Le Foot, C'est Toute Ma Vie [PDF]

Zitiervorschau

Sommaire : .

-I Le foot à mes débuts 1954-1962 2 L’USMBA – de 1963 à 1971 3 De la tenue d’un Joueur à la tenue d’un arbitre 1972-1986 4 Les coupes d’Algérie et Continentale 1978 à 1986 5 Jeux et tournois Internationaux 6 Coupe du Monde en Espagne 82 7 Bilan 8 La Lofa Décembre 1986 à Septembre 1987 9 La Fédération Algérienne de Football de 1987 à Octobre 1988 10 - 26 ans de formation et séminaires dans l’arbitrage 11 Célébrités rencontrées lors de mes pérégrinations 12 La coupe du Monde U_20 à Madeline en Colombie 13 Les CAN (Coupe d’Afrique des Nations) 14 La coupe du Golf 15 Conclusion

Le Foot, c’est toute ma vie

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Préface :

Et, Si, pour commencer, on posait la question suivante : Quel est le point commun entre Helléno Herrera et Belaid Lacarne ? On peut s’interroger sur cet amalgame apparemment insolite .Et pourtant, tous deux ont été des défenseurs de devoir et tous deux ont connu une renommée internationale, chacun dans son domaine, le premier comme entraîneur, le second comme arbitre. Le tout était de trouver le chemin qui mène à la gloire, joueur à l’USMBA aux côtés de Khelladi, Fellah, Hacini et Soudani, Belaid se destinait d’abord à une carrière d’entraîneur avec un titre de major de promotion d’un stage d’initiateur. « L’homme propose, mais la destinée dispose» dit un adage. L’enfant insouciant du mythique quartier d’El graba a eu l’heureuse idée de s’engager dans l’arbitrage. Ce fut une ascension fulgurante comme l’atteste l’imposant parcours réussit à tous égards. Si Lacarne a côtoyé tout le temps la performance, c’est qu’il avait, au départ ,les dons et les aptitudes pour la fonction dont tout le monde sait qu’elle est ingrate et difficile .Bien qu’appréciables ,ces qualités auraient été insuffisantes au regard de l’objectif recherché sans un sens de l’organisation, d’une intégrité et une volonté hors du commun. Une discipline de vie est à l’origine de ce remarquable parcours. Citer les fonctions successives occupées après la carrière d’arbitrage nécessiterait une grande surface. Dans cette préface qui nous honore à plus d’un titre, nous préférons mettre l’accent sur l’homme, l’arbitre et le formateur. Le Foot, c’est toute ma vie

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Pour mener de pair une carrière sportive de haut niveau et sa fonction de cadre Naftal, il est indispensable d’être organisé et méthodique. Ces vertus l’ont accompagné lorsqu’il a décidé d’être formateur. Certes, Lacarne a toujours affirmé que le summum de sa vie de sportif, c’est l’arbitrage, mais il n’empêche que sa troisième vie celle d’instructeur, fût exaltante et couronnée de succès avec l’émergence d’une flopée d’arbitres jeunes et talentueux à l’image de leur maître. Si le Président de la FAF Mohamed Raouraoua l’a choisi, ce n’est pas par hasard. Hélas les coups bas ont fini par le décourager et l’inciter à prendre une retraite bien méritée. “La jalousie des personnes supérieures devient une émulation, celle des petits esprits devient de la haine « .Balzac a mille fois raison. Des gens liés au football et à l’arbitrage ont été « dérangés » »par Lacarne ». Et nul n’oubliera la fameuse cabale ourdie en 2008 à travers un « vrai faux fax »avec en tête de la FAF, et pas plus les coups de fil anonymes et l’insidieux travail de coulisses. Par sa politique de formation et de désignation, il gênait des dirigeants et d’autres personnes dont les visées sont évidentes. Ses prises de positions courageuses et son franc parler lui ont valu des inimités tenaces dont il n’en a cure, car il a conscience qu’il a été à la hauteur de la confiance placée en lui par les autorités. Et ces dernières ne peuvent que se féliciter de leur choix. Il aurait aimé mener sa noble mission à son terme, mais des gens ont décidé autrement, d’où ce sentiment d’inachevé qui lui traverse l’esprit de temps à autre. Qu’il se rassure, son parcours est immense et incomparable, n’en déplaise aux envieux et aigris de tous bords. Dans ce livre on retrouve toute la carrière de Bélaid Lacarne, il s’agit d’une seconde et précieuse contribution au football et à l’arbitrage. Nécessairement autobiographique mais passionnante de bout en bout. Mille Félicitations. Khayi. Adjal Lahouari Le Foot, c’est toute ma vie

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Introduction : En mon âme et conscience J’ai le sentiment d’avoir accompli un parcours presque parfait du combattant, et j’en suis fier. Cependant je pense qu’il m’est encore nécessaire afin de m’apaiser de revisiter tous les évènements qui ont jalonné ma carrière au service du foot. Le football m’a tout donné … et le football m’a tout pris … Maintenant que je me sens libre, il est temps de faire cet examen. Sereinement je crois que le feu « sacré » qui m’a toujours animé est cet engouement des foules pour ce sport roi, qu’ils soient acteurs, animateurs, ou simples spectateurs. Ces milliers, pour ne pas dire ces millions de personnes qui se déplacent pour participer, gérer, jouer où simplement admirer et commenter une compétition…sans s’en douter…sont régis par une organisation discrète qui s’efforce d’être parfaite, obéissante à des règles administratives et morales strictes. Toutes défaillances met en danger ce sport qui est fait pour diffuser l’amitié et la solidarité entre les hommes .Dans un stade on oublie la couleur de la peau, on oublie les divergences politiques, ses querelles de voisinage, son rang social sa richesse ou sa pauvreté, sa notoriété, sa culture, voir même sa nationalité et sa religion .Il reste évident qu’on opte pour son équipe ou une autre équipe… Mais une fois le match terminé, tout le monde s’embrasse ou devrait le faire, les règles de jeu ayant été strictement observées. La combativité et la valeur sportive du gagnant ayant prévalu, voilà les principes qui ont animé mes démarches et m’ont attiré je me dois de le déclarer, l’animosité et le courroux de certains supporteurs de mon club préféré Le Foot, c’est toute ma vie

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l’USMBA qui auraient souhaité me voir agir et magouiller comme les autres, et parfois plus grave encore, proférer des menaces et des réprimandes. Toutefois ,les encouragements, voir les félicitations et le respect dont j’ai fait l’objet, adressés par des personnes de tous les échelons, surtout politiques ont été plus forts et les plus nombreux .Ma décision alors, a été prise afin de relater toutes ces anomalies, non pas pour créer des polémiques stériles ,mais pour mettre mon expérience, encore une fois, au service de ce sport qui m’a guidé à qui je dois tout et exprimer ma reconnaissance à tous ceux qui m’ont aidé. Ainsi, j’aimerai ouvrir un débat sur un problème crucial qui menace ce noble sport qui intéresse toutes les couches de la société humaine : C’est celui du rôle joué par l’argent qui jette la confusion entre l’amateurisme et le professionnalisme. Et défendre le principe d’une assurance vieillesse pour les joueurs, les cadres dirigeants, les arbitres, ces gardiens du temple et auxquels, on peut, à mon humble avis, donner plus de pouvoirs. Comment est né le football, comment a t-il évolué, comment a-t-il été organisé et conçu sont des questions que je ne peux aborder que maintenant loin de toute subordination. Aussi j’attends l’indulgence des experts en la matière. C’est Monsieur Soudani Barka qui m’a fait signer ma première licence à l’USMBA dans le local situé dans la graba, face à la place Bugeaud »Tahtaha » actuellement place des martyrs, et habité en majorité par des autochtones, à l’exception de quelques israélites. C’était en 1954, Soudani Barka était l’homme à tout faire : Il était employé administratif agent de liaison, gardien du matériel (des ballons), des tenues et des souliers, chargé de leur entretien, en outre par ses moments libres, il était l’entraîneur des jeunes catégories. Le Foot, c’est toute ma vie

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Les entraînements sous sa direction s’effectuaient sur le terrain du souk qui servait aussi de marché à bestiaux, le mercredi ,mes camarades et moi, nettoyons ce terrain, le souk levé, pour le préparer pour nos entraînements du lendemain, le jeudi, nous avions deux séances par semaine, le mardi et le jeudi. Plus tard le CEM ‘Ibn Zidoun’ a été construit sur le terrain de ce souk. Je me rappellerai toujours de ma première chaussure faite sur mesure confectionnée par Hadj Abdelkrim Chiali. Elle m’a été remise en présence de l’ancien joueur de l’USMBA, Sellam Kouider qui a terminé ses vieux jours également comme cordonnier. A cet âge, la majorité de mes camarades, n’ont jamais porté de souliers en cuir, excepté quelquefois, à l’occasion des fêtes ou l’entrée des classes scolaires. Généralement, nous portons des espadrilles avec semelles en caoutchouc noir, et quelques-uns optant pour les moins chères portent celles avec semelle d’alfa tressée. Hadj Abdelkrim, maître cordonnier aimait passionnément son métier, et aidait bénévolement le club, tous les débuts de saisons sportifs l’accaparent totalement. Les nouveaux joueurs minimes étaient pressés d’avoir leur équipement, et particulièrement leurs souliers. C’était notre cas, lors de notre premier match contre les minimes du CALO, dans leur stade à Oran que nous avions découvert pour la première fois, pas très loin du quartier Derb El Houd, ou (quartier des juifs), un quartier similaire de « la goutte d’or», lieu où nous prenions des sandwichs cachères que nous avons tous déguster pour la première fois. Comme d’ailleurs, avons découvert la ville d’Oran, ses boulevards, ses magasins, ses restaurants, ses bâtiments, ses moyens de transports, ses lumière… Cela a été pour nous bambins de quatorze ans, un grand privilège et un plaisir pour nos yeux habitués au seul site bel-Abbésiens .Le Calo était une équipe redoutable composée, essentiellement de joueurs européens pieds-noirs. Le Foot, c’est toute ma vie

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Dans l’équipe, seul Boubchir Abbès dit «Mimis », dépassait d’un an l’âge de la qualification. Pour le faire jouer Soudani Barka trouva un prête-nom en l’occurrence Djalab Abdelhamid, un enfant du village « nègre » (autre appellation attribué par l’occupant, au quartier El Graba). On m’expliqua que ce subterfuge était utilisé par les autres au bénéfice des enfants Espagnols émigrants en Algérie, ayant acquis la nationalité Française du premier collège, afin de les faire bénéficier de certains droits alors que nous ,deuxième collège, nous n’en bénéficions pas. Abbès Mimis était un fin technicien, sa participation apportait un plus à l’effectif et pouvait faire basculer le résultat en notre faveur, un avantage précieux pour un début de saison sportive. La veille du départ sur Oran, avons tenu une réunion dans les locaux de l’USMBA. Les informations nécessaires concernant cette rencontre nous ont été données relatives aux modalités du voyage. Le rendez vous pour le départ nous a été fixé pour Dimanche matin à 5 h 30 devant le café « Hillal »en pleine place d’El graba. Depuis cet instant, toutes nos pensées étaient fixées sur le stade du Calo, une infrastructure totalement inconnue pour nous tous. En 1956, un évènement sans précédent, a marqué l’histoire du Football Bel Abbésien, les deux équipes phares de la ville se sont qualifiées pour la finale de la Coupe d’Afrique du Nord. Le SCBA Club composé essentiellement de joueurs Européens et l’USMBA composé de joueurs Musulmans. Il ya lieu de signaler qu’à cette époque le SCBA dominait le football algérien et même nord Africain, et damait souvent le pion à certaines grandes équipes professionnelles Françaises. L’USMBA, par ailleurs, menée par le grand LARBI BEN BAREK( la perle noire) ,transfuge de l’Olympique de Marseille et de l’athlético de Madrid aidé par des jeunes et braves Bel Abbésiens, tels les trois frères Bendimered(Mahmoud,Nouri,etAmen), Smain, Guella, Daouadji, Benyounès, Dey, petit Abbès ,tous animés par un sentiment de revanche Le Foot, c’est toute ma vie

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contre le système colonial , la guerre de libération ayant commencé depuis deux ans, faisant sentir son intransigeante pression , et les esprits s’échauffaient dans les deux tribunes dangereusement. C’est pourquoi, anticipant les évènements, le Préfet Igame d’Oran, (la ville de Sidi-Bel-Abbès étant une sous-préfecture qui dépendait de la Préfecture d’Oran, a fait annuler la rencontre, certainement par crainte de détérioration sécuritaire de la situation. Le Front de libération National couronna le tout en interdisant formellement toute compétition sportive avec les Européens. C’était l’époque où un grand nombre de sportifs, je cite pour l’exemple les trois frères Amarouche, pour la région de Sidi-Bel-Abbès, rejoignirent l’un après l’autre, le maquis et y sont tombés comme martyrs. Je relate ci-dessous mon témoignage au sujet de l’un des trois frères Amarouch dénommé Mustapha qui a été pour moi un des plus intimes. Pour cet acte glorieux et pour avoir sacrifié leur vie pour que l’Algérie vive libre et Indépendante, Le stade qui portait le nom de l’occupant « Paul André »a été baptisé Le stade des trois frères Amarouche » Il s’agit de Ali ,17 ans, Mustapha 20 ans, et de l’aîné Belkacem 35 ans Mustapha était doté d’une technique footballistique rare, plusieurs fois, champion universitaire de courses de vitesse. Il faisait partie de l’équipe du Collège Leclerc (actuellement lycée El Haouès) dans la catégorie des Juniors qui battit à deux reprises l’OGCN, club professionnel de Nice, le Manager général Luciano, enchanté par ses qualités lui fit signer un contrat de stagiaire professionnel. C’est ainsi que la ville de Sidi-Bel-Abbès a perdu en Mustapha un footballeur aux qualités physiques et techniques bien précoces pour son âge et qui le destinaient pour un avenir très prometteur.

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Appelé à effectuer son service militaire sous le drapeau tricolore, Mustapha résidait en France, ne pouvant qu’obtempérer à l’appel rejoint dans un premier temps la base de Nouvion, malgré la perte de ses deux frères, Ali et Belkacem, tombés en martyrs pour la cause nationale, se jurant de déserter à la première occasion. HANIFI Bachir, un ami commun ayant décidé, comme lui de déserter l’armée, lui fit part de son désir de le suivre, quelques jours après, Mustapha me téléphona de Nouvion, m’intimant l’ordre d’aller les ramener son ami Hanifi Bachir et lui, en apportant des effets vestimentaires civils, afin de changer leurs tenues militaires. J’ai utilisé le taxi de mon père pour cela, le lendemain à 13 heures, une heure et demi après j’étais au rendez vous fixé pas loin de la caserne, ils m’attendaient sous un arbre .Je les ai ramenés, alors, à Sidi-Bel-Abbès Mustapha habitait à la Rue Ali Bénali Taleb, ne voulait pas aller chez lui, Hanifi, quant à lui, après l’avoir déposé au fg Thiers auprès de sa famille, n’a plus donné signe de vie, mais certainement, a rejoint le maquis . Mustapha passa deux nuits chez moi à la cité la fourmi, une nouvelle cité conçue pour les indigènes comme un centre de regroupement mais sans infrastructure militaire. Le Lendemain, Mustapha, incognito nous a rejoint au stade Municipal de la route de Mascara pour un dernier entraînement avec l’équipe de Botafogo, jusqu’au moment où une voiture de marque « Simca Elysée » conduite par notre regretté frère Ben Moussa houari, co-équipier de Mustapha s’est immobilisée non loin du terrain de jeu, nous avons alors tous compris que Mustapha était décidé à rejoindre et à satisfaire sa promesse, celle de rejoindre le maquis. Il s’est empressé de nous serrer affectueusement, l’un après l’autre, dans ses bras, nous signifiant les adieux et grimpa rapidement dans la voiture, sans se retourner. Nous, tous émus, nous suivions des yeux la Simca quitté l’enceinte du Stade, il s’était juré de rejoindre le maquis si l’armée Française lui faisait appel après ce qu’elle a fait endurer et subir à ses deux frères morts pour Le Foot, c’est toute ma vie

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libérer le Pays. Il rejoindra ses frères peu de temps après, les armes à la main, dans un dernier combat. Amarouche Mustapha, mourut au combat, pas loin de la caserne de l’ALAT. L’autre espoir du Football Bel-Abbésien :

Un autre espoir du Football Bel-Abbésien, « Chaouch Norredine » qui a fait les beaux jours du SCBA dans la catégorie Juniors, et du Botafogo, une équipe du quartier de la ville, rejoignit 10 Jours après le frère Mustapha Amarouche. Un brillant et courageux Officier maquisard, l’aspirant Saadane, natif de la Caille Del sol, (dont la rue de soleil, porte désormais le nom de l’Aspirant Saadane,) le décida à rejoindre le maquis, il mourût, les armes à la main, lors d’un accrochage avec l’armée Française dans la forêt de Bouyetas. Il subira le même sort que Mustapha, les armes à la main, dans un accrochage avec la légion étrangère qui était composée d’un ramassis de mercenaires venus de tous les pays et qui formait la branche la plus cruelle de l’armée française. Depuis l’interdiction du FLN de toute rencontre sportive avec l’occupant, le rythme de nos activités footballistiques s’est quelque peu atténué. Aussi pour le relancer, les nombreux adeptes du ballon rond : responsables, joueurs, fans affiliés aux divers clubs de quartiers, ont décidé d’organiser un mini- championnat interne, opposant seuls les Musulmans entre eux. Cette action souvent répétée a permis, avec le temps à la plupart de nos joueurs d’être dans le top de leur forme dès l’indépendance du pays proclamée. Nombreux autres, par ailleurs, lycéens et sportifs assidus, pour la plupart, ont joint l’utile à l’agréable, en profitant des leçons magistrales de MM. Michel et Allongue, éminents professeurs d’Education physique, pour améliorer leurs performances et garder leur forme, atteignant, pour certains, des résultats probants. D’autres se sont expatriés, notamment en France, pour tenter leur chance auprès de clubs amateurs ou professionnels pour subvenir à leurs besoins. Nous étions quatre joueurs, Amarouch Mustapha, Boumelik Abbès, Fellah Djilali, et moi qui fûmes intégrés dans l’équipe Junior de l’ASBA, et Le Foot, c’est toute ma vie

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Delhoume Miloud « dit Houh » dans l’équipe Séniors. L’interdiction du FLN ne semblant pas affecter les petites catégories et particulièrement les étudiants non en âge de combattre, un club de cheminots en Division d’Honneur l’ASBA. Un modeste club que ses dirigeants ont réussi en quelques années à promouvoir grâce au dévouement de ses bénévoles et de particulièrement Messieurs Carrillo et VIZCAINO, Président et V/Président, Antoine Pavia chargé de la préparation physique et technique des équipes séniors et juniors.

Ci-contre devant les vestiaires du stade Municipal avant la rencontre contre l’ASE gagné par l’ASBA sur le score de 3-1-

Nos entraînements s’effectuaient au Stade Municipal, route de Mascara ou sur le terrain de la « Cantera », pas loin des ateliers .Les jours de pluie, un vaste et beau hangar aménagé avec bureaux, nous servait de refuge, plus tard, Hama Dellil, originaire du faubourg Thiers est venu nous rejoindre. Avant d’intégrer la catégorie minimes de l’USMBA, et ses entraînements programmés, notre école de football était la rue Palestro avec ses matchs interminables, avec ces multiples ballons confectionnés avec des vieilles chaussettes bourrées de chiffons usés, que nous tripotions durant des heures et des heures avec la complaisance des habitants dont certains qui jouaient avec nous, ne sont plus de ce monde ,Allah Yerhamhoum. La rue des Maures où nous habitions depuis 1948 , subissait aussi le même sort, elle avait donné naissance aux Lalimi Mohamed ,Haffaf Fayçal ,un journaliste sportif, reporter de la chaine 3,les martyrs Achour Zouaoui et Haffaf, l’aîné ,SIdhoum Boumédiène dit « Dindou »et bien d’autres qu’on ne peut oublier…Fellah Djilali à part une année passée avec l’ASBA, prit la route d’Oued Fodda, un club de la banlieue d’Orléans ville, dont dirigeants étaient intéressés par son recrutement .Djilali fut considéré comme un Le Foot, c’est toute ma vie

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grand gardien de but par tous les clubs qui eurent la chance de le recruter du croissant Club Sigois, à l’USMBA. Tous admiraient son professionnalisme, l’USMBA, j’y étais, Fellah Djilali a préservé sa cage vierge pendant tout l’aller de la saison 1966/67, appuyé par une défense solide, un sacré gardien de but ,un grand plaisantin et surtout un grand frère. Que son âme repose en paix.

Djilali Fellah au stade des trois frères Amarouch

Amarouche Mustapha et moi au Jardin Public d’Oran, attendant le car pour nous transporter au Cap Falcon « à l’Auberge de Jeunesse.

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ASBA, Juniors au Stade Fouques Duparc (19 Juin L’ASBA contre le GCO, avec Lacarne, Garcia Paulo, Boumelik Abbès, Dellil Hama, Fellah Djilali et Amarouche Mustapha. Un mot sur Garcia Paulo, un ami de longue date, habitait à la rue de la marine au faubourg du Mamelon, que j’ai rencontré lors d’une mission de la CAF en Côte d’ivoire, dans la ville d’Abidjan, après plus de trente années. Dès qu’il a eu l’information publiée par les médias de ma présence à Abidjan, Paulo Garcia entreprit ma recherche dans les établissements hôteliers pour me retrouver à l’hôtel ivoire .Que des souvenirs avec cet enfant du faubourg Mamelon ? Un grand plaisir de le revoir une autre fois en côte d’ivoire à l’occasion d’un stage de formation d’arbitres. Paulo Garcia était le responsable d’un cabinet de transit jusqu’à son décès qui remonte à quelques années. Il avait travaillé à Béchar après l’indépendance du Pays avec le même patron, puis il s’est exilé en côte d’ivoire jusqu’à sa mort, Paulo ne voulait pas rentrer en France, que son âme repose en Paix.

