Cinq
 
 ans plus tard,
 
 l’effet
 
 activateur
 
 d’un
 
 tissage,
 
 elles peuvent
 
 être obtenues
 
 plus
 
 sensorielles
 
 déjà
 
 tôt dans les modalités efficientes.
 
 Par exemple,
 
 confirmer
 
 son efficacité
 
 chez le déprimé. sait d’autant
 
 thymoanaleptique
 
 Cette efficacité
 
 plus grande déclenchants
 
 existentiels,
 
 accompagnée
 
 de signes
 
 neurovégétatifs
 
 visuelle du lieu d’une stimulation
 
 antérieu-
 
 rement répétée a pu être observée chez des nouveau-nés
 
 de quelques
 
 bilité au mouvement extéroceptifs pations
 
 entraîne
 
 l’humeur du déprimé. naleptique.)
 
 (Syn. thymoa-
 
 : ce sont des positionnements
 
 Les antidépresseurs ensemble
 
 des pseudo-antici-
 
 avance sur la trajectoire
 
 de l’effet
 
 jours. La sensi-
 
 perçu par les organes en
 
 suivie par la cible,
 
 de substances
 
 le plan de leur structure leur effet biochimique.
 
 on n’a disposé pour traiter
 
 de poursuite
 
 sifs que du laudanum
 
 avances
 
 sont de très faible
 
 semblent
 
 d’abord
 
 perceptive
 
 amplitude
 
 et
 
 dues à un contrôle
 
 assuré du mouvement tion
 
 Mais ces
 
 propre.
 
 augmente
 
 mal
 
 L’anticipa-
 
 (morphine),
 
 amenant
 
 souffrance minaison
 
 la dépression,
 
 en amplitude,
 
 de l’épisode.
 
 contrairement
 
 syndromes
 
 qui l’accompagne
 
 par une évolution
 
 naturelle
 
 sion. Cependant,
 
 cette évolution
 
 à mesure
 
 que changent
 
 temps, comme des conduites
 
 au fur et
 
 les relations
 
 en témoignent
 
 au
 
 née peut durer plusieurs
 
 l’évolution
 
 d’attente au long de l’enfance
 
 et les inhibitions
 
 de réponse. Elle est un cri-
 
 tère de la constance de position. L’anticipation comprendre
 
 cognitive, les systèmes
 
 tion qui sous-tendent peut
 
 prendre
 
 figurale
 
 de
 
 de transforma-
 
 le flux de la réalité,
 
 plusieurs
 
 formes.
 
 Elle est
 
 quand elle est faite d’images men-
 
 tales préfigurant d’objet,
 
 qui permet
 
 par exemple des positions
 
 soit en fonction
 
 d’un mouvement
 
 propre du sujet, soit en fonction vement de l’objet. un mobile
 
 La position
 
 d’un mouqu’atteindra
 
 à l’issue d’un mouvement
 
 com-
 
 suicidaire avant
 
 des difficultés chez l’adulte.
 
 des exemples variés
 
 qui subsistent L’anticipation
 
 à cet égard cognitive
 
 peut
 
 sponta-
 
 années et le risque
 
 Guerre
 
 mondiale,
 
 électrique
 
 (électrochoc
 
 a-t-il
 
 transformé
 
 sur le trouble
 
 l’on appelle
 
 l’électrochoc,
 
 que
 
 électronarcose,
 
 est
 
 le plus efficace et, prodangereux
 
 dépressifs.
 
 Malheureusement,
 
 contraignante
 
 notionnelles,
 
 ment de type opératoire thétique,
 
 d’un concret
 
 tel qu’on peut l’observer
 
 conservations
 
 raisonnedans les
 
 d’ordre. H. B.
 
 Dans l’étude expérimentale traditionnelle de la mémoire par coeur, méthode, due à H. Ebbinghaus, qui
 
 antidépresseur
 
 clique,
 
 prototype
 
 de l’autre
 
 d’antidépresseurs,
 
 fut intro-
 
 l’imipramine,
 
 grande famille
 
 duit en thérapeutique. thétiser
 
 tricy-
 
 On souhaitait
 
 un analogue
 
 syn-
 
 des neuroleptiques.
 
 Le Suisse Kuhn, chargé des essais cliniques, reconnut
 
 l’inefficacité
 
 les schizophrènes. nouveau ginale
 
 produit
 
 de l’imipramine
 
 Il eut l’idée d’essayer le dans une indication
 
 : la dépression,
 
 ne disposait
 
 chez
 
 pour
 
 laquelle
 
 pas de traitement
 
 de l’électrochoc.
 
 se montra
 
 efficace sans que l’on ait à redouter I.M.A.O.
 
 dangereux
 
 Contrairement
 
 chimique
 
 autant
 
 qu’avec les
 
 aux I.M.A.O.,
 
 par un mécanisme
 
 qui
 
 d’action
 
 les antidépresseurs
 
 cliques sont caractérisés
 
 on
 
 en dehors
 
 L’imipramine
 
 d’effets secondaires
 
 ori-
 
 tricy-
 
 par leur structure
 
 à trois cycles aromatiques.
 
 non antidépresseurs
 
 à titre dites
 
 comme
 
 tiques phénothiaziniques ment la même structure
 
 de tricy-
 
 les neurolep-
 
 possédant égaletricyclique.
 
 trop
 
 des dépri-
 
 CLASSIFICATION
 
 On peut classer les antidépresseurs chimique
 
 DES PREMIERS
 
 en trois
 
 tricycliques,
 
 teurs de la monoamine-oxydase et les antidépresseurs
 
 presque simul-
 
 selon
 
 groupes
 
 :
 
 les inhibi(I.M.A.O.)
 
 non tricycliques
 
 non
 
 I.M.A.O.
 
 les chefs de file des deux princid’antidépresseurs
 
 zide et l’imipramine. D’)
 
 Peu après, le premier
 
 son effet
 
 ANTIDÉPRESSEURS
 
 pales familles ANTICIPATION (MÉTHODE (angl. Method of Anticipation)
 
 antidépresseur.
 
 les antidépresseurs
 
 tanément
 
 supposé de leur effet
 
 d’autres composés
 
 une méthode
 
 En 1957 ont été découverts
 
 dont le
 
 dans la fente synaptique.
 
 nis par le mécanisme
 
 leur formule
 
 ou hypo-
 
 sérotonine),
 
 généralement
 
 pour la majorité
 
 DÉCOUVERTE
 
 (nora-
 
 cliques imipraminiques,
 
 més.
 
 LA
 
 cérébrales
 
 des états
 
 aussi se passer d’images et résulter de mises en relation
 
 par
 
 de parler
 
 de séances d’électronarcose représente
 
 du groupe
 
 Il serait plus rigoureux
 
 et la poursuite
 
 », à un rythme
 
 L’iproniazide,
 
 Les composés de ce groupe sont donc défi-
 
 biochimique,
 
 le moins
 
 « d’entretien
 
 actif
 
 proprement
 
 bablement,
 
 mensuel,
 
 des dépres-
 
 responsable
 
 la destruction
 
 dopamine,
 
 générale et aux cura-
 
 désormais
 
 pas durable
 
 des amines
 
 sont définis
 
 rapide,
 
 devenu le traitement
 
 oxydation
 
 dit.
 
 de l’humeur
 
 d’action
 
 au choc
 
 d’un traitement
 
 Grâce à l’anesthésie risants
 
 aux
 
 ou sismothérapie),
 
 le pronostic
 
 sions. On disposait
 
 préventif
 
 N. Shepard fournissent
 
 vers la rémis-
 
 de choc, et en particulier
 
 fixe ne sont pas reliées d’emblée
 
 mentales étudiées par R.
 
 est caractérisée
 
 méthodes
 
 n’est
 
 chez l’en-
 
 En effet,
 
 reste très élevé. Aussi le recours,
 
 la Seconde
 
 plexe et l’image qu’en aura un observateur fant. Les rotations
 
 psychiatriques,
 
 la ter-
 
 à d’autres
 
 et en durée, avec l’âge, et la mobilisation se transforme
 
 de la
 
 en attendant
 
 spontanée
 
 empêche
 
 taux augmente
 
 une sédation
 
 du patient
 
 (I.M.A.O.),
 
 sur
 
 de T. Sydenham
 
 firent
 
 de la monoamine-oxydase
 
 hétérogènes
 
 les états dépres-
 
 et
 
 de nos jours,
 
 enzymatique
 
 des inhibiteurs
 
 drénaline,
 
 Pendant longtemps,
 
 retenue
 
 tous les médicaments
 
 un et de
 
 américains
 
 antidépresseur.
 
 constituent moléculaire
 
 qu’on a pu détecter au cours d’une activité chez le nouveau-né.
 
 encore
 
 n.m. (angl. Antidepressant)
 
 d’inverser
 
 que la dépres-
 
 sans facteurs
 
 d’une inhibition
 
 qui a la capacité
 
 apparais-
 
 sion était de type « endogène », survenant
 
 ANTIDÉPRESSEUR
 
 Substance
 
 de
 
 structure voisine, l’iproniazide, sur les souris rendues inertes par la réserpine, put
 
 comme
 
 une anticipation
 
 notant
 
 antituberculeux
 
 l’hypothèse,
 
 par appren-
 
 été
 
 médicament
 
 N. S. Kline,
 
 autour
 
 mois. Toutefois,
 
 avaient
 
 en pneumologie.
 
 marqués. Les chercheurs
 
 3e
 
 J.
 
 dès 1952, l’action
 
 elles se mettent en place, après la naissance, du
 
 (G. Buisson,
 
 à remarquer,
 
 antituberculeux
 
 on l’a parfois appelée aussi méthode de souf-
 
 stimulus,
 
 celui-ci
 
 ment corporel
 
 sera l’élément suivant au moment on lui présente un stimulus.
 
 est attestée
 
 dans la direction
 
 ou d’un
 
 Ȉ
 
 de dire quel
 
 couples de mots ou avec des listes entières ;
 
 d’une position
 
 locale ou générale,
 
 et qui
 
 au sujet
 
 Les psychiatres
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 enrichies de nombreux sont apparus
 
 : l’ipronia-
 
 Ces familles
 
 se sont
 
 composés. Plus tard
 
 de « nouveaux
 
 antidépres-
 
 Les antidépresseurs
 
 Dérivés de l’imipramine. diffèrent
 
 chaîne latérale. de l’imipramine,
 
 beaucoup
 
 la clomipramine.
 
 leur structure.
 
 sur le plan de
 
 Les tricycliques
 
 entre eux par la structure
 
 seurs », molécules de deuxième génération, plus hétérogènes
 
 tricycliques
 
 Certains
 
 de leur
 
 sont très proches
 
 comme la désipramine Ce dernier
 
 et
 
 antidépres-
 
 seur est devenu le composé de référence en 59
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 Europe, particulièrement
 
 en France. Il n’est
 
 ne serait cependant
 
 pas comparable
 
 pas encore commercialisé
 
 aux États-Unis
 
 des I.M.A.O.
 
 traditionnels.
 
 (1989)
 
 dans les essais
 
 Les I.M.A.O.
 
 classiques
 
 et les Américains,
 
 comparatifs
 
 de nouveaux
 
 se réfèrent
 
 surtout
 
 miprimine,
 
 antidépresseurs,
 
 à l’imipramine.
 
 couramment
 
 Nord-Américains, latérale correspondant sédatif,
 
 à un neuroleptique
 
 ses propriétés
 
 son pouvoir
 
 d’assoune chaîne
 
 la lévomépromazine,
 
 querait
 
 par les
 
 a l’originalité
 
 ce qui expli-
 
 sédatives ajoutées à
 
 ce groupe
 
 On trouve dans
 
 l’amitriptyline, sédatives
 
 dépressive
 
 égale à celle de l’imipramine.
 
 Certains
 
 à une activité
 
 composés
 
 triptyline,
 
 antidépressive
 
 (nor-
 
 ont une action
 
 à
 
 Dans ce groupe,
 
 la doxé-
 
 anxiolytiques
 
 faible dose et des propriétés
 
 antidépressives
 
 à
 
 nialamide
 
 ment tranquillisante
 
 est égale-
 
 à faible dose et antidé-
 
 pressive à dose élevée.
 
 commercialisés
 
 - composés
 
 non hydraziniques
 
 promine
 
 I.M.A.O).
 
 (
 
 L’amoxapine
 
 tient à cette famille
 
 qui comprend
 
 neuroleptique,
 
 la loxapine.
 
 les mêmes indications
 
 apparaussi un
 
 Employée
 
 que les tricycliques,
 
 avec les mêmes effets secondaires, pine a pu entraîner
 
 dans
 
 certains effets extrapy-
 
 de type neuroleptique.
 
 Amineptine.
 
 Composé
 
 nal par son effet sélectif l’amineptine
 
 origi-
 
 sur la dopamine,
 
 exerce un effet stimulant
 
 pelant celui des I.M.A.O.
 
 rap-
 
 Par ailleurs,
 
 pas comme l’imipramine
 
 secondaires
 
 elle
 
 d’effets
 
 Composés tétracycliques.
 
 Le modèle de ces
 
 substances
 
 aux tricycliques
 
 reste la maprotiline, sives authentiques.
 
 hété-
 
 ayant donné
 
 sur les récepteurs
 
 douée d’un effet
 
 neuronaux
 
 présynap-
 
 la
 
 tolérés.
 
 et que l’élec-
 
 ils sont généralement
 
 Leur mécanisme
 
 minergique
 
 mieux
 
 quemment veillance élevé
 
 sont
 
 utilisés
 
 contre-indiquées
 
 d’action
 
 monoa-
 
 expliquent
 
 niciens.
 
 Les I.M.A.O.
 
 que celui des premiers
 
 antidépresseurs.
 
 Ce
 
 permet ainsi de classer les nou-
 
 le nombre de leur éli-
 
 la prudence
 
 La viloxazine, nergique,
 
 de mécanisme
 
 la M.A.O.A.,
 
 suscitent
 
 rêt nouveau
 
 (toloxatone,
 
 des I.M.A.O.
 
 apparentée
 
 antidépresseur d’effets
 
 cependant
 
 d’une des un inté-
 
 moclobémide...).
 
 pas les effets secondaires en cas d’interac-
 
 tion avec des médicaments potentiellement
 
 (difficulté
 
 dangereux.
 
 ou des aliments Leur efficacité
 
 par les
 
 Les antidépresseurs
 
 entraîner un tremblement à parler),
 
 peuvent
 
 et une dysarthrie
 
 généralement
 
 et stimulant.
 
 ce qui permet composés
 
 a un effet
 
 Elle est dénuée
 
 des imipraminiques
 
 discrets.
 
 plutôt
 
 stimulants,
 
 fensine) de mécanisme
 
 ne doit pas traiter À dose massive
 
 propriété
 
 Dans le groupe très étudié des inhibiteurs
 
 en inhibant
 
 spécifiques
 
 des différentes
 
 de la séroto-
 
 la fluvoxamine,
 
 la médifoxamine
 
 des mécanismes
 
 d’action
 
 Certains
 
 la
 
 inhibait
 
 et des
 
 Deniker,
 
 après cli-
 
 selon leurs effets
 
 ont en commun,
 
 systèmes
 
 à des degrés divers,
 
 cer-
 
 :
 
 diminuaient
 
 que les
 
 le nombre
 
 postsynaptiques
 
 systèmes
 
 de de
 
 de neurotransmis-
 
 bêta-noradrénergiques sérotoninergiques. à cette diminution
 
 de récepteurs
 
 correspondrait
 
 des antidépresseurs.
 
 dans ces processus, sont en interaction.
 
 plusieurs Les résul-
 
 tats sont parfois contradictoires selon les méthodes d’observation (biochimie, électrophysiologie).
 
 thymoanaleptique
 
 redressent
 
 Dépassant leur but, ils peuvent
 
 entraîner
 
 une inversion
 
 d’entrée
 
 induire
 
 des « virages » thymiques
 
 tingue
 
 d’autres
 
 psychotropes
 
 rétablir
 
 aujourd’hui
 
 à plusieurs portes
 
 les antidépresseurs
 
 l’équilibre.
 
 à
 
 les dispouvant
 
 sans être de vrais antipar exemple).
 
 dans lequel
 
 viendraient
 
 de l’humeur, Cette capacité
 
 On s’oriente
 
 vers un modèle interactif
 
 l’humeur
 
 dépressive.
 
 (tranquillisants
 
 insuf-
 
 monoaminer-
 
 on a montré
 
 bien au délai d’action Cependant,
 
 ainsi d’un
 
 et jusqu’alors
 
 nécessaire
 
 Quel que soit leur type, les antidépresseurs
 
 dépresseurs
 
 disposerait
 
 récepteurs
 
 du nombre
 
 ANTIDÉPRESSEURS
 
 soulager le déprimé
 
 Le
 
 neuronaux
 
 deux grands
 
 présynap-
 
 dans la fente synaptique.
 
 antidépresseurs récepteurs
 
 que l’imisa
 
 Par ailleurs,
 
 et certains DES
 
 J. Glowinski
 
 augmentant
 
 sion : les récepteurs
 
 ou sédatif.
 
 par le neurone
 
 fisant, de neuromédiateurs giques.
 
 en
 
 de dégrada-
 
 la recapture
 
 stock plus important,
 
 originaux.
 
 : psychotonique
 
 euphorique.
 
 la
 
 (1964) ont montré
 
 cerveau du déprimé
 
 possèdent
 
 propose une classification
 
 qui devient
 
 en commun
 
 monoamines.
 
 concentration
 
 P. Kielholz,
 
 Les antidépresseurs
 
 in-
 
 des autres antidépresseurs
 
 ou la tianeptine,
 
 biochimiques,
 
 Action
 
 peuvent
 
 : les I.M.A.O.
 
 tique de la noradrénaline,
 
 GÉNÉRALES CARACTÉRISTIQUES
 
 par
 
 le taux de certaines
 
 commercialisés
 
 mécanismes
 
 tains effets caractéristiques
 
 ont
 
 la recapture
 
 et J. Axelrod pramine
 
 nou-
 
 des structures
 
 prédominants
 
 de suicide
 
 le processus oxydatif
 
 tion ; la majorité
 
 antidépresseurs,
 
 qu’on
 
 biochimique
 
 cérébrales
 
 daires repérés en pharmacovigilance.
 
 veaux
 
 (tentative
 
 d’augmenter
 
 inhibant
 
 en raison d’effets secon-
 
 et la fluoxétine.
 
 floue et
 
 par les imipraminiques.
 
 Les antidépresseurs
 
 efficacité
 
 citer
 
 vision
 
 les antidépresseurs
 
 monoamines
 
 on peut
 
 : sécheresse
 
 constipation,
 
 Action
 
 sérotoniner-
 
 de la recapture
 
 sont les effets atropi-
 
 chez les sujets prédisposés,
 
 gique, ont été retirés du marché malgré leur clinique
 
 le
 
 Deux
 
 dopaminer-
 
 (indalpine)
 
 lorsque
 
 risque de glaucome ou de rétention
 
 l’un (nomi-
 
 surtout
 
 artérielle
 
 duire des crises épileptiques.
 
 dans certaines
 
 des tricycliques.
 
 orthostatique
 
 niques, ou anticholinergiques
 
 exemple),
 
 de type atropinique,
 
 de l’utiliser
 
 et l’autre
 
 une hypotension
 
 de la pression
 
 urinaire
 
 aux bêta-bloquants
 
 secondaires
 
 et
 
 des monoamines,
 
 classiques
 
 ou causée par la maladie
 
 surtout
 
 noradré-
 
 des cli-
 
 dits « réversibles
 
 enzymes de dégradation
 
 neuroleptiques
 
 de la bouche,
 
 La sur-
 
 », plus spécifiques
 
 Ils n’entraînent
 
 fré-
 
 induite
 
 sujet se lève), plus rarement des bouffées de chaleur et des sueurs. Très caractéristiques
 
 est en règle plus spécifique
 
 (stimulant)
 
 médicamenteuses
 
 et la lenteur
 
 mination compétitifs
 
 60
 
 moins
 
 nécessaire,
 
 d’associations
 
 l’akinésie
 
 Le temps
 
 que les tricycliques. clinique
 
 seurs réduisent
 
 (chute
 
 (I.M.A.O.)
 
 Les I.M.A.O.
 
 les antidépres-
 
 entraînant
 
 latéraux de la monoamine-oxydase
 
 chez
 
 caces que les imipraminiques
 
 nique des antidépresseurs
 
 le flux de noradrénaline.
 
 le modèle
 
 Ils agissent sur le système neurovégétatif,
 
 Devant l’hétérogénéité
 
 comporte
 
 qui constitue
 
 preuve de leur efficacité. Sans être plus effi-
 
 ou en phase de développement,
 
 antidépres-
 
 Ce groupe
 
 la miansérine,
 
 Les inhibiteurs
 
 un ensemble
 
 de l’effet d’un neurolep-
 
 Chez l’Homme,
 
 de Parkinson.
 
 d’antidépresseurs
 
 comme
 
 dérivée d’un tranquil-
 
 lisant mais douée de propriétés
 
 tiques régulant
 
 non tricycliques
 
 comprend
 
 trazodone
 
 et de sécheresse des muqueuses.
 
 apparentées
 
 (électronarcose
 
 le plus classique d’effet antidépresseur
 
 non I.M.A.O
 
 nine,
 
 gênants à type d’hypotension
 
 également
 
 Les antidépresseurs
 
 gique,
 
 tricyclique
 
 parfois
 
 neurologique
 
 tique, la réserpine,
 
 : tranylcy-
 
 l’Animal.
 
 contreindications
 
 l’amoxa-
 
 Action
 
 en
 
 C’est l’inversion
 
 sans en posséder les propriétés,
 
 Dibenzo-oxazépines.
 
 jours,
 
 et cela quel que soit le type de
 
 (les deux seuls
 
 velles substances.
 
 La dibenzépine
 
 davantage,
 
 à quinze
 
 après
 
 : en particu-
 
 France en 1989) ;
 
 mécanisme
 
 à dose plus élevée. Dibenzépines.
 
 de dix
 
 se produit
 
 composé ou de traitement
 
 :
 
 classiques
 
 tronarcose,
 
 pine possède des propriétés
 
 artérielle
 
 I.M.A.O.
 
 rogène
 
 moins puissante.
 
 Dibenzoxépines.
 
 n’entraîne
 
 appartiennent
 
 ou hydrazides
 
 lier iproniazide,
 
 Ce groupe
 
 anti-
 
 de cette famille
 
 protriptyline)
 
 ramidaux
 
 - hydrazines
 
 qui associe des
 
 propriétés
 
 de l’humeur
 
 un délai
 
 antidépresseur.
 
 Dibenzo-cycloheptadiènes.
 
 L’inversion
 
 par exemple).
 
 La tri-
 
 employée
 
 cier au noyau de l’imipramine
 
 deux sous-groupes
 
 à celle
 
 UTILISATIONDES DEHORS
 
 EN
 
 DE LA DÉPRESSION
 
 Si les antidépresseurs des médicaments
 
 ANTIDÉPRESSEURS
 
 sont par définition de la dépression,
 
 ils
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 sont également cations.
 
 utilisés dans d’autres indi-
 
 On a d’ailleurs
 
 même
 
 critiqué
 
 d’antidépresseur,
 
 qui qualifie
 
 substances très différentes. ont peut-être, dépression,
 
 en dehors
 
 des
 
 Ces substances du champ
 
 des propriétés
 
 de méconnaître
 
 le terme
 
 de la
 
 que l’on risque
 
 en les désignant
 
 par un
 
 seul de leurs effets. Les antidépresseurs
 
 ont
 
 été utilisés :
 
 de schizophrénie l’élan
 
 sucrés, on a plutôt recours aux an-
 
 tidépresseurs mine,
 
 sérotoninergiques
 
 trazodone,
 
 tryptophane,
 
 fluoxétine).
 
 précurseur
 
 régulerait
 
 la consommation
 
 Dans les boulimies
 
 est dominé
 
 (déficit vital),
 
 Lorsque
 
 de l’humeur
 
 le tableau et perte de
 
 chimiothérapie
 
 la douleur chronique,
 
 cier à un antidépresseur
 
 l’alcool
 
 ou non aux neuroleptiques,
 
 Associés
 
 et le constant
 
 déprimés,
 
 molécules
 
 nouvelles
 
 maso-
 
 efficacité.
 
 Sur le plan
 
 efficaces
 
 enfermés
 
 dans des comportements
 
 chistes et pessimistes. On peut en rapprocher tion
 
 le délire
 
 de E. Kretschmer
 
 à lui-même,
 
 de son entourage)
 
 sont utilisés
 
 le
 
 : les tri-
 
 sensibles
 
 de concentration)
 
 aux I.M.A.O.
 
 dépresseurs
 
 et à certains
 
 stimulants
 
 (amineptine).
 
 même, les anciennes nelles, appelées
 
 anti-
 
 névroses
 
 aujourd’hui
 
 sessionnels-compulsifs,
 
 De
 
 obsessiontroubles
 
 ob-
 
 avec des doses élevées de clomipramine. clomipramine recapture
 
 inhibe
 
 La
 
 préférentiellement
 
 la
 
 de la sérotonine,
 
 neuromédiateur
 
 en jeu dans la pathologie
 
 obsessionnelle.
 
 Les nouveaux ninergiques
 
 antidépresseurs,
 
 séroto-
 
 purs, revendiquent
 
 la même
 
 les états
 
 hypocondriaques.
 
 Ces
 
 tableaux
 
 recouvrent
 
 dépressifs
 
 masqués par les plaintes
 
 tiques
 
 souvent
 
 incessantes
 
 des états
 
 des patients.
 
 somaIls sont
 
 alors sensibles aux antidépresseurs. C’est surtout
 
 les « troubles
 
 » (caractérisés
 
 paniques
 
 la répétition
 
 d’épisodes
 
 par
 
 aigus d’angoisse)
 
 que les antidépresseurs plus efficaces
 
 dans
 
 se sont
 
 révélés
 
 que les tranquillisants
 
 ben-
 
 zodiazépiniques
 
 classiques
 
 (Klein).
 
 composés
 
 (I.M.A.O.,
 
 imipramine)
 
 utilisés
 
 sont paradoxalement stimulants,
 
 des antidépresseurs
 
 ce qui a contribué
 
 les attaques de panique anxieux,
 
 sensibles
 
 tionnellement
 
 dépresseurs,
 
 à différencier
 
 des autres troubles
 
 aux substances
 
 tradi-
 
 sédatives et anxiolytiques.
 
 Dans certains boulimies
 
 Les
 
 troubles
 
 répondent
 
 alimentaires. parfois
 
 en dehors
 
 syndrome
 
 dépressif.
 
 consommé
 
 semble
 
 même
 
 Le type important
 
 de la recapture
 
 les
 
 de sé-
 
 ni
 
 donc avoir une acceptabilité
 
 plus rapide et/ mixtes
 
 avec d’autres comme
 
 sont par conséquent
 
 systèmes P,
 
 antidépresseur sélectivement
 
 du délai d’action (2 Cet effet
 
 du traitement,
 
 et d’une molécule
 
 c’est-à-dire
 
 situés sur le corps cellulaire
 
 l’origine
 
 les
 
 somatodendritiques
 
 sérotoninergique
 
 (
 
 P. Blier
 
 du
 
 du
 
 à évaluer
 
 que cette moléEn fait, la straté-
 
 5-HT1B.
 
 gie associant
 
 ISRS et antagoniste
 
 résultat
 
 n’a jusqu’alors
 
 réellement
 
 probant
 
 pour
 
 5-HT1A
 
 donné aucun - hormis
 
 dans
 
 une étude - et ce, en dépit de travaux
 
 pré-
 
 (réalisés en ouvert) prometteurs. réalisés chez l’animal
 
 ont per-
 
 raisons pour expli-
 
 1. Le pindolol examinée
 
 (Visken®),
 
 seule molécule
 
 à ce jour chez l’homme,
 
 antagoniste
 
 5-HT1A
 
 qui présente d’agoniste
 
 outre, il n’est pas spécifique
 
 à fortes
 
 partiel
 
 somatodendritiques
 
 mais agit éga-
 
 post-synaptiques.
 
 de ces effets et le blocage
 
 des récepteurs
 
 naptiques
 
 est donc susceptible
 
 pré- et post-syd’avoir
 
 opposée sur la transmission un effet
 
 exclu qu’il
 
 5-HT
 
 également
 
 à
 
 le délai néces-
 
 partiel vis-à-vis
 
 b-adrénergiques
 
 susceptible
 
 dans ses effets. En fait, le pinnon négligeable
 
 5-HT1B
 
 et il n’est pas
 
 exerce ses effets potentialisa-
 
 teurs sur la transmission
 
 sérotoninergique
 
 via ces récepteurs.
 
 identique
 
 selon les structures
 
 examinées (cortex,
 
 de projection
 
 hippocampe),
 
 à l’image
 
 saire à l’efficacité
 
 clinique
 
 de tout
 
 seurs correspond
 
 au temps nécessaire à la
 
 sion sérotoninergique,
 
 désensibilisation
 
 des récepteurs
 
 bal net là encore faible. Des particularités
 
 à détermi-
 
 ner : lorsque les patientes consomment
 
 des
 
 somato-dendritiques, essentielle
 
 dont
 
 5-HT1A
 
 la fonction
 
 est, en temps normal,
 
 de ralen-
 
 des effets propres
 
 pas
 
 aux antid’aliment
 
 des antidépres-
 
 de
 
 présente une acti-
 
 vité d’antagoniste/agoniste d’intervenir
 
 une
 
 net globalement
 
 faible, voire nul. Il convient
 
 des récepteurs
 
 ; en
 
 des récepteurs
 
 indistinct action
 
 est un
 
 2. L’effet « booster » n’est probablement
 
 NEURONE).
 
 et F. Artigas,
 
 de cette théorie,
 
 sachant
 
 pour les récepteurs
 
 bloquant
 
 5-HT1A
 
 toutefois
 
 dolol possède une affinité
 
 d’un
 
 (on parle d’antagoniste)
 
 selon
 
 et des
 
 » éventuelles
 
 signaler que le pindolol
 
 à l’heure
 
 récepteurs neurone
 
 dis-
 
 les récepteurs
 
 et d’entraîner
 
 être obtenu par l’asso-
 
 dès le début
 
 restent
 
 La combinaison
 
 que tente de
 
 des industriels
 
 « booster » pourrait
 
 qui possèdent 100635),
 
 lement sur les récepteurs
 
 par les in-
 
 à 4 semaines) des antidépresseurs. ciation,
 
 molé-
 
 orientée dans cette perspective.
 
 est la réduction
 
 des
 
 une affinité
 
 5-HT1A
 
 le fruit d’une
 
 En fait, un des défis majeurs actuelle
 
 de la
 
 la substance
 
 développés
 
 la plupart
 
 (WAY
 
 doses une activité
 
 et de noradréna-
 
 sélectifs et réversibles,
 
 etc.) actuellement dustriels
 
 (au
 
 à celle des ISRS, et faire
 
 (inhibiteurs
 
 de transmission,
 
 le fait
 
 quer cet échec apparent.
 
 efficacité. Les nouveaux
 
 cules interagissant
 
 Ces
 
 le plus sélectif
 
 mis d’avancer plusieurs
 
 classiques.
 
 antidépresseurs
 
 la preuve d’un délai d’action
 
 relever
 
 de la mo-
 
 (I.M.A.O.)
 
 de sérotonine
 
 encore
 
 cule possède également
 
 Les travaux
 
 antidépresseurs
 
 Ayerst,
 
 « booster
 
 100635
 
 ou des inhibiteurs
 
 ou d’une meilleure
 
 et d’un ISRS
 
 de cette transmission.
 
 5-HT1A
 
 chez l’homme
 
 Mais
 
 ne semble pas meilleure
 
 comparable
 
 5-HT1A
 
 essentiellement
 
 Les propriétés
 
 tricycliques
 
 moins)
 
 5-HT1B
 
 à ce jour
 
 liminaires
 
 En effet, Les
 
 de l’humeur,
 
 traitements
 
 (co-ad-
 
 antagoniste
 
 Wyeth
 
 que celle des antidépresseurs
 
 doivent
 
 d’un
 
 sont
 
 plus rapide
 
 Les futurs
 
 ; la combinaison
 
 chez l’homme,
 
 ont apporté un impor-
 
 oxydase
 
 de la transmission
 
 équipes de P. Blier et de F. Artigas.
 
 tant bénéfice en terme d’acceptabilité.
 
 recherche
 
 Dans les états anxieux.
 
 et très rapide
 
 ponible
 
 les modèles
 
 PERSPECTIVES
 
 de troubles
 
 line, I.M.A.O. Dans
 
 plus impor-
 
 l’antagoniste
 
 sur lesquelles
 
 (ISRS), dont le chef de file est la
 
 recapture
 
 efficacité.
 
 à une augmentation
 
 et d’un antagoniste
 
 WAY
 
 leur efficacité
 
 ainsi que l’association (ou 5-HT1B)
 
 laboratoires
 
 naissance aux hypo-
 
 chez
 
 5-HT1A
 
 travaux
 
 les antidé-
 
 A. G.
 
 (Prozac®),
 
 réalisés
 
 plus importante
 
 de la dépression.
 
 fluoxétine
 
 travaux
 
 montrent
 
 ministration)
 
 de
 
 de sérotonine.
 
 en tant
 
 biologiques
 
 noamine
 
 s’améliorent-elles
 
 tante
 
 est d’inhiber
 
 théorique,
 
 encore aujourd’hui
 
 sélectifs
 
 des (auto)ré-
 
 entraîne même une potentialisation
 
 se fondent
 
 rotonine
 
 sont
 
 De très nombreux
 
 aboutit
 
 ; le
 
 peut en fait
 
 de leur
 
 ont donné
 
 inhibiteurs
 
 par la psychasthé-
 
 5-HT1A
 
 témoignent
 
 presseurs
 
 En matière
 
 par la fatigue, l’indécision
 
 et les difficultés
 
 développement
 
 pharmacologiques,
 
 ET TENDANCES
 
 dominées
 
 nie (caractérisée
 
 chez
 
 en cas de réac-
 
 Dans certaines névroses. Les organisations
 
 la synthèse et la libération
 
 l’animal
 
 ») en
 
 situés sur la terminaison
 
 ISRS + antagoniste
 
 des thymoana-
 
 qu’outils
 
 tion hypersthénique.
 
 névrotiques
 
 subjec-
 
 à doses moyennes,
 
 associés à un neuroleptique
 
 les (auto)récepteurs
 
 sérotoninergique
 
 thèses monoaminergiques,
 
 (le sujet rapporte
 
 dans un sens persécutoire,
 
 comportement cycliques
 
 de rela-
 
 Il s’agit de
 
 de la narcolepsie...
 
 leptiques
 
 seurs à faible dose se sont montrés
 
 de la
 
 du crâne, du sevrage de
 
 La richesse des indications
 
 les antidépres-
 
 lorsque les patients apparaissent
 
 l’enfant,
 
 (effet « booster
 
 nerveuse, et dont la fonction
 
 liées ou non
 
 ou des opiacés, de l’énurésie
 
 le délai d’action
 
 être tenu avec un antagoniste
 
 autres patholo-
 
 du syndrome
 
 Il devrait donc
 
 même type de raisonnement
 
 noradrénergiques
 
 antidépressive.
 
 tif des traumatisés
 
 Dans les syndromes paranoïaques.
 
 bloquant
 
 plu-
 
 ont pu bénéficier
 
 moins efficaces. On tente alors de les assonon sédatif.
 
 des antidépresseurs
 
 de glucides.
 
 pathologies,
 
 à la dépression,
 
 s’avèrent
 
 être possible de raccourcir
 
 cepteurs 5-HT1B
 
 gies. Certaines
 
 sérotoninergique
 
 En effet, le
 
 (maprotiline).
 
 par l’athy-
 
 les neuroleptiques
 
 du neurone
 
 (on parle d’autorécepteurs).
 
 salées, on utilise
 
 tôt les antidépresseurs
 
 tir l’activité
 
 (fluvoxa-
 
 de la sérotonine,
 
 Enfin dans de nombreuses
 
 Dans la schizophrénie. mormie
 
 aliments
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 des ISRS sur la transmisd’où
 
 locales liées à une sensibilité du transporteur
 
 un effet glodifférentielle
 
 de la sérotonine
 
 et/ou à de 61
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 multiples HT1A)
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 régulations
 
 par les récepteurs
 
 pré- mais également
 
 tiques sont probablement
 
 (5-
 
 post-synap-
 
 en cause dans ces
 
 effets structures-dépendants. Par ailleurs,
 
 les groupes
 
 antécédents)
 
 de patients
 
 exa-
 
 différents
 
 à manier
 
 dopaminergique.
 
 car nécessitant
 
 bamazépine,
 
 Le valproate
 
 les crises partielles.
 
 de sodium
 
 est particulièrement
 
 l’effet « booster » des antagonistes
 
 les troubles
 
 sans doute qu’un qu’il reste à ca-
 
 ractériser.
 
 et la réduction dépresseurs et/ou
 
 du délai d’action est loin
 
 effet « booster la buspirone,
 
 d’être
 
 établie.
 
 Un
 
 agoniste partiel (molécule
 
 : cela montre
 
 antidépressives
 
 des récepteurs
 
 liées à la mise en
 
 5-HT1A
 
 dues à une action antagoniste synaptique,
 
 mi-
 
 que les propriétés
 
 putatives
 
 jeu des récepteurs
 
 peuvent
 
 être
 
 pré- ou post-
 
 à une action agoniste (post-sy-
 
 ?) ou à la combinaison
 
 Autrement
 
 5-HT1A
 
 » a même été observé avec
 
 mant l’effet de la sérotonine)
 
 naptique
 
 des anti-
 
 par les antagonistes
 
 5-HT1B
 
 5-HT1A
 
 d’efficacité
 
 dit, la question
 
 des antidépresseurs
 
 des deux.
 
 du délai d’action
 
 est loin d’être résolue. S. P.
 
 Bibliographie Deniker,
 
 P., 1987, Psychopharmacologie.
 
 médicaments Éditions
 
 Les
 
 et les drogues psychotropes,
 
 Paris,
 
 utilisé chez
 
 contre les absences du petit mal et caractériels.
 
 Les benzodiazé-
 
 G. D., Norman,
 
 1983, Drugs
 
 in Psychiatry
 
 Amsterdam,
 
 New York,
 
 Zarifian,
 
 T., Davies,
 
 Oxford,
 
 prescrites,
 
 en particulier
 
 clonazépam
 
 largement
 
 le clobazam,
 
 et le diazépam,
 
 réservé
 
 périodes de crises subintrantes mal. D’autres compléter tative.
 
 produits
 
 aux
 
 encore
 
 facilement
 
 et permet
 
 de médicament
 
 cas d’échec. Il semble en revanche
 
 en
 
 sage de
 
 s’en tenir, dans la mesure du possible, à la monothérapie, pendant
 
 en surveillant
 
 les premiers
 
 l’apparition
 
 de très près,
 
 des signes
 
 d’intolérance
 
 de surdosage.
 
 Et, lorsque
 
 médicaments
 
 antiépileptiques
 
 nécessaire
 
 dans certaines
 
 de comitialité,
 
 sur un certain
 
 nombre
 
 repose
 
 de médicaments
 
 qui ont une action essentiellement tomatique
 
 : empêcher
 
 la crise. Ils doivent
 
 être pris d’une manière continue malheureusement secondaires
 
 pas dépourvus
 
 gênants.
 
 Leur
 
 et surveillé
 
 des contrôles
 
 et ne sont d’effets
 
 emploi
 
 donc être adapté par le médecin malade
 
 symp-
 
 régulièrement
 
 doit
 
 à chaque (avec
 
 électroencéphalographiques
 
 périodiques). Le phénobarbital encore largement
 
 utilisé, sous forme d’une
 
 essentielle-
 
 précoces
 
 ou tardifs
 
 akinéto-hypertoet akinétiques.
 
 sont utilisés dans ces
 
 types d’effets
 
 secondaires,
 
 les effets hyperkinétiques l’akinésie
 
 de trois
 
 du système extrapyrami-
 
 peuvent
 
 même si
 
 tardifs
 
 requérir
 
 et surtout
 
 d’autres
 
 formes
 
 La classification
 
 sévères
 
 devra être
 
 des antiparkinsoniens
 
 Les antiparkinsoniens
 
 appartiennent
 
 trois familles
 
 :
 
 principales
 
 Dérivés du benzhydrol.
 
 niveau extrapyramidal. sédatifs, comme
 
 répétés.
 
 une action
 
 Certains
 
 par voie parentérale
 
 utilisée
 
 lors d’épisodes
 
 aigus, et la benzatropine,
 
 pine entraîne
 
 qui a la
 
 une sédation.
 
 La tropatéElle possède,
 
 comme les dérivés du benzhydrol,
 
 Dérivés
 
 qui s’oppose en et
 
 antihistaminiques
 
 se
 
 en cinq classes principales
 
 : les
 
 les éthylènediamines,
 
 les pipérozines,
 
 et les phénothiazines.
 
 les
 
 ou cyclizines,
 
 C’est dans cette der-
 
 et P. Decourt
 
 ont expérimenté
 
 une nou-
 
 velle molécule
 
 antihistaminique,
 
 la chlor-
 
 promazine,
 
 dont les effets sédatifs sont très
 
 importants
 
 sur le système nerveux
 
 Ce produit
 
 est devenu le premier
 
 roleptiques,
 
 utilisé
 
 central. des neu-
 
 en psychiatrie
 
 Harl, J. Delay et P. Deniker)
 
 (J. M.
 
 en 1951-1952. J. P.
 
 de la phénothiazine.
 
 ployés à l’heure
 
 actuelle,
 
 Substance Parkinson.
 
 qui
 
 Autres
 
 D’autres comme
 
 dégénérative
 
 substances
 
 ont
 
 été proposées
 
 antiparkinsoniens
 
 mais
 
 employées
 
 en psychiatrie
 
 rarement l’amantadine,
 
 agoniste
 
 qui a aussi été utilisé antiviral,
 
 comme
 
 sant la sécrétion
 
 la maladie
 
 de
 
 est la maladie central,
 
 par une disparition
 
 rones dopaminergiques. l’administration
 
 d’un
 
 du traitement
 
 précurseur
 
 d’une
 
 de
 
 qui stimule
 
 Inhibiting
 
 Factor), rédui-
 
 de prolactine
 
 responsable
 
 des aménorrhées-galactorrhées,
 
 observées
 
 également
 
 sous neuroleptiques.
 
 Ces deux
 
 composés
 
 sont couramment
 
 le traitement
 
 utilisés
 
 dans
 
 de la maladie de Parkinson. composés
 
 stimulants,
 
 en
 
 proprement
 
 secondaires
 
 provoqués
 
 est géné-
 
 première
 
 guère préconisés
 
 des effets
 
 par les neurolep-
 
 en raison
 
 ne sont plus des risques de
 
 résurgence délirante.
 
 On a souvent recours
 
 aux antidépresseurs
 
 psychotoniques
 
 praminiques
 
 imi-
 
 à faible dose.
 
 de la
 
 L’instauration
 
 dopaminergique
 
 précédée
 
 des neu-
 
 Elle bénéficie
 
 : la lévodopa.
 
 :
 
 médicament
 
 et la bromocriptine,
 
 le PIF (Prolactine
 
 restent
 
 dopaminergique
 
 nésie, qui reste le plus fréquent
 
 du système nerveux
 
 caractérisée
 
 ralement
 
 composés
 
 dits, ont été utilisés pour lutter contre l’aki-
 
 Drug)
 
 de Parkinson
 
 de
 
 sont peu stimulants.
 
 tiques. Les amphétaminiques
 
 La maladie
 
 em-
 
 ces composés
 
 dehors des antiparkinsoniens
 
 traite
 
 Moins
 
 structure proche des neuroleptiques phénothiaziniques (diéthazine, profénamine)
 
 De nombreux ANTIPARKINSONIEN n.m. (angl. Antiparkinsonian
 
 des pro-
 
 priétés anticholinergiques.
 
 nocive de l’histamine, dans les cas d’urticaire allergiques diverses.
 
 alkyamines,
 
 dys-
 
 anglo-saxons.
 
 Dérivés des dibenzothiazépines. J. P.
 
 sont plus
 
 l’étybenzatropine,
 
 faveur des psychiatres
 
 lier des dosages plasmatiques
 
 très fré-
 
 en plus de leur effet au
 
 médicamenteuses
 
 en particu-
 
 à
 
 (trihexiphénidyle,
 
 ont généralement
 
 toniques
 
 nécessitant
 
 D’emploi
 
 ces composés
 
 psychostimulante
 
 s’avérera
 
 cette surveillance
 
 éthalonamines,
 
 com-
 
 posés.
 
 encore plus étroite en raison d’interactions
 
 dopamine est le seul barbiturique
 
 trois
 
 de
 
 l’association
 
 nière classe que D. Bovet, P. Charpentier
 
 antiépileptique
 
 moteurs,
 
 tasikinésie),
 
 bipéridène)
 
 du corps cellulaire vers la périphérie (sens orthodromique).
 
 Le traitement
 
 ment au niveau
 
 ou
 
 regroupent
 
 Se dit de ce qui prévient ou arrête les crises épileptiques ou qui est employé pour traiter l’épilepsie.
 
 types de symptômes
 
 quent,
 
 mois du traitement,
 
 Direction de l’influx nerveux parcourant l’axone de la périphérie vers le corps cellulaire, à l’inverse du sens naturel de propagation, qui s’effectue
 
 ANTIÉPILEPTIQUE adj. et n.m. (angl. Antiepileptic)
 
 en effet être responsables
 
 qui n’est pas limi-
 
 Le choix est donc grand
 
 de changer
 
 le
 
 et à l’état de
 
 pourraient
 
 cette liste,
 
 Les médicaments
 
 G. S.
 
 peuvent
 
 Les antiparkinsoniens
 
 à l’action particulier d’affections
 
 ANTIDROMIQUE (CONDUCTION) (angl. Antidromic Conduction)
 
 Les neuroleptiques
 
 niques de type parkinsonien
 
 quelques
 
 Se dit d’un médicament
 
 Roche.
 
 des neuroleptiques.
 
 années
 
 depuis
 
 E., Lôo, H., 1982, les Antidépresseurs,
 
 Neuilly-sur-Seine,
 
 les effets secondaires
 
 anticonvulsivante,
 
 ANTIHISTAMINIQUE adj. et n.m. (angl. Antihistaminic)
 
 Elsevier.
 
 soniens pour corriger
 
 quillisants,
 
 une action
 
 agoniste
 
 ont recours aux antiparkin-
 
 (akathisie,
 
 B. (Eds),
 
 : Antidepressants,
 
 Les psychiatres
 
 dal : hyperkinétiques
 
 Marketing.
 
 Burrows,
 
 62
 
 pour
 
 anticho-
 
 ou par l’amantadine,
 
 pines, qui ont, en plus de leurs effets transont
 
 Quoi qu’il soit, l’augmentation
 
 active sur les diverses variétés
 
 prévenir l’enfant
 
 de déprimés
 
 La car-
 
 leurs
 
 sein d’une même étude, ce qui suggère que
 
 sous-groupe
 
 une surveillance
 
 surtout
 
 5-HT1A,
 
 par des substances
 
 linergiques
 
 de crises, est très employée,
 
 d’une étude à l’autre, voire au
 
 de traitement
 
 toïnes sont aussi très efficaces, mais difficiles
 
 (dans
 
 leur comorbidité,
 
 s’il est réel, ne concerne
 
 le soir. Les hydan-
 
 des taux sanguins assez rapprochée.
 
 minés sont probablement leur pathologie,
 
 seule prise quotidienne,
 
 phase
 
 La question
 
 des traitements
 
 Les antiparkinsoniens crits
 
 systématiquement
 
 neuroleptiques
 
 sont parfois à titre
 
 pres-
 
 préventif
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 lors d’un traitement attitude
 
 neuroleptique.
 
 est controversée
 
 trapyramidaux,
 
 bien
 
 Cette
 
 car les effets ex-
 
 que plus fréquents
 
 avec certains
 
 neuroleptiques
 
 se manifestent
 
 en moyenne
 
 incisifs,
 
 ne
 
 que dans 20 %
 
 des cas sur un plan clinique,
 
 alors que les
 
 antiparkinsoniens
 
 peuvent
 
 être à l’origine
 
 d’une
 
 iatrogène,
 
 particulière-
 
 pathologie
 
 donner.
 
 Car « les fous ont beaucoup
 
 choses à nous apprendre,
 
 A. G.
 
 traitent
 
 telles, et en font ainsi des
 
 seules leurs expériences
 
 psychoses chroniques,
 
 des schizophrénies.
 
 En revanche,
 
 le milieu
 
 peuvent
 
 formatrices
 
 et didactiques
 
 siècle. ANGLAISE
 
 L’ANTIPSYCHIATRIE
 
 Si le début de cette contestation raît dès 1957 avec le psychiatre
 
 appa-
 
 américain
 
 T. Szasz, qui met en doute la réalité maladie
 
 mentale,
 
 dont
 
 de la
 
 il fait un simple
 
 ont
 
 21, une unité de schizo phrènes
 
 doit
 
 A. Esterson
 
 le terme
 
 mouvement
 
 et R. Laing
 
 Anti-Psychiatry
 
 et le grand
 
 qui bouleversa
 
 Les premiers,
 
 qu’on
 
 la psychiatrie.
 
 ils ont poussé jusqu’au
 
 les conséquences
 
 d’une critique
 
 constam-
 
 ment refoulée par les psychiatres mêmes : la folie est un phénomène dont la définition et utilisée
 
 euxsocial
 
 est imposée par la société
 
 en vue de la relégation
 
 de cer-
 
 ou de les mettre,
 
 tout le moins,
 
 peu en péril
 
 nante ». Il y aurait donc, du psychiatre même
 
 dans la relation
 
 avec le malade
 
 mental,
 
 dans celle du psychanalyste
 
 l’analysé,
 
 une « hypocrisie
 
 autoprotectrice
 
 et
 
 avec
 
 confortable
 
 », une véritable
 
 et
 
 devraient
 
 donc
 
 attitude
 
 tout à fait différente
 
 donner
 
 la parole à ce dernier,
 
 d’humilité
 
 et de modestie,
 
 en quelque sorte le premier Pour Cooper oublier
 
 adopter
 
 une
 
 pour cela cette « frontière
 
 dépasser
 
 particulièrement
 
 qui sépare personnel
 
 santé et folie
 
 ». Mais,
 
 comme
 
 Cooper, « la réponse officielle
 
 et patient, le regrette
 
 fut loin d’être
 
 ». Et c’est en dehors des services qu’il
 
 conseille
 
 de fonder
 
 ces anti-
 
 comme il le fit lui-même
 
 cadre associatif de la Philadelphia
 
 trie, quitter
 
 les institutions
 
 ne
 
 Kingsley
 
 Hall,
 
 de la banlieue
 
 où séjournèrent
 
 Associa-
 
 centre
 
 commu-
 
 de l’Est londonien
 
 119 personnes
 
 du mouvement
 
 (de 1965 à
 
 antipsychiatrique
 
 Elle devait y poursuivre,
 
 anglais.
 
 aidée par le psy-
 
 à partir
 
 peintre
 
 qu’une étiquette pour
 
 en quelque
 
 élèves des schizophrènes et, pourquoi
 
 et y
 
 des fresques qu’elle
 
 de talent.
 
 réali-
 
 fécales, un
 
 Sa schizophrénie
 
 n’était
 
 que la société lui imposait
 
 faire taire,
 
 étouffer
 
 l’aide de la psychiatrie
 
 sa révolte,
 
 officielle,
 
 avec
 
 « toujours
 
 prête à faire violence à la folie » (Cooper).
 
 sorte les
 
 en payant son écot
 
 pas, les leçons qu’ils peuvent
 
 Laing
 
 d’une bouffée para-
 
 noïde aiguë, dont il s’était occupé tout au début de sa carrière. au patient
 
 Au lieu d’appliquer
 
 les traitements
 
 line, électrochocs de nombreuses
 
 classiques (insu-
 
 ou sédatifs), il avait passé heures
 
 avec lui.
 
 déliré avec lui, devenant ses projets terre,
 
 : attaquer
 
 Il avait
 
 son associé dans
 
 la Banque
 
 d’Angle-
 
 être Jules César, Hamlet et de sa compagnie,
 
 ou Robin
 
 le militaire
 
 entraînait
 
 antipsychiatrique
 
 la disparition
 
 contestation
 
 des divers
 
 antinosographique,
 
 tait cependant
 
 l’existence
 
 respecter
 
 abandonna
 
 la psychose
 
 sa solution
 
 c’étaient
 
 et l’internement
 
 il suffisait
 
 normale,
 
 qui
 
 vers la guérison
 
 à la fois les traitements qui provoquaient
 
 Il suffisait
 
 la chro-
 
 de suivre le malade
 
 sujets peuvent
 
 présenter
 
 aiguës,
 
 peut provoquer
 
 que cer-
 
 déli-
 
 sa vie normale. en elle-même
 
 et les moyens d’en guérir.
 
 l’évolution
 
 « un tournant
 
 la provoquer
 
 très
 
 favorable dans
 
 de la personnalité
 
 rait se demander
 
 Elle
 
 une expérience
 
 ». On pour-
 
 s’il ne faudrait
 
 pas parfois
 
 pour faire apparaître,
 
 derrière
 
 le faux self, ou soi artificiel (angl. False Self), le soi profond
 
 et authentique
 
 Self )
 
 Selon Laing (le Moi divisé),
 
 [
 
 SELF].
 
 (angl.
 
 Inner
 
 c’est là que se situerait
 
 l’intérêt
 
 états psychédéliques,
 
 de ces « voyages
 
 les appellent
 
 de certains
 
 les amateurs
 
 » de
 
 L.S.D. Et Laing réitère cette « invitation
 
 au
 
 voyage » dans son livre suivant, Politique de l’expérience, qu’on a pu considérer une véritable
 
 provocation
 
 La pathogénie
 
 comme
 
 à la toxicomanie.
 
 familiale
 
 Dans cette perspective, ont mis l’accent, de familles causalité
 
 liale du trouble eux de dénoncer
 
 le L.S.D.
 
 Ces
 
 le processus des relations
 
 voyages sont bons ou mauvais selon que le
 
 l’indiquent,
 
 milieu
 
 personnes,
 
 les favorise ou les contrarie.
 
 Les ser-
 
 mental.
 
 Il s’agissait
 
 une certaine
 
 pour
 
 conception
 
 psychophysique les recherches
 
 vers
 
 et historique
 
 qui
 
 à travers
 
 le jeu complexe
 
 interpersonnelles. « notre intérêt toujours
 
 sur une
 
 sociale et fami-
 
 dialectique
 
 s’est développé
 
 et Laing
 
 de leurs études
 
 essentiellement
 
 du malade et de diriger
 
 que
 
 Esterson
 
 de schizophrènes,
 
 voyages
 
 se change,
 
 et sociale
 
 à partir
 
 erronée de l’individualité
 
 avec des substances comme
 
 ses fantasmes
 
 porterait
 
 des crises
 
 véritables
 
 où l’esprit
 
 psychomimétiques
 
 dans sa il admet-
 
 dans son voyage. Laing admettait
 
 l’on
 
 dia-
 
 Au
 
 de « psychoses
 
 celles-ci,
 
 devait aller spontanément
 
 nicisation.
 
 anglais
 
 Laing ne lui
 
 de non-traitement,
 
 rants et fut apte à reprendre Ainsi,
 
 ras-
 
 donc aucune thérapeutique.
 
 bout de six semaines
 
 comme
 
 La métanoïa
 
 métanoïaques
 
 devenir
 
 atteint
 
 enrichissante,
 
 régression-renaissance,
 
 habiter
 
 diagnostics,
 
 vedette
 
 ou
 
 le cas d’un jeune mé-
 
 une longue
 
 psychotiques
 
 et ses
 
 psychiatrique
 
 jusqu’à son terme, géné-
 
 est même, ajoutait-il,
 
 La seule voie serait de vivre avec les fous : la psychiatrie
 
 non, se poursuive
 
 chiatre J. Berke, qui a raconté son histoire,
 
 tains
 
 nautés, désapprendre
 
 dans le
 
 1970), dont Mary Barnes, véritable
 
 plus croire aux progrès de la thérapeutique. avec eux, dans de petites commu-
 
 de la crise, qui ne serait
 
 fournissait
 
 puisque
 
 et hôpitaux,
 
 pour
 
 le fameux
 
 l’évolution
 
 tout ce qu’on a appris en psychia-
 
 temps dans un de ces anti-hôpitaux
 
 surante
 
 d’en
 
 donc
 
 il suffit qu’il soit mis quelque
 
 en 1965. Le plus célèbre de ces homes fut
 
 attitude
 
 et ses amis, il faudrait
 
 le sujet est
 
 des Bois. En dehors de son existence
 
 pour
 
 rôle.
 
 Lorsque
 
 tion, créée avec ses amis Esterson et Laing
 
 aiguës ». Mais,
 
 qui lui laisserait
 
 spirituelle.
 
 decin militaire,
 
 Il faut, bien entendu,
 
 s’ils veulent faite
 
 formation
 
 de
 
 de trans-
 
 soignants.
 
 gnostics de psychoses chroniques,
 
 psychiatres
 
 et qui a le sens de repentir,
 
 volontiers
 
 profonde,
 
 comme malade. Les
 
 dans les
 
 racontait
 
 Si le mouvement
 
 celui qui est considéré
 
 grec trouvé
 
 malades sont devenus, en quelque sorte, les
 
 complicité
 
 de sadisme, de
 
 mot
 
 sous une forme régressive.
 
 malité » exorbitante, une soumission servile à l’ordre établi et une méconnaissance teintée
 
 une métanoïa,
 
 ralement
 
 avec la société dans la défense d’une « nor-
 
 souvent
 
 s’y oppose.
 
 », les
 
 quelque
 
 sait au début avec ses matières
 
 de cette société dite « alié-
 
 à
 
 l’appa-
 
 Laing devait appeler cette crise, ce voyage,
 
 en métanoïa,
 
 car
 
 ses moyens d’existence
 
 et à l’institution et instruments
 
 ou
 
 de sacrifier
 
 devenir,
 
 émanations
 
 et médical
 
 tolérée en aucun milieu,
 
 qu’à condition
 
 tains « étiquetés fous », grâce au psychiatre psychiatrique,
 
 en fait que lorsque
 
 reil social, policier
 
 La catastrophe
 
 regret, mais aussi de conversion,
 
 les difficultés soignant,
 
 ne surviendrait
 
 Évangiles
 
 classiques éliminées
 
 bénéfique.
 
 institutionnel
 
 menaçante
 
 les
 
 est favo-
 
 révolutionnaire
 
 que le déroulement
 
 nautaire
 
 bout
 
 lorsque
 
 « il ne peut accéder à la réalité du groupe
 
 hôpitaux,
 
 D. Cooper,
 
 et les attitudes
 
 par le personnel
 
 un angle très philosophique
 
 parue en 1961, c’est aux Anglais
 
 de la
 
 Dans ce pavillon,
 
 éprouvées
 
 publics
 
 Foucault,
 
 londonienne.
 
 inversées. Malgré
 
 sir et le Mythe de la maladie mentale), et sous de la folie à l’âge classique de M.
 
 psychiatrique
 
 totalement
 
 favorable
 
 avec la fameuse
 
 comme
 
 des maladies,
 
 rable, ce voyage est une découverte plus profonde de soi-même avec un dynamisme
 
 été systématiquement
 
 « mythe » (dans ses ouvrages Douleur et Plai-
 
 Histoire
 
 pour
 
 À l’hôpital classique doit succéder l’« antihôpital ». Cooper relate l’expérience tentée
 
 les méthodes
 
 XIXe
 
 être véri-
 
 le futur antipsychiatre.
 
 banlieue
 
 du
 
 classiques,
 
 sur eux, mais aussi sur nous ». À la limite,
 
 dans un grand hôpital
 
 Mouvement, apparu au début des années 1960, d’interrogation critique remettant en cause la psychiatrie traditionnelle et la notion de maladie mentale, sur laquelle elle s’appuyait
 
 psychiatriques comme
 
 au pavillon ANTIPSYCHIATRIE n.f. (angl. AntiPsychiatry)
 
 vices et cliniques les considérant
 
 tablement
 
 non seulement
 
 L’anti-hôpital
 
 ment chez le sujet âgé.
 
 depuis le milieu
 
 de
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 Comme
 
 ils
 
 se porte sur les
 
 en relation
 
 avec nous 63
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 ou entre elles, et toujours contexte
 
 de leur groupe,
 
 vail, est d’abord inclure liaux
 
 à la lumière
 
 qui, dans ce tra-
 
 la famille,
 
 mais peut aussi
 
 les réseaux personnels des membres
 
 ture
 
 influences
 
 un champ
 
 d’interac-
 
 où les affrontements
 
 réciproques
 
 en fonction
 
 se trouvent
 
 de la proximité
 
 un face-à-face
 
 est
 
 par eux comme une « tex-
 
 relationnelle,
 
 tions concrètes
 
 que
 
 ». La famille
 
 et les majorés
 
 ». Nexus familial
 
 est le terme par lequel ils désignent structure
 
 nodale privilégiée
 
 un individu interactions
 
 cette
 
 qui permet
 
 de se comprendre
 
 festations Mais
 
 à
 
 dans ses
 
 familiales.
 
 comme
 
 considéré
 
 symptomatique
 
 que le
 
 cliniquement
 
 introduite
 
 les parents
 
 nie n’est que le résultat d’interactions
 
 impliqués
 
 dans la maladie
 
 psy-
 
 du milieu
 
 intéressés,
 
 sociofamilial.
 
 en particulier,
 
 dits « processuels », c’est-à-dire seraient,
 
 dans une perspective
 
 logique,
 
 les manifestations
 
 processus Bleuler.
 
 biologique
 
 à ceux qui psychobio-
 
 directes
 
 comme
 
 d’un
 
 l’a décrit
 
 E.
 
 Or, de tels symptômes,
 
 lorsqu’ils
 
 sont repris dans une perspective
 
 sociofami-
 
 liale, sortent
 
 du « réduit biologique
 
 apparaître
 
 comme
 
 une stratégie
 
 par le sujet pour arriver
 
 inventée
 
 à vivre dans ce qui
 
 est devenu pour lui invivable. donc,
 
 » pour
 
 On retrouve
 
 dans la symptomatologie
 
 bleulé-
 
 situation
 
 de survie. Et, à ce
 
 que l’illusion
 
 Raison et Violence
 
 de la philosophie le philosophe
 
 à décrire
 
 familiale
 
 tionnels
 
 nuant
 
 et les idéologies attenantes,
 
 conti-
 
 à faire leur oeuvre, risquaient
 
 au plus de leurrer de trouver
 
 le thérapeute
 
 des « facteurs bien acquis
 
 tout
 
 trop pressé
 
 pathogènes
 
 maintenant
 
 ». Et que le
 
 développé
 
 par l’équipe
 
 », introduit Wynne,
 
 et ne constituent
 
 et
 
 n’ont
 
 rien
 
 pas des fac-
 
 et diagnostiques
 
 suffisants
 
 de Freud,
 
 seulement
 
 d’engagement
 
 anglais une
 
 héroïque
 
 dans le paradoxe
 
 d’une
 
 société
 
 avec toutes
 
 aliénante
 
 et l’orthodoxie
 
 qu’elle
 
 exige,
 
 associée
 
 au malade
 
 serait
 
 le personnage
 
 face de ladite finalement révolte
 
 société
 
 malade.
 
 plus facile de celui-là
 
 mental
 
 qu’à
 
 à
 
 qui
 
 ne réprime
 
 et la sexualité, de transcen-
 
 écrit-il,
 
 de
 
 a perdu
 
 ditionnelle, propre
 
 tra-
 
 on risque sans doute d’oublier en cause et d’analyser
 
 agressivité.
 
 En orientant
 
 sa
 
 celle-ci
 
 qui dit que
 
 sont des machines comme
 
 un grand
 
 qui dit qu’il
 
 est «dépersonnalisé»
 
 est une machine
 
 selon le jargon
 
 Un homme
 
 prétend
 
 respecté.
 
 que sa blancheur
 
 de cancer risque de se faire interner. en retournant abondait
 
 dans le même
 
 « La santé mentale c’est la possibilité
 
 solution
 
 n’étaient
 
 les antipsychiatres
 
 pas les premiers
 
 la pathologie États-Unis,
 
 mentale
 
 à avoir
 
 étudié
 
 intrafamiliale.
 
 Aux
 
 on s’intéressait
 
 pathologie
 
 anglais
 
 pour tout être humain
 
 trouvant
 
 jusqu’au
 
 dans cette voie-là
 
 à la préservation
 
 Il n’y avait donc rien d’étonnant
 
 beaucoup
 
 à la
 
 familiale.
 
 T. Lidz et son groupe
 
 lui avaient appliqué
 
 une lecture psychana-
 
 lytique
 
 en privilégiant
 
 en montrant entre
 
 et
 
 consciente
 
 et la recherche
 
 « futur schizophrène
 
 des rôles
 
 par l’enfant
 
 » de sa propre identité
 
 dans le développement de sa personnalité. L. C. Wynne avait de son côté repéré, dans la psychopathogenèse zophrénie,
 
 des relations
 
 pseudo-mutualité Mais c’était Alto
 
 familiale
 
 particulières
 
 surtout
 
 l’école
 
 en étudiant
 
 communication. avaient
 
 de
 
 J. Weakland
 
 en particulier
 
 dite « de Palo une certaine
 
 les troubles utilisé
 
 » contre
 
 Dialectics
 
 of Liberation
 
 tration,
 
 la société.
 
 autant
 
 supprimé
 
 de la
 
 le problème
 
 On s’est seulement
 
 conscience.
 
 cette bonne
 
 conscience
 
 entretient
 
 ainsi
 
 motivations
 
 du psychiatre
 
 de sa culpabilité
 
 de soi. On
 
 jouer
 
 un
 
 à côté de Laing
 
 per, H. Marcuse
 
 On
 
 et de Coo-
 
 et S. Carmichael.
 
 Le but
 
 de ce congrès était de « créer une véritable conscience
 
 révolutionnaire
 
 l’idéologie
 
 en joignant
 
 à l’action sur les individus
 
 et sur
 
 les masses sans refuser la violence si elle est nécessaire
 
 ». Mais il semble
 
 n’y ait pas toujours pectives
 
 que l’accord
 
 été complet, et les pers-
 
 de Carmichael
 
 y sont nettement Les
 
 agressivité
 
 antipsychiatres
 
 un
 
 inconsciente
 
 ler en s’identifiant être le psychiatre
 
 qu’il s’agit d’annu-
 
 à l’agressé (là où peutde tradition
 
 s’identifierait
 
 en toute relation
 
 de pouvoir,
 
 par l’engagement
 
 antipsychiatrique
 
 ici négativée » (J. L.
 
 Faure et E. Ortigues).
 
 que Laing
 
 de pouvoir
 
 à préciser,
 
 de la philosophie
 
 théde
 
 mais qui
 
 cas être escamotée.
 
 et Cooper
 
 vraiment
 
 Et
 
 sartrienne
 
 se sont efforcés
 
 de
 
 semblaient
 
 somme
 
 toute
 
 pratiquer
 
 assez utopique.
 
 de voir un acte de résistance
 
 sérieux et dangereux
 
 comme ils le conseillaient, bliquement venaient
 
 une relation
 
 c’est à partir
 
 anarchisme Il est difficile
 
 en tout cas de son malade
 
 rapeutique,
 
 pouvait
 
 très éloquents.
 
 en
 
 plus « engagées » que celles de Cooper.
 
 la notion
 
 de la commu-
 
 tenu à Londres
 
 1967 sont sur ce point y retrouvait,
 
 on the
 
 et à tirer son épingle du jeu, voire « de son
 
 Il y a en effet, dans toute institution
 
 G. Bateson, qui avait
 
 des
 
 en la matière,
 
 et D. Jackson de
 
 de la
 
 à rester du « bon côté »
 
 ne peut en aucun
 
 intrafamiliale
 
 n’est rien d’autre
 
 sa méconnaissance
 
 par l’ethnosociologue nication
 
 on sait que
 
 méconnaissance
 
 plus en plus difficile
 
 que cette distorsion
 
 Or,
 
 False Self, siège par excellence
 
 double lien (angl. Double Bind) introduite montré
 
 acheté à bon marché
 
 une bonne qu’un
 
 de la folie.
 
 ainsi
 
 révolu-
 
 malades
 
 à l’agresseur),
 
 et de pseudo-hostilité.
 
 » qui avait déjà acquis
 
 renommée
 
 de la schi-
 
 anglais s’engagent
 
 Et les actes du Congress
 
 plus profonde
 
 le décalage qui apparaîtrait
 
 l’organisation
 
 parentaux
 
 la triade familiale
 
 à ce que
 
 tionnaire.
 
 Mais on n’a pas pour
 
 une
 
 du moi. »
 
 en face de lui. On est « avec les l’adminis-
 
 coeur
 
 au coeur de toute
 
 angoisse
 
 l’institution,
 
 sens :
 
 telle que je la conçois,
 
 de la folie, mais encore révolution
 
 » Et
 
 le concept de santé
 
 dans une voie authentiquement
 
 Sans doute,
 
 qui
 
 est une forme
 
 on supprime
 
 de ces thèses.
 
 peut
 
 Un homme
 
 a été une illustration
 
 de sa propre
 
 que
 
 les nègres sont une race inférieure
 
 les antipsychiatres
 
 le problème
 
 psy-
 
 qui proclame
 
 dans le même sens que celle du malade,
 
 cinématographique
 
 peut être
 
 scientifique.
 
 de s’engager non seulement la psychiatrie
 
 qui préfère
 
 qui déclare qu’il
 
 mentale,
 
 à la
 
 pas
 
 mal. Un homme
 
 Mais il est
 
 celle-ci. trop critiquer
 
 à montrer
 
 est nor-
 
 Cooper,
 
 la réforme
 
 Sans négliger
 
 que communiste
 
 sain en
 
 de participer
 
 et, plus spé-
 
 être mort plutôt
 
 être largement
 
 les normes
 
 une identification finalement
 
 à une
 
 et rela-
 
 il cherchait
 
 dance. « Un homme,
 
 chiatrique.
 
 à se situer
 
 opposition
 
 mentale
 
 les instincts
 
 Un homme
 
 et politique
 
 Déjà
 
 divisé, Laing tenait
 
 que la société occidentale
 
 considéré
 
 sorte
 
 et martyr.
 
 la schizophrénie.
 
 les hommes
 
 Il y avait dans ce mouvement
 
 de
 
 son âme est fou. Un homme
 
 de la schizophrénie.
 
 Antipsychiatrie
 
 la Critique
 
 mais aussi toutes les formes
 
 lien comme le concept de « dévia-
 
 de la communication
 
 un
 
 existentiels
 
 la maladie
 
 l’oeuvre
 
 de Sartre,
 
 Questions de méthode
 
 en termes
 
 cialement,
 
 :
 
 leur a écrit
 
 Ils y étudient
 
 en 1960, dans le Moi
 
 d’avoir trouvé
 
 consacré
 
 titre, le film Family Life (1972), de K. Loach, exemplaire
 
 64
 
 d’ailleurs
 
 intitulé
 
 une décennie
 
 une clef. Tous ces systèmes d’organisation
 
 de se mettre
 
 à une véritable
 
 ont
 
 et Saint Genet, comédien
 
 tions familiales
 
 sorte
 
 un ouvrage
 
 avant-propos.
 
 de leur enfant
 
 que ces modèles ne donnaient
 
 À vouloir
 
 en quelque
 
 Ils lui
 
 des psychiatres
 
 maintenant
 
 rienne, les manifestations d’une adaptation dramatique d’un individu que les condiacculent
 
 que la majorité
 
 la raison dialectique,
 
 Ils se sont
 
 aux symptômes
 
 l’oeuvre de Sartre, beaucoup
 
 pour lequel
 
 finalement
 
 liales. Cette maladie ne serait donc qu’une création
 
 mieux
 
 Ils connaissaient
 
 qu’au niveau de ce modèle. Et on sait bien
 
 teurs prédictifs
 
 fami-
 
 n’étant
 
 politiquement.
 
 français.
 
 au départ de la
 
 recherche,
 
 de spécifique
 
 de la schizophré-
 
 à
 
 familiales
 
 chosociologique
 
 tion
 
 montrent
 
 les relations
 
 que selon l’hypothèse
 
 au sein desquelles se trouvait et Laing
 
 l’analyser
 
 parfaitement
 
 ne cherchaient
 
 du schizophrène
 
 double
 
 comportement
 
 intelligibles
 
 il semble un schizoph-
 
 et les mani-
 
 de la schizophrénie.
 
 tous ces travaux
 
 Dans leur recherche faite sur onze familles rène, Esterson
 
 cliniques
 
 aux chercheurs
 
 des êtres dans
 
 permanent
 
 rôle essentiel dans l’apparition
 
 rendre
 
 s’ils ont
 
 sur les éléments
 
 nous essayons d’éclairer ainsi considérée
 
 extrafami-
 
 de la famille
 
 une portée spécifique
 
 du
 
 le quotidien d’acheter
 
 journaux.
 
 dans le fait,
 
 de déchirer « pourri
 
 » qu’ils
 
 chez leur marchand
 
 Et le mouvement allait
 
 anglais
 
 utopie.
 
 Ce ne fut pas le cas en Italie,
 
 parition
 
 sombrer
 
 dans cette
 
 allait conduire
 
 de l’asile, en étant d’ailleurs
 
 plus politisé.
 
 de
 
 antipsychia-
 
 trique
 
 même mouvement
 
 pu-
 
 où le
 
 à la disencore
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 tants de Psychiatria
 
 ITALIENNE
 
 L’ANTIPSYCHIATRIE
 
 En Italie, même si F. Basaglia n’aimait tellement
 
 qu’on l’appelle
 
 mouvement
 
 antipsychiatre,
 
 allait conduire
 
 radicale : la suppression 1904 régissant
 
 pas le
 
 de la vieille
 
 l’internement
 
 loi de
 
 sur un mode
 
 transformation
 
 à Gorizia
 
 Ey, que d’une négation
 
 des asiles, ne s’y opposa alors un débat assez hou-
 
 leux entre opposants à ces réformes partisans,
 
 au détriment
 
 des malades,
 
 qui
 
 la structure
 
 soi-
 
 plus toujours
 
 fonctionnement
 
 où il a appris
 
 d’une communauté
 
 institue
 
 le
 
 thé-
 
 les fondements
 
 d’une
 
 dans son établisse-
 
 ment psychiatrique.
 
 Avec une équipe à la
 
 et très politisée,
 
 il se rend
 
 reste-t-il
 
 pratiques,
 
 notamment
 
 des psychiatres
 
 matique
 
 antipsychiatrique
 
 sanitaire
 
 de sectorisation
 
 psychiatrique
 
 quelques
 
 que l’internement
 
 graver
 
 la maladie
 
 « libérer
 
 mentale.
 
 les malades
 
 surtout
 
 ne peut qu’agIl faut
 
 ». Ceux-ci
 
 des « déshérités
 
 d’accueil
 
 donc
 
 seraient
 
 et de liberté
 
 sous ses diverses
 
 théoriques
 
 Et finalement,
 
 donnés,
 
 le « travail communautaire
 
 »
 
 L’asile
 
 tielle,
 
 c’est peut-être tacitement, Comme
 
 en psylieux
 
 que
 
 sans médiation
 
 -, on voit se reproduire
 
 même situation
 
 que dans une famille.
 
 livre l’Institution
 
 Basaglia à la fin de son
 
 en négation (1968). Basa-
 
 glia refuse donc le perfectionnisme nique de la communauté travail
 
 thérapeutique,
 
 du
 
 de secteur et même des différentes
 
 approches nelle.
 
 tech-
 
 de psychothérapie
 
 Pour
 
 institution-
 
 lui, l’amélioration
 
 niques psychiatriques
 
 ne fait que reculer le
 
 moment où doit disparaître l’asile. Car « la science est toujours au service de la classe dominante
 
 » et l’hôpital
 
 psychiatrique
 
 qu’une des « institutions lesquelles
 
 celle-ci
 
 n’est
 
 de violence » par
 
 dirige
 
 et opprime
 
 les
 
 masses. Et le psychiatre italien, suivi par le mouvement « Psychiatria Democratica », fondé par ses élèves, préconise
 
 un renver-
 
 sement de toutes les institutions triques
 
 : « la négation
 
 à l’intérieur mique
 
 psychia-
 
 (des institutions),
 
 comme seule modalité
 
 actuellement
 
 viable
 
 affirmation
 
 en lui toute
 
 et l’utilise
 
 der ». Ce mouvement
 
 sés par l’idéalisation pour
 
 nouvelle
 
 comme
 
 à la famille
 
 et rêvent
 
 ne
 
 d’antipsychiatrie
 
 un « lieu
 
 dit
 
 (l’École
 
 expérimentale
 
 Marne),
 
 M. Mannoni
 
 compte
 
 à tenir
 
 Hall, mais psycha-
 
 de faire de l’expérience
 
 britannique. à Paris, les 21 et 22 octobre
 
 la première
 
 antipsychiatrie
 
 sur les psychoses fois en France,
 
 prirent
 
 toujours
 
 mourir ils appa-
 
 avec les chercheurs
 
 de
 
 les pionniers
 
 des thérapies
 
 familiales.
 
 nous a surtout
 
 mis « en garde de façon salu-
 
 taire contre
 
 L’antipsychiatrie
 
 une certaine
 
 la psychiatrie
 
 chosification
 
 », représentée
 
 dans l’utilisation
 
 d’un
 
 en particulier
 
 « DSM III révisé » athéo-
 
 d’asepsie des
 
 qui, après tout, un symptôme
 
 cusant ainsi « une conception
 
 holistique
 
 de
 
 Et qui
 
 que ce que l’on désigne ha-
 
 bituellement
 
 par psychose chronique une simple
 
 état psychotique où il aurait
 
 ne
 
 » en ré-
 
 et de sa folie » (Koupernik).
 
 pas parfois
 
 de
 
 n’est
 
 complication
 
 d’un
 
 aigu, d’un moment
 
 fécond
 
 fallu permettre
 
 à la personne
 
 d’accéder au statut de sujet, en respectant
 
 1967, un colloque
 
 pas être suivi par tous les professionnels de la psychiatrie, en Italie. Il fut, au contraire,
 
 de schizophrènes,
 
 comportementalistes,
 
 On peut dire
 
 que la théorie
 
 qui allait
 
 de
 
 grâce à leurs études
 
 raissent maintenant,
 
 nous prouvera
 
 aussi de la critique
 
 de « dépérissement
 
 rique » et « dans l’ambition
 
 »
 
 dans
 
 et dans le mouve-
 
 à Laing,
 
 sur les familles
 
 a cherché
 
 de Kingsley
 
 permet
 
 ment qui se poursuit
 
 l’homme
 
 qu’elle s’est inspirée nalytique
 
 entreprises
 
 de Bonneuil-sur-
 
 de ces difficultés.
 
 classique
 
 a joué aussi un rôle non négligeable
 
 visent qu’à gommer
 
 Dans
 
 » (C.
 
 avec son « caractère prétendument
 
 de s’instaurer
 
 (O. Mannoni).
 
 leurs
 
 et très agis-
 
 sont écra-
 
 comme permanentes
 
 si radicalisé
 
 d’entre eux, mais fort politisée
 
 Les
 
 Ceux qui opposent
 
 communautaires
 
 idéales
 
 et Laing
 
 par une minorité
 
 la
 
 d’un
 
 radicale de l’insti-
 
 l’école de Palo Alto, comme
 
 s’aperçoivent pas qu’ils la reproduisent, tant que ces communautés se présentent
 
 en vue de se consoli-
 
 représenté
 
 groupe
 
 de la famille, au moins
 
 le jeune enfant.
 
 pour
 
 ne devait
 
 et des
 
 au sein de tout
 
 et les tensions familiales
 
 Elle organisa
 
 d’un système politico-écono-
 
 qui absorbe
 
 conflits
 
 ces lieux
 
 des tech-
 
 pas des tensions
 
 de
 
 de la lu-
 
 psychiatrique
 
 en 1989, et Esterson,
 
 conclusion
 
 qu’arrive
 
 hospitalière
 
 comme
 
 ne s’y développent - comme
 
 La critique
 
 l’asile ». Quant
 
 de
 
 la nostalgie
 
 des neuroleptiques...
 
 que ces lieux se sont il est impossible
 
 et
 
 schizoph-
 
 de la folie, antithèse
 
 les réformes
 
 essen-
 
 des lieux
 
 collectif,
 
 des jeunes
 
 comme
 
 gubre servitude tution
 
 de réflexions
 
 La critique
 
 Sans doute
 
 Il est resté de cette aven-
 
 ture généreuse
 
 Koupernik).
 
 la déviance
 
 n’est qu’un instrument de rejet et d’enfermement et doit être détruit. C’est à cette
 
 conflits
 
 celui
 
 lieu d’accueil
 
 avec une cer-
 
 précieuse
 
 et critiques.
 
 vie idéaux.
 
 et
 
 d’échecs qui pourraient
 
 être une occasion
 
 des « damnés de la terre », victimes d’une société intolérante, rejetant toute déviance. n’est qu’un alibi pour les soignants.
 
 formes,
 
 taine proportion
 
 », des pauvres,
 
 pour
 
 oublié.
 
 « dans l’inconscient
 
 l’antipsychiatrie.
 
 institutionnelle.
 
 infanto-juvénile,
 
 blait déjà passablement
 
 sem-
 
 rènes », un « écho des grandes options
 
 avec la politique
 
 chiatrie
 
 conclut
 
 fran-
 
 dépasser la problé-
 
 surtout
 
 Il en
 
 de Basaglia (en 1980) et
 
 de 1968. Mais elle a eu peu d’applications
 
 Se sont ouverts cependant,
 
 sur les patients.
 
 ?
 
 de Cooper (en 1986), leur mouvement
 
 la plupart
 
 bien
 
 DE
 
 Elle a connu un grand succès auprès des intellectuels gauchistes dans la mouvance
 
 l’asile et il constate la persistance de celui-ci
 
 QUE RESTE-T-IL
 
 Dès avant la mort
 
 EN FRANCE
 
 la psychothérapie
 
 des effets
 
 qu’il ne pouvait
 
 entendu admettre.
 
 AUJOURD’HUI,
 
 compte que cela ne suffit pas pour changer iatrogènes
 
 négation
 
 pure et simple de la
 
 L’ANTIPSYCHIATRIE
 
 çais ayant cru pouvoir
 
 vie communautaire fois dynamique
 
 psychiatrie,
 
 besoin.
 
 L’ANTIPSYCHIATRIE
 
 » et
 
 à la nier. Il ne s’agit donc, pour
 
 la
 
 sion de son médecin-directeur, Basaglia. Ce dernier, qui a travaillé en particulier
 
 rapeutique,
 
 et leurs
 
 du vieil asile, sous l’impul-
 
 avec M. Jones à Londres,
 
 et de saisir la maladie mentale
 
 avec la disparition
 
 gnante dont ils auraient C’est en 1962 que commence
 
 définir
 
 en arrivait
 
 ne trouvent
 
 assez voisin de la loi française de 1838.
 
 Cepen-
 
 dant, Basaglia, qui avait obtenu satisfaction pas. Commence
 
 à une réforme
 
 Democratica.
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 la parole
 
 conceptions,
 
 Cooper
 
 et exposèrent
 
 celui-ci
 
 sur la méta-
 
 noïa, celui-là sur les grands principes « renonçant
 
 réadaptation
 
 où,
 
 d’une
 
 à toute fin de
 
 » et visant au contraire
 
 à la
 
 ? Car l’évolution
 
 de
 
 la maladie mentale dépend sans doute de la prise en charge psychiatrique,
 
 mais parfois
 
 dans le sens de la chronicisation.
 
 On le voit
 
 bien avec certaines bouffées délirantes traitées à l’occidentale, schizophrénies. pas innocent
 
 qui,
 
 se transforment
 
 Et « si le psychiatre
 
 en
 
 n’était
 
 ? » (L. Israël). C’est la question
 
 sante. À tel point que, en 1978, une commission parlementaire où sont représentés
 
 « libération
 
 ver » (Enfance aliénée, ii).
 
 que ce dernier,
 
 tous les partis
 
 Mais
 
 ne doit cesser de se poser dans l’exercice
 
 propose
 
 la suppression
 
 la loi de 1904 et une nouvelle la psychiatrie sanitaire
 
 italienne
 
 dans une réforme l’hôpital
 
 psy-
 
 C’est la loi 180
 
 LOI 180).
 
 Mais
 
 celle-ci conduit
 
 (
 
 en fait à une certaine
 
 de la psychiatrie,
 
 qu’une spécialité Ce retour
 
 loi intégrant
 
 globale où disparaît
 
 chiatrique. calisation
 
 de
 
 médicale
 
 médi-
 
 qui n’est plus parmi
 
 d’autres.
 
 de la folie dans le strict cadre de
 
 la médecine
 
 déplaît
 
 à beaucoup
 
 de mili-
 
 de celui qui vient nous trou-
 
 son trajet métanoïaque
 
 l’enthousiasme
 
 n’a pas été géné-
 
 ral et H. Ey a rassemblé autour de lui les psychiatres les plus critiques de l’antipsychiatrie.
 
 Le médecin
 
 de Bonneval
 
 en effet que cette dernière « tendance ment
 
 psychiatricide
 
 dangereuse
 
 en confondant risquait
 
 représentait
 
 de maladie
 
 de la vie de relation,
 
 de « se heurter
 
 une
 
 » particulière-
 
 pour sa spécialité.
 
 la notion
 
 tale et les troubles
 
 pensait
 
 à l’impossibilité
 
 comme les antipsychiatres,
 
 des diverses modalités
 
 de sa pratique. J. P
 
 Bibliographie Cooper,
 
 D., 1970, Psychiatrie
 
 et antipsychiatrie,
 
 Paris, Éd. du Seuil.
 
 Car, menelle de
 
 Delacampagne,
 
 C., 1974, Antipsychiatrie,
 
 Paris,
 
 Grasset. Koupernik, non-sens
 
 C., 1974, l’Antipsychiatrie,
 
 sens ou
 
 ?, Paris, Grasset.
 
 65
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 ANXIÉTÉ n.f. (angl. Anxiety)
 
 État émotionnel
 
 GÉNÉR. 1.
 
 de tension
 
 nerveuse, de peur, fort, mal rencié, et souvent chronique.
 
 de pâleur, une sécheresse de la bouche ; des
 
 luation
 
 nausées ; une boule dans la gorge ou une
 
 par un individu
 
 (« anxiété-état).
 
 gêne au creux de l’estomac
 
 Les recherches
 
 différentielles
 
 ou un besoin fréquent
 
 diffé-
 
 De nombreuses sionnées
 
 Prédisposition sonne aux états anxieux. GÉNÉR.
 
 d’une
 
 2.
 
 per
 
 de degré et surtout de cognition.
 
 tecteur
 
 émotionnel
 
 et représentatif de son objet. on réserve
 
 et, finalement,
 
 entre deux notions
 
 » et « anxiété-trait
 
 émotionnel,
 
 comme
 
 dique,
 
 correspond
 
 à un état passager, qui
 
 peut survenir Par contraste, ractéristique
 
 l’anxiété-trait individuelle,
 
 innée, qui se manifeste
 
 valable dont
 
 décrites
 
 l’action
 
 à l’égard de stimulus
 
 anxiogènes.
 
 cognitives,
 
 Les troubles
 
 imminent,
 
 une attitude
 
 danger et un sentiment
 
 logie
 
 d’attente
 
 en face de ce danger ». Outre
 
 cette attente
 
 possibilité heureux, tension et surtout
 
 inquiète
 
 de survenue l’anxiété
 
 d’événements
 
 la
 
 d’inhibition
 
 de manifestations celles-ci,
 
 sont : des palpitations
 
 internes,
 
 de
 
 se présente
 
 en psychoun trait se définit
 
 de par
 
 de ces
 
 de faire une dis-
 
 fort utile en clinique
 
 ont été pro-
 
 spécifiques
 
 un questionnaire
 
 d’anxiété
 
 et deux
 
 ; les
 
 sociales,
 
 etc. R. B. Cattell
 
 de 40 items fournissant
 
 d’anxiété
 
 notes
 
 correspondant
 
 entre une anchez un même varie-
 
 Les différences
 
 personnelle
 
 (tendant
 
 tions vertigineuses
 
 ;
 
 instruments.
 
 ou une
 
 L’évaluation
 
 individuelles
 
 de l’anxiété
 
 fait
 
 de recherches,
 
 lieu à la construction
 
 xiété-trait
 
 ont
 
 ») doit être distinguée
 
 comme
 
 un facteur cinq
 
 facteurs
 
 dont
 
 primaires
 
 l’importance
 
 de personnalité
 
 relative peut varier d’un indi-
 
 vidu à un autre : structures socialement
 
 approuvées,
 
 sentiment
 
 caractérielles
 
 faiblesse du moi,
 
 d’insécurité
 
 sociale,
 
 pression
 
 forces pulsionnelles considère
 
 du ça. H.
 
 que le facteur
 
 xiété se ramène à une combinaison des facteurs
 
 fondamentaux
 
 la personnalité
 
 l’introversion. constitue
 
 de deux
 
 par lesquels
 
 : le névrosisme
 
 et
 
 Pour J. A. Gray, l’anxiété
 
 elle-même
 
 damentaux
 
 d’an-
 
 un des facteurs
 
 de la personnalité
 
 l’impulsivité),
 
 (l’autre
 
 fonétant
 
 même si elle peut se décrire
 
 par une telle combinaison. M. R. ANGOISSE,
 
 ANXIÉTÉ
 
 (QUESTIONNAIRE
 
 D’),
 
 PEUR, STRESS
 
 Bibliographie Eysenck,
 
 H. J., 1981, A Model for Personality, Springer
 
 Verlag.
 
