Entrer Dans La Présence de Dieu - Derek Prince [PDF]

ENTRER LA PRÉSENCE DE DIEU Aller au-delà de la louange et de l'action de grâce à la vraie adoration DEREK PRINCE Conte

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ENTRER LA PRÉSENCE DE DIEU Aller au-delà de la louange et de l'action de grâce à la vraie adoration DEREK PRINCE

Contenu Introduction Chapitre Un : Votre attitude en présence de Dieu Chapitre deux : Notre réponse appropriée Chapitre trois : En esprit et en vérité Chapitre 4 : Votre corps : nettoyé par le sang et l'eau Chapitre cinq : Votre âme : une approche émotionnelle du culte Chapitre six : Votre esprit : le chemin vers le lieu le plus saint Chapitre sept : Quatre bénédictions de la nouvelle alliance Chapitre Huit : Quatre exigences des vrais adorateurs Chapitre neuf : Notre attitude physique d'adoration Chapitre dix : L'inévitabilité du culte Chapitre onze : Adorer au trône A propos de l'auteur

Introduction À partir de la fin des années 1970 et tout au long des années 1990, quelque chose d'assez remarquable a façonné le cours de l'histoire de l'Église. Une révolution de louange et d'adoration a balayé le corps de Christ dans le monde entier sous des noms comme Maranatha, Integrity Hosanna ! Music et Hillsong sont devenus des noms familiers. Des millions de croyants ont sorti leur nez des hymnes poussiéreux et ont levé des visages, des mains et des voix vers le ciel. Une nouvelle race de psalmistes a peuplé un nouveau recueil de chants frais avec des hymnes "verticalement orientés". Et ce n'était pas seulement le culte « d'entreprise », ou de groupe, qui a fleuri dans ce printemps spirituel. D'innombrables moments de calme sont devenus moins ... eh bien, calmes et beaucoup plus excitants à mesure que les gens découvraient le pouvoir des louanges privées et personnelles. Cette révolution a eu un précurseur. Sous-jacent et animant ce phénomène extraordinaire était ce qui est devenu connu sous le nom de Renouveau charismatique mondial des années 60 et 70 - un mouvement dans lequel l'œuvre et la personne du Saint-Esprit ont été restaurées dans la plénitude de l'Église. Partout où l'Esprit disposait de latitude, il prenait les gens par la main et les conduisait dans la présence guérissante et rafraîchissante du Père. Au milieu de ce mouvement charismatique historique se trouvait Derek Prince. Si vous êtes nouveau à Derek Prince, vous devez savoir qu'il est largement reconnu comme l'un des véritables grands esprits chrétiens du XXe siècle. C'était un citoyen britannique qui a vécu la majeure partie de la seconde moitié de sa vie aux États-Unis et en Israël. Il a fait ses études à la prestigieuse université de Cambridge en Angleterre, où il était un contemporain de CS Lewis. (Combien d'enseignants de la Bible connaissezvous qui ont été boursiers en philosophie ancienne et moderne à Cambridge ?) À l'automne 2003, Derek Prince est décédé dans sa Jérusalem bien-aimée - sa maison pendant près de vingt ans. Il avait quatre-vingt-huit ans. Comme vous êtes sur le point de le découvrir dans les pages qui suivent, ces incroyables références intellectuelles ne signifiaient pas que l'enseignement de Derek était sec,

abstrait ou pédant. Il avait peut-être l'esprit d' un philosophe, mais Dieu lui a donné l'âme d'un poète libre d'esprit. Vous trouverez l'enseignement de Derek Prince inspirant, édifiant, pratique, éclairant, toujours accessible - et jamais plus que sur les sujets importants de l'adoration et de la communion avec Dieu. Dans l'une de ses émissions de radio largement acclamées dans les années 1980, Derek a déclaré : J'ai eu le privilège de voyager et d'exercer mon ministère dans de nombreux pays différents du monde, et j'ai été dans de nombreux endroits où l'Esprit de Dieu se déplaçait et où l'Esprit de Dieu était répandu et où les dons spirituels étaient en opération. Mais j'ai été dans peu d'endroits où il y avait des louanges et des adorations vraies, pures et ointes offertes à Dieu. Lorsque vous venez à Dieu dans le culte spirituel, vous entrez en communion avec Dieu. Par l'adoration et la communion, vous recevez la révélation. Bien que je n'enseigne pas cela comme un moyen d'obtenir des choses de Dieu, il est néanmoins vrai que lorsque nous nous approchons de Dieu sur une base acceptée avec une louange et une adoration acceptables, il n'y a vraiment aucune limite à ce que Dieu fera pour nous. Derek Prince était particulièrement bien équipé pour vous apporter des vérités et des idées pour vous aider à entrer correctement et efficacement dans la sainte présence de Dieu ; explorer des dimensions plus profondes dans le culte; et trouver l'intimité, la force, la puissance et la transmission dans "le lieu très saint". Préparez-vous à découvrir à quel point cet endroit est vraiment merveilleux. - Ministères Derek Prince

Chapitre un Votre attitude en présence de Dieu L'adoration est l'un des thèmes principaux de la Bible et quelque chose d'une importance capitale dans la vie du croyant. Pourtant, la plupart des chrétiens n'ont pas une compréhension claire de la nature du culte.

Lorsque la plupart des fidèles parlent de culte, ils font référence à leur culte du dimanche matin. Ils parlent d'hymnes et de chœurs, et de la congrégation debout et chantant la musique prévue pour la journée. Malheureusement, je crains que dans beaucoup de ces églises, très peu de culte ait lieu. Si c'est le seul cadre de référence sur le sujet pour le croyant moyen, alors il n'a même pas commencé à adorer. Dans ce livre, nous examinerons l'adoration en regardant au-delà des actions et des comportements, là où l'adoration a vraiment lieu : dans le cœur. Nous définirons des concepts comme la louange, l'action de grâce et l'adoration. Nous identifierons les choses qui peuvent entraver notre adoration. Et nous décrirons la progression qui nous conduira, étape par étape, dans la présence même de Dieu où nous pourrons entendre sa voix et trouver du repos dans ses bras. Notre offre Chaque fois que nous entrons dans la présence de Dieu, il exige que nous lui apportions divers cadeaux ou sacrifices. Ceux-ci incluent, mais sans s'y limiter, l'argent et les biens matériels. Mais, à un niveau supérieur, l'Écriture parle de divers dons ou sacrifices spirituels que Dieu demande à ses disciples de lui apporter. Ces dons spirituels sont l'action de grâce, la louange et l'adoration. Lorsque nous entrons dans la présence de Dieu, il exige que nous apportions des cadeaux. Nous utilisons souvent ces termes de manière interchangeable. Je les compare aux couleurs de l'arc-en-ciel qui sont distinctes, mais se fondent également les unes dans les autres sans lignes de démarcation absolues. De même, l'action de grâce, la louange et l'adoration sont distinctes, mais elles se fondent naturellement l'une dans l'autre. Voici comment je les distingue : Thanksgiving se rapporte à la bonté de Dieu. La louange se rapporte à la grandeur de Dieu. L'adoration se rapporte à la sainteté de Dieu. La sainteté est dans une classe à part. C'est l'attribut de Dieu qui est le plus difficile à comprendre pour l'esprit humain parce qu'il n'a pas d'équivalent sur terre. Nous pouvons parler de la sagesse de Dieu parce que nous connaissons des gens sages. Nous pouvons parler de la grandeur de Dieu parce que nous connaissons des gens formidables. Nous

pouvons parler de la puissance de Dieu parce que nous avons vu des démonstrations d'une grande puissance. Mais, en dehors de Dieu, il n'y a pas d'exemple terrestre de sainteté c'est quelque chose d'unique à Dieu et à ceux qui l'ont reçu de Lui. Je crois que l'adoration est directement liée à la sainteté de Dieu. Mais parce qu'il est difficile de comprendre Sa sainteté, il peut être difficile de comprendre pleinement et d' entrer dans l'adoration. Par conséquent, l'adoration est le plus difficile de ces trois dons ou sacrifices pour le croyant à offrir d'une manière acceptable pour Dieu. L'action de grâces et la louange sont principalement des paroles de la bouche, mais l'adoration est principalement une attitude. Ainsi, il est important de comprendre ces trois termes si nous voulons être en mesure de les intégrer à notre offrande à Dieu. L'action de grâces et la louange sont des paroles, mais l'adoration est une attitude. Louer La louange court comme un fil d'or dans toute la Bible, du début à la fin. La louange est éternelle ; son origine est dans le ciel. C'est l'occupation incessante de tous les êtres glorieux et éternels qui habitent le ciel, où ils jouissent d'un accès étroit et ininterrompu à Dieu lui-même. Un accès ininterrompu appelle des éloges ininterrompus. La louange est également associée à la terre depuis son origine. Dans Job 38, Dieu a défié Job avec cette question : Où étais-tu quand j'ai posé les fondations de la terre ?...Quand les étoiles du matin chantaient ensemble, et tous les fils de Dieu criaient de joie ? (Job 38:4, 7). Quelle belle image du commencement de la terre ! C'est la louange qui a fait d'abord tourner notre planète sur sa course céleste, et c'est la responsabilité du peuple de Dieu sur cette planète de veiller à ce que la louange continue de marquer son cours jusqu'à ce que le ciel et la terre ne soient plus. La louange est la manière appropriée dont nous nous rapportons à Dieu en tant que Roi sur Son trône. Pourtant tu es saint, ô toi qui es intronisé sur les louanges d'Israël. (Psaume 22:3 LSG)

Combinée à l'action de grâce, la louange nous donne accès à Dieu. Nous voyons cela dans le Psaume 100 où le psalmiste a dit : Entrez dans ses portes avec action de grâces, et dans ses parvis avec des éloges. Rendez grâces à Lui; bénisse son nom. (Psaume 100:4 LSG) Voici deux degrés d'accès. Premièrement, à travers les portes de Dieu, et ensuite, à travers Ses parvis. Le psalmiste indique que c'est l'action de grâce qui nous fait franchir les portes, mais la louange nous fait entrer dans les parvis. Ceci est également magnifiquement illustré dans Isaïe où le prophète a dit au peuple de Dieu : La violence ne se fera plus entendre dans votre pays, ni dévastation ou destruction à l'intérieur de vos frontières ; mais tu appelleras tes murs salut, et tes portes louer. (Ésaïe 60:18 LSG) Dieu demeure dans un lieu de paix et de tranquillité parfaites. Non seulement il n'y a ni violence ni destruction, mais il n'y a même pas de bruits de violence ou de destruction. Mais remarquez le chemin d'accès : toutes les portes sont louables. En d'autres termes, le seul moyen d'accéder au lieu de la présence et de la demeure de Dieu passe par la louange. Sans louanges, nous n'avons pas accès aux cours extérieures. Action de grâces Par conséquent, puisque nous recevons un royaume qui ne peut être ébranlé, ayons la grâce, par laquelle nous puissions servez Dieu de manière acceptable avec révérence et crainte de Dieu. (Hébreux 12:28) Ici, dans la version New King James, il est dit : « ayons la grâce ». Mais la nouvelle version internationale traduit différemment le même verset : Par conséquent, puisque nous recevons un royaume qui ne peut être ébranlé, soyons reconnaissants, et donc adorons Dieu acceptable avec révérence et crainte. (NIV) En fait, chacun est une traduction correcte. En grec, "avoir la grâce" le mot clé est charis revient à dire "merci". Il y a un lien direct entre la grâce et la gratitude. Une personne ingrate est une personne qui est en dehors de la grâce de Dieu. Vous ne pouvez pas être ingrat et être trouvé dans la grâce de Dieu.

Trois des langues romanes du monde, celles basées sur le latin, conservent toutes un lien direct entre la grâce et la reconnaissance. En français, grâce à Dieu signifie "grâce à Dieu". En italien, le mot pour "merci" est grazie. En espagnol, c'est gracias. Vous ne pouvez pas séparer la reconnaissance de la grâce de Dieu. Lorsque nous disons « grâce » avant un repas, nous disons en réalité « soyons reconnaissants ». Il y a un beau passage dans le Psaume 95 qui décrit la progression vers l'adoration. Cela commence par des louanges fortes et jubilatoires - beaucoup plus fortes que certaines églises ne le permettent. Oh viens, chantons à l'Éternel! crions joyeusement vers le Rocher de notre salut. (Psaume 95:1) Remerciements et louanges. Il n'y a pas d'autre chemin vers la présence de Dieu. Cela ne signifie pas chanter fort - crier signifie crier. J'aime ça. Je pense que s'il y a une chose que Dieu a du mal à accepter, c'est la louange en demi-teinte. L' Ecriture dit : " L'Eternel est grand et très digne de louange" (Psaume 145:3). En fait, si vous n'êtes pas prêt à le louer beaucoup, ne le faites pas du tout. Venons-en devant sa présence avec action de grâces ; crions joyeusement vers lui avec des psaumes. (Psaume 95:2) Remarquez à nouveau les deux étapes de l'accès : l'action de grâces et la louange. Il n'y a pas d'autre chemin vers la présence de Dieu. Les trois versets suivants nous donnent la raison pour laquelle nous devrions louer et remercier Dieu. La Bible est très logique. Il ne nous demande pas seulement de remercier et de louer Dieu ; il nous dit pourquoi. Car l'Éternel est le grand Dieu, et le grand roi au-dessus de tous les dieux. (Psaume 95:3) Rappelez-vous que j'ai dit que c'est par la louange que nous reconnaissons la grandeur de Dieu. Donc, ici, le mot grand est utilisé deux fois. Le Seigneur est "le grand Dieu et le grand Roi au-dessus de tous les dieux". Nous reconnaissons sa grandeur par des louanges bruyantes, jubilatoires et enthousiastes. Ensuite, nous Le voyons comme le puissant Créateur.

Dans sa main sont les profondeurs de la terre ; la les hauteurs des collines sont aussi à lui. La mer est à lui, car il l'a fait, et ses mains ont formé la terre sèche. (Psaume 95:4-5) La seule réponse à une révélation de la sainteté de Dieu est l'adoration. Alors nous venons à lui pour le remercier, le louer pour les merveilles de sa création. Mais ce n'est que notre voie d'accès. Au verset six, nous venons adorer. La louange et l'action de grâce sont vraiment notre façon d'aborder l'adoration. Alors remarquez, dès que nous venons adorer, c'est une attitude. Oh viens, adorons et prosternons-nous; agenouillez-vous devant l'Éternel, notre Créateur. (Psaume 95:6) Ici nous sommes passés de l'énoncé à l'attitude. Nous avons commencé par des louanges et des actions de grâces, mais ce n'était ni la fin ni le but. Lorsque les chrétiens s'arrêtent à la louange et à l'action de grâce, ils ont vraiment raté le but : le vrai culte qui n'est pas une parole mais une attitude. Culte Lorsque vous entrez en contact avec, devenez conscient ou avez une révélation de la sainteté de Dieu, il n'y a qu'une seule réponse appropriée : l'adoration. Sans une telle révélation, nous ne pouvons pas vraiment avoir d'adoration. Nous pouvons avoir un service de chants, mais nous n'entrons pas dans l'adoration jusqu'à ce que nous ayons une révélation, aussi inadéquate soit-elle, de la sainteté de Dieu. Et la sainteté de Dieu ne s'explique pas. Il ne peut pas être défini. Il ne peut qu'être révélé. C'est très important parce que je pense que beaucoup de chrétiens ont l'idée que la sainteté est un ensemble de règles sur où vous pouvez aller, ce que vous pouvez faire et comment vous pouvez parler et vous habiller. Cela n'a rien à voir avec la sainteté. Paul était très catégorique à ce sujet dans Colossiens : Par conséquent, si vous êtes mort avec Christ depuis le début principes du monde, pourquoi, comme si on vivait dans le monde, vous soumettez-vous à des règlements ; "Fais ne touchez pas, ne goûtez pas, ne touchez pas", qui concernent tous des choses qui périssent avec l'usage; selon aux commandements et aux doctrines des hommes? Ces les choses ont en effet une apparence de sagesse dans la religion auto-imposée,

la fausse humilité et la négligence du corps, mais n'ont aucune valeur contre l'indulgence de la chair. (Colossiens 2:20-23) C'est si profondément vrai. Plus vous vous concentrez sur les choses que vous ne devez pas faire, plus ils ont de pouvoir sur vous. Vous pensez à vous-même, ne perdez pas votre sang-froid; quoi que vous fassiez, ne vous énervez pas. Quelle est la prochaine chose que vous faites ? Vous perdez votre sang-froid, car vous vous concentrez sur la mauvaise chose. Pas étonnant que beaucoup de gens aient décidé qu'ils ne voulaient rien avoir à faire avec la sainteté. Hébreux 12 parle de la discipline que Dieu, en tant que Père, a pour ses enfants : Car ils [nos pères humains] en effet pour quelques jours nous châtia comme il leur sembla le mieux, mais pour notre profit, afin que nous participions à sa sainteté. (Hébreux 12:10) La sainteté n'est pas un ensemble de choses à faire et à ne pas faire. Dieu n'est pas saint parce qu'il a un ensemble de règles devant lui afin de contrôler sa propre conduite. Les règles n'ont rien à voir avec la sainteté biblique ou divine. Attributs de Dieu La sainteté est l'essence de ce que Dieu est. Tout ce qui concerne Dieu est saint. Ainsi, afin d'avoir une compréhension de la sainteté, nous devons avoir une compréhension de qui est Dieu et à quoi Il ressemble. Permettez-moi donc de décrire certains des attributs de Dieu, ce que la Bible dit que Dieu est. Dieu est lumière C'est le message que nous avons entendu de Lui et vous déclarer que Dieu est lumière et qu'en lui il n'y a pas l'obscurité du tout. (1 Jean 1:5) Dieu est lumière. Non seulement il crée ou envoie de la lumière, mais il est lui-même lumière.

Dieu est amour Celui qui n'aime pas ne connaît pas Dieu, car Dieu est l'amour.... Et nous avons connu et cru l'amour qui Dieu a pour nous. Dieu est amour, et celui qui demeure dans l'amour demeure en Dieu, et Dieu en lui. (1 Jean 4:8, 16) Dieu est à la fois lumière et amour. Il y a une tension entre la lumière et l'amour. La lumière peut vous effrayer ; l'amour vous attire. Je pense qu'il y a une tension similaire dans notre relation avec Dieu. Nous voulons nous rapprocher de lui, mais nous nous sentons mal à l'aise d'entrer dans cette lumière qui englobe tout. Dieu est justice et jugement fait absolument partie de Sa nature. Dans le Deutéronome, Moïse a souligné ceci : Car je proclame le nom de l'Éternel: attribuez grandeur à notre Dieu. Il est le Rocher, Son œuvre est parfait; car toutes ses voies sont justice, un Dieu de vérité et sans injustice; Il est juste et droit. (Deutéronome 32:3-4) Dieu est le juge de toute la terre, et il fait toujours ce qui est juste. Beaucoup de gens accusent Dieu d'injustice dans leur situation ou circonstances particulières. Mais la Bible dit qu'il n'y a pas d'injustice en Dieu. Il est totalement juste ; un Dieu de vérité. Considérez les paroles d'Abraham dans la Genèse lorsqu'il suppliait le Seigneur au sujet de Sodome : Loin de toi de faire une telle chose, de tuer le juste avec le méchant, afin que le juste devrait être comme le méchant; loin de toi ! Ne doit pas le juge de toute la terre fait-il bien? (Genèse 18:25) C'est qui est Dieu. Il est le juge de toute la terre, et il fait toujours ce qui est juste. Il n'y a aucune injustice, aucune iniquité en Lui. Nous sommes souvent tentés de croire que Dieu est injuste, mais l'Écriture déclare avec insistance que cela ne pourrait pas être plus éloigné de la vérité. Dieu est colère et colère C'est quelque chose que le christianisme contemporain ne fait guère de place mais qui est très important. Notre Dieu est un Dieu de colère et de colère. Nahum en donne une image

remarquable : Dieu est jaloux, et l'Éternel se venge ; la SEIGNEUR se venge et est furieux. Le SEIGNEUR prendra vengeance sur ses adversaires, et il réserve la colère pour ses ennemis. (Nahum 1:2) Le Seigneur est en colère. Il est furieux et Il se venge. Cela fait partie de la nature divine et éternelle de Dieu. Si nous omettons cette partie, nous ne présentons pas une véritable image de Dieu. Le livre de l'Apocalypse nous donne un aperçu du jugement de Dieu qui s'abattra sur l'antéchrist : Alors un troisième ange les suivit, disant à haute voix voix : « Si quelqu'un adore la bête et son image, et reçoit sa marque sur son front ou sur sa main, lui-même boira aussi du vin de la colère de Dieu, qui est versé à pleine puissance dans la coupe de Son indignation. Il sera tourmenté par le feu et de soufre en présence des saints anges et dans le présence de l'Agneau. Et la fumée de leur tourment monte aux siècles des siècles ; et ils n'ont pas de jour de repos ou nuit, qui adorent la bête et son image, et celui qui reçoit la marque de son nom. » (Apocalypse 14:9-11) "Tourmenté... en présence de l'Agneau." Pas exactement l'image contemporaine du doux Jésus, doux et doux. Mais cela fait partie de son caractère divin et éternel. Dieu est juge. Certains pensent que Dieu est bien trop miséricordieux pour imposer un châtiment éternel à qui que ce soit. Ce n'est pas scripturaire. Et en plus, c'est très dangereux. Car je témoigne à tous ceux qui entendent les paroles du prophétie de ce livre : Si quelqu'un ajoute à ces choses, Dieu lui ajoutera les fléaux qui sont écrits dans ce livre; et si quelqu'un retranche les paroles du livre de cette prophétie, Dieu retranchera son séparé du livre de vie, de la ville sainte, et des choses qui sont écrites dans ce livre. (Apocalypse 22:18-19) L'un des plus grands attributs de Dieu est sa fidélité à garder son alliance. Si quelque chose est clairement écrit dans le livre de l'Apocalypse, c'est qu'il y a un jugement éternel. Nous arrivons à un stade de la société où nous sommes beaucoup plus gentils avec le criminel qu'avec la victime.

Pourquoi? Parce que nous ne voulons pas porter de jugement. Pourquoi ne voulons-nous pas porter de jugement? Je crois que c'est parce que, dans nos cœurs, nous savons que s'il y a un jugement pour quelqu'un d'autre, alors il y a un jugement pour nous. Dieu est miséricorde et bonté Le mot dans l'Ecriture qui est traduit par "bonté de cœur" signifie "amour inébranlable". En étudiant cela, j'en suis venu à la conclusion que ce que cela signifie vraiment est « la fidélité de Dieu qui garde l'alliance ». C'est la fidélité de Dieu à son alliance - l'un de ses plus grands attributs. Dans le Psaume 51, David priait pendant une période de profonde détresse, alors que son âme pendait dans la balance. C'était sa prière de repentance après que son péché avec Bethsabée et le meurtre d'Urie aient été découverts. Aie pitié de moi, ô Dieu, selon ta bonté; selon la multitude de tes tendres miséricordes, effacez mes transgressions. (Psaume 51:1 ) « Selon ta bonté de cœur » est une référence à la fidélité de Dieu au respect de l'alliance. David disait essentiellement : « Tu t'es engagé à pardonner si je remplis les conditions. Je t'en appelle sur cette base. » Comme il est important de pouvoir s'approcher de Dieu sur cette base ! Cette idée se retrouve également dans divers autres psaumes. Louez le SEIGNEUR ! Oh, rends grâces à l'Éternel, car Il est bon! Pour sa miséricorde [sa bonté, sa la fidélité à son alliance] dure à toujours. (Psaume 106:1) Dieu est grâce Approchons-nous donc hardiment du trône de la grâce, afin que nous puissions obtenir miséricorde et trouver grâce pour aider à moment difficile. (Hébreux 4:16) Il y a deux choses dans ce passage que vous ne pouvez pas mériter : la miséricorde et la grâce. Nous avons d'abord besoin de miséricorde, mais ensuite nous avons besoin de grâce. La grâce ne se mérite pas. Les religieux ont un vrai problème car ils pensent qu'ils doivent tout gagner. Par conséquent, ils ont tendance à refuser la grâce de Dieu. "Approchons-nous donc hardiment du trône de la grâce, afin d'obtenir miséricorde et de trouver grâce pour nous aider en cas de besoin." Nous avons besoin de miséricorde pour le passé et de grâce pour l'avenir. Ce n'est que par la grâce de Dieu que nous pouvons devenir le genre de personnes et vivre le genre de vie qu'Il exige de nous.

Dieu est pouvoir La Bible entière est pleine de témoignages de la puissance de Dieu. Prenons juste un exemple dans les Psaumes : L'Éternel règne, Il est revêtu de majesté; la L'Éternel est vêtu, il s'est ceint de force. Certes, le monde est établi, de sorte qu'il ne peut pas être déplacé. Votre trône est établi à partir de Agé de; Vous êtes d'éternité. Les inondations se sont levées Lèvetoi, ô Éternel! les torrents ont élevé leur voix; la les flots soulèvent leurs flots. L'Éternel d'en haut est plus puissant que le bruit de nombreuses eaux, que le puissantes vagues de la mer. (Psaume 93:1-4) La sainteté est l'être total de Dieu Ce n'est que par la grâce de Dieu que nous pouvons devenir le genre de personnes dont Il a besoin. Permettez-moi de récapituler les sept attributs de Dieu : (1) la lumière ; (2) amour; (3) justice et jugement; (4) colère et colère; (5) miséricorde et bonté de cœur; (6) grâce; et (7) puissance. Je crois que la sainteté de Dieu est tout cela. C'est l'être total de Dieu. Saint est le seul mot qui est utilisé trois fois de Dieu dans la même phrase, à la fois dans l'Ancien et le Nouveau Testament. Dans Esaïe, les séraphins crient : Saint, saint, saint est l'Éternel des armées ; toute la terre est pleine de sa gloire ! (Ésaïe 6:4) Et dans l'Apocalypse, les êtres vivants et les vieillards se prosternent et crient, Saint, saint, saint, Seigneur Dieu Tout-Puissant, qui était et est et est à venir ! (Apocalypse 4:8) Je crois qu'il y a une signification dans la triple répétition. Je pense que saint est le Père; saint est le Fils; saint est l'Esprit. Et personne d'autre n'est saint. Dieu est unique dans sa sainteté. Et nous ne pouvons comprendre ou participer à la sainteté que dans la mesure où nous nous rapportons à Dieu. L'adoration est notre réponse à la sainteté de Dieu. Encore une fois, lorsqu'il n'y a pas de révélation de sainteté, il ne peut y avoir d'adoration. Vous pouvez avoir un bon service de chansons. Vous pouvez avoir des louanges et des actions de grâces. Mais vous ne pouvez pas avoir d'adoration. Car lorsque nous connaissons la sainteté de Dieu dans quelque mesure que ce soit, la réponse appropriée est toujours l'adoration.