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60/61 à l’école d’Agriculture avec des joueurs hors pairs, Boumelik Abbès, Lacarne Bélaid, Delhoume Miloud dit « Houh »Mustapha Amarouche et Djelloul Soudani (non cheikh) Je reviens sur ces joueurs hors pairs que la mort n’a pas épargnés dans leur fleur de l’âge Boumelik Abbès ,au cours du tremblement de terre d’El Asnam en 1981 , alors Officier de Police à la sureté de la wilaya d’El Asnam, Delhoume Miloud, assassiné par l’OAS à Sidi-Bel-Abbès ,route d’Oran, pas loin du Bar de « Delpino »membre de la Fida FLN, en passant à côté du bar ,dégoupilla une grenade et la lança sur les consommateurs, la grenade n’ayant pas éclatée ,deux des consommateurs armés, lui coururent après pour l’abattre quelques mètres plus loin . Djelloul Soudani, parti à Mostaganem après l’indépendance pour jouer avec la prestigieuse équipe de l’ESM et ayant fait son choix pour demeurer définitivement dans cette belle ville où il succomba plus tard, suite à une maladie « à ne pas confondre avec Cheikh de l’USMBA ». L’Assassinat de « Houh » s’est répondu dans tout le village «nègre » comme une trainée de poudre, il était tellement aimé et respecté. Tout un chacun, ne s’empêchait pas d’évoquer sa technique, et le comparait même à Beckenbauer. Quelques jours auparavant, Houh et moi, avions joué notre dernier match contre le GSO Orléans ville actuellement (Chlef). A notre retour vers les 18 h 30, nous avons été déposés à la route d’Oran près de l’entrée des Le Foot, c’est toute ma vie

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abattoirs où des légionnaires nous ont interpellés pour vérification de nos papiers, puis emmenés et retenus au Poste militaire de la Graba avec un méchant LOPEZ chef de poste jusqu’au lendemain à 11 heures. Toute la nuit ,mon ami Houh et moi-même, avons ramassé les mégots de toute la place de la Tahtaha, en nous déplaçant sur les genoux, une exigence des légionnaires, une méchanceté qui semblait amuser les trouffions …loin de tout souci de propreté .Son geste et son sacrifice ont été peut être une réponse à cet inqualifiable outrage. En mars 1961, Delhoume Miloud, décida d’aller à Marseille, faire un essai avec l’OM .A l’Instar des grandes vedettes, Rachid Mekhloufi, Hamid Zouba, Amar Rouai, Ahmed Zitouni … L’OM comptait dans son effectif le fameux Yeso Amalfi. Ce dernier, dès son entrée sur le terrain pour s’échauffer, jonglait avec le ballon, Houh en était subjugué. Que de souvenirs de ce grand joueur à la Technique pure ! Houh complexé par ces stars de l’OM, ne resta à Marseille que 48 heures et reprit le bateau pour son pays natal, et pourtant il possédait toutes les qualités requises pour réussir une carrière professionnelle, un autre destin l’attendait, il était écrit quelque part qu’il tomberait en martyr…. Au SCBA, lors de la saison 6I/62, avec Houh, nous avons fait un bref passage au club où nous avons rencontré Abdi Djilali et Bouregba, pressentis pour l’effectif de l’équipe séniors. Nous avons connu Hamid Brixi, revenant de Monaco, club professionnel, pour signer une licence au SCBA. Brixi était un gentleman, très respectueux de ses camarades, originaire de Tlemcen.

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A la Senia, prêt pour embarquer

Mon premier baptême de l’air avec le SCBA en partance pour Bône (Annaba).On peut reconnaître Abdi, Lacarne avec son ticket d’embarquement, Bengamra et Brixi, (Bouregba Mostefa) «du fg Mamelon » décédé dans un village près de Grasse (O6). Il m’avait auparavant invité chez lui pour prendre un café, Bouregba était marié avec la fille du Président du Club, n’oublions pas que Mostefa était aussi mon co-équipier au Botafogo Club. Après trois ou quatre matchs joués avec le SCBA, contre le Calo, ,AS Bône, GSO, nous avons décidé de nous consacrer totalement à notre équipe BOTAFOGO qui devait préparer un voyage à Oujda « Maroc » pour effectuer des rencontres avec des équipes militaires de l’ALN ,à Zanghanghan et Kebdani, BOTAFOGO était souvent sollicitée pour jouer des matchs amicaux à Sidi-Bel-Abbès ,avec l’ISM ,l’étoile de Bari Alto, et d’autres équipes originaires d’Oran, de Tiguenif, de Mascara et de Tlemcen, Botafogo avec ses jeunes étudiants était considérée comme la meilleure équipe de Sidi-Bel-Abbès .

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II- L’USMBA 1963-1971, les Années Fastes

Un souvenir du stade des trois frères Amarouch, avec Bendimered Belkacem, Ezzine Bel-Abbès et Bénaissa Officier de Police, les premiers pas dans l’indépendance

L’USMBA des années 1964/65 avec le goal Amar, originaire de Kenitra Accroupis: Bengamra, Amar, Bonnefoy, Bénali Diden, Henia Hamadi Debout : Khelladi, Soudani, Hacini 1, Hacini 2, Bekkar, et Lacarne

Henia Hamadi, le Tunisien, grâce à son talent, ses qualités physiques et techniques et son éducation a marqué l’histoire de l’USMBA .Tous les BelAbbésiens se rappellent encore ses dribles, ses échappées fulgurantes, ses corners rentrants, ses tirs puissants et précis. Pour l’anecdote, une de ses victimes, ce fut ce joueur téméraire de Relizane, qui tenta de détourner un de ses tirs .Il se réveilla à l’Hôpital … Avec Henia à son chevet … Le Foot, c’est toute ma vie

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Cette belle acquisition a été l’œuvre du Président Docteur Hassani Abdelkader ,une personnalité exceptionnelle de la ville de Sidi-Bel-Abbès Président de l’APC, membre influent de l’APW, député de l’Assemblée Populaire Nationale, et surtout l’un des premiers goals de l’USMBA et son inamovible Président, même lorsqu’il n’exerçait pas cette fonction , même décédé ,il n’ a pas cessé de hanter les esprits . Son parcours sportif et politique, également ses œuvres mériteraient une vaste étude. 1964 : MCS-USMBA au stade des frères Bracci à Saida

Sur un corner tiré de la gauche, je monte plus haut que le gardien du MCS, Bénalioua. Je le devance en déviant le ballon de la tête, Bénalioua sorti de ses bois avec l’intention de cogner le ballon, me boxe la figure et me voilà un moment sans mémoire. Si Kouider Benzellat, arbitre de la rencontre, demanda à Bénalioua de rejoindre les vestiaires « expulsé » pensant sanctionner une faute grave et volontaire .Ayant repris mes esprits, je l’ai informé qu’en respect de ma profonde conviction, le gardien Benalioua ne m’a pas frappé volontairement, si Kouider, calme et lucide, m’invita alors de le rejoindre, après la rencontre et après avoir pris ma douche, je suis allé le voir pour lui expliquer cette situation, soudain d’un air sévère, il me rappela qu’il est le seul à prendre les décisions, et que je n’avais pas à le rappeler .Ma surprise fut sa punition, une suspension d’un dimanche, la première et la dernière de toute ma carrière .Une leçon qui m’a marqué. Voila un personnage admiré par toute une génération de sportifs qui fut pour moi et pour ceux qui aiment réellement le football, un modèle de droiture. Lui rendre hommage, aujourd’hui, est pour moi un devoir

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L’hôtel Aleti à Alger ci-dessous, la veille de la finale de la Coupe d’Algérie entre le MCS de Said Amara et l’ESM d’Ould Bey, au stade du 20 Aout 1955, une rencontre plaisante que nous avons suivie avec plaisir et l’ESM est sortie vainqueur de cette rencontre. De gauche à droite sur la photo : Othmane Mohamed, un Grand Homme d’affaire avec qui nous avons grandi Said Abdelkader, Soudani Cheikh, Lacarne Bélaid, Henia Hamadi et Lalout Rachid, un groupe qui suivait régulièrement l’USMBA.

Sous la direction de notre nouvel entraîneur Hamid Zouba, les entraînements se faisaient le mardi, mercredi, jeudi et vendredi de 12 à 14 heures, les journées du Samedi et Lundi Repos, les championnats se jouaient par un Dimanche.

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Autour de l’entraîneur , Khaldi Mahmoud, un authentique espoir, Hacini II, Lasbeur Tedj, deuxième gardien, Khelladi Kaddour ,(Cap) Bekkar cheikh Lacarne Bélaid, Fellah Djilali, Abdi ,Soudani Cheikh, Bengamra Tayeb ,Hacini I, Fernakdji Ghaouti, et Henia Hamadi, Sous l’œil attentif de Zouba. Manque sur la photo, Hocine ZAZ, un surnom qui lui allait sur mesure, élégant, toujours bien habillé, il se distingua sur le terrain avec brio, il s’engageait pour la première fois de sa vie dans un club autre que celui de son enfance le « Fus de Rabat », son séjour fut bref, hocine ZAZ avait des activités Professionnelles contraignantes.

Il fit son entrée contre le SCMO de feu Bouhizeb, décédé le jour de son Jubilé, que son âme repose en paix. Le match démarra en trombe, Henia et Bonnefoy pétillants, Ce dernier marqua un but splendide dès les premières minutes du jeu, S’ensuivirent protestation, bagarres, palabres et menaces. L’arbitre de la rencontre Monsieur Hadj Zeboudj de la ligue d’Oran, pour raison de sécurité, renvoya tout le monde aux vestiaires, une décision respectée par les deux équipes. Rencontre pour la première Place contre le MSPB à Batna :

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Abdi djilali était notre star et réellement le vrai chef, fin psychologue, il connaissait les faiblesses de chacun de nous. Et il ne s’embarrassait pas de nous titiller avec finesse et ironie pour nous pousser à faire toujours mieux. Tous nous craignions ses tirades, gare à celui qui n’observait pas ses consignes ! C’était un gagneur. Que Khelladi Kaddour soit le capitaine de l’équipe ne l’embarrassait nullement. Nous souhaitons tous sa titularisation en Sélection Nationale, il avait le talent et l’intelligence, mais L’ors de la rencontre avec le MSPB à Batna, un match où l’accession était en jeu l’entraîneur en l’occurrence Hamid Zouba donna consigne à Soudani Cheikh de surveiller l’un des trois frères Zender, le N°10 plaque tournante de son équipe et un grand virtuose. Soudani, fin footballeur, intelligent, sérieux, était essoufflé ce jour là, on pourrait dire un match sans …mais ne pouvait contenir le N°10. Dès la première mi-temps il fut surclassé par son adversaire et le MSPB porta à de multiples reprises le danger devant nos bois .Alors Abdi djilali ne manqua pas l’occasion de titiller cheikh, ce dernier, pour se défendre fit cette réponse « ce n’est qu’un orage », mais cette journée, l’orage a persisté et nous avons perdu par le score de 1-O –un match dirigé par Hadj Khelifi, un arbitre respecté sur le plan National. Hamid Zouba durant toute la saison sportive 66/67, était notre entraîneur joueur, il occupait sans faille le rôle du N°6, ce qui lui permettait également sur le terrain de nous guider et de nous placer suivant la position du ballon, le mardi, Hamid nous faisait travailler la récupération du ballon et le placement, une application nouvelle pour nous. La rencontre au sommet contre le MCA au stade mythique de Bologhine a été préparé comme notre fameuse rencontre en coupe d’Algérie contre le CBR en ¼ de finale à la ferme Sagrandi, « Ferme Blanche « pas loin de la commune de Boukhanefis, une ferme splendide avec toutes les commodités pour une préparation d’un match, la commune de Sidi-BelLe Foot, c’est toute ma vie

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Abbès a mis tous les moyens à la disposition de l’USMBA y compris le personnel de la cuisine des Colonies de Vacances.

Nous avons préparé cette rencontre avec l’intention de rester invaincus pendant la phase aller en gardant notre cage vierge, ce match s’est joué en plein Ramadan. Nous étions hébergés à l’hôtel Oasis, dont le directeur Mustapha Chiali étant un enfant de la ville de Sidi-Bel-Abbès, un fervent supporter des verts et rouges, il ne ratait aucune rencontre de l’USMBA, où quelle aille, que son âme repose en paix. Après le débriefing organisé après le repas du Maghreb, notre entraîneur, natif de Saint Eugène connaissait bien le MCA, son jeu et sa composante de joueurs, nous fît part de sa volonté de les battre dans leur propre fief. Après les instructions tactiques du jeu et le rôle de chaque joueur, Hamid, aborda le problème du jeune, il nous demanda de ne pas jeuner le jour de la rencontre, car les joueurs du MCA ne jeuneront pas. Pour éviter de blesser notre sensibilité, il invita ceux qui partageaient son avis de lui glisser un mot sous la porte de sa chambre en inscrivant le numéro de leurs chambres, leur garantissant une discrétion totale. Pauvre Hamid, il a attendu toute la nuit pour ramasser les papiers, aucun joueur n’a marché .Le Lendemain, nôtre entraîneur ne cachait pas sa déception, Le Foot, c’est toute ma vie

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le match terminé, nous sommes resté leader, le MCA ayant réussi une égalisation litigieuse … en fin de match. Avant cette rencontre mémorable aussi bien pour les joueurs que pour les supporters du stade Bologhine, un fait insolite intrigua tous les présents, la séance d’échauffement avant la rencontre avec ces survêtements noirs dura 45 minutes. Une action physique et psychologique à la Zouba ….. En fin de rencontre, ce dernier est accosté par un journaliste tenant dans sa main gauche un papier presque chiffonné, avec l’intention de lui demander ses impressions, Zouba encore sur le choc du résultat, lui fût une réponse brutale… Avant de m’interroger, « commencez par respecter votre fonction ».lui dira t-il ? La page sportif du journal « El Moudjahid »,la veille de la rencontre ,avait affiché ,sous forme de caricature ,Djilali Fellah adossé sur le montant droit de ses bois, une marguerite dans la bouche …Soulignant leur inviolabilité depuis le début de saison sportive … Ce fut le MCA qui la perça, pour la première fois ,par le grand Aouedj ,dans une position de hors jeu, que les arbitres ,semble t-il ,n’ont pas vue … L’USMBA, version Hami Doussas

L’USMBA en ¼ de finale contre la grande équipe du CRB Mars 1966 …

Encore une frustration pour les responsables, les joueurs, les supporters, et on peut le dire pour tous ceux qui aiment l’USMBA, ce match en quart Le Foot, c’est toute ma vie

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de finale de la Coupe d’Algérie contre le CRB ,mais une frustration de courte durée, l’USMBA était tombée avec tous les honneurs…Il est vrai que le CRB était l’équipe phare du moment, la plus titrée … Elle récoltait ses points, aussi bien à domicile qu’à l’extérieur, elle passionnait tous les Algériens et pas seulement les Algérois ou les Belcourtois. Elle dominait la première division. L’USMBA avait trouvé enfin une forme, une homogénéité, et les moyens psychologiques et matériels à la hauteur de ses ambitions .Elle jouait l’accession en première division ,en se qualifiant pour les ¼ de finale de la Coupe d’Algérie contre le CRB, elle a suscité des espoirs qualifiés par les connaisseurs du foot ,de justes et de raisonnables, Hamid Zouba n’est pas étranger à ce standing de l’équipe Le déroulement du match n’a pas démenti ces espoirs et leurs pronostiques, mais une règle absurde du football maintenant abandonnée, la qualification par le nombre de corners. Le CRB s’était présenté avec son équipe complète, les Lalmas, Selmi Achour, Amar L’USMBA avec les Henia, Saci, Abdi, Fellah, Hamri, Hamza, Kaddour Khelladi …Le Stade était comble et les guichets fermés…. Avec plus de 50.000 spectateurs. Dès l’entame du match, Khelladi est blessé, en effet, d’habitude, il était le pilier central de la défense , athlétique, constant, infatigable ,capturant les balles hautes, avec un jeu de tête souvent efficace, et surtout avec un jeu de jambes appliquant le principe ,si le ballon passe, l’adversaire ne passe pas et son inverse. C’est pourquoi le populo lui avait donné le sobriquet de « Cheikh El Matraque » le roi de la Matraque). Malgré tous nos efforts dans la défense, nous avions le sentiment de jouer à 1O. En sus, il était le Capitaine d’équipe ….Une époque où le remplaçant n’existait pas. Un autre malheur, ce fût quand Abdi djilali, à 52 minutes de jeu, seul devant les bois adverses vides, au lieu de pousser le ballon de la tête, Le Foot, c’est toute ma vie

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temporisa pour faire un amorti du pied, cette fraction de seconde permit à un défenseur de détourner le ballon. De son côté le CRB a aussi eu des ratés, pour ne citer que celle de Lalmas, un tir puissant repoussé par le poteau à la 78 minutes de Jeu, et Fellah reçu le ballon dans les mains. De l’avis général, ce fut un beau match où chacun a étalé son savoir et sa tactique l’entraîneur du CRB, l’ancien professionnel Zitoun avoua n’avoir jamais assisté à une défense aussi organisée que celle de l’USMBA et que celle-ci méritait la qualification autant que le CRB. En effet, après 120 minutes de jeu, le match s’est terminé sur un score nul, qualifiant le CRB par le nombre de corners … (5-3). Des photos géantes montrant les joueurs de l’USMBA en action aux cours de ce match ont été affichées dans des cafés de la ville de Sidi-Bel-Abbès pendant plusieurs années. Les supporters démontrant malgré la disqualification leur non chauvinisme envers quiconque, leur non régionalisme, leur grand soutien et leur solidarité à leur club préféré Sportivement

Les corners en faveur de l’USMBA et le célèbre gardien de but Nassou, les joueurs du CRB avec leurs maillots légendaires et son grand V

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L’excellent Amar, lors d’une montée pour aider la ligne offensive.

Avant ce fameux match, CRB/USMBA, nous nous sommes qualifiés en huitaine de finale au dépend de l’AS Khroub, une équipe coriace du constantinois. Ce fût une rencontre qui nous donna beaucoup de baume au cœur, d’abord par le nombre de supporters qui nous ont accompagnés, et qui étaient plus nombreux dans le stade que ceux de l’adversaire du jour par la sonorisation du stade qui joua notre hymne de toréador, musique d’habitude jouée au stade des trois frères Amarouche dès notre apparition, et en suite grâce à la victoire avec panache que nous avons obtenue qui est resté gravé dans l’esprit des Bel-Abbésiens.

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Abdi lors du Tir au coin de Hamadi Henia et repris par Abdi, transformé en but Hamri et Lacarne aux aguets

Un chef d’œuvre longuement préparé aux entrainements. Lors de nos entraînements et dont nous avons utilisé la méthode dans de multiples matchs par la suite, avec le même succès. Au cours de la seconde mi-temps, vint le moment que nous attendions .L’arbitre de la rencontre siffla en notre faveur un corner .Notre galerie, qui avait suivi nos entraînements et qui avait assisté aux résultats antécédents entra en effervescence, criant de joie, chantant et tambourinant. A la stupéfaction de la galerie Khroubis et de ses dirigeants, et autres spectateurs de marque dont certains cherchèrent à comprendre pourquoi, le pourquoi de la chose. Certains de nos supporters n’hésitèrent pas de pronostiquer que le corner était un but .Henia, comme à son accoutumé tira le ballon. Au Poteau droit, l’attendait Hamri, au centre Abdi, et moi-même au second poteau. Henia avait choisi Abdi djilali le mieux placé qui d’une tête engouffra le ballon dans les filets adverses, sans aucune difficulté. C’est ainsi que l’USMBA remporta ce match par 1-0, il faut souligner ici les efforts de nos dirigeants, leur rendre hommage et surtout les sortir de l’ombre …. Docteur Hassani Abdelkader : Nous avons cité notre valeureux Président le docteur Hassani Abdelkader et nous ne lasserons jamais de le citer. Nous profitons de cette parenthèse Le Foot, c’est toute ma vie

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pour dire que c’est lui qui a rêvé le stade de Sidi-Bel-Abbès, c’est lui qui l’a réalisé directement ou indirectement. Ce stade mérite de porter son nom Si on posait la question aux Bel-Abbésiens, ils plébisciteraient cette proposition. Chikhi Mohamed : Il s’appuyait sur Chikhi Mohamed, un capitaine des pompiers de Sidi-BelAbbès ,chef du service du nettoiement de la commune ,ancien membre de l’organisation secrète du PPA, un homme discret ,méticuleux ,organisé, administratif, gérant les finances du club ,en s’impliquant totalement, n’hésitant pas à frapper à toutes les portes . Ouhibi Said : Un autre Monsieur Ouhibi Said, un grand affairiste dans l’élevage et la vente des bovins et ovins vers la France et inversement. Le verbe haut pour haranguer les foules, les mobiliser, et défendre les intérêts du club auprès des hautes instances locales, régionales, et Nationales .Que de litiges ont trouvé leurs solutions grâce à son opiniâtreté, et son sens juste du droit. Bekkouche Mokhtar : Monsieur Bekkouche mokhtar, parlant couramment l’arabe, le français et surtout l’espagnol, marchand renommé de cycles d’une marque célèbre, précieux sponsor dans les temps difficiles surtout pour une époque où l’amateurisme étant roi, mais un Roi sans argent, toujours jovial, élégant, et fidèle parmi les fidèles à l’USMBA et à son président. Bendella Mohamed : Le Secrétaire général de la Mairie de Sidi-Bel-Abbès qui n’hésitait pas à déployer les moyens communaux, lors de toutes compétitions, police Communale ,propreté ,arrosage du stade (en terres battues) éclairage éventuel, surveillance autour du stade ,et d’autres corvées qu’on ne peut citer ici … On raconte dans la ville qu’un jour, un arbitre avait oublié d’apporter son sifflet, Bendella Mohamed lui prêta le sien, à la fin de la Le Foot, c’est toute ma vie

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première mi-temps, cet arbitre privilégia l’adversaire au dépend de l’USMBA, d’une façon flagrante et catastrophique ,Bendella Mohamed lui retira son sifflet , le match fut rejoué et l’avantage revint à l’USMBA. Chiali Abdelkrim : Le père Chiali Abdelkrim, un grand sportif malgré sa corpulence, presque tous les matins de la semaine il participait avec certains de ses amis ayant le même âge que lui, à des matchs de Volley Ball . On le trouvât mort, un matin dans la piscine du stade du 24 Février emporté par une crise cardiaque. Toujours souriant, bienveillant, répondant à tous les désirs des jeunes et des vieux, à leur service sans compter, sans exiger le moindre merci … Un grand pilier de l’USMBA que personne n’applaudit, alors que chaque but marqué par l’USMBA porte sa marque puisque c’est lui qui fabriquait les souliers. Une saison sportive 66/67 que tout un chacun ne peut oublier ! Nous avions mis en relief cette fidélité au Président Docteur Hassani et au groupe composant le comité de l’USMBA, c’est pour démontrer à l’ensemble de nos supporters que rien ne sert de courir … sans une ligne directrice dans la gestion du Club …. L’USMBA avait mis des années pour arriver à jouer une finale de la coupe d’Afrique du Nord contre aussi un grand champion d’Afrique du Nord le SCBA ,deux équipes de la même ville Sidi-Bel-Abbès .Bravo !

