Expose Ege Courants Economiques [PDF]

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Zitiervorschau

LES COURANTS DE LA PENSEE ECONOMIQUE

SOMMAIRE Introduction............................................................................................................................................. 1 I.

Le Mercantilisme ......................................................................................................................... 2

II.

La physiocratie............................................................................................................................. 3

III.

L’école classique (les classiques) ............................................................................................. 3

IV.

Les marxistes ........................................................................................................................... 4

V.

L’école Néoclassique ................................................................................................................... 5

VI.

L’école Keynésienne ................................................................................................................ 6

VII.

Nouvelle Economie Classique (NEC)........................................................................................ 7

Conclusion ............................................................................................................................................... 9 REFERENCES WEBOGRAPHIQUES............................................................................................................ II

I

LES COURANTS DE LA PENSEE ECONOMIQUE

Introduction Le discours politique et médiatique tend communément à ne considérer que les orientations doctrinales (communisme, socialisme, libéralisme, etc.), sans forcément d'ailleurs toujours bien maîtriser ces notions. Or, ces orientations doctrinales sont en réalité le résultat de courants théoriques de la pensée économique très souvent méconnus et qu'il convient de présenter. A ce titre, une phrase célèbre d'un des économistes les plus connus du XXème siècle, J.M. Keynes, souligne bien cette idée : « Tous les hommes politiques appliquent sans le savoir les recommandations d’économistes souvent morts depuis longtemps et dont ils ignorent le nom ». L'analyse économique contemporaine se fonde sur des théories économiques issues de différents courants de pensée. Ces derniers peuvent être complémentaires ou contradictoires, mais ils sont tous le fruit d'une évolution au cours des siècles et du contexte dans lequel ils émergent et se construisent. Malgré l'existence de nombreux courants, sept principaux peuvent être identifiés. Le bulletin économique présente de façon intelligible et synthétique les principaux courants de la pensée économique dans une perspective historique : du mercantilisme à partir du XVème siècle jusqu'à la nouvelle économie classique de nos jours, en passant par les courants physiocrates, classiques, marxistes, néoclassiques et keynésiens.1

Dans étude consistera donc à faire une description plus ou moins concise de chacun de ces courants économiques.

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Informations recueillies le 07/11/2020 à 23 :38 sur : https://www.leconomiste.eu/decryptage-economie/233les-grands-courants-de-la-pensee-economique.html

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LES COURANTS DE LA PENSEE ECONOMIQUE

I.

Le Mercantilisme

Les mercantilistes ont les premiers, du XVI jusqu’au XVIII siècle, défini des concepts permettant d’expliquer la richesse des nations et recommandé, ou mis en œuvre, des mesures pour favoriser leur dynamisme économique. Selon eux, les objectifs visés sont simples : richesse et puissance et pour ce faire, on compte trois facteurs de croissance : abondance en hommes, abondance en argent et intervention étatique. ➢ Abondance en hommes car il faut une main d’œuvre importante ; ➢ Abondance en argent, signe de richesse et de puissance d’une nation ; ➢ Intervention de l’Etat notamment en matière de commerce extérieur L’Etat joue donc un rôle majeur dans la course à la richesse : c’est à lui que revient le devoir de stimuler l’activité économique et l’emploi. Il doit aider et protéger les entreprises et être centralisé pour pouvoir imposer sa politique et contrôler les échanges commerciaux. La politique mise en place au XVII siècle par Colbert l’illustre parfaitement : il a cherché à doter l’Etat français d’une balance commerciale excédentaire en encourageant le commerce. Il faut se rappeler que les premiers mercantilistes ont vécu à une époque où les pays européens étaient divisés en fiefs seigneuriaux nécessitant de s’acquitter de multiples taxes et droits de passage. Ils ont alors cherché à favoriser la suppression de ces « douanes internes ». Mais pour qu’un Etat soit puissant, il faut que ses caisses soient pleines de métaux précieux. Comment les remplir ? En exportant notamment des produits manufacturés échangés contre des métaux précieux et en limitant les importations au moyen de fortes taxes. Parallèlement, les mercantilistes préconisent des taux d’intérêt bas pour favoriser la consommation et l’activité économique intérieure. Ce type de politique est donc à double tranchant, car elle peut aussi contribuer à accentuer le déficit commercial en stimulant la demande des produits importés.2

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Informations recueillies le 30/11/20 à 17:36 sur : https://www.economie.gouv.fr/facileco/mercantilistes

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LES COURANTS DE LA PENSEE ECONOMIQUE

II.