 P., 1987, l’Anxiété,
 
 Paris, Masson.
 
 dans
 
 Mc Graw-Hill. Spielberger, Parameters
 
 C. D., 1975, Emotions, and Measurement,
 
 their
 
 New York,
 
 Raven Press.
 
 stable l’objet qui ont
 
 de plusieurs
 
 de cette disposition
 
 l’anxiété
 
 et conduit
 
 Selye, H., 1970, The Stress of Life, New York,
 
 quelle
 
 et relativement
 
 factorielle
 
 et à
 
 M. A.
 
 relativement
 
 à se manifester
 
 manifeste
 
 de second ordre, auquel contribuent
 
 Pichot,
 
 DIFFÉR.
 
 l’analyse
 
 a
 
 une note générale
 
 à l’anxiété
 
 à considérer
 
 émotionnelles.
 
 d’un grand nombre
 
 et
 
 d’anxiété
 
 mis au point
 
 Berlin,
 
 donné
 
 excessive, des accès de rougeur
 
 par une ten-
 
 scolaires,
 
 rait avec l’état du sujet lors de ses réactions
 
 à éprouver
 
 des bouffées de chaleur ou de froid
 
 individuelles
 
 les situations
 
 il décrit
 
 Certains
 
 permettent
 
 ou de la tachycar-
 
 ou d’étourdissement
 
 les différences
 
 conduire
 
 par tests, les situations
 
 J. Eysenck
 
 avec plus ou
 
 comme
 
 qui, lui-même,
 
 les plus courantes s’accélèrent
 
 examens
 
 à celle
 
 questionnaires,
 
 composantes.
 
 générale
 
 neurovégé-
 
 réalisées à
 
 peuvent
 
 comme explicables
 
 du surmoi,
 
 selon les sujets.
 
 dans de nombreux
 
 une disposition
 
 motrice
 
 de
 
 symptômes
 
 Les recherches
 
 l’aide de cet instrument
 
 de
 
 psychophysio-
 
 mise en évidence
 
 bien que le sujet soit au repos ; des sensa-
 
 sudation
 
 mais également
 
 que soit la situation)
 
 die où le pouls et la respiration
 
 est ainsi
 
 mal-
 
 peut s’accompagner
 
 musculaire,
 
 tatives. Parmi
 
 anticipant
 
 dans une
 
 sujet et une anxiété dont l’intensité
 
 totale
 
 per-
 
 à l’influence
 
 qui se manifestent
 
 tinction
 
 sur
 
 part,
 
 L’anxiété
 
 xiété qui serait permanente
 
 de désorganisation
 
 lié à la conscience d’une impuissance
 
 d’autre
 
 ces troubles
 
 extérieurs,
 
 personnalité
 
 possible
 
 les traitements
 
 non seulement
 
 questionnaires
 
 devant ce
 
 physiologiques.
 
 a utilisé
 
 biochimiques,
 
 l’utilisation
 
 plus biologique.
 
 plusieurs
 
 d’un danger
 
 par les concepts
 
 ayant recours aux tech-
 
 d’aborder
 
 Pour P. Pichot (1987), « l’anxiété
 
 : la perception
 
 avec des affects anxieux restent au
 
 de relaxation,
 
 l’anxiété
 
 fondamentaux
 
 à sous-
 
 de l’anxiété,
 
 moins d’intensité
 
 de trois éléments
 
 l’amenant
 
 et de bêtabloquants
 
 Cependant,
 
 plan phénoménologique
 
 ou quant à certains
 
 posés pour des situations
 
 ou l’incitant et des
 
 Les recherches
 
 comportementaux
 
 logiques,
 
 fait sur le
 
 de manque
 
 l’anxiété voilée. L’étude de ce questionnaire
 
 lement indéterminée, pourrait s’avérer désagréable, voire dangereuse. est un état émotionnel
 
 d’insécurité,
 
 à l’égard
 
 avait été inspirée
 
 de prédispositions
 
 goisse)
 
 de sentiments
 
 des questionnaires
 
 situations,
 
 en rapport
 
 État de non-quiétude dans lequel prédomine l’appréhension d’une situation qui, bien que généra-
 
 (ou l’an-
 
 Le sujet se décrit
 
 SUIVANT).
 
 AR-
 
 fication
 
 facteurs
 
 PSYCHIATR.
 
 (
 
 respectivement
 
 soumise
 
 J.-F. L. N.
 
 Inventory
 
 plan des névroses, dont la classi-
 
 optique
 
 est réputé avoir un caractère pathologique.
 
 au Minnesota
 
 premier
 
 mettent
 
 Un niveau élevé d’anxiété-trait
 
 a égale-
 
 ses capacités réelles, si bien qu’elle
 
 niques
 
 directement
 
 sont
 
 comportementales,
 
 de nombreuses
 
 la sédation
 
 des
 
 les compo-
 
 du sujet
 
 d’anxiolytiques
 
 qui ne sont pas par eux-mêmes
 
 à
 
 Scale ou MAS)
 
 Personality
 
 confiance
 
 pathologique
 
 for-
 
 peurs conditionnelles
 
 TICLE
 
 Anxiety
 
 dance acquise. Dans la même orientation,
 
 L’anxiété
 
 pour
 
 à développer
 
 Manifest
 
 durable.
 
 d’une part, montrant
 
 du tout ; la prédisposition
 
 J. A. Tay-
 
 d’anxiété
 
 dépressifs.
 
 voire pas anxiogènes
 
 le plus souvent.
 
 qui
 
 dans l’anxiété généralisée, un caractère plus
 
 qui,
 
 anxiogènes,
 
 spécifiques
 
 à considérer
 
 états de peur en présence de stimulus tement
 
 un lourd
 
 ci-dessus
 
 ce
 
 exacerbées et peuvent prendre, par exemple
 
 de S. Freud.
 
 sont moins
 
 sont employés
 
 Multiphasic
 
 cherchent
 
 pathologique,
 
 des
 
 individus,
 
 est géné-
 
 et constitue
 
 à éprouver
 
 d’autres
 
 le Rorschach),
 
 lor a proposé une échelle d’anxiété manifeste
 
 se manifestant
 
 les cliniciens
 
 l’anxiété
 
 est souvent
 
 à son tour de deux
 
 façons : la prédisposition
 
 handicap
 
 estimer
 
 apparemment
 
 (comme
 
 comme
 
 composantes
 
 est une ca-
 
 personnalité
 
 dans
 
 ou des tests de
 
 ralement
 
 à éviter
 
 chez tout individu.
 
 déterminée
 
 composée d’items empruntés
 
 inhibant
 
 son nom l’in-
 
 une situation
 
 Mais l’anxiété
 
 ment des composantes
 
 ». La notion
 
 d’état
 
 de façon prévisible,
 
 de l’anxiété
 
 du comportement
 
 sont des questionnaires
 
 de
 
 de
 
 des mesures physiologiques,
 
 perçu ont disparu. définie
 
 sur
 
 générales
 
 Bien que l’évaluation
 
 (angl.
 
 santes autonomes
 
 et anxiété-trait
 
 l’anxiété.
 
 de stress ou le danger
 
 Dans
 
 chroniques
 
 bien séparées, appelées « an-
 
 xiété-état
 
 intempes-
 
 évaluer la nature et l’intensité.
 
 pathologiques.
 
 Il faut bien distinguer aujourd’hui
 
 Mais on
 
 à des peurs intenses
 
 Anxiété-état
 
 le facteur
 
 sans raison
 
 le mot anxiété aux cas où l’objet
 
 ou à celles qui sont répétitives,
 
 restent normales.
 
 une action
 
 lorsque
 
 peut aussi l’appliquer
 
 un deuil ou
 
 même avoir un rôle pro-
 
 en inhibant
 
 éprouvée
 
 portant
 
 des théories
 
 des observations
 
 d’examen,
 
 du sujet, c’est-à-dire un état qui a un contenu
 
 cognitivement.
 
 de stress (par
 
 de la diversité
 
 et réel, une situation
 
 peur, elles se dissipent,
 
 est mal différencié
 
 occa-
 
 puisse utiliser
 
 plutôt peur un état dont l’objet est bien connu
 
 souvent
 
 anxieuses
 
 exemple la présence d’un danger imminent d’un proche)
 
 actuellement
 
 l’anxiété sont inspirées, dans leur diversité,
 
 tive du sujet. De même que les réactions
 
 On appelle
 
 Par contraste avec ces situations,
 
 66
 
 réactions
 
 Elles pourraient
 
 La différence entre peur et anxiété est affaire
 
 d’uriner.
 
 par des facteurs
 
 la maladie État émotionnel
 
 ; de la diarrhée
 
 de l’anxiété
 
 (« ande l’éva-
 
 ANXIÉTÉ (QUESTIONNAIRE (angl. Anxiety Questionnaire)
 
 D’)
 
 Ensemble de questions élaborées systématiquement et posées dans un ordre toujours identique à des sujets,
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 en vue d’apprécier anxiété. Utilisés titative
 
 et d’évaluer
 
 en psychopathologie depuis
 
 les questionnaires
 
 d’évaluation
 
 instruments Parmi
 
 (angl.
 
 que
 
 nettement
 
 des
 
 qui sont, elles, des
 
 d’hétéro-évaluation.
 
 les questionnaires
 
 de l’anxiété.
 
 L’anxiété
 
 Self Rating)
 
 tient à distinguer
 
 échelles
 
 Médicament
 
 d’années,
 
 sont des instruments
 
 d’auto-évaluation P. Pichot
 
 quan-
 
 une trentaine
 
 promazine,
 
 ANXIOLYTIQUE n.m. (angl. Anxiolytic).
 
 leur
 
 est un syndrome
 
 dans différentes
 
 pathologies
 
 de nombreux
 
 composés.
 
 s’avère difficile la sédation, certaines
 
 à la vaste catégorie
 
 psychopathologiques
 
 re-
 
 choleptiques,
 
 ou sédatifs
 
 pérables par une analyse factorielle.
 
 C’est
 
 (HSCL)
 
 présente
 
 isolable
 
 d’autres
 
 la dépression, compulsifs
 
 un facteur comme
 
 est très utilisée américains, française
 
 par les psychiatres
 
 et a connu
 
 tionnaires
 
 (1960), Zung
 
 (1974).
 
 xiety
 
 Status Inventory
 
 20 items directement tations
 
 Ce dernier,
 
 dont
 
 Par exemple,
 
 regroupant
 
 phobiques,
 
 des animaux,
 
 interpersonnelles,
 
 peur
 
 classiques,
 
 :
 
 cor-
 
 phobies
 
 Mathews
 
 (traduit
 
 en français
 
 en 1985)
 
 l’intensité
 
 permet
 
 de l’angoisse
 
 les patients
 
 les éléments
 
 par J. Cot-
 
 et de l’évitement ainsi
 
 et anxieux
 
 rêt relatif
 
 pour
 
 généralement luation
 
 le clinicien, des échelles
 
 comme
 
 (Hamilton utilisée
 
 l’échelle
 
 Anxiety depuis
 
 tionnaires
 
 d’hétéro-évaScale, HARS)
 
 d’auto-évaluation
 
 fois trop
 
 sensibles
 
 et leurs résultats
 
 inté-
 
 qui préfère
 
 1960. En effet,
 
 ou neuroleptiques.
 
 « neuroleptiques
 
 avec ceux que fournissent
 
 échelles
 
 d’hétéro-évaluation,
 
 mal des
 
 beaucoup J. P.
 
 adj. (angl. Anxiogenous)
 
 ou
 
 l’angoisse J.-F. L. N.
 
 ANXIÉTÉ,
 
 PEUR
 
 à
 
 Ce seront les
 
 (impliquant
 
 Outre
 
 brutalement
 
 le traitement
 
 ont
 
 hypnotique.
 
 à effets neurovégétatifs
 
 pré-
 
 Cette classe regroupe des antaAinsi, l’hydergine, constituée
 
 et parasubstance
 
 d’alcaloïdes
 
 de
 
 dans certains
 
 anxieux à expression neurovégéta-
 
 tive. Des médicaments atropiniques,
 
 traditionnels dérivés
 
 (bel-
 
 de l’ergota-
 
 ont le même type d’action.
 
 par des réactions est inter-
 
 utilisé
 
 dans
 
 Il a été le premier
 
 de la longue Toutes
 
 série des benzodia-
 
 les benzodiazépines
 
 ; ces dérivés,
 
 tôt stimulants,
 
 regroupent
 
 variées comme
 
 l’azacyclonol,
 
 et l’hydroxyzine
 
 la captodia; 2. les
 
 comprend
 
 utilisées
 
 précurseur
 
 plu-
 
 des substances
 
 (sédative)
 
 ; ce groupe largement
 
 : 1. les
 
 des
 
 comme
 
 de la chlor-
 
 pos-
 
 sèdent à des degrés divers des propriétés anxiolytiques,
 
 sédatives
 
 myorelaxantes
 
 et anticonvulsivantes.
 
 délai nécessaire
 
 et hypnotiques,
 
 pour obtenir
 
 et la demi-vie
 
 Le
 
 le pic plas-
 
 d’élimination
 
 sont
 
 pharmacocinétiques
 
 qui
 
 guident le prescripteur. Il fait la transition
 
 antidépresseurs Composés se situent
 
 avec les
 
 diazépiniques.
 
 de transition.
 
 Ces substances
 
 entre les antidépresseurs
 
 et les
 
 En effet, certains tranquil-
 
 possèdent
 
 des propriétés cependant
 
 antidépour les
 
 les antidépres-
 
 seurs : c’est le cas de la dibenzépine, doxépine
 
 de la
 
 et de la benzoctamine. pu classer dans cette catécertains thioxan-
 
 thènes qui entraînent
 
 bien une catalepsie
 
 chez l’animal
 
 tous les neurolep-
 
 comme
 
 tiques, mais induisent ramidaux
 
 peu d’effets extrapy-
 
 chez l’homme.
 
 En dehors de ces différents des substances
 
 priétés anxiolytiques, doses employées presseurs On citera
 
 parfois
 
 tremblement).
 
 fonction
 
 des
 
 à faible dose et des antidéanxiolytiques.
 
 les bêtabloquants,
 
 efficaces de l’anxiété
 
 sur les signes (tachycardie,
 
 Ces effets cliniques
 
 raissent pas toujours maux d’anxiété,
 
 des pro-
 
 : c’est le cas de certains
 
 également
 
 physiologiques
 
 à diverses
 
 possèdent
 
 à effets latéraux
 
 particulièrement
 
 tranquillisants,
 
 appartenant
 
 classes thérapeutiques
 
 neuroleptiques
 
 Ils comprennent
 
 du benzhydrol
 
 la prométhazine,
 
 une
 
 classer sans réserve parmi
 
 Ces composés,
 
 de seigle, est indiquée
 
 substances
 
 d’entraîner
 
 des sevrages alcooliques.
 
 gorie des neuroleptiques
 
 mine
 
 cen-
 
 Il est surtout
 
 sont pas dénués d’action
 
 mine)
 
 nerveux
 
 après une utilisation
 
 On a également
 
 ladone,
 
 la moelle épi-
 
 le traitement
 
 un effet sédatif. Ils altèrent la vigilance et ne
 
 troubles
 
 ont la particu-
 
 se traduisant
 
 de sevrage lorsque
 
 lisants
 
 proches du méthylpentynolcarbamate,
 
 l’ergot
 
 leurs effets chez
 
 non seulement
 
 neuroleptiques.
 
 des tranquillisants
 
 des hypnotiques.
 
 dominants.
 
 en anesthésie)
 
 les réflexes polysynaptiques
 
 L’opipramol.
 
 qui seront analysés ici.
 
 phénothiazines
 
 chez un individu.
 
 larité d’inhiber
 
 avec des
 
 qui ont fait preuve
 
 pressives, insuffisantes
 
 dérivés
 
 ANXIOGÈNE
 
 l’anxiété
 
 de type
 
 au sens de tranquillisants
 
 Tranquillisants
 
 initial
 
 utilisés
 
 les paramètres
 
 ni induire
 
 plus hétérogène
 
 sur le plan pharmacologique.
 
 Classification
 
 du groupe
 
 ces tranquillisants
 
 matique
 
 profon-
 
 neurologiques
 
 beaucoup
 
 Antihistaminiques.
 
 suscite
 
 sans modifier
 
 un
 
 extrapyramidal comme les tranquillisants majeurs. Par ailleurs, ils correspondent
 
 antiadrénergique
 
 plus sûres et objectives.
 
 Qui
 
 qui ont
 
 sympathique.
 
 corrélés
 
 atta-
 
 mineurs
 
 Tranquillizers),
 
 un ensemble
 
 l’animal,
 
 myo-
 
 de la transmission
 
 comme la méphénésine,
 
 zépines.
 
 ». À l’op-
 
 sont
 
 sont le plus souvent
 
 (bloqueurs
 
 neuromusculaire
 
 (1959)
 
 ou antipsycho-
 
 gonistes des systèmes sympathique
 
 et peu discriminants,
 
 curarisants
 
 Le chlordiazépoxide.
 
 majeurs
 
 les quesà la
 
 par le lien
 
 Le méprobamate.
 
 Ces
 
 Les Anglo-
 
 tranquillisants
 
 d’effets secondaires
 
 éven-
 
 de M. Hamilton
 
 Rating
 
 (1952),
 
 le cours de la maladie
 
 mineurs
 
 Les propriétés
 
 caractéristiques
 
 s’expliquent
 
 en parti-
 
 avoir des effets antipsy-
 
 effet symptomatique
 
 Dérivés n’ont qu’un
 
 peuvent
 
 Minor
 
 dément
 
 les plus large-
 
 prolongée.
 
 que
 
 tuels ». Tous ces questionnaires
 
 la chlorpromazine
 
 tranquillisants
 
 « d’auto-évaluer
 
 phobiques
 
 dépressifs
 
 et M.
 
 (angl.
 
 relaxantes
 
 rompu
 
 prédomi-
 
 posé, il existe des tranquillisants
 
 déterminées
 
 des peurs de I. Marks
 
 sans effet hypnotique
 
 chés au terme
 
 se
 
 autres
 
 de subs-
 
 tiques, alors que les Français restent
 
 ses 72 items
 
 les substances
 
 tral). Ils ont l’inconvénient
 
 douées de propriétés
 
 (angl. Major Tranquillizers)
 
 des peurs
 
 rie regroupe
 
 dépendance
 
 Saxons les appellent
 
 ques-
 
 Cette catégo-
 
 nière, mais aussi le système
 
 ni des régula-
 
 la découverte
 
 comme
 
 chotiques
 
 et peurs diverses. De même, le
 
 questionnaire
 
 nant,
 
 à l’anxiété
 
 des situations
 
 peur des bruits,
 
 : sur le plan
 
 ils ne sont ni des hypno-
 
 tances neuroleptiques
 
 derniers
 
 peur des atteintes
 
 de la
 
 a fondé la classe des tranquillisants.
 
 sur un symptôme l’échelle
 
 par com-
 
 composés
 
 des psycholeptiques
 
 comprend
 
 certains
 
 en 6 catégories
 
 porelles,
 
 An-
 
 et P. J. Lang (1967) s’adresse
 
 à des malades
 
 chez
 
 Enfin,
 
 sont centrés
 
 de J. Wolpe
 
 traux
 
 (ASI),
 
 avec les autres
 
 sédatives
 
 ressentie, et 15 à ses manifes-
 
 tionnaires
 
 peur
 
 dénommé
 
 et séda-
 
 se définissent
 
 Historiquement, le
 
 de W. W. K.
 
 5 s’adressent
 
 somatiques.
 
 précis.
 
 C’est
 
 et P.
 
 teurs de l’humeur.
 
 de C. D. Spielberger de celui
 
 mineurs
 
 tiques, ni des neuroleptiques,
 
 ques-
 
 myorelaxants.
 
 d’un effet central.
 
 pharmacologique,
 
 sur l’anxiété
 
 manifestations.
 
 ou encore
 
 nord-
 
 1983). D’autres
 
 cas du questionnaire
 
 famille
 
 une adaptation
 
 sont plus centrés
 
 et ses diverses
 
 Elle
 
 des psy-
 
 tifs classiques.
 
 paraison
 
 Tranquillisants
 
 Les benzodiazépines.
 
 des anxiolytiques
 
 1957). On les situe dans le sous-
 
 Les tranquillisants
 
 obsessionnels
 
 la sensitivité.
 
 (J. Guelfi,
 
 »
 
 la somatisation,
 
 les troubles (T.O.C.),
 
 « anxiété
 
 dont
 
 (J. Delay
 
 à la
 
 et neurolep-
 
 culier les benzodiazépines.
 
 physiologiques,
 
 groupe des tranquillisants
 
 entre tranquillisants
 
 ment usitées et les plus originales,
 
 appartiennent
 
 Check List
 
 frontière
 
 se situent
 
 de
 
 plu-
 
 Symptom
 
 de ces composés
 
 de l’activité
 
 incluant
 
 ainsi que la Hopkins
 
 Certains
 
 de
 
 la vigilance.
 
 Deniker,
 
 hypnotiques.
 
 l’anxiolyse
 
 cer-
 
 sieurs éléments
 
 pour ses propriétés
 
 il
 
 d’anxiété,
 
 tains restent assez généraux,
 
 connue
 
 davantage
 
 En pratique,
 
 ou réduction La majorité
 
 et l’alimémazine,
 
 tiques.
 
 retrouvé et sensible à
 
 de séparer
 
 fonctions
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 dans les modèles ani-
 
 construits
 
 à partir des propriétés
 
 n’appa-
 
 essentiellement
 
 des benzodiazépines. 67
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 Indications
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 des tranquillisants
 
 Anxiété et névrose d’angoisse.
 
 gique responsable
 
 lisants sont avant tout utilisés pour réduire
 
 Les tranquillisants
 
 l’anxiété.
 
 la vigilance
 
 américaine
 
 sieurs types d’anxiété.
 
 L’anxiété
 
 sée n’est pas structurée troubles
 
 avec l’école
 
 du DSM III, à distinguer
 
 plu-
 
 comme
 
 ou en
 
 obsessionnels-compulsifs.
 
 Elle
 
 baisse de la vigilance
 
 ser une insuffisance
 
 Elle se caractérise
 
 motrice,
 
 une hyperactivité
 
 généralement
 
 du système nerveux autonome,
 
 une attente
 
 myasthénie
 
 anxieuse et une hypervigilance
 
 évoluant
 
 la grossesse.
 
 façon durable.
 
 L’ensemble
 
 de
 
 des tranquilli-
 
 les benzodiazépines
 
 classiques, se montrent
 
 efficaces sur ce type
 
 d’anxiété. Au
 
 consistent
 
 troubles
 
 paniques
 
 en de véritables
 
 d’anxiété sont
 
 les
 
 aiguë, de durée
 
 pas seulement
 
 stimulus
 
 redoutés
 
 zodiazépines
 
 « attaques limitée,
 
 par le patient.
 
 Les ben-
 
 qui sont sensibles à
 
 un composé de la nouvelle zolobenzodiazépines
 
 classe des tria-
 
 : l’alprazolam.
 
 paniques répondent
 
 à des agents antidépresseurs
 
 Mais
 
 également considérés
 
 comme
 
 non sédatifs
 
 biteurs
 
 de la monoamine-oxydase)
 
 tricycliques
 
 à des
 
 sont peu efficaces
 
 sur ces manifestations,
 
 ces troubles
 
 qui ne
 
 des réactions
 
 classiques
 
 »
 
 : les I.M.A.O.
 
 une meilleure
 
 (imipramine),
 
 ce qui remet
 
 bué à mettre en lumière
 
 l’hétérogénéité
 
 mais constituant
 
 psychiatriques
 
 des tran-
 
 tremens) ; les névroses structurées (phobiques, hypocondriaques...) ; l’insomnie, nocturnes,
 
 les troubles
 
 l’instabilité
 
 du comportement
 
 fant ; les psychoses, d’autres traitements, Indications
 
 chimiques
 
 spécialités
 
 médicales
 
 : en prémédication
 
 peutique,
 
 qu’une
 
 et, à la différence comme
 
 etc.
 
 les tranquillisants
 
 action
 
 symptomatique
 
 d’autres
 
 les neuroleptiques
 
 psychotropes
 
 dance pouvant
 
 piniques,
 
 presseurs,
 
 ils ne doivent
 
 pas constituer
 
 traitement
 
 de fond de l’affection.
 
 le
 
 cations
 
 toutes
 
 montré
 
 et d’un état de dépenun syndrome
 
 des tranquillisants,
 
 ensemble
 
 pas ces inconvénients.
 
 centraux
 
 diminuant
 
 prédominant
 
 parfois
 
 dérés comme des médicaments « aspirine
 
 psychologique
 
 est représenté dépendance
 
 de confort,
 
 » dont on abuse,
 
 par le développement psychologique
 
 consi-
 
 d’une
 
 et physiolo-
 
 aux benzodiazépines
 
 oméga
 
 2 correspondant
 
 1 et oméga centraux,
 
 propriétés
 
 anxiolytiques
 
 sont par exemple
 
 De même que les récepteurs
 
 sables respectivement
 
 comme
 
 à l’identification
 
 endogènes,
 
 de même les récep-
 
 d’opiacés l’existence venant
 
 de ligands
 
 dans
 
 composés
 
 ont
 
 tion) Selon
 
 (comme
 
 varient
 
 comme le par
 
 pour
 
 ce rôle
 
 à l’aide d’anticorps
 
 conservés
 
 éliminer
 
 zépine-like
 
 ries saprophytes tribuline
 
 des benzodiazépines, l’hypothèse
 
 d’un arte-
 
 ces molécules
 
 benzodia-
 
 provenir
 
 ou de certains des substances
 
 (Sandler
 
 (Diazepam
 
 l’activité
 
 de bactéaliments. comme
 
 la
 
 et coll., 1984) ou le DBI
 
 Binding
 
 le cerveau humain
 
 dans
 
 de sujets décédés
 
 pourraient
 
 zodiazépines.
 
 endo-
 
 Inhibitor), (Guidotti
 
 isolé dans
 
 et coll., 1983),
 
 endogènes
 
 On a montré
 
 des ben-
 
 par exemple
 
 que le taux de DBI fluctuait
 
 chez les joueurs
 
 pathologiques
 
 des gains et des
 
 en fonction
 
 pertes.
 
 pharmacod’élimina-
 
 une benzodiazépine
 
 haute affinité pour le récepteur
 
 ? De nombreux
 
 été évoqués
 
 sont des antagonistes
 
 respon-
 
 selon le type d’anxiolytique.
 
 ce modèle,
 
 inter-
 
 antibenzodiazépiniques.
 
 Inversement,
 
 pour le récep-
 
 la demi-vie
 
 indiquent-ils
 
 endogènes
 
 l’anxiété
 
 fact. Cependant,
 
 dans
 
 déclenchés
 
 gabaA/benzodiazépinique, intrinsèque et les paramètres cinétiques
 
 semblant
 
 dans les zones
 
 teur
 
 ont
 
 Cette substance a même été retrouvée
 
 Ces mécanismes
 
 de l’anxiété
 
 opiacés
 
 ultérieurement
 
 monoclonaux
 
 bêta-carbo-
 
 et externes,
 
 des
 
 identifié
 
 cet effet du gaba et sont
 
 internes
 
 sélectifs
 
 thyldiazépam,
 
 des substances dites « agonistes
 
 seraient
 
 et hypnotiques,
 
 des ligands
 
 avant la découverte
 
 système limbique,
 
 Les
 
 le flux
 
 également ce flux. Au
 
 survenant
 
 en périphérie.
 
 composés possédant des
 
 augmentent
 
 animaux.
 
 aux
 
 naturel, comme le N-desmé-
 
 neuronale.
 
 chez l’homme
 
 :
 
 et oméga 3 désignant
 
 retrouvé
 
 éthanol)
 
 contrent
 
 existe plusieurs
 
 d’anxiolytique
 
 du neurone,
 
 certaines
 
 qu’il
 
 types de récepteurs
 
 les cerveaux
 
 », comme
 
 lié à l’ap-
 
 aug-
 
 de ce complexe,
 
 gène et exogène. L’affinité
 
 lisants à visée anxiolytique,
 
 du système
 
 l’excitabilité
 
 dont on pense
 
 teurs aux benzodiazépines
 
 gabaA/benLes benzodiazépines, en se
 
 points communs. des tranquil-
 
 de
 
 principal
 
 vers l’intérieur
 
 du
 
 de la dépendance.
 
 conduit
 
 : le complexe
 
 des signaux
 
 de l’emploi
 
 a
 
 des benzodiazépines
 
 inhibiteur
 
 compréhension
 
 qu’il est étroitement
 
 composés sédatifs (barbituriques,
 
 lines,
 
 (PET
 
 sous benzodiazépines,
 
 aujourd’hui
 
 D’autres
 
 inverses
 
 cé-
 
 oméga 1.
 
 d’antagonistes
 
 médicaments pharmacologiquement hétérogène, il est possible de relever quelques
 
 Le risque majeur
 
 dans le
 
 benzodiazépiniques
 
 ainsi
 
 la
 
 d’imagerie
 
 de la tolérance,
 
 imidazopyridines,
 
 et Okada)
 
 la capacité du gaba d’activer chlore
 
 la sérotonine,
 
 phénomène
 
 un récepteur
 
 concurrents
 
 Möhler
 
 liant à une sous-unité d’ions
 
 pour la
 
 la caméra à positon
 
 amènera une meilleure
 
 récepteurs
 
 l’acide gamma-aminobutyrique,
 
 zodiazépinique.
 
 Comme
 
 et maintenant
 
 rébrale utilisant
 
 au
 
 la synthèse et le méta-
 
 On sait par ailleurs
 
 aux
 
 passe par une sous-classe de récepteurs
 
 central
 
 d’analyser
 
 de ce récepteur.
 
 parition
 
 gaba-benzodiazé-
 
 cérébrales de la vie émotionnelle, de
 
 de
 
 composés, se fixant
 
 que l’action
 
 nerveux
 
 permettant
 
 cérébraux régionaux
 
 L’utilisation
 
 de ces récepteurs
 
 de la
 
 pos-
 
 entraîner
 
 frontal.
 
 de sites) et
 
 serait à l’origine
 
 mise au point de techniques
 
 que le diazépam tritié se fixe sur
 
 biochimiques les contre-indi-
 
 du nombre
 
 quanti-
 
 le développement
 
 et Braestrup,
 
 les modèles Sans énumérer
 
 biologiques
 
 benzodiazépines
 
 anxiogènes
 
 Précautions
 
 : une modification
 
 scan), associée à l’étude des débits sanguins
 
 Les récepteurs
 
 cortex
 
 une désensibilisation
 
 leur
 
 n’auraient
 
 (Squires
 
 radio-
 
 anxiolytique,
 
 sible d’une tolérance
 
 contraire,
 
 et les antidé-
 
 de loin
 
 sur le plan théra-
 
 mal dissocié de l’action effet dysmnésiant,
 
 le
 
 a gabaA/benzodiazépinique été séquencé en 1987 et les gènes codants
 
 on leur reproche leur effet sédatif
 
 mentent
 
 en cardiologie,
 
 psychosomatiques,
 
 en psychiatrie,
 
 n’exercent
 
 Les tran-
 
 des récepteurs
 
 dopamine
 
 Cependant,
 
 cependant,
 
 leur liaison in vivo)
 
 évoquant
 
 hypothèses
 
 neurotransmetteur
 
 par de nombreuses
 
 anesthésie,
 
 dans les affections
 
 avec
 
 ou non.
 
 non psychiatriques. sont utilisés
 
 Comme
 
 chez l’en-
 
 en association
 
 quillisants une
 
 motrice,
 
 diminue,
 
 bolisme
 
 des sites de liaison
 
 en sevrage (delirium
 
 marquées (c’est-à-dire
 
 les plus utilisés, ont suscité de nombreuses de l’anxiété.
 
 plus
 
 in vivo des benzodiazépines
 
 niveau moléculaire
 
 sur les mécanismes
 
 progressivement
 
 Le récepteur
 
 représente
 
 anxiolytiques
 
 Des
 
 du récepteur
 
 chronique
 
 Les benzodiazépines,
 
 constatent
 
 Ce sont les accès confuso-oni-
 
 riques des alcooliques
 
 les terreurs
 
 originaux,
 
 de
 
 tolérance.
 
 théra-
 
 aussi des outils
 
 Dès 1977, deux laboratoires
 
 Autres indications
 
 En administration
 
 ont été clonés,
 
 du
 
 concept d’anxiété.
 
 quillisants.
 
 réponse
 
 ou non sur les récepteurs
 
 et les
 
 devenant
 
 non plus qualitative
 
 nouvelles,
 
 est responsable
 
 structurelles
 
 l’un des enjeux de la recherche sur l’anxiété.
 
 en cause la conception traditionnelle des anxiolytiques. La pharmacologie a contri-
 
 avant
 
 de molécules
 
 sevrage. Les nouveaux
 
 (inhi-
 
 mois de
 
 éle-
 
 de sevrage plus intense.
 
 tative (diminution
 
 pharmacologiques
 
 contraire,
 
 en cas de
 
 et dans les premiers
 
 apportant peutique
 
 Ils sont
 
 intrinsèque
 
 sensible aux agonistes inverses, pourraient amener le développement de la tolérance.
 
 binding
 
 peuvent décompen-
 
 contre-indiqués
 
 La découverte
 
 sants, et en particulier
 
 par
 
 chez le sujet
 
 respiratoire.
 
 phénomènes lui-même,
 
 Cette
 
 est potentialisée
 
 Elle est plus fréquente
 
 d’attaques
 
 à activité
 
 modifications
 
 et dangereuses
 
 automobile.
 
 âgé. Les tranquillisants
 
 par une tension
 
 68
 
 complexes
 
 n’évolue pas sous la forme d’une succession de panique.
 
 une baisse de
 
 qui peut gêner des activités
 
 la conduite
 
 l’alcool.
 
 zodiazépinique,
 
 vée et à courte demi-vie
 
 amènent
 
 psychomotrices
 
 générali-
 
 en phobies
 
 de sevrage
 
 à l’arrêt du traitement.
 
 Les tranquil-
 
 On tend aujourd’hui,
 
 de réactions
 
 à
 
 gabaA/ben-
 
 Ces recherches
 
 posent
 
 frontières
 
 entre
 
 les définitions
 
 cologiques
 
 de l’anxiété,
 
 dépression
 
 et de leurs
 
 la question
 
 des
 
 pharma-
 
 du stress et de la manifestations
 
 :
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 ainsi, certaines équipes ont montré que des
 
 ticulier
 
 dérivés
 
 dans les prochaines
 
 des bêta-carbolines,
 
 des benzodiazépines,
 
 antagonistes
 
 peuvent
 
 induire
 
 des
 
 états de désespoir appris (angl. Learned Helplessness), caractéristiques « dépression
 
 des situations
 
 les antagonistes
 
 à remettre
 
 D’autres
 
 de la sérotonine
 
 neuromédiateurs
 
 interviennent
 
 que le gaba
 
 dans l’anxiété.
 
 noradrénergique
 
 (NA),
 
 comportements
 
 mulation
 
 du locus caeruleus
 
 la yohimbine, la destruction cologique
 
 la
 
 de même
 
 du système NA, comme
 
 chez l’homme.
 
 entraîner
 
 d’effet anxiolytique
 
 animaux
 
 de conflit,
 
 pas
 
 des ben-
 
 zodiazépines. Mais,
 
 le rôle du système
 
 (5-HT)
 
 5-HT
 
 d’anxiété.
 
 On a décrit
 
 dans l’anxiété.
 
 plusieurs
 
 5-HT1A
 
 isapirone)
 
 de la sérotonine.
 
 partiels
 
 (buspirone,
 
 diminuent
 
 ses propriétés
 
 Enfin,
 
 les propriétés
 
 à
 
 la clinique
 
 anxiolytiques
 
 Les récepteurs
 
 5-HT2
 
 de
 
 quence
 
 élevée).
 
 l’autonomie
 
 sites récepteurs
 
 n’étant
 
 des
 
 pas suffi-
 
 établie pour certains auteurs. Un
 
 antagoniste
 
 5-HT2,
 
 la ritansérine,
 
 preuve de son efficacité
 
 a fait la
 
 anxiolytique
 
 les études animales
 
 comme
 
 L’effet
 
 chez l’homme
 
 anxiolytique
 
 qualitativement
 
 différent
 
 zodiazépines, mécanismes
 
 dans
 
 en clinique. serait
 
 de celui des ben-
 
 ce qui évoque l’existence originaux,
 
 par une modification Les agonistes
 
 de
 
 passant peut-être
 
 du cycle du sommeil.
 
 5-HT1B
 
 Les modèles
 
 également
 
 à partir
 
 benzodiazépines,
 
 de prédictivité On risque
 
 rejeter
 
 efficaces
 
 des molécules
 
 des composés à de nouveaux
 
 de
 
 mais trop
 
 modèles
 
 S’il faut animaux
 
 compte
 
 du
 
 actuel du concept d’anxiété.
 
 Le DSM souligne
 
 l’autonomie
 
 paradoxalement stimulants,
 
 gènes. Les nouveaux
 
 peuvent
 
 des troubles
 
 dans le traitement
 
 de l’anxiété
 
 Mais ces effets ne
 
 généralisée.
 
 sont pas retrouvés l’action
 
 dans toutes les études et
 
 des agonistes 5-HT1A
 
 antagonistes
 
 des
 
 5-HT2 et 5-HT3 n’est pas non
 
 plus établie dans le traitement obsessionnels
 
 compulsifs
 
 posés semblent
 
 des troubles
 
 (TOC) ; ces com-
 
 par ailleurs
 
 inactifs
 
 vis-à-
 
 de l’activité
 
 5-HT
 
 chez les individus
 
 de désordres
 
 cohérente
 
 être pro-
 
 biologiques
 
 anxieux
 
 et reproductible
 
 souf-
 
 n’a pas perune relation
 
 entre hyper- ou
 
 5-HT
 
 et anxiété.
 
 De
 
 le rôle exact joué par la
 
 5-HT dans les différents
 
 modèles animaux
 
 d’anxiété est controversé
 
 ; dans les modèles
 
 d’évitements
 
 et sur le comportement
 
 aversifs, l’« anxiété » de l’ani-
 
 mal est associée à un défaut de 5-HT ; c’est l’inverse dans les modèles basés sur l’inhibi-
 
 souffrant
 
 d’attaques
 
 ne font généralement
 
 courante.
 
 pas de crises
 
 d’hyperventilation
 
 avec alca-
 
 contrairement
 
 L’inhalation
 
 de
 
 d’air
 
 tion d’une réponse comportementale de conflits).
 
 Ainsi,
 
 les agonistes
 
 à l’opinion
 
 produisent
 
 contenant
 
 des effets qui manquent
 
 dans la plupart
 
 (tests 5-HT1A
 
 des modèles
 
 de cohérence
 
 par
 
 du CO2 en revanche induit des attaques de panique, de même que les perfusions
 
 rapport
 
 delactate
 
 reste sans effet chez le sujet sain. Les com-
 
 certaines situations, des effets opposés à ceux des benzodiazépines (qui pourraient
 
 posés efficaces
 
 être interprétés
 
 de sodium.
 
 dans le traitement
 
 proposé
 
 par plusieurs
 
 ricaines.
 
 À Montréal,
 
 qué des attaques
 
 J. Bradwejn
 
 relativement
 
 en injectant
 
 tion, Weissman,
 
 dans
 
 (0,4 % de la popula-
 
 En dépit
 
 1978) et particulièrement
 
 intervenir
 
 de nombreux parmi
 
 fait
 
 systèmes de neulesquels il convient
 
 noradrénaline comme
 
 les systèmes
 
 d’industriels
 
 continuent
 
 le cadre des troubles
 
 ou partiel),
 
 Nous avons vu toutefois tion de la sérotonine l’hypothèse d’une
 
 (voir
 
 la
 
 plus haut).
 
 d’un dysfonctionnement 5-HT
 
 dans l’anxiété
 
 part, sur l’efficacité
 
 dans les troubles
 
 anxieux,
 
 anxieux
 
 thérapeutique, des composés
 
 avec la
 
 En effet, si la théorie
 
 par son action
 
 :
 
 au niveau
 
 somatodendritiques
 
 du turnover
 
 de 5-HT
 
 du neu-
 
 des neurones 5-HT
 
 agoniste minal
 
 sélectif
 
 5-HT1B
 
 ou 5-HT3,
 
 structures
 
 d’où un effet anxiolytique.
 
 même raisonnement
 
 une
 
 et de la libération
 
 dans de nombreuses
 
 cérébrales,
 
 des
 
 - c’est-
 
 ANTIDÉPRESSEURS),ce qui entraîne
 
 diminution
 
 des
 
 s’appuie,
 
 dans
 
 des compo-
 
 à-dire situés sur le corps cellulaire (
 
 dans le stress
 
 était de plus en plus reconnue
 
 beaucoup
 
 à développer
 
 rone* -, inhibe l’activité
 
 que la participa-
 
 (5-HT)
 
 contradic-
 
 principalement
 
 5-HT.
 
 autorécepteurs
 
 ou la cholécystokinine
 
 neuromédiateur*
 
 et l’anxiété
 
 utilisant
 
 neurobiolo-
 
 qui associe l’anxiété à un excès de 5-HT est exacte : 1. tout agoniste 5-HT1A (complet
 
 bien sûr de citer le système gabaergique, mais également
 
 sous des formes très
 
 de ces nombreuses
 
 transmission
 
 que l’anxiété
 
 une entité hétéro-
 
 être différents.
 
 sés interagissant et perspectives
 
 admis
 
 d’anxiété.
 
 tions et de leurs aléas pratiques,
 
 A. G.
 
 dans
 
 lié au fait que le syn-
 
 diverses, et dont les substrats giques pourraient
 
 invalidante.
 
 Il est largement
 
 animaux
 
 gène qui se manifeste
 
 consacrée à une pathologie fréquente
 
 modèles
 
 Les
 
 et 5-HT3
 
 de cohérence
 
 drome anxieux constitue
 
 accepté d’être
 
 coopérants
 
 5-HT2
 
 Cela est probablement
 
 de la cholécystokinine.
 
 filmés et se sont montrés
 
 sont même obtenus.
 
 également
 
 les différents
 
 ; dans
 
 comme le reflet d’une acti-
 
 vité anxiogène) manquent
 
 a provo-
 
 et sont
 
 reproductibles
 
 effets des antagonistes
 
 équipes nord-amé-
 
 Les sujets ont généralement une recherche
 
 avé-
 
 expérimental
 
 de panique
 
 à des volontaires
 
 des at-
 
 se sont également
 
 à ceux des benzodiazépines
 
 souvent difficilement
 
 Le lactate de sodium
 
 rés efficaces dans ce modèle
 
 a priori
 
 en par-
 
 comme
 
 tales. Les patients
 
 systèmes
 
 anxiolytiques,
 
 aussi efficaces
 
 voquées par diverses méthodes expérimen-
 
 sensibles à des anxio-
 
 bloquant
 
 que les benzodiazépines
 
 basés sur la fuite
 
 rotransmission
 
 d’un ainsi
 
 connus.
 
 il faut aussi tenir
 
 antidépresseurs
 
 des
 
 les tricycliques
 
 effet antidépresseur.
 
 remaniement
 
 présent
 
 des propriétés
 
 comme
 
 ont fixé les modèles
 
 des
 
 des pro-
 
 ont jusqu’à
 
 semblent
 
 hypofonctionnement
 
 de panique
 
 Tendances
 
 animaux
 
 été construits
 
 expérimentale
 
 Les attaques de panique
 
 priétés anxiolytiques.
 
 paniques,
 
 à
 
 par
 
 et les antagonistes
 
 posséderaient
 
 ou 5-HT3
 
 En fait, la mesure des indices
 
 basse) ou fixes (fré-
 
 Les benzodiazépines
 
 ipsapi-
 
 les récepteurs
 
 mis, jusqu’à présent, d’établir
 
 taques de panique
 
 sont actuellement
 
 caractérisés,
 
 d’antagoniste)
 
 des
 
 vis des attaques de panique.
 
 dans une situation
 
 le seuil de fréquence
 
 (fréquence
 
 lose respiratoire,
 
 ces ligands 5-HT1A.
 
 d’anxiété,
 
 sensorimotrice.
 
 clignotants
 
 parle
 
 clignotants
 
 en situation
 
 part que
 
 gépirone,
 
 frant
 
 gé-
 
 le turnover
 
 On sait d’autre
 
 dans les tests de conflit.
 
 recourir
 
 Flicker Fusion
 
 lumineux
 
 (buspirone,
 
 d’ago-
 
 - famille
 
 une fréquence variable sont perçus comme
 
 panique
 
 anxiolytiques
 
 différentes
 
 l’effet des
 
 le niveau global de
 
 et de réactivité
 
 des points
 
 de la
 
 automo-
 
 étudier
 
 Test (CFF), qui traduit
 
 des
 
 la buspirone
 
 5-HT3
 
 de situations
 
 sur le Critical
 
 attaques
 
 types de
 
 font perdre
 
 samment
 
 anxiolytiques vigilance
 
 on a recours
 
 comme la conduite
 
 Induction
 
 types
 
 les lésions du système 5-HT
 
 autres
 
 Pour les apprécier,
 
 et,
 
 diverses
 
 parle
 
 5HT1A
 
 la même manière,
 
 impliqués
 
 Des agonistes
 
 sites récepteurs
 
 les mieux
 
 à des doses théra-
 
 bile. On peut également
 
 apparaît
 
 certains
 
 sérotoninergiques
 
 a confirmé
 
 être observés
 
 Une hyperac-
 
 accompagne
 
 récepteurs
 
 pirone,
 
 peuvent
 
 Ainsi,
 
 (on
 
 le récepteur
 
 5-HT2
 
 mais
 
 séroto-
 
 dans l’anxiété
 
 de plus en plus important. tivité
 
 infracliniques
 
 généralement
 
 (on
 
 cognitifs
 
 exemple abaissent le seuil du CFF.
 
 surtout,
 
 ninergique
 
 sont
 
 auquel
 
 dans les tests
 
 à la différence
 
 les troubles
 
 5-HT,
 
 rone...) -, ainsi que les molécules
 
 des anxioly-
 
 tiques traditionnels,
 
 de test standardisée
 
 ou pharma-
 
 du système NA ne semble
 
 les effets indésirables
 
 animale.
 
 stimulant
 
 azapirones
 
 des anxiolytiques
 
 Le sujet doit déterminer
 
 Cependant,
 
 chirurgicale
 
 cognitifs
 
 vie courante,
 
 chez le singe
 
 anxieux,
 
 l’expérimentation molécules
 
 à l’étude chez l’homme
 
 au stress. La sti-
 
 des phénomènes
 
 que les stimulants
 
 distri-
 
 comme
 
 et l’adaptation
 
 clas-
 
 niste)
 
 peutiques.
 
 exerce un contrôle
 
 vigilance induit
 
 Le système
 
 largement
 
 bué dans l’organisme, sur certains
 
 :
 
 avec les systèmes
 
 d’autre part, sur diverses données issues de
 
 de
 
 Parmi le rôle
 
 interagissant
 
 années nous amener
 
 en cause les conceptions
 
 Effets
 
 anxiolytiques
 
 pourraient
 
 siques de l’anxiété.
 
 » chez l’animal.
 
 Les nouveaux
 
 5-HT2,
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 Le
 
 peut être tenu avec un
 
 pour l’autorécepteur ; 2. tout antagoniste
 
 par son action
 
 ter5-HT2
 
 au niveau
 
 des 69
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 récepteurs
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 postsynaptiques,
 
 tie la transmission
 
 5-HT,
 
 un effet anxiolytique. teurs 5-HT1A
 
 réduit en pard’où, là encore,
 
 PAT,
 
 Le blocage des récep-
 
 post-synaptiques
 
 aboutit
 
 a
 
 priori aussi au même résultat. En marge des molécules la transmission s’attachent
 
 5-HT,
 
 dence les propriétés tuelles d’autres
 
 systèmes
 
 Ainsi,-
 
 avec
 
 à mettre
 
 en évi-
 
 anxiolytiques
 
 éven-
 
 interagissant
 
 avec
 
 de neurotransmission.
 
 cannabinoïdes
 
 de type CB1, qui
 
 présente
 
 une activité
 
 différents
 
 modèles animaux
 
 anxiolytique
 
 dans
 
 d’anxiété
 
 CP154526 est un antagoniste récepteurs
 
 des
 
 ;- le
 
 spécifique des
 
 de type 1 du « corticotropin-re-
 
 D’autre
 
 ces interactions
 
 5-HT1A
 
 diffère
 
 (pré- ou post-
 
 les conséquences
 
 variant
 
 chocs électriques.
 
 part, l’efficacité
 
 peut être selon le récepteur concerné,
 
 (8-OHD-
 
 en fonction
 
 de
 
 Un certain
 
 nombre
 
 chez l’animal
 
 de données
 
 avec des antagonistes
 
 5-HT2A/C
 
 (ritansérine,
 
 sertindole...)
 
 ondansétron,
 
 ou 5-HT3
 
 granisétron,
 
 ont conduit
 
 obtenues
 
 à envisager
 
 des
 
 des récepteurs
 
 (zacopride,
 
 tropisétron...) un rôle de ces ré-
 
 cepteurs dans l’anxiété. Mais, là encore, ces effets sont difficilement
 
 reproductibles
 
 manquent
 
 puisqu’ils
 
 de cohérence
 
 et
 
 ne sont
 
 de type NK1, certains
 
 efficace non seulement
 
 modèles animaux
 
 également
 
 chez l’homme
 
 entraîner
 
 une réduction
 
 dans
 
 d’anxiété,
 
 mais
 
 : il semble ainsi significative
 
 du ni-
 
 veau d’anxiété
 
 chez des patients déprimés.
 
 Ces résultats,
 
 examinés
 
 restreint
 
 être confirmés
 
 toutefois
 
 à
 
 chez un grand nombre
 
 patients ;- l’igmesine
 
 de
 
 se fixe sur les sites s de
 
 type 1, dont le rôle dans le système nerveux n’est pas clairement présente
 
 établi. Cette molécule
 
 des propriétés
 
 anxiolytiques
 
 antistress)
 
 Au total, les effets des agonistes 5-HT1A dans les modèles animaux d’anxiété font vaux.
 
 d’un grand nombre
 
 Or, ces composés
 
 dans l’élaboration
 
 de tra-
 
 produisent
 
 des
 
 de molécules
 
 avec d’autres neurotrans-
 
 : l’efficacité
 
 dans les modèles
 
 animaux
 
 de composés
 
 cannabinoïdes
 
 rappelle
 
 (CRF,
 
 substance
 
 que ces systèmes
 
 sion et d’autres cystokinine,
 
 de transmisY, cholé-
 
 etc.) ne doivent
 
 être négligés dans la pathologie avec les transmissions
 
 généralement
 
 anxiolytique)
 
 et
 
 d’intensité
 
 plus faible
 
 que
 
 de référence,
 
 les
 
 ceux des anxiolytiques benzodiazépines. nistes
 
 En fait, les nouveaux ago-
 
 5-HT1A
 
 actuellement
 
 par les industriels convaincants
 
 développés
 
 ne semblent
 
 guère plus
 
 que leurs « aînés » apparus
 
 dans les années 1980 (8-OHDPAT, pitron,
 
 buspirone,
 
 alnespirone...).
 
 ipsapirone,
 
 léso-
 
 gépirone,
 
 Et pour cause : la pluralité
 
 de leurs sites de liaison ou post-synaptique, brales sollicitées)
 
 différentes
 
 aires céré-
 
 et des mécanismes
 
 sus-
 
 relatives
 
 à l’étude
 
 l’animal.
 
 En particulier,
 
 de son caractère l’anxiété
 
 humaine,
 
 des cas, adap-
 
 disponibles spécifiques
 
 5-HT1A
 
 à ce jour ne sont toujours des récepteurs
 
 (somatodendritiques), cage indistinct synaptiques
 
 les agonistes
 
 pré-synaptiques
 
 de sorte que le blo-
 
 des récepteurs est susceptible
 
 (anxiété
 
 « trait
 
 animaux
 
 reflètent
 
 forme muli
 
 anxiogènes
 
 faible,
 
 « trait
 
 tous une
 
 réactionnelle
 
 (anxiété
 
 évaluent
 
 par la présence de sti-
 
 dans ses caractéristiques aux traitements
 
 à l’anxiété
 
 de nombreux
 
 modèles
 
 ». Ainsi, l’intensité
 
 alimentaire]
 
 d’autres
 
 ou acquis)
 
 modèles
 
 Anxiety,
 
 Lippincott.
 
 C. R., 1988, Potential
 
 Modulating
 
 5HT Gen.
 
 et alii
 
 Activity
 
 Use of Drugs
 
 in the Treatment
 
 Pharmac.,
 
 of
 
 10, 347-356.
 
 APGAR n.m. (sigle de l’angl. Appearance, Pulse, Gri
 
 Méthode de classement des nouveaunés à partir d’échelles en trois points (0, 1, 2) pour cinq indices : rythme cardiaque, effort respiratoire, irritabilité réflexe, tonus musculaire, couleur de la peau. Pour chaque indice,
 
 la condition
 
 opti-
 
 male est notée 2, la plus mauvaise, note apgar maximale
 
 0. La
 
 est 10. L’évaluation
 
 tandis
 
 l’anxiété
 
 de comportements face à des situations par
 
 provoqué
 
 après.
 
 et ultrasonores
 
 d’un
 
 signal
 
 On a coutume, en clinique de distinguer
 
 plusieurs
 
 formes
 
 selon le type d’altération (rapide
 
 neurologique,
 
 pour les aphasies fluentes,
 
 et selon la prédo-
 
 minance
 
 dans les diverses
 
 activités
 
 des troubles
 
 verbales que constituent
 
 mination,
 
 la répétition
 
 la déno-
 
 orale et la compré-
 
 hension auditive. été ainsi
 
 caractérisées
 
 sensorielle.
 
 est
 
 Cette classification
 
 les aphasies
 
 ».
 
 est aujourd’hui regroupés
 
 mêmes syndromes blie sans relation
 
 du jeune rongeur
 
 fondements
 
 neuroanatomiques
 
 l’unanimité.
 
 La classification
 
 ou par la présentation associé à des
 
 nication nissant
 
 des troubles au sein
 
 des
 
 avec les modèles actuels
 
 du fonctionnement
 
 reste cependant
 
 contes-
 
 et parce qu’elle est éta-
 
 les vocalisations chez le
 
 motrice, amnésique,
 
 tée en raison de l’hétérogénéité et des patients
 
 ou appris)
 
 ralenti
 
 pour les non fluentes)
 
 transcorticale
 
 ou l’exacerbation
 
 précédemment
 
 d’aphasies
 
 du débit verbal
 
 la nou-
 
 par une défaite sociale, par des
 
 5-HT1A
 
 que sous-corgauche que
 
 de conduction,
 
 que dans
 
 séparé de sa mère, celles induites rat adulte
 
 plus souvent corticale ticale et hémisphérique droite.
 
 de Wernicke,
 
 jugées « anxiogène
 
 exemple
 
 des troubles du langage à une atteinte cérébrale,
 
 par des
 
 de l’animal
 
 (spontanés
 
 Ensemble consécutifs
 
 globales, de Broca, transcorticale
 
 comportement
 
 (essentiellement
 
 évaluée par l’apparition
 
 chocs électriques,
 
 a même été en-
 
 Philadelphie,
 
 Gardner,
 
 Ont
 
 du blocage comporte-
 
 (inné [exploration,
 
 voire nul ; un rôle éventuel des récepteurs post-synaptiques
 
 ne
 
 qui n’est pas nécessaire-
 
 ment équivalente,
 
 sonores
 
 un effet net globalement
 
 aversifs
 
 pratiquement
 
 « état ») déclenchée
 
 d’avoir
 
 5-HT et
 
 De plus, dans
 
 »), alors que les modèles
 
 d’anxiété
 
 Ce sont
 
 une
 
 ou
 
 sont présents que dans de rares conditions
 
 pré- et post-
 
 action opposée sur la transmission d’entraîner
 
 pas
 
 humain
 
 mal adapté,
 
 les stimuli
 
 et la punition),
 
 Ainsi,
 
 chez
 
 de sa fréquence
 
 invariant.
 
 veauté
 
 mentaux.
 
 (Eds),
 
 R. Michels
 
 phasia)
 
 du fait de son intensité,
 
 aversifs
 
 de leurs effets comporte-
 
 », in Psychiatry,
 
 (le « modèle ») est,
 
 est par définition
 
 stimuli
 
 tie la variabilité
 
 Anxiety
 
 of
 
 la réponse de l’ani-
 
 dans la très grande majorité
 
 complet)
 
 en par-
 
 K. T., 1988, « The Neurobiology
 
 APHASIE n.f. (angl. Aphasia ou, plus rarement, Dys
 
 mal à une situation-test
 
 mental
 
 probablement
 
 Britton,
 
 peut être répétée 3, 5 et 10 minutes
 
 aminer-
 
 du comportement
 
 ceptibles de présider ou de participer à leur action (par exemple, agonisme partiel ou explique
 
 Bibliographie
 
 enfin de rappeler les restrictions
 
 et sa sensibilité,
 
 (pré-synaptique
 
 S. P.
 
 E. V.
 
 pathologique
 
 d’action
 
 d’anxiété.
 
 giques...
 
 dèle animal
 
 ou non un profil
 
 modèles
 
 est faites 60 secondes après la naissance et
 
 que parce qu’ils interagissent
 
 effets qui sont plus variables (selon le moprésente
 
 pas
 
 anxieuse,
 
 tative, alors que le comportement
 
 étudié, une molécule
 
 ou
 
 P) nous
 
 (neuropeptide
 
 opiacés,
 
 ne serait-ce
 
 de nouveaux
 
 et la
 
 ré-
 
 missions
 
 Il convient
 
 dans certains modèles animaux.
 
 encore l’objet
 
 side-t-elle
 
 qui interagissent
 
 de ce type d’approche
 
 nécessité d’élaborer animaux
 
 On voit
 
 mace, Activity, Respiration)
 
 la voie la plus prometteuse
 
 fortement
 
 antidépressives
 
 (plus exactement
 
 Cette
 
 Peut-être
 
 peptidergiques
 
 dans un nombre
 
 de cas, demandent
 
 et pas dans d’autres.
 
 vie par les industriels.
 
 de la substance P
 
 par de nombreux
 
 rispé-
 
 piste ne semble plus à l’heure actuelle sui-
 
 spécifique
 
 zépines, mais également
 
 là les limites
 
 mais pas dans
 
 est un antagoniste
 
 non seulement par les benzodia-
 
 dopaminergiques.
 
 expérimentaux
 
 ;- le MK869
 
 diminuées
 
 des réponses sont
 
 des antagonistes
 
 dans certains
 
 d’autres
 
 tiques, puisque certaines
 
 et de l’existence ou non de récep-
 
 une activité
 
 d’anxiété
 
 des effets des anxioly-
 
 voire par des agonistes et
 
 mis en évidence que dans certains modèles
 
 anxiolytique
 
 spécifique
 
 est loin
 
 antidépresseurs,
 
 teurs de réserve.
 
 ridone,
 
 d’être
 
 Or ce modèle
 
 de la
 
 leasing factor » (CRF1). Il présente lui aussi modèles animaux
 
 70
 
 agonistes
 
 des agonistes
 
 récepteurs
 
 le SR141716 est un antagoniste
 
 récepteurs
 
 intrinsèque
 
 structure
 
 certains industriels
 
 de composés
 
 buspirone).
 
 synaptique)
 
 interagissant
 
 dorénavant
 
 visagé pour certaines
 
 linguistique.
 
 Enfin, ses ne font pas des aphasies
 
 une base pour la commu-
 
 entre les chercheurs un premier
 
 descriptif
 
 en leur fourgénéral des
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 troubles.
 
 Le terme
 
 lexie ») renvoie au niveau
 
 d’« alexie » (ou « dys-
 
 à des troubles
 
 de la lecture,
 
 phie » (ou « dysgraphie
 
 vers la découverte
 
 d’« agra-
 
 règles qui régissent
 
 l’inconscient.
 
 ») à des troubles au
 
 préhension
 
 du langage,
 
 langagières
 
 des processus
 
 responsables (phonologique, syntaxique
 
 la correspondance
 
 est bien antérieure. Freud
 
 produit
 
 théorique
 
 cette construction.
 
 verbale
 
 doit
 
 Dans la même
 
 être prise en considération
 
 52 à Fliess (lettre
 
 [entrée/sortie], sé-
 
 restée à
 
 et cliniques
 
 laquelle trace déjà la fonction
 
 édition),
 
 au refoulement.
 
 Freud est revenu
 
 sur l’appareil
 
 pour
 
 une personne
 
 de
 
 prononcer des mots dont la représentation est pourtant clairement présente dans sa conscience. Dénomination
 
 très générale,
 
 devenue
 
 obsolète,
 
 recouvrant
 
 à la fois les aphasies
 
 motrices
 
 dues à des lésions
 
 certaines
 
 aphonies
 
 fonctionnelles
 
 tériques.
 
 Le terme
 
 avait été utilisé
 
 cérébrales
 
 et
 
 et hys-
 
 Broca en 1861 pour dénommer
 
 par P.
 
 l’atteinte
 
 du langage qu’il avait individualisée
 
 et que
 
 dès 1865, avait préféré appe-
 
 ler « aphasie ».
 
 les processus
 
 cients sont développés symbolique, reil psychique
 
 répond
 
 à la nécesEn
 
 a été produit
 
 dans
 
 tualisation
 
 dans sa corrélation
 
 aux
 
 caractère
 
 ganisme à entériner
 
 inadéquat
 
 désir et plaisir
 
 engendre
 
 Cette antinomie
 
 du désir et du plaisir
 
 révèle la fonction
 
 donc du plaisir.
 
 produit
 
 d’autres
 
 même. J. Lacan a
 
 appareils.
 
 Bien qu’ayant
 
 de frayages, dans leur diversité
 
 simultanée,
 
 tout en obéissant à l’instance cés dans leur fonction
 
 Ces schémas, élaborés
 
 Lacan,
 
 explicitent
 
 séminaires
 
 de
 
 deux faits fondamen-
 
 suscitée par le désir
 
 pas un système de régulation
 
 permettant
 
 de tempérer,
 
 libidinale
 
 originelle,
 
 et centre
 
 la
 
 en grande partie sur cette
 
 imaginaire.
 
 jonction
 
 Le second fait, déve-
 
 du symbolique
 
 dans leur rapport de l’autre), fonction
 
 la
 
 et de l’imaginaire
 
 liant
 
 (discours
 
 ainsi le refoulement
 
 à la
 
 du signifiant.
 
 contre le désir, définissant
 
 de souvenir agréable, toire),
 
 hostile ou désagréable, ou trop ou non
 
 soit inhibé.
 
 conforme
 
 le concept
 
 autrement
 
 dit de signifiant
 
 de
 
 psychique
 
 en outre le premier
 
 bolique
 
 ultérieur
 
 objet de saobjet hostile,
 
 savoir l’Autre
 
 sexuels
 
 deux faits d’observation
 
 en
 
 le champ
 
 essentiels
 
 et plus largement
 
 de
 
 primordial.
 
 dans
 
 Ce rappel de l’articulation
 
 dans les né-
 
 quisse d’une psychologie
 
 une première
 
 épure
 
 des rêves (1900) psychique
 
 compte de l’inscription, de traces
 
 dont l’effet symà la constitution
 
 de défense et de refoulement
 
 souffre
 
 cences, ces dernières
 
 tance de la fonction
 
 de réminis-
 
 sont constituées
 
 de
 
 traumatique
 
 liée
 
 au caractère
 
 Ce constat
 
 rend
 
 de l’aspect
 
 expérience rélation
 
 prématuré.
 
 inassimilable
 
 sexuelle première
 
 de toute
 
 dans sa cor-
 
 au désir ; cet inassimilable
 
 est un
 
 fait de structure. 2. Dans résulte,
 
 l’opération
 
 majeure de l’Esmontre
 
 symbolique,
 
 à la fois à ce qui est perdu
 
 vécus sexuels de nature compte
 
 historique
 
 participe
 
 », le
 
 tation des rêves, ont été élaborés à partir
 
 et à l’Autre
 
 inconscientes
 
 du prochain
 
 tisfaction,
 
 répétition,
 
 mnésiques
 
 perdu,
 
 de l’or-
 
 un lieu psychique,
 
 et conscience,
 
 de
 
 originairement
 
 comme « le premier
 
 1. Si l’hystérique
 
 entre perception
 
 de neurone
 
 désignant
 
 inducteur
 
 capable de rendre
 
 primordiale
 
 C’est ici que Freud
 
 introduit
 
 manque),
 
 que Freud présente un appareil
 
 une trace mnésique
 
 ou de déplaisir.
 
 tels qu’ils sont à l’oeuvre dans le symptôme.
 
 C’est dans l’Interprétation
 
 (hallucina-
 
 Or, cette image de sou-
 
 venir est précisément plaisir
 
 d’une image
 
 de même la seule puissance secourable » : à
 
 le
 
 plus écarté que Freud définit cette
 
 Mise en place
 
 et reste at-
 
 tentif à ce que l’investissement
 
 d’autant
 
 même.
 
 ainsi la fonction
 
 l’excitation
 
 des notions
 
 analytique
 
 part tourné
 
 refoulé, attaché à la Chose (allem. das Ding) structurale
 
 l’appareil
 
 reçues, le
 
 système est pour une grande
 
 et appelé « le complexe Signification
 
 voire de refouler
 
 laissée par une expérience
 
 au réel, comme articulés de l’inconscient
 
 des excitations)
 
 les excitations
 
 par le je, qui inhibe
 
 du moi dans sa
 
 imaginaire
 
 (par
 
 pas en mesure d’assu-
 
 apparence scientiste de ce modèle doit être
 
 parler
 
 s’il ne leur ap-
 
 de la défense, à laquelle s’attache le contrôle
 
 par le schéma optique,
 
 vroses, qui impliquent
 
 à proprement
 
 par une élévation
 
 du déplaisir),
 
 mer pleinement
 
 même perspective.
 
 dans cette
 
 plaisir-déplai-
 
 sir. Ces systèmes en réseaux seraient mena-
 
 L et R), ces derniers
 
 s’inscrivent
 
 l’ins-
 
 sous forme
 
 les désirs. N’étant
 
 le caractère
 
 désignant
 
 Les systèmes
 
 des traces mnésiques,
 
 été désignés du terme de schémas (optique,
 
 tionnement
 
 comme
 
 de
 
 de moindre
 
 des rêves assurent
 
 filtres, barrières, déviations
 
 l’hystérie,
 
 construction
 
 structurale
 
 la défense : assurer la pérennité excitation,
 
 Le désir
 
 une augmentation
 
 au processus inconscient
 
 dans son fonc-
 
 Ainsi,
 
 de l’excitation.
 
 partenait
 
 sans en subir un désordre même.
 
 qui se définit
 
 Ces appareils, de l’Esquisse et de l’Interpré-
 
 met en oeuvre
 
 foncièrement
 
 est sous la domi-
 
 moi, ça, surmoi, sans rien de nouveau quant
 
 avec une telle concep-
 
 puisqu’elle
 
 au contraire
 
 Dans
 
 Freud observe
 
 du plaisir,
 
 (engendrant
 
 figuration neurophysiologique. Loin d’être une vision mécaniciste, elle est au contraire complète
 
 du principe
 
 ception-conscience
 
 départ de S. Freud prend pour modèle une
 
 rupture
 
 psychique
 
 excessive d’excitation,
 
 loppé par les schémas L et R, démontre
 
 de
 
 que l’appareil
 
 le Moi et le Ça qui réinsère le système per-
 
 fonction
 
 d’en-
 
 l’Esquisse d’une psychologie,
 
 cription
 
 de l’appa-
 
 d’abord
 
 1923, un autre appareil
 
 par le discours
 
 car la présentation
 
 incons-
 
 saire mise en place de cette fonction.
 
 pulsion libidinale
 
 risque
 
 du
 
 dans leur fonction
 
 car la construction
 
 ou seelischer Apparat)
 
 Le terme même d’appareil
 
 (1927).
 
 tel processus.
 
 et l’Interprétation
 
 de répétition
 
 forme
 
 des pro-
 
 d’un
 
 tisme
 
 situe la fonction
 
 un lieu, celui du déroulement cessus inconscients.
 
 pas la causalité
 
 n’éclaire
 
 évoqués dans l’Esquisse d’une psychologie
 
 APPAREIL PSYCHIQUE (angl. Psychic Apparatus ; allem. psychischer
 
 élémenformalise
 
 une telle description
 
 principe de plaisir (1920) qu’avec l’automa-
 
 taux. Le premier,
 
 Figuration de la structure taire et fondamentale qui
 
 Néanmoins,
 
 des
 
 du symptôme.
 
 par une diminution
 
 psychique
 
 dans Au-delà
 
 au cours des trois premiers J. P.
 
 effets erratiques
 
 nation
 
 et
 
 va s’attacher à d’autres représen-
 
 de l’excitation.
 
 dans sa Note sur le bloc magique
 
 APHÉMIE n.f. (angl. Aphemia)
 
 veine
 
 du signifiant
 
 dans son rapport
 
 Mais c’est véritablement
 
 de
 
 la lettre
 
 112, nouvelle
 
 ce dernier
 
 tations ou traces mnésiques et produire
 
 et la com-
 
 NEUROLINGUISTIQUE
 
 la méprise
 
 1895,
 
 des rêves et qui montre
 
 X. S.
 
 gendrer
 
 fect ne peut l’être en aucun cas ; mais libre,
 
 de l’Interprétation
 
 et pragmatique).
 
 A. Trousseau,
 
 de ce lieu
 
 qui éclaire l’exposé abrégé
 
 [structure/morphologie],
 
 Impossibilité
 
 être refoulée alors que l’af-
 
 l’époque inédite,
 
 des différents
 
 pour la représenta-
 
 donc de pouvoir
 
 sous-
 
 théoriques
 
 : la possibilité
 
 de Freud
 
 dans l’Esquisse d’une psychologie,
 
 les conditions
 
 différent
 
 un destin
 
 comme trace mnésique
 
 Dès septembre
 
 une élaboration
 
 entraîne pour ces deux éléments tion de s’inscrire
 
 et des
 
 de l’activité
 
 lexicale
 
 la
 
 psychologiques
 
 de l’altération
 
 linguistiques
 
 mantique
 
 objet
 
 neurophysiologiques
 
 jacents aux activités
 
 niveaux
 
 ont pour
 
 des aires cérébrales
 
 mécanismes
 
 le montre
 
 des
 
 Comme
 
 avec W. Fliess, la formalisation
 
 des troubles
 
 détermination
 
 des rêves est
 
 tout entière tournée
 
 celui
 
 sur l’aphasie
 
 la description
 
 L’interprétation
 
 du langage
 
 niveau de l’écriture. Les travaux
 
 du symptôme.
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 fonction motricité,
 
 du
 
 de l’automatisme
 
 de
 
 primordial.
 
 la représentation
 
 qui
 
 en
 
 est séparée de
 
 l’affect. Cette déliaison (allem.
 
 Entbindung)
 
 Ainsi, la
 
 n’est pas à envisager
 
 de l’arc réflexe perception-
 
 mais indique
 
 la mise en place de
 
 traces mnésiques selon un ordre déterminé en rapport
 
 avec le refoulement
 
 Cette question
 
 reste latente
 
 originaire. dans l’appa-
 
 reil présenté dans l’Interprétation de défense
 
 attachée
 
 (signifiant
 
 de l’appareil
 
 sur le modèle
 
 l’impor-
 
 qui prend la durabilité
 
 en compte
 
 la notion
 
 et la simultanéité
 
 tions sans préciser
 
 des rêves, du temps, des inscrip-
 
 la façon dont s’opèrent 71
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 le choix
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 et l’accumulation
 
 leur fonction
 
 ultérieure.
 
 des traces
 
 ni
 
 Le fait que Freud
 
 pose que « mémoire
 
 et conscience
 
 cluent » signale que la figuration
 
 s’ex-
 
 contient
 
 entre les deux est le lieu du
 
 refoulement la notion
 
 et de l’inconscient.
 
 de perception
 
 En effet,
 
 peut être qualifiée
 
 d’hypothèse
 
 de départ pour autant que la
 
 constitution
 
 de traces mnésiques
 
 pose à l’origine. intégration qu’il
 
 Quant
 
 est d’autant
 
 va contre
 
 délibérément
 
 son
 
 plus problématique
 
 le désir,
 
 même certaines
 
 la sup-
 
 au conscient,
 
 ; « instance
 
 et
 
 qu’il occulte critique
 
 éclairer
 
 dans cet appareil certaine
 
 le paradoxe
 
 », « il
 
 contenu
 
 et qui tient au fait d’une
 
 autonomie
 
 de la fonction
 
 symbo-
 
 Dans la lettre chique
 
 de traces mnésiques
 
 la possibilité structure
 
 un bouleversement
 
 ». Cette hypothèse admet de remaniements
 
 au niveau des symptômes des inscriptions
 
 suite temporelle
 
 dans lequel s’explicite fiants comportant
 
 comment
 
 le signifiant
 
 ment de l’un à l’autre
 
 ?
 
 qui est temporellement et elle est une transd’une époque de la l’appareil
 
 est un lieu où s’opère un certain nombre Les psychonévroses
 
 au fait que « la traduction
 
 de
 
 tiennent
 
 de certains maté-
 
 riaux ne s’est pas effectuée ». « Le refus de (allem.
 
 die Versagung der Über-
 
 setzung) est ce qui s’appelle en clinique refoulement. d’une
 
 » Or, une traduction
 
 même langue
 
 un signifiant
 
 consiste
 
 au sein
 
 à substituer
 
 qui est précisément
 
 deux figures de style qu’emprunte L’appareil
 
 un
 
 à un autre, soit le processus de
 
 la métaphore,
 
 psychique
 
 l’une des
 
 domaines,
 
 l’appartenance
 
 et l’inclu-
 
 en-
 
 sion sont souvent étudiées ensemble sous les rubriques des « catégories » et de la « catégorenvoyer d’abord à l’identification,
 
 en particu-
 
 lier perceptive, comme dans la situation « (je
 
 En méthodologie générale, synonyme d’appareillage, lorsque l’on crée, à des fins expérimentales, deux GÉNÉR.
 
 2.
 
 groupes de sujets comparables en tout point, sauf en ce qui concerne la
 
 perçois que) ce stimulus en face de moi est un chat ». L’appartenance élément
 
 morceau
 
 entre
 
 un
 
 indépendante
 
 de
 
 spatiale entre les éléments.
 
 L’appartenance perceptive
 
 APPARIEMENT 2. n.m. (angl. Matching)
 
 est une relation
 
 et un ensemble,
 
 toute relation
 
 expérimentale.
 
 partitive
 
 est une relation
 
 spatiale entre un élément ou un et le tout dont il fait partie,
 
 par
 
 exemple nez dans un visage.
 
 PSYCHOL.
 
 L’élément
 
 tique
 
 semble que dans la mesure où il est proche
 
 Opération mentale hypothédans laquelle un sujet s’efforce
 
 C’est un équivalent
 
 fonctionnel,
 
 de ce qui est parfois anglaises
 
 en question
 
 n’appartient
 
 à l’en-
 
 des autres, ce qui est le cas pour les collections
 
 de faire correspondre deux représentations identiques ou semblables.
 
 figurales.
 
 en psy-
 
 désigné par
 
 de Pattern Mat-
 
 ching ou de Matching.
 
 L’appartenance
 
 schématique
 
 tification
 
 élément
 
 d’un
 
 recognitive
 
 est une iden-
 
 par assimilation
 
 à un schème perceptif
 
 ou sen-
 
 sori-moteur. J.-F. L. N.
 
 THÉRAPEUTIQUE Apartment)
 
 E. V. et J.-F. L. N.
 
 APPARTOGRAMME
 
 de quelques patients pour des durées limitées et nécessitant une présence importante, sinon continue, de personnels soignants ». L’arrêté
 
 ministériel
 
 du 14 mars 1986,
 
 « relatif aux équipements contre
 
 les maladies
 
 ainsi la définition rapeutique,
 
 mentales
 
 donc comme
 
 intermédiaire
 
 » mise à la
 
 et sa réinsertion
 
 totale dans
 
 la société. thérapeutiques
 
 une alternative
 
 prolongée,
 
 faisant
 
 l’équipement
 
 consti-
 
 à l’hospitalisation
 
 généralement
 
 ou
 
 non, de la famille. L’attribution au niveau jours
 
 et l’utilisation
 
 du territoire
 
 riches
 
 de l’espace
 
 familial
 
 d’enseignements
 
 fonctionnement
 
 sont touquant
 
 au
 
 du groupe. M. G.
 
 APPRÉHENSION
 
 (CHAMP
 
 D’)
 
 (angl. Span of Apprehension)
 
 Nombre
 
 d’éléments
 
 sition
 
 qui peuvent
 
 être
 
 au cours d’une expo-
 
 brève.
 
 Ce nombre
 
 varie de 5 à 7 éléments,
 
 ou
 
 chunks*. Il peut s’agir par exemple de lettres
 
 d’un secteur psychiatrique
 
 et
 
 ou de chiffres, ou bien encore de mots.
 
 assurant à la fois l’hébergement
 
 et le suivi
 
 thérapeutique.
 
 C. B. EMPAN
 
 J. P.
 
 De tels appartements
 
 sont gérés par des
 
 ou individuels,
 
 ils permettent
 
 ou suivant un traitement
 
 ; collectifs
 
 APPRENABILITÉ n.f. (angl. Learnability ou Language Learning)
 
 au sujet sevré
 
 de substitution*
 
 de
 
 Selon N. Chomsky,
 
 capacité
 
 l’homme
 
 à élaborer
 
 des structures
 
 les grammaires,
 
 comme un langage, déjà élaborés par Freud
 
 reconquérir
 
 comme tels.
 
 des liens affectifs, sociaux (à travers le partage
 
 gnitives,
 
 des tâches quotidiennes
 
 tuent
 
 J.-P. H.
 
 malade
 
 de
 
 où sont à reconnaître
 
 structurés
 
 membre,
 
 tel que
 
 partie
 
 centres d’accueil de toxicomanes
 
 linéa-
 
 un
 
 saisis et retenus
 
 Les appartements tuent
 
 le dessine
 
 familiale
 
 thé-
 
 du malade mental entre sa sor-
 
 tie de l’hôpital
 
 Plan de l’habitation
 
 », précise
 
 d’un appartement
 
 qui se caractérise
 
 une « structure disposition
 
 et service de lutte
 
 lieu - cette autre scène, celle du langage les premiers
 
 d’un
 
 risation ». En principe, l’appartenance devrait
 
 vise à la constitution
 
 le rêve.
 
 met donc en place ce
 
 ments de processus inconscients
 
 72
 
 à d’autres
 
 puis étendue
 
 Petite « unité de soins, à visée de réinsertion sociale, mise à la disposition
 
 ce bouleverse-
 
 vie sexuelle sur une autre. Ainsi,
 
 traduction
 
 en psychophysique,
 
 d’abord
 
 En psychologie,
 
 un élément
 
 n.m.
 
 originaire-
 
 de ces traces mnésiques
 
 des inscriptions
 
 traductions.
 
 fère A à B », etc.). Cette méthode,
 
 APPARTEMENT (angl. Therapeutic
 
 double : elle concerne le passage d’un point cription
 
 exemple, « A plus grand que B » ou « je pré-
 
 d’être
 
 SCHÈME
 
 terme, dans la suite
 
 à l’autre de l’appareil
 
 (par
 
 psychique,
 
 d’une batterie de signi-
 
 Par une traduction
 
 comparatifs
 
 la
 
 déjà une formalisa-
 
 se réalise
 
 des inscriptions
 
 semble.
 
 une série de jugements
 
 les expressions
 
 ment tombé en tant que refoulé. Mais
 
 présentées au sujet pour qu’il puisse porter
 
 comme un
 
 n.f. (angl. Membership)
 
 Propriété
 
 chologie,
 
 qui respecte
 
 de l’appareil
 
 tion de l’inscription
 
 A, B, C, D, etc., consti-
 
 APPARTENANCE
 
 tués en paires AB, AC, AD, BC, etc., sont
 
 dans la
 
 du procès de la cure. Et Freud propose schéma
 
 a
 
 de son ordre pour
 
 relations,
 
 dans l’inscription
 
 de
 
 de temps en temps,
 
 subi un bouleversement de nouvelles
 
 psy-
 
 superposition
 
 couches dans laquelle, composé
 
 d’items
 
 possibles d’un
 
 part de
 
 mécanisme
 
 R. L.
 
 par
 
 J.-F. L. N.
 
 que notre
 
 est né d’une
 
 le matériel
 
 de comparaison
 
 ?
 
 52 à Fliess, Freud
 
 « l’hypothèse
 
 ensemble
 
 variable
 
 lique et cela au niveau des traces mnésiques en tant que signifiants
 
 Méthode
 
 d’échelles ordinales.
 
 représente le moi officiel ». Comment
 
 ou de
 
 formation).
 
 Toutes les combinaisons
 
 utilisée
 
 l’inconscient
 
 perceptions,
 
 GÉNÉR. 1.
 
 (recherche d’emploi
 
 paires.
 
 deux systèmes bien séparés : cette absence de continuité
 
 et professionnels
 
 APPARIEMENT 1. n.m. (angl. Pairing)
 
 son autonomie
 
 et de restaurer
 
 dans l’appartement)
 
 le savoir-comment,
 
 innée
 
 de co-
 
 qui constile knowle-
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 dge-how, sous-jacent
 
 généralement
 
 à la performance
 
 En fait, cette notion complexe renvoie à la conception
 
 de l’esprit humain
 
 telle qu’on la
 
 trouve exprimée chez Chomsky. la notion
 
 comparaison
 
 Ce dernier
 
 d’apprenabilité
 
 par une
 
 du développement
 
 il, n’apprend
 
 écrit-
 
 pas à faire pousser ses bras ou
 
 pubère.
 
 GÉNÉR.
 
 Dans
 
 2.
 
 Il se transforme
 
 les sciences
 
 sous la
 
 Dans
 
 la définition,
 
 cité » renvoie
 
 logique
 
 Si la maturation
 
 servables
 
 est
 
 le terme
 
 du psychisme
 
 la réalisation
 
 dépend
 
 du cadre conceptuel
 
 du programme
 
 génétique
 
 est sous la dé-
 
 adopté.
 
 En première
 
 des facteurs
 
 se différencie
 
 et se constitue
 
 de milieu. l’organisme
 
 peut considérer savoir-faire,
 
 en un système
 
 de l’adaptation
 
 structure
 
 et des fonctions
 
 propres.
 
 manipulation
 
 L’esprit,
 
 quant à lui, révèle également
 
 complexité
 
 extraordinaire
 
 aussi bien dans
 
 les structures
 
 qui le composent
 
 ses capacités
 
 cognitives.
 
 main
 
 que dans
 
 Le langage
 
 en est un exemple.
 
 Pour Chomsky,
 
 on peut penser le langage humain, exactement
 
 hu-
 
 la faculté humaine
 
 ou plus
 
 du langage,
 
 dans les termes d’un « organe mental » qui se développe à l’autre,
 
 uniformément
 
 d’un individu
 
 certes sous l’effet de l’expérience.
 
 Mais ce système transcende Le langage humain façon prédéterminée, son de propriétés pèce humaine.
 
 en rai-
 
 caractéristiques
 
 de l’es-
 
 d’apprenabilité
 
 renvoie
 
 à cette détermination
 
 pement
 
 du langage,
 
 lorsqu’on
 
 donc de
 
 c’est-à-dire
 
 La notion
 
 du dévelop-
 
 développement
 
 l’observe
 
 de l’enfant
 
 d’un apprentissage.
 
 Cette
 
 rationaliste
 
 position
 
 de la manière
 
 suivante
 
 partie
 
 de l’héritage
 
 de l’espèce
 
 de telle sorte que le jeune enfant quel est le système La conséquence s’exprime
 
 de l’attention
 
 et de la motivation.
 
 les nombreuses
 
 difficulté
 
 cifiques à la situation qu’un
 
 de construire universelle
 
 une théorie de la grammaire c’est-à-
 
 dire des langues que les hommes
 
 peuvent
 
 apprendre.
 
 de la performance ou défavorables.
 
 les mécanismes
 
 G.
 
 l’analyse de la procédure Il existe plusieurs critères
 
 le critère
 
 etc.),
 
 utilisé.
 
 sont le secteur
 
 (apprentissage la nature
 
 des apLes
 
 d’activité
 
 L’empreinte.
 
 des activités
 
 (apprentissage
 
 psy-
 
 par coeur, par
 
 etc.), la nature des interactions par le tutorat,
 
 (apprentissage
 
 par
 
 par le texte, etc.). une dichoto-
 
 deux grandes classes
 
 Elle résulte
 
 étroitement
 
 des conduites subordonnées
 
 élémentaires aux stimulus
 
 dans
 
 à
 
 au cours d’une brève pé-
 
 riode de la vie dite « période sensible ». Elle se traduit
 
 de façon spectaculaire
 
 Oies ou des Canards par l’apparition
 
 chez des
 
 nouvellement
 
 d’une conduite
 
 à suivre un stimulus
 
 mobile,
 
 éclos
 
 consistant
 
 qu’il
 
 s’agisse
 
 d’un objet ou de l’expé-
 
 Ces premières
 
 expériences
 
 ont un effet différé sur les déclencheurs comportement
 
 Le conditionnement tionnement
 
 pavlovien.
 
 pavlovien
 
 en présentations deux stimulus,
 
 typique
 
 répétées dont
 
 Le condiconsiste
 
 d’un couple
 
 spécifique,
 
 nombre
 
 d’une réaction
 
 dite « réaction
 
 « stimulus
 
 carac-
 
 inconditionnelle
 
 stimulus
 
 est dit « stimu-
 
 SC », le second
 
 inconditionnel
 
 variable
 
 un
 
 le premier
 
 la même réaction
 
 le second, ou une réaction conditionnelle
 
 des sujets humains,
 
 est dit
 
 SI ». Après
 
 de couplages,
 
 déclenche
 
 « réaction
 
 pas de
 
 alors que l’autre est un
 
 régulier
 
 lus conditionnel
 
 de
 
 l’un est initialement
 
 neutre en ce sens qu’il ne provoque réaction
 
 du
 
 sexuel ultérieur.
 
 similaire,
 
 on peut utiliser
 
 comme SC, présenté
 
 que dite
 
 RC ». Ainsi, avec un son
 
 une seconde avant le
 
 SI constitué par un jet d’air au coin de l’oeil. Celui-ci
 
 déclenche
 
 une réaction
 
 de façon automatique
 
 de fermeture
 
 dizaines
 
 veau concerne
 
 pa-
 
 de l’exposition
 
 de l’activité
 
 ni-
 
 concernées
 
 (dit aussi instrumental)
 
 (c’est le réflexe palpébral).
 
 Le premier
 
 des
 
 cas, le conditionne-
 
 reliées à deux grands niveaux d’intégration psychologique.
 
 » du système
 
 et le conditionnement
 
 certains stimulus
 
 stimulus
 
 sensori-moteur,
 
 y a seulement
 
 expérimentales
 
 RI ». Le premier
 
 adoptée, etc.
 
 classifications
 
 selon
 
 usuels
 
 des erreurs,
 
 et du compor-
 
 le second.
 
 téristique
 
 de la nature
 
 mie qui fait apparaître
 
 processus ou le résultat du processus. Il est
 
 du nombre
 
 modification
 
 cas, et modification
 
 sont l’empreinte
 
 ponse, l’analyse
 
 Dans ce qui suit, on adopte
 
 le
 
 Dif-
 
 de
 
 « entrées » et des « sorties » dans le second).
 
 déclencheur
 
 l’action,
 
 environnement.
 
 respon-
 
 constatées.
 
 d’une
 
 des « entrées
 
 de bonnes réponses ou la latence de la ré-
 
 avec l’environnement
 
 avec son
 
 Elle per-
 
 reliés à la performance
 
 n.m. (angl. Learning)
 
 Modification de la capacité individu à réaliser une activité
 
 les fac-
 
 et la nature
 
 du psychisme
 
 imitation,
 
 GÉNÉR. 1.
 
 les
 
 et celles
 
 afin d’identifier
 
 APPRENTISSAGE
 
 désigne
 
 confronte
 
 sables des modifications
 
 chologiques
 
 le terme
 
 de test n’est pas
 
 changement relativement
 
 (on peut dire qu’il
 
 d’un congénère,
 
 teurs favorables
 
 verbal,
 
 Selon le contexte,
 
 Il en
 
 peut ne pas se
 
 de l’apprentissage
 
 concerné
 
 des interactions
 
 sont spé-
 
 à la mise en jeu des nouvelles
 
 prentissages
 
 GRAMMAIRE
 
 sous l’effet
 
 dans le
 
 qui
 
 susceptibles
 
 des stimulus
 
 rimentateur. L’étude
 
 d’un
 
 un comportement
 
 dans le premier
 
 de
 
 le schéma. Ils se mani-
 
 antécédents
 
 ment opérant en
 
 fait intervenir
 
 soit sous forme
 
 des stimulus
 
 chez le
 
 d’interprétation
 
 vlovien dans le premier
 
 polémiques
 
 sont utilisés, comme l’évolution
 
 de Chomsky
 
 peuvent compliquer
 
 Les situations
 
 De ce
 
 d’apprentissage.
 
 si la situation
 
 férents indicateurs
 
 des langues naturelles,
 
 d’un
 
 dont
 
 Une deuxième
 
 réel progrès
 
 des changements
 
 M.-D.
 
 est
 
 comme
 
 est que les acquisitions
 
 activités
 
 fixe, soit sous forme
 
 la contribu-
 
 et de l’acquis
 
 de l’enfant.
 
 humaine connaît
 
 car le second
 
 nombreuses festent
 
 et chez
 
 et réguliers
 
 ne peut
 
 aux modifications
 
 témoignent développement
 
 chez l’Animal
 
 déclencher
 
 les fluctuations
 
 de performance,
 
 de l’environnement
 
 permet
 
 facteurs,
 
 la fatigue,
 
 met d’inférer
 
 telle conception
 
 dans la tentative
 
 ne
 
 difficulté
 
 la maturation,
 
 qui font
 
 de règles à élaborer.
 
 d’une
 
 Les modifica-
 
 de cette étude est que la performance
 
 de l’environnement
 
 fondamentales
 
 à la
 
 premier,
 
 modification
 
 comme
 
 des propriétés
 
 au milieu
 
 du niveau
 
 sous le
 
 mais les résultats sont beaucoup
 
 Une première
 
 mentalement
 
 par
 
 Ils ont été étudiés
 
 tion
 
 modifications
 
 sont caractérisées
 
 sont très diverses,
 
 tion de l’apprentissage
 
 et règlent l’éla-
 
 élémentaires
 
 des stimulus
 
 tement
 
 d’un langage est représentée
 
 2. ces grammaires
 
 d’attitudes...
 
 potentialités.
 
 »;
 
 contrôle
 
 observée dans une situa-
 
 connaissance
 
 une « grammaire
 
 Les apprentissages
 
 plus caractéristiques
 
 L’apprentissage
 
 sur la part de l’inné
 
 par l’individu
 
 de
 
 d’évaluer
 
 Celles-ci
 
 le processus d’interprétation
 
 s’agit de savoirs,
 
 de plusieurs
 
 symbo-
 
 des réponses.
 
 de la performance
 
 la résultante
 
 les représentations
 
 l’analyse
 
 que si la situation
 
 appropriée.
 
 sans envisa-
 
 liques mises en jeu par l’individu.
 
 simultanée
 
 favorable
 
 : 1. la
 
 ger par surcroît
 
 être étudié qu’au travers des modifications
 
 manifester pourrait
 
 inob-
 
 de l’apprentissage
 
 leur manifestation.
 
 résulte
 
 de Chomsky
 
 sur le langage et son apprenabilité se résumer
 
 qui,
 
 à l’adulte,
 
 donne l’illusion
 
 sont apparentes
 
 des conduites
 
 l’Homme,
 
 de symboles.
 
 constitutives
 
 compte
 
 boration
 
 de
 
 Au second niveau, on ne peut
 
 on
 
 biologique
 
 fait il est malaisé
 
 l’expérience.
 
 se développe
 
 tions
 
 rendre
 
 conduites
 
 de la connaissance
 
 approximation,
 
 Les activités considérées
 
 chacun ayant une
 
 ces stimulus.
 
 de la situation
 
 DE
 
 et théorique
 
 d’automatismes,
 
 d’organes en interaction,
 
 une
 
 qu’il
 
 à partir
 
 déterminent
 
 « capa-
 
 dont
 
 déterminée,
 
 Ainsi, de façon prédéterminée,
 
 des ou
 
 à des caractéristiques
 
 génétiquement
 
 partielle
 
 de l’édu-
 
 PSYCHOLOGIQUES CARACTÉRISTIQUES L’APPRENTISSAGE
 
 de son héritage bio-
 
 et du milieu.
 
 prévisibles
 
 cation, modalité d’acquisition connaissances, des compétences des aptitudes.
 
 double détermination
 
 pendance
 
 présents dans l’environnement,
 
 de l’esprit
 
 avec celui du corps. Le corps humain, à devenir
 
 que la modification
 
 consiste en un progrès.
 
 linguistique.
 
 introduit
 
 entendu
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 de couplages,
 
 déclencher
 
 la fermeture
 
 faut souligner
 
 de la paupière Après plusieurs
 
 le son seul suffit
 
 à
 
 de la paupière.
 
