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11 SEPTEMBRE 2001 LA THEORIE DU COMPLOT
"Il y a 2 histoires : l’histoire officielle, mensongère, qui nous est enseignée et l’histoire secrète où se trouvent les vraies causes des événements, une histoire honteuse." Honoré de Balzac
Sommaire
Introduction
Chapitre 1 : L’avant 11 septembre Chapitre 2 : Les attentats A. Le pentagone B. Le WTC C. Vol 93 D. WTC 7 Chapitre 3 : Al Qaïda Chapitre 4 : Après 11 septembre Chapitre 5 : Meyssan et les réseaux Voltaire Conclusion
Introduction
Le but de ce dossier n’est pas d’affirmer que notre thèse est la VERITE, mais peut être UNE VERITE. Au travers de formules mathématiques, images, vidéos, déclarations, nous vous démontrons que le rapport officiel comporte de nombreuses failles, après il ne tient qu’à vous de croire ou non en notre thèse …
En mémoire des victimes du 11 septembre …
Chapitre 1 : « L’avant 11/09 » ou l’analyse chronologique des événements successifs terroristes aux Etats-Unis
Avant-propos : Dans cette partie, nous tenterons de vous montrer les événements antérieurs au 11 septembre 2001 et qui ont présenté des risques potentiels quand à la nature et la teneur des attentats qui se sont notamment développés dans le courant des années 90. En effet, il semblerait que l’on ait assisté durant les années 90 à une montée crescendo d’une vague d’attentats qui a secoué le sol américain et qui en a porté sa signification la plus importante dans les attentats du 11 septembre 2001 qui ont révélé la vulnérabilité des Etats-Unis. L’objectif est donc de chercher à dresser un panorama des premières attaques visibles sur le sol américain avant le 11 septembre 2001. Pour cela, l’analyse se focalisera essentiellement sur une chronologie des premiers attentats terroristes perpétués par la nébuleuse terroriste Al- Qaïda depuis une dizaine d’années. Les attentats du World Trade Center de 1993 : L’une des premières manifestations les plus criantes de ces dix dernières années constitue les attentats du WTC perpétrés le 26 février 1993 par des terroristes sur le sol américain. Au vu de nombreuses enquêtes, il a semblé que cette attaque fut orchestrée par une organisation terroriste qui a cherché à frapper un symbole ou serait on tenté de dire des symboles de la « puissance » américaine tels que le WTC ou bien encore le Pentagone. C’est finalement le WTC que cette organisation terroriste a touché et elle a agi sous le nom de « Jihad Islamique » Egyptien avec comme principal chef de file Ayman Al-Zawahiri. Mais qui est au juste Al-Zawahiri ? Cet homme, considéré comme essentiel dans cette grande nébuleuse terroriste que constitue Al-Qaïda n’est autre que le premier lieutenant de l’homme fort de l’organisation, à savoir Oussama Ben Laden. Son activité d’implication dans des actes terroristes n’est en aucun cas nouvelle. En effet, Al-Zawahiri est impliqué dès 1981 dans l’assassinat du président Egyptien Sadate. De très nombreux analystes tendent même à suggérer qu’il n’est pas uniquement en quelque sorte un « second » de Ben Laden. Ainsi, on peut considérer Al-Zawahiri comme étant réellement le cerveau d’Al-Qaïda : il superviserait actuellement tout les éléments liés aux stratèges financiers, aux opérations ou encore aux plans terroristes de son chef Oussama Ben Laden. Il n’ya donc à priori rien de surprenant à retrouver trace de son implication dans les massacres de Louxor perpétués sur le sol Egyptien en 1995 ou bien encore des exemples tels que les bombardements contre les ambassades américaines de Dar es Salam en Tanzanie et de Nairobi au Kenya en 1998. Dès lors une question se pose : comment cet homme terroriste au plus haut chef a pu par exemple obtenir un statut de réfugié politique au Danemark ou bien encore en Suisse ? Plus grave encore, difficile d’expliquer que Al-Zawahiri ait pu avoir une « green card » octroyée par les services d’immigration américains ? Même si le personnage Al-Zawahiri n’est pas l’une des raisons aux explications de ces attentats de 1993, on peut déjà présupposer qu’ils ont constitué une première mise en garde réelle contre les Etats-Unis. Suite à l’attentat à la bombe perpétré contre le WTC, on peut distinguer une série d’événements plus ou moins mineurs mais tout de même essentiels pour la compréhension des événements pré-11 septembre 2001. Citons en un en particulier : la tentative isolée d’un pilote de faire écraser un petit avion à proximité de la Maison Blanche. Une question se pose alors à nous : comment serait il possible de faire la connexion entre cet événement et la suite à venir ? En réalité, dès 1994, un rapport commandé par le Pentagone et réalisé par le Ministère de la justice en lien avec la Federal Emergency Management Agency indiquait déjà que le WTC faisait l’objet d’une cible particulièrement dangereuse pour un futur attentat terroriste à venir. Le rapport en précise d’ailleurs les faits en ces termes : « des cibles comme le WTC offrent non seulement le nombre requis de victimes, m ais de par leur valeur symbolique, elles s’avèrent avantageuses en termes de rapport impact/coûts ». De cette manière, que peut on déduire de ces premières hypothèses ?
A l’aube de l’année 1994, le Pentagone semblait informé de l’éminence d’attaques probables terroristes pour l’avenir.
1995-2000 : vers une confirmation de la menace terroriste d’Al-Qaïda : L’année 1995 vit se confirmer les premières menaces pressenties dès 1994. C’est ainsi, qu’en cette année, le renseignement américain a vite compris le réel danger d’Al-Qaïda qui souhaitait tout simplement mettre sur pied une opération ciblée sur le WTC. Là encore, une note de Chicago Sun Times, écrite par Robert Nowak en date du 27/09/2001 semble éclairer nos premières hypothèses préalablement citées : « le FBI a reçu des indications faisant état de plans de détournement d’avions de ligne américains […] locales ». Le projet terroriste d’Al-Qaïda, soit celui de vouloir écraser mais également détourner des avions dans le but de toucher des symboles de l’hyper puissance américaine portait un nom : il s’agissait du projet BOJINKA. Comme réflexion préalable, on peut y inclure un témoignage significatif d’un commissaire divisionnaire de la police philippine Avelino Razon quand à la connaissance que détenaient les Etats- Unis vis-à-vis du projet Bojinka : « Les officiels fédéraux américains étaient au courant du projet Bojinka et…l’équipe d’élite du contreterrorisme poursuivait l’étroite collaboration entamée avec eux….Je me rappelle qu’après les premiers attentats contre le World Trade Center, Oussama Ben Laden avait déclaré que la deuxième tentative réussirait. » 1. Le projet Bojinka : Le projet avait un objectif clairement défini : il prévoyait d’écraser des avions contre une sélection de cibles. Bien évidemment, les principales cibles seraient le WTC, la Maison Blanche à Washington ou bien même le Pentagone. L’élément le plus intéressant à analyser dans ce projet pourrait se comprendre de la façon suivante : la méthode-le détournement d’avions-le lieu (WTC aux Etats-Unis) et l’objectif (s’attaquer à un symbole fort de la puissance des Etats-Unis)- étaient donc citées dans le rapport BOJINKA comme la méthode très probable que pourrait utiliser Al Qaïda lors d’un prochain attentat terroriste sur le sol américain. Le contenu effrayant de ce rapport joue un rôle central au sens où il vise à la compréhension de ce qui s’est par passer la suite lors des attentats du 11 septembre 2001. Ce projet a suivi scrupuleusement tant la méthode que l’idée du détournement d’avions avec certainement pour finalité d’atteindre les tours jumelles du WTC.
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La préparation du projet Bojinka : les écoles d’aviations
Dès 1995, dans l’objectif de futures attaques aériennes, il s’agissait pour les organisations terroristes de former leurs « martyrs » au pilotage de gros porteurs. Pour cela, quoi de mieux que d’infiltrer les grandes écoles d’aviations américaines ? En effet, un véritable réseau s’est crée au sein de ces écoles. Selon le Washington Post, des responsables du renseignement confirment : « qu’un attentat à la bombe manqué à Manille contre des avions de lignes américains et la déposition d’associés de Ben Laden au tribunal » sur le projet Bojinka « avaient déclenché des enquêtes du FBI dans plusieurs écoles ». Grâce à ces enquêtes, le FBI accumule, depuis 1996, les preuves qui démontrent que des terroristes internationaux utilisaient des écoles d’aviation pour apprendre à piloter. De plus, dans le cadre du procès des attentats à la bombe de 1998 contre les ambassades américaines, un témoin cité par le gouvernement, Essam Al-Ridi, confirma avoir enseigné et formé des élèves à l’école d’aviation Ed Boardman à Fort Worth, et acheté à Tucson pour 210 000 $, un avion d’occasion Saber-40 pour le compte de Ben Laden. Nous sommes donc forcés de constater que non seulement des réseaux se développaient dans ces écoles, mais en plus que le FBI en était parfaitement informé ; et que, à l’évidence, tous les portaient à croire que des attaques d’envergures allaient frapper le territoire américain. Ils ont d’ailleurs, en vue de ces menaces, pris les mesures nécessaires. Par exemple, les jeux Olympiques d’Atlanta en 1996. En effet, une série de mesures complexes furent prises pour empêcher une attaque aérienne suicide sur les infrastructures olympiques : des jets militaires furent déployés afin d’intercepter tout avion audessus des sites olympiques ; des agents surveillèrent les vols des avions poudreurs dans un rayon de plusieurs centaines de kilomètres autour du centre d’Atlanta ; la FAA (Federal Aviation Administration) a interdit tout trafic aérien dans un rayon de 1,5 kilomètres autour du village olympique où les athlètes résidaient. Tout portait donc à croire qu’Al-Qaïda s’attaquerait à des édifices américains notamment à Washington et à New York : deux villes symboliques des Etats-Unis. Le Washington Times relève que « fin 1998, les rapports du renseignement américain affirmaient qu’Oussama Ben Laden projetait des attentats contre Washington ou New York afin de venger l’attaque américaine aux missiles contre son quartier général en Afghanistan ». •
Une montée en puissance du projet Bojinka
En 1998, Eleanor Hill, directrice du personnel chargé de l’enquête conjointe de la Chambre des représentants et du Sénat, a décrit un certain nombre de rapports relatifs à cette même année sur d’éventuelles attaques sur le sol américain qui « furent diffusés dans la communauté du renseignement et remis à des stratèges américains haut placés ». Ces rapports étaient clairs, des cibles symboliques situées à Washington et à New York étaient visées par Ben Laden. En 1999, le NIC (National Intelligence Council) démontrait dans un rapport approfondi de la probabilité d’une application du projet Bojinka : « des terroristes liés à Ben Laden pourraient détourner un avion et l’écraser contre le Pentagone, la Maison Blanche ou le quartier général de la CIA ». En octobre 2000, le Mirror londonien relate que « les chefs militaires étaient tellement persuadés que des terroristes pouvaient faire entrer un avion militaire contre le Pentagone qu’ils ont prévu une telle attaque ». Fait assez troublant : 11 mois à peine avant le 11 septembre, le Pentagone a effectué un exercice d’urgence qui a été relaté en détail par un article du journal interne du Pentagone, or cet article ressemble, selon le Mirror, à « un véritable compte rendu de ce qui s’est réellement passé ». Sur cette même année, les milieux du renseignement américains étaient persuadés qu’Oussama Ben Laden prévoyait un attentat terroriste sur le sol américain. En effet entre 2000 et 2001, la CIA aurait transmis les noms de quelques 100 membres présumés du réseau terroriste Al-Qaïda dont on présupposait qu’ils se trouvaient soit aux Etats-Unis, soit qu’ils allaient arriver sur le sol américain dans les mois à venir. En outre, élément non négligeable, le procès qui s’est déroulé a New York de février à juillet 2001 contre les auteurs présumés des attentats qui ont touché les ambassades américaines de 1998 à Nairobi et Dar-es Salaam en Tanzanie démontrait clairement la poursuite quasi-certaine d’activités terroristes dans les écoles d’aviations américaines. Ainsi, il fut démontré que deux opérateurs de Ben Laden avaient reçu leur formation de pilote dans des villes telles qu’Oklahoma ou bien encore au Texas. Par ailleurs, il semble réellement que la période se situant autour de l’année 2000 mettent clairement en avant les avertissements crédibles qui se propageaient dans les milieux du renseignement américain quand à la teneur des préparatifs d’Al Qaïda sur la proximité possible d’un attentat. C’est d’ailleurs ce que rapportera le Los Angeles Times dans son édition en date du 18 mai 2002 :
« L’été dernier, les agences du renseignement américain ainsi que les autres services d’espionnage du gouvernement ont capté une foule croissante de menaces d’attentats terroristes potentiels ». •
Les attentats de Dar-Es Salaam en Tanzanie et de Nairobi au Kenya de 1998 :
Comme une chronologie qui va en s’accentuant, Al-Qaïda frappe une nouvelle fois très fort en touchant simultanément deux ambassades américaines localisées à Dar-es Salaam en Tanzanie et à Nairobi au Kenya. Comme nous l’avons mentionné plus haut, on retrouve là encore Ayman Al-Zawahiri comme l’une des principales « têtes » à l’origine de ces attentats. Or, en plus de cet homme se profile également un autre individu suspecté d’être grandement impliqué dans l’organisation et la mise en place des ces attentats, soit Mohamed Al-Amrihi. Qui est-il ? On en sait peu sur ses relations avec les Etats-Unis mais toutefois, on apprend qu’il aurait combattu les Soviétiques en 1989 en Afghanistan et aurait été membre des US Army Reserves durant cinq ans, soit jusqu’en 1994. Une chose est sûre et qui est importante à mettre en avant, c’est l’idée que le principal constat de ces attentats est le fait qu’il se caractérise par deux grandes nouveautés : - Al Qaïda possédait des cellules « dormantes » sur le sol américain prêtes à agir dès que nécessaire. -
Il s’agit du deuxième attentat d’envergure perpétré par cette nébuleuse terroriste en moins de six ans. 3
Le rapport secret de la CIA non divulgué à la population américaine
L’une des manifestations les plus effrayantes pourrait être celle qui concerne le rapport de la CIA que la Maison Blanche a pendant de nombreuses années cherché à cacher à la population américaine. Ce rapport intitulé « Ben Laden est déterminé à frapper sur le sol des Etats-Unis » avait été remis au président George W Bush dès le 6 août 2001, soit un mois avant les attentats du 11 septembre. La question que l’on peut se poser serait donc : pourquoi le président américain aurait-il eu l’intention de demander ce rapport ? Il semblerait que Bush aurait été informé de la menace potentielle d’éventuelles prochaines attaques terroristes sur le sol américain après que les milieux du renseignement aient fait « circuler » l’information comme nous l’avons précédemment expliqué. Le National Post rapporte ainsi dans son édition du 20 mai 2002 que George Bush aurait affirmé ses préoccupations relatives « aux cibles nationales ». Mais ce qui semble être plus grave, c’est ce que ce rapport ait été très rapidement sous les pressions de certains membres de la commission du 11 septembre classifiés alors qu’il contenait en 17 pages les acteurs, les cibles des attentats terroristes à New York et Washington, événements qui se produiront 36 jours après. Ces interprétations des faits mettent en avant l’idée que l’administration Bush s’est obstinée à refuser de « voir » la vérité en face. Pourquoi n’a-t-elle pas pris assez en considération tant de documents officiels des renseignements américains pour protéger sa population ? Dans quel mesure des efforts de sécurité renforcés auraient il pu sans doute éviter le drame du 11 septembre 2001 ? Toutes ces questions demeurent en suspens de nos jours et de nombreuses interrogations demeurent encore présentes sur l’étonnant « silence » dont a fait preuve le gouvernement américain face aux menaces potentielles du 11 septembre. Mentionnons à ce titre un extrait des conclusions de l’enquête du Congrès qui sont accablantes contre le gouvernement Bush : « Le gouvernement américain recevait depuis plusieurs années des alertes répétées sur des attentats imminents, et des attentats utilisant des avions contre New York et Washington ». 4
Des menaces potentielles avant le 11 septembre en provenance de gouvernements étrangers ?
L’objet de cette section sera de comprendre si le gouvernement américain était informé de menaces potentielles d’attaques terroristes non sur son territoire ici mais en provenance de gouvernements étrangers.
En effet, ce qui est le plus frappant dans ce qui va être démontré, c que l’administration Bush avait reçu des alertes au niveau mondial par des grandes puissances comme par exemple la Russie, le Royaume-Uni ou bien la France. C’est dans ce contexte qu’une première alerte fut envoyée par la Russie en direction des Etats-Unis par l’intermédiaire de son président Vladimir Poutine. Ce dernier reprend en ces mots auprès des journalistes de MSNBC, chaîne d’information câblée américaine : « j’ai donné l’ordre à mes services de renseignement de prévenir le président Bush dans les termes les plus vifs que 25 terroristes se préparaient à attaquer les Etats-Unis notamment des édifices gouvernementaux importants comme le Pentagone. A l’époque, la réaction de Washington m’avait vraiment étonné […] Ils ont haussé les épaules et déclaré, l’air de rien […] nous ne pouvons rien faire parce que les talibans ne veulent pas le livrer. » On le constate là encore à la lecture de ces paroles prononcées par Vladimir Poutine, Moscou avait mis en garde le gouvernement de Bush contre l’imminence probable d’attaques terroristes. Les alertes ont également été prononcées par le renseignement français quelques jours avant le 11 septembre 2001. En effet, le quotidien français Le Figaro a reçu le 7 septembre 2001 un rapport de la DST (Direction de Surveillance du Territoire) affirmant que les services du renseignement français ainsi que des sources diplomatiques arabes ont communiqué à la CIA l’imminence d’attaques terroristes qui visaient à toucher les « intérêts » américains dans le monde. La presse anglaise n’a pas été étrangère aux possibles alertes qui prévoyaient d’attaquer les grands symboles de la puissance américaine. On apprend ainsi que l’Independent de Londres dans son édition du 17 septembre 2001 avait « prévenu le gouvernement américain à plusieurs reprises qu’une attaque dévastatrice se préparait contre les Etats-Unis ». Ceci est le fruit d’une interview donnée par Oussama Ben Laden fin août 2001 à un journal en langue arabe basé à Londres Al-Quds al-Arabi où il avertissait qu’un attentat était prévu. Plus frappant encore, on apprend que la chaine ABC News a souligné dans son édition du 11 septembre 2001 que « dès le 7 septembre 2001, le Département d’Etat américain lança une alerte mondiale indiquant que les citoyens américains pourraient être la cible de la menace terroriste de groupes extrémistes liés à Al-Qaïda ». Toujours selon les dires d’ABC News, le rapport indiquait que les milieux du renseignement américains étaient parfaitement conscients qu’une attaque imminente de la part de la nébuleuse terroriste Al Qaïda se profilait à l’horizon quelques jours avant le 11 septembre 2001. Dès lors pourquoi les Etats-Unis informés de potentielles attaques n’ont pas pris les mesures nécessaires pour protéger sa population civile ? Le renseignement américain a-t-il pris suffisamment en compte les alertes répétées venant du monde entier ? Tant d’interrogations demeurent présentes à ce sujet mais une chose est sure : les milieux du renseignement américain n’ignoraient nullement que les Etats-Unis pouvaient être victimes d’attentats sur son sol. Sans doute, peut-on parler ici d’un relatif échec du renseignement américain ? La question reste en suspens… 5. Les explications possibles aux attentats contre les Etats-Unis : Les adversaires des actions menées par les Etats-Unis et les pays occidentaux au proche orient et dans le monde prétendent que les actions du gouvernement américain (et de son allié Israélien) ont provoqué une forte opposition parmi les peuples arabes et musulmans et le terroriste est ainsi l’acte ultime des réactions qui en résultent. Les différentes actions qui ont causées cette série d’attentat sont les suivants : -
Le soutien des Etats-Unis à l’état d’Israël (au prétexte de son occupation de la Cisjordanie) L’appui des Etats-Unis à certain dictateur du Moyen Orient, dont Saddam Hussein durant la guerre Iran Irak entre 1980-1988. L’utilisation de bases saoudiennes par les forces alliées attaquant l’Irak en 1991. Lieu de naissance de l’Islam. La péninsule Arabique est considérée comme terre sainte pour les musulmans dont certain estiment que la présence de non croyants en ce lieu est contraire à l’Islam.
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Les bombardements de l’Irak en vertu des résolutions des nations-uni entre 1991 et la guerre en Irak de 2003 et que beaucoup considèrent comme illégaux.
Ben Laden a, dans un premier temps, nié la responsabilité de ces attentats, mais aurait revendiqué sa responsabilité directe dans l'orchestration de ces attaques dans un enregistrement vidéo affirmé authentique par la CIA. Le jeudi 24 juillet 2003, le Congrès des États-Unis publie le rapport de la commission spéciale d'enquête sur les attentats du 11 septembre 2001. Ce rapport aurait été expurgé de vingt-huit pages dans lesquelles, d'après un sénateur, seraient mis en cause certains hauts ressortissants saoudiens. Le rapport de la commission 9/11 désigne Khalid Cheikh Mohammed, capturé en 2003, comme le cerveau opérationnel des attentats. Il précise en outre que, parmi les 27 terroristes infiltrés sur le territoire des ÉtatsUnis en tant que cellule dormante dans le cadre de la planification des attentats, un vingtième pirate de l'air aurait été retiré de l'opération au dernier moment.