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IIV - Reconversion

de la tenue de joueur contre un habit noir D’un arbitre (1972 -1986)

Où l’heureux choix d’un ancien défenseur de l’USMBA Je ne pouvais jamais m’imaginer, moi un arrière droit, rejoindre le corps des arbitres .Je me destinais, plutôt à la formation et à l’encadrement des jeunes joueurs et éventuellement plus tard à devenir entraîneur … Pour cela, j’avais opté pour une formation d’éducateur au 1er degré organisée au stade Montréal à Oran (l’actuel Bouakel), tous les jeudis matin, pendant deux mois (Mai et Juin 1972), sous l’égide et la direction Technique de l’Ouest (Messieurs GNAOUI, AMARA, et HAMADENE) tous des gloires du Football Algérien. Je suis sorti major de la promotion, et j’ai entamé mon nouveau métier d’éducateur 1er degré avec les minimes de l’USMBA. Le Foot, c’est toute ma vie

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J’avais parmi mes poulains Salhi, Amar, Coco et d’autres futures célébrités. Cependant pour parfaire ma formation, je me suis, pendant mon stage, intéressé aux règles du jeu et à l’arbitrage dont les cours étaient dispensés par Messieurs Hadj Lourgui Bénaouda et Hadj Benyellès Abderrezak, tous les samedis après 18 heures, au niveau du siège de ces arbitres dont la renommée avait dépassée nos frontières. Petit à Petit, je me sentais pris dans la dialectique de ce nouveau jeu qui ne comportait pas les exigences matérielles et humaines, également les contraintes, les obligations structurelles d’une formation de jeunes pour lesquelles en général les responsables n’accordent pas, ou très peu de considération.. Un beau jour, sans me rendre compte, je suis tombé dans le piège, et je signais mon engagement. J’ai découvert le revers de la médaille de l’arbitrage bien après, mais je ne regrette rien, bien au contraire, dans cette fonction ingrate mais Oh combien bénéfique. Maintenant que je suis de l’autre côté de la barrière, je veux mettre à nu, d’une manière plus précise, les avantages et les inconvénients du métier, surtout souligner combien il est dur pour un individu de résister à certaines sollicitations et leur répondre non et de ne prôner partout que le juste et le vrai, et ne pas tomber dans le fallacieux des égoïsmes et des ambitions individuelles et collectives. Et surtout montrer certaines carences qui usurpent certaines fonctions du football sur tous les plans, le plan National, Africain et International. Je peux ajouter que ma carrière de footballeur m’a énormément aidé sur tous les plans, en découvrant que l’arbitre est aussi soumis à une forme physique plus intense que les joueurs de champ. C’est pourquoi, j’ai continué à entretenir la mienne comme nous l’a enseigné le grand Zouba Le Foot, c’est toute ma vie

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A l’intérieur du grand Jardin public de Sidi-Bel-Abbès, une exception lequel Là, de nombreux Bel-Abbésiens venaient, les uns cherchant la fraicheur, seul le jardin des laplantes peut rivaliser. fuyant canicule d’Alger de l’été, les autres particulièrement les étudiants réviser leurs cours, et les sportifs s’adonner à leurs sports favoris .exercices

Les qualitéspréférés de l’arbitre doit avoir une vision claire et une vigilance ; permanente, jamais défaillantes. Un langage net et précis, respectueux. Autoritaire même quand il se veut amical ou paternel… Ces qualités attirent le respect et la reconnaissance des autres dans le stade et sur les tribunes. Et de cela, je tirai toute ma fierté… Voila la face apparente de la médaille ! Pour l’autre, la face cachée. Commençons par la tenue, le débutant doit la procurer par ses propres moyens. J’ai eu recours à mon ami d’enfance Gilbert le tailleur, un Franco-Algérien qui était resté, installé à la Place ex Carnot, place du 1er Novembre à SidiBel-Abbès. Il m’a offert le short, taillé sur mesure, il m’a fallu mille et un recours pour me débrouiller le sifflet, un modèle italien dont je n’ai pas envie de lui faire la publicité.

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Tous les moyens de transport sont bons. Par tous les temps, des dates et des heures qu’on ne peut négocier … Des terrains de foot qui ne portent que leurs noms. Quelque fois pour être gentil et ne pas dire souvent, des accueils mitigés, voir hostiles, de vielles rivalités ancestrales que la guerre de libération n’a pas pu éliminer, remontant à la surface. Des vestiaires et des sanitaires à la propreté douteuse. Une restauration et un hébergement souvent absents. Une protection armée, gendarmerie ou police, souvent insuffisante, Ou inexistante. Il faut souvent palabrer, rabibocher, raccommoder, parlementer, pour faire démarrer, continuer et arrêter une partie de football. Tout en observant les règlements et en prônant la principale vertu de football qui est de rassembler et non de diviser. Et enfin une indemnité de 50 Da que souvent on laisse sur la route avant d’entrer à la maison …Il est évident que tous ces malheurs sont palpables et visibles au niveau des wilayas, moins dans les régions, et encore moins sur le plan National. On ne peut pas dire que depuis que j’ai quitté ce beau monde, les choses ont changé. Ce que rapporte la presse, et quelque fois, elle ne fait que l’insinuer, ne nous pousse pas à l’optimisme… Il est évident qu’à partir d’un certain niveau national et International, le changement est grand, c’est presque la « dolce Vita » sans sa luxure … Je ferai quelques commentaires un peu plus loin, lorsque, j’aurai à narrer ma carrière d’arbitre International. Ce fut donc en 1972, le mois de Septembre, un Samedi, que la sous CRA de Sidi-Bel-Abbès me signifia le premier match que je devais arbitrer entre deux équipes de deux villages, Ténira et Sidi Khaled, pour le lendemain dimanche .Je rappelle au lecteur que Sidi-Bel-Abbès n’était pas encore Wilaya, Ténira et Sidi Khaled encore moins des dairates. Le Foot, c’est toute ma vie

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Deux communes propres et tranquilles à économie essentiellement agricole dont une bonne partie de la population active, venait le jour, travailler à Sidi-Bel-Abbès et rentrait le soir rejoindre le bercail. Sur le plan sportif, elles alimentaient surtout les rangs de l’USMBA, et de ce fait, tous me considéraient comme une grande Star et m’apportaient leur soutien, un sentiment de respect que je ressentais partout où je passais et qui me faisait oublier les vicissitudes que j’ai énumérées plus haut. En aucun cas, je voulais gâcher ce trésor, ce fût là, la clé de la réussite, défendre le football et ses nobles règlements. Alors mon champ d’action grandit et je commençais à officier de plus en plus loin, El Bayedh, Mascara, Oran, Tiaret …Toutes ces pérégrinations m’ont marqué d’une façon diverse…et durable .Je cite quelques exemples : Ce match de Mascara coaché par El Gotni, un fabuleux attaquant que j’ai admiré pendant ma jeunesse, et joué par un Belloumi encore cadet, pétillant par sa façon de conduire le ballon. Cette rencontre historique, ce match entre l’ASM et l’ESM Mostaganem, une rencontre de Division d’honneur, j’avais le sentiment que j’allais passer mon premier examen de passage dans le corps des arbitres. En effet tout le gratin du monde sportif de l’Oranie avait été invité pour venir assister à cet évènement au stade Habib Bouakel. La presse se mêlant, la veille, chaque journaliste allant de son commentaire. Appliquant mes principes et affichant ma forme physique habituelle, j’ai dirigé les opérations avec maestria. Tous, en fin de match vinrent me féliciter, même les plus septiques et les jaloux …

Une rencontre où l’ASMO et la JET jouent pour une place honorable dans un stade comble, des joueurs des deux camps poussent à la contestation.

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L’important pour moi était de prouver qu’un ancien joueur reconverti en arbitre, par son expérience, ses capacités physiques et techniques, sa vision du jeu, et surtout par son sens de l’anticipation, pouvait encourager les joueurs à s’exprimer naturellement, sans craindre des interventions intempestives, freinant leur jeu abusivement, laissant les supporters le taxé « d’oiseau siffleur »gâchant le spectacle Au stade de Birouana de Tlemcen en 1975 -

Au stade de Birouana de Tlemcen en 1975

Stade Brakni, match de coupe d’Algérie sur un terrain impraticable, ASO/USMA

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MPO-NAHD

Voila un match où j’ai passé l’un de mes plus mauvais après midi .Le NAHD avec comme capitaine Merzekane et comme joueurs, des gars comme Madjer, Lazazi, Maiche. Le MPO avec comme capitaine Bel-Abbès, et comme joueurs des gars comme Benminoun, Benkada, Medahi, Benmahi … Un stade plein à craquer où les deux galeries faisaient entendre leur volonté de l’emporter. En le manifestant surtout à l’approche des buts, encourageant les attaquants ou sermonnant les défenseurs .Les joueurs ne pouvaient dans ces conditions garder leur sang froid longtemps et commettaient l’infraction, m’obligeant à brandir cinq cartons jaunes dans une seule et même partie. Une première pour moi, apparemment ce jour là, le courant entre moi et les joueurs ne passait pas. L’enjeu de la partie, un NAHD ambitieux désirant conforter ses bons résultats de la saison et un MPO désirant sortir de l’ornière où il se trouvait et qui ternissait son prestige, était le feu qui avait ravagé mon après midi. Le MPO l’emporta par 1-O.

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Dans ma vie active d’arbitre directeur, je peux revenir sur quatre rencontres rendues difficiles, à cause de l’enjeu et les résultats recherchés par l’une ou l’autre équipe, les spectateurs locaux aidant. Les rencontres à contestations.. En 198I, rencontre capitale de division d’honneur JSMT/WAT à Tiaret comptant pour l’accession en division nationale. Le motif de la contestation, les couleurs de la tenue des deux équipes blanches et bleues. Les supporters locaux bien avant le début du match commencèrent à scander « Zerga ou Beida » ! Exigeant de leurs dirigeants le respect de la tenue officielle du club. Les démarches auprès des dirigeants Tlemcéniens, maintenant leur droit d’équipe visiteuse, n’ayant pas abouti, s’en suivirent des palabres sans fin, retardant la compétition, malgré la décision arbitrale en faveur du WAT conformément aux règlements généraux de la FAF. Après 45 minutes, la JSMT accepta sont sort …et ce fut un score d’égalité 0-0. Avant le début de la rencontre avec Belahcène SG de la JSMT, ancien Arbitre Fédéral, connaissant les règlements généraux de la FAF

2) Mai 1982 –Ain Larba-Sidi Ali Boussidi : Il s’agissait d’une rencontre entre deux localités de la wilaya de Sidi-BelAbbès dont l’enjeu était l’accession en promotion d’honneur .Aucun trio d’arbitres de la ligue n’avait accepté d’officier ce match, Ain Larba et Sidi Bel Boussidi dépendaient de la même ligue. Le Foot, c’est toute ma vie

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Le Président de la ligue Monsieur BENSAFI Lakhdar m’a sollicité de le faire. J’ai accepté alors que je m’apprêtais à partir pour la coupe du Monde Espagne 82 qui allait se dérouler en Espagne. Arrivés à Ain Larba avec mes deux assistants, nous avons préalablement inspecté les lieux avant de nous rendre à la brigade de Gendarmerie. Nous avons constaté sur les gradins et autour du stade un public nombreux et déjà en efferscence, nous prîmes alors l’attache de la brigade de Gendarmerie Nationale, chargé d’assurer le service d’ordre. Service d’ordre, en attirant son intention sur l’importance des enjeux et des désordres éventuels. Deux gendarmes furent mandatés pour accomplir cette mission ….Pour essayer de calmer les esprits des deux galeries obnubilées par seulement l’accession à l’étage supérieur, nous priâmes ces deux gendarmes de les informer que la partie sera arbitrée par un arbitre mondialiste désigné pour la coupe du Monde qui allait se dérouler en Espagne et qu’il n’y aura aucune triche, seul le meilleur gagnera …. Nous avons pensé que le Public bon enfant, les joueurs et dirigeants honorés par ma présence feraient preuve de fair play. Seul pendant 90 minutes, l’enjeu l’emporta. Malgré le résultat de nullité et l’expulsion d’un joueur locale. Février 1986, ISMAB-JET à Ain Beida :

L’ISMAB recevait pour la première fois la JET, le 21 Février 1986.Elle lui réserva un accueil exceptionnel en mobilisant une grande population de toute la région en jouant sur la corde régionaliste et un désir de vaincre …La Jet, entraînée par Mohiédine Khaled, était au sommet de sa gloire et considérée comme la meilleure équipe du championnat. Je ne sais toujours pas pourquoi on m’attribua une origine Kabyle et un penchant pour la JET..Peut être à cause de mon prénom Bélaid. Après la défaite de son équipe par le score de 0-1 ,le Docteur K.AMIAR, Président du club adressa un rapport à la FAF imputant ce résultat à Le Foot, c’est toute ma vie

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l’impartialité de l’arbitrage ,Passant sous silence le comportement de sa galerie durant la rencontre ,et l’expulsion de son joueur International Bentayeb suite à une agression volontaire sur un adversaire en première mi-temps ,après avoir reçu plusieurs rappel à l’ordre . Après le match, les choses se compliquèrent bien davantage .Mes collègues Nefoussi de la ligue de wilaya de Mostaganem ,et Benazza de la ligue de wilaya de Relizane et moi-même, nous nous sommes trouvés coincés au milieu du stade, le trajet nous menant vers les vestiaires se trouvant sous le contrôle des supporters d’Ain El Beida déchainés, nous insultant et nous jetant divers projectiles à partir de leurs gradins . Deux personnes ont tenté d’intervenir pour nous libérer le passage, le Commissaire Politique d’Ain el Beida, Monsieur BENGANA et un agent de l’ordre, un simple policier. Des projectiles atteignirent leurs visages et les ensanglantèrent, mais dès que nous aperçûmes des énergumènes tentant d’escalader le grillage, tout en nous menaçant, nous avons décidé d’un commun accord de courir vers les vestiaires, malgré les risques à subir. Nous les avons regagnés sous une pluie de projectiles divers, avec quelques blessures physiques légères. Mais avec aussi des blessures morales profondes et Indélébiles …. 4°)- DNC-Alger-DNC –El Asnam-Qui a dit-combine ?

C’est sous ce titre « Qui a dit Combine « que nous avons pu lire le lendemain sur la presse, ma quatrième et dernière rencontre en ligue 1 en cette fin de saison sportive, cette rencontre se déroulait à El Asnam, entre deux équipes de la DNC. Des propos bruyants de personnes, près de notre vestiaire quant au sort qu’ils allaient réserver à la DNC Alger, attirèrent mon attention, est-ce un message qui nous était destiné pour nous préparer à la suite des évènements, et nous intimider pour relâcher notre vigilance ? En effet Le Foot, c’est toute ma vie

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pendant toute la première mi-temps les joueurs des deux équipes délaissant le ballon, se poursuivaient les uns les autres, s’intimidant mutuellement. Mes observations et mes avertissements n’ayant aucun effet sur eux .Dès l’entame de la deuxième mi-temps, j’ai rappelé les capitaines à plus de fair play et de faire respecter les lois du jeu, tenant compte des spectateurs venus les regarder ! En vain les dernières 45 minutes restantes furent pire que les premières. La presse, le Lendemain, parlait de combine, en imputant la responsabilité au sponsor des deux équipes de la DNC. Les dix dernières minutes ont été un calvaire pour nous les arbitres, car les enjeux de cette partie débordaient sur les enjeux sportifs. Nous n’avons aucun moyen de le prouver, aucune des deux parties ne se plaignant. C’est là quelques exemples qui démontrent que les maux qui rongent notre société n’épargnent pas aussi le Football, malgré les investissements des citoyens bénévoles actifs et ceux de l’Etat ….

Une rencontre à Mohammedia (Ex Perrégaux) avec Bouayed et Ben Mazouz, une rencontre sous l’œil attentif de Monsieur BENAMAR, SG de la LOFA, présent à cette rencontre pour certainement superviser la performance des arbitres.

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Je me suis habillé pour aller faire mon échauffement durant 40 minutes comme lorsque j’étais joueur, puis j’ai regagné les vestiaires, un exemple continu durant ma carrière. Boumédiène Bouayed, n’avait pas encore terminé de s’habiller. Tous les arbitres vous diront que Diden prenait tout son temps pour s’habiller, il ne cessait pas de nous rappeler cette phrase : « Quand un arbitre siffle, le monde cesse de tourner –« Sacré Boumédiène, que ton âme repose en paix. » Nombreux sont ceux qui gardent encore en mémoire ces souvenirs impérissables.

CIcontre au stade Abdelmalek de Constantine où se jouait une première place entre le CSC et l’ES Collo –avec un résultat de parité –O-O, cette rencontre se jouait pour l’accession.

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Un derby riche en couleur avec le RCK et ses enfants de Kouba, Un réel plaisir que d’arbitrer les ait Chegou, Assad (en le voit derrière) Safsafi Kaci Said, Cerbah, et de l’autre Bouiche Nacer, Zenir… du MCA

Iboud et Zenir, capitaines mènent les deux équipes.

Les deux rencontres ,en aller et retour, la CCA en désignant Hansal et Lacarne, joue la prudence et la sécurité pour ce derby explosive entre des équipes, le MCA et la JET, au mieux de leur forme .Les deux arbitres ,par leur intelligence, leurs emprises sur les équipes, leur anticipation sur les fautes et leur vision libéraient les joueurs et l’angoisse du sifflet Le Foot, c’est toute ma vie

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impromptu et inattendu, permettant un développement du jeu apprécié par un public connaisseur, le 5 juillet était comble (voir la photo) Les coupes d’Algérie, 1978 à 1986 :

1978, ma première finale comme assistant arbitre, avec Aouissi Abdelkader, saluant le Président de la République, feu Houari Boumédiène, que son âme repose en paix .je dois cette finale à mon ami et frère Mokhtar Kies lors d’une visite à mon domicile, m’a forcé à me lever de mon lit pour aller à Alger, J’étais cloué au lit par une dysenterie chopée au restaurant du 5 juillet lors de la rencontre Algérie/PSG La coupe d’Algérie 1981 – ASMO-USMA à Sidi-Bel-Abbès : ci-dessous des invités de marque à l’occasion de la finale de la coupe d’Algérie jouée à Sidi-Bel-Abbès, le 19 Juin 198I, chez les Lacarne, avec Mimoun de Chelghoum laid Medjiba Rachid ,debout ,le photographe de

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la rue d’Isly, spécialiste et fan du foot, Amar Ghotari, notre arbitre Fédéral de Constantine et Abbès Lacarne ,prenant en charge les invités.

Voila un évènement rarissime qui a marqué ma vie plus que tout autre. 1981. L’inauguration d’un stade, de l’avis de tous, grandiose et splendide par Monsieur le Président de la République, Monsieur Chadli Bendjedid, et à l’occasion d’un match final de la coupe d’Algérie à Sidi-Bel-Abbès, devant se dérouler entre une équipe Algéroise, USMA, et une équipe Oranaise ASMO, arbitré par Monsieur Lacarne Bélaid. Une consécration, un Honneur et un Bonheur. Du Jamais vu ! Ils étaient 45.000 peut être plus à venir assister à cette finale venues même de très loin. Une journée presque d’été, radieuse, quelque part, juste derrière les rangées des invités protocolaires, il y avait un homme, cet homme était encore plus heureux que moi. C’est lui qui avait rêvé ce stade .C’est lui qui l’a conçu, c’est lui qui l’a finalement réalisé …Allah yerhma ya Abdelkader Hassani. J’étais heureux et fier de diriger la finale de la coupe d’Algérie, édition 81, chez moi, dans un stade que j’ai connu précaire où j’ai fait mes premiers pas dans le football Maintenant transformé en un joyau comparable aux plus beaux stades du monde …Début 1965 pour être fini en 1981. Des lenteurs administratives, des problèmes financiers, des conceptions moins ambitieuses, mais des hommes audacieux et géniaux eurent le dernier Le Foot, c’est toute ma vie

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mot, s’il faut n’en citer qu’un et lui être reconnaissant, il faut citer Monsieur Lalaouna Baghdadi, le Wali de Sidi-Bel-Abbès de l’époque.

Le Président de la République Chadli Bendjedid saluant une haie d’honneur composée par des membres de l’APC et du Parti FLN en compagnie du Président de l’APC Monsieur Djellouli Abdelkader et de Monsieur le Wali Lalaouna Baghdadi Les deux finaliste de la Coupe d’Algérie 1981 ASMO/USMA ASM0

Amtir- Benoudene-Benhalima-Benamas-Guemri Redouane-Chaib Brahim-TasfaoutBouziane et Bouchiba – Entraineur –Zavidanov - …….

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USMA

Avec Keddou, Guedioura Ali Messaoud-Derrouaz-Talbi- Rabet-Slimani-Djebar et Soumatia Betroni Kesraoui …..

Hamid Bendjahan,4° Official, Abdenour Kouras ,Lacarne, Ahmed Garoui Keddou et Tasfaout (Capitaine°

A la mi-temps de la finale de la coupe d’Algérie 1981, nous sommes restés sur le terrain afin de discuter avec les officiels, MM. Hadj Ghanem, Secrétaire Général de la LOFA,

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Bensafi Lakhdar, Président de la ligue de Wilaya de Sidi-Bel-Abbès, Khelladi kaddour et le trio d’arbitres

Finale de la Coupe d’Algérie 1986 –Collo/JESK Devant un public en or, la jet, en remportant cette finale, a marqué le but de la victoire à la 90 minutes de jeu, dans les dernières minutes, nous ne pouvons que Féliciter l’ensemble des joueurs et Officiels, pour leur sportivité et fair play.