 Il
 
 que les présentations
 
 des SC 73
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 et SI sont programmées du comportement
 
 indépendamment
 
 du sujet.
 
 Le conditionnement conditionnement d’un stimulus
 
 parfois
 
 opérant. opérant,
 
 particulière
 
 et survient
 
 toujours
 
 donc
 
 du stimulus instrumentale
 
 moyen d’obtenir
 
 tation
 
 de la probabilité
 
 diminution premier
 
 le des
 
 instrumentale
 
 entraîne
 
 si ce dernier
 
 constitue
 
 La répétition
 
 entre réponse consécutif
 
 réponse
 
 cutif
 
 celui-ci.
 
 et
 
 une augmen-
 
 d’apparition
 
 de la
 
 est agréable,
 
 et une
 
 s’il est désagréable.
 
 Dans le
 
 cas, on dit que le stimulus
 
 est un renforçateur
 
 aux stimulus des habitudes,
 
 comme d’un
 
 Le contrôle ment
 
 des stimulus
 
 intempestive
 
 de la réponse,
 
 par le stimulus
 
 consécutif,
 
 que sur sa valeur affective l’apprentissage,
 
 conduite
 
 un
 
 de l’environnement rentes.
 
 réponses,
 
 en outre
 
 antérieurs
 
 ou concomitants
 
 C’est
 
 automobile,
 
 à
 
 varient
 
 le cas dans la
 
 où l’effet d’une même
 
 commande
 
 comme accélérer ou actionner
 
 la manette
 
 de l’éclairage
 
 antérieur
 
 du véhicule.
 
 à discriminer lesquelles
 
 dépend
 
 une même
 
 effets différents.
 
 de l’état
 
 L’individu
 
 les différentes
 
 parvient
 
 situations
 
 action
 
 dans
 
 entraîne
 
 Les indices utilisables
 
 des pour
 
 cela sont dits stimulus discriminatifs. Les situations
 
 physiques
 
 de nombreuses
 
 font
 
 relations
 
 intervenir
 
 de dépendance
 
 entre des actions et leur(s) conséquence(s), par exemple
 
 lancer
 
 un vase. D’autres
 
 une boule ou heurter
 
 relations
 
 de dépendance
 
 sont arrangées par l’environnement qui renforce
 
 d’autres.
 
 chologie
 
 animale,
 
 positifs
 
 et en
 
 Dans les études de psyon a construit
 
 spécialement
 
 comme
 
 social,
 
 certains comportements
 
 pénalise
 
 le Pigeon
 
 des dis-
 
 adaptés à des espèces ou le Rat, les boîtes de
 
 Skinner. Ces dispositifs
 
 permettent
 
 de mo-
 
 difier systématiquement
 
 certaines
 
 caracté-
 
 ristiques
 
 : les renforçateurs,
 
 du programme
 
 par exemple
 
 ; des boulettes
 
 de nourriture
 
 sont délivrées de façon intermittente plusieurs
 
 appuis
 
 au lieu d’être
 
 après
 
 délivrées
 
 situations
 
 constituent
 
 trois
 
 tales caractéristiques rimentateur
 
 74
 
 ayant également
 
 une validité
 
 pouvant
 
 donc constituer
 
 Les théories
 
 de façon d’un au-
 
 de la seconde
 
 (on parle alors d’inattention).
 
 trois premiers
 
 facteurs
 
 de l’apprentis-
 
 facteurs
 
 mentionnés
 
 d’associations.
 
 La plupart
 
 (J.B. Watson),
 
 est la conti-
 
 Skinner).
 
 guïté, c’est-à-dire
 
 la simultanéité
 
 faible
 
 délai
 
 de succession
 
 ou un
 
 entre le SC et
 
 le SI dans le conditionnement
 
 pavlovien,
 
 entre la réponse instrumentale
 
 et sa consé-
 
 S-R) dont l’existence
 
 est la répétition
 
 fondamental
 
 entre deux stimulus
 
 L’effet
 
 de celui-ci
 
 comportant
 
 du couplage
 
 et le stimulus
 
 ou entre
 
 conséquent.
 
 est mis en évidence
 
 facteur tionnel
 
 par
 
 de courbes d’apprentissage
 
 en abscisses le nombre
 
 d’essais
 
 ou le temps écoulé et en ordonnées dicateur
 
 de la performance.
 
 un in-
 
 Le troisième
 
 comme
 
 variables
 
 renforçateur,
 
 étant parfois
 
 ont permis
 
 ces deux
 
 regroupées
 
 qui viennent
 
 (E.L. Thorndike, Quelques
 
 de ces dernières
 
 sous le
 
 décennies
 
 d’autres
 
 auteurs
 
 B.F.
 
 ont envisagé
 
 stimulus-stimulus
 
 (asso-
 
 tentes » ou « expectations
 
 » des sujets (E.C.
 
 Tolman).
 
 Les apprentissages
 
 complexes
 
 par des représentations
 
 Dans
 
 les situations
 
 conduite
 
 médiatisés
 
 symboliques
 
 envisagées
 
 facteurs
 
 ici,
 
 la
 
 peut être affectée par des stimulus
 
 qui ont cessé d’être perceptivement sents depuis
 
 un temps
 
 Par surcroît,
 
 parfois
 
 les stimulus
 
 c’était
 
 fort
 
 interviennent physiques, Ces
 
 avec d’autres
 
 en faveur
 
 de l’idée
 
 cas, notre
 
 et psychique
 
 représentations
 
 que
 
 qu’on leur attribue.
 
 deux faits constituent
 
 motrice
 
 long.
 
 le cas précédemment,
 
 par la signification arguments
 
 pré-
 
 que, dans
 
 activité
 
 sensori-
 
 est réglée
 
 mentales
 
 des
 
 par des
 
 qui s’intercalent
 
 et peut-être
 
 même
 
 entre les « entrées » sensorielles et les « sor-
 
 selon certains auteurs se substituer,
 
 à ceux
 
 ties » verbales ou motrices
 
 mentionnés
 
 s’ajouter,
 
 C.L. Hull,
 
 comme des « at-
 
 de nombreux
 
 d’identifier
 
 par l’effet des
 
 S-S), interprétées
 
 comme
 
 terme de renforcement. Les recherches
 
 défini
 
 (R. Guth-
 
 moins par leurs caractéristiques
 
 est l’intensité du stimulus incondiou la grandeur de la récompense
 
 utilisée
 
 de la répétition
 
 de la contiguïté
 
 des associations ciations
 
 stimulus-ré-
 
 opérant.
 
 Le deuxième une réponse
 
 ci-des-
 
 de ces théories
 
 ont envisagé des associations
 
 réponses
 
 Le premier
 
 des
 
 sus avait un rôle causal dans la création
 
 sont connus
 
 depuis longtemps.
 
 et
 
 que l’un ou l’autre
 
 rie), du renforcement
 
 cruciaux
 
 prédictive au SC.
 
 béhavioristes
 
 sage ont considéré
 
 ci-dessus.
 
 Le plus important
 
 est la validité prédictive des stimulus à l’évolution
 
 possible de la situation
 
 vidu. En première
 
 quant (on dit
 
 aussi valeur informationnelle). Un exemple très simple peut être présenté en se référant au conditionnement
 
 pavlovien.
 
 que dans une condition
 
 le
 
 SC soit présenté 100 fois, le SI 100 fois également, et que le SC soit toujours couplé typique.
 
 Imaginons
 
 condition,
 
 expérimentale
 
 maintenant
 
 une autre
 
 dans laquelle il y a 100 SC, 200
 
 SI, et où le SC est toujours
 
 présenté
 
 plé avec le SI. Il y a 100 couplages comme
 
 dans la première
 
 couSC-SI
 
 condition,
 
 cette fois le SI peut survenir
 
 mais
 
 aussi en dehors
 
 de ces couplages, sans être « signalé » par le
 
 une conception
 
 entités.
 
 lorsque la relation
 
 SC-SI, puisqu’il
 
 identique
 
 mulus
 
 Le même type
 
 que le SC est un excellent
 
 prédicteur
 
 est symbolique
 
 entre les entités « repré-
 
 arbitraire,
 
 comme
 
 toutefois
 
 des raisons
 
 représentation abstrait
 
 dans le langage. de considérer
 
 que le langage et qu’elle
 
 nécessairement sentations
 
 d’un
 
 consciente. individu
 
 à partir
 
 plus
 
 n’est pas
 
 Les repré-
 
 doivent
 
 être re-
 
 ses paroles, ce qui
 
 nécessite de nombreuses
 
 précautions
 
 mé-
 
 afin de s’assurer que toutes
 
 les hypothèses sont testables.
 
 est
 
 Non seulement
 
 du SI
 
 On a
 
 de divers indicateurs
 
 en particulier
 
 thodologiques
 
 » est que la
 
 peut avoir un support
 
 de
 
 dans les deux cas, mais au fait
 
 d’autres
 
 sentées » et les entités « représentantes
 
 cas que dans le second.
 
 au nombre
 
 des en-
 
 des substituts
 
 La représentation
 
 expérimen-
 
 Cette différence
 
 fait intervenir
 
 tités qui constituent
 
 dans le premier
 
 de certains sti-
 
 de situations,
 
 présente.
 
 Toute représentation
 
 taurer un conditionnement
 
 du couple
 
 ou une conceptualisation
 
 soit de la situation
 
 ci-dessus
 
 répétitions
 
 on peut
 
 comme étant
 
 soit d’une classe particulière
 
 indirects,
 
 n’est bien sûr pas imputable
 
 approximation,
 
 Imaginons
 
 expérimentale
 
 avec le SI. C’est la condition
 
 de chaque indi-
 
 entendre ici la représentation
 
 plus facile d’ins-
 
 un comportement
 
 par rapport
 
 ponse (associations
 
 des apprentissages
 
 contextuels
 
 des indices utiles
 
 et la « force » dépendraient Les facteurs
 
 d’un sujet sous le contrôle environnementaux.
 
 de stimulus
 
 tats clairs : il est beaucoup
 
 à l’expé-
 
 du SC. Ces résultats
 
 par la présence
 
 supplémentaires
 
 sur le comporte-
 
 alors parfois
 
 est fonction
 
 simples sont parfois rendus très complexes
 
 constituées
 
 permettant
 
 de placer
 
 prédictive
 
 donne des résul-
 
 décrites
 
 procédures
 
 la validité
 
 Il
 
 SC. Ce type d’expériences
 
 après chaque appui. Les trois
 
 de
 
 ou lors de
 
 par la substitution
 
 la construction
 
 des stimulus
 
 d’une conduite
 
 la situation.
 
 conduite
 
 l’effet des
 
 de la réponse, lorsque les consé-
 
 quences possibles selon
 
 d’abord
 
 il a été noté précédem-
 
 Elle dépend
 
 l’émission
 
 tout
 
 qui constituent
 
 conditionnelle
 
 ou d’un
 
 quence dans le conditionnement
 
 de deux façons diffé-
 
 comme
 
 contextuels
 
 la
 
 des stimulus
 
 Elle est déterminée
 
 par les stimulus ment.
 
 opérant,
 
 est sous le contrôle
 
 la réponse
 
 automobile.
 
 mier au cours de l’exécution
 
 Plusieurs
 
 plutôt
 
 constitue
 
 le conditionnement
 
 de
 
 élémentaires
 
 feedback. Dans
 
 par le fait que la probabilité
 
 tomatisme à l’action projetée lorsque surviennent des stimulus spécifiques du pre-
 
 et
 
 ou son effet sur
 
 on dit qu’il
 
 corroborée
 
 consé-
 
 entend insister sur l’information
 
 apportée
 
 son
 
 s’ajuste
 
 trajet
 
 prédicest
 
 lors de l’exécution
 
 même
 
 cas, et un mauvais
 
 teur dans le second. Cette explication
 
 de formation
 
 de la conduite
 
 se manifeste
 
 dans le premier
 
 par
 
 de la situation.
 
 des cas bien connus
 
 dans le second cas un punisseur de celle-ci. Lorsqu’on
 
 afin qu’elle
 
 successifs
 
 l’apprentissage
 
 est dite « réponse
 
 » parce qu’elle
 
 intentionnelle
 
 délibérément
 
 même scénario pour la toilette,
 
 la présentation
 
 consécutif
 
 être obtenu
 
 qui contrôle
 
 quotidienne
 
 après celle-ci.
 
 qui détermine
 
 un individu
 
 s’agit
 
 par le sujet,
 
 final peut, selon des modalités
 
 bien différentes,
 
 activité
 
 de la réalisa-
 
 tion d’une action
 
 stimulus
 
 le
 
 la présentation
 
 est dépendante
 
 couplages
 
 Dans
 
 ayant une valeur agréable ou
 
 désagréable
 
 L’action
 
 de résultat
 
 les apprentissages
 
 plexes font intervenir mais ils aboutissent
 
 com-
 
 des représentations aussi à des modifica-
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 tions stables de certaines stockées
 
 en mémoire d’inégale
 
 importance
 
 concernées.
 
 certaines
 
 connaissances
 
 mentales
 
 que d’autres
 
 de nouvelles
 
 selon
 
 En effet,
 
 en ce sens qu’elles permettant
 
 les représentations
 
 Par exemple,
 
 on peut avancer que les connaissances sumées sous les notions salité ou de sériation à la foudre
 
 premières
 
 peuvent
 
 structurantes,
 
 sub-
 
 de nombre, de cau-
 
 sont plus fondamen-
 
 tales que les connaissances comètes,
 
 de
 
 et d’acquérir
 
 connaissances.
 
 relatives
 
 aux
 
 être dites connaissances connaissances
 
 structurées.
 
 sances en fonction turant-structuré constant, tantôt
 
 de la dichotomie car, loin d’avoir
 
 la plupart
 
 un statut
 
 tantôt
 
 tanées de leur utilisation, comme
 
 contenus
 
 comme
 
 cas par exemple qui intervient rience,
 
 de connaissance manipulé.
 
 constamment
 
 mais
 
 per-
 
 et de manipuler
 
 de la notion
 
 servant
 
 qu’elles
 
 un instrument
 
 un contenu
 
 trument
 
 d’autrui.
 
 l’environnement,
 
 Tel est le
 
 principalement
 
 par l’enseignement.
 
 qui est parfois
 
 elle-même
 
 et remaniée.
 
 de techniques
 
 appropriées
 
 en évidence,
 
 comme
 
 connaissances
 
 élémentaires
 
 constituant
 
 en l’absence
 
 pour les mettre
 
 l’assemblage
 
 des schémas ou des scripts, et des différentes
 
 Ce qu’il
 
 que l’activité
 
 catégories
 
 faut souligner
 
 de l’individu
 
 ici, c’est
 
 ne se borne
 
 par à mémoriser l’information communiquée ; elle comporte tion,
 
 d’activités
 
 d’abstraction,
 
 de différencia-
 
 Différents
 
 été proposés
 
 pour expliquer
 
 connaissance
 
 de plusieurs
 
 connaissance
 
 permet
 
 d’ordre
 
 modèles
 
 sont
 
 ont
 
 comment
 
 la
 
 exemplaires
 
 de construire
 
 supérieur
 
 ou comment
 
 tion aboutit à la constitution
 
 une
 
 relative à la la répétid’informa-
 
 d’un schéma.
 
 concernent
 
 des propriétés
 
 Elles
 
 ou relations
 
 ou groupe
 
 sensorielle,
 
 qui spé-
 
 de l’entrée
 
 et qui sont donc de ce fait abs-
 
 plus souvent structurantes que d’autres. On remplace ainsi une dichotomie par un
 
 traites, comme le cardinal d’une collection, le repérage temporel en années, le lien de
 
 gradient.
 
 parenté, l’inclusion
 
 Cette différence
 
 des connaissances conception
 
 a une incidence
 
 des apprentissages.
 
 cadre d’une conception considère mécanismes
 
 Dans
 
 le on
 
 que les connais-
 
 sont acquises par des
 
 radicalement
 
 distincts
 
 des autres connaissances (N.
 
 sur la
 
 dichotomique,
 
 généralement
 
 sances structurantes
 
 innées
 
 de conception
 
 Chomsky,
 
 cadre de la conception est amené à considérer
 
 de ceux
 
 (J. Piaget) ou sont J. Fodor).
 
 Dans le
 
 d’un gradient,
 
 on
 
 que certains méca-
 
 de classe, la transitivité,
 
 la mesure d’une longueur.
 
 Leur acquisition
 
 met en jeu principalement
 
 l’apprentissage
 
 par l’enseignement
 
 (familial
 
 nel) et l’apprentissage intervenir
 
 des durées beaucoup
 
 gues que les acquisitions activité
 
 de l’apprenant
 
 difficiles
 
 à identifier.
 
 Différents
 
 notamment
 
 dans les domaines
 
 des premières
 
 curseurs
 
 visagera des connaissances notionnelles,
 
 factuelles
 
 les secondes étant plus struc-
 
 turantes que les premières, voir-faire,
 
 puis
 
 ainsi que des sa-
 
 ou connaissances
 
 Les connaissances
 
 procédurales.
 
 de la nouvelle
 
 en relation domaine, tionnels
 
 de la notion
 
 mentales permettant
 
 aux objets
 
 et entités
 
 univers,
 
 pour introduire
 
 de généralité,
 
 différents
 
 les plus rapides
 
 selon qu’elles se réfèrent à un
 
 grès.
 
 Ainsi,
 
 d’un
 
 ou à la classe (le type).
 
 acquisition
 
 celui qui entraîne un obstacle
 
 classe (une occurrence
 
 intervient
 
 constamment,
 
 Leur soit
 
 ou
 
 est délicat, car les progrès
 
 peut devenir
 
 ultérieure-
 
 pour de nouveaux
 
 une pratique
 
 m × n comme
 
 m réitérée
 
 de l’insertion
 
 initialement
 
 usuelle consiste à présenter tion
 
 toutes
 
 de lui donner un sens.
 
 une notion
 
 ment
 
 d’une
 
 rela-
 
 que le choix du précurseur
 
 degrés
 
 exemplaire type)
 
 de la notion,
 
 du
 
 dans des activités pratiques
 
 On a souligné
 
 mier ». Elles comportent
 
 concepts
 
 à travers
 
 relatives
 
 pre-
 
 des mises
 
 ou procéduraux
 
 toutes les assertions
 
 d’assiette » ou « treize est un nombre
 
 notion,
 
 d’invariants
 
 concernent
 
 le client n’a pas
 
 des mathé-
 
 de l’abstraction
 
 Elles
 
 comme « dans un fast-food
 
 travaux,
 
 servant de pré-
 
 avec les autres
 
 les occurrences
 
 sont
 
 à l’informatique, de la référence à
 
 plus anciennes
 
 factuelles. de notre
 
 plus im-
 
 et mécanismes
 
 des notions
 
 à celui des secondes. On en-
 
 et une
 
 Les facteurs
 
 sans affirmer
 
 est identique
 
 factuelles
 
 portante.
 
 connaissances
 
 que l’apprentissage
 
 Elle fait plus lon-
 
 beaucoup
 
 matiques et de l’initiation ont souligné l’importance
 
 toutefois
 
 est d’obtenir dividende
 
 l’addition
 
 d’élèves,
 
 de nombreuses
 
 divi-
 
 que l’effet de la division
 
 un résultat
 
 plus petit
 
 que le
 
 (ce qui est vrai seulement
 
 un diviseur
 
 > 1). Ils en infèrent
 
 dans les problèmes à calculer
 
 avec
 
 à tort que,
 
 comme celui consistant
 
 le prix
 
 de 0,4 kg d’un
 
 produit
 
 valant m francs le kilo, il faut utiliser division
 
 puisque
 
 inférieur
 
 à m.
 
 le résultat
 
 Les connaissances concernent
 
 anticipé
 
 les suites d’actions
 
 tions mentales un objectif
 
 une est
 
 sur les procédures.
 
 défini
 
 Elles
 
 ou d’opéra-
 
 qui permettent
 
 de réaliser
 
 dans une classe de situa-
 
 un triangle photo,
 
 équilatéral,
 
 calculer
 
 différencient interne
 
 pro-
 
 utiliser
 
 de la classe de si-
 
 où elles peuvent être utilisées avec
 
 succès. Ces connaissances
 
 possèdent usuel-
 
 lement
 
 hiérarchique,
 
 une organisation
 
 procédure
 
 étant décomposée
 
 d’ordre
 
 inférieur
 
 constituées
 
 ment linéaire
 
 plus ou moins
 
 que l’apprenant
 
 peut
 
 identifiée
 
 du pattern
 
 à partir
 
 enchaîne-
 
 rigide.
 
 Cette
 
 en relation
 
 catégories de sous-buts identifier.
 
 Elle est
 
 des erreurs et
 
 des temps de réaction
 
 observés
 
 dans des exercices diversifiés. se manifeste
 
 ici simultané-
 
 ment par des modifications l’organisation
 
 interne
 
 par son extension de situations.
 
 successives de
 
 de la procédure
 
 à un nombre
 
 L’apprentissage
 
 réalisable exclusivement
 
 croissant est parfois
 
 souvent
 
 par une combinaison
 
 viennent
 
 l’enseignement
 
 l’action.
 
 où inter-
 
 (voire
 
 le texte) et
 
 Dans le second cas, l’apprenant
 
 invité à « appliquer
 
 » les instructions
 
 observance
 
 des instructions
 
 déjà complexe, ments
 
 montre
 
 aux termes
 
 fois plusieurs
 
 est une affaire les élé-
 
 qui correspondent
 
 mentionnés
 
 tions. Par surcroît,
 
 mais
 
 que la simple
 
 car il faut identifier
 
 de la situation
 
 dans les instruc-
 
 un même élément a par-
 
 significations
 
 ou fonctions
 
 [cf. le signe + dans l’expression
 
 + 4 + (-2)].
 
 Les choses sont encore plus complexes faut adapter situations
 
 est
 
 ou les
 
 règles qui lui ont été communiquées, l’analyse de l’activité
 
 et
 
 par l’action et plus
 
 la procédure
 
 s’il
 
 enseignée à des
 
 inédites.
 
 Dans les domaines
 
 conceptuels
 
 structurés
 
 la multiplica-
 
 tiques,
 
 les connaissances
 
 permet
 
 d’un
 
 est généralement
 
 avec les différentes
 
 du pattern
 
 en unités
 
 comme les règles locales,
 
 au lieu d’être organisation
 
 la
 
 en plusieurs
 
 et celles-ci
 
 tement
 
 du nombre
 
 Elles se
 
 par leur mode d’organisation
 
 et par l’extension
 
 tuations
 
 un appareil
 
 une proportion.
 
 pédagogique
 
 n fois. Cette pratique
 
 à des interpréta-
 
 Ainsi, beaucoup
 
 réalisé
 
 L’apprentissage
 
 ou institution-
 
 par l’action.
 
 nismes peuvent intervenir à la fois pour les connaissances structurantes et pour les structurées,
 
 tions restrictives.
 
 sous-procédures notionnelles.
 
 d’attributs
 
 connaissances
 
 il peut conduire
 
 tions plus ou moins large, comme dessiner
 
 de mise en relation,
 
 de généralisation.
 
 d’une catégorie
 
 perçue ou également
 
 cifique
 
 que certaines
 
 des
 
 en faisceaux
 
 sance est variable, moins
 
 diversifié,
 
 d’autres
 
 pas à un attribut
 
 pas
 
 car, s’il n’est pas suffisamment
 
 Cependant,
 
 ne correspondent
 
 demeure
 
 important
 
 lées par l’apprenant.
 
 peu ou pas manifestes
 
 n’est plus un entier. Le
 
 choix des exemples présentés est également
 
 sions, considèrent
 
 sont générale-
 
 5 × 3, ou même 5,5 × 3,
 
 d’itérations
 
 formu-
 
 en soit, et même si le statut d’une connaisil n’en
 
 nombre
 
 propositions
 
 aspects de ces acquisitions
 
 un sens à des
 
 mais non à 5 × 3,5 ou à 5,4 × 3,5, puisque le
 
 cite par les nouvelles
 
 Les connaissances
 
 Quoi qu’il
 
 exercices comme
 
 après avoir
 
 tion de certaines configurations
 
 expé-
 
 l’appren-
 
 aisément à l’élève de donner
 
 tions sont souvent attestées de façon expli-
 
 comme notre
 
 avec
 
 Ces acquisi-
 
 de causalité, ins-
 
 par
 
 par le texte et
 
 catégorie elle-même,
 
 à structurer
 
 remise en question
 
 ou
 
 définis
 
 des interactions
 
 tissage par l’observation, l’image,
 
 de
 
 Elles relèvent de plu-
 
 à la nature
 
 une large part
 
 momen-
 
 selon
 
 de réorganiser
 
 d’autres
 
 sont
 
 structurées.
 
 Leur statut dépend des modalités sont utilisées
 
 struc-
 
 des connaissances
 
 structurantes,
 
 mettant
 
 rapport
 
 utilisées.
 
 classer les connais-
 
 de chaque
 
 soit par la communication
 
 l’organisation
 
 On ne peut toutefois
 
 propre
 
 sieurs sortes d’apprentissages,
 
 ment
 
 ou à Jules César. Les
 
 les secondes,
 
 individu, l’expérience
 
 sont plus fonda-
 
 des instruments
 
 structurer
 
 à
 
 Ces modifications
 
 les connaissances
 
 constituent
 
 au cours de l’expérience
 
 et assimilables
 
 des connaissances. apparaissent
 
 représentations
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 comme
 
 dures sont étroitement connaissances
 
 les mathémasur les procé-
 
 imbriquées
 
 notionnelles
 
 très for-
 
 avec les
 
 : les premières 75
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 facilitent
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 l’appropriation
 
 secondes
 
 donnent
 
 premières
 
 des secondes, les
 
 une justification
 
 et permettent
 
 très exactement
 
 de discriminer
 
 les circonstances
 
 sont pertinentes.
 
 aux
 
 Les secondes permettent
 
 cognitif.
 
 notamment
 
 l’accessibilité
 
 la probabilité
 
 et se manifestent
 
 tion
 
 des procédures,
 
 que l’utilisa-
 
 de rappel ou par la rapidité
 
 puisse avoir
 
 ment. Ces variations
 
 notamment
 
 d’une même procédure
 
 des résultats différents
 
 (par exemple que le
 
 résultat de la division
 
 soit tantôt plus petit,
 
 tantôt plus grand que le dividende) des procédures utilisées
 
 différentes
 
 pour atteindre
 
 ou que
 
 puissent
 
 être
 
 un même objectif
 
 (par exemple que retrancher
 
 4 soit équiva-
 
 procéduralisées.
 
 des connaissances
 
 dures est constituée celui
 
 (ce terme est préférable
 
 d’autres
 
 et qui, de ce fait,
 
 Il s’agit de savoir-faire
 
 peut aisément est difficile
 
 mettre
 
 ou impossible
 
 que l’on
 
 de les décrire sous de les commu-
 
 Il en existe de nombreux
 
 familiers
 
 dans le domaine
 
 comme
 
 garder
 
 son équilibre
 
 des compétences
 
 ment répandues tives. Certains ploient
 
 individus
 
 étant incapables
 
 ont par-
 
 par des théoriciens dans la liaison et à des béha-
 
 cogni-
 
 par exemple em-
 
 d’en expliciter
 
 ont une aisance
 
 tout en les règles,
 
 exceptionnelle
 
 Indé-
 
 rationnelles dans notre sosont supposées contribuer
 
 au développement Ainsi, Vygotski propriation modifier
 
 accordée
 
 cognitif
 
 des individus.
 
 par l’enfant
 
 : la connaissance
 
 et, par conséquent,
 
 acquises devient
 
 acquiert
 
 dans
 
 réfléchie
 
 statut d’outil
 
 cognitif.
 
 nautés
 
 des concepts est par une formule
 
 des situations
 
 C’est pour cette raison que
 
 de telles informations
 
 peuvent rester long-
 
 temps associées aux contextes dans lesquels elles ont été introduites.
 
 L’apprentissage
 
 lisation
 
 et de recontextualisation.
 
 Les connaissances constituer
 
 rationnelles
 
 d’être constituées d’un travail humaines
 
 mathématiciens, siciens,
 
 ont la paren systèmes,
 
 collectif
 
 de commu-
 
 spécialisées
 
 (celles
 
 des biologistes,
 
 des historiens,
 
 des
 
 des phy-
 
 ces derniers. nombreux
 
 Cela a été montré
 
 domaines histoire,
 
 des individus spontanées,
 
 aux interventions sont fondées
 
 et de valida-
 
 très résistantes
 
 sur l’expérience
 
 personnelle
 
 un caractère
 
 L’apprentissage pensé en termes
 
 en ces domaines
 
 est ainsi
 
 de changement
 
 cognitif
 
 puisqu’il impose des modifications importantes quant à la manière d’appréhender Les conditions
 
 permettant
 
 cognitive
 
 conduit
 
 la prise de conscience,
 
 décalage entre le savoir-faire
 
 il en résulte de nombreuses
 
 l’autocontrôle
 
 des activités
 
 acquis une grande domaine,
 
 connaissance
 
 soit au contraire
 
 chez les enfants.
 
 Il résulte souvent dans le premier automatisation ment
 
 d’explicitation
 
 ou relations
 
 adjonctions
 
 aux éléments
 
 Une conception
 
 est inadéquate.
 
 d’avoir
 
 loppemental
 
 voir les modalités connaissances. veloppement
 
 ne se réduit de nouveaux
 
 cumulative
 
 Certains
 
 des
 
 pour
 
 progrès
 
 étudier
 
 formation
 
 les
 
 que pour concede telles
 
 Par exemple, l’étude du dédes compétences
 
 des opérateurs
 
 concernant
 
 additifs
 
 montre
 
 très lente entre trois ans et
 
 en petites
 
 d’utiliser
 
 quantités,
 
 des objets les enfants
 
 de 4 à 5 ans sont capables de deviner quantité
 
 ce
 
 de vue déve-
 
 de transmission
 
 douze ans. À condition familiers
 
 Des
 
 nécessaires,
 
 un point
 
 aussi bien
 
 une évolution
 
 mention-
 
 déjà mémorisés.
 
 seulement
 
 qui impose
 
 l’utilisation
 
 les connaissances
 
 pas à de simples
 
 progrès
 
 et
 
 aux actions réussies.
 
 nées ci-dessus, l’apprentissage
 
 années sont généralement
 
 processus d’apprentissage
 
 cas,
 
 d’abstraction
 
 des propriétés
 
 toutes
 
 éléments
 
 initiale-
 
 et, dans le second
 
 d’une absence provisoire
 
 Pour
 
 cas d’une
 
 de composantes
 
 conscientes
 
 communes
 
 dans un
 
 du point de vue de leur apprentissage.
 
 une
 
 cachée si on exécute une trans(par exemple, j’ai trois bonbons
 
 les théories
 
 dus. La perspective clinique
 
 au savoir
 
 psychosociale,
 
 on abandonne
 
 rarement
 
 une connaissance
 
 non satisfaisante
 
 sans contrepartie).
 
 le progrès
 
 souvent
 
 prend
 
 la forme
 
 Mais
 
 si cette même
 
 opération
 
 porte
 
 sur des
 
 transformations
 
 (par exemple, l’après-midi
 
 d’une
 
 Jacques a perdu 6 billes, en fin de journée il
 
 le point de vue
 
 de coopération, suscitent
 
 de travail
 
 L’approche : les situations
 
 en favorisant
 
 des conflits
 
 spécifiques
 
 de vue, la né-
 
 culturelles
 
 est reconnue, bien
 
 les caractéristiques
 
 Des phénomènes,
 
 interactionnelle,
 
 dence dans le champ de la communication semblent jouer un rôle déterminant. A. W.-B.
 
 rieures,
 
 la différenciation
 
 d’une
 
 il passé le matin ?). La connaissance des sys-
 
 Les facteurs
 
 tèmes de notation
 
 Les facteurs les plus importants
 
 tion de nouveaux structure
 
 éléments dans une même
 
 de connaissances,
 
 deux structures superordonnée. plus évidents
 
 l’intégra-
 
 l’intégration
 
 de
 
 sous une même troisième Si les changements sont qualitatifs,
 
 les
 
 il en existe
 
 d’écriture lement
 
 qu’il a 14 billes de plus ; que s’est-
 
 des nombres) des modifications
 
 des individus. jours
 
 (par exemple, le système
 
 Celles-ci
 
 immédiatement
 
 entraîne
 
 généra-
 
 des conduites ne sont pas tou-
 
 la
 
 mis en évi-
 
 s’aperçoit
 
 duales,
 
 cru-
 
 tels que l’empathie,
 
 anté-
 
 en deux notions
 
 en
 
 de vue de l’apprentissage.
 
 des connaissances
 
 notion
 
 et sociales
 
 sans qu’on
 
 restructuration comme
 
 sup-
 
 à l’apprentissage.
 
 Quels que soient les points cessité de médiations
 
 les échanges,
 
 socio-cognitifs
 
 posés être bénéfiques
 
 synchronie
 
 et du rap-
 
 des individus.
 
 sur les modalités
 
 12 ans, trois
 
 échouent
 
 rejoint
 
 de son côté, attire l’attention
 
 s’agit le plus souvent
 
 des enfants
 
 des indivi-
 
 interpersonnelles
 
 ciales du point
 
 quarts
 
 ainsi que
 
 pour mettre en avant l’importance
 
 des relations port
 
 la
 
 historico-culturelle
 
 héritée de Vygotski
 
 ferme, combien
 
 car
 
 cognitives,
 
 de la connaissance
 
 connaisse
 
 de substitution,
 
 empirique),
 
 maîtrise des systèmes sémiotiques
 
 dans ma main, j’en ajoute deux et je la re?). À
 
 réflé-
 
 chissante (sur laquelle Piaget a mis l’accent
 
 consistent au contraire en l’élimination de propositions ou de règles erronées (il
 
 en ai-je maintenant
 
 à valoriser
 
 l’abstraction
 
 à l’abstraction
 
 soit chez ceux qui ont
 
 de
 
 sont encore mal connues.
 
 en l’opposant
 
 conséquences
 
 d’évidence,
 
 sont le plus souvent implicites.
 
 etc. Tous ces aspects étant très imbriqués,
 
 spécifiques,
 
 », selon les puisqu’elles
 
 La perspective
 
 d’expression
 
 »,
 
 didactiques
 
 ensembles
 
 de rela-
 
 etc.) : les conceptions
 
 auteurs) sont généralement
 
 et qu’elles
 
 dans de physiques,
 
 « misconceptions
 
 tels changements
 
 de concepts,
 
 (sciences
 
 de
 
 (« naïves », « naturelles
 
 etc.). Ces systèmes sont caractérisés par des organisés
 
 peuvent
 
 des obstacles à l’acquisition
 
 les situations.
 
 des économistes,
 
 non rationnelles
 
 tion, de modes de traitements
 
 se manifeste
 
 des
 
 où l’usage de telle définition
 
 pour résoudre les équations algébriques mais ne peuvent décrire leur stratégie. Ce citation
 
 la définition
 
 concepts en jeu, ni sur les caractéristiques
 
 qui leur donne
 
 tions, de formes
 
 et son expli-
 
 de nota-
 
 ni sur les caractéristiques
 
 biologie,
 
 avait pour effet de
 
 les connaissances
 
 l’action
 
 aux
 
 a avancé l’idée que leur ap-
 
 Les connaissances
 
 moins large-
 
 le subjonctif
 
 rationnelles.
 
 connaissances ciété, celles-ci
 
 résultats
 
 aux systèmes
 
 procède alors de processus de décontextua-
 
 de la valeur
 
 alors qu’ils
 
 n’informe
 
 est appropriée.
 
 pendamment
 
 ticularité
 
 afférentes
 
 entre les signifi-
 
 physique
 
 C. G.
 
 à bicyclette
 
 dans les habiletés
 
 parfaitement
 
 d’autres
 
 exemples
 
 sensori-moteur,
 
 ou faire un noeud de cravate, concernent
 
 est
 
 en oeuvre alors qu’il
 
 forme de règles permettant niquer.
 
 sou-
 
 dans le même sens mais qui a
 
 acceptions
 
 ambigu).
 
 procédurales,
 
 des relations
 
 d’une grandeur
 
 invoqués
 
 Les connaissances à
 
 cations
 
 avec
 
 avec des chiffres).
 
 de ce recouvre-
 
 Une
 
 des procé-
 
 au comptage
 
 Par exemple,
 
 (par exemple J.R. Anderson),
 
 mais les éléments
 
 passage du comptage
 
 les doigts
 
 particulières
 
 en soi délicate.
 
 réponses comme chez les théoriciens
 
 par des connaissances
 
 de connaissances
 
 vent utilisé
 
 cognitivistes
 
 (par exemple,
 
 tion et les caractéristiques
 
 avec le concept de
 
 « force » d’une liaison
 
 des difficultés
 
 d’indice
 
 quantitatives
 
 fois été conceptualisées
 
 par
 
 vioristes.
 
 Les connaissances
 
 procéduralisées
 
 d’une autre servant
 
 peut entraîner
 
 La maîtrise
 
 une informa-
 
 ne sont pas réduits à des stimulus
 
 lent à ajouter - 4).
 
 sous-classe
 
 concernent
 
 des informations
 
 de recouvrer
 
 à partir
 
 un
 
 du fonction-
 
 Ces derniers
 
 stockées en mémoire
 
 appa-
 
 et jouent
 
 rôle dans l’efficience
 
 rentes enregistrées au cours de l’utilisation tion
 
 76
 
 grand
 
 qui sont quantitatifs
 
 nement
 
 où elles
 
 également de lever les contradictions
 
 d’autres
 
 des apprentissages
 
 non pas l’environnement, apprentissages nant,
 
 puisque
 
 connaissances
 
 élémentaires,
 
 l’usage d’un système de notation
 
 nouveau
 
 qu’il
 
 active,
 
 antérieures
 
 concernent
 
 comme dans les
 
 et plus particulièrement
 
 positives
 
 complexes
 
 mais l’apprecelles des disponibles
 
 ainsi que les activités
 
 cogni-
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 tives de traitement déploie.
 
 de l’information
 
 Les connaissances
 
 dans la construction momentanée donner
 
 et dans la recherche
 
 de
 
 à ses éléments,
 
 Les activités
 
 qui conduisent présentation
 
 momentanée
 
 déterminent
 
 de la re-
 
 de la situation,
 
 de façon très stricte ce qui sera
 
 L’intervention
 
 de ces facteurs
 
 d’une expression
 
 L’effet
 
 du feedback
 
 est
 
 trinsèque,
 
 c’est-à-dire
 
 l’utilisation
 
 supplémentaires informations
 
 apprenant
 
 des analogies,
 
 les
 
 et de les
 
 peuvent
 
 des oppositions,
 
 la déduction
 
 possibles.
 
 Elles peuvent
 
 antéprendre
 
 dispositif,
 
 mémorisées
 
 par l’apprenant,
 
 tions de l’auteur
 
 préalablement
 
 et de
 
 cibles
 
 les élabora-
 
 Si on compare
 
 tions d’apprentissage tuations
 
 d’apprentissage
 
 à
 
 des situa-
 
 intentionnel
 
 et des si-
 
 incident
 
 (voir
 
 après, à propos de la motivation),
 
 ci-
 
 l’effet des
 
 élaborations de l’auteur est limité au second cas. Cependant, les élaborations de l’auteur s’avèrent efficaces lorsque le texte concerne des procédures
 
 (par exemple relatives
 
 de gestion de fichiers)
 
 de l’apprentissage
 
 consiste en l’utilisation
 
 Un bon procédé les élaborations
 
 pour susciter
 
 et orienter
 
 thématique
 
 Advance Organizers),
 
 préliminaires d’un texte (angl.
 
 comme
 
 les résumés,
 
 titres et sous-titres, ont une grande utilité, de même que toutes marques linguistiques permettant formations
 
 d’attirer
 
 l’attention
 
 sur les in-
 
 importantes.
 
 L’apprentissage
 
 prentissage
 
 le texte est lu en vue de son utili-
 
 lorsqu’il
 
 Dans l’ap-
 
 des apprentissages
 
 entre la motivation
 
 et l’apqu’on ne
 
 Cependant,
 
 accessible à un rappel
 
 dans de nombreuses
 
 tions étudiées,
 
 situa-
 
 moins
 
 elle n’est ni une condition
 
 continuer
 
 automatique)
 
 intentionnel
 
 entre
 
 apprentissage
 
 et apprentissage
 
 des façons d’étudier
 
 incident.
 
 ce facteur
 
 consiste
 
 assigner aux sujets des objectifs Une expérience
 
 classique
 
 mémoriser
 
 à
 
 différents.
 
 consiste
 
 senter un même matériel
 
 Une
 
 verbal
 
 à pré-
 
 avec des
 
 selon les sujets, comme
 
 les mots présentés, sur les graphismes
 
 ter des jugements
 
 porter
 
 des
 
 utilisés, por-
 
 sur la catégorie
 
 tuelle des mots. En soumettant
 
 concep-
 
 tous les su-
 
 conduite.
 
 pas être confondu
 
 résultats comparables à ceux du deuxième.
 
 ont des
 
 et très supérieurs Ainsi, ce qui est
 
 d’apprendre,
 
 mais les activités
 
 de traite-
 
 jets sans intention moins
 
 répandue,
 
 que, quel
 
 la motivation,
 
 que soit le degré de
 
 celle-ci
 
 est inopérante
 
 si le
 
 les diverses
 
 inconscient
 
 la tâche nécessite une longue procédure que l’indication
 
 et
 
 sur la réussite survient seu-
 
 donner
 
 indispensables
 
 pour analyser et
 
 un sens aux informations
 
 censées être passées inaper-
 
 résultats
 
 sont beaucoup
 
 affectent
 
 l’exploration à certains
 
 d’un attribut
 
 à négliger les facteurs motivationnels,
 
 riation
 
 tante qui s’en dégage est que la motivation
 
 que des patients
 
 incite
 
 aucun
 
 les messages d’erreur
 
 ne spécifient
 
 pas la
 
 nature de celle-ci (par exemple, en algèbre,
 
 l’apprenant
 
 jeu les stratégies
 
 à mettre d’étude
 
 lui-même
 
 en
 
 et les opérations
 
 ou l’ajuste-
 
 d’un
 
 la localisation
 
 la fréquence
 
 certaines activités,
 
 d’oc-
 
 ou le degré de cova-
 
 assimilées automatiquement. souvenir
 
 dispositif.
 
 l’idée que cer-
 
 deux attributs
 
 démuni
 
 lorsque
 
 visuelle
 
 comme
 
 currence
 
 à mieux
 
 son action
 
 conduites,
 
 signaux
 
 taines informations
 
 lement à la fin de celle-ci. Il se trouve aussi pour rectifier
 
 que des
 
 certaines
 
 auteurs défendent
 
 entre
 
 Les
 
 non détectées consciemment
 
 néanmoins
 
 comme
 
 des
 
 plus controversés
 
 le test consiste à montrer
 
 tées. Ce qui précède ne doit pas conduire leur rôle. L’idée impor-
 
 explicite
 
 de leur présentation.
 
 d’un élément,
 
 mais
 
 d’un apprentissage
 
 lorsque le test de l’acquisition
 
 spatiale
 
 analyser
 
 présen-
 
 pas de
 
 informations
 
 Plusieurs
 
 prérequis
 
 Il n’existe
 
 par un rappel
 
 qui,
 
 des
 
 effectuées
 
 est constitué
 
 réalisation
 
 sont
 
 à leur insu
 
 tentatives
 
 pour cela en laboratoire.
 
 très
 
 de sujets
 
 ne peut être réalisé
 
 ment
 
 considérée,
 
 à une opinion
 
 le conditionnement
 
 humains
 
 sujet ne dispose pas des outils conceptuels dans la tâche
 
 sont néan-
 
 des informations
 
 utilisées. Contrairement
 
 cation d’une réussite ou d’un échec dans la
 
 lorsque
 
 d’apprendre
 
 très conscients
 
 montrent
 
 de nombreuses
 
 in-
 
 cident car, dans les études réalisées, les su-
 
 çues au moment
 
 ici, c’est non pas l’intention
 
 ne doit
 
 avec l’apprentissage
 
 données convaincantes
 
 groupe
 
 des informations
 
 Ce type d’apprentissage
 
 non dans les deux autres, on constate et le troisième
 
 (ou
 
 non consciemment identifiées lors de leur occurrence affectent ultérieurement la
 
 malgré
 
 le premier
 
 à
 
 On par-
 
 inconscient
 
 lorsque
 
 jets à un test de rappel des mots présentés, test attendu dans le premier groupe mais que
 
 et néan-
 
 la conduite
 
 tré par l’opposition
 
 lera ici d’apprentissage
 
 du feedback, mais pas exclusi-
 
 il y a eu erreur,
 
 à affecter
 
 la suite de son automatisation.
 
 mationnelle
 
 rer en quel point
 
 conscient
 
 nécessaire ni une condition suffisante de l’apprentissage. Le premier point est illus-
 
 informations
 
 avant de repé-
 
 ait
 
 peut ne plus être
 
 consciemment
 
 observations
 
 nant peut errer longtemps
 
 que leur acquisition
 
 acquise
 
 Par ailleurs,
 
 L’appre-
 
 Cela n’im-
 
 : une connaissance
 
 lorsque
 
 poursuivi.
 
 connaissances
 
 eu lieu inconsciemment
 
 à apprendre.
 
 de l’objectif
 
 ?
 
 (comme le sont de nom-
 
 plique aucunement
 
 ment réalisées sur le matériel
 
 est l’indi-
 
 que
 
 inconscients
 
 breux processus de traitement).
 
 par l’action, les progrès sont tributaires de la valeur informinimale
 
 dans des problèmes
 
 est lu pour être mémorisé.
 
 prentissage évidemment
 
 vement. L’information
 
 texte ne sont
 
 le croit habituellement. La motivation est une importante condition facilitatrice.
 
 déterminant
 
 par l’action.
 
 d’un
 
 acquises
 
 pas les mêmes, et sont moins superficielles
 
 sont inconscientes
 
 sont plus complexes
 
 jugements
 
 dans le texte. Par ail-
 
 leurs, toutes les informations
 
 dans plusieurs
 
 est plus rapide
 
 et motivation
 
 tâches différentes
 
 diverses.
 
 du lecteur consiste à intro-
 
 des questions
 
 sur le contenu
 
 à un
 
 et que le test
 
 de celles-ci dans des circonstances
 
 comme une sorte
 
 que les connaissances
 
 de la lecture
 
 Existe-t-il
 
 Apprentissage
 
 ne
 
 par l’apprenant.
 
 sation ultérieure
 
 ensemble
 
 définies
 
 L’apprentissage
 
 Les relations
 
 ne sont pas efficaces, ou
 
 celles du lecteur.
 
 duire
 
 d’un
 
 la motivation
 
 On a par exemple constaté
 
 lorsque
 
 organisent
 
 de la
 
 précis poursuivis
 
 à l’issue
 
 et de
 
 Par ailleurs,
 
 On sait que de nombreuses
 
 consiste
 
 ne le sont que très peu, comparativement
 
 de mémorisation
 
 : elle est liée aux
 
 sujets sont très
 
 du texte, et insérées dans celui-ci, le test de l’apprentissage
 
 objectifs
 
 à
 
 indifférencié
 
 expériences
 
 accidentels
 
 à partir
 
 chez les seconds.
 
 d’un
 
 commencent
 
 sous l’effet, en particulier,
 
 très contrastées
 
 alors que d’autres
 
 être réalisées par
 
 volontaire
 
 de pouvoir
 
 d’une
 
 d’un ensemble d’ob-
 
 l’induction,
 
 déductions.
 
 en un simple rappel des informations
 
 logiciel
 
 l’insuccès.
 
 de découverte
 
 des constats
 
 des conséquences
 
 des méthodes
 
 de cet âge,
 
 entre les deux
 
 car les enfants
 
 acquérir à
 
 apparaissent
 
 doit pas être considérée
 
 dépendants
 
 d’hypothèses
 
 des refor-
 
 les différences
 
 la même
 
 Au-delà
 
 imputer
 
 deux démarches
 
 leur exploration
 
 d’éléments.
 
 scolarisation.
 
 ont été observées. Certains
 
 ou par le lecteur du texte.En règle générale, lorsque
 
 qu’il pourra
 
 (apprentissage incident) et ceux
 
 c’est à l’hypothèse
 
 d’une hypothèse,
 
 Dans les situations
 
 comme des exemples,
 
 mulations,
 
 élabore son activité
 
 jets ou d’une règle de fonctionnement
 
 d’expliciter
 
 la
 
 dont celle-ci est « pilotée ». Ainsi,
 
 lorsqu’un
 
 de regarder
 
 auxquels on demande d’apprendre le matériel présenté (apprentissage intentionnel) :
 
 conditions,
 
 manière
 
 on demande
 
 6 ou
 
 entre des
 
 les uns et les autres mémorisent
 
 dont
 
 sorte
 
 ainsi que, jusqu’à
 
 enfants auxquels
 
 de l’action,
 
 qui est en quelque
 
 à l’apprentis-
 
 7 ans, il n’y a pas de différence
 
 proportion
 
 d’informations
 
 avec les connaissances
 
 des formes multiples,
 
 in-
 
 règle de catégorisation
 
 permettant
 
 rieures. Ces élaborations
 
 informationnelle
 
 des élaborations,
 
 cibles à apprendre
 
 coordonner
 
 l’auteur
 
 travaux
 
 nécessaires
 
 sage. On constate
 
 il est interprété. Cette interprétation est déterminée par le niveau d’organisation
 
 elle-même
 
 par le texte. Dans l’appren-
 
 pas seule-
 
 mais aussi de la manière
 
 L’apprentissage
 
 l’importance
 
 dans la
 
 en une autre,
 
 ne dépend
 
 de sa valeur
 
 partir
 
 ont montré
 
 au lieu de
 
 de traitement
 
 ou d’écouter
 
 modulée par le type d’apprentissage.
 
 tissage par le texte, de nombreux
 
 à factoriser
 
 ou vice versa, erreur
 
 réécriture
 
 ment
 
 et
 
 et les analogies
 
 à un changement
 
 erreur stra-
 
 etc.).
 
 utiles
 
 de l’apprenant,
 
 les inférences
 
 consistant
 
 développer,
 
 une réponse aux problèmes
 
 en particulier
 
 appris.
 
 permettant
 
 d’informations
 
 de calcul arithmétique,
 
 tégique
 
 d’une représentation
 
 une signification
 
 rencontrés.
 
 erreur
 
 interviennent
 
 de la situation
 
 pour élaborer
 
 qu’il
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 amnésiques conscient
 
 peuvent
 
 être
 
 Notons
 
 enfin
 
 ne gardent
 
 d’avoir
 
 réalisé
 
 comme le jeu de la tour 77
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 de Hanoi,
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 alors que, lorsqu’ils
 
 conservent
 
 jouent,
 
 le bénéfice des procédures
 
 ils
 
 Troisième
 
 classe : les activités
 
 ap-
 
 troisième
 
 classe englobe les différents
 
 pements
 
 d’activités
 
 prises précédemment.
 
 d’engendrer Les mécanismes
 
 Les théories tissage
 
 ou les modèles
 
 doivent
 
 mécanismes
 
 spécifier
 
 les changements
 
 intervenir
 
 les
 
 dans
 
 de la compétence
 
 Contrairement
 
 béhavioristes,
 
 sont
 
 d’un
 
 aux théories
 
 qui tentent
 
 mécanisme,
 
 toutes les théories cognitivistes
 
 mécanismes à l’action
 
 Par ailleurs,
 
 les
 
 causale d’un facteur de l’environpar l’auteur,
 
 mais plutôt
 
 à une combinaison
 
 particulière
 
 d’opéra-
 
 tions de traitement
 
 provoquant
 
 un chan-
 
 gement défini L’effectivité
 
 de l’état des connaissances.
 
 de ces mécanismes,
 
 leur propriété rendre
 
 compte,
 
 modèles
 
 de simulation
 
 mécanisme
 
 souvent
 
 n’y ait pas de consensus
 
 souvent
 
 Un
 
 comme
 
 de règles formelles.
 
 des mécanismes,
 
 plusieurs
 
 invoqués.
 
 Bien
 
 sur la liste
 
 d’entre eux sont
 
 On peut les répartir
 
 en
 
 trois classes. Première titatives.
 
 classe : les modifications
 
 modifications
 
 quan-
 
 classe concerne
 
 quantitatives
 
 paramètres
 
 de connaissances
 
 les
 
 et
 
 Les mécanismes
 
 découverte
 
 d’une similitude
 
 partielle
 
 : la entre
 
 renforcées
 
 par la réussite.
 
 quer en faveur mentation
 
 de ce mécanisme
 
 de nombreux
 
 phénomènes
 
 lesquels la fréquence d’occurrence lisation
 
 d’incrédans
 
 ou d’uti-
 
 d’un mot ou d’un signal entraîne
 
 une diminution connaissance
 
 graduelle
 
 du seuil de re-
 
 et du temps de réaction.
 
 à de nouveaux
 
 Les résultats font apparaître
 
 de très grandes
 
 restrictions
 
 d’un transfert.
 
 à l’intervention
 
 que des problèmes
 
 situation
 
 présente, dite « situation
 
 cible »,
 
 ment les mêmes valeurs numériques
 
 conduit
 
 à rechercher
 
 simili-
 
 même calcul sont de difficulté
 
 tudes éventuelles.
 
 Les similitudes
 
 des fonctions,
 
 de segments de
 
 des sous-buts.
 
 étant différentes,
 
 Les deux situa-
 
 l’identification
 
 de
 
 nécessite une abstraction
 
 plus
 
 ou moins importante - la formulation
 
 ;
 
 et le test d’hypothèses déjà connues
 
 ou plusieurs
 
 conjectures,
 
 d’une évaluation. une simple
 
 suggèrent
 
 une
 
 qui font l’objet
 
 Celle-ci
 
 appréciation
 
 d’une hypothèse,
 
 : les
 
 qui requièrent
 
 l’analyse
 
 montre
 
 que le sujet utilise empirique
 
 les informations
 
 comme
 
 étant
 
 pas mémorisés. montrent
 
 Les études expérimentales
 
 que leur sélection dépend de cri-
 
 tères multiples, rapport
 
 comme leur pertinence
 
 aux buts poursuivis,
 
 inattendu,
 
 les réactions
 
 qu’ils suscitent. vient
 
 d’éveil émotionnel
 
 ou une règle locales sont transfor-
 
 d’informations situation
 
 par d’autres
 
 aux premières
 
 mémorisation
 
 (cf.,
 
 en
 
 connu : on
 
 est également fonction
 
 le même comportement
 
 simple que les mécanismes
 
 et R. S. Woodworth
 
 est plus
 
 (
 
 consiste à analyser de façons
 
 « si conditions
 
 - la classification
 
 des situations d’établir
 
 et des proune corres-
 
 entre les classes et les concepts disponibles,
 
 en sorte que la présente
 
 appropriée.
 
 que, dans l’approche Lave et d’autres)
 
 le rôle des représentations
 
 (c’est-à-dire
 
 ACT
 
 au nombre
 
 de
 
 de règles
 
 de
 
 de règles du type
 
 C1, C2,..., alors actions A1,
 
 A2,... »). Le transfert
 
 est dit positif si l’ap-
 
 prentissage d’une tâche facilite l’apprentissage ou l’exécution
 
 d’une seconde tâche, et
 
 négatif sinon. C. G.
 
 permet Il faut
 
 récente, dite
 
 apprentissage situé, quelques chercheurs H. Greene,
 
 ceux
 
 Dans la théorie
 
 deux derniers
 
 ;
 
 chaque tâche
 
 à identifier
 
 et au nombre
 
 production
 
 La
 
 1. TRANSFERT).
 
 propositions
 
 signaler
 
 de l’analogie
 
 entre les deux tâches
 
 de la généralisation, mais il peut éventuellement favoriser la mise en oeuvre de ces
 
 la démarche
 
 d’autres faits déjà connus.
 
 (1901), qui prédit que
 
 on se réfère
 
 d’évoquer
 
 avec
 
 de E. L. Thorndike
 
 d’Anderson,
 
 les faits
 
 de leur relation
 
 son utilisation
 
 et
 
 de la situation
 
 nouvelles
 
 à l’égard
 
 avec lui. Ce mécanisme
 
 catégorie
 
 des informations
 
 de
 
 muns à A et à B, et donc de la similitude
 
 à un exemplaire
 
 blèmes : elle permet
 
 la
 
 bloquer
 
 minimes
 
 - l’assimilation
 
 une
 
 modèles,
 
 d’un grand nombre
 
 : des variations
 
 peuvent
 
 qui impose
 
 l’importance du transfert entre deux tâches A et B dépend du nombre d’éléments com-
 
 qui peut imposer
 
 Dans plusieurs
 
 par
 
 informatique et en logique, la substitution d’une variable à une constante) ;
 
 ou procédures
 
 parmi
 
 objectif,
 
 des éléments identiques
 
 superordonnées
 
 de la
 
 supplémentaire
 
 encore
 
 çant certaines caractéristiques
 
 de la capacité
 
 sélection
 
 relationnelle
 
 parce que la mémoire de travail est saturée. Ces remarques sont conformes à la théorie
 
 pondance
 
 de travail,
 
 arithmé-
 
 mées en une connaissance plus générale en levant certaines restrictions ou en rempla-
 
 pro-
 
 mémoire
 
 intéressants.
 
 leur caractère
 
 Une autre restriction
 
 de la limitation
 
 par
 
 parce qu’elles
 
 d’un
 
 le stockage transitoire : une
 
 éga-
 
 deux tâches
 
 est effectuée par une procédure
 
 qui sont identiques.
 
 ne sont
 
 à sa mise
 
 exemple sérier des objets par leur grandeur,
 
 semblance
 
 Tous les faits perçus
 
 parce que
 
 Cela survient
 
 la réalisation
 
 en éléments,
 
 par autrui.
 
 considère
 
 est très différente.
 
 objets déjà connus qui a la plus grande res-
 
 ou communiqués
 
 est inappli-
 
 tique, alors que leur structure lorsque
 
 ou
 
 Cela survient
 
 équivalentes
 
 difficulté
 
 faits constatés
 
 : celle-ci
 
 mettent en jeu la même opération
 
 d’une connaissance
 
 no-
 
 logique
 
 indispensables
 
 d’un objet nouveau qu’à l’égard de celui des
 
 certains
 
 attendu
 
 Cela survient
 
 cable dans une autre situation
 
 avec
 
 ;
 
 » du
 
 alors qu’il utilise en fait une
 
 lorsqu’on
 
 plaires déjà connus d’une classe déterminée
 
 en
 
 au transfert
 
 une notion
 
 sation. La deuxième
 
 de
 
 les nombres,
 
 tamment lorsqu’on se trompe sur la nature de l’acquisition, en pensant par exemple
 
 adopte
 
 concerne la sélection et la mémorisation
 
 très inégale
 
 que le transfert
 
 impossible.
 
 lement
 
 - l’induction : la constatation de l’identité d’une caractéristique de tous les exem-
 
 et le
 
 peuvent relever de phénomènes très différents. ( 1. TRANSFERT.) Dans certains cas,
 
 en oeuvre font défaut.
 
 ;
 
 exacte-
 
 selon l’« habillage
 
 si elles
 
 ou incompatibles
 
 constatent
 
 Ces restrictions
 
 procédure
 
 pour déterminer
 
 - la généralisation
 
 problème.
 
 de la plausibilité
 
 ou en une activité systé-
 
 considérée
 
 termes
 
 mathématique
 
 de recueil et d’analyse d’informa-
 
 tions empiriques
 
 d’autres
 
 peut consister en
 
 compte tenu des connais-
 
 les enseignants
 
 selon ce que représentent
 
 est en droit
 
 informations
 
 matique
 
 peuvent
 
 des aspects très divers comme
 
 procédure, tions
 
 d’autres
 
 Par exemple,
 
 Deuxième classe : la sélection et la mémoriclasse de mécanismes
 
 objets.
 
 », et la
 
 notion
 
 On peut invo-
 
 de celle de l’apprentissage,
 
 source
 
 de la classe elle-même
 
 aux utilisations
 
 acquises dans des situa-
 
 dite
 
 « situation
 
 déjà
 
 et
 
 d’utiliser
 
 connue,
 
 concerner
 
 situation
 
 ristique
 
 les règles d’action,
 
 les connaissances
 
 la possibilité
 
 éléments
 
 tion est attribuée pour
 
 concerne
 
 certains
 
 à inférer qu’il s’agit d’une caracté-
 
 soit parfois,
 
 théorique
 
 tions différentes
 
 conduit
 
 répé-
 
 sociales est géné-
 
 Le transfert
 
 ou de les appliquer
 
 analogique
 
 l’hypothèse
 
 soit aux utilisations
 
 par les sti-
 
 Une question d’un grand intérêt pratique
 
 entre deux items lexicaux. Cette augmentatées de l’un de ces éléments,
 
 78
 
 de celles-ci
 
 ou transfert
 
 déjà consti-
 
 ou de la liaison
 
 apportée
 
 suffisante pour rendre compte de
 
 parmi
 
 par la situation
 
 d’une
 
 contextuelle
 
 que l’infor-
 
 à rechercher
 
 - l’analogie,
 
 sont compatibles
 
 de la « force » d’un item
 
 lexical, d’une règle d’action
 
 l’activité.
 
 tal, c’est la transformation
 
 de certains
 
 tuées. Elles sont souvent désignées comme des modifications
 
 Ces
 
 cas, ce qui est fondamen-
 
 sances antérieures,
 
 La première
 
 déjà connues.
 
 supplémentaires
 
 mais, en pareil
 
 similitudes
 
 testée par des
 
 informatique.
 
 se présente
 
 un groupement qu’il
 
 dont ils prétendent
 
 est souvent
 
 ralement
 
 celles qui sont fournies
 
 des relations,
 
 c’est-à-dire
 
 d’être suffisants pour engen-
 
 drer les changements
 
 à
 
 peuvent conduire
 
 des informations
 
 mation
 
 Ils considèrent
 
 mulus ou les interactions
 
 par un seul
 
 ne sont plus guère identifiés
 
 nement privilégié
 
 permettant
 
 les plus souvent invoqués sont :
 
 les apprentissages plusieurs.
 
 des informations
 
 grou-
 
 calculatoires.
 
 informations
 
 non leur mémorisation.
 
 généralement
 
 d’expliquer en invoquent
 
 mentales
 
 de nouvelles
 
 mécanismes
 
 de l’appren-
 
 quels
 
 supposés
 
 individu.
 
 partir
 
 de l’apprentissage
 
 mentales. La
 
 (P.
 
 minimisent
 
 et des activités
 
 PSYCHOPHYSIOLOGIE
 
 DE L’APPRENTISSAGE
 
 Trois types de mécanismes peuvent être impliqués dans la psychophysiologie prentissage
 
 : des mécanismes
 
 de l’ap-
 
 anatomiques
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 (rôle
 
 de certains
 
 bioélectriques
 
 noyaux
 
 biochimiques
 
 le long des neurones)
 
 (liés à l’action
 
 du cerveau
 
 parties de l’encéphale
 
 jouent
 
 ticulée (qui contrôle
 
 : la formation
 
 la vigilance),
 
 striés (qui interviennent tal (qui intervient
 
 noyaux
 
 de l’amygdale,
 
 scientifique
 
 et le syset
 
 celles
 
 ont
 
 qu’ils
 
 plai-
 
 portées,
 
 à court
 
 corrélations
 
 ont
 
 potentiels
 
 sur le plan local (rôle de bioélectriques
 
 exercées par l’organisme
 
 apprentissage
 
 apprentissage
 
 et niveau phylogénétique.
 
 Les contraintes
 
 de nombreux G. C.
 
 quelle qu’elle
 
 nements
 
 arbitrairement
 
 une situation
 
 tionnelles
 
 peut
 
 parler
 
 la base d’un signal
 
 sage pour évoquer individus
 
 DE
 
 féremment
 
 à des conditions
 
 sage identiques stratégies
 
 peuvent
 
 ; ils peuvent
 
 réaliser
 
 réagir
 
 dif-
 
 d’apprentis-
 
 d’apprentissage
 
 peuvent
 
 : des
 
 d’un
 
 fonc-
 
 (l’aver-
 
 chez le Rat ; ni
 
 chez la Caille
 
 développement
 
 ; et ce, très mé-
 
 des systèmes sensoriels contraintes
 
 nul déficit
 
 corresponMais
 
 sont beaucoup
 
 Ainsi,
 
 sensoriel
 
 plus
 
 ne peut être invoqué.
 
 chez l’Abeille,
 
 permet
 
 la fonction
 
 la détection
 
 des
 
 de substances
 
 différentes
 
 ; ils
 
 mais
 
 rentes dans la même situation
 
 étudié
 
 signal coloré
 
 utiliser
 
 des acquisitions
 
 odorantes
 
 sans rapport
 
 olfactive
 
 et ses activités
 
 d’appren-
 
 butyrique
 
 et ses dérivés).
 
 de récolte
 
 ali-
 
 (acide
 
 dans l’apprentissage
 
 tissage d’une
 
 d’une
 
 tâche
 
 simple
 
 comme
 
 odeurs et l’accès à une source de provende
 
 d’une
 
 lettre
 
 déterminée
 
 mieux s’ils travaillent les plus extravertis travaillent
 
 mêmes
 
 apprennent
 
 les sujets mieux s’ils
 
 des recherches
 
 expérimentale
 
 que les procédures
 
 ont
 
 didactiques
 
 ne sont pas nécessairement pour
 
 (sirop
 
 performance mité.
 
 tous les individus,
 
 et l’on
 
 si le signal
 
 de fleur,
 
 suffit
 
 de performance
 
 des odeurs
 
 de telles de la
 
 est lent et relativement
 
 est une odeur
 
 différence
 
 entre
 
 le développement
 
 En revanche,
 
 antérieure les
 
 association
 
 de sucre),
 
 traînement
 
 plus générale,
 
 de psychopédagogie optimales
 
 isolément,
 
 en groupe.
 
 De façon montré
 
 apprennent
 
 le mieux connu
 
 n’est
 
 li-
 
 pertinent
 
 un seul essai d’en-
 
 à l’atteinte
 
 d’un
 
 quasi maximal.
 
 niveau
 
 Or, cette
 
 pas liée à l’expérience
 
 de l’Abeille florales
 
 chez des butineuses
 
 zoologique
 
 :
 
 adaptées à la vie endoparasicomme
 
 foie ; Cestodes, comme Ténia]),
 
 comprend la Douve
 
 du
 
 le Ver solitaire
 
 [le
 
 très « perfectionnées
 
 qui concerne
 
 » pour
 
 ce
 
 leur métabolisme,
 
 leur re-
 
 production
 
 et leur dissémination
 
 passive,
 
 mais dont
 
 les fonctions
 
 de relation
 
 régressé jusqu’à un minimum les Planaires,
 
 ment
 
 sensoriel
 
 encore
 
 développer
 
 nerveux
 
 mais leur permettant efficaces
 
 non associatif
 
 Des contrastes l’intérieur
 
 système
 
 des modalités
 
 prentissage
 
 ; des formes
 
 dotées d’un équipe-
 
 et d’un
 
 primitifs
 
 ont
 
 similaires
 
 d’autres
 
 de d’ap-
 
 et associatif. se retrouvent
 
 embranchements
 
 à
 
 plus
 
 évolués, par exemple chez les Mollusques. Suivant
 
 qu’il
 
 s’agit
 
 de formes
 
 mobiles,
 
 les possibilités
 
 semblent
 
 extrêmement
 
 limitées
 
 ou
 
 d’apprentissage contrastées
 
 chez les Moules,
 
 trêmement
 
 fixées
 
 : très
 
 elles seront
 
 développées
 
 ex-
 
 chez des prédaJ. M.
 
 CONDITIONNEMENT, TION
 
 (APPRENTISSAGE
 
 TION
 
 MENTALE,
 
 MÉMOIRE,
 
 OBSERVA-
 
 PAR), 1. REPRÉSENTA-
 
 1. TRANSFERT
 
 Lors de l’appren-
 
 tissage. Par exemple,
 
 les sujets les plus introvertis
 
 dépendant
 
 non répulsives,
 
 avec son régime
 
 mentaire
 
 dans un texte,
 
 qu’elles
 
 teurs (Seiche, Poulpe).
 
 et la discrimination
 
 diffé-
 
 le barrage
 
 - le
 
 de relation
 
 est étroitement
 
 (Trématodes,
 
 libres,
 
 intéressantes, car rattachables au mode de vie de l’Animal, dans des situations où
 
 d’apprentis-
 
 les faits suivants
 
 différents
 
 de condi-
 
 ne peut être acquise sur
 
 gustatif
 
 en raison
 
 dans
 
 de ces limitations
 
 de l’organisme
 
 d’autres
 
 de styles
 
 conjoints
 
 car liées aux capacités
 
 sion alimentaire
 
 la
 
 fût, entre des évé-
 
 Certaines
 
 sont triviales,
 
 selon
 
 dants dans les espèces considérées).
 
 L’APPRENTISSAGE
 
 On
 
 aux
 
 apprendre
 
 expérimentale
 
 tionnement.
 
 diocre DIFFÉRENTIELLE
 
 en réaction
 
 un sujet pouvait
 
 relation,
 
 d’un
 
 apprentissages.
 
 animal
 
 d’apprendre
 
 todes. Ce groupe
 
 vues de I. Pavlov et de J. B. Watson, lesquelles
 
 semble avoir un rôle es-
 
 Invertébrés
 
 est sans doute celui des Vers plats, ou Pla-
 
 récemment,
 
 la
 
 chez
 
 que - dans un même
 
 du mode de vie. L’exemple
 
 lativement
 
 Enfin,
 
 d’apprentissage
 
 des fonctions
 
 sous-tendent
 
 par un oubli
 
 sentiel dans la consolidation
 
 ANALYSE
 
 entre
 
 même
 
 En fait, l’investi-
 
 du règne
 
 et des possibilités
 
 taire
 
 et anxiété.
 
 synthèse protéique
 
 dans tel ou tel
 
 re-
 
 d’où l’idée d’un lien
 
 se rencontrer
 
 montre
 
 développement
 
 de plastien jeu l’ap-
 
 d’Animaux,
 
 embranchement
 
 est apparue
 
 mais sont
 
 peuvent
 
 ou Vertébrés,
 
 d’apprendre
 
 l’apprentissage,
 
 également anxiogènes, entre
 
 :
 
 de toute
 
 formes mettant
 
 des capacités
 
 possibilités
 
 au
 
 dépourvus
 
 que certaines
 
 bioélectrique
 
 qui s’opposent
 
 » comme
 
 les Animaux
 
 on tend à penser au-
 
 des formes
 
 ou en le perturbant
 
 considéré
 
 un grand nombre
 
 de vie sur les com; les relations
 
 phylogénétique
 
 l’inverse,
 
 les
 
 acquis.
 
 de
 
 par apprentissage
 
 canalisant
 
 récemment
 
 privilégié
 
 de s’adapter
 
 de contraintes
 
 Divers médiateurs du cerveau modulent l’apprentissage, en le facilitant (acétylcho-
 
 gaba facilitent
 
 « inférieurs
 
 La notion
 
 se traduit
 
 Les substances
 
 et niveau
 
 gation
 
 de l’hippo-
 
 On sait en revanche que
 
 line, noradrénaline)
 
 Apprentissage
 
 cité comportementale,
 
 dans l’apprentissage
 
 des apprentissages
 
 (gaba).
 
 et en éthologie
 
 d’apprentissage zoologique
 
 les
 
 d’apprentissage
 
 chez des Unicellulaires.
 
 les contraintes
 
 campe). Malgré toutes ces études, le rôle de
 
 de l’activité
 
 spécifique.
 
 individuel.
 
 DE L’APPRENTISSAGE
 
 animale
 
 pétences
 
 pour
 
 donc une potentia-
 
 lité génétique
 
 jourd’hui
 
 en psychologie
 
 groupe
 
 par l’électrochoc
 
 étudié
 
 etc.).
 
 et le milieu
 
 et de les
 
 immédiat
 
 expriment
 
 capacité
 
 Deux aspects de l’apprentissage ont particulièrement mobilisé les chercheurs
 
 bal (électroencéphalogramme,
 
 la suppression
 
 sur les
 
 les données de fait rap-
 
 ÉTHOLOGIQUE
 
 odorant
 
 en situation
 
 prentissage, ÉTUDE
 
 susceptibles
 
 et le statut
 
 On a longtemps
 
 une stratégie
 
 M. R.
 
 lui-même
 
 reste mal compris.
 
 de
 
 terme en une
 
 (amné-
 
 de fleurs
 
 associatif,
 
 ailleurs,
 
 les idées telles que l’auteur
 
 été proposées entre les activités bioélectriques et l’apprentissage sur le plan glo-
 
 bioélectrique
 
 exprime
 
 dans le pas-
 
 ciées des amnésies d’apprentissage
 
 l’activité
 
 qu’il
 
 » (ils se focalisent
 
 les exprime,
 
 aux apprentissages.
 
 L’intérêt
 
 tels signaux,
 
 une
 
 » (ils inte-
 
 rencontrées
 
 employés,
 
 odeurs
 
 Ils ont
 
 de fleurs et de
 
 le restructurent,
 
 etc.) et des sujets adoptant termes
 
 le comportement
 
 Diverses
 
 les idées
 
 un nectar
 
 en nourrir.
 
 d’un
 
 adoptant
 
 « profonde
 
 rapprochent
 
 « superficielle
 
 indirectement
 
 lésions de ce système sont asso-
 
 certains rythmes
 
 des sujets
 
 avec le texte,
 
 de rappel (remémoration).
 
 évoqués) comme
 
 par exemple.
 
 en ruche artifi-
 
 avec des congénères
 
 de régurgiter
 
 concrètement
 
 article
 
 pu distinguer
 
 contacts
 
 différents
 
 ré-
 
 ragissent
 
 plus directement
 
 sies de fixation).
 
 d’étude
 
 s’est effectué
 
 cielle, en l’absence d’odeurs
 
 mises
 
 et la même pour tous, l’étude
 
 à plus long terme, ainsi que dans
 
 certaines
 
 une tâche
 
 le cortex préfron-
 
 et assure une signification
 
 les phénomènes
 
 par des étudiants
 
 d’étude
 
 intervient
 
 sage d’une mémoire
 
 en oeuvre
 
 les stratégies
 
 stratégie
 
 par le fait qu’il contrôle
 
 Il intervient
 
 analysé
 
 loppement
 
 cher-
 
 définie
 
 de l’hippocampe
 
 sante ou déplaisante
 
 ont
 
 ». D’autres
 
 un
 
 Ce système, qui comprend
 
 les importants
 
 × traitements
 
 cheurs dans
 
 les corps
 
 dans l’attention)
 
 tème limbique.
 
 à ce sujet des « interactions
 
 dans les apprentis-
 
 sages de choix alternés),
 
 mémoire
 
 des médiateurs protéique).
 
 rôle dans l’apprentissage
 
 aptitudes et
 
 et de la synthèse
 
 émotionnel
 
 peut parler
 
 (rôle des séquences d’impul-
 
 sions qui circulent
 
 Certaines
 
 de l’encéphale),
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 : le même privilège se retrouve, dont
 
 tout
 
 Bibliographie Dubé,
 
 L., 1990, Psychologie
 
 Québec,
 
 de l’apprentissage,
 
 Presses de l’Université
 
 de Québec
 
 (2e
 
 édition). George,
 
 C., 1989, Apprendre
 
 par l’action,
 
 Paris,
 
 P.U.F. (2e édition). Le Ny, J.-F., 1992, le Conditionnement l’Apprentissage,
 
 Paris, P.U.F. (7e édition).
 
 Singley,
 
 M. K., et Anderson,
 
 Transfer
 
 of cognitive
 
 chusetts),
 
 en effet,
 
 Vergnaud,
 
 le déve-
 
 Didactiques,
 
 et
 
 Harvard
 
 J. R, 1989, The
 
 Skills, Cambridge University
 
 G., (Éd.),
 
 (Massa-
 
 Press.
 
 1994, Apprentissages
 
 et
 
 où en est-on ?, Paris, Hachette.
 
 79
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 APPRENTISSAGE (angl. Social Learning)
 
 plusieurs
 
 SOCIAL
 
 sous-processus.
 
 attentionnels
 
 Les processus
 
 le poids
 
 ce qui va être
 
 la détermination
 
 déterminent
 
 observé et ce qui va être extrait
 
 Acquisition de savoirs et de savoirfaire résultant de l’observation directe ou indirecte du comportement d’autrui. Le terme « social » qualifie processus d’apprentissage des acquisitions l’acquisition
 
 la nature du
 
 : il indique
 
 que
 
 véhicule
 
 des événements
 
 vidu subissant
 
 extérieurs,
 
 passivement
 
 Si cette approche
 
 miner
 
 consistant
 
 est de reconnaître compte
 
 parmi
 
 qu’elle échoue à rendre
 
 cation que l’individu sage aujourd’hui
 
 pour les-
 
 n’est pas la présence
 
 ou l’absence d’un stimulus
 
 mais la signifi-
 
 lui attribue.
 
 On envi-
 
 l’apprentissage
 
 comme
 
 d’une représentation
 
 la
 
 mentale
 
 associant une classe de conduites adéquates à une classe de situations. où l’on
 
 considère
 
 Dans la mesure
 
 que l’activité
 
 mentale
 
 médiatise
 
 l’effet qu’exerce l’environnement
 
 extérieur
 
 sur le comportement,
 
 cette acti-
 
 Néanmoins,
 
 de vue pratique, sage est inféré comportementales
 
 La théorie
 
 des modifications
 
 de Bandura
 
 Parce que l’apprentissage nifeste
 
 par la capacité
 
 comportement l’assimiler
 
 observé,
 
 ou « apprentissage formes
 
 social
 
 différée.
 
 effectué
 
 vicariant
 
 sans que le sujet
 
 renforcement
 
 que ce soit.
 
 d’en
 
 avoir
 
 générale
 
 lui, la vie sociale
 
 serait impossible
 
 gens apprenaient
 
 uniquement
 
 L’observation
 
 rapide
 
 les savoirs l’action
 
 effectuée,
 
 ses conséquences
 
 son expérience On appelle
 
 un
 
 acquérir
 
 n’utilise
 
 à des fins
 
 correctives,
 
 l’individu
 
 pas une
 
 fait appel à
 
 sociale. dont
 
 le
 
 du processus
 
 tation.
 
 Bandura
 
 qui aboutit
 
 découpe
 
 à l’imi-
 
 le modelage
 
 en
 
 qu’à
 
 L’anticipation
 
 lité d’exécution
 
 fortement
 
 le renforcement
 
 la probabiappris.
 
 existe, on dit que
 
 vicariant
 
 On comprend observé
 
 plus facilement
 
 reproduit
 
 a va-
 
 pour l’ob-
 
 aisément
 
 comportement
 
 qu’un
 
 récompensé qu’un
 
 puni. Cependant,
 
 sera
 
 compor-
 
 une récompense
 
 ou une punition
 
 n’aura
 
 cement
 
 qu’à l’issue d’un proces-
 
 vicariant
 
 Tout d’abord, forcement
 
 valeur
 
 de renfor-
 
 la valeur accordée à un ren-
 
 à l’observateur.
 
 des critères
 
 propres
 
 Par exemple,
 
 une note
 
 considérée
 
 comme
 
 encourageante
 
 professeur
 
 peut se traduire
 
 par du décou-
 
 si l’élève conclut
 
 à un échec. En-
 
 suite, le renforcement son comportement
 
 la conséquence
 
 (« le modèle
 
 bonne
 
 note parce qu’il
 
 plutôt
 
 que comme
 
 du comportement
 
 dépend du résultat du lien
 
 renforcement
 
 ATTRIBUTION
 
 portant
 
 de biolo-
 
 facile »). Autre-
 
 ment dit, la production l’observateur
 
 dur »)
 
 du hasard
 
 (« le devoir
 
 gie était particulièrement
 
 de
 
 a eu une
 
 a travaillé
 
 le résultat
 
 ou des circonstances
 
 appris
 
 par un
 
 adressé au modèle
 
 doit être perçu comme
 
 de l’analyse
 
 par
 
 de détermination et comportement.
 
 CAUSALE.)
 
 Enfin,
 
 il est im-
 
 que cette analyse confère
 
 à l’ob-
 
 servateur
 
 le sentiment
 
 situation,
 
 il aura par son action la possibi-
 
 lité d’exercer
 
 que, dans pareille
 
 un contrôle
 
 ments. Ce sentiment similarité comme figure
 
 sur les renforce-
 
 sera d’autant perçoit
 
 entre
 
 lui et le modèle
 
 le modèle,
 
 si je travaille
 
 gie, j’obtiendrai parmi
 
 plus de
 
 une forte (« tout
 
 le
 
 on aspire,
 
 que l’on
 
 déploie,
 
 la
 
 et, en défini-
 
 S’il est indéniable
 
 moyen
 
 de développer
 
 d’efficacité
 
 personnelle
 
 le
 
 reste
 
 répétée de la réussite, ce n’est
 
 pas le seul moyen envisageable
 
 : constater
 
 qu’une personne
 
 qui vous ressemble réus-
 
 sit y contribue
 
 aussi. Réciproquement,
 
 en facilitant
 
 la réussite
 
 de nouveaux
 
 savoirs social
 
 par l’acquisition
 
 et savoir-faire,
 
 renforce
 
 l’ap-
 
 le sentiment
 
 personnelle.
 
 Les applications
 
 L’approche
 
 de l’apprentissage
 
 à avoir souligné
 
 social
 
 donné lieu à de nombreuses dans des domaines traitement
 
 aussi
 
 des phobies des conduites
 
 facilitation
 
 des conduites
 
 d’aide
 
 la
 
 et de
 
 des élèves
 
 etc. Alors
 
 applications
 
 que le
 
 agressives,
 
 la remotivation
 
 en échec scolaire, mières
 
 variés
 
 et de l’anxiété,
 
 l’inhibition coopération,
 
 a
 
 applications
 
 que les pre-
 
 consistaient
 
 à expo-
 
 ser les sujets à des modèles se comportant d’une
 
 manière
 
 cations
 
 jugée
 
 actuelles
 
 les processus a tenté
 
 adaptée,
 
 visent
 
 cognitifs scolaire,
 
 médiateurs. par exemple,
 
 d’améliorer
 
 d’enfants
 
 les appli-
 
 plus directement
 
 démotivés
 
 relatives
 
 expérimentalement
 
 en apprenant
 
 à ces enfants à un facteur
 
 d’effort)
 
 incontrôlable ceux-ci
 
 cial s’inscrit
 
 plus longtemps
 
 dans
 
 et obtiennent
 
 sociale, l’apprentissage dans la filiation
 
 de G. de Tarde, sinon
 
 unique,
 
 so-
 
 des concep-
 
 qui voyait
 
 le mécanisme
 
 principal,
 
 d’aptitude),
 
 performances.
 
 En psychologie
 
 l’imitation
 
 (le
 
 qu’à un facteur
 
 d’une solution
 
 de meilleures
 
 tions
 
 à attribuer
 
 (le manque
 
 la recherche
 
 que,
 
 contrôlable
 
 plutôt
 
 persévèrent
 
 la na-
 
 à l’échec.
 
 Elle a montré
 
 manque
 
 Dweck
 
 en changeant
 
 ture des attributions
 
 leur résultat
 
 Dans
 
 les performances
 
 dans
 
 psychologique de la transmis-
 
 sion sociale. La construction
 
 de la réalité
 
 sociale
 
 par l’obser-
 
 vation directe.
 
 s’opère
 
 tout
 
 médiatisée
 
 que par l’observation
 
 Puisque les mass media jouent
 
 rôle majeur
 
 dans la diffusion
 
 comportementaux, leur diffusion technologies prédire
 
 autant
 
 un
 
 des patterns
 
 la mondialisation
 
 permise
 
 de
 
 par l’évolution
 
 de communication
 
 des
 
 incline
 
 à
 
 leur uniformisation.
 
 en biolo-
 
 une bonne note ».) Rotter les premiers
 
 que le meilleur
 
 le domaine
 
 complexe.
 
 dépend
 
 auquel
 
 dans l’effort
 
 d’efficacité
 
 renforce-
 
 adressé au modèle
 
 leur de renforcement
 
 la motiva-
 
 et, par là, augmente
 
 d’efforts
 
 l’expérience
 
 d’effi-
 
 que l’on a la capacité
 
 de performance
 
 sentiment
 
 mis
 
 décrits
 
 du comportement
 
 telle attente
 
 intrinsèque
 
 prentissage
 
 à celui qui est reçu par le
 
 détermine
 
 le concept
 
 une tâche renforce
 
 La moti-
 
 d’un
 
 fil des idées
 
 par les
 
 les sous-processus
 
 ment semblable
 
 est
 
 de production
 
 symboliques.
 
 affecte
 
 modèle
 
 Ce point
 
 de l’action
 
 mise que l’observateur
 
 est imité, et modelage, l’en-
 
 semble
 
 au guidage
 
 (
 
 pas que, une fois
 
 qui requiert
 
 renvoient
 
 entre
 
 qui guideront
 
 modèle celle ou celui
 
 comportement
 
 si les
 
 l’individu
 
 mais, face à une situation nouvelle,
 
 Selon
 
 par essais
 
 pour
 
 et savoir-faire
 
 Cela ne signifie
 
 pro-
 
 constitue
 
 et efficace
 
 l’action.
 
 conduite
 
 (1976).
 
 Les processus
 
 ci-dessus.
 
 plus éla-
 
 ou de prescriptions
 
 verbales.
 
 vation
 
 qui
 
 directement
 
 Croire
 
 la quantité
 
 de
 
 perçue (angl. Perceived
 
 tive, la performance.
 
 que le processus
 
 observées
 
 représentations
 
 cacité personnelle
 
 bien
 
 tout autant à partir
 
 de descriptions
 
 ragement
 
 sans être
 
 posé une théorie
 
 moyen
 
 »
 
 des autres
 
 peut être appris
 
 à A. Bandura
 
 et erreurs.
 
 80
 
 Encore
 
 par le fait qu’un
 
 et, a fortiori,
 
 On doit
 
 de
 
 », l’appren-
 
 se distingue
 
 subisse quelque
 
 un
 
 par observation
 
 d’apprentissage
 
 comportement
 
 se ma-
 
 il convient
 
 à l’imitation
 
 partir
 
 de sa théorie
 
 au
 
 a plus récemment
 
 persévérance
 
 des représentations
 
 s’effectue
 
 au centre
 
 Self Efficacy).
 
 dans
 
 une variable
 
 Dans le droit
 
 d’un
 
 ce qu’il a vu, mais aussi
 
 sus psychologique
 
 à reproduire
 
 appelé « apprentissage tissage
 
 social
 
 de modelage
 
 faire
 
 Bandura
 
 niveau
 
 puisse repro-
 
 si l’on considère
 
 tement
 
 du sujet.
 
 de l’apprentissage
 
 capital
 
 servateur.
 
 d’un point
 
 le processus d’apprentisà partir
 
 envisage
 
 capable de conduites
 
 Lorsqu’une
 
 vité est devenue l’objet même des théories de l’apprentissage.
 
 à l’élaboration
 
 d’en
 
 de Rotter,
 
 tion
 
 du modèle
 
 de contrôle
 
 du comportement,
 
 personnalité.
 
 dans le modelage.
 
 que l’observateur
 
 de conduites
 
 plus complexes
 
 d’apprentissages
 
 quels ce qui importe
 
 construction
 
 force
 
 même
 
 de réussir
 
 Bandura
 
 construise
 
 point
 
 représentationnels
 
 borées que celles observées.
 
 à discri-
 
 d’autres,
 
 interne.
 
 le rendent
 
 d’apprentissages
 
 d’apprentissages
 
 et, notamment,
 
 qu’il
 
 observateur-
 
 du comportement
 
 c’est-à-dire
 
 modèle
 
 de son
 
 au codage symbolique
 
 duire à l’identique
 
 fructueuse
 
 par exemple
 
 un stimulus
 
 et du rapport
 
 un rôle central
 
 entendu
 
 l’indi-
 
 ce processus.
 
 s’est montrée
 
 dans la compréhension simples
 
 sont le
 
 de la nature
 
 Les processus
 
 jouent
 
 dépendra
 
 de l’observateur,
 
 de celles du modèle, comportement
 
 son attention
 
 donné
 
 des caractéristiques
 
 observé,
 
 de l’apprentissage
 
 l’idée que les acquisitions
 
 produit
 
 sur un comportement
 
 en mémoire
 
 nement social plutôt que physique. béhavioriste
 
 de porter
 
 Ils correspondent
 
 s’opère sous l’effet de l’environ-
 
 L’approche
 
 Le choix
 
 modèle.
 
 et non le contenu
 
 possibles
 
 vation.
 
 de l’obser-
 
 du sentiment
 
 F. D. APPRENTISSAGE, RENFORCEMENT,
 
 ATTRIBUTION REPRÉSENTATION
 
 CAUSALE, MENTALE
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 Bibliographie Bandura,
 
 A., 1980, l’Apprentissage
 
 social,
 
 Bruxelles,
 
 Mardaga.
 
 Bandura,
 
 A., 1986, Social Foundations
 
 Thought
 
 and Action
 
 Englewood
 
 Cliffs,
 
 Schwarzer,
 
 R. (Ed),
 
 Thought
 
 Control
 
 NJ, Prentice
 
 Theory,
 
 Hall.
 
 1992, Self Efficacy
 
 of Action,
 
 Geste en extension main vers un objet vement localisé.
 
 of
 
 : a Social Cognitive
 
 L’expression
 
 :
 
 Washington,
 
 pour
 
 DC,
 
 distinguer,
 
 nuelle
 
 (angl. Verbal Learning)
 
 Mémorisation et,
 
 plus
 
 mettant
 
 d’un
 
 matériel
 
 largement,
 
 verbal
 
 en jeu des stimulus
 
 et des réponses
 
 verbales.
 
 L’apprentissage
 
 verbal
 
 être confondu
 
 ne doit
 
 avec l’apprentissage
 
 langue ; il ne fait que mobiliser verbal à un moment constituer
 
 de la
 
 le système
 
 de son évolution
 
 des structures
 
 pas
 
 transitoires
 
 paradigmes
 
 sont l’apprentissage l’apprentissage
 
 sériel
 
 avec rappel libre. Le matériel a été pendant
 
 longtemps
 
 constitué
 
 unités sans signification,
 
 puis par des mots,
 
 sa cible (le geste peut
 
 s’arrêter à proximité elle l’atteint, fermeture
 
 de celle-ci),
 
 son contact brutale
 
 la réaction
 
 pas non plus, L’approche
 
 n’inclut
 
 de la main ; elle ne réalise pas un
 
 pointage
 
 précis. Enfin, les segments corpoau geste, la commande
 
 et l’organisation
 
 de celui-ci
 
 composent
 
 tableau typique,
 
 transformé
 
 plus tard dans
 
 tance
 
 être étudiée
 
 générales
 
 l’apprentissage. que certains
 
 de la mémoire
 
 Des travaux résultats
 
 à la nature verbale
 
 comme
 
 révélateur
 
 fonctionnement
 
 en mémoire
 
 par
 
 des signi-
 
 moins bien retenue que son contenu. C. G.
 