Une association créée par les familles des victimes et accompagnée de diplomates et historiens accuse les sénateurs qui ont rédigé ce rapport de masquer la vérité et de cacher des preuves qui impliqueraient des personnalités saoudiennes haut placées.
L’objet de cette première partie du dossier nous a permis de mieux comprendre les enjeux qui ont gravité autour de l’avant 11 septembre 2001.
En effet, à la lecture de ces différentes hypothèses préalablement énoncées, il ne fait guère de doute que le renseignement américain et le gouvernement Bush « savaient » mais n’ont pas su prendre les précautions nécessaires pour protéger sa population. Comme nous l’avons montré, bien avant le 11 septembre, les Etats-Unis étaient déjà victimes des attentats terroristes perpétrés par la nébuleuse terroriste qui avaient constitué pour l’époque une première mise en garde. « L’échec » relatif des attentats du World Trade Center de 1993 pour Al-Qaïda les a menés à penser qu’il y’aurait un futur attentat d’envergure beaucoup plus important et qui toucherait « en plein cœur » les symboles de la puissance américaine. C’est dans ce cadre qu’ont été formés des terroristes dans les écoles d’aviations américaines afin qu’ils apprennent à manier des avions et puissent par cela toucher au moment venu le Pentagone ou les tours jumelles du WTC. On voit bien que ce qu’on peut appeler « l’avant » 11 septembre 2001 était très révélateur de ce qui allait se passer par la suite : Al Qaïda en tant qu’organisation terroriste a ainsi frappé sur le sol américain par deux fois : en 1993 sur le WTC puis par la suite en touchant simultanément les deux ambassades américaines au Kenya et en Tanzanie faisant à ce titre plus d’une centaine de morts. Le 11 septembre n’est donc qu’une montée crescendo en matière de terrorisme depuis une dizaine d’années ! Une chose est sure, les attentats du 11 septembre 2001 ont souligné la vulnérabilité des Etats-Unis : ce pays qui s’affirme comme l’hyper puissance, soit celle qui domine le monde aura connu via le 11/09 des attentats sans précédent sur son territoire.
Chapitre 2 : Les attentats
A.
Le Pentagone
« Pendant que l’avion approchait du Pentagone, un homme jeune entrait et venait dire au vice-président : « L’avion est à 80 km », « L’avion est à 50km ». Quand il a dit « L’avion est à 15km », il a également ajouté à l’intention du vice-président « Les ordres sont-ils maintenus ? »Le vice-président s’est retourné, a fait un rapide mouvement de la tête e a répondu : « Bien sûr qu’ils sont maintenus ! On vous a dit le contraire ? » A ce moment là, je n’ai pas compris de quoi il s’agissait … [C’était] l’objet volant qui tombait sur le Pentagone » Témoignage devant la commission du 11 septembre, du secrétaire au Transport Norman Mineta par rapport à ce qu’il avait vu dans le bunker de la Maison Blanche
Qu’est ce que le Pentagone ? Situé a Arlington en Virginie, non loin de Washington, le Pentagone du nom de sa forme abrite le Ministère de la défense des Etats-Unis (Department of Defense) crée en 1949 par des amendements au National Security Act .Construit en 1943, occupant une superficie de onze hectares, cette construction constitue l'immeuble de bureaux le plus vaste du monde. Il possède 13 millions d'hectares de terrain. Il a été dessiné par l'architecte George Edwin Bergstrom et construit par les ingénieurs de l'armée américaine. La construction dura trois ans. Le Pentagone contient maintenant les bureaux de l'armée, de la marine, de l'armée de l'air et le bureau du Secrétariat à la Défense. Il emploie 23 000 travailleurs qui sont presque également divisés entre civiles et militaires. On y retrouve également un centre commercial, une zone de restauration, d'autobus et de taxis et un héliport I. Le Rapport Officiel À 9 h 37, Le vol AA77 percutait la partie centrale de l'aile rénovée du Pentagone (siége du ministére de la défense des Etats-Unis d’Amériques) selon un axe incliné de 52°, à une vitesse estimée de 850 km/h. Cette aile avait été renforcée pour résister à une attaque terroriste (poteaux d'acier, couverture de kevlar). « Avec l'impact se produisait une puissante explosion dont les caractéristiques, décrites par des témoins et en partie enregistrées par la caméra de surveillance du parking nord (éclair argenté, vague lumineuse, front blanc, couleur rouge intense, onde de choc), correspondent à celles d'une déflagration d'explosifs. Quelques personnes dont les bureaux étaient proches de l'aile frappée avaient remarqué une odeur de cordite, une poudre explosive. » Seulement quelques rares pièces furent retrouvées sur la pelouse et sur la voie rapide (parties de moteur et de train d'atterrissage à l'intérieur, fuselage sur la pelouse, empennage sur le toit). La rangée de colonnes d'acier fut détruite sur une largeur d'une dizaine de mètres à hauteur du rez-de-chaussée. Tout un ensemble de colonnes de soutien des étages en béton fut également détruit immédiatement en arrière de l'impact, sectionné à la base. D'où l'effondrement de la section d'étages une demi-heure plus tard. A 100 mètres de l'impact, exactement dans l'axe de vol, une perforation circulaire de 2.3 mètres de diamètre avait été faite dans le mur interne de l'anneau C du bâtiment, marqué au-dessus de l'orifice d'un important dépôt de résidus gazeux de combustion et de traces d'une onde de choc (vitres brisées). Toujours dans cet axe, le mur extérieur de l'anneau B qui faisait face à cet orifice était marqué d'une tache de 'brûlure'. L’incendie dégagea une chaleur intense a tel point que le feu a détruit des fenêtres, fendit des murs, brûla des véhicules proches ou éloignés de la zone d’impacte… en conséquence 18 heures après le début de l’incendie celui-ci n’était toujours pas éteins.
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II- Les incohérences du rapport
Qu’est ce qui a touché le Pentagone ? Selon le rapport officiel Hani Hanjour aurait effectué une manœuvre de 33degré à 850 km/h avant de projeter le vol AA77, Boeing 757 (voir annexe) sur le Pentagone en renversant des cabines téléphoniques et en maintenant l’altitude avant l’impact.
« Le vol 77 n’aurait pas pu voler à la vitesse à laquelle on nous a dit qu’il volait sans partir en décrochage dynamique » « Un avion ne peut aller a cette vitesse quand vous lui faite faire des manœuvres à forte accélération. Cet avion serait tombé du ciel …. Russ Wittenburg, pilote militaire et commercial qui a piloté deux des avions utilisés le 11 sept. Interviewé par wing TV 1. Qui est Hani Hanjour ? Ce que l’on sait, c’est que Hani Hanjour a côtoyé un mois avant le 11 septembre l’aéroport de Freeway à Bowie dans le Maryland. Ce dernier voulait louer un petit avion. Cependant lors des tests afin d’avoir l’autorisation pour louer l’avion dans la deuxième semaine d’août, ce dernière eut beaucoup de mal a contrôler et a faire atterrir un monomoteur Cessna 172 (voir annexe). Dans une interview de Marcel Bernard, instructeur-chef à Freeway, ce dernier décris Hani Hanjour comme une personne très silencieuse, et d’un pilote très moyen, ayant des difficultés a contrôler et a faire atterrir un avion … Et pourtant… « La vitesse, la souplesse de manœuvre, la façon dont il a tourné nous avons tous pensé dans la salle des radars, nous tous contrôleurs aérien expérimentés, que c’était un avion militaire » Danielle O’Brien, contrôleur aérien présent dans la salle de contrôle le 11 septembre
2. Les lampadaires
Le site de CNN annonce sur son site que le 22 novembre 2004 un jet privé venant cherché Bush Père heurt un lampadaire et s’écrase quelques secondes plus tard :
Le lampadaire endommagé reste sur pied, tordu à son extrémité
L’impact a arraché l’aile est dispersé des débris sur plus de 100 mètres ***
Pourtant, le 11 septembre les cinq lampadaires qui ont « touchés » le vol AA77 sont tous en parfait état, mais sont tous par terre comme s’ils avaient jaillis du sol. Bien entendu on ne retrouve pas de débris d’aile ce qui laisse penser que les lampadaires n’ont en aucun cas endommagés les ailes du vol AA77 ni même ne la touché.
Si le haut du poteau a été coupé (voir photo de gauche), pourquoi la lampe se retrouve si prés de son emplacement initial. Elle aurait du se retrouver a des kilomètres. Et si le haut n'a pas été coupé, la mécanique de cet effondrement m'échappe, surtout vu l'état du capot de la voiture *** L’équipe de recherche du FDR a effectué a partir des données fourni par le NTSB une simulation du crash sur le pentagone et il en est ressorti qu’il est impossible que l’avion est pu percuter ne serait ce qu’un seul lampadaire les raisons étant que l’avion se trouvant bien trop haut pour les toucher. Retrouver une vidéo de la simulation à l’adresse suivant : http://www.youtube.com/watch?v=DzR-q0ijbV0 Aussi la question que l’ont peut se poser si ce n’est pas un avion qui a déraciné les avions qui en est le responsable ?? 3. La pelouse Trouver les sept différences
la pelouse lors des attentats du 11 septembre comme vous pouvez le constater on y voit les pompiers en train d’éteindre les flemmes se trouvant dans le Pentagone, et regarder l’état de la pelouse.
L’état d’une pelouse après un crash aérien, comme vous pouvez le constater on a un avion et une pelouse en piteux état.
Si comme le prétend le rapport officiel, un Boeing 757 s’est écrasé sur le pentagone où se trouve la marque laissée par le vol AA77 lorsqu’il a rebondit sur la pelouse, et en déracinant des lampadaires sur son passage. Il ne pouvait qu’être à une altitude extrêmement basse pour percuter ainsi le pentagone et donc il était obligatoire qu’il touche la pelouse, mais comme on peut le constater il n’en est rien … *** Et on peut se poser certaines questions : La photographie ci-dessous montre un camion déversant du sable sur la pelouse. Plus loin, un tractopelle étale des cailloux. Expliquez pourquoi le ministère de la Défense Américain a jugé utile de recouvrir de cailloux et de sable la pelouse, pourtant intacte après l'attentat.
On peut supposer que c’est pour que les bulldozers ou autre poids lourd puissent passer, cependant il faut reconnaître que cela reste tout de même étrange.
4. L’autoroute Je vous invite à aller voir ces vidéos : http://video.google.co.uk/videoplay?docid=-1208113432572686065 : Montre la puissance d’un réacteur d’un avion de ligne. http://www.youtube.com/watch?v=V31yVuYcus4 / Montre qu’une voiture passant près des réacteurs vole automatiquement La chose troublante c’est que l’avion passe au-dessus de l’autoroute, et même si ce n’est pas les réacteurs qui font envoler les voitures, la vitesse de l’avion les frôlant aurait du les renverser, et pourtant il n’en est rien.
5. Où est l’avion ? « La chaleur intense du carburant a littéralement pulvérisé l’avion » Explication officielle concernant le fait qu’on ne retrouve pas l’avion
« … Vous savez, cela peut paraître clair mais de mon propre avis, il n’existe aucune preuve qu’un avion soit même tombé dans les environs du pentagone, la seule vue est celle de la façade actuelle où le bâtiment à été endommagé..» Jamie Mcintyre reporter de CNN présent sur les lieux le 11 septembre
Les pièces de l’avion « En premier lieu, la question de l’appareil : il y a quelques fragments de l’appareil que l’on pouvait voir de l’intérieur pendant les opérations de lutte contre l’incendie dont je parlais mais il ne s’agissait pas de débris volumineux. En d’autres termes, il n’y a pas de morceaux de fuselage, ni rien du reste… » Réponse du chef de service des pompiers d’Arlington Ed Plaugher à la question « Que subsiste-t-il de l’appareil ? » lors d’une interview le 12 septembre
Le principal problème dans l’attentat du pentagone, c’est l’absence total d’avion : pas de réacteur, pas de siège, pas de débris d’aile, de débris de queue d’avion, rien, les seules pièces que l’on a retrouvé sont très contestable soit tellement petite qu’on pouvait les ramasser à la main.
Analyse des débris
Mais Aussi …
*** Mark Faram et d'autres personnes ont photographié ce débris sur la pelouse du pentagone. On le retrouve aussi sur une vidéo de CBS.
Une analyse de la position possible de la lettre rouge présentant un arrondi et un liseré blanc, dans le marquage latéral du Boeing 757 perdu par American Airlines montre que peu de zones correspondent : voir l'image cidessous extraite de l'analyse de Sarah Roberts.
Sur cette image, on a rajouté, en jaune, le marquage du rayon de l'arrondi. On l'estime à environ 50 cm et le rapportant à la hauteur du hublot du 757 (~45 cm) et à la hauteur l'encadrement extérieur de la porte de l'appareil (~2 m). Le problème posé est un problème d'échelle. En effet, si on analyse la photo ci-dessous, on voit clairement que le débris se trouve en avant du pickup rouge dont on voit la partie avant sur la gauche de la photo. On a fait apparaître, sur l'extrait situé à droite, la comparaison du rayon de la roue du pick-up avec le rayon de l'arrondi de la lettre rouge. On estime le rayon de ce dernier arrondi aux environs de 25 cm.
On peut trouver confirmation en examinant un autre débris, sur lequel apparait la lettre "C". En comparant avec la largeur de la porte située sur le mur de la tour de contrôle (~70 cm), il semble bien que la lettre du débris ait un diamètre identique. A comparer avec la hauteur d'environ 1,2 m du "C" sur la carlingue du B 757.
Le premier travail sur le sujet concernait le débris à la lettre rouge photographié par Mark Faram, afin de déterminer s'il y avait supercherie ou non. Ce débris étant souvent montré dans les medias, on n'a pas été le seul à faire cela. Voici une tentative de replacer cette pièce sur le fuselage d'un B 757 :
On peut dire que ces tentatives ne sont pas très convaincantes et cela pour trois raisons : Elles ne prennent pas en compte la taille du débris : le voir avec la jante de la roue du pick-up rouge. • Elles utilisent une représentation 2D d'un débris 3D assez chiffonné, pour le placer sur une autre image 2D d'une surface 3D (le fuselage d'un avion). • Les couleurs dans ce contexte d'éclairage solaire rasant, l'aspect géométrique et le détail des transitions de couleur au niveau du pixel sur la partie gauche de la "lettre rouge" me semblent toujours être des artefacts. •
Comme pour confirmer qu'il y a quelque chose de bizarre dans ces débris marqués de lettres rouges, voici un extrait d'une photo prise le 11 septembre où un autre débris marqué de rouge / blanc peut être vue. On a ajouté à cette photo un triangle jaune pour montrer que, depuis le point éloigné où la photo a été prise (probablement sur Washington Boulevard), le débris est à une distance approximativement intermédiaire entre le groupe de personnes qui court et la façade du pentagone (l'arbre). J'ai ajouré aussi des flèches jaunes pour tenter d'estimer le rayon de la forme arrondie qui borde la zone rouge sur : La jambe du pantalon d'un homme qui court, et aussi entre sa montre de poignet et le bout de ses doigts : approximativement 25 cm. • Le diamètre de l'arbre sur la façade. A vue de nez 20 à 25 cm au moins ? • Le rayon de la bordure arrondie de la zone rouge. •
Dans ce cas, il semble que le rayon de la zone rouge pourrait être au moins deux fois les 25 cm des flèches sur l'homme qui court. Ceci voudrait dire que le rayon est de 50 cm ou plus, ce qui est le rayon des lettres estimé sur les photos du Boeing 757 N 644 AA. Constatations : La présence de ces débris sur diverses photos les authentifie. Le rayon de la bordure rouge sur la photo souvent montrée de Mark Faram est deux fois plus petit que ce qu'on trouve sur les logos "American" peints sur les Boeing 757. • La taille de la lettre "C" sur le débris posé contre la tour de contrôle est environ 60% de la taille de cette lettre sur le logo peint sur le Boeing 757. • Les témoins se répartissent nettement en deux groupes : ceux qui ont jugé sur les dimensions objectives de l'appareil et ont vu un petit jet d'affaires, et ceux qui ont jugé sur la forme générale de l'appareil et le marquage, y compris le logo "AA" sur la dérive, et on vu "un 757 ou un airbus" d'American Airlines. • •
Conclusions de l’analyse: 1.
Première hypothèse : les images sont vraies. Dans ce cas : On a peint un logo "American" environ deux fois plus petit que celui d'un B 757 sur l'avion qui a percuté le pentagone. • Si cet avion était beaucoup plus petit qu'un B 757 (taille d'un avion d'affaires), on voulait le faire passer, aux yeux de quelqu'un le regardant de loin, pour le vol 77. • Si cet avion était un avion de ligne, il faut penser qu'il avait été peint aux couleurs d'American Airlines pour la circonstance, avec des lettres plus petites que sur un B 757. • Les témoins ont tous vu le même appareil, et il est assez vraisemblable qu'il s'agit d'un avion plus petit qu'un Boeing 757 d'American Airlines, bien qu'il lui soit visuellement semblable. • Il y a une anomalie sur le débris photographié à coté du groupe qui court, avec un rayon environ deux fois plus élevé que sur les autres photos. •
2. Seconde hypothèse : l'image de Mark Faram et celle où l'on voit la lettre "C" sont fausses. Dans ce cas : • Ces débris pourraient venir d'un Boeing 757 d'American Airlines. • L'infographiste qui a trafiqué ces photos, probablement pour montrer que ces débris proviennent du logo "American" d'un B 757, n'a aucune idée des dimensions des objets réels, de la perspective, de la construction 3D, de la déformation des objets métalliques soumis à une contrainte, des effets d'éclairage sur des objets 3D. Il est seulement un as de Photoshop. Conclusion déjà vue, n'est-ce pas ? • Mark Faram, qui a pris la photo de ce débris sur la pelouse du Pentagone et détient l'original de cette photo, est soit lui même cet infographiste, soit il est complice de cette fraude. Remarques concernant l’état des pièces en question : 1). Il n'y a apparemment pas de trace de flamme ou de résidu de fumée sur l'objet. En fait, toutes les parties observables sont exceptionnellement brillantes. 2). Il n'y a apparemment pas de trace d'impact de cet objet avec le sol. L'herbe n'est pas aplatie dans le voisinage, et il n'y a pas de marque d'impact de cet objet avec le sol dans la terre. 3). Il ne semble pas y avoir de poussière ou d'herbe nulle part sur l'objet. Ceci pourrait suggérer que l'objet n'a pas été soumis à l'explosion et qu'il a été délicatement posé sur le sol. 4) Comme on peut le constater les débris se trouvent tous à une certaine distance ce qui laisse supposer qu’elles ont était projeté lors de l’impact avec le pentagone mais en sont ressortis intact
6) Les témoignages Après avoir analysé 250 témoignages voila ce qu’un analyste à découvert : Environ 89 ont seulement vu quelque chose se crashé Au moins 45 ont reporté avoir vu un avion et l'avoir décrit comme "gros", "avion de ligne", etc ... Au moins 25 disent avoir vu un avion d'American Airlines Au moins 22 reporte que le bruit de l'avion était sourd Au moins 19 ont vu des lampadaires fauché par l'avion lorsqu'il traversait l'autoroute Au moins 12 ont dit avoir vu un petit avion pouvant avoir à son bord une vingtaine de personne à son b ord Au moins 11 disent avoir vu un C -130H volant 30 secondes derrière Comme on peut le constater on a de nombreux témoins qui se contredisent, on à même certain militaire qui se trouvait aux alentours et à l’intérieur du pentagone qui parle d’avoir entendu un missile, certain parle même que l’objet ayant touché le Pentagone allait trop vite pour être un avion. 7) La défense du Pentagone « Durant toutes les années que j’ai passées au Pentagone, cela n’aurait jamais pu arriver. Les images radar ATC étaient (et sont) visibles dans les sous-sols du Pentagone et tout avion commercial dans un périmètre de 300 miles autour de Washington D.C. qui faisait un brusque changement de cap en direction de Washington D.C. ou éteignait son transpondeur et refusait de communiquer avec la tour de contrôle était intercepté à une vitesse supersonique en quelques minutes par des avions de combat de la base aérienne Andrews. Le fait qu’il n’y ait pas eu d’intervention d’avions de combat de la base Andrews me déroute. Si des avions de combat pouvaient en 6 minutes seulement être alertés, déployés et en vol depuis la base d’Andrews à cette époque, nous le pouvons aussi aujourd’hui. »
Voici ce que dit un ancien contrôleur du trafic aérien du Pentagone Le pentagone est un des bâtiments les plus protégé au monde. Disposant d’un nombre incalculable de caméra, des avions de combat sur le pied de guerre capable d’intervenir dans un temps record, des radars capable de détecter le moindre véhicule terrestre ou aérien qui rentre dans son champ d’action et on voudrait nous faire croire qu’ils n’ont pas était capable de détecter un Boeing 747, qu’il aurait pu prendre de vitesse des avions de chasse … Le plus déroutant c’est que « par chance » le vol AA77 s’est encastré dans la partie du Pentagone qui venait juste d’être rénové justement contre les possibles attaque d’avion, côté qui se trouve à l’opposé des bureaux de Donald Rumsfeld … 8) Les Caméras de Surveillance Officiellement le FBI a présenté à ce jour qu’un seul film où l’on « voit » soit disant un avion. Cependant n’y a-t-il p as d’autre caméra qui aurait pu filmer l’avion s’écrasé contre le pentagone …
Voici tous les bâtiments qui ont eu leurs Caméras braqué sur le Pentagone le jour du 11/09 aussi examinons un peu de plus près les caméras.
