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Histoire de l’architecture en Algérie 2 (HAA 2) (XXème et XXIème siècles)
– Cours 4 –
Chapitre 1 : Période 1962 – 1990 : Période post-coloniale (4/4) À la recherche d'une architecture contemporaine maghrébine Dr. Bencherif M. Faculté d’architecture et d’urbanisme [email protected]
Etudiants concernés Faculté/Institut
Département
Niveau
Spécialité
Architecture et urbanisme
Architecture
Master 2
Architecture
Université Constantine 3
2019/2020. Semestre 2
Palais des Nations, Club des Pins (début des années 60)
Université Constantine 3
© Dr Bencherif M.
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Université d'Oran Es-Senia, 1961
Université Constantine 3
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Hôtel d'El Oued, 1966 (G. Gottin-Auziol)
Université Constantine 3
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Grands ensembles touristiques (F. Pouillon)
hôtel El-Mountazah, Seraidi, 1967
complexes touristiques, Tipaza, 1968 Université Constantine 3
hôtel El Marsa, Sidi-Fredj, 1968
hôtel Gourara, Timimoun, 1972 © Dr Bencherif M.
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Complexe islamique d'Alger, 1972 (Bouchama A.)
la façade avec ses références identitaires signent son style
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Mosquée El Emir Abdelkader, Constantine, 1976 (Mustapha Moussa) La conception est d’inspiration égyptienne avec une superficie de 12 ha ; deux minarets de 107m de haut ; la salle de prière dominée par une coupole s’élevant à 64 m de haut. Le dallage de marbre polychromé ; la décoration d’ensemble en pierre artificielle (mélange de ciment blanc et de la poudre de marbre ajoutée à l’onyx des carrières de Aïn Smara) qui est sculptée et peinte.
Portique d'entrée Université Constantine 3
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Moucharabieh en bois
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Musée de l’armée, Riadh el Fath, Alger, 1982 (Si Fodil Hocine)
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Complexe Riadh El Feth, Alger, 1985 (Lavalin, bureau d'études canadien)
Maqam Echahid: à 90m de hauteur (sculpteur polonais d’après l’idée de Bachir Yelles, peintre)) dominant l'esplanade Riadh el Fath. Les trois palmes représentent les 3 révolutions de l'Algérie; armée, agraire et culturelle. Ensemble culturel et commercial. Il comprend une salle de spectacle, une bibliothèque, le musée de l'armée, le musée du Djihad, 360 commerces, le village des artisans. le site de Riadh El Fath est une récupération des terrains des bidonvilles et cité de recasement de 1940 et1956. Université Constantine 3
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Complexe Riadh El Feth, Alger, 1985 (Lavalin, bureau d'études canadien)
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Palais de la culture, Alger, 1984 (Bachir Yelles)
Un monument historique reflétant toute la beauté et la sobriété de l'art islamique
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Quels constats ? (1/2) Le premier constat qui a pu être dégagé de cette forme d’urbanisation « d’urgence » est: - la croissance spatiale démesurée des villes. La taille des ZHUN ou lotissements, trop importante (100 ha en moyenne) par rapport à l’importance de la ville mère, donne lieu à la création de véritables villes nouvelles greffées au tissu existant et sans rapport avec lui (le cas de M’Sila, Batna, Tiaret, Annaba, Blida, sont significatifs à cet égard) - M’Sila comptait 29 000 hab. en 1977 ; les ZHUN et lotissements crées offrent une capacité de 16 000 logements, soit une population appelée à les occuper de 110 000 hab. Ces extensions urbaines démesurées ont pour effets négatifs de : • s’opérer sur des terres à vocation agricole (Constantine, Tizi Ouzou, Oran, Skikda, Tlemcen) • induire des frais de viabilisation extrêmement élevés (longueur des réseaux à réaliser). -Le second constat est la non intégration des ces nouveaux sites d’urbanisation (ZHUN, lotissement ou habitat illicite) aux tissus urbains existants ; ils ont constitué de véritables greffes aux tissus anciens sans intégration architecturale ou fonctionnelle. Le troisième constat consiste en la monofoncionalité de ces zones ; c’est à de véritables cités-dortoirs qu’il a été donné naissance, dépourvues de tout équipement d’accompagnement (ou réalisé en retard)
-Le quatrième constat, a trait à une occupation irrationnelle et non conforme aux études élaborées malgré l’existence du Plan d’Aménagement. Les considérations d’ordre économique et de profit dans l’entreprise, ont pris le pas sur une urbanisation rationnelle.