 : une phase initiale,
 
 APPROCHE
 
 de comportements
 
 quels un organisme stimulus
 
 ou non,
 
 dans
 
 se dirige,
 
 (attractif),
 
 ment renforcé
 
 orienté
 
 positivement
 
 et souvent
 
 à
 
 vers un
 
 ». Le résultat défini
 
 comme
 
 mation,
 
 d’un objet ou d’un
 
 nement
 
 observable.
 
 comme
 
 la consom-
 
 stimulus
 
 Ce comportement
 
 opposé à celui d’évitement*
 
 pleiest
 
 et lui est symé-
 
 trique.
 
 La phase initiale
 
 comme « balistique
 
 ÉVITEMENT
 
 du bras. Sa
 
 une projection sans freinage,
 
 est
 
 ». La direction
 
 verture anticipatrice
 
 façon déterminante
 
 ture anticipée harmonisée
 
 à la main
 
 à cet ajustement
 
 final
 
 En présence d’un objet proche, nettement les mouvements
 
 à la taille ou à l’orientation
 
 Ils sont lents, segmen-
 
 Des différences
 
 latérales
 
 dans l’approche
 
 manuelle,
 
 que l’approche
 
 aboutit
 
 fois, dans des conditions
 
 de situation
 
 des conditions
 
 propices,
 
 posturales
 
 que le nouveau-né
 
 qui varient selon
 
 ou non à une prise
 
 d’objet. LATÉRALISATION
 
 APRAGMATISME n.m. (angl. Apragmatism)
 
 chique
 
 d’origine
 
 de maintenir
 
 psy-
 
 une activité
 
 un comportement
 
 bien
 
 adaptés
 
 besoins et aux conditions
 
 de vie.
 
 Ce trouble conduit
 
 grave de l’activité
 
 souvent
 
 à une désinsertion
 
 L’apragmatisme
 
 pouvant
 
 et aller
 
 définitive
 
 en
 
 ou à la clochardisation. apparaît
 
 aussi, plus rare-
 
 ment, chez le psychasthène. « aboulie d’exécution
 
 C’est alors une
 
 » (P. Guiraud)
 
 quée par le doute perpétuel d’action,
 
 aprag-
 
 sociale
 
 jusqu’à l’institutionnalisation hospitalier,
 
 aux
 
 volontaire
 
 un schizophrène progressive
 
 et
 
 de choisir
 
 provo-
 
 de l’obsession-
 
 entre deux types
 
 entre deux attitudes
 
 contradic-
 
 toires, entre deux objets différents.
 
 par une trajectoire de l’objet
 
 : plus longs sur l’objet,
 
 trouble
 
 gnant fréquemment personnalisation
 
 de sentiments
 
 de dé-
 
 et d’états de déréalisation. J. P.
 
 APRAXIE n.f. (angl. Apraxia)
 
 n’ex-
 
 du bras semi-tendu)
 
 et que la vision
 
 Dans les deux cas, il s’agit d’un
 
 on a
 
 de quelques
 
 dont l’éloignement
 
 indirecte,
 
 purement
 
 et
 
 jours approche un objet à distance de cap-
 
 de fixation
 
 sont observées
 
 grave du contact avec la réalité, s’accompa-
 
 et ralentissement
 
 nombreux. Le contact avec l’objet ne s’établit que fortuitement et rarement. Toute-
 
 cède pas la longueur
 
 de
 
 de la main appa-
 
 tés, faits d’accélérations
 
 temps
 
 à un contact, l’ouver-
 
 de la main n’est pas encore
 
 nel incapable
 
 Il n’en va pas de même au début de la vie.
 
 sur ce mouvement
 
 aboutit
 
 l’objet.
 
 matique
 
 en assurant un guidage* visuel.
 
 de manière
 
 de celle-ci autour de 4
 
 le plus fréquemment
 
 milieu
 
 qui permettent
 
 ture (c’est-à-dire
 
 un mouvement
 
 propre de la main et qu’on observe une ou-
 
 dans la phase finale, le freinage, que se font
 
 pu montrer
 
 Bras et main sont
 
 avant que ne se différencie
 
 professionnelle
 
 complexe, J.-F. L. N.
 
 BUT, CONFLIT,
 
 suivie d’une phase de
 
 séquentielle.
 
 raissent erratiques.
 
 ou de « comporte-
 
 doit en être nécessairement l’atteinte,
 
 béhavioriste,
 
 de nouveau.
 
 imprimée à la main, au départ, n’est pas corrigée pendant cette phase rapide. C’est
 
 visible,
 
 est à peu près équivalente
 
 celle de « comportement but » positif
 
 ou un
 
 positive.
 
 Dans la conceptualisation cette notion
 
 marquée
 
 spatia-
 
 vers un objet
 
 de valence
 
 les-
 
 jusqu’à
 
 vers 2-3 mois,
 
 Incapacité
 
 d’arriver précisément sur la cible. La vision de la main en mouvement participe de
 
 n.f. (angl. Approach)
 
 vitesse augmente
 
 extension
 
 chez
 
 rendent compte de cette orga-
 
 les corrections
 
 lement
 
 de la prise et de
 
 d’isochronie décrite
 
 est
 
 d’une
 
 et
 
 La loi de Fitts et le principe
 
 forme littérale
 
 Classe
 
 chez l’adulte
 
 décélération. nisation
 
 significatif
 
 objet à dis-
 
 dans des tâches de poin-
 
 par une accélération,
 
 fiés des mots. Un fait bien établi est que la d’un matériel
 
 plus nette et de plus en plus tôt à partir
 
 H. B.
 
 deux phases dans le mouvement
 
 d’approche
 
 et du
 
 du système constitué
 
 la représentation
 
 l’adulte,
 
 plus récemment
 
 de l’organisation
 
 un
 
 tage de cible. On a ainsi pu distinguer,
 
 l’appren-
 
 de plus en
 
 volontaire.
 
 indépendamment
 
 la manipulation,
 
 spécifiques
 
 du matériel,
 
 peut
 
 l’enfant,
 
 ayant montré
 
 étaient
 
 tissage verbal a été utilisé
 
 ou de
 
 anti-
 
 cipateur
 
 par la main d’un
 
 les lois
 
 du
 
 pas de modelage
 
 L’approche
 
 identifier
 
 (sans ou
 
 manuelle
 
 verbal
 
 pour
 
 s’affirme
 
 mois. À cet âge, où le mouvement
 
 le plus fré-
 
 à une saisie manuelle
 
 l’acte de préhension
 
 utilisé
 
 sur l’objet,
 
 d’agrippement.
 
 des phrases ou des textes. L’apprentissage est souvent
 
 et, quand
 
 ne suscite pas la
 
 des doigts
 
 rels qui participent
 
 par des
 
 : la direc-
 
 d’abord soudés dans le même mouvement,
 
 pas toujours
 
 nourrisson
 
 à apprendre
 
 du mouvement
 
 balistique,
 
 manuelle
 
 non monotone
 
 avec
 
 n’atteint
 
 Elle n’aboutit
 
 et l’apprentissage
 
 l’approche
 
 temps,
 
 évolue
 
 puis décroît
 
 avec
 
 associés,
 
 organisée.
 
 manuel
 
 s’adresse à un objet à courte distance. Elle
 
 quemment,
 
 de couples
 
 l’âge de façon
 
 dans un premier
 
 2 et 5 mois,
 
 segmenté et globalement
 
 pour
 
 compte
 
 et le mou-
 
 lent. La vision n’en assure pas un guidage.
 
 de l’amorce
 
 qui caractérisait
 
 expérimentaux
 
 vement demeure
 
 Le geste d’approche
 
 rendre
 
 sensori-
 
 la trajectoire
 
 de la main n’est jamais directe,
 
 dite ; en psychologie
 
 et la préhension
 
 avec transport). Les principaux
 
 à la prise ma-
 
 apparaît donc
 
 Même sans fixation,
 
 d’agrippement
 
 pour
 
 les sons et les mots de la langue.
 
 les phases
 
 manuelle
 
 près de
 
 parmi les plus précoces, mais rudi-
 
 tion
 
 entre
 
 verbaux
 
 motrice
 
 de conduites considérées, de prime abord, comme intermédiaires entre le réflexe
 
 Située et étudiée,
 
 apprentissage
 
 à deux fins :
 
 arrive
 
 comme le fait d’une coordination mentaire.
 
 préalables
 
 du développement, VERBAL
 
 du bras et de la proche, percepti-
 
 chez l’adulte,
 
 proprement
 
 plus la main
 
 l’objet. L’approche
 
 a été forgée
 
 de mouvement
 
 Hemisphere.
 
 APPRENTISSAGE
 
 discontinus,
 
 APPROCHE MANUELLE (angl. Prereaching)
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 influe
 
 sont les
 
 eux-mêmes
 
 Trouble paraissant
 
 de
 
 l’activité chez
 
 un
 
 organes
 
 d’exécution
 
 (n’ayant
 
 pas
 
 motrice
 
 gestuelle sujet
 
 d’atteinte
 
 ni coordinatrice)
 
 ap-
 
 dont
 
 sont
 
 les
 
 intacts
 
 paralytique et qui pos81
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 psychisme.
 
 sède la pleine connaissance de l’acte à accomplir (sans déficit intellectuel). C’est donc
 
 une incapacité
 
 des actes volontaires
 
 schéma tisme.
 
 d’exécuter
 
 adaptés, devenus plus
 
 ou moins automatiques
 
 à la suite d’exécu-
 
 l’apraxie
 
 peut revêtir
 
 une forme mélocinétique,
 
 des mouvements
 
 assez proche des troubles
 
 moteurs
 
 dynamique,
 
 tant par des persévérations lité de soumettre
 
 élémen-
 
 se manifes-
 
 (apraxie idéomotrice),
 
 bilatérale
 
 se manifestant
 
 des gestes sans utilisation
 
 dans
 
 d’objet
 
 (salut
 
 militaire
 
 par exemple), une forme idéatoire
 
 (apraxie
 
 idéatoire),
 
 complexes
 
 qui nécessitent
 
 ment harmonieux mentaires
 
 un enchaîne-
 
 (alors que les gestes élé-
 
 (apraxie
 
 de Kleist),
 
 réalisation
 
 et une forme
 
 motrice
 
 ou apraxie
 
 où le trouble
 
 atteint
 
 la
 
 de formes concrétisées dans l’es-
 
 pace (impossibilité
 
 de dessiner une figure,
 
 dans laquelle
 
 se trouvent
 
 d’habillage
 
 altérés les gestes
 
 et de déshabillage,
 
 apraxie bucco-linguo-faciale, la gestualité (nature
 
 et une
 
 qui concerne
 
 orale et faciale. Selon les cas
 
 de la lésion cérébrale),
 
 les apraxies
 
 le champ
 
 relativement toujours
 
 de la neu-
 
 des apraxies
 
 peu évolué ces dernières
 
 nées. Les interprétations
 
 a an-
 
 sances relatives impliquées l’autre
 
 exemple,
 
 prement
 
 des gestes
 
 des objets et
 
 sur les désordres
 
 dans le contrôle
 
 dit (planification
 
 moteur
 
 pro-
 
 et programma-
 
 tion des actions). J. P. et X. S.
 
 APRÈS-COUP adj. et n.m. (angl. Deferred allem. nachträglichkeit [adj. et adv.])
 
 Action, Deferred
 
 82
 
 vécues sans effet
 
 peuvent
 
 prendre
 
 dès lors qu’elles
 
 nisées, réinscrites
 
 sexualité
 
 infantile,
 
 d’emblée
 
 d’après-coup, si, en effet, l’enfant
 
 bien au
 
 définitive
 
 du
 
 à un an et demi, d’un coït qu’à quatre
 
 ans, « grâce à son développement, sexuelle et sa recherche
 
 son excisexuelle ».
 
 C’est à cet âge que cette « scène primitive » prit pour lui toute son efficacité psychique, déterminante
 
 dans son fantasme
 
 et dans
 
 son symptôme.
 
 comme
 
 ultérieurement
 
 sion d’un
 
 accident
 
 un
 
 sont orgadans le
 
 ou à l’occa-
 
 du travail.
 
 Il se situe
 
 entre l’état d’ivresse et certaines encéphalopathies irréductibles. P. F.
 
 APTITUDE n.f. (angl. Ability)
 
 Caractéristique individuelle non directement observable pouvant être définie par son caractère analytique, par son caractère cognitif ou encore par son caractère constitutionnel. Les différences
 
 peut valoir
 
 que comme
 
 adverbe. Il convient
 
 comme
 
 adjectif
 
 ou
 
 de le considé-
 
 individuelles
 
 directe-
 
 ment observées dans une épreuve sont en général
 
 autant
 
 sur la route
 
 aux loups, que celui-ci,
 
 entre ses parents, ne le comprit tation
 
 inopiné
 
 par exemple lors d’un
 
 il y a une
 
 registre sexuel. Freud établit ainsi, à propos ayant été témoin,
 
 contrôle
 
 fortuite,
 
 d’une
 
 ne dispose pas
 
 de sa perception
 
 attribuées
 
 sous-jacentes
 
 à des caractéristiques
 
 non
 
 directement
 
 vables. Les aptitudes
 
 obser-
 
 constituent
 
 de telles caractéristiques.
 
 une classe
 
 Cette définition
 
 rer comme étant un concept, et un concept
 
 très générale de l’aptitude
 
 non négligeable.
 
 vent précisée par les auteurs qui utilisent
 
 Il détourne
 
 représentation selon laquelle
 
 en effet d’une
 
 naïve de la psychanalyse ce serait toujours antérieur
 
 précoces toujours
 
 ce qui est
 
 qui détermineDes phénomènes
 
 les souvenirs-écrans, réinterprétés
 
 la notion.
 
 ou implicites,
 
 Les aptitudes comme
 
 à partir
 
 supposées
 
 bien qu’il n’en est rien.
 
 peuvent
 
 APROSEXIE n.f. (angl. Aprosexia)
 
 maires
 
 J. P.
 
 État
 
 Mental
 
 Abilities).
 
 tion très lente chez certains patients présentant la forme clinique alcoolique, en raison d’une éthylémie permanente pathologique évoluant depuis plusieurs années. est caractérisée
 
 par
 
 l’inconscience
 
 de l’état morbide,
 
 une baisse
 
 de la vigilance
 
 avec perte de la capacité de
 
 voire
 
 « pri-
 
 1938, Primary
 
 En ce sens, les tests
 
 fournissant
 
 une série de carac-
 
 analytiques s’opposent
 
 fournissant unique
 
 (« profil
 
 » psycho-
 
 aux échelles d’intelli-
 
 une caractérisation
 
 (âge mental
 
 ligence).
 
 L’analyse
 
 ment utilisée factoriel
 
 ou quotient factorielle
 
 d’intel-
 
 a été large-
 
 Cependant,
 
 hiérarchique
 
 Ch. Spearman tamment
 
 globale
 
 dans les recherches
 
 à cette conception.
 
 relatives le modèle
 
 issu des travaux
 
 et de C. Burt et utilisé
 
 par P. E. Vernon
 
 tell dépasse l’opposition se fondait
 
 ou R. B. Cat-
 
 d’abord
 
 des aptitudes
 
 cette
 
 ; il propose humaines
 
 à champ de plus en plus étroit
 
 (
 
 HIÉRARCHIE).
 
 Les aptitudes surtout
 
 peuvent
 
 comme des caractéristiques
 
 tives responsables traitement tinguent
 
 être considérées cogni-
 
 de l’acquisition
 
 de l’information.
 
 et du
 
 Elles se dis-
 
 en cela des caractéristiques
 
 vationnelles
 
 et tempéramentales,
 
 certaines fins ou conférant au fonctionnement
 
 moti-
 
 assignant
 
 un certain style
 
 de ces mécanismes
 
 cognitifs.
 
 aux autres et à soi ; par l’absence du rôle de
 
 celle qui sépare les épreuves d’aptitude
 
 guide que jouent
 
 épreuves
 
 instinctivo-
 
 en
 
 en oeuvre des
 
 se voir, de se juger, de se jauger par rapport les instances
 
 de no-
 
 sur laquelle
 
 d’« arbre » mettant
 
 aptitudes
 
 d’appari-
 
 élémentaires
 
 gence du type de celle de Binet et Simon,
 
 forme
 
 psychopathologique
 
 être considérées
 
 fondamentales,
 
 conception APSYCHOGNOSIE n.f. (angl. Apsychognosy)
 
 peuvent
 
 » (L. L. Thurstone,
 
 logique),
 
 mentale, les états crépusculaires et certaines phases processuelles d’une psychose, soit dans l’hystérie, la psychasthénie, et au cours d’accès anxieux paroxystiques.
 
 d’un auteur
 
 des caractéristiques
 
 térisations
 
 Impossibilité de soutenir l’attention, survenant soit lorsque la vigilance est atteinte par la fatigue ou une affection organique, soit dans la confusion
 
 varier
 
 explicites
 
 à un autre.
 
 souvenirs du
 
 est le plus sou-
 
 Mais ces connotations,
 
 d’aptitudes,
 
 L’apsychognosie
 
 oeuvres, S. Freud re-
 
 lève que des expériences sens nouveau
 
 Même
 
 pas l’impor-
 
 peut rester méconnu
 
 des années ou faire l’objet
 
 une structure
 
 inscription.
 
 notable
 
 ne supprime
 
 [subst.] ; Nachträglich
 
 Dès ses premières immédiat
 
 de la névrose contraire.
 
 cause essentielle
 
 ;
 
 Se dit de la dimension de la temporalité et de la causalité spécifique de la vie psychique et qui consiste dans le fait que des impressions ou des traces mnésiques peuvent n’acquérir tout leur sens, toute leur efficacité que dans un temps postérieur à celui de leur première
 
 comme
 
 de la théorie
 
 :
 
 dans des tâches non motrices),
 
 intervenant
 
 du traumatisme
 
 fantasme, montrent
 
 les connais-
 
 à l’utilisation
 
 qui met l’accent
 
 découverte
 
 que l’abandon
 
 ; enfin, par la
 
 même après des an-
 
 Cet état infraclinique pendant
 
 R. L.
 
 principaux
 
 tant sur les aspects représentatifs (par
 
 à cette première
 
 dans la routine
 
 quotidienne
 
 possible,
 
 ; par
 
 nées, s’il y a eu sevrage.
 
 sexuel déplaisant.
 
 comme
 
 l’un qui accentue l’existence de déficits porà accomplir
 
 vécu après
 
 actuelles oscillent
 
 entre deux courants
 
 par
 
 scène un sens nouveau, déclenché un affect
 
 rait ce qui est ultérieur.
 
 à d’autres domaines
 
 ropsychologie,
 
 aura donné
 
 historiquement
 
 sont uni- ou bilatérales. Par rapport
 
 réversibilité
 
 lorsque,
 
 d’où pertur-
 
 et relationnelles
 
 des apparences
 
 de traumatisme
 
 valeur
 
 substantif
 
 aussi une apraxie de l’habillage,
 
 le maintien
 
 avoir
 
 Le terme d’après-coup
 
 un plan, de réussir une petite construction). On décrit
 
 une scène vécue
 
 bations caractérielles professionnelle
 
 du cas de l’Homme
 
 des gestes
 
 restent possibles),
 
 constructive optique
 
 interdisant
 
 le trauma-
 
 affectives les plus archaïques,
 
 de façon assez neutre pourra
 
 tance de la notion
 
 et l’impossibi-
 
 généralement
 
 tel
 
 précocement
 
 Il est à noter
 
 son action à un plan, une
 
 forme idéomotrice,
 
 d’un
 
 qui
 
 est une désorganisation taires, une forme
 
 faut concevoir
 
 Le plus souvent,
 
 la puberté,
 
 plusieurs
 
 aspects cliniques. On distingue
 
 qu’il
 
 à partir
 
 exemple, un second événement,
 
 tions répétées. Due à des lésions cérébrales multiples,
 
 C’est même
 
 Cette distinction de personnalité.
 
 se reflète dans Mais,
 
 des
 
 de nou-
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 veau, la distinction comme
 
 Cattell
 
 se relativise. illustre
 
 their Structure,
 
 dans
 
 Growth
 
 Huteau,
 
 Abilities
 
 and Action
 
 les liaisons et interactions entre aptitudes
 
 Un auteur :
 
 (1971)
 
 qui s’observent
 
 et traits de personnalité.
 
 dans les Conceptions
 
 la personnalité
 
 M.
 
 cognitives de
 
 (1985), décrit l’évolution
 
 des
 
 le titre Primary
 
 « cognitivisation
 
 portant
 
 » des théories
 
 L’aptitude
 
 peut aussi être définie
 
 par son caractère
 
 d’abord
 
 constitutionnel,
 
 déter-
 
 qu’il
 
 a publié
 
 un certain
 
 de variation
 
 factorielle
 
 Il put mettre
 
 nombre
 
 en
 
 de facteurs,
 
 autant
 
 sous-jacentes
 
 de sources
 
 aux résultats des
 
 compte
 
 Bibliographie Stora, R., 1978, le Test de l’arbre, Paris, P.U.F.
 
 élevé de tests d’in-
 
 comme
 
 tests et rendant
 
 des corrélations
 
 ARC n.m. (angl. Link)
 
 Dans un réseau, noeuds. La notion
 
 liaison
 
 observées entre ces résultats, les « aptitudes
 
 génétiques
 
 dèles psychologiques
 
 mentales
 
 ture de réseau, modèles
 
 différentielle).
 
 En ce sens, les tests d’apti-
 
 tudes se distinguent connaissances dépendent
 
 surtout
 
 des tests de
 
 acquises : leurs résultats
 
 en principe
 
 sance spécifique
 
 d’aucune
 
 préalable.
 
 ment, on a construit
 
 ne
 
 connais-
 
 Plus générale-
 
 des tests aussi « indé-
 
 pendants de la culture » que possible. Cette troisième
 
 définition
 
 renvoie aux problèmes
 
 posés par la distinction génétiques
 
 entre les facteurs
 
 et les facteurs
 
 variabilité
 
 de milieu
 
 interindividuelle,
 
 tend à apparaître
 
 distinction
 
 comme beaucoup
 
 simple qu’il ne semblait ractions s’établissant
 
 de la
 
 d’abord,
 
 qui
 
 moins
 
 des inte-
 
 entre ces deux catégo-
 
 Différenciation
 
 des aptitudes.
 
 Lorsqu’on
 
 une série de tests d’aptitudes
 
 à des
 
 enfants et des adolescents, on constate souvent que le nombre
 
 des facteurs nécessaires
 
 pour rendre compte des corrélations ces tests tend à augmenter facteur
 
 unique
 
 d’abord
 
 (facteur
 
 à expliquer
 
 de la variance progressivement
 
 chacun teurs
 
 des facteurs
 
 de groupe
 
 verbal,
 
 d’épreuves numérique,
 
 s’établir
 
 aptitude
 
 et donc unique,
 
 dans des domaines
 
 puis se
 
 dont chacun
 
 difficile,
 
 en partie
 
 pour des raisons méthodologiques. été rattachés à des principes
 
 Ils ont
 
 formulés
 
 par le
 
 anglais H. Spencer, selon lequel
 
 tout développement progressif
 
 indé-
 
 Ces résultats restent cepen-
 
 dant d’une interprétation
 
 philosophe
 
 spa-
 
 d’abord sur une
 
 de façon plus ou moins
 
 est plus limité.
 
 (fac-
 
 interindivi-
 
 duelles paraissent
 
 pendante
 
 s’opère par un passage
 
 « d’une homogénéité
 
 et incohérente et cohérente
 
 indéfinie
 
 à une hétérogénéité
 
 définie
 
 ». DU COMPORTEMENT
 
 (ANALYSE)
 
 Bibliographie Reuchlin,
 
 M., 1969, la Psychologie
 
 Paris, P.U.F.
 
 (S), de raisonnement
 
 (R), numérique
 
 composé
 
 retrouvés
 
 plusieurs
 
 fois depuis cette pre-
 
 partiennent
 
 au cours de travaux réa-
 
 la structure
 
 lisés par l’école de Thurstone chercheurs.
 
 et par d’autres
 
 choisit
 
 Ils servent souvent de variables
 
 de référence.
 
 Certains
 
 de la mémoire
 
 de noeuds et d’arcs. Ceux-ci de façon parfaitement formelle,
 
 un modèle,
 
 leur donner
 
 quelle sémantique
 
 ont pu être décom-
 
 c’est-à-dire
 
 qui relativise
 
 ».
 
 psychologie, justifiée,
 
 entre eux des corrélations
 
 point
 
 une structure
 
 simple
 
 (ils constituent
 
 « oblique
 
 ») dont on
 
 à condition
 
 permanente,
 
 de vue de la psychologie
 
 (et aussi dans d’autres
 
 utilisables
 
 la « représentation
 
 type d’entité
 
 pour la mesure de ces aptitudes.
 
 correcte
 
 très impor-
 
 d’un modèle et que de savoir quel
 
 on met sur les arcs.
 
 Il existe en version française un test d’apti-
 
 Les principales
 
 tudes mentales primaires
 
 lisées dans la littérature
 
 pour sujets de 11
 
 elle-même
 
 des connais-
 
 tante pour la construction son utilisation
 
 Du
 
 sciences cognitives
 
 sances »), c’est une question
 
 ont publié des tests
 
 n’im-
 
 et non ambiguë.
 
 de second ordre, interprétable
 
 L. L. et T. G. Thurstone
 
 quel sens),
 
 de le faire de façon
 
 comme
 
 générale.
 
 à
 
 relevant de la
 
 peut rendre compte par un facteur général comme fac-
 
 libre
 
 leur faire correspondre
 
 porte quelle entité théorique
 
 On a également constaté qu’ils présentaient
 
 ap-
 
 n’importe
 
 (n’importe
 
 ce
 
 le sens du terme « primaire
 
 et
 
 et on peut, quand on
 
 posés en facteurs à champ plus restreint,
 
 entités psychologiques
 
 uti-
 
 qui ont été placées
 
 à 17 ans qui fournit
 
 une note dans chacune
 
 sur des arcs sont : des associations libres ou
 
 des cinq aptitudes
 
 mentionnées
 
 des forces associatives
 
 ci-dessus
 
 et une note globale, évaluation général
 
 d’intelligence
 
 obtenue
 
 par sommation
 
 du facteur
 
 de second
 
 nisme classique),
 
 des associations
 
 tées (dans l’associationnisme
 
 de ces
 
 relations
 
 pondérée
 
 sémantiques,
 
 taine famille prédicats
 
 désignant
 
 du test de l’arbre
 
 sur l’hypothèse
 
 humain.
 
 suivante
 
 symbolique
 
 (dans d’autres
 
 est
 
 : l’arbre
 
 des
 
 (tels que à des
 
 la signification
 
 ou des cas sémantiques
 
 familles
 
 de réseaux séman-
 
 les modèles
 
 connexionnistes),
 
 La psychologie
 
 car
 
 sociale emploie
 
 pour son compte plusieurs relations
 
 (dans
 
 des transi-
 
 tions (dans les réseaux de transition),
 
 du corps
 
 au dessin d’un personnage,
 
 le sujet, ignorant
 
 des attributs
 
 tiques), des « poids » de connexions
 
 Pour Koch, le dessin de l’arbre est
 
 préférable
 
 », (dans une cer-
 
 ») ou correspondant
 
 cas grammaticaux
 
 est la représentation
 
 des
 
 verbes (tels que « mange »), ou encore des
 
 Test projectif par lequel on demande au sujet de dessiner un arbre. L’interprétation
 
 actuel),
 
 de réseaux sémantiques),
 
 « a pour couleur
 
 ARBRE (TEST DE L’) (angl. Tree Test)
 
 étique-
 
 telles que « est-un »,
 
 « est-un-superordonné-de M. R.
 
 fondée
 
 (dans l’association-
 
 ordre,
 
 cinq notes.
 
 etc.
 
 de même
 
 autres sortes de
 
 de nature interpersonnelle.
 
 symbo-
 
 J.-F. L. N.
 
 lique, ne mobilise pas ses résistances contre
 
 RÉSEAU
 
 le test. Les différents éléments de l’arbre ont des significations
 
 particulières
 
 et la cime, qui permettent manent
 
 : les racines
 
 l’échange
 
 avec la terre et l’air,
 
 toute mutilation
 
 de l’arbre
 
 zone traumatique
 
 représentent
 
 D’autre
 
 de la personnalité, observations,
 
 ;
 
 est l’indication chez le dessina-
 
 teur. Les racines représentent fondamentales.
 
 ARCHAÏQUE (RÉFLEXE) (angl Primitive Reflex)
 
 per-
 
 le sujet dans ses échanges avec son milieu
 
 ces éléments révèlent différentielle,
 
 qui sont surtout
 
 du langage. Tout réseau est par définition
 
 verbale (W). Ces facteurs ont été
 
 mière publication,
 
 deux
 
 fondés sur une struc-
 
 mis en oeuvre à propos
 
 (N),
 
 de fluidité
 
 d’une M. R.
 
 GÉNÉTIQUE
 
 sont les facteurs verbal (V), spatial
 
 alors
 
 à augmenter.
 
 dit, les différences
 
 manifestent
 
 Les prin-
 
 qui n’affectent
 
 tial, etc.) tend au contraire
 
 générale
 
 partie
 
 de ces tests perd
 
 de son importance,
 
 catégorie
 
 Autrement
 
 qui suffit
 
 la plus grande
 
 qu’une
 
 entre
 
 avec l’âge. Un
 
 général)
 
 explicable
 
 que le poids
 
 » (ou PMA).
 
 teur d’intelligence
 
 ries de facteurs.
 
 applique
 
 cipaux
 
 primaires
 
 entre
 
 d’arc est utilisée dans les mo-
 
 miné, au moins en partie, par des facteurs (H. Piéron, 1949, la Psychologie
 
 fines
 
 (hypersensibilité).
 
 les résul-
 
 analyse
 
 et d’aptitudes.
 
 interpréta
 
 les ramifications
 
 de la cime) avec tel trait de la personnalité
 
 facto-
 
 en 1938, sous
 
 Mental Abilities,
 
 sur un nombre
 
 évidence
 
 cognitives.
 
 tel détail (par exemple l’affine-
 
 ment des branches,
 
 cognitive
 
 mettent
 
 R. L.
 
 importante
 
 telligence
 
 en rapport
 
 par l’analyse
 
 L. L. Thurstone tats d’une
 
 et une « personnalisation
 
 individuelle
 
 mise en évidence rielle (Thurstone).
 
 théories générales dans ce domaine par une » des théories dynamiques
 
 ristiques d’un trait de personnalité,
 
 APTITUDE MENTALE PRIMAIRE (angl. Primary Mental Ability)
 
 Caractéristique
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 les pulsions
 
 part, les formes de
 
 les stades d’évolution
 
 leurs perturbations.
 
 considérées
 
 Les
 
 comme caracté-
 
 Comportement moteur automatique sous-cortical observable à la naissance et qui disparaît au cours des premiers mois de vie en fonction de la maturation central.
 
 du
 
 système
 
 Plus de 70 réflexes chez le nouveau-né.
 
 nerveux
 
 ont été répertoriés
 
 Ils sont généralement 83
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 utilisés
 
 pour
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 tester
 
 l’intégrité
 
 gique du nouveau-né. réflexe et archaïque contestée
 
 auteurs
 
 (Touwen,
 
 développementale
 
 comme fondamentale le diagnostic
 
 neurologique. persistance
 
 en ce qui
 
 de développement
 
 L’absence de certains de ces de certaines
 
 des premiers
 
 (réflexes buccaux), cou (réflexes toniques
 
 les réflexes toniques
 
 labyrinthiques,
 
 vestibulaires),
 
 réflexes d’agrippement traction
 
 (réflexes
 
 les réflexes
 
 et de réaction
 
 propriotactiles)
 
 fin, les réflexes de placement
 
 des lois
 
 générales
 
 et, en
 
 et de marche
 
 automatique. F. J.
 
 Construction
 
 la
 
 connaissance, pour soi et pour autrui, à travers l’opposition entre différents points de vue. L’étude
 
 de l’argumentation
 
 à
 
 affaires
 
 politiques
 
 intérêt
 
 s’est porté
 
 riciens,
 
 plutôt
 
 (l’art et la technique
 
 tation)
 
 commence
 
 siècle
 
 Ve
 
 enseignait
 
 comment
 
 et présenter
 
 ment un talent indispensable dans la vie publique.
 
 situation.
 
 l’argumentation pratiques.
 
 pour réussir
 
 étaient surtout
 
 Pour Aristote
 
 et
 
 des outils
 
 également,
 
 techniques,
 
 la rhétorique
 
 ces
 
 était l’étude
 
 des
 
 Jusqu’au jusqu’au torique
 
 siècle
 
 XIXe
 
 traux
 
 pratique
 
 ait été supplantée de nouvelles y compris mêmes
 
 peut être illustré
 
 des travaux
 
 sur la crédibilité.
 
 des attitudes
 
 est prise pour une donnée, et la
 
 Kelley,
 
 cioppo,
 
 humaine
 
 respectives et unipolaire,
 
 et Aris-
 
 eux, les recherches Hovland,
 
 I.L. Janis et
 
 l’efficacité
 
 de la source
 
 des arguments de l’argumentation
 
 un peu d’incertitude
 
 des arguments
 
 sur des promesses.
 
 ;
 
 basés sur des
 
 aux messages basés
 
 Par exemple, de nos jours,
 
 2. ATTITUDE.)
 
 à quelqu’un
 
 son idée à propos de
 
 de notre planète
 
 n’a aucun sens.
 
 monde
 
 sait qu’elle
 
 n’avons
 
 d’attitudes
 
 est ronde. Ainsi,
 
 nous
 
 que dans le contexte
 
 d’une controverse
 
 publique.
 
 Une attitude
 
 est en faveur de quelque chose parce qu’elle à quelque
 
 est en
 
 signifie
 
 qu’il
 
 faut considérer
 
 son
 
 comme
 
 des arguments.
 
 ou comme
 
 Cet aspect du constructivisme
 
 ex-
 
 linguistique
 
 d’un regain d’intérêt En effet, depuis
 
 autre
 
 chose. Cela les attitudes
 
 Il faut prendre
 
 au
 
 Son principe
 
 pour la
 
 du monde représente
 
 version
 
 de la réalité
 
 du
 
 n’est jamais toujours
 
 et d’autres
 
 une
 
 versions
 
 possibles. Par conséquent, le monde
 
 directeil
 
 en psychologie
 
 tels que Gergen, Shotau travers
 
 du discours
 
 (J.
 
 1987) qu’elles ont
 
 été développées
 
 sur les plans empirique,
 
 méthodologique
 
 et théorique.
 
 de ces recherches
 
 Le point
 
 de
 
 est que certains
 
 qui sont pris pour des strucpar la psychologie
 
 sont en fait construits L’analyse
 
 : action,
 
 est fondée
 
 construction
 
 et
 
 on a coutume
 
 la pensée elle-même
 
 argumentative.
 
 pour les analystes
 
 Au lieu de raisonner
 
 véhi-
 
 le langage
 
 en
 
 droite ligne, nos pensées sont organisées en dilemmes.
 
 La pensée privée, comme l’arguconsiste à créer des arguments
 
 et des contre-arguments, pour résoudre
 
 en les utilisant
 
 des dilemmes.
 
 ces similitudes,
 
 Étant donné
 
 on peut voir les estocades
 
 du débat comme les processus de la pensée elle-même
 
 (Billig,
 
 Au centre
 
 de ces processus,
 
 principe SATION
 
 1992). on trouve
 
 de catégorisation. Billig
 
 SOCIALE.)
 
 chologie
 
 classique
 
 l’orthodoxie
 
 (
 
 le
 
 CATÉGORI-
 
 s’attaque
 
 à la psy-
 
 de la catégorisation
 
 D’abord,
 
 il soutient
 
 ne s’est préoccupée
 
 que
 
 que de
 
 l’un des deux aspects pertinents
 
 du phé-
 
 nomène.
 
 ont visé
 
 En effet, tous les efforts
 
 en quoi les êtres humains
 
 ensemble dans des catégories
 
 sur ce sujet. Mais,
 
 du discours,
 
 est de forme
 
 dans lequel
 
 l’on donne sur un sujet quelconque
 
 de pen-
 
 sée. »
 
 prédisposés
 
 Par exemple, les réponses que
 
 nos attitudes
 
 le nom particulier
 
 de considé-
 
 des faits psychologiques
 
 de
 
 silencieuse et interne de l’âme
 
 avec elle-même,
 
 à montrer
 
 rer le langage comme un milieu
 
 culeraient
 
 conversation
 
 sur deux fronts.
 
 au
 
 l’un des dialogues
 
 le fait qu’on a donné à celle-là, qui est une
 
 ment public,
 
 sur l’analyse
 
 sur trois principes
 
 en
 
 sont une seule et même chose ; seul existe
 
 Ainsi,
 
 on
 
 nos connaissances,
 
 du discours.
 
 où les gens se disputent
 
 qui dit : « La pensée et la parole
 
 La façon dont nous
 
 intrapsychiques
 
 à
 
 Platon
 
 parlons
 
 phénomènes,
 
 de l’argumentation
 
 dans les sciences
 
 (
 
 et M. Wetherell,
 
 il ne faut pas li-
 
 Il cite ainsi
 
 De plus, le langage
 
 ; pour étudier
 
 la pertinence
 
 des situations
 
 est qu’on ne com-
 
 ne peut pas comprendre
 
 Billig,
 
 public.
 
 que par l’intermédiaire
 
 LANGAGE.)
 
 miter
 
 pour
 
 conflictuelle.
 
 a pris une
 
 neutre.
 
 ment
 
 et il faut analyser ces arguments
 
 Cependant,
 
 L. Wittgens-
 
 linguistique
 
 très grande importance
 
 sous-jacents.
 
 sûr de
 
 en l’absence d’une argumentation.
 
 est opposée
 
 utiliser
 
 sociales.
 
 Billig propose qu’on ne peut pas avoir une
 
 dans leur organisation
 
 on peut observer
 
 bipolaire
 
 du fait d’apparaître
 
 menaces relativement
 
 digne de confiance
 
 En psychologie,
 
 ; les vertus
 
 de nos relations
 
 et les
 
 variabilité.
 
 et de
 
 que nos constructions
 
 construits,
 
 travers
 
 et le changement
 
 (M. Billig, 1996)
 
 comme
 
 traditionnelle,
 
 fonda-
 
 1953 ; R.E. Petty et J.T. Ca-
 
 soi ou d’admettre
 
 peut-on
 
 vont, elles
 
 sérieux le langage au travers duquel ils sont
 
 tures
 
 1981) ont pris en compte l’impor-
 
 l’organisation
 
 : comment
 
 les
 
 discours pour se présenter comme crédible,
 
 départ
 
 à se poser les
 
 que Gorgias
 
 tance de la crédibilité
 
 la
 
 est de savoir si sa présence aug-
 
 question
 
 Potter
 
 la psychologie
 
 a continué
 
 (C.I.
 
 Dans les ex-
 
 elle-même
 
 en
 
 Personne ne pense qu’elle est plate, tout le
 
 crédibilité
 
 la crédibilité
 
 réali-
 
 d’interaction,
 
 rhétorique
 
 l’idée
 
 la forme
 
 par l’exemple
 
 Pour Aristote
 
 développe
 
 demander
 
 de Hovland
 
 la persuasion.
 
 que nous voulons
 
 que nous construisons
 
 La psychologie
 
 (
 
 périences
 
 des travaux
 
 Bien
 
 par le développement
 
 trices sur la persuasion
 
 impor-
 
 et ses collègues,
 
 et à son rapport
 
 des contextes
 
 attitude
 
 ses arguments.
 
 Ce contraste
 
 au
 
 ces actions vont varier
 
 sont fonction
 
 pour
 
 langagières
 
 ter et Simon. Mais c’est surtout
 
 de l’argumentation
 
 questions
 
 première
 
 par lesquelles on construit
 
 par des théoriciens
 
 la rhé-
 
 l’un des sujets cen-
 
 la psychologie,
 
 tote. Comme
 
 84
 
 III),
 
 sciences de l’action
 
 sociale moderne
 
 ou bien
 
 Dans cette perspective,
 
 Ces idées ont été introduites
 
 Barthes,
 
 des écoles et des universités.
 
 que l’étude
 
 H.H.
 
 (selon
 
 règne de Napoléon est demeurée
 
 Pour
 
 ses arguments
 
 fonction
 
 s’intéresse
 
 aussi, varier.
 
 faut étudier le langage.
 
 moyens de persuasion.
 
 et l’analyste
 
 ser. Et, puisque versions
 
 Il faudrait
 
 des procédures
 
 sont toujours
 
 dont
 
 l’Art rhétorique essayait de systématiser
 
 seraient
 
 est de toute
 
 tance, au-delà
 
 langage.
 
 un argu-
 
 Ainsi, la rhétorique
 
 des arguments.
 
 ou bien banales.
 
 prend le monde
 
 aux jeunes Athéniens
 
 construire
 
 Les rhéto-
 
 se sont préoccupés
 
 savoir façonner
 
 humaines.
 
 avant J.-C. Avec son cercle de sophistes, celui-ci
 
 de l’argument.
 
 que
 
 nos
 
 sur la base de nos compétences
 
 linguistiques,
 
 Leur
 
 plus sur la forme
 
 tein, la perspective
 
 de l’argumen-
 
 avec Gorgias au
 
 concerne
 
 ou la publicité.
 
 par contraste,
 
 rhétorique.
 
 de la rhé-
 
 nous construisons
 
 avec les actions
 
 est à l’origine
 
 la Grèce classique et à une longue histoire. torique
 
 l’effica-
 
 pert ?
 
 remonte
 
 Selon R. Barthes (1985), l’empire
 
 discours
 
 dont
 
 les
 
 que l’argument
 
 rhétoriciens,
 
 de
 
 de la façon
 
 important
 
 mente
 
 linguistique
 
 déterminant
 
 nous exécutons
 
 des actions sociales. Ces actions dépendent
 
 processus de construction
 
 question ARGUMENTATION n.f. (angl. Argumentation)
 
 cherchaient
 
 des mots,
 
 pas
 
 le contenu
 
 à la
 
 dif-
 
 et en écrivant
 
 cité des messages. Pour eux, il n’était
 
 chaque
 
 les
 
 et les psycho-
 
 Les psychologues
 
 impossibles,
 
 du
 
 aux mêmes
 
 de manières
 
 eux, des règles générales
 
 de redressement
 
 (réflexes
 
 les ont abordés
 
 de la particularité
 
 cardinaux
 
 proprioceptifs),
 
 et de Moro
 
 être le
 
 sont les réflexes
 
 et des points
 
 les rhétoriciens
 
 sur le contenu
 
 du système nerveux
 
 Les plus connus
 
 de fouissement
 
 la
 
 au-delà
 
 mois de vie peuvent
 
 signe d’une pathologie central.
 
 réponses
 
 logues férentes.
 
 est
 
 réflexes à la naissance ou, au contraire,
 
 bien qu’ils s’intéressent
 
 problèmes,
 
 de ces réponses ait été
 
 1984), leur évolution concerne
 
 Mais,
 
 Bien que la nature
 
 par certains
 
 considérée
 
 neurolo-
 
 simplifier
 
 sont
 
 à classer les objets (et les gens) un monde
 
 trop compliqué.
 
 et cela pour
 
 qui autrement
 
 serait
 
 Mais, selon la psychologie
 
 rhétorique,
 
 il faut ajouter
 
 bien connu
 
 de catégorisation
 
 de particularisation.
 
 n’est pas le véhicule neutre de réalités inté-
 
 l’accentuation
 
 rieures. Le langage est de l’action : en disant
 
 choses (catégorisation),
 
 Tout
 
 à ce processus le processus en appliquant
 
 des similitudes
 
 entre
 
 les
 
 les gens sont éga-
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 lement sensibles à la différenciation un exemplaire risation).
 
 et une catégorie
 
 entre
 
 (particula-
 
 Même ceux que l’on penserait
 
 plus prédisposés capables d’être
 
 à catégoriser souples
 
 ser. Il en est ainsi
 
 sont des Noirs
 
 se montrent
 
 et de particulari-
 
 du raciste
 
 que « quelques-uns
 
 les
 
 qui affirme
 
 de ses meilleurs
 
 amis
 
 ».
 
 classique
 
 de la catégorie
 
 Dans les modèles tifs, comme
 
 donnée.
 
 cognitifs
 
 est considérée
 
 comme
 
 une
 
 rhétorique,
 
 catégorie
 
 relève, dans tous ses aspects, du
 
 domaine
 
 de l’argumentation.
 
 La catégo-
 
 et la particularisation
 
 sont donc
 
 la définition
 
 à l’argumentation.
 
 mentation
 
 peut prendre
 
 d’une
 
 Cette
 
 plusieurs
 
 si un exemplaire
 
 arguformes.
 
 est membre
 
 d’une catégorie ou pas, on peut discuter la nature du particulier, catégorie,
 
 nature de la discussion.
 
 Pour
 
 mentation
 
 n’est pas simplement limité,
 
 de
 
 d’argumentation
 
 propose
 
 non seulement
 
 que l’esprit sa
 
 à ce que nous étu-
 
 tagoras,
 
 Considérant,
 
 Pro-
 
 que, si l’on avance un argument,
 
 il faut toujours
 
 accorder
 
 contre-argument, esprit
 
 suivant
 
 gie elle-même.
 
 liées à la psycholo-
 
 Si l’argumentation
 
 jours possible, n’y a-t-il situations
 
 un poids égal au
 
 on peut poser dans cet
 
 deux questions
 
 est tou-
 
 pas également
 
 où les discussions
 
 des
 
 s’arrêtent
 
 et
 
 où il faut analyser
 
 les conséquences
 
 définitions
 
 ? Et, s’il faut prendre
 
 établies
 
 des
 
 au sérieux la construction
 
 linguistique
 
 arguments,
 
 ne trouvent-ils
 
 les arguments
 
 ?
 
 S. R.
 
 LANGAGE,
 
 (CHANGEMENT
 
 PRAGMATIQUE,
 
 Routledge.Billig,
 
 Thinking
 
 (2 éd.), Cambridge,
 
 M., Arguing
 
 Communication
 
 l’A.R.N.
 
 de transfert
 
 ribosomique
 
 seule
 
 Yale University
 
 Change,
 
 1953,
 
 : Psychological
 
 New Haven,
 
 Conn.,
 
 messager (A.R.N.-m), (A.R.N.-t)
 
 J.T., 1981, Attitudes
 
 : Classic and Contemporary
 
 Dubuque,
 
 J., et Wetherell,
 
 Social Psychology,
 
 William
 
 La synthèse des A.R.N.
 
 s’effec-
 
 de la cellule à partir
 
 Londres,
 
 Sage.
 
 de
 
 qui sert de matrice.
 
 d’une certaine ils présen-
 
 de gros troubles
 
 de la com-
 
 sociale
 
 caractérielle
 
 et une grande
 
 instabilité
 
 ;
 
 - les débiles légers, dont le Q.I. va de 75 à 85 ; ils sont éducables dans le cadre d’une scolarité spécialisée et peuvent acquérir une autonomie sociale (ils sont capables d’apprendre un métier simple et de l’exercer correctement si les conditions
 
 du milieu
 
 ne sont pas trop
 
 que cette dernière
 
 rie a été l’occasion d’arriération,
 
 dont la limite
 
 raissait surtout
 
 la notion
 
 supérieure
 
 liée à des critères
 
 une société aux normes vées risquant
 
 catégo-
 
 de critiquer
 
 pa-
 
 sociaux,
 
 scolaires plus éle-
 
 de sécréter plus de « débiles »
 
 and
 
 l’école obligatoire
 
 ARRIÉRATION MENTALE (angl. Mental Retardation, Backwardness, Mental Deficiency)
 
 tous, a fait apparaître
 
 Carence d’intelligence précocement acquise,
 
 sionnel analphabète.
 
 pour
 
 une population
 
 d’en-
 
 fants « inadaptés scolaires » qui, jusque-là, s’adaptaient
 
 congénitale ou qui se caracté-
 
 fort bien à un milieu
 
 C’est pourquoi
 
 une classification
 
 profes-
 
 des arrié-
 
 rise par un fonctionnement intellectuel global significativement inférieur à la moyenne générale de la population, associé à des déficiences des conduites adaptatives entraînant une incompétence sociale, ou incapacité
 
 rations
 
 de s’adapter correctement gences du milieu.
 
 cause » (R. Misès, R. Perron et R. Salbreux).
 
 PSYCHIATR.
 
 aux
 
 exi-
 
 deux dimensions
 
 de l’arriération
 
 de développement
 
 et celle de l’insuffisance
 
 mentales
 
 ligence est à la fois arbitraire, insuffisante. attentive,
 
 : celle
 
 traditionnelle
 
 reposant
 
 peut, dans chaque cas, situer le
 
 jeu complexe
 
 des conditions
 
 sont organiques
 
 héréditaires
 
 comme
 
 le test de Guthrie, bryo-foetopathies
 
 sur la mesure
 
 périnatale)
 
 du
 
 loppement
 
 d’intelligence
 
 fectionnée
 
 Le plus souvent,
 
 en 1937 et modi-
 
 variable
 
 utilisées
 
 le niveau
 
 intellectuel
 
 sont intriqués
 
 ou celle de comme
 
 On une
 
 exprimé
 
 connaissance
 
 par un nombre,
 
 de l’âge mental
 
 par l’âge
 
 permet
 
 de mieux
 
 formes
 
 organiques
 
 égal
 
 (et supérieur
 
 à
 
 déficiences
 
 génétique
 
 nir et de les traiter
 
 limitées
 
 et neurobiologique
 
 comprendre
 
 certaines
 
 et, donc, de les préveplus efficacement.
 
 théorie
 
 alors :
 
 plan, donner
 
 un meilleur
 
 psychogenèse
 
 et orienter
 
 psychanalytique
 
 La
 
 a pu, sur un autre éclairage
 
 sur la
 
 ainsi les abords
 
 férieur à 30 ; ce sont les « idiots » décrits par
 
 psychothérapiques
 
 J. Esquirol,
 
 tion. Enfin, une analyse critique
 
 qui n’ont ni langage, ni contrôle
 
 » par le
 
 une meilleure
 
 100 chez les sujets « doués »). On distingue
 
 dont le Q.I. reste in-
 
 ou
 
 étiologiques
 
 secondaire
 
 Actuellement,
 
 par le quotient,
 
 et donc théoriquement
 
 psychotiques
 
 et il n’est pas rare d’assis-
 
 définie
 
 chronologique
 
 dans leur déve-
 
 les facteurs
 
 de certaines
 
 au départ.
 
 psycho-
 
 de l’enfance.
 
 ter à la « débilisation milieu
 
 21, em-
 
 et souffrance
 
 sont surtout
 
 des évolutions
 
 endo-
 
 trisomie
 
 assez proches
 
 dysharmoniques
 
 adaptée aux enfants (WISC).
 
 (enzymopathies
 
 multiples
 
 créée en 1905 par A. Binet et T. Simon, per-
 
 celle de Brunet-Lézine,
 
 multiples.
 
 encéphalopathies
 
 ; d’autres
 
 génétiques,
 
 (Q.I. de W. Stern)
 
 par L. Terman
 
 et facteurs en
 
 la phénylcétonurie,
 
 phacomatoses,
 
 à la classification
 
 métrique
 
 et
 
 détectée par
 
 intellectuel
 
 du comportement
 
 d’intelligence
 
 inexacte
 
 Et « seule une étude clinique
 
 théoriques,
 
 criniennes, correspond
 
 d’intel-
 
 appuyée sur de larges références
 
 Certaines
 
 adaptatif. La première
 
 par le quotient
 
 Les causes sont effectivement
 
 Il y a dans cette définition
 
 - les arriérés profonds,
 
 Brown.
 
 M., 1987, Discourse
 
 dont le Q.I. se situe
 
 et semi-éducables,
 
 On comprend
 
 et l’A.R.N. le plus
 
 à 100 chez le sujet normal
 
 Press.
 
 Petty, R.E., et Cacioppo, and Persuasion
 
 H.H.,
 
 et ne sont que partielle-
 
 exigeantes).
 
 de loin
 
 tue dans le noyau l’A.D.N.*,
 
 trois catégories
 
 (A.R.N.-r),
 
 abondant.
 
 définit
 
 and Persuasion
 
 Studies of Opinion
 
 Potter,
 
 : l’A.R.N.
 
 Wechsler
 
 Cambridge
 
 C.I., Janis, I.L., et Kelley,
 
 Approaches,
 
 d’A.R.N.
 
 comme
 
 and
 
 Press.
 
 Hovland,
 
 d’une
 
 fiée dans les échelles actuellement
 
 of the Royal Family,
 
 Londres,
 
 University
 
 formé
 
 Les cellules contiennent
 
 grâce à l’échelle
 
 REPRÉSENTATION
 
 Bibliographie M., 1992, Talking
 
 dont le Q.I. se situe
 
 - les débiles moyens,
 
 tent souvent
 
 chaîne de nucléotides, chaque nucléotide comprenant une molécule d’acide phosphorique, un sucre, le ribose, et une base organique qui peut être l’adénine, la guanine, l’uracile ou la cytosine.
 
 quotient
 
 D’), IDÉOLOGIE,
 
 SOCIALE
 
 Billig,
 
 nucléique
 
 et
 
 ment éducables ;
 
 pétence
 
 du retard
 
 des
 
 leur réponse que sur un plan linguistique ATTITUDE
 
 gage rudimentaire
 
 J. Ferry, en rendant
 
 dions mais aussi à nos propres procédures scientifiques.
 
 ;
 
 du milieu
 
 qu’une autre. Et il est certain que la loi de
 
 général
 
 donne éventuellement
 
 parfois grabataires
 
 autonomie
 
 A.R.N. (ACIDE RIBONUCLÉIQUE) n.m. (angl. RNA, RiboNucleic Acid)
 
 l’arguun phé-
 
 mais un modèle
 
 dépendants
 
 béciles » ou « crétins », qui n’ont qu’un lan-
 
 G. S.
 
 rhétorique,
 
 et plus encore, Billig
 
 forme
 
 de la
 
 Les possibilités
 
 ils sont totalement
 
 entre 30 et 50 ; ce sont les classiques « im-
 
 calculs sur tout ce qui l’environne.
 
 Acide
 
 psy-
 
 à une vie végétative,
 
 - les débiles profonds,
 
 de faire des
 
 ne s’épuisent jamais...
 
 la psychologie
 
 nomène
 
 de
 
 de la nature de la
 
 et on peut même discuter
 
 discussion
 
 objets, apparaissant le plus souvent dans un contexte phobo-obsessionnel comme un moyen de lutte contre l’anxiété.
 
 ; réduits
 
 ni autonomie
 
 entre 50 et 70 ; susceptibles
 
 chologie
 
 ouvertes
 
 les
 
 et sociocogni-
 
 mais le noyau est ferme. Or, selon la psy-
 
 En décidant
 
 à compter
 
 J. P.
 
 Elle peut être floue aux marges,
 
 risation
 
 compulsive
 
 elle-même.
 
 celui de Rosch, la définition
 
 de la catégorie
 
 Tendance
 
 suffisant,
 
 chomotrice
 
 Le sujet ne peut s’empêcher
 
 En second lieu, Billig s’attaque à la conception
 
 sphinctérien
 
 ARITHMOMANIE n.f. (angl. Arithmomania)
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 et éducatifs de l’arriéradu milieu 85
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 familial
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 et institutionnel
 
 arriéré
 
 où vit l’enfant
 
 (M. Mannoni)
 
 cette débilisation
 
 a souvent
 
 secondaire
 
 produit
 
 su éviter
 
 qui s’avère si
 
 néfaste pour son avenir. J. P.
 
 Bibliographie Mannoni,
 
 M., 1964, l’Enfant
 
 arriéré
 
 et sa mère,
 
 Approche Misès,
 
 dynamique, R., Perron,
 
 « Arriération
 
 déficient
 
 R., Salbreux,
 
 contournant
 
 L’exemple
 
 manifestations
 
 et débilité
 
 mentale
 
 de la « cure » de la mélancolie
 
 du roi Saül par la lyre de David
 
 semblait
 
 réticence
 
 alors confirmer
 
 antiques
 
 périence
 
 les prescriptions
 
 à cet égard de modèle.
 
 une grande
 
 relativisation
 
 soit véritablement
 
 Paris, Psychiatrie
 
 A,10.
 
 riences
 
 d’inspiration
 
 menées
 
 afin d’explorer
 
 peutique
 
 la validité
 
 Elles reléguèrent de thérapie
 
 adjuvante,
 
 dont
 
 Par exemple l’enfant
 
 affirme
 
 que les lacs
 
 ont été creusés par des hommes
 
 qui ont
 
 amené l’eau dans des tuyaux.
 
 d’autres
 
 au rang
 
 l’attention
 
 intégrées
 
 L’art-thérapie comme
 
 est parfois
 
 une méthode
 
 ginale et suffisante résolution
 
 considérée
 
 thérapeutique
 
 par elle-même
 
 de certaines difficultés
 
 oripour la
 
 psycholo-
 
 le cadre des méthodes piques.
 
 En général,
 
 d’aide psychothéra-
 
 elle concerne
 
 tion à des fins thérapeutiques relevant
 
 des arts plastiques
 
 sin, modelage, parfois utilisent
 
 : peinture,
 
 sculpture,
 
 les thérapies
 
 de techniques des-
 
 mais englobe
 
 musicales,
 
 Le concept
 
 et situation
 
 celles qui
 
 du problème
 
 d’art-thérapie
 
 repose sur la constatation
 
 La constatation
 
 clinique.
 
 Il
 
 de l’expression
 
 conceptuelle
 
 Si les thérapeutiques dies mentales l’utilisation
 
 ne manquaient
 
 des mala-
 
 pas d’inclure
 
 de l’art, il s’agissait alors d’un
 
 recours « passif » à des stimulations tiques, malade
 
 censées réintroduire l’harmonie
 
 voire tempérer se prolonge (surtout
 
 artis-
 
 dans l’esprit
 
 qui lui faisait
 
 défaut,
 
 ses passions. Cette pratique
 
 aujourd’hui
 
 musicales)
 
 dans les thérapies
 
 dites « réceptives », où
 
 le sujet est soumis à la fréquentation
 
 mais
 
 les laisse
 
 et de quelque
 
 est étroitement
 
 en cor-
 
 avec leur mal, voire en offre ce genre
 
 de les utiliser
 
 comme
 
 dans les tentatives d’expression.
 
 d’un
 
 des
 
 Il apparaît donc logique
 
 d’encourager
 
 d’activités,
 
 monnaie
 
 voire
 
 d’échange
 
 de socialisation.
 
 L’expression
 
 On à celle
 
 plastique,
 
 élaboré,
 
 créé par le patient
 
 de
 
 que
 
 Les façons de considérer
 
 d’expression
 
 et non exclusivement
 
 nifestations festations
 
 verbales.
 
 rité de ce geste et de cet objet sont dès lors extraordinairement L’état
 
 actuel
 
 variables.
 
 de l’art-thérapie
 
 de ses origines
 
 des appartenances
 
 conceptuelles
 
 idéologiques
 
 enfin que le concept
 
 générale à la créativité
 
 rie générale de l’art-thérapie
 
 prennent constante).
 
 concernent
 
 soit dans le pro-
 
 avec celles-ci,
 
 se trouvassent
 
 surtout
 
 a la répula référence
 
 la musique,
 
 la danse,
 
 et les marionnettes qui se veulent
 
 spécifiques.
 
 à les considérer,
 
 sein des art-thérapies
 
 proposées
 
 discriminative
 
 On ne isoler au quoi que
 
 à une conceptuades indications.
 
 semblent
 
 plutôt
 
 émotionnelles
 
 ressortir
 
 à
 
 supposées être
 
 des mani-
 
 tel moyen
 
 d’expression,
 
 et non à quelque
 
 référence
 
 à une clinique
 
 ou à une psycho-
 
 Il fallait
 
 pathologie.
 
 même d’art
 
 dépassât
 
 Certains
 
 et que les artistes
 
 les fous et les prisonniers
 
 pôles d’intérêt
 
 dant et l’art-thérapie plusieurs
 
 se dégagent cepen-
 
 peut être investie selon
 
 axes, parfois
 
 que l’on voudrait
 
 par tel ou
 
 assez distants
 
 classiquement
 
 de ce
 
 entendre
 
 pour que l’on s’avisât que ce qui était une
 
 par thérapie.
 
 expression
 
 en espérant des bénéfices, une activité,
 
 spontanée
 
 En
 
 préférentiellement
 
 une parenté avec les « primi-
 
 tifs, les enfants,
 
 peut cependant,
 
 fait, celles-ci
 
 de
 
 aussi à la diversité
 
 le masque
 
 des tonalités
 
 (les travaux
 
 : si l’art-thérapie
 
 aux arts plastiques,
 
 lisation
 
 qui
 
 y sont une référence quasi
 
 de concerner
 
 le théâtre,
 
 une
 
 psychanalytiques,
 
 Cela tient
 
 des pratiques
 
 une théo-
 
 et les théories
 
 valeur de caution
 
 D. W. Winnicott
 
 libre. On
 
 être le plus souvent,
 
 en opposition
 
 lui-même.
 
 traditionnelles
 
 et profes-
 
 serait bien en peine de trouver
 
 tation
 
 et
 
 de ceux qui la gèrent, malgré la
 
 référence
 
 soit
 
 la
 
 favorisées
 
 mais aussi à propos
 
 créateur
 
 recèle
 
 non
 
 Elle intervint
 
 artistiques,
 
 du
 
 de ses ma-
 
 au sujet du contenu
 
 du processus ses limites
 
 s’occupait
 
 produit
 
 la place et la pola-
 
 ce soit qui ressemblerait
 
 l’aliéné n’est pas étranger.
 
 Elle intègre
 
 même et par le processus qui l’a fait naître.
 
 plus ou moins
 
 auquel il est ainsi démontré
 
 »
 
 de cet acte qui prend sens à la fois par lui-
 
 toutes
 
 vers le champ
 
 artistique
 
 donc un geste et un objet concret,
 
 et les oeuvres sont détournées
 
 de leur fonc-
 
 exi-
 
 et « montré
 
 ou à l’animateur.
 
 aussi des médiations
 
 esthétique,
 
 de
 
 ou l’apport
 
 en séance d’un objet de nature
 
 offrent
 
 démonstrative
 
 pour
 
 première
 
 la réalisation
 
 spontanée, devient autorisée, puis favorisée
 
 seulement anciennes
 
 gence technique
 
 des théories
 
 rélation
 
 em-
 
 la notion
 
 pose comme
 
 longement
 
 par eux-mêmes
 
 spontanée
 
 et moyens
 
 non verbale,
 
 patient
 
 artistique.
 
 : buts
 
 expression
 
 aussi dès qu’on
 
 des conduites visée d’ordre
 
 Art-thérapie
 
 parce qu’elles
 
 s’occuper
 
 On
 
 thérapie.
 
 justement
 
 modalités
 
 une
 
 est
 
 leur donne de quoi s’occuper, mieux
 
 engendre.
 
 que se dégage d’elle-même
 
 qu’on
 
 ils vont
 
 et sur les
 
 désir de soigner,
 
 proposées se trouvent
 
 des différentes
 
 comme présentant
 
 d’un certain
 
 simple : certes, les malades vont mieux dès
 
 spontanée des malades asilaires, qui évoque lement considérées
 
 première
 
 L’observation
 
 la psychanalyse
 
 », habituel-
 
 qu’elle
 
 put dès lors intégrer l’expression
 
 sionnelles
 
 dont est issue la
 
 occupationnelle.
 
 gestuelles
 
 de la création
 
 bilatérales
 
 diversité
 
 spontanée
 
 d’une
 
 Parallèlement,
 
 dites « normales
 
 la
 
 comportemental
 
 fut la source
 
 organisation
 
 annexer
 
 de la création
 
 et de l’effet
 
 tion initiale
 
 est né, dans sa
 
 forme actuelle, de l’observation
 
 artistique.
 
 de la création
 
 faites
 
 passe alors de l’idée de distraction
 
 la danse, le mime ou le théâtre.
 
 Historique
 
 des tentatives
 
 psychologie
 
 de celle-ci
 
 de
 
 En même temps, on as-
 
 aspects nouveaux.
 
 l’utilisa-
 
 de ceux-ci
 
 pour
 
 des malades
 
 se
 
 des alié-
 
 par la psychopathologie
 
 thérapie
 
 et
 
 des cliniciens
 
 plastiques
 
 chose qui, pourtant,
 
 giques. Le plus souvent, elle est située dans
 
 et de lui faire
 
 spontanée
 
 sista à un renouveau
 
 Toute entreprise à visée thérapeutique utilisant la médiation d’une conduite ainsi que de son objet et se référant explicitement aux catégories de l’art.
 
 de ses
 
 dans les descriptions
 
 leurs symptômes. ART-THÉRAPIE n.f. (angl. Art-Therapy)
 
 sur les dimensions
 
 L’art-thérapie
 
 champs de perception
 
 sur l’expression
 
 furent
 
 réactions
 
 en un travail
 
 le but expli-
 
 son attention
 
 nés. Les réalisations E. V.
 
 se prolongea
 
 au thérapeute
 
 Parallèlement, porta
 
 clinique
 
 C’est ainsi que l’obser-
 
 preint
 
 de pensée.
 
 un homme.
 
 explorer
 
 morbide.
 
 de leur ex-
 
 théra-
 
 externes où intervient
 
 morbides
 
 verbales aussi bien par leur
 
 que par l’indicibilité
 
 dynamique
 
 à leurs
 
 de thérapeute,
 
 rait comme
 
 préoccupations
 
 imposées
 
 de se placer en position
 
 cite fut de plus en plus de placer le patient l’art, afin de détourner
 
 les limites
 
 en
 
 furent
 
 Selon J. Piaget, démarche de l’enfant, entre 3 et 7 ans, par laquelle il attribue les éléments et les phénomènes naturels à l’action de l’homme ou à celle d’un être imaginaire qui oeuvre-
 
 dans des conditions
 
 ce qui les préoccupait
 
 où il suffit à l’autre
 
 qui en découlent.
 
 leur utilisation
 
 leur permet-
 
 dans un jeu relationnel
 
 Des expé-
 
 scientifique
 
 des techniques
 
 du
 
 que ce dernier
 
 abandonné.
 
 vation
 
 plastiques
 
 et communicatives
 
 et l’essor des thérapeutiques
 
 recours à l’art, sans toutefois
 
 », Encyclo-
 
 ARTIFICIALISME n.m. (angl. Artificialism)
 
 86
 
 Au XIXe de la clinique
 
 le développement
 
 entraînèrent
 
 R., 1980,
 
 que les réalisations
 
 invité à le réaliser.
 
 psychiatrique
 
 Paris, P.U.F.
 
 pédie médico-chirurgicale, 32270
 
 mental.
 
 aux thé-
 
 taient d’exprimer
 
 siècle,
 
 R., 1975, l’Enfant
 
 par opposition
 
 rapies « actives » ou « créatives », où il est
 
 et servir
 
 Paris, Éd. du Seuil. Misès,
 
 artistique,
 
 des malades pouvait
 
 C’est ainsi que l’on propose,
 
 bien être aussi une façon à eux de se soi-
 
 expression
 
 gner, voire de se guérir
 
 tion, un plaisir
 
 ». Il devenait
 
 clair
 
 différente,
 
 une possible
 
 même, étant entendu
 
 une
 
 mutaque,
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 si l’expression
 
 non verbale
 
 lieu de la mise en forme voire de l’indicible,
 
 est a priori
 
 de l’impensable,
 
 il n’y a pas obligatoire-
 
 ment un effet thérapeutique mutation.
 
 le
 
 niveaux
 
 au sens d’une
 
 se situent aux différents
 
 d’une évolution
 
 vités occupationnelles
 
 à quelqu’un,
 
 question
 
 du transfert
 
 prises de position
 
 En fait, les bénéfices escomptés
 
 d’une art-thérapie
 
 montrer
 
 qui part des acti-
 
 en fonction
 
 de sa formation
 
 de son état,
 
 rétroactivement
 
 quant à la pertinence
 
 ou telle formation
 
 et des ergothérapies,
 
 à tenir
 
 et de ses buts. Ces consi-
 
 représentent
 
 justifications
 
 la
 
 et amène à diverses
 
 sur la conduite
 
 par le thérapeute dérations
 
 ce qui introduit
 
 des
 
 de telle
 
 (l’art-thérapeute
 
 doit-il
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 dernière caractéristique une relation
 
 lui permet de créer
 
 identificatoire
 
 avec le patient,
 
 telle que celui-ci puisse vivre de façon créative et dynamique
 
 le travail
 
 tense développé
 
 psychique
 
 lors de la réalisation
 
 artis-
 
 tique et dont l’oeuvre se fait le miroir.
 
 Cette
 
 oeuvre est ainsi appelée à la fois à témoigner d’une dynamique
 
 psychique
 
 et à rassurer le
 
 passe par le contact avec une matière docile
 
 ou non être un artiste ?).
 
 sujet sur la stabilité d’une identité
 
 ou au contraire
 
 Il faut noter que le recours à l’idée du beau,
 
 ébranlée
 
 l’introduction
 
 et désigne de façon permanente.
 
 tante,
 
 significativement
 
 par l’apprentissage
 
 susceptibles
 
 de techniques
 
 de faire naître une production
 
 à la fois personnelle
 
 et admissible
 
 autres, issue d’un véritable soi-même
 
 résis-
 
 tématiquement
 
 par les
 
 dialogue
 
 avec
 
 pour aller vers la verbalisation
 
 d’impressions
 
 nouvelles.
 
 alors liée à un contenu
 
 L’expression
 
 de l’esthétique,
 
 dont la valeur prend
 
 écarté : le bénéfice attendu
 
 n’est pas la réalisation
 
 d’un objet plaisant
 
 mais celle d’un objet signifiant par rapport
 
 est
 
 interne.
 
 à lui-même
 
 L’accent est ainsi déplacé des caté-
 
 gories du plaisir
 
 vers celles de la connais-
 
 et qui se
 
 sance de soi, l’esthétique
 
 révèle dans la prise de conscience
 
 de nou-
 
 comme
 
 cioculturel
 
 ou des apprentissages
 
 so-
 
 anciens,
 
 mais des résistances propres au support, au média utilisé.
 
 Le point
 
 ultime
 
 est alors la
 
 mise en forme d’un contenu
 
 expressif dans
 
 un projet de communication
 
 de soi au tra-
 
 vers d’un
 
 codage impliquant
 
 ne découlant
 
 l’autre
 
 pas directement
 
 mais
 
 de l’autorité
 
 sion au-delà
 
 du langage
 
 enfin
 
 un retour
 
 exclure
 
 considéré projet
 
 d’expres-
 
 verbal ultime
 
 authentiquement
 
 ne peut à celui-ci, À
 
 se rapprocherait
 
 du concept d’analyse transitionnelle c’est-à-dire
 
 nécessaire et transitoire,
 
 élaboré
 
 d’une pratique analytique
 
 mais en respectant,
 
 voire en satisfaisant
 
 les besoins internes
 
 qui lui en interdisent
 
 Lorsque
 
 psychothérapies l’analyse techniques
 
 verbales
 
 produit
 
 de création
 
 chez le créateur comme
 
 si elle entraîne
 
 chez le spectateur
 
 sentification
 
 de la réalité intérieure,
 
 risée par l’expression secondairement
 
 spontanée, deviendra
 
 de la pensée réflexive.
 
 de l’oeuvre
 
 d’aboutissement
 
 de créer
 
 rapie
 
 de cette réalité
 
 une transmission
 
 dans le manifeste
 
 une représentation en contact
 
 directe
 
 de l’oeuvre,
 
 de celle-ci.
 
 se propose
 
 où elle implique n’était
 
 évidence,
 
 avec des sensations
 
 primitives
 
 au service
 
 le codage faisant
 
 Les théories
 
 Au-delà
 
 de ces finalités
 
 sion, « cheville thérapie comme l’extérieur simulées
 
 corporelle.
 
 ouvrière
 
 premières,
 
 du concept d’art-
 
 », n’est cependant un simple
 
 plus repérée
 
 phénomène
 
 de mise à
 
 de soi de choses cachées, disou retenues,
 
 ou non. Exprimer,
 
 volontairement
 
 c’est aussi montrer
 
 alors
 
 créatrice,
 
 thérapeutique
 
 que l’art-thérapie d’induire
 
 d’art
 
 le pas sur l’intérêt
 
 de la démarche.
 
 C’est en cela
 
 porte un nom qui risque
 
 en erreur, car son objet est le pro-
 
 cessus créateur et non pas l’objet créé.
 
 Espaces
 
 L’art-thérapie, ment
 
 actuel
 
 d’ateliers
 
 de soi, d’un
 
 propre
 
 du sujet
 
 communication
 
 ment de l’espace interne
 
 de dialogue
 
 avec
 
 soi-même.
 
 tout
 
 du moins,
 
 de services
 
 d’hospitalisa-
 
 adultes,
 
 mais aussi
 
 Les techniques
 
 propo-
 
 le plus souvent
 
 des caté-
 
 auxquelles
 
 les art-thérapeutes
 
 appar-
 
 : celles-ci
 
 aussi bien des formations
 
 tiques que des formations ou psychiatriques. sur l’objet
 
 L’accent
 
 réalisé,
 
 être repris
 
 peut propre,
 
 pédagogique
 
 au titre
 
 soit
 
 d’une
 
 et peut
 
 de l’initiation
 
 censée libérer
 
 de la forme
 
 soit au titre
 
 alors
 
 soit sur la relation
 
 L’aspect soit
 
 artis-
 
 psychologiques
 
 être mis soit sur la technique
 
 entraves
 
 représenté
 
 par ses origines
 
 gories professionnelles
 
 son devenir.
 
 interac-
 
 », reste
 
 qui sont faites à son
 
 des populations
 
 incluent
 
 dans un
 
 « en ville
 
 et, en France
 
 sujet émanent tion
 
 le développe-
 
 marqué
 
 les communications
 
 au sens de la sibrute.
 
 techniques
 
 malgré
 
 par l’élargisse-
 
 à
 
 le sujet des
 
 par l’apprentissage, identification
 
 fonda-
 
 trice au désir du thérapeute. L’art-thérapie,
 
 L’extrême
 
 diversité
 
 définit
 
 des théories,
 
 des références illustre
 
 ou plus
 
 théoriques,
 
 de
 
 assez bien un de ses
 
 fondamentaux
 
 : la créativité
 
 Si le patient est mis dans une si-
 
 où il est censé s’éprouver créatrice personnelle,
 
 ver une restauration « animateur les conditions d’une thérapie,
 
 personnelle
 
 est l’atelier
 
 ceux qui s’y trouvent. lui-même
 
 et le contenu,
 
 L’atelier
 
 par ce qui l’inclut
 
 tains, l’exclut)
 
 : l’hôpital
 
 ce sens, l’atelier
 
 :
 
 se définit
 
 (ou, pour cer-
 
 ou la société ; en
 
 peut se définir
 
 comme un
 
 de secret hors des références de la folie ou,
 
 cela se d’un
 
 habituelles
 
 mais aussi porteur
 
 le contenant
 
 et un contenu
 
 et y trou-
 
 de se placer dans
 
 personnelles
 
 par un contenant
 
 se
 
 lieu « non médical
 
 narcissique,
 
 » susceptible
 
 sur le plan technique,
 
 dans une
 
 fait en présence d’un art-thérapeute,
 
 expérience
 
 est que l’oeuvre
 
 de l’oeuvre
 
 par elle-même
 
 intrasystémique
 
 tuation
 
 encouru
 
 dans un état d’infirmité
 
 la réalisation
 
 prenant
 
 tiennent
 
 d’un lien de signification
 
 d’une expérience technique et
 
 le sujet
 
 une technique
 
 dynamique l’expres-
 
 tienne
 
 modèle du lien
 
 caractères
 
 continuellement
 
 par les artistes eux-mêmes)
 
 tive : lien intersystémique,
 
 bilatérale.
 
 rapie s’étayent alors sur celles des diverses thérapies à médiation
 
 de l’identité
 
 l’art-thérapie
 
 de l’art-thé-
 
 (risque d’ailleurs
 
 de dégage-
 
 à poser l’art-thérapie
 
 d’une
 
 de soi. L’oeuvre réalisée
 
 Le risque d’une telle entreprise
 
 sées dépendent
 
 de la pensée, de l’expression
 
 exactement
 
 de ses résis-
 
 lui-même.
 
 caché que par sa
 
 ment de l’effet traumatique,
 
 vers la création
 
 re-
 
 est ce au travers de quoi le patient se réalise
 
 infanto-juvéniles.
 
 Création
 
 le sujet
 
 que la réalisation
 
 un codage de ce
 
 mais
 
 la raison rationalisante
 
 censée se mettre tances internes.
 
 du
 
 une sorte dans la
 
 de mise en perspective,
 
 L’art-thé-
 
 alors de mettre
 
 en court-circuitant
 
 Il
 
 la sur-
 
 thérapeutique,
 
 établissement
 
 but une quelconque
 
 en thérapie ne doit être, au bout du compte,
 
 asilaires,
 
 dération
 
 ne peut
 
 cherche du salut par l’art. L’oeuvre réalisée
 
 un développement
 
 fondateur
 
 alors que l’expression
 
 n’est pas une traduction latent
 
 favo-
 
 son but thérapeutique.
 
 faut bien considérer intérieure,
 
 La pré-
 
 comme
 
 profondément
 
 projet qui irait de l’affirmation
 
 émotionnel.
 
 se donner
 
 signe
 
 À ce titre,
 
 clair que l’art-thérapie
 
 un effet de surprise susceptible d’engendrer
 
 La capacité
 
 mais qu’elle
 
 suscitées devant
 
 tion cathartique,
 
 dans
 
 ana-
 
 et celles qui reposent sur
 
 Cela revient
 
 l’acte d’un trop-plein
 
 de l’expresqu’une
 
 vait être présentée comme ayant une foncpar le dégagement
 
 il apparaît
 
 créé. L’oeuvre est alors considérée
 
 propre
 
 pou-
 
 de
 
 entre celles qui pro-
 
 posent une analyse du contenu
 
 l’objet
 
 des
 
 créé se pose alors. Les
 
 divergent
 
 qui auparavant
 
 à la genèse
 
 même de la psychanalyse, l’expression
 
 se rapproche
 
 classiques, la question
 
 de l’objet
 
 fonction
 
 et parallèlement
 
 qu’un
 
 par ce travail,
 
 pourtant
 
 ne main
 
 l’art-thérapie
 
 mesure
 
 encore l’accès. À l’origine,
 
 et n’y manifestant
 
 prise peut être regardée comme
 
 destinée à placer
 
 dans une situation
 
 dans le champ
 
 stade préliminaire.
 
 comme
 
 thérapeutique.
 
 cet égard, l’art-thérapie
 
 le patient
 
 transférentiel
 
 les associations
 
 alors comme le fin du fin de tout
 
 par D. Anzieu,
 
 se développant
 
 lyse du contenant des possibilités
 
 étant considérée
 
 sion, celles qui n’envisagent
 
 propre de celui-ci. L’élargissement
 
 pour le sujet
 
 et à sa dynamique
 
 un sens plus ou moins symbolique
 
 velles lois, issues non pas du contexte
 
 est alors sys-
 
 in-
 
 à la fois
 
 de l’art et d’une
 
 de la création. Cette
 
 a contrario,
 
 » dans l’hôpital,
 
 comme
 
 un lieu de déni de la
 
 maladie. Ses caractéristiques, fermeture,
 
 liberté
 
 un lieu
 
 ouverture
 
 ou organisation
 
 ou
 
 de l’ac-
 
 cès, sont considérées comme ayant déjà par elles-mêmes rythme
 
 des fonctions
 
 soignantes.
 
 des séances, leur organisation
 
 au même titre que l’espace cadré, limité,
 
 Le ont, du 87
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 support,
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 une fonction
 
 la représentation
 
 restructurante
 
 qu’ils offrent
 
 par
 
 de l’opposi-
 
 les connaissances antérieures.
 
 tion dedans-dehors.
 
 Les processus
 
 Les séances d’art-thérapie cadre soit d’une soit d’une
 
 se font dans le
 
 atmosphère
 
 relation
 
 de groupe,
 
 individuelle.
 
 La ges-
 
 mation
 
 niveaux
 
 (angl. Botto-
 
 qui concernent
 
 du traitement
 
 (neurosensoriel
 
 les
 
 et perceptif),
 
 différente
 
 sensibles aux attentes ou hypothèses du sujet
 
 le premier
 
 portent
 
 du groupe,
 
 réciproques
 
 des émotions
 
 les oeuvres se font
 
 les supports.
 
 cas des séances individuelles dépend
 
 et les interventions aller
 
 dagogie,
 
 au sens d’un
 
 nique,
 
 d’un
 
 certain
 
 auteur
 
 porter
 
 des tech-
 
 sorte
 
 plus
 
 purement
 
 thérapeutique
 
 de l’art-thérapie
 
 difficilement
 
 isolable.
 
 dans et
 
 psychoest plus
 
 Le travail
 
 reste
 
 fixé sur la verbalisation,
 
 ne suppose
 
 d’interventions
 
 sur le contenu
 
 citées
 
 directes
 
 pas
 
 Il porte sur les associations par l’oeuvre
 
 suppose qu’elles
 
 sus-
 
 chez son créateur
 
 ne réduisent
 
 IDENTIFICATION,
 
 C’est
 
 la loi
 
 obligation
 
 et constitue
 
 une réassurance
 
 déperdition
 
 de l’indicible
 
 constituante
 
 du langage.
 
 contre
 
 comme
 
 une
 
 partie
 
 et au traitement
 
 les hommes,
 
 ton, les premières
 
 ensemble assez hétérogène de pratiques,
 
 est
 
 Malgré
 
 un cadre assez souple pour permettre
 
 des
 
 usages adaptés à chaque cas. Elle semble offrir
 
 un complément
 
 à d’autres
 
 thérapeutiques
 
 jugées
 
 leurs relations
 
 au primat
 
 pratiques
 
 réductrices
 
 dans
 
 concédé
 
 à l’ex-
 
 pression verbale. D. C.
 
 et partiellement ne serait-ce portance ment
 
 Bibliographie Broustra,
 
 et Psychose, Paris,
 
 E.S.F. Chemama,
 
 B., et Roussel,
 
 « Dynamique
 
 du travail
 
 Expression
 
 M.-H.,
 
 en art-thérapie
 
 et Signes, psychologie
 
 médicale,
 
 14, 8,
 
 Wiart,
 
 Cl., 1974, « l’Art-thérapie
 
 lette », in Expression
 
 éviter,
 
 élève de son élève É. Esl’isolement
 
 au moins
 
 familial
 
 pour
 
 mentaux. moral
 
 les contacts
 
 du sur
 
 méthode de
 
 grands services à la société bourgeoise
 
 de
 
 second
 
 constitutionnelle,
 
 Empire
 
 et de la
 
 l’a montré
 
 d’aliénés
 
 sont
 
 puis du République.
 
 IIIe
 
 R. Castel,
 
 devenus
 
 ainsi
 
 de gardiennage,
 
 les asiles « des lieux
 
 terrains
 
 monotone
 
 désolés
 
 administrative
 
 Les psychiatres
 
 ont répété
 
 de la ségrégation
 
 On ne leur demandait
 
 pas autre
 
 chose. » Et les asiles ont ainsi provoqué, entretenu malades
 
 et aggravé la chronicisation mentaux
 
 de
 
 de plus en plus nom-
 
 breux dont l’internement
 
 risquait
 
 le plus
 
 souvent d’être définitif.
 
 la première
 
 fois
 
 à
 
 et l’entretien
 
 Cet isolement
 
 ASILISME n.m. (angl. Asylum Dementia)
 
 Atteinte psychique pseudo-démentielle chronique, d’origine iatrogène, liée à une hospitalisation prolongée dans un milieu asilaire. a pu être comparé carcérales
 
 est
 
 dès
 
 la fin du XIXe siècle par des psychiatres
 
 an-
 
 Asylum
 
 c’est Marandon
 
 tyel, médecin
 
 de l’asile
 
 des fabriques
 
 de l’isolement,
 
 l’hygiène
 
 de la liberté. mineure,
 
 névrose institutionnelle ton,
 
 en 1959,
 
 hospitalisés la décrit
 
 de l’intérêt,
 
 va devenir
 
 peu
 
 : un glis-
 
 entre les deux édi-
 
 depuis
 
 il faut substituer »
 
 mais encore très fréest représentée décrite
 
 le manque
 
 caractérisée
 
 d’initiatives,
 
 passive,
 
 apparente
 
 des plans pour l’ave-
 
 nir,
 
 à élaborer
 
 le manque
 
 tiques ». Tout en distinguant
 
 « un grand
 
 moyen
 
 de guérison
 
 pour
 
 relever
 
 lui
 
 pense que l’isolement,
 
 nés ». Et il est à la fois utile et nécessaire,
 
 et parfois
 
 et une démarche
 
 de
 
 des alié-
 
 l’inaptitude
 
 d’individualité
 
 sous
 
 est devenu
 
 le ma-
 
 lade, la soumission
 
 qui deviendra
 
 1832, où l’isolement
 
 la perte
 
 pas directement
 
 une posture
 
 dans son mémoire
 
 par
 
 pour les choses
 
 [...],
 
 d’Esquirol
 
 par R. Bar-
 
 plus de deux ans. Il
 
 spécialement
 
 qui ne touchent
 
 par la
 
 des schizophrènes
 
 ainsi : « maladie
 
 en expose en
 
 chez
 
 par l’isolement
 
 tions du Traité médico-philosophique la plume
 
 de Mon-
 
 à nos malades [...]. À
 
 l’hygiène
 
 l’apathie,
 
 dérapage
 
 Demen-
 
 de Ville-Évrard,
 
 d’incurables
 
 que nous imposons
 
 essentielle
 
 les principes
 
 un véritable
 
 à certaines
 
 et a été dénoncé
 
 quente, de l’asilisme
 
 et social, dont il
 
 lorsqu’il
 
 sement est perceptible
 
 se
 
 que cette ait rendu
 
 Une forme
 
 la première
 
 à peu l’axe même du traitement
 
 types de traitement de ceux qui sont déter-
 
 minés par les caractéristiques stimulus et ceux qui sont fondés
 
 durant
 
 1798. Mais cette condition
 
 (PROCESSUS) (angl. Bottom-Up/Top-Down)
 
 de la perception,
 
 de l’aliéné
 
 pour lui la condition
 
 du traitement
 
 et Signes, 4, 4, p. 193-212.
 
 avec le
 
 d’une
 
 déjà bien pervertie
 
 fait
 
 qui écrit, en 1896 : « Nos asiles actuels sont
 
 suivi dans ce sens
 
 la fois sur le déclenchement d’ailleurs
 
 sur la sel-
 
 ASCENDANT/DESCENDANT
 
 Dans le domaine
 
 im-
 
 Ce que Pinel
 
 partie de la cure de sa maladie,
 
 pour
 
 dit de deux l’information,
 
 c’était
 
 des troubles
 
 p. 1249-1254.
 
 politique
 
 tia. En France,
 
 à imiter,
 
 avait bien vu tous les effets pathogènes
 
 », in
 
 du malade
 
 glais, qui l’ont dénommé
 
 de leur fonctionne-
 
 préconisé,
 
 avec son milieu
 
 1982,
 
 qui, dans
 
 » ? On comprend
 
 récupération
 
 psychoses
 
 ces institu-
 
 pas des exemples
 
 par É. Georget, lui
 
 J., 1987, Expression
 
 l’avantage
 
 L’asilisme
 
 par Pinel,
 
 que par leur trop grande
 
 avait surtout
 
 les
 
 parisiennes.
 
 proposées
 
 médico-administratif.
 
 quirol,
 
 pour
 
 avec Charen-
 
 expériences
 
 et la lourdeur
 
 la
 
 dont Bicêtre
 
 appliquées,
 
 tions n’étaient
 
 réservé des alié-
 
 la Salpêtrière
 
 les réformes
 
 fait
 
 avait conseillé
 
 qui représentaient,
 
 un
 
 qui recouvre
 
 fermé », se félicite
 
 J. P.
 
 français
 
 public
 
 de telles institutions,
 
 femmes,
 
 l’art-thérapie,
 
 qui
 
 à chaque département un établissement
 
 création pour
 
 1838
 
 »
 
 des mesures rigoureuses,
 
 bien général
 
 sociale.
 
 du 30 juin
 
 nés. Mais déjà P. Pinel
 
 le langage
 
 thérapeutique
 
 terme de centre psychothérapique ou de centre hospitalier spécialisé (1968).
 
 verbal
 
 compléter
 
 en milieu
 
 la loi,
 
 l’analogie
 
 de « cette heureuse coïncidence
 
 le ritualisme
 
 Établissement hospitalier public où étaient traités les malades mentaux ; terme remplacé en France, à partir de 1938, par celui d’hôpital psychiatrique et, plus récemment, par le
 
 à l’internement
 
 par le thérapeute
 
 jugeant
 
 entre « isolement
 
 de la déviance.
 
 ASILE ou ASILE D’ALIÉNÉS n.m. (angl. Asylum)
 
 de l’In-
 
 dès lors de ce que, à la
 
 un des représentants,
 
 exclusifs
 
 MODULARITÉ
 
 et son
 
 Au total,
 
 G.
 
 au ministre
 
 des pairs, où est discutée
 
 Comme
 
 du couple
 
 vient
 
 des niveaux neu-
 
 ».
 
 de la loi de 1838
 
 pour une gestion purement
 
 et
 
 pas celle-ci.
 
 Chambre
 
 public
 
 le comte de Gasparin.
 
 s’étonner
 
 la monarchie
 
 et perceptif.
 
 d’ouvrir
 
 patient
 
 ne
 
 de l’identifica-
 
 tion, après les traitements
 
 La présence de l’oeuvre devant les regards formé
 
 Ce contrôle
 
 M.-D.
 
 de ce qui se cache.
 
 pictural.
 
 entrante.
 
 Comment
 
 médicale
 
 une image de cer-
 
 de ce qui se montre
 
 La dimension
 
 de
 
 le traitement
 
 peut opérer qu’au moment
 
 de leur
 
 tains aspects de son fonctionnement le jeu dialectique
 
 de l’information
 
 de l’époque,
 
 concourir
 
 des attentes ou
 
 contrôlent
 
 a inspirée
 
 l’application
 
 Les processus descendants (angl. Top-Down
 
 que celles-ci
 
 le style personnel
 
 et lui renvoyer
 
 perceptive.
 
 rosensoriel
 
 dans la réalisation
 
 de telle
 
 tériau de base de l’identification
 
 des connaissances,
 
 de pé-
 
 d’exercice
 
 à une induction
 
 puissent
 
 degré
 
 sont le ma-
 
 haut niveau qui, en fonction
 
 qu’Esquirol
 
 et « placement
 
 structurales
 
 sont des traitements
 
 la doctrine
 
 parfaite
 
 des représentations
 
 du stimulus. Ces représentations
 
 ou Theory Driven)
 
 du patient,
 
 apprentissage
 
 minimales
 
 des oeuvres
 
 Dans le
 
 de l’art-thérapeute
 
 peuvent conditions
 
 dont
 
 d’art-théra-
 
 des besoins
 
 ; ils ne sont pas
 
 définies par les caractéristiques
 
 à l’intérieur
 
 sur les influences
 
 et la communication
 
 pie, tout
 
 percevant. Ils élaborent
 
 cas, les interventions
 
 sur les interactions
 
 et modulaires
 
 sont
 
 et pour l’ordre
 
 Là s’inscrit térieur
 
 de l’infor-
 
 automatiques
 
 Dans
 
 88
 
 ascendants
 
 tion des séances est donc essentiellement dans un cas et dans un autre.
 
