239 Dialogues en Francais [PDF]

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Zitiervorschau

239 DIALOGUES EN FRANCAIS & FRENCH CONVERSATION IL N’Y A BIEN QUE LES PAUVRES QUI SAVENT DONNER... (34 :43) Dans une gare de banlieue, Victor, un vagabond, fait l’ aumóne. Victor (interpellant un voyageur) : Hep, mon bon monseir ! Vous avez bien une petite pièce pour un brave vababond ! Le voyageur : Eh bien voyons voir... Ah, mais c’est invraisemblable ! Je ne trouve plus mon portefeuille. Voyez : la poche de mon blouson est vide ! Victor : C’est bien ma veine ! Le voyageur : Ah, je suis bien embêté maintenant : j’ai un train de banlieue à neuf heures, et je n’ai pas be billet ! Comment vais-je trouver deux euros ? Victor (cherchant dans ses poches) : Un ouvre-boite, du tabac, un vieux bout de bougie... Ah, voici vos deux euros ! Le voyaguer(interloquê) : Nom, je ne veux pas abuser de votre amabilité. Victor : Si, si ! Prenez ! C’est de bom coeur². La voyageur (un peu gêné): Alors j’accepte bien volontiers. Merci beaucoup. (Puis, s’adressant à lui-méme) : En définitive, le proverbe dit bien la vérité : il n’y a que les pauvres qui savent donner !

JE TRAVAILLE, MOI! (35 :39) À um carregou embouteillé Une jeune fille en auto (s’adressant à un livreur) : Vous gênez la passage ! Soyez gentil, monsieur, dégagez le passage, par pitié ! Le livreur : Dégager le passage ? Je n’ai pas ça dans mes projets. Je travaille, moi ! D’ailleurs, c’est vous qui gênez. À vous de bouger votre voiture. La jeune fille : Je n’en crois ni mes yeux, ni mes oreilles ! Je suis attendue pour déjeuner, et je suis déjà en retard... (À elle-même) : J’enrage ! Le livreur : C’est bien dommage. Bon, allez, d’accord ! Je suis prêt à vous arrenger. Mais venez m’aider à décharger ces cageots, et plus vite que ça !

La jeune fille : Oh ! Espèce de goujat ! Grossier personnage ! Le livreur : Des injures, à présent ? Jusque-là. Je suis resté gentil. Mais plus question que je m’en aille (Puis, commençant à lire son journal) : Voyez-vous, s’il le faut, j’ai de quoi patientes toute la jornée avec mon journal !

DANS UNE CITÉ UNIVERSITAIRE AH, LES HOMMES... ILS ONT TOUJOURS DES PROBLÈMES ! (38 :08) Louise : Bonjour, est-ce que Benoit est là ? Pierre : Non, il n’est pas là. Il est à l’infirmerie, je crois. Louise : Ah bon ? Il est malade ? Pierre : Oui, il est madade, fatigué, déprimé... Louise : Qu’est-ce qu’il a ? Il a des problèmes ? Pierre : Ah... Des problèmes avec les femmes... Louise : Avec les femmes ? Alors, il est amoureux ! Pierre : Benoît, amoureux ? Peut-être... Louise : Ah, les hommes... Ils sont vraiment compliqués ! Ils ont toujours des problèmes ! Pierre : Mais pas du tout ! Les hommes ne sont pas compliquès ! Louise : Vraiment ? Bon, où sont Raphaël et Bertrand ? Pierre : Je ne sais pas. Ils ne sont pas là... (Quelques minutes plus tard) Bertrand et Raphaël : Je suis désolé, on est en retard ? Pierre : C’est normal, vous étes toujours à l’heure... Raphaël : Et toi, bien súr, tu es toujours à l’heure... Louise : Moi, je suis toujours en avance quand j’ai un rendez-vous. Bon... Vous avez les gâtaeux, pour la fête ? Bertrand : Oui, voilà... On a aussi le vin et les jus de fruits.

A LA CAFETÉRIA (39:07) Mathilde : Non, je n’ai pas de cours, mais j’ai des examens, en ce moment. Et toi, tu as aussi des examens ? Gabriel : Oui, nous avons encore un examen jeudi et après, c’est fini ! Je suis en vacances ! Mathilde : Tu as de la chance... J’ai encore deux semaines de travail ! Gabriel : Ma pauvre Mathilde... Courage ! Attends, j’ai une idée : est-ce que tu es libre demain, pour dînes ? Mathilde :Non, c’est dommage, demain, je suis prise. Mais demanche soir, je suis Libre. Gabriel : D’accord pour dimache soir !

ALEXANDRE TRAVAILLE (40 :02) Madamme Lemonnier : Tiems Alexandre ! Bonjour, comment allez-vous ? Alexandre : Bien, merci, et vous ? Madamme Lemonnier : Bien, merci ! Alors, quoi de neuf Alexandre : Eh, bien, je travalle maintemant Je travaille comme technices dans une société internationale. Madamme Lemonnier : C1’ Alexandre :