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QCM Classés & Organisés par COURS
+ Banque LELLOU + QCM de KAMEL
Faculté de Médecine - Oran
Questions Compilés & Organisés & Corrigés par : - B. Nahida : étudiante en 5ème année médecine Section A - A. Khalida : étudiante en 4ème année médecine Section A - B. Imad Eddine : étudiant en 4ème année médecine Section B - H. Yasmine : étudiante en 4ème année médecine Section B - H. Lydia : étudiante en 4ème année médecine Section B - L. Amel : étudiante en 4ème année médecine Section B - M. Nesrine : étudiante en 4ème année médecine Section B - M. Amira : étudiante en 4ème année médecine Section B
Répertoire : 1. Tuberculose Infection ......................................................................................01 2. Bases Fondamentales de la TBC Pulmonaire.........................................................02 3. Tuberculose Pulmonaire...................................................................................03 4. Tuberculose Extra Pulmonaire ..........................................................................04 5. Programme National de Lutte Contre la Tuberculose ..........................................04 6. Traitement Anti-TBC ........................................................................................05 7. Infections Respiratoires Basses .........................................................................06 8. Suppuration Pulmonaire ..................................................................................07 9. Dilatation Des Bronches ....................................................................................09 10. Kyste Hydatique..............................................................................................10 11. Pleurésie à Liquide Clair ..................................................................................11 12. Pleurésie Purulente.........................................................................................12 13. Pneumothorax ................................................................................................13 14. Cancer Bronchique Primitif .............................................................................14 15. Asthme............................................................................................................16 16. BPCO & Exa-BPCO............................................................................................19 17. Pneumopathies Opportuniste & Nosocomiales...................................................20 18. Pneumoconiose...............................................................................................20 19. Pathologie Médiastinale..................................................................................21 20. Sarcoïdose ......................................................................................................21 21. Syndrome d’Apnée Hypopnée Obstucctif du Sommeil.........................................22 22. Pneumopathie Infiltratives Diffuses .................................................................23 23. Pollution et Poumon......................................................................................23 24. Insuffisance respiratoire chronique et Sa décompensation.................................24
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2020/2021
1. Tuberculose Infection : 01. La primo infection de la TBC : A. Le mycobacterium bovis est le plus frequent B. Dû a une actinomycete tellurique (de la terre) C. Le virage tuberculinique est essentiel D. La primo infection latente est diagnostiqué par la radiologie E. allergie tuberculinique est spécifique retardée à mediation cellulaire Source : Q01 - 19-20 Sec A
Réponse: CE
02. L’hypersensibilité tuberculinique: Les RJ A. Est de type humoral. B. Est immédiate. C. Est a médiation cellulaire retardée. D. Fait intervenir les macrophages ; les lymphocytes. E. l'allergie tuberculinique apparaît après une phase de latence allant de 3 à 12 semaines après le contact infectant Source : Q34 - 18-19 Sec A
Réponse: CDE
03. Le bacille tuberculeux : A. Est une bactérie anaerobie. B. De transmission tellurique. C. Exige un milieu spécial pour pousser. D. Leur multiplication est rapide. E. Il s'agit de bâtonnets incurves prenant la couleur rouge après coloration de Ziehl et Nielsen, Source : Q35 - 18-19 Sec A
Réponse: CE
04. Dans la primo-infection patente : Les RJ A. L’érythème noueux est constant. B. La radiographie thoracique peut être normale. C. Le virage tuberculinique accompagne les signes cliniques et radiologiques. D. La recherche de BK dans les crachats est positive. E. Le traitement repose sur la quadrithérapie 2RHZE/RH Source : Q36 - 18-19 Sec A
Réponse: BC
05. Concernant la primo-infection latente : Les RF A. Est caractérisée par des infiltrats radiologiques avec caverne B. Est définis par un virage tuberculinique C. Est le plus souvent accompagnée de signes cliniques et radiologiques D. Impose un traitement en urgence E. Il s'agit d'une forme sévère de tuberculose Source : Q01 - 18-19 Sec B
Réponse: ACDE
06. La radiographie pulmonaire peut objectiver lors de la tuberculose infection : La / Les RJ A. Un chancre : opacité arrondie, petite taille (1cm), lobe supérieur, évolue vers la disparition ou la calcification. B. Une adénopathie homolatérale, latérotracheale, intertrachéo-bronchique ou hilaire. C. Un trouble de ventilation : atélectasie (lobaire moyenne), emphysème obstructif. D. Une miliaire radiologique. E. Aucune anomalie radiologique. Source : Q01 - Rattrap 18-19 Q01 17-18 Sec B
1
Réponse: ABCE
07. Les signes cliniques de la primo infection patente sont : Les RF A. Hémoptysies de grande abondance B. Erytheme noueux C. Typhobacillose de Landouzy D. Uvéite postérieure E. Céphalée atroce avec arthralgie Source : Q07 - 17-18 Rattrap
Réponse: AE
08. L’imagerie au cours d’une primo infection tuberculeuse peut retrouver : Les RJ A. Un infiltrat associe a une caverne B. Un petit chancre avec adénopathie associée C. Une atéléctasie D. Imagerie radiologique normale E. Pneumonie systématisé Source : Q08 - 17-18 Rattrap
Réponse: BCD
09. S'agissant de la tuberculose Infection, La RJ A. Elle constitue un véritable problème de santé publique B. L'examen bactériologique est fortement positif C. C’est une forme grave de la tuberculose D. Sa forme latente demeure la plus fréquente (90% des cas) E. Son diagnostic repose sur un examen invasif Source : Q03 - 02-05-2016
Réponse: D
10. Fait évoquer une primo-Infection tuberculeuse chez un enfant : cochez les réponses justes A. Un érythème noueux B. Une diarrhée C. Un fébricule prolonge D. Une arthrite aiguë E. Une conjonctivite phlycténulaire Source : Q03 - 18-01-2015
Réponse: ACE
11. Quelle attitude thérapeute peut-on prendre chez un enfant de 5 ans qui présente une primo infection tbc récente avec virage des réactions tuberculinique sans signes cliniques ni rx ? A. Trt associant INH et rifampicine pdt 6 mois B. surveillance simple C. Vaccination par le BCG D. Isoniazide et rifampicine associées à une corticothérapie Source : Q01 - 11-12 Sec A
Réponse: A
12. Le chancre d’inoculation de la primo infection tuberculeuse A. ne guérit jamais spontanément B. guérit le plus souvent spontanément C. évolue toujours vers l’ulcération en l’absence du traitement efficace D. provoque souvent une atéléctasie segmentaire E. se calcifie toujours Source : Q07 - Pr.LELLOU
Réponse: B
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2. Bases Fondamentales de la TBC Pulmonaire : 01. Toutes les propositions suivantes sont fausses sauf : A. La tuberculose est une maladie rare en Algérie. B. La contamination est sanguine C. Le bacille tuberculeux est un bacille aérobie. D. Le BK est une mycobactérie à croissance rapide responsable d'une immunité humorale. E. M.bovis est la mycobactérie la plus fréquente chez l’homme Source : Q02 - 18-19 Sec B
Réponse: C
02. Le risque de contamination de la tuberculose dépend des situations suivantes : La / Les RJ A. Du nombre des gouttelettes de Pflügge en suspension dans l’air. B. De l’état immunitaire du patient atteint. C. De la concentration des particules infectantes dans l’air et la durée pendant laquelle le patient est exposé. D. De l’extension des lésions radiologiques E. De l’importance de l'exposition à la tuberculose Source : Q03 - 18-19 Rattrap
Réponse: BC
03. Dans une tuberculose pulmonaire, quel prélèvement n’a aucun intérêt pour le diagnostic bactériologique : A. Tubage gastrique B. Frottis de gorge C. Expectoration spontanée D. Expectoration sous fibroscopie E. Lavage bronchique Source : Q06 - 17-18 Sec A
Réponse: B
04. Cochez les réponses justes : A. La recherche du bacille de la tuberculose dans les crachats se fait actuellement durant 2 jours successifs. B. Une toux dépassant 3 semaines devrait faire suspecter la tuberculose pulmonaire. C. L'image caverneuse en radiographie thoracique serait très bacillifère à travers la recherche bactériologique D. L'examen physique est d'une importance capitale dans le diagnostic de la tuberculose pulmonaire E. Le risque de transmission du bacille de la tuberculose chez l'étudiant en pneumologie est très élevé Source : Q03 - 17-18 Sec B Q01 - 15-16 - 02-05-2016 Réponse: ABC
05. Le mécanisme de la tuberculose pulmonaire repose sur les propositions suivantes : La/Les RJ A. Le plus souvent par l'aggravation du premier contact de l'organisme sain avec le bacille de koch B. Par le biais d'une réactivation interne des bacilles dormants C. Suite à une surcontamination massive dans les pays à incidences élevées de tuberculose. D. En rapport avec un dysfonctionnement du système mitochondrial E. Viscéralement lié à une transmission hématogène Source : Q06 - 17-18 Sec B 2
Réponse: BC
06. Parmi les propositions suivantes, laquelle est juste ? A. La tuberculose pulmonaire est une pathologie contemporaine. B. Les premiers symptômes de la tuberculose pulmonaire ont été décrits au 18ème siècle. C. Sa transmission par le lait de vache malade demeure usuelle. D. Les bactéries appartenant à la famille des actinomycétales sont responsables de la TBC E. Le risque de contamination de la tuberculose dépend du nombre de gouttelettes de pflügge Source : Q08 - 17-18 Sec B
Réponse: D
07. Cochez La/Les RJ : A. La tuberculose est une maladie infectieuse contagieuse séculaire B. Mycobacterium bovis est responsable de la tuberculose en Algérie C. La mise en évidence du follicule de Koster est indispensable pour le diagnostic de la tuberculose pulmonaire commune D. L’inflammation non spécifique évoque avec certitude une atteinte tuberculose E. La réinfection tuberculose endogène est le mécanisme le plus fréquent dans les pays en développement Source : Q10 - 16-17 Sec B Q01 - 15-16 - 02-05-2016
Réponse: A
08. Cochez La/Les RF : A. La recherche du bacille de la tuberculose dans les crachats se fait actuellement selon la technique du "spot spécimen" B. Une toux de 6 mois devrait faire suspecter la TBC pulm C. L'image caverneuse en radiographie thoracique serait en faveur d'une tuberculose pulmonaire paucibacillaire. D. L'examen physique est d'une importance capitale dans le diagnostic de la tuberculose pulmonaire. E. Le risque de transmission de la tuberculose dépend de la concentration des goutiqlettes de Pflüge et de la durée d'exposition, Source : Q11 - 16-17 Sec B
Réponse: CD
09. La tuberculose : Les RJ A Est une affection plus fréquente dans les groupes sociaux défavorisés B. Est presque toujours guéris par le traitement médicamenteux C. Nécessite la mise au repos du malade durant toute la période du traitement D. Peut avoir une évolution chronique en absence de traitement E. Est une maladie contagieuse Source : Q01 - 14-15 - 18-01-2015
Réponse: ABDE
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3. Tuberculose Pulmonaire : 01. Le dépistage des sujets contacts d’un tuberculeux pulmonaire nécessite : A. Un examen clinique et radiologique pulmonaire pour tous les sujets contacts quelque soit leurs ages B. Une IDRT pour tous les sujets contacts quelque soit leurs âges C. Une chimioprophylaxie pour tous les sujets contacts de moins de 14 ans D. Une baciloscopie pour tous les sujets contacts E. Une vaccination par le BCG des sujets contacts Source : Q10 - 19-20 Sec B Q05 - 17-18 Sec A Q11 - 17-18 Rattrap
Réponse: A
02. Quelles sont les propos correctes pour les échecs et les rechutes d’une tuberculose pulmonaire : A. Appartiennent à la catégorie III de traitement B. Nécessitent un allongement et un renforcement du traitement spécifique C. Sont toujours des tuberculoses à bacilloscopie positive en culture ou à l’examen direct D. Nécessitent l’utilisation de drogues de seconde intention E. Peuvent être secondaires à une résistance à un ou plusieurs antituberculeux Source : Q22 20-21 Sec A Q12 - 19-20 Sec B
Réponse: BCE
03. La découverte d’une tuberculose pulmonaire à microscopie positive : A. Impose une mise en culture sur milieu de Lowenstein jensen B. Nécessite un dépistage systématique des sujets contacts C. La positivité de l'IDRt est un critère de diagnostic D. Pose un problème épidémiologique E. Sa contrainte est le plus souvent diagnostique Source : Q14 - 19-20 Sec B Q05 - 17-18 Sec B
Réponse: BD
04. La découverte d’une tuberculose pulmonaire à microscopie positive impose : Les RF A. Recherche des sujets contacts B. Traitement systématique des sujets contact C. La mise en culture sur milieu de Lowenstein Jensen D. Un traitement systématique des sujets malades E. Une déclaration obligatoire Source : Q37 - 18-19 Sec A Q05 - 18-19 Sec B Q07 - 17-18 Sec A
Réponse: BC
06. Vous suspectez la tuberculose pulmonaire devant le tableau suivant : La / Les RJ A. La présence d'un contexte phtsiogène et une toux de plus de trois semaines B. La présence de signes d’imprégnation associée à une hémoptysie. C. La présence de douleurs thoraciques diffuses D. La présence d'une dyspnée au moindre effort E. En examinant un patient démuni se plaignant d’un amaigrissement notable et d’une toux récurrente Source : Q04 - 18-19 Rattrap