 « pour leur sûreté, pour celle
 
 de leurs familles
 
 mUp ou Data Driven), premiers
 
 en particulier
 
 ou les expériences
 
 de la schizophrénie
 
 avec le monde
 
 ce qui peut du malade,
 
 il
 
 la perte du contact
 
 extérieur
 
 amis, la suppression
 
 caractéris-
 
 et les anciens
 
 de la présence
 
 et de
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 l’usage de biens et d’objets prise en charge
 
 personnels,
 
 par des tiers
 
 de tous les
 
 problèmes
 
 (par la mise en tutelle),
 
 ternalisme
 
 des soignants,
 
 neuroleptiques, de régression finalement
 
 du pavillon,
 
 et d’indifférence
 
 cet état elle-
 
 même. De telles
 
 constatations,
 
 partagées
 
 beaucoup
 
 d’observateurs,
 
 sont à l’origine
 
 ont conduit
 
 par
 
 institutionnelle
 
 et
 
 antipsychiatriques
 
 au dépérissement
 
 à la suppression
 
 qui
 
 négations.
 
 et même
 
 Mesures ASSERTIVITÉ n.f. (angl. Assertiveness)
 
 Caractéristique d’une exprime avec aisance
 
 Les techniques tivité,
 
 d’entraînement
 
 à mieux
 
 exprimer
 
 problèmes
 
 de communication
 
 impute
 
 son point son anxiété
 
 personne
 
 dont
 
 à vaincre
 
 parfois
 
 dité, soit, au contraire,
 
 en l’incitant
 
 R. L. SOCIALE
 
 posantes (gestuelles, mimiques, son comportement intégrer obtenir
 
 les com-
 
 vocales) de
 
 de façon à mieux
 
 une meilleure
 
 coopération
 
 se pratiquent
 
 séances individuelles
 
 avec un thérapeute
 
 soit en groupes
 
 n.f. (angl. Asomatognosia)
 
 à cinq personnes.
 
 Le thérapeute,
 
 analyse
 
 souvent
 
 collective
 
 tements
 
 que chaque
 
 plus ou moins complète
 
 liée à des lésions de l’hémisphère s’accompagnant l’hémiplégie
 
 pagne (syndrome
 
 d’un refus d’ad-
 
 massive qui l’accomJ. P.
 
 D’)
 
 peut s’acquérir
 
 pétence
 
 sociale
 
 comportementale
 
 ses droits,
 
 d’exposer
 
 assertives,
 
 sont très fréquemment
 
 par
 
 registre
 
 qui
 
 lorsque l’anxiété
 
 des névroses. Elles ont cependant
 
 exemple M. R.
 
 proposées,
 
 l’insertion
 
 fessionnel gravement
 
 EXPECTATION
 
 en s’assignant limités
 
 dans un milieu
 
 -, à des malades handicapés,
 
 tant d’obtenir
 
 n.f. (angl. Assertion)
 
 le problème
 
 res-
 
 réalisés lors à l’assertivité
 
 aux circonstances
 
 la négation.
 
 gnitif
 
 (ou l’affirmation)
 
 est la forme
 
 de parole, par opposition
 
 les études du fonctionnement
 
 assertions
 
 malade physiquement
 
 refusent
 
 l’enfant
 
 victime
 
 l’enfant
 
 qui fugue,
 
 conflit
 
 et/ou
 
 mentalement
 
 de faire soigner,
 
 de mauvais
 
 traitements,
 
 l’enfant
 
 victime
 
 grave avec ses parents,
 
 qu’en
 
 règle générale
 
 de la vie
 
 etc. Pour
 
 chaque cas dont il est saisi, le juge des enfants entend
 
 les père et mère, le tuteur
 
 le gardien
 
 de l’enfant.
 
 le mineur,
 
 à moins
 
 mental
 
 Il entend
 
 ou
 
 de même
 
 que l’état physique
 
 et
 
 ou l’âge trop bas ne le permettent
 
 pas. Il peut ordonner formation
 
 toute
 
 mesure
 
 et faire notamment
 
 une étude de la personnalité en particulier
 
 d’in-
 
 procéder
 
 à
 
 de l’intéressé,
 
 au moyen d’une enquête so-
 
 ciale, d’examens
 
 médicaux,
 
 ou psychologiques, comportement
 
 psychiatriques
 
 d’une observation
 
 du
 
 ou d’un examen d’orienta-
 
 tion professionnelle. non publique,
 
 Après une audience
 
 le juge prend
 
 les décisions
 
 qui s’imposent. Chaque
 
 fois qu’il
 
 est possible,
 
 doit être maintenu
 
 le mineur
 
 dans son milieu
 
 actuel.
 
 Dans ce cas, le magistrat désigne soit une personne qualifiée, soit un service d’observation,
 
 d’éducation
 
 milieu
 
 ouvert
 
 d’apporter
 
 ou de rééducation
 
 ; mission
 
 leur
 
 en
 
 est donnée
 
 aide et conseils à la famille
 
 de surmonter
 
 les difficultés
 
 afin
 
 matérielles
 
 ou
 
 qu’elle rencontre.
 
 loppement port
 
 de l’enfant
 
 et d’en faire
 
 périodiquement.
 
 subordonner son milieu
 
 Cette personne rap-
 
 Le juge peut aussi
 
 le maintien
 
 de l’enfant
 
 dans
 
 à des obligations
 
 particulières,
 
 telles que celle de fréquenter
 
 régulièrement
 
 un établissement ordinaire
 
 sanitaire
 
 ou spécialisé,
 
 activité
 
 professionnelle.
 
 de retirer
 
 l’enfant
 
 ou d’éducation, ou d’exercer
 
 S’il est nécessaire
 
 de son milieu
 
 juge peut décider
 
 une
 
 de le confier
 
 actuel, le au parent
 
 qui n’en avait pas la garde, à un membre de la famille,
 
 à un service ou à un établis-
 
 sement (sanitaire ou spécialisé),
 
 ou d’éducation,
 
 ordinaire
 
 au service départemental
 
 de
 
 l’aide à l’enfance. Les décisions
 
 du juge peuvent
 
 ment être rapportées sont également
 
 à tout mo-
 
 ou modifiées
 
 susceptibles
 
 ; elles
 
 de faire l’objet
 
 d’un appel. M. G.
 
 n.f. (angl. Association)
 
 ASSISE (STATION) à
 
 co-
 
 (angl. Sitting Position)
 
 Étape
 
 posturale
 
 de l’enfant mois.
 
 Liaison établie par un entre deux éléments déterminés. GÉNÉR.
 
 du
 
 développement
 
 survenant
 
 entre
 
 6 et 9 J. F.
 
 POSTURAL
 
 La notion recevoir
 
 les
 
 sont plus faciles et plus rapides
 
 d’un
 
 ASSOCIATION
 
 On peut dire que la première
 
 montrent
 
 en danger l’enfant
 
 M. A.
 
 est non marquée et la seconde, marquée. Toutes
 
 Sont ainsi considérés
 
 courante.
 
 Acte de parole par lequel un locuteur pose une proposition comme vraie.
 
 la plus normale
 
 proplus
 
 que les progrès
 
 se généralisent
 
 - par
 
 mentaux
 
 des séances d’entraînement
 
 ASSERTION
 
 engen-
 
 sociales reste dans le
 
 des buts comportementaux
 
 individuelles
 
 font
 
 utilisées en thérapie
 
 drée par les situations
 
 existent quant au niveau d’aspiration.
 
 L’assertion
 
 dans
 
 appel à des facteurs cognitifs,
 
 été également différences
 
 « com-
 
 » ou plus d’adresse
 
 techniques
 
 dans une tâche répétée, terme dans des domaines
 
 De larges
 
 une certaine
 
 et également de ne pas heurter
 
 constamment
 
 (la profession
 
 enfants lorsque la santé, la sécurité ou les conditions d’éducation d’un mineur non émancipé ne sont pas assurées, de sorte qu’il est en danger.
 
 ou ce service est chargé de suivre le déve-
 
 Ces
 
 soit à long concernant
 
 des
 
 tion.
 
 Niveau que l’on souhaite et que l’on espère atteindre, soit au laboratoire
 
 entière
 
 le rôle de modèle
 
 celle des autres.
 
 (angl. Level of Aspiration)
 
 la vie tout exemple).
 
 du groupe.
 
 le juge
 
 morales
 
 son opinion (NIVEAU
 
 se voir
 
 sur des situations
 
 par les participants
 
 la façon de défendre ASPIRATION
 
 des compor-
 
 par
 
 ou souffle une réponse adaptée à la situa-
 
 Ainsi
 
 de Babinski).
 
 après une
 
 des jeux de rôle com-
 
 Parfois, il joue lui-même
 
 cérébral
 
 de trois
 
 sujet désire
 
 portant
 
 rencontrées
 
 Il peut s’agir d’une hémiasomatognosie
 
 mettre
 
 propose
 
 portementaux
 
 du corps.
 
 mineur,
 
 modifier,
 
 et à
 
 soit lors de
 
 comportemental,
 
 connaissance
 
 les
 
 avec lui.
 
 ASOMATOGNOSIE
 
 par une avec mé-
 
 à mo-
 
 aux normes de son entourage
 
 Ces techniques
 
 Forme d’agnosie caractérisée atteinte du schéma corporel
 
 des
 
 à sa timi-
 
 dérer son agressivité et à modifier
 
 le com-
 
 portement n’est pas adapté aux normes de la vie sociale, ou qui les refuse. NORME
 
 qu’il
 
 un
 
 sur le plan
 
 et soutenir
 
 ordonnées
 
 que ses parents
 
 d’aider
 
 d’inhibition
 
 sociale soit en lui apprenant
 
 d’une
 
 sans
 
 à l’asser-
 
 de soi, se proposent
 
 de vue. Il s’agit de diminuer ASOCIAL, E,AUX adj. et n. (angl. Antisocial)
 
 qui de
 
 parfois appelée assez improprement
 
 social ou de difficultés J. P.
 
 personne son point
 
 vue et ses intérêts, sans anxiété, dénier ceux des autres.
 
 sujet se plaignant
 
 des asiles dans certains
 
 ASSISTANCE ÉDUCATIVE (angl. Educative Help)
 
 J.-F. L. N.
 
 affirmation
 
 pays.
 
 Se dit
 
 que les
 
 affectives
 
 plus grave que la maladie
 
 des mouvements
 
 à juger ou à produire
 
 le pa-
 
 produisent
 
 de la psychothérapie
 
 à interpréter,
 
 les médicaments
 
 l’atmosphère
 
 etc., tous ces facteurs
 
 la
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 (DÉVELOPPEMENT)
 
 d’association
 
 sujet
 
 peut, en réalité,
 
 des sens très différents entre lesquelles
 
 selon la
 
 nature
 
 des entités
 
 l’asso-
 
 ciation
 
 est supposée être établie. Il est donc 89
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 particulièrement
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 important
 
 de distinguer
 
 Aux caractéristiques
 
 entre les sens théoriques
 
 et le sens descrip-
 
 titatives
 
 de l’association
 
 tif. Les sens théoriques
 
 sont eux-mêmes
 
 auteurs
 
 ont jugé nécessaire
 
 fortement
 
 des caractéristiques
 
 contrastés.
 
 Les conceptions
 
 Historiquement,
 
 anciennes
 
 on
 
 d’« association
 
 a d’abord
 
 deux notions
 
 équivalente
 
 ici à celle
 
 d’état mental, au domaine
 
 parlé
 
 des idées ». Cette expres-
 
 sion recouvre
 
 : celle d’idée,
 
 d’événement
 
 en général,
 
 conceptuel
 
 tion proprement
 
 ou
 
 sans restriction
 
 ; et celle d’associa-
 
 dite, qui recouvre
 
 de son
 
 côté deux hypothèses : d’abord,
 
 lorsqu’une
 
 idée est présente
 
 d’un
 
 dans l’esprit
 
 elle engendre ou cause l’apparition idées bien déterminées, rition
 
 dépend
 
 permanent, première
 
 ensuite cette appa-
 
 d’une liaison,
 
 de caractère
 
 ont été utilisées ; celui-ci
 
 principes
 
 de l’association
 
 contiguïté,
 
 la ressemblance siècle,
 
 XIXe
 
 (notamment
 
 dès l’époque
 
 avait déjà énoncé trois des idées : la et le contraste.
 
 la philosophie
 
 anglaise)
 
 introspectionniste
 
 ont accordé une grande
 
 place à la notion
 
 d’association
 
 sous sa première
 
 et développé,
 
 Elles ont formulé Outre
 
 les trois
 
 comme
 
 déjà
 
 primaires,
 
 lois secondaires
 
 citées,
 
 considérées
 
 elles ont présenté
 
 : la primauté
 
 la récence, la fréquence
 
 des
 
 (temporelle),
 
 et la vivacité (angl.
 
 Vividness).
 
 La conception
 
 Le béhaviorisme
 
 béhavioriste
 
 a repris
 
 ciation, mais en la dissociant évidemment
 
 de celle d’idée,
 
 Dans le nouvel
 
 nisme qui s’est développé tion, autrement
 
 association-
 
 ainsi, l’associa-
 
 appelée parfois liaison, lien,
 
 (anglo-amér.
 
 Bond ou Link)
 
 (anglo-amér.
 
 Connection),
 
 principe
 
 d’asso-
 
 bannie en raison de son carac-
 
 tère subjectif.
 
 par apprentissage,
 
 ou connexion est établie,
 
 en
 
 entre deux élé-
 
 ments observables, qu’il s’agisse d’un stimulus et d’une réponse (S - R), de deux stimulus (S - S), ou éventuellement
 
 de deux items
 
 (par exemple deux mots). Une caractéristique tion
 
 ainsi conçue
 
 comme
 
 les phénomènes
 
 par ressemblance, nouvelles
 
 par contiguïté,
 
 par contraste
 
 catégories,
 
 variables selon les au-
 
 est qu’elle forte
 
 Strength) observables
 
 P. Fraisse
 
 dernières
 
 qui utilisent
 
 nistes ». Elles jouent domaine
 
 L’association
 
 concerne
 
 verbale
 
 descriptif
 
 habituel
 
 le domaine
 
 qui lui vient ducteur
 
 : on demande à l’esprit
 
 conception
 
 » le mot qui est présenté,
 
 nombre
 
 de résultats
 
 d’observations jourd’hui
 
 avec
 
 expérimentaux
 
 cliniques
 
 ; elle
 
 et
 
 est au-
 
 présente sous une forme élargie.
 
 « in-
 
 et « as-
 
 socié » le mot qui est donné en réponse à celui-ci. étendre
 
 point
 
 ce schéma
 
 : on parle
 
 en chaîne si on demande
 
 sujet de répondre
 
 éd. 1988, Psycholo-
 
 ASSOCIATION (MÉTHODE DE LIBRE) (angl. Free Association Method ; allem. Methode der freien Assoziation)
 
 au
 
 par une suite de mots ; du
 
 de vue expérimental, puisque,
 
 constitutive
 
 La méthode
 
 de la technique
 
 de libre
 
 association
 
 suggérée à S. Freud, en 1892, au cours d’un traitement où l’une de ses patientes (Emmy
 
 von N.) lui demanda expressément
 
 de cesser d’intervenir
 
 sur le cours de ses
 
 pensées et de la laisser parler
 
 cette situation
 
 après la première
 
 on ne peut savoir si les réponses
 
 fut
 
 Progressivement
 
 et jusqu’en
 
 fut définitivement
 
 adoptée,
 
 librement. 1898, où elle
 
 cette méthode
 
 mier ou les réponses du sujet elles-mêmes.
 
 s’est substituée à l’ancienne méthode cathartique et elle est devenue dès lors la règle
 
 Mais cette technique
 
 fondamentale
 
 le mot présenté en prepeut présenter
 
 térêt dans des conditions parle d’association
 
 un in-
 
 bien définies. On
 
 contrôlée
 
 si la consigne
 
 précise que la réponse doit appartenir
 
 à une
 
 de la cure psychanalytique
 
 le moyen privilégié
 
 d’investigation
 
 qu’elles se présentent
 
 ducteur.
 
 sans restriction,
 
 Dans ce dernier cas, on retrouve la d’association
 
 led Association),
 
 étiquetée (angl. Label-
 
 On peut recueillir
 
 les associations
 
 verbales
 
 simples données par un ensemble de sujets après leur avoir proposé une liste déterminée de mots inducteurs normes d’association
 
 : on établit ainsi des (ou associatives)
 
 pour chaque mot inducteur, réponse
 
 dominante,
 
 qui,
 
 fournissent
 
 outre,
 
 indiquent
 
 la fréquence
 
 c’est-à-dire
 
 le pourcen-
 
 de sujets
 
 Pour
 
 ; en
 
 dans l’en-
 
 une population sont rela-
 
 stables ; elles varient si on change
 
 de population. verbale, libre, en
 
 chaîne ou sous forme de discours
 
 tématisée
 
 utilisée
 
 continu,
 
 en psychologie
 
 Elle a été quelque verbale ; on utilise
 
 inducteurs
 
 standardisés,
 
 vise une interprétation
 
 être induites
 
 de pensée spontanée.
 
 Le respect
 
 règle permet le surgissement tations inconscientes
 
 Ces
 
 par un de cette
 
 des représen-
 
 et actualise les méca-
 
 nismes de résistance. R. L.
 
 ASSOCIATIONNISME n.m. (angl. Associationism)
 
 Théorie qui fait un usage explicatif important de la notion théorique d’association. À peu près toutes logiques
 
 psychanalyse
 
 caractéristiques.
 
 mais
 
 elle seule d’un
 
 à titre est
 
 Les normes
 
 qu’elles
 
 d’associationnistes.
 
 La
 
 pavlovienne
 
 du
 
 en sont deux exemples Les diverses sortes d’asso-
 
 d’association
 
 et comme
 
 des ré-
 
 pas pour
 
 ont en commun
 
 alors des
 
 psycho-
 
 usage de cette
 
 ou la théorie
 
 conditionnement
 
 rer la notion
 
 associatives
 
 utile pour cet usage clinique.
 
 un certain
 
 qualifiées
 
 de test on
 
 les théories
 
 ; cela ne suffit
 
 ciationnisme
 
 individuelle
 
 des normes
 
 soient
 
 font
 
 peu sys-
 
 ponses et de leurs latences. L’emploi, de référence,
 
 cli-
 
 de base de la
 
 par C. Jung sous forme
 
 d’association
 
 peuvent
 
 d’intérêt.
 
 mot, un élément de rêve ou tout autre objet
 
 notion d’association
 
 est largement
 
 impudiques,
 
 celle qui est donnée nombre
 
 de cette réponse,
 
 incohérents,
 
 la
 
 par le plus grand ces normes
 
 si ces matériaux
 
 ou dépourvus
 
 associations
 
 théorique.
 
 de l’in-
 
 à lui, sans sélection,
 
 même
 
 lui apparaissent impertinents
 
 qui en est le correspondant
 
 :
 
 conscient. Le patient doit exprimer toutes ses pensées, idées, images, émotions telles
 
 catégorie donnée, absolue ou relative à l’in-
 
 mots
 
 est en accord
 
 mot
 
 ». On appelle
 
 psychanalyse.
 
 Cette
 
 à un sujet de
 
 à un mot par le premier
 
 La situation
 
 lorsque A sera présent.
 
 M., 1977, nouv.
 
 psychanalytique, selon laquelle le patient doit exprimer, pendant la cure, tout ce qui lui vient à l’esprit sans aucune discrimination.
 
 suivante
 
 nique. Elle est une technique
 
 vigueur
 
 Paris, P.U.F.
 
 tion
 
 tivement
 
 ou avec le plus de
 
 de psychologie
 
 Méthode
 
 et est donc
 
 le plus sou-
 
 », in
 
 tion verbale simple est définie par la situa-
 
 de A-D est supérieure vent, le plus rapidement
 
 est celui qui
 
 verbal. Une associa-
 
 tion à un item A, mais si la force associative A-E, etc., c’est D qui apparaîtra
 
 Reuchlin,
 
 vol. VIII,
 
 verbale
 
 gie, Paris, P.U.F.
 
 de la mémoire.
 
 Un emploi
 
 et J. Piaget, Traité
 
 expérimentale,
 
 un grand rôle dans le
 
 ces normes associatives
 
 à celle de A-B, A-C,
 
 ces
 
 sont appelées « néo-association-
 
 donnée,
 
 items, B, C, D, E..., sont liés par associa-
 
 Bibliographie
 
 étiquetées
 
 est regardée
 
 : si plusieurs
 
 J.-F. L. N.
 
 Jodelet, F., 1965, « l’Association
 
 considéré.
 
 qui détermine
 
 aux nouvelles
 
 teurs ; on parle à ce propos d’« associations ». Les théories
 
 de
 
 etc. Ces résultats
 
 et créé de
 
 semble
 
 ; c’est la force de l’association
 
 (angl. Associative
 
 d’association
 
 tage de sujets qui l’ont fournie
 
 essentielle de l’associa-
 
 plus ou moins
 
 quantifiable
 
 théories associationnistes.
 
 notion
 
 la notion
 
 de mémorisation,
 
 catégories
 
 ont pour inducteur
 
 des lois de l’association.
 
 tâches perceptives,
 
 de justification
 
 réponse,
 
 en tant que doctrine.
 
 dans de nombreuses
 
 ont servi
 
 est imparfaite
 
 forme, l’associationnisme
 
 qualitatives
 
 important
 
 tiques ; ils ont ainsi généralisé les anciennes
 
 d’associations
 
 et la psychologie
 
 d’adjoindre
 
 paramètre
 
 ont prouvé qu’elles étaient un
 
 du discours,
 
 On peut
 
 empiriste
 
 (sa force), certains
 
 d’association
 
 production
 
 « répondre
 
 idée et certaines autres.
 
 d’Aristote
 
 Au
 
 d’autres
 
 quan-
 
 systéma-
 
 sujet,
 
 qui existe chez le sujet entre la
 
 Ces notions
 
 90
 
 exclusivement
 
 susceptible grand
 
 de considé-
 
 comme centrale
 
 de rendre nombre
 
 compte de phéno-
 
 mènes psychologiques.
 
 Ces théories
 
 généralement
 
 par des positions
 
 inspirées
 
 empiristes,
 
 c’est-à-dire
 
 l’influence
 
 du milieu
 
 qu’elles
 
 à
 
 sont
 
 regardent
 
 ou de l’environne-
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 ment, donc celle de l’histoire
 
 de l’individu,
 
 noires
 
 de différentes
 
 comme essentielle.
 
 tigmatismes
 
 Par néoassociationnisme,
 
 les orientations
 
 famille
 
 de théories
 
 ciationnistes domaine
 
 ou de modèles
 
 récents,
 
 de la psychologie
 
 on désigne une relevant
 
 cognitive
 
 du
 
 Dans ces mo-
 
 optiques
 
 portent
 
 verticale
 
 L’astigmatisme
 
 surtout
 
 sur
 
 ou horizontale.
 
 oblique est un déficit
 
 mal » de sensibilité obliques.
 
 Les as-
 
 « nor-
 
 pour les orientations
 
 Il peut être d’origine
 
 gique et non optique.
 
 qui sont en principe
 
 stockées en mémoire ont pour contenu
 
 à long terme
 
 des stimulus, des mots,
 
 des concepts,
 
 ASYMÉTRIE
 
 FONCTIONNELLE
 
 Principe
 
 qui
 
 compte
 
 entre
 
 cérébraux,
 
 L’astasie-abasie
 
 peut
 
 lésions
 
 du labyrinthe,
 
 noyaux
 
 gris centraux
 
 rie comme
 
 liée
 
 du cervelet assurant
 
 de l’équilibration. sans atteinte
 
 être
 
 Elle
 
 à des ou des
 
 le contrôle
 
 apparaît
 
 aussi,
 
 anatomique,
 
 dans l’hysté-
 
 un symptôme
 
 de conversion
 
 de
 
 différences les
 
 J. P.
 
 hémisphères
 
 apparaissant
 
 Cette notion
 
 au niveau
 
 du
 
 a été élaborée initialement
 
 les formes
 
 (amorphognosie)
 
 (achylognosie) criminées,
 
 J. Delay
 
 reconnues,
 
 être identifié
 
 et la matière
 
 des objets ne sont plus dis-
 
 gnosie secondaire sont
 
 où
 
 a décrit
 
 une astéréo-
 
 où ces caractéristiques sans que l’objet
 
 (asymbolie
 
 puisse
 
 tactile ou agnosie
 
 sémantique). J. P.
 
 structuration
 
 En dépit
 
 bilatérale
 
 et symétrique
 
 systèmes sensoriels et moteurs, chez le bébé et l’adulte asymétrique
 
 d’une des
 
 on observe
 
 de l’architectonique
 
 des sys-
 
 nouveau-né
 
 asymétrique
 
 du cou du de la main
 
 caractéristiques. posturale,
 
 D’oril’asymé-
 
 est maintenant
 
 tales sur l’organisation
 
 décrite
 
 Le maintien
 
 métriques
 
 durant
 
 de postures
 
 les premiers
 
 sensorielles
 
 asymétrique
 
 faveur de la droite)
 
 au niveau
 
 et au niveau du trai-
 
 des informations
 
 traitement
 
 asy-
 
 mois de la
 
 par une asymétrie
 
 : un
 
 (généralement
 
 de stimulations
 
 en
 
 tactiles,
 
 générale,
 
 physique
 
 et
 
 J. P.
 
 génétique
 
 ou environnementale
 
 du Travail.
 
 y est considéré
 
 pour l’application
 
 méridiens
 
 ou orientations.
 
 Ce défaut optique
 
 inégale
 
 selon les
 
 et de son rendement
 
 à la production
 
 soit de la cornée,
 
 Il est généralement le contraste
 
 apparent
 
 soit
 
 repéré en de lignes
 
 normale.
 
 Ce
 
 salarié effectuant
 
 la même tâche.
 
 affecté d’un complé-
 
 ment de ressources,
 
 versé par l’État, pour
 
 le minimum
 
 à
 
 alloué au
 
 Il est éventuellement
 
 S.M.I.C.
 
 garanti
 
 de 90 % du
 
 Des ateliers appelés « centres de distribu-
 
 ATAXIE
 
 rer aux travailleurs
 
 n.f. (angl. Ataxia)
 
 à effectuer
 
 » peuvent procu-
 
 handicapés
 
 à domicile.
 
 du travail
 
 Ces centres sont le
 
 plus souvent rattachés à un atelier protégé
 
 Perte d’une bonne
 
 coordination
 
 dans
 
 les
 
 volontaires,
 
 alors
 
 mouvements
 
 que la force musculaire due à un déficit exercé
 
 reste intacte,
 
 du contrôle par
 
 norma-
 
 le cervelet
 
 (ataxie
 
 thalamus,
 
 et, en tout état de cause, assimilés à lui. Avec leur accord et en vue d’une embauche éventuelle,
 
 les travailleurs
 
 peuvent être mis à la disposition
 
 handicapés d’un autre
 
 employeur.
 
 sensitives
 
 M. G.
 
 (ataxie sensitive).
 
 C’est ainsi que les lésions des cordons postérieurs
 
 est dû à une irrégu-
 
 qu’il occupe,
 
 salaire ne peut en aucun cas être inférieur
 
 atteindre
 
 établie.
 
 législa-
 
 Il reçoit un salaire
 
 de l’emploi
 
 de sa qualification
 
 salarié
 
 de travail, représen-
 
 des travailleurs).
 
 pas définitivement
 
 kinesthésiques
 
 réfraction
 
 comme
 
 et conventionnelles
 
 en vigueur (conditions qui tient compte
 
 Le travailleur
 
 des dispositions
 
 tives, réglementaires
 
 des asymétries motrices et sensorielles n’est
 
 n.m. (angl. Astigmatism)
 
 En vision,
 
 avoir reçu l’agré-
 
 travailleur
 
 cérébelleuse) et les formations
 
 comparant
 
 créer des ateliers
 
 ment mis en évidence chez le nouveau-né.
 
 ASTIGMATISME
 
 du cristallin.
 
 peuvent
 
 la moitié du salaire normalement
 
 L’origine
 
 ou or-
 
 et privés, et notamment
 
 ment du ministre
 
 par rapport
 
 qu’une
 
 relève de la formule
 
 gustatives, auditives et visuelles a été claire-
 
 lement
 
 (asphéricité)
 
 peut déclarer
 
 protégés, mais ils doivent
 
 tation
 
 égale à profes-
 
 protégé. Les collectivités
 
 les entreprises,
 
 dont
 
 technique
 
 et de reclassement
 
 publics
 
 enga-
 
 handicapés est au moins
 
 handicapée
 
 de l’atelier ganismes
 
 en milieu
 
 Ils ne peuvent
 
 tion du travail à domicile
 
 psychique, s’accompagnant d’une diminution du dynamisme psychomoteur, d’un relâchement de l’attention et d’un déficit de la volonté.
 
 larité
 
 personne
 
 handicapés
 
 Seule la commission
 
 handicapé
 
 du comportement
 
 néonatal.
 
 tement
 
 de travail.
 
 ger que les travailleurs un tiers.
 
 favoriser
 
 à des emplois
 
 sionnel (COTOREP)
 
 ou l’unidextérité
 
 vie se traduit
 
 ordinaire
 
 doivent
 
 des travailleurs
 
 d’orientation
 
 tèmes d’action.
 
 ASTHÉNIE
 
 État de fatigue
 
 protégés
 
 la capacité de travail
 
 une organisation
 
 F. J.
 
 n.f. (angl. Asthenia)
 
 décrite
 
 salariée dans des conditions à leurs possibilités.
 
 et leur accession
 
 du tonus musculaire primaire
 
 sionnelle adaptées
 
 Les ateliers
 
 comme ayant des conséquences fondamen-
 
 À côté d’une astéréognosie
 
 affective
 
 Unité économique de production qui met les travailleurs handicapés en mesure d’exercer une activité profes-
 
 logie du comportement.
 
 trie fonctionnelle
 
 lésions du lobe pariétal.
 
 Cette « ataxie » est
 
 de la discordance
 
 la promotion
 
 gine essentiellement
 
 Forme d’agnosie tactile caractérisée par l’incapacité de reconnaître des objets en les touchant et manipulant, généralement consécutive à des
 
 alors que l’on décrit
 
 tragique.
 
 par A. Gesell dans son étude sur l’Embryo-
 
 sont des exemples ASTÉRÉOGNOSIE n.f. (angl. Astereognosis)
 
 rire
 
 rendre fonction-
 
 deux
 
 Le réflexe tonique
 
 assez fréquent.
 
 survenant
 
 d’un
 
 ATELIER PROTÉGÉ (angl. Sheltered Workshop)
 
 comportement. Difficulté à se tenir debout (astasie) et à marcher (abasie) sans troubles moteurs ou sensitifs susceptibles de la justifier.
 
 exemple,
 
 émo-
 
 J. P.
 
 Principle)
 
 permet
 
 des
 
 nelles
 
 ASTASIE-ABASIE n.f. (angl. Astasia-Abasia)
 
 le cas, par
 
 immotivé proche
 
 expression
 
 (PRIN
 
 J.-F. L. N. CONNEXIONNISME
 
 et leur
 
 CIPE D’) (angl. Functional Asymmetry
 
 etc.
 
 sentiments tionnelle.
 
 entre les idées, les
 
 par P. Chaslin en 1912.
 
 et qui
 
 des faits,
 
 Perte de cohérence
 
 un accident C. B.
 
 ou PSYCHIQUE
 
 ATAXIE MENTALE
 
 C’est
 
 neurolo-
 
 sont supposées lier
 
 des représentations,
 
 des situations,
 
 en général
 
 et surtout
 
 de la mémoire.
 
 dèles, les associations
 
 asso-
 
 orientations.
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 de la moelle (dans le tabès), du du cortex
 
 pariétal
 
 une ataxie, éventuellement
 
 produisent
 
 unilatérale
 
 (hé-
 
 miataxie). J. P.
 
 ATHÉTOSE n.f. (angl. Athetosis)
 
 Trouble
 
 de la motricité
 
 caractérisé
 
 par des mouvements parasites anormaux assez lents, à type d’enroulement, atteignant la main, le cou, la 91
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 langue,
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 la face ou d’autres
 
 régions
 
 du
 
 corps, de façon quasi permanente. Ces mouvements toire,
 
 ont une allure
 
 avec succession
 
 de flexion, pagnent
 
 puis de rotation. d’une
 
 L’enfant
 
 repta-
 
 d’hyperextension
 
 et
 
 musculaire
 
 pour
 
 doit
 
 l’attachement
 
 les déplace-
 
 disposer
 
 lations
 
 sensorielles
 
 avoir la conservation
 
 d’attachement
 
 des quantités
 
 grossièrement
 
 la motricité
 
 le territoire véritable
 
 atteint,
 
 handicap
 
 Ce trouble
 
 risquant
 
 souvent
 
 dans
 
 de créer un
 
 Lien
 
 entre les noyaux
 
 et le cortex cérébral. Il est
 
 associé à un syndrome
 
 La théorie par J. Bowlby
 
 choréique
 
 les théories
 
 (choréo-athétose). J. P.
 
 sociaux
 
 d’une
 
 d’un
 
 (angl. Atmosphere
 
 maire
 
 en 1959, rompt
 
 avec toutes
 
 et affectifs
 
 des premiers
 
 de l’enfant
 
 chement
 
 qui en est tirée,
 
 lesquelles
 
 qui se manifeste
 
 par
 
 bien,
 
 par exemple,
 
 positives
 
 des conclusions
 
 conduisent
 
 positives,
 
 que des à accepter
 
 tives. Si l’une des prémisses
 
 ont fourni
 
 l’autre négative, on observe une tendance à
 
 effets
 
 de la carence
 
 accepter une conclusion
 
 montrent
 
 semblable,
 
 des prémisses
 
 disposent
 
 à des conclusions
 
 et des prémisses particulières
 
 tirer de façon naturelle de la logique)
 
 vations. d’une
 
 (sans apprentissage
 
 capacité
 
 juger correctement
 
 à ces obseren faveur
 
 des individus
 
 de la validité
 
 rences. De plus, certaines peuvent
 
 venir d’une interpré-
 
 d’une relativisation
 
 que du
 
 lui-même.
 
 générale
 
 perspective
 
 va dans le sens J.-F. L. N
 
 mal l’existence
 
 de relations
 
 recherche
 
 de contact physique,
 
 La notion nombre
 
 d’attachement
 
 plusieurs
 
 moyens
 
 l’attention
 
 tout prêts pour attirer
 
 sont intuitifs, chement
 
 stables
 
 sont donc à concevoir
 
 constitué
 
 de
 
 ou solide,
 
 de
 
 comme
 
 particules
 
 identiques
 
 elles et demeurant
 
 invariantes
 
 en quantité 92
 
 liquide
 
 représentation
 
 de substance,
 
 poids
 
 à un congénère,
 
 des liens d’atta-
 
 1997 (rééd.),
 
 Ainsworth
 
 stimulus
 
 et Niestlé.
 
 des enfants à une où la présence/abest systé-
 
 (Strange Situation),
 
 : l’attachement
 
 une situation
 
 le courant
 
 propose
 
 (conditionnement renforçateur.
 
 opérante s’attend
 
 inconditionnel Cette attente
 
 à
 
 ou de révèle
 
 de type représen-
 
 et peut se traduire
 
 au plan com-
 
 par des réactions par exemple, au stimulus
 
 : nage à reculons
 
 en avant chez les poissons chocs électriques
 
 pavlo-
 
 la réponse
 
 de processus
 
 conditionnel, (exemple
 
 qui réagit au stimu-
 
 skinnérien)
 
 la venue du stimulus l’existence
 
 de conditionne-
 
 (conditionnement
 
 ou qui émet
 
 précédés
 
 au stimulus différentes
 
 inconditionnel au lieu de fuite soumis
 
 à des
 
 d’un stimulus
 
 lumineux).
 
 types
 
 sécurisant,
 
 d’un
 
 de pensée cognitiviste
 
 que l’animal
 
 portemental :
 
 imminente
 
 ou d’un renforçateur.
 
 des réactions
 
 met en évidence plusieurs
 
 d’attachement
 
 P.
 
 l’Attachement,
 
 sa connais-
 
 tationnel
 
 figures
 
 de l’enfant
 
 sence de la mère et d’un étranger contrôlée
 
 en gé-
 
 etc.
 
 des réactions
 
 matiquement
 
 et
 
 en plein essor.
 
 son comportement,
 
 l’agent
 
 standardisée,
 
 ces représenta-
 
 qui manifeste,
 
 vien)
 
 d’un système et non pas
 
 de l’environnement
 
 situation
 
 des événements
 
 de modifier
 
 lus conditionnel
 
 comme le
 
 sont tissés avec plusieurs
 
 3. À partir
 
 entre
 
 : ceux-ci
 
 voire innés. Les liens d’atta-
 
 père, fratrie, nourrice,
 
 n.m. (angl. Atomism)
 
 Dans
 
 État d’un animal
 
 ment,
 
 de réponses à ces signaux ou
 
 de moyens efficaces de stimulation
 
 chement ATOMISME
 
 l’étude
 
 Delachaux
 
 Dans
 
 n’a pas à constituer
 
 néral la mère, est crucial,
 
 objet,
 
 des bébés, d’où une cer-
 
 ATTENTE n.f. (angl. Expectation)
 
 par
 
 aspects impor-
 
 dispose de
 
 l’adulte
 
 la qualité
 
 transgénérationnelle.
 
 R. (Éd.)
 
 ÉTHOL.
 
 qui ont
 
 1. De même que le nouveau-né
 
 Network)
 
 DE)
 
 profondément
 
 sance de l’apparition
 
 2. Si l’attachement
 
 (RÉSEAU
 
 sur les modèles in-
 
 a suscité un grand
 
 tants.
 
 du congénère,
 
 par
 
 :
 
 succion des
 
 de recherches empiriques,
 
 mis en évidence
 
 enrichies
 
 M.-G.
 
 Lausanne,
 
 de H. F. Harlow).
 
 (Sigle de l’anglais Augmented Transition
 
 tout
 
 ternes, influencent
 
 Zazzo,
 
 avec un congénère
 
 cris (travaux
 
 en-
 
 Bibliographie
 
 l’établissement
 
 immédiat
 
 leur propre
 
 part, la
 
 d’un individu.
 
 ATN
 
 J. Piaget,
 
 cognitif
 
 tions est actuellement
 
 a établi chez l’Ani-
 
 qui permettent
 
 mamelons,
 
 ob-
 
 de systèmes innés de com-
 
 fonctionnement
 
 Selon
 
 pendant
 
 taine stabilité
 
 phy-
 
 ne suffit
 
 D’autre
 
 éthologique
 
 un répertoire
 
 des capacités logiques.
 
 TRANSITION
 
 d’attachement
 
 de l’attachement
 
 précoce
 
 de rai-
 
 tation erronée des prémisses, plutôt
 
 La conclusion
 
 à
 
 des infé-
 
 erreurs
 
 processus de raisonnement
 
 qu’elles ont de leurs expériences
 
 tout un travail
 
 à réflexion.
 
 de relations
 
 sur les repré-
 
 fance. Ces représentations,
 
 de recherche
 
 alimentaire
 
 HOSPITALISME).
 
 portements,
 
 logiquement
 
 et témoignent
 
 fréquente
 
 sonnement
 
 des sujets à
 
 d’autres faits vont dans
 
 un sens différent
 
 sentations
 
 pas pour la construction
 
 universel
 
 Toutefois,
 
 du besoin
 
 de R. Spitz sur les
 
 la satisfaction
 
 des mères en direc-
 
 tion de leur bébé s’ancrent
 
 qu’à la théo-
 
 si les besoins
 
 les
 
 aussi bien que les expé-
 
 6. Les comportements
 
 dans la ré-
 
 maternelle
 
 qui sous-tend
 
 riences affectives.
 
 à des conclu-
 
 auteurs ont voulu donner
 
 un statut théorique
 
 social, pour
 
 susceptibles
 
 des conclusions
 
 valides. Certains
 
 activités cognitives
 
 nement,
 
 la capacité
 
 une interpréta-
 
 et d’efficacité,
 
 universelles,
 
 (
 
 comme
 
 de contrôle
 
 que, même
 
 jectales
 
 auteurs
 
 du
 
 de l’atta-
 
 cette perspective,
 
 pré-
 
 sions particulières. Ces effets limitent
 
 certains
 
 siques sont pris en charge par l’environ-
 
 universelles
 
 restreinte
 
 La théorie
 
 matière
 
 part, les travaux
 
 interne,
 
 À cette
 
 tion plus générale, en termes de sentiment
 
 Deux lignes
 
 D’une
 
 relativement
 
 Lamb ou Sroufe préfèrent
 
 pour laquelle le lien à
 
 à Bowlby
 
 ultérieures.
 
 mais pri-
 
 des besoins primaires,
 
 rie psychanalytique,
 
 modèle
 
 d’un modèle
 
 dérivée,
 
 intervenant
 
 et
 
 négative. De façon
 
 à
 
 les liens affectifs se construisent
 
 de nourriture.
 
 néga-
 
 est positive
 
 duction
 
 pendant
 
 Model) des relations
 
 les relations
 
 interprétation
 
 avec un congénère
 
 la mère s’étaie sur la satisfaction
 
 et des prémisses
 
 négatives à accepter des conclusions
 
 la tendance
 
 l’auto-
 
 qui est utilisé comme prototype
 
 de toutes
 
 liens
 
 humain.
 
 de l’apprentissage
 
 avec des individus
 
 Il semble
 
 dyadiques,
 
 s’oppose donc aussi bien à toutes
 
 les théories
 
 des erreurs.
 
 prémisses
 
 le contact
 
 et permanente.
 
 Effet de la formulation des prémisses d’un raisonnement sur la conclusion
 
 et favorise
 
 de liens d’attachement
 
 interne (angl. Working
 
 formulée
 
 n’est pas une tendance
 
 Effect)
 
 - une base de
 
 - et elles sont importantes
 
 5. La construction
 
 avec un
 
 de l’attachement, antérieures
 
 rechercher
 
 (EFFET D’)
 
 de dépendance permet
 
 de vie.
 
 ne sont pas
 
 va de pair avec la construction
 
 Dans une telle perspective, ATMOSPHÈRE
 
 des conditions
 
 toute la vie.
 
 personne
 
 animal
 
 mais ils peuvent
 
 d’attachement
 
 fiable
 
 nomie
 
 affectif
 
 avec une autre, congénère.
 
 à l’interruption
 
 sécurité
 
 ATTACHEMENT n.m. (angl. Attachment) DÉVELOP.
 
 des circuits de rétroaction gris, le thalamus
 
 des relations
 
 moteur.
 
 est consécutif
 
 4. Les relations
 
 Ils altèrent
 
 volontaire
 
 donnée,
 
 évoluer en fonction
 
 E. V.
 
 et
 
 une base de
 
 sont stables pour une figure
 
 d’attachement
 
 et les stimu-
 
 intenses.
 
 et l’attachement
 
 sécurité plus ou moins efficace. Ces modes
 
 de l’atomisme
 
 CONSERVATION
 
 sont aggravés par l’émotion
 
 ambivalent
 
 esquivé, où la mère constitue
 
 continues.
 
 Ils s’accom-
 
 hypertonie
 
 volume, quels que soient ments qu’elles subissent.
 
 A. G. COGNITIVISME
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 La préparation
 
 ATTENTION n.f. (angl. Attention)
 
 Orientation
 
 de l’activité
 
 qui
 
 effet
 
 a pour
 
 d’augmenter
 
 cience des processus mation
 
 sont les buts explicites
 
 des tâches à réali-
 
 se donne en vue de réaliser
 
 que le sujet ces dernières.
 
 les traitements
 
 tués dans le sens d’une
 
 effec-
 
 meilleure
 
 sélecti-
 
 vité dans la prise d’information meilleure
 
 précision
 
 et d’une
 
 ou d’une rapidité
 
 grande dans l’exécution
 
 focalisée.
 
 aussi plusieurs
 
 on parle dans ce cas d’attention arrive
 
 également
 
 mais complexe
 
 que la tâche soit unique
 
 en ce sens qu’elle implique
 
 de la prise d’information l’action
 
 buts :
 
 partagée. Il
 
 à la fois de la planification
 
 d’actions
 
 et
 
 est alors nécessaire
 
 pour définir
 
 le meilleur
 
 équilibre
 
 focalisation
 
 sur l’action
 
 et la focalisation
 
 sur la prise d’information. l’attention
 
 entre la
 
 préparation
 
 porte,
 
 de régulation
 
 de
 
 l’activité.
 
 L’attention
 
 FOCALISÉE
 
 focalisée a été étudiée dans des
 
 tâches qui concernent
 
 soit la prise d’infor-
 
 mation,
 
 soit l’exécution
 
 premier
 
 cas, l’attention
 
 une sélection
 
 motrice. permet
 
 Dans le
 
 de l’information
 
 à la
 
 tâche et, dans le second, elle permet
 
 une
 
 à l’installation
 
 préparatoire,
 
 le temps pendant
 
 état de préparation
 
 d’informations canismes
 
 une grande
 
 quantité
 
 La sélection
 
 utile a été surtout
 
 des situations
 
 de l’in-
 
 étudiée dans
 
 où l’information
 
 de plusieurs
 
 effi-
 
 rents délais possibles d’apparition
 
 et l’effet
 
 principalement les composantes
 
 notamment
 
 évoqués.
 
 (
 
 utilisés
 
 Dans les préa-
 
 par un effet de facilita-
 
 tion seulement. L’état
 
 de préparation
 
 effets de fréquence
 
 provient
 
 sources visuelles et auditives,
 
 engendré
 
 par un amorçage
 
 - consistant
 
 un stimulus
 
 attentionnelle
 
 sélective : il y a inhibition
 
 qui
 
 sont en dehors de l’état de préparation.
 
 En
 
 revanche,
 
 est
 
 la préparation
 
 automatique
 
 mulus auxquels le sujet n’est pas préparé. a été reprise par W. Schnei-
 
 der et R. Shifrin
 
 multidimension-
 
 périences,
 
 le sujet de la dimension
 
 qui, dans une série d’ex-
 
 ont montré
 
 que les processus
 
 dont il devra tenir compte pour la réponse.
 
 attentionnels
 
 Dans les situations
 
 de travail, tandis que les processus automa-
 
 de temps de réaction,
 
 on a étudié surtout ternatives
 
 le rôle du nombre
 
 et de la probabilité
 
 d’al-
 
 faisaient
 
 tiques font seulement à long terme.
 
 de chacune
 
 partie
 
 des alternatives.
 
 PARTAGÉE
 
 LA CONCURRENCE
 
 :
 
 ENTRE TÂCHES
 
 ENTRE TÂCHES
 
 des situations
 
 à tâches multiples à la question
 
 a
 
 : peut-
 
 choses en même temps?
 
 Quelles sont les choses que l’on peut faire et
 
 appel à la mémoire
 
 La mémoire
 
 du système
 
 cité limitée, L’ATTENTION
 
 appel à la mémoire
 
 de travail
 
 de traitement
 
 un stimulus,
 
 mulus
 
 sont mis en attente
 
 à traiter
 
 raissent de la mémoire donc pas traités
 
 du tout. La tâche utilisée
 
 consiste à rechercher
 
 un certain nombre
 
 lettres
 
 ment? On a mis en évidence l’existence d’un
 
 présentées à cadence rapide et à en signaler
 
 système
 
 la présence,
 
 à capacité
 
 limitée
 
 faisant appel à la mémoire taines opérations
 
 de traitement, de travail
 
 de traitement
 
 : cer-
 
 sollicitent
 
 (de une à quatre)
 
 si l’une d’elles apparaît.
 
 une première à surveiller
 
 sur des planches
 
 condition,
 
 varie d’un essai à l’autre et doit
 
 fixe, de sorte qu’elle
 
 cessus de récupération
 
 en mémoire
 
 naissance,
 
 ou de recon-
 
 ce qui a été perçu de la source
 
 non prioritaire.
 
 On a pu mettre en évidence
 
 deux types de limitations ment de l’information concernent formation
 
 dans le traite-
 
 : des limitations
 
 la saisie et l’encodage
 
 sur plusieurs concernent
 
 de l’in-
 
 de l’information
 
 canaux, et des limitations les conditions
 
 d’élaboration
 
 la réponse, comme la saturation de travail
 
 mations
 
 qui
 
 utile, comme le fractionnement
 
 de la présentation
 
 moire
 
 terme
 
 qui de
 
 de la mé-
 
 par le stockage des infor-
 
 nécessaires à la réponse.
 
 ne le requièrent
 
 en mémoire
 
 qui sont automatiques.
 
 à long
 
 Les opéra-
 
 limitée
 
 de détection
 
 d’un stimulus
 
 non familier
 
 des conditions en mémoire
 
 présenté
 
 défavorables, d’une
 
 ler ultérieurement l’élaboration
 
 l’identification
 
 d’une
 
 dans
 
 le stockage
 
 nombre
 
 d’une
 
 lettre
 
 ne varient
 
 de lettres à surveiller.
 
 le cas lorsque de détection
 
 pour réaliser
 
 la tâche,
 
 ponse plus long quand le nombre
 
 nouvelle,
 
 le
 
 d’un mouvement.
 
 à surveiller
 
 est moindre
 
 favorables,
 
 ; lorsque
 
 le déclenchement
 
 la fois. On dit que le traitement
 
 moteur.
 
 le déroulement
 
 d’un
 
 à tour
 
 la liste est fixe, la
 
 recherche
 
 d’une
 
 de lettres
 
 si elle est présente
 
 présenté dans des condi-
 
 réponse automatisée, programme
 
 et le temps de ré-
 
 est que chaque lettre est considérée sur la planche
 
 d’un
 
 : le taux
 
 est plus grand. L’interprétation
 
 des opérations
 
 telles que l’encodage
 
 du
 
 Ce n’est pas
 
 la liste est variable
 
 de rôle pour recherche
 
 tions
 
 pas en fonction
 
 à rappe-
 
 réponse
 
 la liste
 
 ainsi que le taux
 
 information
 
 de la précision
 
 familier
 
 cette liste est
 
 peut être mémorisée
 
 En revanche, ne font pas appel à ce système stimulus
 
 de travail.
 
 est fixe, le temps de réponse pour signaler la présence
 
 sont, par exemple,
 
 en mémoire
 
 à long terme. Lorsque
 
 tions qui font appel au système à capacité
 
 contrôle
 
 utile
 
 ; d’autres
 
 Dans
 
 la liste des lettres
 
 droite.
 
 de rappel
 
 de
 
 celles que l’on ne peut pas faire simultané-
 
 Dans une seconde condition,
 
 par des méthodes
 
 délai,
 
 de travail et ne sont
 
 pas et mettent en oeuvre seulement des pro-
 
 a été traitée, on étudie,
 
 : s’ils
 
 de quelques secondes, ils dispa-
 
 de l’une des
 
 tion non pertinente
 
 les autres sti-
 
 dans un certain
 
 que l’information
 
 dans quelle mesure l’informa-
 
 à capa-
 
 occupé à traiter
 
 de l’ordre
 
 fait
 
 de sorte que, si ce système est
 
 simultanément
 
 déterminer
 
 Ainsi,
 
 des stimulus
 
 donc être retenue
 
 Pour
 
 qui lui
 
 est de nature
 
 et où la tâche à réaliser exige de ne traiter sources, par exemple l’oreille
 
 à présenter
 
 est lié - est de nature automatique. la préparation
 
 in-
 
 attentionnelle.
 
 ce système et donc ne peuvent être réalisées
 
 provenant
 
 par des
 
 ou par une attente
 
 est de nature
 
 La distinction
 
 utile du stimulus.
 
 On présente des stimulus
 
 tique, caractérisée
 
 automa-
 
 non sélective : elle n’a pas d’effet sur les sti-
 
 on s’est essentiellement
 
 à l’effet d’une information
 
 de l’information
 
 non focale) et par une préparation
 
 juste avant le stimulus
 
 et motrices.
 
 lable sur la composante
 
 au traitement
 
 Priming)
 
 au
 
 de l’infor-
 
 par un effet d’inhibition
 
 (angl.
 
 Deux types de tâches sont
 
 tâches perceptives,
 
 focale),
 
 par l’étude des
 
 porte non plus sur
 
 : perceptives
 
 au traitement
 
 qui est engendré
 
 la date d’arrivée du stimulus mais sur le stimulus lui-même.
 
 tion (par rapport mation
 
 qui se
 
 à la fois par un effet de facilita-
 
 Celui
 
 sélective
 
 ont mis en évi-
 
 attentionnelle,
 
 de
 
 Dans le cas de la préparation
 
 des effets de
 
 dence l’existence de deux types de prépara-
 
 tentionnelle
 
 POTENTIEL.)
 
 l’incertitude
 
 Ces auteurs
 
 et
 
 psychophysiologiques
 
 la préparation, potentiels
 
 présenté. On a étudié
 
 la latence de la réaction
 
 on faire plusieurs
 
 s’il n’y avait pas des mé-
 
 de filtrage.
 
 formation
 
 d’information
 
 et serait submergé par toute
 
 cette information
 
 lequel un des diffé-
 
 intervalle
 
 de l’analyse
 
 (par rapport
 
 attitude
 
 cacement, le rôle de la probabilité
 
 L’étude
 
 dans la prise
 
 reçoit
 
 Les
 
 peut être maintenu
 
 Snyder à propos
 
 caractérise
 
 lui-même,
 
 d’une
 
 a été faite par Posner et
 
 tion : une préparation
 
 l’incertitude
 
 qui ont été étudiées sont le temps
 
 nécessaire
 
 Cette distinction préparation.
 
 Dans
 
 de son apparition.
 
 pour but de répondre L’organisme
 
 lui-même.
 
 et processus
 
 automatiques
 
 ne sont pas traités
 
 à l’action.
 
 La sélectivité
 
 du stimu-
 
 non pas sur le stimulus
 
 questions
 
 la
 
 d’effectuer utile
 
 préparation
 
 c’est-à-dire
 
 temporelle,
 
 mais sur le moment
 
 attentionnels
 
 a deux aspects :
 
 pour la tâche, et la prépara-
 
 nels et on informe L’ATTENTION
 
 Processus
 
 à la date d’arrivée
 
 la préparation
 
 intéressé
 
 Dans ce cas,
 
 a une fonction
 
 temporelle,
 
 stimulus,
 
 sur les effets de
 
 : une régulation
 
 la préparation
 
 du dernier un seul
 
 alors d’attention
 
 Elle peut comporter
 
 plus
 
 de l’action.
 
 La tâche à réaliser peut comporter but : on parle
 
 à l’action
 
 tion sélective au stimulus
 
 par des buts qui
 
 ser ou des buts intermédiaires
 
 La préparation
 
 lus pertinent
 
 de l’action.
 
 est organisée
 
 Ces buts orientent
 
 l’effi-
 
 de prise d’infor-
 
 et d’exécution
 
 L’activité
 
 par des buts
 
 à l’action
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 est faite pour toutes les lettres à
 
 tiel dans le premier
 
 est séquen-
 
 cas et parallèle
 
 dans le
 
 second. 93
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 La notion
 
 La notion
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 de charge
 
 mentale
 
 de charge* mentale, ou de coût
 
 Du fait de la capacité limitée
 
 cognitif, est liée au fait que les opérations de traitement entrant dans une tâche don-
 
 du système nerveux,
 
 née font plus ou moins
 
 présentes
 
 et parmi
 
 possibles.
 
 L’attention
 
 la mémoire
 
 largement
 
 appel à
 
 de travail et au système à capa-
 
 cité limitée.
 
 La charge mentale
 
 entraînée
 
 par une tâche est étudiée en ajoutant tâche secondaire tion
 
 simple
 
 réaction
 
 une
 
 de type temps de réac-
 
 et en comparant
 
 le temps de
 
 dans le cas de la tâche secondaire
 
 avec le temps observé temps de réaction principale. diminue
 
 quand
 
 la tâche de
 
 est faite seule, sans tâche
 
 L’automatisation la charge
 
 mentale
 
 choix
 
 parmi
 
 comme
 
 qui permettent
 
 des processus centraux
 
 À la base des conduites d’orientation
 
 nouveau
 
 parce qu’une
 
 jeu des mécanismes
 
 stimulant.
 
 permettent
 
 Cette
 
 l’immobilisation
 
 activent
 
 les structures
 
 tions stockées en mémoire
 
 réactions
 
 motrices
 
 chées par le stimulus.
 
 des informations
 
 licules supérieurs
 
 en mémoire
 
 de travail.
 
 et régulation
 
 de l’activité
 
 et auditives
 
 visuelles,
 
 d’un stimulus
 
 mais complexe,
 
 par l’intermédiaire
 
 à la
 
 des
 
 déclen-
 
 les
 
 Elles apparaissent focaliser
 
 leur at-
 
 appartenant
 
 à telle
 
 même moda-
 
 sur ceux qui présente
 
 telle hauteur
 
 tonale,
 
 telle structure
 
 origine
 
 spatiale.
 
 nométrie
 
 Les expériences
 
 mentale,
 
 réaction
 
 phonémique,
 
 utilisant
 
 et les potentiels
 
 envisager
 
 l’objet
 
 de chro-
 
 les temps
 
 des caractéris-
 
 d’un stimulus organisés
 
 d’un
 
 de
 
 évoqués, laissent
 
 que la sélection
 
 ment : la position
 
 telle
 
 implique
 
 hiérarchique-
 
 spatiale
 
 ou la modalité
 
 traitement
 
 précoce,
 
 physiques
 
 les
 
 ou sémantiques
 
 étant analysées ultérieurement.
 
 Les mêmes
 
 appartenant
 
 cution
 
 de prise
 
 tronc cérébral. Il n’est sans doute pas indif-
 
 techniques,
 
 peuvent
 
 férent
 
 niques de lésions cérébrales chez l’homme
 
 Or, ces activités
 
 être antagonistes calisation
 
 dans la mesure où la fo-
 
 sur l’action
 
 les informations cette action
 
 en cours privilégie
 
 liées à la procédure
 
 fait partie
 
 dont
 
 et aux représenta-
 
 pour l’organisation
 
 des conduites structure
 
 attentives
 
 que cette dernière
 
 un rôle dynamogénique la gradation
 
 Cependant,
 
 que la procédure
 
 mettre
 
 pour la situation
 
 stimulation
 
 des états vigiles et qu’on peut
 
 en évidence
 
 en lui appliquant
 
 électrique
 
 modérée
 
 de base et les réponses
 
 de la situation
 
 dans
 
 neurones corticaux s’intensifient circulation cérébrale augmente,
 
 de se
 
 moteur
 
 souvent,
 
 des indices
 
 la situation, rendre
 
 sont présents
 
 qui peuvent
 
 compte
 
 Assez
 
 permettre
 
 que la situation
 
 à laquelle
 
 sensorielles
 
 amples,
 
 les mouvements
 
 l’étude
 
 abaissés, les temps de réaction
 
 que souvent
 
 plus
 
 les seuils perceptifs
 
 diminuent.
 
 Cette intensification
 
 généralisée
 
 vient précisément
 
 tions physiologiques
 
 et des performances
 
 est
 
 trop focalisée sur l’action en cours et inhibe
 
 se retrouve
 
 les informations
 
 tifs. Aussi a-t-on longtemps
 
 non liées au contexte
 
 de
 
 cette action, même si ces indices sont assez
 
 le cas notamment
 
 saillants perceptiblement. cas désengager l’attention
 
 tion)
 
 Il faut dans ce de l’action en
 
 cours et prendre une attitude à l’information
 
 nouvelle
 
 plus inhibées l’action
 
 pour que ne soient
 
 les informations
 
 non liées à
 
 en cours.
 
 L’attitude
 
 et l’attention
 
 nification
 
 focalisée sur la pla-
 
 et l’exécution
 
 fait antagonistes neurophysiologique teurs différents.
 
 de l’action
 
 et dépendent
 
 sont en
 
 au niveau
 
 Une bonne
 
 régulation
 
 focalisée sur l’action
 
 raît
 
 d’activation
 
 un niveau
 
 l’organisme
 
 ou, à tout le moins, Toutefois,
 
 nismes de régulation pas à expliquer
 
 de
 
 de
 
 la sélectivité
 
 et leur caractère unitaire
 
 entre
 
 (qui assure
 
 traitements
 
 le
 
 limitées
 
 les seuls méca-
 
 intensive
 
 en une série d’étapes
 
 (telles
 
 les opérations
 
 mouvement,
 
 licules tibles
 
 ne permet pas non aux-
 
 La sélectivité
 
 se
 
 manifeste
 
 à l’égard de ce qu’il est convenu
 
 Posner,
 
 M.I.,
 
 litation
 
 and Inhibition
 
 Signals
 
 », in Rabbit,
 
 Attention
 
 et Snyder,
 
 Posner,
 
 M.I.,
 
 of Mind,
 
 Hillsdale,
 
 Schneider,
 
 que la représentation est inadéquate.
 
 essentiel dans la résolution
 
 de faire requ’on
 
 mulus
 
 d’un
 
 soit, plus abstraitement,
 
 : position,
 
 de décrire
 
 hauteur
 
 in the Processing P.M., et Dorne,
 
 of
 
 S. (Eds),
 
 Londres,
 
 1978, Chronometric
 
 Academic
 
 Explorations
 
 N J, Lawrence
 
 Erlbaum
 
 J.-F., 1980, l’Attention,
 
 W., et Shiffrin,
 
 « Controlled mation Attention
 
 R.M.,
 
 and automatic
 
 Processing
 
 1977,
 
 human
 
 ; I, Detection
 
 », Psychological
 
 Infor-
 
 Search and
 
 Review,
 
 84, 1-88.
 
 ATTENTION CONJOINTE (angl. Joint Attention)
 
 Regard garde.
 
 porté
 
 L’attention portent
 
 susceptibles
 
 R.R., 1975, « Faci-
 
 Paris, P.U.F.
 
 de transmission
 
 l’environnement,
 
 C.
 
 Press.
 
 roniques
 
 permettant
 
 et suscep-
 
 différentiellement
 
 and Performance,
 
 à la
 
 dimension
 
 notamment)
 
 cortex
 
 J.-M.
 
 possibles) et la réceptivité
 
 dans
 
 (col-
 
 [mésencéphale],
 
 de ce fait d’être
 
 sence d’au
 
 survenus
 
 chacune
 
 des
 
 subis par les informations
 
 sensoriel,
 
 relevant
 
 de
 
 par M.
 
 nerveuses particulières
 
 postérieur
 
 des canaux, soit les systèmes neu-
 
 qui permet de prendre
 
 proposées
 
 opérations
 
 supérieurs
 
 pariétal
 
 de dégagement,
 
 d’ancrage,
 
 de structures
 
 de
 
 ne suffisent
 
 de l’attention,
 
 quelles on prête attention.
 
 de l’attention
 
 Associates.Richard,
 
 appa-
 
 comme
 
 de ressources
 
 fixation
 
 d’appeler
 
 en compte les changements
 
 la situation
 
 réticulée.
 
 l’attention
 
 les déplacements
 
 les
 
 de l’action
 
 prise d’information,
 
 marquer
 
 la formation
 
 permettent
 
 aussi de décomposer
 
 en inhibant
 
 la continuité distracteurs
 
 des compor-
 
 Dans ce cadre théorique, comme
 
 (c’est
 
 plus de rendre compte de la multiplicité
 
 de neurotransmet-
 
 est réalisée par un équilibre
 
 attention
 
 qu’exerce
 
 de traitement.
 
 à l’information
 
 privilégié
 
 intensive
 
 système répartiteur
 
 de réceptivité
 
 nouvelle
 
 l’action
 
 de réceptivité
 
 tements
 
 atten-
 
 de la théorie de l’activa-
 
 la régulation
 
 vigile,
 
 des
 
 Bibliographie
 
 des réac-
 
 dans les comportements
 
 individuelle
 
 sont
 
 ces indices ne sont pas pris en compte : cela de ce que l’attention
 
 de l’activité
 
 cli-
 
 affectées par des lésions neurologiques.
 
 plus vigoureux.
 
 Corrélativement,
 
 montre
 
 alors, la le tonus
 
 aux observations
 
 chez l’animal
 
 I. Posner),
 
 des
 
 s’élève, les réflexes deviennent
 
 on a affaire n’est pas celle que l’on croit. Or, des incidents
 
 une
 
 : l’activité
 
 en jeu, car elle relève d’une représentation qui est inadéquate.
 
 dans
 
 jointes
 
 ou à l’étude neurones
 
 général affectant le
 
 cerveau et la moelle, qui se manifeste
 
 cette procédure.
 
 adoptée soit inappropriée
 
 physiologique
 
 ait acquis au cours de l’évolution
 
 tions qui ont fait choisir il peut arriver
 
 du
 
 de leurs
 
 et d’exé-
 
 et à des activités
 
 réticulaire
 
 sur la
 
 fois à des activités de planification d’actions
 
 à la formation
 
 lité,
 
 sur les stimulus
 
 caractéristiques
 
 moteurs
 
 portant
 
 ou, au sein d’une
 
 font
 
 dans sa direction
 
 de centres
 
 composantes.
 
 des traitements
 
 somatiques
 
 et orientent
 
 évoqués),
 
 tiques pertinentes
 
 qui réalisent l’intégration
 
 yeux, la tête et le tronc
 
 d’information.
 
 message toute un sti-
 
 tonale, couleur,
 
 sur ce que l’autre conjointe
 
 moins
 
 intérêt
 
 implique
 
 deux
 
 re-
 
 la pré-
 
 personnes
 
 qui
 
 à une même cible visuelle
 
 (en général un objet). Son importance le développement
 
 pour
 
 de la communication
 
 est depuis longtemps
 
 établie. En effet, elle
 
 a de
 
 signification,
 
 etc. Si l’on présente à un sujet
 
 permet de relier les deux sources d’intérêt
 
 est
 
 des stimulus
 
 visuels, auditifs
 
 que constituent
 
 Cet équilibre de problème.
 
 J.-F. R.
 
 94
 
 responsables
 
 Dans les cas où la tâche à réaliser est unique le sujet doit se livrer
 
 et
 
 Tel est le cas des col-
 
 des caractéristiques Attention
 
 attentive
 
 spécifiquement
 
 ne fait plus appel à un stockage transitoire
 
 différentes
 
 modalité
 
 qui
 
 observées dans
 
 présence, la latence ou l’amplitude
 
 ou saillant
 
 met en
 
 vers laquelle
 
 déclenchées par un sti-
 
 quand les sujets doivent
 
 du
 
 impliquées
 
 Des modulations
 
 sont également
 
 les ondes corticales
 
 tention
 
 réaction
 
 l’attention.
 
 spécifiques
 
 de l’organisme
 
 sous-corticaux
 
 tement se fait par accès direct aux informaà long terme et
 
 la réac-
 
 les capacités
 
 et réceptrices
 
 champ
 
 du trai-
 
 attentives,
 
 focalise
 
 vers un caractère
 
 et motrices.
 
 est plus marquée
 
 de la modalité
 
 mulus (potentiels
 
 ces sélections
 
 perceptives
 
 d’une activité
 
 partie de plus en plus importante
 
 peut être considérée
 
 et réalisent
 
 exploratrices
 
 est tournée
 
 motrices
 
 du cortex,
 
 dans les aires spécifiquement dans l’analyse
 
 sensorielles
 
 les réponses
 
 dans les conduites tion
 
 opère des
 
 les informations
 
 bien dans l’ensemble
 
 mais cette augmentation
 
 de traitement
 
 l’organisme
 
 l’ensemble
 
 augmente
 
 DE L’ATTENTION
 
 PSYCHOPHYSIOLOGIE
 
 lui demandant
 
 ou tactiles, en
 
 de focaliser son attention
 
 une seule modalité,
 
 l’irrigation
 
 sur
 
 sanguine
 
 l’environnement
 
 l’environnement
 
 physique
 
 source
 
 en raison
 
 d’intérêt
 
 : l’objet
 
 social et devient
 
 de l’attention
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 que lui
 
 porte
 
 le partenaire
 
 ment,
 
 la personne
 
 raison
 
 de l’objet
 
 devient
 
 et ses conditions
 
 attractive
 
 (se référer à, penser, savoir, croire).
 
 en
 
 d’émergence
 
 conjointe
 
 : puisqu’il
 
 y
 
 à ce que regarde
 
 teurs, c’est le cas jusque vers un an : le bébé lise son attention (G. Collis
 
 périence
 
 et H. Schaffer).
 
 discutent qui aboutit
 
 des situations
 
 son
 
 D’autres
 
 les conditions
 
 plus contrôlées,
 
 Dans
 
 où l’adulte
 
 puis tourne la tête et le regard dans une didonnée, ils concluent
 
 rité des bébés de huit de localiser
 
 dans
 
 l’attention parfois
 
 mois sont capables
 
 du partenaire
 
 possible
 
 la source
 
 Mais localiser
 
 direction
 
 regard
 
 regarder
 
 E. Cochran)
 
 est-il
 
 à
 
 ? Les expé-
 
 ce point
 
 de six mois regardent
 
 et
 
 : les bébés
 
 dans la bonne direc-
 
 tion, comme s’ils cherchaient la mère regarde,
 
 à voir ce que
 
 mais ils ne localisent
 
 la
 
 cible visuelle que si elle est dans leur propre champ de vision (par exemple : pas derrière eux). Il faut attendre
 
 S., 1995, Mindblindness, The MIT
 
 G., et Cochran,
 
 a Mechanism
 
 in Infancy
 
 E., 1980, « To-
 
 On utilise souvent pour désigner cet état
 
 Attention
 
 Journal
 
 l’expression
 
 of Behavioral
 
 4, p. 253-272. J., et Scaife, M., 1982, « How » in G. Butterworth
 
 Social Cognition
 
 16, p. 315-320.
 
 J., 1975, « The Capacity », Nature,
 
 Psychology
 
 dix-huit
 
 mois pour
 
 ATTENTION
 
 réponses
 
 ou les activités
 
 psychologiques.
 
 L’exemple
 
 le plus classique
 
 Scaife, M., et Bruner,
 
 d’attente,
 
 il peut
 
 son temps de réaction.
 
 Mais il
 
 alors qu’aucun
 
 se com-
 
 du même phénomène. paratoires)
 
 peuvent
 
 à laquelle
 
 tente
 
 conformer le psychanalyste vilégiant, dans son écoute, éléments
 
 particuliers
 
 de se
 
 de
 
 l’analysant.
 
 J.-F. L. N.
 
 L’expression
 
 DIFFÉR.
 
 est une opinion.
 
 verbale d’une attitude
 
 La mesure
 
 flottante
 
 est la contrepartie
 
 libre proposée
 
 au patient.
 
 cette technique
 
 explicite-
 
 sés d’items interrogé
 
 après chacun est invité
 
 ou son désaccord
 
 son degré
 
 dont il existe plusieurs
 
 de l’enfant.
 
 être le décalage trouvé L. Adamson
 
 peut-
 
 par R. Bakeman
 
 entre la capacité
 
 et
 
 Technique
 
 psychanalytique,
 
 ne devons
 
 attacher
 
 d’importance
 
 convient
 
 que nous prêtions flottante.
 
 à l’inconscient
 
 de l’analyste
 
 partenaire
 
 est un adulte ou un autre enfant
 
 ter à l’égard
 
 de l’inconscient
 
 huit
 
 mois pour que l’attention
 
 conjointe
 
 avec un pair soit établie chez la lupart enfants.
 
 L’attention
 
 conjointe
 
 suscitée de façon ostensible de pointage
 
 avec un geste
 
 récemment
 
 cognitifs
 
 de déve-
 
 différents.
 
 sur
 
 un objet pour solliciter
 
 l’intervention
 
 de
 
 la personne
 
 la situation
 
 et modifier
 
 : obtenir
 
 l’enfant
 
 cet objet)
 
 pointer
 
 de la personne
 
 provoquer
 
 ainsi son intérêt,
 
 état mental antérieur Enfin,
 
 Mais attirer
 
 sur un objet et modifier
 
 : le pointage
 
 dit protodémonstratif,
 
 mentaux
 
 : dans ce cas,
 
 aussi pour
 
 l’attention
 
 l’autre
 
 (par
 
 est un proto-impératif.
 
 peut
 
 désignation.
 
 conscients
 
 momentanée
 
 de ses préjugés
 
 et de ses défenses inconscientes.
 
 son
 
 est alors
 
 pour sa fonction observer
 
 peut permettre inobservables,
 
 l’attention
 
 d’inférer
 
 Pour expliquer
 
 les comportements
 
 hu-
 
 objectives
 
 ATTÉNUATION
 
 l’environnement.
 
 béhavioriste
 
 n.f. (angl. Attenuation)
 
 doit céder la place à un schéma plus com-
 
 STAT.
 
 Sous-estimation
 
 d’un
 
 coefficient
 
 de corrélation calculé entre deux variables de fidélités imparfaites. Ch. Spearman
 
 a proposé une correction
 
 de cette atténuation lation
 
 : il rapporte
 
 calculée à la moyenne
 
 des fidélités
 
 géométrique
 
 des deux variables (racine car-
 
 rée de leur produit). prudence
 
 la corré-
 
 Il faut interpréter
 
 un coefficient
 
 ainsi corrigé
 
 avec
 
 l’organisme
 
 stimulus
 
 en fonction
 
 propres.
 
 Dans le domaine
 
 réagit au
 
 de ses caractéristiques psychosocial,
 
 l’une de ces caractéristiques
 
 est l’attitude
 
 du sujet envers les objets présents dans la situation
 
 ou évoqués par elle.
 
 EN QUOI
 
 CONSISTE
 
 UNE ATTITUDE
 
 ?
 
 sur un seul point : il
 
 y a dans toute attitude
 
 un aspect évaluatif,
 
 plus
 
 de
 
 élevée que l’on utilise des observations
 
 plus
 
 largement
 
 plexe, selon lequel
 
 Les auteurs s’accordent
 
 tend à être d’autant
 
 corrigée
 
 Le modèle
 
 de
 
 : la
 
 valeur
 
 de type volitionnel
 
 social.
 
 port avec les caractéristiques
 
 de
 
 des états
 
 Disposition interne durable qui sous-tend les réponses favorables ou défavorables de l’individu à un objet ou à une classe d’objets du monde
 
 mains, il ne suffit pas de les mettre en rap-
 
 Pointer
 
 l’attention
 
 le pointage
 
 à attirer
 
 flot-
 
 que le geste
 
 à des niveaux
 
 peut correspondre
 
 exemple
 
 ». L’attention
 
 tante suppose donc de la part du praticien la suppression
 
 ATTITUDE 2. n.f. (angl. Attitude) SOCIAL.
 
 téléphonique
 
 à l’égard du microphone
 
 M. R.
 
 du patient
 
 R. L.
 
 peut avoir deux significations,
 
 qui correspondent loppement
 
 peut être
 
 de se compor-
 
 qui dirige le regard de l’autre.
 
 On a pu montrer de pointage
 
 des
 
 « comme l’écouteur
 
 etc.
 
 et il
 
 » Il assigne également
 
 des mêmes enfants selon que le dix-
 
 de Guttman,
 
 types : échelles de
 
 à tout la même
 
 conjointe
 
 du même âge : il faut ainsi attendre
 
 Likert,
 
 Ce sont des échelles d’attitude,
 
 particu-
 
 lière à rien de ce que nous entendons attention
 
 d’attention
 
 1953) : « Nous
 
 desquels le sujet
 
 (ou encore
 
 le traitement
 
 analytique (1912 ; trad fr. in la
 
 compo-
 
 son accord
 
 vision
 
 à ce que J. Piaget a nommé
 
 des attitudes
 
 à exprimer
 
 d’accord).
 
 était le même que celui de l’adulte.
 
 les comporte-
 
 s’effectue à l’aide de questionnaires
 
 L’attention
 
 (pré-
 
 ments de façon complexe.
 
 en ne priaucun des
 
 du discours
 
 relèvent
 
 Les attitudes
 
 et influencer
 
 ment ainsi dans Conseils aux médecins sur
 
 expliquent
 
 stimu-
 
 être très diverses dans
 
 porte donc comme si son propre champ de
 
 résultats
 
 faussement
 
 Les « faux départs » des coureurs
 
 leur contenu
 
 S. Freud formule
 
 Ces derniers
 
 dans une attitude
 
 convenable
 
 ou prématurément,
 
 253, p. 265-266.
 
 Règle technique
 
 quel que soit l’endroit
 
 l’égocentrisme*
 
 le plus vite
 
 risque alors aussi de répondre
 
 in
 
 (angl. Suspended Attention ; allem. gleichs chwebende Aufmerksamkeit)
 
 de l’association
 
 Cela renvoie
 
 de temps
 
 Le sujet attend un sti-
 
 En se plaçant
 
 raccourcir
 
 les
 
 se rencontre
 
 expérimentale
 
 simple.
 
 préparatoire
 
 FLOTTANTE
 
 que le bébé localise ce que regarde la mère, : l’enfant
 
 peut moduler
 
 mulus, auquel il doit répondre
 
 and
 
 pré-
 
 ». Cette attitude
 
 possible.
 
 for Joint Attention
 
 d’« attitude
 
 paratoire
 
 de réaction
 
 Harvester.
 
 in Mother/Infant
 
 of Child
 
 plus explicite
 
 dans la situation
 
 H., 1975, « Synchroni-
 
 Attention
 
 Pairs », 81, Journal
 
 et P. Light
 
 Brighton,
 
 G., et Schaffer, of Visual
 
 Infants
 
 : Studies of the Develop-
 
 ment of Understanding,
 
 Psychiatry,
 
 Cam-
 
 Press.
 
 of Joint Visual
 
 », International
 
 see the Point
 
 Collis,
 
 qui oriente de façon momentanée ou durable certaines réponses motrices ou perceptives, certaines activités intellectuelles.
 
 »,
 
 55, p. 1278-1289.
 
 Massachusetts,
 
 Churcher,
 
 Interaction
 
 dans lequel
 
 lus n’a été donné (« fausse alarme »).
 
 équivalent
 
 auteurs (G. Butterworth
 
 clarifient
 
 wards
 
 in
 
 la nouvelle
 
 ce que regarde l’autre
 
 riences d’autres
 
 Development,
 
 the Infant
 
 cette capacité
 
 dès deux mois. d’un
 
 de
 
 et qu’il est même
 
 d’observer
 
 bridge,
 
 to People and Objects
 
 État de préparation
 
 se trouve un individu qui va recevoir un stimulus ou donner une réponse et
 
 L., 1984, « Coor-
 
 et Peer/Infant
 
 Baron-Cohen,
 
 zation
 
 que la majo-
 
 l’espace
 
 Attention
 
 Mother/Infant
 
 (Ed),
 
 établit d’abord le contact visuel avec le bébé rection
 
 dinating
 
 Development,
 
 de l’ex-
 
 à ces résultats.
 
 R., et Adamson,
 
 Butterworth,
 
 et la mère mobi-
 
 sur ce que regarde
 
 Bakeman,
 
 Child
 
 peut être à l’initia-
 
 regarde ce qui l’intéresse
 
 ATTITUDE 1. n.f. (angl. Set) GÉNÉR.
 
 tive exclusive de l’adulte. Selon certains au-
 
 chercheurs
 
 ou de type épistémique
 
 Bibliographie
 
 dès qu’une des deux
 
 le phénomène
 
 enfant
 
 désirer),
 
 J. N.
 
 sur sa date d’apparition
 
 personnes porte attention l’autre,
 
 (vouloir,
 
 qui capte son attention.
 
 Les avis divergent a attention
 
 ou, inverse-
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 et cet aspect est central. La conception
 
 entachées d’erreur. M. R.
 
 que toute
 
 la plus ancienne
 
 attitude
 
 comporte
 
 considère trois
 
 com95
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 posantes
 
 : cognitive,
 
 La composante opinions
 
 affective
 
 cognitive
 
 et conative.
 
 comprend
 
 du sujet sur l’objet
 
 les associations
 
 d’attitude,
 
 affective comprend
 
 sentiments, suscite.
 
 La composante
 
 en une disposition ou défavorable
 
 de l’objet.
 
 tripartite
 
 travaux,
 
 validé.
 
 consiste
 
 à agir de façon favorable
 
 Bien que ce modèle tement
 
 que l’objet
 
 conative
 
 vis-à-vis
 
 de nombreux
 
 La com-
 
 les affects, les
 
 les états d’humeur
 
 de l’activation seulement
 
 d’une partie
 
 de cette base de données
 
 contexte,
 
 dépend
 
 qui guident
 
 chemins
 
 différents
 
 l’activation
 
 paraissent
 
 instables.
 
 finissent
 
 de
 
 sur des
 
 selon les moments.
 
 que de nombreuses
 
 fréquemment
 
 ; cet
 
 des facteurs
 
 en résulte
 
 Il
 
 attitudes
 
 par la situation
 
 par se stabiliser
 
 et par constituer
 
 cognitive
 
 à laquelle
 
 le
 
 LA L’attitude
 
 MESURE
 
 de ce modèle impliquerait
 
 en
 
 est par définition
 
 une variable à partir
 
 d’in-
 
 dices multiples.
 
 composante,
 
 tinctes.
 
 Les difficultés
 
 tration
 
 dis-
 
 d’une telle démons-
 
 n’ont jamais été résolues.
 
 Une autre
 
 conception
 
 l’attitude
 
 consiste
 
 par sa seule composante
 
 éva-
 
 luative (A. H. Eagly, M. Fishbein). En ce sens, l’attitude est seulement une disposition globalement
 
 favorable
 
 ou défavorable
 
 envers un objet. R. H. Fazio considère pour certaines
 
 attitudes
 
 évaluation
 
 entre l’objet et son
 
 est automatique.
 
 qui, dans le modèle la structure
 
 ment.
 
 portent
 
 de l’attitude
 
 dès lors sur les relations croyances,
 
 Les questions
 
 tripartite,
 
 interne
 
 sur
 
 portent
 
 entre attitude
 
 et entre attitude
 
 et
 
 et comporte-
 
 Une telle conception
 
 tamment
 
 que,
 
 particulièrement
 
 accessibles, l’association
 
 apparaît
 
 no-
 
 dans le modèle de M. Fishbein
 
 I. Ajzen (1975), qui reprend des idées déjà présentes berg (1968).
 
 et
 
 et systématise
 
 chez M. J. Rosen-
 
 D’après ce modèle,
 
 serait une conséquence
 
 l’attitude
 
 des croyances
 
 du
 
 sujet, ce que symbolise :
 
 kbi
 
 ei
 
 ei
 
 est l’évaluation
 
 la probabilité croyance) jective
 
 de l’attribut
 
 subjective
 
 que l’objet
 
 l’attribut
 
 d’un objet
 
 la probabilité attribut.
 
 belief, sub-
 
 de la va-
 
 envisagés, pondérée
 
 par
 
 possède chaque seules comptent
 
 qui sont spontanément
 
 pour le sujet. Ainsi,
 
 peut savoir
 
 est
 
 possède
 
 est la somme
 
 Dans ce calcul,
 
 cessibles
 
 (b pour
 
 bi
 
 dit, la valeur
 
 que l’objet
 
 les croyances
 
 i,
 
 d’attitude
 
 i. Autrement
 
 leur des attributs
 
 ac-
 
 un fumeur
 
 que le tabac est cancérigène
 
 pects de l’attitude
 
 que sur deux as-
 
 : la direction
 
 (caractère
 
 permettent
 
 pas de savoir si l’attitude
 
 rée est importante elle est aisément MESURE,
 
 accessible.
 
 (
 
 de soi que les attitudes pondre
 
 devaient
 
 à une représentation
 
 relativement
 
 de Wilson.
 
 D’après
 
 le sujet possède une « base de
 
 données », c’est-à-dire plexe d’éléments nion
 
 cognitive
 
 stable. Cette idée a été mise en
 
 doute par les travaux ce dernier,
 
 corres-
 
 un ensemble com-
 
 de connaissance
 
 qui sont potentiellement
 
 à une attitude.
 
 L’attitude
 
 ou d’opipertinents
 
 exprimée
 
 résulte
 
 pour
 
 il devrait
 
 qu’une
 
 famille
 
 que lui. La
 
 d’un petit
 
 nombre
 
 d’items.
 
 On demande avec chacun
 
 au nombre
 
 il est d’accord,
 
 d’items
 
 avec lesquels
 
 et chaque item
 
 note de « popularité
 
 reçoit
 
 une
 
 », correspondant
 
 au
 
 nombre
 
 de sujets qui l’ont accepté. Le ran-
 
 gement
 
 simultané
 
 des sujets et des items
 
 hiérarchique.
 
 L’ensemble
 
 la structure
 
 les
 
 attendue.
 
 des items restants
 
 forme
 
 une
 
 échelle acceptable s’il n’y a pas plus de 10 % de réponses qui violent
 
 la structure
 
 hiérar-
 
 chique.
 
 Les mesures
 
 Tout
 
 récemment,
 
 commencé
 
 implicites
 
 tude inspirée
 
 rassemble
 
 ciation
 
 d’énoncés,
 
 certains
 
 à utiliser
 
 La méthode de Thurstone demande que l’on une grande quantité
 
 On élimine
 
 DE
 
 MESURE.)
 
 auteurs
 
 ont
 
 une mesure de l’atti-
 
 par l’hypothèse
 
 automatique
 
 d’une
 
 entre l’objet
 
 assoet une
 
 exprimant diverses opinions qui existent dans la population à laquelle on s’intéresse.
 
 réaction
 
 évaluative
 
 (Fazio).
 
 La méthode
 
 s’appuie
 
 sur un mécanisme
 
 d’amorçage
 
 Ces énoncés
 
 sémantique
 
 doivent
 
 sont soumis
 
 estimer
 
 correspondent ou défavorable
 
 à des juges qui
 
 dans quelle
 
 mesure
 
 ils
 
 à une attitude favorable à l’objet. On obtient ainsi
 
 pour chaque énoncé la tendance et la dispersion
 
 centrale
 
 des estimations
 
 juges. Pour la construction
 
 par les
 
 de l’échelle, on
 
 sélectionne
 
 des items présentant
 
 une faible
 
 dispersion,
 
 et qui sont répartis
 
 de façon
 
 équidistante
 
 sur le continuum
 
 d’attitude,
 
 (angl.
 
 Semantic Priming).
 
 égaux ». À chaque item cor-
 
 Elle
 
 consiste à mesurer le temps de réaction sujet, dans une tâche de décision tique (ou parfois,
 
 de décision
 
 utilisant
 
 amorce
 
 comme
 
 du
 
 séman-
 
 lexicale),
 
 en
 
 subliminale
 
 nom ou une image évoquant
 
 l’objet
 
 un d’atti-
 
 tude. Par exemple, pour mesurer l’attitude envers les Noirs,
 
 les amorces peuvent
 
 des visages de Noirs
 
 être
 
 et de Blancs, la tâche
 
 du sujet consistant
 
 des intervalles
 
 à décider
 
 tifs-traits
 
 ont une signification
 
 négative.
 
 Supposons
 
 si des adjecpositive
 
 qu’un
 
 ou
 
 sujet ait une
 
 respond une note, ou valeur d’échelle. Pour
 
 attitude
 
 négative
 
 mesurer
 
 traduira
 
 par le fait que la réponse à un trait
 
 moyenne
 
 l’attitude
 
 d’un
 
 sujet, on prend
 
 la
 
 des notes des items avec lesquels
 
 négatif tation
 
 exige une décentration
 
 trait positif.
 
 de leur opinion
 
 per-
 
 envers les Noirs
 
 sera plus rapide
 
 il est d’accord. Le principal inconvénient de cette méthode est que la tâche des juges
 
 après la présen-
 
 d’un visage de Noir
 
 qu’après
 
 d’un visage de Blanc, et l’inverse La taille
 
 ; cela se
 
 de l’effet
 
 celle
 
 pour un
 
 statistique
 
 sonnelle.
 
 d’interaction
 
 La méthode de Likert utilise, comme la pré-
 
 physique » et le facteur « trait » constitue
 
 cédente, un vaste ensemble initial
 
 mesure de l’attitude.
 
 cés d’opinion.
 
 d’énon-
 
 Elle s’en distingue
 
 pas appel à des juges : la construction sont simultanées.
 
 de
 
 des sujets
 
 Pour chaque énoncé, les leur degré d’accord
 
 entre le facteur
 
 « apparence
 
 ou de
 
 ATTITUDEET Longtemps
 
 les chercheurs
 
 sés aux attitudes expliquer
 
 COMPORTEMENT
 
 se sont intéres-
 
 dans l’espoir
 
 le comportement.
 
 revue de questions
 
 de mieux
 
 Une célèbre
 
 (Wicker,
 
 1969) a mon-
 
 désaccord. On fait pour chaque sujet la somme des notes obtenues à tous les items.
 
 tré malheureusement
 
 Puis on calcule
 
 en général ténue. Cette constatation
 
 pour chaque
 
 item la cor-
 
 tude-comportement,
 
 que la relation
 
 entre la note à cet item et la note
 
 gea les spécialistes à mieux définir
 
 globale.
 
 Les items
 
 nature peut être la relation
 
 sont ceux pour
 
 définitive
 
 lesquels cette corrélation
 
 portement.
 
 bale de l’attitude
 
 La méthode
 
 qu’elle repose sur l’agrégation
 
 consiste à établir
 
 une mise en ordre hiérarchique cés, ce qui garantit
 
 des énon-
 
 l’unidimensionnalité
 
 est d’autant
 
 à un plus grand nombre la « tendance
 
 générale
 
 obli-
 
 de quelle
 
 attitude-com-
 
 De même qu’une
 
 est élevée, ce qui assure son homogénéité. de Guttman
 
 atti-
 
 quand elle existe, est
 
 rélation
 
 de l’échelle
 
 la
 
 par le
 
 fait que la mise au point de l’échelle ne fait
 
 sujets indiquent aller
 
 est d’accord
 
 mesu-
 
 ÉCHELLE
 
 spontanément
 
 il semblait
 
 inférieur.
 
 de l’échelle part généralement
 
 ou pas pour le sujet, ni si
 
 tout en ayant une attitude favorable envers le tabac, parce que ce savoir ne lui est pas accessible.
 
 d’ordre
 
 si quelqu’un
 
 items qui perturbent
 
 l’échelle et la mesure de l’attitude
 
 Jusqu’à une date récente,
 
 96
 
 Ces mesures ne portent
 
 apparaissant
 
 A =
 
 verbales
 
 d’où le nom de « méthode
 
 n
 
 où
 
 Les échelles
 
 favorable ou défavorable) et l’extrémisme (degré de faveur ou de défaveur). Elles ne
 
 à définir
 
 Par exemple,
 
 la structure
 
 et que celles-ci
 
 s’avèrent liées entre elles et néanmoins
 
 avec tous les énoncés
 
 selon ces deux notes doit faire apparaître
 
 effet qu’on ait des mesures indépendantes de chaque
 
 avec un certain énoncé soit aussi d’accord
 
 pondant
 
 DES ATTITUDES
 
 ment, mais on peut l’inférer
 
 trer la validité
 
 que tout sujet d’accord
 
 d’eux. Chaque sujet reçoit une note corres-
 
 tible d’être
 
 Démon-
 
 La
 
 [ÉCHELLE].)
 
 aux sujets s’ils sont d’accord
 
 latente : on ne peut pas la mesurer directe-
 
 ou infirmé.
 
 implique
 
 construction
 
 cadre de pensée utile qu’un modèle suscepconfirmé
 
 HIÉRARCHIQUE
 
 noire habite le même immeuble
 
 ait inspiré un
 
 hiérarchie
 
 (
 
 aussi être d’accord
 
 sujet peut accéder directement.
 
 davantage
 
 de l’échelle.
 
 pour que sa fille épouse un Noir,
 
 Seules les attitudes
 
 sollicitées
 
 une représentation
 
 il n’a pas été direc-
 
 Il constitue
 
 momentanée
 
 échantillonnage
 
 que le sujet perçoit entre
 
 et ses valeurs personnelles.
 
 posante
 
 les
 
 d’idées que cet objet pro-
 
 voque, le rapport l’objet
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 mesure verplus valide de réponses
 
 d’items,
 
 de même
 
 à l’action
 
 » corré-
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 lative
 
 de l’attitude
 
 de façon
 
 fiable
 
 plusieurs
 
 ne peut être mesurée
 
 que par l’observation
 
 comportements.
 
 la corrélation d’autant
 
 comme
 
 de
 
 D’autre
 
 part,
 
 attitude-comportement
 
 a
 
 au même niveau
 
 de spécificité
 
 (Fishbein
 
 Par exemple,
 
 si on cherche
 
 comportement meilleure électeurs
 
 et Ajzen,
 
 un
 
 IX, Harcourt
 
 à cette élec-
 
 Jovanovich.
 
 en général. que les attila plus
 
 de rendre
 
 compte
 
 et Ajzen (1975). D’après
 
 de deux facteurs subjectives.
 