Entrez dans ses portes avec actions de grâces, et dans ses tribunaux avec éloges. (Psaume 100:4) Nous remercions Dieu parce que nous sommes reconnaissants pour ce qu'il a fait. Lorsque nous le louons, nous reconnaissons sa grandeur, mais ce n'est pas la fin. Nous sommes nombreux à nous arrêter là. Nous sommes entrés dans les tribunaux, mais pourquoi y sommes-nous ? Nous sommes là pour adorer. Si nous nous arrêtons après un chant de louange, nous avons peut-être passé un bon moment, mais nous n'avons pas vraiment trouvé le cœur et le dessein de Dieu. Il y a quelque chose qui réclame plus. Nous désirons la présence du Seigneur. Nous aspirons à être en contact direct avec le Dieu vivant et à lui offrir la seule chose que nous ayons à offrir, notre adoration. Continuons donc notre chemin et demandons au Seigneur si, par sa grâce, il nous permettra d'entrer en sa présence. Car lorsque nous serons en sa présence, nous commencerons à vraiment adorer.

Chapitre deux Notre réponse appropriée Les Psaumes nous fournissent une image incroyablement claire et belle du vrai culte. Arrêtons-nous encore une fois sur le langage riche et puissant du Psaume 95 : Venez, chantons de joie à l'Éternel; crions à haute voix au Rocher de notre salut. Venons avant lui avec des actions de grâces et l'exalter avec de la musique et chanson. Car l'Éternel est le grand Dieu, le grand Roi au-dessus de tous les dieux. Dans sa main sont les profondeurs de la terre, et les sommets des montagnes lui appartiennent. La mer est à lui, car il l'a fait, et ses mains ont formé la terre sèche. Venez, prosternons-nous en adoration, agenouillez-vous devant l'Éternel, notre Créateur; car il est notre Dieu et nous sommes les gens de son pâturage, le troupeau dont il a la charge. (Psaume 95:1-7 NIV) Il y a ici trois phases successives que je veux examiner. Tout d'abord, dans les versets un et deux, nous avons des louanges et des actions de grâces exubérantes et bruyantes : "Clamons à haute voix vers le Rocher de notre salut. Venons devant lui avec des actions de grâces et louons-le avec de la musique et des chants." C'est une louange et une action de grâces bruyantes et exubérantes. C'est une sorte de prélude. Ensuite, dans les versets trois à cinq, le psalmiste nous donne des raisons de louange et d'action de grâce. Comme nous l'avons déjà appris, nous remercions Dieu pour ce qu'il fait. Nous le louons pour qui il est. Les deux raisons sont incluses dans le verset trois, "Car l'Éternel est le grand Dieu." Ailleurs dans les Psaumes, il est dit : « L'Éternel est grand et très digne de louange » (Psaume 145 :3). Sa louange doit être liée à sa grandeur. Le Psaume 95 nous rappelle ce que Dieu a fait : « La mer est à lui, car il l'a faite, et ses mains ont formé la terre sèche » (Psaume 95 :5). Le grand ennemi de l'adoration est l'égocentrisme.

Lorsque nous venons à Dieu de cette manière, avec des louanges et des actions de grâces, notre vision se concentre sur Dieu. Ceci est essentiel pour l'adoration, car le grand ennemi de l'adoration est l' égocentrisme. Tant que nous sommes tous absorbés par nous-mêmes et nos propres problèmes et les choses qui se passent tout autour de nous, nous ne sommes pas en mesure d'adorer Dieu. Comme je l'ai dit dans le dernier chapitre, la troisième phase se trouve dans les versets six et sept, où l'adoration est exprimée dans l'attitude. Venez, prosternons-nous en adoration, agenouillez-vous devant l'Éternel, notre Créateur. (Psaume 95:6 NIV) Permettez-moi de souligner deux choses à propos de ces versets. Tout d'abord, l'adoration nous distingue en tant que peuple de Dieu. La raison donnée pour adorer est : « Car il est notre Dieu et nous sommes le peuple de son pâturage » (Psaume 95 :7 NIV). En adorant Dieu, nous déclarons, par cet acte, qui est notre Dieu. Celui que nous adorons nécessairement et inévitablement doit être notre Dieu. Comme je le soulignerai plus tard, c'est pourquoi il est si important que nous l'adorions et personne d'autre. L'adoration nous distingue en tant que peuple de Dieu. Deuxièmement, l'adoration est notre réponse appropriée à l'amour et à la sollicitude tendres de Dieu pour nous. "Nous sommes... le troupeau sous sa garde" (Psaume 95:7 VNI). Résultats du culte Je veux continuer dans le Psaume 95 à ce que je crois décrit les deux résultats de l'adoration et, éventuellement, le prix de ne pas adorer. Aujourd'hui, si vous entendez sa voix : « N'endurcissez pas votre cœurs, comme dans la rébellion, comme au jour de l'épreuve dans le désert, quand vos pères m'ont éprouvé; ils ont essayé Moi, bien qu'ils aient vu Mon travail. Pendant quarante ans, j'ai été attristé par cette génération, et dit : C'est un peuple qui s'égarent dans leur coeur, et ils ne savent pas Mes voies.' Alors j'ai juré dans ma colère, 'Ils ne doivent pas entre dans mon repos."' (Psaume 95:7-11) Par l'acte d'adoration, nous déclarons exactement qui est notre Dieu.

Ici, nous voyons deux résultats de la vraie adoration, se prosterner et s'agenouiller en présence du Seigneur. Premièrement, nous entendons la voix de Dieu. Nous passons de cette étape de louanges et d'actions de grâces bruyantes et exubérantes à une étape de repos intérieur, de tranquillité et de calme où tout est étouffé, où nous sommes toujours en présence de Dieu. Dans cette attitude d'adoration, nous pouvons entendre la voix de Dieu d'une manière que nous ne pouvons jamais entendre lorsque nous sommes préoccupés par nous-mêmes et nos propres problèmes et perplexités. L'une des choses essentielles de l'adoration est de se concentrer sur le Seigneur, de se détourner de nous-mêmes - pour ainsi dire, de fusionner presque notre identité avec la Sienne. Il est vital de pouvoir entendre la voix de Dieu. Dans Jérémie, Dieu a déclaré avec insistance à son peuple, C'est ce que je leur ai commandé, en disant: "Obéissez à mon voix, et je serai votre Dieu." (Jérémie 7:23) Vous ne pouvez pas suivre Jésus si vous n'entendez pas sa voix. C'est la déclaration la plus simple que je connaisse de ce que Dieu exige. "Obéissez à ma voix et je serai votre Dieu." Deutéronome 28 énumère toutes les bénédictions de l'obéissance et toutes les malédictions de la désobéissance. Les bénédictions commencent par "Si tu obéis diligemment à la voix de l'Éternel, ton Dieu,... toutes ces bénédictions viendront sur toi" (Deutéronome 28:1-2). Les malédictions commencent, "Si vous n'obéissez pas à la voix de l'Éternel, votre Dieu, ... toutes ces malédictions viendront sur vous" (Deutéronome 28:15). Le bassin versant écoute ou n'écoute pas la voix du Seigneur. Je ne veux pas vous choquer, mais il ne suffit pas de lire nos Bibles. Dans Jean, il est dit: "Mes brebis entendent ma voix, ... et elles me suivent" (Jean 10:27). Vous ne pouvez pas suivre Jésus si vous n'entendez pas sa voix. C'est bien de lire la Bible, mais vous pouvez le faire sans jamais entendre la voix du Seigneur. Je crois que l'adoration est la voie désignée pour entrer dans cette attitude et cette relation où nous sommes vraiment capables d'entendre la voix de Dieu. Le deuxième résultat est que nous entrons dans Son repos. Adorer et entendre la voix de Dieu nous amène dans un repos qui n'est pas possible autrement. Seuls ceux qui savent

vraiment comment adorer peuvent vraiment profiter de son repos. (Le repos est très rare chez les Américains contemporains. C'est un groupe de gens agités et nerveux.) Il reste donc un sabbat - du repos pour le peuple de Dieu; car quiconque entre dans le repos de Dieu se repose aussi de son propre travail, tout comme Dieu l'a fait à partir du sien. Laissez-nous, faites donc tous vos efforts pour entrer dans ce repos, afin que personne ne tombera en suivant son exemple de désobéissance. (Hébreux 4:9-11 NIV) Considérons un instant la question du repos du sabbat. Je ne prêche pas le légalisme. Je ne crois pas que les chrétiens soient sous la loi de Moïse. Dans Romains, on nous rappelle que "Christ est la fin de la loi pour la justice de quiconque croit" (Romains 10:4). La mort de Christ a mis fin à la loi - non pas dans ses autres aspects, mais comme moyen d'obtenir la justice. Nous n'atteignons pas la justice en observant la loi de Moïse et, par conséquent, je ne crois pas personnellement que les chrétiens soient tenus d'observer le sabbat comme le fait le peuple juif. De plus, même si vous pouviez me convaincre que le dimanche était le sabbat (le sabbat doit être le septième jour de la semaine, tandis que le dimanche est le premier jour de la semaine), nous serions tous d'horribles briseurs de sabbat. Le jour du sabbat, vous n'êtes pas autorisé à allumer un feu, à allumer une lumière, à allumer un poêle ou à parcourir plus qu'une distance minimale. La plupart d'entre nous brisons le sabbat simplement en allant à l'église ! Mais l'Écriture dit : « Il reste donc un repos pour le peuple de Dieu » (Hébreux 4 :9). J'en suis venu à croire que je ne plais pas à Dieu si je suis occupé les sept jours de la semaine. La première chose que Dieu ait jamais sanctifiée était le temps. Il a sanctifié le septième jour. Avant de sanctifier un lieu ou quoi que ce soit d'autre, Il a sanctifié le temps. Je crois que le temps doit encore être sanctifié. Dieu a dit à Israël : "Tous les sept ans, tu ne dois rien planter." (Voir, par exemple, Exode 23:11.) Savez-vous ce que c'est ? C'est une épreuve de foi. Qu'allons-nous manger, mon Dieu ? "Je m'en occupe; vous laissez la terre reposer." Israël a échoué. Ils ne l'ont pas fait. Quelques siècles plus tard, Dieu a dit: "D'accord. Votre pays n'avait pas de sabbat; je vais changer cela. Vous allez en captivité. Vous rattraperez tous les sabbats que vous n'avez pas observés."

Je vous demande, Savez-vous ce que c'est que de se reposer ? Je crois que Dieu traite aussi les croyants comme ça. Certains ne se reposent jamais, semaine après semaine, jour après jour, travaillant au même rythme, ne sanctifiant jamais le temps pour Dieu. Finalement, ils compenseront tout ce sabbat manqué par le temps passé à l'hôpital. Alors je vous demande, savez-vous ce que c'est que de se reposer ? Êtes-vous capable de vous discipliner pour arrêter de faire des choses, même mentalement ? Pouvez-vous vous allonger et arrêter de penser à ce que vous devriez faire ? Je crains que beaucoup d'entre nous ne sachent même pas ce qu'est le repos. Cela a été un nouveau concept pour moi : apprendre à adorer et apprendre à se reposer. Je trouve qu'ils sont très liés. Je crois qu'il faut remercier Dieu et le louer à voix haute en dansant, en applaudissant et en chantant. Mais il arrive un moment où nous devons nous incliner et nous taire. Aujourd'hui, si vous entendez sa voix, n'endurcissez pas votre cœur. Ne manquez pas Son repos. Les résultats du refus d'adorer Israël, en tant que peuple, n'a pas accepté l'appel de Dieu à adorer. Si nous revenons en arrière et regardons le Psaume 95, nous verrons les résultats de leur échec. Aujourd'hui, si vous entendez sa voix : « N'endurcissez pas votre cœurs, comme dans la rébellion, comme au jour de l'épreuve dans le désert, quand vos pères m'ont éprouvé; ils ont essayé Moi, bien qu'ils aient vu Mon travail. Pendant quarante ans, j'ai été attristé par cette génération, et dit : C'est un peuple qui s'égarent dans leur coeur, et ils ne savent pas Mes voies.' Alors j'ai juré dans ma colère : "Ils ne entre dans mon repos."' (Psaume 95:7-11) Quels ont été les résultats de l'échec d'Israël à adorer ? D'abord, leurs cœurs se sont endurcis. Deuxièmement, ils n'ont pas entendu la voix de Dieu. Troisièmement, ils ont provoqué la colère de Dieu. Et quatrièmement, ils ne sont pas entrés dans leur repos désigné. Ils n'ont pas suivi les étapes de la louange et de l'action de grâce qui nous amènent à nous prosterner et à nous agenouiller, une attitude d'immobilité, de calme révérencieux devant Dieu dans laquelle nous entendons sa voix et par laquelle nous entrons dans notre repos désigné.

Dans 1 Rois 19, il est rapporté qu'Elie s'était enfui de Jézabel. Il s'est réfugié dans le désert, puis il a fait le long voyage jusqu'au mont Horeb, le lieu où Dieu a initialement conclu son alliance avec les enfants d'Israël. Quand Elie était sur le mont. Horeb, le Seigneur lui a parlé, et il a traversé un certain nombre d'expériences dramatiques avant de recevoir une nouvelle révélation du Seigneur. L'Éternel dit : "Sors et tiens-toi sur la montagne en présence de l'Éternel, car l'Éternel est près de passer." Alors un vent grand et puissant déchira montagnes à part et a brisé les rochers devant le l'Éternel, mais l'Éternel n'était pas dans le vent. Après le vent, il y eut un tremblement de terre, mais l'Éternel n'était pas dans le tremblement de terre. Après le tremblement de terre est venu un incendie, mais l'Éternel n'était pas dans le feu. (1 Rois 19:11-12 NIV) C'est ce que j'appelle un prélude à l'adoration : le vent, le tremblement de terre et le feu. Un bruit et une excitation si énormes et tumultueux, mais ce n'était pas de l'adoration. Et après le feu est venu un doux murmure. (1 Rois 19:12 NIV) La Bible Amplifiée dit, "un son de calme doux." C'est ce que je veux que vous associez à l'adoration : un son de douce immobilité. Quand Elijah l'a entendu, il a tiré son manteau sur son Visage. (1 Rois 19:13 NIV) Qu'est-ce que c'est? C'est l'adoration. Tout comme les anges et les séraphins sont dépeints dans les Écritures comme couvrant leurs visages et leurs pieds avec leurs ailes en présence de Dieu, Elie a couvert son propre visage. Quand Elijah l'a entendu, il a tiré son manteau sur son visage et sortit et se tint à l'entrée de la caverne. Alors une voix lui dit : " Que fais-tu ici, Élie?" (1 Rois 19:13 NIV) Elie est venu dans ce lieu de calme et de révérence dans la présence de Dieu où Dieu pouvait lui parler. Dans cette attitude, Élie a entendu le chuchotement de Dieu, qu'il n'a pas pu entendre d'une autre manière. Et, en entendant la voix de Dieu, si vous lisez le récit

qui suit, il a reçu une nouvelle direction et une nouvelle force. Il est sorti un homme renouvelé avec un nouveau but, une nouvelle foi et un nouveau courage. Il était entré dans son repos par l'adoration.

Chapitre trois En esprit et en vérité Jésus a énoncé la condition du cœur qui seule rend notre adoration acceptable à Dieu dans sa conversation avec la femme samaritaine au puits. La femme a commencé à parler des revendications rivales de Jérusalem et de la Samarie en tant que centres de culte. Mais quand elle a commencé à discuter des revendications de ces deux emplacements physiques et géographiques, Jésus a orienté la conversation dans une direction nouvelle et inattendue. Jésus lui dit : " Femme, crois-moi, l'heure est venir quand tu ne voudras ni sur cette montagne, ni dans Jérusalem, adorez le Père. Vous adorez ce que vous ne sait pas; nous savons ce que nous adorons, car le salut vient des Juifs. Mais l'heure vient, et c'est maintenant, quand les vrais adorateurs adoreront le Père dans esprit et vérité; car le Père cherche de tels adorez-le. Dieu est Esprit, et ceux qui adorent Il faut qu'il l'adore en esprit et en vérité." (Jean 4:21-24) Les paroles de Jésus à cette femme étaient prophétiques. Au bout de cent ans après cette conversation, le temple de Jérusalem fut détruit et il devint impossible pour le peuple juif d'adorer. Cependant, avant que le temple ne soit détruit, Dieu a pris des dispositions alternatives pour que son peuple l'adore. Il a transféré les exigences d' un lieu physique à une condition spirituelle. La condition spirituelle que Jésus a déclarée était "en esprit et en vérité". Dieu cherche en fait des adorateurs de ce genre. Ceci, pour moi, est l'une des déclarations les plus excitantes et les plus étonnantes de la Bible : ce Dieu tout-puissant cherche à ce que les gens l'adorent. Jésus a dit : « Le Père cherche des adorateurs de ce genre, le genre qui adorent en « esprit et en vérité ». Dieu Tout-Puissant cherche des gens pour l'adorer. Examinons ces deux conditions intérieures spirituelles que Jésus a mentionnées. Ce faisant, j'aimerais commencer par la dernière exigence : "en vérité". Adorer "en vérité" L'Apocalypse nous donne toute une liste de personnes qui seront finalement exclues de la présence de Dieu.

Mais les lâches, les incrédules, les abominables, meurtriers, sexuellement immoraux, sorciers, idolâtres et tous les menteurs auront leur part dans le lac qui brûle de feu et de soufre, qui est la seconde mort. (Apocalypse 21:8) Remarquez le dernier élément de cette liste : "tous les menteurs". Les menteurs ne peuvent pas avoir accès à la présence de Dieu tout-puissant. C'est pourquoi nous devons l'adorer « en vérité ». Il y a un exemple frappant de cela dans l'histoire d'Ananias et de Saphira trouvée dans Actes 5. Ils ont vendu une terre et ont apporté une offrande de ce qu'ils avaient vendu et l'ont déposée aux pieds des apôtres. Malheureusement, cette offre n'était pas le prix total du terrain qu'ils prétendaient être. Ils avaient retenu une partie de la somme. Et cela leur a coûté la vie à tous les deux. Ils sont simplement tombés morts l'un après l'autre en présence de Dieu. (Voir Actes 5:1-11.) Pourrait-il y avoir un avertissement plus clair pour nous que les mensonges et l'insincérité ne peuvent pas avoir accès à la présence de Dieu ? Encore une fois, dans 1 Jean, c'est ce que l'apôtre Jean a dit : C'est le message que nous avons entendu de Lui et vous déclarer que Dieu est lumière et qu'en lui il n'y a pas l'obscurité du tout. Si nous disons que nous sommes en communion avec Lui, et marchons dans les ténèbres, nous mentons et ne pratiquons pas la vérité. (1 Jean 1:5-6) Lorsque nous venons à Dieu, nous entrons dans la lumière. Il n'y a pas de place pour les ténèbres, pas de place pour les réservations et pas de place pour l'insincérité. Tout doit être totalement ouvert. Remarquez la phrase « nous sommes en communion avec lui ». La communion fraternelle et l'adoration vont de pair. La communion fraternelle et l'adoration exigent une honnêteté, une sincérité et une ouverture inébranlables. Nous devons adorer Dieu « en vérité ». Adorer "en esprit" Pour comprendre ce que signifie adorer Dieu « en esprit », nous devons saisir l'image que la Bible fournit de la personnalité humaine totale. Selon les Écritures, la personnalité humaine totale se compose de trois éléments interdépendants : l'esprit, l'âme et le corps. Voici l'image d'une prière de l'apôtre Paul pour l'église de Thessalonique :

Maintenant que le Dieu de paix lui-même vous sanctifie totalement; et que tout ton esprit, ton âme et ton corps être préservé irréprochable à la venue de notre Seigneur Jésus Christ. (1 Thessaloniciens 5:23) Nous savons ce qu'est le corps. L'âme est l'ego - c'est l'attribut qui dit « je veux » ou « je ne veux pas », et « je pense » ou « je ne pense pas ». Il est généralement identifié comme étant composé de trois domaines : la volonté, l'intellect et l'émotion. Ces domaines sont exprimés sous la forme de trois déclarations simples : « Je vais », « Je pense » et « Je ressens ». C'est extrêmement simplifié, mais je pense que c'est une image valable de l'âme chez l'homme. L'esprit a une fonction suprême pour se rapporter à Dieu. Mais l'esprit n'a vraiment qu'une fonction suprême pour se rapporter à Dieu. Ce n'est pas l'âme ou le corps qui doit adorer Dieu, mais l'esprit. Mais nous ne pouvons pas vraiment comprendre le culte à moins de comprendre les fonctions et les interrelations de ces trois éléments. Dans le Psaume 103, David dit : "Bénis l'Éternel, ô mon âme" (verset 1). Quoi ou qui parlait à l'âme de David ? Son âme ne se parlait pas à elle-même. Alors qui disait à l'âme de David de "bénir l'Éternel?" C'était l'esprit de David. Son esprit était en feu parce qu'il était en contact avec Dieu. Son esprit disait: "Nous devons faire quelque chose à ce sujet. Ne restez pas assis là; faites quelque chose. Soyez excité. Bénissez le Seigneur." L'âme est le levier de vitesse de la personnalité ; l'âme prend des décisions puis ordonne au corps de bouger. C'est l'ordre des choses; l'esprit s'occupe de l'âme, puis l'âme s'occupe du corps. Revenons un instant sur le récit de la création de l'homme tel qu'il est consigné dans le deuxième chapitre de la Genèse : Et l'Éternel Dieu forma l'homme de la poussière du sol, et souffla dans ses narines le souffle de la vie; et l'homme est devenu un être vivant. (Genèse 2:7) Il y a deux sources distinctes à la personnalité humaine. L'un est d'en haut; l'un est d'en bas. D'en haut vient le souffle, l'Esprit de Dieu, insufflé dans l'homme. D'en bas, il y a la nature physique de l'homme, le corps fait d'argile. L'union de l'esprit et de l'argile produit une âme vivante, une personnalité humaine composée d'esprit, d'âme et de corps.

Mais quand l'homme a péché et s'est rebellé contre Dieu, son esprit a été coupé de la communion avec Dieu et est devenu mort pour Dieu. Ainsi l'homme était alors, dans la terminologie biblique, "mort dans les offenses et les péchés" (Éphésiens 2:1). Lorsque l'homme revient à Dieu dans la repentance et la foi, par la renaissance, son esprit est renouvelé et rendu capable d'une communion restaurée avec Dieu. Une fois de plus, nous voyons le principe selon lequel la communion fraternelle et l'adoration vont très étroitement ensemble. Mais nous devons comprendre que c'est l'esprit de l'homme, pas l'âme ni le corps, qui est capable de cette communion directe avec Dieu. C'est donc à travers l'esprit renaissant que l'homme peut se rapporter directement à Dieu, de personne à Personne, d'esprit à Esprit. Jésus a dit : « Dieu est Esprit, et ceux qui l'adorent doivent l'adorer en esprit... » (Jean 4 :24). C'est seulement ce même élément inspiré de la personnalité humaine qui vient de Dieu, cet esprit, qui est capable de se rapporter directement à Dieu et d'adorer Dieu « en esprit ». Lisez les paroles de l'apôtre Paul : Ne savez-vous pas que celui qui s'attache à une prostituée est un corps avec elle? Car "les deux... deviendront un chair." Mais celui qui est uni au Seigneur est un seul esprit avec lui. (1 Corinthiens 6:16-17) Paul parlait de deux manières différentes pour une personne de s'unir à une autre. L'une est la voie charnelle, l'union sexuelle : un homme avec une femme. Mais l'autre est une voie spirituelle, une union spirituelle : l'esprit de l'homme avec l'Esprit de Dieu. C'est une image étonnante, mais elle est très claire. Tout aussi intimement qu'un homme peut être en relation physique avec une femme lors d'un rapport sexuel, un croyant peut être en relation avec le Seigneur spirituellement dans la communion d'adoration ; c'est-à-dire adorer Dieu en esprit. L'adoration est communion avec Dieu. C'est une communion intime avec Dieu. C'est l'union directe avec Dieu. L'adoration est communion avec Dieu - communion intime et union directe. Ni l'âme de l'homme ni son corps n'en sont capables. Seul l'esprit de l'homme est capable de cette relation unique et la plus précieuse de toutes avec Dieu, la relation d'union et de

communion qui passe par le culte. C'est la plus haute activité dont l'homme est capable adorer Dieu en esprit et en vérité. Nous devons mettre toute notre personnalité en harmonie avec Dieu et lui répondre, comme Il le désire. Votre esprit doit travailler à travers votre âme pour déplacer votre corps. C'est ainsi que cela fonctionne. Par conséquent, lorsque votre esprit veut adorer Dieu, il ne peut pas faire grand-chose sans la coopération de l'âme et du corps. Et un esprit qui ne peut pas adorer Dieu parce que l'âme et le corps ne coopèrent pas est un esprit emprisonné. Le corps pour cet esprit est une prison, enfermée, incapable de répondre. C'est le problème de beaucoup de chrétiens. Nous leur donnons la Parole, mais nous leur donnons une image très incomplète de l'église et de l'adoration. Alors maintenant, quand les gens font l'expérience de la réalité, ils se sentent étranges parce que nous avons conditionné les gens à s'attendre à l'anormal. Heureusement pour nous, Dieu a fourni une sorte de feuille de route pour adorer. Il nous a donné un modèle à suivre qui nous conduira dans l'adoration, et donc en sa présence. Ce modèle est "le tabernacle".