Cet habitat, qui est aussi bien monotone qu’anonyme (cité des 850 logts par exemple), se caractérise par des espaces non aménagés, absence des espaces verts et surtout, socialement, par l’aspect hétérogène de la population (origines diverses). Université Constantine 3
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Quels constats ? (2/2) Aujourd'hui, ils s'étalent largement : les médinas, longtemps fierté des vieilles familles citadines, ont été largement désertées par elles, colonisées par les ruraux, densifiées, négligées par les pouvoirs publics. Leur état de dégradation physique est à l'image de la pauvreté des locataires qui y habitent. les anciens quartiers européens ont été récupérés progressivement par les catégories aisées de la population qui se le sont réappropriées, à moins qu'elles n'aient été construire des villas dans les lotissements que chaque commune a ouvert à ses portes depuis les années 80. Là, se juxtaposent des blauckhus de 3 ou 4 niveaux, aux architectures composites, où s'étalent les fortunes des nouveaux riches. Jusqu'au début des années 1980, le manque d'encadrement poussa les autorités algériennes à faire appel aux bureaux d'études étrangers et à leur méthode de travail et d'organisation. l'Etat, initiateur du développement urbain, s'est fait également constructeur et a réalisé dans toutes les villes de grands ensembles, relativement uniformes (deux montées d'escaliers et 5 niveaux), qui ne doivent un minimum de variété qu'aux différentes entreprises qui les ont réalisés. Ils abritent les catégories nombreuses de serviteurs de l'Etat (employés, cadres, enseignants, etc.) enfin, les catégories populaires ont développé au cours des dernières décennies, un habitat autoconstruit, en dur, réalisé avec une grande économie de moyens : terrains marginaux de la ville, architecture sans architectes, participation de la force de travail familial, réalisation étalée dans le temps. Université Constantine 3
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L’unité nationale par l’architecture En Algérie, si nous regardons nos périphéries, que ce soit au Nord, au Sud, à l‘Est ou à l’Ouest, nous pouvons affirmer que nous avons réalisé notre unité nationale. En effet, en traversant le territoire national, on n’a aucunement l’impression d’avoir voyagé, tout le paysage urbain est le même partout à l’exception des anciennes médinas et des centres du 19ème et début du 20ème siècle qui ont, incontestablement, un caractère contextuel. Sur toutes nos périphéries qui sont souvent beaucoup plus importantes que les centres qu’elles enserrent, deux modèles se font la guerre : • Les opérations publiques qui implantent les mêmes habitats collectifs, au Nord comme au Sud, en plaine comme en montagne. • Le deuxième modèle, peut-être appelés les quartiers de « Villas » ou pour être plus juste, les quartiers en autoconstruction, qui expriment l’angoisse d’un tiraillement entre l’ancien et le nouveau, entre l’authenticité et l’efficacité, un compromis entre l’individuel et le communautaire ("l'immeuble familial" de 4 étages et de combien d’appartements ?). Ces quartiers, dont le caractère est inachevé sur tout le territoire, expriment l’angoisse d’un projet de société en transition, ce que Viollet–Le-Duc appelle « la recherche d’un mieux ignoré », mais expriment certainement aussi un véritable besoin d’architecture, en donnant tort à la production publique, à la production d’architectes.
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Conclusion
La ville maghrébine traditionnelle comportait des différences sociales et des cloisonnements ethniques (quartiers juifs, quartiers des noirs…), mais les masquait derrière un urbanisme sobre et des façades austères. La ville actuelle est au contraire toute en contrastes, elle constitue une mosaïque urbaine. Elle oppose les néo-citadins, campant aux portes de la ville et conservant certains comportements ruraux, aux vieilles familles citadines; les "Beldis" qui disposent d'une culture et d'un code urbains. Mais elle oppose également les nouvelles bourgeoisies enrichies dans le commerce ou les entreprises publiques. Les classes moyennes sont montées en force durant 20 ans et connaissent aujourd'hui les contrecoups de la récession, et les catégories populaires démunies se sentent exclues de la ville comme elles sont exclues des retombées du développement. C'est dans la ville que tous les contrastes sociaux s'exacerbent, ils ont leur traduction directe dans le paysage urbain. Ils ont, pendant un temps, été masqués par l'irruption brutale des catégories pauvres dans les logements vacants laissées par le départ des européens, un autre temps, ils ont été contenus par la politique d'austérité et d'égalitarisme en vigueur sous le régime socialiste. Les mêmes recherches d'économie et de systématisation furent prolongées après l'indépendance. Elles se basaient sur l'industrialisation et l'utilisation des modèlestypes.
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