 : l’attitude
 
 Ces normes
 
 dépendent
 
 de la
 
 perçue que certaines personnes, ou importantes
 
 aux yeux du sujet, jugent le comportement de façon favorable a enrichi
 
 ou défavorable.
 
 of Planned
 
 qui
 
 que
 
 posséder sur son
 
 comportement. d’Ajzen
 
 et Fishbein
 
 lieu à de nombreuses
 
 dans l’ensemble,
 
 comportement.
 
 leurs modèles.
 
 pas la question
 
 des relations
 
 de la
 
 entre attitude
 
 et
 
 Le poids de l’attitude
 
 dans
 
 du comportement
 
 peut
 
 la détermination être variable,
 
 études, qui,
 
 confirment
 
 Mais elles n’épuisent
 
 ont
 
 selon que l’attitude
 
 non mentalement
 
 accessible
 
 est ou
 
 au moment
 
 de l’acte. C. R. Snyder et W. B. Swann ont ainsi montré
 
 que si on amène les sujets à
 
 se remémorer
 
 leur attitude
 
 juste avant de
 
 poser un acte, on augmente
 
 considérable-
 
 entre les deux. Toutefois,
 
 d’autres
 
 montrent
 
 travaux
 
 meilleur
 
 attitudes
 
 moyen
 
 n’est pas toujours
 
 d’augmenter
 
 montre
 
 de Wilson
 
 à le
 
 leur cohéUne expé-
 
 et de ses collaborateurs
 
 que c’est le contraire
 
 réfléchir
 
 aux raisons
 
 amener
 
 un sujet
 
 cognitifs
 
 qui sont peu accessibles en temps
 
 normal,
 
 et qui, par conséquent,
 
 une modification
 
 de son attitude
 
 à activer
 
 peu sur son attitude
 
 quand
 
 avec l’attitude
 
 influent de l’atti-
 
 est sans effet
 
 Ce phénomène
 
 les cognitions comportent
 
 se
 
 en rapport des éléments
 
 conflictuels. Les conceptions rompent ce qu’elles
 
 favorables
 
 récentes
 
 avec une longue ne considèrent
 
 de l’attitude tradition, pas l’attitude
 
 sociale,
 
 constituée
 
 l’attitude
 
 est
 
 ou je n’aime
 
 pas
 
 (je dispose d’informations
 
 ou défavorables X).
 
 plus
 
 ou défavorable
 
 ; dit
 
 d’ordre
 
 académique.
 
 de R. Zajonc
 
 (je suis prêt à secourir/
 
 objet neutre
 
 positive
 
 évidemment
 
 l’exposition
 
 physique
 
 de l’attitude
 
 une attitude
 
 positive
 
 devient
 
 plus positive
 
 et une attitude
 
 La distinction ment
 
 entre formation
 
 s’est montrée
 
 propre
 
 à réconcilier
 
 opposées concernant
 
 tion comportement/attitude, théorie de la dissonance*
 
 cognitive
 
 d’attitude,
 
 par des réponses verbales à
 
 choix forcé. Par exemple, on demande aux participants
 
 d’indiquer
 
 dans quelle mesure
 
 ils sont pour ou contre mesure
 
 chacun
 
 des adjectifs
 
 (bon, mauvais, d’une
 
 X, ou dans quelle
 
 magnifique,
 
 liste donnée
 
 décrit
 
 d’évaluation horrible,
 
 etc.)
 
 X. Il en résulte
 
 que, dans certains cas, un changement
 
 d’at-
 
 titude apparent se révèle un changement cadre de référence impliqué subjective
 
 de
 
 par les catégo-
 
 sans que la dispo-
 
 envers l’objet
 
 d’attitude
 
 en soit affectée (J. R. Eiser et W. Stroebe). Même
 
 si un changement
 
 s’est produit,
 
 observée
 
 dans certains cas, que le changement au penchant
 
 à émettre
 
 verbale spécifique, tude comme une illusion changement vorable,
 
 une disposition (Nuttin).
 
 reste
 
 une réponse
 
 le changement
 
 de l’atti-
 
 globale étant
 
 Mais
 
 même
 
 si le
 
 ne concerne que la disposition une opinion
 
 l’impact
 
 favorable
 
 le lien causal portement
 
 ou défa-
 
 social peut être considé-
 
 l’attitude
 
 consenti à en manger) l’attitude consenti
 
 les uns
 
 soit enraciné
 
 locuteur
 
 ou non, il ne manquerait
 
 fluencer
 
 éventuellement
 
 de l’interpas d’in-
 
 je les aime).
 
 est cause de
 
 plutôt que comment
 
 Selon la théorie
 
 ception,
 
 le sujet déduit
 
 propres
 
 comportements
 
 (j’ai
 
 de l’autoper-
 
 ses attitudes
 
 de ses
 
 dont il s’aperçoit
 
 (je constate que je mange ces escargots de mon plein gré, donc il faut que je les aime). Cette théorie explique nouvelles
 
 attitudes
 
 bien la formation
 
 de
 
 (s’il n’y avait ni préfé-
 
 gots), mais elle ne réussit
 
 pas à expliquer
 
 le changement
 
 d’attitude
 
 qui se produit
 
 quand un sujet est induit
 
 par des circons-
 
 tances pas très nettes à commettre qui contredit (j’ai horreur
 
 manifestement
 
 des autres (influence sociale)
 
 et de l’interlocuteur
 
 lui-même
 
 les
 
 autres le confrontent
 
 avec ses énoncés irré-
 
 son attitude
 
 mange). Dans ce cas, l’attitude compatibles
 
 constituent
 
 sonantes.
 
 DISSONANCE
 
 (
 
 ce qu’il
 
 l’acte inexorablement je n’ai pas tellement nantes qui justifient l’hôte,
 
 j’en
 
 et l’acte in-
 
 des cognitions disCOGNITIVE
 
 Le sujet est motivé
 
 [THÉO-
 
 à réduire
 
 peut effectuer
 
 changeant son attitude
 
 pas offenser
 
 un acte
 
 des escargots, néanmoins
 
 soit en recourant
 
 le comportement quand
 
 en expliquant
 
 à manger des escargots parce que
 
 dissonance,
 
 dans les attitudes
 
 et le com-
 
 est cause du comportement
 
 verbale
 
 profondément
 
 l’attitude
 
 ont traité
 
 (j’aime les escargots parce que j’ai
 
 RIE DE LA].)
 
 les autres. Qu’un changement
 
 entre
 
 le comportement
 
 rable. En effet, c’est par la communication que les gens s’influencent
 
 de l’autoperception
 
 en sens inverse,
 
 comment
 
 (L. Fes-
 
 rence ni aversion préalable envers les escar-
 
 dispositionnel
 
 il reste la possibilité,
 
 et la théorie
 
 la rela-
 
 telles que la
 
 le changement est déterminée
 
 de-
 
 et change-
 
 (J. D. Bem). Les deux théories
 
 qui est en jeu et elle
 
 :
 
 vient de plus en plus négative.
 
 concernant
 
 affective
 
 initiale
 
 négative
 
 des recherches
 
 composante
 
 pro-
 
 de plus en
 
 dans la plupart
 
 la
 
 de
 
 mentale
 
 sur l’objet,
 
 tinger)
 
 c’est surtout
 
 Si l’objet
 
 de même que l’exposition
 
 duit une polarisation
 
 ne
 
 d’attitudes
 
 positives.
 
 par la réflexion
 
 pro-
 
 de l’objet
 
 Cependant,
 
 (
 
 Ainsi,
 
 que la simple
 
 qu’à la formation
 
 des théories
 
 au sujet d’X) et
 
 L’inté-
 
 n’est pas toujours
 
 2. ATTITUDE.)
 
 et les attitudes en
 
 généenvers
 
 par des compo-
 
 (j’aime
 
 comportementales
 
 à émettre
 
 ; il s’ensuit
 
 momentanée
 
 sur les comportements.
 
 peut
 
 des contenus
 
 habituelle
 
 tude, mais cette modification produit
 
 Modification de la disposition rale favorable ou défavorable un objet d’attitude X.
 
 limité
 
 : le fait de
 
 l’objet,
 
 ou
 
 devient
 
 dans le cas inverse).
 
 n’est pas neutre,
 
 D’)
 
 (une
 
 (dit polarisation
 
 répétée d’un
 
 effectuée
 
 sition
 
 que réfléchir
 
 rence avec le comportement. rience
 
 ATTITUDE (CHANGEMENT (angl. Attitude Change)
 
 existantes.
 
 défavorable
 
 modérée
 
 favorable
 
 exposition
 
 Addison-
 
 nouvelles
 
 ries verbales imposées
 
 ment la relation
 
 devient
 
 quand une attitude
 
 s’applique
 
 X), cognitives
 
 tient
 
 favorable
 
 l’observation
 
 to
 
 et le change-
 
 peut être qualitatif
 
 duit une valorisation
 
 combattre
 
 Les conceptions
 
 : An Introduction
 
 Theory and Resarch, Reading, MA,
 
 santes affectives
 
 en outre du degré de contrôle
 
 le sujet possède ou croit
 
 and Behavior
 
 planifié
 
 Behavior),
 
 inconnu) dit d’attitudes
 
 Le changement
 
 uniquement
 
 M., et Ajzen, I., 1975, Belief, Attitude,
 
 conçue comme
 
 (angl.
 
 jusqu’alors
 
 rêt de ces spécifications
 
 Press.
 
 d’attitudes
 
 (par exemple envers un nouveau
 
 dépolarisation
 
 Social Psychology (vol.
 
 En psychologie
 
 Ajzen
 
 produit
 
 entre la formation
 
 extrêmement
 
 », in Zanna, M. P.,
 
 New York, Academic
 
 en formulant
 
 ce modèle
 
 la théorie du comportement
 
 Framework
 
 as
 
 par
 
 et les normes
 
 dans la situation
 
 : the Mode Model
 
 in Experimental
 
 Fischbein,
 
 Processes by which
 
 Wesley.
 
 dépend
 
 On distingue
 
 attitude
 
 Brace
 
 cette
 
 est déterminé
 
 d’agir du sujet. Celle-ci
 
 Advances
 
 Intention,
 
 of Reasoned Action)
 
 théorie, le comportement
 
 Guide Behavior
 
 23, p. 75-110),
 
 La théorie
 
 d’attitude
 
 vice versa) ou quantitatif
 
 an Integrative
 
 est la théorie de l’action raiTheory
 
 Fort Worth,
 
 Fazio, R. H., 1990, « Multiple Attitudes
 
 et changement
 
 ment proprement
 
 Bibliographie of Attitudes,
 
 de Fishbein
 
 ses propres
 
 de la H.
 
 des
 
 envers
 
 Formation
 
 nouvelles
 
 d’en rendre compte.
 
 les attitudes
 
 sonnée (angl.
 
 versatilité
 
 permette
 
 si on mesure
 
 de ce problème
 
 donné
 
 mensionnel
 
 qu’un modèle di-
 
 S., 1993, The Psychologie
 
 qui ait tenté
 
 compte
 
 ni de postuler
 
 ainsi à se conformer
 
 qu’il est
 
 Eagly, A. H., et Chaiken,
 
 des comportements.
 
 Theory
 
 a priori
 
 A.-M.
 
 tudes ne sont pas les seuls déterminants
 
 (1988)
 
 homogène,
 
 d’affirmer
 
 dont
 
 sera
 
 De plus, il ne faut pas oublier
 
 influentes
 
 rien ne permet
 
 fléchis, le contraignant à ses propres dires.
 
 la prédiction
 
 les partis politiques
 
 probabilité
 
 évaluative
 
 électoral,
 
 tion que si on mesure leur attitude
 
 l’intention
 
 L’attitude
 
 1975).
 
 à prédire
 
 envers les candidats
 
 élaborée
 
 unidimensionnelle.
 
 stable, ni comme
 
 émane d’un réseau de connaissances
 
 plus de chances d’être élevée que
 
 l’une et l’autre se trouvent
 
 nécessairement
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 soit en
 
 dans la direction accompli
 
 horreur
 
 de
 
 (après tout,
 
 des escargots),
 
 à des cognitions l’acte
 
 la
 
 conso-
 
 (je ne voulais
 
 la consommation
 
 escargots faisait partie d’une mission
 
 des bien 97
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 rémunérée,
 
 etc.). Dans ce dernier
 
 changement
 
 d’attitude
 
 ne s’opère pas.
 
 Un processus contribuant à la formation tionnement stimulus d’un
 
 d’attitudes
 
 contigu
 
 inconditionnel).
 
 tude négative personne désagréable personne
 
 Ainsi,
 
 peut se former
 
 rencontrée
 
 la valeur
 
 déjà valorisé
 
 (le
 
 soulagement. forment
 
 En outre,
 
 des attitudes
 
 par conditionnement
 
 tal, par exemple favorables
 
 quand
 
 se
 
 tivement
 
 récompensées
 
 par l’approbation
 
 Le conditionnement formes
 
 d’apprentissage
 
 cognitif
 
 dont il n’est pas toujours
 
 fance, l’individu
 
 s’approprie
 
 connaissances,
 
 normes,
 
 aussi les attitudes, social.
 
 (
 
 attitudes
 
 s’intègrent
 
 de l’individu
 
 tenance
 
 et donc Ainsi, les
 
 famille,
 
 etc.). Donc, l’individu
 
 adopte les attitudes
 
 tudes revendiquées
 
 du message, un
 
 de la communication. les retrouve
 
 (fumer).
 
 des réactions
 
 par exemple
 
 nombre
 
 augmenter
 
 est attentif
 
 persuasive
 
 résistera des années 1940, un programme l’effet de la com-
 
 persuasive sur le changement
 
 d’attitude. ristes
 
 par
 
 Inspirés
 
 des théories
 
 de l’apprentissage,
 
 définissaient
 
 le changement
 
 comme
 
 une réponse
 
 facteurs
 
 appartenant
 
 d’un
 
 des facteurs
 
 que la compétence est modéré l’attitude teur,
 
 l’impact
 
 teur crédible pendant augmente
 
 que celui
 
 à la crédibilité L’effet
 
 en
 
 L’un est la
 
 pour
 
 de
 
 sur le rôle du
 
 ont révélé qu’en
 
 l’intelligence,
 
 l’image
 
 produire
 
 des effets
 
 exemple,
 
 plus
 
 arguments
 
 de l’émetteur :
 
 moins
 
 fluençables
 
 suspect se-
 
 comme si le contenu graduellement nommé
 
 des arguments
 
 défaut, le récepteur
 
 l’éducation,
 
 de soi, qui semblent contradictoires.
 
 effet
 
 (angl. Sleeper Effect), ne
 
 ristiques prendre
 
 Par
 
 est expert,
 
 de l’émetteur,
 
 les mais
 
 que les sujets les plus in-
 
 seraient
 
 moyennes,
 
 prend la voie périphé-
 
 rique ; cela veut dire qu’il se laisse influencer par des facteurs qui ne sont pas liés à la qualité
 
 des arguments
 
 ments
 
 indépendamment
 
 l’attrait
 
 ou l’autorité
 
 recherches,
 
 Greenwald,
 
 de l’émetteur,
 
 seraient
 
 etc.
 
 effectués
 
 par
 
 plus durables
 
 et
 
 mieux à la contre-propagande
 
 que ceux effectués par la voie périphérique. La résistance à la persuasion En général,
 
 la résistance
 
 à la persuasion
 
 est d’autant
 
 plus grande que l’attitude dans la personnalité
 
 et sociale
 
 et qu’elle
 
 est
 
 de l’indiper-
 
 est partagée
 
 par des proches (amis, parents, etc.) et des groupes de référence. En outre, selon la théorie
 
 la résistance
 
 est renforcée
 
 ments).
 
 du récepteur
 
 si on l’a exposé à des argu-
 
 ments persuasifs récepteur
 
 de l’inoculation
 
 inefficaces
 
 était vacciné Enfin,
 
 (comme
 
 par lesdits
 
 selon la théorie
 
 tance (J. Brehm),
 
 si le argu-
 
 de la réac-
 
 toute tentative
 
 persuasive
 
 échoue quand elle est ressentie par le récepteur comme La réaction
 
 une menace pour émotionnelle
 
 même aboutir
 
 sa liberté.
 
 qui s’ensuit peut
 
 à un changement voulu
 
 d’attitude (effet
 
 boo-
 
 merang). G. P. 2. ATTITUDE,
 
 INFLUENCE
 
 SOCIALE,
 
 MANIPULATION
 
 logy of Attitudes,
 
 S., 1993, The Psycho-
 
 Orlando,
 
 FL, Harcourt
 
 Brace
 
 Jovanovich.
 
 ATTITUDE PROPOSITIONNELLE (angl. Propositional Attitude)
 
 Proposition qui dépend d’un verbe comme « croire que », « désirer que », « craindre que », etc. Les attitudes été introduites
 
 propositionnelles en tant que notion
 
 Russell, et ensuite afin de distinguer,
 
 ont par B.
 
 étudiées par W. Quine, du point
 
 logique, les propositions
 
 de vue de la
 
 ordinaires,
 
 enten-
 
 dues comme celles qui font l’objet d’asser-
 
 suffisantes
 
 tions,
 
 initiées
 
 ont concerné
 
 pour com-
 
 des propositions
 
 comme complément par A. G.
 
 le rôle intermé-
 
 diaire des réponses cognitives du récepteur
 
 d’argu-
 
 de leur qualité,
 
 d’attitude
 
 la voie centrale résisteraient
 
 : le nombre
 
 les sujets aux caracté-
 
 mais pas pour résister.
 
 D’autres
 
 lui font
 
 dans
 
 il est disposé à y céder. Il s’ensuit,
 
 au cours du temps,
 
 de sa source. Ce phénomène,
 
 comme
 
 un récepteur
 
 persuasifs
 
 selon McGuire,
 
 quelques
 
 la qualité
 
 pour
 
 il y a les caractéris-
 
 plus il est capable de bien comprendre
 
 le récepdu temps
 
 du récepteur,
 
 des arguments.
 
 Bibliographie
 
 opposés.
 
 écrit ou audiovisuel.
 
 émis par un émet-
 
 du message était dissocié
 
 98
 
 mais com-
 
 d’un médium
 
 tiques
 
 tels
 
 : plus l’objet
 
 de sorte qu’après
 
 d’assoupissement
 
 préco-
 
 de face-à-face que dans le cas
 
 Enfin,
 
 Cela veut
 
 des
 
 une situation
 
 4. Le récepteur.
 
 le rôle évident
 
 de l’émetteur
 
 maines ils s’égalisent,
 
 en faveur de la position argumentation)
 
 argu-
 
 l’émetteur,
 
 est l’effet
 
 diminue
 
 arguments
 
 général le message est plus persuasif
 
 la crédibilité
 
 du message
 
 qui n’avance pas seulement
 
 sources
 
 et l’attrait.
 
 L’autre
 
 mentation
 
 aux quatre
 
 est significatif
 
 a de poids.
 
 une double
 
 par des
 
 personnelle
 
 moins
 
 si l’on utilise
 
 évaluer
 
 alors il
 
 ou la compétence
 
 opposé au changement
 
 à une contre-propagande
 
 ultérieure
 
 Si la motivation
 
 Eagly, A. H., et Chaiken,
 
 d’attitude
 
 par deux facteurs.
 
 signification
 
 mieux
 
 Le récepteur
 
 déterminée
 
 nuançaient associés
 
 et compétent.
 
 canal de communication
 
 Concernant
 
 les recherches
 
 message,
 
 et si le récepteur
 
 3. Le canal. Des recherches
 
 suivantes. 1. L’émetteur.
 
 formu-
 
 des arguments
 
 l’impact
 
 mente aussi des arguments
 
 les chercheurs
 
 le
 
 cet impact si les arguments
 
 nisée (simple
 
 béhavio-
 
 aux
 
 dans le mes-
 
 et la nature des arguments
 
 dire qu’il évalue la validité
 
 (W. McGuire),
 
 de façon convaincante
 
 sont de qualité inférieure
 
 munication
 
 alarmé
 
 ont concerné
 
 compétent,
 
 s’engage dans la voie centrale.
 
 sonnelle
 
 à la peur est efficace
 
 recherches
 
 (le sujet le concerne)
 
 vidu, qu’elle fait partie de son identité
 
 envisagés.
 
 formulées
 
 est motivé
 
 enracinée
 
 déclencher
 
 n’est pas seulement
 
 mais il diminue
 
 envisageant
 
 indiquent
 
 changements
 
 lés dans le message. Ajouter
 
 pas.
 
 C. Hovland,
 
 né-
 
 qui n’aboutissent aux
 
 l’appel
 
 sage. D’autres
 
 des atti-
 
 lancé
 
 où les récep-
 
 Les recherches
 
 recommandations
 
 alors qu’il
 
 était
 
 dans les
 
 et de comportement
 
 ne s’identifie
 
 ambitieux
 
 on a
 
 des conséquences
 
 diverses,
 
 peut
 
 de recherches
 
 Ainsi,
 
 que le danger sera évité s’il se conforme
 
 profession,
 
 être traité selon deux voies possibles. Si le
 
 Les changements
 
 émotion-
 
 les effets des appels à la peur tels
 
 de groupes ou catégories sociales auxquels il
 
 À partir
 
 causale,
 
 est la tonalité
 
 mais aussi informé
 
 par des représentants
 
 Le rôle de la communication
 
 par le
 
 la cause aux inté-
 
 À propos
 
 si le récepteur
 
 à des groupes ou à des catégories
 
 à s’approprier
 
 en attribue
 
 Néanmoins,
 
 de soi en termes d’appar-
 
 n’est pas disposé
 
 nelle
 
 d’attitude
 
 est appuyée par
 
 associées à cette appartenance
 
 de l’attribution
 
 pas nécessairement
 
 sociales (sexe, ethnie,
 
 CAU-
 
 quand,
 
 que de tels messages peuvent
 
 et font partie de son identité.
 
 la catégorisation
 
 convaincant
 
 important
 
 malsain
 
 dans la personnalité
 
 Il est admis que l’identité
 
 ATTRIBUTION
 
 fastes (cancer) de tel ou tel comportement
 
 son milieu
 
 SOCIAL.)
 
 (
 
 un message persuasif
 
 teurs sont informés
 
 les habitudes,
 
 valeurs,
 
 a été analysée en termes
 
 causale
 
 moins
 
 par le
 
 la force persua-
 
 campagnes de santé publique,
 
 dès son en-
 
 qui marquent
 
 APPRENTISSAGE
 
 devient
 
 mais
 
 à l’émetteur
 
 C’est pourquoi
 
 par exemple,
 
 ;
 
 qu’on
 
 distin-
 
 toutes au processus
 
 par lequel,
 
 attribuée
 
 d’attribution
 
 examiné
 
 et social
 
 clairement
 
 gué, et qui contribuent de socialisation*
 
 avec des
 
 Un message peut
 
 et s’il est suffisamment
 
 facteur
 
 s’aligne
 
 R. Petty et J. Cacioppo.
 
 en tant que telle qui importe,
 
 2. Le message.
 
 sociale d’autres significatifs.
 
 de S. Chaiken et de
 
 dibilité
 
 rêts de l’émetteur.
 
 au sujet d’un objet sont sélec-
 
 Theories)
 
 récepteur
 
 le récepteur
 
 des énonciations
 
 soit res-
 
 Dual-Process
 
 est à noter que ce n’est pas la cré-
 
 jeu des processus
 
 instrumen-
 
 au récepteur
 
 que
 
 sont les théories du double processus (angl.
 
 tauré.Il
 
 SALE)
 
 d’un
 
 de rap-
 
 de la crédibilité
 
 sive de l’émetteur
 
 de la
 
 ne soit pas accompagnée
 
 que l’effet
 
 récepteur.
 
 envers une
 
 que l’apparition
 
 pour
 
 ont abouti aux synthèses remarquables
 
 après qu’il a
 
 de l’émetteur
 
 la crédibilité
 
 une atti-
 
 dans une situation
 
 pourvu
 
 est informé
 
 de l’émetteur
 
 peler l’identité
 
 classique : un objet neutre (le
 
 stimulus
 
 que si le récepteur
 
 reçu le message. De plus, il suffit
 
 est le condi-
 
 acquiert
 
 se produit
 
 de la crédibilité
 
 particulièrement
 
 conditionnel)
 
 stimulus
 
 cas, le
 
 et affectives
 
 au message persuasif.
 
 Elles
 
 qui apparaissent d’un certain
 
 de verbes tels que « croire
 
 que », « penser
 
 que », « désirer que », « craindre Des exemples est plus grand
 
 nombre
 
 des premières
 
 que », etc.
 
 sont : « Jean
 
 que Paul », « Paul est plus
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 grand que Pierre ». À partir d’elles, on peut
 
 de produire
 
 tirer
 
 sens. Pour F. Heider,
 
 des inférences
 
 logiquement
 
 valides :
 
 de la plus-value
 
 au niveau du
 
 qui fut à l’origine
 
 ici, « Jean est plus grand que Pierre ».
 
 ce courant
 
 Des exemples des secondes sont : « Marie
 
 cessus par lequel
 
 croit que Jean est plus grand que Paul » ou
 
 la réalité et peut la prédire
 
 « Marie
 
 C’est ce qui permet de concevoir
 
 croit
 
 que Paul est plus grand
 
 Pierre ». De telles propositions, tirer aucune inférence ni, naturellement,
 
 que
 
 nement
 
 on ne peut
 
 logiquement
 
 valide :
 
 qu’il est vrai que « Jean
 
 de cohérent.
 
 « l’homme
 
 est vrai que « Marie
 
 seulement
 
 de savoir
 
 comment
 
 Caractéristique d’un objet.
 
 ou
 
 1.
 
 propriété
 
 d’attribution
 
 permet
 
 de remonter
 
 et événements au centre
 
 donc
 
 serait en grande par-
 
 Dans l’étude domaine de variation
 
 des concepts caractéristique
 
 tribut
 
 c’est « couleur
 
 du champ
 
 psychologique
 
 diffé-
 
 les choses, c’est qu’il
 
 rait chez l’homme
 
 » qui désigne l’at-
 
 ; « rouge » ou « rougeur
 
 » désignent
 
 alors une valeur de cet attribut.
 
 De façon
 
 d’attribution compte
 
 existe-
 
 un besoin de maîtriser
 
 son environnement.
 
 cognitions
 
 C’est
 
 des processus
 
 causale permettant
 
 de la production,
 
 certaines
 
 en
 
 En fait, si l’on cherche
 
 ce besoin qui est à l’origine mieux
 
 que
 
 nous nous trouvons
 
 d’autrui.
 
 et de contrôler
 
 d’objets.
 
 Dans cette conceptualisation renciée,
 
 :
 
 de causalité
 
 entre les divers éléments
 
 duquel
 
 compagnie
 
 un attribut.
 
 2.
 
 d’un ensemble
 
 agir dans
 
 Ce processus
 
 à expliquer LOG.
 
 non
 
 pour le futur.
 
 nous établissons
 
 En ce sens du mot, « rouge » ou « rougeur » désignent
 
 expli-
 
 des prévisions
 
 tie régi par les relations LOG.
 
 n’est pas
 
 mais aussi d’établir
 
 notre comportement
 
 de rendre
 
 par inférence,
 
 à partir
 
 tion des comportements
 
 de
 
 de l’observa-
 
 et des événements.
 
 semblable, dans cet usage, c’est « poids » (et non « lourd respondent
 
 » ou « féminin
 
 ») qui cor-
 
 à l’attribut. J.-F. L. N.
 
 QUAND CHERCHE-T-ON
 
 rence ou non-stabilité
 
 Processus
 
 cognitif
 
 de l’environnement,
 
 incertitude
 
 ou un conflit
 
 explication
 
 rer des causes à partir ou des comportements
 
 d’infé-
 
 des événements observés.
 
 L’idée de base est que les gens, confrontés à des conduites,
 
 à des événements
 
 ou à
 
 des états psychologiques
 
 (pensées,
 
 senti-
 
 ments, etc.), cherchent
 
 à en connaître
 
 les
 
 causes. Et il y aurait deux façons majeures d’expliquer
 
 ces différents
 
 observables
 
 : ils
 
 seraient perçus comme résultant ou étant dus à des forces, à des déterminismes émanant soit des personnes capacités, l’effort, tions),
 
 en cause (tels les
 
 la motivation,
 
 soit de l’environnement
 
 la difficulté le premier
 
 (comme
 
 de la tâche à laquelle
 
 sonne est confrontée,
 
 une per-
 
 la chance, etc.). Dans
 
 cas, on parlera
 
 terne ou de facteurs
 
 les inten-
 
 de causalité in-
 
 dispositionnels
 
 ; dans
 
 qu’une
 
 re-
 
 Nous
 
 donc pas forcément
 
 une
 
 à toute chose, mais nous nous
 
 demanderions
 
 « pourquoi
 
 chose d’inattendu,
 
 d’étrange,
 
 lier. À l’inverse, des activités lorsqu’on
 
 » face à quelque
 
 lorsqu’on
 
 quotidiennes
 
 de non fami-
 
 est engagé dans et familières
 
 observe des activités
 
 on se baserait
 
 sur ce qu’on
 
 ou
 
 de ce type, appelle
 
 des
 
 « scripts ». Par script, il faut entendre
 
 une
 
 POURQUOICHERCHER
 
 cohérents
 
 attendus
 
 et qui l’impliquent
 
 soit
 
 comme
 
 vateur ferait
 
 par l’individu (
 
 acteur,
 
 l’économie
 
 impliquée
 
 soit
 
 qui sont
 
 Les individus directement
 
 iraient
 
 prendre
 
 au-delà des données
 
 observables
 
 tion pour expliquer
 
 dans une situa-
 
 celle-ci,
 
 et pour y adapter
 
 ment. Ils chercheraient aux événements, interactions.
 
 ?
 
 pour la comleur comporte-
 
 à donner
 
 un sens
 
 aux comportements,
 
 En quelque
 
 tion serait un processus
 
 aux
 
 sorte, l’attribuqui nous permet
 
 correspondantes
 
 de la covariation
 
 E.E. Jones et K.E. Davis s’intéressent perception
 
 d’autrui
 
 la perception
 
 trui. Le problème comment
 
 et, plus précisément,
 
 dispositions
 
 attribue
 
 personnelles
 
 à autrui
 
 stables
 
 salité interne)
 
 de cau-
 
 à partir de l’observation
 
 comportement.
 
 Pour
 
 qu’un
 
 sous-jacentes
 
 d’un acteur puis à ses dispositions
 
 perma-
 
 lieu que cet obser-
 
 vateur repère les effets de l’action par cet acteur.
 
 départ, que l’observateur teur était conscient
 
 d’un
 
 observateur
 
 puisse accéder aux intentions nentes, il faut en premier
 
 qui ont
 
 Il faut donc, au suppose que l’ac-
 
 des effets de son action
 
 possède bien les capacités
 
 saires pour accomplir qu’à partir
 
 des
 
 ou des
 
 traits de caractère (une attribution
 
 et qu’il
 
 à
 
 central est celui de savoir
 
 un individu
 
 été voulus
 
 à la
 
 des causes des actions d’au-
 
 néces-
 
 cette action. Ce n’est
 
 de ces deux conditions
 
 qu’un
 
 acte et ses effets peuvent apparaître
 
 comme
 
 étant intentionnels
 
 et non dus au hasard
 
 ou aux circonstances.
 
 De plus, l’acteur doit
 
 le choix entre plusieurs
 
 comme
 
 obserdonc, on
 
 de cette activité
 
 mentale
 
 dans la recherche
 
 d’une expli-
 
 cation dans la mesure où l’on a intégré des schémas stéréotypés d’attentes
 
 de comportements
 
 qui nous permettent
 
 et
 
 d’agir sans
 
 que nous ayons besoin de nous livrer à une
 
 la situation
 
 possibles
 
 peut être sûr que l’acte est de l’acteur
 
 et qu’il
 
 qui auraient contraint
 
 l’acteur à
 
 un rôle déterminé. Une fois ces conditions sus d’attribution suivante
 
 :
 
 remplies,
 
 se déroulerait
 
 l’observateur
 
 1o
 
 d’une action ;
 
 2o
 
 le procesde la façon
 
 repère les effets
 
 il compare
 
 effets de(s) l’action(s)
 
 ces effets aux
 
 possible(s)
 
 mais non
 
 effectuée(s) par l’acteur, afin de déterminer les effets communs
 
 et les effets spécifiques ;
 
 enfin, l’observateur
 
 attribue,
 
 c’est-à-dire
 
 qu’il établit, une correspondance
 
 entre l’ac-
 
 et une disposition
 
 basant sur les effets spécifiques choisie et de(s) l’action(s)
 
 de l’action
 
 développé
 
 par
 
 H.H. Kelley, est plus général. L’attribution est conceptualisée
 
 comme renvoyant
 
 à un
 
 processus
 
 qui permet
 
 propriétés
 
 stables des entités de l’environ-
 
 sous-tendant
 
 d’appréhender
 
 les
 
 leurs manifestations
 
 Cela vise aussi bien les attribu-
 
 tions que l’on peut faire sur autrui
 
 ?
 
 en se
 
 rejetée(s).
 
 Le modèle de la covariation,
 
 variables. DES ATTRIBUTIONS
 
 donnée,
 
 n’est pas dû, par exemple, aux exigences de
 
 nement
 
 activité réflexive.
 
 actions
 
 bien le fait de la volonté
 
 tion, une intention
 
 Très souvent
 
 SCRIPT).
 
 COMMENTFAIT-ON
 
 À EXPLIQUER
 
 des inférences
 
 au modèle
 
 3o
 
 séquence d’événements
 
 le second cas, on parle de causalité externe ou de facteurs situationnels.
 
 de façon logique les causes
 
 que l’observateur
 
 pèse
 
 des causes est effectuée.
 
 ne chercherions
 
 permettant
 
 ou intui-
 
 que si l’acteur a, dans une situation
 
 y a incohé-
 
 sur ce même environnement, cherche
 
 ?
 
 À EXPLIQUER
 
 Ce serait avant tout lorsqu’il lorsqu’une
 
 ATTRIBUTION CAUSALE (angl. Causal Attribution)
 
 spontané
 
 avoir une certaine liberté de choix ; ce n’est
 
 » ou « léger ») ou « sexe » (et
 
 non « masculin
 
 tif et recherche
 
 Du modèle
 
 la chaîne causale des effets aux causes et
 
 ATTRIBUT n.m. (angl. Attribute)
 
 comme un scientifique
 
 potentielle,
 
 ».
 
 l’environ-
 
 stables permet
 
 de façon
 
 d’un événement.
 
 et la maîtriser
 
 des facteurs
 
 plus ou moins
 
 au moins
 
 chose de stable et
 
 : repérer
 
 telle ou telle situation, J.-F. L. N.
 
 appréhende
 
 Mais cette démarche
 
 désintéressée
 
 est plus grand que Pierre », ni même qu’il grand que Pierre ».
 
 ce serait le pro-
 
 comme quelque
 
 catifs
 
 croit que Jean est plus
 
 de recherche,
 
 de
 
 tionne,
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 roattribution)
 
 à partir
 
 (hété-
 
 d’observations
 
 mul-
 
 À la suite des travaux de F. Heider, de nom-
 
 tiples que sur soi-même
 
 breux
 
 La logique du processus d’attribution
 
 serait
 
 la même que celle de la technique
 
 statis-
 
 préciser
 
 psychologues
 
 sociaux
 
 comment
 
 les attributions
 
 sont effectuées.
 
 C’est ce qu’on
 
 théories de l’attribution, antécédents
 
 ont tenté de appelle
 
 qui portent
 
 des attributions
 
 ressent aux processus
 
 causales les
 
 sur les
 
 et qui s’inté-
 
 permettant
 
 d’effec-
 
 tique
 
 de l’analyse
 
 de variance.
 
 tion des effets (qui peuvent rés comme examinée
 
 les variables en fonction
 
 tuer ces attributions.
 
 (qui
 
 On considère
 
 variables indépendantes)
 
 duire
 
 alors que, s’agissant de pro-
 
 des connaissances,
 
 l’homme
 
 fonc-
 
 (autoattribution).
 
 peuvent
 
 La varia-
 
 être considé-
 
 dépendantes) de quatre
 
 être considérés :
 
 1o
 
 est
 
 facteurs
 
 comme
 
 les
 
 les entités (les
 
 objets) que l’on cherche à appréhender
 
 ;
 
 2o
 
 99
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 les personnes en interaction (soi compris) relles et
 
 ;
 
 les modalités
 
 3o
 
 les modalités
 
 4o
 
 d’interactions de validité
 
 avec ces objets circonstancielles
 
 la spécificité
 
 sont alors : a)
 
 de l’effet lié à un objet ; b) le entre les personnes
 
 cet effet ; c) la consistance
 
 au sujet de
 
 de cet effet dans
 
 le temps et d) selon les modalités tion avec l’objet.
 
 Lorsque
 
 d’une
 
 satisfont
 
 personne
 
 cette personne
 
 les attributions
 
 elle est incertaine dans l’action qu’une validité
 
 ; quand ses
 
 pas à ces critères,
 
 dans ses vues et hésitante
 
 ». Mais
 
 cette validité
 
 « subjective
 
 feste notamment
 
 n’est
 
 », qui se mani-
 
 dans la confiance
 
 ont
 
 les théories
 
 maines, tions.
 
 qui est
 
 accordée aux attributions.
 
 une émotion
 
 Cependant,
 
 chaque situation
 
 pas nécessairement complète
 
 causal
 
 activation
 
 mettant cette
 
 Selon
 
 ou d’attributions d’expliquer
 
 d’autres
 
 pourquoi
 
 ne serait personne
 
 Le fait de croire
 
 une analyse
 
 et, de toute
 
 ne peut souvent
 
 façon, cette analyse
 
 pas être faite,
 
 temps ou d’information.
 
 faute
 
 Kelley
 
 de
 
 des émotions faire intervenir
 
 une conception
 
 générale
 
 nombre
 
 certains pour
 
 types
 
 qui
 
 la façon
 
 de causes
 
 produire
 
 adopterait
 
 que la personne dont
 
 interagissent
 
 des effets spécifiques.
 
 souvent
 
 constituent
 
 ces schèmes
 
 ont
 
 Lorsqu’une
 
 de
 
 états corporels On
 
 causaux
 
 des « raisonnements
 
 maîtriser,
 
 grand
 
 est confrontée
 
 qu’elle
 
 teur de cette situation.
 
 à des de
 
 de l’anxiété,
 
 qui
 
 augmenter
 
 Si l’on donne
 
 de ces états corporels,
 
 même
 
 préhension
 
 inadéquate,
 
 alors l’état du patient
 
 devrait
 
 de la normativité
 
 un individu rare,
 
 est confronté
 
 complexe,
 
 qui suppose produire
 
 d’elles
 
 des différentes
 
 n’étant
 
 suffisante
 
 en question.
 
 plus banales, chacune
 
 causes possibles pour
 
 sera per-
 
 çue comme
 
 suffisante
 
 effet donné
 
 (schème des multiples
 
 suffisantes).
 
 cause dans la production
 
 alors recours
 
 au principe
 
 qui consiste
 
 d’une est
 
 l’influence
 
 d’un agent extérieur
 
 placebo)
 
 sur des insomniaques
 
 faisait
 
 croire
 
 excitant
 
 qu’une
 
 qu’on
 
 contracter.
 
 aux règles formulées l’attribution, jours
 
 par
 
 logiques D’]).
 
 (
 
 mécanismes
 
 par les auteurs CAUSALE
 
 en compte des facteurs
 
 supposé propre
 
 de ces [BIAIS
 
 d’habitude
 
 QUOTIDIENNE.)
 
 quotidienne.
 
 (un simple
 
 dans cer-
 
 à s’endormir
 
 soit un
 
 : au
 
 si le sort de cette victime nous risquerions
 
 le même destin.
 
 de subir
 
 Si, par contre,
 
 échapper
 
 était
 
 la victime alors nous
 
 à ces aléas. Ce qui est
 
 à ce type
 
 d’interprétation
 
 la motivation
 
 à contrôler
 
 : si les gens ont besoin
 
 qu’ils
 
 ont un contrôle
 
 sur leur
 
 environnement, il faut qu’ils puissent éliminer le hasard des causes possibles de nier
 
 M.J.
 
 Lerner,
 
 l’intervention
 
 pour
 
 une
 
 du hasard
 
 les individus
 
 faire l’hypothèse monde
 
 Pour
 
 à croire
 
 ou à
 
 que nous vivons dans un
 
 juste (du moins
 
 tendanciellement
 
 le second
 
 gros, ce qu’ils
 
 cas, les
 
 : ils ne pouvaient à autre chose On en ar-
 
 des thérapies
 
 d’attribution
 
 à faire attribuer
 
 basées
 
 ou sur ce », qui
 
 par un patient
 
 de son degré d’activation
 
 ou de stress à une cause autre
 
 de
 
 méritent.
 
 rions
 
 pas de penser
 
 lequel
 
 nous vivons
 
 les bonnes
 
 que le monde
 
 trouve
 
 si quelqu’un raison
 
 france et sans qu’on
 
 ponsable
 
 soit
 
 dimi-
 
 de cette
 
 souffre
 
 sans qu’on
 
 valable
 
 à sa souf-
 
 puisse corriger
 
 cette
 
 plus tendance
 
 que cette personne
 
 est res-
 
 de son sort. J.-C. D.
 
 émotionnelle
 
 stressantes
 
 les
 
 sont distri-
 
 À partir
 
 on aurait d’autant
 
 à considérer
 
 et que
 
 choses,
 
 et les punitions
 
 aucune
 
 dans
 
 est incohérent
 
 buées de façon aléatoire. croyance,
 
 en
 
 Nous n’accepte-
 
 et les mauvaises
 
 récompenses
 
 injustice,
 
 que celle
 
 de cette activation,
 
 telle façon que la réaction aux stimulations
 
 nous arriver.
 
 juste), dans lequel les gens obtiennent,
 
 état d’anxiété.
 
 qui est à l’origine
 
 en se
 
 et non plus à leur
 
 leur agitation
 
 l’augmentation
 
 COGNITION
 
 SOCIALE,
 
 PSYCHOLOGIE
 
 QUO-
 
 TIDIENNE
 
 nuée. Des
 
 que cela ne pourrait
 
 de croire
 
 à qui on
 
 appelle des « mésattributions
 
 conséquences
 
 nous
 
 dans les
 
 Cela amènerait,
 
 l’environnement
 
 encore plus de temps que
 
 rive donc à élaborer
 
 consistent
 
 disant
 
 est toujours
 
 portant
 
 leur agitation
 
 Dans
 
 qu’à leur propre
 
 toujours sociaux
 
 une fonc-
 
 être une bonne façon de se rassurer
 
 sous-jacent
 
 plus tôt que d’habitude
 
 sujets mettaient
 
 résultent
 
 plus
 
 peut aussi avoir
 
 consiste
 
 médicament
 
 de maîtriser
 
 leur environnement.
 
 cas, les sujets
 
 anxiété.
 
 ultérieurement
 
 de l’explication
 
 PSYCHOLOGIE
 
 biais ou
 
 aux raisonnements
 
 ATTRIBUTION
 
 prise
 
 importante (
 
 rapport
 
 C’est ce qui amènera
 
 à une
 
 les inférences
 
 de nombreux
 
 imaginés
 
 modèles
 
 de
 
 par les gens dans la vie de tous
 
 manifestent
 
 écarts
 
 dans les théories
 
 mais encore
 
 produites
 
 par rapport
 
 ils ont l’impression
 
 Dans le premier
 
 qu’on
 
 de façon simplifiée
 
 quand
 
 leur état de santé s’améliorer
 
 façon
 
 Non seulement effectuées
 
 de retraite
 
 censé les dé-
 
 sur des erreurs
 
 seraient
 
 de maisons
 
 soit un calmant
 
 seule des causes possibles est suffisante. les attributions
 
 de pensionnaires
 
 des événements.
 
 attribuer
 
 psycholoC’est le cas
 
 chez eux un
 
 état d’éveil,
 
 et
 
 et mentale.
 
 pouvons
 
 Storms
 
 leur donnait
 
 qui déterminerait
 
 plus attribuer de
 
 dans une étude
 
 sur l’effet
 
 ils pouvaient
 
 On aurait
 
 causes pour considérer
 
 et R.E. Nisbett
 
 de confort
 
 est perçue comme responsable,
 
 à une problématique
 
 que se sont attaqués M.D.
 
 causes
 
 d’élimination,
 
 à minimiser
 
 proche
 
 C’est
 
 s’endormaient
 
 de l’effet
 
 causes possibles.
 
 s’améliorer.
 
 un
 
 plus faible que s’il n’y avait
 
 pas d’autres
 
 certaines
 
 produire
 
 Dans ce cas, le rôle
 
 perçu comme
 
 le
 
 de plusieurs
 
 l’événement
 
 Dans des situations
 
 plutôt
 
 causes nécessaires,
 
 l’intervention
 
 causes, aucune
 
 Si
 
 à un événement
 
 il appliquera
 
 schème des multiples
 
 pour
 
 scientifique.
 
 aux événements
 
 la santé physique
 
 dû à la fatalité,
 
 une
 
 explication
 
 éloignés
 
 de contrôle
 
 gique qui peut même aller jusqu’à affecter
 
 En effet,
 
 le côté perturba-
 
 courts », le plus souvent adaptés à la comde ce qui se passe mais assez
 
 on
 
 tains cas, à considérer qu’une victime est responsable de ce qui lui arrive. Ce peut
 
 est incapable
 
 cela provoque
 
 va elle-même
 
 un
 
 thérapeutiques.
 
 personne
 
 À l’inverse,
 
 physiolo-
 
 connu
 
 d’applications
 
 dans un état de dé-
 
 un facteur
 
 L’attribution
 
 théories
 
 émotionnel,
 
 ce sentiment
 
 tion défensive. Ces
 
 ; au
 
 étant incapable
 
 ou de désespoir.
 
 qui voient
 
 et suffisantes
 
 gique antérieure.
 
 introduit
 
 de schéma causal, qui est concernant
 
 les attributions
 
 une activation
 
 la situation
 
 ; au niveau
 
 tombant
 
 constitue
 
 C’est la
 
 sans que l’on ait besoin
 
 aucune
 
 entre ce qu’il fait et
 
 les aide à s’adapter
 
 pour
 
 pour qui les cogni-
 
 sont des causes nécessaires
 
 : au niveau
 
 n’ayant
 
 l’individu
 
 environnement,
 
 être activé
 
 attributionnelle
 
 et, en particulier,
 
 alors la notion a développée
 
 100
 
 causale
 
 de B. Weiner,
 
 des
 
 a constaté que, lorsque les gens exercent (ou pensent exercer) un contrôle sur leur
 
 ait une émotion.
 
 une émotion.
 
 aurait
 
 niveaux
 
 une relation
 
 pression
 
 activation
 
 pas nécessaire
 
 une activité
 
 niveau cognitif, d’établir
 
 ou d’événements
 
 à contrôler
 
 l’individu
 
 Pour
 
 serait suffisant
 
 d’une expérience,
 
 l’individu
 
 ce qui lui arrive
 
 on ressent
 
 ou d’imaginer
 
 physiologiquement
 
 tions
 
 causales per-
 
 une véritable
 
 physiologique qu’une
 
 et de
 
 Il s’agit des
 
 de la non-maîtrise
 
 à trois
 
 motivationnel, motivation
 
 acquise
 
 Ce phénomène
 
 répercussions
 
 exemple,
 
 physiologique.
 
 auteurs,
 
 incontrôlables.
 
 à la fois d’une etc.)
 
 négatives
 
 de son environnement
 
 S. Schachter, (par
 
 conséquences
 
 vécue par l’individu,
 
 des émo-
 
 tachycardie,
 
 activation
 
 pour
 
 à l’étude
 
 physiologique
 
 position
 
 ne demande
 
 do-
 
 serait fonction
 
 déclencher
 
 de schéma
 
 à de nombreux
 
 ÉMOTION.)
 
 qui déterminerait La notion
 
 qui
 
 et notamment (
 
 :
 
 attributionnelles
 
 été appliquées
 
 cognitions
 
 « est sûre de posséder une
 
 ne satisfont
 
 ce sont
 
 des attributions
 
 de résignation
 
 (angl. Learned Helplessness).
 
 On s’est en outre intéressé à savoir quelles
 
 tremblements,
 
 à ces critères,
 
 image vraie du monde extérieur attributions
 
 d’interac-
 
 un phénomène
 
 DES ATTRIBUTIONS
 
 étaient les conséquences
 
 avec ces objets. Les critères de l’attribution
 
 consensus
 
 tempo-
 
 LES CONSÉQUENCES
 
 aussi
 
 effectuons.
 
 est confronté contrôle les issues,
 
 Bibliographie
 
 psychologiques des attributions Lorsqu’un
 
 à une situation
 
 pas ou ne croit
 
 que individu
 
 dont
 
 il ne
 
 pas contrôler
 
 on assiste à ce qu’on
 
 appelle
 
 Deschamps, attitudes
 
 J.-C., et Beauvois,
 
 aux attributions.
 
 tion de la réalité universitaires
 
 J.-L., 1996, Des
 
 Sur la construc-
 
 sociale, Grenoble,
 
 de Grenoble.
 
 Presses
 
 Deschamps,
 
 et Clémence,
 
 A., 1990, l’Attribution.
 
 et explication
 
 au quotidien,
 
 J.-C.,
 
 Causalité
 
 Neuchâtel-Paris,
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 Delachaux Heider,
 
 et Niestlé.
 
 Selon l’interprétation
 
 F., 1958, The Psychology
 
 nal Relations,
 
 New York,
 
 of Interperso
 
 rante, le comportement,
 
 Wiley.
 
 personne
 
 perçu comme CAUSALE Bias)
 
 (BIAIS
 
 D’)
 
 À la suite de F. Heider premiers
 
 théoriciens
 
 sale, mettant
 
 (1944-1958),
 
 de l’attribution
 
 l’accent
 
 cau-
 
 sur la rationalité,
 
 proposent
 
 des modèles normatifs
 
 comment
 
 l’homme
 
 comportements
 
 les
 
 devrait
 
 expliquer
 
 et ceux d’autrui
 
 ses
 
 s’il procé-
 
 dait comme un scientifique. Or,
 
 les individus
 
 prescriptions
 
 des modèles.
 
 parfois
 
 des
 
 Le constat
 
 de
 
 alors les psycho-
 
 logues sociaux à développer gative de l’homme
 
 une image né-
 
 qui fonctionnerait
 
 comme un ordinateur
 
 plus
 
 « fautif » que comme
 
 un scientifique.
 
 Cependant,
 
 teurs, réagissant
 
 à cette vision
 
 certains
 
 au-
 
 pessimiste,
 
 rejettent la notion d’erreur et lui préfèrent celle de « biais », qui décrit simplement le fait que le jugement
 
 plus important
 
 est sujet à des distor-
 
 ception, pour lesquels les processus de per-
 
 est
 
 ception
 
 de
 
 L’une de ces interprétations
 
 du point
 
 de l’autoper-
 
 de soi et d’autrui
 
 sont identiques. met l’accent
 
 récent, le processus
 
 d’inférence
 
 sède plus
 
 sur ses com-
 
 automatique, bution
 
 conduit
 
 interne,
 
 fonction
 
 d’abord
 
 quasi
 
 à une attri-
 
 qui est ensuite corrigée
 
 des informations
 
 L’erreur
 
 se déroule
 
 étapes, dont la première,
 
 fondamentale
 
 ment insuffisant
 
 en
 
 de ces
 
 informations.
 
 proposent
 
 motivationnelles,
 
 que cette erreur
 
 indépendants
 
 réponde
 
 conduisant
 
 à un
 
 peut entraîner
 
 d’absence
 
 même illusoire,
 
 peut aider à s’adapter
 
 de
 
 de contrôle,
 
 nous vivons
 
 sociétales,
 
 ternalité,
 
 propre
 
 Selon un point de vue récent, les écarts aux
 
 valorisant
 
 prescriptions des modèles traduiraient plutôt la capacité qu’a l’homme de prendre en
 
 qui accentuent
 
 compte
 
 risation
 
 (
 
 terprétations
 
 aux dans
 
 enfin,
 
 d’une norme
 
 aux sociétés
 
 les explications
 
 font d’in-
 
 libérales,
 
 (et les gens) Cette valo-
 
 QUOTIDIENNE.)
 
 des explications
 
 et infère donc
 
 met l’accent
 
 sur la notion
 
 vateur a l’attention centrée sur la personne de l’acteur, alors que celle de l’acteur est centrée sur l’environnement.
 
 internes
 
 l’attribution
 
 qui
 
 concerne
 
 de responsabilité, à surestimer
 
 se refléte-
 
 plutôt désigne la
 
 sa part de responcommun.
 
 peut également se manifester
 
 Ce biais
 
 au niveau du
 
 groupe, par exemple dans le cas de performances à des tâches coactives. La principale fournie
 
 interprétation
 
 invoque
 
 qui en est
 
 un biais de disponibilité
 
 en mémoire : ce que nous avons nousmêmes accompli est davantage disponible et donc préférentiellement
 
 cupéré. Cette interprétation dire l’explication
 
 de l’effet acteur-observa-
 
 teur, la plus grande basée sur la plus grande saillance et la plus grande disponibilité
 
 des que
 
 rait au niveau du langage, qui véhicule des
 
 réponses de l’acteur pour l’observateur
 
 inférences
 
 causalités implicites.
 
 pour lui-même.
 
 De nombreux parmi
 
 (
 
 JUGEMENT
 
 SOCIAL.)
 
 biais ont été mis en évidence,
 
 lesquels on peut distinguer
 
 se manifestent timation
 
 au niveau individuel
 
 d’un type de causalité),
 
 viduel (asymétrie
 
 et intergroupe
 
 tribution
 
 selon l’appartenance
 
 de soi et
 
 (asymétrie
 
 de l’at-
 
 de groupe).
 
 INDIVIDUEL
 
 NIVEAU
 
 Erreur
 
 (sures-
 
 interindi-
 
 de la perception
 
 d’autrui)
 
 situations
 
 ceux qui
 
 fondamentale
 
 Le biais d’autocomplaisance
 
 (angl.
 
 d’interaction
 
 qui en sont proposées
 
 répondrait
 
 au besoin d’avoir
 
 soi positive
 
 Biais
 
 d’ethnocentrisme
 
 : ce biais
 
 une image de
 
 et de la préserver. Néanmoins,
 
 rieur
 
 desquels les individus
 
 tenance
 
 vient
 
 (exogroupes)
 
 détriment
 
 des facteurs
 
 contraintes
 
 interne
 
 de situation
 
 au
 
 et des
 
 confirmer
 
 les attentes
 
 des causes internes,
 
 cogni-
 
 est attribué
 
 à
 
 or les gens s’attendent
 
 en général à réussir ce qu’ils entreprennent.
 
 de rôle.
 
 Les premiers travaux le mettant en évidence
 
 pondantes d’une
 
 », les sujets infèrent
 
 personne
 
 traduit
 
 que l’acte
 
 une disposition
 
 interne même s’ils perçoivent
 
 l’acte comme
 
 non intentionnel
 
 et contraint.
 
 correspondance,
 
 appelé ensuite
 
 fondamentale qu’il
 
 s’agit d’expliquer
 
 d’autrui contribuer (
 
 », est d’autant
 
 « erreur
 
 plus marqué
 
 le comportement
 
 (hétéroattribution) à la formation
 
 Ce biais de
 
 et pourrait de stéréotypes.
 
 STÉRÉOTYPES.)
 
 Les interprétations
 
 qui en sont proposées
 
 NIVEAU
 
 Biais
 
 Le biais
 
 INTERINDIVIDUEL
 
 acteur-observateur
 
 damentale
 
 montrant
 
 que l’erreur
 
 est plus accentuée
 
 fon-
 
 dans le cas
 
 à certains
 
 désigne la ten-
 
 son groupe
 
 en attribuant
 
 valorisés)
 
 biais.
 
 SOCIALE.)
 
 Le biais d’ethnocentrisme
 
 actes positifs est annoncé
 
 et autres groupes
 
 conduit
 
 CATÉGORISATION
 
 nance,
 
 acteur-observateur
 
 par les travaux
 
 d’apparte-
 
 plus volontiers
 
 (c’est-à-dire
 
 les
 
 socialement
 
 à des causes internes
 
 s’ils sont
 
 le fait d’un membre
 
 de l’endogroupe,
 
 et à
 
 des causes externes
 
 s’ils sont le fait d’un
 
 d’hétéroattributions. Ce biais désigne le phénomène suivant : alors que celui qui ef-
 
 membre d’un exogroupe, et inversement pour des actes négatifs. On parle d’erreur
 
 fectue un comportement
 
 « ultime
 
 plus volontiers pour expliquer
 
 (l’acteur)
 
 des facteurs son propre
 
 celui
 
 qui l’observe
 
 tions
 
 internes
 
 situationnels comportement,
 
 privilégie
 
 en termes
 
 invoque
 
 les explica-
 
 de dispositions
 
 personnelles.
 
 sont de trois ordres : elles sont cognitives,
 
 La plupart
 
 motivationnelles
 
 pour
 
 et sociétales.
 
 (
 
 (endogroupe)
 
 dance à favoriser
 
 montrent que, contrairement aux prescriptions du modèle dit « des inférences corres-
 
 sont à la fois
 
 sources et cibles d’attribution. En particulier, la catégorisation entre groupe d’appar-
 
 tive centrée sur le rôle des attentes : ce qui
 
 la causalité
 
 ultime
 
 dante des divers réseaux de groupe à l’inté-
 
 rature
 
 dance à privilégier
 
 et erreur
 
 causale n’est pas indépen-
 
 certains
 
 désigne la ten-
 
 une explication
 
 L’attribution
 
 Ce biais, qui a sans doute suscité la littéla plus abondante,
 
 où cha-
 
 d’attribution
 
 sont essen-
 
 motivationnel
 
 suggèrent
 
 complexes,
 
 INTERGROUPE
 
 NIVEAU
 
 échecs à des causes externes. Les interpréd’ordre
 
 il s’agit ici de
 
 Self-
 
 Serving Bias) désigne la tendance à attribuer ses succès à des causes internes et ses
 
 tiellement
 
 Néanmoins,
 
 cun est à la fois acteur et observateur.
 
 Biais d’autocomplaisance
 
 tations
 
 ré-
 
 semble contre-
 
 tions dans lesquelles il est amené à faire des causales.
 
 de
 
 déjà évoquée plus haut : l’obser-
 
 en mémoire,
 
 le poids causal des acteurs.
 
 PSYCHOLOGIE
 
 plus
 
 Une autre de ces in-
 
 sabilité dans un produit
 
 un monde juste dans lequel les gens méritent ce qu’ils obtiennent. Les interprétations
 
 postule
 
 situationnelle
 
 des causes internes.
 
 tendance
 
 Ce besoin irait de pair avec la
 
 selon laquelle
 
 à défaut de
 
 cette information,
 
 L’égocentrisme,
 
 un état dépressif
 
 un sentiment
 
 croyance
 
 ; l’observateur,
 
 liée
 
 Égocentrisme
 
 exté-
 
 et, inversement, événements.
 
 passés et leur variabilité
 
 sont relativement
 
 un sentiment
 
 pos-
 
 à croire
 
 des déterminismes
 
 Ainsi,
 
 contrôle
 
 qui
 
 que les autoattributions,
 
 de contrôle
 
 rieurs.
 
 posséder
 
 saillance
 
 ne concernent besoin
 
 portements
 
 de constance
 
 un ajuste-
 
 dû au sous-emploi
 
 d’informations
 
 aux situations
 
 situationnelles.
 
 traduirait
 
 à l’existence
 
 des situa-
 
 point de vue des théoriciens
 
 en cause le
 
 : l’acteur
 
 référence
 
 sociaux
 
 à remettre
 
 sur le niveau d’information
 
 sions systématiques.
 
 les paramètres
 
 et amènent
 
 Selon un point de vue
 
 que nos comportements
 
 s’écartent
 
 telles « erreurs » conduit
 
 Or, ce qui est saillant
 
 Les interprétations
 
 décrivant
 
 est plus saillant
 
 gnitives
 
 vue de la causalité. en plusieurs
 
 Distorsion dans l’attribution d’un comportement observé à des causes internes (propres à l’acteur) ou externes (non liées à l’acteur).
 
 et par là même la
 
 qui l’exprime,
 
 que la situation. ATTRIBUTION (angl. Attributional
 
 cognitive la plus cou-
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 rendre
 
 » lorsque
 
 façon réciproque
 
 compte
 
 proposées
 
 de cet effet sont co-
 
 dans un contexte
 
 de
 
 inter-
 
 groupe. Certaines
 
 des interprétations
 
 proposées sont d’ordre tains auteurs,
 
 des interprétations
 
 le biais se manifeste
 
 qui en sont
 
 cognitif.
 
 assimilant
 
 à « acteur » et « exogroupe
 
 Pour cer-
 
 « endogroupe
 
 »
 
 » à « observa-
 
 teur », ce biais serait une simple extension 101
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 de l’effet
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 acteur-observateur.
 
 l’analogie
 
 ne vaudrait
 
 négatifs.
 
 D’autres
 
 des attentes.
 
 Cependant,
 
 que pour des actes
 
 auteurs évoquent
 
 Si l’on fait preuve
 
 le rôle
 
 de favori-
 
 tisme en ayant une image positive groupe
 
 d’appartenance
 
 et une image né-
 
 gative des autres
 
 groupes,
 
 portement
 
 de la part d’un membre
 
 positif
 
 de l’endogroupe négatif
 
 alors un com-
 
 groupe confirme que l’image expliquer
 
 nos attentes. Il en découle
 
 le comportement,
 
 attribué
 
 suffit
 
 à
 
 qui est alors
 
 à une disposition
 
 interne
 
 typique
 
 les seuils absolus, est appelée auliminaire
 
 tonale, et l’audiométrie
 
 à enregistrer
 
 les réponses
 
 du système auditif
 
 l’accent sur des facteurs motivationnels
 
 en
 
 se référant
 
 de
 
 l’identité
 
 en particulier
 
 à la théorie
 
 sociale proposée
 
 à l’origine
 
 par
 
 H. Tajfel (1972). Le biais d’ethnocentrisme répondrait
 
 à un besoin
 
 positive,
 
 d’identité
 
 pour fonction
 
 attributions
 
 internes
 
 d’accentuer,
 
 externes, de protéger.
 
 et les
 
 (
 
 Cependant,
 
 la manifestation
 
 dépend fortement
 
 de ce biais
 
 des rapports
 
 qu’entretiennent
 
 de pouvoir
 
 les groupes. F. A.-L.
 
 ATTRIBUTION
 
 CAUSALE,
 
 PERCEPTION
 
 COGNITION
 
 SOCIALE
 
 (
 
 « Attributions
 
 intergroupes
 
 et Leyens J. P. (Éd.), et Relations
 
 Stéréotypes,
 
 intergroupes,
 
 R. Y.,
 
 Discrimination
 
 chap. 5, Bruxelles,
 
 fréquence,
 
 Dubois,
 
 N., 1987, la Psychologie
 
 du contrôle,
 
 Grenoble,
 
 Presses universitaires
 
 de Grenoble.
 
 Cognitive
 
 Attribution.
 
 Processes to Collective
 
 V., et Schadron,
 
 et juger autrui.
 
 From
 
 Beliefs, Oxford,
 
 sociale,
 
 G., 1996, Connaître
 
 Une introduction
 
 chap. 3, Grenoble,
 
 transmises
 
 déterminent
 
 un ensemble
 
 des structures
 
 et l’excitation
 
 à la cognition
 
 cochléaires
 
 des cellules ré-
 
 couvre, en
 
 une gamme de 20 à 16 000 hertz
 
 et, en amplitude
 
 des variations
 
 de pression
 
 seuil de la douleur).
 
 La meilleure
 
 lité différentielle
 
 de l’oreille
 
 dans le domaine
 
 des niveaux
 
 oreille
 
 décrit
 
 lon lequel,
 
 à l’autre.
 
 plusieurs
 
 par Aubert
 
 en 1861, se-
 
 si l’on regarde,
 
 dans l’obs-
 
 curité,
 
 une ligne verticale
 
 incline
 
 fortement
 
 semble
 
 s’incliner
 
 et que l’on
 
 la tête, la verticale du côté opposé. J.-F. L. N.
 
 atteint
 
 hauteur,
 
 attributs
 
 et quelques
 
 le timbre,
 
 inscrites
 
 décibels)
 
 en perte
 
 en fonction
 
 d’audition
 
 (salle
 
 de la fréquence. R. L.
 
 102
 
 indépen-
 
 Paris,
 
 auditive,
 
 Paris, Inserm-EM
 
 MIT
 
 Scene Analysis,
 
 Press.
 
 M., 1987, Audition,
 
 Paris,
 
 Tiberghien,
 
 F., 1988, Introduction
 
 à la psycho-
 
 Paris, P.U.F.
 
 AUTISME n.m. (angl. Autism)
 
 Repliement sur son monde intérieur du sujet qui refuse le contact avec le monde extérieur. LES DÉFINITIONS
 
 Le terme
 
 ET LES DESCRIPTIONS
 
 L’AUTISME
 
 d’« autisme
 
 grec auto,
 
 qui signifie
 
 » est dérivé
 
 « soi-même
 
 pour la première
 
 du
 
 ». Il a
 
 fois en psy-
 
 chiatrie
 
 en 1911 par E. Bleuler,
 
 dans son
 
 ouvrage
 
 sur le Groupe des schizophrénies,
 
 pour désigner,
 
 chez les malades schizoph-
 
 rènes adultes,
 
 la perte du contact
 
 réalité,
 
 entraînant
 
 comme
 
 une grande difficulté
 
 conséquence
 
 à communiquer
 
 la vie intérieure morbide
 
 acquérant
 
 aux dépens du rapport
 
 de façon
 
 analogue,
 
 comme un symptôme non spécifique
 
 avec
 
 une pré-
 
 avec la réalité. Plus tard, d’autres décriront,
 
 avec la
 
 auteurs l’autisme
 
 important
 
 bien que
 
 de la schizophrénie
 
 infan-
 
 tile. Mais c’est en 1943, dans son article original Autistic Disturbance of Affective Contact, que le psychiatre décrira,
 
 réverbérante
 
 une fonction
 
 d’organisation
 
 qui consiste
 
 à regrouper
 
 différents
 
 schizophrénie
 
 également
 
 il en résulte
 
 les in-
 
 en comporte
 
 d’indices
 
 pour former
 
 dif férent de la
 
 et caractérisé
 
 lui par une incapacité
 
 selon
 
 du petit enfant
 
 dès
 
 des contacts affectifs
 
 avec son environnement.
 
 La description
 
 de Kanner
 
 tain nombre
 
 a isolé un cer-
 
 de signes cliniques
 
 caracté-
 
 de la psychose autistique
 
 constituée
 
 une fois
 
 :
 
 - le début précoce des troubles, généralement dans les deux premières
 
 de
 
 cohérents une image
 
 groupements
 
 la formation
 
 infantile
 
 années de la vie ;
 
 sont opérés
 
 : il y a ségrégation
 
 de façon
 
 infantile
 
 sa naissance à établir
 
 L. Kanner
 
 d’autisme
 
 précoce, un tableau clinique
 
 ristiques
 
 d’une même source
 
 sous-groupes
 
 par source. D’autres tuent
 
 perceptive
 
 Ces groupements
 
 sous le terme
 
 Kanner, dans sa description,
 
 possède
 
 ensemble
 
 l’environnement
 
 américain
 
 spatiale)
 
 Le système auditif
 
 qui sont fusionnés
 
 en
 
 possède
 
 la localisation
 
 de façon simultanée
 
 ment
 
 (ms) d’une
 
 par exemple).
 
 n.m. (angl. Audiogram)
 
 (habituelle-
 
 est
 
 de temps d’arri-
 
 relativement
 
 de l’environnement
 
 plusieurs.
 
 des varia-
 
 (Éd.),
 
 de
 
 et alii, 1990, Psychoacous-
 
 A., 1990, Auditory
 
 ainsi que certaines qualités liées à la nature
 
 lorsque
 
 tions du seuil d’audibilité
 
 0,5 dB
 
 dants les uns des autres (tels que la sonie, la
 
 AUDIOGRAMME
 
 graphique
 
 sensibi-
 
 Un son perçu
 
 dices qui proviennent
 
 Représentation
 
 de la
 
 acoustique
 
 vée de quelques microsecondes
 
 Effet,
 
 C. Bonnet
 
 M.-C.,
 
 (Mass.),
 
 », in Traité
 
 de 0 décibel (dB)] à 20.106 mPa (= 120 dB,
 
 sensible à des différences
 
 (EFFET)
 
 Bregman,
 
 dominance
 
 l’aire d’audition
 
 cals (mPa) [niveau
 
 Botte,
 
 tique et Perception
 
 autrui,
 
 des centres auditifs.
 
 hertz, en fréquence ; le système binaural
 
 Presses universi-
 
 taires de Grenoble.
 
 Aubert
 
 à
 
 pression, une marge allant de 20 micropas-
 
 Blackwood. Yzerbyt,
 
 atmosphérique.
 
 de pression,
 
 interne,
 
 cognitive,
 
 été introduit
 
 et des dépressions
 
 à la pression
 
 en direction
 
 (Hz)
 
 M., 1989, Causal
 
 onde sonore
 
 Chez l’Homme,
 
 Mardaga.
 
 Hewstone,
 
 le passage d’une
 
 COCHLÉE)
 
 psychologie
 
 1989, « l’Audition
 
 DE
 
 et
 
 ceptrices d’où partent les messages nerveux
 
 J.-L., 1994,
 
 », in Bourhis,
 
 matériels
 
 de la pression ;
 
 de mouvements
 
 J.-C., et Beauvois,
 
 B.
 
 des variations
 
 Ces variations
 
 B.
 
 Bibliographie
 
 mécaniques
 
 dans les milieux
 
 cause des surpressions
 
 l’oreille
 
 Bibliographie Deschamps,
 
 fréquences.
 
 Les sons sont des vibrations
 
 par rapport
 
 M.-C.
 
 des seuils pour des
 
 Fonction de perception des sons par l’intermédiaire du système auditif.
 
 dans l’air,
 
 s’agit, par
 
 exemple, de la parole.
 
 physique,
 
 AUDITION n.f. (angl. Hearing)
 
 y provoquant
 
 leur comporte-
 
 est
 
 M.-C.
 
 se propageant
 
 des sources
 
 Hermann.
 
 de l’oreille
 
 L’audiogramme
 
 des valeurs
 
 renseigne
 
 dans l’environnement
 
 de comprendre
 
 Buser, P., et Imbert,
 
 évoqués), ou
 
 l’impédance
 
 sons purs de différentes
 
 IDEN-
 
 TITÉ SOCIALE.)
 
 SOCIALE,
 
 l’ensemble
 
 et permet
 
 Cambridge
 
 sociale
 
 que les attributions
 
 auraient
 
 à mesurer
 
 (impédancemétrie). mettent
 
 élec-
 
 (électrocochléographie)
 
 encore
 
 À l’opposé, d’autres interprétations
 
 »,
 
 triques évoquées par des sons à la périphérie
 
 causes. Ce type de mécanisme des stéréotypes.
 
 de mots
 
 dites « objectives
 
 ou dans les centres (potentiels
 
 rait au maintien
 
 présentes
 
 Dunod.
 
 méthodes,
 
 consistent
 
 sonores
 
 Botte, M.-C.,
 
 ou de phonèmes. D’autres
 
 Entendre
 
 ment et le message porté lorsqu’il
 
 Selon les stimulus employés, on distingue l’audiométrie tonale, qui, lorsqu’elle
 
 du groupe ; sinon, on fait appel à d’autres contribue-
 
 au
 
 techniques.
 
 vocale, qui mesure la perception
 
 d’un exo-
 
 que l’on a du groupe
 
 de l’audition
 
 de différentes
 
 diométrie
 
 par exemple).
 
 sur la nature et la localisation
 
 de mesures
 
 détermine
 
 ou un comportement
 
 de la part d’un membre
 
 Ensemble moyen
 
 de son
 
 (mélodie
 
 AUDIOMÉTRIE n.f. (angl. Audiometry)
 
 s’effec-
 
 séquentielle de flux
 
 et
 
 auditifs
 
 - l’isolement
 
 extrême ; l’attitude
 
 frappe par son indifférence rêt total vis-à-vis
 
 et son désinté-
 
 des personnes comme des
 
 objets qui l’entourent - le besoin d’immuabilité impérieux
 
 de l’enfant
 
 de l’enfant
 
 ; ; il s’agit du besoin de maintenir
 
 stable
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 son environnement
 
 matériel
 
 habituel,
 
 permanence
 
 et la stabilité
 
 sant l’objet
 
 de la part de celui-ci
 
 quentes vérifications
 
 La description
 
 la
 
 des repères faide fré-
 
 plus ou moins ritua-
 
 lisées ;
 
 Ultérieurement, anglaise
 
 gestuelles
 
 ; il s’agit
 
 gestes répétés inlassablement tains frappent
 
 de
 
 et dont cer-
 
 par leur étrangeté
 
 - remuer
 
 F. Tustin,
 
 L’autisme
 
 anormal.
 
 sorte de prolongation tisme primaire
 
 Au-
 
 lifiée
 
 pointe des pieds de façon mécanique,
 
 tour-
 
 caractérisée
 
 de
 
 Il serait
 
 d’« amibienne
 
 une
 
 d’un
 
 au-
 
 Cette forme,
 
 qua-
 
 » par l’auteur,
 
 serait
 
 par le fait qu’il n’existerait
 
 chez le bébé de véritable
 
 pas
 
 maintien néanmoins
 
 D’autres
 
 auteurs
 
 psychotique
 
 mère-enfant,
 
 soit l’enfant
 
 relle.
 
 il émet un jargon
 
 qui a la mélodie
 
 du lan-
 
 gage mais sans en avoir la signification, enfin, l’enfant
 
 soit,
 
 possède un langage mais qui
 
 rait autour
 
 de sensations
 
 et d’une
 
 tive, marqué
 
 nourrissages
 
 (répétition
 
 en
 
 écho de mots ou de phrases prononcés
 
 par
 
 autrui),
 
 l’incapacité
 
 personnels
 
 de manier
 
 (utilisation
 
 les pronoms
 
 du « tu » à la place
 
 du « je »), des mots déformés
 
 avec inven-
 
 tion de néologismes.
 
 Dans sa description
 
 de l’autisme,
 
 insistait
 
 Kanner
 
 la mémoire
 
 remarquable
 
 en outre sur
 
 de certains de ces
 
 enfants et leur aspect intelligent, différentiel décrits
 
 caractère
 
 proches
 
 sont regroupées
 
 cement,
 
 avec l’autisme durant
 
 de débuter
 
 préco-
 
 les deux premières
 
 années
 
 de la vie, d’être marquées profond rieur.
 
 du contact
 
 Ainsi,
 
 par un trouble
 
 avec le monde
 
 Elles s’en différencient
 
 particularités
 
 exté-
 
 par certaines
 
 cliniques.
 
 en 1957, M. Mahler
 
 chose symbiotique,
 
 précédente,
 
 du non-moi
 
 a décrit
 
 dont
 
 préciser les particularités
 
 la psy-
 
 elle s’efforce
 
 de
 
 :
 
 - le début dans le courant
 
 de la deuxième
 
 Cette
 
 à l’autisme
 
 par Kanner.
 
 plus, comme
 
 indistinction
 
 Dans dans la
 
 du moi et
 
 mais au contraire
 
 surévalua-
 
 autour
 
 formant
 
 anticipatrices
 
 de l’enfant
 
 de celui-ci,
 
 rire du troisième
 
 » terrifiant.
 
 apparaîtrait
 
 ici raide,
 
 serait pauvre, centrée processus
 
 corporels,
 
 l’acte de pensée inhibé. Tustin
 
 et
 
 qualifie cette
 
 sensoriels
 
 de l’enfant
 
 et à la dépression
 
 des psychoses
 
 autistiques
 
 donné
 
 à de multiples
 
 controverses
 
 entre
 
 lieu
 
 partisans
 
 affections tifactorielle
 
 secondaire
 
 régressif. Enfin,
 
 tin décrit
 
 l’autisme
 
 secondaire
 
 Tus-
 
 Domaine
 
 infan-
 
 que le risque
 
 normale,
 
 apparaîtraient
 
 régressives,
 
 des
 
 avec retrait
 
 dans une vie fantasmatique
 
 et confusion
 
 la fusion symbiotique nouissement
 
 avec la mère et l’épa-
 
 du sentiment
 
 La psychose symbiotique ment
 
 marquée
 
 de
 
 d’individuation.
 
 de
 
 est ainsi clinique-
 
 par une angoisse
 
 par le mécanisme
 
 projective
 
 Les auteurs
 
 J.-L. Lang)
 
 des affections ont ainsi
 
 de séparation
 
 aussi courantes
 
 choses infantiles
 
 en maternelle
 
 ou une hospitalisation.
 
 s’inaugure
 
 par l’apparition
 
 désorganisation
 
 d’une brusque
 
 de la personnalité,
 
 une perte marquée une détérioration
 
 de certaines
 
 psychotiques.
 
 hler reconnaît
 
 l’existence
 
 de passages possibles
 
 autistique
 
 la coexistence
 
 parenté
 
 psychose
 
 et
 
 S. Lebo-
 
 de leur côté
 
 d’un sujet autistique
 
 ont également
 
 intégré
 
 montre
 
 symptomatologie
 
 à
 
 et d’une
 
 à l’environnement. le fait que toute déficitaire.
 
 par rapport
 
 La méthode
 
 des
 
 que la concordance
 
 du
 
 est plus élevée chez les jumeaux
 
 monozygotes
 
 que chez les jumeaux de facteurs
 
 certains
 
 cas d’autisme.
 
 influence
 
 de certains
 
 n’est jamais
 
 facteurs
 
 exclusive
 
 ailleurs de souligner
 
 et laisse une large environnementales, Il convient
 
 que l’autisme
 
 trois à quatre fois plus fréquent
 
 chez le gar-
 
 çon que chez la fille. De nombreuses
 
 recherches dans le domaine
 
 de la neurochimie
 
 ont été effectuées.
 
 études ont permis
 
 de mettre
 
 certaines
 
 modifications
 
 biochimiques,
 
 mais dont aucune n’apparaît
 
 spécifique
 
 retrouvée
 
 est sans doute l’élévation
 
 personnalité
 
 », formes
 
 qui se séparent
 
 de
 
 sérotonine Ritvo,
 
 sanguine
 
 J. M. Launay,
 
 Ces
 
 en évidence
 
 dans ce cadre les de la
 
 par
 
 apparaît
 
 L’anomalie
 
 précoces
 
 cette
 
 génétiques
 
 l’autisme.
 
 psychotiques
 
 dans
 
 Cependant,
 
 Ils
 
 « distorsions
 
 di-
 
 génétiques
 
 quelle qu’en soit la nature.
 
 Ils
 
 par
 
 évolution
 
 générale.
 
 précoces.
 
 précoce porte en elle les germes
 
 possible
 
 à la population
 
 montrent
 
 est accru dans la
 
 place aux influences
 
 », marquées
 
 également
 
 dans ce domaine
 
 à la clinique
 
 intellectuelle
 
 psychotique
 
 génétique
 
 d’autisme
 
 tion possible
 
 précoces, les « psychoses d’une
 
 psycho-
 
 zygotes, ce qui est en faveur de l’interven-
 
 dans le cadre des psy-
 
 type de déficience
 
 d’une
 
 entre
 
 originale
 
 déficitaire
 
 Ils ont souligné
 
 Plus tard, Ma-
 
 (R. Misès,
 
 ont apporté
 
 intégré,
 
 à expression
 
 relation
 
 de combinaisons
 
 les deux types d’organisation, symbiotique.
 
 fonctions,
 
 du langage, l’apparition
 
 de symptômes et de formes
 
 avec
 
 de l’identi-
 
 par les auteurs
 
 psychotiques
 
 en réponse à ces expériences Elle
 
 décrit
 
 français
 
 d’annihilation
 
 que l’entrée
 
 entremêlement
 
 entre lui et sa mère, processus
 
 une contribution
 
 massive
 
 assez
 
 kleiniens.
 
 vici,
 
 permanente
 
 logique de l’enfant.
 
 diagnostic
 
 l’abandon
 
 organiques
 
 les uns et les
 
 en interaction
 
 apparemment
 
 troubles
 
 impliquant
 
 facteurs
 
 psychologiques,
 
 Les recherches
 
 lus sensoriels
 
 développement,
 
 et il n’est pas possible de sépa-
 
 tile. Dans cette forme, après une évolution
 
 fication
 
 mul-
 
 régressif,
 
 en fait la schizophrénie
 
 Il y aurait ici pour l’enfant
 
 clés du
 
 En fait, la genèse de ces
 
 dans le processus de structuration
 
 L’autisme
 
 a
 
 et de
 
 est très vraisemblablement
 
 jumeaux
 
 à certains moments
 
 de l’organogenèse
 
 la psychogenèse.
 
 autres entrant
 
 de la mère.
 
 aux stimu-
 
 - son apparition
 
 pour les jouets ou
 
 L’étiologie
 
 et facteurs
 
 à l’hypersensibilité
 
 sous-tendu
 
 du
 
 GENÈSEDE L’AUTISME
 
 important
 
 quée par une hypersensibilité ;
 
 du sou-
 
 intérêt trop exclusif pour les jeux de mains devant les yeux, existence d’angoisses pho-
 
 riche centrée sur les sensations corporelles.
 
 sommeil
 
 et d’ajustement
 
 mois et de l’angoisse
 
 rer de façon simpliste
 
 manifestations
 
 ou,
 
 d’attitudes
 
 nonapparition
 
 forme de « crustacé » et y fait jouer un rôle
 
 qui recouvre
 
 de
 
 insomnies
 
 absence
 
 mois, inintérêt
 
 l’enfant
 
 du
 
 précoce
 
 autoagressifs
 
 calme,
 
 male du développement,
 
 et par quelques
 
 un diagnostic
 
 bar-
 
 fuyant le contact physique. L’ac-
 
 aux stimulus
 
 de ces signes,
 
 au contraire,
 
 carapace, destinée
 
 l’accès au « non-moi
 
 de certains
 
 du processus psychotique.
 
 agitées avec mouvements
 
 huitième
 
 amorce
 
 biques massives. d’une véritable
 
 fantasmatique
 
 première
 
 : refus du biberon,
 
 année de la vie, précédé d’une phase nortout au plus mar-
 
 objectale, l’importance
 
 l’affection
 
 postural
 
 tion de cette différence.
 
 tivité
 
 générique
 
 de psychoses infantiles précoces. Elles ont en commun
 
 forme
 
 il n’y aurait
 
 insensible,
 
 par Kanner
 
 sous le terme
 
 correspondre
 
 Le corps de l’enfant
 
 affections
 
 décrit
 
 à carapace.
 
 tel qu’il avait été décrit
 
 à interdire
 
 d’autres
 
 de l’autisme
 
 semble
 
 rière autistique
 
 par les psychiatres
 
 classiques, tel É. Esquirol. Progressivement,
 
 secondaire
 
 celle-ci,
 
 des
 
 signes
 
 d’établissement
 
 qui permettent
 
 essentiels.
 
 L’autisme forme
 
 dans le domaine
 
 Il y aurait là création
 
 d’avec les états d’arriération
 
 antérieurement
 
 défaillance
 
 premiers
 
 une difficulté
 
 On conçoit
 
 très primitives.
 
 Cette forme serait le résultat d’une carence
 
 n’a que peu ou pas de valeur communicapar l’écholalie
 
 s’organise-
 
 d’évolution
 
 par le biais du jeu
 
 de l’instauration mental
 
 de re-
 
 traduire
 
 de la relation
 
 Le fonctionnement
 
 se sont efforcés
 
 M.
 
 au sein de la dyade interac-
 
 somatique
 
 ne possède aucun langage, soit
 
 (Lebovici,
 
 pérer les signes très précoces
 
 véritable
 
 de sa surface corpo-
 
 très primi-
 
 objectal.
 
 français
 
 Soulé, D. Houzel)
 
 - les troubles du langage ; ils sont constants :
 
 délimitation
 
 à des modalités
 
 tives d’investissement
 
 qui viennent
 
 d’avant en arrière ;
 
 avec un certain
 
 sur un mode très pathologique
 
 entre son corps et celui de sa mère, ni de
 
 rythmiquement
 
 massif
 
 du contact, lequel semble se faire
 
 tionnelle
 
 différenciation
 
 moins
 
 qui coexistent
 
 correspondant
 
 anormale
 
 normal.
 
 par le caractère
 
 du retrait,
 
 en trois groupes.
 
 primaire
 
 sur la
 
 par accès, se balancer
 
 dans son ouvrage
 
 tisme et Psychose de l’enfant, a proposé
 
 les doigts devant le visage, marcher noyer sur soi-même
 
 l’autisme
 
 en 1977, la psychanalyste
 
 classer l’autisme
 
 - les stéréotypies
 
 de Tustin
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 de
 
 la plus fréquemment et plaquettaire P. Ferrari),
 
 de la (E. R.
 
 mais cer103
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 tains auteurs
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 pensent
 
 que cette élévation
 
 Mahler
 
 du développement
 
 autistiques,
 
 est plus liée au retard intellectuel
 
 qu’au
 
 lui-même.
 
 processus
 
 Récemment,
 
 ont mis en évidence la synthèse
 
 psychotique
 
 certains
 
 de la sérotonine
 
 tryptophane
 
 à partir
 
 par les plaquettes
 
 autistes (Launay,
 
 En ce qui concerne
 
 du
 
 symbiotique
 
 certains au-
 
 du taux de noradrénaline,
 
 d’adrénaline
 
 dans les plaquettes,
 
 accom-
 
 de l’adrénaline
 
 et
 
 dans le plasma chez les
 
 enfants autistes
 
 (Launay,
 
 homovanilique
 
 (HVA)
 
 métabolite
 
 et
 
 Ferrari). urinaire,
 
 de la dopamine,
 
 L’acide principal
 
 mement
 
 menaçante.
 
 perception tueraient
 
 De cet ensemble mandent,
 
 de recherches,
 
 pour certaines,
 
 confirmation,
 
 n’est pas possible actuellement une explication applicable
 
 qui de-
 
 de dégager
 
 biochimique
 
 à l’autisme
 
 il
 
 et aux psychoses pré-
 
 coces.
 
 logique
 
 ont montré
 
 amplitudes
 
 par ailleurs
 
 des composantes
 
 potentiels
 
 évoqués auditifs
 
 plus faibles,
 
 que les
 
 tardives
 
 des
 
 et visuels sont
 
 et les temps
 
 de latence
 
 plus
 
 à long terme a été amélioré
 
 extérieur
 
 du monde
 
 intérieur
 
 de la pensée de M. Klein, ont développé
 
 concernant
 
 qu’elle
 
 réservé.
 
 nuité corporelle,
 
 Tustin
 
 »,
 
 par D. W. Winnicott.
 
 Il
 
 dans la contil’illu-
 
 d’un
 
 dissocié lié au « démantèle-
 
 de la défaillance
 
 de l’attention,
 
 du self,
 
 de la force liante
 
 laisserait
 
 les différents
 
 externes
 
 et internes
 
 s’attacher
 
 à l’objet
 
 le plus stimulant
 
 sens
 
 isolément
 
 du moment.
 
 lorsqu’elle
 
 permet
 
 Bettelheim,
 
 B., 1974, la Forteresse
 
 Frith,
 
 U., 1989, l’Énigme
 
 Le
 
 G., et alii, 1989, Autisme
 
 développement Mahler,
 
 ter les influx sensoriels (Garreau, Les études autiste
 
 sur le sommeil
 
 ont montré
 
 modifications
 
 Ornitz).
 
 de l’enfant
 
 enfin qu’il existait
 
 qualitatives
 
 une importante
 
 à reje-
 
 Meltzer,
 
 D., et alii, 1980, Autisme
 
 de celui-ci
 
 diminution
 
 des
 
 Rutter,
 
 M., Schopler,
 
 réévaluation
 
 E., 1978, l’Autisme,
 
 avec
 
 des mouve-
 
 ments oculaires rapides qui accompagnent les activités de rêve. Certains
 
 auteurs insistent
 
 de l’association
 
 sur la fréquence
 
 au syndrome
 
 d’une affection
 
 organique
 
 autistique
 
 cliniquement
 
 pérable (encéphalopathie,
 
 anomalie
 
 regéné-
 
 tique, déficit sensoriel, épilepsie, souffrance néonatale).
 
 Il n’est pas possible
 
 actuelle-
 
 ment de préciser la nature du lien qui unit les deux affections,
 
 mais il paraît douteux
 
 qu’il puisse s’agir d’un lien causal simple et univoque.
 
