Corriges Exercices Secondes Manuel P 471 [PDF]

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Zitiervorschau

Correction exercices de grammaire 2nde 6 p 471 exercice 2 : 1/ vrai 2/vrai 3/faux 4/vrai (voir case complétive , en fait, dans le cas d’une proposition infinitive sub, il n’y a pas forcément de mot introducteur ex : j’entends les oiseaux chanter) la carte p 470 était ambiguë donc je vous compte 1 pt quelle que soit votre réponse. exercice 3 : Tout vous est Aquilon ; tout me semble Zéphyr . Ces deux propositions sont juxtaposées à l’aide d’un ; Encore si vous naissiez à l’abri du feuillage

une grande proposition sub conjonctive introduite par « si » dans laquelle est insérée une autre proposition, subordonnée relative introduite pas « dont » ; la grande proposition sub conjonctive est CC de condition de n’auriez pas tant à souffrir

Dont je couvre le voisinage Vous n’auriez pas à tant souffrir ; Je vous défendrais de l’orage. Proposition sub juxtaposée à la précédente par le ; Exercice 4 1.

- que je lis : proposition subordonnée relative, introduite par le pronom relatif « que », elle complète le nom roman ; - qui en est l’auteur : proposition subordonnée conjonctive introduite par pronom interrogatif « qui » (complétive, interrogative indirecte), elle complète le verbe ne sais plus.

2.

- qu'il évoque parfaitement ce sentiment de vide que l'on peut avoir à l’adolescence : proposition subordonnée conjonctive (complétive, conjonctive en que), elle complète le verbe trouve ; - que l’on peut avoir à l’adolescence : proposition subordonnée relative, introduite par le pronom relatif « que », elle complète le nom sentiment.

3.

- où l'histoire se passe : proposition subordonnée conjonctive (complétive, interrogative indirecte introduite par le pronom interrogatif « où »), elle complète le verbe ignore ; - où j'ai grandi : proposition subordonnée relative, elle complète le nom région et est introduite par le pronom relatif « où »

Exercice 5 1. Tel était ce garçon : il ne pouvait triompher du plaisir. 2. Alors que la nature l'avait fait pauvre, le hasard l'avait fait riche. 3. Il ne lutta ni contre son coeur, ni contre son plaisir, car le plaisir l'attirait. 4. Vous penserez que c'est de la faiblesse. Exercice 6 1. pourquoi ton cœur se serre dans ta poitrine avec inquiétude : interrogative indirecte. 2. que tu t’agites autour de moi : conjonctive en que. 3. vous [...] déclamer : proposition infinitive. 4. que je suis encore loin du compte : conjonctive en que. 5. que mon esprit jouit de plus de lumière : conjonctive en que. (c’est la phrase qui est de forme interrogative). Exercice 7 1. Océane attend que Louise revienne (conjonctive en que). 2. Océane écoute les oiseaux chanter (proposition infinitive). 3. J'ignore où il va (interrogative indirecte). 4. Il demande à quelle heure ouvre le magasin (interrogative indirecte). 5. Elle espérait qu'il viendrait le lendemain (conjonctive en que). Exercice 8 a) et b) Délimitation et identification des subordonnées Remarque : cette question est plutôt à faire à l’oral ; à l’écrit, elle serait fastidieuse, à moins qu’on l’a restreigne à quelques vers. - [Je fuis Titus], [je fuis ce nom qui m’inquiète] : propositions juxtaposées - [qui m’inquiète] : proposition subordonnée (relative, épithète de nom)

- [qu’à tous moments votre bouche répète] : proposition subordonnée (relative, épithète de nom) - [Que vous dirai-je enfin ?] : phrase simple - [Je fuis des yeux distraits] : proposition principale - [Qui, me voyant toujours, ne me voyaient jamais] : proposition subordonnée (relative, épithète de yeux) - [Adieu] : phrase simple, nominale - [Je vais, le cœur trop plein de votre image, / Attendre, en vous aimant, la mort pour mon partage.] : phrase simple - [Surtout ne craignez point] : proposition principale - [qu’une aveugle douleur / Remplisse l’univers du bruit de mon malheur] : proposition subordonnée (complétive, COD de ne craignez point) - [Madame, le seul bruit d’une mort que j’implore / Vous fera souvenir] : proposition principale - [que j’implore] : proposition subordonnée (relative, épithète de mort) - [que je vivais encore] : proposition subordonnée (complétive, COI de fera souvenir) - [Adieu] : phrase simple, nominale c) Les répétitions (verbes fuir, voir ; substantifs nom, bruit, mort ; interjection Adieu) entraînent un effet d'insistance qui montre qu'Antiochus retarde son départ. Les constructions symétriques créent un rythme lancinant qui évoque la douleur d'Antiochus. L'alexandrin est souvent marqué par une pause après la première ou la deuxième syllabe : cette dislocation du rythme habituel de l’alexandrin traduit l'émotion d'Antiochus. Exercice 9 a) et b) Remarque : cette question est plutôt à faire à l’oral ; à l’écrit, elle serait fastidieuse, à moins qu’on l’a restreigne à quelques vers. - [Longtemps, je me suis couché de bonne heure.] : phrase simple - [à peine ma bougie éteinte] : subordonnée participiale (cette occurrence est difficile si l’on s’en tient à la leçon proposée p. 470) - [mes yeux se fermaient si vite] : proposition principale - [que je n’avais pas le temps de me dire : « Je m’endors »] : subordonnée circonstancielle, CC de conséquence (introduite par le système corrélative : « si … que ») - [je n’avais pas le temps de me dire] : [« Je m’endors »] : propositions juxtaposées - [la pensée qu’il était temps de chercher le sommeil m’éveillait] ; [je voulais poser le volume que je croyais avoir encore dans les mains et souffler ma lumière] ; [je n’avais pas cessé en dormant de faire des réflexions sur ce que je venais de lire] : propositions juxtaposées - [qu’il était temps de chercher le sommeil] : proposition subordonnée relative, épithète de pensée - [que je croyais avoir encore dans les mains] : proposition subordonnée relative, épithète de volume - [que je venais de lire] : proposition subordonnée relative, épithète de ce (autre analyse possible : [ce que je venais de lire] : proposition relative sans antécédent) - [mais ces réflexions avaient pris un tour un peu particulier] : proposition coordonnée à la précédente - [il me semblait] :proposition principale, juxtaposée à la précédente - [que j’étais moi-même ce dont parlait l’ouvrage : une église, un quatuor, la rivalité de François I er et de Charles Quint] : proposition subordonnée complétive, COD de semblait - [dont parlait l’ouvrage] : proposition subordonnée relative, épithète de ce (autre analyse possible : [ce dont parlait l’ouvrage] : proposition relative sans antécédent. b) Cet extrait n’est composé que de trois phrases qui sont de plus en plus longues ; la dernière comporte même onze propositions puisque l’on peut y compter onze verbes. On pourrait penser que cette progression évoque une entrée dans le sommeil assez chaotique. En effet, comme cette longue phrase correspond à l’évocation de moments où le narrateur est entre e sommeil et le réveil, la disposition des propositions suggère une pensée plus confuse, moins construite que s’il était complètement réveillé ; il juxtapose ses actions sans faire de lien « la pensée m’éveillait », « je voulais poser le volume », ou souligne la confusion entre activité intellectuelle et sommeil « je n’avais pas cessé en dormant de faire des réflexions ...».