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L’hôtel Sheraton
Comme vous pouvez le constater l’hôtel dispose du Camera situé vers le Pentagone ( en effet le Pentagone se trouve juste en face et l’hôtel se trouve bien dans l’axe du Pentagone ( voir le plan)), l’hôtel aurait bien filmé l’avion, cependant nous n’aurons pas le plaisir de voir cette vidéo car d’après le Washington Post après que les membres de l’hôtel l’aient visionné un certain nombre de fois et ces derniers ont était choqué par ce qu’ils ont vu, le FBI est intervenu et s’est emparé des vidéos ( une trentaine de minute après l’attentat ( ils sont rapide à réagir n’est ce pas, au lieu de sécuriser le Pentagone ils envoient des agents faire le tour des bâtiments a proximité du Pentagone afin de prendre les caméras …), intimant l’ordre par la même occasion aux employés de ne pas divulguer ce qu’ils ont vu.
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Le département des transports de Virginie
Le département des transports de Virginie (VDOT) a des caméras sur les principales autoroutes pour surveiller le trafic
Mais surtout …
Comme on peut le voir les caméras sont en face du Pentagone on ne peut avoir de meilleur point de vue sur l’avion percutant le Pentagone. Et pourtant à ce jour le FBI refuse de montrer ces vidéos …. **** •
Rappelez-vous de la pièce de notre avion :
Comme vous le voyez il y a des caméras partout, et toujours les mêmes questions pourquoi ne peut on pas voir la vidéo de cette caméra et avoir la confirmation que le débris de l’avion proviens bien du Boeing AA77, le FBI et la société responsable des caméras se refusent a tous commentaires …
• La station service du Pentagone La station service NEXCOMM/CITGO est le dernier endroit survolé par l'avion avant qu'il ne traverse l'autoroute et ne plonge sur le Pentagone. Jose Velasquez, employé de cette station service a entendu l'avion passer tout près de la station, puis a vu l'explosion sur le Pentagone. Dans les minutes qui ont suivi, dit-il, le FBI est venu et a pris la vidéo avant même qu'il ne puisse la voir. (Retrouver son témoignage : http://news.nationalgeographic.com/news/2001/12/1211_wirepentagon.html)
Les vidéos de la station essence ont était publié (http://www.youtube.com/watch?v=sT6qV8mmITg&eurl=http%3A%2F%2Fwww%2Ereopen911%2Einfo %2Fforums%2Ft1820%2Dcameras%2Dpentagon%2Ehtml) Cependant la qualité est très mauvais certaine partie sur la vidéo sont floutées et surtout vous aurez beau mettre au ralentis ou regarder attentivement vous ne verrez aucun avion apparaitre et pourtant les caméras sont bien orientées vers le pentagone.
• Le pentagone
Comme nous le montre la photo ce n’est pas les caméras qui manque aux alentours de l’impact, il serait tout de même malchanceux de ne pas avoir une seule image de l’avion, et pourtant aucune image n’a était diffusé concernant ces caméras •
La vidéo du Crash
Origine
Les trois images qui suivent sont extraites de la vidéo présentée sur le site web de CNN, comme ayant pour origine le département de la défense (dod) et tournées le 11 septembre 2001 par la caméra de surveillance du parking situé devant le Pentagone.
L'authenticité de cette vidéo n'a jamais été remise en cause par les autorités. On peut d'ailleurs remarquer sur l'image 2 que la caméra a bougé, pour ne pas dire "sauté sur place". Sur les coins en haut à gauche et en haut à droite des images, sont visibles des détails flous situés probablement sur la vitre de la guérite. Ce mouvement correspond à l'arrivée sur l'emplacement de la caméra de l'onde de choc transmise par le sol et qui se propage bien plus rapidement que l'onde de choc dans l'air. Les images ont sans doute été retaillées par un logiciel d'infographie pour que l'arrière plan apparaisse stable et qu'on puisse regarder les images en succession dans
une animation sans être gêné par cet effet de mouvement de la caméra (voir la légende coupée en bas sur l'image 2). Un point mérite d'être souligné ici, relatif aux "time codes" qui se trouvent sur la partie inférieure des photos. A mon avis, ils correspondent à des dates / temps mis par un calculateur lorsqu'il sauvegarde des images sur un disque dur. La partie fractionnaire de ces temps évolue au rythme de l'horloge du système (50 ou 60 Hz). Je suis quasiment certain qu'ils n'ont rien à voir avec l'instant auquel les photos ont été prises : les caméras de circuit fermé ne travaillent jamais sur une fréquence comprise entre 50 et 100 images / seconde, ce qui est très inhabituel. De plus, il n'y aurait pas deux images avec le même time code. Enfin, les commentaires comme "impact" sont écrits avec la même typographie que les time-codes, ce qui prouve qu'ils ont été inscrits lorsque les images ont été analysées et non lorsqu'elles ont été tournées, à moins -juste une plaisanterie - que le Pentagone n'aie des dispositifs sophistiqués à base d'intelligence artificielle sur les caméras de surveillance de ses parkings capables d'analyser correctement comme l'impact d'un avion ce qui - c'est le moins qu'on puisse en dire - n'est pas clair pour des analystes humains. Autre détail, au niveau de la date on entrevoit un 2 a côté du 2001, cependant il y a là aussi une erreur les attentats s’étant déroulé le 11 sept 2001 on devrait avoir un 1 a côté du 2001. Certain documentaire après s’être approprié les vidéos on fait un zoom arrière et ils ont découvert que la date qui est inscrit n’est pas le 11 sept mais le 12 sept … Ce qui expliquerait la présence d’un 2 et non d’un 1 …
Position de la Caméra
•
Les images Image 1
Juste en dessus du boitier jaune (qui contient le lecteur de badge d'identification ?) on peut voir une forme noire, qui pourrait être la queue de l'avion. A la droite de ce boitier, un fin nuage blanc. Il est présenté comme un vortex créé par le passage de l'avion, ou encore comme les gaz d'échappement de ses moteurs. Notez l'espace libre entre la gauche de ce boitier et la façade du pentagone : l'avion doit nécessairement passer dans cet espace entre sa position sur l'image n° 1 (partiellement caché par le boitier jaune) vers sa position encastré dans le pentagone après le crash. L'analyse du site montrera, ci dessous, que cet espace représente une distance d'environ 70 m.
Image 2 La queue supposée de l'avion a disparu. Le front de l'explosion sort de la façade du pentagone. La couleur blanche, ainsi que l'expose Pierre Henri Bunel, l'expert cité par Thierry Meyssan dans son livre, indique la présence d'un front se propageant très rapidement, caractéristique d'un explosif solide et non de la combustion de kérozène. Comparez avec les volutes orange et noires créés par l'explosion des avions qui ont percuté le World Trade Center, ou bien avec cette image d'un test de crash par la NASA(image ci côté) Notez aussi que la trace blanche (vortex ou gaz d'échappement) s'étend maintenant à gauche du boitier jaune et qu'elle disparait dans le front de l'explosion. Si elle a bien été causée par le passage de l'avion, ce dernier a traversé cet espace.
Image 3 Le front de l'explosion s'étend. La couleur blanche a été remplacée par un joli rouge : signe que des gaz très chauds s'échappent. La trace blanche a quasiment disparu à droite du boitier jaune, ce qui tendrait à prouver qu'il s'agissait d'un vortex et non de gaz d'échappement. L'extension du front d'explosion, à partir de l'image précédente, pourrait être d'environ 20 à 30 m, par référence à la hauteur de la façade du pentagone (24 m). En divisant cette distance par la vitesse de propagation du son dans l'air (300 m/s), cela donne un délai entre les deux images entre 66 et 100 ms. Cela donnerait des fréquences de travail, respectivement, de 15 et 10 images par seconde. Ces fréquences seraient inférieures aux fréquences normalisées des cameras vidéo (25 ou 30 images / seconde), mais c'est cohérent avec le fonctionnement des cameras de surveillance en circuit fermé qui travaillent souvent avec de tels rythmes plus faibles.
• Analyse des images Pourquoi il manque des images
SI l'on ne s'attache pas à la présence supposée d'un objet volant ayant causé cette explosion mais seulement à l'explosion elle-même, les images 1 et 2 ne peuvent être en succession directe séparées de 100 ms. Si la vitesse de propagation dans l'air est régulière, proche de la vitesse du son dans l'air (300 m/s), nous devrions avoir au moins une image montrant le début de l'explosion, peut-être deux ! Pourquoi, s'il n'y a pas d'image manquante, cela ne peut pas être un 757
Dans l'hypothèse où il n'y a pas d'image manquante, et si le 757 s'est déplacé entre l'image 1 (caché par le boitier jaune) et l'image 2 (masqué par l'explosion) dans l'intervalle de temps entre les images 1 et 2 en 100 ms, on doit admettre que cet avion a couvert une distance égale à : L+S L = 45 m : Sa longueur, pour apparaître complètement à gauche du boitier jaune. S = 40 m (minimum) : 70 m moins le rayon de la zone en explosion. La vitesse du 757 doit donc être de 85 m / 100 ms, ce qui donne 850 m/s ou encore 3060 km/h (mach 2.7). Il n'est pas nécessaire d'interroger les ingénieurs de Boeing pour savoir que cela n'est pas possible. Si c'est bien un 757, combien d'images ont été perdues ? Si l'on suppose que le 757 étaient environ à sa vitesse maximale, 900 km/h, ou 250 m/s, le temps nécessaire pour voler sur 85 m est 340 ms. Cela signifie que trois images ont été perdues. C'est, objectivement, un total manque de chance de perdre les trois images de cette vidéo sur lesquelles on doit voir le 757 traverser majestueusement l'espace entre le boitier jaune et la façade du pentagone, pour s'y encastrer !
Analyse de l'image 1 de la caméra de surveillance. Ci-dessous l'image, avec des lignes de perspective rajoutées en jaune. La trajectoire présumée de l'avion a été décomposée en trois zones : • • •
De la droite de l'image jusqu'au boitier jaune (35 pixels, 6,2 % de la largeur de l'image). Derrière le boitier jaune (46 pixels, 8,1%). Du boitier jaune jusqu'à la façade du pentagone (89 pixels, 15,6%).
On a tracé également sur cette image la ligne d'horizon de la camera ainsi qu'une trajectoire d'approche de l'avion (commentaires plus loin).
L'image suivante est extraite d'une vue aérienne. On a reporté sur cette vue les lignes correspondant aux limites latérales de vision de la camera. On a tracé une ligne, perpendiculaire à l'axe de la camera, qui correspond à un plan en position homothétique du capteur de la camera. On a reporté sur cette ligne les pourcentages mesurés sur l'image précédente. En traçant des droites depuis la camera jusqu'à cette ligne, on coupe la trajectoire de l'avion (confirmée par les traces dans le bâtiment ainsi que les lampadaires heurtés).
On voit donc sur cette trajectoire, successivement : 95 m au dessus de la route, laquelle est environ 6 m plus haut que le sol de l'héliport. L'avion passe à la hauteur du haut des lampadaires qui surplombent cette route. • 65 m de talus, pour rejoindre le niveau de l'héliport (pente 10%). • 28 m au dessus de l'héliport, zone visible à droite du boitier jaune sur la photo 1. • 35 m caché derrière le boitier jaune. • 72 m jusqu'au point d'impact sur la façade, vus à gauche du boitier • 84 m de pénétration entre l'impact et le dernier trou ("punch out") dans le mur de l'anneau C. •
On peut reporter ces distances sur une coupe réalisée le long de la trajectoire présumée de l'avion (en violet). On y a reporté les lampadaires (en bleu) ainsi que l'horizon de la caméra (en jaune) : un plan horizontal situé à environ 1,3 m du sol de l'héliport.
La hauteur du vol en dessus de la chaussée de Washington Boulevard peut être estimée à environ six mètres, d'après la longueur de la partie inférieure du lampadaire heurté par l'avion. Constatations : La fumée à droite du boitier jaune sur l'image 1 mesure environ 7 pixels de haut, soit 5 m à la distance où elle est vue depuis la camera (275 m). • La ligne d'horizon est à environ 1,3 m du sol (hauteur de la camera). • Cette fumée étant en dessous de la ligne d'horizon, elle rentre donc dans le sol de près de 4 m ! • La trajectoire approximative (la fumée) impliquerait que l'avion, après être passé au dessus de la route (approximativement à six métres de haut) a descendu un talus assez pentu (sur 65 m) et a effectué une ressource instantanée pour voler sous un plan situé à 1,3 m du sol et cela jusqu'au mur du pentagone. • Sur le site web de Ron Harvey, on constate que le poteau d'éclairage situé en bas du talus, a été touché (apparemment dans sa partie haute). • La partie de la trajectoire masquée par le boitier jaune mesure 35 m de long. Il serait donc difficile à un appareil mesurant 45 m de long d'être complètement masqué derrière ce boitier à l'exception de sa dérive qui apparaîtrait au dessus. •
Conclusions :
La fumée produite par un avion ne peut pas rentrer sous le sol : elle est fausse. La queue de l'avion au dessus du boitier jaune est fausse. Un avion, surtout s'il vole vite, ne peut pas en une vingtaine de mètres passer de la hauteur du haut d'un poteau d'éclairage (une quinzaine de mètres du sol de l'héliport) à un vol en rase mottes sous un plan situé à 1,3 m de hauteur du sol, pour laisser la trace de fumée visible sur les photos. • La pseudo-trajectoire indiquée par la trace de fumée est en réalité montante par rapport à la ligne d'horizon : l'objet volant non identifié aurait du voler sous le niveau du sol avant d'émerger de la pelouse du talus en bordure de l'héliport (trajectoire en pointillés) puis remonter légèrement pour aller frapper le pentagone quelques mètres en dessus du sol ! • Si l'on ajoute qu'il s'agissait parait il d'un Boeing 757, dont la partie inférieure des réacteurs devait se trouver à la hauteur de vol habituelle d'une tondeuse à gazon, et que le pilote présumé, Hani Hanjour, avait • • •
été jugé par ses instructeurs incapable de faire atterrir un Cessna 172, on pourrait en rire, s'il n'y avait pas les circonstances, le nombre des victimes et les conséquences. Voir une simulation par une université renommée.
La seule trajectoire réaliste est la trajectoire en descente régulière. Un 757 aurait eu environ 150 m à parcourir entre l'apparition de son nez à droite de la photo et la disparition de sa queue dans l'explosion de l'image 2, passant au dessus du boitier jaune et non derrière. A 250 m/s, il lui fallait 600 ms pour cela : la caméra de surveillance ne pouvait donc pas le manquer. Voici une table qui montre combien d'images ont dû être perdues, en fonction de la vitesse de l'avion (500 à 1000 km/h), donnée aussi en mph et en m/s, et de la fréquence de la camera (images / seconde). •
Nombre d'images perdues Fréquence de camera (Hz) 30 25 15 10 Vitesse de l'avion km/h
mph
m/s
400
249
111 41 34 20
14
500
311
139 32 27 16
11
600
373
167 27 23 14
9
700
435
194 23 19 12
8
800
497
222 20 17 10
7
900
559
250 18 15
9
6
1000
621
278 16 14
8
5
La fraude :
La fumée qui semble indiquer le passage et la trajectoire de l'avion sur les photos 1 et 2 a été faite par un infographiste qui n'avait aucune compétence en perspective et vision 3D. Voir la trajectoire réaliste en violet. • La queue d'un avion virtuel a été rajoutée sur le boitier jaune. La présence de cette queue et de la fumée sont destinées à prouver qu'il y a bien eu un avion et que, par malchance, la camera n'a pas pu le filmer ! • Les photos ont peut-être été coupées sur la droite, pour éviter de faire apparaître le poteau d'éclairage (doit être juste à droite de la coupure) ni le talus ni le pont sur l'autoroute. • Le fait de dessiner de la fumée dans cette zone sur les images 1 et 2, ainsi qu'une bande noire bizarre et irréelle sur les images 3, 4 et 5 permet de faire disparaître le bas de ce talus. •
Soit la caméra était penchée sur son support dans sa guérite (ce qui peut arriver), soit l'image a été tournée par logiciel pour que la ligne d'horizon monte de la gauche vers la droite, ce qui permet de donner l'illusion que la trajectoire indiquée par la présence de la fumée est horizontale voire légèrement descendante, alors qu'elle est montante. • Comme je l'avais indiqué sur mon ancien site web, plusieurs images ont été perdues sur lesquelles on voit l'objet s'approcher du pentagone et le frapper. •
Analyse de l'image 2 de la camera de surveillance Dans l' Analyse du Guardian figure un excellent article sur l'explosion au pentagone, avec un schéma montrant que la couleur rouge vue en avant de la tour de contrôle de l'héliport est fausse et a été rajoutée par un infographiste. Je ne suis pas d'accord avec cette analyse et pense que, à l'exception de la trace de fumée laissée par le passage de l'avion entre le boitier jaune et le front de l'explosion, cette photo est vraie, voici pourquoi.
Constatations : Le mouvement de la caméra dans la guérite est très réaliste. La caméra sursaute sur elle même lorsque l'onde de choc de l'explosion arrive à l'emplacement de la caméra. Cette onde de choc se déplace à une vitesse comprise entre 2000 et 6000 m/s, vitesses de propagation de différents types d'ondes séismiques dans le sol. L'explosion se produit à environ 180 m de la caméra. Les ondes séismiques mettent donc entre 30 et 90 millisecondes (ms) pour se propager jusqu'à la camera. Si la camera a fait un bond de 1 cm au dessus de son support, le temps nécessaire pour arriver à l'apogée de ce bond est de 45 ms. Pour 2 cm, 64 ms. Pour 5 cm, 101 ms. Dans l'hypothèse d'une onde séismique de compression rapide et d'un bond de camera de 1 cm, la photo 2 a été prise 75 ms après l'explosion. Dans l'hypothèse d'une onde séismique transversale plus lente et d'un bond de camera de 5 cm, la photo a été prise 191 ms après l'explosion. • Le front de détonation blanc que l'on voit se développer d'une manière quasiment sphérique à partir du point de l'explosion se déplace à une vitesse sonique, soit environ 300 m/s. On peut estimer son extension à deux fois la hauteur du pentagone (24 m), soit environ 48 m. Le temps écoulé depuis l'explosion est donc de l'ordre de 160 ms, et peut être moins si l'on considère que dans les 20 premiers mètres de l'extension du front d'explosion, la propagation est plus rapide : retenir un temps compris entre 100 et 160 ms semble raisonnable. •
Les traces rouges que l'on voit d'une part à droite du front d'explosion au ras du sol et d'autre part sur l'avant de la tour de contrôle sont laissées par un plasma très chaud qui ionise l'air. Ce plasma est créé par le dard de feu d'une charge creuse et se propage à des vitesses extrêmement élevées, de l'ordre de 20 fois la vitesse du son, soit 6 000 m/s ! Ce dard étant dirigé vers l'intérieur du bâtiment, ce qu'on voit est constitué de particules réfléchies après un choc contre les structures internes du bâtiment (colonnes, murs) et qui ressortent du bâtiment. Le trajet direct de ce plasma avant réflexion est de l'ordre de 6 à 84 m, soit un temps de trajet de 1 à 14 ms. Son trajet après réflexion de l'ordre de 30 à 120 m, avec une vitesse qu'on peut estimer raisonnablement entre le sixième et la moitié de la vitesse initiale, soit 1000 à 3000 m/s, cela donne un temps de parcours réfléchi compris entre 10 à 120 ms. Le temps écoulé entre l'explosion et l'arrivée d'un plasma ionisé sur la zone vue en avant de la tour de contrôle par la camera est donc compris entre 11 et 134 ms. Dans la version précédente de ce site (en archive) j'ai estimé un temps plus court : il m'avait simplement échappé que sur les deux premiers niveaux, la partie extérieure du pentagone n'est pas constitué de trois anneaux, comme dans les étages supérieurs, mais de vastes plateformes dans lesquelles les piliers sont les seuls obstacles qui résistent à la propagation. •
Conclusions :
Il y a eu explosion d'une charge creuse de grande puissance, qui a projeté un plasma à très haute vitesse dans le bâtiment. • Le raisonnement présenté dans l'article du Guardian selon lequel les traces rouges vues en avant de la tour de contrôle sont fausses car correspondraient à un déplacement plus rapide que le front de l'explosion blanc ne tiennent pas, du fait de la vitesse très élevée du plasma créé par une charge creuse. • Si le délai probable entre l'explosion et la photo est compris entre 100 et 150 ms, il faut en déduire que les traces rouges que l'on voit en avant de la tour de contrôle sont des résidus d'ionisation entrain de disparaître, ou que l'obligation pour ce plasma de ressortir du bâtiment à travers des ouvertures (lesquelles étaient parait il particulièrement renforcées ) ou encore que des multi-parcours dans le bâtiment lui ont fait prendre un certain retard pour qu'on le voie se propager là où il se trouve 100 à 150 ms plus tard. • Si un infographiste est assez stupide pour tenter de nous faire croire qu'un avion peut voler en dessous du niveau du sol, il est peu probable qu'il soit capable d'inventer des effets réalistes tels que la propagation d'ondes séismiques ou de plasma ionisé à haute vitesse. •
La fraude :
Comme sur la photo 1, la trajectoire du pseudo avion matérialisée par de la fumée, que ce soit à droite ou à gauche du boitier jaune, est irréelle : cette fumée a été dessinée par un infographiste. • Comme sur la photo 1, la ligne d'horizon n'est pas horizontale. • Cette photo devrait être la cinquième ou la sixième de la série, voire plus si l'appareil volait à la vitesse estimée par les témoins (environ 600 km/h) et/ou si le rythme de la caméra était supérieur à 10 images/s. •
*** 9) Analyse du crash Trajectoire de l’avion
Reconstitution de l'approche du Boeing Les images suivantes sont des documents. Elles montrent la trajectoire de l'appareil :
Trajectoire d'approche du Boeing
Trajectoire d'approche du Boeing. Où se trouvaient les photographes qui ont pris les clichés depuis le sol ?