07. Dans le cadre d'une tuberculose maladie, des faux négatifs d'IDR peuvent s'observer chez : Les RJ A. Malades sous corticoïdes au long cours B. Patients vaccinés par le BCG C. Tuberculeux à microscopie directe négative D. Enfant de moins de cinq ans E. Patients sous chimiothérapie anticancéreuse Source : Q21 20-21 Sec A Q08 - 17-18 Sec A Q12 - 17-18 Rattrap
Source : Q38 - 18-19 Sec A Q01 - 17-18 Sec A Q10 - 17-18 Rattrap
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Réponse: ACDE
Réponse: AE
08. La chimio prophylaxie à L’INH seul des contacts de tuberculeux contagieux est indiquée : A. Pour tout enfant âgé de 0-14ans dont IDR Test positive B. Pour tous les enfants de moins de 5 ans quelques soit leur statut vaccinal C. Enfants de moins de 5 ans uniquement, non vaccinés par le BCG D. Enfant de moins de 5 ans, non vacciné par le BCG et dont IDR Test > 10 mm E. Enfant de moins de 5 ans avec IDRT > 15mm qu'il soit ou non vacciné par le BCG Source : Q09 - 17-18 Sec A Q13 - 17-18 Rattrap Q33 -14-15 - 18-01-2015
Réponse: DE
09. Les facteurs de risque d’une tuberculose : Les RJ A. Promiscuité B. Sujets immunodeficients C. Contacts de sujets infectés D. Le sexe feminin E. Insuffisance hepatocellulaire Source : Q10 - 17-18 Sec A
05. Le diagnostic de certitude de la tuberculose pulmonaire repose sur : Les RF A. La positivité de l’IDR B. Positivité de la Bacilloscopie C. Des images cavitaire sur la radiographie thoracique D. Notion de contage tuberculeux positive E. Contexte phtisiogène
Réponse: ABE
Réponse: AB
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4. Tuberculose Extra Pulmonaire :
5. PNLCT :
01. Le diagnostic de certitude d’une tuberculose extra pulmonaire repose sur : A. La mise en culture d’un fragment de biopsie B. L’examen anatomo-pathologique d’un prélèvement biopsique C. L’IDR à la tuberculine positive à plus de 15 mm D. Un liquide de ponction exsudatif E. Une notion d’immunodepression Source : Q24 - 20-21 Sec A Q13 - 19-20 Sec B Q02 - 17-18 Sec B
Réponse: AB
02. Dans la tuberculose extra pulmonaire, quels examens trouvent leurs intérêts pour le diagnostic ? A. Une etude du liquide de ponction d’épanchement B. Une numération de la formule sanguine NFS C. Une expectoration spontanée D. Un test Quantiféron E. Une étude du liquide de lavage broncho-alvéolaire Source : Q25 - 20-21 Sec A
Réponse: AD
03. La tuberculose extra-pulmonaire possède les caractéristiques suivantes sauf une : A. Elle est pauci-bacillaire et n’est pas contagieuse B. Les localisations les plus fréquentes sont ganglionnaires et pleurales C. Elle est la consequence d’une dissémination sanguine ou lymphatique des BK quiescents D. Son diagnostic peut reposer sur des arguments de présomption E. Contrairement à la tuberculose pulmonaire, sa declaration n’est pas obligatoire Source : Q26 - 20-21 Sec A Q07 - 17-18 Sec B
Réponse: E
04. Le Diagnostic de certitude d'une tuberculose pleurale peut reposer sur : A. Une notion d'immunodépression profonde B. La mise en culture d'un fragment de biopsie C. L'examen anapath d'un prélèvement biopsique. D. L'IDR a la tuberculine positive à plus de 15 mm E. Un liquide de ponction exsudatif riche en lymphocyte Source : Q05 - 18-19 Sec B Q02 - 17-18 Sec A Q09 - 17-18 Rattrap
Réponse: BC
05. Cochez La/Les RJ A. La tuberculose extra-pulmonaire comporte des formes graves
B. Elle est caractérisée par une richesse bacillifère C. Elle est transmissible d'homme à homme D. L’histoculture constitue une étape importante de son dg E. L'atteinte ganglionnaire est une de ses fréquentes localisations Source : Q06 - 15-16 - 02-05-2016
Réponse: ADE
06. Les tuberculoses extra pulmonaires : La/Les RJ a. Posent un grand problème épidémiologique b. La contrainte est le plus souvent diagnostique C. Elles représentent une forte proportion au niveau national D. Nécessitent une prise en charge multidisciplinaire E. La positivité de l'IDRt est un critère de diagnostic de certitude Source : Q07 - 15-16 - 02-05-2016
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Réponse: BCD
01. Cochez les réponses justes: A. L’Algérie figure parmi les pays à prévalence intermédiaire de tuberculose B. Le PNLCT a été réédité régulièrement C. L’OMS a pris en charge le dossier Tuberculose depuis1960 D. En Algérie, on dénombre chaque année un taux de 200000 cas de tuberculose de toutes formes E. L’incidence de la tuberculose contagieuse est autour de 56 cas/ 100 000 ha. Source : Q04 - 18-19 Sec B Q02 - 17-18 Rattrap
Réponse: BDE
02. Cochez la réponse juste A. Le taux de mortalité de la tuberculose correspond au taux de décès pour tuberculose par rapport à une population de tuberculeux/an B. L’incidence de la tuberculose correspond au nombre d'anciens et de nouveaux cas/an/pop C. Le risque annuel de l'infection tuberculeuse en Algérie est actuellement de 8% D. Les tuberculoses extra pulmonaires sont largement transmissibles E. La prise en charge de la tuberculose dans notre pays est ambulatoire Source : Q09 - 17-18 Sec B Q01 - 17-18 Rattrap
Réponse: E
03. Parmi ces propositions, laquelle est fausse : A. le programme national de lutte contre la tuberculose est le 1er programme de médecine B. Le taux d'incidence de la tuberculose TFC en Algérie est de 600 cas pour 100 000 ha. C. Durant les années 1960, le taux d'incidence de la tuberculose à BKD+ était de 150 pour 100 000 ha. D. L'Algérie ne fait pas partie des pays à haute prévalence de la tuberculose. E. La prise en charge de la tuberculose : en milieu ambulatoire Source : Q04 - 15-16 - 02-05-2016
Réponse: B
04. Cochez La/Les RJ A. L’incidence de la tuberculose correspond au nombre de nouveaux cas ajouté aux anciens cas pour 100 000 habitants B. Les lésions pulmonaires tuberculeuses sont caractérisées par un polymorphisme radiologique C. La morbidité tuberculeuse est fréquente dans les pays industrialisés D. La mortalité de la tuberculose a disparu depuis l'avènement du traitement antituberculeux E. Les populations mobiles sont considérées non vulnérables à la tuberculose maladie Source : Q02 - 14-15 - 18-01-2015
Réponse: B
05. Le P.N.L.A.T en Algérie : La/Les RJ A. Est à sa 4ème édition B. Est l'un des 1er programmes nationaux de santé publique C. Est resté figé depuis plusieurs années D. A fait ses preuves en diminuant l’incidence des cas contagieux de 1965 jusqu’à nos jours Source : Q25 - QCM KAMEL
Réponse: BD
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6. Traitement de la TBC : 01. La Rifampicine génère la ou les effets secondaires majeurs suivants: A. Surdité B. Névrite optique C. Anurie D. Hépatite avec ictère E. Purpuras, anémie hémolytique
Source : Q08 - 19-20 Sec B Q04 -17-18 Sec B Q13 -16-17 Réponse: CDE
02. Quelles sont les situations dans lesquelles on indique l'hospitalisation d'un patient porteur d'une TBC maladie ? A. Mal de pott avec paraplégie B. Hépatite toxique secondaire au traitement antituberculeux C. Tuberculose pulmonaire à BK résistant D. Lors de l'instauration d'un régime de tere ligne pour une supervision directe chez un patient porteur d'une tuberculose maladie sans Co-morbidité E. Hypersensibilité généralisée provoquée par le traitement antituberculeux Source : Q09 - 19-20 Sec B
Réponse: ABCE
03. La catégorie IV de traitement de la tuberculose pulmonaire comprend : A. Les cas de TP à microscopie positive et culture positive B. Les échecs de la catégorie I C. Les reprises évolutives et les rechutes de la catégorie I D. Les TEP sévères et les TEP simples E. Les cas de tuberculose chronique Source : Q11 - 19-20 Sec B Q10 - 18-19 Sec B Q03 - 17-18 Sec A
Réponse: E
04. Un jeune de 26 ans présente un échec thérapeutique après 5 mois d'un traitement de 2e ligne (catégorie 2) pour une TP à microscopie positive, vous ? La RJ A. Réalisez une IDR (intradermo-réaction) à la tuberculine B. Commencez un traitement de 3e ligne (catégorie IV) C. Prolonger le traitement jusqu'à 8 mois D. Demander un antibiogramme (sur culture de BK) E. Réalisez une fibroscopie bronchique avec étude cytologique du liquide d'aspiration bronchique Source : Q33 - 18-19 Sec A Q07 - 18-19 Sec B
Réponse: D
05. Une fillette de 10 ans vient consulter avec sa maman dans le cadre de dépistage (père tuberculeux sous traitement pour une IDRT fortement positive sans signes cliniques votre conduite : La RJ A. Surveillance. B. Traitement 2RHZ/4RH. C. Chimio-prophylaxie INH 5mg/kg/j D. Vaccination. E. CTC+ 2RHZ/4RH. Source : Q03 - 18-19 Sec B
Réponse: A
06. Pour les échecs et les rechutes d'une tuberculose pulmonaire: Les RF A. Appartiennent à la catégorie III de traitement B. Nécessitent un allongement et un renforcement du traitement spécifique C. Sont toujours des tuberculoses à bacilloscopie positive en culture ou à l'examen direct D. Nécessitent l'utilisation de drogues de 2ème intention E. Peuvent être secondaires à une résistance à un ou plusieurs antituberculeux. Source : Q09 - 18-19 Sec B Q04 - 17-18 Sec A
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Réponse: AD
07. Parmi les médicaments antituberculeux essentiels utilisés en Algérie : on retrouve : La/Les RJ A. L’isoniazide. B. L’éthambutol. C. La rifampicine. D. La kanamycine. E. L’ofloxacine. Source : Q02 - 18-19 Rattrap
Réponse: ABC
08. Lors du traitement antituberculeux, l’apparition d’une hypersensibilité généraliste doit conduire : A. Réduire les doses du traitement. B. Arrêter le traitement jusqu'à disparition des signes d'hypersensibilité généralisée. C. Administrer des antihistaminiques. D. Hospitaliser le patient. E. Identifier le médicament (antituberculeux) en cause (test d'identification). Source : Q11 - 17-18 Sec A Q12 - 14-15
Réponse: BDE
09. L’isoniazide génère la ou les effets secondaires mineurs suivants : Les RJ A. Striction du visage. B. Euphorie, insomnie. C. Acné du visage D. Arthralgies E. Paresthésie des membres inférieurs Source : Q04 - 17-18 Rattrap Q12 - 16-17
Réponse: BCE
10. La phase d’attaque du traitement de première ligne de la tuberculose maladie dure : A. 6 mois B. 2 mois C. 3 mois D. 8 mois E. 21 mois Source : Q11 - 14-15 - 18-01-2015
Réponse: B
11. Dans le traitement antituberculeux, le régime standardisé de première ligne catégorie (I et III) dure : A. 6 mois B. 8 mois C. 18 mois D. 2 mois E. 4 mois Source : Q09 - 13-14 Sec A
Réponse: A
12. La streptomycine est un antituberculeux : A. Très active sur les bacilles intracellulaires qui se multiplient lentement B. Très actif sur les bacilles extracellulaires qui se multiplient rapidement C. Bactériostatique D. Fait partie des antibiotiques de réserve dans le traitement de la tuberculose E. Administré par voie orale le matin à jeun Source : Q10 - 13-14 Sec A
Réponse: B
13. RHZE chez l'adulte contient: A. 30 mg de rifampicine + 60 mg d'Isoniaside + 150 mg de Pyrizinamide + 275 mg d'éthionainide B. 30 mg de rifampicine + 60 mg d'Isoniaside + 150 mg de pyrazinamide + 275 mg d'éthombutol C. 150 mg de rifampicine + 75 mg d'isoniaside + 400 mg de pyrazinamide + 275 mg d'ethambutol D.150 mg de rifampicine + 75 mg d'isoniaside + 400 mg de pyrazinamide + 275 mg d'ethionamide E. 150 mg de rifampicine + 75 mg d'isoniaside + 400 mg de pyrazinamide + 275 mg de streptomycine Source : Q08 - 13-14 Sec C
Réponse: C
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7. Infections Respiratoires Basses : 01. En cas d'infection respiratoire basse: A. Il est obligatoire de réaliser une radiographie thoracique B. Le patient doit toujours être hospitalisé C. La décision de l'hospitaliser dépend des critères de gravité D. La prescription des quinolones doit être systématique E. L’antibiothérapie doit être systématiquement administré par voie injectable Source : Q04 - 19-20 Sec B Q15 - 11-12 Sec A
Réponse: AC
02. Parmi les signes radiologiques ci-dessous quels sont ceux compatible avec le diagnostic de pneumonie à pneumocoque ? A. Une opacité homogène systématisée B. Un bronchogramme aérien au sein de l'opacité C. Un effacement de la coupole diaphragmatique D. Une attraction du médiastin du côté de l'opacité E. Une limite supérieure concave Source : Q05 - 19-20 Sec B Q15 - 13-14 Sec B Q08 - 14-15
Réponse: AB
03. Les pneumonies à pneumocoques : A. Ont un aspect radiologique de pneumonie alvéolaire systématisée B. Relève d’un traitement par l’amoxicilline ou la péni G C. S’accompagne régulièrement d'une hyperleucocytose D. Ont un aspect radiologique de pneumonie bombante E. S’associe souvent à des adénopathie médiastinale Source : Q09 - 18-19 Rattrap Q22 - 13-14 Sec C
Réponse: ABC
04. La bronchite aiguë de l’adulte sain se manifeste par : A. Un VEMS inférieur à 30% B. Une toux avec rhinorrhée et douleurs rétrosternales C. Fièvre peu élevée D. Majoration de la purulence de l’expectoration E. L’intérêt de l’antibiothérapie n’est pas démontré Source : Q37 - 16-17 Sec B Q16 - 11-12 Sec B
Réponse: BCE
05. Le syndrome clinique de condensation parenchymateuse peut se caractériser par en ou plusieurs éléments suivants lequel ou lesquels ? A. Wheezing B. Matité C. Abolition du murmure vésiculaire D. Souffle expiratoire voilé E. Râles secs de fin d'inspiration Source : Q17 - 15-16 Sec B Q01 - 13-14 Sec A
Réponse: BCE
06. Le diagnostic d’une bronchite aiguë est basé sur: A. Une toux précédée d'une rhinorrhée B. Douleur rétro-sternale à type de brûlure C. Une fièvre peu élevée D. Une radiographie thoracique objectivant des opacités réticulaires Hilo-basales bilatéral E. Absence de crépitation Source : Q02 - 13-14 Sec A
Réponse: ABCE
07. Chez un patient de 30 ans présentant un syndrome respiratoire aigu, avec images bulleuses bilatérales, le dg de pneumopathie à staphylo peut être argumenté sur : A. Séjour antérieur dans un habitat avec humidificateur B. Diabète confirmé associé C. Plaie cutanée traînante D. Découverte de l’E.coli dans l'expectoration en grand nombre E. Hémoculture positive à staphylocoque Source : Q02 - 13-14 Sec A Q15 - 11-12 Sec B