Chapitre quatre Votre corps : nettoyé par le sang et l'eau Le tabernacle de Moïse est l'un des phénomènes les plus remarquables de l'Écriture et celui qui m'a toujours fasciné. Il est décrit principalement dans le livre de l'Exode, chapitres vingt-cinq à trente et trente-cinq à quarante. Le fait que Dieu consacre environ douze chapitres du livre de l'Exode au tabernacle m'indique qu'il doit avoir une importance énorme.

Chaque fois que j'étudie le tabernacle, il me reste un profond désir de sainteté et de communion avec Dieu. C'est le résultat que cela a sur moi, et je suis sûr que c'est l'un des principaux objectifs pour lesquels ce récit est présenté dans les Écritures. Le chemin vers le lieu très saint Le chemin vers la perfection, la maturité, la plénitude et l'accomplissement est le chemin vers le lieu très saint, qui se déroule dans Hébreux comme dans aucun autre livre du Nouveau Testament. Ici, nous voyons qu'il est scripturaire d'utiliser le tabernacle comme modèle pour rechercher Dieu. En effet, l'expression même "le chemin du lieu très saint" (Hébreux 9:8) est tirée du type ou du modèle du tabernacle. Car s'il était sur la terre, il ne serait pas prêtre, puisqu'il y a des prêtres qui offrent les dons selon la loi; qui servent la copie et l'ombre du choses célestes, comme Moïse a été divinement instruit quand il était sur le point de construire le tabernacle. Pour lui dit : « Prenez garde de faire toutes choses selon le modèle qui vous a été montré sur la montagne." (Hébreux 8:4-5) Le tabernacle révèle un modèle du chemin vers la présence de Dieu tout-puissant. Juste là, au verset cinq, se trouvent les mots qui indiquent que le tabernacle est notre exemple, ou "la copie et l'ombre des choses célestes". C'est une réalité matérielle qui reflète une vérité spirituelle qui se dévoile. Puis, dans Hébreux 9, il est mentionné à nouveau : Il fallait donc que les copies des les choses dans les cieux devraient être purifiées avec cela, mais les choses célestes elles-mêmes avec mieux sacrifices que ceux-ci. Car Christ n'est pas entré dans lieux saints faits à la main, qui sont des copies des vrai, mais dans le ciel lui-même, pour apparaître maintenant dans le présence de Dieu pour nous. (Hébreux 9:23-24) Le tabernacle nous révèle un modèle de chemin vers le lieu très saint, vers la présence du Dieu tout-puissant. Il ne s'agit pas de tâtonner, ou de spéculer, ou simplement de faire ce qui nous plaît ou pense. Il y a une voie d'accès absolument prescrite dans le lieu très saint, et elle nous est révélée en termes de divisions diverses et de meubles divers le long du chemin. Le tabernacle était une structure composée de trois sections principales : la cour extérieure ; le Lieu Saint, derrière le premier voile ou rideau ; et le Saint des Saints, derrière le

deuxième voile ou rideau. C'était une structure trinitaire : une structure avec trois zones. Cette structure était importante à bien des égards. Il décrivait la nature de Dieu - Père, Fils et Saint-Esprit. Il dépeint la nature des paradis Les Écritures font référence à Paul qui a été enlevé au troisième ciel. (Voir 2 Corinthiens 12:2.) Il décrivait également la nature de l'homme corps, âme et esprit. Une façon de distinguer ces trois zones était par le type de lumière disponible. Dans la cour extérieure, la lumière était naturelle : le soleil le jour, la lune et les étoiles la nuit. Dans le Lieu Saint derrière le premier voile, la lumière était artificielle. Il était fourni par un chandelier à sept branches. Mais dans le Saint des Saints, derrière le deuxième voile ou rideau, il n'y avait ni lumière naturelle ni lumière artificielle. La seule lumière était fournie par la présence surnaturelle de Dieu tout-puissant habitant cette petite zone à l'intérieur de la tente. Cette présence de Dieu qui apporte la lumière est connue en hébreu sous le nom de shekinah, qui signifie "habiter" - la gloire visible de Dieu. C'était la seule source de lumière dans le Saint des Saints, la troisième zone du tabernacle. C'était la demeure manifeste de Dieu tout-puissant au milieu de son peuple. Ces trois sections du tabernacle correspondent à de nombreux aspects de notre expérience, mais je veux les relier aux trois domaines de la personnalité humaine que j'ai mentionnés plus tôt : le corps, l'âme et l'esprit. Comme je l'ai dit, nous adorons Dieu non pas avec le corps ou avec l'âme, mais avec l'esprit. Ainsi, la cour extérieure correspond au corps. Le Lieu Saint correspond à l'âme. Et le Saint des Saints correspond à l'esprit. C'est seulement dans l'esprit que nous nous rapportons à Dieu dans l'adoration ; par conséquent, la zone ultime de culte est le Saint des Saints derrière le deuxième voile. Alors, comment une personne progresse-t-elle dans l'adoration ? En suivant le modèle trouvé dans la progression dans le tabernacle du parvis extérieur au Saint des Saints. La cour extérieure C'est seulement dans l'esprit que nous nous rapportons à Dieu dans l'adoration. En s'approchant du tabernacle, on commençait toujours par la cour extérieure. De même, lorsque nous nous approchons de Dieu, nous commençons toujours dans le domaine

physique et naturel. Ce domaine se rapporte au corps et à la vie de Christ à l'époque où Jésus était sur terre. Il a parcouru les rues de Galilée et de Jérusalem comme un être humain qui pouvait être vu, touché et entendu par les sens naturels. Ainsi, dans le parvis extérieur, nous recevons la révélation par les sens naturels ou par la connaissance humaine. Dans la cour extérieure du tabernacle, le premier objet que l'on voyait était le grand autel de bronze. Un enseignant m'a dit un jour que tous ses côtés étaient recouverts de bronze poli, donc au moment où vous vous êtes approché et que vous l'avez regardé, vous vous êtes vu. Cet autel était l'endroit où tous les animaux sacrificiels étaient abattus et offerts à Dieu. Pour nous, l'autel de bronze représente la mort sacrificielle du Christ en notre nom. Il parle du sang qu'Il a versé, afin que nous soyons rachetés et réconciliés avec Dieu. C'est le point de départ. Nous ne pouvons pas contourner la croix. Ce n'est que lorsque nous commençons à la croix et que nous recevons les bénéfices du sacrifice de Jésus en notre nom - les bienfaits de Son sang versé - pouvons-nous avancer dans notre progression d'adoration. Quatre côtés de l'autel de bronze L'autel de bronze avait quatre côtés, représentant quatre dispositions distinctes de Dieu faites par la mort de Jésus sur la croix. Le premier est le pardon des péchés passés. C'est essentiel. Lorsque vos péchés ne sont pas pardonnés, vous ne pouvez plus progresser. Ceci est également indiqué dans les Romains : que Dieu a mis en propitiation par son sang, par la foi, pour démontrer Son [Dieu] justice, parce que, dans sa patience, Dieu avait passé sur les péchés qui ont été précédemment commis. (Romains 3:25) Le côté suivant représente l'enlèvement du péché. Il existe une distinction importante entre les péchés au pluriel (actes pécheurs qui ont été commis) et le péché en tant que puissance spirituelle (une force malfaisante, corrompue et asservissante qui vous pousse à pécher ou à commettre des actes pécheurs). Le péché est la source des péchés. Lorsque

nous nous occupons des péchés, nous ne nous occupons que des branches de l'arbre. Cela ne traite pas du tronc qui alimente toutes les branches de péchés. En 2 Corinthiens, dit-il, Car il a fait de lui [Jésus] qui ne connaissait pas le péché un péché pour nous, afin que nous devenions la justice de Dieu En lui. (2 Corinthiens 5:21) Il y a un échange qui se produit. Jésus a été fait péché, avec toute notre nature pécheresse, afin qu'en retour, nous soyons rendus justes avec toute sa justice. Ce ne sont pas les péchés, mais le péché qui y est traité. Nous lisons dans Hébreux, Il aurait alors dû souffrir souvent depuis le fondation du monde; mais maintenant, une fois à la fin de les âges, Il est apparu pour ôter le péché par le sacrifice de luimême (Hébreux 9:26) Christ n'a souffert qu'une seule fois parce que par cette souffrance, Il a fait tout ce qui devait être fait. Le troisième côté de l'autel est notre vieille nature corrompue - le rebelle qui est à l'intérieur de chacun de nous. "Notre vieil homme a été crucifié avec lui" (Romains 6:6). Le grec ici est au passé. C'est un fait historique. C'est vrai que vous le sachiez ou non. Mais si vous ne le savez pas, vous n'en bénéficierez pas. Notre vieil homme a été crucifié avec Lui, que le corps de le péché soit aboli, afin que nous ne soyons plus être esclave du péché. (Romains 6:6) Le péché a été rendu inopérant; elle n'était plus capable de s'affirmer. La seule échappatoire à l'esclavage du péché est la mort de l'ancienne nature pécheresse. Le vieil homme est un cas tellement désespéré que Dieu n'a pas de remède pour lui. Dieu ne peut pas l'envoyer à l'église ou lui enseigner les Dix Commandements ou le rendre religieux. Dieu l'exécute simplement. C'est la seule solution pour le vieil homme - le vieil Adam. La miséricorde de Dieu est que l'exécution a eu lieu en la personne de Jésus sur la croix. Quand Jésus est mort, notre vieil homme est mort en Lui. Si vous le savez et que vous vous y fiez, cela fonctionne. Mais si vous ne le savez pas, vous ne pouvez pas vous y fier et cela ne fonctionnera pas.

Si vous le savez, mais que vous ne vous y fiez pas, cela ne fonctionnera toujours pas. C'est la connaissance et la confiance qui le font fonctionner. Le quatrième côté, qui est le lieu où nous nous offrons à Dieu, est l'holocauste. C'était un don qui était offert à Dieu, pour être totalement consumé dans les flammes de l'autel. Si vous étudiez l'ordre des offrandes dans le Lévitique, qui sont toutes symboliques de Jésus, vous constaterez que la première offrande dont il est question est l'holocauste parce que l'initiative n'est pas avec l'homme ou le pécheur, mais avec Dieu. (Voir Lévitique 1:3.) Ce n'est que parce que Jésus a été fait un holocauste sur l'autel de la volonté de Dieu sur la croix que tout le reste a pu avoir lieu. Si Jésus n'avait pas voulu dire : "Cependant, non pas comme je veux, mais comme tu veux" (Matthieu 26 :39), alors tout le reste n'aurait jamais eu lieu. Quand Jésus est mort, notre vieil homme est mort en Lui. Vous trouverez, dans le déroulement du tabernacle, que nous progressons dans l'ordre inverse de celui de l'Ecriture. La Bible commence par l'arche et se déplace vers l'extérieur. C'est parce que l'initiative du salut et de la rédemption vient de Dieu, pas de l'homme. Si Dieu n'avait pas voulu, rien ne serait jamais arrivé. Si Jésus n'avait pas été le premier holocauste sur la croix, il n'y aurait pas eu de salut pour vous ni pour moi. Mais pour nous, l'ordre est inversé. Nos péchés doivent être pardonnés; le péché doit être aboli, l'ancienne nature doit mourir ou être crucifiée, et alors nous pourrons nous offrir en holocauste acceptable à Dieu. Ceci est mis en évidence dans Romains 12:1 qui commence par "Je vous en supplie donc, frères...". Le mot "c'est pourquoi" fait référence à l'entier déploiement de la vérité de l'évangile qui a précédé dans les onze chapitres précédents. Qu'est-ce que Dieu exige de nous une fois que tout cela a été réglé ? Je vous en supplie donc, frères, par la miséricorde de Dieu, que vous offriez vos corps en sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu, qui est votre raisonnable service. (Romains 12:1) Jusqu'à ce que vous ayez été sur ces trois côtés de l'autel, vous ne pouvez pas vous présenter comme acceptable à Dieu. Alors Dieu dit : « Je veux ton corps. Peu de chrétiens s'en rendent compte. Dieu veut notre corps tout entier. Dans l'ancienne alliance, les corps

des animaux qui étaient tués étaient placés entièrement sur l'autel. Dieu dit : "Je veux ton corps sur l'autel exactement de la même manière - à une exception près. Pas mort, mais vivant." Le verset suivant continue, Et ne vous conformez pas à ce monde, mais soyez transformé par le renouvellement de votre esprit, que vous peut prouver ce qui est bon et acceptable et volonté parfaite de Dieu. (Romains 12:2) Tant que vous ne placez pas votre corps sur l'autel, vous ne pouvez pas découvrir la volonté de Dieu. Lorsque vous le faites, votre esprit est renouvelé et la volonté de Dieu commence à s'ouvrir pour vous. Mais vous ne pouvez pas faire d'autres progrès tant que vous n'avez pas été aux quatre côtés de l'autel. Premièrement, les péchés passés sont pardonnés; alors Dieu les enlève. Ensuite, le vieil homme est exécuté et le corps entier est placé sur l'autel dans un abandon total à Dieu. Dès lors, votre corps ne vous appartient plus. Vous n'êtes pas votre propre; vous avez été acheté à un prix. (Voir 1 Corinthiens 6:19-20.) La cuve de bronze Ensuite, nous trouvons la cuve d'airain, telle qu'elle est décrite dans l'Exode : Alors l'Éternel parla à Moïse, disant : « Tu fais aussi une cuve d'airain, avec sa base aussi de bronze, à laver. Tu le mettras entre le tabernacle d'assignation et l'autel. Et tu mettras dedans, car Aaron et ses fils laveront leurs les mains et les pieds dans l'eau de celui-ci. Quand ils entrent dans le tabernacle d'assignation, ou quand ils viennent près de l'autel pour servir, brûler une offrande faite par feu à l'Éternel, ils se laveront avec de l'eau, de peur qu'ils mourir. Alors ils se laveront les mains et les pieds, de peur ils meurent. Et ce sera un statut pour eux à jamais; à lui et sa postérité selon leurs générations." (Exode 30:17-21) Il y avait donc le tabernacle et l'autel, et la cuve était entre eux. La fréquentation de la cuve n'était pas facultative ; c'était absolument exigé de toute personne qui allait et venait du tabernacle. Personne ne pouvait passer devant la cuve sans s'y laver. S'ils le faisaient, la peine était la mort. Une importance considérable était accordée à la cuve .

La cuve représente la Parole de Dieu. Plus loin dans l'Exode, nous lisons : Il fit la cuve d'airain et sa base d'airain, des miroirs de bronze des servantes qui réunis à la porte du tabernacle d'assignation. (Exode 38:8) L'airain provenait des miroirs d'airain des femmes israélites qui fréquentaient et adoraient au tabernacle. Rappelez-vous, ils n'avaient pas de verre à ce moment-là. Le meilleur miroir que vous pouviez avoir était en laiton poli et lisse. Par conséquent, nous avons trois aspects de la cuve : elle provenait de miroirs, elle était en laiton et elle était remplie d'eau. Chacune de ces qualités parle à la Parole de Dieu. Premièrement, la Parole de Dieu est un miroir : Car si quelqu'un est un auditeur de la parole et non un acteur, il est comme un homme observant son visage naturel dans un miroir; car il s'observe, s'en va, et oublie immédiatement quel genre d'homme il était. (James 1:23) La Parole de Dieu montre la condition spirituelle intérieure. La Parole de Dieu ne reflète pas l'apparence physique extérieure. Cela montre la condition spirituelle intérieure. Si vous voulez savoir comment vous êtes réellement aux yeux de Dieu, regardez-vous dans le miroir. Plus je lis la Bible, plus je commence à voir mes imperfections, mes défauts et mes insuffisances. Lorsque vous vous regardez dans un miroir, vous pouvez faire deux choses. Vous pouvez dire que vous n'avez pas l'air si mal et simplement vous en aller, sans rien faire. Ou, vous pouvez agir sur ce que vous voyez, en faisant les changements et les ajustements nécessaires ; auquel cas, James a dit que vous serez béni à la suite de ce que vous faites. Rappelez-vous, ce ne sont pas seulement les auditeurs de la Parole qui sont bénis ; ce sont les faiseurs, les gens qui agissent en conséquence. Deuxièmement, la Parole de Dieu est notre juge. L'airain caractérise toujours l'examen et le jugement divins. Dieu vous voit, il n'y a rien de caché, tout est nu et ouvert aux yeux du Seigneur. Dans Jean 12, Jésus dit,

Et si quelqu'un entend Mes paroles et ne croit pas, Je ne le jugez pas; car je ne suis pas venu juger les monde mais pour sauver le monde. Celui qui me rejette, et ne reçoit pas mes paroles, a celui qui juge lui; la parole que j'ai dite le jugera dans le dernier jour. (Jean 12:4748) Pierre nous dit d'abord que Dieu le Père est le juge. (Voir 1 Pierre 1:17.) Jean nous dit que le Père a remis tout jugement au Fils. (Voir Jean 5:22.) Mais dans Jean 12, Jésus a dit : « Je ne vais pas vous juger. J'ai confié tout jugement à la Parole. Et le jugement sera exécuté selon la norme de la Parole. C'est la norme absolue du jugement divin, qui nous donne l'occasion bénie de nous juger nous-mêmes. "Car si nous nous jugeons nous-mêmes, nous ne serions pas jugés" (1 Corinthiens 11:31). Nous ne serions pas jugés par qui ? Par Dieu. Dieu dit : « Si vous vous jugez en vous regardant dans le miroir, je n'aurai pas à vous juger. Le troisième aspect de la cuve est l'eau, qui est la Parole de Dieu en tant qu'agent de purification. Christ a aussi aimé l'Église et s'est donné pour elle, afin qu'il puisse la sanctifier et la purifier avec le lavage d'eau par la parole, afin qu'il puisse présenter elle à luimême une église glorieuse. (Ephésiens 5:25-27) Le passage parle de la croix où Christ s'est sacrifié. Voici le lavage d'eau par la Parole par lequel Il purifie et sanctifie ce qu'Il a d'abord racheté par Son sang. Gardez ceci à l'esprit : Christ a racheté l'église par Son sang afin qu'Il puisse ensuite la purifier et la sanctifier avec le lavage de l'eau de la Parole de Dieu. La sanctification, la sainteté et l'accomplissement de la volonté de Dieu dépendent du sang de la croix et de l'eau de la Parole. Ceux qui venaient à l'autel d'airain mais ne se lavaient pas dans la cuve étaient passibles de mort. Vous pouvez être racheté par votre foi en la mort de Christ sur la croix, mais si vous ne vous lavez pas dans l'eau de la Parole, vous ne pouvez pas être sanctifié. Jésus vient pour une église qui a été rendue sainte et glorieuse par le lavage d'eau par la Parole. C'est très clair. Tout croyant qui n'étudie pas la Parole et ne se soumet pas à la Parole et n'obéit pas à la Parole et ne vit pas selon la Parole ne peut pas s'attendre à être prêt pour la venue de Christ. Pour être sanctifié, vous devez vous laver dans l'eau de la Parole.

C'est lui qui est venu par l'eau et le sang; Jésus Christ; non seulement par l'eau, mais par l'eau et le sang. Et c'est l'Esprit qui rend témoignage, parce que le L'esprit est la vérité. (1 Jean 5:6) Jésus est venu par l'eau en tant que Grand Enseignant. Mais il est aussi le Rédempteur qui a dû verser son sang. Sans effusion de sang, il n'y a pas de rémission des péchés ni de rédemption. (Voir Hébreux 9:22.) Il a versé Son sang afin qu'Il puisse ensuite purifier et sanctifier par le lavage d'eau par la Parole. Il est venu par l'eau et par le sang.

Chapitre Cinq Votre âme : une émotion Approche du culte Nous continuons notre chemin vers le lieu très saint. Sous l'ancienne alliance, Dieu a donné à Moïse un modèle terrestre de réalités et de vérités célestes. Mais ce n'est qu'à travers la nouvelle alliance en Jésus-Christ que nous pouvons entrer dans les réalités célestes réelles de ce qui n'était révélé que dans l'ombre sous l'ancienne alliance. Nous allons maintenant passer de la cour extérieure du temple au lieu saint. Liés aux domaines de la personnalité de l'homme, nous sortons du domaine du corps, ou du physique, et dans le domaine de l'âme, ou de l'émotionnel. Ou, en rapport avec la vie de Christ, nous quittons le domaine de Jésus à l'époque où Il marchait sur la terre vers cette révélation de Jésus après la mort, par la résurrection, qui n'est donnée que par les Écritures inspirées. Et Il est mort pour tous, afin que ceux qui vivent ne vivent pas plus longtemps pour eux-mêmes, mais pour Celui qui est mort pour eux et ressuscita. Par conséquent, à partir de maintenant, nous ne considérons pas un selon la chair. Même si nous avons connu Christ selon la chair... (2 Corinthiens 5:15-16) Nous parlons maintenant du fait que Jésus n'est pas seulement mort, mais qu'Il est aussi ressuscité. Nous nous déplaçons hors du domaine extérieur de la connaissance physique et dans le domaine où la révélation est communiquée par le Saint-Esprit. Le premier voile Jésus n'est pas seulement mort, mais il est aussi ressuscité. En quittant la cour extérieure, nous devons d'abord passer à travers le premier voile ou rideau. Je crois que cela représente la résurrection du Christ. Lorsque nous traversons ce voile, nous passons dans une zone qui nous a été ouverte par la résurrection de Jésus

d'entre les morts. Il caractérise, en un sens, notre identification avec le Christ en résurrection. Si donc vous êtes ressuscités avec Christ, recherchez ces choses qui sont en haut, où est le Christ, assis à droite la main de Dieu. (Colossiens 3:1) Nous sommes morts avec Christ, mais les Ecritures disent que nous sommes aussi ressuscités avec Lui. Le lieu saint Dans ce premier lieu saint, il y avait trois objets principaux : la table du pain, le chandelier et l'autel d'or des parfums. Je crois que ceux-ci caractérisent les fonctions correspondantes de notre âme. Le pain de proposition La table du pain, ou pain de proposition, correspond à la volonté humaine. Dans les Écritures, le pain symbolise la force, et la force de l'âme n'est pas dans son intellect ni dans ses émotions, mais dans sa volonté. Vous pouvez avoir un intellect brillant ou être très émotif, tout en restant très faible. Quand je prêche, je ne cherche pas à atteindre les émotions des gens. Je cherche à atteindre et à changer leurs volontés. Il est relativement facile d'exciter émotionnellement les gens, mais c'est totalement inefficace si nous ne changeons pas leur volonté. Cela doit être notre objectif. Ainsi, le pain de proposition sur la table est symbolique de la volonté humaine. En se référant aux Psaumes, il y a un verset clé dans le domaine même dont nous traitons : Il fait pousser l'herbe pour le bétail, et végétation au service de l'homme, afin qu'il apporte la nourriture de la terre et le vin qui réjouit le cœur de l'homme, de l'huile pour faire briller son visage, et du pain qui fortifie le cœur de l'homme. (Psaume 104:14-15) Ici, nous avons la provision de Dieu pour les trois domaines de l'âme de l'homme. Le vin c'est les émotions. L'huile est l'intellect remarquez le mot briller, qui parle de lumière. Et le pain parle de la volonté.

La provision de Dieu se résume dans ces trois choses : le grain, le vin et l'huile. Dans Joël 1, le peuple de Dieu, qui L'a abandonné, est dépourvu de ces trois éléments et sans sa présence. Dans Joël 2, où Dieu a dit qu'il répandrait son esprit, il a également dit : "Voici, je vous enverrai du grain, du moût et de l'huile, et vous en serez rassasiés" (Joël 2:19). Le grain est la force de la volonté et de la Parole de Dieu. L'huile est l'illumination du SaintEsprit. Et le vin est la joie du Seigneur. Vous vivez une vie pauvre si vous n'avez pas tous les trois. Mais Dieu sera sûr de les fournir si nous nous tournons vers Lui. C'est le Christ lui-même qui établit le modèle de la volonté. C'est pourquoi, lorsqu'il est venu dans le monde, il a dit : "Tu n'as voulu ni sacrifice ni offrande, mais un corps Vous avez préparé pour Moi. Dans les holocaustes et sacrifices pour le péché Tu n'as eu aucun plaisir. Alors j'ai dit: `Voici, je suis venu; dans le volume du livre c'est écrit de moi; pour faire ta volonté, ô Dieu. » (Hébreux 10:5-7) Le corps de Christ a été préparé dans un seul but : faire la volonté de Dieu. De même, il n'y a qu'une seule raison pour laquelle nous avons un corps : pour faire la volonté de Dieu. Tout le reste est secondaire. Jésus lui-même a dit, je ne peux rien faire de moi-même. Comme j'entends, je juge; et mon le jugement est juste, parce que je ne cherche pas les miens volonté mais la volonté du Père qui m'a envoyé. (John 5:30) Il n'y a qu'une seule raison pour laquelle nous avons un corps : pour faire la volonté de Dieu. C'est un principe très important. Vous pouvez juger avec justice - votre discernement sera juste - lorsque vous ne recherchez pas votre propre volonté. Lorsque vous recherchez la volonté du Père, vous ne serez pas trompé. Vous aurez la perception, vous aurez le discernement et vous aurez le jugement. Mais quand vous commencez à vouloir votre propre volonté, alors vous vous égarez. Il y a un passage dans Matthieu où nous voyons la confirmation finale de ce point : « Que cette coupe s'éloigne de moi ; néanmoins, non pas comme je veux, mais comme tu veux » (Matthieu 26 :39). Voici l'image de Jésus abandonnant sa volonté à chaque instant au Père. De même, c'est par l'abandon de votre volonté que vous découvrirez la volonté parfaite de Dieu. Lorsque vous recherchez la volonté du Père, vous ne serez pas trompé.