Finale Ligue des Champions 1978 : Durant ce séjour à Yaoundé, j’ai eu le plaisir de rencontrer un ami d’enfance et son épouse une vietnamienne, de son prénom Hmimède, un ébéniste professionnel, sa femme a monté un restaurant vietnamien qui portait comme enseigne « La Paillade ».ayant tous deux comme clientèle de hauts fonctionnaires Camerounais, venus à Yaoundé en voyage de noces, le pays les enchanta au point qu’ils décidèrent de s’y installer. Après de longues années au Cameroun le couple retourna en France pour s’installer définitivement à Cassis, dans la région de Marseille. 1978, Finale de la coupe des champions de clubs, Canon de Yaoundé-Haïfa de Conakry 1-0, avec Aouissi Arbitre du centre – Lacarne Bounaga et Yoba Yoba-4°

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A Yaoundé, j’ai fait la connaissance de Monsieur Issa Hayatou, Secrétaire Général de la Fédération du Cameroun. Je l’ai rencontré plus tard au Maroc lors de l’assemblée générale réunie à l’occasion de l’élection du Président et de l’Exécutif de la CAF en 1988. Janvier 1988, à l’unanimité de ses membres, l’Assemblée générale m’a désigné comme Président du bureau de vote devant élire le Président et les membres de l’exécutif de la CAF, en ma qualité de Président de la Fédération Algérienne. Monsieur Hayatou à été élue Président de la CAF et moi je fus coopté comme membre de la commission des arbitres. Je peux me vanter d’avoir apporté une collaboration fructueuse au sein de cette commission des arbitres de la CAF, et je peux dire ma fierté d’avoir connu et côtoyé un homme de la stature de Monsieur Issa Hayatou, et ce de Janvier 1988 jusqu’en septembre 2014, date de mon retrait de cette instance et des autres instances internationales dont la FIFA, & UNAF pour une divergence de vue avec Monsieur Football. Cette rupture est à l’arrogance d’un Monsieur Football qui veut s’arroger tous les domaines sans avoir les compétences, en usant d’une partialité dangereuse et sectarisme. Le 25 Mars 2014, j’ai demandé devant mes collègues la décharge de ma mission de Président de la CFA, cependant j’ai continué à siéger au sein du Bureau Fédéral pour apporter ma contribution dans la gestion du football , mais au mois de Mai 2015 ,j’ai eu la confirmation que les compétences Nationales n’étaient pas forcément « un critère pour avoir droit au chapitre », Monsieur sport s’est arrogé tous les pouvoirs .Une Commission technique mérite un minimum de respect et de considération. Ma principale préoccupation dans toutes les commissions des arbitres que j’ai eu l’honneur de collaborer, était justement la formation des arbitres, sur le plan National, et Continental, une mission réussie qui a vu éclore plusieurs arbitres et assistants arbitres internationaux FIFA, citons, Magassa, Dante Dramane, Kanouté, Lim Kee Chong, Bemba Doumbia, Le Foot, c’est toute ma vie

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Djingarey, Bouchardeau et bien d’autres sur le plan National, j’en suis fier ! Dès l’installation du Président ,Monsieur Issa Hayatou, à la CAF en 1988 un plan de développement et de formation des arbitres m’a permis de sillonner toute l’Afrique pour vulgariser l’enseignement des lois du jeu ,et solliciter les arbitres à plus d’efforts et de compétences dans leurs missions . Les Tournois : Jeux Méditerranéens 1979 Split Ayant terminé de bonne heure, l’autre rencontre des I/2 finale à Zadar entre la Grèce et l’Egypte, j’ai tenu à suivre l’autre ½ finale Yougoslavie – Algérie qui se jouait à Split pas trop loin du stade où j’ai évolué. Arrivé à temps, bien avant le début de la rencontre dirigée par le Suisse Galler, un professeur de lettres. Ce fût un match d’un bon niveau technique, mais maillé de violences et de contestations. La Yougoslavie marqua son deuxième but la qualifiant pour la finale après un corner contesté par l’EN Algérienne qui en fonction des efforts fournis, ne méritait pas ce sort. Monsieur Galler sur le chemin des vestiaires fût agressé par un membre du staff technique, ce qui le mit dans tous ses états, toute la soirée que nous avons passée ensemble avec la compagnie de notre collègue Italien Bergamo, ne comprenait pas les raisons qui ont poussé ce membre à agir de la sorte.

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a) Tournoi Pestabola Merdeka 79

Ce tournoi organisé à KUALA LUMPUR en 1979, avec la participation de plusieurs équipes nationales, apparemment n’obéissait pas aux normes habituelles du jeu, en l’occurrence le football …J’en fus convaincu la veille d’une demi-finale que je devais diriger. Dans le hall de la salle de réception de mon hôtel, des gens inconnus, très agressifs évoquant des paris financiers sur les rencontres, sollicitaient des arbitres pour exécuter leur sal boulot. J’ai fait mine de ne rien comprendre et je suis rentré dans ma chambre. Le Lendemain matin, j’ai pris un avion d’air France vers Paris, avec une escale à New Delhi, puis de Paris, je suis entré à Alger ma tête pleine de mauvais souvenirs. 

Espoirs Monaco 84

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Le nouveau Stade Louis II, fin prêt pour la compétition, A une question posée au Docteur Mercier spécialiste « en Orthopédie » Pourquoi suivre l’arbitrage en laissant vos patients « l’arbitrage est mon dada » me répond t- il !

Le Président de la ligue de Méditerranée remettant des présents aux arbitres et aux juges de touche de sa ligue.

Durant ce tournoi, j’ai eu le plaisir de rencontrer un ami Bel-Abbésien, venu me voir depuis cagnes sur mer où il possède un restaurant pizzeria, du nom de Jacky Soussi, un ancien Boucher professionnel qui a travaillé chez le Célébrissime Monsieur Maurice CHEKROUN au marché couvert de notre ville Natale. Il m’a invité pour le jour de repos, dans son restaurant, à Cagnes sur Mer, pour un repas familial, j’en garde encore le souvenir de celle belle soirée passée en famille. Les Jeux Olympiques Moscou 8O : Avec Yachine, un des meilleurs gardiens du Monde de l’époque, au cours d’une réception organisée lors des jeux Olympiques par la Fédération Moscovite (Hachermi Koweït) et Lacarne (Algérie

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Ces jeux sublimes, que je suis venu découvrir à Moscou, m’ont permis de revoir mes amis à l’Ambassade de l’Algérie à Moscou, Mourad Taiati et Mustapha Seguini, découvrir les activités du Village Olympique, et se mêler aux athlètes de toutes les disciplines, particulièrement la Boxe. Le Président de la commission des arbitres de la FIFA, l’Italien Artémio Franchi était mon observateur pour ce match Tchécoslovaquie vs Colombie. Le rythme était rapide, telle cette action de jeu, le joueur parti du centre du terrain, ballon au pied, agressé à deux reprises, mais gardant chaque fois le ballon, lui accordant la clause de l’avantage, je n’ai pas sifflé, il s’en alla dans son élan marquer le deuxième but de la Tchécoslovaquie. Artémio Franchi satisfait par ma performance, m’avait annoncé qu’il m’observera encore dans un autre match. Ce qui doubla mon ardeur à encore mieux me préparer pour réaliser mon rêve de, participer à la coupe du Monde Espagne 82. Et c’est ainsi que mon vœu le plus cher fût exaucé. Je me suis retrouvé à côté de ces prestigieux arbitres Franz Wohrer, Vojtech Christov, Luis Silès Calderon, Mario Rubio Vasquez, Enrique Labo Revoredo, ceux là même que j’ai fait avec eux les Olympiques Moscou 8O.

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Novembre 1980, Italie/Danemark –à Rome

La squadra azura à Rome contre le Damenak _2-0

Le Président de la commission des arbitres de la FIFA, Artémio Franchi, m’avait informé qu’il me désignerait pour diriger un match, en Europe, comptant pour les éliminatoires de la coupe du Monde devant se dérouler en Espagne en 1982. Déjà à Moscou 198O, il est venu dans notre vestiaire nous féliciter, mes adjoints et moi pour notre prestation au cours des jeux Olympiques. Cette promesse, comme dit le dicton me mit du baume au cœur…. Je ne vivais que pour voir un jour sa réalisation, et j’ai doublé d’ardeur pour l’atteindre. Le Foot, c’est toute ma vie

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Les commentaires de la presse m’étaient favorables, La Fédération Italienne a adressé ses félicitations pour le trio Algériens, par une correspondance à la Fédération Algérienne de Football en date du 18 Novembre 198O. A la fin de la rencontre, le Président de la République Italienne, nous a salué sur le terrain et prié de transmettre ses amitiés au Président de la République, mes collègues et moi étions comblés de bonheur. Au stade Municipal de Rome, le tosse entre les deux capitaines Dino Zoff et le capitaine du Danemak.L’Italie réussi de gagner cette coupe du monde Espagne 82.

Agnolin ex arbitre International accompagnant le trio des arbitres MM. Garoui, Bounaga, Lacarne sur le terrain du stade Municipal de Rome ;

1982 – La désignation pour la Coupe du Monde Espagne 82

Consécration & BonheurLa douzième édition de la coupe du Monde de football s’est déroulée en Espagne en 1982, elle a assisté au Sacre de la squadra azura, l’équipe Le Foot, c’est toute ma vie

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Nationale Italienne, après sa victoire sur celle de la République Fédérale Allemande. Pour la première fois, ont été réunies 24 nations, et c’est pour la première fois que deux équipes ont été départagées par des tirs au but à la fin des prolongations, après un résultat de parité, ou match nul (cas de l’Allemagne au détriment de la France). La FIFA a communiqué la liste des quarante arbitres officiellement retenus et la liste des arbitres en réserves, tous Espagnols : José louis Garcia, Carrion Victorio, Sanchez Arminio, Emilio Soriano Aladren. Ces listes ont été publiées par le journal « La gazette du Mondiale. A cette époque, tous les arbitres pouvaient remplir la fonction d’arbitre Central ou de juge de touche .Ces fonctions n’ont été séparées par la FIFA qu’en 199O. Cette formule semble plus en adéquation avec les progrès que connaissent le football et les efforts de formation qu’il requiert. C’est donc plus un souci d’efficacité qui a fait réagir la FIFA. Voir Venise et mourir, dit la chanson ….Voir mon nom sur cette liste me donne jusqu’à aujourd’hui le vertige qu’éprouve un enfant devant le meilleur cadeau qu’on puisse lui faire …. La Plus grande joie de ma vie … J’ai abandonné toutes les activités qui ne m’étaient pas indispensables pour me consacrer à cette nouvelle mission qui m’attendait.. J’avais conscience que j’allais représenter un pays et quel pays ? L’Algérie ! J’avais conscience que j’allais représenter une civilisation et quelle civilisation? L’Afrique ! J’avais conscience que j’allais représenter une civilisation et quelle civilisation ? Le Monde Arabe ! Le Foot, c’est toute ma vie

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Excusez-moi du peu, surtout en ces moments tragiques que nous traversons. En novembre, la Confédération Africaine de football, satisfaite de ma performance, m’a désigné pour diriger la finale de la Coupe d’Afrique des vainqueurs de coupe entre le Dynamo Power et Arabs Contractors. Une autre consécration reconnaissant mes efforts et mes qualités sportives et morales. A une question posée par un journaliste, ils étaient nombreux lors de la conférence de la communication de la liste des 40 arbitres, sur le degré de ma sensibilité aux critiques, ma réponse fût brève. » Une critique justifiée aide à se corriger, et on doit l’accepter. » J’avais envie d’ajouter le fameux adage, « la critique est aisé mais l’art est difficile » Un arbitre doit savoir garder son sang froid en toute circonstance, car souvent, ceux qui l’utilisent comme bouc émissaire, ne le font que pour justifier leurs fantasmes. Quelques exemples qui ne font pas honneur au football, ont été présentés, ici, un plus haut. Ci contre, Monsieur Omar Sey, chargé de contrôler l’aptitude physique des arbitres grâce à des tests scientifiques, conçus en fonction d’un temps et d’un rythme de course et de l’âge de la personne contrôlée. Depuis l’institution de cette procédure beaucoup de progrès ont été accomplis, beaucoup d’arbitres négligents se sont vus éliminés, et quelques fois obligés à rembourser les frais par leurs Fédérations Nationales Monsieur Omar SEY, en ce qui me concerne, m’a fait part de sa totale satisfaction..

J’ai fait ma préparation pour ces test physiques en deux temps, d’abord à Mantes la Jolie chez des amis, dans une fôret.Puis avec l’EN Algérie, à Farge où elle effectuait sa préparation avant de s’en voler pour Madrid.

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Il faut souligner que certains arbitres amateurs n’ont pas encore appris la leçon …

Avant la rencontre au sommet, à Alicante, au stade José Rico Perez Argentine-Hongrie avec les juges de touches Rainéa(Romanie) et Vautrot (France). Ma première grande rencontre, au stade José Rico Pérez à Alicante, le 16 Juin 1982, d’entrée j’avais le stress, les stars de l’Argentine, Maradona, Kempes, Ardilès et leur entraîneur Menotti, m’ont toujours impressionné, pour ne pas dire subjugué. Mes assistants avaient plus d’expérience que moi en matière de foot européen et Mondial, et surtout des grandes rencontres. Mais dès que le premier coup de sifflet ,avec mon légendaire « sifflet fétiche »que je garde à ce jour précieusement ,fût donné ,je repris mes esprits ne pensant qu’à la mission qui m’a été confiée et à mon désir de réussir ,coûte que coûte …Ce fût un superbe match où les joueurs Argentins comme je le pressentais, exposèrent tous leurs talents, Bertoni ouvrant la marque à la 26 ième minute, Maradona confirmant ce score à la 28 et 57 ième minutes et Ardilès le plombant à la 76 ième .Je terminais ce match encore plus déterminé pour faire mieux dans l’avenir, libéré de certaines angoisses et autres complexes d’infériorité . Le Foot, c’est toute ma vie

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J’eus l’honneur, la cerise sur le gâteau, de diriger la dernière rencontre de classement pour la troisième place entre la Pologne et la France .La France timorée se laissa enfoncer par une Pologne plus décidée. Après l’opération terminée des tests physiques, chacun était libre .Certains préféraient le farniente au bord de la piscine et le soleil, d’autres le stade pour continuer leur mise en forme. J’avais opté pour le stade accompagné par mon ami Rainéa le Roumain, avec lui, j’ai approfondi mon expérience en découvrant d’autres méthodes de travail. Rainéa était un homme infatigable, disponible, et toujours souriant. Notre entraînement fini, nous profitions des installations du stade du REAL de MADRID jacuzzi, sonna, douche …Puis nous regagnions l’hôtel Chamartin. Dans les chambres de l’hôtel à Madrid, les arbitres découvrent les équipements neufs officiels nécessaires pour les matchs et les entraînements. En sus, des vêtements de sortie, et deux sifflets …

Ci-dessus, rencontre Angleterre-Espagne (0-0), et la magnifique Pelouse du Stade Bernabeu Malheureusement, malgré tout le faste et le bonheur qui m’entouraient, je me sentais frustre chaque fois que je rencontrais une délégation des Le Foot, c’est toute ma vie

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autres pays, elle s’empressait de me remettre des cadeaux souvenirs accompagnés de fanions aux couleurs de leurs nationalités. La Fédération Algérienne de Football dotait bien de ces objets et habillait les autres membres de la délégation Nationale, mais oubliait les arbitres …comme si leur billet leur était tombé du ciel. Présent lors de la distribution de ces gadgets et autres, dans les magasins du 5 juillet, je fis une réclamation, on me fit observer que je n’étais pas compris dans la délégation..Heureusement, en homme prévoyant, j’avais acheté quelques cadeaux souvenirs avant de nous embarquer pour Madrid.

Argentine –Italie à Barcelone -1-2 avec Rainéa, Lacarne et Galler

Madame et Monsieur Machin, membre de la commission des arbitres de la FIFA, considéré à l’époque comme l’un des meilleurs sifflets au Monde, en compagnie de Gurreceta, Esweiller, Lacarne et de l’Anglais White à la sortie d’un restaurant à Madrid

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Dans les salons de l’hôtel Chamartin avec Corver,

Au cours d’une réception dans un hôtel à Madrid le sponsor d’une grosse Sté avait invité les stars du Foot Kopa, Puskas, Piantoni les arbitres Vautrot Casarin, et Lacarne

Pologne –France pour la troisième place 3-2 pour les Polonais, avec Garrido, Rubio Vasquez, et Lacarne, la dame faisant partie de l’organisation de CW 82.

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Finale des vainqueurs de coupe Dynamo Power/Arabs contractors 1982 à Lusaka

Arabs contractors est sortie vainqueur de cette finale 2-0 contre Le Power Dynamo à Lusaka.

Ci-contre, Le Président de la République de Zambie, Le Président d’Arabs contractors et le Commissaire de la CAF, le Tanzanien Said El Mameri.

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L’Ascendant d’Arabs Contractors sur le Football Egyptien : Même s’il s’agit de dame coupe ,il est surprenant de

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Vol commis dans ma chambre à l’hôtel : Toujours à Lusaka, (Zambie), j’ai été victime d’un vol où séjournait la délégation de la CAF Il faut dire que nous étions naïfs, mon camarade marocain Mohamed Bénali, d’aller, vers le responsable de l’hôtel lui demander un coffre fort pour mettre notre argent à l’abri. Malheureusement, les coffres forts n’étaient pas disponibles, avait répondu gentiment ce cadre de l’hôtel mais nous avons quand même parlés de la disponibilité de l’argent dans nos chambres. Le soir, après la rencontre, nous avions été convié à une réception organisée par le Président de la République , et en revenant à l’hôtel après avoir dîner ,je me suis aperçu que la valise diplomatique n’était plus à la même place ,et ouverte de surcroit, mon ami Marocain Si Mohamed avait également reçu de la visite dans sa chambre ,mais certainement après plusieurs essais pour ouvrir sa valise ,le visiteur certainement dérangé n’a pu continuer son sale boulot . Le lendemain matin, déposant plainte auprès de la Police de la ville pour le vol de 1400 us, à ce jour, j’e n’ai reçu aucune suite. Mon Bilan d’arbitre : J’aurais souhaité faire plus, mais avec le recul, je crois que j’ai pris ma part, et une belle part …. Comme dit l’adage, et la chanson, il faut savoir ….s’arrêter à temps, même si à 47 ans, on sent avoir des forces et une maturité plus grande, l’arbitrage m’a offert des moments sublimes, et mon bilan est éloquent … -

403 matchs sur le Plan National – 67 rencontres Internationales comme Arbitre Central et assistant Dont la rencontre Internationale à Rome, Italie- Danemark, comptant pour les éliminatoires de la CW Espagne 82.

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Lors des jeux Olympiques à Moscou en 198OA Pestabola Merdeka à KUALA LUMPUR (Malaisie 1979) Aux Universiades de Mexico 79 Aux jeux Méditerranéens de Split 1979 La coupe du Monde Espagne 82 La Phase Finale à Taif en 1985 (Arabie Saoudite) Les missions pour la coupe du Golf en tant que Président de la Commission, représentant la FIFA. Koweït 2003 A Abou Dhabi en 2007 A Oman en 2009 A Bahreïn 2013 Les désignations FIFA & CAF Je suis arrivé à l’arbitrage par hasard. Mon premier match, en 1972, à Ténira contre Sidi-Khaled J’ai déjà évoqué mon arrivée et mes débuts dans cette carrière J’en tire, je ne cesserai jamais de le répéter, une fierté légitime. Mon dernier match International remonte à la fin du Mois de Septembre 86, entre l’Egypte et Madagascar au Caire. Et mon dernier match sur le plan National au Mois d’Octobre 1986 à Guelma, entre Guelma et Ain El Beida, une rencontre où se jouait la Relégation indigne de figurer dans les annales du football, elle se jouait plutôt dans les tribunes entre les deux galeries, plus que dans le stade. Alors, j’ai compris que le moment de raccrocher mon sifflet était arrivé.. Je laisse maintenant le soin à ceux qui auront eu la patience, et qui m’ont fait l’honneur de me lire, d’apprécier …..

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IV

Lacarne troque sa tenue Noire pour un Habit Civil Servir le sport

Une gaada dans les salons de l’hôtel le Diplomate à Tunis avec les amis et collègues De gauche à droite : Le Père Melouchi, Salah Gordji, Lacarne, Naciri Abdelali, et Neji Jouini Le Foot, c’est toute ma vie

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Arbitres et Officiels de la FIFA à Madrid 82

Je n’ai pas voulu quitter le sifflet sans une analyse par un journaliste expérimenté, suivez ses écrits. Sous le titre de « LACARNE DEPOSE SON SIFFLET « par Mokhtar Boudrar dans France Football «

Un article qui retrace la vie d’un ancien joueur et arbitre de football en écrivant que le foot ball Algérien vient de perdre un des tout meilleurs arbitres qu’il n’ait jamais eu ,mais il gagnait en contre partie un dirigeant de grande valeur . Effectivement, son installation comme Président de la ligue Oranaise de Football, ce fut en tout cas ce que nous n’avions pu nous empêcher de ressentir, d’autant plus que c’est la première fois dans l’histoire du football algérien qu’un ancien joueur et ancien arbitre est promu à une telle responsabilité. Lacarne que nous avons pu rencontrer lors du récent séminaire sur l’arbitrage, devait bien sûr ,nous dire à quel point il fut sensible à cette marque de confiance du Ministère de la jeunesse et des sports et de la FAF., de nous préciser à quarante sept ans ,après seize ans d’arbitrage ,il avait déjà décidé qu’à la fin de cette saison sportive, il arrêterait . En somme, Lacarne, dont le meilleur souvenir de sa carrière fût la désignation à la coupe du Monde Espagne 82 et la désignation de la rencontre Argentine-Hongrie ,qu’il sût diriger à la satisfaction générale, Le Foot, c’est toute ma vie

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n’aura donc pas eu à trop abréger son activité sur le terrain, ce qui ne l’empêche pas de continuer à lui accorder une fonction particulière même s’il ne le voit pas du même regard depuis qu’il est devenu, Monsieur le Président . Ci contre, avec Bonnefoy ex-coéquipier de l’USMBA, dans le jardin de son domicile à Rumilly (Haute Savoie) où nous avons évoqué des souvenirs communs.