6
Réponse: BCE
Cas Clinique : Une femme de 35 ans a été chargée depuis quelques jours du nettoyage des réservoirs d'eau, dans une station balnéaire. Elle présente depuis 48 heures une hyperthermie oscillant entre 39 -40°, des troubles digestifs, des troubles de la conscience avec délires, ainsi qu’une dyspnée à 22 cycles /min des râles ronflants et crépitants, localisés à droite. 08. Quelle est votre conduite ? A. Prescrire l'antibiotique par voie orale B. Hospitaliser la malade C. Faire un téléthorax D. Instituer un traitement bronchodilatateur E. Instituer un traitement antituberculeux d’épreuve Bas du formulaire Source : Q18 - 13-14 Sec C
Réponse: BC
Un téléthorax a été réalisé objectivant une opacité mal systématisée, prenant les 2/3 inférieurs du poumon droit, associée à des opacités mal définies du sommet gauche. Selon ce contexte radio-clinique, 09. Quel examen paraclinique demandez vous ? A. Une recherche de BKD + culture dans les crachats B. Une échographie avec doppler des membres inférieurs C. Un sérodiagnostic à légionelles D. Une sérologie HBS E. Une échographie abdomino-pelvienne Source : Q19 - 13-14 Sec C
Réponse: C
10. Selon ce contexte radio-clinique, quel est le diagnostic le plus probable ? A. Une pneumonie à pneumocoques B. Une tuberculose pulmonaire C. Une légionellose pulmonaire D. Une sarcoïdose pulmonaire E. Une métastase pulmonaire d'un cancer de l’utérus Source : Q20 - 13-14 Sec C
Réponse: C
11. Quel traitement proposez vous ? A. Amoxycilline 3 gr/jour B. Macrolides avec ou sans fluoroquinolones C. RHZE / RH D. Corticothérapie au long cours E. Association fixe (bronchodilatateur + corticoïdes) Source : Q21 - 13-14 Sec C
Réponse: B
12. Le virus responsable de la grippe saisonnière est : A. Le rhéovirus B. Herpes virus C. Influenzavirus D. Mixovirus E. Derrnavirus Source : Q214 - QCM Kamel
Réponse: C
13. Une pneumopathie bactérienne à pneumocoque se
traduit classiquement sur la radiographie pulmonaire par :
A. Une opacité systématisée rétractile B. Une opacité diffuse inhomogène bilatérale C. Une opacité systématisée non rétractile D. Une opacité nodulaire des deux chambres pulmonaires E. Une opacité systématisée excavée Source : Q226 - QCM Kamel
Réponse: C
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8. Suppuration Pulmonaire : 01. Les abcès sur poumons pathologique peuvent être dus à : A. TBC B. Sequestration C. Emphyseme D. DDB E. Tous ces réponses sont justes Source : Q08 - 19-20 Sec A
Réponse: E
02. Concernant la prise en charge de l'abcès pulmonaire, cocher les réponses justes : A. L’identification du germe en cause est indispensable pour entamer l'antibiothérapie B. La fibroscopie bronchique est réalisée particulièrement pour la recherche du germe en cause C. Le nettoyage radiologique est rapide après traitement D. La kinésithérapie est indiqué pour un drainage bronchique E. La recherche de BK est systématique Source : Q38 - 19-20 Sec B
Réponse: DE
03. Concernant l’abcès du poumon : Les RJ A. La durée de l'antibiothérapie ne doit pas dépasser 15 jours au début de la prise en charge B. L’apirexie doit être obtenue à partir de 48 heures du début du traitement C. La radiographie standard contribue peu au diagnostic D. L’antibiothérapie est instaurée après confrontation des données Radio clinique E. Un abcès du poumon peut être révélateur d'un cancer du poumon. Source : Q39 - 19-20 Sec B
Réponse: DE
04. Concernant l’imagerie dans les suppurations pulmonaires : Les RJ A. Une image hydroaérique avec paroi épaisse et en faveur d'un abcès du poumon B. Un syndrome de condensation alvéolaire est un aspect très fréquemment observé C. La tomodensitométrie thoracique est indispensable pour le diagnostic de l'abcès du poumon D. Un abcès du poumon peut occuper la totalité d'un poumon E. Une suppuration peut survenir sur bulle d'emphysème préexistante. Source : Q40 - 19-20 Sec B
Réponse: ABDE
05. Concernant les suppurations pulmonaires : les RJ(s) A. Le poumon droit est le plus souvent touché B. Sont souvent la conséquence d'inhalation de matériel septique sous-glottique C. Elles peuvent être secondaire à une propagation suppurée loco-régionale D. Les hémocultures sont d'un grand apport dans l'identification bactériologique E. La fibroscopie bronchique est indispensable dans le diagnostic étiologique Source : Q32 - 18-19 Sec A Q15 - 18-19 Sec B
7
Réponse: ACE
06. Dans les suppurations pulmonaires, Les RF A. L’évolution est souvent défavorable même sous trt B. Les anaérobies sont les germes les plus fréquents C. La recherche des BK n'est pas nécessaire D. L’ECBC a une forte sensibilité et une faible spécificité E. Dans l'identification de l'agent infectieux, l'endoscopie bronchique fait partie du bilan étiologique des abcès pulmonaire.
Source : Q06 - 18-19 Rattrp Q10 - 17-18 Sec B Réponse: ACD Q17 - 13-14 Sec A Q29 - 13-14 Sec B Q09 - 02-12-2012
07. Devant une suppuration pulmonaire, la responsabilité des germes anaérobies non sporulés peut être suspectée sur : Les RJ A. L’odeur fétide de l'expectoration B. Un mauvais état buccodentaire C. Une fausse-route au cours de la deglutition D. Une polynucléose sanguine à plus de 1500/mm3 E. Des frissons fréquents. Source : Q13 - 17-18 Sec A
Réponse: ABC
08. Concernant l'abcès du poumon : Les RJ A. L'abcès du poumon est une cavité néo formée B. Survient souvent sur lésions séquellaires C. L’évolution est souvent défavorable D. Parmi les germes en causes, figurent les anaérobies E. Il peut persister une cavité résiduelle après nettoyage radiologique Source : Q14 - 17-18 Rattrap
Réponse: ADE
09. Les examens indispensables de l'abcès pulmonaire sont : Les RJ A. Une échographie thoracique B. Une fibroscopie bronchique C. Un examen cytobacteriologique des crachats D. Une tomodensitometrie thoracique E. La recherche des BK dans les crachats Source : Q15 - 17-18 Rattrap
Réponse: BE
10. Dans la prise en charge de l'abcès pulmonaire : Les RF A. La durée de l’antibiothérapie est de 3 semaines B. La fibroscopie fait partie du bilan étiologique C. Il est indispensable de rechercher le germe en cause D. Une kinésithérapie pour drainage bronchique est indiquée E. Une antibiothérapie à large spectre est indiquée Source : Q16 - 16-17 Sec B
Réponse: AC
11. Dans les abcès du poumon : Les RJ A. Il s’agit dune pathologie pulmonaire très fréquente B. L’inhalation du matériel septique provient de la flore oropharyngée C. La contamination hématogène est très fréquente D. L’inhalation du matériel septique provient de la flore sous glottique E. L’altération du niveau de conscience est un facteur favorisant Source : Q17 - 16-17 Sec B
Réponse: BE
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12. Dans l'abcès pulmonaire : les RJ(s) A. La dissémination microbienne par voie hématogène est le mécanisme physiopathologique le plus fréquent B. La persistance d'une cavité résiduelle peut se voir dans les abcès les mieux traités C. L’image radiologique est celle d'une image hydroaérique à paroi fine D. Les germes anaérobies sans les plus fréquemment responsable E. L’apyrexie doit être obtenue dès 72 heures après un traitement bien conduit. Source : Q05 - 18-01-2015 Q27 - 13-14 Sec B
Réponse: BD
13. Concernant les suppurations pulmonaires : La RF A. La suppuration pulmonaire peut-être secondaire à une dilatation de bronche B. L’empyème thoracique peut s'associer à un abcès pulm C. L’infection est polymicrobienne D. Le scanner thoracique pose le diagnostic de l'abcès pulmonaire E. Le Klebsiella pneumoniae est le germe le plus fréquent dans les pneumopathies nécrosantes. Source : Q06 - 18-01-2015 Q18 - 13-14 Sec A Q28 - 13-14 Sec B
Réponse: D
14. Concernant l’abcès pulmonaire : La RJ A. Un cancer bronchique peut se révéler par un abcès pulmonaire B. Le BK est le principal germe en cause C. Survient sur une lésion pulmonaire préexistante D. Le poumon gauche est le siège de prédilection des abcès pulmonaires E. Est une surinfection d’une bulle d’emphysème Source : Q30 - 13-14 Sec B
Réponse: A
15. Dans les suppurations pulmonaires : Les RJ A. L'aspect radiologique le plus fréquent est celui d'une opacité ronde pleine B. Les anaérobies sont souvent les germes en cause C. Une suppuration pulmonaire peut se produire dans le cadre d'une septicémie D. L'examen cytobactériologique des crachats est un examen indispensable dans l'identification du germe en cause E. L'inhalation d'un corps étranger pourrait être à l'origine de l'abcès pulmonaire Source : Q13 - 11-12 Sec B Q95 - QCM KAMEL
Réponse: BCE
16. Concernant l’abcès pulmonaire : La/Les RJ A. Un cancer bronchique peut se révéler par un abcès pulmonaire B. Le BK est le principal germe en cause C. Survient sur une lésion pulmonaire préexistante D. Le poumon gauche est le siège de prédilection des abcès pulmonaires E. La recherche du bk est systématique. Source : Q14 - 11-12 Sec B Q96 - QCM KAMEL
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Réponse: AE
17. Les Indications du traitement chirurgical de l'abcès pulmonaire sont : Les RF A. La persistance de cavité résiduelle B. Le cancer C. L’abcès chronique D. La greffe aspergillaire E. La greffe tuberculeuse Source : Q97 - QCM KAMEL
Réponse: DE
18. La phase d'état de la suppuration pulmonaire (vomique franche) est caractérisé par : La/Les RJ A. Une expectoration purulente B. Une vomique franche C. La fièvre augmente D. L'état général s'altère E. La radiologie ; image hydro-aérique Source : Q98 - QCM KAMEL
Réponse: AB
19. L’abcès à bacille friedlander réalise : A. Des abcès multiples B. Une « pneumonie disséquante », avec cavités extensives et hémoptysies C. Un abcès banal D. Un abcès associé à une atélectasie E. Une pneumopathie bulleuse extensive Source : Q01 - Pr.LELLOU
Réponse: B
20. Un malade fumeur âgé de 45 ans est traité depuis 01 mois pour abcès du poumon par l’association d’oxacilline et de gentamicine, le malade cliniquement amélioré n’est plus fébrile et a une toux sèche. La radiographie du thorax montre une image hydroaérique inchangée, vous décidez : A. De faire une endoscopie bronchique B. D’évoquer une tuberculose et de prescrire un traitement antituberculeux C. De poursuivre le même traitement jusqu’à l’amélioration radiologique D. De changer d’antibiotique E. De considérer le malade guéri et d’arrêter le traitement Source : Q02 - Pr.LELLOU
Réponse: A
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9. Dilatation Des Bronches : 01. Une femme de 45 ans, ayant eu la coqueluche dans l'enfance, vient consulter pour une expectoration matinale régulière, abondante, parfois purulente, parfois hémoptoïque. On lui trouve un hippocratisme digital à l'examenclinique. Quel diagnostic allez-vous suspecter? A. Asthme surinfecté B. Bronchite chronique C. Emphysème D. Bronchites aiguès à répétition E. Bronchectasies Source : Q10 - 19-20 Sec A Q18 - 18-19 Sec A Q18 - 18-19 Sec B
Réponse: E
Source : Q12 - 15-16 - 02-05-16
02. Les maladies suivantes, peuvent être à l'origine d'une dilatation des bronches : A. Syndrome des cils immobiles B. Maladie de hile (séquelle de primo-infection) C. Mucoviscidose D. Infection par le VIH E. Coqueluche Source : Q18 - 17-18 Sec A Q12 - 13-14 Sec B
06. Un enfant de 12 ans se présente à la consultation se plaignant d'un syndrome de suppuration bronchique à prédominance matinale et une dyspnée. La radiographie thoracique retrouve en plus des opacités en « rails » diffuses au niveau des deux poumons, une dextrocardie, quel diagnostic vous évoquez ? A. Une mucoviscidose B. Une pneumonie bactérienne C. Une dilatation des bronches D. Un kyste hydatique E. Une coqueluche
Réponse: ABCE
Réponse: C
07. Les complications possibles des dilatations des bronches comportent : A. Abcès du poumon B. Hémoptysies C. Pleurésie purulente D. Mucoviscidose E. Cœur pulmonaire chronique Source : Q40 - 14-15 - 08-01-15
Réponse: ABCE
03. Une dilatation des bronches localisée peut : RJs A. Se révéler par une hémoptysie B. Se compliquer de pneumonie aiguë récidivante C. Faire discuter une exérèse chirurgicale D. Être la conséquence d'une primo-infection tuberculeuse E. S’accompagner d'une image thoracique normale sur le cliché thoracique standard
08. parmi les maladies suivantes lesquelles peuvent être a l’origine d’une DDB : A. Syndrome des cils immobiles B. Maladie du hile (séquelles de primo-infection) C. Mucoviscidose D. Bronchite chronique E. Coqueluche
04. Parmi les examens suivants, quel est (ou quels sont) celui (ou ceux) qui permet(tent) d'affirmer le diagnostic de dilatation des bronches ? A. Gaz du sang artériel B. Exploration fonctionnelle respiratoire C. Radiographie thoracique standard de face et de profil D. Bronchographie lipiodolée E. Tomodensitométrie thoracique en haute résolution
09. La DDB se manifeste par un maître symptôme qui est : A. La toux incohercible B. La dyspnée de repos C. La cyanose des muqueuses D. Une douleur thoracique lancinante E. La bronchorrhée
Source : Q25 - 17-18 Sec B Q18 - 12-13 Sec B
Source : Q21 - 17-18 Rattrap Q11 - 13-14 Sec B
Réponse: ABCDE
Réponse: E
05. Cochez la ou les réponses justes : A. Les bronchectasies sont des affections purement primitives B. Leur diagnostic de certitude repose sur la radiographie thoracique C. La bronchographie liplodolée demeure un examen d'actualité pour son diagnostic D. Les formes généralisées nécessitent un traitement médical bien conduit E. Les séquelles de tuberculose peuvent être à l'origine d'une DDB Source : Q11 - 15-16 - 02-05-16
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Réponse: CE
Source : Q13 - 11-12 Sec A Q13 - 11-12 Sec C
Source : Q01 - QCM Pr.LELLOU
Réponse: ABCE
Réponse: E
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10. Kyste Hydatique : 01. Parmi ces 5 propositions sur l'échinococcose alvéolaire humaine, lesquelles sont exactes ?