Ce qui donnait de la force à Jésus, c'était de faire la volonté de Dieu. Cela peut être vu dans sa conversation avec ses disciples après avoir rencontré la femme samaritaine au puits : Pendant ce temps, ses disciples l'exhortèrent en disant : "Rabbin, mange." Mais Il leur dit : "J'ai à manger dont vous ne savez rien." C'est pourquoi les disciples disaient l'un à l'autre : Quelqu'un l'a-t-il amené quelque chose à manger?" Jésus leur dit: "Ma nourriture est de faire la volonté de celui qui m'a envoyé, et achever son travail." (Jean 4:31-34) Jésus était physiquement faible lorsqu'il s'est assis au puits, mais lorsqu'il a témoigné à la femme et accompli la volonté de Dieu, cela lui a donné une force physique réelle. Il ne ressentait plus le besoin immédiat de manger. Il en est de même pour nous. C'est faire la volonté de Dieu qui nous donne la force. C'est le fait d'établir notre volonté de faire la volonté de Dieu qui donne à notre âme la force et le but. Le mot pain de proposition n'est pas une traduction littérale. C'est en fait "le pain du visage". Le visage de qui ? C'était le pain qui était toujours devant la face de Dieu. Dans Numbers, on parle de pain "continu". (Voir Nombres 4:7 LSG.) C'était le pain qui était continuellement devant la face de Dieu jour et nuit, sept jours par semaine. Je ne peux penser à rien qui m'ait plus profondément touché que la compréhension que ma volonté est comme des miches de pain sur une table exposée devant Dieu jour et nuit, vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Dieu exige d'inspecter ma volonté. Il y avait précisément douze pains sur la table - s'il manque un pain ou n'est pas à sa place, Il veut savoir pourquoi. Je vous promets que si vous pouvez comprendre ce point, vous serez épargné de nombreux désastres et chagrins d'amour. C'est votre volonté que vous devez garder. C'est votre volonté où tout commence vraiment dans vos relations avec Dieu. La provision pour les pains de proposition se trouve dans le Lévitique : Et tu prendras de la farine fine et tu feras douze gâteaux avec ça. Deux dixièmes d'épha seront dans chaque gâteau. Tu les placeras en deux rangs, six de suite, sur le table d'or pur devant l'Éternel. Et tu mettras encens pur sur chaque rangée, qu'il peut être sur le pain de mémoire, offrande consumée par le feu à l'Éternel. Chaque sabbat, il le mettra en ordre avant l'Éternel continuellement, étant enlevé aux enfants d'Israël par une alliance éternelle. Et ce sera pour Aaron et ses fils. (Lévitique 24:5-9)

Je vois ici huit caractéristiques successives dans lesquelles les pains de proposition caractérisent le genre de volonté que Dieu recherche. Premièrement, pour faire le pain de proposition, le grain doit être moulu très fin. "Le maïs à pain est meurtri" (Esaïe 28:28 KJV). C'est Dieu, s'occupant de la volonté de l'homme dans laquelle se produit une meurtrissure continuelle de la volonté. Votre volonté est acceptable quand elle est aussi lisse et aussi fine que cette farine. Jusqu'à ce que ce soit le cas, Dieu continuera d'ecchymoses, d'ecchymoses, d'ecchymoses. Deuxièmement, pour faire le pain, il doit être moulé. Votre volonté doit être conforme à la volonté révélée de Dieu dans les Ecritures. Et le modèle utilisé pour le moulage est Jésus. Troisièmement, après avoir été moulé, il doit être cuit à la chaleur du feu. La chaleur représente le test. Vous dites: "Très bien Dieu, je veux faire Ta volonté." Alors tout va contre toi. Cinq difficultés vous frappent en une journée. Changez-vous d'avis parce que vous ne supportez pas le feu ? Ne pensez pas qu'il soit étrange que le feu soit tout autour de vous. C'est la cuisson du pain. Quatrièmement, le pain doit être commandé. Il doit y avoir douze pains, en deux rangées de six. Vous n'en avez pas sept dans une rangée et cinq dans une autre. C'est là que de nombreux chrétiens, charismatiques en particulier, peuvent devenir négligents. Sans discipline, vous ne pouvez pas être un disciple. Si vous pensez qu'il n'est pas important d'avoir cinq pains dans une rangée et sept dans une autre, vous ne pensez pas comme Dieu. Dieu dit six pains dans chaque rangée, opposés l'un à l'autre. Pas au hasard; pas de travers. Si votre volonté est ainsi, votre bureau, votre bureau et votre cuisine seront ainsi. Si vous avez du mal à maintenir l'ordre dans votre vie, vérifiez les pains de proposition. Cinquièmement, le pain doit être recouvert d'encens, ce qui signifie toujours un type de culte dans l'Écriture. Notre réponse ne peut pas être : "Eh bien, mon Dieu, si tu insistes, je le ferai." Cela doit être, "Merci, Seigneur. Je suis heureux de faire Ta volonté. Je baisse la tête dans la soumission et l'adoration. Que Ta volonté soit faite, Seigneur." Sur terre comme au ciel ; c'est la norme. Sixièmement, comme déjà mentionné, le pain doit être continuellement affiché devant la face de Dieu jour et nuit. Dieu dit : "Je veux voir où est le pain." Septièmement, une double couronne de protection l'entoure. (Voir Exode 37:10-12.) Le pain était si précieux qu'une seule couronne protectrice autour du dessus de la table ne

suffisait pas. Ils ont mis une bordure avec une autre couronne de sorte que si de petites miettes sortaient de la première couronne, elles étaient toujours protégées contre la chute au sol par la deuxième couronne. De même, il y a une double couronne autour de votre testament. Qu'est-ce que la double couronne ? C'est veiller et prier. Veillez donc et priez toujours [vingt-quatre heures un jour] afin que vous soyez jugé digne d'échapper à tous ces choses. (Luc 21:36) Vous devez vivre de telle manière qu'il serait injuste de la part de Dieu de faire tomber sur vous le jugement qui vient sur les impies. Veillez et priez afin que vous soyez jugé digne de vous échapper. "Veillez et priez... L'esprit est bien disposé, mais la chair est faible" (Matthieu 26:41). Jésus a dit: "Tu as dit que tu me suivrais jusqu'au bout, mais si tu ne veilles pas et ne prie pas, tu seras pris au dépourvu." Effectivement, c'est ce qui est arrivé aux disciples. C'est notre double garde protectrice pour garder le pain de proposition en place - veillez et priez. La huitième et dernière caractéristique du pain est qu'il doit y être mis frais. Vous devez régulièrement redonner votre volonté à Dieu. Smith Wigglesworth a dit : "Chaque nouvelle révélation exige un nouveau dévouement." Je suis d'accord avec ça. Chaque fois que Dieu vous montre une nouvelle vérité, une nouvelle mission, cela exige que les pains de proposition soient remis sur la table. Dans le parvis extérieur, c'était ce que Dieu a fait pour nous. Mais lorsque nous entrons dans le Lieu Saint, il s'agit de notre réponse à Dieu. Cela commence par la volonté. Pour moi, c'est très clair. Alors que je marche dans la rue ou que je participe à une activité quotidienne, je me dis : est-ce que le pain de proposition est là ? Chaque pain est-il en place ? Y a-t-il quelque chose en moi qui ne soit pas soumis à la volonté de Dieu ? Je ne veux pas dire résigné à la volonté de Dieu ; Je veux dire positivement prendre plaisir à faire Sa volonté. Vous devez régulièrement redonner votre volonté à Dieu. Le Chandelier

Le meuble suivant dans le Lieu Saint est le chandelier à sept branches, que je compare à l'intellect la source de lumière. Le chandelier était éclairé à l'huile d'olive. Cela représente l'intellect humain illuminé par le Saint-Esprit. Le chandelier et les chérubins sur l'arche de l'alliance dans le Saint des Saints étaient tous deux en or battu. Tout le reste du tabernacle était en or pur. L'or pur est de nature divine ; l'or battu est d'un travail divin. De même, tout comme les chérubins étaient des êtres créés, l'esprit est aussi une création de Dieu. De plus, l'or battu suggère un processus de façonnage, de martelage et de formation de quelque chose selon un certain motif. Je crois qu'il représente deux facettes de notre intellect : l'étude et la discipline. Pour que le chandelier de votre intellect soit ce que Dieu veut, il doit être battu ou façonné. Jeter les arguments et toutes les hautes choses qui s'exalte contre la connaissance de Dieu, apportant toute pensée en captivité à l'obéissance de Christ. (2 Corinthiens 10:5) Voici un verset qui s'applique évidemment au domaine de l'esprit. La suggestion est que, lorsqu'elles sont laissées à notre propre nature, nos pensées sont en opposition avec Dieu. "L'esprit charnel est inimitié contre Dieu" (Romains 8:7). Chaque pensée de cet ennemi (l'esprit charnel) doit être amenée en captivité à l'obéissance de Christ. Ce processus est le martelage du chandelier d'or. Savez-vous comment dire quand votre esprit est captif de Christ ? Quand tout ce que vous pensez est conforme aux Ecritures. Chaque pensée doit être amenée en captivité à l'obéissance de Christ. En tant que personne formée en philosophie avant de venir au Christ, j'ai probablement eu plus de problèmes d'esprit que le chrétien moyen. Dieu m'a montré que c'était le point faible de ma vie. Il m'a montré que j'avais besoin de protection pour mon esprit et m'a donné un casque d'espoir. (Voir 1 Thessaloniciens 5:8.) Il m'a montré que le monde est éloigné de Dieu dans l'attitude de son esprit. L'un des grands ministères de l'évangile est d'amener les esprits des gens en captivité à l'obéissance de Christ. Mais Dieu m'a révélé que je devais commencer par mon propre esprit. Je ne suis certes pas arrivé, mais j'ai un

esprit bien différent de celui que j'avais quand j'étais jeune. J'ai délibérément martelé le chandelier pour ramener chaque pensée en captivité. C'est le processus par lequel chaque croyant doit passer. Dans les Psaumes, nous voyons que la lumière est liée à la compréhension : L'entrée de Vos mots éclairent; il donne comprendre au simple. (Psaume 119:130) Et puis, dans Éphésiens, nous voyons que cette compréhension est un processus spirituel. "Soyez renouvelé dans l'esprit de votre esprit" (Éphésiens 4:23). Le mot "renouvelé" est au présent continu, suggérant que l'esprit est continuellement et progressivement renouvelé. Ce n'est pas un événement ponctuel. La compréhension vient de l'abandon de votre esprit au Saint-Esprit. Au fur et à mesure que le Saint-Esprit prendra possession de votre esprit, Il le mettra en conformité avec le Livre qu'Il a écrit - la Bible. Lorsque le Saint-Esprit captive votre esprit, votre esprit est en accord avec l'Ecriture sur tous les points. Mais c'est un processus. Tout comme Jésus établit le modèle pour la volonté, nous voyons qu'il fait de même pour l'esprit : Que cet esprit soit en vous qui était aussi en Christ Jésus. (Philippiens 2:5) Apprenez à penser comme Jésus pensait. Au fur et à mesure que le passage se poursuit, vous verrez que le mot clé est humilité : Qui, étant sous la forme de Dieu, ne l'a pas considéré vol pour être égal à Dieu. (Philippiens 2:6) Jésus s'est humilié jusqu'à la mort sur la croix. C'est la pensée qui était en Jésus. L'esprit doit subir sa crucifixion. C'est le processus d'amener votre esprit fier et têtu en captivité, à l'obéissance, à l'humilité et à la mort sur la croix. L'esprit crucifié ne discute pas avec Dieu. Il ne dit pas : "Mais..." Il dit : "Amen." L'illumination de l'intellect dépend de l'abandon de la volonté. Vous ne pouvez pas avoir votre intellect illuminé tant que vous n'avez pas cédé à votre volonté. L'intellect illuminé révèle toujours l'état de la volonté. Après tout, dans le temple, le chandelier était au-dessus de la table des pains de proposition. Si votre volonté se dérègle, votre intellect illuminé le révélera, mais le ressentira également. Ensuite, vous irez dans les ténèbres.

Au lieu d'obtenir une vraie révélation, vous obtiendrez une fausse révélation. Jésus a dit : "Si donc la lumière qui est en vous est ténèbres, combien grandes sont ces ténèbres !" (Matthieu 6:23). Le lieu de révélation, le Saint des Saints où nous nous dirigeons, est le plus saint de tous. Pour recevoir la vraie révélation, vous devez être lié à juste titre au plus saint de tous. Si vous n'êtes pas en bonne relation avec la source de révélation, vous ne recevrez que de fausses révélations. C'est l'ordre de la révélation divine et de la direction de Dieu pour le croyant. C'est l'Esprit de Dieu qui contrôle et opère dans l'esprit du croyant, qui contrôle l'âme du croyant et qui contrôle le corps du croyant. Ainsi, comme pour tout, l'initiative, la source d'origine, est avec Dieu, et tout dépend de la volonté étant entièrement soumise à Dieu. L'autel d'or de l'encens Le dernier élément du lieu saint, l'autel d'or de l'encens, était l'élément le plus haut de la pièce. Il avait deux coudées de haut, tandis que tout le reste avait une coudée et demie de haut. Il avait des cornes sur le dessus à chaque coin de l'autel. Entre les cornes, un feu brûlait, mais aucun animal sacrificiel n'a été brûlé dans cette flamme. Le seul objet placé dans ce feu était l'encens spécial, créé à partir d'une certaine formule qu'il était illégal de copier ou d'utiliser dans toute autre situation que sur cet autel en or. En d'autres termes, l'autel des parfums représente le lieu de culte dans la vie du croyant. Il y a un culte que nous rendons à Dieu que nous ne devons jamais rendre à personne d'autre. Ne devenez pas un adorateur des prédicateurs, car c'est abuser de l'encens qui n'appartient qu'à l'autel qui mène à la présence de Dieu. Nous pouvons identifier huit caractéristiques de l'autel d'or de l'encens. Rappelez-vous, nous sommes toujours dans le domaine qui se rapporte à l'âme de l'homme. Dieu s'occupe d'abord de la volonté (les pains de proposition), puis de l'intellect (le chandelier), et ensuite Il est prêt à libérer vos émotions. Certaines personnes ont peur des émotions dans la religion.

Mais ce n'est pas vraiment logique puisque les émotions sont une partie si essentielle de l'homme. Certes, il est possible que les émotions deviennent incontrôlables et désordonnées, mais ce schéma particulier que nous suivons nous montre comment nous pourrions ramener nos émotions sous contrôle. Il y a un culte que nous rendons à Dieu que nous ne devons jamais rendre à personne d'autre. Dieu désire que nous contrôlions nos émotions et ne laissions pas nos émotions nous contrôler. C'est la volonté qui détermine le contrôle. Je peux danser, faire la fête et me lâcher comme la plupart des gens. Mais ce ne sont pas mes émotions qui me poussent à le faire ; c'est ma volonté. Je ne peux pas laisser mes émotions me dicter. Cela ne veut pas dire que j'ai l'air sans émotion. J'ai des émotions, mais elles doivent venir à leur juste place. Je crois que vous pouvez avoir le plein règne de vos émotions lorsque votre volonté et votre intellect ont été traités. Mais si vous le faites dans l'autre sens, alors vous êtes l'esclave de vos émotions. Ainsi, la première caractéristique de l'autel est qu'il était à quatre côtés et carré; il était égal dans toutes les dimensions. Cela signifie que vos émotions doivent être équilibrées, pas données à un type d'émotion ou à un autre. Deuxièmement, comme la table des pains de proposition était protégée par deux couronnes, l'autel d'or de l'encens était protégé par une. Quelle est la couronne qui protège les émotions ? Ce n'est rien d'autre que la maîtrise de soi. N'oubliez pas que vous êtes maître de vos émotions. Ne les laissez jamais vous prendre en charge. Troisièmement, le feu symbolise l'intensité, la pureté et la passion de l'âme. Loin de vouloir que nous soyons sans émotion, Dieu veut que nous soyons des passionnés. Mais c'est une passion contrôlée, purifiée et dirigée. Kate Booth Clibborn, la fille de William Booth, a dit un jour : "Jésus nous aime passionnément, et Il veut être aimé passionnément." Il le fait certainement. La passion fait partie de la sainteté, mais elle doit être dans la bonne relation et sous le bon contrôle. Le quatrième aspect de l'autel d'or était l'encens, qui parlait de la dévotion parfumée par l'épreuve du feu. L'encens est un morceau noir et peu attrayant jusqu'à ce que vous le

mettiez sur le feu. Il devient alors merveilleusement parfumé. Le miel, en revanche, est doux et agréable jusqu'à ce que vous le mettiez sur le feu. Ensuite, cela devient un gâchis collant et noir. Et Dieu a dit qu'Il ne voulait pas de miel sur les offrandes du Seigneur faites par le feu. (Voir Lévitique 2:11.) Pas de paroles douces ou de belles phrases si elles ne résistent pas à l'épreuve du feu. Cinquièmement, la fumée s'élevait. Belle et parfumée, la fumée blanche est une adoration exprimée dans la louange et l'adoration. Sixièmement, les cornes de l'autel devaient être purifiées avec le sang du sacrifice propitiatoire chaque année le Jour des Expiations. En d'autres termes, notre adoration doit toujours reconnaître que nous n'avons accès que par le sang de Jésus. Si jamais nous offrons un culte qui n'est pas par le sang de Jésus, c'est totalement inacceptable pour Dieu. L'autel devait être sanctifié par le sang. C'était le meuble le plus haut. Les cornes l'amenaient à la hauteur approximative des chérubins sur le propitiatoire. Ainsi, lorsque nous nous lançons dans la louange, l'adoration et l'adoration, nous nous élevons comme la fumée de l'encens vers les niveaux spirituels les plus élevés. Et enfin, l'autel est la transition de l'âme à l'esprit, du saint au très saint. Il n'y a pas d'autre voie désignée que la voie de la louange, de l'adoration et de l'adoration. Ainsi, nous nous approchons de ce lieu intérieur de sainteté avec notre attitude en ligne notre volonté, notre intellect et nos émotions conformément aux exigences de Dieu. Maintenant, nous sommes prêts à entrer dans la présence même de Dieu et à découvrir le vrai culte.

Chapitre six Votre esprit : le chemin Dans le plus saint Nous avons parcouru le tabernacle, cet édifice trinitaire représentant la nature trinitaire de l'homme. Nous avons comparé les trois zones du tabernacle aux trois zones de la personnalité humaine : le parvis extérieur, le corps ; le lieu saint, l'âme ; et maintenant le Saint des Saints, représentant l'esprit de l'homme. Le deuxième héritier En quittant le Lieu Saint, nous passons à travers un second voile. Ce n'est que le Jour des Expiations, ce jour-là par an, qu'un prêtre était autorisé à franchir le deuxième voile. Il est allé avec le sang de l'autel d'airain et avec un encensoir rempli de charbons ardents et d'encens de l'autel d'or des parfums. C'est parce que le chemin vers le lieu très saint est avec le sang du sacrifice éternel, et avec l'encens du culte et de l'adoration. Sans adoration, nous n'avons pas accès au-delà du Lieu Saint. Jusqu'à ce que nous apprenions le vrai culte, nous sommes confinés dans le royaume de l'âme. La seule issue est par le culte sanctifié par le sang. Je vois ce voile comme représentant l'ascension du Christ. Mais Dieu... nous a rendus vivants avec Christ (par grâce que tu as été sauvé), et nous a ressuscités ensemble, et nous a fait asseoir ensemble dans les lieux célestes Jésus-Christ. (Éphésiens 2:4-6) Non seulement nous sommes ressuscités des morts avec lui, mais les Écritures disent que nous avons également été ressuscités pour nous asseoir avec lui dans les lieux célestes. Le premier voile symbolise la résurrection d'entre les morts. Ce deuxième voile caractérise l'ascension qui nous emmène dans les cieux et nous place sur le trône avec Christ. Le Saint des Saints Vous vous souviendrez qu'à l'intérieur du Saint des Saints, il n'y avait de lumière que pour la présence manifeste, visible et personnelle de Dieu - la gloire shekinah. C'est là que le culte a lieu. Nous n'avons besoin d'aucune autre source d'illumination lorsque nous

sommes en présence de Dieu. Ici, nous expérimentons le privilège d'une relation directe de personne à personne, d'esprit à esprit avec Dieu. Les trois activités de l'esprit sont l'adoration, la communion fraternelle et la révélation. Dans le Saint des Saints se trouvaient deux meubles qui occupaient le même espace. Il y avait d'abord l'arche de l'alliance. Et au-dessus de l'arche se trouvait le propitiatoire avec des chérubins, un à chaque extrémité. Les trois activités de l'esprit - l'adoration, la communion fraternelle et la révélation - n'ont de sens qu'en relation avec Dieu Lui-même. L'esprit de l'homme est mort s'il n'est pas uni à Dieu. Votre corps et votre âme peuvent fonctionner sans relation directe avec Dieu, mais l'esprit ne prend vie qu'au contact du Créateur. Lorsque votre esprit est séparé de Dieu, il est mort, obscurci et aveugle. Ainsi, toutes les activités de l'esprit n'ont de sens qu'en relation avec Dieu lui-même. L'arche d'alliance L'arche est le Christ, révélé à l'esprit. Ou, Christ révélé dans votre esprit, puisque, dans notre façon d'interpréter le temple, le Saint des Saints représente l'esprit de l'homme. Une arche dans la Bible est toujours un type de Christ. Par exemple, l'arche de Noé vous caractérise en Christ. L'arche de Moïse symbolise Christ en vous. Mais les deux symbolisent les relations du Nouveau Testament. L'arche d'alliance était en bois d'acacia, comme tout le bois du tabernacle, et était doublée d'or à l'intérieur et à l'extérieur. Le bois symbolisait l'humanité de Jésus ; l'or symbolisait sa divinité. À l'intérieur de l'arche se trouvaient trois objets : les tablettes de pierre contenant les dix commandements, le pot d'or de la manne et la verge bourgeonnée d'Aaron que nous examinerons plus en détail. Plus tard, le tabernacle a été remplacé par un autre bâtiment, qui est devenu la demeure de Dieu en Israël : le temple, construit par Salomon. Lorsque l'arche fut introduite dans le temple de Salomon, le contenu avait changé : Alors les sacrificateurs apportèrent l'arche de l'alliance de l'Éternel en son lieu, dans le sanctuaire intérieur du temple, au lieu très saint, sous les ailes du chérubins. Car les chérubins déploient leurs ailes sur le lieu de l'arche, et les chérubins ombragé

l'arche et ses perches. Et les pôles étendus de sorte que les extrémités des pôles de l'arche pouvaient être vues du lieu saint, devant le sanctuaire intérieur; mais ils ne pouvait pas être vu de l'extérieur. Et ils sont là pour ce jour. Il n'y avait rien dans l'arche sauf les deux tablettes que Moïse mit là à Horeb. (2 Chroniques 5: 7-10) Le pot d'or de la manne et la verge d'Aaron qui ont bourgeonné ont été retirés lorsque le tabernacle a cessé et que le temple a été construit. Je crois que le tabernacle était une image de l'église de notre époque : légère, mobile et impermanente. Tout avait des poteaux pour pouvoir être transporté. Tout pourrait être démonté, déplacé et remonté. C'est l'église dans cette dispensation. Je crois que le temple de Salomon est l'église de l'âge suivant : établie, permanente, glorifiée et régnant avec une puissance visible. Maintenant, il règne de manière invisible - spirituellement. Deux objets ont été sortis de l'arche. Premièrement, le pot doré de la manne, qui était la manne cachée - dans l'âge suivant, elle ne sera plus cachée. Et la verge d'Aaron qui a bourgeonné, symbolisant la puissance et l'autorité de Dieu - dans la prochaine ère, elle sera ouvertement affichée. Mais les tables de pierre restent toujours dans l'arche. Les tablettes de pierre Les deux tables de pierre représentent la loi juste et éternelle de Dieu. Il y a une loi dans l'univers qui est l'expression de la propre justice de Dieu. Il est aussi immuable et éternel que Dieu Lui-même. Le Psaume 40 nous parle de cette loi par rapport au Christ : Alors j'ai dit : "Voici, je viens ; dans le rouleau du livre il est écrit de moi. Je prends plaisir à faire ta volonté, ô mon Dieu, et ta loi est dans mon cœur." (Psaume 40:7-8) Les tables de pierre dans l'arche représentaient le Christ, avec la loi de Dieu dans son cœur, ne s'écartant jamais d'un cheveu de la loi éternelle de la justice de Dieu. Dieu a offert ces tables de pierre à Israël la première fois, mais au moment où Moïse est descendu de la montagne après les avoir reçues, Israël enfreignait déjà le premier commandement par l'idolâtrie. En colère, Moïse jeta les tables et elles furent brisées. La fois suivante où Moïse est monté sur la montagne, Dieu a dit: "Taillez de nouvelles tables, et J'écrirai dessus avec Mon doigt." Mais la deuxième fois, Moïse n'a pas été autorisé à

montrer les tables de pierre à Israël. Il reçut l'ordre de les placer à l'intérieur de l'arche. Ensuite, ils ont été recouverts du propitiatoire. Dès lors, c'était un péché punissable de mort que de soulever le couvercle de l'arche. La condition d'être le peuple de Dieu est d'avoir la loi écrite dans vos cœurs. Ce fut la fin de l'homme essayant de garder la loi par ses propres efforts. Il a essayé une fois mais a échoué avant que la loi ne descende de la montagne. Dieu a décidé que c'était la fin de cela, et a créé une autre voie. Or, ce n'était pas l'homme qui observait la loi, mais c'était Christ dans l'homme, avec la loi dans son cœur - le seul chemin de la justice. L'arche en vous, et la loi dans l'arche - Christ étant l'arche. Hébreux dévoile cette vérité de Christ en nous ayant la loi dans Son cœur : Parce qu'en les blâmant, Il dit : "Voici, les jours viennent, dit l'Éternel, où je faire une nouvelle alliance avec la maison d'Israël et avec la maison de Juda; pas selon le alliance que j'ai conclue avec leurs pères le jour quand je les ai pris par la main pour les faire sortir du pays d'Egypte." (Hébreux 8:8-9) Cette alliance a été annulée parce qu'Israël l'a rompue avant même qu'elle ne soit finalisée. Car c'est ici l'alliance que je conclurai avec le maison d'Israël après ces jours-là, dit l'Éternel : Je veux mettez Mes lois dans leur esprit et écrivez-les sur leur cœurs; et je serai leur Dieu, et ils seront mon peuple. (Hébreux 8:10) C'est la condition pour être le peuple de Dieu : que vous ayez la loi de Dieu, non pas sur deux tables de pierre accrochées au mur, mais écrite dans vos cœurs. C'est ce qui fait de vous le peuple de Dieu. Paul a écrit : Et je suis devenu juif pour les Juifs,... pour ceux qui sont sous la loi, comme sous la loi,... à ceux qui sont sans loi, comme sans loi (ne pas être sans loi envers Dieu, mais sous la loi envers Christ). (1 Corinthiens 9:20-21) En fait, ce n'est pas tout à fait la bonne traduction. Ce que Paul voulait dire était : « Je suis dans la loi en Christ parce que Christ est le gardien de la loi pour moi. Quand Christ gouverne mon cœur, alors la loi de Dieu règne dans mon cœur, par Christ dans mon cœur. Mais ce n'est pas moi qui garde la loi; c'est Christ vivant sa légalité dans mon cœur. Je

suis totalement dépendant de Christ. Christ en moi, l'espérance de la gloire. (Voir Colossiens 1:27.) Le pot doré de la manne Ensuite, nous arrivons au pot d'or de la manne, recueillie à l'époque où Dieu fournissait la subsistance à son peuple alors qu'il errait dans le désert. Jean nous parle de la manne en citant Jésus : Je suis le pain de vie. Vos pères ont mangé la manne dans le désert, et sont morts. C'est le pain qui descend du ciel, qu'on en mange et Ne pas mourir. (Jean 6:48-50) Très clairement, le Christ disait : « Je suis la vraie manne, le vrai pain qui est descendu du ciel. Plus tard, Il a dit quelque chose de formidable : Comme le Père vivant m'a envoyé, et je vis à cause du Père, ainsi celui qui se nourrit de moi vivra grâce à moi. (Jean 6:57) En effet, Jésus disait : « J'ai la vie par mon union avec le Père. Et celui qui croit en moi aura la vie par l'union avec moi comme j'ai l'union avec le Père. Et dans cette union avec moi, il nourrira Je serai la manne cachée dans son cœur. Et de cette manne il se nourrira jour après jour. Dans l'Apocalypse, Jésus parle à tous les croyants de l'église, et Il nous donne cette promesse de la manne cachée : Celui qui a des oreilles, qu'il entende ce que l'Esprit lui dit les églises. A celui qui vaincra je donnerai quelques de la manne cachée à manger. (Révélation 2:17) C'est la manne dans le pot d'or. Nous nous nourrissons du Christ, la manne, par notre communion spirituelle intérieure avec Lui. Nourris de lui, nous vivons de lui comme il vit de son union avec le Père. C'est l'union spirituelle intérieure avec Christ à l'intérieur, par laquelle Il devient la manne cachée dans nos cœurs. La verge d'Aaron - qui a bourgeonné