C’est ainsi que dans les principaux objectifs inscrits dans son plan de travail, figure celui de la réorganisation de l’arbitrage dans toute l’Oranie en investissant sur le rajeunissement progressif ,tout en instituant une fiche d’évaluation par match ,également la formation et la promotion des arbitres du Sud, dont une partie importante est rattachée à ma ligue, constitue aussi une de ses préoccupations majeures. Il y a aussi un projet de revoir les structures actuelles des compétitions régionales afin de les alléger et permettre aux responsables de ne plus être accaparés par les petits problèmes au détriment de la réflexion. Un groupe de travail a d’ailleurs été constitué et à cet effet, il devrait pouvoir déposer son projet à fin avril 1987, échelonné sur trois années. C’est donc à une tâche exaltante que Lacarne s’est attelé et dans laquelle il s’efforcera de responsabiliser les gens ! De sécuriser le milieu du football et de ne pas se laisser déborder par le péril de la violence. Quant au mot de la fin, il parlera bien sûr de l’arbitrage Algérien, excellent, brillant, très bien considéré à l’étranger, mais beaucoup moins chez lui, à cause du comportement des joueurs, des entraîneurs et dirigeants qui ne lui facilitent pas toujours sa mission. Le Foot, c’est toute ma vie

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Mettant un terme à ma carrière de joueur à l’USMBA, et celle d’arbitre International, le Président de la FAF Monsieur MEKIRECHE, au cours d’une rencontre pour l’inauguration du Stade de Souk Ahras, m’a proposé d’être le futur Président de la ligue régionale de l’ouest. ! Etre Président de LOFA, pourquoi pas ? De toutes les façons, je ne m’attendais pas à cette désignation, mais cela me permet d’avoir un prolongement sportif et servir encore et toujours le football Algérien. La tache est importante et je vais m’atteler à la tâche, nous allons avec le bureau Régional tracé un programme de travail sur trois ans au moins. L’Installation du nouveau bureau s’effectuera le jeudi 4 décembre 1986, car on ne peut se permettre de cassure étant donné le nombre d’affaires à traiter, chaque président de commission devra prendre ses responsabilités et nous mènerons au niveau de chaque commission, une action de sensibilisation afin de sécuriser les membres. Rétrospective et analyse de ma carrière dans le corps des arbitres Situation de l’arbitrage dans mon pays, avant mon passage à La ligue Régionale et la Fédération Algérienne de Football : Vu par le Professionnel de l’Arbitrage, directeur de la Rédaction sportive Le soir d’Algérie

Avant de passer à d’autres responsabilités dans le civil, la gestion du football, j’ai choisi, non pas au hasard un article d’un journaliste professionnel neutre, dont je garde jalousement ses écrits, objectif dans son jugement, en reprenant intégralement le contenu relatif à mon passage de ma carrière dans le corps arbitral, et une analyse sur l’arbitrage de mon pays, j’ai choisi : Coup de sifflet à Blanc : Par Djamel SAIFI – Le soir d’Algérie – 1979 –

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Le problème de l’arbitrage, on en a parlé et reparlé, décortiqué l’essentiel de ses aspects si tout le monde l’évoque de nouveau, c’est parce qu’il constitue un élément de déstabilisation psychologique du milieu sportif. Ceci fait que six mois de bonne conduite de l’homme en noir, dont brutalement effacés par une seule erreur .Mais c’est ici que réside la complexité du rôle de l’arbitre, sa personnalité, ses capacités à s’adapter au jeu quelle que soit son intensité. Il ne suffit pas de déposer sa candidature pour devenir comme tel Un homme qui prétend être un directeur de jeu parce qu’il sait réciter par cœur le règlement de telle ou telle discipline fait évidemment de mauvais calculs. Les exemples nous prouvent quotidiennement que, se poser en homme d’exception, l’arbitre doit quand même se situer parmi les gens à la personnalité bien définie, et à plus forte raison, doué d’un caractère solide. C’est dans cette catégorie que l’on retrouve le plus d’hommes en noir ayant percé rapidement .Le cas de Lacarne en est la meilleure illustration.

Ex footballeur à Bel-Abbès, Lacarne, lorsqu’il s’intégra au sein du corps arbitral, réussie d’emblée à s’imposer. Non pas spécialement parce qu’il avait évolué dans un club connu, mais bien en raison du fait qu’il présentait au départ les dispositions objectives d’un arbitre à poigne , s’effaçant au maximum au profit du jeu et n’intervenant que lorsque la nécessité se ressent . Prenez aujourd’hui tous les habitués du stade, citez le nom de Lacarne, et ils vous répondront qu’il est synonyme d’impartialité, de justesse de vue etc. Enfin le secret de la montée de l’ancien joueur Bel-Abbésien ne réside, ni plus ni dans sa régularité, ses jugements instantanés et précis, ses capacités athlétiques à se situer toujours prés de l’action du jeu et son aptitude à commettre le minimum d’erreurs possibles.

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Combien d’arbitres Algériens jeunes ou anciens peuvent se prévaloir d’un pédigrée aussi sérieux que celui de Lacarne présentement, celui-ci est l’un des arbitres Algériens les plus respectés, voire admirés, aussi bien par les joueurs que le public sportif. A tel point que l’on ne manque jamais de dire qu’avec lui ,le corps arbitral a sans doute découvert le type même d’arbitre dont notre football a besoin . Bergui est un peu l’opposé de Lacarne, bien que souvent irréprochable séduisant même pour la discipline qu’il impose sur le terrain, Bergui reste à la recherche de cette constance qui fait la force d’un arbitre. Son ascension traduit une valeur reconnue, L’erreur, la grossière erreur commise lors de la rencontre MPA-RCK est dans le fond inexplicable. Là Bergui a triplement fauté : d’abord en hésitant avant de prendre sa décision, en ne prenant même pas le soin de consulter son juge de touche et en se postant loin du l’action. Une telle attitude est généralement très nuisible pour son auteur pour les conséquences néfaste qu’elle engendre Loin de nous est l’intention de dramatiser les choses. Il n’en demeure pas que le résultat d’une décision subjective dans son fond comme dans sa forme a complètement détruit l’image de marque que Bergui s’était attelé à dessiner durant plusieurs années .La responsabilité n’est guère aisée. Mais il faut croire en est investi, le moins que l’on puisse faire est de la mériter ou se démettre. L’arbitrage d’une rencontre de football sportive, pour aisée qu’elle paraisse à première vue, n’en est pas moins une responsabilité, d’une très grande portée étant donné qu’elle a des répercutions directes sur les acteurs du jeu et les milieux spectateurs. Ne pas tenir compte d’un tel phénomène, c’est pour l’homme en noir, renier la mission qu’il s’est assignée .Dans quel gouffre débouchera t’on, si l’arbitre, première personne sur le terrain dont le devoir est de diriger

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dans l’ordre et le respect des règles du jeu, se met à enfreindre lui-même celle-ci. Faut il cependant incriminer éternellement l’arbitre, en sachant, combien parfois sont terribles et dangereuses les conditions dans lesquelles il accomplit sa tache. Est il nécessaire de rappeler que la majorité des joueurs se comportent indignement sur le terrain soit par méconnaissance des lois du jeu , purement et simplement parce qu’ils sont mal conseillés ou peu éduqués, faut il également souligner que l’hostilité du public ,parfois injustifiée ,se trouve la source de bien des mots .Mais on ne doit pas non plus oublier que depuis la mise en application de la réforme sportive dans notre pays la situation s’est nettement assainie avec de plus ,le renforcement des moyens à même de redonner sa dignité et la place qui lui revient à l’arbitre .Encore faut il que ce dernier saisit pleinement le sens de l’effort déployé en sa faveur . Il y a aussi, pour aller au fond de la question, le rôle que doivent jouer les commissions d’arbitrage de la FAF Et des ligues dans le choix des directeurs de jeu .Plus le choix est judicieux, plus le corps arbitral s’enrichit de la considération des sportifs. La aussi, la commission d’arbitrage se doit de veiller au grain de façon à placer les arbitres là ou leur compétence les appelle. De cette manière, nous ne verrons plus de coups de sifflets …à Blanc sur nos terrains.Une analyse objective et neutre d’un journaliste professionnel qui retrace la vie des hommes en noir et les problèmes rencontrés dans la direction des matchs, j’ai aimé longtemps cette analyse qui reste à nos jours D’actualité, voilà bientôt 35 ans !

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Issa Hayatou, Président de la CAF au Séminaire Continental 1990 au Caire

La LOFA .Ou ligue Oranaise de football, un comité de l’Ouest chargé de promotion de ce sport, à l’instar de celui d’Alger, et de Constantine. Un système que les français avaient instauré, excluant le Sud, et que l’Algérie Indépendante a repris en le généralisant, en créant les ligues de Wilayas et Régionales sur tout le Territoire National

. Après une réunion de travail au siège de la FIFA, les représentants de la CAF : Messieurs Mustapha Mahmoud Kamel, Lacarne Bélaid, Slim Aloulou, Yacine Zerguini, Patrick et Ngoméné Manga.

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La Présidence de la LOFA-1986-1987

C’est Monsieur MEKIRECHE Mohamed, en sa qualité de Président de la FAF, qui a pris l’initiative de me proposer la présidence de la ligue Régionale de l’Ouest, lors du match d’une sélection de Souk Ahras, contre une équipe Tunisienne (KEF),à l’occasion du nouveau stade de Souk Ahras en Juin 1986.Les autorités locales m’ayant sollicité pour diriger cette rencontre et assister aux festivités organisées pour la circonstance. D’autres Officiels m’ont encouragé de le faire … Il était si simple d’accepter … Mais sur le terrain, je le pressentais, il fallait me retrousser les manches … C’est ainsi que le 4 Décembre 1986, Monsieur Réda Abdouche, en sa qualité de Directeur exécutif de la FAF, m’a installé comme Président, MOUFFOK Boumédiène, comme Secrétaire Général et Monsieur HAMIDI Lahouari comme Vice Président de la LOFA J’achevais ainsi une carrière passionnante dans l’arbitrage pour entamer une autre carrière pour le Football et le sport en Général. J’étais fier d’avoir accepté et je ne cachais pas mon ambition de réussir, …Mais les dimensions des stades lesquels je devais affronter mes compétitions étaient floues et les parcours pour continuer à veiller sur ma condition physique étaient loin de ressembler au jardin public de Sidi-BelAbbès, semé de fleurs, ou de la forêt, non loin de Farge … J’avais quelques idées sommaires forgées aux séminaires suivis, et au cours de ma carrière d’arbitre, sur le fonctionnement administratif du Football, en sus de celles qui m’ont été inculquées en temps que joueur. Je ne pensais pas, et je m’en aperçus dès les premiers instants, que j’allais pénétrer dans la jungle qui n’a jamais été défrichée, et pleine de scorpions, pour ne pas citer d’autres animaux plus sauvages. Le Foot, c’est toute ma vie

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Il nous fallait élaborer un programme, accepté de tous, et l’appliquer d’urgence avant que les animaux de la jungle ne se réveillent. Il nous fallait, avec mon staff technique et les commissions dépendantes, prendre le taureau par les cornes, le calmer et le mettre aux pas pour commencer à labourer.. Nous l’avons intitulé « Feuille de Route »comportant les activités suivantes.1° Dispenser des cours d’arbitrage non seulement concernant les 17 lois du jeu du Football, mais soulignant les rapports psychologiques qui doivent exister entre l’arbitre et le joueur pour faire face à des situations difficiles aux cours des matchs. 2° Outre les conditions physiques, déterminer une limite d’âge pour commencer et finir une carrière d’arbitre ,ce qui impliquait un rajeunissement important dans les effectifs existants (donc des protestations et de vives oppositions et de nouvelles méthodes de recrutement, en sollicitant les cadres enseignants, les milieux universitaires et tout candidat possédant un niveau culturel en adéquation avec ce métier. 3° Elaborer un système permettant de désigner l’arbitre de chaque rencontre avec la plus grande objectivité, et la plus grande discrétion possible, en fonction des enjeux et des milieux où il doit évoluer. 4° Aider les ligues du Sud, dépendantes d’Oran, pour s’organiser et se développer, car elles constituent un réservoir, jusque là négligé, dont les potentialités n’ont jamais été mesurées. 5° Déterminer les relations apaisées avec l’ensemble des medias, en les informant objectivement des situations existantes, des moyens à notre Le Foot, c’est toute ma vie

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disposition , des objectifs à atteindre ou atteints, en leur exposant les lois qui gouvernent le Football et en leur vulgarisant les plus difficiles ou les plus récentes ,en les considérant comme nos indispensables Ambassadeurs avec le public …. 6° Encourager l’organisation et la formation de comités de supporters à travers les clubs, capables de canaliser les énergies et défendre les principes sains du football. 7° Instituer, avec les autorités et les services de l’ordre, lors de toute compétition, un système de sécurité pour les joueurs, les arbitres, et les supporters. Un système pouvant évoluer en fonction des enjeux de la compétition. Un vieux dicton Tlemcéniens dit : « Mon cerveau enferme un grand nombre de pas de danses magnifiques, mais mes jambes refusent de les exécuter «

Avec Hansal, un autre arbitre Mondialiste en 1990, ici à Sidi-Bel-Abbès, dans la maison de l’Enseignant, en attendant, la délégation Ministérielle, conduite par Le Wali de Sidi-Bel-Abbès, Février 2016. Ainsi confrontés à l’insuffisance des moyens, et aux habitudes ancrées chez les services d’exécution, la moindre de nos directives semblait s’évaporer dans la nature. Le Foot, c’est toute ma vie

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Pas un fichier, digne de ce nom, enfermant tous les noms des arbitres, avec leurs âges, leurs fonctions, leurs anciennetés, leurs services rendus, les tests physiques, et les rencontres dirigées. De même l’établissement et la délivrance des licences des joueurs, n’obéissaient à aucun protocole. Des ligues régionales, des clubs, des commissions, ne respectant aucune hiérarchie et n’acceptant aucune dépendance, ou ne daignant même pas répondre à nos sollicitations, mais rapides pour s’insurger, insulter et menacer…Encouragés par ceux que le nouvel ordre dérangeait. Rares, et bien rares étaient nos satisfactions. Cependant, nous avons obtenu quelques unes, Voici une illustration d’une éloquence magnifique

Une photo où les jeunes arbitres de l’Ouest sont regroupés pour une formation durable avec des instructeurs chevronnés et compétents selon un programme mis en place en 1996. A Peine dix mois écoulés, un autre évènement est venu bouleverser ma vie, en effet le 29 Septembre 1987, je fus élu Président de la FAF, le prochain chapitre en relatera les faits.

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Ci contre une démonstration en salle du rôle du Juge de touche avec mon ami Benali Mohamed du Maroc, lors du séminaire continental 1990 au Caire

L’Assemblée générale de la FAF, Constitution du Nouveau Comité Directeur 1987-1988

La Fédération Algérienne de Football est un comité qui s’occupe de la promotion et de l’organisation du Football amateur, en Algérie. Tenue le 29 Septembre 1987, à l’ISTS à Alger, l’assemblée générale de la Fédération Algérienne de Football et suite aux recommandations du Séminaire Nationale des 18 et 19 Juillet 1987, la direction des sports de Performance du Ministère de la jeunesse et des sports, invita l’ensemble des Responsables des ASP, les comités de Supporteurs, les responsables des ligues de la Régionale à l’élection du nouveau bureau Fédéral. Monsieur KASRI, Président de l’assemblée Générale, souhaita en premier lieu la bienvenue à l’ensemble des participants, après aussi un bref exposé sur la situation du Football National et les préoccupations des gestionnaires sportifs à l’approche des échéances Internationales. Il souligna en outre les satisfactions enregistrées suites aux recommandations dégagées lors du Séminaire National sur le football, tenu les 18 et 19 Juillet 1987, recommandations approuvées par Monsieur le Ministre de la Jeunesse et des sports, BOUCHAMA Djamel. Le Foot, c’est toute ma vie

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Sous la Présidence de Monsieur KASRI, le bureau de l’assemblée Générale se compose avec Messieurs Bélaid Lacarne, Représentant la ligue de l’Ouest, MOHAMMEDI, Ligue de l’Est et Monsieur BOUMDAL Directeur des sports Sonatrach Ensuite, le Président, présenta l’ordre du jour : 1° - L’élection du comité directeur de la Fédération Algérienne de football,

composé de huit membres. 2+- L’élection du Président par ses pairs. Une démarche nouvelle constituant un acquis démocratique pour le sport et les sportifs jamais instituée, propulsant cette réunion en Assemblée Générale constituante. Les candidats désirant se présenter devant le faire en remplissant une fiche de renseignements personnels et la déposer au niveau du bureau de vote . L’ordre du jour ainsi présenté a été agrée par tous les participants. Alors le président proposa que la commission agréant la liste des candidatures soit composée, outre les membres de son bureau par un représentant des ligues de l’Ouest du Centre, de l’Est, en l’occurrence Messieurs Laribi, Hadj Khelifa, et Benkhelifa. Avant de passer au vote, des participants nombreux, acclamés par presque toute la salle ont proposé de me porter candidat pour le bureau, au même titre que les autres. Le Président du bureau et Monsieur le Ministre se concertèrent, mon attitude était perplexe tout en approuvant ce mouvement en ma faveur, je ne voulais mécontenter personne, après m’avoir bien observé dans les yeux, ils approuvèrent. Le Foot, c’est toute ma vie

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Je fus élu à l’unanimité du bureau et proclamé Président par l’Assemblée Générale. Cette élection m’a comblé de joie et de bonheur. Mais mon expérience au niveau de la LOFA, même si elle a été très courte a réveillé en moi cet instinct défensif contre ceux que j’ai appelé « les animaux de la jungle « occupant les moyens et s’occupant du sport, en usant d’un verbiage incompréhensible, snobant les non initiés tout en guettant la moindre faiblesse de ceux qui travaillent. Leur souci n’étant que de s’attirer le maximum de popularité, sans rien donner, et sans rien perdre. J’avais donc à redoubler de vigilance, et surtout de patience, tout en engageant une action rapide sur le terrain pour les gagner de vitesse et les éloigner le plus possible ma principale force étant cet appui massif que m’ont donné l’Assemblée Générale et les instances présentes . Nous avons donc, en priorité, constituer les commissions devant veiller sur les principales activités qui nous étaient dévolues, en voici le tableau.        

Belaid LACARNE Boussad BENKACI Bénaoumeur BERRAHAL Said Guidouche Taieb CHIKHI Mustapha BEZZEROUG Mokhtar CHERGUI Youcef Lahlou

Président 1er vice Président 2er Vice Président Commissions règlements et qualifications Commission Centrale des Arbitres Commission Administrative Commission de l’Information et Communication Commission d’Appel

Le lendemain matin, nous avons désigné un Président intérimaire de la LOFA, en l’occurrence monsieur ZENASNI Houari, afin de continuer la feuille de route que j’avais tracée pour la région d’Oran.

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Retrouvailles avec l’arbitre Marocain Larache à l’hôtel Safir de Casablanca, avec qui nous avons officié ensemble la première coupe Arabe des Nations à Taëf en 1985, quelle joie de le retrouver de nouveau dans son pays, on remarque dans la photo Messieurs Oumechkane, du Ministère de la Jeunesse et des sports et Bensegni, membre de la CAF.

La participation de l’Algérie à la coupe d’africaine des Nations de Football devant se dérouler en Mars 1988 au Maroc, se révéla être l’affaire la plus urgente, la nécessite de dresser la liste des joueurs, d’avoir les joueurs opérant à l’étranger à notre disponibilité dans les meilleurs temps, afin de tardetdans la soiréeindispensables ,nous nous sommes remémorés donner le tonus la cohésion à l’équipe d’assurer tout ce nos souvenirs communs ,et particulièrement ma beau monde et préparer le voyage dans ses moindres détails, était notre première Omra aux lieux saint de la Mecque -1985 . préoccupation majeure. Nous avons effectué ensemble à Taëf la première

En compagnie deArabe Monsieur Oussedik Hamid, Inspecteur coupe des Nations avec aussi le Libyen Tahar … Général représentant Monsieur le Ministre de la jeunesse et des sports, je fis une tournée fructueuse à travers la France du 9 au 11 Novembre 1987, puisque nous obtînmes la libération des joueurs, Bouali Ali, Ferhaoui Abdelkader, Maati Rachid et Menad Djamel, tous arrivés dans les bons temps. Le Foot, c’est toute ma vie

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C’est ainsi que la liste concoctée par le comité s’est établie comme suit :

Les Noms des joueurs présents :

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N° des Joueurs

ABSENTS :

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La poignée de main de Monsieur Havelanche, Président de la FIFA, dans les couloirs de l’hôtel Safir de Casablanca, me félicitant à l’occasion de l’attribution de la CAN 90 à l’Algerie .

A la tribune pour remercier les honorables membres de la CAF pour l’attribution à l’Algérie de l’Organisation de la CAN 90 à Alger et Annaba –

Les joueurs,Magharia,Benhalima,Belgherbi,Maiche,Ferhaoui,B.Lacarne,Medane Hakim très content à la fin des tirs au but en obtenant la 3° place de la Can 88,le Maroc

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Algérie – Organisation de la CAN 9O Pour obtenir cette organisation dans mon pays ,je me suis rendu avec Monsieur Lahlou Youcef,membre du Bureau Fédéral au Caire où j’ai rencontré le Président de la CAF par intérim le Docteur Halim du Soudan. En ma qualité ex arbitre International,j’ai eu l’occasion de connaître la majorité des membres exécutifs de la CAF,ayant officié ou encadré des séminaires de formation de jeunes arbitres dans leurs pays respectifs franchement nous n’avons pas trouvé de difficultés pour voir notre vœux exaucé. Cependant hélas,j’éprouve beaucoup de peine de le relater..Encore une fois ,ce n’est pas mon intérêt personnel qui me dicte cette démarche,mais l’image de mon pay éclaboussé ,les autres la devinent … L’allocation allouée à l’époque pour ce genre de mission ,par personne de 45OFF,comprenant Chambres,restauration, et toutes autres charges.Heureusement ,Son excellence l’Ambassadeur d’Algérie au Caire Monsieur Cherif Mostefa,trés avisé, informé de notre mission et de son résultat prît en charge l’hôtel Hilton tout près des bureaux de la CAF . Assemblée Générale de la CAF ,Mars 88 – 16° édition Election de Monsieur Issa Hayatou : L’Assemblée générale me désigna par acclamation comme Président du bureau de vote,un honneur et un signe de reconnaissance pour mon pays, et me donna deux scrutateurs .il était question au départ d’un dépôt de six candidatures,mais trois se retirèrent avant le vote ,Messieurs Alalou slim,(Tunisien) Mohamed Ahmed (Egypte)et Metine (Zambie),et trois se maintiennent ,Ekué Folly (Togo)Dr Halim Mohamed (Soudant) et Issa Hayatou (Cameroun) .

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Tirage au sort par le membre de la CAF Monsieur Lamptey, tirage favorable à l’EN Algérie

Au premier tour ,les candidats obtinrent les scores suivants : Folly Ekue,16 voix,Issa Hayatou ,13 voix,et le Dr Halim Mohamed 10 voix,le dernier fût donc éliminés. Alors,on procéda à un second tour,aucun des deux autres n’ayant obtenu la majorité absolue,C’est ainsi que Monsieur Issa Hayatou ,l’emporta par 22 voix contre 18,et fût proclamé Président de la Confédération Africaine de Football ( CAF) . L’élection des membres de l’exécutif de la CAF donna les résultats suivants : Vice Président,Monsieur Mohamed Ahmed (Egypte),Monsieur Sli Aloulou (Tunisie)et Monsieur Omar Sey (Gambie),comme représentants de la CAF à la FIFA . Après concertation ,la commission des arbitres de la CAF se compose comme suit : Président Farah Addo –membres : Belaid LACARNE (Algérie)Nelson Chirwa(Zimbabwe) Georges Lamptey (Ghana) et Mohamed Benali (Maroc), à noter que deux membres représentent la zone Nord ,Messieurs Benali (Maroc)et Lacarne (Algérie).