A. C'est une infestation due à la larve d'Echinococcus multilocularis, taenia des canidés. B. C'est une maladie dont les premières manifestations viscérales se manifestent 6 semaines après l'infestation. C. L'homme se contamine par voie orale. D. L'homme se contamine par auto-infestation endogène ce qui explique la chronicité de l'affection. E. La localisation préférentielle de l'Echinococcus multilocularis est hépatique. Source : Q11 - 17-18 Sec B
A. Une hyper éosinophilie. B. La présence d'anneaux mobiles d'Echinococcus granulosus sur les selles ou dans les sous-vêtements du patient. C. Un test anal à la cellophane adhésive afin de rechercher des cufs d'Echinococcus chez le patient. D. Un examen immunologique à la recherche d'anticorps sériques anti-E. granulosus. E. Une lymphopénie.
Source : Q37 - 17-18 Rattrap Q12 - 11-12 Sec B Q99 - QCM KAMEL
Réponse: D
04. Dans le cycle de transmission du taenia échinocoque, l'homme peut être infecté par les voies suivantes sauf : (2 RF)
A- Les mouches transportant des œufs de taenia sur les aliments B- La consommation de salade ou de crudités C- En consommant de la viande de mouton ou de bœuf cru D- En caressant un chien parasité E- En consommant du foie parasité et mal cuit
Source : Q33 - 20-21 Sec B Réponse: CE Q18 - 15-16 - 02-05-2016 Q103 - QCM KAMEL
05. Devant une image ronde de la base pulmonaire chez un Nord-africain, on soupçonne un kyste hydatique. Quelle méthode proposeriez-vous pour étayer le diagnostic ? A. Echographie hépatique B. Cytoponction du kyste C. Immunoélectrophorèse D. Numération-formule sanguine E. Artériographie bronchique Source : Q19 - 15-16 - 02-05-2016
10
Source : Q28 - 14-15 - 18-01-2015
Réponse: C
Une jeune fille de 20 ans, nomade, est admise pour dyspnée sibilante avec au téléthorax une image en boulet de canon. L’interrogatoire retrouve une notion de contage animal, et à l'examen des râles sibilants.
07. Quelle(s) sont les moyens diagnostiques ?
A. Test thérapeutique avec 2 bouffées de salbutamol B. Sérologie hydatique C. Fibroscopie bronchique D. Scanner thoracique E. Ponction biopsie transpariétale Source : Q100 - QCM KAMEL
Réponse: B
Réponse: D
03. Parmi les complications du kyste hydatique l’une peut-être particulièrement dramatique laquelle ? A. La surinfection B. La greffe mycosique C. Les hémoptysies a répétées D. La rupture du kyste dans la plèvre E. La greffe tuberculeuse
A. Ils sont libérée par l'anneau terminale du ténia Echinococcus granulosus B. Ils peuvent être disséminés par l'eau et le vent C. Leur coque résiste à l'acidité D. Il demeure infectant 15 jours à 6 mois après leur élimination E. Ils peuvent être ingérés accidentellement par l'homme
Réponse: ACE
02. Le diagnostic biologique présomptif d'une infection chronique à Echinococcus granulosus est réalisé sur : La RJ
Source : Q12 - 17-18 Sec B
06. Parmi les affirmations suivantes concernant les embrillophores, une seule est fausse, laquelle ?
Réponse: C
08. Parmi les images suivantes, quelles sont celles qui évoquent un kyste hydatique ? A. Opacité ronde intra parenchymateuse B. Opacité ronde + croissant gazeux C. Un aspect de hile explosif D. Image en grelot E. Certaines pneumopathies virales Source : Q102 - QCM KAMEL
Réponse: ABD
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11. Pleurésie à Liquide Clair : 01. Le mécanisme de la pleurésie peut être du à : A. Une diminution de la pression hydrostatique B. Diminution de la pression oncotique C. Augmentation de la pression pleurale D. Augmentation de la perméabilité capillaire E. Pachypleurite Source : Q11 - 19-20 Sec A
Réponse: BDE
02. Lors de l'étude biochimique du liquide pleural les critères de Light sont: A. Rapport protéine plèvre / sérum > 0,5 B. Glycopleurie basse < 0.6 g/l C. Rapport LDH plèvre / LDH sérique > 0.6 D. Taux dans la plèvre supérieur aux 2/3 du taux normal des LDH sérique E. Acide hyaluronique augmenté Source : Q06 - 19-20 Sec B Q18 - 17-18 Sec B
Réponse: ACD
03. Une cytologie à prédominance neutrophiles du liquide pleural est un élément d’orientation étiologique en faveur de: A. Tuberculose B. Pleurésie parapneumonique C. Pleurésie rhumatoïde D. Pleurésie lupique E. Lymphome Source : Q07 - 19-20 Sec B Q17 - 17-18 Sec B Q19 - 17-18 - Rattrap Q
Réponse: BD
04. Dans la démarche du diagnostic étiologique des pleurésie à liquide clair la biopsie pleurale permet: A. D’évacuer le liquide pleural B. Un diagnostic de certitude de la pleurésie C. Un diagnostic de présomption (hautement probable) de la pleurésie D. De voir l'aspect macroscopique de la pleurésie E. De distinguer les pleurésie exsudative des pleurésie transudative Source : Q27 - 18-19 Sec A
Réponse: B
05. Concernant les mécanismes physiopathologiques des épanchements pleuraux liquidiens : Les RF A. Diminution de la pression hydrostatique dans les capillaires pleuraux B. Diminution de la pression oncotique C. Augmentation de la perméabilité capillaire D. Augmentation de la pression pleurale E. Altération du drainage lymphatique Source : Q28 - 18-19 Sec A Q18 - 17-18 Rattrap
Réponse: AD
06. Patiente âgée de 45 ans aux antécédents d'une néoplasie mammaire présente une pleurésie métastatique gauche récidivante (fréquence des ponction pleurale 3 à 4 fois par mois) votre conduite à tenir : A. Faire une biopsie pleurale B. Mettre en place un drain thoracique C. Talcage pleural sous-pleuroscopie médicale ou chirurgicale (pleurodèse) D. Réaliser un scanner thoracique TDM E. Ponction pleurale avec étude cytologique du liquide pleural Source : Q08 - 18-19 Sec B
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Réponse: C
07. Dans le diagnostic des pleurésies à liquide clair et cytologie riche en éosinophiles (10%) du liquide pleural oriente vers le diagnostic d'une: (QCM) A. Parasitose B. Pleurésie lupique C. Pleurésie bactérienne ou para-pneumonique D. Hémothorax E. Embolie Source : Q16 - 18-19 Sec B Q15 - 17-18 Sec A
Réponse: ADE
08. Une cytologie à prédominance lymphocytaire (> 75%) lors d’une exploration d’une liquide pleural de nature exsudative est en faveur de : A. Pleurésie bactérienne ou para pneumonique B. Tuberculose C. Lymphome D. Pleurésie rhumatoïde E. Pleurésie lupique Source : Q15 - 16-17 Sec B
Réponse: BCD
Cas clinique : M. âgé de 31 ans tabagique 10 PA sans antécédents particuliers, consulte aux urgences pour une douleur basithoracique droite dans un contexte d'asthénie, d'anorexie et de sueurs nocturnes évoluant depuis quelques semaines. Depuis quelque jours s'est installée une dyspnée plus importante la nuit.L'examen physique retrouve la triade de trousseau à droite. 09. Quelles sont les signes importants à rechercher par l'interrogatoire: A. Antécédents familiaux d'asthme bronchique. B. Une Notion d'allergie respiratoire ou alimentaire. C. Rechercher la notion d'amaigrissement et le chiffrer si possible. D. Conditions socio-économiques du patier d'habitat. E. Une notion de contage tuberculeux.
Réponse: CDE
10. Quel(s) examen(s), préconisez-vous pour étayer le diagnostic: A. Une spirometrie avec courbe débit-volume. B. Un prick-test. C. Un test de marche de six minutes. D. Une radiographie pulmonaire. E. Débit espiratoire de pointe(DEP).
Réponse: D
L'étude biochimique du liquide jaune citrin retiré lors de la ponction pleurale de M.S, retrouve un taux de protide à 47 g/l. L’étude cytologique retrouve une prédominance lymphocytaire, le résultat de l'intradermoréaction à la tuberculine (IDRT) est de 20mm.
11. Selon vous, quel est le diagnostic le plus probable ? A. Pleurésie para-pneumonique. B. Pleurésie séro-fibirineuse tuberculeuse. C. Pleurésie d'origine virale. D. Pleurésie métastatique. E. Tumeur primitive de la plèvre ou mésotheliome.