Les plans de vol des avions "détournés".
« L’avion » volait à l’horizontale en rasant le sol
Pour voler à l’horizontale en rasant le sol, il aurait fallu à l’avion un terrain dégagé sur plusieurs centaines de mètres.
Les scientifiques ont observé que l’impact sur la façade se trouve entre le rez-de-chaussée et le premier étage du bâtiment. Ils ont constaté que seuls ces deux premiers niveaux ont été endommagés à l’intérieur de l’immeuble (les étages supérieurs sont intacts et le sol n’a pas été creusé). Comme le montre l’image ci-dessus qu’ils ont diffusé à la presse, les chercheurs ont donc pris pour postulat que « le Boeing » était arrivé à l’horizontale en rasant le sol. Il est possible qu’un tel avion rase le sol de cette manière, c’est ce qu’on appelle l’atterrissage. Mais pour cela, il lui faut un terrain dégagé sur une distance de plusieurs centaines de mètres (Une piste d’atterrissage mesure entre 2000 et 2500 mètres. Selon le constructeur, il faut 1500 mètres à un Boeing 757-200 pour atterrir dans ces conditions). « L’avion » ne disposait pas d’une telle piste d’atterrissage devant le Pentagone. Le bâtiment se trouve en effet dans une zone vallonnée, construite d’immeubles d’habitation et traversée par des autoroutes et des échangeurs
Enfin l'impact, vu de profil. Notez la hauteur de l'empennage, "replié" ou "mis en miettes".
Impact sur le Pentagone
Simulation de l'impact : l'appareil, taille réelle, juste avant qu'il ne se replie totalement, ailes et empennage, avant de disparaître dans le bâtiment avec son carburant.
Vu sous un autre angle
Entre 9 h 10 et 10 h 10, les pompiers sont alors sur place. Le texte dit "qu'un incendie secondaire s'est déclaré, un camion stationné devant le Pentagone s'étant enflammé. La fumée qui s'en échappe est celle d'une feu d'hydrocarbures" (noire, par opposition à "l'incendie urbain" qui couve derrière et qui dégage des fumées grises.
- Un camion des pompiers arrose un feu qui s'est déclaré dans un autre camion qui stationnait devant le Pentagone (à droite). L'endroit où l'objet ayant frappé le Pentagone a frappé la façade est indiqué dans le rectangle blanc. Sur le cliché suivant, un agrandissement de ce trou présenté comme le point d'impact. C'est un cliché très intrigant. En effet l'orifice semble être de forme rectangulaire. On distingue les fenêtres au dessus et sur les côtés. La partie supérieure semble être un élément d'un plancher. Le trou couvre l'espacement de deux fenêtre et est donné comme ayant 5 à 6 mètres de large. C'est ce qui correspondrait à un mur qui aurait été défoncé. Devant, le jet d'eau correspondant à l'arrosage du camion en feu. On ne sait pas exactement ce qui apparaît au milieu du trou. Est-ce une cloison vue par la tranche ou un fragment de poutre qui pendrait ?
L'orifice d'entrée, agrandi On remarquera qu'en face de cet orifice d'entrée la pelouse est ... intacte, alors qu'elle devrait normalement être inondée de kérosène en train de brûle, s'il s'agissait de l'impact d'un avion de ligne. On note aussi qu'il n'y a aucun débris, aucune trace de l'impact de l'empennage vertical sur le mur de façade. Lorsque le train d'atterrissage n'est pas sorti un Boeing 757-200 mesures hors tout douze mètres de haut. On remarquera également une chose, à moins qu’on ne fabule complètement : Les fenêtres situées juste au dessus de l'orifice le plus important et celle de droite, de même que d'autres semblent maculées par ce qui ressemble à de la neige carbonique. Peut importe ce qu'est exactement ce produit : les vitres sont intactes, alors que l'avion a été apparemment totalement pulvérisé. Quelqu'un peut-il expliquer comment un avion de ligne
peut frapper une façade, se désintégrer complètement en faisant en sorte que des vitres situées aussi près de l'impact soient intactes !?! Il n'y a pas de corps visibles, pas de débris de train d'atterrissage, pratiquement rien sauf des bouts d'alu. Alors, où est le reste ? A l'intérieur, nous dit-on. Mais entré par quel orifice ? Par quel trou est rentrée cet énorme fuselage avec sa cargaison d'êtres humains (soixante passagers), leurs valises, les baies électroniques du poste de pilotage, les vérins, les pièces du train d'atterrissage, etc.., etc... (Il y en a des choses dans un 757) ? Ca ne peut pas être par un trou minuscule. Il faut donc envisager le trou le plus gros. Si c'est le trou carré le plus gros alors l'empennage aurait du frapper la façade sur la partie immédiatement supérieure. Revenez à l'image d'avant : les vitres sont intactes ! On retombe sur l'idée générale liée à la thèse officielle : l'avion percute la façade et "se replie comme un fou de Bassan replie ses ailes (et son empennage) pour réussir à se faufiler à l'intérieur. Reconstitution, s'il vous plaît ! Une aile d'avion n'est pas faite "que de bouts d'alu. Il y a un puissant longeron, qui encaisse les contraintes. Ce longeron a du frapper la façade à 450 km/h. Où est la trace de l'impact ? Si, comme noté par Milanini il y a plusieurs impacts, plusieurs trous et si ceux-ci correspondent à la pénétration dans le bâtiment des blocs moteur, alors où a frappé le fuselage et où se trouve la marque de la frappe de l'empennage ? Qu'on m'explique...... Les blocs-moteur sont des structures compactes (voir plus loin mon dessin où ils sont figurés en rouge. Les axes des réacteurs encaissent toute la poussée de l'avion. Ce ne sont pas des assemblages en alliage légers, susceptibles d'être pulvérisés. Dans tous les crashes ont retrouve au moins un moteur identifiable. Si rien n'a été retrouvé à l'extérieur c'est que ces moteurs sont rentrés à l'intérieur. Comment ? S'ils avaient frappé l'extérieur et n'avait pas pénétré on aurait du retrouver des éléments identifiables, ne serait-ce qu'une aube de réacteur, pas "de simples débris d'alu". S'ils ont pénétré à l'intérieur et qu'ils ont "suivi une course folle" comment ces débris se sont-ils volatilisés alors que selon Milanini ils auraient traversé trois corps de bâtiment où ne semble pas avoir régné un chaleur de fous au point de tout volatiliser. Regardez la trou dont la photo figure sur la couverture du livre de Meyssan. Quelque chose a du percuter ce mur au terme de sa course? Le fuselage ? Pas assez compact. Alors, un moteur ? Mais alors, dans cette cour, au pied du pompier doit se trouver des débris identifiables. Là il n'y a pas eu "une chaleur de four qui volatilise tout" puisqu'au dessus du trou on trouve des vitres simplement brisées. Quand il y a un incendie important le verre fond. En 1959 j'ai pris place à bord d'une Dauphine pilotée par un jeune polytechnicien, ingénieur militaire, devenu général : Gildas Rouvillois. Le caractère quelque peu impulsif de sa conduite nous a fait quitter la route (en ligne droite, en essayant simplement de doubler un camion, sans rien qui venait en face) avec plusieurs tonneaux. Par miracle nous nous en sommes sortis sans mal. Mais immédiatement le réservoir d'essence a pris feu. Il était plein : 40 litres d'essence. Toutes les vitres ont fondu. On les a retrouvées le lendemain sous forme de blocs de verre dans la coque de la voiture. Quelqu'un a-t-il retrouvé des blocs de verre fondu dans les débris du Pentagone ? En fait on n'a rien retrouvé parce que rien n'a été conservé ou que "les éléments de l'enquête ont été considérés comme relevant du secret défense". Non seulement l'avion s'est volatilisé, de même que ses passagers (et, comme le fait remarquer M. Milanini leurs sièges !), mais s'il y avait des restes ils ont ... fait de même. Il y a matière à reprise de l'enquête, ne trouvez-vous pas ? Mais aux USA, se poser la question "avait quelque chose d'impie". Comment se fait-il que la presse Française ait simplement refusé de se poser la question un seul instant, se contentant d'émettre des avis scandalisés sur cet "antiaméricanisme primaire". Cela me confiorme dans ce que je commence de plus en plus à penser : nos journalistes ne pensent pas, ne réfléchissent pas, ils répètent ce qu'ils entendent ici et là comme des perroquets. A moins qu'on leur demande avec fermeté de ne pas s'intéresser au sujet. Dernière hypothèse, peut-être pas la plus éloignée de la réalité : indifférence et absence de conscience professionnelle.
Une autre vue de l'orifice d'entrée, béant cette fois. Cette image est intéressante. Le trou d'entrée, de forme grossièrement rectangulaire apparaît cette fois béant. Le pompier au premier plan donne l'échelle. On voit, à l'intérieur, des flammes d'un incendie qui est en train de se déclarer. On peut alors se demander ce qui a pu faire ce trou. Mais aussi on peut voir que les bobines de fil juste à côté de l’orifice sont en parfait état Voyez que le Pentagone est toujours debout … Pour ce faire regardons comment est construit un avion de ligne comme le Boeing 757-200.
- Structure-type d'un avion de ligne. Les parties les plus dures, les plus susceptibles de créer des dommages lors de la collision avec un bâtiment sont les parties centrales des réacteurs, soulignées en rouge. Il y a ensuite, à un moindre degré les deux longerons de voilure, en bleu, ainsi que la structure qui les joint et sur laquelle prendra appui le train d'atterrissage. Le reste est conçu pour être le plus léger possible. Le nez de l'appareil, par exemple, ce n’est pas conçu pour avoir un pouvoir perforant quelconque. Tout au plus doit-il être assez solide pour résister à l'impact d'une ... mouette. Il est en fibre de carbone, pour permettre aux ondes radar de le traverser librement. Depuis l'après-guerre les fuselages des avions sont construits avec la technique "du revêtement travaillant", une des principales contraintes étant simplement de pouvoir en caisse les contraintes liées à la... la pressurisation. C'est la raison pour laquelle la plupart des fuselages ont des sections circulaires. Ils sont construits en tôles de 2,5 mm d'épaisseur avec des raidisseurs qui étaient au départ rivetés mais peuvent être aussi collés. Ces raidisseurs sont de simples cornières en "L" de faible épaisseur. Le fuselage d'un avion de ligne se présente donc comme une coque cylindrique raidie qui n'a aucun pouvoir de perforation. Etant donné l'angle sous laquelle se serait présenté cet avion, si c'était un avion, l'ensemble aurait sans doute défoncé le mur extérieur du fait de son énergie cinétique mais de nombreuses pièces de seraient détachées. On aurait du retrouver des fragments d'ailes, de l'empennage, du train. La thèse selon laquelle l'ensemble de l'avion aurait pu s'engouffrer par un trou aussi petit, comme un fou de Bassan repliant ses ailes difficile à défendre. Le kérosène est contenu à la fois dans le fuselage et dans les ailes. Lors de l'impact tout ce carburant aurait du gicler de tous les côtés, se répandre en s'enflammant sur la pelouse, imprégnant et noircissant les murs. Sa combustion complète aurait pris un temps très long. C'est contradictoire avec le fait que toute trace d'incendie, ou presque, ait disparu dans la minute qui a suivi l'impact. La prise de feu du kérosène aurait du être instantanée et durable. On aurait du voir ce kérosène brûler avec de grosses volutes noirâtres. Or selon la thèse officielle l'ensemble de l'appareil pénètre par l'orifice ci-dessus, ailes et empennage compris (puisqu’on n’a retrouvé aucun débris de ces éléments dans les alentours). Puis... le kérosène ne s'enflamma pas, pendant un temps très long (30 minutes) qui permet aux camions des pompiers d'arriver. Enfin, soudain, ce kérosène "se décide à s'enflammer", entrainant l'effondrement d'un large pan de la façade. La chaleur dégagée par cette combustion est telle que l'appareil est "vaporisé" (de même que les corps des passagers). Immédiatement après l'impact le "fuselage" poursuit sa course en laissant une suite de trous parfaitement ronds dans les murs successifs et la course de la partie avant se termine dans une cour, après avoir laissé ce dernier trou :
-"Trou de sortie" de la partie avant du fuselage.
Bien qu'ayant ménagé une découpe aussi précise cette partie avant, ne contenant pas une goutte de kérosène se volatilise elle aussi miraculeusement. On n'en retrouvera aucune trace dans cette cour, rien.
« L’avion » n’avait pas de réacteurs
Les scientifiques ont oublié deux détails qui permettent à un avion de voler et qui sont les éléments les plus solides de l’appareil : les réacteurs. L’étude a été centrée sur la destruction des ailes du « Boeing 757-200 ». Il était en effet paru surprenant qu’un avion de 38 mètres d’envergure pénètre dans un bâtiment par un orifice de 5 à 6 mètres de largeur. Une théorie avait été avancée par plusieurs « spécialistes » qui avaient affirmé que les ailes s’étaient « rétractées » sous l’effet du choc. Les universitaires de Purdue expliquent, quant à eux, que ces ailes étaient surtout composées du kérosène et que celui-ci s’est déversé dans le bâtiment sans vraiment l’endommager. Les uns et les autres oublient deux petits détails qui se trouvent sur ces ailes et permettent à un avion de voler : les réacteurs. Ces deux pièces sont les plus résistantes de l’appareil. Elles n’ont tout simplement pas été prises en compte dans l’étude de Purdue (image ci-dessus).
Le Pentagone n’a pas de façade
scientifiques n’ont pris en considération que les piliers du bâtiment et ont oublié que la façade n’a été trouée que sur 5 à 6 mètres de largeur. Les
Dans leur recherche, les scientifiques ont étudié la collision de « l’avion » avec les piliers de soutien du bâtiment. Le directeur de la recherche, Mete Sozen, a particulièrement insisté sur la spécificité de ces piliers, renforcés par une barre métallique en spirale, une technique utilisée dans les années 40. « Le cercle d’acier, explique-t-il, a renforcé la solidité des colonnes et a probablement permis de sauver beaucoup de vies » . Dans leurs recherches, les scientifiques n’ont pas pris en considération le fait que « l’avion » devait auparavant percuter la façade, puis défoncer plusieurs murs internes. Ils ont fait comme si la collision avec la façade n’avait endommagé ni celle-ci ni l’appareil. Ils ont totalement évacué le fait qu’un Boeing 757-200, d’une envergure de 38 mètres et d’une hauteur de 12 mètres, ne peut entrer par un orifice de 5 à 6 mètres de large sans que ni les ailes, ni les réacteurs, ni la queue ne provoquent la moindre trace d’impact.
L’antimatière existe
« L’avion » se serait « écrabouillé ». Mais les scientifiques ont oublié de préciser comment 100 tonnes de matière « écrabouillée » ont bien pu disparaître. Pourquoi y a-t-il eu si peu de dégâts sur l’immeuble du Pentagone ? L’étude de Purdue donne une réponse à cette question : le « Boeing » a été réduit en poussière. « Á cette vitesse, l’avion lui-même est comme une peau de saucisse [a sausage skin] », a expliqué Mete Sozen à la presse. « Il n’était pas assez résistant et s’est virtuellement écrabouillé [crumbles] lors de l’impact ». Si les scientifiques expliquent de cette manière l’absence de dégâts importants sur l’immeuble, ils n’expliquent pas pour autant la disparition du prétendu « Boeing ». Ils oublient que 100 tonnes de matière « écrabouillée » restent toujours 100 tonnes de matière. Qu’est devenue cette matière ? En cherchant un Boeing, nos universitaires semblent avoir fait une grande découverte scientifique : l’antimatière existe
Les victimes Tout comme les décombres de l’avion, aucun corps n’a était retrouvé. Cependant, le FBI a pu fournir la liste complète des personnes à bord des avions, grâce à l’ADN trouvé sur le site, cependant sur ces lites les terroristes n’y figure pas … Donc, en résumé on trouve de l’ADN mais on ne retrouve pas un avion fait d’acier résistant normalement à des températures élevé …
B. Le World Trade Center
« Il y avait des explosions de partout. J’étais sûre qu’il y avait des bombes placées tout autour et que quelqu’un se trouvait à un poste de commande et appuyait sur les détonateurs. Il y a eu une explosion … et une autre … je ne savais pas par où m’échapper... » Tereza Veliz travaillait au 47e étage de la tour Nord lorsque l’avion percuta la tour le 11/9
« Nous parlons ici de couteaux en plastique et de l’utilisation d’un vol d’American Airlines rempli de nos concitoyens, et du missile pour endommager ce bâtiment et d’autres (inaudible) qui ont endommagé le World Trade Center. » Déclaration de Donald Rumsfeld
I.
Le World Trade Center
Situé sur la presqu'île de Manhattan, le World Trade Center était un complexe de six immeubles d'affaires détruits suite aux attentats du 11 septembre 2001. Le WTC fut construit par Minoru Yamasaki pour le compte des Autorités portuaires de l’Etat du New Jersey. Fin juillet 2001, cet ensemble fut privatisé, l'acquéreur, Larry Silverstein, étant déjà propriétaire de l'immeuble de 47 étages situé juste au nord du complexe, nommé par extension WTC7. Le nouveau propriétaire assura immédiatement lesdits immeubles contre les actes terroristes pour la somme de 2 milliards de dollars. Une tour avait en effet été victime d'un attentat à la voiture piégée le 26 février 1993, tuant 6 personnes et faisant 1 042 blessés. Environ 50 000 personnes y travaillaient quotidiennement. Les attentats du 11 septembre 2001 y ont fait 2 749 victimes. Les deux tours emblématiques du World Trade Center (WTC1 et WTC2 appelées aussi Twin Towers) étaient les plus hauts gratte-ciel de New York (417 et 415 mètres, 110 étages); leur surface habitable était de 800 000 m², tandis que leur poids respectif atteignait environ 4.5 millions de tonnes. II.
Rapport Officiel
La première tour : À 8 h 46 (heure locale) (UTC 12 h 46 ), le vol AA11 percutait quasi perpendiculairement en son centre la face nord-est de la tour jumelle Nord6, son angle de gîte (22°) résultant en une emprise sur quatre étages (94 à 97). Animé d'une vitesse estimée à 710 km/h, l'avion laissait dans la façade son empreinte partielle (35 m pour 48 m d'envergure), les extrémités des ailes n'occasionnant que des dommages superficiels. Les dommages occasionnés à la structure externe ont été chiffrés à 36 poteaux sectionnés (13 en moyenne par étage atteint, soit 5% du pourtour). Les dommages sur la structure centrale restent inconnus. Le kérosène en ignition se répandit dans les étages les plus touchés ainsi que la cage centrale des services, le souffle atteignant le rez-de-chaussée. Les feux restèrent contenus dans l'espace de l'impact, à l'exception d'un surgissement au 105ème étage qui exhiba l'unique émergence de flammes du bâtiment. L'effondrement de la tour Sud induit une réactivation des feux à l'intérieur du bâtiment (fumée plus volumineuse et plus grise). La béance laissée par l'impact, mettant 'à vue' le cœur du bâtiment, resta en permanence un trou noir, signalant ainsi l'absence d'incendie au niveau de la cage des services L'effondrement de la tour Nord se fit avec les mêmes caractéristiques que celui de sa jumelle, à part le fait que la partie sommitale s'est effondrée immédiatement sans résistance et de manière parfaitement verticale. La projection des vestiges vers l'extérieur est le trait qui a permis la survie et le sauvetage des rares rescapés.