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Une histoire de goal avérage nous a permis grâce à main bénie de tirer mon Pays L’Algérie pour jouer le demi final contre le Nigéria,

Je peux me vanter d’avoir apporté une collaboration fructueuse au sein de cette commission des arbitres de la CAF, et je peux dire ma fierté d’avoir connu et côtoyé un homme de la stature de Monsieur Issa Hayatou, et ce de Janvier 1988 à Septembre 2014, date de mon retrait de cette instance et des autres instances internationaux, où j’ai laissé que des collaborateurs à là hauteur de leurs missions.

.

Un stade Mohamed V, plein comme un œuf pour voir L’EN Algérie évoluée avec les jeunes loups ! Accroupis : Bentayeb, Menad, Belloumi, Bentayeb, Yahia Debout : Megharia, Kéchamli, Benhalima, Belgharbi, Ferhaoui et Drid

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Ci contre lors de la CAN 88 au Maroc pendant le tirage au sort de Mr. Lamptey Bensaidane, Lacarne, Oumechkane en observation devant le tirage au sort .

-Le Nocturne dans nos stades :

En mai 1988,le Bureau Fédéral a décidé de généraliser ,à l’instar de l’équipe Nationale l’usage du nocturne pour les divisions 1 et 2 ,ce qui auraient permis à de nombreux supporters travailleurs d’assister aux compétitions, d’une part ,et le développement ,voir l’engagement des joueurs d’exprimer mieux leurs talents et de se familiariser avec cette formule de plus en plus exigé sur le plan International, de pouvoir libérer des stades aux divisions inférieures. Cette action devait entrer en fonction dès la saison sportive 88/89 elle comportait cette contrainte, les équipes recevante non dotées de stades éclairés. La majorité des walis, saisis, ont rétorqué que l’opération était impossible, car elle nécessitait des crédits importants où que les rares entreprises spécialisées étaient déjà surchargées, les délais impartis étaient trop courts. Le Bureau Fédéral ne pouvait que prendre acte et enregistrer son impuissance pour concrétiser une opération entrée dans les mœurs du football des pays avancés

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Un exemple de Stade ci contre flambant neuf avec toutes ses installations et commodités pour la pratique et le spectacle du football. C’est bien sûr le Maracaña Stadium.

Création et découpage des nouvelles ligues régionales : Afin de respecter le découpage du territoire national, jadis divisé en trois départements, puis sept, pendant la colonisation, et maintenant depuis entre 48 wilayas et leur 564 dairates et répondre à la demande croissante de la population footballistique obéissante à ce mouvement, et surtout promouvoir ce que les Français appelaient les territoires du Sud, dénués de toute infrastructure. Le Bureau Fédéral a créé plusieurs ligues Régionales et restructuré, certaines ligues anciennes, d’Alger, d’Oran, Constantine, et les nouvelles ligues Régionales de Batna Béchar et Ouargla. Toute cette dépense d’énergie pour donner à la Fédération Algérienne de football la notoriété dont elle avait besoin, n’a pas pesé lourd comme ce rappel à l’ordre et non un carton jaune, sous le nez de Maradona.. Pour le mettre au pas, comme les autres lors de la rencontre Internationale en Espagne 82, Argentine /Hongrie.

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Historique des Présidents honorifiques :

Les Présidents qui se sont succédé à sa tête sont :

1 Dr Mohand Maouche Dr Mohand Maouche 2 Mustapha Benouniche 3 Amar Benaouda 4 Abdenour Bekka 5 M. Kara Turki 6 Benali Hadj Sekkal 7 Omar Kezzal ( 1) 8 Issad Dhomar 9 M’hamed Mékirèche 10 Belaid Lacarne 11 Rachid Mekhloufi 12 Si Mohamed Baghdadi - Omar Kezzal (2) 13 Réda Abdouche 14 Mouldi Aissaoui 15 Rachid Haraigue 16 Larbi B rik 17 Said Amara 18 Rabah Manseur

Oct.1962 à Juil.1964 Juil.1964 à Oct.1969 Oct.1969 à Juil.1973 Juil.10973 à Mai 1975 Août 1975 à Jan.1978 Jan 1978 à Oct.198O Nov.1980 à Nov.1982 Nov.1982 à Avr.1984 Mai 1984 à Avr.1986 Avr.1986 à Juil 1987 Sept.1987 à Oct.1988 Oct.1988 à Fev.1989 Fév. 1989 à Juin 1989 Juil.1989 à Nov.1992 Nov.1992 à Sep.1993 Sep.1993 à Juil.1994 Juil.1994 à Juin 1995 Juin 1995 à Avr.1996 .Avr. 1996 à Juin. 1996 21 Juin au 28.Août 96

19 Mohamed Laib 20 Mohamed Beghora 21 Said Bouamra 22 Mohamed Diabi 23 Benaoumeur Berrahal 24 Hassen Chikh Omar Kezzal (3) 25 Mohamed Raouraoua 26 Abdelhamid Haddadj Mohamed Raouraoua

Août 96 à Nov.1996 NOV.1996 à Sept.1997 Sep.1997 à Nov.1997 Nov.1997 à Juin 1999 Juil.1999 à Août 1999 Aout 1999 à Av.2000 Août 2000 à Août 2001 Nov.2001 à Nov.2005 Jan.2006 à Fev 2009 Fev.2009 au 7 mars 2013

Mohamed Raouraoua

depuis le 8 Mars 2013

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Réélu.

Bureau Provisoire Pas de Président-Intérim p.SG

Elu par le Bureau Fédéral Bureau Provisoire Comité Provisoire

C.Prov.des Prés.de Ligues Bureau provisoire élu par un Bureau Fédéral de 16 élu par bureau Fédéral de 8 Membres Comité Provisoire

élu par l’As. Générale réélu par l’assemblée générale ,le mandat Le plus long à ce jour. (+7 années)

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Soit au total 25 personnes qui ont eu à diriger la FAF. Omar Kezzal a été le seul à avoir du « souffle »pour partir et revenir à 3 reprises en l’espace de prés de 20 années. Mohamed Raouraoua a aussi quitté pour revenir 4 ans plus tard .La FAF est restée 11 mois sans personne pour la présider entre 1992 et 1993. Une autre période, de 1996 à 1997 fut en revanche, très « agitée »6 responsables différents en 19 mois, d’avril 1996 à Novembre 1997. Une crise telle qu’elle avait entraîné l’intervention de la FIFA, laquelle voulu faire respecter le principe de l’élection des responsables par une assemblée Générale régulière en vue de mettre fin aux immixtions des pouvoirs publics. Le mandat le plus court (1 mois) fut celui exercé en 1999 par Benaoumeur Berrahal.

. Mauritanie 1993 avec le Le Président de La Fédération H habillé en costume Traditionnel bleu.

Des beaux souvenirs avec Chelkha Le Président, décédé à la suite d’un Accident de circulation, que son âme repose en Paix. Pour revenir au cas de Rabah Madjer ,il avait déclaré sur Horizons du 24 Mars 1988 , que s’il ne venait pas au Maroc c’est qu’il est indisponible ,et les dirigeants du Football National le savent très bien ,à cause d’une Le Foot, c’est toute ma vie

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vilaine déchirure musculaire d’une gravité exceptionnelle évacué après 40 mn de jeu ,lors du match contre Valence, Rabah MADJER persiste qu’au cours d’un entretien avec un responsable du Ministère de la jeunesse et des sports, il avait confirmé qu’il est disponible à aller au Maroc pour soutenir moralement ses camarades, la réponse du responsable du MJS, lui aurait répondu qu’il consultera les joueurs, et puis plus rien ! Aux joueurs à émettre leur avis pour une décision aussi importante, je ne pense pas, seul l’entraîneur National Monsieur ROGOV pouvait trancher sur la question. Mais, « l’affaire MADJER » les médias continuent à entretenir le Public algérien pour son éventuelle participation à la ½ finale de la CAN contre le Nigéria, viendra ou ne viendra pas ! Longtemps ces médias ont fait croire à sa participation alors que le staff technique disposait d’une autre version officielle, sa blessure l’empêche de jouer la demi-finale. Après le Maroc, et la troisième place obtenue, de retour en Algérie, La rubrique de Lakhdar Ezzine « Crument, » sur Algérie Actualité, méritait de faire le point sur les problèmes, suivons d’abord A-L-Ezzine : La Rubrique « Crument » d’A–L –EZZINE dans Algérie Actualités – Suivons A-L-EZZINE Les médias, particulièrement dans l’Algérois, écrivent du n’importe quoi, lorsqu’il s’agit Football et l’équipe Nationale, et sur les hommes élus au sein des Fédérations, principalement le Football – Notre ami A-L-EZZINE, sous une rubrique appelée « Crument » se permettait de donner des leçons à ceux qu’ils veulent bien lire ces écrits, par exemple dans son Hebdo « Actualités Algérie » N°117 du 24 au 30 Mars 1988Il écrivait, La vérité est là, il y a incurie dans la gestion du football, d’ailleurs, quelle autre signification donner à cet appel en masse des Le Foot, c’est toute ma vie

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« pros », si ce n’est l’incapacité de former une sélection de onze joueurs de 1500 (au moins) au sein des 54 équipes de compétition de la régionale et des 20 autres de performance. Demander aux clubs Français des 2 ième et 3ième division de prêter leurs « sabots « à l’E.N, c’est reconnaître de fait son incapacité et ses carences en matière de formation .C’est avoué même sans aucune échappatoire possible, une absence totale d’organisation ,de planification à long terme de rationalité dans le travail de méthode, de vision saine ,d’un système de sélection et de perfectionnement capable de répondre à tout moment aux besoins de notre équipe nationale .En outre, il n’y a qu’à jeter un coup d’œil sur la longue liste des sélectionnés depuis 1979 pour se convaincre davantage de la gabegie sans mesure qui semble ,hélas, liée au destin Algérien ! Monsieur A-L-EZZINE avait cette rubrique où chaque semaine il se permettait d’insulter nos entraîneurs, nos responsables gestionnaires et administratifs et notre incapacité de rassembler 11 joueurs, pour aller les chercher en France où ailleurs. « DOMMAGE « avons répondu …. Bélaid LACARNE, président de la FAF, et ex arbitre International, répond au journaliste et collaborateur d’Algérie Actualités dans son hebdomadaire du 14 au 29 Avril 1988, sous le titre « « A travers vos articles, et ils sont nombreux dirigés vers la Fédération, et particulièrement son Président. Il transparait une absence d’éthique sportive dans la collecte de l’information, était cette manière bien à vous d’informer vos lecteurs ? Etait cette méconnaissance de votre part du dossier football ? Permettez moi de restituer avec le recul du temps, pour vos lecteurs surtout la vérité sur certains points. Le sens et la portée de l’Assemblé Générale de la FAF qui m’a élu Président vous ont échappé, lors du Séminaire de Juillet dernier , a été tracée la politique du football National .La tâche qui m’a été impartie est d’être le Le Foot, c’est toute ma vie

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garant de son application et il appartient aux leaders d’opinion dont vous faites partie de la comprendre et de savoir l’expliquer à vos lecteurs ,voir une copie de la mise en place d’une commission chargée d’étudier cette question .Comme vous aimez à travers vos articles apporter disons des appréciations et d’émettre des souhaits, à mon tour de souhaiter comme vous,, vous changiez de discours, ce qui vous rapprochera de la nouvelle réalité du Football Algérien ,car le risque de rater le train ,devient évident . Vous vous êtes attaché à la question des professionnels, je suis d’accord lorsque vous dites que c’est un problème qui dure depuis …. Mais ce problème durera tant qu’il y aura des professionnels Algériens.et les missions que vous le vouliez ou pas sont indispensables. En revanche, je me demande pourquoi, une bonne fois pour toutes, vous n’éclaircissez pas vos lecteurs en faisons convenablement votre travail, C’est à dire en réalisant une grande enquête sur le sujet au lieu de vous contenter de commentaires superflus. Dommage qu’en vous éloignant des problèmes du Football national, ceux du continent vous échappent, vous me reprochez par exemple de ne pas m’être investi dans une candidature pour la magistrature de la CAF. Alors faut il que je réponde statutairement aux règlements de la CAF, à vos lecteurs qui voulaient certainement d’une candidature Algérienne, qu’ils sachent que ce n’est pas l’ambition qui manquait mais tout simplement une candidature devrait avoir l’aval des hautes instances du pays et être déposée six mois avant l’assemblée générale de la caf, et un travail de fond déjà entamé … Bref, ma nomination ou désignation tout comme celle de Mekhloufi, n’a pas été sujette à des élections, La confédération peut s’entourer de fait, d’hommes susceptibles d’apporter leurs expériences, même si je relève encore avec le plus grand étonnement une incompréhension sur ma désignation « Algérie » en tant que membre des élections, c’est là une marque de confiance accordée à l’Algérie. Le Foot, c’est toute ma vie

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Vos lecteurs l’ont sûrement compris tout comme ils ont compris pourquoi je suis heureux de vous annoncer que l’Algérie accueillera la prochaine Coupe d’Afrique des Nation « Une triste rengaine ? Non, un fait – un évènement, une réalité qu’il faudra savoir traiter avec la collaboration et de l’engagement de tous. Ni le code de l’information, ni l’intégrité morale ou encore moins la mission d’un hebdomadaire national n’autorisent votre ton polémique et diffamatoire, voir un terrorisme intellectuel.

1988- 2014 : Vingt six années consacrées à la formation de l’arbitrage et à son développement en Algérie, en Afrique, et à travers le monde... a) En Algérie

Le groupe des jeunes arbitres de la Région de l’Ouest. 13 Mai 1997, à Bouisseville (Oran) avec le groupe des arbitres de l’Ouest où nous avons convenu avec le Président de la Ligue Régionale de l’Ouest, une formation des Jeunes arbitres sur une durée de deux années, à raison de 6 stages de 3 jours par mois, une majorité d’arbitres avait réussie, Le Foot, c’est toute ma vie

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grâce aux efforts déployés par les formateurs pour gravir les échelons dans une ambiance fraternelle. Nous citons : Chenane, Ouaddah, Benouza, Gasmi, Belmehel Haimoudi Segheir,Abdessemed,Bénamara,Belfekroun,Mir,Mehidi,Bouzid,Djebbari,B oukabouya,Ghalem,Benchaya,Sahouli,Abed Ounes ,Naceri, Djaballah Belkacem, Bouklif, Kerrai, Chaouti Charchar et bien d’autres – Pour ce premier stage, tous les Présidents des commissions de wilaya des arbitres étaient invités pour assister aux trois jours de cours et conférences. Monsieur BECHIRENE Yahia m’accompagnait dans cette formation qui a vu grandir des jeunes talents pleins de promesses dont Benouza, Haimoudi, Etchiali et bien d’autres, cités ci-dessus ! Plus tard, nous avons multiplié les stages et séminaires pour les jeunes talents avec une prise en charge technique et moderne conformément au guide Universel de la FIFA. Tous les stages pour la ligue de l’Ouest en 1997 étaient effectués, sans frais, uniquement pour le plaisir de la formation et faire bénéficier notre expérience pour toute la jeunesse du corps arbitral du Pays, nous avons utilisé toutes les auberges de la région de l’ouest, Oran, Cap Falcon Mostaganem, Relizane, Tlemcen, Saida, où la prise en charge est minime, permettant à la ligue de pouvoir subvenir à une formation continue de ses arbitres et assistants arbitres.

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A Bouisseville au centre familial de la CASORAN avec le groupe des jeunes talents de 1997, les formateurs de chaque Ligue de Wilaya et le Président de la ligue Régionale de L’Ouest

Les jeunes talents regroupés devant la DJS à El Bayedh

Les jeunes talents de la ligue régionale de Saida, ici à El Bayedh où le séminaire de trois jours à eu lieu, Organisation et Hospitalité étaient au rendez vous, nous n’oublierons pas cette hospitalité légendaire qui a fait de la région sa grandeur.

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A l’Auberge de Jeunesse de la Salamandre avec le groupe des Jeunes Talents pendant un test écrit sur les lois du jeu

Auberge de Jeunesse de Tlemcen avec les jeunes talents Et des présents

Malgré tous les efforts déployés pour la progression de nos arbitres et assistants arbitres, il ne faut pas occulter les tares qui rongent encore le corps arbitral, le développement encore inégal dans nos structures d’arbitrage, région ou wilaya ,le manque de techniciens à prendre en charge tous les problèmes, y compris organisationnel, souffrant encore de l’inadaptation de moyens de gestion ,et des intérêts de chacun ,et tout le monde s’occupe particulièrement de la désignation des arbitres relative aux divers championnats, mais oublie le travail de fond qui est la formation et le suivi des carrières dans le corps arbitral . Le Foot, c’est toute ma vie

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Les formateurs ici présents dans la photo ci-dessus devaient prendre en charge le développement et la formation de la wilaya, en se dotant d’un micro ordinateur et la formation informatique à la charge de la LOFA, actuellement sans le lap top, comment peut on passer le message aux élèves ? Au bout de six mois d’activités, de présence avec les jeunes talents dans les cours ,le responsable de la formation appréhendait que nos instructeurs manquaient de volonté pour acquérir expérience et la compétence requises pour prendre en charge ,chacun dans sa wilaya, le développement et la formation de ces jeunes qui ne demandaient qu’à apprendre pour arriver au sommet de l’arbitrage ,car chacun espérait gravir vite les échelons, cependant c’est aussi la responsabilité du Président de Ligue de prendre en charge les problèmes. Pour revenir à la formation convenue avec le Président de la LOFA, nous savons que des arbitres et assistants arbitres ont émerge aussi, nous pouvons citer : Haimoudi Belmehel, Benouza Mohamed, Ghorbal Mustapha, Charchar Mohamed, Ali Nader, Etchiali, c’est aussi un plaisir de promouvoir ces jeunes devenus grands, par leur travail, abnégation et particulièrement une assiduité sans faille. Dommage que la Fédération Algérienne de football ne dispose pas d’un fichier central des arbitres fluide à ce jour ,pourtant lors d’une réunion destinée à tous les Présidents des commissions régionales des arbitres la Commission fédérale des arbitres a martelé aux présents dans un programme 2013-2017 ,de mettre tout en œuvre pour la réalisation d’un Fichier central des arbitres ,entre autres !. Il faut croire que la Fédération Algérienne de football ,à l’instar d’une réflexion sur le football national dans le quotidien du samedi 2 Juin 2016 le journaliste sans se nommer, il faut croire sa peur de ne pas signer son article sous le titre , « La formation Parent pauvre du football National », une vérité à lire et faire lire par tous les amoureux de la formation , en plus, les deux manches U_2O contre la Lybie se jouaient en Algérie, à cause de l’insécurité qui règne en Lybie ! On ne pouvait pas avoir mieux ! Le Foot, c’est toute ma vie

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Actuellement, On ne se fait plus de soucis pour les séniors, nous les importons de l’hexagone ! Une politique de l’immédiat imposée. Dans le corps des arbitres, où les structures Wilaya et Régionale, présentes sur tout le territoire national, malgré plusieurs rappels, les bilans depuis 2009 à 2015 font foi, le parent pauvre de l’arbitrage reste toujours d’actualité dans les wilayas et régionales –Mais Pourquoi ? Me dites-vous ! Le manque d’organisation et les personnes qui ne sont pas à leurs places. Les Instructeurs de la CFA ont tout simplement réalisé les programmes de développement et formation « Jeunes talents et excellence » sur tout le territoire national aux lieux et places des structures existantes de 2011 à 2014, dommage ! Cependant pour combien de temps ! La CFA a effectué en Aout 2012 un programme FIFA relatif à des formateurs venus de toutes les régions du Pays pour prendre en charge le développement et formation, les candidats à cet enseignement étaient proposés par les Présidents des ligues régionales, voilà pourquoi notre journaliste écrivait que la formation était le parent pauvre du Football national ,mais pourquoi ne pas parlé de la pauvreté de l’arbitrage ! Que sont ils devenus les formateurs « formés » depuis aout 2012, avec les programmes, DVD, les équipements, et l’enseignement reçu par les conférenciers de la FIFA ! Un des points le plus important aussi le Fichier Central au niveau de la CFA qui devait recevoir les fiches de renseignement de tous les arbitres et assistants arbitres (voir ci dessous) afin de suivre leurs carrières.

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Formation sur le Plan National, Relizane, Chlef, Tiaret, Ain Bénian, Comme Centres de regroupement

Avec le DJS de Tiaret En salle de Conférence avec l’élite 1

L’équipe responsable des tests physiques

La série des 40 mètres à Chlef

3ième Stage d’excellence à Relizane avec le Staff Technique devant La rentrée de l’hôtel MINA.

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Actualisation du fichier central par la création d’une banque de données sur la gestion et le suivi de carrière des arbitres et assistants arbitres à l’aide des fiches de renseignements reçues. Créer une « plate forme » pour les arbitres ,instructeurs, préparateurs physiques et évaluateurs restreint avec mot de passe pour échanger des idées dans le domaine de la formation, exploiter les vidéos en ligne, les cours, les recommandations et autres , malheureusement, ce travail qu’on aurait pu réaliser ,puisque la plate forme était déjà prête ,ne pouvait voir le jour, tant qu’une seule personne décidera de tout le travail dommage ! Cependant un technicien ne pourra jamais être remplacé par un analphabète, c’est la loi de la compétence et du savoir ., voilà pourquoi il n’existe pas de formation au niveau du football et de l’arbitrage ! Un technicien devra être jugé sur son plan de travail étalé sur plusieurs années et non sur des interventions de dirigeants de club, cherchant le plus normalement du monde, leurs intérêts, et ceci est connu. Formation, Sur le Plan National

BANQUE DE DONNES

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Le suivi de carrière d’un arbitre ou assistant arbitre ne peut être établi sans banque de données

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Informations-Communications :

Un travail qui pouvait se réaliser avec toute l’équipe de la CFA, Dommage ! Le Foot, c’est toute ma vie

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Perspectives de développement : -

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L’analyse évaluative du plan d’action quadriennal (2009-2013) élaboré par la CFA dès sa prise de fonction et adopté par le Bureau Fédéral dans sa première réunion ,si globalement se trouve réalisé dans sa très grande proportion ,laisse apparaitre néanmoins une insuffisance (voire une absence totale ) de formation aux niveaux de la base ,région et wilaya . Cette carence de formation a été constatée à l’occasion des interrogations écrites, lors des stages de formation organisés par la CFA, à l’issue également des examens et concours inter ligues également lors des tests physiques. Si ce constat a été circonscrit par la CFA, dès sa prise de fonction, il n’en demeure pas moins que dès l’année 2009, elle a tenté de structurer les commissions d’arbitrage du territoire national par la désignation de directeurs techniques mesure qui aurait été salutaire, si cette dernière avait perduré.