La physiocratie

L’école physiocratique, première grande école économique, s’est développée en France au XVIII siècle avec pour maître à penser, François Quesnay (1694-1774). La physiocratie signifie le « gouvernement de la nature ». Les physiocrates se sont définis comme des « philosophes économistes ». En réponse aux mercantilistes, les physiocrates affirment que l’État n’a pas à intervenir dans la sphère économique. C’est inutile puisque l’économie est gouvernée par des lois naturelles analogues aux lois physiques. Des lois valables en tout temps et en tout lieu. Cette universalité met tout le monde sur un pied d’égalité si on respecte la « liberté du commerce » et la « liberté de l’industrie ». Il faut bannir les « servitudes seigneuriales » pour les paysans et les « servitudes gouvernementales » pour les industriels qui mettent des freins au développement économique. Il faut « laisser faire, laisser passer » et supprimer toutes les barrières douanières. Vivant dans une société qui reste essentiellement rurale, les physiocrates estiment que seule la nature, et donc les paysans, produisent de la richesse. Les propriétaires fonciers vivent du surplus dégagé par les agriculteurs. Quant aux artisans et ouvriers, ils ne font que transformer des produits qui proviennent de la nature et forment donc une « classe stérile » !3

III.

L’école classique (les classiques)

Pour bien monter sa rupture totale avec les économistes qui l’avaient précédé, Karl Marx dans Le capital a, le premier, qualifié ces auteurs de « classiques ». Ce sont essentiellement des économistes anglais et français du XVIII siècle et du XIX siècle : Adam Smith, Thomas Malthus, David Ricardo, Jean-Baptiste Say et Frédéric Bastiat. Ils marquent une période d’intense réflexion sur le fonctionnement de l’économie, alors que se développent rapidement la société industrielle et le capitalisme moderne. Les « classiques »

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Informations recueillies le 30/11/20 à 17:36 sur : https://www.economie.gouv.fr/facileco/physiocratie

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LES COURANTS DE LA PENSEE ECONOMIQUE essayent de définir des « lois économiques universelles », valables à toutes les époques et partout. Leurs ambitions sont similaires, mais les concepts et les théories économiques des « classiques » sont très divers. Quoi de commun entre Thomas Malthus qui estime que l’ouverture des frontières est dangereuse et David Ricardo, pour qui le développement du commerce international est source de richesses pour un pays ? Les économistes classiques sont néanmoins, dans l’ensemble, au moins d’accord sur un point : l’intervention directe de l’État dans l’économie doit être limitée au minimum nécessaire pour garantir le bon fonctionnement du marché. En cela, on peut considérer qu’ils sont libéraux. Les « classiques » s’interrogent tous sur l’origine et la formation des richesses. Si leurs réflexions divergent sur ce point, ils estiment cependant que l’offre et la demande tendent à s’équilibrer. Les déséquilibres ne sont que provisoires. Cet ordre naturel engendre également une division du travail. Chaque être humain a des compétences spécifiques qui lui permettent de réaliser au mieux ce qu’il doit faire dans la société comme dans une entreprise.4

IV.

Les marxistes

Le concept marxiste : « la dictature du prolétariat » La théorie marxiste repose sur une analyse « matérialiste » de l’évolution de l’histoire. Ce ne sont pas les idées qui sont prédominantes, mais les conditions matérielles et l’évolution des modes de production. Autrement dit, c’est « l’infrastructure » économique, c’est-à-dire la base économique de la société qui explique son évolution et non sa « superstructure » idéologique, juridique et politique. Les marxistes appréhendent l’économie comme une succession de modes de production : le mode féodal a laissé place au mode de production capitaliste, celui-ci sera remplacé par les modes de production socialiste et communiste.

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Informations recueillies le 30/11/20 à 17:36 sur : https://www.economie.gouv.fr/facileco/les_classiques