La seconde tour :
À 9 h 03, le vol UA175 pénétrait de biais la face sud-ouest de la tour Sud, à quelques 7 mètres de son centre. L'évènement a pu être largement enregistré par les télédiffuseurs qui couvraient l'attentat contre la tour Nord. Selon le rapport publié par la FEMA, la vitesse de l'avion était estimée à 870 km/h, ce qui lui accordait 50% de plus d'énergie que le vol AA11. Mais, frappant la tour entre les étages 79 et 81, il laissait une empreinte moindre (26 m d'envergure) malgré un angle de gîte plus important (31°) car à ce niveau la structure extérieure était (deux fois) plus résistante qu'au niveau de l'étage 95. L'angulation de la direction de vol a fait que la moitié tribord de l'appareil ne pouvait pas rencontrer la structure interne des poteaux porteurs, permettant ainsi au moteur, au train d'atterrissage et à une partie de carlingue de ressortir par l'angle est du bâtiment et d'être retrouvés jusqu'à 400 m de distance. L'avion sectionna 23 colonnes de la structure externe (8 par étage en
moyenne, soit 3% du pourtour), dommages auxquels il faut ajouter ceux réalisés dans l'angle oriental par la sortie du moteur et du train droits. Les raisons de l’effondrement : Le feu aurait, selon la version officielle, causée l’effondrement des 2 tours. En effet le feu (avec une chaleur intense) ayant fragilisé (facilitant sa fonte) la structure en acier des 2 tours aurait ainsi entraîné la chute des 2 tours. Puisque la structure était fragilisée, les étages, au dessus des brèches ouvertes, se sont effondrés sur les étages endommagés. Puis réactions en chaîne et tous les étages se sont effondrés les un sur les autres sans que la structure n’oppose de résistance (un peu comme si la structure était déjà déboulonnée). Les étages n’ont pas entraîné de résistance entre eux, lors de l’effondrement, l’immeuble ainsi était en chute libre. III.
Les incohérences du rapport 1. Altération des preuves
Les attentats contre le WTC sont les premiers attentats à grande échelle, en effet c la première fois que deux avions sont détournés afin d’être percutés contre deux grattes ciel. Cet attentats à l’avantage de possédais deux macabres record du monde : C’est l’attentat qui à fait le plus de victime dans les rangs des pompiers en une seule intervention (la deuxième plus grande perte en nombre de vie humaine sur le sol Américain), le second, l’écroulement du WTC est le plus vaste écroulement d’une telle structure dans l’histoire du monde entier. Dans de pareilles conditions on pourrait s’attendre à ce qu’une investigation très importante serait mise en place. Au lieu de cela, nous assistons à de multiples enquêtes superficielle sans lien entre elles et manquant de coordination. Les pièces métalliques, représentant pour des preuves inestimables, sont traité comme des vieux bouts de ferraille sans importance … *** Selon le New York Daily News, ce n’est pas moins de 168 000 tonnes de structures métalliques qui furent enlevées du site. Toujours selon le NYDN approximativement 80% des décombres ont été éliminés sans être examinés. *** A peine onze jours après l’attentat, la municipalité de New York a mandaté l’entreprise « Controlled Demolition Inc » pour un plan de recyclage de l’acier. Comment se fait il qu’après seulement onze jours après les attentats une entreprise est déjà contacté pour faire le ménage dans les décombre. Ne chercherais t on pas à faire disparaitre rapidement les preuves … ne veut on pas qu’on découvre la vérité à savoir que les poutres n’ont pas fondu … Pourquoi la ville de New York a-t-elle mise en place de nouvelles infrastructures sous forme de docks afin d’accélérer l’évacuation des débris ? … Pourquoi les camions ont tous était équipés d’un système de GPS afin de pouvoir les localiser à n’importe quel moment ?? Pourquoi étaient-ils tous sous surveillance de la police ?? Ils ne transportaient pourtant que de vulgaire barre d’acier… que cherche t on a caché ?? Pourquoi tant de moyen mise en œuvre pour ne pas les perdre ??? ***
Mais alors que sont devenus nos preuves ??? C’est simple, une grande partie fut revendue à Alan D. Ratner de « Metal Management of Newark » et à la société new-yorkaise Hugo Neu Schnitzer East. Aujourd’hui la majorité de l’ossature du WTC se trouve dans les usines Indienne et Chinoise en majorité le reste et éparpillé un peu partout dans le monde.
Conformément aux ordres, la FEMA est parvenu a très vite se débarrasser des preuves, ne laissant à la commission que quelques bribes de l’ossature. Mais pourquoi tant de moyen pour contrôler l’évacuation de l’ossature ? Pourquoi tant d’empressement alors qu’une enquête était en cours ? Pourquoi les enquêteurs n’ont-ils pas eu accès au décombre ??? 2. Rappel concernant l’architecture du WTC « Les gratte-ciel pus récent sont construit selon les méthodes les moins coûteuses. Mais ce bâtiment [Les tours du WTC] était magnifique disent les experts » Citation de la BBC « Aujourd’hui ont ne construit plus rien d’aussi solide que le WTC » Robert McNamara, président de la société d’ingénieurie Mcnamara and Salvia
Hauteur : 417 mètre pour la tour Nord et 415 pour la tour Sud Base de chaque Structure : 63m Surface de chaque étage : 4000 m² à chaque étage 200 000 tonnes d’acier certifiés aux normes ASTM E119 400 000 m³ de Béton
*** Comment les tours tenaient t elle debout ? Chacune des tours était supportée par un réseau de poutres en treillis métalliques pensant plus de 81646 Tonnes et assez solide pour résister à des tremblements de terre, des ouragans, des bombes, et des attaques d’avions de type Boeing 707. *** L’élément principal des tours était la structure centrale composée de poutres d’acier et de béton qui avait été conçue pour plusieurs fois le poids des tours. Malgré ce qu’avance la version officielle le WTC était composé d’une armature métallique ignifuge parmi les plus résistantes de toute l’histoire dont un bâtiment ait pu être équipé. Selon la page du documentaire de PBS/Nova, « How the towers Fell », chaque étage était conçu pour supporter 1180 tonnes au-delà de son propre poids. Faite le calcul, une tonne [métrique] égal 1000 Kg, chaque étage était donc capable de supporter 1 180 000 Kg au-delà de son propre poids. Le noyau Centrale était constitué de Béton renforcé par 47 armatures en acier de construction qui occupaient la majeure partie des fondations. *** Cependant l’erreur principale du rapport est de soutenir que les tours se seraient effondrées du fait que leurs étages se seraient effondrés les uns sur les autres, par réaction en chaine. Toutefois cette théorie n’est pas
recevable car dans le WTC les plaques de béton ne constituaient que le plancher. Elles ne soutenaient aucunement les bâtiments. Les tours s’apparentaient plus à une structure métallique réticulaire (relative au réseau) tridimensionnelle. *** A l’époque où elles ont était construite, les tours jumelle devaient être la vitrine des Etats Unis, un peu comme la Tour Eiffel et la France. Aussi vous pouvez être sûr que les ingénieurs, architecte, ont tout renforcé. De plus techniquement parlant : Un élément structurel doit pouvoir physiquement supporter trois fois le poids de surcharge maximale qui lui sera jamais demandé de supporté » *** Comme vous pouvez le constater les tours étaient des bâtiments solide capable de faire face à n’importe quoi, même d’un avion de ligne. Et un avion de ligne de type Boeing 767 est rentré dedans comme dans du beurre, on verra par la suite que peut-être une aide lui a était apporté afin de rentrer aussi facilement dans les tours …
3. L’impact Comme vous pouvez le constater les différences entre un Boeing 707 et un Boeing 767 ne sont pas importante (voir annexe) cependant, un élément est tout de même intéressant, si les terroristes avaient voulu faire de vrai dégât il n’aurait pas choisi un Boeing 767. En effet, si les terroristes avaient voulu faire de plus gros dégât ils auraient choisis un Boeing 747. Ce dernier est deux fois plus lourd, peut transporter deux fois plus de kérosène, et sont plus rapide. Ces différences auraient permis de faire plus de victimes et plus de dégâts … *** Impact subis par les tours Tour Nord : Impact frontal et perpendiculaire au noyau centrale.
Tour Sud : Impact fait en angle, presque à la parallèle de la structure. Le mauvais angle du vol UA 175 à eu pour résultat qu’une grande partie du Kérosène qui se trouvais dans l’avion de ligne a explosé à l’extérieur du bâtiment créant alors 2 boules de feu (voir la photo ci-dessus) *** Thomas Eagar qui apparait dans le documentaire de la chaîne Nova, en tant que défenseur de la thèse du gouvernement reconnait : « L’impact des avions n’a pas eu de conséquence parce que les colonnes détruites par l’impact initial étaient peur nombreuses et que, dans cette structure hautement redondante, les charges se sont transférées sur les colonnes restante » De même, Eric Hufschmid, auteur de Painful Questions ajoute : « Au cours des quelques dizaines de secondes qui ont suivi l’écrasement de l’avion, la tour nord n’a pas bougé et est restée stable et immobile » Leslie Robertson, qui était l’ingénieur de la structure du WTC, comparait même l’impact de l’avion à un crayon perçant une moustiquaire … Aussi si ce n’est pas les avions qui sont à l’origine de l’affaiblissement de la tour voyons si l’incendie peut en être le responsable.
4. Les incendies dus au kérosène
« Une grande quantité du kérosène transporté par chaque avion a pris feu au moment de l’impact avec les tours. Une importante partie de ce carburant s’est consumée immédiatement dans les subséquentes boules de feu. On pense que le reste du carburant se serait soit écoulé vers le bas des bâtiments ou il se serait consumé de lui-même quelques minutes après les impacts. La seule chaleur produite par le kérosène enflammé n’apparait pas avoir été suffisante pour causer l’effondrement des structures. » Extrait du chapitre 2 du rapport de la FEMA Le kérosène après l’impact Dans la mesure où les appareils qui sont entrés en collision avec le WTC effectuaient seulement un vol entre Boston et Los Angeles, ils étaient par conséquent bien loin d’avoir leurs réservoirs pleins au moment du décollage. Les appareils transportaient juste assez de combustible pour qu’ils effectuent leur vol en conformité avec les règles de sécurité. Si les réservoirs ne sont pas entièrement pleins c’est simplement parce que les remplir au maximum pour des petits trajets ne serait pas rentable pour l’entreprise, c’est pour ça qu’ils mettent juste le nécessaire. C’est pourquoi les sources du gouvernement estiment que chacun des Boeing 767 transportaient 37 900 litres de kérosène à bord au moment de l’impact.
Comme on peut le constater sur ces photos (Tour Nord à droite, Tour Sud à gauche), lors de l’impact le kérosène a généré de spectaculaire boules de feu quand les avions se sont écrasés, mais en l’espace de quelques minutes la plupart des flammes avaient disparu.
La quasi absence de flammes est une indication que les incendies étaient de faible intensité et la fumée noire (comme le montre la photo ci-dessus la fumée noire sort des deux tours) est une indication que les feux étaient en train de suffoquer. La suie et le manque de flammes peuvent être interprétés comme une preuve que les incendies s’étouffaient par manque d’oxygène et qu’ils n’étaient pas capables de détruire une structure métallique aussi massive.
La rapidité de la combustion du kérosène Qualité inhérentes au carburant liquide : Il ne brûle pas à des températures extrêmes très longtemps. Le carburant liquide s’évapore ou bout quand il prend feu, et la vapeur s’évapore tandis qu’elle entre en ébullition. Si la température ambiante dépasse le point d’inflammabilité du kérosène et qu’il y a de l’oxygène en abondance, le processus conduit à une explosion qui consume le kérosène. Il faut savoir que les incendies causés par le kérosène ont été brefs. Une grande partie du kérosène à soit brûlé, soit s’est évaporé en une trentaine de seconde, et la totalité en a peine deux à trois minutes. Toutefois si l’on part du principe que la totalité du kérosène à savoir les 37 900 litres se sont bien déversé sur le plancher des étages il aurait fallut moins de cinq minutes pour que la totalité soit évaporé.
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Température du feu
« Nous savons que les composants de l'acier étaient certifiés par le label ASTM E119. Les courbes de temps des températures pour ce standard exigent que l'acier soit exposé à des températures d'environ 1100°C pendant plusieurs heures. Et nous sommes tous d'accord sur le fait que l'acier remplissait ces conditions. De plus, je pense que nous sommes tous d'accord sur le fait que même un acier non certifié résistant au feu, ne fondrait pas avant d'avoir atteint des températures très élevées de l'ordre de 1650°C. Cette histoire ne tient pas debout. Si l'acier de ces buildings s'est affaibli ou a fondu, ce n'était certainement pas dû au kérosène, de quelques types que ce soit, sans parler des brefs incendies à l'intérieur des Tours. »
Kevin Ryan, des laboratoires "Underwriters", la companie qui certifia l'acier utilisé dans la construction du WTC, dans une lettre adressée à Frank Gatle du NIST (National Institute of Standards and Technology). Quelques jours après avoir écrit cette lettre, Kevin Ryan fut renvoyé de son poste.
La température maximale que peut atteindre des feux d’hydrocarbure brulant dans l’atmosphère sans pressurisation ou préchauffage est de 825°C. En d’autres terme si vous souhaitez avoir une température supérieur a la normale il faudrait mélanger au préalable du kérosène avec de l’air qui permet de produire des flammes bleues, similaire à celle utilisées par les sidérurgistes pour couper l’acier. Petite clarification sur la « physique des incendies » : la température de fusion de l’acier est de 1535°C. La plus haute température que l’on peut obtenir en brûlant des hydrocarbures dans l’atmosphère sans pressurisation et préchauffage de l’air est de 825°C, et cette température est obtenu quand on a pré-mélangé un hydrocarbure avec de l’air, le genre de flemme bleue qu’on observe dans les cuisinières a gaz. *** Le rapport de la FEMA, « étude sur la performance technique de la construction du WTC » rapporte que les températures sur les zones d’impact atteignirent entre 925 et 1095°C, tellement intense qu’elles auraient fait fondre les poutres d’acier. L’auteur et chercheur Eric Hufschmid déclarait : « Si les estimations des températures de la FEMA sont correctes, l’intérieur des tours était une fournaise capable de faire fondre l’aluminium et de cuire de la poterie »
Cependant …
Comme vous pouvez le constater nous nous trouvons au centre de la zone d’impact, dans le trou béant, dans l’encadré rouge on peut voir une femme encore en vie, qui se trouve en plein dans la zone où il est censé faire dans les alentours de 1000°C. On constate bien qu’il n’en est rien, et que la température est bien supportable. Dans une lettre Kevin Ryan affirme que les flammes n’ont pas dépassées la température de 260°C, à peine la moitié de ce qui est nécessaire pour forge l’acier (595°C). (lettre téléchargeable à l’adresse suivante : http://www.septembreleventh.org/newarchive/2004-11-11-ryan.PHP Comme nous avons pu le constater, les causes des fumées noires qui se sont échappées des tours sont principalement dues à un manque d’oxygène, mais aussi à un manque de combustible. Les seuls possible combustible que le feu a pu trouver pour continuer à vivre était, les moquettes, les papiers peints, quelques meubles, rien qui ne puissent permettre au feu d’atteindre des sommets de chaleur. Cependant un détail intéressant, pourquoi les extincteurs comme le soutiennent des témoins avait il disparu ?? Donc la thèse selon laquelle les colonnes centrales ont chauffées tellement qu’elles se sont écroulé, affaiblissant aussi les poutres en acier est tout simplement impossible, car c’est un feu de bureau qu’il y avait dans les tours à ce moment, et non la fournaise dont on nous parle.
Voici ce que la FEMA écrit dans son rapport final : « C’est un fait avéré que la température maximale pouvant être atteinte par un hydrocarbure non stœchiométrique enflammé (c'est-d à-dire des hydrocarbures comme le kérosène brûlant à l’air libre) est de 825°C. Les incendies du WTC étaient chargés de kérosène, comme en témoigne l’épaisse fumée noire, et n’ont par conséquent pas pu atteindre de près ou de loin, la limite maximale de 825°C. En fait, les incendies du WTC auraient brûlé à des températures normale voir inférieures, à celles d’un incendie de bureau classique » « Une importante partie du carburant s’est consumée immédiatement dans les subséquentes boule de feu. On pense que le reste du carburant se serait soit écoulé vers le bas des bâtiments ou se serait consumé de lui-même quelques minutes après les impacts. La seule chaleur produite par le kérosène enflammé n’apparait pas avoir était suffisante pour causer l’effondrement des structures » Comme on le constate le discours de le FEMA change beaucoup. •
Témoignages
« Vous pouviez voir à travers le mur et les fissures et apercevoir les flammes qui les léchaient. Pas une énorme flambée mais les flammes qui léchaient les murs et de la fumée qui s’en échappait » Stanley Clark, un survivant du 84e étage du Bâtiment 2 du WTC « Nous sommes allés dans l’ascenseur. Dès que j’ai appuyé sur le bouton, une énorme détonation s’est fait entendre. Nous sommes tous les deux tombés à la renverse. Je me souviens d’avoir ressenti cette chaleur intense. Les portes étaient toujours ouvertes. La vague de chaleur a duré peut-être 15 ou 20s. Je suppose. Et elle s’est arrêtée » Donovan Cowan, dans un ascenseur ouvert au 78 e étage « Il n’y avait des survivants que dans mon espace, et ces survivants travaillaient dans mon bureau. Je m’en suis rendu compte plus tard car j’y suis restée immobile pendant 10 à 15 minutes. C’est pourquoi j’ai souffert d’autant de brûlure » Lin Young, Bureau au 78 e étage Madame ne connait pas sa chance, elle n’a que des brûlures alors que selon le rapport de la FEMA elle ne devrait même pas être vivante pour en parler. En effet, rappelez vous selon le rapport de la FEMA il est censé régner dans cette zone une température capable détruire l’armature de la tour sud. Aussi peut-on voir encor une faiblesse du rapport puisque nous sommes en présence de témoins déclarant que les températures étaient suffisamment modérées pour pouvoir s’en échapper.
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Les pompiers et l’incendie
Le New York times a récemment révélé que « au moins deux hommes avaient atteint le sky Lobby au 78 étage de la tour sud ». Tiens on pouvait accéder au 78 e étage malgré cette fournaise… Une fois sur place les pompiers rendirent compte des incendies et des victimes qu’ils rencontrèrent et commencèrent à évacuer les survivant. Si l’ont peut affirmer cela c’est que l’ensemble des conversations des pompiers ont été enregistrées sur des cassettes. Les familles des victimes ont eu l’occasion d’écouter ces cassettes mais elles n’ont pas était autorisées à prendre des notes, pourquoi ? de quoi ont-ils peur ? Dans une interview la femme du chef de bataillon Orio Palmer (un des deux pompiers à avoir atteins le 78 e étage) déclara « je n’ais pas perçu de la peur, je n’ais pas perçu de la panique [dans la voix de son maris] » De même un journaliste du New York Times écrivait « La voix des pompiers ne laissait transparaître aucune panique, aucun sentiment qu’ils se trouvaient dépassés par les évènements. A ce moment là, le bâtiment n’allais tenir debout que quelque minutes supplémentaires, car les flammes avaient commencé à déformer la structure des planchers au-dessus d’eux. Même à cet instant, le chef Palmer ne pouvait apercevoir que deux poches de feu, et appela deux compagnies de sapeur-pompier afin de venir les éteindre » Les éteindre, d’après le rapport officiel il devait y régner une fournaise avec des flammes impressionnantes, alors comment a-t-il pu penser pouvoir le maitriser, si ce n’est qu’en fait l’incendie était beaucoup moins important qu’on nous le faire croire. Voici un extrait de la conversation entre Orio Palmer et Joseph Leavey : « -Orio Palmer : « Bataillon 7… 15e Compagnie , nous avons deux poches de feu isolées. Nous devrions être capables de les éteindre avec deux compagnies. Signalez par radio, au 78 e étage nombreux 10-45 code 1 -Joseph Leavey : Chef, vous êtes à quel étage ? - OP : Escalier Sud Adam, Tour Sud - JL : 78 e étage ? -OP : 10-4, nombreux civils. Nous allons avoir besoin de deux pompes à incendies ici. -OP : Je vais avoir besoin de deux de vos pompiers à l’escalier Adam pour éteindre deux foyers. Nous avons une ligne de feu qui s’étend. Nous pouvons l’éteindre avec de l’eau. Okay JL : D’accord 10-4. Nous mettons les escaliers. Nous sommes au 77 e étage escalier B. On revient vers vous. » Il était 9H56 … A ce jour 3 bâtiments se sont effondrés à cause d’un incendie, les 2 premiers sont les Tours du WTC et le 3 et le WTC7
5. La théorie du Pancake ou de l’empilement des étages La théorie du Pancake énoncé par le gouvernement américain, est la théorie selon laquelle les étages s’affaissent les un sur les autres créant un empilement des étages. Cependant cette théorie n’est pas recevable dans le cadre du 11 septembre : Jeu des 7 différences Voila à quoi ressemble un vrai Pancake :
Voila à quoi ressemble les tours du WTC :
Il y a plus que 7 différences
6.