Le troisième élément était la verge bourgeonnée d'Aaron que Moïse utilisait pour accomplir les miracles de Dieu devant Pharaon et ses sorciers. Finalement, les chefs des autres tribus d'Israël ont contesté l'autorité d'Aaron en tant que grand prêtre et en tant que seul à avoir le droit d'entrer dans le Saint des Saints. Dieu a dit: "Nous réglerons cela une fois pour toutes. Que le chef de chaque tribu d'Israël m'apporte sa verge." La verge était le symbole de l'autorité pour chaque tribu. Chaque homme écrivait son nom sur sa canne. Comme Dieu l'a ordonné, ils ont mis toutes les tiges devant Dieu et sont revenus vingt-quatre heures plus tard. À leur retour, onze des tiges étaient telles qu'elles les avaient laissées. Mais la douzième tige avait bourgeonné, produisant des fleurs et des amandes complètes en seulement vingt-quatre heures. Sur la tige qui a bourgeonné était écrit le nom d'Aaron. Dieu avait confirmé l'autorité d'Aaron. (Voir Nombres 17:1-10.) Aujourd'hui, le nom sur cette tige n'est pas Aaron, mais Jésus. Par la résurrection d'entre les morts, Dieu a justifié la revendication divine de Jésus. Ainsi, la verge est une attestation divine et elle vient par révélation divine. Lorsque vous avez la révélation et l'attestation, vous avez l'autorité. Nous avons maintenant une image de ce qu'il y avait à l'intérieur du Saint des Saints. Les trois éléments à l'intérieur de l'arche signifient ce qui suit, et je crois qu'ils doivent être dans cet ordre : adoration, communion fraternelle et révélation. De notre approche dans l'adoration vient la communion. Sans adoration, vous n'avez pas de communion. Dieu ne sera pas en communion avec quelqu'un qui s'approche de manière irrévérencieuse ou précipitée. Mais lorsque vous vous approchez avec adoration, vous entrez en communion. Vous commencez à vous nourrir de la manne cachée dans le pot doré. Et puis de l'adoration et de la communion vient la révélation de l'esprit, de la volonté et du dessein de Dieu. La gloire de la shekinah illumine cet endroit. Le propitiatoire Maintenant que nous avons traité de l'arche, regardons le propitiatoire qui couvrait l'arche. Comme je l'ai déjà dit, l'arche est Christ. En dehors de Christ, il n'y a pas de miséricorde, pas d'acceptation et pas de vie. Si vous êtes dans l'arche, vous êtes sous la miséricorde.

Les Romains utilisent le mot grec pour propitiatoire, bien qu'il ne soit pas traduit de cette façon dans les Écritures anglaises : Étant justifié gratuitement par sa grâce à travers le rédemption qui est en JésusChrist, que Dieu a établi comme une propitiation [voici le mot grec pour propitiatoire] par son sang. (Romains 3:24-25) L'expiation de Christ, son sacrifice, est le propitiatoire. C'est le lieu qui recouvre la loi enfreinte, les tablettes de pierre que nous avons tous été incapables d'accepter ou de conserver. Maintenant le propitiatoire devient un trône : Approchons-nous donc hardiment du trône de la grâce, afin que nous puissions obtenir miséricorde et trouver grâce pour aider à moment difficile. (Hébreux 4:16) Nous pouvons monter hardiment vers le trône de la grâce parce que Dieu est assis sur le propitiatoire, sur l'œuvre expiatoire de Christ qui couvre la loi enfreinte. Nous pouvons monter hardiment vers le trône de la grâce parce que Dieu est assis sur le propitiatoire. Sur l'arche se trouvaient deux chérubins, deux créatures célestes, en or battu, agenouillées à chaque extrémité de l'arche, leurs visages tournés vers l'intérieur l'un vers l'autre, leurs ailes déployées, les pointes se rejoignant juste au-dessus du propitiatoire. Là encore, les trois mêmes activités étaient représentées : l'adoration, la communion fraternelle et la révélation. Les ailes courbées des chérubins sont le culte. Leurs visages, tournés l'un vers l'autre, sont communion. Dieu a dit que là où les ailes et les visages se rencontraient, Il révélerait Sa gloire : Et les chérubins étendront leurs ailes au-dessus, couvrant le propitiatoire de leurs ailes, et ils se feront face; les visages des chérubins doivent être vers le propitiatoire. Tu mettras le propitiatoire sur le dessus de l'arche, et dans l'arche tu mettras le Témoignage que je vais vous donner. Et là je te rencontrerai, et je te parlerai d'en haut propitiatoire, d'entre les deux chérubins qui sont sur l'arche du Témoignage, de tout ce que je te donnerai comme commandement aux enfants d'Israël. (Exode 25:20-22) Ici, le Christ est assis en tant que roi et sacrificateur sur son trône. Je crois que la vie à l'intérieur de l'arche doit précéder la vie sur le trône. C'est la vie cachée dans l'arche qui vous donne accès au trône.

Il doit y avoir une vie intérieure d'adoration ou de prosternation devant la loi éternelle. Si vous ne vous soumettez pas en vous prosternant devant la loi de Dieu, vous n'y avez pas accès. Vous devez apprendre à vous nourrir de la manne cachée. Vous devez avoir le bâton qui bourgeonne surnaturellement avec la révélation divine. Lorsque nous entrons dans l'arche, nous pouvons monter sur le propitiatoire et nous asseoir sur le trône. Jésus veut partager son trône avec vous, mais il y a une voie désignée, étape par étape. Je ne crois pas que vous puissiez contourner l'une de ces étapes. Il n'y a qu'un seul chemin vers le lieu très saint. C'est comme une carte; elle est esquissée si clairement qu'un enfant intelligent de dix ans peut facilement comprendre une fois que Dieu l'a révélé. Ici, nous avons ce que j'appellerais le "produit final" de l'entrée dans le Saint des Saints. Il y a une adoration, une communion intime et se nourrir de Dieu. Il y a la révélation, donnant l'autorité de Dieu. Et il y a la loi éternelle de justice de Dieu gravée dans nos consciences. C'est la destination de la progression dans l'adoration. Nous commençons dans la cour extérieure avec l'autel de bronze symbolisant la mort du Christ. Nous passons à travers le premier voile de la résurrection du Christ dans le Lieu Saint où nous donnons à Dieu notre volonté, notre intellect et nos émotions. Et puis nous sommes amenés à travers le deuxième voile, symbolisant l'ascension du Christ, et dans la présence immédiate de Dieu. Ensuite, nous sommes entrés dans l'adoration. L'adoration n'est pas essentiellement un énoncé ; c'est une attitude. Ce n'est pas principalement des éloges, bien qu'ils puissent être mélangés. L'adoration est l'attitude avec laquelle vous approchez. Le culte se rapporte aux tablettes de pierre dans le tabernacle. C'est une soumission totale à la juste loi de Dieu qui ne change pas, ne fléchit pas et ne dévie pas. C'est une révérence complète en s'approchant de Dieu. L'adoration est une soumission totale à la juste loi de Dieu. Au fur et à mesure que vous progressiez dans le tabernacle, chaque zone devenait de plus en plus petite à mesure que vous vous rapprochiez de Dieu. Enfin, dans le Saint des Saints, vous seriez dans un cube parfait - dix coudées de long, dix coudées de large et dix coudées de haut. Il n'y avait vraiment rien d'autre pour vous attirer là-bas que Dieu, et c'est ainsi qu'Il l'a prévu. Il y a quelque chose en nous qui s'effraie à mesure que nous avançons dans

cette approche. La plupart d'entre nous viennent à Dieu pour des choses. Nous voulons des bénédictions, nous voulons du pouvoir ou nous voulons la guérison. Dieu veut que nous venions simplement pour Lui. Ainsi, nous n'entrons pas dans cet endroit tant que nous ne venons pas à Dieu pour l'amour de Dieu. Nous nous approchons de Dieu en tant que Dieu. Nous adorons; nous nous inclinons devant Lui. Nous nous nourrissons de lui ; nous L'apprécions. Vient ensuite la révélation.

Chapitre Sept Quatre bénédictions de la nouvelle alliance C'est ma ferme opinion que l'épître aux Hébreux n'a aucun sens si vous n'êtes pas familier avec le tabernacle parce que la lettre entière est basée sur le tabernacle et sur le sacerdoce. J'ai entendu dire que Lévitique est les Hébreux de l'Ancien Testament ou que Hébreux est le Lévitique du Nouveau Testament, quelle que soit la façon dont vous voudriez le formuler. Dans Hébreux 10, nous voyons une application claire de ce que nous avons appris : C'est pourquoi, frères, ayant l'audace d'entrer dans le Très saint par le sang de Jésus, par un chemin nouveau et vivant qu'Il nous a consacrés, à travers le voile, c'est-à-dire sa chair, et ayant un souverain sacrificateur sur la maison de Dieu, approchons-nous avec un cœur sincère en pleine l'assurance de la foi, ayant nos cœurs aspergés de une mauvaise conscience et nos corps lavés avec de l'eau pure l'eau. (Hébreux 10:19-22) Ces versets citent quatre grandes bénédictions de la nouvelle alliance et les quatre principales exigences du véritable adorateur. Dans ce chapitre, je développerai les quatre bénédictions qui sont énumérées. Le saint des saints s'est ouvert Quel incroyable privilège ! Cela stupéfie mes pouvoirs d'expression que nous ayons cet accès direct à la présence immédiate de Dieu tout-puissant. La barrière à cet accès est la nature pécheresse et charnelle de l'homme. Mais cela a été traité sur la croix, comme il est dit dans Romains : Pour ce que la loi ne pouvait pas faire en ce qu'elle était faible par la chair, Dieu l'a fait en envoyant Son propre Fils dans la ressemblance de la chair pécheresse, à cause du péché : Il condamné le péché dans la chair. (Romains 8:3)

La loi ne pouvait pas le faire parce qu'il n'y avait rien de mal avec la loi. Paul a dit que la loi est sainte, juste et bonne. (Voir Romains 7:12.) Chaque commandement de la loi était juste. Pourtant, je pourrais regarder ces tablettes de pierre et tous les autres écrits de la loi et dire : « Je le ferai », mais il y a quelque chose en moi qui dit : « Oh non, tu ne le feras pas. En fait, plus vous essayez de le faire, pire vous échouerez." Paul l'a dit ainsi : Car ce que je fais, je ne comprends pas. Pour ce que je volonté de faire, que je ne pratique pas ; mais ce que je déteste, c'est Je le fais. Si donc je fais ce que je ne veux pas faire, je suis d'accord avec la loi qu'il est bon. Mais maintenant, ce n'est plus moi qui faisle, mais le péché qui habite en moi... Je trouve alors une loi, qui le mal est présent en moi, celui qui veut faire le bien. (Romains 7:15-17, 21) Au moment où j'essaie de respecter la loi, ma nature charnelle et rebelle s'affirme, et plus j'essaie d'être bon, plus je suis mauvais. J'ai découvert cela à l'âge de quinze ans lorsque j'ai été confirmé dans l'Église anglicane. J'ai vraiment décidé qu'il était temps pour moi d'être beaucoup mieux que je ne l'avais été depuis longtemps. J'ai dit : "Ça y est. Je vais être confirmé, me brosser les dents, aller communier, et ça ira." Je n'ai jamais été aussi mauvais qu'immédiatement après cette confirmation. Le problème est la confiance en soi. « Maudit est l'homme qui se confie en l'homme et fait de la chair sa force, dont le cœur se détourne de l'Éternel » (Jérémie 17:5). Lorsque vous dites : « Il y a la loi, je la fais », vous mettez de la confiance en vous et vous tombez sous la malédiction. « Maudit est celui qui ne confirme pas toutes les paroles de cette loi » (Deutéronome 27 :26). Si vous allez être sous la loi, vous devez faire toute la loi, tout le temps. Si vous ne pouvez pas le faire, cela ne sert à rien. Si vous enfreignez un point de la loi une fois, vous êtes un contrevenant pour toujours. C'est tout ou rien. Si vous êtes sous la loi, vous devez faire toute la loi, tout le temps. Je reconnais que la loi est bonne. Il y a quelque chose en moi qui dit : « C'est vrai, c'est ainsi que je devrais vivre. "Car je prends plaisir à la loi de Dieu selon l'homme intérieur" (Romains 7:22). Mais il y a autre chose en moi - un rebelle.

Mais je vois une autre loi dans mes membres, en guerre contre la loi de mon esprit, et m'amenant en captivité pour la loi du péché qui est dans mes membres. (Romains 7:23) Le mot captivité signifie "prisonnier de guerre". Paul disait: "Je me suis mis à combattre pour Dieu et je me retrouve du mauvais côté, en combattant contre Lui. Je suis un prisonnier de guerre. Je ne le fais pas délibérément; c'est quelque chose qui me prend en captivité. Je ne peux pas m'empêcher ce." Ô misérable que je suis ! Qui me délivrera de ce corps de mort ?... Alors, avec l'esprit je me suis moi-même servent la loi de Dieu, mais avec la chair la loi du péché. (Romains 7:24-25) C'est une mauvaise traduction. Une meilleure serait : « Laissé à moi-même, je peux servir la loi de Dieu avec mon esprit, mais avec ma nature charnelle, je suis esclave de la loi du péché et je ne peux pas la changer. Alors, quel est le remède ? Car ce que la loi ne pouvait pas faire... (Romains 8:3) La loi ne pouvait pas changer ma nature. Il m'a dit quoi faire, mais il ne pouvait pas me donner le pouvoir de le faire. Pour ce que la loi ne pouvait pas faire en ce qu'elle était faible par la chair, Dieu l'a fait en envoyant Son propre Fils dans la ressemblance de la chair pécheresse, à cause du péché : Il condamné le péché dans la chair. (Romains 8:3) Il a condamné le péché dans la chair de qui ? Dans la chair de Jésus. Dieu s'est occupé du péché dans le corps de Jésus. Son corps est devenu l'offrande pour le péché. C'est là que le péché a été traité une fois pour toutes. Lorsque nous apprécions cela, nous sommes libérés de l'esclavage et de la culpabilité du péché. Ainsi, revenant au passage d'Hébreux, nous lisons : Par une voie nouvelle et vivante qu'il nous a consacrée, à travers le voile, c'est-à-dire sa chair. (Hébreux 10:20) Notre nature charnelle est le voile, crucifié dans le corps de Jésus. Nous ne pouvons pas traverser ce voile pour nous approcher de Dieu ; le voile doit être enlevé. La nature charnelle doit être traitée. Cela a été traité dans le corps de Christ. Lorsque Sa chair a été déchirée sur la croix pour nos péchés, le voile a également été déchiré.

Le temple a été construit selon le même modèle, la structure trinitaire, que le tabernacle : la cour extérieure, le Lieu Saint et le Saint des Saints. Le temple était simplement plus substantiel et permanent. Conformément à l'ordonnance divine, le Saint des Saints était séparé par ce rideau extrêmement glorieux, épais et impénétrable. Mais lorsque Jésus est mort sur la croix, juste à l'extérieur de la ville de Jérusalem, quelque chose est arrivé au rideau du Saint des Saints à ce moment précis : La voie a été ouverte dans le Saint des saints par la mort de Jésus. Et Jésus cria de nouveau d'une voix forte, et rendit son esprit. Alors, voici, le voile du temple a été déchiré en deux de haut en bas. (Matthieu 27:50-51) Qu'il n'y ait aucun doute sur l'origine de l'initiative. Il est venu de Dieu, et non de l'homme. Le rideau était déchiré de haut en bas. Le chemin a été ouvert vers le Saint des saints par la mort de Jésus parce que dans sa chair sur la croix, Dieu a condamné et ôté le péché. Maintenant, le Saint des Saints nous a été ouvert. L'audace dans le sang de Jésus Nous renvoyons à Hébreux 10 pour la deuxième bénédiction de la nouvelle alliance : C'est pourquoi, frères, ayant l'audace d'entrer dans le Sainte par le sang de Jésus, par un chemin nouveau et vivant. (Hébreux 10:19-20) Le mot audace n'est pas d'abord subjectif, mais objectif. En d'autres termes, ce n'est pas que j'aie une audace émotionnelle ; c'est que j'ai une audace juridique qui vient d'un droit d'accès absolu et indiscutable. Que je me sente audacieux ou non est secondaire. C'est important à comprendre. Le mot audace ici est quelque peu trompeur. Il s'agit plutôt d'un droit d'accès indiscutable par le sang de Jésus. Dans Lévitique, nous avons les cérémonies de l'ancienne alliance pour le jour désigné où le grand prêtre était autorisé à entrer dans le Saint des Saints - une fois par an, le Jour des Expiations. Aujourd'hui, les juifs l'appellent Yom Kippour, le jour de la couverture -

encore un jour de jeûne et de deuil pour les juifs orthodoxes. Le chapitre entier est une autre formidable présentation de la vérité de l'entrée dans le lieu très saint, mais je veux traiter spécifiquement du sang de l'offrande pour le péché. Et Aaron [le souverain sacrificateur] apportera le taureau du offrande pour le péché, qui est pour lui-même, et faire l'expiation pour lui et pour sa maison, et il tuera le taureau comme l'offrande pour le péché qui est pour lui-même, alors il prendra un encensoir plein de charbons ardents provenant de l'autel devant l'Éternel, les mains pleines d'encens bien battu, et amenez-le à l'intérieur du voile. (Lévitique 16:11-12) Remarquez que c'est le sang de l'autel et l'encens de l'autel qui doivent être unis pour accéder à travers le voile. Et il mettra l'encens sur le feu devant le Éternel, afin que la nuée d'encens couvre la miséricorde siège qui est sur le Témoignage, de peur qu'il ne meure. (Lévitique 16:13) Ce n'était pas une cérémonie religieuse vide. C'était la vie ou la mort - pour le prêtre et pour toute la nation. Si à un moment donné le prêtre n'était pas accepté, la nation entière perdait sa position devant Dieu. Il était leur représentant. Il prendra du sang du taureau et saupoudrer avec son doigt sur le propitiatoire sur le cote est; et devant le propitiatoire il aspergera du sang avec son doigt sept fois. (Lévitique 16:14) Le nombre sept nous dit que c'est par le Saint-Esprit. De la même manière, Jésus, "par l'Esprit éternel s'est offert sans tache à Dieu" (Hébreux 9:14). Le sang était aspergé sur et devant le propitiatoire. En fait, il y avait une traînée de sang tout au long du tabernacle. Sans sang, pas d'accès. Nous voyons le parallèle dans le Nouveau Testament. L'expiation de Jésus n'était pas terminée sur la terre ; il a été consommé dans le ciel. Ceci est clairement indiqué dans Hébreux :

Cet espoir que nous avons comme ancre de l'âme, à la fois sûr et inébranlable, et qui entre dans la Présence derrière le voile, où le précurseur est entré pour nous, même Jésus. (Hébreux 6:19-20) Ici, nous ne parlons pas du tabernacle terrestre ; nous parlons du tabernacle dans le ciel. Jésus est entré dans le voile. Un précurseur est un représentant, quelqu'un qui dit : « Il y en a d'autres qui viennent après moi. Désormais, la voie est libre pour qu'ils me suivent. Jésus est notre précurseur. Il est entré dans le voile. Puis, plus loin dans Hébreux, l'Écriture dit : Mais Christ est venu comme Souverain Sacrificateur des bonnes choses à venir... (Hébreux 9:11). Une meilleure traduction est « les bonnes choses qui ont été accomplies ». En d'autres termes, contrairement à la loi, qui n'avait que des types, des ombres, des promesses et des modèles, c'est réel - c'est vraiment arrivé. Mais Christ est venu comme Souverain Sacrificateur des bonnes choses pour venez, avec le tabernacle plus grand et plus parfait pas fait avec les mains, c'est-à-dire pas de cette création. Pas avec le sang des boucs et des veaux, mais avec son propre sang, il est entré une fois pour toutes dans le lieu très saint, ayant obtenu la rédemption éternelle. (Hébreux 9:11-12) Jésus a pris son sang avec lui dans le lieu très saint. Il était donc nécessaire que les copies des les choses dans les cieux devraient être purifiées avec cela, mais les choses célestes elles-mêmes avec mieux sacrifices que ceux-ci. (Hébreux 9:23) Les choses célestes devaient être purifiées, mais pas avec le sang des taureaux et des boucs. Car Christ n'est pas entré dans les lieux saints faits avec mains, qui sont des copies du vrai, mais au ciel lui-même, pour apparaître maintenant en présence de Dieu pour nous. (Hébreux 9:24) Comment Christ est-il entré dans le lieu très saint ? Avec son propre sang. Et cela devient encore plus clair lorsque nous nous tournons vers le douzième chapitre d'Hébreux : Mais tu es venu à la montagne de Sion et à la ville de le Dieu vivant, la Jérusalem céleste... (Hébreux 12:22)

Ce n'est pas la Jérusalem terrestre. Nous sommes venus, non physiquement, mais par l'Esprit. ...à une compagnie innombrable d'anges, au général assemblée et église des premiers-nés qui sont enregistrés dans les cieux, à Dieu le Juge de tous, au les esprits des hommes justes rendus parfaits. (Hébreux 12:22-23) C'est toi et moi. Notre siège social est au paradis. Êtes-vous inscrit au ciel dans le Livre de Vie de l'Agneau, ou êtesvous simplement inscrit sur la liste de l'église ? C'est bien d'être sur la liste de l'église, mais ce n'est pas suffisant. ... à Jésus le Médiateur de la nouvelle alliance, et à le sang de l'aspersion qui dit mieux que celle d'Abel. (Hébreux 12:24) Le sang d'Abel a été aspergé sur la terre. A quoi a-t-il appelé ? Vengeance. Le sang de Jésus est aspergé dans le ciel. A quoi appelle-t-il ? Miséricorde. Si vous pouvez croire que le sang de Jésus parle toujours en votre nom en la présence même de Dieu, c'est une vérité formidable. Si ce n'était pas le cas, vous n'irez jamais au paradis. Dieu, en tant que juge, ne vous amènerait jamais là. Même Jésus n'est pas entré au ciel sans son sang. C'est le seul accès ; par le sang de Jésus aspergé dans le ciel. Le sang de Jésus parle toujours en votre nom en présence de Dieu. La nouvelle façon de vivre La troisième des grandes bénédictions de la nouvelle alliance est le chemin nouveau et vivant - qui est Jésus. Jésus devient le chemin; Il devient la vérité ; Il devient la vie; mais Il est le chemin jusqu'au bout. Le chemin par lequel Jésus est allé est le chemin que nous suivons; Il n'y a pas d'autre moyen. C'est une voie d'abnégation, d'obéissance, de sacrifice et de mort. C'est la voie nouvelle et vivante. Car c'est à cela que vous avez été appelés, parce que Christ aussi souffert pour nous, en nous laissant un exemple, que vous devriez suivez ses pas. (1 Pierre 2:21) Les pas de Jésus sont le chemin nouveau et vivant. Quelle est la première étape lorsque vous voulez suivre Jésus ?