Réponse: B
12. Quel examen permet le diagnostic de certitude ? A. une tomodensitométrie(TDM) thoracique. B. 3 BK direct avec culture. C. Biopsie pleurale à l'aveugle ou guidée (sous pleuroscopie) D. Gazométrie artérielle. E. Fibroscopie bronchique. Source : Q13,14,15,16 - EMD15-16
Réponse: C
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12. Pleurésie Purulente : 01. Pleurésie à liquide purulent : A. 3 étapes : diffusion et collection e enkystement B. La plèvre dans la collection est rigide et le liquide est purulent C. Dans la collection le cloisonnement est lent et irreversible D. L’enkystement est irreversible E. La décortication chirurgicale est indiqué dans la phase de diffusion Source : Q12 - 19-20 Sec A
Réponse: ABD
02. Lors d'une pleurésie purulente, on retrouve à l'examen clinique: A. Des râles crépitants inspiratoire B. Une augmentation du murmure vésiculaire à l'auscultation C. Une diminution ou abolition des vibrations vocales à la palpation D. Un souffle amphorique E. Un tympanisme à la percussion Source : Q21 - 19-20 Sec B
Réponse: C
03. Devant une pleurésie purulente, la responsabilité d’un germe anaérobie peut être suspecté devant tous ces éléments, sauf un, lequel ? A. Une anémie hemolytique B. Une notion d'éthylisme C. Un mauvais état buccodentaire D. La fétidité du liquide pleural et de l'expectoration E. Un niveau hydroaérique sur la radiographie thoracique Source : Q22 - 19-20 Sec B
Réponse: A
04. Au cours de la pleurésie purulentes, la ponction pleurale: la RF A. Permet de confirmer la nature purulente de l'épanchememt pleural B. pH > 7,20 C. Le liquide est riche en protéine (exsudatif) D. L’étude cytologique retrouve des polynucléaire altérées E. Doit être réalisé avant toute antibiotgérapie Source : Q23 - 19-20 Sec B
Réponse: B
05. Au stade de collection des pleurésie purulentes : La RF A. Le liquide est franchement purulent et plus épais B. Le liquide se collecte dans les zones les plus déclives C. Le cloisonnement est rapide D. Les lésions sont toujours irréversibles E. La plèvre est épaissie et rigide Source : Q24 - 19-20 Sec B Q16 - 17-18 Sec A
Réponse: D
06. Le traitement chirurgical au cours d'une pleurésie purulente : Les RF A. Est indiqué dans tous les stades évolutifs B. Doit se faire avant la kinésithérapie C. Réalisé avant toute anitbiothérapie D. Consiste à une décortication pleurale en cas d’enkystement E. Basé sur le drainage thoracique
Source : Q25 - 19-20 Sec B Réponse: ABCE Q17 - 18-19 Sec B Q17 - 17-18 Sec A Q40 - 16-17 Sec B
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07. Le traitement d'une pleurésie purulente au début fait appel à : A. Un drainage pleural B. Des ponctions lavage de la plèvre C. Une décortication chirurgicale D. Une antibiothérapie par voie locale E. Une antibiothèrapie par voie générale Source : Q26 - 19-20 Sec B Q20 - 17-18 Rattrap
Réponse: ABE
Cas Clinique : Un patient âgé de 72 ans aux antécédents de cardiopathie ischémique depuis 15 ans, se présente pour une dyspnée progressive, pas de douleur, l'échographie cardiaque retrouve une fraction d'éjection à 38 %, le bilan ne révèle pas de syndrome infectieux ni inflammatoire, l'examen pleuropulmonaire retrouve un épanchement pleural liquidien bilatéral de moyenne abondance. Une ponction pleurale est réalisée, l'aspect macroscopique du liquide est très clair. 08. Quels sont les examens que vous demandez : A. Etude biochimique du liquide pleural B. Etude cytologique du liquide pleural C. Biopsie pleurale D. Tomodensitométrie thoracique E. Etude bactériologique du liquide pleural Source : Q29 - 18-19 Sec A
Réponse: ABE
09. Les résultats reviennent en faveur d’un transsudat, dans votre démarche de diagnostic étiologique vous complétez le bilan par : A. Une pleurscopie avec étude anatomopathologique des biopsies pleurales B. Un bilan rénal C. Un bilan hépatique D. Recherche de BK dans les crachats E. IDR tuberculine Source : Q30 - 18-19 Sec A
Réponse: BC
10. En absence de toute anomalies dans les bilans demandées vous retenez le diagnostic suivant : A. Pleurésie tuberculose B. Insuffisance rénale C. Poussée d'insuffisance cardiaque D. Insuffisance hépatique E. Pleurésie parapneumonique Source : Q31 - 18-19 Sec A
Réponse: C
11. Devant un épanchement pleural exsudatif chez un homme de 50 ans, dont la cause n’est pas été retrouvée malgré 2 biopsies pleurales à L'aveugle et qui persiste à se renouveler au cours des 2 mois suivants, on doit en règle proposer : La RJ A. Un traitement par les corticoïdes B. Un traitement antituberculeux d'épreuve C. Une thoracotomie D. La mise en place d'un drain pleural continu E. Une pleuroscopie ou thoracoscopie Source : Q33 - 17-18 Sec B
Réponse: E
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2020/2021
13. Pneumothorax : 01. Pnemothorax spontané : A. Tympanisme B. Diminution des murmures C. Abolition des vibrations D. La cause la plus fréquente est la bleb d’emphysème E. Tous les réponses sont justes Source : Q13 - 19-20 Sec A
Réponse: E
02. Un pneumothorax est mal supporté si : A. Il survient chez un adulte jeune B. Il est à soupape C. Il est bilatérale D. Il existe une insuffisance respiratoire au préalable E. Il s’agit d’une récidive Source : Q12 - 18-19 Sec A Q34 - 17-18 Sec A Q38 - 17-18 Rattrap
Réponse: BCD
03. La cause la plus fréquente de pneumothorax spontané est : A. Le cancer primitif de la plèvre B. La rupture de bulle d'emphysème sous-pleurale ou de blebs C. La tuberculose pulmonaire D. Les malformations bronchiques E. Aucune de ces anomalies Source : Q13 - 18-19 Sec A
Réponse: B
04. Le traitement d’un pneumothorax bien toléré chez un sujet de 22 ans avec au téléthorax un décollement de 1,5 cm sur la ligne axillaire, consiste : La RJ A. Mise en place d'un drain thoracique de gros calibre. B. Mise en place d'un drain thoracique de petit calibre. C. Exsufflation à l'aiguille. D. Repos et surveillance. E. Symphyse pleurale par thoracoscopie Source : Q26 - 17-18 Sec B
Réponse: D
05. La cause la plus fréquente de pneumothorax spontané est : A. Le cancer primitif de la plèvre B. La rupture d'une bulle sous pleurale en absence d’antécédents respiratoires C. La tuberculose pulmonaire D. L’abcès du poumon E. La crise d'asthme Source : Q39 - 18-01-2015
Réponse: B
06. Un décollement de pneumothorax sur toute son étendue à 0.5 cm de la paroi thoracique nécessite : A. Un drainage pleural en urgence B. Une exsufflation à l'aiguille C. Un repos strict au lit D. Un traitement chirurgical E. Un talcage pleural Source : Q108 - QCM KAMEL
Réponse: C
06. Concernant le pneumothorax, quelle est l'affirmation exacte ? a. Survenue d'un pneumothorax à 18 ans, présage de la survenue d'une BPCO précoce b. Un décollement pleural partiel peut se résorber spontanément c. La présence d'un épanchement sanglant abondant est habituelle dans le pneumothorax bénin idiopathique d. Une symphyse pleurale médicamenteuse ou chirurgicale est indispensable e. La pneumocystose est la cause fréquente des pneumothorax secondaires. Source : Q109 - QCM KAMEL
07. Devant un PNO total de grande abondance apparemment primitif sans signes de gravité, quel est le geste à faire ? a. Une exsuffiation à l'aiguille b. Un drainage pleural c. Un drainage chirurgical d. Une pleurodèse chirurgicale e. Une pleurodèse par thoracoscopie Source : Q111 - QCM KAMEL
Réponse: B
08. Quels sont les signes de gravité d’un pneumothorax sur une radiologie thoracique : A. Epanchement pleural associé B. Bilatéralité du pneumothorax C. Déviation mediastinale du côté opposé D. Fracture de côte E. Aorte déroulée Source : Q113 - QCM KAMEL
Réponse: ABCD
09. Pour la survenue de 1ère fois chez un adulte jeune d'un pneumothorax spontanée avec moignon pulmonaire rétracte au médiastin indiquez la conduite a proposé : A. Ponction pleurale B. Drainage pleural C. Pleuroscopie avec talacage D. Une thoracotomie pour la création d'une symphyse pleurale E. Abstention et surveillance Source : Q114 - QCM KAMEL
Réponse: B
10. Après exsufflation à l’aiguille d’un pneumothorax spontané total, le poumon rétracté sur son hile est revenu à la paroi, le lendemain il est décollé sur toute son étendue à 2 cm de la paroi thoracique Que faut-il faire ? A. Réexsufflation à l’aiguille B. Pleurotomie à minima C. Repos au lit et expectative D. Traitement chirurgical E. Bronchoscopie pour juger de l’état de la brèchebronchopulmonaire Source : Q01 - QCM Pr.LELLOU
11. Au cours d’un pneumothorax à soupape : A. Il faut placer d’emblée un drain aspiratif B. Exsufflation à l’aiguille C. Repos strict au lit D. Ne rien faire E. Traitement chirurgical Source : Q02 - QCM Pr.LELLOU
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Réponse: B
Réponse: B
Réponse: A
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14. Cancer Bronchique Primitif : 01. Dans le cancer bronchique, les symptômes sont liés à: A. La tumeur B. Son extension loco-régionale C. Sa dissémination métastatique D. Un syndrome para-néoplasique E. L’intoxication tabagique cumulée Source : Q14 - 19-20 Sec A Q26 - 16-17 Sec B
Réponse: ABCD
02. Dans le syndrome paraneoplasiques : A. Poncoast tobias comporte une radiculalgie D8-L1 B. Poncoast tobias comporte un Claud bernard horner et une lyse osseuse C. Syndrome de Pierre Marie Bamberger associe un hippocratisme digital, apposition périostée au niveau des os longs et une polysynovite avec douleurs articulaires. D. Schwartz-Bartter essentiellement dans les cancers a grandes cellules avec plus d ADH et une hyponatrémie Source : Q14 - 19-20 Sec A
03. Carcinomes épidermoïdes : A. Le moins fréquent et le plus chirurgical B. Kc du fumeur C. Touche surtout les femmes D. Le dédoublement est lent. E. Souvent proximal. Source : Q14 - 19-20 Sec A
Réponse: BC
Réponse: BDE
07. Le Carcinome épidermoïde : Les RF A. Est le cancer le plus fréquent. B. Le cancer du non fumeur C. Touche surtout les femmes. D. Son dédoublement est rapide E. Le plus chirurgical. Source : Q28 - 16-17 Sec B
08. Un homme de 68 ans, peintre de profession fumeur à raison de 25 PA, est admis pour une toux chronique, crachats hémoptiques, le tout évoluant depuis qq semaines, opacité de densité tissulaire intra -parenchymateuse gauche a la RX de face. Quel est l'examen que vous demanderiez en priorité ? (la ou les RJ) A. Une fibroscopie bronchique B. Une scintigraphie pulmonaire C. Une artériographie pulmonaire D. Echographie thoracique E. Sérologie hydatique Source : Q27 - 15-16 Sec B Q140.1 - QCM KAMEL
Source : Q32 - 18-19 Sec B
Réponse: D
Réponse: A
09. Les résultats nous sont parvenus, objectivant un cancer bronchique non à petites cellules, quelle sont les examens qui font partie du bilan d'extension : A. Scanner thoracique B. Transit oeso-gastro-duodénal C. Un écho abdominal D. Scanner cérébral systémique E. Fibroscopie digestive pour vérifier l'intégrité œsophagienne Source : Q28 - 15-16 Sec B Q140.2 - QCM KAMEL
04. Quelle est l’origine la plus fréquente d’une image ronde unique intrapulmonaire de plus de 4 cm de diamètre constatée chez un homme fumeur de 50 ans ? A. Tuberculome B. Masse silicotique C. Kyste hydatique D. Cancer broncho-pulmonaire E. Hamartome
Réponse: BCD
Réponse: ACD
10. Le bilan pratique montre un cancer bronchique non à petites cellules localisé sans extension à distance, VEMS : 1L600, CV : 3L, le bilan biologique est normal, vous décidez alors : La RJ A. Chimiothérapie + radiothérapie B. Chimiothérapie seule C. Exérèse chirurgicale D. Corticoïdes + antibiothérapie E. Immunothérapie Source : Q29 - 15-16 Sec B Q140.3 - QCM KAMEL
Réponse: C
05. Un patient de 50 ans a un carcinome à petites cellules de la bronche lobaire supérieure droite. La radiographie montre plusieurs adénopathies médiastinales les EFR, la scintigraphie osseuse et l'échographie hépatique sont normales - Quelle thérapeutique adopter ? A. Chimiothérapie puis radiothérapie B. Exérèse puis chimiothérapie C. Exérèse puis radiothérapie D. Chimiothérapie puis exérèse E. Chimiothérapie seule
11. Chez un malade atteint de cancer bronchopulmonaire, le scanner thoracique permet : A. D’affirmer la malignité sur l'aspect de l'opacité tumorale B. D’apprécier l'existence d'adénopathie médiastinale C. De réaliser une ponction guidée de la tumeur D. De préciser les rapports d'une tumeur périphérique avec la paroi thoracique E. De voir un épanchement pleural associé à la tumeur
06. Le syndrome de Pierre Marie Bamberger comporte : Les RF A. Un hippocratisme digital B. Une apposition périostée au niveau des os longs C. Un érythème noueux D. Une arthrite E. Une polysynovite
12. Dans le syndrome paranéoplasique de Pierre-MarieBamberger on retrouve : La RF A. Hippocratisme digital B. Apposition périostée au niveau des os longs C. Polysynovite D. Douleurs articulaires E. Hyponatrémie
Source : Q12 - 18-19 Rattrap
Source : Q27 - 16-17 Sec B
14
Réponse: A
Réponse: CD
Source : Q13 - 14-15 - 18-01-2015
Source : Q31 - 14-15 - 18-01-2015
Réponse: BCDE
Réponse: E
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13. Les syndromes para-néoplasiques susceptibles d’être observés au cours des cancers bronchiques sont : A. Le syndrome de SCHWARTZ - BARITER B. L’hippocratisme digital C. Le syndrome de Cushing D. L’ostéo-arthropathie hypertrophiant de Pierre Marie E. La lyse costale
19. Un cancer bronchique à petites cellules se caractérise par la fréquence particulière : A. De l'envahissement médullaire B. D’un syndrome paranéoplasique endocrinien C. D’une réponse à la chimiothérapie