 Enfin,
 
 récemment
 
 certains auteurs auraient
 
 mis en évidence
 
 une anoma-
 
 lie de développement
 
 des lobules VI et VII
 
 du vernis cérébelleux
 
 chez certains enfants
 
 autistes (E. Courchesne).
 
 vécus
 
 psychiatrie
 
 et de neurologie
 
 fonction
 
 de « peau psychique
 
 raient à l’origine
 
 De nombreuses lytiques nismes
 
 ont
 
 tenté
 
 recherches
 
 La prise
 
 en charge
 
 d’élucider
 
 psychopathologiques
 
 dans les psychoses introduisent primaire, excitation.
 
 précoces.
 
 les notions
 
 cadre des hôpitaux d’institution,
 
 d’autoérotisme,
 
 soignés
 
 de jour.
 
 qui permet
 
 lien familial,
 
 Dans ce type
 
 le maintien
 
 du
 
 s’effectue
 
 pluridisciplinaire
 
 : activité éducative visant
 
 individu
 
 dans un esprit
 
 à se reconnaître
 
 et à reconnaître
 
 1984),
 
 E., Reichler,
 
 Stratégies
 
 éducatives
 
 Congrès
 
 de langue
 
 comme
 
 en tant qu’indivi-
 
 l’enfant
 
 et scolaire
 
 ; travail
 
 R. Lansing, de l’autisme,
 
 F., 1977, Autisme
 
 M., 1988, Paris, Masson.
 
 et Psychose de l’enfant,
 
 Paris, Éd. du Seuil. Tustin,
 
 F., 1981, les États autistiques
 
 chez
 
 l’enfant,
 
 trad. fr. 1986, Paris, Éd. du Seuil.
 
 n.f. (angl. Self-Accusation)
 
 Action de s’accuser soi-même de fautes imaginaires ou très exagérées par rapport à leur réalité. Liée au sentiment perte de l’estime tôme habituel
 
 de culpabilité
 
 chothérapie
 
 de type psy-
 
 de rééducation
 
 en compte
 
 du trouble
 
 de soi, elle est un symp-
 
 de la dépression
 
 à l’oeuvre
 
 gration
 
 à temps partiel
 
 La plupart
 
 normal
 
 est généralement
 
 d’apporter
 
 du ; psy-
 
 de l’enfant,
 
 et soins pédiatriques.
 
 tal de jour permet,
 
 sur-
 
 Une inté-
 
 en milieu
 
 scolaire
 
 tentée
 
 lorsque
 
 le permet.
 
 Enfin,
 
 l’hôpi-
 
 si cela paraît nécessaire,
 
 aux parents,
 
 mélanco-
 
 lique. J. P.
 
 AUTOCINÉTIQUE (MOUVEMENT) (angl. Autokinetic Movement)
 
 les caractères
 
 instrumental
 
 individuelle
 
 l’état de l’enfant
 
 et à la
 
 adaptée à l’état de
 
 rééducatif
 
 ou travail
 
 française
 
 Paris, Masson.
 
 dus les autres membres du groupe ; activité pédagogique
 
 de
 
 dans le
 
 tique de l’enfant à amener l’enfant
 
 de psychiatrie.
 
 Schopler,
 
 Tustin,
 
 et
 
 AUTOACCUSATION au-
 
 la prise en charge thérapeu-
 
 veillance
 
 de système pare-
 
 autiste
 
 les enfants
 
 tistes sont généralement
 
 les méca-
 
 de narcissisme
 
 les contenus
 
 de l’enfant
 
 Dans les pays européens,
 
 particuliers psychana-
 
 de retenir
 
 et physiques.
 
 chomoteur
 
 psychanalytiques
 
 » (E. Bick) se-
 
 d’un défaut de contention
 
 du self, incapable mentaux
 
 de la
 
 (Luxembourg,
 
 du nourrisson
 
 ; trad.
 
 (0-3 ans). Signes précoces et
 
 du self et de l’objet,
 
 langage, prenant Domaines
 
 du jeune enfant
 
 pace intérieur
 
 du self et la non-élaboration
 
 une
 
 des concepts et du traitement
 
 Rapport
 
 interne
 
 infantile,
 
 Paris, Payot.
 
 diagnostics.
 
 d’espace
 
 Paris,
 
 Payot.
 
 d’es-
 
 L’absence
 
 Paris, Expan-
 
 M., 1977, Psychose infantile,
 
 a insisté sur l’absence
 
 pure surface.
 
 du
 
 française.
 
 même auteur comme
 
 et Troubles
 
 global de l’enfant,
 
 sion scientifique
 
 ; trad. fr.
 
 Jacob.
 
 Sauvage, D., 1984, Autisme
 
 ou la pensée. Ce
 
 vide, Paris,
 
 de l’autisme
 
 non dis-
 
 la tendance de l’organisme
 
 avec
 
 Gallimard.
 
 tion d’événements
 
 expliquer
 
 satisfaisant
 
 Bibliographie
 
 tés comme les témoins d’une défaillance
 
 pour la mémoire
 
 l’établisse-
 
 P. F.
 
 fr., 1991, Paris, P.U.F.
 
 unisensoriels
 
 enfin,
 
 comme une forme plus favorable
 
 Lelord,
 
 lui, la notion
 
 schizophrénique
 
 La névrotisation,
 
 1992, Paris, Éd. Odile
 
 corporelle.
 
 introduit,
 
 apparaît
 
 avec
 
 autrui.
 
 a introduit
 
 brutalement
 
 d’évolution
 
 ment d’un lien relationnel
 
 psychotique
 
 rompre
 
 se fait vers une
 
 possibilité
 
 d’évolution
 
 sorte de trou noir persé-
 
 venant
 
 D. Meltzer
 
 cer-
 
 de nouveaux
 
 de « dépression
 
 ponibles
 
 ou en sec-
 
 du processus psychotique
 
 courts. Ces résultats peuvent être interpréde filtre sensoriel et pourraient
 
 L’évolution
 
 soit globale
 
 à la créa-
 
 de
 
 mais il
 
 persistance
 
 à l’adolescence.
 
 la psychopatholo-
 
 Ainsi,
 
 également
 
 et
 
 de tous les affects.
 
 s’agit d’un vécu de rupture
 
 résultat
 
 déficitaire,
 
 parfois
 
 actuelles,
 
 résultat de ce processus aboutirait
 
 la fonction
 
 104
 
 du monde
 
 ment » du self. Le démantèlement
 
 neurophysio-
 
 Le pronostic
 
 majeur. Parfois, l’évolution
 
 autoérotisme
 
 Les études dans le domaine
 
 mais paraît moins souhaitable.
 
 s’effec-
 
 visant à l’effacement
 
 cuteur
 
 pratiquée
 
 d’une menace mortelle
 
 sion de la continuité
 
 univoque
 
 est parfois
 
 teur, est sans aucun doute le risque évolutif
 
 un désinvestissement
 
 reprise
 
 dans une pers-
 
 à cette
 
 un retrait
 
 la notion
 
 abaissé (G. Lelord).
 
 trop tôt
 
 du
 
 Parallèlement
 
 gie de l’autisme.
 
 était retrouvé
 
 autiste serait
 
 vécue par lui comme extrê-
 
 métoxyhydroxy-phénylglycol
 
 de la noradrénaline,
 
 la Forte-
 
 de modifications
 
 et par des méthodes
 
 reste encore
 
 concepts
 
 métabolite
 
 béhavioriste
 
 raison du fait qu’il serait confronté
 
 élevé chez les enfants autistes, alors que le principal
 
 pective
 
 La prise en autiste centrée
 
 de l’enfant,
 
 par les thérapeutiques
 
 tains auteurs
 
 (M.H.P.G.),
 
 comportement
 
 la proie d’une véritable angoisse de mort en
 
 S’inspirant
 
 a été trouvé
 
 sur la simple obtention
 
 de conditionnement,
 
 dans son ouvrage
 
 à une situation
 
 teurs ont mis en évidence une diminution
 
 de la noradrénaline
 
 d’une relation
 
 avec la mère.
 
 B. Bettelheim,
 
 les systèmes dopami-
 
 pagnée d’une élévation
 
 et sur le rôle, dans les états du maintien
 
 vés, une aide psychologique. charge éducative de l’enfant
 
 du système
 
 resse vide, pense que l’enfant
 
 nergiques et noradrénergiques,
 
 de dopamine
 
 pare-excitation symbiotiques,
 
 Ferrari).
 
 hallucinatoires
 
 et du renforcement
 
 de
 
 d’enfants
 
 sur le rôle, dans les états
 
 des conduites
 
 négatives
 
 auteurs
 
 un accroissement
 
 insiste
 
 durement
 
 éprou-
 
 Illusion dans laquelle garde dans l’obscurité neux immobile, continue, croit En psychologie que ce phénomène d’influence,
 
 un sujet qui reun point lumi-
 
 en le fixant de façon le voir se déplacer. sociale,
 
 on a montré
 
 était sensible aux effets
 
 et on l’a utilisé pour les étudier. J.-F. L. N.
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 fonder
 
 AUTODÉPRÉCIATION n.f. (angl. Self-Depreciation)
 
 de M. Balint
 
 Profonde atteinte de l’estime de soi, conduisant un sujet à émettre sur lui des jugements défavorables et péjoC’est un symptôme
 
 fréquent
 
 de la déJ. P.
 
 recherches
 
 que soient par ailleurs
 
 Le concept d’autoérotisme à Havelock
 
 est repris par
 
 Ellis, qui l’avait
 
 dans le vocabulaire
 
 scientifique
 
 1898. Mais, alors que Havelock gnait par là une excitation térieur
 
 intro-
 
 question l’objet faut-il
 
 en
 
 Ellis dési-
 
 surgissant à l’in-
 
 Freud considère
 
 que la
 
 porte moins sur la genèse que sur
 
 de la pulsion sexuelle. Quelle place donner à une pulsion qui ne choipas un objet à l’extérieur
 
 mais prendrait comme
 
 du corps
 
 une partie du corps propre
 
 objet susceptible
 
 satisfaction
 
 de procurer
 
 une
 
 ?
 
 chanalyse.
 
 est importante
 
 L’expérience
 
 à reconnaître
 
 pour la psy-
 
 de la cure oblige
 
 l’existence
 
 d’une
 
 sexualité
 
 infantile (c’est même peut-être la thèse à la fois la plus connue et la plus critiquée de la psychanalyse, Pourtant,
 
 au moins
 
 à l’origine).
 
 les enfants ne peuvent
 
 sexualité comparable
 
 qu’on
 
 le plus précoce de la phase néonatale à la théorie
 
 d’un
 
 » (Lust-Ich)
 
 « moi-plaisir
 
 avant
 
 même
 
 la réalité
 
 de savoir
 
 freudienne qui com-
 
 si ce qui est
 
 bon se retrouve
 
 dans
 
 consiste alors en ceci « qu’il n’y aurait pas de surgissement
 
 des objets s’il n’y avait pas
 
 des objets bons pour moi ». que l’enfant
 
 pas la puberté
 
 former
 
 d’objet
 
 ». Pourtant,
 
 la théorie
 
 n’attend
 
 sexualité
 
 ne se définit
 
 comme
 
 activité
 
 relation
 
 satisfaisante
 
 vivre une
 
 à celle des adultes, ils
 
 sexualité
 
 semble-t-il
 
 de l’enfant
 
 d’abord,
 
 n’était
 
 si la
 
 pas désignée
 
 satisfactions fonctions
 
 érogènes
 
 s’étayent
 
 du corps ; le plaisir
 
 exemple,
 
 sur la nutrition,
 
 maternel.
 
 Lorsque
 
 buccal, par
 
 la tétée du sein
 
 le sevrage intervient,
 
 même avant, le suçotement
 
 et
 
 se met en place
 
 comme activité autoérotique le corps propre.
 
 sur les
 
 retournée
 
 À la limite,
 
 sur
 
 ce qui ici don-
 
 nerait idée de ce qu’est l’autoérotisme,
 
 c’est
 
 la satisfaction de lèvres qui se baiseraient elles-mêmes plus encore que la succion du
 
 devait
 
 compris
 
 nuancer
 
 ce point
 
 dans des éditions
 
 de vue, y
 
 successives des
 
 Trois Essais. L’analyse du petit Hans, ainsi, lui donne enfants d’un
 
 l’occasion
 
 de trois
 
 choix
 
 remarque
 
 que « les
 
 à cinq ans sont capables
 
 d’objet
 
 et accompagné
 
 de relever
 
 tout à fait perceptible
 
 d’affects
 
 violents
 
 est une de celles
 
 ». Cette
 
 qui peuvent
 
 de résultats
 
 arguments
 
 expérimentaux.
 
 dans les situations
 
 adaptée
 
 à une
 
 à un partenaire.
 
 Elle
 
 peut aussi bien se constituer
 
 sans rapport
 
 à un autre, auquel d’ailleurs
 
 le sujet n’est
 
 accordé par aucune harmonie
 
 préétablie.
 
 à partir
 
 Par exemple,
 
 d’amorçage
 
 qui portent
 
 sur une décision lexicale, on peut observer deux sortes d’effets
 
 (
 
 Entre
 
 AMORÇAGE).
 
 doit
 
 porter
 
 la décision
 
 lexicale et le mot qui lui est relié sémantiquement, court,
 
 on peut laisser un intervalle
 
 très
 
 soit 200 ou 400 millisecondes. permet d’observer
 
 çage proprement
 
 Cet
 
 l’effet d’amor-
 
 dit. Or, avec un tel interincapable
 
 de la relation
 
 séman-
 
 tique qui existe entre les deux mots. Cela n’empêche d’avoir
 
 nullement
 
 l’effet
 
 d’amorçage
 
 lieu et le sujet ne peut s’y opposer.
 
 En outre, l’effet présente pour de telles durées un optimum plus important rapport
 
 (le raccourcissement
 
 le
 
 du temps de décision
 
 par
 
 à la situation
 
 neutre).
 
 Si l’intervalle
 
 est encore plus court, l’effet d’amorçage
 
 (le
 
 Dans la suite de son oeuvre (par exemple
 
 raccourcissement
 
 est
 
 dans l’Introduction
 
 encore moindre
 
 à la psychanalyse, 1916-
 
 1917), Freud eut tendance toérotisme
 
 et narcissisme
 
 à confondre primaire
 
 au-
 
 (
 
 NAR-
 
 depuis
 
 la thèse lacanienne
 
 miroir,
 
 comment
 
 narcissisme
 
 du stade du
 
 les répartir.
 
 investit
 
 Alors que le
 
 le corps dans sa tota-
 
 lité, prend pour objet l’image unifiante corps,
 
 l’autoérotisme
 
 parties
 
 du corps ou, mieux,
 
 d’orifices
 
 corporels
 
 du
 
 du temps de décision) ; aux alentours
 
 dizaines de millisecondes, Si, par contraste, intervalle
 
 Nous voyons mieux aujourd’hui,
 
 de quelques
 
 il devient nul.
 
 on laisse s’écouler
 
 un
 
 plus long entre les deux stimu-
 
 lus (par exemple 2 secondes), temps de prendre sémantique
 
 conscience
 
 existante
 
 le sujet a le de la relation
 
 et il peut développer
 
 des stratégies mentales.
 
 des
 
 On dira dès lors que les effets d’amorçage,
 
 les « bords »
 
 tels qu’ils sont observés avec un intervalle
 
 concerne,
 
 lui,
 
 court, sont involontaires,
 
 investis par la libido. R. C.
 
 rapides, irrépres-
 
 sibles, et donc automatiques.
 
 Au contraire,
 
 les effets que l’on observe avec un intervalle plus long sont contrôlés AUTOÉVALUATION n.f. (angl. Self-Evaluation, Self-Rating)
 
 Dans
 
 certaines
 
 logiques, intérêts,
 
 épreuves
 
 évaluation
 
 lui-même
 
 L’irrépressibilité
 
 psycho-
 
 par
 
 le
 
 de tel ou tel aspect de sa personnalité,
 
 attitudes,
 
 sujet de ses de ses
 
 etc.
 
 Ces épreuves après chacun
 
 comportent
 
 desquels
 
 une procédure
 
 des items
 
 on offre
 
 de réponse
 
 au sujet
 
 peut s’appliquer
 
 et facilement matiques
 
 de
 
 à lui. M. R.
 
 si quelqu’un
 
 psychologique
 
 Par exemple,
 
 haute
 
 cette dernière
 
 est dit. Les activités
 
 de compréhension
 
 J.-F. L. N.
 
 En psychologie
 
 GÉNÉR. 2.
 
 et psychiatrique.
 
 sensori-motrices
 
 d’activités
 
 par l’exercice.
 
 se
 
 tionner
 
 automa-
 
 attentionnelles d’une
 
 autre
 
 d’interférences.
 
 automatiques
 
 simultanément,
 
 des
 
 Un tel traitement
 
 ainsi la réalisation
 
 tâche sans provoquer
 
 sont
 
 devenues
 
 pas de ressources
 
 traitements J. P.
 
 cognitive,
 
 dit d’un type de traitement exécuté sans contrôle cognitif sur le déroulement de ses opérations.
 
 et permet dans le langage
 
 du
 
 plexité, sont automatiques.
 
 n’utilise
 
 à la mort.
 
 ce qui
 
 langage, en dépit de leur très grande com-
 
 tiques
 
 autodestructeur
 
 à proxi-
 
 de comprendre
 
 exemples
 
 de suicide,
 
 à voix
 
 auto-
 
 ne peut s’empêcher
 
 n.f. (angl. Autolysis)
 
 Synonyme
 
 parle
 
 important
 
 des activités
 
 mité d’une autre personne,
 
 Les habiletés
 
 conduisant
 
 observable
 
 les plus communes.
 
 AUTOLYSE
 
 Comportement
 
 est un critère
 
 lui permettant
 
 de dire dans quelle mesure le contenu l’item
 
 par les stratégies
 
 du sujet, lents, et peuvent être empêchés.
 
 pouce ou de la tétine. Freud
 
 de nouveaux
 
 de se rendre compte
 
 comme autoérotisme. Freud, dans les Trois Essais sur la théorie sexuelle (1905), montre comment les
 
 une ligne de pensée classique,
 
 de l’autoéro-
 
 ne peuvent l’accomplir dans le cadre d’une relation d’amour et de désir. Il y aurait contradiction,
 
 a reçu
 
 volontaire/involontaire,
 
 valle, le sujet est parfaitement
 
 pas essentiellement
 
 finalisée,
 
 La distinction
 
 des « choix que la
 
 qui se ca-
 
 ractérise par son aspect involontaire, très rapide et irrépressible.(Contr. contrôlé, délibéré.)
 
 intervalle
 
 Il semble indubitable pour
 
 Se dit d’une activité
 
 GÉNÉR. 1.
 
 le mot sur lequel
 
 L’autoérotisme
 
 DÉNÉGATION).
 
 AUTOMATIQUE adj. (angl. Automatic)
 
 qui reprend
 
 ce qui est bon pour
 
 comme
 
 (
 
 ». Si
 
 parler d’autoérotisme,
 
 c’est en se référant
 
 CISSISME).
 
 Cette question
 
 les critiques
 
 tisme a le mérite de nous apprendre
 
 même du corps et non pas provo-
 
 quée de l’extérieur,
 
 quelles
 
 qu’il y a des objets « dès le temps
 
 ainsi défini
 
 Forme de manifestation de la pulsion sexuelle, en tant que celle-ci ne se dirige pas vers d’autres personnes, ou plus généralement vers des objets extérieurs, mais se satisfait dans le corps propre du sujet.
 
 sur la relation
 
 peut leur faire. J. Lacan devait également
 
 lui
 
 ; allem. Autoerotis
 
 celles
 
 intéressantes
 
 mence par distinguer
 
 AUTOÉROTISME n.m. (angl. Auto-Erotism mus)
 
 Freud
 
 ultérieures,
 
 par exemple,
 
 l’on peut cependant
 
 pression mélancolique.
 
 sirait
 
 d’objet,
 
 souligner
 
 ratifs.
 
 duit
 
 les recherches
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 peuvent
 
 Les fonc-
 
 en parallèle.
 
 Ils 105
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 sont indivisibles
 
 et modulaires
 
 ficile d’intervenir n’exigent
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 sur leur déroulement.
 
 que peu d’efforts
 
 oeuvre et conduisent d’un niveau
 
 et il est dif-
 
 phénomène
 
 Ils
 
 pour être mis en
 
 était pour lui un trouble
 
 de nature
 
 nique, à partir
 
 probablement
 
 et en préci-
 
 explication
 
 sion. C. B.
 
 lisatrice
 
 et atomistique
 
 AUTOMATIQUE
 
 clinique
 
 n.f. (angl. Automatics)
 
 d’un syndrome
 
 modélisation
 
 des systèmes
 
 La physiologie sensorielles modèles
 
 par l’étude
 
 diagnostic
 
 décrire
 
 de nombreux
 
 psychiatrique.
 
 Activité mentale et psychomotrice échappant au contrôle de la volonté consciente du sujet. Certains de ces automatismes de la vie quotidienne, ticulier
 
 représentant
 
 phénomènes psychopathologiques entraînant chez le patient le sentiment et la conviction délirante qu’il n’est plus maître de sa volonté et qu’une force étrangère et extérieure
 
 conduites
 
 à lui agit sur lui et contrôle toute activité psychique en dirigeant actes, sa pensée et ses perceptions.
 
 si prisée des poètes surréalistes
 
 son ses
 
 normale
 
 pouvant
 
 sujet),
 
 d’un
 
 des actes et écho de la
 
 duisant
 
 moteur
 
 par des impulsions
 
 des tics et des stéréotypies sitant
 
 la motricité
 
 et d’un
 
 avec de multiples
 
 au
 
 et sensitif
 
 hallucinations
 
 visuelles,
 
 (goûts bizarres dans la bouche),
 
 olfactives
 
 (odeurs
 
 génitales
 
 (sensations
 
 anidéiques,
 
 psychosensoriels
 
 c’est-à-dire
 
 ment délirant,
 
 -
 
 restant
 
 sans accompagne-
 
 au début.
 
 Dans le petit automatisme,
 
 les troubles sont
 
 plus discrets,
 
 : simples
 
 plus subtils
 
 ments d’étrangeté de souvenirs
 
 senti-
 
 de la pensée, de dévidage
 
 non sollicités,
 
 des idées abstraites,
 
 d’émancipation
 
 de réflexions
 
 (xénopathie).
 
 Cet automatisme
 
 mental apparaissait,
 
 Clérambault, la psychose
 
 comme le point de départ de hallucinatoire
 
 chronique.
 
 Le
 
 vivant
 
 un système qui tend à se conser-
 
 L’écriture
 
 automatique a pu être
 
 n’est pas moins
 
 nisme parvenu
 
 à ces exigences de se
 
 psychomoteurs
 
 peuvent
 
 au cours d’états « seconds » chez
 
 commotions
 
 Certaines victimes de
 
 cérébrales peuvent également un train, au cours des
 
 qui suivent leur accident, dans une ambulatoire,
 
 sans en
 
 souvenir.
 
 l’enfant,
 
 Chez l’enfant,
 
 l’automutilation
 
 serait le
 
 résultat d’un échec dans l’établissement objectales
 
 des
 
 du propre
 
 ses actions,
 
 avec l’autre,
 
 de recherche
 
 de déplaisir.
 
 par un compor-
 
 à la fois de plaisir
 
 Spécifiquement
 
 ce comportement
 
 le
 
 point de vue de
 
 qu’à chaque âge ses ses jeux constituent
 
 fait, de même que le têtard n’est pas « une grenouille
 
 manquée ».
 
 Dans cette optique, dier comme
 
 formes plutôt
 
 la motricité, l’intelligence
 
 des instruments vicariantes.
 
 attaché à montrer
 
 la percepsont à étu-
 
 d’adaptation Claparède s’est combien,
 
 dans
 
 le respect de la loi d’autonomie qui conduit
 
 d’activités
 
 spontanées
 
 qu’à lui imposer
 
 était bénéfique
 
 à solliciter
 
 les
 
 de l’enfant
 
 celles de l’adulte,
 
 au développement.
 
 L’expé-
 
 rience d’éducation fonctionnelle réalisée par la Maison des petits à Genève a constitué l’illustration
 
 éclatante de cette concep-
 
 tion. H. B.
 
 AUTOORGANISATION n.f. (angl. Self-Organization)
 
 précoces, échec qui le
 
 à ne disposer que de son corps pour
 
 rait l’autre
 
 qui
 
 ». Si, au lieu de se prendre
 
 il comprendra
 
 l’éducation,
 
 d’une schizophrénie (dans ce dernier cas, sous forme fréquente d’impulsions autocastratrices), et chez l’enfant dans celui d’une arriération mentale ou d’une évolution psychotique.
 
 conduite
 
 et qu’il est ca-
 
 une réponse appropriée à ses besoins du moment et qu’il n’est pas un adulte impar-
 
 surtout
 
 Comportement autodestructeur pouvant conduire au suicide, apparaissant chez l’adulte dans le cadre d’une dépression mélancolique ou
 
 roagressif
 
 orga-
 
 « aux circonstances
 
 tion, la mémoire, J. P.
 
 réduit
 
 qu’un
 
 à sa maturité
 
 développement réactions,
 
 ou d’états crépusculaires
 
 chez des épileptiques.
 
 minutes
 
 unifié
 
 imma-
 
 pour référence, l’adulte accepte d’étudier
 
 de sa propre pour
 
 l’organisa-
 
 tion. Du fait que « tout organisme constitue
 
 la
 
 les lois structurales
 
 d’en comprendre
 
 lui sont propres
 
 tement
 
 par
 
 d’en comprendre
 
 comme
 
 la censure interdisant
 
 fonctionnement
 
 action extérieure
 
 Elle permet
 
 pable d’adaptation
 
 l’impression
 
 par contrainte,
 
 pement.
 
 ainsi considérée comme un moyen de lever
 
 cela donnant
 
 de la pensée, comme
 
 fait partie des lois qui régissent le dévelop-
 
 ture
 
 de la pensée, tout
 
 passif
 
 qui
 
 fectives profondes.
 
 une relation
 
 au sujet
 
 fonctionnelle,
 
 qu’un organisme
 
 relations
 
 et séries
 
 qu’est due
 
 Cette loi implique
 
 de mots imposées, d’arrêt subit du courant d’un
 
 d’autonomie
 
 fonctionnelle,
 
 inex-
 
 (1930)
 
 sant échapper des exigences instinctivo-af-
 
 lais-
 
 AUTOMUTILATION n.f. (angl. Self-Mutilation)
 
 et
 
 viscérales
 
 AUTONOMIE FONCTIONNELLE (angl. Functional Autonomy)
 
 et des fonctions
 
 tactiles,
 
 pliquées, spasmes, décharges électriques) tous ces troubles
 
 du
 
 du patient,
 
 sensoriel
 
 (douleurs
 
 l’altération
 
 gestuelles para-
 
 voluptueuses)
 
 J. P.
 
 fonctionnelle.
 
 garder ensuite le moindre
 
 gustatives
 
 cénesthésiques
 
 sont des
 
 inconscientes
 
 sorte d’automatisme
 
 se tra-
 
 désagréables),
 
 de
 
 qui n’est pas soi et pour affirmer
 
 permettent
 
 (P. Janet) ou la libé-
 
 d’infrastructures
 
 se déplacer, prendre
 
 qui entraînent
 
 volontaire
 
 automatisme
 
 et de vol
 
 de phrases d’allure
 
 automatisme
 
 de l’existence
 
 la loi d’autonomie
 
 ration
 
 des hystériques,
 
 verbales
 
 imposées
 
 au moins
 
 une unité. De là découle
 
 apparaître
 
 est fait à la fois d’un automa-
 
 qui seraient
 
 quelqu’un
 
 avec l’envi-
 
 l’autre
 
 conscience
 
 tenta-
 
 ver », il a toujours
 
 Le premier
 
 impersonnelle,
 
 exprimer
 
 champ de conscience
 
 Les automatismes
 
 de la pensée, répétitions
 
 avoir
 
 signification
 
 à l’adaptation
 
 du sujet. Mais d’autres
 
 matisme mental.
 
 de devinement
 
 en par-
 
 manifester.
 
 un grand et un petit auto-
 
 pensée, sentiment
 
 de solliciter
 
 la notion
 
 toute une série de comportements
 
 réflexes et d’actes habituels
 
 avec commentaires
 
 pour
 
 un contact
 
 C’est à É. Claparède
 
 font partie
 
 Syndrome décrit par G. G. de Clérambault, caractérisé par l’association de
 
 (hallucinations
 
 tive de maintenir
 
 une dernière
 
 Caractéristique d’un être animal qui, à chaque moment de son développement, constitue une unité fonctionnelle dont les capacités de réaction sont ajustées à ses besoins.
 
 et des systèmes
 
 AUTOMATISME MENTAL (angl. De Clerambault’s Syndrome)
 
 106
 
 même la plus récente du
 
 AUTOMATISME PSYCHIQUE (angl. Psychic Automatism)
 
 C. B.
 
 tisme idéo-verbal
 
 profond,
 
 avant le retrait
 
 J. P.
 
 sensoriels.
 
 On distingue
 
 autistique
 
 ultime
 
 très fine
 
 physiques.
 
 le fonctionnement
 
 des systèmes neuroniques
 
 ainsi une conduite
 
 est
 
 sa propre existence.
 
 Reste une description
 
 et la psychophysique
 
 lui empruntent
 
 pour
 
 et la
 
 L’automutilation
 
 qui a gardé tout son intérêt
 
 dans la pratique
 
 concernée
 
 loca-
 
 qui n’est plus dé-
 
 phénoménologiquement
 
 vers vide et morcelé.
 
 ronnement,
 
 de la construction
 
 liée à une psychopathologie
 
 fendue actuellement.
 
 Discipline
 
 dans
 
 le délire. C’était une
 
 mécaniciste
 
 délirante,
 
 orga-
 
 duquel se développait,
 
 une phase secondaire,
 
 à des performances
 
 élevé en rapidité
 
 cérébral
 
 initial
 
 sollicite
 
 angoisse.
 
 est finalement autoagressive
 
 et
 
 relationnel,
 
 autrui au niveau Un aspect inclus
 
 : l’enfant
 
 hété-
 
 dans toute y accuse-
 
 de le laisser seul dans son uni-
 
 Fonctionnement d’un système dont la régulation est intrinsèque et provient non d’une action programmatrice externe, mais de la coopérativité composants. L’autoorganisation tral de l’approche au contrôle MIQUES
 
 est un concept dynamique
 
 moteur.
 
 [THÉORIE
 
 de ses
 
 DES].)
 
 (
 
 cen-
 
 appliquée
 
 SYSTÈMES
 
 DYNA-
 
 Ce concept exprime
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 l’idée
 
 que la coordination
 
 propriété
 
 émergente
 
 du système
 
 liée à son organisation des éléments
 
 motrice
 
 est la moteur,
 
 et à la coopérativité
 
 qui le composent,
 
 supérieure
 
 venant
 
 du système
 
 explique
 
 qu’un
 
 d’état puisse survenir centrale, d’un
 
 En fait, les structures
 
 cérébrales
 
 réponse
 
 avec faci-
 
 de récompense)
 
 donnent
 
 conditionnelle
 
 du sys-
 
 changement
 
 J.-F. L. N. AUTOSTIMULATION
 
 entraînant
 
 de nouvelles
 
 ainsi émerger
 
 des faibles,
 
 élément
 
 d’une ancienne
 
 perturbe
 
 configuration.
 
 L’autoritarisme
 
 l’égard
 
 à la rigidité,
 
 de l’ambiguïté,
 
 augmente
 
 sonnalité autoritaire
 
 miroir
 
 alternés
 
 le passage de mou-
 
 à des mouvements
 
 lorsque le rythme
 
 à l’intolérance
 
 à
 
 ce qu’analysent
 
 T.
 
 et ses collaborateurs
 
 dans la PerM. R.
 
 » bi-
 
 sont des exemples souvent cités
 
 de réorganisations s’expliquant
 
 immédiates
 
 de synergies
 
 plus par l’autoorganisation
 
 système moteur
 
 du
 
 que par une programma-
 
 tion au niveau du système nerveux central. J. F.
 
 AUTORITÉ PARENTALE (angl. Parental Authority)
 
 AUTOPUNITION n.f. (angl. Self-Punishment)
 
 place
 
 Conduite de punition de soi-même, généralement liée à de forts sentiments de culpabilité imaginaire.
 
 exercée
 
 Dans
 
 la théorie
 
 conduites
 
 autopunitives
 
 sion entre un surmoi
 
 la notion
 
 les
 
 sont liées à la ten-
 
 autoritaire
 
 et exigeant,
 
 parentale
 
 de puissance
 
 Dans la famille
 
 psychanalytique,
 
 légitime,
 
 rem-
 
 cette autorité
 
 conjointement
 
 est
 
 par le père et la
 
 mère. S’il s’agit de parents
 
 naturels,
 
 la loi
 
 rité par la mère) par simple déclaration
 
 fonctionnels
 
 viscéraux.
 
 sont aussi caractéristiques mélancolique, toaccusation mutilation
 
 Elles
 
 de la dépression
 
 où elles accompagnent et peuvent
 
 conduire
 
 l’au-
 
 à l’auto-
 
 l’auto-
 
 en commun
 
 le juge indique
 
 de ce pouvoir,
 
 le parent
 
 chez lequel
 
 les
 
 enfants ont leur résidence habituelle. M. G.
 
 et même au suicide. J. P.
 
 AUTOSTIMULATION n.f. (angl. Self-Stimulation)
 
 AUTORÉGULATIONn.f. (angl. Self-Regulation)
 
 HOMÉOSTASIE
 
 En 1954, les physiologistes
 
 Renforcement, instrumental ou opérant, qu’un individu peut se donner lui-même cérébralement de façon directe en effectuant une réponse. Le renforcement de rendre
 
 a pour
 
 plus fort
 
 comportement
 
 ou plus fréquent
 
 donné.
 
 ment est utilisé
 
 conséquence
 
 où très
 
 peu de chaînons
 
 externes
 
 le comportement
 
 et son renforcement.
 
 cérébrale,
 
 qu’on
 
 La
 
 chez des Rats
 
 d’une électrode implan-
 
 tée dans leur cerveau. est constitué
 
 entre
 
 est l’autostimulation
 
 a produite
 
 par l’intermédiaire
 
 existent
 
 Un autre exemple
 
 par les auto-injections
 
 et Peter
 
 d’une
 
 Milner
 
 ont
 
 régions
 
 cérébrales
 
 de délivrer rant
 
 un levier
 
 relié
 
 sur
 
 pour
 
 se
 
 Un tel comportement aucun
 
 besoin l’animal
 
 tout son temps et toute son
 
 à s’autostimuler,
 
 jusqu’à
 
 ses besoins les plus élémentaires sommeil)
 
 de cou-
 
 ; bien au contraire,
 
 peut consacrer
 
 rat,
 
 capable
 
 à appuyer
 
 apparemment
 
 physiologique énergie
 
 quantités
 
 à cette électrode
 
 lui-même.
 
 ne satisfait
 
 qu’un
 
 dans certaines
 
 se mettait
 
 et à en mourir.
 
 portement
 
 alimentaire
 
 thalamus.
 
 D’autres
 
 ; certaines zones du
 
 régions
 
 tente d’échapper
 
 négliger
 
 (faim, soif,
 
 D’où l’hypothèse
 
 par la plupart,
 
 des drogues
 
 amphétamine,
 
 morphine,
 
 bis et peut-être
 
 alcool) : l’action
 
 est remplacée,
 
 si
 
 (cocaïne,
 
 nicotine,
 
 canna-
 
 du courant
 
 dans ce cas, par due à la mise et à l’activation S. P.
 
 AUTOSUGGESTION n.f. (angl. Autosuggestion)
 
 Suggestion que l’on se donne à soimême consciemment ou non, de telle sorte que la conduite suggérée (et imaginée) à un moment donné se réalise, en dehors de la volonté consciente, d’une manière presque automatique. comportement
 
 cérébrale
 
 sur la vie psychique
 
 produit
 
 », en d’autres
 
 et le
 
 d’une idée qui a été, au dé-
 
 part, volontairement A. A. Liébeault
 
 privilégiée
 
 sert de fon-
 
 de É. Coué, élève de
 
 et de H. Bernheim.
 
 Il a com-
 
 pris le premier qu’il ne fallait pas confondre l’autosuggestion de la volonté.
 
 avec une simple éducation L’autosuggestion
 
 tôt « une éducation
 
 serait plu-
 
 de l’imagination
 
 ». Et il
 
 n’y aurait suggestion que lorsque la volonté et l’effort
 
 sont suspendus. Ce qui l’amenait
 
 à penser que toute suggestion ment par l’autosuggestion. soumis au suggestionneur en apparence
 
 qu’en réalité
 
 dans la mesure
 
 passe forcé« Le sujet est
 
 beaucoup
 
 plus
 
 : il est soumis
 
 où il s’imagine
 
 et s’auto-
 
 suggère qu’il doit l’être. Que le praticien serve donc de la suggestion tion),
 
 mais seulement
 
 On retrouve
 
 » dont la stimulation
 
 termes du plaisir.
 
 décrit pré-
 
 en partie, de com-
 
 le plaisir procuré
 
 récompense
 
 cage électrifiée,
 
 de sorte
 
 et le phéno-
 
 cérébrale
 
 permettent,
 
 ont
 
 à l’autosti-
 
 Le modèle d’autostimulation
 
 d’éduquer
 
 une « satisfaction
 
 cérébrales
 
 que l’animal
 
 électrique
 
 est
 
 dans le com-
 
 une valeur négative,
 
 prendre
 
 attenlatéral,
 
 au contraire
 
 qu’il existe dans le cerveau un « système de
 
 drogue calmante qu’un Rat, placé dans une peut se donner en appuyant
 
 majoritairement
 
 dement à la méthode
 
 une électrode
 
 de faibles
 
 électrique,
 
 Animal élec-
 
 James Olds
 
 montré
 
 chez qui on avait implanté
 
 stimuler
 
 L’autorenforce-
 
 dans les situations
 
 plus caractéristique
 
 un
 
 impliqué
 
 dont le
 
 ; hypothalamus
 
 Cette influence
 
 Procédure par laquelle un s’administre une stimulation trique intracérébrale.
 
 AUTORENFORCEMENT n.m. (angl. Self-Reinforcement)
 
 démontré
 
 des drogues
 
 En cas de divorce,
 
 par les deux parents, soit par l’un d’eux. En cas d’exercice
 
 des
 
 de-
 
 est exercée soit en commun
 
 de troubles
 
 et
 
 et stratégiques
 
 des neurones à dopamine.
 
 rité parentale
 
 ou
 
 décisionnels
 
 est, à défaut, exercée en prio-
 
 des enfants mineurs,
 
 frigidité)
 
 tionnels,
 
 jeu de certains récepteurs
 
 tale (laquelle
 
 struc-
 
 mnésiques,
 
 paren-
 
 selon l’intérêt
 
 du plaisir sexuel (dyspareunie,
 
 rôle dans les processus
 
 à exercer conjointement
 
 l’autorité
 
 par
 
 limbique
 
 préfrontal,
 
 une action pharmacologique
 
 sous forme
 
 de refus
 
 ; cortex
 
 du 22 juillet 1987 leur permet de demander
 
 vant le juge des tutelles.
 
 d’échec,
 
 accumbens,
 
 addictives
 
 ce n’est l’ensemble
 
 paternelle.
 
 et le moi. Elles se voient chez les névrosés, de conduite
 
 en particulier
 
 cédemment
 
 1971, l’autorité
 
 innervées
 
 états affectifs en général et dans la régula-
 
 mène de satisfaction
 
 et non
 
 établi,
 
 un rôle clé dans la régulation
 
 biens de leur émancipé. Depuis
 
 dans les effets hédo-
 
 au système
 
 mulation.
 
 mineur
 
 intra-
 
 neuromédiateur
 
 : nucleus
 
 Pouvoir que la loi reconnaît au père ou à la mère sur la personne et les enfant
 
 à un
 
 aux neurones
 
 des régions
 
 ture appartenant
 
 bien
 
 (1950).
 
 lieu
 
 est clairement
 
 tion des propriétés
 
 manuel (frappe d’un doigt sur une touche) augmente
 
 la dopamine,
 
 jouant
 
 au mépris
 
 en
 
 du « tapping
 
 des
 
 associé à la
 
 à l’égard des supérieurs,
 
 Adorno
 
 vements
 
 contenant
 
 et à l’ensemble
 
 est souvent
 
 Le passage du trot au galop quand la vitesse ou encore
 
 correspondent
 
 nistes des drogues
 
 Attitude d’un individu exigeant autres obéissance et subordination.
 
 servilité
 
 lorsqu’un
 
 crânienne
 
 dont le rôle privilégié AUTORITARISME n.m. (angl. Authoritarianism)
 
 (système
 
 d’autostimulation
 
 ces neurones
 
 par le changement
 
 qui
 
 comportement
 
 lité.
 
 relations au sein d’une synergie motrice. Une nouvelle configuration motrice peut la stabilité
 
 s’établit
 
 sans programmation
 
 simplement
 
 paramètre
 
 aussi, une
 
 nerveux
 
 central. La part d’autoorganisation tème moteur
 
 sur un levier. Dans ces situations
 
 sans qu’il
 
 soit besoin de faire appel à une régulation
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 (hétérosugges-
 
 comme d’un moyen
 
 l’autosuggestion
 
 des méthodes
 
 se
 
 » (C. Baudoin).
 
 ces mêmes principes
 
 à la base
 
 actuelles de suggestopédie. J. P.
 
 107
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 seulement
 
 AUTOTOPOAGNOSIE n.f. (angl. Autotopoagnosia)
 
 Notons
 
 parties
 
 importantes
 
 misphère
 
 dominant
 
 qu’elle troubles
 
 Cela explique
 
 et agnosiques
 
 difficile
 
 de ses symptômes
 
 sur les
 
 le plus souvent
 
 aphasiques
 
 de l’Autre
 
 sur l’hé-
 
 et débordant
 
 et occipitale.
 
 plexes rendant
 
 perdu, l’altérité
 
 à des lésions
 
 siégeant
 
 s’accompagne
 
 en tant
 
 de
 
 com-
 
 qu’objet
 
 radicalement
 
 à partir
 
 de celle de la Chose*. Si,
 
 J. P.
 
 chiques
 
 des instances
 
 s’accompagne
 
 on peut dire que l’Autre,
 
 hors d’atteinte, c’est à la fois la loi
 
 pour la psychanalyse, rapport
 
 du sujet à l’autre,
 
 D’emblée,
 
 bien sûr, l’accent
 
 place et la fonction auxquels
 
 se forme
 
 présente d’ailleurs
 
 de façon articulée le rap-
 
 rivalité,
 
 frères
 
 des registres son moi,
 
 méconnaissance, d’identification tification autant
 
 de l’enfant
 
 : de
 
 faut-il,
 
 distinguer
 
 un Autre
 
 de l’OEdipe
 
 au moins à introduire Autre.
 
 Ainsi,
 
 apparaître l’imaginaire fouettard,
 
 pas,
 
 du parte-
 
 nérations, 108
 
 de la loi qui
 
 de quoi s’ordonne
 
 c’est-à-dire
 
 un lieu où insiste un
 
 articulable. R. C.
 
 AVERSIF (TRAITEMENT) (angl. Aversion Therapy)
 
 les sexes et les générales relations
 
 de
 
 Technique de psychothérapie basée sur la répulsion ou la répugnance. L’aversion
 
 a été utilisée
 
 ne suffit,
 
 C’est par l’Autre
 
 l’expression
 
 que le sujet
 
 dans le mot d’es-
 
 d’une
 
 ou agressive.
 
 l’Autre
 
 du langage que
 
 pensée obscène,
 
 Cette définition
 
 de
 
 comme ordre du langage s’articule avec celle que l’on peut produire
 
 le
 
 ici
 
 peut
 
 empruntées
 
 à
 
 ou du père avec l’autre
 
 Mais, par sa place dans le disempêche de confondre
 
 dont les gé-
 
 de laisser subsister une relation
 
 l’alcoolisme,
 
 même
 
 niques
 
 aversives
 
 cures de dégoût,
 
 « signifiant
 
 qui dans l’Autre
 
 en tant que lieu
 
 est le signifiant
 
 de l’Autre
 
 à faire suivre
 
 nociceptif.
 
 en
 
 associer
 
 C’est
 
 ainsi
 
 couramment
 
 une ingestion
 
 d’un produit provoqués véritable
 
 le patient
 
 désagréable, voire d’un
 
 à
 
 à la prise
 
 les vomissements
 
 par ce dernier répulsion
 
 consistent
 
 d’alcool
 
 émétique,
 
 que les
 
 pratiquées
 
 depuis 1929 dans l’éthylisme, le
 
 pas
 
 Les tech-
 
 dont se plaint
 
 d’une conséquence
 
 C’est
 
 c’est-à-dire
 
 et
 
 dans des cas où,
 
 consistent
 
 le comportement
 
 de tout élément imaginaire. le Nom-du-Père,
 
 exhi-
 
 travestisme
 
 accessibles à une psychothérapie.
 
 dernière culation,
 
 (pédophilie,
 
 pour des raisons diverses, ils n’étaient
 
 stimulus
 
 d’arti-
 
 et des problèmes
 
 homosexualité)
 
 cette
 
 Le désir
 
 et la jouissance
 
 Dès lors qu’elle est introduite, rie de l’Autre
 
 D’autres cette catégo-
 
 se révèle indispensable
 
 entraînant
 
 pour l’alcool,
 
 pour
 
 méthodes,
 
 une
 
 auquel ils
 
 en vogue à la fin des
 
 années 1950 mais tombées en désuétude de nos jours, soumettent
 
 le sujet à un véritable
 
 situer une bonne part de ce que la psycha-
 
 rappel à l’ordre
 
 nalyse est appelée à connaître.
 
 de faibles stimulations
 
 cient, par exemple, constitue
 
 ce qu’il en est de cet
 
 le père, par exemple,
 
 comme
 
 en dégageant
 
 des re-
 
 servir
 
 états, tels les états de dépendance
 
 de l’OEdipe,
 
 qui est au point
 
 réduire
 
 certains
 
 à partir
 
 le Nom-du-Père*,
 
 pour
 
 sont imputés.
 
 aussi des
 
 pourrait
 
 la vie
 
 avec
 
 tant que lieu de la loi ».
 
 cours de la mère, il est aussi l’Autre l’évocation
 
 toujours
 
 C’est dans le langage
 
 toujours
 
 du signifiant
 
 radicalement
 
 il peut se confondre
 
 psychique,
 
 fondamentale-
 
 pour le sujet
 
 se confond
 
 et que se codifient
 
 absurde
 
 une se-
 
 spéculaires,
 
 du père débonnaire
 
 de la rivalité.
 
 à la limite
 
 du langage.
 
 à le définir.
 
 à lui, dont il dépend
 
 sous les formes
 
 ment ce à partir
 
 fétichisme,
 
 même quand il prétend le maîtriser. La théorie
 
 Il constitue
 
 bitionnisme,
 
 à se
 
 tension.
 
 dans le sujet n’est pas l’étranger
 
 en même temps,
 
 c’est que, au-delà
 
 et extérieur
 
 l’ordre
 
 nul signifiant
 
 de l’altérité
 
 sujet est pris dans un ordre
 
 au plus vite une moindre
 
 de re-
 
 discours qui est articulé, même s’il n’est pas
 
 par cette conven-
 
 imaginaires,
 
 qui lui permettent
 
 sexuelle
 
 du petit autre.
 
 identifications
 
 celles du plaisir,
 
 d’orientation
 
 un
 
 antérieur
 
 l’Autre,
 
 d’ailleurs
 
 au-delà
 
 par des voies balisées,
 
 puisque
 
 qui ne se résorbe
 
 du moi,
 
 sujet si aisément
 
 L’Autre
 
 par
 
 à ce qui fait repasser le
 
 à reprendre,
 
 tendant
 
 strictement
 
 autre auquel il se réfère, ce qui in-
 
 prit*,
 
 présentations
 
 par rapport
 
 recherche
 
 d’une certaine
 
 c’est-à-dire
 
 comme satisfaction
 
 dans une
 
 que J. Lacan écrit avec un A majuscule,
 
 d’écriture,
 
 de l’Autre.
 
 après cela à souligner
 
 tente de faire accepter,
 
 Ce qu’il s’agit de marquer
 
 se présente
 
 à se situer,
 
 une dimen-
 
 A », pour le distinguer
 
 elle-même
 
 une
 
 On notera que la jouissance*
 
 le sujet va chercher
 
 de
 
 et
 
 tion
 
 Ainsi
 
 la castration.
 
 trouver
 
 Autre,
 
 pas toute phallique,
 
 qui ne serait pas ordonnée
 
 Autre
 
 C’est à par-
 
 jouissance
 
 parenté. C’est dans l’Autre
 
 en être opposée
 
 naire imaginaire,
 
 l’accès
 
 de
 
 que peut être introduite
 
 d’une
 
 ou l’étrangeté.
 
 de l’angoisse
 
 Ce qui constitue
 
 comme Autre.
 
 constitue
 
 qui n’est pas un semblable
 
 « grand
 
 l’angoisse.
 
 une de celles qui donnent
 
 qualifie
 
 dimension
 
 conde, une altérité
 
 la question
 
 tions
 
 ressembler de plus en plus.
 
 cependant
 
 C’est pourquoi
 
 source d’agressivité
 
 façon s’efface, les partenaires
 
 doit
 
 qui provoque
 
 de ce qui tout
 
 pas. Il est
 
 une dimension
 
 où l’altérité
 
 À cette première
 
 tue cela même
 
 que se distinguent
 
 à l’image de l’autre : l’iden-
 
 sion de l’autre
 
 sur ce désir consti-
 
 c’est le langage lui-même.
 
 à travers des mécanismes
 
 que d’amour,
 
 en
 
 nous commande,
 
 que l’enfant
 
 imaginaire,
 
 cela, mais que me veut-il
 
 le signifiant
 
 qui ne s’équivalent
 
 avec toute
 
 recèle : « Il
 
 clut notamment
 
 d’évidence,
 
 par exemple,
 
 de l’Autre,
 
 est mis sur la
 
 et soeurs. Encore
 
 même à ce niveau
 
 à la jouissance
 
 mais à la demande
 
 l’essentiel.
 
 aussi l’idée jouissance
 
 l’ordre
 
 mère, père, voire, dans une dimension
 
 clair,
 
 avec
 
 ou à l’Autre.
 
 le désir
 
 est phallique,
 
 hommes et des femmes au phallus, qualifie tir de là d’ailleurs
 
 « La Chose [...]
 
 le plus direct à cette dimension
 
 de ceux par rapport
 
 libido
 
 resurgit
 
 même en tant qu’interdite.
 
 constitue
 
 au
 
 que toute
 
 le sexe féminin
 
 Il reste cependant
 
 d’une attention
 
 autour du phallus comme
 
 qui nous en sépare, et cette jouissance elle-
 
 fait ? » Or l’incertitude
 
 nécessairement,
 
 s’ordonne
 
 que toute
 
 même, au-delà de la référence effective des
 
 ce qui est toujours
 
 et au désir que cette demande
 
 intrapsy-
 
 par exemple,
 
 gnons
 
 me demande
 
 L’élaboration
 
 la nécessité
 
 la question
 
 de l’Autre,
 
 Lieu où la psychanalyse situe, au-delà du partenaire imaginaire, ce qui, antérieur et extérieur au sujet, le détermine néanmoins.
 
 Ainsi,
 
 l’Autre,
 
 en effet, c’est par ce terme que nous dési-
 
 port du sujet non seulement AUTRE n.m. (angl. Other ; allem. [der] Andere)
 
 du même.
 
 symbole,
 
 pour la
 
 en ce qui concerne
 
 c’est celle de ce qui peut rompre
 
 libido
 
 la dimension
 
 Dans le Séminaire X sur L’angoisse, Lacan
 
 cifiques.
 
 psychanalyse,
 
 centrale
 
 dès lors que S. Freud démontre
 
 un grand A ».
 
 spé-
 
 Mais en fait, la question
 
 du retour
 
 radicale.
 
 élidée, réduite à son lieu, voilà l’Autre
 
 la mise en évidence
 
 somatognosiques
 
 inacces-
 
 de l’inceste,
 
 Tout cela permet d’introduire
 
 Elle est due généralement
 
 régions frontale
 
 incarne,
 
 du corps.
 
 pariétales
 
 que la mère elle-même,
 
 sible du fait de la prohibition
 
 Agnosie spatio-corporelle décrite par F. Pick, caractérisée par l’incapacité de reconnaître la localisation des différentes
 
 duelle entre la mère et l’enfant.
 
 discours
 
 concret
 
 Si l’inconsla partie d’un
 
 dont le sujet ne dispose
 
 pas, il n’est pas à concevoir
 
 comme un être
 
 caché dans le sujet, mais comme dividuel,
 
 et plus précisément
 
 cours de l’Autre. génitif
 
 comme
 
 Cela au double
 
 : c’est de l’Autre
 
 transindis-
 
 sens du
 
 qu’il s’agit dans ce
 
 le comportement dèle punitif principes
 
 lorsque Ce mo-
 
 est emprunté
 
 sous une forme
 
 laquelle le stimulus
 
 aux
 
 et est pré-
 
 un déconditionnement. différente,
 
 aversif est imaginé
 
 Il a dans : le
 
 sujet est, lors des séances, invité à se représenter
 
 aussi, c’est à partir
 
 le comportement
 
 qu’il parle et
 
 visé se produit.
 
 du conditionnement
 
 senté comme été utilisé
 
 par exemple,
 
 électriques,
 
 de traitement
 
 que dit le sujet, fût-ce sans le savoir. Mais de l’Autre
 
 sous forme,
 
 mentalement
 
 en train indésirable,
 
 qu’il désire : le désir du sujet, c’est le désir
 
 par le thérapeute
 
 à imaginer
 
 de l’Autre.
 
 rant les conséquences
 
 d’émettre puis incité
 
 en les exagé-
 
 les plus fâcheuses
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 qui pourraient
 
 s’ensuivre.
 
 Outre
 
 des cri-
 
 tiques portant
 
 sur leurs aspects éthiques,
 
 il est reproché
 
 aux techniques
 
 d’une part, d’utiliser
 
 de façon erronée
 
 lois du conditionnement
 
 et, d’autre
 
 de décider
 
 d’ignorer
 
 complexité
 
 des problèmes
 
 comportement
 
 aversives, les
 
 part,
 
 trop délibérément
 
 la
 
 sous-jacents
 
 au
 
 mois de la vie, favorise
 
 AVEUGLE (EN) (angl. Blind)
 
 Se dit
 
 M. A.
 
 d’une
 
 situation
 
 tale dans laquelle à quelle condition assigné. expérimentale
 
 dans laquelle non seulement
 
 decin traitant, ignorent
 
 initialement
 
 L’aversion généralement stimulus
 
 conditionnée
 
 est d’un
 
 et d’une maladie.
 
 la saccharine,
 
 si l’on rend l’animal
 
 par l’injection
 
 de chlorure
 
 après la consommation toute
 
 de lithium
 
 (qui
 
 d’une aversion
 
 contenant
 
 Cette aversion
 
 rapidement
 
 puisqu’il
 
 à
 
 de la sac-
 
 se développe
 
 est utilisée
 
 cures de désintoxication
 
 très
 
 dans certaines alcoolique
 
 chez
 
 à quelle condition
 
 expérimentale
 
 AVEUGLE adj. et n. (angl. Blind)
 
 AVEUGLE (ROTATION) (angl. Blind Rotation)
 
 En analyse tation des l’ignorance riables sur porté.
 
 factorielle, toute rofacteurs opérée dans de la nature des valesquelles l’analyse a
 
 De telles rotations dées par des critères
 
 sont uniquement formels
 
 gui-
 
 (« structure
 
 simple » par exemple). M. R.
 
 AVEUGLE-NÉ, E adj. et n. (angl. adj. Born-Blind ; n. Born-Blind
 
 Se dit d’un enfant privé de vision dès sa naissance par cécité congénitale.
 
 (
 
 se révèlent
 
 CÉCITÉ.)
 
 rieure
 
 nées, n’est pas encore pratiquée
 
 à 1/10.
 
 guer des ombres de brillances
 
 les aveugles
 
 des mal-
 
 qui ont conservé et peuvent
 
 distin-
 
 ou des contours,
 
 ou d’éclairements
 
 H. B.
 
 AXE n.m. FACTEUR
 
 en cas
 
 fortement
 
 quement
 
 partout.
 
 à une opération
 
 H. B.
 
 dans les dix dernières
 
 chirurgicale,
 
 systémati-
 
 de réduire
 
 elle entraîne
 
 éducatives
 
 plus en plus, à l’utilisation permettent
 
 an-
 
 Qu’elle conduise ou non
 
 à des pratiques
 
 loppement
 
 contrastés.
 
 précoce, bien qu’elle ait beau-
 
 coup progressé
 
 d’abord
 
 nerveuse quel
 
 et, de
 
 de prothèses qui
 
 les retards de déve-
 
 naguère constatés. Ainsi, le port
 
 d’un guide ultrasonique,
 
 unique
 
 (fibre
 
 l’influx
 
 gueur
 
 se propage
 
 est généralement
 
 Il est soutenu
 
 droit
 
 et constituent
 
 dont
 
 certaines
 
 cytosque-
 
 peu nombreuses, se détachent
 
 autant
 
 peuvent
 
 à angle
 
 de collatérales,
 
 être récurrentes.
 
 de l’axone est le plus souvent
 
 sur toute sa longueur. gliale entourent
 
 être absente, ce qui permet des fibres myélinisées
 
 Des gaines
 
 l’axone
 
 est la gaine de myéline.
 
 ; la plus Elle peut
 
 de distinguer
 
 et des fibres amyé-
 
 liniques.
 
 La seconde enveloppe,
 
 présente,
 
 est la gaine de Schwann.
 
 lorsqu’il
 
 du
 
 lisse ; sa lon-
 
 par un important
 
 sauf à son extrémité,
 
 interne
 
 le-
 
 1 m chez l’homme.
 
 lette. Ses ramifications
 
 Le diamètre
 
 dans
 
 vers la périphérie.
 
 peut atteindre
 
 constant
 
 de la cellule
 
 nerveuse),
 
 nerveux
 
 corps cellulaire
 
 d’origine
 
 diverses.
 
 d’acuité
 
 une relative
 
 autonomie.
 
 L’axone
 
 La détection
 
 à 4/10
 
 destinée à lui procurer
 
 (accès au
 
 n.m. (angl. Axon)
 
 Se dit légalement de toute personne dont l’acuité visuelle est égale ou infé-
 
 3/10
 
 spécialisée
 
 J.-F. L. N.
 
 Les causes de ce handicap
 
 ou amblyopes,
 
 et à une éducation
 
 (angl. Axis)
 
 le sujet est assigné.
 
 Person) P. L.
 
 voyants,
 
 a droit à une assistance
 
 le psychologue)
 
 puissante.
 
 l’Homme.
 
 On différencie
 
 des pays déve-
 
 affaire (le mé-
 
 suffit d’un seul essai,
 
 et elle peut être extrêmement Cette technique
 
 juste
 
 d’eau saccharinée,
 
 l’apparition
 
 alimentation
 
 charine.
 
 malade
 
 nausées et vomissements)
 
 on constate
 
 l’infirmier,
 
 ses déplacements.
 
 En France, et dans la plupart
 
 braille)
 
 dirige les
 
 et, plus tard, aide le
 
 bébé aveugle à organiser
 
 Prolongement
 
 Ainsi,
 
 chez le Rat, qui a une forte appétence pour
 
 provoque
 
 tactiles
 
 des
 
 AXONE
 
 obtenue par association
 
 gustatif
 
 mais aussi le spécia-
 
 appétitif.
 
 gustative
 
 explorations
 
 loppés, l’aveugle-né
 
 liste auquel il a directement
 
 Répulsion violente, obtenue par conditionnement, envers un stimulus gustatif
 
 expérimen-
 
 les sujets ignorent chacun d’eux est
 
 le sujet de l’expérience AVERSION GUSTATIVE CONDITIONNÉE (angl. Acquired Taste Aversion)
 
 la localisation
 
 objets dans l’espace environnant,
 
 En double aveugle, se dit d’une situation
 
 visé.
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 toujours Même
 
 existe une gaine de myéline, elle ne
 
 débute qu’à une certaine cellulaire,
 
 ménageant
 
 tial amyélinique, l’arborisation minaisons se transmet
 
 distance du corps
 
 ainsi un segment ini-
 
 et s’arrête
 
 terminale. axoniques,
 
 en amont
 
 de
 
 Au niveau des terle message nerveux
 
 à d’autres éléments excitables. G. S.
 
 dès les premiers
 
 109
 
 B B (TYPE)
 
 TYPE A ET TYPE B OU TABP
 
 phonologique
 
 est l’une
 
 des premières
 
 étapes franchies
 
 avant l’apparition
 
 miers éléments proprement
 
 BABILLAGE n.m. (angl. Babble)
 
 tests se sont trouvés
 
 des pre-
 
 langagiers.
 
 du nour-
 
 une interrogation
 
 (SIGNE DE) (angl. Babinski’s Sign)
 
 tement
 
 tique pendant produit
 
 une période
 
 laquelle
 
 prélinguis-
 
 les phonèmes
 
 n’appartiennent
 
 pas spécifique-
 
 ment à la langue de son entourage ci peuvent
 
 pratiquement
 
 géographiquement
 
 quement
 
 très éloignées.
 
 l’inverse
 
 consonne
 
 ; ensuite
 
 combinaisons
 
 des
 
 + voyelle,
 
 puis
 
 apparaissent
 
 de type
 
 monosyllabique,
 
 enfin de type polysyllabique. indifférenciée ludique, Très
 
 revêt diverses
 
 relationnelle
 
 souvent,
 
 Au point
 
 on a remarqué pour
 
 d’affirmer
 
 de la voie pyramidale,
 
 réserves
 
 les paroles
 
 : une réponse
 
 syn-
 
 sous deux
 
 en extension
 
 est normale
 
 du
 
 chez l’enfant
 
 bruits. Des recherches américaines suiv.) ont montré la voix maternelle
 
 (1983 et
 
 que la reconnaissance apparaît
 
 aux de
 
 très tôt, même
 
 de dé-
 
 (Q.D.) pour Brunet et Lézine.
 
 d’une
 
 deuxième
 
 thodes et leurs objectifs.
 
 généra-
 
 dans leurs mé-
 
 Ces tests, mis au
 
 point par I. Casati et I. Lézine en France, I. Uzgiris
 
 et J. Hunt aux États-Unis,
 
 ne visent
 
 de moins de 2 ans ; cette réponse peut éga-
 
 plus à mesurer un niveau de référence mais
 
 lement s’observer,
 
 à situer à quel stade piagétien
 
 de façon exceptionnelle, moteur
 
 bébé. Leur pratique
 
 péri-
 
 peut-être
 
 phérique.
 
 laire.
 
 de Piaget dans la description
 
 du dévelop-
 
 des bébés, mais aussi à cause des
 
 sumant
 
 : on parvient
 
 suivant
 
 l’absence
 
 l’épreuve
 
 si l’attribution
 
 l’épreuve
 
 est un handicap,
 
 Les premiers
 
 baby-tests,
 
 mis au point
 
 à
 
 Comme
 
 tous les tests, ceux destinés
 
 aux
 
 surtout
 
 mais une troisième
 
 diverses étapes : l’une d’elles est la remar-
 
 baby-tests
 
 quable sensibilité
 
 adapté en France par O. Brunet et I. Lézine,
 
 d’habituation
 
 comporte
 
 : posturale,
 
 durées d’exploration)
 
 considérée
 
 de langage et sociale-per-
 
 vitesse de traitement
 
 de l’information.
 
 correspondant autonomes. sélectionner, nèmes
 
 les découpages
 
 à des énoncés syntaxiques La capacité
 
 du nourrisson
 
 très tôt dans la vie, les pho-
 
 spécifiques
 
 de la langue
 
 nelle - plus particulièrement labes » (et, progressivement, autres phonèmes productions)
 
 de
 
 mater-
 
 les « monosyld’éliminer
 
 monosyllabiques
 
 - appuie l’hypothèse
 
 les
 
 de ses généra-
 
 lement admise selon laquelle la conscience
 
 même
 
 raisonnable.
 
 sition entre le babil et le langage passe par
 
 qui marquent
 
 répeu
 
 bébés semblent
 
 intonations
 
 consi-
 
 d’une telle note paraît
 
 la fin des années 1920, ont été développés
 
 des
 
 à des
 
 de note unique
 
 quelques jours après la naissance. La tran-
 
 des bébés à l’égard
 
 faible,
 
 de la théorie
 
 dérée. Enfin,
 
 des tests d’âge sco-
 
 un
 
 à cause du déclin
 
 stades différents
 
 Pour les bébés, équivalent d’intelligence des enfants
 
 se trouve
 
 est relativement
 
 décalages horizontaux
 
 BABY-TEST n.m. (angl. Infant Test)
 
 très
 
 par rapport
 
 veloppement
 
 pas
 
 des notes séparées par
 
 échelles pour Gesell ou un quotient
 
 pement
 
 de vue de l’au-
 
 sa préférence
 
 le Q.I. mais donnent
 
 ne calculent
 
 tion de baby-tests, différents
 
 d’un
 
 F. J.
 
 avec une
 
 de
 
 C’est la raison pour laquelle
 
 l’existence
 
 dans les lésions du neurone :
 
 biologique
 
 qué l’émergence
 
 et intentionnelle.
 
 ces phonèmes
 
 pseudomélodie. précoce
 
 fonctions
 
 équivalent
 
 du signe de Babinski
 
 dans un état d’euphorie,
 
 le bébé combine dition,
 
 Cette activité
 
 globale du compor-
 
 Le succès de la théorie de J. Piaget a provo-
 
 normale.
 
 cutané plantaire
 
 diverses
 
 et Lézine, ils per-
 
 la flexion
 
 drome
 
 rapidement
 
 les
 
 les auteurs de baby-tests
 
 permet
 
 vocalique
 
 comme
 
 à
 
 Signe neurologique observable lors de la recherche du réflexe cutané plantaire, qui se traduit par une extension lente du gros orteil au lieu de La constatation
 
 Ces productions
 
 par être de nature
 
 simples
 
 à des
 
 et linguisti-
 
 /a/, /e/, puis constituent groupes
 
 ; ceux-
 
 appartenir
 
 langues
 
 commencent
 
 qu’il
 
 Pour Brunet
 
 l’intelligence.
 
 Entre 2 et 12 mois approximativement, le bébé traverse
 
 sur ce que mesurent
 
 mettent une évaluation
 
 Babinski
 
 cette pré-
 
 sans grand succès. Cela a conduit
 
 baby-tests.
 
 Activité vocale articulatoire risson. (On dit aussi babil.)
 
 à ce pro-
 
 blème et ont tenté d’améliorer vision
 
 R. L.
 
 confrontés
 
 aux États-Unis.
 
 des
 
 est A. Gesell. Son test, repris quatre sous-échelles
 
 de coordination, sonnelle.
 
 Le pionnier
 
 et
 
 N. Bayley a joué un rôle impor-
 
 tant dans le développement puisqu’elle
 
 est l’auteur
 
 (1933) et du dernier sique et également
 
 d’un des premiers
 
 (1969) baby-test l’auteur
 
 tudinales
 
 qui ont montré
 
 n’étaient
 
 absolument
 
 l’intelligence
 
 des baby-tests
 
 ultérieure.
 
 en déclin,
 
 génération
 
 est peut-être
 
 en train de voir le jour, fondée sur la vitesse
 
 corrélations térieur toutefois
 
 visuelle
 
 (diminution
 
 significatives
 
 auraient
 
 comme
 
 que les baby-tests de
 
 Les auteurs de ces
 
 Des
 
 avec le Q.I. ul-
 
 été montrées.
 
 de rester prudent
 
 des
 
 Il convient
 
 sur ce point.
 
 clas-
 
 d’études longi-
 
 pas prédicteurs
 
 actuellement
 
 R. L.
 
 Bibliographie Brunet,
 
 O., et Lézine,
 
 ment psychologique Paris, P.U.F.
 
 I., 1951, le Développede la première
 
 enfance,
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 Casati,
 
 I., et Lézine,
 
 l’intelligence
 
 I., 1968, les Étapes de
 
 sensori-motrice,
 
 Centre
 
 de psychologie
 
 Lewis,
 
 M., 1983, Origins
 
 York, Plenum
 
 théories
 
 Paris, Éditions
 
 du
 
 appliquée.
 
 de l’évolution,
 
 visée adaptative
 
 New
 
 tionnaliste
 
 Press.
 
 BALAYAGE n.m. (angl. Sweeping)
 
 organique
 
 ses travaux
 
 elle désigne répétition
 
 E. V.
 
 postnatale.
 
 PRÉHENSION
 
 la forme (James Mark)
 
 c’est l’effet
 
 apparaît,
 
 scientifique,
 
 théoricien
 
 dirigée.
 
 dans la psy-
 
 comme
 
 de l’ontogenèse.
 
 le premier Les théories
 
 générales du développement,
 
 plus récentes,
 
 répétition
 
 tions d’amplitude,
 
 lés le Développement
 
 différences
 
 part, Baldwin majeure
 
 ment mental (1896 ; trad. fr., 1899).
 
 réussi de l’individu
 
 Il passe, avant de préparer son doctorat,
 
 possible
 
 bénéficie de l’enseignement Wundt.
 
 Auteur
 
 dans cette discipline
 
 Forest (Illinois), (1889).
 
 de W.
 
 d’une thèse de philosophie,
 
 il est nommé la chaire
 
 novateur
 
 puis obtient,
 
 de métaphysique
 
 à Lake
 
 à Toronto,
 
 et de logique
 
 Il y fonde un petit laboratoire
 
 psychologie
 
 expérimentale,
 
 Traité de psychologie
 
 de
 
 fait paraître un
 
 (1889) et commence
 
 nelles évoluent
 
 leurs relations arrive
 
 en partant
 
 pour Baldwin,
 
 « longue et pénétrante
 
 ci-dessus
 
 lesquels
 
 mentionnés,
 
 Story of the Mind fondation
 
 les deux livres
 
 complétés
 
 (1898)
 
 par The
 
 ; il participe
 
 de revues prestigieuses
 
 logical Review, Psychological
 
 à la
 
 (Psycho-
 
 Monographs)
 
 et sera président
 
 de l’American
 
 gical Association.
 
 En 1903, il se voit confier
 
 le poste et le laboratoire à l’université
 
 Psycholo-
 
 quels sont les principes
 
 pour Mexico,
 
 puis
 
 une chaire
 
 à l’École des hautes études. Il y vit jusqu’à en 1934. Baldwin
 
 psychologie
 
 a rédigé égale-
 
 de philosophie
 
 (1901-1906)
 
 comme Développement
 
 d’enfants
 
 saire d’entreprendre Cette méthode qu’elle
 
 qu’il est nécesdu fait
 
 des faits et peut
 
 par des examens répétés. H. B.
 
 et d’autres et Évolution
 
 et de études (1902),
 
 hongroise 1970).
 
 (Budapest
 
 le développement
 
 indivi-
 
 duel, et dans les travaux de F. Galton.
 
 Des
 
 Ses premiers
 
 engagea avec lui
 
 articles, écrits en collaboration
 
 avec sa femme
 
 Alice,
 
 sur la notion
 
 d’amour
 
 portent
 
 notamment
 
 primaire.
 
 pense que le nourrisson,
 
 Balint
 
 dès les premiers
 
 jours de sa vie, forme des relations libidinales,
 
 tournées
 
 pas couramment
 
 à cette
 
 puisqu’on
 
 époque
 
 d’objet*
 
 vers l’extérieur.
 
 telle idée n’était
 
 cette étape de la vie, toute
 
 Une admise
 
 estimait
 
 qu’à
 
 la libido
 
 était
 
 Pour Alice et Michael
 
 primaire
 
 consiste surtout
 
 Balint, à vouloir
 
 être aimé. Il y a, à cet égard, un paradoxe. Cet amour l’enfant.
 
 est réciproque
 
 entre la mère et
 
 Mais, en même temps, il est tota-
 
 lement égoïste, chacun attendant
 
 de l’autre
 
 un amour désintéressé sans se soucier de ce que l’autre
 
 pourrait
 
 a d’ailleurs
 
 des conséquences
 
 à la direction
 
 désirer.
 
 Cette théorie par rapport
 
 de la cure puisque l’analyste
 
 peut être confronté, manifestations
 
 chez son patient,
 
 à des
 
 de cet amour.
 
 Si l’amour
 
 primaire
 
 constitue
 
 pour Balint
 
 la première
 
 forme
 
 de la relation
 
 d’objet,
 
 la
 
 forme la plus achevée va être décrite comme amour génital. Là aussi on se trouve devant achevée entremêle
 
 de façon parfois surpre-
 
 nante ce qu’il y aurait de plus égoïste et de plus altruiste. terroger
 
 De toute façon on peut s’in-
 
 sur l’idée d’une harmonie
 
 entre le sujet et son partenaire
 
 parfaite
 
 au niveau du
 
 désir sexuel. Un des concepts essentiels dans les théories de Balint
 
 est celui de « défaut fondamen-
 
 tal ». Il l’introduit
 
 en relevant
 
 l’écart qu’il
 
 peut y avoir entre les besoins dans ses premiers
 
 de l’enfant
 
 mois ou ses premières
 
 et les soins
 
 Médecin mière
 
 1896-Londres
 
 juif hongrois,
 
 analyse
 
 analyse
 
 Balint
 
 avec Hanns
 
 de contrôle
 
 surtout Ferenczi.
 
 pagnent
 
 Eitingon.
 
 sa seconde anaIl fut en effet
 
 par l’oeuvre de celui-ci.
 
 dans divers l’édition
 
 Il en
 
 textes qui accom-
 
 des oeuvres complètes
 
 de ce célèbre compagnon 1968 -1982).
 
 fit sa pre-
 
 Sachs et une
 
 avec Max
 
 Mais on retiendra
 
 témoigne
 
 d’origine
 
 mitation
 
 qu’il
 
 a reçus à cette
 
 de Freud (Payot,
 
 conscience
 
 une blessure
 
 narcissique
 
 plus ou moins
 
 C’est lorsque
 
 le sujet ne peut
 
 plus résoudre les problèmes lui, lorsque l’équilibre
 
 qui se posent à
 
 est rompu
 
 de son défaut fondamental, plaindre
 
 de la li-
 
 que la réalité lui impose, il y aura
 
 importante.
 
 très marqué
 
 par lesquelles on cherchait
 
 Lacan, à cette occasion,
 
 sera amené à prendre
 
 britannique
 
 de Baldwin
 
 prend source dans les théories
 
 très peu
 
 époque. De même, chaque fois que le sujet (Michael)
 
 L’intérêt
 
 pour l’étude du déve-
 
 par la
 
 de temps après la scission de 1953. Jacques
 
 années
 
 lyse, avec Sandor
 
 alors à expliquer
 
 géné-
 
 dès le début de la vie.
 
 admet le contrôle
 
 être corroborée
 
 prône directe
 
 a valeur scientifique
 
 et Société (1910).
 
 évolutionnistes,
 
 »), Baldwin
 
 d’âges différents,
 
 Individu
 
 loppement
 
 de déve-
 
 après le départ de
 
 où l’attend
 
 un Dictionnaire
 
 d’organisation,
 
 tique qui repose sur l’observation
 
 Psychanalyste
 
 ment
 
 de l’indi-
 
 sans cesse le recours à une méthode
 
 les États-Unis,
 
 sa mort,
 
 étude » (G. Tarde).
 
 de conduite
 
 Balint
 
 pour Paris (1913),
 
 sera,
 
 dont il fera une
 
 le développement
 
 G. S. Hall à Clark. Enfin, en 1908, il quitte d’abord
 
 de la so-
 
 de Stanley Hall
 
 Hopkins,
 
 par les tra-
 
 un paradoxe puisque cette forme supposée Pour déterminer
 
 loppement,
 
 parmi
 
 tirée
 
 personnelle
 
 de l’ensemble
 
 l’imitation,
 
 aussitôt
 
 ouvrages,
 
 isolé
 
 ciété ? » Une de ces règles de conduite
 
 vidu (« principes
 
 alors ses principaux
 
 l’individu
 
 Balint s’installa
 
 avec les règles auxquelles on
 
 professeur
 
 Il publie
 
 pour
 
 « Est-il
 
 et, si ces règles sont possibles, quelles sont
 
 Princeton
 
 laboratoire.
 
 à son milieu.
 
 spécifiquement
 
 il regagne
 
 un
 
 person-
 
 dans la société, une ligne de conduite de sa nature
 
 les
 
 afin de com-
 
 les capacités
 
 d’établir,
 
 qui dominent
 
 et y organise
 
 fait sienne la préoc-
 
 au service d’un ajustement
 
 de très jeunes enfants. En 1893,
 
 de psychologie
 
 varia-
 
 : explorer
 
 un important
 
 et il fut influencé
 
 narcissique.
 
 de Galton
 
 comment
 
 à y étudier
 
 comme
 
 et ses transfor-
 
 interindividuelles
 
 prendre
 
 où il
 
 la
 
 etc.).
 
 dans la race (trad. fr., 1897) et Interprétation sociale et morale des principes du développe-
 
 et à Leipzig,
 
 par le
 
 de rythme,
 
 de 1946, Michael
 
 à Londres
 
 l’amour cupation
 
 à Berlin
 
 à petit,
 
 secoue qui entraîne
 
 (changements
 
 ment, aux deux volumes de synthèse intitu-
 
 année complète
 
 :
 
 du mouvement
 
 D’autre
 
 une
 
 par accommodation
 
 hochet que l’enfant
 
 font toutes référence à ses idées et, spécialemental chez l’enfant et
 
 au
 
 c’est le son produit
 
 et la troisième,
 
 avec
 
 Séminaire I.
 
 comme
 
 petit
 
 en particulier
 
 un débat dont on trouve des traces dans le
 
 un acte réflexe en une activité
 
 Ainsi,
 
 mations
 
 la
 
 d’adaptation qui,
 
 Albu-
 
 toutes trois psycha-
 
 Il accomplit,
 
 la première
 
 et Enid
 
 Société française de psychanalyse,
 
 est due :
 
 dès le 2e mois de vie
 
 du milieu
 
 transforme
 
 Psychologue américain (Columbia, Caroline du Sud, 1861-Paris 1934). J. M. Baldwin
 
 extérieur,
 
 nalystes.
 
 Székely-
 
 vaux de l’école anglaise. Il fut invité
 
 par l’effet qu’elles
 
 la plus primitive
 
 monde
 
 Arrest)
 
 Elles lui apparaissent
 
 Oakeshott
 
 qui furent
 
 À partir
 
 repère les premières
 
 circulaires
 
 Edna
 
 Alice
 
 travail commun.
 
 sont issus
 
 du bébé, dont
 
 est engendrée
 
 réactions
 
 de celle
 
 lui
 
 successivement
 
 Eichholtz,
 
 des « réactions
 
 les actions Baldwin
 
 Kovacs,
 
 fonc-
 
 (angl.
 
 ». L’expression
 
 produisent.
 
 rant à demi fléchi.
 
 chologie
 
 sur l’inhibition
 
 circulaires
 
 ce
 
 les théories
 
 De cette notion
 
 ainsi que son explication
 
 Il épousa
 
 de « sélec-
 
 proche
 
 aujourd’hui
 
 la
 
 de sélec-
 
 en notion
 
 », notion
 
 épigénétiques.
 
 ligne médiane du bébé, par rotation autour de l’épaule, le coude demeu-
 
 une option
 
 et l’idée darwinienne
 
 que soutiennent
 
 Mode d’approche manuelle sous forme de déplacement du bras entier mis en abduction et ramené vers la
 
 Baldwin
 
 à adopter
 
 tion, qu’il transforme tion
 
 retient
 
 de tout développement,
 
 qui le conduit
 
 of Intelligence,
 
 Baldwin
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 en raison
 
 qu’il
 
 vient
 
 se
 
 au médecin d’une maladie.
 
 Tout cela conduit
 
 à ce par quoi Balint
 
 sans doute le plus connu.
 
 Parmi
 
 est
 
 les psy-
 
 chanalystes, il est un de ceux qui ont le plus réfléchi
 
 à la pratique
 
 conduit
 
 à concevoir
 
 cifique concernant
 
 médicale
 
 et cela l’a
 
 l’idée d’un travail spécette pratique. 111
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 Ses principaux
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 ouvrages
 
 sont Amour
 
 maire et technique psychanalytique le Défaut fondamental
 
 pri-
 
 (1952) ;
 
 intervalle (entre 24 heures et 7 jours) est supérieur à un rappel immédiat.
 
 (1965) ; le Médecin,
 
 J.-F. L. N.
 
 Groupe dizaine plus
 
 Chez réunissant une généralistes le
 
 sous la conduite
 
 psychanalyste,
 
 afin
 
 que
 
 d’un
 
 chaque
 
 par-
 
 ticipant prenne conscience, grâce au travail du groupe, des processus psychiques relation
 
 qui interviennent
 
 avec ses propres
 
 dans sa
 
 patients. R. L.
 
 BALISTIQUE
 
 le
 
 nouveau-né
 
 maintenu
 
 position assise ou en suspension ventrale, mouvement de la tête qui a tendance à tomber en avant, malgré la capacité du nourrisson de la relever et de la maintenir verticale pendant de courts instants. Ce comportement nance d’efforts
 
 de la tête, avec alter-
 
 couronnés
 
 de succès et de
 
 bref et rapide, déclenché
 
 par
 
 se caractérise
 
 phase de ralentissement, tuels ajustements
 
 par deux et une
 
 permettant
 
 correctifs.
 
 d’éven-
 
 Au cours de
 
 phase, dite balistique,
 
 brève et
 
 d’un quart de seconde), il n’y
 
 a aucun ajustement
 
 correctif.
 
 soumise uniquement
 
 La trajectoire, à l’approche
 
 en boucle ouverte qui nécessite un maximal
 
 la projec-
 
 tion du bras vers une source visuelle est un balistique. F. M.-M.
 
 BANQUE D’ITEMS (angl. Item Bank)
 
 Ensemble de questions dans lequel on peut puiser pour construire une épreuve répondant à certaines spécifications. La constitution implique validité)
 
 banque
 
 d’items
 
 des caractéristiques
 
 items qui la composent
 
 (difficulté,
 
 pour des populations
 
 des
 
 fidélité,
 
 déterminées. M. R.
 
 Les barbituriques* donner
 
 dance, qu’ils
 
 BARBITURIQUE adj. et n.m. (angl. Barbiturate)
 
 découvertes
 
 du barbital,
 
 les
 
 com-
 
 de l’activité
 
 tellectuelle,
 
 une agressivité
 
 une irritabilité,
 
 de la personnalité
 
 de ceux décrits dans l’alcoolisme. tions
 
 du sujet sont
 
 l’usage des barbituriques. de panique,
 
 bouffées*
 
 délirantes)
 
 La prudence
 
 impose
 
 constitua
 
 Par exemple, chez le nouveau-né, bilisation
 
 tonique
 
 important
 
 ballant
 
 la mo-
 
 du tronc donne lieu à un de la tête alors que les
 
 membres sont solidaires
 
 du tronc. l’inverse,
 
 de dérivés
 
 commercialisés barbital
 
 (Dial®),
 
 etc. Le penthotal, ultrarapide,
 
 fut utilisé
 
 Les barbituriques
 
 mise en place par l’arrêté
 
 du
 
 façon drastique tion.
 
 Toutefois,
 
 riques
 
 d’action
 
 drogues
 
 et se fixent notamment
 
 l’usage
 
 en restreignant
 
 de
 
 les possibilités
 
 de prescrip-
 
 l’association
 
 de barbitu-
 
 rapide
 
 à d’autres
 
 (polytoxicomanie)
 
 types de
 
 demeure
 
 fré-
 
 quente. D. R.
 
 viscéral
 
 sion sanguine
 
 à la pres-
 
 et à ses variations.
 
 Les barorécepteurs aortique
 
 sensible
 
 situés dans la crosse
 
 et à la bifurcation
 
 (sinus carotidien)
 
 jouent
 
 dial dans la régulation
 
 carotidienne un rôle primor-
 
 réflexe de la pression
 
 artérielle. G. S.
 
 as-
 
 - comme
 
 BARRAGE n.m. (angl. Obstruction,
 
 Thought Blocking)
 
 les benzodiazépines* - sur les récepteurs au GABA*. Ils produisent une action hypno-
 
 Brusque interruption du discours ou de l’activité psychomotrice, liée à un trouble profond du cours de la pen-
 
 tique et anticonvulsivante.
 
 sée.
 
 se caractérise
 
 L’intoxication notamment,
 
 par un coma, avec abolition
 
 des réflexes tendineux.
 
 n’a plus raison
 
 d’être,
 
 moire
 
 neurologie
 
 (utilisation
 
 C’est un symptôme
 
 de barbituriques
 
 exception
 
 faite en
 
 du phénobarbital
 
 décrit
 
 par E. Krae-
 
 pelin dans le cadre du négativisme* démence
 
 médicale
 
 un certain
 
 limité
 
 des
 
 réticulée activatrice
 
 La prescription
 
 après
 
 d’action
 
 exercent un effet inhibi-
 
 Phénomène observé par P. B. Ballard en 1913, dans lequel un rappel de méqui survient
 
 furent
 
 en narcoanalyse
 
 aiguë, dans un but suicidaire
 
 (PHÉNOMÈNE DE) (angl. Ballard Phenomenon)
 
 soma-
 
 années 1930 aux années 1950.
 
 cendante
 
 Ballard
 
 dans une
 
 (Sonéryl®),
 
 un barbiturique
 
 solidaire
 
 F. J.
 
 du barbital
 
 butobarbital
 
 teur sur la formation
 
 ront un ballant considérable.
 
 commercialisé
 
 entre 1903 et 1911 : allo-
 
 chez le bébé de plus de 3 mois, la tête sera du tronc et les membres présente-
 
 mais surtout
 
 le chef de file d’une fa-
 
 en France depuis 1912 sous la désignation
 
 vingtaine
 
 caractéristiques.
 
 état confusionnel,
 
 sevrage progressif.
 
 de Gardénal® et indiqué aujourd’hui la prévention des crises d’épilepsie,
 
 pos-
 
 (anxiété*,
 
 un
 
 un segment de membre ou à un membre
 
 des réactions
 
 Le sevrage brutal
 
 donc de réaliser
 
 Récepteur
 
 Ensemble
 
 de
 
 tiques graves ; des décès ont été rapportés.
 
 rée : outre le phénobarbital,
 
 et à évaluer le degré de résistance.
 
 proche Les réac-
 
 expose à des risques psychiques attaques
 
 in-
 
 liées au contexte
 
 tonus musculaire passif, qui consiste à imprimer un mouvement énergique à
 
 du
 
 est ca-
 
 ractérisée par une réduction
 
 BARORÉCEPTEUR n.m. (angl. Baroreceptor)
 
 d’appréciation
 
 par voie orale
 
 sous le nom de Veronal®. Ce mé-
 
 dicament
 
 Technique
 
 dépen-
 
 Cette toxicomanie
 
 abusif de barbituriques
 
 C’est en 1903 que furent hypnotiques
 
 ou le sécobarbital
 
 2 septembre 1988 a largement
 
 Médicament hypnotique, sédatif et anticonvulsivant susceptible de donner lieu à usage toxicomaniaque.
 
 rapide
 
 lieu à une forte
 
 mille de molécules pharmaceutiques, ayant en commun le noyau chimique malonylu-
 
 turales
 
 tolé-
 
 et les nou-
 
 d’action
 
 soient utilisés
 
 La législation
 
 mercialisé
 
 BALLANT n.m. (angl. Banging)
 
 112
 
 d’une
 
 l’étude
 
 propriétés
 
 DÉVELOP.
 
 et mieux
 
 Toxicomanie fondée sur l’utilisation prolongée et abusive de barbituriques. (Syn. barbiturisme, barbitomanie.)
 
 peuvent
 
 de la tête.
 
 des unités motrices.
 
 Par exemple, chez le nourrisson,
 
 PHYSIOL.
 
 respectant
 
 BARBITUROMANIE n.f. (angl. Barbiturate Dependance)
 
 et postural
 
 du
 
 but. Cette phase est régie par un programme
 
 mouvement
 
 se
 
 S. P. et D. R.
 
 comme le pentobarbital
 
 aux lois de la gravita-
 
 tion, ne peut être modifiée
 
 recrutement
 
 du sommeil
 
 et des troubles
 
 externe.
 
 phases : une phase d’accélération
 
 moteur
 
 à des produits
 
 ou intraveineuse.
 
 corporel,
 
 Un mouvement
 
 rapide (moins
 
 d’action
 
 Pour le reste, le médecin
 
 relâchement, constitue une des premières étapes de l’acquisition du contrôle tonique F. J.
 
 continu,
 
 une stimulation
 
 la première
 
 de barbituriques
 
 en
 
 adj. (angl. Ballistic gesture)
 
 d’un segment
 
 par voie
 
 rés, comme les benzodiazépines
 
 (GESTE)
 
 Mouvement
 
 intraveineuse
 
 et en
 
 veaux hypnotiques*.
 
 de discussion de médecins,
 
 souvent,
 
 d’épilepsie)
 
 (administration
 
 l’architecture
 
 BALLOTTEMENT n.m. (angl. Head Banging)
 
 (GROUPE) (angl. Balint Group)
 
 anesthésiologie
 
 doit de recourir
 
 R. C.
 
 Balint
 
 formes
 
 ultrarapide).
 
 RÉMINISCENCE
 
 son malade et la maladie (1957).
 
 dans certaines
 
 précoce et repris
 
 par E. Bleuler,
 
 qui en a fait un des signes fondamentaux la dissociation
 
 de la de
 
 schizophrénique. J. P.
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 Bateson
 
 et motrices chez les enfants trente mois.
 
 (Gregory)
 
 Anthropologue et ethnologue américain d’origine britannique (Cambridge, Grande-Bretagne, 1904-San Francisco
 
 La psychologue mis au point
 
 En 1936, à la suite d’un séjour dans une tribu de Nouvelle-Guinée, il publie Naven. en particulier
 
 des groupes effectuée ce qu’il ainsi
 
 qui,
 
 la différenciation
 
 à la longue,
 
 de façon progressive, appelle
 
 que, d’une
 
 façon
 
 générale,
 
 les interactions
 
 termes
 
 soit de symétrie,
 
 mentarité.
 
 aboutit
 
 une schismogenèse.
 
 décrire
 
 à
 
 C’est
 
 on peut
 
 entre individus
 
 en
 
 soit de complé-
 
 Dans le premier
 
 naires adoptent roir,
 
 si elle est
 
 cas, les parte-
 
 un comportement
 
 en mi-
 
 et, dans le second, le comportement
 
 de l’un complète
 
 celui de l’autre.
 
 après un travail
 
 de recherche
 
 psychiatrique
 
 pour
 
 de Palo Alto
 
 anciens
 
 (Californie),
 
 à l’hôpital
 
 D.
 
 D.
 
 combattants
 
 Par la suite, il poursuit tion chez les Animaux. lement
 
 aux processus
 
 appelle
 
 « apprentissage
 
 ses travaux
 
 sur la
 
 Il s’intéresse
 
 1971,
 
 tous
 
 éga-
 
 d’apprentissage.
 
 Il
 
 zéro » la récepI » les
 
 dans l’apprentissage
 
 à apprendre
 
 zéro et
 
 II » le fait « d’apprendre à recevoir
 
 ces thèmes
 
 un signal sont
 
 ». En
 
 regroupés
 
 dans Vers une écologie de l’esprit. Dans
 
 la Nature
 
 et la Pensée,
 
 sur l’anthropologie,
 
 gie, l’éthologie, chiatrie.
 
 la cybernétique
 
 Il s’interroge
 
 « la structure
 
 entre 2
 
 en 1979, de re-
 
 le développement perception,
 
 de fonctions
 
 la mémoire,
 
 résolution
 
 communication
 
 comme
 
 la
 
 l’apprentissage,
 
 de problèmes,
 
 et la psy-
 
 la
 
 les débuts de la
 
 verbale, etc.
 
 » ; il insiste
 
 contexte,
 
 sans lequel les mots et les actes
 
 sur le
 
 les fon-
 
 dements de la genèse et du développement des thérapies familiales. M. G.
 
 BATTERIE DE TESTS (angl. Test Battery)
 
 de se tenir assis ou debout,
 
 marcher,
 
 de monter
 
 l’habileté
 
 dans les manipulations.
 