Alors Jésus dit à ses disciples : « Si quelqu'un veut venez après moi, qu'il renonce à lui-même" (Matthieu 16:24) L'abnégation. Cela ne signifie pas seulement renoncer aux radis pour le carême ! C'est bien, mais ce n'est pas de l'abnégation. L'abnégation, c'est dire non à l'ego. Lorsque le moi dit « je veux », l'abnégation est la capacité de dire « non ». Quand le soi dit "Je pense", l'abnégation dit "Non". Ce que vous pensez n'est pas le moins du monde important. Si ce que vous pensez compte toujours, vous ne vous êtes pas renié. Se nier, c'est dire non à cette vieille chèvre en vous. De même, l'abnégation n'est pas l'abandon du vil péché. C'est peut-être nécessaire, mais l'abnégation, c'est nier l'ego, le "je" qui s'affirme et se rend important, exigeant que le monde se centre sur lui-même : ce que je veux, ce que je pense et ce que je ressens. Tout cela n'a aucune importance en ce qui concerne Dieu. La première étape pour réellement suivre Jésus est de dire non à tout cela. Si quelqu'un veut prendre sa croix, qu'il renonce à lui-même. Dans Matthieu 26, nous avons le point culminant de l'abnégation : il est allé un peu plus loin et est tombé sur son visage, et pria en disant : « Ô mon Père, si c'est possible, que cela coupe passe de Moi; néanmoins, pas comme je veux, mais comme Vous serez. "... De nouveau, une seconde fois, Il s'en alla et priait en disant : « Ô mon Père, si cette coupe ne peut s'éloigner de moi sans que je la boive, que ta volonté soit faite. (Matthieu 26:39, 42) Chaque nouveau mouvement en Dieu commence par la répétition de "Non pas comme je veux, mais comme tu veux." Jésus n'a pas simplement renoncé à sa volonté une seule fois. Chaque fois qu'il était confronté au choix entre sa volonté et la volonté du Père, il répétait le renoncement : « Non pas comme je veux, mais comme tu veux. C'est la voie nouvelle et vivante. Ce qui est merveilleux à ce sujet, c'est que lorsque vous décidez de suivre Dieu, vous vous réjouissez. Bien que cela semble difficile, cela vous remplit de joie. Mais si votre cœur n'est pas déterminé à suivre Dieu, alors tout ce que vous pouvez voir, c'est le désagrément de cela.

Car il convenait à celui à qui appartiennent toutes choses et par qui sont toutes choses, en amenant beaucoup de fils à gloire, pour rendre parfait le capitaine de leur salut à travers les souffrances. (Hébreux 2:10) Jésus a été rendu parfait par la souffrance. Il est notre chef. Nous sommes rendus parfaits de la même manière qu'Il a été rendu parfait - à travers les souffrances qui viennent de l'obéissance. De dire: "Non pas comme je veux, mais comme tu veux" (Matthieu 26:39). Pas de la souffrance qui vient de la désobéissance. Ce type de souffrance ne vous purifie pas, ne vous raffine pas ou ne vous rend pas parfait. Lorsque vous décidez de suivre Dieu, cela vous remplit de joie. Car à la fois celui qui sanctifie et ceux qui sont sanctifiés sont tous un. (Hébreux 2:11) "Celui qui sanctifie" est Jésus. "Ceux qui sont sanctifiés" sont vous et moi. Et le "celui" dont nous venons tous Jésus et vous et moi - est le Père. Nous sommes donc sanctifiés par le Père de la même manière que Jésus a été rendu parfait. C'est la voie de Jésus qui conduit à la sanctification, à la sainteté et à la perfection. C'est le chemin. [Jésus], aux jours de sa chair, quand il avait offert vers le haut des prières et des supplications, avec des cris véhéments et des larmes à Celui qui a pu le sauver de mort, et a été exaucé à cause de sa crainte divine.... (Hébreux 5:7) La nouvelle Bible anglaise dit : "En raison de son humble soumission, il a été exaucé." Sa prière a été entendue. C'est l'esprit d'accès à Dieu. Jésus est le modèle parfait. Il a été entendu parce qu'il avait peur. C'est la réponse fondamentale à la raison pour laquelle les prières ne sont pas exaucées. Je peux vous donner une demi-douzaine d'autres raisons, mais Dieu m'a montré que c'est la racine. Vous pouvez enseigner aux gens tous les principes pour obtenir une réponse à leurs prières, mais si leur attitude est mauvaise, les principes ne fonctionnent pas. L'attitude vient en premier. Il a été entendu à cause de son humble soumission. ...bien qu'il fût un fils, il a appris l'obéissance en les choses qu'il a souffertes. (Hébreux 5:8) Il a découvert ce que c'était qu'obéir en souffrant en conséquence de l'obéissance.

Et ayant été perfectionné, Il est devenu l'auteur de salut éternel à tous ceux qui lui obéissent. (Hébreux 5:9) Le même chemin qu'Il a suivi est le chemin - le chemin nouveau et vivant. Jésus était Dieu, est Dieu et sera toujours Dieu. Et Il s'est fait homme, enfin et pour toujours. N'oubliez pas, Il est toujours un homme. "Car il y a un seul Dieu et un seul Médiateur entre Dieu et les hommes, l'Homme Christ Jésus" (1 Timothée 2:5). Quand Il s'est vidé, Il ne l'a pas fait conditionnellement; Il s'est simplement vidé. Il était obéissant jusqu'à la mort et, comme il est dit dans Philippiens 2:9, "C'est pourquoi aussi Dieu l'a souverainement élevé." Après s'être vidé, il devait gagner son chemin vers ce lieu d'exaltation. "Par conséquent" indique que Son exaltation était le résultat de Son obéissance. S'Il avait désobéi, Il ne serait jamais revenu. Il est donc le modèle parfait de développement, de maturité et de perfection. Il devait être rendu parfait en tant qu'homme par l'obéissance. Comment alors serons-nous rendus parfaits ? Par l'obéissance - laissez donc la théologie de côté et obéissez simplement. Comment serons-nous rendus parfaits ? Par l'obéissance. Nous avons un grand souverain sacrificateur Qu'avons-nous jusqu'à présent ? Nous avons le Saint des saints qui nous est ouvert. Nous avons un droit d'accès objectif par le sang. Et nous avons une manière nouvelle et vivante de profiter de cet accès. Maintenant, nous avons un Grand Souverain Sacrificateur qui nous attend là-bas. Qui est-il? Jésus. Il est le Grand Prêtre à deux égards. Nous avons un tel Souverain Sacrificateur, qui est assis à droite main du trône de la Majesté dans les cieux, un Ministre du sanctuaire. (Hébreux 8:12) Tout d'abord, Il est un ministre du sanctuaire. Vous est-il jamais venu à l'esprit que le souverain sacrificateur en Israël devait en savoir un peu plus ? Il avait beaucoup de règles à respecter. Il devait savoir comment tuer l'animal, que faire du foie, des pattes, du cœur, de la tête et de la peau. Il devait savoir de quel côté de l'autel asperger le sang. Tout au long du processus, de nombreuses exigences précises ont dû être respectées. Jésus est le ministre du vrai sanctuaire. Quand Il est entré, Il a tout fait correctement.

Il a satisfait à toutes les exigences de Dieu en tant que sacrificateur tout du long. Parce qu'il a tout fait correctement, notre accès est garanti. Deuxièmement, Il est le médiateur de la nouvelle alliance : Et pour cette raison, Il est le Médiateur de la nouvelle alliance. engagement. (Hébreux 9:15) Il accorde les bénéfices de Son sacrifice à vous et à moi par le Saint-Esprit. Il nous communique - Il élabore en nous au fur et à mesure que nous suivons cette voie - ce qui est requis dans chaque phase d'accès. Il est celui qui fait fonctionner l'alliance en vous et moi. Ayant fait tout le travail préparatoire, étant allé vers Dieu, Il se retourne et fait tout ce qui est nécessaire chez tous ceux qui Lui obéissent pour rendre notre accès parfait. Il est médiateur de l'alliance. Ainsi, nous avons les quatre bénédictions de la nouvelle alliance. Premièrement, le voile est déchiré et la voie est ouverte. Deuxièmement, nous avons un droit d'accès objectif, légal et indiscutable par le sang. Troisièmement, nous avons une voie vivante à emprunter, la voie que Jésus a empruntée : l'obéissance, l'abnégation, le sacrifice et la mort du vieil homme. Jésus a dit que celui qui perd sa vie la retrouvera. (Voir Matthieu 10:39.) Le mot grec utilisé ici pour désigner la vie est « âme ». Vous devez abandonner cet ego de l'âme et dire "Non". Ensuite, vous trouverez le chemin à l'intérieur. Et quatrièmement, nous avons un Grand Souverain Sacrificateur qui sait exactement ce qui doit être fait et le fait parfaitement.

Chapitre Huit Quatre exigences des vrais adorateurs En revenant au livre des Hébreux, nous voyons les quatre principales exigences du véritable adorateur - ce que Dieu attend de ses adorateurs s'ils veulent profiter de ce qu'il a mis à leur disposition : Approchons-nous avec un cœur sincère dans la pleine assurance de foi, ayant le cœur purifié d'un mal conscience et nos corps lavés à l'eau pure. (Hébreux 10:22) 1. Un vrai cœur Qu'est-ce qu'un « cœur vrai » signifie ? Je vais donner mon avis. Sincérité, honnêteté, loyauté, engagement total, sans réserve - c'est un vrai cœur. Si j'aime ma femme avec un vrai cœur, je l'aime totalement. Je n'envisagerai en aucune circonstance quoi que ce soit qui lui serait déloyal. Je pense qu'un mot qu'il faut remettre dans notre vocabulaire, c'est le mot loyauté. La loyauté est devenue dépassée et dépassée chez certaines personnes aujourd'hui. Fidélité à votre famille. Fidélité à votre pays. Qu'est-ce qui a poussé l'apôtre Jean à se tenir devant la croix à côté de Marie alors que tous les autres disciples s'étaient enfuis ? Était-ce de la théologie ? Pas un instant. C'était la loyauté. Qu'est-ce qui a amené Marie-Madeleine au tombeau aux premières heures du matin ? Était-ce doctrinal ? Non, c'était de la loyauté. Elle allait être fidèle à cet homme même s'il n'était rien d'autre qu'un cadavre brutalement mutilé. Il ne semble pas y avoir beaucoup de loyauté parmi certains croyants aujourd'hui. Nous devons être fidèles à Jésus et fidèles les uns aux autres. C'est un vrai coeur. Voici, tu désires la vérité dans les parties intérieures, et dans la partie cachée Tu me feras connaître la sagesse. Purifie-moi avec l'hysope, et je serai pur ; lave-moi, et je serai plus blanc que neige. Fais-moi entendre la joie et joie, que les os que tu as brisés puissent réjouir. Détourne

ta face de mes péchés et efface toutes mes iniquités. Crée en moi un cœur pur , ô Dieu, et renouveler un esprit inébranlable en moi. (Psaume 51:6-10) Le mot voici est dramatique. David était religieux depuis longtemps, mais maintenant il avait fait une découverte : « Tu désires la vérité dans les parties intérieures, et dans la partie cachée Tu me feras connaître la sagesse. Je crois que la vérité et la sagesse vont de pair. Vous ne connaissez pas la sagesse cachée jusqu'à ce que vous ayez la vérité dans les parties intérieures. La révélation de la sagesse cachée ne se fait pas par l'esprit, mais par le cœur sincère, vrai et honnête. Lorsque le péché s'est frayé un chemin dans votre cœur, il ne peut être rafistolé, réparé ou modifié. Il faut un acte créatif de Dieu pour vous donner un cœur pur. Dans le Psaume 139, David parlait des ennemis de Dieu et dit : Est-ce que je ne les hais pas, ô Éternel, qui te hais? Et est-ce que je ne déteste pas ceux qui s'élèvent contre toi ? je les déteste avec une haine parfaite; Je les considère comme mes ennemis. (Psaume 139:21-22) Est-il juste pour un chrétien de dire cela ? Certaines personnes pourraient dire oui, et d'autres diront non. David est allé à une autre source : Sonde-moi, ô Dieu, et connais mon cœur ; essayez-moi, et connaître mes angoisses. (Psaume 139:23) David demandait à Dieu : « Y a-t-il quelque chose en moi qui est un ennemi de Dieu ? Vois s'il y a quelque chose en moi qui s'oppose à Toi. Pouvez-vous inviter Dieu à faire cela ? N'ayez pas peur. En ce qui concerne la confession, je dis aux gens de se rappeler que vous n'allez rien confesser à Dieu qu'il ne sache déjà. Il n'y aura pas de surprise. La confession est pour vous, pas pour lui. Il faut un acte créatif de Dieu pour vous donner un cœur pur. Vois s'il y a une mauvaise voie en moi, et conduis-moi dans la voie éternelle. (Psaume 139:24) Avant que Dieu puisse nous conduire dans cette voie éternelle, nous devons lui permettre de sonder et d'éprouver nos cœurs - pour extirper tous les ennemis de Dieu qui s'y cachent. Laissez Dieu vous montrer ce qu'il y a dans votre cœur, puis laissez-le s'en occuper. Exposez-Lui cela à nu. Dans Isaïe, il est dit,

C'est pourquoi l'Éternel dit : « Puisque ces gens s'approchent de leurs bouches et m'honorent de leurs lèvres, mais ont éloigné leurs cœurs de Moi, et leur crainte envers Moi est enseignée par le commandement des hommes..." (Esaïe 29:13) C'est une religion sans cœur. Il honore Dieu des lèvres, mais son cœur est loin de Lui. Le grand péché des religieux était celui que Jésus réprimait le plus sévèrement chez les pharisiens : l'hypocrisie. Savez-vous ce qu'est l'hypocrisie ? Le mot vient du mot grec pour acteur. La religion consiste simplement à jouer un rôle. Le théâtre antique utilisait plusieurs types de masques. Lorsqu'un acteur représentait différentes parties, il mettait différents masques. La religion vide met simplement une sélection de masques - c'est une façon d'agir pendant que vous êtes à l'église. Vous constaterez que de nombreuses personnes religieuses utilisent même un ton de voix différent à l'intérieur de l'église. Quand ils prient, ils prennent une voix artificielle et fausse. Et Dieu dit qu'Il a enlevé à l'hypocrite la capacité de voir la vérité : C'est pourquoi, voici, je vais encore faire une œuvre merveilleuse parmi ce peuple, une œuvre merveilleuse et un prodige ; car la sagesse de leurs sages périra, et les la compréhension de leurs hommes prudents sera cachée. (Ésaïe 29:14) Dieu veut des fidèles avec un cœur sincère, sans hypocrisie, sans actes religieux. Il veut des cœurs sincères, loyaux et vrais. J'ai entendu dire que nous traduisons la foi par l'obéissance. Je suggérerais que nous traduisions la foi par la loyauté - la loyauté envers Christ à tout prix. Je pense que vous constaterez qu'ils travaillent exactement dans le même but. 2. La plénitude de foi Ainsi, la première exigence du vrai adorateur est un vrai cœur. La condition suivante est la plénitude de foi. Avez-vous la plénitude de la foi ? Est-ce un effort ou une lutte ? Devez-vous vous pincer et dire : « Suis-je plein de foi ? Non, la foi est une décision. C'est pourquoi l'incrédulité est le premier péché. Qu'est-ce que la plénitude de foi ? Regardons les Psaumes :

Dieu veut des cœurs sincères, loyaux et fidèles pour l'adorer. C'est pourquoi tous tes préceptes concernant toutes choses, je considérer comme ayant raison ; Je déteste tous les faux chemins. (Psaume 119:128) Tout ce que Dieu dit est juste. Tout ce qui n'est pas d'accord avec Lui est une fausse voie. Ce n'est pas un sentiment ou une émotion; c'est une décision. J'ai l'intention d'être d'accord avec ce que Dieu dit. Quand j'ai été sauvé et baptisé du Saint-Esprit dans une caserne militaire, ne connaissant rien à la doctrine du Nouveau Testament, je me suis accroché à un fait : la Bible était le livre avec les réponses. C'est le Livre qui me dit ce qui m'est arrivé. Les arguments intellectuels sont essentiellement une réticence à prendre une décision. Si vous attendez d'avoir compris toute la Bible avant d'y croire, vous attendrez longtemps. Si vous attendez de tout comprendre sur Jésus-Christ avant de l'accepter, vous attendrez longtemps. La foi est une décision par rapport au Christ et à l'Écriture. J'ai pris cette décision, Dieu merci. Mon esprit est au repos. J'ai une paix intérieure parfaite. Jeter les arguments et toutes les hautes choses qui s'exalte contre la connaissance de Dieu, apportant toute pensée en captivité à l'obéissance de Christ. (2 Corinthiens 10:5) Vous pouvez faire ce que ce verset décrit. À l' intérieur de vous, il y a un esprit qui est formé pour discuter avec Dieu. Par nature, il s'oppose à Dieu. "Parce que l'esprit charnel est inimitié contre Dieu" (Romains 8:7). Il est de votre responsabilité de supprimer cet ennemi ; refuser de lui donner la liberté de parler. Mais qu'il demande avec foi, sans douter, car celui qui les doutes sont comme une vague de la mer poussée et secouée par le vent. Car ne laissez pas cet homme supposer qu'il recevoir quoi que ce soit du Seigneur; c'est un homme irrésolu, instable dans toutes ses voies. (Jacques 1:6-8) La personne irrésolue, instable et indécise n'arrive nulle part avec Dieu. Décidez-vous désormais que ce que Dieu dit est juste. C'est la plénitude de la foi.

Mais je dois vous donner un avertissement supplémentaire que le Seigneur m'a donné : Et pour cette raison, Dieu les enverra l'illusion, qu'ils devraient croire le mensonge, qu'ils peut être condamné celui qui n'a pas cru la vérité. (2 Thessaloniciens 2:11-12) Cette Ecriture devrait vous couper le souffle si vous ne la connaissez pas. C'est très simple. Si vous ne croyez pas la vérité, vous croirez un mensonge. C'était le choix d'Eve. Dieu lui a dit la vérité; Satan lui a dit un mensonge. Elle avait deux options. Elle a choisi le mensonge - c'est l' incrédulité. Qu'est-ce que l'incrédulité ? C'est croire le mensonge. Cela ne signifie pas ne croire en rien; tout le monde croit en quelque chose. La décision est toujours la même - Vais-je croire Dieu, ou vais-je croire Satan ? Dieu dit que si vous ne croyez pas la vérité, Il veillera à ce que vous croyiez au mensonge. La décision est toujours : « Vais-je croire Dieu, ou vais-je croire Satan ? Ne plaisante pas avec ça. Ne croyez pas autant que cela vous convient et laissez le reste. L'obéissance incomplète est une désobéissance. Une croyance incomplète est une incrédulité. Vous pouvez recevoir la vérité ou tomber dans l'illusion. Alors que cet âge se termine, ce sont les deux seules options disponibles pour le peuple de Dieu. 3. Des cœurs aspergés d'une mauvaise conscience La prochaine exigence du véritable adorateur est un cœur aspergé d'une mauvaise conscience. Bien plus alors, ayant maintenant été justifié par Sa sang, nous serons sauvés de la colère par lui. (Romains 5:9) Romains nous dit que nous sommes justifiés par le sang de Jésus. Si vous connaissez mon enseignement, vous connaissez ma définition de justifié : "comme si j'avais" jamais péché. C'est ainsi que le sang de Jésus nous rend justes. Il n'y a plus de conscience coupable pour le péché. Il n'y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ. (Romains 8:1)

Si nous confessons nos péchés, Il est fidèle et juste pour pardonner nous nos péchés et pour nous purifier de toute iniquité. (1 Jean 1:9) Si notre cœur ne nous condamne pas, nous avons confiance vers Dieu. (1 Jean 3:21) D'un autre côté, si je suis condamné de quelque manière que ce soit dans mon cœur, je n'ai pas accès à Dieu. Si je considère l'iniquité dans mon cœur, le Seigneur ne écouter. (Psaume 66:18) Vous devez faire valoir votre foi : "Tous mes péchés sont pardonnés. Je les ai tous confessés. Dieu leur a tous pardonné. Le sang de Jésus-Christ me purifie de toute iniquité. Je suis justifié-comme-si-je- Je n'ai jamais péché." Croyez-vous cela? Je le fais. Je le crois vraiment. Je ne permets pas à mon esprit d'insinuer le moindre doute religieux. Je crois que Dieu est fidèle et juste. Je crois qu'il m'a pardonné tous mes péchés et m'a purifié de toute injustice. Je n'ai pas à reculer devant Dieu. Je n'ai pas à gémir. Je peux marcher debout. "Je vous ai fait marcher droit" (Lévitique 26:13). Hébreux va mieux que cela : Je ne me souviendrai plus de leurs péchés et de leurs actions illégales. (Hébreux 10:17) Dieu n'a pas mauvaise mémoire ; C'est un grand oublieux ! Il y a une grosse différence. Dieu se souvient de tout ce qu'il ne décide pas d'oublier. S'Il décide de l'oublier, Il ne s'en souvient plus. 4. Corps lavés à l'eau pure Saviez-vous que l'état de votre corps affecte votre accès à Dieu ? Approchons-nous avec un cœur sincère dans la pleine assurance de foi, ayant le cœur purifié d'un mal conscience et nos corps lavés à l'eau pure. (Hébreux 10:22) Qu'est-ce que cela signifie d'avoir votre corps lavé avec de l'eau pure ? Qu'est-ce que l'eau pure ? L'eau pure est la Parole de Dieu. Comment la Parole de Dieu nous purifie-t-elle ?

Puisque vous avez purifié vos âmes en obéissant aux vérité par l'Esprit. (1 Pierre 1:22) La Parole de Dieu nous purifie par l'Esprit. La Parole, servie par l'Esprit et obéie, vous purifie. Et tous ceux qui ont cette espérance en lui [Jésus-Christ] se purifie, comme il est pur. (1 Jean 3:3) Obéissez à la Parole qui vous est administrée par l'Esprit, et vous vous purifierez. À quel point devons-nous être purs ? Même s'il est pur. Il n'y a qu'une seule norme que Dieu a - Jésus. Dieu n'a qu'un seul standard, Jésus-Christ. Car telle est la volonté de Dieu, votre sanctification : que vous devez vous abstenir de l'immoralité sexuelle; que chaque d'entre vous doit savoir posséder son propre navire dans sanctification et honneur. (1 Thessaloniciens 4:3-4) Votre corps est le vase, et la Bible dit que c'est la volonté de Dieu que vous sachiez comment garder ce vase pur et saint. Maintenant que le Dieu de paix lui-même vous sanctifie totalement; et que tout ton esprit, ton âme et ton corps être préservé irréprochable à la venue de notre Seigneur Jésus Christ. (1 Thessaloniciens 5:23) Les Écritures disent que votre corps doit être préservé sans reproche jusqu'à la venue du Seigneur. C'est la sainteté complète. Si votre corps n'est pas préservé sans reproche, quoi que cela puisse signifier, ce n'est pas la sainteté totale. La volonté de Dieu est que vous sachiez posséder ce vase dans la sanctification et l'honneur. Dans 1 Corinthiens 6, le thème principal est l'importance du corps. La plupart des chrétiens grandissent avec l'idée que le corps n'est pas vraiment important. La Bible ne dit pas cela. Veuillez noter qu'il n'est pas biblique de déprécier votre corps. Tout m'est permis, mais tout ne l'est pas utile. Tout m'est permis, mais je ne serai pas placé sous le pouvoir de n'importe qui. (1 Corinthiens 6:12) C'est bien pour moi de manger trois coupes de glace, mais cela ne me fait aucun bien. La crème glacée, les cigarettes et le café ne devraient pas me dicter. Comme l'a dit un jour Lester Sumrall, "Le matin où je me réveille et sens que je ne peux pas me passer d'une tasse de café, c'est le

matin où je ne le boirai pas." C'est une assez bonne décision à prendre. Lorsque vous devenez dépendant de quoi que ce soit, vous en devenez esclave. Les aliments pour l'estomac et l'estomac pour les aliments, mais Dieu le détruira ainsi qu'eux. (1 Corinthiens 6:13) Nourriture pour l'estomac, et l'estomac pour la nourriture. Mais ni l'un ni l'autre n'est permanent. Profitez-en pendant que vous les avez; ce ne sera pas pour longtemps. Maintenant le corps n'est pas pour l'immoralité sexuelle mais pour le Seigneur, et le Seigneur pour le corps. (1 Corinthiens 6:13) La plupart des chrétiens diraient « amen » à la première partie de ce verset, mais qu'est-ce que cela signifie que votre corps est pour le Seigneur, et le Seigneur pour votre corps ? Et Dieu a ressuscité le Seigneur et ressuscitera aussi nous relever par sa puissance. Ne savez-vous pas que vos corps sont membres de Christ? (1 Corinthiens 6:14-15) Les membres de Christ sur terre sont nos membres physiques. C'est tout ce avec quoi Il a à travailler. Dois-je alors prendre les membres de Christ et faire eux membres d'une prostituée? Certainement pas! Ou est-ce que tu ne sait pas que celui qui s'attache à une prostituée est un seul corps avec elle? Car « les deux », dit-il, « deviendront une seule chair ». Mais celui qui est uni au Seigneur est un seul esprit avec lui. (1 Corinthiens 6:15-17) Plus tôt, nous avons parlé de l'union de l'esprit de l'homme avec l'Esprit de Dieu dans l'adoration. Là encore, nous voyons le parallèle direct entre la relation de la prostituée et la relation spirituelle au Seigneur. Celui qui est uni dans la relation d'amour avec le Seigneur est un en esprit avec Lui. Fuyez l'immoralité sexuelle. Chaque péché qu'un homme commet est hors du corps, mais celui qui commet des actes sexuels l'immoralité pèche contre son propre corps. Ou n'as-tu pas sachez que votre corps est le temple du Saint-Esprit qui est en toi, que tu tiens de Dieu, et tu es pas le vôtre ? Car vous avez été acheté à un prix ; Glorifiez donc Dieu dans votre corps et dans votre esprit, qui appartiennent à Dieu. (1 Corinthiens 6:18-20) Une personne unie dans une relation d'amour avec le Seigneur est un en esprit avec Lui.