Les corps des victimes
A ce jour un grand nombre de corps n’ont pas était retrouvés, car les corps se serait vaporisé du fait de la chaleur intense. Ce qui est assez troublant car il faut des heures normalement pour incinérer un corps à une température de 260°C. Aussi on a démontré que c’étais bien la température qu’il y avait dans le WTC. Et surtout les chercheurs sont dans l’incapacité de faire des recherches ADN, alors que sur le vol93 et le vol AA77 on a pu dresser l’intégralité des victimes alors que les avions se sont vaporisés. 7. A la vitesse de la Chute Libre On a définis que chacune des tours à mis en moyenne 10 à 13 secondes pour s’effondrer…quasiment en chute libre. Un objet dans le vide prendrait 9.2secondes pour chuter d’une hauteur équivalente à la tour. La formule qui permet de vérifier cela est la suivant : Le temps (t) requis pour qu’un objet tombe d’une hauteur (h) est obtenu par la formule : t= racine carré de (2H/g), où (g) est l’accélération résultant de la gravité (9,8066 m/s²) Soit, la hauteur moyenne des deux tours est de 416.05m (416,97 m et 415,14 m). Donc si on divise ce nombre par l’accélération causée par la gravité (9.8066) on obtient 84.85. Finalement, la racine carrée de 84,85 est égale à 9.211s, arrondie à 9.2s. Les tours ont mis entre 10 et 13s une différence d’environ 1 à 4s. Cependant chaque tour comprenait 110 étages, partons du principe que pour écrouler chaque étage il faut 1s, il lui aurait fallu approximativement 110s pour s’écrouler normalement soit 10 fois le temps qu’elle a mis. Les tours sont donc tombées en chute libre et n’ont rencontrées aucun barrage, si elles n’ont rencontrées aucun barrage c’est tout simplement que toutes les résistances des différents étages ont était enlevé et ce n’est pas les avions qui se trouve aux environs du 78 étage qui ont pu forcer les résistances des étages inférieur au 60e étage. On a pu voir que ce n’est l’incendie qui a fait effondré les tours du WTC, ce n’est pas aussi les avions, donc qu’est ce qui est responsable de la chute libre des tours et de la destruction de 325 000 m³ de Béton … 8. Démolition Commandée « Oh mon dieu, nous venons d’assister à une deuxième explosion dans le WTC N°2 » Voila ce que rapporte un journaliste en direct du 11/9
Dans le magazine New Scientist, Mike Taylor de l’association nationale des entrepreneurs en démolition à Doylestown, en Pennsylvanie, dit que les l’effondrement des tours du WTC ressemblait à une démolition commandée classique. Dans la même édition de ce magazine (12/09/01), on peut trouver la citation suivante : « l’effondrement des tours du WTC reflète la stratégie utilisée par les experts en démolition. Dans les démolitions commandées, des explosifs sont posés non seulement dans les trois étages inférieurs, ais aussi sur plusieurs étages consécutif à environ un tuer de la hauteur de l’édifice »
Van Romero, vice président de la recherche à l’Institut des Mines et de la Technologie du Nouveau-Mexique, qui étudie les substances explosives et effets sur les bâtiments, les avions, et d’autres structures, et interviens souvent dans les affaire liés au terrorisme. Il est aussi expert en explosifs et l’ancien directeur de l’Energetic materials Research and Testing Center (EMRTC), à la New Mexico Tech. Romero a déclaré à l’Albuquerque Journal (le plus important quotidien du nouveau Mexique) : « Mon opinion, basé sur les vidéos, est qu’après les impacts des avions dans les bâtiments ont causé l’effondrement des tours » mais aussi « L’effondrement des structures ressemblait aux implosions commandées utilisées pour démolir d’anciens bâtiments s’écrasant dans les structure. » ajoutant enfin « Il serait difficile pour un élément provenant des avions de provoquer une telle tragédie. Il se peut qu’il y ait eu des petites quantités d’explosif posées dans des emplacements stratégique » Dix jours plus tard, Van Romero revint sur ses déclarations, affirmant qu'après avoir discuté des attentats avec ses collègues, il en était arrivé à la conclusion que les dégâts occasionnés par l'impact des avions avaient suffi à provoquer l'effondrement des tours et qu'il n'y avait pas eu d'explosifs à l'intérieur. Quand on sait que Tech était sur le point de recevoir des subventions du Pentagone pour des programmes de recherche, l'on ne s'étonnera pas d'un revirement aussi soudain. Pour ma part, je pense que le premier témoignage de Romero est essentiel, et qu'il ne saurait être amoindri par sa volte-face. Sachant que le WTC était victime d'une attaque terroriste, il a aussitôt pensé que l'organisation responsable des détournements d'avions avait également mis des explosifs dans les tours. Ce qui est la vérité même. *** Question de réalisme : La Tour Nord a été percuté par avion en premier, et les incendies qui se propageaient y étaient les tour sud plus intenses. Donc, pourquoi la tour sud s’est elle écroulée la première ? Les écroulements devaient paraître crédibles. Cela requiert des tours qu’elles s’effondrent tandis que les incendies font rage. Cependant, les incendies dans la tour sud étaient si faibles et il y avait tant de pompier s’y précipitant qu’il y avait un risque, celui que l’on découvre que les incendies sont de faible envergure et qu’ils sont maîtrisables. Ne pensais vous pas que ca aurait fait bizarre que les tours s’effondrent alors que les feus sont éteins depuis un moment. Si les feus ne sont plus là pour l’écroulement, plus de rapport officiel, plus de raison d’accuser les avions, et l’on cherchera ce qui à vraiment fait écrouler les tours à savoir des explosifs disposait stratégiquement sur les endroits clés de la structure. C’est pour cette raison que la tour sud s’écroula la première, moins de kérosène dans la tour, le feu dura moins longtemps, donc l’écroulement du être avancé … **** Une démolition n’est pas quelques chose que l’ont peu faire à la hâte, il s’agit d’un travail minutieux demandant une certaine préparation. Comment ont-ils fait ?? Ben Fountain un analyste financier travaillant au WTC a dit a People Magazine que quelques semaines avant le 11/9, il y a eu beaucoup d’imprévus et d’exercices inhabituels d’évacuation dans des secteurs des deux tours ainsi que dans celui du WTC 7 pour « raison de sécurité » Scott Forbes, un employé de la Fiduciary Trust dans la tour sud a dit à Victor Thorn de Wing Tv, « sa compagnie a reçu un avis, trois semaines avant le 11/0, comme quoi la Générale électrique de New York allait couper l’électricité à partir de l’étage 48. La raison donnée : la compagnie d’électricité allait faire des modifications des câblages pour augmenter la capacité des bandes passantes des ordinateurs » Forbes a affirmé qu’une coupure de courant n’avais jamais était décidé auparavant. Suite à cette coupure, caméras de sécurité, système d’identification, ascenseurs menant aux étages supérieurs, tous étaient Hors service.
Des témoins racontent qu’à ce moment un mouvement de va et vient important d’ingénieur, et ouvriers se faisaient au sein des tours … Le plus surprenant est assurément le témoignage de Daria Cord, gardienne à la tour 1. Cette dernière explique que les équipes de sécurité effectuaient des tournées de 12 heures pendant deux semaines avant le 11/9. Pus subitement, à partir du 6 septembre, les chiens renifleurs, ont été retirés de la tour. Pourquoi ? Qui a autorisé cela ? Marvin Bush, le frère de Georges W. Bush. A l’époque il était le directeur de Security Com, la société responsable de la sécurité d’United Airlines, de l’aéroport de Dallas, et depuis le début des années 90, le site du WTC **** http://www.youtube.com/watch?v=CcRs1fv8i3I&eurl=http%3A%2F%2Fwww%2Ereopen911%2Einfo %2Fforums%2Ft687%2Dexplosion%2Ehtml http://video.google.com/videoplay?docid=3211807290597119388 Ces deux vidéos mettent en avant le fait indéniable qu’il y a bien eu une explosion dans le WTC. *** Maintenant regardez attentivement ces photos :
Comme vous pouvez le voir sur ces quelques photos de nombreuse explosion apparaissent pendant l’effondrement des tours. Regardez avec attention les vidéos de l’effondrement et vous verrez que les explosions sont multiples. •
*** Qu’en pensent les pompiers ?
En juin 2002, la chaine de la télévision NBC a diffusé une séquence des bandes enregistrées le 11/9 qui contenait les échanges suivants entre les soldats du feu de la tour Sud : « Un officiel : 3e bataillon à central, il vient d’y avoir une autre explosion Un officiel : 3e bataillon à central, il vient d’y avoir encor une autre explosion Central : Reçu, commandant du bataillon. Encor une autre explosion » Le pompier Louie Cacchioli a raconté qu’à son entrée dans le hall de la tour Nord, il a vu des portes d’ascenseurs complètement soufflées vers l’extérieur avec des gens frappés par des éclats. « Je me souviens m’être demandé…comment cela avait pu se produire si vite après qu’un avion ait frappé si loin au-dessus ». Lorsqu’il atteint le 24e étage, il se trouve en face à de la poussière et de la fumée ce qui l’intrigue vu que l’avion a frapé l’immeuble 50 étages plus haut. Peu après, lui et un autre pompier « entendent une énorme explosion qui fait le bruit d’une bombe. Le bruit est si fort qu’il éteint les lumières et bloque les ascenseurs ». Il raconte qu’après qu’ils se furent extraits de l’ascenseur « une autre explosion se produit, aussi forte que la première. Celle-ci a lieu environ deux minutes plus tard … [et] il se dit : « oh mon Dieu, ces salauds ont placé des bombes ici comme en 1993 ! » … Et puis dès que nous nous sommes engagés dans le puits d’escaliers, j’ai entendu une autre explosion violente, aussi énorme que els deux autres. Puis j’ai entendu un bang, bang, bang … des bangs énorme …) Résumé du témoignage de Cacchioli a été publié dans le numéro du magazine People du 24 septembre 2001 dont les extraits sont cités dans NPH, 2004, chap. 1 Note 74
Le pompier Cacchioli n’est pas le seul à avoir entendu ces bangs, dans la vidéo des frères Naudet, on voit l’interview de pompier qui explique très précisément que les étages ont fait bang, bang, bang les un après les autres les étages se sont effondrés. Regarder cette vidéo http://youtube.com/watch?v=OBWO68P-m9I&mode=related&search= sa ne vous rappel rien ? Et écouter attentivement les commentaires : une des personnes explique que la démolition fait bang, bang … ***
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Témoignages parut dans New York Times « J’ai entendu 3 explosions, et puis … la tour a commencé à s’effondrer » L’infirmier Kevin Darnowski
« Ca faisait presque le bruit de bombes qui explosent, quelque chose comme Boum ! Boum !Boum ! Peut-être 7 ou 8 » Le pompier Thomas Turilli « Nous avons entendu … ce qui ressemblait à une explosion sourde, nous avons tourné les yeux vers le haut et j’ai vu la tour commencer à s’effondrer » Le chef de Bataillon John Sudnik « On avait l’impression que l’immeuble éclatait sur les quatre côtés. En fait, nous avons entendu les détonations » Le pompier Joseph Moela « Ca a fait un sacré bruit. D’abord j’ai cru que c’était … vous avez déjà vu quand des » artificiers font péter les charges de certains étages et qu’on entend des bang, bang, bang ? … j’ai cru que c’étais ça » Réponse de l’infirmier Daniel Rivera, lorsqu’on lui demande comment il a su que la tour sud allait tomber *** • L’effondrement qui commence au-dessous de la zone d’impact et d’incendie D’après la thèse officielle, qui soutient la théorie du Pancake, l’effondrement a commencé lorsque les étages situés au-dessus du trou percé par l’avion sont tombés les uns sur les autres. Cependant les témoignages disent le contraire : . Timothy Burke a déclaré : « Le bâtiment a éclaté, plus bas que l’endroit de l’incendie… je me suis dit, Oh mon Dieu ! Il y a eu un engin secondaire à cause de la façon dont l’immeuble a éclaté. J’ai cru que c’est une explosion » Le sapeur Pompier Edward Cachia : « Ca a pété à un des étages au dessus, pas celui où l’avion a frappé … on a commencé par croire qu’il y a eu comme une explosion interne, des explosions interne, des explosifs parce que c’est venu à la suite, Bang, Bang, Bang et ensuite la tour s’est effondrée » Malgré ces témoignages, les auteurs du rapport du NIST ont écris ceci dans leur sommaire : « Le NIST n’a trouvé aucun élément qui vienne en appui de thèses contradictoires suggérant que les tours du WTC ont fait l’objet d’une démolition commandée mettant en œuvre des explosifs disposés avant le 11/9 … Au contraire, les photos et vidéos pris sous des angles différents montrent clairement que l’effondrement a commencé aux étages des incendies et points d’impact et qu’il a continué vers le bas » On peut penser que les auteurs du rapport de la NYST n’ont pas du faire beaucoup de recherche pour affirmer de telle chose. Donc faut il croire un rapport fait à la va vite, ou bien deux pompiers qui était sur place, à vous de voir ….
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Des éclairs et des anneaux de démolition
De nombreux témoins ont parlé d’éclair et de phénomènes faisant penser à des anneaux de démolition. Phénomène propre aux démolitions : Le commissaire adjoint Stephen Gregory : « J’ai cru…avant que… la tour N°2 tombe que j’ai vu des éclairs de basse intensité…j’ai… vu un flash! FLASH! … au bas de l’immeuble. Vous savez comme quand ils font tomber un bâtiment » Le capitaine Karin Deshore : « Quelque part vers le milieu… il y a eu cet éclair orange et rouge qui est sorti. D’abord, un simple éclair. Ensuite il a commencé à éclater tout autour de l’immeuble et le bâtiment a commencé à exposer … à chaque bruit d’explosion il y a eu d’abord un éclair orange et rouge puis une flamme rouge est sortie du bâtiment puis s’est développée autour sur les deux côtés pour autant que j’aie pu le voir. Ces détonations et ces explosions ont commencé à prendre de la force, allant vers le haut et le bas puis tout autour du bâtiment » Le sapeur Pompier Richard Banaciski : « Il y a eu juste une explosion. Ca ressemblait à la TV [comme] quand ils font exploser ces immeubles. On aurait dit que ça faisait tout le tour comme une ceinture, toutes ces explosions » Le commissaire adjoint Thomas Ftizpatrick : « Ca ressemblait à un scintillement ! Autour d’un niveau donné de l’immeuble…ma première réaction a été ça ressemblait exactement à ce qu’on voit quand ils nous montrent ces implosions à la TV »
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Des explosions synchronisées
Certains témoins ont déclaré que les explosions semblaient synchronisées. Par exemple, le sapeur Kenneth Rogers « Il y a eu une explosion dans la tour sud… j’ai continué à observer. Etage par étage, et encore, et encore. Un étage sous un autre, après un autre, et encore un autre...ça ressemblait à quelque chose de délibérément synchronisé » •
Qu’en pense les sismologues
L’observatoire terrestre Lamont-Doherty de l’université de Columbia a relevé des données sismiques très intéressantes. Cet observatoire est situé dans l’état de New York, à une trentaine de kilomètres au nord des tours du WTC.
Voila ce qu’a relevé ce laboratoire : Date
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2.3
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09/11/2001 21:20:33±2
0.6
17:20:33 0.7 sec
Remark
12 seconds first impact 6 seconds second impact 10 seconds first collapse 8 seconds second collapse 18 seconds Building 7 collapse
Comme on peut le constater les appareils sismographiques de Palisades enregistrèrent un tremblement de terre d’une magnitude de 2.1 pendant les 10 secondes que dura l’effondrement de la tour sud à 9H59min4s et un tremblement de terre de 2.3 pendant les 8s de l’effondrement de la tour Nord à 10H28min31s.
Voyez le graphique ci-dessous …
Selon le docteur Arthur lerner-Lam, directeur de recherches sur les dangers et les risques de l’université de Columbia, cité dans Earth Institue News « Une grande partie de l’énergie des morceaux tombant a été absorbée par les tours et les structures avoisinantes, en les transformant en débris et poussière ou en causant d’autres dégâts, mais n’a pas causé de tremblement de terre significatif au sol » et il ajoute « Le tremblement de terre qui résultat de l’effondrement des tours était très faible »
Donc qu’est ce qui est à l’origine de ces pics qui ont une amplitude vingt fois plus grande que les autres ondes sismique associées aux effondrements. Voici quelques données qui vous mettront sur la voie : • •
•
Il faut 40 tonnes de nitrate d'ammonium pour provoquer un signal sismographique d'une magnitude comprise entre 1 et 2. Quand en 1993 un attentat suicide eut lieu contre le WTC à l'aide d'un camion bourré d'explosif, ceci ne produisit aucun signal sismographique parce que le phénomène "n'était pas couplé au sol". En conséquence l'intensité du signal enregistré militerait en faveur d'une explosion transmise au sol par les éléments de structure métallique s'y enfonçant jusqu'à 23 mètres de profondeur. Le signal enregistré ne cadre pas avec l'énergie cinétique liée à l'implosion des tours. Il est plusieurs fois supérieur à ce qu'on pourrait attendre. Une question émerge alors : d'où venait l'énergie?
Une force supérieure aux impacts est donc responsable de ces pics, ce qui tient à confirmer que des explosifs se trouvaient bien dans les tours lors des attentats *** Voici les caractéristiques qui correspondent à des signes, distinctif standard d’une démolition commandée, qui sont produites par des explosifs placés dans les bâtiments et déclenchés dans un ordre précis. Chaque effondrement s’est produit pratiquement à la vitesse de la chute libre Chaque immeuble s’est effondré dur lui-même [à la verticale], le gros du bâtiment tombant de son emprise au sol Un déclenchement soudain Effondrement complet, on ne retrouve que des débris
De l’acier découpé très nettement Pratiquement tout le béton s’est transformé en fine poussière Dans le cas des Tours Jumelles, la poussière a été soufflée [vers l’extérieur et] horizontalement sur 60 mètres voire d’avantage Les immeubles se sont complètement effondrés sans qu’il reste de morceaux de colonnes d’acier pointant de plusieurs dizaines de mètre vers le ciel Les vidéos des effondrements montrent la propagation d’ondes de démolition qui sont le signe de « la convergence d’ondes de petites explosions » La plupart des poutres et des piliers d’acier se sont brisés en tronçons qui n’avaient pas plus de dix mètres de longueur (9.15m) D’après de nombreux témoins, il y a eu des explosions à l’intérieur des immeubles
Chaque effondrement s’est produit concurremment avec des vibrations sismiques qui laissent penser à des explosions souterraines. Chaque effondrement a laissé des traces d’acier fondu-qui sont produites notamment par des explosifscausant des « points chauds » qui ont subsisté plusieurs mois 9. Les boîtes noires et le Passeport Officiellement, aucune boîtes noire n’as était retrouvées. Officieusement comme le raconte un pompier dans son livre 3 boîtes noire ont était retrouvées. Mais revenons à la thèse officielle, selon celle-ci on a rien retrouvée des boîtes noire (voir annexe pour comprendre ce qu’est une boîte noire), toutefois il faut savoir que les boîtes noire sont fait en titane, un matériau très résistant mais aussi très coûteux, cependant les boîtes noire on montré leur résistance au feu et à la mer à de nombreuse reprise (dans tous les crashs connu on a toujours retrouvé les boîtes noire), elles sont fait dans les matériaux les plus résistant, et pourtant selon le rapport officiel elles ont disparu… Toutefois comment le FBI est il parvenu à identifier l’un des terroristes du WTC ?? La réponse est très simple ils ont découvert le passeport intact de Mohamed Atta, ils l’ont trouvé au milieu des décombres du WTC. Décombre dans lesquels on est incapable de retrouver des boîtes Noire fait avec des matériaux hautement résistant, mais on y retrouve un passeport intact qui a survécu aux flammes … je rappel pour information qu’un passeport est fait en papier ...Donc selon le rapport, un passeport résiste à l’impact d’un avion avec un bâtiment en béton, résiste à des chaleurs qui ferait fondre l’acier, et reste proche du bâtiment malgré une chute de plus de 70 étage… 10. Les avions « On ne peut pas affirmer que c’était un avion… un avion de ligne pour être plus explicite. Quelques personnes affirment avoir vu un missile. Il y avait assurément un logo bleu en forme de cercle à l’avant de l’avion, ce n’étais pas un avion de ligne, je n’ais vu aucun hublot … ce n’étais pas un avion normal [peut-être un avion cargo], il ne semblait pas appartenir a ce secteur » Un journaliste faisant part de ses impressions sur la chaine CNN La théorie du Pod
A ce jour Boeing n’as toujours pas expliqué ce qui était accroché en dessous de l’avion.
Comme on peut le constater il y a quelque chose d’accrocher sous l’avion, missile ou juste un élément de l’avion … à vous de voir.
La vidéo suivante montre quelque chose d’assez troublant : http://www.youtube.com/watch?v=aWqJCCqPG-0 http://www.thewebfairy.com/911/letsroll911/Web/ghostplane.closeup.wmv En effet, des personnes ont passés au ralenti les images des deux avions percutant les tours et il s’est avéré qu’un flash apparaît très distinctement avant chaque impact. Comme par hasard sur les premières vidéo, on voit ce flash puis sur les nouvelles vidéo le flash a était enlevé grâce a des retouches d’images, pourquoi avoir modifié cette image, si ce n’est pour cacher quelque chose.