 On peut procéder
 
 de
 
 les escaliers ainsi que
 
 pendant
 
 du comportement
 
 groupe de syllabes. Proposées au début par G. Van Riper,
 
 diverses
 
 techniques
 
 com-
 
 portementales
 
 sont de plus en plus pratidu bégaiement
 
 jeux de rôle, désensibilisation méthodes
 
 cognitivistes
 
 sertives. Il faudra distinguer, lisations
 
 et as-
 
 dans l’évolu-
 
 en utilisant
 
 normalisée
 
 prolongées.
 
 Mais les rechutes sont
 
 toujours possibles, en particulier à la suite d’une émotion violente ou accompagnant
 
 à des observations (angl.
 
 un état de stress. J. P.
 
 études et ont été
 
 utilisées. M. R.
 
 (Vladimir
 
 Mikhaïlovitch)
 
 Psychophysiologiste gouvernement ningrad 1927).
 
 russe
 
 de
 
 Viatka,
 
 (Sorali, 1857-Le-
 
 V. M. Bechterev enseigne à Saint-Pétersbourg
 
 (1881-1885),
 
 à Kazan (1885-1893)
 
 puis de nouveau à Saint-Pétersbourg 1907). Il s’intéresse
 
 à la neuropsychologie
 
 nés ; il crée le terme de « réflexologie avant J. B. Watson objective,
 
 des réponses à des stimulus.
 
 » et
 
 sur l’étude
 
 Parmi ses ou-
 
 vrages, on peut citer la Psychologie objective ; trad. fr., 1913), les Principes de
 
 la réflexologie humaine (1917). R. L.
 
 est né aux États-Unis
 
 une forme peu doctrinale de E. L. Thorndike. en a exprimé
 
 C’est J. B. Watson
 
 ensuite
 
 et on considère
 
 dans les travaux
 
 généralement
 
 chologie
 
 telle qu’un béhavioriste furent
 
 parole, avec hésitations, rythme, interruptions flux verbal et parfois
 
 France.
 
 On peut rappeler
 
 suffisance
 
 psychologiques Pour
 
 du langage, liés à la fois et à des facteurs
 
 et socioculturels.
 
 E. Pichon
 
 et S. Borel-Maisonny
 
 (1937), il s’agit essentiellement linguispéculative
 
 actuellement d’altérations des processus
 
 qu’il
 
 tiques.
 
 orthophonique
 
 de l’hérédité,
 
 d’intégration
 
 sensori-mo-
 
 psychoaffectifs
 
 pourquoi
 
 un examen complet
 
 et
 
 névro-
 
 de la personnalité
 
 du
 
 en Russie
 
 ; mais Piéron parler,
 
 qui caractérise
 
 et en
 
 à ce sujet que par
 
 H. Pié» est
 
 historique
 
 ne deviendra
 
 de pas,
 
 un béhavioriste.
 
 Watson,
 
 Ce
 
 c’est sa prise de
 
 position très nette contre une psychologie qui voudrait être à la fois scientifique et et qui prétend
 
 se situer dans
 
 la ligne de pensée de W. Wundt
 
 ; Watson
 
 juge que l’apport
 
 a été nul
 
 ration
 
 de ce courant
 
 faut s’en tenir
 
 à la seule considé-
 
 des comportements
 
 et des stimulus Il défend ces idées
 
 avec constance, sans apporter contribution
 
 expérimentale
 
 excepte les expériences
 
 présuppose
 
 vers la même
 
 à l’article
 
 qui les font apparaître.
 
 une rééducation
 
 du bégaiement
 
 apparues
 
 systé-
 
 de « comportement
 
 (1907)
 
 à strictement
 
 et qu’il
 
 cérébrale et
 
 et J. de Ajuriaguerra),
 
 de troubles C’est
 
 ». On pense
 
 de la dominance
 
 trice (R. Diatkine souvent
 
 dépend
 
 Watson
 
 moins
 
 donnée
 
 ron du concept
 
 introspective
 
 d’une « in-
 
 quoique
 
 la caractérisation antérieure
 
 s’intègre dans les troubles
 
 somatiques
 
 étaient
 
 la voit ».
 
 reprises et dévelop-
 
 en Allemagne,
 
 ou phonatoires.
 
 dans
 
 Review ; cet article avait pour titre « la Psy-
 
 période
 
 respiratoires
 
 se trouve
 
 l’article-manifeste publié par lui en 1913 dans la revue qu’il dirigeait, la Psychological
 
 matiques,
 
 du du des
 
 que l’acte de
 
 naissance du béhaviorisme
 
 Des idées voisines,
 
 troubles répétées spasmes
 
 qui
 
 les vues théoriques
 
 Difficulté du langage parlé caractérisée par la perte de la fluidité de la
 
 diagnostic réussite.
 
 Échelles qui évaluent le développement de certaines fonctions mentales
 
 Le béhaviorisme
 
 pées par Watson.
 
 Ensemble de tests utilisés conjointement afin de tenir compte de plusieurs aspects des aptitudes ou de la personnalité des sujets dans un
 
 (ÉCHELLES DE) (angl. Bayley Scales of Infant Development)
 
 ou réponse.
 
 BÉGAIEMENT n.m. (angl. Stuttering)
 
 à des facteurs
 
 Bayley
 
 à des entités ou variables intermédiaires entre l’entrée, ou stimulus, et
 
 Ces conceptions
 
 de l’apprentissage
 
 M. R.
 
 Courant de la psychologie scientifique fondé sur l’approche comportementale des activités psychologiques et sur le principe d’économie explicative maximale, qui limite le recours
 
 vers le début du siècle. Il prit tout d’abord
 
 l’idée d’une
 
 fondée
 
 BÉHAVIORISME n.m. (angl. Behaviourism ; amér. Behaviorism)
 
 la sortie,
 
 (1893-
 
 et utilise la méthode des réflexes conditiondéveloppe
 
 :
 
 tion, les résultats à court terme et les stabi-
 
 l’application
 
 de l’enfant
 
 Le bégaiement
 
 de
 
 ».
 
 de la parole avec des blocages
 
 systématique,
 
 muscles
 
 ou dans un pronostic
 
 par un aspect
 
 la capacité
 
 n’ont aucun sens. de ses travaux constitue
 
 se caractérise
 
 Le premier
 
 relaxation,
 
 sur
 
 vivantes
 
 L’ensemble
 
 « clonique
 
 quées dans le traitement
 
 qui relie toutes les créatures à nouveau
 
 un bégaiement
 
 » et un bégaiement
 
 L’échelle motrice (angl. Motor Scale) évalue
 
 (1907-1910
 
 l’ethnolo-
 
 en particulier
 
 classiquement
 
 en début ou en cours de phrase. Le second se traduit par la répétition d’une ou d’un
 
 psychologie
 
 il passe en revue l’aboutissement cherches
 
 « tonique
 
 psychothérapique.
 
 L’échelle mentale (angl. Mental Scale) évalue
 
 Bechterev
 
 tion d’un message, « apprentissage « apprentissage
 
 applicables
 
 l’hy-
 
 et la métacommunica-
 
 changements
 
 On distingue
 
 à la nécessité
 
 spasmodique
 
 fait l’objet de nombreuses
 
 pothèse du double lien*.
 
 communication
 
 N. Bayley a
 
 et
 
 il décrit notamment
 
 conclure
 
 mois et 2 ans et demi.
 
 largement
 
 J. Haley
 
 pouvant
 
 Infant Behavior Record). Ces épreuves ont
 
 il fait paraître
 
 Jackson,
 
 J. H. Weakland,
 
 trois instruments
 
 une feuille d’observations
 
 Vers une théorie de la schizophrénie. Avec
 
 américaine
 
 de ces deux épreuves
 
 En 1956,
 
 patient,
 
 d’un accompagnement
 
 aux enfants dont l’âge est compris
 
 1980).
 
 Il y décrit
 
 de deux à
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 lise avec Rayner émotionnels
 
 lui-même
 
 de
 
 majeure, si l’on
 
 risquées
 
 qu’il réa-
 
 sur les conditionnements
 
 chez les jeunes enfants. 113
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 Mais il comprend découvertes
 
 très tôt l’importance
 
 de physiologie
 
 supérieure.
 
 explicitement objective
 
 des
 
 faites par I. P. Pavlov sous la
 
 dénomination nerveuse
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 de l’activité
 
 Watson
 
 ces travaux
 
 incorpore
 
 personnelle
 
 maine des émotions elles-mêmes
 
 considérées
 
 comme des comportements.
 
 Le béhaviorisme
 
 a connu
 
 développement
 
 aux États-Unis
 
 influencé
 
 toute
 
 un très grand et il a
 
 la psychologie
 
 mondiale
 
 tinguer
 
 aujourd’hui,
 
 il faut bien dis-
 
 sa face méthodologique
 
 et sa face
 
 théorique.
 
 Cinq Psychanalyses,
 
 méthodologique
 
 par le souci de construire
 
 s’exprime
 
 la psychologie
 
 la seule base de faits observables à l’exclusion
 
 des expériences
 
 de l’individu
 
 point s’accordent,
 
 sur
 
 subjectives
 
 aujourd’hui
 
 encore, tous
 
 d’apathie
 
 latérales
 
 et de ralentissement
 
 des réflexes
 
 observées chez les usagers d’anxiolytiques,
 
 écrit
 
 le dessein de réaliser un certain bénéfice ».
 
 indication
 
 chez les insomniaques.
 
 Il y définit
 
 hypnotique
 
 le bénéfice
 
 primaire
 
 « la solution
 
 la plus commode
 
 d’un
 
 psychique
 
 conflit
 
 précise que des facteurs la modifica relations
 
 dans le cas
 
 extérieurs
 
 avec son entourage
 
 dans
 
 est décrit
 
 en
 
 symptôme et angoisse,
 
 du moi pour pactiser
 
 en tirant
 
 avec
 
 : « Le moi tente
 
 le caractère étranger
 
 du symptôme,
 
 de
 
 de la maladie. Le béné-
 
 de la maladie
 
 l’effort
 
 de supprimer
 
 entrent
 
 ne se manifeste
 
 d’une dose variable
 
 Effet myorelaxant. relâchement
 
 comme
 
 du patient
 
 dans leur qu’à partir
 
 selon la puissance
 
 et isolé
 
 parti de toutes les
 
 certaines
 
 Il est caractérisé
 
 musculaire
 
 indications
 
 de l’anesthésiologie Effet amnésiant. ressant
 
 relevant
 
 et de la rééducation. S’il peut se révéler
 
 dans des situations
 
 (anesthésie,
 
 où des benzodiazépines administrées
 
 médicaments),
 
 cette activité est un effet se-
 
 condaire
 
 avec d’autres
 
 gênant pour les prescriptions
 
 long cours comme chez l’étudiant
 
 quelque façon que ce soit, et de l’incorporer
 
 de certains actes notamment
 
 par de tels liens à son organisation.
 
 molécules à courte durée d’action.
 
 cédente
 
 position,
 
 s’exprime,
 
 quant
 
 à lui,
 
 dans la règle positiviste
 
 suivante
 
 ler que des phénomènes
 
 observables
 
 leurs relations
 
 Cette position
 
 représentée
 
 directes.
 
 de façon typique
 
 appelle parfois la théorie
 
 : ne parou de est
 
 par ce qu’on
 
 béhavioriste
 
 S-R,
 
 qui repose sur un refus de théoriser.
 
 B. F.
 
 Skinner,
 
 avec son « analyse du comporte-
 
 ment », qui est un béhaviorisme est le représentant
 
 radical, en
 
 le plus connu.
 
 tous les béhavioristes
 
 y compris
 
 Skinner,
 
 qui a paradoxalement
 
 développé
 
 de son analyse
 
 béhavioriste
 
 notions
 
 ont
 
 élevé utilisé
 
 lections
 
 à des observations
 
 d’observations
 
 termédiaires
 
 à
 
 ou à des col-
 
 : des variables in-
 
 Constructs).
 
 cependant,
 
 à
 
 l’un des aspects irréductibles
 
 du symptôme,
 
 qui est d’être
 
 de la motion
 
 pulsionnelle
 
 un substitut refoulée,
 
 renouvelant
 
 conti-
 
 nuellement
 
 son exigence de satisfaction
 
 entraînant
 
 le moi dans une nouvelle
 
 défensive.
 
 Le bénéfice secondaire
 
 d’examen.
 
 Effet orexigène.
 
 ex-
 
 mentent
 
 anxieux
 
 Elle explique
 
 l’oubli
 
 après usage de
 
 Les benzodiazépines
 
 la prise alimentaire
 
 et de boisson
 
 chez l’Animal
 
 ; les conséquences
 
 nique humaine
 
 sont incertaines.
 
 Dépendance
 
 augen cli-
 
 aux benzodiazépines
 
 en lutte
 
 apparaît
 
 Les rapports
 
 des commissions
 
 (1990) puis Zarifian problèmes
 
 Legrain
 
 (1996) soulignent
 
 que pose le recours
 
 les
 
 systéma-
 
 tique à des substances chimiques
 
 Typologie.
 
 BENZODIAZÉPINE
 
 Mais ils les
 
 Les Anglo-Saxons
 
 classiquement
 
 n.f. (angl. Benzodiazepine)
 
 d’indication
 
 des
 
 ou des concepts hypothétiques
 
 (angl. Hypothetical
 
 Cet effort se heurte,
 
 en période
 
 au
 
 face à un
 
 mal-être existentiel.
 
 qui ne sont pas immédiatement
 
 réductibles
 
 térieur.
 
 pour le monde
 
 R. L.
 
 en marge
 
 comportementale
 
 un degré plus ou moins
 
 il le fait ordinairement
 
 comme
 
 donc comme un gain fragile.
 
 En fait,
 
 toute une idéologie
 
 lors, le moi s’adapte au symptôme
 
 » Dès
 
 sont
 
 fréquemment
 
 théorique,
 
 nécessaire de la pré-
 
 inté-
 
 spécifiques
 
 Le béhaviorisme
 
 de se lier de
 
 dans
 
 notamment
 
 possibilités
 
 qui n’est nulle-
 
 des
 
 par un
 
 mis à profit
 
 à visée scientifique.
 
 qui peuvent s’offrir
 
 L’effet
 
 molécules.
 
 un effort ». Il y
 
 tion à l’avantage
 
 1926, dans Inhibition, comme
 
 comme
 
 », dans la mesure
 
 d’abord
 
 les
 
 de somnolence,
 
 sa pleine expression
 
 une maladie déjà installée
 
 ; sur ce
 
 manifestations
 
 Si elle explique
 
 les psychologues
 
 ment une conclusion
 
 l’overuse, lorsqu’il
 
 plus généralement,
 
 tique
 
 l’abuse, lorsqu’il
 
 la dose)
 
 donnant
 
 lieu à
 
 une fréquente automédication, l’ensemble de la population
 
 dans et sou-
 
 (ou,
 
 d’un médicament),
 
 misuse, lorsque l’indication
 
 Dépendance
 
 n’y a pas
 
 à user de tranquillisants
 
 Molécule exerçant une action pharmacologique anxiolytique et hypno(selon
 
 distinguent
 
 est mauvaise, et
 
 y a véritable
 
 survenant
 
 le
 
 toxicomanie.
 
 dans le cadre d’une
 
 posologie classique. Un consensus se dégage voulant que le risque de dépendance ne soit
 
 vail scientifique.
 
 vent utilisée par les toxicomanes pour atténuer les symptômes du manque
 
 C’est cette voie qui s’est, dans les années
 
 ou pour réduire
 
 tion régulière,
 
 ont restreintes
 
 1950,
 
 au minimum
 
 révélée
 
 dans leur tra-
 
 inadéquate
 
 pour
 
 compte
 
 des faits de comportement
 
 mêmes.
 
 Les méthodes
 
 comportement la psychologie donné
 
 eux-
 
 mettant
 
 en jeu le
 
 sont restées à la base de
 
 d’autres
 
 types de neurotransmission
 
 scientifique,
 
 théorique
 
 de théories
 
 a été aban-
 
 d’inspiration
 
 pamine*,
 
 sérotonine*,
 
 COMPORTEMENT
 
 (
 
 sur : do-
 
 NEUROMÉDIA-
 
 voire bénignes, et souvent les généralistes
 
 confondues
 
 par
 
 avec les manifestations
 
 de
 
 rebond. Dépendance dans le cadre d’un usage abusif.
 
 d’acti-
 
 identique
 
 au plan
 
 rable : augmentation
 
 n’étant
 
 en pra-
 
 tion de molécules.
 
 les différences
 
 tique que quantitatives indications
 
 bien que les manifestations
 
 une gamme
 
 vités pharmacologiques
 
 pour justifier
 
 Bibliographie
 
 etc.
 
 admettent
 
 TEUR).Elles
 
 qualitatif, J.-F. L. N. et J. M.
 
 portement,
 
 la neurotransmission
 
 plus négligeable après un an de consommade sevrage soient en règle générale frustes,
 
 potentialisent
 
 mais elles agissent également
 
 cognitive.
 
 Skinner,
 
 Les benzodiazépines GABA*,
 
 d’observation
 
 d’orientation
 
 au profit
 
 rendre
 
 leur anxiété.
 
 du
 
 mais le béhaviorisme
 
 pleinement
 
 - mais suffisantes la variabilité
 
 des
 
 des diverses molécules.
 
 Une tolérance
 
 survient,
 
 parfois
 
 considé-
 
 des doses ou associa-
 
 Dépendance dans le cadre d’un abus général de sédatifs. Les sujets concernés des benzodiazépines
 
 associent
 
 à de l’alcool.
 
 B. F., 1979, Pour une science du comGenève,
 
 Delachaux
 
 Dépendance dans le cadre d’une polytoxico-
 
 et Niestlé.
 
 Action
 
 Action anxiolytique. BÉNÉFICE n.m. (angl. Gain from Illness ; allem. Kran kheitsgewinn)
 
 Idée générale selon laquelle la formation de symptômes permet au sujet 114
 
 en 1905 (trad. fr.
 
 de la maladie n’est autre que
 
 fice secondaire
 
 par tous,
 
 psychologue
 
 mus* et le système limbique*.
 
 de plaisir.
 
 1954), S. Freud
 
 sur l’hypothala-
 
 elle trouve
 
 que « le motif
 
 le bénéfice primaire
 
 Le béhaviorisme
 
 privées
 
 Action hypno-sédative.
 
 au principe
 
 où « elle épargne
 
 jusque vers les années 1950. Pour en juger correctement
 
 conformément
 
 Dora, qu’il avait publiée
 
 dans le do-
 
 humaines,
 
 Cet effet est lié à l’activité
 
 Dans une note de 1923 consacrée au cas
 
 à la psychologie
 
 naissante ; il tente de leur appor-
 
 ter sa contribution
 
 une réduction des tensions engendrées par une situation conflictuelle
 
 leurs analogues
 
 Les benzodiazépines
 
 limitent
 
 anxieux, ce qui se traduit des réponses
 
 artérielle
 
 et
 
 potentialisent
 
 l’effet euphorisant
 
 des opiacés, y compris
 
 le comportement
 
 de la méthadone*,
 
 minimisent
 
 par la suppression
 
 fets de la drogue vécus comme désagréables
 
 émotionnelles
 
 aussi bien que somatiques tension
 
 manie*. Les benzodiazépines
 
 psychiques (variations
 
 et du rythme
 
 de la
 
 cardiaque).
 
 et permettent
 
 de supporter
 
 manque
 
 en masquant
 
 sevrage
 
 (il est fréquent
 
 certains efl’angoisse
 
 certains
 
 du
 
 signes de
 
 que les toxico-
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 manes s’injectent
 
 des filtrats
 
 de comprimés
 
 terme dans les rares cas où l’état du patient
 
 broyés). On estime le risque de dépendance pour une prescription
 
 comprise
 
 à 10 %
 
 entre trois
 
 le justifie.
 
 Il peut ne pas y avoir d’autre al-
 
 ternative,
 
 et il faut éviter à certains patients
 
 d’emprunter
 
 une voie presque
 
 mois et un an, et à 25-50 % pour une pres-
 
 qui les conduirait
 
 cription
 
 duits « anxiolytiques
 
 prolongée
 
 au-delà de un an - ces
 
 données concernant
 
 une population
 
 calisée et non l’ensemble
 
 médi-
 
 à chercher
 
 spontanée
 
 d’autres pro-
 
 » (usage d’alcool,
 
 de
 
 cannabis). D. R. et J.-L. S.
 
 de la population
 
 de référence.
 
 viennent
 
 de sevrage.
 
 Elles
 
 sur-
 
 dans la journée ou les deux jours
 
 suivant
 
 l’arrêt
 
 du traitement
 
 simple diminution
 
 BESOIN n.m. (angl. Need)
 
 (entre
 
 mais, par-
 
 trois
 
 sultant
 
 et huit
 
 éliminées
 
 plus lentement.
 
 Les formes à éli-
 
 culturelles
 
 mination
 
 brève donnent
 
 en pratique
 
 mations
 
 manifestations
 
 de dépendance
 
 des
 
 quées. Une dose élevée, une association et/ou un traitement
 
 prolongé
 
 riques, notamment
 
 (alcool,
 
 barbitu-
 
 signes peu spécifiques
 
 par des
 
 et souvent
 
 mineurs
 
 psychiques
 
 troubles
 
 : anxiété,
 
 insomnies,
 
 du caractère avec irritabilité,
 
 ner-
 
 Troubles
 
 neurologiques
 
 motrice,
 
 pertes
 
 : incoordination
 
 de l’équilibre,
 
 céphalées,
 
 Troubles
 
 douleurs
 
 abdominales.
 
 photophobie,
 
 troubles
 
 avec
 
 kinesthé-
 
 siques. Cette symptomatologie diagnostiquer somatiques
 
 variable
 
 à tort
 
 diverses
 
 alcoolique,
 
 sensorielle
 
 nerveux
 
 central lui-même. constatée
 
 cocement
 
 avec un deli-
 
 au sevrage. Il ne faut pas non
 
 plus confondre
 
 manifestations
 
 et phénomènes d’apparaître
 
 de rebond
 
 de sevrage (susceptibles
 
 avec un traitement élevée) avec une simple
 
 anxieuse (développée
 
 court
 
 à
 
 rechute
 
 progressivement
 
 sur
 
 deux à quatre semaines, sans amélioration spontanée, sans troubles sans sentiment
 
 de la personnalité,
 
 d’irréalité,
 
 tions sensorielles).
 
 Enfin,
 
 est susceptible
 
 Les besoins
 
 progressive
 
 de la posologie,
 
 charge psychologique
 
 une réduction
 
 adéquate,
 
 tion de la durée du traitement tion
 
 des associations
 
 une prise en la limita-
 
 et l’interdic-
 
 de benzodiazépines
 
 concernent
 
 de l’homéostasie
 
 douloureux),
 
 à long
 
 (évitement
 
 ischémiques
 
 de poitrine)
 
 primaires
 
 sique ou mental
 
 à la perpétuation
 
 de
 
 et de certains
 
 (angines
 
 troubles
 
 du
 
 traîner
 
 des bêtabloquants du blocage pharmab : ils peuvent
 
 une insuffisance
 
 cardiaque
 
 chez des patients
 
 jouent
 
 en-
 
 conges-
 
 prédisposés
 
 un rôle important
 
 ; ils
 
 dans l’apparition
 
 d’une bronchodilatation
 
 chez les patients
 
 atteints d’une pathologie
 
 bronchoconstric-
 
 tive ; ils entraînent sommeil
 
 fatigue
 
 (avec insomnie
 
 Le propranolol, l’aténolol
 
 et troubles
 
 du
 
 et cauchemars).
 
 le pindolol,
 
 l’alprénolol
 
 sont des exemples
 
 et
 
 de bêtablo-
 
 quants. S. P.
 
 aussi
 
 besoins liés au
 
 et au fonctionnement de l’individu
 
 phy-
 
 (besoin
 
 se greffent,
 
 besoins secondaires d’autant
 
 : tels sont la plupart
 
 Après des études de psychologie, quiert
 
 une formation
 
 à Dachau
 
 psychanalytique.
 
 en raison de ses origines et à Buchenwald,
 
 béré grâce à l’intervention il retire
 
 il ac-
 
 un rapport
 
 Il
 
 juives
 
 d’où il est lide la commu-
 
 De cette expérience, intitulé
 
 Individual
 
 and
 
 Mass Behavior in Extreme Situation
 
 (1943),
 
 que le général
 
 à lire à
 
 Eisenhower
 
 tous les officiers Il retira
 
 de l’armée
 
 également
 
 donna
 
 américaine.
 
 de cette expérience
 
 (1960)
 
 le
 
 et Survivre (1979),
 
 où il analyse les attitudes humaines dans les
 
 des
 
 situations
 
 est plus
 
 des besoins
 
 extrêmes et hiérarchise
 
 portements du moi.
 
 C.
 
 les com-
 
 qui paraissent les plus efficaces
 
 pour sauvegarder
 
 l’intégrité
 
 fonctionnelle
 
 Il se rend après sa libération
 
 États-Unis,
 
 et culturels. J.-M.
 
 d’origine 1903-Silver
 
 par
 
 plus nombreux
 
 nerveux
 
 Psychanalyste américain autrichienne (Vienne Spring, Maryland, 1990).
 
 Coeur conscient
 
 ou conditionnement,
 
 et variés que le système
 
 de
 
 de sommeil).
 
 Sur ces besoins primaires
 
 (Bruno)
 
 nauté internationale.
 
 soins parentaux).
 
 certains
 
 contact, de stimulation,
 
 généralisation
 
 cardiaques
 
 des
 
 rythme.
 
 est déporté
 
 des sti-
 
 sans doute de considérer
 
 sociaux, cognitifs
 
 des benzodiazépines
 
 d’ali-
 
 etc.), à la préservation
 
 corporelle
 
 Il n’en demeure de prescrire
 
 du milieu
 
 d’eau, d’oxygène,
 
 ments, d’excrétion,
 
 complexe
 
 indispensable
 
 la survie
 
 au maintien
 
 (arrêté du 7 octobre 1991 en France). pas moins
 
 fondamentaux,
 
 et de son espèce. Ils sont liés
 
 (besoin
 
 de l’hypertension,
 
 de grandes
 
 de l’individu
 
 développement
 
 du patient,
 
 Il n’est
 
 les besoins
 
 définir
 
 ou besoins primaires,
 
 comme
 
 l’information
 
 individuels.
 
 organiques
 
 tion avec une fréquence
 
 par :
 
 : ils sont efficaces
 
 Bettelheim
 
 mulus
 
 passe
 
 et de l’expé-
 
 catégories.
 
 faut-il
 
 ment à 10 % ?
 
 système cardio-vasculaire atteintes
 
 sur le
 
 de façon définitive.
 
 l’espèce (reproduction,
 
 La prévention
 
 en fonction
 
 de la maturation
 
 au plus peut-on
 
 de l’intégrité
 
 que certains esti-
 
 de varier, de
 
 que les signes attribués au sevrage peuvent s’observer spontanément dans la popula-
 
 Prévention.
 
 compensades termes
 
 ou, pour les normes,
 
 Il convient
 
 s’exercent
 
 tive
 
 neuroniques
 
 les plus impor-
 
 tants des bêtabloquants
 
 des récepteurs
 
 le
 
 milieu
 
 sans modificarappeler
 
 Les effets thérapeutiques
 
 cologique
 
 constitue
 
 de
 
 intérieur
 
 Substance capable de bloquer spécifiquement les récepteurs de l’adrénaline ( NORADRÉNALINE) de type bêta.
 
 directement
 
 au cours du temps pour les conditions
 
 Tout
 
 on
 
 Beta-Blocker)
 
 découlent
 
 les deux
 
 dans le système ner-
 
 ni de les caractériser
 
 plus pré-
 
 la fréquence,
 
 P. L.
 
 entre
 
 MOTIVATION.)Chacun
 
 la structure,
 
 dans les zones
 
 bêta 2.
 
 Les effets indésirables
 
 les populations
 
 de la comparaison
 
 bêta
 
 bêta 1 et un rythme
 
 La discordance
 
 les comportements
 
 (
 
 de
 
 ou de celle du système
 
 de la comparaison
 
 contrôlant
 
 Selon
 
 un rythme
 
 ces ondes
 
 ». Le rythme
 
 recueilli
 
 frontopariétales. distingue
 
 d’appeler
 
 d’activité
 
 dans le traitement
 
 du sys-
 
 émanant
 
 donc pas possible de dénombrer
 
 Il faudra
 
 lequel survient
 
 sont compa-
 
 informations
 
 rience des organismes
 
 affections
 
 ou psychiatriques.
 
 à ne pas confondre
 
 posologie
 
 peut faire
 
 des normes
 
 sur les conditions
 
 l’activité
 
 teurs.
 
 sensoriels : hypersensitivité
 
 parfois
 
 vo-
 
 normes
 
 ou sur l’état fonctionnel
 
 veux central,
 
 missements,
 
 rium*
 
 À ces normes
 
 besoin, qui éveillera,
 
 vertiges. digestifs : nausées, anorexie,
 
 à une espèce) ou
 
 rées des informations
 
 termes
 
 a proposé
 
 BÊTABLOQUANT n.m. (angl. Adrenergic
 
 ou l’organi-
 
 et de la totalité
 
 éventuellement
 
 Troubles
 
 (supérieure à 13 hertz) et d’amplitude faible (entre 5 et 10 microvolts), caractéristique du tracé électroencéphalographique de l’adulte éveillé.
 
 intérieur
 
 du fonctionnement
 
 propre
 
 tème nerveux,
 
 vosité.
 
 veiller
 
 nerveuse
 
 rapide
 
 être innées (tels les
 
 types de cellules
 
 culturelles).
 
 de fréquence
 
 des infor-
 
 du milieu
 
 normaux
 
 du milieu
 
 comme : Troubles
 
 sation
 
 part,
 
 ou
 
 ou des représentations.
 
 physiologiques
 
 La sympto-
 
 lors du sevrage se traduit
 
 sur l’état
 
 des divers
 
 entre, d’une
 
 acquises (c’est le cas de certaines
 
 chez les toxicomanes)
 
 les manifestations.
 
 et, d’autre
 
 paramètres
 
 ré-
 
 physiologiques
 
 Les normes peuvent
 
 augmentent
 
 aussi la probabilité de survenue et la sévérité des manifestations. La prise simultanée psychotropes
 
 des normes
 
 ou extérieur,
 
 plus mar-
 
 État de l’organisme
 
 d’un déséquilibre
 
 part,
 
 matologie
 
 cérébral
 
 est principalement
 
 PSYCHOPHYSIOL.
 
 jours après le sevrage*) pour les molécules
 
 potentialise
 
 Rythme
 
 bêta « rythme
 
 ou après une
 
 de posologie,
 
 fois, plus tardivement
 
 d’autres
 
 BÊTA (RYTHME) (angl. Beta Rhythm)
 
 Bremer
 
 Manifestations
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 où il devient
 
 professeur
 
 cation (1944) puis de psychiatrie
 
 aux d’édu-
 
 (1963) à 115
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 l’université
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 de Chicago. Il prend également
 
 la direction,
 
 en 1944, d’un institut
 
 aux enfants en difficulté,
 
 qu’il
 
 1947 sous le nom d’Institut
 
 destiné
 
 de l’un des deux), l’ancrage (les jugements
 
 tion
 
 suivants
 
 dépendent
 
 de
 
 (la probabilité
 
 qu’il décrit
 
 estimée
 
 des parents,
 
 et dans lequel
 
 en charge les enfants
 
 autistes.
 
 en cause par sa pratique les conceptions
 
 en avançant maladie toute
 
 extérieures,
 
 et par ses
 
 de l’autisme
 
 que la cause première
 
 est un incident
 
 petite
 
 enfance,
 
 une relation
 
 survenu
 
 à partir
 
 de plusieurs
 
 vide (1967).
 
 jugements
 
 soient
 
 corrects).
 
 tion des biais de jugement termes
 
 d’heuristique
 
 lution
 
 a été donnée en
 
 (procédure
 
 événement
 
 cas dans la Forteresse orthogé-
 
 (la probabilité
 
 opposée Les prinsont : la
 
 estimée
 
 répartition
 
 en six groupes ce que veut d’aucune
 
 des pensionnaires
 
 de huit,
 
 l’enfant,
 
 sans intervention
 
 hiérarchie
 
 « le pouvoir corrompt ». Ses méthodes se réfèrent à S. Freud, à A. Aichhorn et surtout à E. Erikson, de la sécurité se rattache
 
 promoteur
 
 du « principe
 
 fondamentale
 
 ». Bettelheim
 
 aussi au courant
 
 chologie.
 
 Après avoir
 
 les mères (1962)
 
 de l’égopsy-
 
 écrit
 
 et s’être
 
 Dialogue
 
 avec
 
 intéressé
 
 aux
 
 mythes et aux contes de fées (Psychanalyse des contes de fées, 1976), il publie sures symboliques Bettelheim,
 
 les Bles-
 
 (1976). L’importance
 
 bien que parfois
 
 de
 
 contestée,
 
 se
 
 marque notamment par la volonté de laisser à l’enfant toute la faculté d’autonomie possible,
 
 y compris
 
 repliement,
 
 dans ses tendances
 
 pour que de lui-même
 
 au
 
 il accède
 
 à l’autre, au monde, de façon personnelle
 
 et
 
 authentique. R. L.
 
 prises
 
 en compte
 
 d’autres
 
 l’effectif
 
 a priori
 
 Les principaux
 
 rapport
 
 par
 
 à une norme.
 
 La norme
 
 reflète
 
 être la
 
 rationalité.
 
 On distingue
 
 les biais
 
 de jugement (la norme est souvent la théorie des probabilités,
 
 en fonction
 
 est estimée la probabilité événement)
 
 de laquelle
 
 d’occurrence
 
 d’un
 
 et les biais de raisonnement
 
 (la
 
 norme est souvent la logique qui fournit
 
 les
 
 règles d’inférences
 
 (la pertinence
 
 jugée en fonction
 
 La présence
 
 d’un
 
 biais
 
 invoquée
 
 pour expliquer
 
 réponses
 
 entre
 
 peut
 
 aussi être
 
 la variabilité
 
 des situations
 
 de
 
 qui ne dif-
 
 fèrent que sur des points posés comme non pertinents exemple
 
 pour
 
 la tâche considérée
 
 les effets de contexte).
 
 (par
 
 conditionnel, sont préférées nérale à traiter
 
 Les principaux conjonction nements
 
 (la cooccurrence
 
 sont
 
 de deux évé-
 
 est jugée plus probable
 
 affirma-
 
 les informations d’une
 
 explication
 
 gé-
 
 aux biais
 
 de mettre notamment est
 
 ». Ainsi,
 
 si le problème
 
 le biais disparaît.
 
 Les biais ont démontré psychologique
 
 blèmes
 
 que celle
 
 Hillsdale,
 
 On notera
 
 que le fonctionne-
 
 Erlbaum.
 
 D., Slovic, under
 
 P., et Tversky,
 
 Uncertainty
 
 Biases, Cambridge,
 
 MA,
 
 A., 1982,
 
 : Heuristics
 
 Cambridge
 
 and
 
 University
 
 Press.
 
 BILATÉRALE
 
 (ÉPREUVE),
 
 (angl. Two-Sided Test ou Two-Tailed Test)
 
 statistique
 
 positive
 
 (TEST OU ÉPREUVE
 
 expli-
 
 conçu comme un moyen les espaces-protraduit
 
 au
 
 sources d’erreurs
 
 Caractère
 
 d’une
 
 J.-F. L. N.
 
 structure
 
 dans
 
 quelle les côtés gauche et droit
 
 Les organes moteurs bilatéraux
 
 et situés symétriquement
 
 et d’autre
 
 de l’axe médian
 
 symétrie
 
 ou une stimulation
 
 une asymétrie
 
 recouvre
 
 le même pied pour com-
 
 mencer à monter
 
 un escalier ou pour taper
 
 le système
 
 des réponses et n’affecte
 
 qui contrôlent
 
 les fonctions sont
 
 Bien que la plupart
 
 teurs tels que la fréquence d’apparition des stimulus, l’étendue de leur distribution, leur succession temporelle, etc.
 
 par
 
 La plu-
 
 un oeil préféré, une oreille préférée et choi-
 
 sensori-motrices,
 
 systémapar des fac-
 
 souvent
 
 ont une main préférée,
 
 rieures en moyenne à la valeur paramètre dans la population.
 
 M. R.
 
 donc
 
 L’apparente
 
 de fonctionnement.
 
 part des individus
 
 de part
 
 peuvent
 
 ou unilatérales.
 
 des structures
 
 sont
 
 du corps. Une
 
 dans un ballon. Les hémisphères
 
 du
 
 ont un
 
 et sensoriels
 
 Erreur systématique qui suscite des estimations supérieures ou inféSTAT.
 
 la-
 
 rôle fonctionnel.
 
 sissent toujours
 
 un biais concerne
 
 DE)
 
 BILATÉRALITÉ n.f. (angl. Bilateralness)
 
 être bilatérales
 
 Modification des performances
 
 ou M. R.
 
 que le concept
 
 des limitations,
 
 être
 
 sur une
 
 négative.
 
 activité
 
 dans le raisonnement,
 
 portant
 
 pouvant
 
 ne suit pas les règles
 
 dans les jugements.
 
 tique
 
 New
 
 positives).
 
 C. B.
 
 la
 
 Judgment
 
 (G.-B.),
 
 Reaso-
 
 négatives
 
 raisonnement
 
 qui les produisent.
 
 biais de jugement
 
 ning, Hove et Londres
 
 SIGNIFICATION
 
 de
 
 la sensibilité.
 
 processus cognitifs
 
 Evans, J. St B.T., 1989, Bias in Human
 
 la
 
 en évidence des « schémas pragmatiques
 
 constituent
 
 les
 
 avec
 
 (il y a une préférence
 
 a permis
 
 d’élaboration
 
 de comprendre
 
 est
 
 du problème),
 
 aux conclusions
 
 tives), la positivité
 
 de l’étude des biais réside dans le fait qu’ils un moyen
 
 sont
 
 d’items
 
 les conclusions
 
 contextualisé,
 
 D’), COGNI-
 
 (TEST) BILATÉRAL
 
 négative (dans le raisonnement
 
 En principe,
 
 L’intérêt
 
 des
 
 de leur appariement
 
 des données de l’énoncé
 
 précédents
 
 (BIAIS
 
 Bibliographie
 
 différence
 
 PSYCHOPHYS.
 
 valides).
 
 CAUSALE
 
 le système
 
 SOCIALE
 
 l’appariement
 
 La recherche
 
 dans
 
 (des hypothèses sont testées
 
 réponse si la tâche était effectuée selon une certaine
 
 TION
 
 Épreuve
 
 contraire
 
 ce que devrait
 
 ATTRIBUTION
 
 de sorte à éviter qu’elles soient infirmées),
 
 conclusion
 
 que subit une infor-
 
 informations,
 
 il peut appartenir).
 
 catif d’heuristique,
 
 systématique
 
 avec
 
 biais de raisonnement
 
 la confirmation
 
 logiques.
 
 Déviation
 
 à une
 
 de chacune
 
 efficace et vital de réduire GÉNÉR.
 
 (un
 
 de sa ressemblance
 
 classes auxquelles
 
 ment BIAIS n.m. (angl. Bias)
 
 Distorsion
 
 Kahneman,
 
 comme
 
 car, selon ses dires,
 
 SOCIAL.
 
 Jersey, Laurence
 
 la représentativité
 
 le stéréotype de cette classe, sans que soient
 
 respect absolu de
 
 C. B.
 
 de cet événement), classe en fonction
 
 favorable
 
 avec
 
 par
 
 la sensibilité.
 
 laquelle peuvent être évoqués des exemples
 
 environnement
 
 instant
 
 d’un
 
 de la facilité
 
 élément est jugé comme appartenant
 
 à tout
 
 le système
 
 des réponses et n’affecte
 
 ou en en sortant.
 
 de jugement
 
 est fonction
 
 d’élaboration
 
 cognitif
 
 algorithmiques).
 
 cette thèse
 
 un biais concerne
 
 efficace mais
 
 aux procédures disponibilité
 
 tempo-
 
 en entrant
 
 dans la
 
 cipales heuristiques
 
 succession
 
 mation
 
 n’est pas garantie,
 
 dans
 
 de leur
 
 de réso-
 
 nique, il ne laisse aucun détail au hasard : à l’enfant,
 
 116
 
 que nos
 
 l’étendue
 
 Une explica-
 
 rapide habituellement
 
 et
 
 Dans son institut
 
 la probabilité
 
 leur
 
 En principe,
 
 la surconfiance (nous surestimons
 
 dont la solution
 
 entre l’enfant
 
 sa mère. Il tente de démontrer
 
 événement
 
 de cette
 
 en particulier
 
 mal établie
 
 Il
 
 d’un
 
 néglige la prise en compte de sa probabilité systématiquement
 
 isolé des pressions
 
 observations
 
 relle, etc.
 
 orthogénique
 
 un milieu
 
 remet
 
 distribution,
 
 a priori
 
 dents), la négligence des probabilités
 
 a priori),
 
 il prend
 
 précé-
 
 en
 
 dans Un lieu pour renaître (1974), comme notamment
 
 des jugements
 
 réforme
 
 Chicago. Il organise cet institut,
 
 des stimulus,
 
 bilatéralement hémisphère, misphérique contrôle
 
 cérébraux,
 
 cognitives
 
 et
 
 aussi bilatéraux.
 
 des fonctions
 
 représentées
 
 soient
 
 dans chaque
 
 il existe une spécialisation
 
 hé-
 
 telle que chaque hémisphère
 
 préférentiellement
 
 certaines fonc-
 
 tions. J. F.
 
 BINAURAL, E,AUX adj. (angl. Binaural)
 
 Qui
 
 concerne
 
 les perceptions
 
 audi-
 
 tives engendrées
 
 par une stimulation
 
 PSYCHOPHYS.
 
 simultanée
 
 deux
 
 tique teurs
 
 biaural,
 
 Modification systémades performances par des factels que la fréquence d’appari-
 
 des
 
 oreilles.
 
 (Syn.
 
 binauriculaire.) R. L.
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 Binet
 
 luation
 
 (Alfred)
 
 Psychologue ris 1911). Après
 
 français
 
 (Nice
 
 se consacre
 
 s’intéresse d’abord
 
 de naturaliste,
 
 à la psychologie.
 
 à la psychologie
 
 Il
 
 patho-
 
 et les types de réponses
 
 suscitent
 
 sont gradués
 
 l’« âge mental
 
 » d’un sujet, c’est-à-dire les enfants
 
 à la Salpêtrière
 
 fournies.
 
 Mais, chez Binet, ces inté-
 
 rêts de clinicien scientifiques
 
 sont associés à des intérêts
 
 qui orientent
 
 l’analyse expérimentale limités
 
 son activité vers
 
 rigoureuse
 
 et vers l’utilisation
 
 siologique
 
 de méthodes
 
 de psychologie
 
 qui fonctionnait
 
 depuis
 
 1889.
 
 fonde
 
 l’Année
 
 C’est
 
 de
 
 de nombreuses
 
 recherches
 
 expérimentale peut-être
 
 processus les plus élémentaires. une grande importance rences individuelles. l’Année article
 
 notamment
 
 aux États-
 
 Les échelles de D.
 
 en dérivent
 
 et son groupe
 
 une révision
 
 avec V. Henri,
 
 un
 
 individuelle
 
 »
 
 en 1907 pour y
 
 psychanalytique.
 
 au comité directeur
 
 suisse de psychanalyse Tout en dirigeant s’intéresse
 
 de la Société
 
 en 1919.
 
 la clinique
 
 familiale,
 
 « Nouvelle
 
 Échelle
 
 » ou N.E.M.I. M. R.
 
 nologie d’E. Husserl, puis de M. Heidegger, pour l’appliquer
 
 à l’observation
 
 clinique
 
 psychopathologique
 
 tence (trad. angl. Clarion présentée,
 
 N boules
 
 dont
 
 cas deve-
 
 Books, 1967) que
 
 observation
 
 comme
 
 existentielle
 
 est longuement
 
 un modèle de l’analyse
 
 que préconise
 
 Binswanger.
 
 Pour lui, le psychiatre doit reconstituer comprendre phénoménologiquement
 
 statistique.
 
 contient
 
 de ses
 
 nus célèbres, en particulier ceux de Suzan Urban et d’Ellen West. C’est dans Exiscette dernière
 
 BINOMIALE (LOI, VARIABLE) (angl. Binomial Distribution, Law, Variable)
 
 il
 
 de plus en plus à la phénomé-
 
 malades, dont il publie quelques
 
 en 1966
 
 une for-
 
 Cette formation
 
 ont publié
 
 de l’intelligence
 
 Une urne
 
 à Vienne
 
 de C. Jung,
 
 et à l’étude
 
 intitulée
 
 Loi de distribution
 
 du Burghölzli.
 
 aussi. En France, R.
 
 Il accorde
 
 En 1896, il publie dans
 
 sur « la Psychologie
 
 et a fait l’objet de nom-
 
 aux
 
 à l’étude des diffé-
 
 psychologique,
 
 une
 
 L. M. Terman.
 
 métrique
 
 de ses intérêts
 
 a connu
 
 de psychologues
 
 Zazzo
 
 le souci -
 
 - de ne pas se cantonner
 
 mondiale
 
 Wechsler
 
 de psychologie
 
 sous l’influence
 
 de Binet-Simon
 
 grâce aux travaux
 
 comme
 
 Il effectue
 
 tout en conservant
 
 de clinicien
 
 Unis,
 
 en 1894 qu’il
 
 psychologique.
 
 L’échelle
 
 d’E. Bleu-
 
 S. Freud et commencer
 
 l’amènera
 
 spécial.
 
 psychiatrique
 
 qu’il accompagne mation
 
 enseignement
 
 où il se rend en-
 
 C’est là qu’il fait la connaissance
 
 d’enfants
 
 breuses adaptations,
 
 phy-
 
 ler à l’hôpital
 
 rencontrer
 
 d’un
 
 À Zurich,
 
 à Lausanne et
 
 suite, il est l’élève puis l’assistant
 
 conçue
 
 de bénéficier
 
 des études à la fois
 
 médicales et philosophiques
 
 pour évaluer les retards de développement susceptibles
 
 il poursuit
 
 la
 
 près du lac de
 
 de
 
 faisant
 
 était à l’origine
 
 de Kreuzlingen,
 
 possédant
 
 à Heidelberg.
 
 les réponses que ce sujet a
 
 L’épreuve
 
 notoriété
 
 à la Sorbonne
 
 aussi
 
 normaux
 
 clinique
 
 de psychiatres
 
 de
 
 de faits
 
 mesure objectives. Il devient en 1894 directeur du Laboratoire
 
 une évaluation
 
 d’une famille Constance,
 
 de 3 à 13
 
 fournit
 
 habituellement
 
 dans ce domaine.
 
 qu’elles
 
 ans. L’échelle l’âge qu’ont
 
 ouvrages
 
 Les
 
 et correspondent
 
 à des âges allant
 
 logique telle que J. M. Charcot la pratiquait et publie plusieurs
 
 sont précisées.
 
 épreuves
 
 en principe
 
 une formation
 
 A. Binet
 
 1857-Pa-
 
 des réponses
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 Np
 
 monde
 
 de l’expérience
 
 intérieure
 
 et le
 
 de son
 
 dans lequel il souligne que les différences individuelles sont bien plus marquées dans
 
 blanches et Nq noires (p + q = 1). On pro-
 
 les processus
 
 cède à un tirage avec remise de n boules. La
 
 malade s’il veut tenter de le guérir. C’est l’« être-au-monde », le Dasein (Heidegger)
 
 gence) que dans les processus élémentaires
 
 probabilité
 
 qui doit rester au centre de cette analyse
 
 (comme
 
 la sensation).
 
 conque,
 
 premiers
 
 tests psychologiques
 
 notamment
 
 supérieurs
 
 (comme
 
 Il critique
 
 l’intellipar là les
 
 déjà publiés,
 
 par le psychologue
 
 américain
 
 J.
 
 McKeen Cattell. Chargé, au sein d’une commission truction
 
 publique,
 
 de chercher
 
 de l’Insun moyen
 
 de dépister les enfants retardés afin d’améliorer
 
 l’enseignement
 
 ou de les orienter spécialisé,
 
 qui leur est donné vers un enseignement
 
 il a l’idée d’élaborer
 
 d’épreuves
 
 et d’examiner
 
 une série
 
 à quel âge elles
 
 d’obtenir, x boules
 
 dans un ordre quel-
 
 blanches
 
 noires est fournie
 
 et n-x boules
 
 par la loi binomiale : pour
 
 les valeurs successives de x (de 0 à n), ces
 
 de psychiatrie, à propos de la conscience, ou
 
 probabilités
 
 plus précisément du « monde maniaque », sur la fuite des idées (Über Ideenflucht, série
 
 sont fournies
 
 du développement loi binomiale la forme
 
 par les termes
 
 du binôme
 
 (p +
 
 q)n.
 
 peut être représentée
 
 d’une distribution,
 
 sous
 
 les valeurs de
 
 x étant en abscisse et les probabilités respondantes
 
 en ordonnée.
 
 qui se distribue
 
 La
 
 cor-
 
 Une variable
 
 sous cette forme
 
 est une
 
 on se réfère le plus souvent
 
 crée ainsi l’Échelle métrique de l’intelligence (1905 puis 1908 et 1911) avec la col-
 
 à la distribution
 
 binomiale obtenue pour p =
 
 laboration
 
 nir 0, 1,..., n-1, n boules blanches sont pro-
 
 normaux.
 
 Il
 
 de T. Simon.
 
 Cette échelle connaîtra
 
 une notoriété
 
 mon-
 
 diale tant en ce qui concerne
 
 la méthode
 
 d’examen
 
 proches
 
 (série
 
 la vie courante)
 
 d’épreuves
 
 qu’en ce qui concerne
 
 mode d’évaluation tal).
 
 de le
 
 q = 0,5. Dans ce cas les probabilités portionnelles ficients
 
 d’obte-
 
 des termes
 
 du binôme.
 
 sont représentés
 
 Ces coef-
 
 dans le « triangle
 
 de Pascal » :
 
 des résultats (âge men-
 
 Pour n = 4 1 4 6 4 1
 
 (ÉCHELLE) (angl. Binet-Simon Scale)
 
 celui
 
 au-dessus
 
 de lui et de
 
 qui est à la gauche de celui-ci.)
 
 Cette échelle a été publiée et T. Simon en 1905, d’application
 
 dans l’Année
 
 1908
 
 et 1911.
 
 par A. Binet
 
 psychologique Les modalités
 
 de chaque épreuve et d’éva-
 
 On
 
 M. R.
 
 Psychiatre id. 1966).
 
 (Ludwig)
 
 suisse (Kreuzlingen
 
 Il a tenté
 
 une synthèse
 
 nalyse et phénoménologie, l’emporte
 
 nettement
 
 psychanalytique,
 
 reste jusqu’au
 
 bout
 
 fidèle
 
 son dernier
 
 (Erinnerungen
 
 à Freud
 
 livre
 
 et lui
 
 de souvenirs
 
 an Sigmund Freud). Des ar-
 
 ticles importants (1947) et traduits Introduction
 
 Binswanger
 
 ont été regroupés, publiés en français
 
 sous le titre
 
 à l’analyse existentielle
 
 (1971 ;
 
 rééd. 1989). Les ouvrages les plus marquants
 
 sont Ein-
 
 führung in die Probleme der allgemeinen Psychologie (1922), Grundformen und menschlichen
 
 Daseins (1942),
 
 entre
 
 BIOFEEDBACK n.m.
 
 bino-
 
 miale est symétrique.
 
 Binswanger
 
 l’orthodoxie
 
 de plus en plus de
 
 est égal à la somme
 
 voit que, dans ce cas, la distribution
 
 Échelle de développement de l’intelligence constituée par une série de petites épreuves concrètes et variées proches de la vie courante, faisant appel au jugement, à la compréhension, au raisonnement.
 
 en s’éloignant
 
 J. P.
 
 des nombres
 
 de celui qui figure
 
 Binet-Simon
 
 Tout
 
 (trad. fr. en 1957, préfacé par Binswanger).
 
 Etc. (Chacun
 
 titre en 1933).
 
 Schizophrenie (1957). C’est dans ce dernier ouvrage que se trouve Le cas Suzan Urban
 
 Pour n = 3 1 3 3 1
 
 (ÉCHELLE)
 
 de 1930 à 1932 et publiés sous ce
 
 Erkenntnis
 
 Pour n = 2 1 2 1
 
 M. R. BINET-SIMON
 
 aux coefficients
 
 du développement
 
 d’articles
 
 consacre
 
 variable binomiale. En psychologie,
 
 sont réussies par des enfants
 
 que Binswanger a développée dans ses six articles des Archives suisses de neurologie et
 
 1881psycha-
 
 où la seconde
 
 sur la première.
 
 Issu
 
 Technique comportementale visant, dans un but thérapeutique, à établir un autocontrôle sur certaines fonctions physiologiques. (Syn. rétroaction biologique.) Pour cela, certains rythmes
 
 ou certaines
 
 réactions
 
 physiologiques
 
 sont recueillis
 
 amplifiés,
 
 puis traduits,
 
 par un appareillage
 
 électronique, souvent
 
 et
 
 en un signal sensoriel, le plus
 
 lumineux
 
 ou sonore, immédiate117
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 ment retransmis mation
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 au sujet. Grâce à l’infor-
 
 que lui apporte
 
 le biofeedback,
 
 sujet est rendu plus conscient tionnement
 
 de l’enfant
 
 biologique
 
 le
 
 de son fonc-
 
 et peut apprendre
 
 exercer graduellement
 
 évolueraient
 
 étapes que franchirent au cours
 
 à
 
 un certain contrôle
 
 sur lui-même.
 
 ceux de ses ancêtres
 
 des siècles. La loi biogénétique
 
 fondamentale,
 
 et surtout
 
 la psychologie
 
 du développement,
 
 du biofeedback. paramètre
 
 demeure E. V.
 
 La seule perception
 
 retransmission
 
 par
 
 musculaire,
 
 pas à faire acquérir
 
 que toute infime
 
 de certains
 
 ne par-
 
 au sujet ce
 
 de ses muscles,
 
 modification
 
 mais cependant
 
 dispositif
 
 d’intégration
 
 électronique
 
 obtenue,
 
 même
 
 décelable
 
 par le
 
 de l’appareillage
 
 miniaturisé,
 
 lui soit retrans-
 
 mise dans un bref délai.
 
 Cette
 
 sion se fait par le truchement sensoriel nement positif,
 
 signal
 
 opérant,
 
 organisme
 
 comme
 
 le sujet à disposer son apparaître
 
 sus mis en jeu dans le biofeedback raissent trop complexes par les seules théories Ils impliquent
 
 le
 
 pour être analysés de l’apprentissage.
 
 et restent
 
 encore
 
 explorés : ce qui peut expliquer des résultats
 
 cliniques
 
 sont très diverses
 
 réédu-
 
 céphalées
 
 Elles s’étendent
 
 gastro-intestinaux,
 
 cardio-vas-
 
 essentielle,
 
 neuro-musculaire,
 
 de
 
 à des problèmes
 
 par exemple
 
 rhée ou la constipation, insomnies
 
 la diversité
 
 du biofeedback
 
 : troubles
 
 hypertension
 
 tension.
 
 mal
 
 obtenus.
 
 Les applications culaires,
 
 appa-
 
 d’autres processus ; ceux-ci
 
 sont médiationnels
 
 la diar-
 
 et ont abordé
 
 les
 
 en faisant prendre conscience au
 
 des rythmes
 
 exclusivement
 
 Il a le mérite
 
 Matthura,
 
 Inde,
 
 1897-Oxford Disciple
 
 et analysant
 
 de M. Klein, prési-
 
 dent de la Société britannique
 
 de psycha-
 
 nalyse
 
 sa carrière
 
 comme
 
 médecin
 
 nique Tavistock
 
 alpha ou des rythmes
 
 relativement
 
 psychogenèse originalement et l’interprétation
 
 avatars.Selon
 
 l’enfant
 
 jette un contenu
 
 : ses mauvais
 
 ses émotions
 
 il débuta
 
 en 1932 à la célèbre
 
 cli-
 
 de Londres où il eut S. Bec-
 
 normal
 
 incontrôlables
 
 sentiments, ainsi qu’une
 
 Selon une disposition le futur
 
 une spécificité
 
 qui se déploie
 
 selon plusieurs
 
 axes.
 
 ferait l’objet
 
 groupale
 
 militaire
 
 pendant
 
 jouer
 
 contre
 
 le sein. L’envie
 
 peut interdire
 
 il constate qu’en collecti-
 
 travail,
 
 d’une tâche ou groupe
 
 s’oppose une tendance régressive et
 
 émotionnelle Il définit
 
 conduisant
 
 à l’échec, l’affect.
 
 alors la terminologie
 
 lité groupale
 
 de menta-
 
 pour désigner la tonalité
 
 bale qui se dégage du groupe
 
 glo-
 
 comme
 
 s’il
 
 s’agissait d’une seule et même personne ; la culture
 
 de groupe pour appréhender
 
 résulte
 
 des conflits
 
 entre ladite
 
 et les désirs particuliers Pour la qualifier,
 
 signale
 
 de base dépendance
 
 la nécessité
 
 (par exemple
 
 d’un
 
 hypo-
 
 tout groupe
 
 Dieu) ; l’hypothèse AF) où l’unité
 
 (hb D)
 
 leader
 
 absolu
 
 religieux
 
 et son
 
 de base attaque fuite (hb
 
 est assurée par un ennemi
 
 contre
 
 son propre
 
 appareil
 
 à perceptions,
 
 se clive du même coup sa personnalité fragments
 
 expulsés à l’extérieur
 
 radicalement
 
 défaut
 
 en
 
 et lui fait
 
 l’appareil
 
 à prendre
 
 conscience de la réalité. Les parties du moi ainsi éjectées menant pendante
 
 une existence
 
 à côté de lui, il se croit
 
 indé-
 
 entouré
 
 d’objets bizarres et envahissants.
 
 développée
 
 abstraction
 
 et complexe.
 
 la personnalité impressions
 
 extrêmement Selon Bion, dans
 
 opère la fonction sensorielles
 
 a, sur les
 
 et expériences
 
 émotionnelles perçues, en leur faisant changer d’état par rapport à leur structure d’origine,
 
 pour devenir
 
 peuvent
 
 à leur tour
 
 des éléments a, qui
 
 soit être transformés
 
 l’état brut sont des éléments b, expulsés par
 
 nement futur propre
 
 identification
 
 semble exercer sur l’anxiété
 
 une
 
 action sédative non négligeable. M. A.
 
 de base de couplage (hb C) à sauver le groupe sur
 
 Selon cette loi, tout embryon présente successivement les formes embryonnaires
 
 un fonctionnement
 
 dans un registre
 
 précis,
 
 à y participer
 
 valence, sa propension
 
 opposée à effectuer
 
 outre des groupes de travail spécialisés qui déterminent
 
 des instances sociales (hb D et
 
 Église, hb AF et armée, hb C et aristocratie). Le changement
 
 catastrophique
 
 correspond
 
 à une perte d’équilibre
 
 d’un groupe à l’oc-
 
 casion de l’introduction
 
 d’idées nouvelles.
 
 dividu
 
 thèse de Haeckel. duisit fortement
 
 apportés
 
 La loi biogénétique les psychologues
 
 du siècle, qui l’étendirent ment
 
 à l’hypo-
 
 psychologique
 
 sé-
 
 du début
 
 au développe-
 
 : les comportements
 
 est sa
 
 Il existe en
 
 fentes branchiales
 
 est un des arguments
 
 la
 
 tendance d’un individu
 
 des ancêtres de son espèce. La présence de humain
 
 projective
 
 exceptionnel,
 
 entretenir
 
 bénéfiques (destruction
 
 qui peut
 
 avec son groupe des relations
 
 commensalisme interaction),
 
 le mystique
 
 un in-
 
 (coexistence de symbiose
 
 de
 
 des deux sans (interactions
 
 pour les deux), de parasitisme mutuelle).
 
 une barrière l’appareil b, formé
 
 nés, caractérise de l’enfant
 
 qui, à
 
 semi-perméable,
 
 psychique
 
 la base de toute relation d’éléments
 
 des éléments
 
 de contact
 
 l’image d’une membrane protège
 
 restant à
 
 et vécus comme
 
 a forment
 
 hb implique
 
 soit refou-
 
 lés. Les éléments non transformés
 
 Chaque
 
 Dans chaque groupe peut émerger
 
 chez l’embryon
 
 soit emmagasinés,
 
 des choses en soi. L’ensemble
 
 un travail, étant sa coopération.
 
 Loi formulée par E. Haeckel en 1866, qui s’énonce ainsi : « L’ontogénie est une courte récapitulation de la phylogénie. » (Syn. loi de récapitulation.)
 
 à nouveau,
 
 le modèle du couple qui attend un enfant. automatique
 
 BIOGÉNÉTIQUE FONDAMENTALE (LOI DE) (angl. Biogenetic Law)
 
 ou
 
 d’une
 
 fondée sur l’espoir de la survenue d’un évé-
 
 de son corps » (B.
 
 faut attaquer
 
 Il s’agit
 
 épistémologique
 
 à « maîtriser
 
 fuir ; l’hypothèse
 
 qu’il
 
 destiné
 
 commun
 
 les rythmes
 
 extérieur
 
 étant alors endommagé,
 
 primitivement à réguler les affects trop intenses. Les attaques étant alors retournées
 
 La période
 
 thèses (hb) ou suppositions de base. D’abord, l’hypothèse
 
 le lien avec
 
 est dépossédé de l’appareil
 
 mentalité trois
 
 pas l’am-
 
 ce qui
 
 des participants.
 
 il détermine
 
 massive
 
 à la mère de
 
 son rôle si elle n’accepte
 
 l’enfant la Seconde
 
 de fan-
 
 tasmes sadiques oraux majeurs, dirigés par
 
 pleur de cette phase schizoïde, La période
 
 ce qui
 
 innée et haineuse,
 
 schizophrène
 
 du nourrisson
 
 garde cependant
 
 : sa
 
 est néfaste, l’enfant réintrojectant secondairement ledit contenu une fois bonifié.
 
 théorique
 
 vité, à la réalisation
 
 pro-
 
 mère, un bon sein supposé pacifier
 
 projection
 
 Guerre mondiale,
 
 de ses
 
 lui, à la phase dite
 
 schizo-paranoïde,
 
 kett en analyse dès 1934. Son élaboration
 
 Psychiatre
 
 de
 
 partie de sa psyché, vers un contenant
 
 1979).
 
 (1962-1965),
 
 la schi-
 
 de proposer
 
 une conception
 
 indépendante,
 
 d’articu-
 
 de repos de ses ondes cérébrales. Le biofeedback, qui se propose d’apprendre au sujet Brown),
 
 118
 
 bri-
 
 (Muttra,
 
 un renforçateur
 
 de façon à faire
 
 presque
 
 zophrénie.
 
 ce temps
 
 s’étend de 1950 à 1962, et
 
 le sein humanisant
 
 plus souvent et le plus longtemps possible ce renforçateur. Cependant, les proces-
 
 patient
 
 psychanalyste
 
 agissant en termes de condition-
 
 et en incitant
 
 cation
 
 Ruprecht)
 
 et
 
 particulière
 
 transmisd’un
 
 (Wilfred
 
 tannique
 
 contrôle. Il faut, s’il est décidé à voir diminuer ou augmenter son rythme cardiaque ou la tension
 
 concerne
 
 éventuels
 
 Bion
 
 Psychiatre
 
 ou par l’électromyo-
 
 graphe d’une activité viendrait
 
 la
 
 par l’électrocardiographe
 
 cardiaque
 
 théorique
 
 fondée sur l’oralité
 
 d’un
 
 exemple
 
 de la psychose
 
 kleinienne,
 
 la psychose
 
 le mode d’action
 
 biologique,
 
 du rythme
 
 à
 
 très controversée.
 
 que s’explique
 
 De facture lation
 
 ses applications
 
 C’est par un schéma de conditionnement opérant
 
 Une théorie
 
 en passant par les
 
 et constitue
 
 normale.
 
 d’éléments
 
 L’écran b aggluti-
 
 la psychose. Sur le modèle
 
 au sein, il établit une théorie de
 
 la pensée, subdivisée dans son degré d’abstraction en étapes, lui permettant d’établir
 
 la grille,
 
 compte
 
 instrument
 
 destiné
 
 de la teneur
 
 de la séance
 
 l’échange avec le patient. des lettres majuscules
 
 un niveau
 
 (ligne A pour les
 
 b ; ligne B pour les éléments
 
 ligne C pour les rêves, les mythes, lucinations
 
 et de
 
 Sur l’axe vertical,
 
 dénotent
 
 croissant de l’abstraction éléments
 
 à rendre
 
 ; ligne D pour
 
 a ;
 
 les hal-
 
 les préconcep-
 
 tions ; ligne E pour les conceptions
 
 ; ligne F
 
 pour les concepts ; ligne G pour le système
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 scientifique brique)
 
 ; ligne H pour le calcul
 
 ; sur l’axe horizontal,
 
 des emplois, colonnes nition,
 
 des numéros
 
 dit encore axe déterminent
 
 (1 pour les hypothèses
 
 énoncés
 
 faux énoncés
 
 tion, fait de mémoire
 
 qui concerne
 
 l’action).
 
 lignes verticales
 
 flottante
 
 catégorie
 
 du discours
 
 des
 
 produit
 
 64
 
 Bion,
 
 à l’oeuvre dans une
 
 s’opèrent
 
 l’analyse
 
 étant
 
 où
 
 T, il déve-
 
 Pour lui, tout énoncé
 
 est une transformation d’abord
 
 un monde
 
 des transformations
 
 loppe cette notion.
 
 d’une
 
 émotionnelle,
 
 expérience
 
 fait originaire
 
 bolisé par O. Cette origine
 
 sym-
 
 est inconnais-
 
 sable, c’est la chose en soi. Le processus de transformation final
 
 Ta conduit
 
 transformé
 
 est ce
 
 en O par Ta et qui en
 
 Tb permet de retrouver
 
 O. L’analyste
 
 dans
 
 la séance n’a accès qu’au Tb du patient
 
 et
 
 à l’oeuvre
 
 projective
 
 (à mouvement
 
 de l’Association
 
 de plus des transformations
 
 Il existe
 
 dans O dites
 
 changements
 
 catastrophiques
 
 être
 
 (notés
 
 qui peuvent
 
 (notés - C) ; des transformations
 
 de O dans
 
 On connaît
 
 également,
 
 Se
 
 dit
 
 de
 
 Il est classique d’opposer
 
 d’accès ma-
 
 niaques
 
 aux formes
 
 et d’accès dépressifs, (ou unipolaires),
 
 soit maniaque,
 
 lement
 
 dépressive (créé par E. Kraepelin En effet,
 
 les épisodes
 
 l’agitation
 
 il est remarquable
 
 qu’à la suite de Mélanie
 
 cet auteur ait décrit et développé dans sa théorisation
 
 de Klein,
 
 en détail
 
 les effets de l’instance
 
 pour le parlêtre, approche
 
 symptomatique
 
 unipolaires
 
 différentes
 
 : la bipolaire,
 
 du pulsionnel, de mort
 
 le déchaînement conçue
 
 phallique.
 
 Il semble d’ailleurs
 
 qui confère toute sa portée à ce travail,
 
 au
 
 regard de notre
 
 du
 
 en constitue
 
 même coup l’impasse et la limite, évacue
 
 l’importance
 
 d’autres
 
 comme
 
 celle du symbolique,
 
 puisqu’il instances
 
 conduisant
 
 que la
 
 se fasse également au niveau des du lithium
 
 sur les rechutes.
 
 paraît beaucoup psychose
 
 plus effi-
 
 périodique
 
 que sur la psychose récurrente.
 
 pro-
 
 en ce qu’elle se concentre
 
 dans
 
 recommandation
 
 faite aux de
 
 Bion sont : Recherches sur les petits groupes, 1961 ; Aux sources de l’expérience,
 
 1962 ;
 
 près
 
 en psychiatrie
 
 à l’hôpital
 
 plète ensuite sa formation et V. Magnan,
 
 Gudden
 
 et à Zurich,
 
 à Munich
 
 avec von
 
 son assistanat dans le service universitaire de A. Forel,
 
 au Burghölzli.
 
 C’est dans cet
 
 psychiatrique
 
 qu’il succède
 
 à Forel en 1898 et qu’il reste jusqu’à sa retraite, en 1927. Il a été tout d’abord chiatres
 
 un des premiers
 
 psy-
 
 à s’intéresser
 
 à la
 
 universitaires
 
 psychanalyse. assistant
 
 En même
 
 temps
 
 que son
 
 C. G. Jung, il noua des relations
 
 avec S. Freud et édita avec lui le Jahrbuch für psychopathologische und psychoanalytische Forschungen. défense
 
 En 1910, il publie
 
 enthousiaste
 
 de Freud.
 
 1912, à la suite des désaccords entre Freud et Jung, il quitte
 
 l’Association
 
 internationale
 
 l’école de Zurich,
 
 psychana-
 
 et fonde avec Jung
 
 appelée depuis école de
 
 psychologie analytique. introduit
 
 d’ambivalence,
 
 en psychanalyse adoptée immédia-
 
 tement par Freud et ses disciples. L’ambivalence était pour lui un des symptômes damentaux utilise
 
 de la schizophrénie,
 
 pour remplacer
 
 précoce
 
 » qu’avait
 
 Variable
 
 terme qu’il
 
 celui de « démence
 
 imposé
 
 E. Kraepelin dont
 
 l’évolution
 
 défi-
 
 paraissait
 
 démentielle.
 
 inéluctablement C’est contre que Bleuler
 
 intactes
 
 restent
 
 chez le « dément
 
 s’insurge.
 
 positives
 
 et des valeurs
 
 On ne conserve
 
 négatives.
 
 précoce
 
 à une variable
 
 que s’il existe
 
 mations, 1965 ; Réflexion faite, 1967 ; l’At-
 
 psychologique
 
 justifiant
 
 une raison
 
 l’existence
 
 », mais
 
 très riche. La maladie du « schizophrène (c’est le terme que préfère employer
 
 Bleu-
 
 par l’effapsychiques,
 
 d’harmonisation,
 
 mentale. Comme
 
 »
 
 la
 
 l’a écrit son
 
 fils, M. Bleuler, « cette dissociation
 
 se com-
 
 bine avec un amalgame de représentations,
 
 en général cette forme
 
 Éléments de psychanalyse, 1963 ; Transfor-
 
 les fonc-
 
 ce dernier conserve aussi une vie intérieure
 
 mais par leur défaut
 
 des valeurs
 
 ce pro-
 
 pratiquement
 
 cement et la perte des activités
 
 comportant
 
 fon-
 
 pour décrire cette psychose chronique
 
 dissociation STAT.
 
 une
 
 Mais en
 
 ler) n’est donc pas caractérisée BIPOLAIRE (VARIABLE) (angl. Bipolar Variable)
 
 Il com-
 
 où il revient terminer
 
 tions intellectuelles
 
 M. R.
 
 de la
 
 à Paris avec J. M.
 
 Pour lui, en effet, non seulement
 
 En analyse factorielle, facteur présentant des saturations positives et des saturations négatives.
 
 de
 
 son ap-
 
 de Berne (avec Schaerer).
 
 Charcot
 
 de
 
 fait ses études
 
 de commencer
 
 nostic si pessimiste
 
 BIPOLAIRE (FACTEUR) (angl. Bipolar Factor)
 
 sans mémoire
 
 Les oeuvres principales
 
 Waldau
 
 qu’il
 
 avant
 
 prentissage
 
 citaire,
 
 à
 
 dans l’analyse hautement
 
 de suivre l’autre,
 
 sur-
 
 J. P.
 
 de la
 
 médecine
 
 la notion
 
 bipolaire
 
 C’est aussi dire que ce
 
 actualité,
 
 qui seule mérite-
 
 enfin - la
 
 liste n’est pas close - par l’effacement
 
 C’est à Zurich
 
 lytique
 
 et rabattue
 
 sur son seul versant destructeur,
 
 et sans désir.
 
 de
 
 psychose récurrente
 
 cace sur la véritable
 
 par
 
 Psychiatre suisse (Zollikon, Zurich, 1857-id. 1939).
 
 et la monopolaire,
 
 de notre vie sociale présente, dominée
 
 annonçait
 
 (Eugen)
 
 Bleuler a surtout
 
 tout dépressive.
 
 d’in-
 
 l’une est dichotomisée.
 
 rait le nom de psychose maniaco-dépressive,
 
 La lithiothérapie
 
 praticiens
 
 sont marqués
 
 anxieuse » (J. Guelfi).
 
 l’heure ce vers quoi allait tendre la logique
 
 cette étonnante
 
 et de la
 
 « par l’importance
 
 effets préventifs
 
 blématique
 
 de l’inhibition
 
 alors que ceux des dépres-
 
 avant
 
 en ce qu’elle
 
 une position
 
 sont
 
 par la pré-
 
 du ralentissement
 
 distinction
 
 fonction
 
 des
 
 bipolaires
 
 cliniquement
 
 quasi
 
 de la pulsion
 
 mélancoliques
 
 périodiques
 
 somnolence,
 
 bipolaires.
 
 Il y aurait donc deux psychoses périodiques
 
 conclure,
 
 le retour
 
 actuelen 1899)
 
 être réservé aux formes
 
 et mystique,
 
 quasi religieuse.
 
 pensent
 
 Bleuler
 
 établissement
 
 que le terme de psychose maniaco-
 
 tion parfois
 
 visionnaire
 
 toujours
 
 plus rarement).
 
 de psychiatres
 
 symptomatiquement
 
 imaginaire
 
 au cours
 
 desquelles les malades présentent
 
 obscure
 
 constater
 
 bi-
 
 nance plus ou moins régulière
 
 nelle, dont une trilogie
 
 Pour
 
 les formes
 
 de cette psychose, avec leur alter-
 
 Beaucoup
 
 dont
 
 deux échelles
 
 M. R.
 
 par un intervalle de rémission pouvant aller de quelques semaines à quelques années.
 
 monopolaires
 
 entre
 
 alternante
 
 d’une psychose maniaco-dépressive, passant d’un état d’excitation (maniaque) à un état dépressif (mélancolique), les deux états étant séparés
 
 sions récurrentes
 
 voire
 
 etc.). M. R.
 
 Corrélation
 
 Bion, une somme d’écrits à teneur personfantastique
 
 domi-
 
 freudienne,
 
 l’évolution
 
 psychomotrice,
 
 à orienta-
 
 autonomiedépendance,
 
 tervalles
 
 dominance
 
 à la fin de la vie de
 
 (par ex. introversion-ex-
 
 1947,
 
 adj. (angl. Bipolar)
 
 aussi caractérisés L’autobiographie
 
 tère antithétique
 
 un carac-
 
 BIPOLAIRE
 
 psychoses
 
 la psychose.
 
 observées présentent
 
 les
 
 BISÉRIALE (CORRÉLATION) (angl. Biserial Correlation)
 
 devrait
 
 C) ou destructeurs
 
 duquel
 
 22.
 
 souvent,
 
 rigide,
 
 ou dans l’hallucinose).
 
 positifs
 
 I, et Bulletin
 
 psychiatrique,
 
 de part et d’autre
 
 nance-soumission,
 
 et la
 
 le même type d’accès (soit dépressif, le plus
 
 se penche sur les trois sortes de transformations
 
 », in l’Évolution
 
 polaires
 
 à un produit
 
 Tb. L’invariance
 
 qui reste inaltérable
 
 guerre
 
 anglaise
 
 au plus juste la
 
 séance. Pour
 
 J., « La psychiatrie
 
 no
 
 neutre
 
 traversion,
 
 Lacan,
 
 1987,
 
 point
 
 conduites G. A.
 
 livre
 
 ; 5
 
 Le croisement
 
 spécifier
 
 1973-1974.
 
 ; 6 pour ce
 
 et horizontales
 
 cases supposées
 
 1970 ; Entretiens
 
 Bibliographie
 
 une nota-
 
 pour les éléments de recherche
 
 psychanalytiques,
 
 de défi-
 
 ; 4 pour caractériser
 
 principalement
 
 tention et l’Interprétation,
 
 des
 
 vides de sens ; 2 pour les
 
 ; 3 pour signaler
 
 l’attention,
 
 algé-
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 d’un
 
 sentiments
 
 et tendances
 
 qui se manifeste
 
 contradictoires
 
 dans la pensée, les sensa-
 
 tions et les actions du schizophrène.
 
 C’est 119
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 DE LA PSYCHOLOGIE
 
 pour cette raison que Bleuler ne voulait inclure
 
 le mot «démence»
 
 tion de la maladie cette raison raison
 
 pas
 
 dans l’appella-
 
 et c’est également
 
 qu’il désapprouvait
 
 entre la démence
 
 pour
 
 la compa-
 
 précoce et la dé-
 
 mence sénile » (trad. par S. von de Fenn). Et comme
 
 cette dislocation
 
 intérieurs n’est
 
 (allem.
 
 La relation
 
 BLOCAGE n.m. (angl. Mental Block)
 
 spécifiée par une règle déterministe
 
 Comportement caractérisé par refus, une incapacité apparente
 
 un et
 
 provisoire de poursuivre un apprentissage, de réagir à une situation.
 
 des processus
 
 d’une
 
 seule maladie
 
 mentale comme le voulait Kraepelin
 
 avec la
 
 R. L.
 
 différentes ciation. parler
 
 psychiques
 
 sont marquées
 
 C’est pourquoi du « groupe
 
 Ainsi s’explique
 
 aux origines
 
 par cette dissoBleuler
 
 préférait
 
 des schizophrénies
 
 le titre de sa monographie
 
 de 1911 pour le Traité de psychiatrie chaffenburg, Gruppe
 
 ».
 
 « Dementia
 
 praecox
 
 der Schizophrenien
 
 pour la première cette maladie,
 
 d’As
 
 oder die
 
 ». Il y expose
 
 fois ses conceptions
 
 qu’il
 
 aurait
 
 d’ailleurs
 
 bien appelée « folie discordante
 
 sur aussi
 
 », comme
 
 l’avait fait P. Chaslin,
 
 s’il avait eu connais-
 
 sance de ses travaux,
 
 comme il le dira sou-
 
 vent plus tard.
 
 qu’elle
 
 permet
 
 de trouver
 
 en montrant
 
 BOÎTE À PROBLÈME (angl. Problem Box)
 
 est l’expression
 
 par la maladie.
 
 ce sont seulement
 
 des symptômes
 
 symptômes
 
 » qui sont analysables. « primaires
 
 à des processus
 
 » renvoient,
 
 organiques
 
 son intérêt
 
 psychanalytique, l’origine
 
 Les eux,
 
 et sont donc
 
 pour
 
 français
 
 les cas prononcés constate
 
 ait écrit en
 
 : « Dans tous
 
 de schizophrénie,
 
 des modifications
 
 thologiques
 
 on
 
 suffisamment
 
 qu’on ne trouve point choses. L’intensité correspond
 
 déterminé
 
 dans les autres psy-
 
 primaires
 
 l’intérieur,
 
 avec une récompense
 
 rieur
 
 des
 
 [...]. La schizophré-
 
 (ou l’inverse).
 
 une entité cli-
 
 » On voit au passage
 
 qu’il ne parle plus de « schizophrénies uniciste
 
 Ainsi,
 
 Bleuler
 
 son identité gique.
 
 finalement
 
 et organiciste
 
 qu’il avait tellement
 
 Mais,
 
 la posi-
 
 en 1911.
 
 à l’exté-
 
 On observe comment à résoudre,
 
 le
 
 J.-F. L. N.
 
 et psychopatholo-
 
 nogenèse,
 
 il a d’emblée
 
 traitements
 
 biologiques appliqués
 
 justifié
 
 entre
 
 BOÎTE DE Skinner (angl. Skinner Box)
 
 par
 
 B. F. Skinner
 
 étudier le conditionnement rant des animaux, et plus lièrement réponses
 
 pour
 
 opéparticu-
 
 les variations du débit des opérantes sur de longues
 
 périodes
 
 deux pro-
 
 ou encore choix entre deux pro-
 
 CONDITIONNEMENT,
 
 en action grâce à de réponse.
 
 OPÉRANT
 
 (CONDI-
 
 TIONNEMENT)
 
 BONHOMME
 
 (TEST DU)
 
 Test de développement
 
 DÉVELOP.
 
 un enfant
 
 de dessiner
 
 intel-
 
 en temps
 
 un bonhomme sans gommer. test de Goodenough.) Le dessin compte
 
 est ensuite
 
 de la présence
 
 de détails.
 
 coté
 
 représentation n’apparaît
 
 libre (Syn.
 
 en tenant
 
 de toute
 
 Vers 5 ans, l’enfant
 
 une série donne une
 
 sexuée du corps ; le profil
 
 que vers 12 ans, etc. La note
 
 est transformée âge mental,
 
 à l’aide
 
 lequel
 
 d’une
 
 table
 
 en
 
 peut être transformé
 
 de développement.
 
 Le test du
 
 bonhomme,
 
 du fait de son indépendance
 
 des facteurs
 
 socioculturels
 
 facilité
 
 d’emploi
 
 et de sa grande
 
 (on peut également
 
 l’uti-
 
 liser en passation collective)
 
 et de cotation,
 
 est très largement
 
 Il peut donner
 
 employé.
 
 des renseignements développement
 
 non seulement
 
 intellectuel
 
 sur le
 
 de l’enfant,
 
 mais aussi sur sa personnalité.
 
 de temps. opérante
 
 (ou instrumen-
 
 tale) est un comportement
 
 plusieurs
 
 entraînant
 
 de l’environnement
 
 de récompense
 
 une
 
 à valeur
 
 ou de punition.
 
 Il existe
 
 types de boîte de Skinner
 
 tenir compte de l’équipement
 
 afin de
 
 sensori-mo-
 
 teur de l’espèce étudiée. La boîte de Skinner également d’étudier
 
 nelle conditionnée, tionnement
 
 d’autres phé-
 
 son orgatous les
 
 qui lui seront sysà partir de 1930. J. P.
 
 du condi-
 
 typiquement ou d’une
 
 un dispositif autre
 
 forme
 
 des réponses, un dispositif de stimulus
 
 discriminatifs
 
 un dispositif
 
 par un appui
 
 de H. Laugier et de H.
 
 Piéron. Il dirige le Laboratoire gie appliquée
 
 en méde-
 
 s’oriente vers la psycho-
 
 logie sous l’influence
 
 de psycholo-
 
 de l’École pratique
 
 psychologie
 
 des hautes
 
 Le
 
 psychologie
 
 dans le domaine
 
 industrielle,
 
 de psychologie
 
 qu’il
 
 facilement
 
 enseigne
 
 Il construit en France
 
 et étudie de largement
 
 au
 
 des méthodes
 
 d’analyse factorielle. M. R.
 
 éclairée
 
 coups de bec. La boîte de Skinner
 
 permet
 
 éventuellement
 
 de distribuer
 
 des stimula-
 
 tions aversives
 
 (son intense
 
 ou choc élec-
 
 d’autres aspects du
 
 de l’animal.
 
 de
 
 et dirige la revue
 
 des pattes avant,
 
 par une touche
 
 à
 
 internationale
 
 tests et contribue
 
 développement
 
 de la
 
 de l’université
 
 appliquée
 
 le Travail humain. nombreux
 
 de
 
 des usines Peugeot de 1939 à
 
 de psychologie
 
 (sou-
 
 par des
 
 comportement
 
 cine, R. Bonnardel
 
 Paris. Il anime l’Association
 
 aujourd’hui).
 
 de pédale
 
 ou d’enregistrer
 
 (Limay
 
 ès sciences et docteur
 
 l’Institut
 
 insérée dans la paroi et actionnée
 
 trique)
 
 Docteur
 
 visuels
 
 de réponse pour le Rat est consti-
 
 et pour le Pigeon
 
 Psychologue français 1901-Blois 1998).
 
 1959. Il fait autorité
 
 de
 
 d’enregistrement
 
 vent un micro-ordinateur tué par une sorte
 
 (Raymond)
 
 de pré-
 
 des réponses et une unité de contrôle dispositif
 
 Bonnardel
 
 études de 1939 à 1966 et le Laboratoire
 
 les réponses, un distributeur
 
 de nourriture sanction
 
 qui relève
 
 pavlovien.
 
 pour émettre
 
 actionnée
 
 a donné à la schizophrénie en privilégiant
 
 tématiquement
 
 » au
 
 de Kraepelin,
 
 critiquée
 
 clinique
 
 est placé à
 
 de la sortie (ou de l’entrée).
 
 tomo-pathologique.
 
 tion
 
 motivé
 
 résout, ou apprend
 
 ou auditifs,
 
 rejoint
 
 plus
 
 (du type chevillette-
 
 Un animal
 
 nique, mais en même temps une entité ana-
 
 et qu’il
 
 serrure
 
 bobinette).
 
 sentation
 
 pluriel
 
 siècle, consiste
 
 XXe
 
 d’une
 
 complexe
 
 Elle comporte
 
 de ces modifications
 
 nie est ainsi non seulement
 
 120
 
 ou moins
 
 munie
 
 animal
 
 nomènes, par exemple la réponse émotionet
 
 à peu près à la gravité
 
 symptômes
 
 en une boîte
 
 a permis
 
 anatomo-pa-
 
 dans le cerveau, modifications
 
 d’un caractère
 
 réalisées dès le début du
 
 modification
 
 en 1926, au congrès de Lau-
 
 sur cette maladie
 
 nance ou enchaînement
 
 il y a alter-
 
 lectuel décrit et étalonné par F. Goodenough, qui consiste à demander à
 
 dans les premières
 
 sur le comportement
 
 Une réponse
 
 de la schizophrénie.
 
 sanne, dans le seul texte qu’il
 
 complexes,
 
 écoulé.
 
 R. L.
 
 l’interprétation
 
 Bleuler reste persuadé de
 
 organique
 
 Il le confirme
 
 recherches
 
 utilisé
 
 Cage conçue
 
 inaccessibles à toute recherche de sens. Car, malgré
 
 ou les Singes (R. M.
 
 Yerkes). Ce dispositif
 
 du nombre
 
 émises ou du temps
 
 en quotient
 
 psycho-
 
 provoqué
 
 « secondaires
 
 », principalement comme les Chats
 
 de la schizophré-
 
 d’un mouvement
 
 pathologique Mais
 
 ment « intelligent chez des Animaux (E. L. Thorndike)
 
 ou pro-
 
 C. G.
 
 Dispositif employé pour étudier soit un apprentissage, soit un comporte-
 
 problème
 
 nie. Car, pour lui, cette symptomatologie
 
 dépendent
 
 la présence de deux dispositifs
 
 le sens de toute
 
 une série de symptômes
 
 de réponses
 
 est
 
 de renforcement.
 
 grammes simultanément
 
 l’Animal
 
 Bleuler utilise la psychanalyse
 
 Les règles typiques
 
 grammes,
 
 démence précoce, on peut penser que beaucoup d’affections
 
 babiliste dite programme
 
 Dans les situations
 
 Spaltung ; angl. Splitting)
 
 pas le propre
 
 entre réponses et résultats
 
 BORDERLINE n.m. (angl. Borderline
 
 Case)
 
 Cas limite se définissant sur le plan nosologique et structural comme intermédiaire
 
 ou « à la frontière
 
 »
 
 GRAND DICTIONNAIRE
 
 entre une structure névrotique structure psychotique. Il s’agit donc de troubles la position
 
 et une
 
 mentaux
 
 nosographique
 
 dont
 
 reste assez am-
 
 semaines en guérissant la plupart temps sans laisser de séquelles. C’est V. Magnan tal Sainte-Anne
 
 (en particulier
 
 d’un côté, de schizophrénies
 
 festations
 
 tiques, de l’autre,
 
 ont pu, à une certaine
 
 brutal
 
 illogiques
 
 et absurdes, à contenus
 
 Mais c’est plus au niveau
 
 multiples
 
 Kernberg
 
 avec les travaux
 
 et de H. Kohut
 
 prédominance mystiques),
 
 aux États-Unis,
 
 ainsi que de J. Bergeret notion
 
 de O.
 
 et variables
 
 en France, que la
 
 s’accompagnant
 
 de phénomènes
 
 On écrit maintenant
 
 des personnalités
 
 mites et des états limites, et l’anglicisme à être progressivement
 
 litend
 
 supprimé. J. P.
 
 ÉTAT LIMITE
 
 disposés
 
 au terrain
 
 rement
 
 fragile
 
 atteints
 
 de dégénérescence
 
 En psychologie
 
 rendue responsable par d’un dysfonctionnement
 
 personne le groupe et jouant
 
 aux yeux de l’observateur d’informateur ou d’indicateur
 
 un rôle de ces
 
 Pour les thérapeutes émissaire
 
 a une fonction
 
 des forces antagonistes famille,
 
 permettant
 
 son homéostasie. être reconnu « patient
 
 familiaux,
 
 le bouc
 
 de neutralisation à l’intérieur
 
 ainsi
 
 le maintien
 
 de
 
 Le bouc émissaire
 
 peut
 
 comme malade, c’est alors le
 
 désigné » ; il peut également
 
 pas être reconnu souvent
 
 sacrifier
 
 comme tel et il doit alors une partie de lui-même
 
 en vue de l’expiation dont l’origine
 
 ne
 
 d’une faute groupale,
 
 peut d’ailleurs
 
 être transgé-
 
 nérationnelle.
 
 boucle
 
 possède une réafférence
 
 personnalité
 
 seigne le point
 
 de départ
 
 du système
 
 sur P. L.
 
 RÉTROACTION
 
 bouffées mique
 
 délirantes, allant
 
 altération
 
 d’un
 
 BOUFFÉE DÉLIRANTE (angl. Brief Delusional and Schizophreniform
 
 polymorphes,
 
 souvent
 
 accompagné
 
 confusion
 
 ne s’accompagnant
 
 psychique
 
 grave
 
 caractéristiques,
 
 trouble
 
 thy-
 
 à l’excita-
 
 aprosexie,
 
 toxique
 
 et/ou hallucina-
 
 déréalisation
 
 avec ou sans
 
 ; par un état thymique
 
 confusion
 
 crise oniroïde, onirique
 
 spaque E.
 
 d’origine de la
 
 du monde
 
 Ce dernier
 
 avec cette notion
 
 identité
 
 externe
 
 du leur
 
 psychopathologique
 
 Il les a opposés de la personnalité.
 
 à
 
 subaigus.
 
 aux affections
 
 en rapport
 
 fée délirante
 
 ».
 
 pour
 
 », a donné
 
 et états délirants
 
 de survenue
 
 d’autre
 
 part
 
 de la bouf: elle
 
 peut être liée à un état dysthymique
 
 avec
 
 ou mélancolie
 
 ; elle peut
 
 ou l’exacerbation jusque-là
 
 latente
 
 réactionnelle, une intoxication,
 
 ou d’épuisement
 
 chiques graves et rétrocédant tanément au bout de deux
 
 par exemple).
 
 réactionnelles blement
 
 »
 
 manie,
 
 représenter
 
 d’une
 
 le
 
 avec un état de
 
 une maladie (bouffées
 
 des victimes
 
 de choc délirantes
 
 d’un
 
 dégénérescence,
 
 trem-
 
 de nouveau
 
 Ey admet
 
 uniforme
 
 : dans
 
 débutante
 
 l’évolution
 
 ;
 
 a été ;
 
 dans un cas sur dix, elle