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Cette mesure ayant commencé à apporter ses fruits sur le terrain, s’est retrouvé avortée suite à la réticence des Présidents de ligues Régionales qui exerçaient toutes sortes de blocage, par des considérations tout à fait subjectives.

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Un deuxième palliatif a été apporté en créant alors des groupes de jeunes talents de chaque région par une prise en charge de la CFA, pour une formation continue selon les normes modernes de la FIFA, ce qui nous amène à appliquer le même programme de

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formation de la ligue régionale de l’Ouest effectué durant l’année 1997. -

Les Instructeurs et évaluateurs en Formation Août 2012

Pour faire avancer la formation sur tout le territoire National, la CFA a pris la décision de procéder à la formation de deux instructeurs techniques pour arbitres et assistants arbitres par chaque région, (et à leur profit) un stage FIFA-CAF sous l’égide de la FAF. Le stage d’instruction des formateurs « Régionaux »Août 2012 FIFA du 25 au 28 Août 2012, les candidatures proposées par leurs soins devaient réunir en priorité, compétence, valeur intrinsèque et engagement. Cela n’a pas été toujours le cas de certaines ligues régionales dont le choix des candidats pour la prise en charge se repose sur d’autres considérations, totalement subjectives, n’étant pas en mesure de favoriser l’émergence de compétence pour la prise en charge de jeunes arbitres, techniquement. Si non que font ils, les formateurs ! Le constat peu reluisant de la prise en charge de l’arbitrage au niveau de la base a engendré une démobilisation des arbitres ayant fini par perdre Le Foot, c’est toute ma vie

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toute culture physique et technique devant (le manque de rigueur dans le travail), méconnaissance des lois du jeu et un manque flagrant de préparation physique. Nous précisons que la mission essentielle des CRA, commission régionale des arbitres, et CWA, commission de wilaya des arbitres est d’assurer une formation continue par le truchement pédagogique, formative et d’une pratique assidue et régulière sur le terrain pouvant leur permettre de s’aguerrir dans la fonction. La Commission Fédérale des arbitres, alors ne s’occupera que du perfectionnement au niveau de l’élite, ainsi que des amendements sur les lois du jeu, tout en les préparant également physiquement, techniquement, pour être continuellement au TOP . Le Développement harmonieux et efficace de l’arbitrage national passe inéluctablement par une restructuration (voir une refonte) des commissions d’arbitrage des régions et des wilayas, devant se mettre au travail pour une formation continue avec des techniciens compétents et consciencieux. Je disais plus haut ,que les techniciens installés dans les directions de commissions d’arbitrage, n’ont pas eu le temps de se retourner, que les Présidents des ligues régionales ont commencé par les marginalisés ,ne pas les associer dans les programmes touchant l’arbitrage ,mieux encore ils ont tout fait pour bloquer des initiatives avec la ferme intention de mettre fin à leur relation, au bout même pas d’une année ,avec la complicité certaine du Président de la FAF , si non, comment peut on interpréter cette situation ? La Fédération Algérienne de Football les a nommé, a pris le soin de prendre en charge les salaires, devant une telle situation nous avons été dans l’obligation de mettre fin à leurs missions et nos relations de travail.

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Terrain de l’hôtel Dar el Diaf

Nous sommes sur le terrain avec le groupe des Instructeurs techniques pour les démonstrations pratiques. Trois journées complètes de stage où tout le groupe a emporté avec eux, un équipement complet Adidas, des CD, des manuels d’instructions et tous les documents servant à l’enseignement et l’instruction des lois du jeu des arbitres. Le choix des responsables à désigner devra obligatoirement répondre aux exigences objectives de la fonction et des missions assignées, tant sur le plan de la valeur technique et de l’engagement nécessaire ainsi que de l’administration de soutien. Les ligues régionales devront tout d’abord, se structurer, mettre en place une organisation avec des hommes responsables. Il est évident au risque de nous répéter que notre mission première en notre qualité de techniciens confirmés avant tout, le développement de l’arbitrage national lequel ne doit pas être dissocié de l’évaluation des prestations des arbitres et qui ne devra pas aussi, être étranger à la finalité qui est l’utilisation des éléments formés et évalués .Ce n’est que

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dans ce cas que nous pourrons aspirer à un fonctionnement efficace condition sine-qua-non de toute progression. C’est aussi ce qui nous a permis à ce jour de promouvoir de jeunes arbitres universitaires promis à un bel avenir, cet état des lieux nous le devons à toute l’équipe de la CFA qui n’a ménagé aucun effort pour arriver à ce stade. J’en suis fier d’avoir su influer du sang neuf dans l’équipe d’arbitrage qui a mené le long de notre mandat nos missions avec abnégation, sérénité et compétence.

Les Stagiaires au centre du débat sur le terrain de l’hôtel Dar Diaf .

Hadqa, Instructeur de la FIFA en démonstration sur le terrain avec les formateurs.

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Ces formateurs issus du stage effectué par la FIFA à Alger, en août 2012 devaient servir au développement et à la formation des jeunes talents sur tout le territoire national, dommage, ces formateurs n’ont pas continué à effectuer le travail souhaité, à cause du zèle des Président ligues, souverains dans la gestion quotidienne, mais que sont ils devenus, ces instructeurs choisis par eux ! Le devoir de formation exige la continuité dans les programmes arrêtés.

Séminaires, stages de la FIFA et de la CAF Programme de Développement et de Formation -

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Conférencier, instructeur des arbitres, j’ai dirigé de nombreux cours pour les arbitres dans toute l’Afrique Francophone y compris en Afrique du Nord depuis 1989 à 2014+les cours Futuro I & II, en Mauritanie, Mali, Guinée Conakry, Burundi centre Afrique, Tchad, Burkina Faso, Gabon, Côte d’ivoire … . J’ai participé à trois cours d’instructions et de perfectionnement pour arbitres, en France, à Claire Fontaine, en Suisse, et en Allemagne à Munich. Je n’ai pas pût être sélectionné en tant qu’arbitre dans les compétitions de la Coupe d’Afrique des Nations, car on ne désignait pas les arbitres dont leur équipe Nationale est qualifiée à la CAN, un règlement absurde, me direz vous ? Mais dès 1988, avec l’avènement de Issa Hayatou comme Président de la CAF, nous avons décidé de rétablir les droits de ces arbitres, car le football des pays qualifiés disposent d’arbitres de bonne qualité, permettant ainsi le développement du football dans les pays »voir ci-dessous «

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Un cours d’instructions à Dakar (Sénégal) en 1998 avec les arbitres et assistants arbitre (du 09 au 14 Novembre 98.)

Au Cameroun pour un cours en Septembre 1989

Un cours Futuro II de la FIFA, en salle et sur le terrain, nous faisons une évaluation des stagiaires – Septembre 1993 à Ndjamena (au Tchad)

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Rabat, Institut Moulay Rachid avec Guezzaz

formation à Libreville en 1993

Bamako 12-17 Juin 1997 un cours Futuro II pour arbitres de haut niveau

A Abidjan en côte d’ivoire Du 15 au 22 Sept.2002 Pour un cours d’évaluation Et de perfectionnement

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A Brasilia(Brésil) lors de la Coupe du Monde Futal 2008, une ville magnifique, moderne

A Bamako en 1997, « Mali », entre deux cours de développement et formation, je retrouve en plein Air, le coiffeur et son environnement, un paysage insolite.

Passages à la tête des commissions d’arbitrage : Ces passages à la tête de la Commission Centrale des arbitres me font ressasser un passé sombre et douloureux. En effet je voulais mettre en place un arsenal d’éléments en vue de permettre à tout arbitre d’évoluer dans la clarté, la sécurité et le bon sens. Cet arsenal comprendrait tout d’abord un règlement intérieur qui gérerait l’activité de l’arbitre, ensuite l’obligation pour tout arbitre de subir des tests physiques pour jauger exactement ses capacités physiques à mener à bien les rencontres, ainsi qu’effectuer ses évaluations de performance. Le Foot, c’est toute ma vie

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Ce qui revient, donc, à dire que je voulais améliorer, quelque peu, les modalités de l’Arbitrage. Ces propositions n’ont pas été du goût des arbitres notamment ceux du Centre qui ont bruyamment manifesté leur désapprobation dans le but inavoué, sans doute, de déstabiliser tout le corps de l’Arbitrage, à commencer par les arbitres et assistants arbitres qui n’ont pas réussi, lors des tests physiques. En effet, il y a eu nombreux échecs et cette levée de boucliers s’est faite dans le but de ne pas faire figurer ces derniers sur la liste d’ouverture de la saison sportive et leur ôter par la même, la possibilité de refaire les tests avant la fin de l’année. La Saison sportive 2001 verra des noms des arbitres retirés de la liste des arbitres et assistants arbitres de la FIFA. Loin s’en faut, car ces arbitres, pour ainsi dire, qui ont été sanctionnés pour leur travail sur le terrain, ont refusé cette situation et ont réagi de telle sorte à ce que la grogne s’amplifie et touche tout le corps arbitral. Malgré les intimidations des uns et des autres, rien n’a pu altérer l’avènement d’un travail rationnel et efficace. Ce nouveau procédé semble beaucoup gêner bon nombre de clubs qui avaient pris goût aux anciennes méthodes d’arbitrage, et que cette nouvelle vague d’arbitres dérange. Comme je l’ai mentionné plus haut, tout n’est pas rose, mais il fallait un début pour essayer de lancer la machine et mettre la pendule à l’heure. Les gens ne sont pas dupes et tous ont compris le but de la campagne menée tambour battant par certains médias utilisant tant le parler que l’ écrit, avait pour but de faire pression sur la Commission centrale des arbitres pour qu’elle abandonne ce projet du règlement intérieur de l’arbitre et servir, par conséquent, les intérêts des uns et des autres. Personnellement, j’ai connu pareille situation à chaque fois que j’ai été sollicité pour assurer des fonctions au sein de la FAF, soit en tant que président de la structure, soit en tant que responsable de l’Arbitrage. Mon Le Foot, c’est toute ma vie

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impression était que ma méthode de travail dérangeait énormément certains intérêts occultes et quelquefois j’en étais même convaincu. A cela, il y a lieu de mentionner le rôle joué par certains acteurs qui donnent toujours l’impression de défendre, beaucoup plus, leurs propres intérêts, en s’associant à certains responsables de clubs pour introduire une autre méthode pour désignation des trios d’arbitrage, en ignorant totalement le principal intéressé, en l’occurrence le Président de la Commission des arbitres !! La question immédiate que tous doivent se poser et y répondre, c’est : « qui doit désigner les arbitres pour diriger les rencontres ? La Commission des arbitres n’est-elle pas la mieux indiquée pour jouer ce rôle, elle qui connaît parfaitement tous ses membres et ses arbitres ?? Y a t -il une autre forme ! Cette façon d’agir laisse libre cours à toutes les supputations et à tous les préjugés. Le problème se situait donc à ce niveau, c’est-à dire dans la mise à l’écart du principal intéressé dans la désignation des arbitres. C’est ainsi que, lors de la réunion du Bureau Fédéral du 25 mars 2014 j’ai demandé, en toute connaissance de cause, à me décharger de la Présidence de la Commission des arbitres. Ce qui a été accepté sur le champ.

¨Photo c i contre

à Tokyo lors de la coupe du Monde 2002 –en tant que conseiller technique de la commission des arbitres –

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La FAF, ses Problèmes

De prime à bord, j’estime que les médias à Alger et heureusement pas tous, sont les principaux responsables de la tension qui règne au sein du corps arbitral. Notre impression est que leurs interventions tant écrites qu’orales servent plutôt les intérêts des clubs et font que leurs présidents aient une influence négative sur la bonne marche de l’arbitrage. Je reconnais que tout n’est pas rose dans notre corps arbitral, cependant, les fautes d’arbitrage dans notre pays ou ailleurs dans le monde font partie des lois du jeu lorsqu’elles sont commises de façon involontaire, par manque de vision ou d’appréciation. Cette situation a duré de janvier 1988 à septembre 2014, date à laquelle je me suis retiré de cette instance et des autres instances internationales la FIFA, CAF, et UNAF. Cette rupture totale avec toute responsabilité du monde sportif est la conséquence du comportement arrogant d’un haut responsable de la hiérarchie sportive. En effet ce personnage, guidé par une prétention aveugle veut accaparer tous les domaines, surplombant ainsi tous ses subalternes usant d’une partialité dangereuse et de sectarisme. C’est alors, ne pouvant admettre cet état de fait, le 25 mars 2014, en présence de tous mes collègues, j’ai demandé d’être déchargé de ma noble mission de Président de la CFA. Cependant, toujours animé de l’envie de bien faire, j’ai continué à siéger au sein du Bureau Fédéral afin de ne pas rompre ma contribution dans la gestion du football. Mais au mois de mai de la même année, j’ai eu la confirmation que les compétences et le savoir-faire dans ce monde du football, n’étaient pas, forcément des critères, pour y avoir droit au chapitre…. l’amour du pouvoir individuel et sans limites, a fini, malheureusement pour nous et surtout pour le Sport-roi, par gonfler les esprits. Je dirais pour la circonstance que toute hiérarchie, quelle qu’elle soit, est composée d’éléments qui occupent, chacun, pour ses compétences, un étage, cet édifice pour lequel toute sa responsabilité est engagée et ses Le Foot, c’est toute ma vie

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décisions respectées. Le rôle du haut placé est de superviser, contrôler mais jamais de se substituer et encore moins de s’immiscer illégalement dans les activités de chacun. Une Commission technique, comme son nom l’indique est composée de techniciens qui techniquement donne des avis techniques qui ne sont pas de la compétence d’un non technicien fusse-t-il le grand chef. Elle mérite donc, au moins, un minimum de respect et de considération, sinon tout le respect et toute la considération qui lui reviennent. Ma grande préoccupation, dans toutes les commissions des arbitres, tant nationales que continentales, auxquelles j’ai eu l’honneur de participer, était justement la perfection dans la formation des arbitres. Une mission que je considère moi-même et d’autres techniciens de haut niveau, d’avoir bien remplie. J’ai connu dans ma carrière de gestionnaire de l’arbitrage, trois périodes avec des Présidents de Fédération différents. Ce sont en effet M. DIABI, tout d’abord suivi de M. KEZZAL, puis à deux reprises par M. RAOURAOUA, ainsi qu’une direction transitoire avec MM CHERIF Hassan, BOUBAHA et moi-même. Il y a lieu de rappeler que par le passé, que tout ce qui touchait aux fonctions techniques était pris en charge par le ministère de la Jeunesse et des Sports dont M. Aziz DEROUAZ, Ministre des sports , a désigné à ce titre des responsables des structures méthodologiques permanentes , mis à la disposition de la FAF par l’administration chargée des sports. Mon départ de la Présidence de la FAF

Pour ainsi dire mon départ a été conçu simplement pour me faire remplacer par Rachid Mekhloufi en octobre 1988. Nos relations en ce temps, avec les responsables du ministère de tutelle étaient tout à fait normales, cependant, parfois je refusais d’entériner certaines de leurs décisions que je considérais comme inadaptées et malvenues! Parmi ces décisions, je citerais le fait que la Fédération Algérienne de Football, n’était même pas consultée pour la prise d’une décision officielle concernant des équipes nationales. Elle est devenue ainsi une simple instance d’exécution et son président est exposé à tout genre d’atteinte s’il ne se plie pas à cette règle ! Les derniers temps de ma présence à la tête de la FAF, deux Le Foot, c’est toute ma vie

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problèmes ont surgi créant un moment de suspicion au sein de la structure. Le premier incident relevait de la qualification de Bouiche Nacer, à Créteil, suite à l’intervention du ministre des Sports français M. Bambuke ; ce dernier étant de la ville. Je me suis opposé à cette qualification car l’intéressé n’avait pas encore ses 28 ans qui étaient l’âge requis pour débuter une carrière professionnelle, et pouvant être transférable. C’était la décision que j’avais toujours appliquée, durant mon mandat, pour tous ceux, en exil, qui soumettaient pareille demande. Le ministère, cependant, a agi autrement en m’adressant une correspondance dans laquelle on m’annonçait leur décision de procéder, quand même, à la qualification de Nacer Bouiche, sans, toutefois, la communiquer par voie de presse. !! Le second incident a concerné la constitution de la ligue Régionale Est, et qui a été placée sous l’autorité de la ligue Régionale de Batna. Pour quelle raison devions-nous le faire ? Simplement pour le fait que nous devons prendre les 4 x 4ième de chaque groupe et que l’équipe de Chekfa, dans la wilaya de Jijel, ne pouvait pas faire partie d’un groupe, en raison de son classement qui ne lui permettait pas d’être intégrée, alors que cette commune ne pouvait faire partie de la Régionale de Batna. C’est devenu pour moi un monde où je ne pouvais pas avoir ma place. De la FIFA (Coupe du Monde 2002 (Japan-Koréa)

DAAMI Mourad (Tunisien) et B.Lacarne (Algérie) Le Foot, c’est toute ma vie

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Merk, arbitre Allemand et ses assistants au stade de Tokyo Le quatuor était accompagné par Mr. Raya Robert et B.Lacarne

Cérémonie de la sortie du livre « USMBA STORY » L’histoire de notre grand Club Une cérémonie pour la sortie du livre « USMBA Story » le 8 Aout 2008 a eu lieu dans la salle de cinéma « Moksi » Ex RIO, où nous avons reçu tous nos amis et anciens joueurs de notre grand Club l’USMBA pour la dédicace du livre. . La salle était pleine d’amis et anciens joueurs, venus nombreux pour découvrir l’histoire de notre grand Club « L’USMBA ». L’USMBA a gravit tous les échelons, en obtenant des résultats significatifs. Le Meilleur résultat a été obtenu en 1955 par le recrutement de Larbi BEN BAREK la perle noire (Que Dieu ait son âme) et la qualification pour la finale de la Coupe d’Afrique du nord , avec son voisin ,le SCBA , la ville de Sidi-BelAbbès ne pouvait qu’être fière de ses deux grands Clubs ,même au championnat ,SCBA premier ,et USMBA second ,nos supporteurs étaient ravis des résultats obtenus durant la saison sportive 1955/1956 .

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En évoquant les souvenirs de jeunesse, période 1955-56, La rencontre de la finale de la Coupe d’Afrique du Nord qui devait se jouer à Oran au stade Vincent Montréal contre le SCBA, revenait à chaque fois au cours de la discussion ,avec beaucoup de regrets ,car l’USMBA ,avec sa composition pouvait surclasser le SCBA.

Ils étaient tous là pour la sortie du livre « USMBA STORY «

Tous les amis dans la photo étaient des supporteurs acharnés de notre grand Club « L’USMBA » ,Il y avait même le grand Mufti de la mosquée de la ville « Abou Bakr » Hadj Benaoum ,Belahcène mokhtar dit « Ct Mahi « Zenasni Houari, Mustapha Hassani ,Lalimi Mohamed ,Miloud Kherarfa, Allal Hamdan ,Adim Kadda, mon frère Abbès et son fils Redouane Soudani Cheikh ,Co équipier, Hamada Abbès « dit Petit Abbès , connu dans la ville par son pseudo, Abdellaoui Hachemi, Bouchentouf Abdelkader, Ex député Abdeddaim Nasro, Kribich Mokhtar, Alfrid ,Bentayeb Mohamed , Lashab, Kadiri Mohamed, Mokeddem Bahri, Morsli Mohamed, Lacarne Tami et Fayçal ,Yahia BECHIRENE, Benali Mohamed, Rasmi Youcef, Bengamra Tayeb, Khelladi Kaddour, Mehtougui Brahim, Zerrouki Farouk, Naceri Le Foot, c’est toute ma vie

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Mohamed, Hadba Abdelkader, Mekahli Mohamed, Moumène, Sayah Boubacar, et Bouhend Mohamed

Houari, Cheikh, tami, Redouane, et en attente de la dédicace

Tous les anciens joueurs de l’USMBA étaient là pour voir aussi le contenu du livre

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. Des célébrités du Football rencontrées lors de mes périgrinations :

Beckenbauer lors de la Coupe du Monde Espagne 82, à Madrid

Alfredo DISTEFANO, à Madrid en 1982 Le Foot, c’est toute ma vie

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Le grand Alfredo DISTEFANO ci-dessus ,en Espagne Lors de la Coupe du Monde Espagne 82 après l’avoir vu jouer au Stade Fouques Duparc à Oran (Algérie) avec le Réal de Madrid en 1958 et ses vedettes de l’époque, Gento, Santisteban, Puskas , Santa maria… à l’occasion de la rencontre Internationale amicale contre de Stade de Reims ,de Raymond Kopa Jonquet, Penverne, Piantoni, Kopa une année après endossa le maillot blanc du Réal de Madrid, Le Bonheur d’avoir pu assister à un tel spectacle du Football en compagnie de feu mon Père, qui aurait dit un jour que je reverrai Distéfano, pouvoir communiquer avec lui. Alfredo, après la fin de carrière, continua à vivre au milieu des joueurs du Réal de Madrid avant de devenir Président d’honneur de la maison blanche, et jusqu’à son décès, nous ne pouvons pas oublier la classe et les prouesses de ce grand homme.

Del Bosquet en 2013 au Brésil lors de la coupe des confédérations.

Ci contre à Brazzaville avec Michel Vautrot, Benkhedidja et Lacarne Octobre 2006. Pour un stage de formateurs à l’échelon continental.

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Osim au cours des entraîneurs en 1999 à Alger.

Michel Platini à Frankfurt en 2006

Lev Yachine lors d’une réception organisée par la Fédération Moscovite durant les jeux Olympiques Moscou 8O

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Beckenbauer en 2006, et Merk, arbitre International Allemand.

Just Fontaine en 182 en Espagne

Un souvenir d’enfance,à la Tahtaha en 1955, Dey et Si LARBI BEN BAREK. Dey venait de prendre une place de Titulaire à l’USMBA

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Eusébio, le Portugais, Le Goléador, le 17 Juin 2006 à Frankfurt, et Villar notre Président de la commission des arbitres FIFA

Issa Hayatou, Président de la CAF, au Caire, en 1995 à l’occasion d’un séminaire Continental, La CAF en a organisé 4 stages pour les formateurs du Continent, 1990,1995, 1999, au Caire, 2004, à Tunis.