Les péchés sexuels souillent le corps. Vous ne vous appartenez pas, et cela inclut votre corps. Vous êtes la propriété de Dieu. Le but suprême de votre corps est de servir de temple au Saint-Esprit. "Le Très-Haut n'habite pas dans des temples faits de main d'homme" (Actes 7 :48). Vous pouvez Lui construire la plus belle église ou cathédrale et Il peut y venir quand Son peuple est là, mais Sa demeure est le corps physique du croyant racheté. Allez donc et faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit. (Matthieu 28:19) Après avoir donné votre vie à Christ, vous êtes baptisé submergé dans une application d'eau purificatrice et sanctifiante. Tout ce qui était offert à Dieu sur l'autel du sang devait être lavé dans l'eau. Ce n'est pas pour vous rendre physiquement propre mais pour vous rendre saint dans le vrai sens d'être mis à part pour Dieu. Pierre a dit : "Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé" (Actes 2 :38). Combien? Vous tous. Une fois que vous avez fait cela, vous devez présenter votre corps comme un "sacrifice vivant". Paul a écrit : Je vous en supplie donc, frères, par la miséricorde de Dieu, que vous présentiez vos corps en sacrifice vivant... à Dieu. (Romains 12:1) Votre corps est sanctifié lorsqu'il est placé sur l'autel de Dieu. C'est ainsi que vous préservez votre corps dans la sanctification et l'honneur. Gardez-le sur l'autel. Jésus a dit aux pharisiens, en effet : « Insensés ! Ce n'est pas le don qui sanctifie l'autel ; c'est l'autel qui sanctifie le don. (Voir Matthieu 23:18-19.) Si vous placez votre corps sur l'autel de Dieu, tant qu'il est en contact avec l'autel, il est sanctifié. Mais si vous rompez le contact, vous avez perdu votre sanctification. Votre corps ne vous appartient pas ; cela appartient à Dieu. Ne laissez donc pas le péché régner dans votre corps mortel, que vous devriez lui obéir dans ses convoitises. Et ne présente pas vos membres comme instruments d'injustice pour péché, mais présentez-vous à Dieu comme vivants d'entre les morts, et vos membres comme instruments de justice à Dieu. (Romains 6:12-13)

Pour résumer, vous avez votre cœur aspergé d'une mauvaise conscience, vous savez que vos péchés sont pardonnés, vous savez que votre cœur est purifié, et ensuite vous avez votre corps lavé avec de l'eau pure - l'eau pure de la Parole de Dieu. Vous vous purifiez en obéissant à la vérité qui vous est administrée par le Saint-Esprit. Le premier acte de purification après avoir cru est d'être immergé, de traverser l'eau, d'être mis à part pour Dieu. Après cela, vous déposez votre corps, sanctifié par le sang et l'eau, sur l'autel du service de Dieu. Vous présentez chaque membre individuel à Dieu comme un instrument. Et votre corps est ensuite un vase pour Lui. C'est le seul instrument que Jésus-Christ a sur cette terre pour faire sa volonté en ce moment. Nos membres sont les membres de Christ.

Chapitre neuf Notre attitude physique d'adoration Le culte immobile n'existe pas. Il n'y a pas d'adoration dans laquelle notre corps ne réagit pas. Le culte est intensément actif. J'ai eu le privilège de pouvoir lire la Bible en hébreu de l'Ancien Testament et en grec du Nouveau Testament. Il y a quelque temps, j'ai décidé de regarder tous les mots qui décrivaient l'adoration dans les deux langues. Ce faisant, j'ai fait une découverte qui m'a surpris et a changé toute ma conception de l'adoration. J'ai découvert que chaque mot qui décrivait l'adoration décrivait aussi une posture ou une position du corps, sans exception. Je vais vous donner quelques exemples en commençant par la tête et en descendant. La tête Dans Genèse 24, le serviteur d'Abraham a été envoyé en Mésopotamie pour chercher une épouse pour le fils d'Abraham, Isaac. Le serviteur ne savait pas où il allait ni qui il rencontrerait. Sans que le serviteur s'en rende compte, le Seigneur l'a dirigé vers la famille du frère d'Abraham, ce qui était la manière traditionnelle de chercher un mariage à cette époque. Ainsi, lorsque le serviteur s'est rendu compte que la femme qu'il avait rencontrée, Rébecca, était la nièce d'Abraham, l'Écriture dit : « L'homme s'inclina et adora l'Éternel » (Genèse 24 :26). Ensuite, dans l'Exode, nous avons Moïse et Aaron revenant du désert pour faire savoir à la nation asservie d'Israël que Dieu était descendu et s'était engagé à les délivrer des Égyptiens.

Après avoir transmis leur message aux anciens, nous lisons : « Ainsi le peuple crut ; et lorsqu'ils apprirent que l'Éternel avait visité les enfants d'Israël et qu'il avait regardé leur affliction, ils s'inclinèrent et se prosternèrent » (Exode 4:31). Inclinez la tête devant Dieu est un acte simple, mais très significatif. Dans certaines situations, d'autres postures physiques peuvent être difficiles, mais il n'y a pratiquement aucune situation dans laquelle vous ne pouvez pas baisser la tête. Par exemple, lorsque Ruth et moi prenons un repas au restaurant, nous disons presque toujours une assez longue prière d'action de grâce. Ce faisant, il nous serait impossible de nous agenouiller ou de tomber face contre terre, mais incliner la tête est une chose qui peut être faite presque n'importe où. Je vous encourage, la prochaine fois que vous direz grâce avant un repas, ne gardez pas la tête droite ; inclinez-le. Cela fait une différence totale dans toute votre relation avec Dieu. C'est un acte simple, mais très significatif. Les mains L'un des plus grands adorateurs du monde était David. Il nous a donné deux postures différentes des mains qui représentent l'adoration. Le Psaume 63 commence par ces belles paroles : Ô Dieu, tu es mon Dieu ; tôt je te chercherai; ma l'âme a soif de Toi; ma chair te désire au sec et terre assoiffée où il n'y a pas d'eau. (Psaume 63:1) David était dans le désert de Juda lorsqu'il adressa cette prière à l'Éternel. Puis il poursuivit : Parce que ta bonté vaut mieux que la vie, mon les lèvres te loueront. Ainsi je te bénirai tant que je vivrai ; Je lèverai mes mains en ton nom. (Psaume 63:3-4) L'élévation de vos mains au nom du Seigneur est un acte d'adoration qui est décrit à plusieurs reprises dans la Bible. Dans le Psaume 141, David décrit cette même posture des mains : « Que ma prière soit devant toi comme de l'encens, l'élévation de mes mains comme le sacrifice du soir » (Psaume 141 :2). L'encens nous dit immédiatement qu'il s'agit d'adoration. Dans le temple, il y avait des sacrifices du matin et du soir. David demandait à Dieu d'accepter l'élévation de ses mains comme le sacrifice du soir à la fin de la journée.

Puis, dans le Psaume 143, David décrit une autre posture des mains : « J'ai étendu mes mains vers toi ; mon âme te désire comme une terre assoiffée » (Psaume 143 :6). Remarquez à nouveau le langage du désir de Dieu. Je pense qu'il y a une différence dans la signification de ces deux attitudes des mains. Lorsque vous levez les mains, vous reconnaissez la majesté et la souveraineté de Dieu. Lorsque vous étendez vos mains, vous êtes ouvert à recevoir. Une fois, alors que Ruth et moi étions à une réunion en Hollande, Ruth a tendu les mains pendant que nous faisions l'expérience d'une adoration vraiment merveilleuse. Puis elle m'a dit : « Mes mains deviennent si lourdes que je ne peux pas les tenir. Le mot hébreu pour gloire est le même mot pour poids : cheved et chevron. Je lui ai dit : « Dieu met sa gloire entre tes mains. Je vous dis cela parce que je veux que vous voyiez à quel point Dieu est réel lorsqu'il s'occupe de nos corps. Nous ne sommes pas seulement des esprits désincarnés flottant dans les airs ; nous sommes des gens qui vivons dans des corps physiques très réels. Et Dieu veut le contrôle complet de nos corps dans l'adoration. Lorsque vous levez les mains, vous reconnaissez la majesté et la souveraineté de Dieu. Il y a une autre activité des mains que j'aime : « Oh, battez des mains, vous tous les peuples ! Criez à Dieu avec la voix du triomphe ! (Psaume 47:1). Lorsque nous tapons dans nos mains, nous adorons Dieu. L'adoration n'est pas une posture rigide dans laquelle vous vous asseyez ; c'est une activité de tout le corps. Les genoux Une autre personne qui étendit ses mains vers le Seigneur fut le roi Salomon, lorsqu'il consacra le temple qu'il avait construit. Mais Salomon est allé un peu plus loin. Il n'étendit pas seulement ses mains, mais il passa aussi dans l'attitude suivante d'adoration : Alors Salomon se tint devant l'autel de l'Éternel en la présence de toute l'assemblée d'Israël, et répandit ses mains (car Salomon avait fait un bronze plate-forme de cinq coudées de long, cinq coudées de large et trois coudées de haut, et l'avait placé au milieu du parvis; et il se tenait dessus, s'agenouilla devant tous l'assemblée d'Israël, et étendit ses mains vers le ciel). (2 Chroniques 6:12-

13) Dans Daniel, il y a l'histoire du moment où le roi Darius a décrété que les fidèles qui priaient quelqu'un d'autre que lui seraient jetés dans la fosse aux lions. Voici la réponse de Daniel au décret écrit du roi : Quand Daniel a su que l'écriture était signée, il allé à la maison. Et dans sa chambre haute, avec ses fenêtres ouvert vers Jérusalem, il s'agenouilla sur ses genoux trois fois ce jour-là, et a prié et rendu grâce devant son Dieu, comme c'était sa coutume depuis les premiers jours. (Daniel 6:10) Daniel avait une pratique régulière de la prière, s'agenouillant vers Jérusalem (ce qui est la façon dont tous les Juifs prient encore, face à Jérusalem, peu importe où ils se trouvent dans le monde). Ainsi, Salomon et Daniel se sont agenouillés pour prier. Et puis dans Éphésiens, Paul a dit : C'est pourquoi je m'agenouille devant le Père de notre Seigneur Jésus-Christ. (Éphésiens 3:14) Lorsque Paul priait et adorait, l'une des choses qu'il faisait normalement était de fléchir les genoux. Fléchir les genoux est un acte de soumission totale, ce qui est très important. Je trouve beaucoup de chrétiens qui ne sont pas totalement soumis à Dieu. Ils se soumettent quand Dieu fait ce qu'ils veulent, mais quand Dieu fait les choses différemment de ce qu'ils veulent, ils se plaignent, se disputent et s'énervent. Fléchir les genoux est un acte de soumission totale, ce qui est très important. L'un des mots clés que nous devons apprendre aujourd'hui est souverain. Vous n'entendez pas beaucoup ce mot aujourd'hui, mais c'est un fait concernant Dieu. Il est absolument souverain. Je le définirais ainsi : Dieu fait ce qu'Il veut, quand Il veut, comme Il veut, et Il ne demande la permission à personne. Plus tôt vous maîtriserez ce fait et plierez les genoux, plus il vous sera facile de mener une campagne victorieuse. vie chrétienne. Dieu fait des choses dans nos vies que nous pensons qu'il ne devrait pas faire. Beaucoup d'entre vous s'accrochent peut-être à une sorte de plainte contre Lui. Faites très attention de murmurer contre Dieu.

Fléchir le genou est un acte d'adoration. À un moment donné dans le futur, tout le monde va le faire. Donc, vous pouvez aussi bien battre la foule et le faire maintenant. J'ai juré par moi -même .. qu'à moi tout genou inclinez-vous, toute langue prêtera serment. (Isaïe 45:23) À un certain point, Dieu va insister pour que chaque créature vivante dans l'univers qui a des genoux reconnaisse Sa souveraineté totale. "Tout genou fléchira." Dans Philippiens, Paul indique devant qui l'univers s'inclinera. C'est pourquoi Dieu aussi l'a hautement exalté et a donné Lui le nom qui est audessus de tout nom, qu'au nom de Jésus que tout genou fléchisse, de ceux qui ciel, et de ceux qui sont sur la terre, et de ceux qui sont sous la terre. (Philippiens 2:9-10) Tomber prostré Nous arrivons maintenant à la description la plus utilisée de l'adoration dans la Bible - se prosterner face contre terre devant Dieu. Cela a une signification distincte. Cela signifie une dépendance totale envers Dieu. Cela signifie, "Seigneur, je ne peux rien faire sans Toi. Je ne peux même pas commencer." Comme John Bunyan l'a dit un jour, Celui qui est à terre n'a pas à craindre la chute ; Celui qui n'est pas fier. Celui qui est humble aura toujours Dieu pour être son guide. Lorsque vous êtes face contre terre, vous êtes descendu aussi bas que possible. Il n'y a qu'une seule façon d'aller à partir de là, et c'est vers le haut. Dans Genèse 17, le Seigneur apparaît deux fois à Abraham. C'est un chapitre très important parce que le Seigneur a fait une alliance éternelle avec Abraham et ses descendants pour être leur Dieu et leur donner cette bande de terre à l'extrémité est de la Méditerranée comme une possession éternelle. Ainsi, la première fois que le Seigneur est apparu à Abraham (ou Abram, comme on l'appelait à l'époque), Il a dit : "Je suis le Dieu Tout-Puissant; marchez devant Moi et soyez irréprochable. Et je ferai mon alliance entre moi et vous, et vous multipliera extrêmement." Alors Abram tomba face contre terre et Dieu parla avec lui. (Genèse 17:1-3)

Plus loin dans ce même chapitre, nous lisons, Alors Dieu dit à Abraham : Às pour Saraï ta femme, tu ne l'appelleras pas Sarai, mais Sarah sera son nom. Et je la bénirai et te donnerai aussi un fils par elle, alors je la bénirai, et elle sera mère des nations; des rois de peuples sortiront d'elle." Alors Abraham tomba face contre terre et éclata de rire. (Genèse 17:15-17) Incroyable! Comment le Seigneur a-t-il pu dire une chose pareille à Saraï, ou à Sarah maintenant, ayant largement dépassé l'âge d'avoir des enfants ? Mais au bon moment, c'est arrivé. Abraham s'est habitué à être face contre terre devant Dieu, le faisant deux fois dans Genèse 17. Dans le Lévitique, il y a un autre exemple de personnes se prosternant devant Dieu : Un feu est sorti de devant l'Éternel et a consumé l'holocauste et la graisse sur l'autel. Quand tout les gens l'ont vu, ils ont crié et sont tombés face contre terre. (Lévitique 9:24) En fait, je ne crois pas qu'ils auraient pu rester debout s'ils avaient essayé. Ils étaient dans la présence immédiate de Dieu, le Saint-Esprit. Puis, plus tard, nous lisons dans les Nombres, Alors Moïse et Aaron quittèrent la présence du l'assemblée à la porte du tabernacle d'assignation, et ils sont tombés face contre terre. Et la gloire de le Seigneur est apparu . (Nombres 20:6) Nous continuons à voir des exemples à travers les Écritures. Josué tomba face contre terre lorsque le commandant de l'armée de l'Éternel lui apparut. (Voir Josué 5:14.) Quand Élie a appelé le feu sur le sacrifice sur la montagne Carmel, toute la nation « tomba sur leurs faces ; et ils dirent : ‘L’Éternel, c’est Dieu ! L’Éternel, c’est Dieu !’ » (1 Rois 18 :39). Pas une seule personne n'a été laissée debout. C'est la réponse à la présence de Dieu. Dans Ézéchiel, nous lisons, Comme l'apparition d' un arc-en-ciel dans un nuage sur un jour de pluie, ainsi était l'apparition de la luminosité tout autour de. C'était l'apparition de la ressemblance de la gloire de l'Éternel. Alors quand je l'ai vu, je suis tombé sur mon visage, et j'entendis la voix de Celui qui parlait.

(Ézéchiel 1:28) Je me demande si un homme ou une femme qui n'a jamais été sur son visage devant Dieu a jamais été très proche de Dieu. Vous auriez à chercher un long chemin dans la Bible pour trouver l'un des grands hommes de l'Écriture qui n'avait pas été face à face devant Dieu. Je pratique cette posture d'adoration, non par légalisme ou rituel, mais par besoin de sécurité. J'ai découvert que l'endroit le plus sûr que je connaisse est sur mon visage devant Dieu. C'est le chemin de la grandeur - mettez-vous face à face devant Dieu. L'endroit le plus sûr que je connaisse est sur mon visage devant Dieu. Danser devant le Seigneur Il y a un autre acte d'adoration décrit dans les Écritures. En 2 Samuel, David avait finalement réussi à amener l'arche à Jérusalem après qu'elle avait été capturée par les Philistins, puis entreposée pour être gardée en lieu sûr. Il y avait eu plusieurs problèmes en cours de route. Dieu a tué un membre du premier équipage et ils ont tous dû apprendre une leçon importante : l'arche ne pouvait être touchée que par les Lévites. Finalement, accompagnée de toutes sortes de musiques, l'arche fut installée à Jérusalem, et l'Écriture rapporte, Alors David dansa devant l'Éternel de tout son force; et David portait un éphod de lin. (2 Samuel 6:14) Un éphod était un vêtement qui faisait de vous, en quelque sorte, un prêtre. "David a dansé devant l'Éternel de toutes ses forces." David était un homme puissant et courageux, alors quand il a dansé de toutes ses forces, je ne pense pas qu'il y ait un muscle de son corps qui ne bougeait pas. Je l'imagine bondissant de haut en bas, donnant tout ce qu'il a de plus absolu. C'est l'adoration. Vous n'êtes pas vraiment libéré tant que votre corps tout entier n'est pas libéré. Mais il y a un autre aspect de cette histoire : Puis David revint bénir sa maison. Et Michal, la fille de Saül, sortit à la rencontre de David, et dit: «Qu'il était glorieux aujourd'hui le roi d'Israël, se dévoilant aujourd'hui aux yeux des servantes de ses serviteurs, comme l'un des vils camarades sans vergogne découvre lui-même!" Alors David dit à Michal: "C'était devant

l'Éternel, qui m'a choisi à ta place père et toute sa maison, pour m'établir chef sur le peuple de l'Éternel, sur Israël. donc je vais jouer musique devant l'Éternel. Et je le serai encore plus indigne que cela, et je serai humble à mes propres yeux. Mais quant aux servantes dont vous avez parlé, par eux je serai tenu en honneur." (2 Samuel 6:20-22) Et le dernier verset de ce récit se lit comme suit : C'est pourquoi Michal, la fille de Saül, n'avait pas enfants jusqu'au jour de sa mort. ( verset 23) Et tout cela parce qu'elle méprisait son mari pour avoir dansé devant le Seigneur. C'est triste, mais aussi très dangereux, de critiquer les gens qui apprécient le Seigneur. Ils ne sont peut-être pas compétents et ils ne sont peut-être pas très instruits, mais Dieu aime cela. Il veut être apprécié. Attention donc à ne pas juger. Il est important d'adorer Dieu avec tout le corps. Jésus a dit que nous devons adorer en esprit et en vérité. Paul a dit : « Que tout ton esprit, ton âme et ton corps soient préservés sans reproche » (1 Thessaloniciens 5 :23). Rappelez-vous ce que nous avons appris plus tôt : la personnalité totale est l'esprit, l'âme et le corps. Vous devez mettre toute votre personnalité en harmonie avec Dieu et répondre à Dieu, comme Il le désire. Il est important d'adorer Dieu avec tout le corps. Notre acte matériel d'adoration Une autre façon dont nous pouvons adorer Dieu dans le domaine physique est dans nos offrandes matérielles. Dieu veut que nous voyions notre argent comme quelque chose de saint, quelque chose que nous devons Lui offrir dans l'adoration. Sans cela, notre adoration est incomplète. Dans l'Exode, Dieu a donné des règles sur la façon dont chaque homme israélite se rendrait au temple de Jérusalem trois fois par an pour adorer et célébrer devant Dieu. Trois fois tu me célébreras une fête dans l'année : Vous observerez la Fête des Pains sans Levain (vous mangerai sept jours des pains sans levain, comme je vous a commandé, à l'heure fixée dans le mois d'Abib, car c'est par lui que tu es sorti d'Égypte; aucun ne doit apparaissent devant Moi vide). (Exode 23:14-15)

Cela faisait partie de l'ordonnance de Dieu pour l'adoration et la célébration dans le temple. Ils devaient partir au moment et selon la voie fixés par Dieu, et aucun Israélite ne devait se présenter devant lui les mains vides. Il devait y avoir une offrande dans le cadre de la célébration et du culte. Dans le Psaume 96, le psalmiste dit : Rendez à l'Éternel la gloire due à son nom; apporter un offrande, et entrez dans ses parvis. Oh, adore le SEIGNEUR dans la beauté de la sainteté ! (Psaume 96:8-9) En d'autres termes, "Ne venez pas sans offrande." Dans ce passage, nous voyons trois faits importants concernant une offrande (qu'elle soit financière ou autre) à Dieu. Premièrement, cela rend gloire à Dieu. Le psalmiste a dit : « Rendez à l'Éternel la gloire due à son nom, apportez une offrande. Comment rendre gloire à Dieu ? En apportant une offrande. Ensuite, il est dit : « Apportez une offrande et entrez dans ses parvis. Apporter une offrande nous donne accès aux tribunaux de Dieu. Nous n'avons pas le droit de revendiquer l'accès à Dieu si nous ne venons pas avec une offrande. Souvenez-vous du passage de l'Exode : "Nul ne paraîtra vide devant moi" (Exode 23:15). Si vous voulez comparaître devant Dieu, entrer dans Ses parvis, vous devez apporter une offrande. Et troisièmement, il est dit "d'adorer le SEIGNEUR dans la beauté de la sainteté!" (Psaume 96:9). Nous devons L'adorer exactement dans le même contexte. Ainsi, apporter une offrande est une partie de notre adoration désignée par Dieu, et notre adoration n'est pas complète tant que nous ne lui apportons pas notre offrande. Lorsque nous donnons notre argent à Dieu, nous donnons une part très importante de notre vie. La plupart d'entre nous diraient que nous consacrons une grande partie de notre vie au travail qui nous rapporte des revenus. Lorsque nous offrons à Dieu la portion désignée de notre revenu, nous nous offrons réellement à Dieu. Nous lui donnons en fait notre temps, notre force et nos talents. Vraiment, il n'y a rien de plus saint que nous puissions offrir à Dieu que nous-mêmes. Dieu nous dit : « Si vous voulez entrer dans Mes parvis, si vous voulez paraître devant Moi, si vous voulez Me rendre gloire, si vous voulez M'adorer dans la beauté de la

sainteté, apportez votre offrande. Ainsi, apporter une offrande, l'adoration et la sainteté sont tous très étroitement liés dans le plan de Dieu pour votre vie. Lorsque nous offrons nos revenus, nous donnons en fait notre temps, notre force et nos talents. Dieu tient un compte Voici un autre point important que beaucoup de gens de Dieu ne comprennent pas entièrement : Dieu tient un registre de ce que Son peuple offre. Nombres 7 est un très long chapitre - il contient quatre-vingt-neuf versets, et la majeure partie est consacrée à la description de ce que les douze princes ou chefs des tribus d'Israël ont offert à Dieu. Chacun d'eux offrait exactement les mêmes choses mais le plus étonnant est que chacune des offres est décrite en détail, article par article. Dieu ne dit pas simplement : « Le second prince a offert la même chose que le premier. Il ne dit pas : « Tous les douze princes ont chacun offert ceci. Non, l'Écriture passe par chaque élément de chacun. Maintenant, la Bible est un livre très économique - elle ne gaspille pas d'espace. Ainsi, lorsque Dieu fait cela, il nous montre avec quel soin il enregistre ce que nous lui offrons. Voici le récit de l'offrande du premier prince : Alors les chefs offraient leur offrande devant l'autel. Car l'Éternel dit à Moïse : « Ils offriront leurs offrande, un chef chaque jour, pour le dévouement du autel." Et celui qui offrit son offrande sur le premier jour fut Nahshon, fils d'Amminadab, de la tribu de Juda. Son offrande était un plat d'argent, dont le poids était de cent trente sicles, et un bol d'argent de soixante-dix sicles, selon le sicle du sanctuaire, tous deux plein de farine fine mélangée à de l'huile comme offrande de grain; une casserole d'or de dix sicles, pleine d' encens; un jeune taureau, un bélier et un agneau mâle dans sa première année, comme un holocauste; un chevreau en offrande pour le péché; et pour le sacrifice d'actions de grâces : deux bœufs, cinq béliers, cinq boucs et cinq agneaux dans leurs Première année. C'était l'offrande de Nahshon, fils de Amminadab. (Nombres 7:10-17) Dieu a gardé un enregistrement absolu de ce que chaque dirigeant a offert, dans des détails spécifiques, et a fait en sorte que cela soit préservé dans les Écritures.