C : Vol 93
« Je connais une des deux personnes – je ne vais pas dire leur nom-qui ont entendu un missile. Tous les deux habitent à côté à 200 mètres. Ce type a combattu au Vietnam et il dit qu’il avait déjà entendu ce qu’il a entendu ce jour-là » Ernie STUHL, Maire de Shanksville
I.
Thèse officielle
Ce vol fut détourné et avait pour objectif d’aller s’écraser sur un des symboles de la capitale : WASHINGTON. Mais à 10h06, l’avion détourné s’écrase en pleine campagne en Pennsylvanie. Il ne fera aucune victime, à part les personnes se trouvant à bord de l’appareil. Une théorie est mise en avant, supposant que les personnes (passagers ou bien membres de l’équipage) à bord de l’avion aurait reçu des appels (grâce à leur portable) les prévenant des attentas du Word Trade Center et du pentagone. Ainsi des personnes ont donc choisi de se rebeller et de se défendre pour que l’appareil n’atteigne pas son objectif. II.
Les incohérences du rapport Les témoins Visuel
Le comté de Westmorland a reçu un appel à 9H58 de quelqu’un prétendant être a bord du vol 93. Disant être enfermé dans les toilettes, et que l’avion avait était détourné par des pirates. Il dit sentir l’avion commencer à tomber, et qu’il a entendu une explosion et vue une fumée blanche dans la cabine. Puis la communication a était coupé. Eric Peterson de Lambertsville travaillait avec son amis dans sa concession auto quand le vol 93 leur est passé au dessus d’eux : « Il est passé au dessus de nous en zigzag et est tombé derrière des arbres et a explosé » Peterson a vu un flash et un nuage de fumée. « Il y avait un cratère dans le sol et ça brulait sérieusement », « il y avait des morceaux de fuselage et des vêtements qui brulaient ». Il a dit n’avoir vu aucun débris dépassant 50cm Un appel à l’émission d’Howard Stern a décrit ce qui s’est passé : « Je m’appel Al, j’habite a Somerset en Pennsylvanie, à côté de Shanksville … nous avons entendu un avion qui volait très bas … et nous avons entendu une explosion… nous avons vu de la fumée qui s’élevait de l’avion, puis deux autres avions sont passés juste au-dessus… » On entend à côté « Ah ils l’on descendu !! Ils l’ont descendu !! » Suzan Mcelwain qui habite a 3km de l’incident à vu un avion blanc passer en flèche de 10 à 15 mètres audessus de son van : « Il est venu dans ma direction, il était si bas que je me suis accroupie, il volait très vite, mais ne faisait aucun bruit. Et il a disparu derrière des arbres…Quelques secondes après, j’ai entendu une grande explosion, et j’ai vu une boule de feu monter au-dessus des arbres. Alors j’ai pensé qu’il s’était crashé… Je ne m’en suis pas plus préoccupé jusqu’à ce que les autorités disent qu’il n’y avait pas d’autre avion ... L’avion que j’ai vu volait vers l’endroit où le vol 93 s’est crashé et a du arriver au même moment où il s’est crashé… je n’ai pas pu inventer cet avion, il était si bas qu’il était quasiment sur moi. Il était blanc, sans inscription, mais il était assurément militaire, il en avait l’apparence. Il avait deux réacteurs à l’arrière, un aileron arrière comme ceux des spoilers de voitures avec deux ailettes verticale de chaque côté. Je n’ais rien trouvé de semblable sur internet. Ca n’était pas du tout un jet privé. Le FBI est venue me voir-ils m’ont dit qu’il n’y avait pas d’autre avion dans le secteur. Mais ils sont revenus sur leur propos et on dit que c’était un avion qui prenait des photos du crash à 1000mètre de haut. Mais je l’ai vu, il était là avant le crash, à dix mètres au dessus de ma tête. Ils n’ont pas voulu m’écouter, personne ici n’a voulu » Lee Purbaugh a aussi vu un avion blanc : «Oui il y avait un autre avion, je n’ai pas bien pu voir mais il était blanc. Il a survolé deux fois et à disparu vers l’horizon» Tom Spinelli travaillait India Lake Marina à deux kilomètre de là : « J’ai vu l’avion blanc, il tournait autour du lieu comme s’il cherchait quelque chose. Je les vu avant et après l’accident » La réponse du FBI concernant ce fameux avion blanc, est qu’il s’agissait d’un jet privé Fairchild Falcon 20, a qui ont a demandé de descendre de 10 000 mètres à 1500 mètres quelques minutes après le crash pour donnée les coordonnée du lieu. A ce jour l’avion et les pilotes n’ont jamais était identifiés. Et
surtout dès le début des attaques contre les tours tout le circuit aérien Américain était fermé, alors comment se fait il qu’un jet privé soit en vol à ce moment … Suzan Mcelwain a dit que ce n’était pas un Fairchild Falcon 20, qui l’avait frolé. Les preuves matérielles Le principal problème avec le vol 93 c’est qu’il n’y a que de minuscule morceaux de l’avion un peu éparpillé un peu partout : « ils n’on rien trouvé de plus gros qu’un annuaire téléphonique » dira une journaliste Voila à quoi ressemble un crash normalement
Ou encore a ça
Au lieu de ça, on a
Chercher l’erreur … Prenons les photos ci-dessus et prêtons nous à un jeu, et cherchons l’avions. Vous aurez beau jouer à ce jeu pendant des heures vous n’en trouverez pas pour la simple et bonne raison qu’il n’y a pas d’avion sur ce site. Wally Miller médecin légiste de Somerset County a déclaré : « On aurait dit qu’on avait jeté des morceaux de métal du ciel » ou « C’étais comme si on avait pris une beigne de ferraille, creusé un trou de 10 mètre et tout balancé dedans », et « Concernant les passagers j’ai compris que je serait inutile au bout de 20minutes car il n’y avait aucun corps là-bas », et enfin « Je n’ais jamais vu une seule goutte de sang. Pas une goutte. » Pour la seconde fois dans l’histoire de l’aviation un avion et l’ensemble de ses passagers se sont littéralement évaporé. Pas d’avion, pas de corps mais où est donc l’avion ??? Déclaration de D. Rumsfeld D. Rumsfeld dit carrément que le vol 93 a été abattu (shot down) dans un discours prononcé devant des troupes US. Voici l'extrait : http://youtube.com/watch?v=x6Xoxaf1Al0 Autre Information Toutefois, Cleveland à 11H43 le 11/9, WCPO une chaîne de télé locale de Cincinnati Ohio, rapporte que deux avions ont atterris à l’aéroport de Cleveland Hopkins International Airport, à cause d’une menace terroriste. United Airlines identifiera l’un d’eux comme le vol 93 … Appel téléphonique
Par Hubert Guillaud le 21/09/2004 Après l’internet en vol et en temps réel - testé par Airbus et Boeing -, Airbus a réalisé et réussi un test d’utilisation d’un téléphone portable en vol. Les signaux émis par le portable ont tout d’abord été dirigés vers une cellule à l’intérieur de l’appareil, puis vers un serveur qui les a redirigés vers le sol, grâce au réseau satellitaire Globalstar et, de là, jusqu’aux réseaux téléphoniques terrestres. Airbus souhaite offrir aux passagers de ses avions commerciaux la possibilité d’utiliser leur téléphone mobile en vol dès 2006. L’info : http://www.liberation.fr/page.php?Article=23882 et http://news.bbc.co.uk/1/hi/technology/3665848.stm Src : http://www.internetactu.net/index.php?p=4980
Air France : tests du téléphone mobile en vol Mercredi 25 Avril 2007 La compagnie aérienne s'apprête en effet à autoriser à partir de juillet prochain et pour une période de six mois l'utilisation d'un mobile en avion. Cependant, tous les avions ne seront pas encore logés à la même enseigne, la compagnie indiquant que le service sera disponible uniquement sur un Airbus A318, dérivé de l'Airbus A320 et utilisé sur les lignes nationales et européennes. Ceci étant possible par l'utilisation d'une borne GSM installée dans l'avion, celle-ci n'autorisera dans un premier temps que l'envoi de SMS, Emails ou MMS, le passage d'appels téléphoniques n'allant être testé qu'à la rentrée prochaine, au grand dam sans doute des voyageurs habitués à un certain calme. Côté tarif, il en coûtera le prix d'une communication internationale. Src : http://www.clubic.com/actualite-72894-a … e-vol.html 23 avril 2007 Le test, devant durer jusqu'au mois de novembre, a pour but de déterminer l'impact de ce nouveau service dans l'environnement de l'appareil et les nouveaux réflexes des voyageurs. Ce n'est qu'à l'issue de ce test qu'Air France déterminera si le service peut être étendu à l'ensemble de la flotte. Src : http://www.commentcamarche.net/actualit … alite.php3 Alors maintenant que nous savons qu'il faut une borne GSM dans l'avion pour que les coups de fil puissent passer et que Boieng est en ce moment même entrain de le tester. Pourquoi passer tout cela alors que le 11 septembre les communications passaient très bien !!! C'est là qu'on arrive à Barbara Olson, mais d'abord intéressons nous à son mari. Olson successfully represented presidential candidate George W. Bush in the Supreme Court case Bush v. Gore, which effectively determined the final result of the contested 2000 Presidential election. He was nominated to the Office of Solicitor General by President Bush on February 14, 2001, confirmed by the United States Senate on May 24, 2001, and took office on June 11, 2001. Src : http://en.wikipedia.org/wiki/Theodore_Olson Trad : Theodore Olson a réussi à faire élire le candidat Bush à la cours suprême face à Gore, ce qui a déterminé le résultat final de la contesté élection présidentielle de 2000. Il a été nommé au Bureau général d'avocat conseil par le président Bush le 14 Fev 2001, confirmé par le sénat des états unis le 24 mai 2001, il prit ses fonctions le 11 juin 2001. Barbara Olson est la femme de Theodore Olson. Elle était dans le vol 77 et appela son mari quand le vol fut détourné. Elle l'a appelé deux fois. L'histoire sort dans la presse le 11 et 12 sept sur CNN. C'est la première narration du détournement. Theodore Olson raconte ce que sa femme lui a dit. -des cutters, des couteaux etc
Rapport officiel page 26 At some point between 9:16 and 9:26, Barbara Olson called her husband, Ted Olson, the solicitor general of the United States. She reported that the flight had been hijacked,and the hijackers had knives and box cutters.She further indicated that the hijackers were not aware of her phone call,and that they had put all the passengers in the back of the plane. About a minute into the conversation, the call was cut off. Solicitor General Olson tried unsuccessfully to reach Attorney General John Ashcroft.57 Src : http://www.9-11commission.gov/report/911Report.pdf Traduction courte : Barbara Olson à apeler son mari entre 9:16 et 9:26 (...)
Une étude a été faite pour voir comment les téléphones fonctionnaient à haute altitude. Tableau extrait d'ici http://www.physics911.net/projectachilles altitude (feet) calls tried calls successful percent success 2000 9 8 89% 4000 9 4 44% 6000 27 8 30% 8000 35 3 9%
Maintenant regardons à quel altitude a voyagé le vol 77 entre 9:16 et 9:26, l'heure à laquelle les coups de fils ont été passé. http://www.gwu.edu/~nsarchiv/NSAEBB/NSAEBB196/doc02.pdf
9h22, le vol AA77 commence sa descente à partir d'une altitude de 25250 pieds. 9h29, il termine sa descente à 8000 pieds. Donc de 9h07 à 9h29, le vol AA77 passe 25000 pieds à 8000 pieds. (voir 7200 pieds si on regarde le graphique) (Voir http://www.ntsb.gov/info/Flight_%20Path_%20Study_AA77.pdf) Et pour ce qui nous intéresse ici, c’est à dire les altitudes où ont été passé les appels téléphoniques de Barbara Olson : 9h16 : à 25000 pieds l'appel reste impossible.
9h26 : à 14000 pieds, ça reste à prouver .... On sait qu'à 8000 pieds, on a 9% de chance de réussir à passer un appel (soit une chance sur 10), donc à 14000 pieds … Certains nous dirons mais les téléphones de bord ? No Airfones on Flight 77 - DRG on Jack Blood http://www.911blogger.com/node/8247 Des personnes ont contacté AA à plusieurs reprises, il n'y avait pas de tel dans les sièges des avions sur ce vol. Dans Debunking 9/11 Debunking il y a les scripts des appels entre les enquêteurs et American Airlines… Citations "Le Vol 93 est parti de Newark 41 minutes en retard, à 8h42. À 9h27, un passager, Tom Burnett a appelé sa femme, lui disant que l'avion avait été détourné et qu'elle devrait appeler le FBI, ce qu'elle a fait. À 9h28, des contrôleurs au sol ont entendu les sons de cris perçants et de bagarre. À 9h34, Tom Burnett a de nouveau appelé sa femme, qui lui a parlé des attaques sur le WTC, le menant à se rendre compte que son propre avion était 'sur une mission suicide'. A 9h36, l'avion vira vers Washington. À 9h37, Jeremy Glick et deux autres passagers ont pris connaissance des attaques du WTC. À 9h45, Tom Burnett a dit à sa femme qu'il ne pensait pas, contrairement à la revendication des pirates de l'air, qu'ils avaient une bombe et que lui et les autres avaient un plan. À ce moment-là, 19 minutes avant que l'avion ne soit descendu, le FBI surveillait ces appels. À 9h45, avec le FBI à l'écoute, le passager Todd Beamer a commencé une longue conversation téléphonique par un représentant de Verizon, décrivant la situation à bord. Peu de temps après 9h47, Jeremy Glick a dit à sa femme que tous les hommes avaient votée pour attaquer les pirates de l'air, ajoutant que ces derniers n'avaient seulement que des couteaux, pas d'armes à feu... À 9h54, Tom Burnett a appelé sa femme de nouveau. Selon de premiers rapports, il a dit : ' je sais que nous allons tous mourir. Il y a trois d'entre nous qui allons faire quelque chose. ' - The New Pearl harbor, David Ray Griffin "Les incidents suivants... suggèrent... que l'avion a été abattu après qu'il soit devenu évident que les passagers - parmi lesquels se trouvaient un pilote professionnel et un contrôleur de navigation aérienne pourraient prendre le contrôle de l'avion. À 9h57 on a entendu un des pirates de l'air disant qu'il y avait une lutte à l'extérieur du cockpit. Une voix de l'extérieur a dit : 'Attrapons-les.'" "À 9h58 Todd Beamer a fini son appel téléphonique en disant que les passagers projetaient de 'bondir' sur le pirate de l'air à l'arrière de l'avion, puis prononça ses mots célèbres : ' Etes-vous prêts les gars? Fonçons. '" "À 9h58, une passagère parlant à son mari a dit : 'Je pense qu'ils vont le faire. Ils forcent le cockpit.' Un peu plus tard elle s'est exclamée : ' ils le font! Ils le font! Ils le font! ' Mais son mari a alors entendu des cris perçants à l'arrière-plan suivi par un 'son de souffle, un son comme le vent ..,' puis plus de cris perçants, après quoi il a perdu le contact." "Un autre passager appelant des toilettes a censément dit juste avant la perte de contact qu'il a entendu 'une sorte d'explosion' et a vu de 'la fumée blanche venant de l'avion.' (Des mois plus tard, le FBI a nié que l'enregistrement de cet appel contenait une quelconque information de fumée ou d'une explosion, mais la personne qui a pris cet appel n'a pas été autorisée à parler aux médias.) » « La personne écoutant la ligne téléphonique ouverte de Jeremy Glick a dit censément: ' Le silence a duré deux minutes et ensuite il y eut un son mécanique, suivi par rien. '
Selon un rapport de presse : ' Des sources prétendent que la dernière chose entendue sur l'enregistreur de cockpit est le son du vent - suggérant que l'avion avait été troué. ' [Paul Thompson] croit que cet enregistrement montre que l'avion était en effet ' ' troué ' - abattu par un missile ou deux - après qu'il semblait que les passagers en prenaient le contrôle. On a permis aux parents des victimes d'écouter [la bande de l'enregistrement de cockpit] et le temps officiel du crash. Il commence à 9h31 et dure 31 minutes, afin de finir à 10h02. Cela se terminerait près du temps du crash - si le crash était arrivé à 10h03, comme le prétend le gouvernement des Etats-Unis. Cependant, une étude sismique a conclu que le crash était arrivé légèrement après 10h06, menant le Philadelphie "Daily News" à imprimer un article intitulé " Non-conformité de trois minutes dans la Bande." Et ce n'était pas ... le seul rapport de ce vol qui manquait. Le 16 octobre, le gouvernement a diffusé les transcriptions de contrôle de vol des avions - sauf le Vol 93. "Il est significatif que selon les actualités, ce fut peu après 9h56 que l'on a finalement donné aux avions de combat les ordres d'intercepter et d'abattre tout avion sous le contrôle des pirates de l'air. Bientôt, par la suite, un aide militaire a censément dit au Vice-président Cheney : ' il y a un avion à 80 miles (128 km). Il y a un avion de chasse dans le secteur. Devons-nous le faire intervenir?, ' à quoi Cheney a répondu 'oui,' après quoi un F-16 s'est mis à la poursuite du Vol 93. Il a été aussi annoncé que quand l'avion de chasse s'est approché du vol 93, on a demandé à Cheney encore deux fois de confirmer que l'avion de chasse devait intervenir, ce que Cheney a fait... En outre, quand on a dit au Président Bush le crash du Vol 93 à 10h08, il a censément demandé : ' l'avons-nous descendu ou s'est-il crashé ? ' Ces rapports qui sont contenus dans la chronologie de Thompson, lui suggèrent que l'intention d'abattre le Vol 93 était dans plusieurs cerveaux." "Peu avant le crash, CBS a annoncé que des avions de chasse F-16 suivaient le vol. Et un contrôleur de vol ignorant un ordre aux contrôleurs de ne pas parler aux médias, a censément dit qu' 'un avion de chasse F-16 poursuivait le Vol 93 de près.... Le F-16 à fait un virage à 360 degrés pour rester près du jet commercial. ' "L'existence d'un avion de chasse dans le secteur est soutenue... par beaucoup de témoins sur le terrain. Selon une histoire dans l'Indépendant ' Au moins une demi-douzaine d'individus nommés ... ont annoncé l'observation d'un deuxième avion volant bas ... sur le site de l'accident dans les minutes du crash du vol United. Ils décrivent l'avion comme un avion à réaction petit, blanc avec des moteurs arrière et aucune inscription perceptible. ' Le FBI prétend que c'était un avion à réaction d'affaire Fairchild Falcon. Mais, a dit une femme : ' il était blanc sans inscriptions, mais il était certainement militaire.... Il avait deux moteurs arrière, un grand aileron sur le dos comme un becquet.... Ce n'était certainement pas un de ces avions à réaction d'affaires. Le FBI est venu et m'a parlé et a dit qu'il n'y avait aucun avion autour.... Mais je l'ai vu et c'était là avant l'accident et c'était à 40 pieds (12 m) au-dessus de ma tête. Ils n'ont pas voulu de mon histoire. '" "Un témoin a dit qu'après qu'elle a entendu les moteurs de l'avion, elle a entendu 'un grand coup fort' et ensuite deux grands coups plus forts et n'a plus entendu le moteur de l'avion. 'Un autre témoin a entendu 'un coup fort.' Un autre a entendu 'deux coups forts' avant d'observer que l'avion ne fasse un virage vers le bas. Un autre a entendu un bruit qui 'n'était pas tout à fait normal' après quoi l'avion a chuté tout à coup, comme une pierre. 'Un autre a entendu 'un coup fort' et a ensuite vu l'aile droite de l'avion baisser, après quoi l'avion a piqué dans la terre. Et le Maire de Shanksville a censément dit qu'il connaissait deux personnes qui 'ont entendu un missile, en ajoutant qu'un d'entre eux 'a servi au Viêt-Nam et il dit qu'il les a entendus.' « ... un morceau d'une demi-tonne d'un des moteurs a été censément trouvé à plus d'un mile (1,6 km). Une histoire de presse a appelé ce fait 'intrigant' parce que ' les missiles Sidewinder air-air guidés par infrarouge à bord d'un F-16 se dirigeraient probablement sur un des deux grands moteurs du Boeing 757."
"...des témoins ont annoncé l'observation de la chute de débris brûlants de l'avion aussi loin que huit miles (11 km) de distance, avec des ouvriers à la Marina d'Indian Lake disant qu'ils ont vu 'un nuage de débris semblables à des confettis descendre sur le lac et les fermes proches quelques minutes après avoir entendu l'explosion'. Et des débris, y compris ce qui semblait être des restes humains, ont été en effet censément trouvés aussi loin que huit miles du site de l'accident.