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Shakira pendant la Coupe des Confédérations 2013 au Brésil

Shakira est l’une des grandes attractions du stade à Fortaleza pendant que Gérard Piqué son compagnon jouait pour le compte de l’Espagne contre le Brésil, une foule d’admirateurs et (ces) prenait des photos, et je me demandais pourquoi toutes ses prises de photos, alors mon collègue de la FIFA m’a informé dans le creux de l’oreille, me demandant de me retourner en arrière pour voir pourquoi tout ce monde est en train de prendre des Photos ! Et oui c’est Shakira ! Et pourtant je l’avais vu à Johannesburg lors de la coupe du monde Afrique du Sud 2010, mais elle avait un autre Look ! Une belle femme Shakira avec ses fans ! Nous logions dans le même hôtel au front de mer de la belle ville Fortaleza.

Miss Monde qui a eu la gentillesse de prendre des photos avec l’ensemble de la délégation de la FIFA à l’occasion de la coupe du Monde Pérou U_20 FIFA

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Une rencontre avec le célèbre Ronaldo Avant centre du Réal de Madrid et de la Sélection du Brésil, A Brasilia lors de la Coupe du Monde Fut sall 2008 - Une rencontre tout à fait par hasard puisqu’à côté de moi, il y avait un siège de libre et j’ai invité le grand Ronaldo à prendre place.

Marcelo LIPI –Lacarne Bélaid sur le terrain d’Agadir. Le Célèbre entraîneur Italien Marcelo LIPI au Maroc, lors de la Coupe du Monde des clubs à Agadir, avant la rencontre contre Le Bayern de Munich devenu champion de la Coupe du Monde des Clubs en 2013. Lippi entraînait le club de Chine Guangzhou Everganté, battu 3-0 par le Bayern de Munich

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Samer, ex joueur et maintenant, Manager Général du Bayern de Munich dans les vestiaires des arbitres après la rencontre contre le club de Chine Guangzhou Everganté, entraîné par Marcelo LIPI,

Les CAN (Coupe d’Afrique des Nations)

Can Sénégal 92 avec Ismail Bhamje, Sylvestre Bongo, Bénali Mohamed, LACARNE Bélaid et Yengo (Congo).

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Sénégal 92 ,lors de la 1/2 finale de la Can à Dakar

Sénégal 92, Abdouche Réda et Benali Mohamed du Maroc

Can 2000, Ghana, Falla Ndoye, Tangawarima, SARR (Français), Petcha Laurent, Bélaid Lacarne Le Foot, c’est toute ma vie

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Des arbitres avant les tests physiques de la Coupe du Monde U_20 AU Nigéria.99

Can 94 Tunisia – MM. Bénali Mohamed, Georges Lamptey et Bélaid Lacarne

CAN Tunisie 2004, avec Foudhaili, Ghouila, et Lacarne Bélaid.

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Cap town, séances de travail pour la mise en place du tournoi Méridien. CAF - UEFA

Cap town 1999, arbitres, Officiels et staff technique autour de la table

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Un stage à Relizane avec Etchiali, Haimoudi, Boufrioua, Ali Nader …..et Hamou à l’entrée de la conférence

Can Alger 1990 : Le scandale d’Annaba Un fait grave s’est produit à Annaba, où le deuxième groupe des arbitres et des membres de la CAF installés dans l’hôtel Rym el Jamil »ont reçu une plainte pour dénoncer l’arbitre malien « Idrissa Traoré « pour tentative de corruption à l’arbitre égyptien « Mohamed Hussein el DIN »qui devait diriger une rencontre …Zambie-Sénégal…du 9 Mars 1990 . L’arbitre égyptien sans réfléchir est venu me rencontrer dans ma chambre pour m’informer que l’arbitre Idrissa Traoré est venu me voir pour me demander d’arranger la rencontre de demain contre une somme en devises FF Monsieur Mohamed Hussein El DIN ,directeur de banque connait la valeur du Francs Français proposé par Idrissa Traoré.

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En m’annonçait cette triste nouvelle, à mon tour d’alerter les membres du bureau de la CAF de Annaba pour tenir une réunion extraordinaire afin d’étudier le cas d’Idrissa Traoré, Chose faite le lendemain, Idrissa Traoré a comparu devant la commission et après avoir entendu toutes les parties, la décision est tombée, renvoi de la Can et dispositions prises pour être rayé de la liste des arbitres Internationaux de la FIFA, et pourtant Idrissa Traoré a eu 5 participations à la Can , cela veut dire avoir une dizaine d’Années au sommet de l’arbitrage , pourquoi vouloir marcher dans la combine ? Il avait certainement l’habitude ! Après le scandale « de Annaba » Traoré s’est trouvé au centre de critiques à Bamako de la part de la presse Nationale. Il n’a pu supporter le coup et s’est exilé en Côte d’Ivoire où il a séjourné à Bouaké puis à Abidjan. Prés de 5 ans après, il est retourné au Mali dans sa ville natale, Sikasso, 3ième région Administrative du Mali, où il installa un espace culturel, cette activité périclita après quelques années d’exploitation, Ruiné, voilà qu’il est contraint de quitter Sikasso pour Bamako. . Au même moment son beau frère, Dante Dramane, qui venait de prendre sa retraite arbitrale, comme Assistant Arbitre International, créa une imprimerie où il utilisa Idrissa Traoré comme Agent Commercial, quel triste sort ! Pour revenir à la rencontre qui a provoqué le scandale, il s’agissait d’un responsable Sénégalais du nom de Seddiki Traoré qui s’est fait passer pour son frère, lui permettant ainsi d’accéder facilement à l’hôtel Rym Jamil. Ce Monsieur d’origine Sénégalaise était aussi le financier d’une structure de gestion des activités appelée « Fonds d’Aide »

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Sénégal 1-Tunisie O

Idrissa Traoré sur la photo ,au stade El Menzah à Tunis pour la rencontre Tunisie-Sénégal comptant pour les éliminatoires de la Coupe des Nations de la CAF « Alger 90 « ,celui là même qui a été impliqué dans une affaire de corruption (voir ci- dessus),quel triste sort pour cet arbitre qui se voit quelque temps après, sanctionné et rayé de la liste Internationale FIFA .

Le célèbre photographe Melouchi (Tunisien) avec Lacarne et Magassa lors d’une réception organisée par la FTF, à l’occasion de la tenue de la Can 2004 à Tunis.

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V I - La CW U_2O Colombie 2011, Voir Medellin-Un mois d’août…. Chaque année au mois d’août, la ville de Medellin, en Colombie, se transforme en un festival de fleurs inimaginables. Des activités culturelles ont lieu partout dans la ville. Cependant, l’une des attractions principales est le défilé des Silletéros (Porteurs de fleurs), des paysans qui se déplacent, dans une artère de la ville longue de plusieurs km, pour présenter cette diversité des fleurs. Les Présentations florales sont des travaux créés par les porteurs euxmêmes et sont devenus le symbole des fleurs (Féria de los florès) où tous les citoyens venus de toutes parts pour assister à cette fête des fleurs. Les fleurs portées par les paysans, montrant la diversité des couleurs et des tailles, défilent avec cette beauté le long de cette artère réservée à ce spectacle de Haut de Game, les fleurs sont cultivées par ces paysans de la ville Santé Elena une municipalité située à moins d’une heure de Medellin.

Tout le staff de l’organisation de la coupe du Monde à Medellin se prépare pour la fête des fleurs, dans le Hall de l’hôtel nous attendons le feu vert pour le départ.

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Le défilé des Silletéros

On les appelait les Silletéros, les paysans portant sur leurs dos les fleurs travaillées et préparées par eux.

Une présentation magnifique, avec des fleurs de toutes les couleurs.

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Le défilé des fleurs continue pour le plaisir des yeux et des personnes venues nombreuses pour voir de plus près la beauté des fleurs de toutes les couleurs. Le Brésil remporte la 18 ° édition de cette coupe du monde de moins de 20 ans, totalisant 5 trophées dans la compétition, la précédente en 2009, remportée par le Ghana en Egypte.

Le Logo de la Coupe du Monde FIFA Columbia 2011, taillé en fleurs, porté sur le dos par un paysan sur plusieurs Kilomètres et les nombreux publics agglutinés aux grilles pour contempler la merveille des fleurs Ci contre, l’emblème de la FIFA à l’honneur.

L'emblème de la FIFA à l'honneur.

L

brésil vainqueur de la sélection du Portugal par 3-2 , après prolongations – Lors du Mondial U_20 Le Foot, c’est toute ma vie

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Les Commissions des arbitres de la FIFA & CAF Cérémonie lors de la remise de la médaille de membre de la commission des arbitres de la FIFA.

Commission des arbitres de la CAF 1996

A chaque fin de cycle 2006, 2010, 2014, les listes de la composition de la commission des arbitres peuvent changer (FIFA&CAF)

Commission des arbitres de la FIFA -2002

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LES 3 ENTRAINEURS QUI ONT MARQUE L’HISTOIRE DE L’USMBA Un grand joueur de football professionnel en France qui a rejoint l’historique équipe du FLN, Amar ROUAI Entraîneur joueur de l’USMBA 1964-1974 Un grand nombre de ses poulains ont fait après lui les beaux jours de cette équipe. Un personnage affable, éduqué à l’extrême, sobre, ne vivant que pour le foot et du foot ,se souvenir de lui, et lui donner une place ici est un devoir .

Joueur entraineur de l’USMBA 19661968, Zouba Hamid, Né à Saint Eugène (Bologhine) fief du MCA. Joueur de l’équipe historique du FLN.(ci contre) Basant son action sur la condition physique, la mobilisation psychologique du joueur tout en exigeant une conduite et une discipline de fer. Hamid a été de ceux qui nous ont inculqué la gagne.

Mohamed Doussas, natif de Sidi-BelAbbès est un des entraîneurs le plus écouté. Il a su d’entrer inculquer aux joueurs l’effort physique et la discipline. Nous n’oublierons jamais les rencontres de 1966 de Khroub et du CRB au stade du 19 Juin à Oran.

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LES DIRIGEANTS FIDELES AU DOCTEUR ABDELKADER HASSANI

H.A.CHIALI

S.OUHIBI

M . CHIKHI

DR.A.HASSANI

M.BENDELLA

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M.BEKKOUCHE B.BENDIMERED

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Bahou, à l’Institut Moulay Rachid à Rabat, l’Empereur à Tokyo & le stage surprise…d’Abidjan dont le tournoi n’a pas eu lieu….

A rabat avec hadj Mohamed Bahou, un grand serviteur de l’arbitrage.

En 2002 en arrivant au Palais de l’Empereur et l’Impératrice à Tokyo pour une réception avec arbitres et staff technique de la FIFA, y compris Robert Raia-

Ci contre les arbitres sélectionnés du centre pour diriger les matchs de l’UFOA qui devaient se jouer à Yamoussoukro, 2°ville du Pays « Côte d’ivoire »

Après le séminaire pour les arbitres sélectionnés à Abidjan, Le Ministre des sports m’a invité de rejoindre le groupe à Yamoussoukro, ayant des obligations au Pays, j’ai du incliner l’invitation. Heureusement, car les arbitres à peine installés à l’hôtel, sont restés enfermés, puisant nourritures, eau, et tout produits alimentaires disponibles à cause de l’insécurité régnant dans cette deuxième ville du Pays où les militaires et rebelles s’entretuaient.

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Le Régionalisme et la Société de Lacarne ? On aura tout entendu durant cette période où les Présidents connus ne lâchent rien pour sauver leurs équipes de la relégation, voir simplement des résultats insuffisants, les regards sont toujours tournés vers l’arbitrage et le corps des arbitres. S’agissant de Monsieur MENADI, Président de club d’Annaba, que je respecte comme tous les autres présidents a utilisé un canal de la presse pour déverser des idioties et inventer que je possédais une entreprise à Sidi-Bel-Abbès où se réunissaient les arbitres avant le déroulement des rencontres . Je me demande où cet Individu a pu inventer cette information pour la divulguer sereinement par les médias ! Qui connait Lacarne propriétaire d’une entreprise où je recevais les arbitres, du n’importe quoi pour justifier la descente aux enfers de la ligue 2 de son équipe Annaba qui mérite mieux, vu le standing possédé par cette grande équipe, et son histoire ! J’avais dans le temps fait une mise au point dans le journal « Echourouk », aucune publication, ni droit de réponse, car Monsieur MENADI, député à l’assemblée Nationale disposait d’une immunité, nous empêchait de l’ester en Justice, fallait il attendre jusqu’à la fin de son mandat ! Je le pense ! Et prendre le mal en patience, et encore ! Cependant , sans résultats à ce jour, malgré avoir informé la Fédération Algérienne de Football avec dossier complet à l’appui ,où alors c’est un coup du Président de la FAF qui excelle dans ses rôles ,que s’est il réellement passé avec Me BOUABDALLAH, avocat de la FAF et membre du bureau Fédéral ,a-t-il vraiment déposé plainte auprès des tribunaux comme il me le faisait croire à plusieurs reprises, je ne peux le confirmer ,car un dossier également pour diffamation a été déposé au niveau de la ligue Professionnelle du football, les résultats de cette diffamation à ce jour ne sont toujours pas connus ! Fédération et Ligue de Football professionnel, parlent le même langage comme un Seul Homme. L’U.S Annaba est descendu en Ligue 2 et Monsieur Menadi renvoyé des affaires du Club par le Populo ! Ceci n’empêche pas qu’il existe des Présidents de Club couverts par le Président de la FAF.

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Insolites Photos

Tout le staff technique de la CFA pour les stages séminaires à Relizane le 17 janvier 2012, une équipe soudée, disciplinée et particulièrement compétente, avec Zouaoui l’arbitre en photo.

Nous n’avons pas oublié Les Seydou le Mari appelé « le fils par tous ses amis, ici à Bamako lors du stage des arbitres de haut niveau en 1997, « une cerise sur le gâteau »toute la délégation du stage était invitée à la fête pour le mariage des SeydouFélicitations nous ne pouvons pas oublier cette journée.

Une rencontre à Nîmes en 2007 en France avec un ancien ami du SCBA, Jean Paul Lacasa, un virtuose de la balle ronde, quelle classe ?

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Ci contre le stade Modibo Keita où les arbitres s’entrainaient quotidiennement lors de la CAN 2002 au Mali, de beaux souvenirs de ce terrain où les stages pour arbitres se passaient également ici

Bouchardeau et Djingarey, arbitres Internationaux ont dû employé d’énormes efforts pour arriver au Top de la forme, ici le terrain de Niamey au Niger en 1989 au cours d’un stage, Bouchardeau à ma droite et Djingarey à ma gauche..

Belloumi et Burrechaga au mois de mars 1988 à Nantes lors d’un match amical EN Algérie /FC Nantes

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Une rencontre Internationale avec Monsieur le Ministre des sports pour la levée des couleurs à Dakar »Sénégal »

Stage Futuro II au Burundi avec Mohiédine Baccar, que son âme repose en paix et Tsala Mbala, devenu par la suite propriétaire d’un centre de formation.

Stage d’instructeurs à Yaoundé (Cameroun) 1990, avec Mes meilleurs souvenirs.

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Les stagiaires, promenade sur Bateau

Retrouvailles à Marseille pour un copieux repas Avec les anciens de Sidi-Bel-Abbès et le restaurateur D’Arzew Monsieur Lopez.

Dans la salle de conférence en 1999 au Caire

A Brazzaville pour stage continental.

Cap town 99 un tournoi CAF-UEFA avec les arbitres sélectionnés des deux camps.

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Deux photos prises, l’une devant l’hôtel Kempinskis CW Frankfurt 2006

l’autre à l’intérieur des espaces de l’hôtel CW Frankfurt 2006

:

Le stage pour formateurs du Continent Tunisie 2004 d’instructeurs

Une chambre haut standing que j’ai occupée en 2009 Pour la Coupe des Confédérations et en 2010 pour la Coupe du Monde – Un centre Magnifique avec toutes les Commodités y compris, Spa, Sonna, douche, bain turc ….

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A Rabat 1997 pour une formation

Le groupe devant la chambre de notre Chef de département d l’arbitrage BUSACA

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La Vulgarisation des lois du jeu chez les clubs

Trois opérations de formation pour prendre en charge la vulgarisation des lois du Jeu dans les clubs, la première ci-dessus en 1993 et la deuxième en 2003 à l’hôtel Du Mouflon d’Or à Alger »ci-dessous » Les clubs sollicités une troisième fois en 2012 n’ont pas répondu Favorablement, pourtant les joueurs et les staffs technique ont vraiment besoin.

Dans les jardins de l’hôtel du Mouflon d’or à Alger en 2003, avec au milieu le Président de la ligue Nationale Monsieur Mohamed MECHRARA, que de km ont Ils parcoururent sur les terrains et stades du territoire national ! Le Foot, c’est toute ma vie

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Les Missions « de la Coupe aux pays du Khalij & Le Premier Jeux Islamique à Médina (Saudia) 2005 »

Jeux Islamiques 2005 à Médine

Oman 2009

Koweït 2003 Le Foot, c’est toute ma vie

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Koweït 2003

Emirat « E.A.U » 2007 avec les assistants arbitres

Avec Kassaï Bahreïn 2013 Le Foot, c’est toute ma vie

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L’équipe Nationale en Formation en Suisse

Durant ces trois journées avec les joueurs disciplinés devant le Cheikh Saadane à qui je rends hommage pour le travail effectué.

La commission des arbitres à Berlin en 2006 avant la désignation d’Arbitres pour la finale Allemagne 2006, Pour la communication arbitres, j’ai utilisé la Vidéo Conférence.

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Mon Bureau, où les activités sportives ne se terminent pas.

Avec mes archives pour les consulter longtemps Inch’Allah

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Médailles, trophées, accréditations, reçus durant la longue carrière.

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Conclusion : Ma décision était déjà prise pour une fin de carrière en beauté, j’avais averti les instances internationales que dès mon retour de la coupe du Monde Brésil 2014, je mettrais fin à ma fonction de membre de la commission des arbitres de la FIFA et de la CAF – En septembre 2014, il fallait prendre ma retraite anticipée, car ma passion pour l’arbitrage était immense, cependant, il fallait prendre cette décision, car Monsieur Football, n’aurait jamais accepté de ne plus activé sur le plan national, tout en étant membre des commissions internationales. Une décision amère et dure qu’il fallait prendre contre mon gré . Cette décision a été prise devant les membres du bureau Fédéral en date du 25 Mars 2014 sous la présidence de Monsieur Football quittant la salle sans même levé la séance, car mon seul but était de servir l’arbitrage, tant sur le plan national qu’international, sans prendre de responsabilités, si non comment utiliser une commission de désignation des arbitres ? Mieux encore, lors de notre réunion septembre 2014, au cours de l’exposé sur le plan d’action de l’arbitrage, mon successeur, pour la légende n’a jamais mis un sifflet dans sa bouche alors que ce poste requiert de la technicité, de la compétence et de la gestion. En voulant prendre la parole pour une discussion ou débat franc sur ce que je venais d’entendre lors de l’exposé, Monsieur Football, sans scrupules m’a refusé de prendre la parole alors j’ai compris qu’il fallait mieux s’occuper d’autres choses, cependant je suis resté au sein de ce bureau Fédéral sans aucune utilisation à fin mai 2015. Ces derniers mois passé au niveau du bureau fédéral de Septembre 2014 à Mai 2015, je dois avouer que l’expérience vécue avec Monsieur Football, Le Foot, c’est toute ma vie

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que les compétences nationales n’étaient pas forcément un critère pour avoir droit au chapitre (Voir en annexe les correspondances envoyées à la FAF et les instances internationales) Malgré les quelques vicissitudes relatées, je déclare que le Football a été pour moi une grande école, et une grande fête, comme celle que je viens de relater ci-haut, Il m’a beaucoup appris, Il m’a beaucoup donné. Le plus souvent, il m’a suffi de le laisser faire... Mais sans cette multitude de braves gens cachés agissant dans l’ombre, à la recherche d’émotions fortes pour oublier leurs angoisses, leur misère, l’injustice ou l’oppression qu’ils vivent, et qui souvent n’ont que leurs bras, ou leurs cris à donner, que deviendrait ce Sport Roi ? Voilà un champ d’action où comme partout, deux forces interviennent. Celle du Bien. Et celle du Mal. J’espère avoir développé ma pensée, si Allah me le permet, car pour moi le Football n’est incompatible avec aucun devoir moral et aucune religion !

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Souvenir de la Coupe du Golf Koweït 2003 à l’occasion De l’invitation « d’un arbitre Fédéral » dans sa ferme.

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Les Annexes

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Curriculum Vitae 1 Correspondance de la CAF en date du 13 Octobre 1982 relative à la brillante performance en Espagne 82. 2 Décision de la FAF du 27 novembre 1986 me désignant Président de la LOFA 3 Félicitations de la FIFA du 6 Janvier 1987 pour ma désignation à la LOFA 4 Inscription sur la liste des Instructeurs FIFA du 9 Janvier 1992 5 Direction Sports Division du 24 Août 1995 me proposant sur demande de la Fédération Saoudienne dans le Comité pour le Développement et formation de l’arbitrage 6 Félicitations de Monsieur le Secrétaire Général d’UAFA pour ma brillante participation à la coupe du Monde Espagne 82 7 Félicitations du Président de l’UAFA, Fayçal Bin Fahd Bin Abdelaziz 8 UNAF pour ma désignation comme Président de la Commission des arbitres en date duO3 Octobre 2011. 9 Nomination FIFA d u 10 Octobre 2002 comme membre de la commission des arbitres 10 Composition de la Commission des arbitres FIFA 11 Remerciements de la Publication de la Préparation physique du 31/05/1996 12 Le Professeur A.Aberkane remercie la FAF pour la confiance 13 Les Missions effectuées pour le compte de la FIFA 14 Retrait de confiance de Belaid Lacarne envoyé par la JSMB et MCO au Président GFP 15 Invitation de la FFF au stage National des arbitres Français en date du 11.05.2000 16 Stages, séminaires, tournois de la FIFA 17 Stages, séminaires, tournois de la CAF 18 FIFA, Direction des Rencontres Internationaux 19 CAF, Direction des rencontres Continentales 20 Décision de retraite de ma part à la FIFA 03 septembre 2014 21 Décision de retraite de ma part à la CAF 04 Septembre 2014 22 Décision de prendre du recul de la FAF du 28 Mai 2015 23 Fin de mandat à ma demande par le Secrétaire Général de la FIFA En date 25.09.2015. 24

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