14. En présence d'un carcinome bronchique épidermoïde de 2 cm de diamètre de siège lobaire supérieur droit, sans adénopathie ni métastase, le traitement à visée curative consistera en : A Immunothérapie B. Chimiothérapie C. Hormonothérapie D. Radiothérapie E. Chirurgie
20. Les syndromes para-néoplasiques susceptibles d’être observés au cours des cancers bronchiques sont : A. Le syndrome de Schwartz-Baratter B. L’hippocratisme digital C. Le syndrome de Cushing D. L’ostéo-arthropathie hypertrophique de Pierre Marie. E. L’hypercalcémie
Source : Q36 - 14-15 - 18-01-2015
Source : Q37 - 14-15 - 18-01-2015
Réponse: ABCD
Réponse: E
15. Les syndromes paranéoplasiques susceptibles d'être observés au cours des cancers bronchiques sont : A. Le syndrome de SCHWARTZ - BARITER B. L’hippocratisme digital C. L’œsophagite peptique sténosante D. L’ostéo-arthropathie hypertrophiant de Pierre Marie E. L’hypercalcémie Source : Q135 - QCM KAMEL
Réponse: ABDE
16. Parmi les affirmations suivantes concernant le cancer bronchique non à petites cellules : La/Les RF A. Chimio sensible et radio sensible B. Le déficit enzymatique en est le facteur le plus important C. Le traitement chirurgical est le traitement de choix D. Peut s’accompagner de syndromes para-néoplasiques E. Peut entraîner des métastases surrénaliennes Source : Q136 - QCM KAMEL
Réponse: AB
17. Parmi les affirmations suivantes concernant le cancer bronchique non à petites cellules : Les RJ A. Chimio sensible et radio sensible B. Le tabagisme en est le facteur le plus important C. Le traitement chirurgical est possible D. Peut s'accompagner de syndrome para-néoplasique E. Peut entraîner des métastases cérébrales Source : Q137 - QCM KAMEL
Réponse: BCDE
18. L’examen le plus adapté pour affirmer une métastase cérébrale au cours d'un cancer bronchique est : A. La ponction lombaire B. Le fond d'œil C. Examen scanographique D. EEG E. Artériographie cérébrale Source : Q138 - QCM KAMEL
Réponse: C
D. De l'extension locale limitée permettant le recours chirurgical E. De la présence d'une opacité parenchymateuse périphérique Source : Q139 - QCM KAMEL
Source : Q142 - QCM KAMEL
Réponse: ABCDE
21. Le syndrome cave supérieur peut s’exprimer par : A. L'œdème en pèlerine B. Circulation veineuse collatérale C. Turgescence des Jugulaires D. Chylothorax E. Enophtalmie Source : Q143 - QCM KAMEL
Réponse: ABC
Cas clinique : Un homme de 68 ans, peintre de profession fumeur à raison de 25 PA, est admis pour une toux chronique, crachats hémoptiques, opacité de densité tissulaire périphérique gauche a la RX de face. 22. Quel est l’examen que vous demanderiez en priorité ? (la ou les RJ) A. Une scintigraphie pulmonaire B. NFS complète C. Echographie thoracique D. Sérologie hydatique E. Une fibroscopie bronchique Source : Q144.1 - QCM KAMEL
Réponse: BE
23. Les résultats nous sont parvenus, objectivent un cancer bronchique à petites cellules, quels sont les examens qui font partie du bilan d'extension : A. Une échographie abdominale B. Téléthorax de face C. TDM thoracique D. TDM cérébral systématique E. Fibroscopie digestive Source : Q144.2 - QCM KAMEL
Réponse: ACD
24. Le bilan pratiqué montre un cancer à petites cellules sans extension à distance : VEMS =1600 litres, CV=31itres, le bilan biologique est normal, vous décidez alors : A. Chimiothérapie +radiothérapie B. Chimiothérapie seule C. Exérèse chirurgical D. Corticoïdes + Antibiothérapie E. Abstention thérapeutique Source : Q144.3 - QCM KAMEL
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Réponse: ABC
Réponse: A
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15. Asthme : Cas Clinique : Jeune femme âgée de 30 ans présentant des épisodes de toux nocturne quinteuse avec sifflement évoluant depuis une longue date avec notion de rhinite, d'asthme familiale et de tabagisme passif. L’auscultation pulmonaire est normale. 01. Quel diagnostic vous semble le plus probable ? A. Bronchite chronique B. BPCO C. Asthme D. Tuberculose E. DDB congénital Source : Q15 - 19-20 Sec B Q01 - 16-17 Sec B
Réponse: C
Vous décidez d'explorer cette patiente, la NFS montre une hyperéosinophilie le DEP du matin et à 85 % et la nuit et à 70 %, les test cutané allergologique (TCA) sont positifs 02. Quel est votre conduite pratique ? La/Les RF A. Vous faites un test de réversibilité au bêta 2 mimétique B. Le DEP est normal ce n’est pas nécessaire C. La variabilité est inférieur à 20 % ce n'est pas en faveur d'un asthme D. Ca peut évoquer un asthme nécessitant un essai aux CSI pendant 4 sem E. Vous faites une radiographie pulmonaire Source : Q16 - 19-20 Sec B Q02 - 16-17 Sec B
Réponse: BC
La patiente a été mise sous une association fixé et au bout de 12 semaines elle continue d'utiliser le salbutamol en spray mais à < 2/ sem, elle est essoufflé lors de la montée des étages et se réveille souvent la nuit par des accès de toux et s'est même absenter de son travail à deux reprises durant la dernière semaine à cause d'exacerbations ayant nécessité l'hospitalisation 03. Tous ces critères permettent de définir le contrôle clinique d’un asthme sauf un, lequel ? A. Symptôme diurnes B. Limitation des activités physiques C. Au moins un réveil nocturne D. L’absentéisme professionnel E. Nécessité de bêta 2CA > 2X semaine Source : Q17 - 19-20 Sec B Q03 - 16-17 Sec B
Réponse: D
04. Vous faites une classification selon le contrôle: Les RJ A. Vous classez cet asthme comme étant non contrôlé B. Vous poursuivez le même traitement car l'asthme a été bien contrôlé C. L’asthme est partiellement contrôlé, vous passez à un palier supérieur D. Vu l'éosinophilie, vous êtes en face d'une forme particulière E. Il s'agit d'un asthme partiellement contrôlé avec risque d'exacerbation Source : Q18 - 19-20 Sec B Q04 - 16-17 Sec B
Réponse: CE
05. Parmi les éléments suivants tous en faveur d'une origine allergique de l'asthme sauf un, lequel ? A. Antécédent d'atopie familiales B. Test cutané allergologique positif C. La survenue concomitante d'une rhinite D. La notion de tabagisme passif E. IgE spécifiques d'allergènes positif
Source : Q19 -19-20 Sec B Q05 -16-17 Sec B Q22 - 14-15 Réponse: D
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06. Que pouvez-vous conclure de l’EFR de cette patiente : VEMS = 1600ml (Nle= 3200ml) capacité vitale 4000ml (Nle= 4300ml) tiffeneau = 40 %, VEMS post β2 = 3000 ml A. Trouble ventilatoire obstructif (TVO) non réversible B. Syndrome restrictif C. Syndrome mixte D. Distension alvéolaire E. TVO réversible Source : Q20 - 19-20 Sec B Q29 - 17-18 Rattrap
Réponse: E
07. Concernant l’asthme bronchique: La/Les RF A. Est une affection inflammatoire chronique des voies aériennes B. Peut se manifester uniquement par des épisodes récidivants de toux sèche nocturne C. Se caractérise par la variabilité des débits bronchiques sur un cycle de 24 heures D. Se caractérise par une obstruction bronchique peu réversible E. Se caractérise par des voies aériennes peu réactives Source : Q05 - 18-19 Sec A Réponse: DE Q22 - 18-19 Sec B Q23 - 17-18 Sec A Q27 - 17-18 Rattrap
08. Le contrôle clinique d’un asthme est défini par les critères suivants : Les RJ A. Symptôme diurnes >2X semaine B. Limitation des activités physiques C. Au moins un réveil nocturne D. L’absentéisme professionnel E. Nécessité de bêta 2CA > 2X semaine Source : Q06 - 18-19 Sec A Q25 -14-15
Réponse: ABCE
Cas Clinique : L’enfant M.H âgé de 10 ans a été amené par sa mère aux urgences il a des antécédents de toux gênante, particulièrement la nuit ou au réveil et souvent après avoir jouer au ballon. Depuis quelques heures il présente une gêne respiratoire non soulagée par la pompe bleue de sa maman, il présente une toux sèche et à l'auscultation des râles sibilants, sa FClc est à 130batt/min, il a des sifflements audibles à distance et il parle en mots 09. Cochez les réponses justes: A. Il s’agit d'une exacerbation légère à modérée B. Il faut mesurer le DEP avant de traiter pour faire une classification de la sévérité de l'exacerbation C. Il s'agit d'une exacerbation sèvère d'asthme D. Le patient nécessite une mesure des gaz du sang E. Vite il faut instaurer un traitement en urgence Source : Q07 - 18-19 Sec A
Réponse: CDE
Le patient a été hospitalisé aux urgences et malgré un traitement par corticoïdes, bronchodilatateurs, et oxygène, son état s’est détérioré, il présente une détresse respiratoire avec cyanose, bradypnée sueurs et une altération de l'état de conscience, il est obnubilé 10. Cochez les réponses justes: A. C’est un asthme aigu grave B. Il nécessite un transfert en unité de soins intensifs C. Il s’agit d'une exacerbation sévère d’asthme menaçant le pronostic vital D. Il nécessite un traitement par antibiotiques E. Toutes les réponses sont justes Source : Q08 - 18-19 Sec A
Réponse: BC
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2020/2021
L’enfant M.H a été pris en charge en réanimation et l'évolution était bonne, à sa sortie un traitement de fond été instauré, vous décidez d'évaluer le contrôle de son asthme
11. Cochez les réponses justes : A. Entre 1 et 3 mois après un traitement de fond B. Vous évaluez le contrôle une semaine plus tard C. L’évaluation du contrôle se fait exclusivement sur les symptômes D. L’évaluation englobe conjointement le contrôle des symptômes cliniques et la recherche facteurs de risques d'un mauvais contrôle E. Ce patient présente des facteurs de risques d'exacerbation Source : Q09 - 18-19 Sec A
Réponse: ADE
L’interrogatoire révèle des symptômes de rhinite, un tabagisme actif chez le père. La maman vous dit que son petit frère de 6 ans fait des bronchitess répétées et une rhino-sinusite allergique depuis la petite enfance 12. Parmi les éléments suivants, tous plaident en faveur d'une origine allergique de l’asthme sauf un, lequel ? A. Antécédent atopique familiaux B. Test cutané allergologique positif C. La survenue concomitante d'une rhinite D. La notion de tabagisme passif E. IgE spécifiques d'allergènes positif Source : Q10 - 18-19 Sec A
Réponse: D
15. Le tableau clinique vous paraît correspondre à: A. Une bronchite chronique B. Des crises d’asthme récidivantes C. Des infections bronchiques récidivantes D. Des pneumopathies récidivantes E. Des exacerbations d’asthme Source : Q25 - 18-19 Sec B Q36 - 17-18 Sec B
16. Quels examens allez-vous prescrire pour ce patient ? A. Téléthorax B. Scanner thoracique C. IgE totale D. Spirométrie "courbe débit-volume" E. Des tests cutanés allergologiques Source : Q26 - 18-19 Sec B Q37 - 17-18 Sec B
Source : Q23 - 18-19 Sec B Q24 - 17-18 Sec A Q30 - 17-18 Rattrap
Réponse: ABD
Réponse: BCDE
Cas Clinique : Patient âgé de 56 ans commençant de profession consulte pour des épisodes de "bronchites infectieuses" récidivantes, il est asthmatique depuis l'âge de 7 ans mais ne prend actuellement aucun traitement car en dehors des bronchites, il va très bien, ils se sent essoufflé à l'effort physique, il ne fume pas, il signale au cours du mois des épisodes bronchiques caractérisées par la toux des sibilances, des expectoration difficiles, parfois jaunâtre, il n’a pas de fièvre en général, il s’automedique, prenant 5 à 7 jours de prednisolone à 40 mg/j, L’examen clinique est normal le jour de la consultation. Le dernier épisode bronchique a eu lieu il y a une semaine. Son DEP est à 400L/Min. 17
Réponse: B
18. Quelle est votre proposition thérapeutique initiale pour le traitement de fond de cet asthme ? A. Corticothérapie inhalé en une prise quotidienne B. Anti leucotriène en prise quotidienne C. Corticothérapie inhalée et bêta 2 mimétique de courte durée action à la demande D. Corticothérapie de 5 à 6 jours avec relais par bêta 2 mimétique inhalé E Corticothérapie inhalée + Anti leucotriène Source : Q28 - 18-19 Sec B Q39 - 17-18 Sec B
Réponse: C
19. Vous revoyez le patient 3 mois plus tard : Il garde une
14. Les caractéristiques cliniques d’un asthme contrôlé : A. Fonction respiratoire (DEP/VEMS) normale B. Symptômes diurnes aucun (ou < 2/sem.) C. Symptômes nocturnes aucun D. Activité physique normale E. Recours au béta 2 CA aucun (ou < 2/sem.) Source : Q24 - 18-19 Sec B Q25 - 17-18 Sec A
Réponse: ADE
17. Quel est votre évaluation de l’asthme de ce malade selon les critères de contrôle GINA : La RJ A. Le contrôle est acceptable en l'absence de symptômes entre les exacerbations B. Asthme non contrôlé car présence de plusieurs caractéristiques de non contrôle C. Le contrôle est inacceptable du fait de la fréquence des exacerbation partiellement contrôlé D. Asthme partiellement contrôlé E. Le contrôle est optimal du fait de l'absence de crise d'asthme Source : Q27 - 18-19 Sec B Q38 - 17-18 Sec B
13. Parmi les propositions suivantes quels sont les signes cliniques locateurs d'un asthme aigu grave ? A. Respiration superficielle, fréquence respiratoire 30/min, puis bradypnée B. Mise en jeu des muscles respiratoires accessoires : thorax silencieux : cyanose C. Présence d'un syndrome infectieux D. Fréquence cardiaque 120/min puis bradycardie ; hypotension E. Épuisement, confusion, coma
Réponse: E
toux, mais épisodiquement. A l'effort, il n'est gêné qu'à la course d'endurance, Il prend du salbutamol, 1 à 2 fois par semaine Il n'a pas présenté d'exacerbation. L'observance du traitement (Budesonid 200) parait bonne. Que faites-vous ?