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LES COURANTS DE LA PENSEE ECONOMIQUE Pour les marxistes, le capitalisme va en effet s’effondrer pour laisser place au socialisme car il repose sur une contradiction essentielle : la « baisse tendancielle du taux de profit ». Cette baisse progressive du profit s’explique ainsi : ce qui donne de la valeur à un produit, c’est, pour Marx, le travail qui a été nécessaire pour sa production. Mais les capitalistes doivent investir de plus en plus dans les moyens de production (les machines, aujourd’hui les ordinateurs, les robots…) pour faire face à la concurrence. Il faut donc de plus en plus de capital pour financer ces investissements, mais la valeur des biens produits n’augmente pas pour autant puisque cette valeur repose, selon la théorie marxiste, sur le travail uniquement. Le taux de profit baisse ainsi inévitablement. Pour sauver leurs bénéfices, les capitalistes vont augmenter leur production et baisser les salaires ou réduire le nombre de salariés qu’ils emploient. Ainsi, le pouvoir d’achat global diminue alors que la production augmente. La surproduction est donc inévitable et se généralise à tous les secteurs d’activité. Miné par cette contradiction fondamentale, le système capitaliste court à sa perte. Mais pour faire « du passé table rase », il faudra une dictature du prolétariat et une appropriation collective des moyens de production. L’État gérera alors l’ensemble du système productif. Puis, stade ultime de cette évolution du système économique, l’État disparaîtra et la richesse sera redistribuée « à chacun selon ses besoins ». La société sera alors « communiste », la propriété sera commune, il n’y aura plus de classes sociales et d’ « exploitation de l’homme par l’homme ».5

V.

L’école Néoclassique

L'école néoclassique est un terme générique utilisé pour désigner plusieurs courants économiques qui étudient la formation des prix, de la production et de la distribution des revenus à travers le mécanisme d'offre et de demande sur un marché. L'hypothèse de maximisation de l'utilité qui sous-tend ses calculs économiques la rattache au courant marginaliste né à la fin du XIXe siècle. Des trois fondateurs du marginalisme à savoir Léon

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Informations recueillies le 30/11/20 à 17:36 sur : https://www.economie.gouv.fr/facileco/marxistes

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LES COURANTS DE LA PENSEE ECONOMIQUE Walras, Carl Menger et William Stanley Jevons, le premier nommé est celui qui a la plus forte influence sur l'école néoclassique au début du XXIe siècle. Le mot néoclassique a été introduit à l’origine par Thorstein Veblen en 1900 pour désigner des auteurs qui intègrent la révolution marginaliste initiée par Stanley Jevons et l'école autrichienne (il n'évoque pas Léon Walras). Les « classiques » sont Adam Smith et David Ricardo, qui ont vécu la 1re révolution industrielle anglaise (coton, fonte et charbon). Thorstein Veblen classe notamment sous le vocable de « néoclassique » Alfred Marshall et les Autrichiens. À partir des années trente à la suite des travaux de John Hicks le courant walrasien va prendre une place croissante et incorporer une partie de l'apport keynésien à travers la synthèse néoclassique. Cette évolution va conduire les économistes dits « autrichiens » à se considérer de plus en plus comme hors de l'école néoclassique et à approfondir ce qui les différencie des autres courants marginalistes. À la question « Qui n'est pas néoclassique ? », il est possible de répondre : l'économie marxiste, le post-keynésianisme, l'école autrichienne et certains courants de la nouvelle économie institutionnelle ou de l'institutionnalisme. Pour E. Roy Weintraub, si l'école néoclassique représente l'orthodoxie et est enseignée dans les grandes universités, elle le doit à sa capacité à « mathématiser » et à « scientifiser » l'économie ainsi qu'à fournir des indications susceptibles de nous éclairer sur les conduites à suivre. David Flacher (université Paris 13) note cependant que « l'effet est cumulatif : une fois que les orthodoxes sont devenus hégémoniques, ils ont évincé les autres courants ».6

VI.

L’école Keynésienne

Keynésianistes, années 30, puis années 50-70 L’intervention de la puissance publique dans l’économie a été décisive à maintes reprises. En France, depuis Colbert, l’État a joué à plusieurs périodes un rôle moteur important dans

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Informations recueillies le 30/11/20 à 17:37 sur : https://fr.m.wikipedia.org/wiki/neoclassique

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LES COURANTS DE LA PENSEE ECONOMIQUE l’économie. C’est pourtant un anglais, l’économiste John Maynard Keynes qui a théorisé l’interventionnisme public dans l’économie au lendemain de la crise de 1929. Pendant les Trente Glorieuses, la politique économique française menée par l’État était assez dirigiste, avec notamment, le soutien public à des secteurs jugés stratégiques (aéronautique, informatique, téléphonie…) pour le pays. Depuis, le débat entre les partisans d’une implication minimum de l’État dans l’économie et les interventionnistes qui estiment qu’il doit fixer le cap du développement économique en intervenant si nécessaire est permanent. Mais au-delà de la théorie, le pragmatisme s’impose quand c’est vraiment nécessaire. A l’exemple des États Unis, où le Président, quelle que soit sa couleur politique, n’a jamais hésité à mettre en œuvre des mesures très keynésiennes pour relancer, notamment, le pouvoir d’achat. Seule l’efficacité compte alors. Mais en Europe, la législation communautaire encadre très précisément le champ d’intervention de l’État, ce qui limite sa marge de manœuvre.