Mais cette comptabilité n'est pas seulement réservée aux anciens rituels de l'Ancien Testament. Remarquez dans Marc comment Jésus lui-même a soigneusement observé les donateurs : Maintenant, Jésus s'assit en face du trésor et vit comment le les gens mettent de l'argent dans le trésor. Et beaucoup qui étaient riches mis dans beaucoup. Puis une pauvre veuve est venue et jeta deux mites, qui font un quadrans. Alors Il appela ses disciples à lui et leur dit : Assurément, je vous dis que cette pauvre veuve a mis en plus que tous ceux qui ont donné au trésor ; car ils ont tous investi de leur abondance, mais elle a de sa pauvreté mis dans tout ce qu'elle avait, tout son moyens de subsistance." (Marc 12:41-44) Il y a deux points ici : premièrement, Jésus a observé ce que tout le monde a donné et a estimé sa vraie valeur ; et deuxièmement, Dieu mesure ce que nous donnons par ce que nous gardons. Celui qui a mis le moins, en valeur réelle, Jésus a dit a donné le plus parce qu'il ne lui restait plus rien. Alors gardez cela à l'esprit; quand Dieu estime ce que vous donnez, Il regarde ce que vous gardez. Dieu mesure ce que nous donnons par ce que nous gardons. Et un dernier point : un jour, chacun de nous rendra compte à Dieu : "Alors chacun de nous rendra compte de lui-même à Dieu" (Romains 14:12). C'est l'avenir de chacun de nous. L'expression « doit rendre compte », dans le grec original, est utilisée principalement pour un compte financier - pas exclusivement, mais principalement. Ainsi, selon les Écritures, chacun de nous va rendre un compte financier à Dieu. Dieu n'a pas besoin de notre argent, mais Il sait que notre attitude vis-à-vis de notre argent révèle notre véritable attitude envers Dieu Lui-même. Comme Jésus l'a dit, Personne ne peut servir deux maitres; car soit il détestera l'un et aimer l'autre, sinon il sera fidèle à l'un et méprisent l'autre. Vous ne pouvez pas servir Dieu et mammon. (Matthieu 6:24) Nous sommes face à un choix. Si nous servons Dieu, nous ne servons pas Mammon, la force spirituelle maléfique qui contrôle et manipule les gens par leur attitude envers

l'argent. Si notre attitude envers Dieu est juste, alors notre attitude envers l'argent sera juste aussi. Si nous nous accrochons à Dieu, si nous nous accrochons à lui, si nous l'adorons, alors nous mépriserons Mammon ; nous ne laisserons pas ce pouvoir diabolique et satanique nous dicter. Aimez Dieu ou aimez Mammon; il n'y a pas de troisième possibilité, pas de neutralité. L'adoration n'appartient qu'à Dieu. Vous pouvez louer les hommes; vous pouvez remercier les hommes; mais vous ne devez adorer personne d'autre que le Seigneur. C'est l'acte unique par lequel nous disons : « Dieu, tu es notre Dieu. Nous t'adorons. Nous ne nous levons pas simplement et disons que nous t'adorons ; tombons sur nos faces et nous t'adorons avec tout ce que nous sommes et tout ce que nous avons." Adorer le Seigneur notre Dieu mérite l'engagement de tout notre être.

Chapitre dix L'inévitabilité du culte En fin de compte, le choix de l'homme n'est pas s'il adorera, mais seulement qui il adorera. Cette question est énoncée très clairement dans les paroles que Dieu a dites à Israël depuis le Mont Sinaï, paroles que nous appelons les Dix Commandements. Voici ce que Dieu dit à Israël à cette occasion : Et Dieu prononça toutes ces paroles, disant : « Je suis le Éternel, ton Dieu, qui t'a fait sortir du pays de Egypte, sortie de la maison de servitude. Vous n'aurez pas d'autres dieux devant Moi. Vous ne ferez pas pour vous une image sculptée, ou toute ressemblance de tout ce qui est dans ciel en haut, ou qui est dans la terre en bas, ou qui est dans l'eau sous la terre; tu ne te prosterneras pas devant eux ni ne les serviras. Car moi, l'Éternel, ton Dieu, suis un Dieu jaloux, visitant l'iniquité des pères sur les enfants jusqu'aux troisième et quatrième générations de ceux qui me haïssent." (Exode 20:1-5) Je veux attirer votre attention sur certains points importants de ce passage. Premièrement, Dieu ne partagera pas le culte avec qui que ce soit ou quoi que ce soit. Si nous adorons Dieu, nous L'adorons Lui seul, et Lui seul a le droit de recevoir cette adoration. Il n'y a

aucune autre personne ou être ou objet dans l'univers à qui nous pouvons offrir notre culte sauf au vrai Dieu. Deuxièmement, se prosterner est toujours une indication d'adoration. Se référant aux idoles interdites, Dieu a dit : « Tu ne te prosterneras pas devant elles » (Exode 20 : 5). Se prosterner et adorer sont synonymes. Dieu ne partagera pas le culte qui lui appartient avec qui que ce soit ou quoi que ce soit. Le troisième point est très sérieux : les conséquences néfastes d'un culte mal dirigé s'étendent à nos descendants. Dieu dit qu'il punira les enfants pour le péché des pères jusqu'à la troisième et la quatrième génération. Ce type de châtiment générationnel ne résulte pas d'autres péchés que les hommes commettent ; ce péché particulier est si unique et si grave - adorer un autre Dieu que le vrai Dieu - que Dieu dit qu'il sera poursuivi dans ses conséquences jusqu'à la troisième et la quatrième génération de ceux qui le pratiquent. L'offrande de céréales Le livre du Lévitique fait référence à une offrande matérielle de l'Ancien Testament, mais, comme pour de nombreuses pratiques de l'Ancien Testament, il se rapporte au domaine spirituel et en particulier au culte. Quand quelqu'un offre une offrande au Seigneur, son l'offrande sera de fleur de farine. Et il versera de l'huile sur dessus, et mets de l'encens dessus. (Lévitique 2:1) Cette offrande de céréales était de la farine ou de la farine qui devait être moulue en très petites particules. Comme je l'ai déjà dit, cela caractérise notre offrande - nos vies - à Dieu. Dieu veut que nos vies soient très petites. Il veut tout pour pouvoir s'en occuper sans notre résistance ou notre opposition à Sa volonté. Lorsque nous offrons nos vies à Dieu, il y a deux actions figuratives que nous devons entreprendre : nous devons y verser de l'huile et y mettre de l'encens. Tout au long de la Bible, l'huile est invariablement une métaphore du Saint-Esprit. Nous ne pouvons rien offrir à Dieu à moins que le Saint-Esprit ne nous permette de l'offrir. L'encens est une sorte de gomme aromatique qui provient des arbres. A l'état naturel, il est généralement de couleur blanche et n'a pas de qualités attractives particulières. Mais lorsqu'il est brûlé, il dégage un arôme magnifique et distinctif qui caractérise l'adoration.

En fait, dans la plupart des cas dans la Bible où vous trouvez le mot décrivant l'encens ou le parfum ou l'arôme, il se réfère à l'adoration. Ainsi, lorsque nous nous offrons au Seigneur, nous devons le faire par le Saint-Esprit, et nous devons le faire avec adoration. Mais quelque chose de différent arrive à l'encens : Il l'apportera aux fils d'Aaron, les sacrificateurs, l'un des qui en tirera sa poignée de farine fine et huile avec tout l'encens. Et le sacrificateur brûlera comme un mémorial sur l'autel, une offrande consumée par le feu, un doux parfum à l'Éternel. (Lévitique 2:2) Il doit y avoir un prêtre pour faire l'offrande. Il prend une petite portion de farine et d'huile et la jette dans le feu de l'offrande. Mais - et c'est très important - il inclut tout l'encens. Le culte (l'encens) ne va qu'au Seigneur. C'est un péché d'offrir un culte, de donner de l'encens à qui que ce soit d'autre qu'au Seigneur. Je crois que c'est une leçon que de nombreux chrétiens de haut niveau doivent apprendre. Au cours des dernières décennies, nous avons vu trop de personnalités distinguées et bien connues tomber dans le désastre et la disgrâce. Je pense qu'une des raisons peut être qu'ils ont parfois permis à leurs disciples de prendre un peu d'encens et de le donner au prédicateur. En tant que prédicateur, je ne veux jamais d'encens. Souvent, les gens m'approchent avec des mots flatteurs, pour lesquels je suis reconnaissant, mais l'adoration ne va qu'à une seule personne - et c'est Dieu. Rappelez-vous, quiconque que nous adorons devient notre dieu. Si nous adorons le prédicateur, nous en faisons notre dieu. Et c'est une chose terrible à faire. L'adoration mène inévitablement au service. Adoration et service Dans de nombreux passages bibliques relatifs à l'adoration, vous remarquerez que l'adoration mène inévitablement au service. Tout ce que nous adorons, en fin de compte, nous le servirons. Cela ressort très clairement du dialogue entre Jésus et Satan lorsque Jésus fut tenté de tomber et de l'adorer. Des trois tentations dans le désert, c'était la tentation ultime. Encore une fois, le diable l'a pris sur un très haut montagne, et lui montra tous les royaumes du monde et leur gloire. Et il lui dit : Tous ces choses que je te donnerai si

tu tombes et adore-moi." Alors Jésus lui dit: Passe ton chemin, Satan! Car il est écrit, `Tu adoreras l'Éternel, ton Dieu, et tu le serviras lui seul.'' (Matthieu 4:8-10) Remarquez l'ordre et la connexion ici : adorez d'abord, puis servez. Tant de chrétiens essaient d'inverser l'ordre, mais cela ne fonctionne pas. Servir sans adorer n'est pas la même chose. Mais il y a aussi un lien fonctionnel. Plus nous adorons une personne ou une chose, plus certaines sont les conséquences qui émergeront dans nos vies : premièrement, plus notre engagement envers la personne ou la chose devient complet ; et deuxièmement, plus nous assumerons l'identité de la personne ou de la chose. L'adoration mène inévitablement à l'engagement et à l'identification. Par conséquent, l'adoration est la décision ultime, et aucun de nous ne peut y échapper. L'homme a été créé à l'origine pour adorer. Il ne peut pas changer cet aspect de sa nature. Tout ce qu'il peut changer, c'est la direction de ce culte - du vrai Dieu à un faux dieu. L'homme a été créé à l'origine pour adorer. Permettez-moi de vous donner quelques exemples des faux dieux que les hommes adorent couramment. Les premières sont de véritables idoles. Partout dans le monde, dans toutes les cultures, vous trouverez des idoles de bois et de pierre vénérées. Le terme commun que nous utilisons pour cela est l'idolâtrie. Deuxièmement, les gens vénèrent fréquemment leurs propres désirs et plaisirs physiques. Ceux-ci deviennent leur dieu. Le nom souvent utilisé pour le culte du plaisir est l'hédonisme. Troisièmement, l'argent et les biens matériels. Des millions de personnes dans le monde ont fait de l'argent leur dieu. La Bible qualifie cette forme d'idolâtrie de convoitise. Quatrièmement, les dirigeants politiques humains, comme Hitler ou Lénine.

Il est intéressant de noter que ceux qui rejettent la Bible et rejettent le vrai Dieu avec leurs philosophies politiques se retrouvent souvent avec une cible humaine alternative pour leur culte. Enfin, il y a les fondateurs de divers cultes et de fausses idéologies religieuses. Les événements tragiques associés à Jonestown, en Guyane, et à Waco, au Texas, sont le résultat de l'adoration du chef d'un faux culte. Le culte et la fin des temps Qu'est-ce que ces types de faux cultes ont tous en commun ? Ils mènent tous à la même personne ultime : Satan. Satan désire l'adoration parce qu'elle énonce de manière unique sa prétention d'être égal à Dieu. Plus tôt, j'ai déclaré que l'adoration appartient à Dieu seul. Ainsi, lorsque Satan peut être adoré, cela réaffirme sa prétention à l'égalité avec Dieu. C'est ce qui a causé la chute de Satan en premier lieu, comme décrit dans le livre d'Isaïe : "Comment tu es tombé du ciel, ô Lucifer, fils du matin!" (Isaïe 14:12). Morning Star et Lucifer étaient deux des titres de Satan. Dans les versets qui suivent, le prophète révèle la motivation intérieure de Satan qui l'a poussé à se rebeller contre le vrai Dieu : Car tu as dit dans ton cœur : « Je monterai dans ciel, j'élèverai mon trône au-dessus des étoiles de Dieu; Je m'assiérai aussi sur la montagne de la congrégation sur le côtés les plus éloignés du nord; Je monterai au-dessus des hauteurs des nuages, je serai comme le Très-Haut." (Ésaïe 14:13-14) Remarquez la seule phrase qui est répétée cinq fois : "Je le ferai". C'est l'essence de la rébellion de Satan, l'établissement de sa volonté en opposition à la volonté de Dieu. Et, dans les derniers mots, nous retrouvons l'ambition ultime de Satan : « Je serai comme le Très-Haut. Encore une fois, l'égalité avec Dieu reste le but ultime de Satan. Et la seule façon dont il peut le réclamer est de recevoir un culte, car lorsqu'il le fait, il est identifié, dans un certain sens, comme un dieu.

Selon les Écritures, il y aura une brève période de temps où Satan s'approchera de la réalisation de cette ambition ici sur terre : Alors je me suis tenu sur le sable de la mer. Et j'ai vu une bête s'élevant de la mer, ayant sept têtes et dix cornes, et sur ses cornes dix couronnes, et sur ses têtes un nom blasphématoire. Maintenant, la bête que j'ai vue était comme un léopard, ses pieds étaient comme des pieds d'ours, et sa gueule comme la gueule d'un lion. Le dragon a donné lui son pouvoir, son trône et sa grande autorité. (Apocalypse 13:1-2) Une étude complète de ce passage révèle que la bête est un dirigeant humain, mais le dragon est Satan lui-même. Maintenant, regardez les conséquences : Alors ils ont adoré le dragon qui a donné l'autorité à la bête; et ils adorèrent la bête, en disant : « Qui est comme la bête? Qui est capable de lui faire la guerre ?" (Apocalypse 13:4) Nous devons nous demander, Qui dois-je adorer ? Qui est mon Dieu ? C'est ainsi que se dirige l'histoire humaine dans sa rébellion contre Dieu. Satan se déplace et travaille partout sur la terre, sur les nations et sur les dirigeants politiques partout avec le seul objectif suprême de gagner leur adoration. Finalement, il trouvera un leader politique qu'il pourra habiliter afin que cet homme reçoive le culte de l'humanité. Et à travers lui, Satan recevra également l'adoration. Pour cette raison, nous avons vraiment besoin d'être parfaitement clairs sur une question : qui dois-je vénérer ? Qui est mon Dieu ? Jésus nous a fourni la seule réponse correcte à cette question : Va-t'en, Satan ! Car il est écrit : « Tu adoreras l'Éternel, ton Dieu, et c'est à lui seul que tu servir." (Matthieu 4:10) Êtes-vous prêt à dire cela? « J'adorerai le Seigneur » et « Je ne servirai que Lui » ? C'est la décision la plus importante que vous puissiez prendre. Il déterminera votre destin éternel.

Chapitre onze Adorer au trône Il y a quelque temps, j'ai dit à Ruth : « Nous ne lisons pas assez souvent l'Apocalypse. C'est un livre difficile à comprendre, mais cela ne veut pas dire que nous ne devrions pas le lire. Nous l'avons donc lu une fois, mais nous n'en avons rien tiré. Nous l'avons lu une deuxième fois - mais encore une fois, rien. J'ai dit: "Peu importe; c'est la Parole de Dieu; nous allons la lire." La troisième fois, quelque chose a cliqué. Après cela, chaque fois que Ruth demandait ce que nous devions lire, elle savait ce que je dirais - Apocalypse 4 et 5. Apocalypse 4 parle de la salle du trône du ciel ; c'est l'endroit à partir duquel l'univers est dirigé. Le seul mot clé de ce chapitre est le mot trône. Dans onze versets, le mot apparaît quatorze fois. Dans cette salle du trône, il y a une activité suprêmement caractéristique : le culte. "Saint, saint, saint est le Seigneur Dieu tout-puissant, qui était, et est, et est à venir." Chaque fois que les créatures vivantes rendez gloire, honneur et remerciements à celui qui est assis sur le trône et qui vit aux siècles des siècles, les vingt-quatre anciens se prosternent devant celui qui est assis sur le trône, et adorez celui qui vit aux siècles des siècles. Ils déposent leurs couronnes devant le trône. (Révélation 4:8-10 NIV) Une activité caractérise la salle du trône céleste, c'est l'adoration. C'est le modèle d'adoration dans le ciel; ils se prosternent devant Celui qui est assis sur le trône. Je me souviens avoir chanté un vieil hymne à l'église : « Que tous saluent la puissance du nom de Jésus ! Que les anges se prosternent ; apportez le diadème royal et couronnez-le… Seigneur de tous. Je me souviens d'avoir vu des fidèles se tenant raides sur leurs bancs et chantant : « Que les anges prostrés tombent. La plupart diront : "Eh bien, cela peut convenir aux anges, mais ne me demandez pas de faire quelque chose d'aussi indigne !" Mais c'est ainsi que cela se passe au ciel. Je sais que je suis parfaitement satisfait d'adorer comme ils adorent là-bas. Dans l'Apocalypse, nous avons une scène de Celui qui est assis sur le trône avec un rouleau, qui est la révélation du livre de l'Apocalypse. Un ange fort dit d'une voix forte : « Qui est digne de briser les sceaux et d'ouvrir le rouleau ? (Apocalypse 5:2

VNI). Personne n'est assez fort; personne ne peut le faire dans tout le ciel. Jean, l'auteur de l'Apocalypse, se met à pleurer parce qu'il veut savoir ce qu'il y a dans le rouleau. Alors, l'un des anciens lui dit : "Ne pleure pas ! Vois, le lion de la tribu de Juda, le rejeton de David, a triomphé. Il est capable d'ouvrir le rouleau et ses sept sceaux" (Apocalypse 5 :5). VNI). Jean se retourne, s'attendant à voir ce Lion, mais ne voit qu'un Agneau, qui a l'air d'avoir été égorgé. Jean dit : Alors j'ai vu un Agneau, qui avait l'air d'avoir été immolé, debout au centre du trône, entouré par le quatre êtres vivants et les vieillards. Il avait sept cornes et sept yeux, qui sont les sept esprits de Dieu a envoyé sur toute la terre. Il est venu et a pris le rouleau de la main droite de celui qui était assis sur le trône. (Apocalypse 5:6-7 NIV) Ce qui suit est une description inspirante de tout le royaume céleste engagé dans l'adoration : Quand il l'eut pris, les quatre êtres vivants et les vingt-quatre anciens se prosternèrent devant l'Agneau. Chacun avait une harpe et ils tenaient bols pleins d'encens, qui sont les prières des saints. Et ils ont chanté une nouvelle chanson: "Tu es digne de prends le rouleau et ouvre ses sceaux, car tu étais tué, et avec ton sang tu as acheté des hommes pour Dieu de chaque tribu et langue et peuple et nation. Tu en as fait un royaume et sacrificateurs pour servir notre Dieu, et ils régneront sur terre." (Apocalypse 5:8-10 NIV) Remarquez ce que font les anciens. Ils tombent. Et remarquez comment nos prières viennent devant la présence du Seigneur - dans des bols d'or remplis d'encens. Que représente l'encens ? Culte! C'est le premier cercle d'adoration, les quatre créatures vivantes et les vingt-quatre anciens qui se prosternent et louent Dieu pour son acte puissant de rédemption par Jésus. Alors, Jean continue : Alors j'ai regardé et j'ai entendu la voix de beaucoup d'anges, comptant des milliers et des milliers, et dix mille fois dix mille. (Apocalypse 5:11 NIV) Incidemment, c'est la façon dont la langue chinoise indique encore des millions - dix mille fois dix mille est une centaine de millions.

Et puis il y en a des millions d'autres. Quand vous considérez qu'un ange, en une nuit, pourrait détruire 185 000 soldats assyriens (voir 2 Rois 19:35), vous vous demandez de quoi nous devrions avoir à nous soucier. D'une voix forte, ils chantèrent : « Digne est l'Agneau, qui a été tué, pour recevoir le pouvoir, la richesse et la sagesse et la force et l'honneur et la gloire et la louange!" Alors je entendu toute créature dans les cieux et sur la terre et sous la terre et sur la mer, et tout ce qui est en eux, chantant : « A celui qui est assis sur le trône et au Agneau soit louange et honneur et gloire et puissance, car pour toujours et à jamais!" (Apocalypse 5:12-13 NIV) Chaque créature jusqu'aux limites les plus éloignées de l'univers impliquée dans une seule chose: L'adorer. Et ensuite: Les quatre créatures vivantes dirent : « Amen », et le les anciens se sont prosternés et ont adoré. (Apocalypse 5:14 NIV) Ils se prosternent et adorent Celui qui vit pour toujours et à jamais. Quelle image inspirante. Le centre de l'univers est le trône, et il s'étend en cercles toujours plus larges jusqu'aux limites extrêmes de l'univers. Tout le monde et tout, ne faisant qu'une chose : adorer. Et qui est au centre ? L'agneau. Quel jour glorieux ce sera. Amen. A propos de l'auteur Derek Prince Derek Prince (1915-2003) est né à Bangalore, en Inde, dans une famille militaire britannique. Il a fait ses études en tant que spécialiste des langues classiques (grec, latin, hébreu et araméen) à Eton College et à l'Université de Cambridge en Angleterre, puis à l'Université hébraïque d'Israël. En tant qu'étudiant, il était philosophe et athée autoproclamé. Il a obtenu une bourse de recherche en philosophie ancienne et moderne au King's College de Cambridge. Alors qu'il était dans le British Medical Corps pendant la Seconde Guerre mondiale, Prince a commencé à étudier la Bible en tant qu'œuvre philosophique. Converti par une puissante rencontre avec Jésus-Christ, il est baptisé du Saint-Esprit quelques jours plus tard. Cette expérience qui a changé sa vie a changé tout le cours de sa vie, qu'il a ensuite consacrée à l'étude et à l'enseignement de la Bible en tant que Parole de Dieu.

Libéré de l'armée à Jérusalem en 1945, il épouse Lydia Christensen, fondatrice d'une maison d'enfants. Lors de leur mariage, il est immédiatement devenu le père des huit filles adoptives de Lydia - six juives, une arabe palestinienne et une anglaise. Ensemble, la famille vit la renaissance de l'État d'Israël en 1948. À la fin des années 1950, les princes ont adopté une autre fille alors qu'il était directeur d'un collège au Kenya. En 1963, les princes ont immigré aux États-Unis et ont été pasteurs d'une église à Seattle. Ému par la tragédie de l'assassinat de John F. Kennedy, il a commencé à enseigner aux Américains comment intercéder pour leur nation. En 1973, il devient l'un des fondateurs d'Intercessors for America. Son livre Shaping History through Prayer and Fasting a éveillé les chrétiens du monde entier à leur responsabilité de prier pour leurs gouvernements. Beaucoup considèrent les traductions clandestines du livre comme ayant contribué à la chute des régimes communistes en URSS, en Allemagne de l'Est et en Tchécoslovaquie. Lydia Prince est décédée en 1975 et Derek a épousé Ruth Baker (une mère célibataire de trois enfants adoptés) en 1978. Il a rencontré sa deuxième femme, comme la première, alors qu'il servait le Seigneur à Jérusalem. Ruth est décédée en décembre 1998 à Jérusalem, où ils vivaient depuis 1981. Jusqu'à quelques années avant sa propre mort en 2003, à l'âge de quatre-vingt-huit ans, Prince a persisté dans le ministère auquel Dieu l'avait appelé alors qu'il parcourait le monde, communiquant la vérité révélée de Dieu, priant pour les malades et les affligés et partageant son message prophétique. un aperçu des événements mondiaux à la lumière des Écritures. Il a écrit plus de cinquante livres, qui ont été traduits dans plus de soixante langues et distribués dans le monde entier. Il a été le pionnier de l'enseignement sur des thèmes aussi novateurs que les malédictions générationnelles, la signification biblique d'Israël et la démonologie. Derek Prince Ministries, dont le siège international est à Charlotte, en Caroline du Nord, continue de diffuser ses enseignements et de former des missionnaires, des dirigeants d'églises et des congrégations par le biais de ses succursales dans le monde entier. Son émission de radio, Keys to Successful Living (maintenant connue sous le nom de Derek Prince Legacy Radio), a débuté en 1979 et a été traduite dans plus d'une douzaine de langues. Selon les estimations, l'enseignement clair, non confessionnel et non sectaire de la Bible de Derek Prince a atteint plus de la moitié du globe.

Internationalement reconnu comme un érudit biblique et un patriarche spirituel, Derek Prince a établi un ministère d'enseignement qui s'est étendu sur six continents et plus de soixante ans. En 2002, il a dit : "C'est mon désir - et je crois le désir du Seigneur - que ce ministère continue l'œuvre que Dieu a commencée à travers moi il y a plus de soixante ans, jusqu'au retour de Jésus."

Plan du document Couverture Contenu Introduction 1 : Votre attitude en présence de Dieu 2 : Notre réponse appropriée 3 : En esprit et en vérité 4 : Votre corps : nettoyé par le sang et l'eau 5 : Votre âme : une approche émotionnelle du culte 6 : Votre esprit : le chemin vers le lieu le plus sacré 7 : Quatre bénédictions de la nouvelle alliance 8 : Quatre exigences des vrais adorateurs 9 : Notre attitude physique d'adoration 10: L'inévitabilité du culte 11 : Adorer au trône A propos de l'auteur

Table des matières Chapitre un Chapitre deux Chapitre trois Chapitre quatre Chapitre cinq Chapitre six Chapitre Sept Chapitre Huit Chapitre neuf Chapitre dix Chapitre onze