A. II va bien, et le même traitement (corticoïdes à dose moyenne) est maintenu B. IL va bien, et la décroissance du traitement est amorcée : budesonide 200 ,1 prise/j. C. Le contrôle est encore Insuffisant et le traitement est augmenté : budesonide 200 + formeterol, 1 dose× 2/. D. Le contrôle est encore insuffisant et le traitement est augmenté : budesonide 200, 2 doses× 2/. E. Vérification de la bonne utilisation du dispositif d'inhalation. Source : Q40 - 17-18 Sec B
Réponse: CE
20. Quels sont les mécanismes susceptibles d’expliquer une hyper réactivité bronchique (HRB) A. Anomalie du muscle lisse bronchique B. L’inflammation bronchique. C. Le vieillissement de l'arbre bronchique D. La prise de théophylline per os E. Un pneumothorax Source : Q16 - 17-18 Sec B
Réponse: AB
4ème Année Med Oran
2020/2021
21. La réponse immunitaire dans l’asthme bronchique est : A. Réaction de type TH1. B. Une réaction IgE dépendante C. En rapport avec un déséquilibre TH1/TH2 en faveur de la voie TH2. D. Auto-immune E. Corrélée à un déficit immunitaire Source : Q28 - 17-18 Sec B
Réponse: BC
22. Sur quels critères évalue-t-on la sévérité d'une crise d’asthme ? A. Importance de la dyspnée B. Importance des sifflements C. Fréquence respiratoire, Fréquence cardiaque D. L’abondance de l'expectoration E. Signes évocateurs d'insuffisance respiratoire aiguë Source : Q35 - 17-18 Sec B Q28 - 17-18 Rattrap
Réponse: ABCE
23. Les facteurs de risque d'une limitation fixée des débits aériens, conduisant au mauvais contrôle de l'asthme, incluent les éléments suivants sauf : A. L’absence d'un traitement par CSI B. L’obésité et la grossesse C. Une exposition professionnelle D. La prise fréquente de corticosteroides oraux E. Un tabagisme Source : Q20 - 15-16 - 02-05-2016
Réponse: BD
24. Dans l'asthme les exacerbations sont : Les RJ A. La persistance des symptômes d'asthme au-delà de 48 heures B. La détérioration progressive de la fonction respiratoire C. La présence d'une obésité est sans rapport avec le risque d'exacerbation D. La survenue d'une exacerbation ou plus au cours des 12 derniers mois constitue un facteur de risque d'un mauvais contrôle de l'asthme. E. Toutes les réponses sont justes Source : Q21 - 15-16 - 02-05-2016
Réponse: ABD
25. Dans l'asthme les comorbidités sont : Les RJ A. La polypose nasosinusienne B. La rhinite allergique C. L’obésité D. Le RGO E. Le diabète et la cardiopathie Source : Q22 - 15-16 - 02-05-2016
Réponse: ABCDE
26. Cochez les réponses justes : A. La crise d'asthme peut se résumer en une toux sèche, quinteuse ou paroxystique B. Une crise est dite severe si le DEP < 40% de la valeur théorique ou de la meilleure valeur connue du malade C. L’AAG peut apparaître de façon soudaine et grave sans symptômes annonciateurs les jours précédents D. L’exacerbation est une succession de crises très espacés E. Toutes les propositions sont fausses Source : Q23 - 14-15 - 18-01-2015 Q06 - 13-14 Sec B
18
Réponse: ABC
27. Le diagnostic d'asthme est basé sur : Les RJ A. Essentiellement l'interrogatoire a la recherche de symptômes évocateurs B. La spirometrie qui montre VEMS/CV< 70%chez un malade en état stable C. Amélioration du VEMS > 12% de la valeur théorique 10 mn après Inhalation de 200g de salbutamol D. Le Téléthorax E. La gazométrie qui, montre une hypoxie avec hypercapnie Source : Q24 - 14-15 - 18-01-2015 Q07 - 13-14 Sec A Q07 - 13-14 Sec B
Réponse: AC
28. Quelles sont les causes de l'obstruction bronchique dans la crise d'asthme ? A. Bronchospasme B. Œdème inflammatoire C. Hypersécrétion bronchique D. Inhalation d'un corps étranger E. Œdème alvéolaire Source : Q26 - 14-15 - 18-01-2015
Réponse: ABC
29. L’hyper réactivité bronchique est mesurée par : A. TCA positif au pneumallergènes B. La mise en évidence de facteur déclenchant de crises d'asthme C. Dosage des IgE spécifiques d'allergènes D. Test à la métacholine E. Test de provocation dit tests réaliste Source : Q08 - 13-14 Sec A Q08 - 13-14 Sec B Q40 - 13-14 Sec C
Réponse: DE
30. L’hyperactivité bronchique se traduit par: RJ(s) A. La capacité qu’ont les bronches à réagir fortement aux stimuli B. La stabilité des débits bronchiques sur un cycle de 24 heures C. La variabilité des débits bronchiques sur un cycle de 24 heures D. Peut conduire à un TVO réversible ou permanent E. Toutes les réponses sont justes Source : Q39 - 13-14 Sec C
Réponse: AC(D)
31. L’effet immédiat et le plus court des B2 mimétiques dans la crise d’asthme s’exerce : La RJ A. Par voie IM B. Par voie SC C. Par voie inhalée D. Par voie IV E. Par voie orale Source : Q05 - 11-12 Sec A
Réponse: C
32. Parmi les objectifs du traitement de l’asthme selon GINA : A. Besoin minimal en bronchodilatateur à la demande B. Peu ou pas de symptômes et de crises d’asthme C. Un DEP ≥70% de la valeur théorique D. Besoin minimal en corticoïde par voie orale E. Aucune limitation dans les activités physiques Source : Q194 - QCM KAMEL
Réponse: ABCE
4ème Année Med Oran
2020/2021
16. BPCO & Exacerbation de BPCO : Cas Clinique : Vous recevez aux urgences un patient âgé de 75 ans diabétique, cardiopathe, qui présente une dyspnée importante avec fièvre à 39°C et des expectorations purulentes, ancien fumeur non sévré, le patient est connu BPCO depuis 5 ans il ne prenait aucun traitement, il a été hospitalisé en réanimation il y a 1 ans pour décompensation de sa BPCO l'examen clinique retrouve un patient agité avec une cyanose tirage sus-sternal et intercostale tension artérielle 90/50 mmHg, sueurs profuse. 01. Parmi les signes suivants quels sont ceux qui ne sont pas des signes de décompensation de BPCO ? A. La fièvre à 39°C B. L’hypotension artérielle C. Les crachats purulentes D. La cyanose E. Le tirage sus-sternal Source : Q27 - 19-20 Sec B
Réponse: AC
02. Vous hospitalisez le patient et vous décidez de faire tous les examens suivants en première intention sauf deux, lesquels ? A. Numération de la formule sanguine B. Spirométrie C. Telethorax de face D. Electrocardiogramme E. Angioscanner thoracique Source : Q28 - 19-20 Sec B
Réponse: BE
03. Quels sont les médicaments que vous allez prescrire chez ce patient ? A. Les bronchodilatateurs de courte durée d'action B. Les antitussifs C. Corticoïde systémique D. Sédatif E. Les fluidifiants bronchiques Source : Q29 - 19-20 Sec B
Réponse: AC
04. Tous les facteurs suivants sont des facteurs de risque d'insuffisance respiratoire aiguë chez ce patient sauf deux, lesquels ? A. L’âge B. La cardiopathie (comorbidité) C. L’antécédent de séjour en réanimation D. La fièvre E. Les expectorations purulentes Source : Q30 - 19-20 Sec B
Réponse: DE
05. Le patient est hospitalisé et traiter l'évolution est favorable, que préconisez-vous à la sortie ? A. Traitement bronchodilatateur de longue durée d'action B. Corticoïde systémique au long court C. Réhabilitation respiratoire D. Consultation de sevrage tabagique E. Traitement aux anti leucotriènes Source : Q31 - 19-20 Sec B
19
Réponse: ACD
06. Selon le Gold 2019 la classification de la BPCO en catégorie (A, B, C, D) se fait sur les critères suivants : lesquels ? (QCM) A. Les données cliniques (mMRC/CAT) B. Les données radiologiques C. Le nombre de comorbidité D. L’histoire des exacerbation E. Les résultats de la spirométrie Source : Q01 - 18-19 Sec A Q27 - 17-18 Sec B
Réponse: AD
07. L’exacerbation de BPCO peut être d’origine : la RJ : A. Infectieuse B. Thromboembolique C. Médicamenteuse D. Mécanique E. Toutes ces réponses sont juste Source : Q02 - 18-19 Sec A
Réponse: E
08. Tous ces examens paracliniques sont demandées en première intention devant une exacerbation de BPCO sauf : la RJ A. La radiographie thoracique B. Numération de la formule sanguine C. Gazométrie artérielle D. Angioscanner thoracique E. Electrocardiogramme Source : Q03 - 18-19 Sec A
Réponse: D
09. Comment faire le diagnostic entre un Asthme bronchique et une BPCO ? La RJ A. Par le dosage systématique de l'Alpha 1 antitrypsine sérique B. Par l'interrogatoire et l'exploration fonctionnelle respiratoire (épreuve de réversibilité) C. Par la Bronco fibroscopie bronchique D. Dosage des IgE spécifiques E. Le scanner thoracique Source : Q04 - 18-19 Sec A Q29 - 17-18 Sec B
Réponse: B
10. L’exacerbation de BPCO se définit par : Les RJ A. Aggravation de la dyspnée B. Purulence des expectorations C. Hémoptysie D. Aggravation de la toux E. Nécessité d'une ventilation assistée Source : Q38 - 18-19 Sec B
Réponse: ABD
11. Le traitement de l'exacerbation de BPCO comporte : Les RF A. L'oxygénothérapie B. Sédatifs C. Bronchodilatateurs D. Antitussifs E. Corticoïdes systémiques. Source : Q39 - 18-19 Sec B
Réponse: BD
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2020/2021
17. Pneumopathies Opportuniste & Nosocomiale : 01. Concernant les pneumopathies opportunistes : La RJ A. Eles Sont exceptionneles chez l’immunodéprimé B. Elles sont exclusivement communautaires C. Elles sont dues à un seul agent pathogène à la fois D. Le traitement ne doit être débuté, qu'une fois l’agent pathogène isolé E. Sont caracterisées par une mortalité importante Source : Q31 - 20-21 Sec A
Réponse: E
02. Concernant l’aspergillose pulmonaire chez l’ID : Les RF A. Il s’agit d’une infection bactérienne B. Le tableau peut être domine par l’hémoptysie C. Fréquente chez les patients avec neutropenies profondes D. Le traitement repose sur l’antibiotneropie E. Le diagnostic repose sur le LBA Source : Q32 - 20-21 Sec A
Réponse: AD
03. Quelle est I’infection opportuniste fréquemment observée chez les patients splénectomisés ? A. Toxoptasma gondii B. Aspergillus fumigatus C. Streptococcus pneumoniae D. E.Coli E. Pneumocystis jiroveci Source : Q33 - 20-21 Sec A
Réponse: C
04. Les pneumopathies nosocomiales : Les RF A. Désignent toute pnéumopathie acquise 48h après hospitalis B. Peuvent survenir 14 jours après la sortie de l’hôpital C. Elles sont plus fréquentes en Réanimation D. Occupent le premier rang parmi les infect nosocomiales E. Le traitement ne doit être instauré qu'une fois le germe isolé Source : Q34 - 20-21 Sec A
Réponse: DE
05. Quel examen complémentaire permet d’affirmer le diagnostic de Pneumopathie à pneumocystis jiroveci ? A. Recherche d'une antigénémie circulante B. Hémocultures C. Examen direct après coloration au Gomori-Grocott sur le liquide de lavage broncho alvéolaire D. Examen tomodensitométrique thoracique E. Myéloculture Source : Q24 - 17-18 Sec B Q19 - 18-19 Sec B
Réponse: C
18. Pneumoconiose : 01. Une radiographie du thorax d’un salarié faisant apparaître une image dite ‘‘en coquille d’œuf’’ doit faire rechercher une exposition professionnelle, laquelle ? A. Fibre d'amiante B. Poussière de bois C. Poussière de fer D. Poussière de silice E. Poussière de cobalt Source : Q32 - 19-20 Sec B Q29 - 17-18 Sec A
Réponse: D
02. Dans un contexte d’exposition professionnelle, quelle est ou quelles sont les images radiologiques évocatrices d’une silicose non compliquée ? A. Epanchement pleural B. Image niveau hydroaérique C. Atélectasie D. Image nodulaire prédominant aux champs moyen et sup E. Image pseudo-tumorale Source : Q33 - 19-20 Sec B Q14 - 18-19 Sec A
Réponse: DE
03. L’inhalation prolongée d'amiante peut provoquer la(les) pathologie(s) suivante(s) : A. Pleurésie bénigne B. Mésothéliome pleural C. Pachypleurite D. Insuffisance respiratoire restrictive chronique E. Adénopathies médiastinales calcifiées en coquille d’œuf Source : Q34 - 19-20 Sec B
Réponse: ABCD
04. Un homme de 66 ans consulte pour une dyspnée d'effort évoluant depuis plusieurs années. L'interrogatoire révèle que le patient est un ancien mineur de Kenadsa (Bechar) durant plus de 15 ans, La radiographie thoracique montre la présence d’opacités pseudo-tumorales au niveau des deux champs pulmonaires supérieurs sur un fond de miliaire diffuse. Qu’évoquez-vous comme diagnostic le plus probable ? A. Une sidérose B. Une asbestose C. Une pneumonie d’hypersensibilité D. Une silicose E. Une barytose Source : Q31 - 15-16 - 02-05-2016
Réponse: D
05. À propos de la silicose : Les RF A. elle est due à l'inhalation des fibres d'amiante B. le syndrome de Capian associe la silicose et la TBC C. les signes radiologiques prédominent au niveau des champs supérieur D. elle se voit chez les mineurs de charbon E. elle peut se compliquer tardivement d'une insuffisance respiratoire chronique Source : Q19 - 14-15 - 18-01-2015
Réponse: AB
06. Citez les principaux examens complémentaires nécessaires en vue de la réparation chez les malades atteints d'une pneumoconiose : A. la radiographie thoracique standard B. la fibroscopie bronchique C. la spirométrie D. les examens immunologiques E. l'étude minéralogique du lavage broncho-alvéolaire Source : Q20 - 14-15 - 18-01-2015
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Réponse: AC
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2020/2021
19. Pathologie Médiastinale :
20. Sarcoïdose :
01. Quelles sont les principales étiologie des opacités médiastinales postérieures ? les RJ(s) A. Le thymome B. Les tumeurs nerveuses C. Mal de Pott (image au fuseau) D. Kyste dermoïde E. Chorio carcinome
01. Le diagnostic de sarcoïdose repose sur : A. La présentation clinique radiologique évocatrices B. La mise en évidence des lésions granulomateuse avec nécrose C. La mise en évidence des lésions granulomateuses sans nécrose D. L’exclusion de toute autre maladie tuberculeuse E. La mise en route en urgence d'une corticothérapie qui constitue un test diagnostique.