VII.

Nouvelle Economie Classique (NEC)

La Nouvelle économie classique ou Nouvelle macroéconomie classique ou encore Nouvelle école classique est un courant de pensée économique qui s'est développé à partir des années 1970. Elle rejette le keynésianisme et se fonde entièrement sur des principes néoclassiques. Sa particularité est de reposer sur des fondations micro-économiques rigoureuses, et de déduire des modèles macroéconomiques à partir des actions des agents eux-mêmes modélisés par la micro-économie7. En outre, Récemment, certains économistes américains d’inspiration libérale ont repris l’analyse « classique » d’Adam Smith, David Ricardo et Jean-Baptiste Say, en partant d’un nouveau postulat : avant de décider d’investir, de produire, de consommer ou d’épargner, tous les agents économiques utilisent rationnellement les informations de plus en plus nombreuses dont ils disposent. Robert Lucas, prix Nobel d’économie en 1995, est le plus célèbre représentant de cette école. Pour lui, avant d’agir, nous anticipons l’avenir. Ces « anticipations rationnelles » sont immédiates, selon les nouveaux classiques. Inutile donc, par exemple, de tenter de relancer la consommation en baissant les taux d’intérêts ou en augmentant la masse monétaire. Les banques vont anticiper une reprise de l’inflation et 7

Informations recueillies le 30/11/20 à 17:37 sur : https://fr.m.wikipedia.org/wiki/nouvelle_economie_classique

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LES COURANTS DE LA PENSEE ECONOMIQUE remonter les taux de prêts aux consommateurs. Cette course à l’échalote rend donc vaine les politiques économiques puisque les acteurs anticipent ses conséquences négatives. Quelques hypothèses centrales de cette École sont : ➢ Rationalité des agents (qui cherchent à maximiser leur utilité), ➢ Anticipations rationnelles, ➢ À chaque instant, l'économie possède un équilibre unique (avec plein emploi et pleine utilisation des capacités de production) et cet équilibre est atteint par un mécanisme d'ajustement des prix et des salaires. La théorie des cycles réels est une théorie majeure développée par ce courant. Les nouveaux classiques comprennent : Robert Lucas Jr (« Prix Nobel » d'économie 1995) Finn E. Kydland (« Prix Nobel » d'économie 2004) Edward C. Prescott (« Prix Nobel » d'économie 2004) Robert Barro Neil Wallace Thomas Sargent (« Prix Nobel » d'économie 2011)8

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Informations recueillies le 30/11/20 à 17:36 sur : https://www.economie.gouv.fr/facileco/nouvelle_economie_classique

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LES COURANTS DE LA PENSEE ECONOMIQUE

Conclusion Au terme de cette étude, il ressort que les sept courants économiques évoqués ci-dessus restent les principaux jusqu’à ce jour. Et ces derniers sont parfois complémentaires, parfois contradictoires, mais ils sont tous le fruit d'une évolution au cours des siècles et du contexte dans lequel ils émergent et se construisent. Toutefois, d’autre courant aussi bien classiques que contemporains ont vu le jour, tels que L’école monétariste des années 60 à aujourd’hui. Il va sans dire que la création des courants économiques est plus ou moins liée aux problèmes socio-économiques rencontrés par nos différentes sociétés et générations depuis l’antiquité jusqu’aujourd’hui. Considérant cela et sachant que les problèmes socio-économiques diffèrent d’un continent à l’autre, une question nous vient alors à l’esprit à savoir, ne serait-il pas judicieux de créer une école économique adaptée aux réalités de l’Afrique ?

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LES COURANTS DE LA PENSEE ECONOMIQUE

REFERENCES WEBOGRAPHIQUES [1]https://www.leconomiste.eu/decryptage-economie/233-les-grands-courants-de-la-penseeeconomique.html visité le 07/11/2020 à 23 :38 [2]https://www.economie.gouv.fr/facileco/courants_de_pensées_economique visité le 30/11/2020 à 17:35 [3] https://fr.m.wikipedia.org/wiki/ecole_de_pensée_economique visité le 30/11/2020 à 17:37

II