Source : Q35 - 19-20 Sec B Q38 -20-21 Sec A
Réponse: BC
02. Concernant les adénopathies médiastinales : Les RJ A. Elle siège préférentiellement au niveau du médiastin moyen B. Elles sont toujours présentes dans la sarcoïdose type 3 C. Elles peuvent être secondaire à un cancer extra thoracique D. Elles peuvent se calcifier au cours d'une silicose E. La tuberculose ne s'accompagne jamais d'adénopathie médiastinale Source : Q36 - 19-20 Sec B Q39 - 20-21 Sec A Q32 - 17-18 Sec A Q34 - 16-17 Sec B
Réponse: ACD
03. Quelles sont les manifestations du syndrome médiastinal antérieur ? La/Les RJ A. Le syndrome de Claude Bernard Horner B. Le chylothorax. C. L’œdème en pèlerine. D. La turgescence des veines jugulaires. E. La circulation veineuse collatérale du thorax Source : Q37 - 19-20 Sec B Q40 - 20-21 Sec A Q31 - 17-18 Sec A Q34 - 17-18 Rattrap
Réponse: CDE
04. Concernant le thymome : La/Les RJ A. Il siège au niveau du compartiment antérieur du médiastin B. Il siège au niveau du compartiment postérieur du médiastin C. Il s’agit d'une tumeur souvent bénigne D. La myasthénie peut être un signe révélateur E. Il s’agit d'une tumeur potentiellement et rapidement métastatique Source : Q15 - 18-19 Sec A Q31 - 17-18 Sec A Q35 - 16-17 Sec B
Réponse: AD
Réponse: BC
06. À propos des tumeurs thymiques : RJ(s) A. Elles font parties des tumeurs du médiastin antérieur B. L’aspect lympho épithéliales est le plus souvent retrouvé en cas de thymome C. La myasthénie est l'un des signes révélateurs du thymome D. Le carcinome thymique est une forme d'évolution lente et peu métastatique E. Elles peuvent se compliquer d'un syndrome cave sup Source : Q16 - 14-15 18-01-2015 Q28 - 13-14 Sec B Réponse: ABCD
07. À propos des adénopathies médiastinales : RJ(s) A. Elle caractérise la sarcoidose type 2 et 4 B. Elle siège préférentiellement au niveau du méd post C. Elles peuvent être l'expression d'uneforme de TEP D. Elles peuvent se calcifier en cas de silicose E. Un cancer extra thoracique peut se compliquer d'adénopathies médiastinales Source : Q17 - 14-15 18-01-2015 Q29 - 13-14 Sec B
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Réponse: CDE
Réponse: ACD
02. Devant la constatation d'adénopathies médiastinales para hilaires bilatérales asymptomatiques, quel est le premier diagnostic à évoquer ? La RJ A. La tuberculose ganglionnaire B. La silicose C. La sarcoïdose D. Le lymphome médiastinal E. La métastase ganglionnaires d'un cancer profond Source : Q08 - 18-19 Rattrap
Réponse: C
03. Parmi les caractères suivants, un seul n’est jamais observé dans la sarcoïdose : A. La fibrose B. Les cellules géantes C. Des lymphocytes D. Une nécrose caséeuse E. Des cellules épithéloïdes Source : Q20 - 17-18 Sec A Q25 - 17-18 Rattrap
Réponse: D
04. Le syndrome de Löfgren associe : Les RJ A. Erythème noueux B. Fièvre C. Arthralgie D. Adénopathies hilaires symétriques E. IDR à la tuberculine fortement positive Source : Q20 - 17-18 Sec B Q10 - 14-15
05. Quelles sont les principales étiologies des opacités médiastinales postérieures ? Les RJ A. Le goitre plongeant avec déviation de la trachée B. Les tumeurs nerveuses C. Mal de Pot (image en fuseau). D. Kyste dermoide E. Choriocarcinome. Source : Q33 - 18-19 Sec B Q33 - 16-17 Sec B
Source : Q20 - 18-19 Sec B
Réponse: ABCD
05. Concernant la sarcoïdose respiratoire : Les RJ A. Présente un grand polymorphisme clinique lié aux formes poly viscérales. B. Son évolution est toujours grave pouvant engager le pronostic vital. C. L'examen clinique révèle souvent des crépitants D. La TDM thoracique contribue à toutes les étapes de la prise en charge. E. Le traitement de ses formes graves repose essentiellement sur une corticothérapie par voie générale Source : Q21 - 17-18 Sec B
Réponse: ADE
06. Quelle est la proposition exacte concernant la sarcoïdose ? A. L’exérèse réglée peut-être un moyen thérapeutique de dernière alternative B. Le méthotrexate est proposé systématiquement en association avec une corticothérapie générale C. La corticothérapie lorsqu'elle est indiqué doit être prescrite pour une durée minimale de 12 mois D. Le traitement antituberculeux est proposé en cas d'échec ou de mauvaise tolérance des corticoïdes E. une corticothérapie inhalé au long cours est prescrite en cas de contre-indications d'une corticothérapie par voie générale Source : Q09 - 14-15 18-01-2015 Q03 - 13-14 Sec A Q16 - 13-14 Sec B
Réponse: C
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2020/2021
21. SAHOS : 01. Au cours d'un Syndrome d'apnée de sommeil l'apnée se défini :
A. Comme un arrêt complet du flux aérien durant au moins 5 sec B. Comme un ralentissement du flux aérien durant au moins 10 sec C. C'est un arrêt complet du flux aérien durant au moins 10 sec D. C'est le nombre d'apnées et hypopnées par heure chez un patient E. C'est le nombre d'événements durant une heure Source : Q21 - 18-19 Sec A Q24 - 16-17 Sec B
Réponse: C
02. Les apnées au cours du sommeil : Les RJ A. Sont uniquement liés à un collapsus des voies aériennes supérieures B. N’existe jamais chez le sujet sain C. Ont à l'origine d'une somnolence diurne en raison de la fragmentation du sommeil qu'elles entraînent D. Entraînent une hypoxie et une hypercapnie E. Entraînent des micro éveil et une activation du système nerveux sympathique Source : Q21 - 18-19 Sec B Q19 - 17-18 Sec A
Réponse: CDE
03. Tous ces signes appartiennent au SAHOS sauf un lequel ? A. Polyurie nocturne voir énurésie B. Anorexie mentale C. Sueurs nocturnes avec des céphalées matinales D. Troubles de la mémoire et de l'attention E. Baisse des performances intellectuelles Source : Q13 - 18-19 Rattrap
Réponse: B
Cas clinique : Une femme âgée de 71 ans aux antécédents d’HTA systémique mal équilibrée malgré un traitement optimal, vient consulter pour des ronflements qui dérangent son entourage, une somnolence diurne ct des céphalées matinales. A l'examen : TA à 180/110 mmHg, un poids de 110 kg pour une taille d 1.55 m, cou court. 04. Quel est le I er diagnostic que vous suspectez ? A. II s'agit probablement d'un SACS B. Il s'agit probablement d'un cœur pulmonaire chronique C. ll s'agit probablement d'un SAOS D. ll s'agit probablement d'une HTA maligne E. ll s'agit probablement d'un asthme aigu grave Source : Q22 - 17-18 Rattrap
Réponse: C
05. Quel(s) examen(s) demanderiez vous pour étayer votre diagnostic ? A. Une spirométrie B. Une gazométrie C. Une TDM thoraco-abdominale D. Une polysomnographie E. Une tomo-densitométrie osseuse Source : Q23 - 17-18 Rattrap
Réponse: D
06. Si votre diagnostic est confirmé, quelle serait votre conduite ? A. La prescription d'un traitement anti tubereuleux B. La prescription d'un traitement par CPAP (pression positive continue automatique) de 06 mois C. La prescription d'un traitement par CPAP (pression positive continue automatique) à vie D. Exiger une bonne observance du traitement de l'HTA E. Exiger des règles hygiéno-dictétiques et une perte de poids Source : Q24 - 17-18 Rattrap
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Réponse: CDE
Cas clinique : Un homme d 54 ans fumeur, chauffeur de poids lourd, présentant un poids de 130 kg pour une taille 1m68, aux antécédent d’HTA, sous trithérapie. 07. Quel risque mortel pourrait-il avoir ? A. Un AVC B. Un AVP C. Une Syncope D. Une insuffisance rénale E. Un trouble du sommeil Source : Q19 - 16-17 Sec B
Réponse: B
08. Son entourage révèle des renflements nocturnes et une somnolence diurne. Quel examen proposeriez-vous? A. Un examen ORL B. Une TDM thoracique C. Une Polygraphie D. Un angio-scanner thoracique E. Une échographie cervicale Source : Q20 - 16-17 Sec B
Réponse: C
09. L’enregistrement révèle des IAH à 45/h; quel diagnostic posez-vous ? A. Paralysie des cordes vocales B. Troubles neurologiques liés à une SER C. SAOS D. Insuffisance congestive mineure E. Anévrisme de l'aorte. Source : Q21 - 16-17 Sec B
10. Quel traitement proposez-vous ? A. Règles hygiéno diététiques B. Sevrage tabagique C. Orthèse d'avancée mandibulaire D. Traitement par PPC E. Chirurgie maxillo-faciale Source : Q22 - 16-17 Sec B
Réponse: C
Réponse: ABD
11. L’examen de référence pour le diagnostic positif de SAOS est : A. La scintigraphie de ventilation B. La polysomnographie C. L'oxymétrie nocturne D. L'électrocardiogramme E. L'électroencephalogramme Source : Q23 - 16-17 Sec B
Réponse: B
12. Le syndrome d’apnée et d’hypopnée obstructive du sommeil (SAHOS) : Les RJ A. Est le résultat d'un collapsus pharyngé B. Est le résultat d'un trouble ventilatoire obstructif des bronches C. L’apnée obstructive s'accompagne d'une abolition des mouvements thoracique et abdominale D. Le traitement chirurgical est la prise en charge thérapeutique essentielle E. Un index apnée-hypopnée supérieur à 30 est une forme sévère de SAHOS Source : Q07 - 14-15 - 18-01-2015
Réponse: AE
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22. PID : 01. Un homme de 41 ans atteint du SIDA consulte pour toux, fièvre ,amaigrissement. La radiographie thoracique met en évidence une pneumopathie interstitielle. Quel est l'examen prioritaire pour le diagnostic étiologique ? A. Une sérologie des virus à tropisme respiratoire B. Une recherche de micro-organismes pathogènes dans le produit de lavage broncho-alvéolaire C. Une biopsie pulmonaire D. Une scintigraphie pulmonaire E. Une recherche de virémie Source : Q19 - 18-19 Sec A Q21 - 17-18 Sec A
Réponse: B
02. Chez ce patient Quel traitement antibiotique prophylactique vous proposez ? A. C3G (Claforan) B. Rifampicine (Rifadine) C. Isoniazide (INH) D. Cotrimoxazole (Batrim) E. Ciprofloxacine (Ciflox) Source : Q20 - 18-19 Sec A
Réponse: E
04. Dans le cadre d'une PID chronique la présence d'adénopathies médiastinales fait évoquer : Les RJ A. Poumon d'éleveur d'oiseaux B. Une sarcoïdose médiastino-pulmonaire C. Une pneumopathie interstitielle lymphocytaire D. Une lymphangite carcinomateuse E. Une insuffisance cardiaque gauche Source : Q11 - 18-19 Rattrap Q31 - 17-18 Sec B
Réponse: BD
05. Un liquide du lavage brocho-alveolare normal est constitué de : La RF A. Une céllularité excédent les 200 éléments nuclées /mm3 B. 85-90% de macrophages alvéolaires C.