" Paul Wolfowitz, le Ministre adjoint de la Défense, a censément dit que 'l'Armée de l'Air suivait à la trace l'avion détourné qui s'est effondré en Pennsylvanie ... et avait été en position pour l'abattre si nécessaire. ' "Thompson croit que le gouvernement a décidé que c'était nécessaire - mais pas parce que la mission des pirates de l'air allait réussir. Thompson demande pourquoi on a donné aux pilotes de chasse l'autorisation d'abattre des avions détournés seulement après que le Vol 93 fût le seul laissé dans le ciel ... sa réponse implicite, étant donné la preuve que les passagers arrachaient avec succès le contrôle de l'avion aux pirates de l'air, est que c'était un avion qui allait probablement être posé sans risque – ce qui, entre autres choses, signifierait qu'il pourrait y avoir des pirates de l'air à interroger.... Cette preuve suggère que quand les autorités ont voulu que le vol soit abattu, elles n'ont pas été gênées par le manque de compétence ou de coordination. La preuve donnée par ce vol suggère, comme les précédentes, la participation active de chefs de l'armée des Etats-Unis dans la planification des attaques. Dans ce cas, ils ont aussi apparemment dû entreprendre l'action corrective à cause d'un développement inattendu. "
D. WTC7
« Je me souviens avoir reçu un appel téléphonique du, heu, du commandant du corps des pompiers de New York, me disant qu’il n’était pas sûr qu’ils allaient parvenir à contenir les incendies, et je lui ai dit, nous avons eu tellement de pertes en vies humaine, peut-être que la chose la plus intelligente serait de tout dégager/raser [to pull]. Ils prirent la décision de tout dégager/raser et nous avons observé le bâtiment s’écrouler » Déclaration de Larry Silverstein
I.
La théorie Officielle
Le building 7 se trouvait situé à coté des tours jumelles qui se sont effondrées. Néanmoins, il n’a pas été touché par les attentas suicides (ni avions, ni bombes, ni autres…). Ce gratte ciel était aussi en acier et fessait 47 étages. Malgré tout, l’immeuble s’est effondré le 11 septembre 2001 à 17h30. Il s’est effondré en chute libre, dans un immense nuage de poussière à la base de l’immeuble. Selon le rapport de FEMA : « des débris provenant des effondrements du WTC ont démarré les incendies dans les bâtiments aux alentours, dont les bâtiment 4, 5, 6, et 7 au 90 West Street, et au 130 Cedar Street. De nombreux bâtiment ont subi des dégâts important à cause des incendies mais sont resté debout. Toutefois, deux bâtiments, dotés de charpente en acier se sont écroulés du fait des incendies. Le bâtiment n°7 s’est écroulé totalement après avoir brûlé sans supervision pendant approximativement 7 heures » IV.
Les incohérences du rapport
1. Les locataires du bâtiment Voici la liste des locataires du bâtiment : http://www.fema.gov/pdf/library/fema403_ch5.pdf Floor Tenant 46-47 Mechanical floors 28-45 Salomon Smith Barney (SSB) 26-27 Standard Chartered Bank 25 Inland Revenue Service (IRS) 25 Department of Defense (DOD) 25 Central Intelligence Agency (CIA) 24 Inland Revenue Service (IRS) 23 Office of Emergency Management (OEM) 22 Federal Home Loan Bank of New York 21 First State Management Group 19-21 ITT Hartford Insurance Group 19 National Association of Insurance Commissioners (NAIC) 18 Equal Opportunity Commission (EEOC) 14-17 Vacant 13 Provident Financial Management 11-13 Securities and Exchange Commission 9-10 US Secret Service 7-8 American Express Bank International 7 OEM generators and day tank 6 Switchgear, storage 5 Switchgear, generators, transformers 4 Upper level of 3rd floor, switchgear 3 Lobby, SSB Conference Center, rentable space, manage 2 Open to first floor lobby, transformer vault upper level, upper level switchgear 1 Lobby, loading docks, existing Con Ed transformer vaults, fuel storage, lower level switchgear Les points les plus intéressants : 26-27 Standard Chartered Bank 25 Department of Defense (DOD) 25 Central Intelligence Agency (CIA) 22-Federal Home Loan Bank of New York 11-13 Securities and Exchange Commission 9-10 US Secret Service 7-8 American Express Bank International
2. La position des bâtiments et les dégâts
Comme on peut le voir le bâtiment WTC7 est bien à l’écart des autres bâtiments. Voyons si comme le soutient la thèse officielle, les débris provenant des effondrements du WTC ont pu démarrer l’incendie.
Le schéma parle de lui-même, les débris n’ont quasiment pas touché, la tour WTC7, les débris qui l’ont touché étaient assez faibles … Donc les chances que les débris mettent le feu à ce bâtiment sont très faibles, mais avec les attentats du 11/9 tout est possible.
3. Une démolition et non un incendie Avant toute chose je vous invite à voir cette animation qui montre bien l’architecture du bâtiment : http://www.youtube.com/watch?v=MyuQeeYkq8&eurl=http%3A%2F%2Fwww%2Ereopen911%2Einfo %2Fforums%2Ft267%2Dwtc%2D7%2Ddemolition%2Dindiscutable%2Ehtml Le feu a-t-il déjà fait détruire des immeubles en acier ? La réponse est non, à ce jour uniquement 3 bâtiments se sont effondrés à cause d’un incendie : - Les deux premiers sont les tours -
Le troisième est le WTC7
Ce bâtiment espagnol à flambé pendant 24H et pourtant il est toujours debout. http://www.elmundo.es/documentos/2005/0 … index.html En vidéo
A propos de l'effondrement du bâtiment WTC7
Puis une image montrant le site, en perspective :
Voici le plan de ses fondations :
On dispose dans ces affaires de nombreuses photos et documents vidéos qui se recoupent, issus de différentes sources, qui rendent la falsification difficile. Cette photo montrant ce bâtiment 7, avec en arrière plan les twins qui viennent juste de s'effondrer est particulièrement spectaculaire :
Le WTC7 n'est pas conçu de la même façon que les tours jumelles. Pour le bâtiment 7, la structure est différente. Voir ci-dessous. C'est ce qu'on appelle une structure "cantilever", où le bâtiment se trouve pris dans un réseau de poutres métalliques entrecroisées.
La structure porteuse du bâtiment 7 du World Trade Center
Détail de cette structure, au niveau du rez de chaussée.
On distingue très bien les poutres verticales, horizontales, ainsi que les poutres inclinées. Pour que le bâtiment "implose" aussi régulièrement (à la verticale) il aurait fallu que l'incendie chauffe à la même température toutes les poutres de la partie inférieure. Sinon le bâtiment se serait incliné en s'effondrant. Or il semble bien que cet incendie n'ait intéressé qu'une partie de ce niveau de l'immeuble … Les preuves d’une explosion Une comparaison entre le WTC7 et une démolition contrôlée. Vous remarquerez cette similitude à la base du building pour la fumée et aussi tout en haut en ce qui concerne la " cassure "
A droite le WTC7, à gauche une démolition normale. Vous voyez le point commun … ***
Des squibs partout comme dans les démolitions contrôlées .... Témoignages Sur cette vidéo : http://www.youtube.com/watch?v=SmdWBNA_r_4&eurl= Un expert en démolition affirme que le bâtiment WTC7 s’est écroulé par l’intermédiaire d’explosifs. Fait important : le spécialiste n’apprit qu’à la fin de l’interview que le bâtiment dont il venait de parler était le WTC7 et que sont écroulement s’était passé le 11/9, cela renforce la sincérité de l’analyse … ***
"Je pense que le WTC 7 … est tombé grâce à une démolition contrôlée fait par des experts." Hugo Bachman, professeur en structure et construction à L'ETH Dans une déclaration (http://www.911blogger.com/node/8053), John Kerry, explique que pour lui le WTC7 était une démolition contrôlée. *** Dans la déclaration de Silvestein (voir première page), ce dernier affirme qu’il a dit aux pompiers de « tirer » le bâtiment : http://video.google.com/videoplay?docid=-7750532340306101329&q=silverstein&pl=true N’est ce pas là un aveu du fait que ce dernier à bien donné l’autorisation que le bâtiment soit détruit … *** Dans de nombreuse vidéos (comme par exemple http://www.youtube.com/watch?v=cU_43SwWD9A) on peut entendre à plusieurs reprises des policiers dirent : "The building is about to blow up" et ensuite "moving back !" ("Le bâtiment est sur le point d'exploser" "reculez-vous !") *** Lorsque les média voient le futur Dans cette vidéo : http://www.dailymotion.com/group/231/video/x1be8j_reopen
La BBC parle du WTC7, selon eux le building vient de tomber... Sauf qu'en fait il était encore debout. (the Salomon Brothers Building est plus communément appelé WTC7) L'appel à la BBC pour signaler leur erreur : http://www.pumpitout.com/audio/bbc_oops.mp3 Ils annoncent un certain temps avant l’écroulement du bâtiment que celui-ci viens de s’écrouler. La question est donc la suivante : Savaient ils que le WTC 7 allaient s’écrouler ? Chute libre La vidéo suivante démontre de manière scientifique, et très précisément que comme les twins, le WTC7 est tombé en chute libre : http://www.youtube.com/watch?v=Ml_n5gJgQ_U&eurl=http%3A%2F%2Fwww%2Ereopen911%2Einfo %2Fforums%2Ft267%2Dwtc%2D7%2Ddemolition%2Dindiscutable%2Ehtml
Les débris Voila ce que l’on aurait du voir :
Ou encore
Voici les décombres d’une démolition controlée
Les décombres du WT7
Nous sommes forcés de constater que les décombres du WT7 ressemblent étrangement a ceux résultant d’une démolition contrôlée.
Chapitre 3 : Al-Qaida
Al-Qaida ( القاعدةen arabe ; aussi parfois écrit Al-Qaïda, Al-Qaeda, Al-Qa'ida, Al-Quaida, ou plus justement Al-Quaïda, mot arabe pour « la base ») est un mouvement terroriste islamiste sunnite qui fut fondé par Oussama Ben Laden en 1988.
Bien qu’Al-Qaida soit le nom le plus communément utilisé, le groupe s'est exprimé en 2003 sous le nom de Qaedat al-jihâd, « la base du jihâd » (جَهاد ِ عَدة ٱْل ِ َقا, qā ʿidat l-ʿihād). Al-Qaida, dont l'inspiration religieuse prend ses racines dans l'idéologie de Sayyid Qotb et d'Abdel Salam Faraj, un activiste kharidjite, a en fait évolué à partir de l'organisation Maktab al-Khadamāt qui fut fondée dans les années 1980 par Oussama Ben Laden, grâce à de multiples dons en provenance des pays islamiques et du gouvernement des États-Unis afin de financer, recruter et de former des moudjahiddins dans le cadre de la première guerre d'Afghanistan, pour alimenter la résistance afghane contre les soviétiques jusqu'à leur retrait en 1989. Outre le but,désormais révolu,d'étendre le mouvement afghan de résistance anti-soviétique en un mouvement de résistance pan-islamique, l'objectif ultime d'Al-Qaida est l'établissement d'un "califat" à travers tout le monde islamique en travaillant avec des groupes extrémistes islamiques alliés pour renverser les régimes estimés « non-islamiques ». Al-Qaida voit les gouvernements occidentaux (particulièrement le gouvernement des États-Unis) comme interférant avec les affaires des nations islamiques dans l'intérêt des sociétés occidentales, et recourt au terrorisme pour faire entendre ses revendications. La plus retentissante opération terroriste attribuée à Al-Qaida est celle menée sur le sol américain le 11 septembre 2001. Les attentats à Madrid du 11 mars 2004 et de ceux du 7 juillet 2005 à Londres ont été revendiqués au nom d'Al-Qaida.
Histoire d'Al-Qaida Al-Qaida a évolué du Maktab al-Khadamāt (MAK), une organisation moudjahiddine de résistance contre les forces soviétiques en Afghanistan dans les années 1980. Elle a été fondée par Oussama Ben Laden avec le militant palestinien Abdoullah Azzam, et la caution du gouvernement américain qui déploie dans cette période une politique interventionniste dans tous les pays "menacés" par le communisme (notamment par l'établissement de dictatures anti-communistes en Amérique Latine et Centrale, mais aussi en Grèce, une décennie auparavant). Vers la fin de l'occupation soviétique, beaucoup de moudjahiddins ont voulu étendre
leur opérations pour inclure les luttes islamistes dans d'autres régions du monde. Un certain nombre d'organisations liées à Al-Qaida ont été formées dans ce but.
Al-Qaida était l'une de celles-ci, fondée par Oussama Ben Laden en 1988. Le nom d'« Al-Qaida » ne vient pas du mouvement lui-même mais a été donné par le gouvernement des États-Unis d'après le nom d'un fichier sur l'ordinateur de Ben Laden qui listait les noms des contacts qu'il avait au sein du MAK. Ben Laden souhaitait étendre le conflit à des opérations non-militaires dans d'autres parties du monde ; Azzam, en revanche, voulait rester concentré sur les campagnes militaires. Après qu'Azzam aie été tué en 1989, le MAK se divisa et une partie significative de ses membres rejoignirent l'organisation de Ben Laden. Puisque les autres parties du monde n'étaient souvent pas impliquées dans une guerre ouverte comme l'Afghanistan sous l'occupation soviétique, le passage du MAK à Al-Qaida a impliqué plus de formation dans les tactiques terroristes. D'autres organismes ont été formés, y compris par Oussama Ben Laden, pour effectuer différents types d'actions terroristes dans des pays différents. Après que l'Union soviétique eût quitté l'Afghanistan, Oussama Ben Laden retourna en Arabie saoudite pendant qu'Al-Qaida continuait ses opérations d'entraînement en Afghanistan. Il se prononça contre le gouvernement saoudien pendant la guerre du Koweit et fut encouragé à quitter le pays. En 1991, il s'installa au Soudan, alors que le gouvernement islamique du pays devait s'occuper d'une guerre civile. En 1996, il fut expulsé du Soudan après une possible participation à une tentative d'assassinat sur le président égyptien Hosni Moubarak. Oussama Ben Laden retourna alors en Afghanistan avec certains de ses employés soudanais. Les camps d'entraînement d'Al-Qaida ont formé des milliers d'islamistes militants à travers le monde; certains appliquèrent plus tard leur entraînement dans différents conflits dans le monde comme en Algérie, en Tchétchénie, aux Philippines, en Égypte, en Indonésie, au Tadjikistan, en Somalie, au Yémen, au Kosovo et en Bosnie-Herzégovine. En février 1998, Ben Laden et Ayman al-Zawahiri du Jihad islamique égyptien ont publié un rapport intitulé « Le Front islamique mondial pour le Jihad contre les Juifs et les Croisés », disant que c'était le devoir de tous les musulmans de tuer les citoyens étatsuniens, qu'ils soient civils ou militaires, et leurs alliés partout dans le monde. Le 10 juillet 2005, Abou Abd Al-Aziz, un lieutenant d'Al-Qaida a été arrêté à Bagdad, après un raid de l'armée américaine. Selon l'état-major américain, Abou Abd Al-Aziz était "un dirigeant d'une cellule terroriste à Bagdad ainsi qu'un responsable des opérations pour Al-Qaida en Irak". Le 14 juillet 2005, Khamis Farhan Khalaf Abed Al-Fahdawi, alias Abou Saba, a été arrêté à Ramadi en Irak. Il faisait partie du réseau Al-Qaida en Irak. On le soupçonnait d'être responsable de l'assassinat de Ihab AlChérifet, chargé d'affaires égyptien, ainsi que d'un diplomate de Bahreïn.
En janvier 2006, sa branche irakienne participe à la fondation du Conseil Consultatif des Moudjahedines en Irak. Le 7 juin 2006, le chef d'Al-Quaida en Irak Abou Moussab Zarqaoui est tué pendant un raid aérien américain. Cependant, il règne une grande confusion sur la nature même d'Al-Qaida. Tantôt dépeinte comme une organisation terroriste structurée dont Oussama Ben Laden serait le chef, tantôt comme une nébuleuse de mouvements djihadistes ou encore comme un réseau de cellules terroristes indépendantes, nul n'est en mesure de définir clairement la structure d'Al-Qaida. Jamais Oussama Ben Laden ou un de ses proches n'ont fait allusion au terme "Al-Qaida" lors de leurs interventions. Al-Qaida n'est pas une organisation réelle, c'est un nom qui a été donné et qui a été repris par la suite par le groupe de Ben Laden.
Actions terroristes d'Al-Qaida Al-Qaida est soupçonnée d'être responsable des attaques à la bombe sur les ambassades des États-Unis de Nairobi (Kenya) et Dar es Salaam (Tanzanie) en août 1998, tuant plus de 300 personnes et blessant plus de 5000 autres. Al-Qaida avait aussi projeté des attaques contre les touristes états-uniens et israéliens visitant la Jordanie lors des célébrations du millénaire ; toutefois les autorités jordaniennes ont contrecarré les attaques prévues et ont mis en examen 28 suspects. Al-Qaida a aussi tenté une attaque à la bombe à l’aéroport de Los Angeles pendant les vacances du millénaire, mais le porteur de la bombe a été arrêté à la frontière canadienne. Al-Qaida affirme avoir abattu des hélicoptères et des soldats états-uniens en Somalie en 1993, et revendique également avoir effectué trois bombardements ciblant des troupes états-uniennes à Aden (Yémen) en décembre 1992. Sans doute impliquée dans les attaques à la bombe du World Trade Center en 1993 et contre le personnel militaire à Dhahran (Arabie saoudite), elle est également soupçonnée d'être responsable de l’attentat à la bombe contre le destroyer états-unien USS Cole en octobre 2000. La plus destructrice des actions attribuées à Al-Qaida est la série d’attaques sur les États-Unis du 11 septembre 2001, une attaque que le porteparole du groupe, Sulaiman Abu Ghaith aurait revendiquée sur une vidéo largement diffusée en octobre 2001. Le 6 janvier 1995, le plan opération Bojinka a été arrêté. Plusieurs attaques et tentatives d’attaques depuis le 11 septembre 2001 ont été attribuées à Al-Qaida, y compris l’attentat raté à la chaussure piégée par Richard Reid (qui s'est déclaré partisan d’Oussama Ben Laden), l’attentat contre la synagogue de Djerba en Tunisie, et des attentats manqués en Jordanie, en Indonésie, au Maroc et à Singapour. Le réseau a de plus été impliqué dans l’enlèvement et le meurtre du journaliste du Wall Street Journal Daniel Pearl et a été suspecté de complicité dans l’attentat à la bombe d'une boîte de nuit à Bali, en Indonésie. En septembre et octobre 2001, suite à la découverte d’un plan d'attaque terroriste de l'ambassade des USA à Paris des suspects ont été arrêtés.
Le 23 décembre 2001, Richard Reid a essayé de faire exploser le vol 63 d'American Airlines. Il a été maîtrisé et arrêté. En 2002, les membres d'Al-Qaida ont bombardé le Limburg au Yémen.
Al-Qaida a un réseau d'influence mondial, avec des cellules dans un certain nombre de pays et des liens étroits avec les réseaux extrémistes sunnites. Ben Laden et ses lieutenants ont trouvé refuge en Afghanistan sous le régime des Talibans dans les années 1990. Le groupe avait un grand nombre de camps d'entraînement là-bas, et à la fin des années 1990 les Talibans eux-mêmes devinrent effectivement subordonnés à Al-Qaida. Depuis l’attaque des États-Unis d'Amérique, des membres du groupe sont suspectés de fuir vers les zones tribales du Pakistan, dans la province Nord-Ouest et le Balouchistan. Al-Qaida entretient des relations très étroites avec nombre d'autres organisations terroristes islamiques comme le groupe indonésien extrémiste Jemaah Islamiyah. Les spécialistes de l’organisation affirment que la structure non hiérarchisée du réseau d’Al-Qaida est à la fois sa force et sa faiblesse. En effet, la structure décentralisée permet à Al-Qaida d’avoir une base mondiale ; cependant, les actions impliquant un haut degré d’organisation, comme les attaques du 11 septembre, prennent beaucoup de temps et d’efforts à mettre en œuvre. Les efforts des États-Unis pour perturber l’organisation d’Al-Qaida ont été des succès partiels. Les attaques menées par Al-Qaida depuis lors ont en effet été plus simples, impliquant moins de personnes.
Le Conseil de sécurité des Nations unies a décidé à l'unanimité le 16 janvier 2002 d’établir un embargo et de geler les capitaux d’Oussama Ben Laden et des Talibans restants.
Liste des attentats attribués à Al-Qaida ou à Abu Sayyaf 26 février 1993 (États-Unis) : Un attentat à l'explosif au World Trade Center de New York fait six morts et un millier de blessés. 13 novembre 1995 (Arabie saoudite) : Une voiture piégée explose à Riyad, devant un bâtiment de la Garde nationale saoudienne, tuant cinq soldats américains et deux Indiens. 25 juin 1996 (Arabie saoudite) : Un camion piégé explose à l'entrée de la base américaine de Khobar, près de Dahran, faisant 19 morts (tous Américains) et près de 400 blessés. 7 août 1998 (Kenya et Tanzanie) : Deux voitures piégées explosent près des ambassades américaines de Nairobi et de Dar es Salaam, faisant au total 224 morts (dont 12 Américains) et des milliers de blessés. 12 octobre 2000 (Yémen) : 17 militaires américains tués et 38 blessés dans une attaque suicide contre le destroyer américain USS Cole à Aden (photo montrant les dégats sur la coque). 11 septembre 2001 (États-Unis) : Quatre avions de ligne sont détournés. Deux sont lancés contre les tours jumelles du World Trade Center à New York et le troisième contre le Pentagone à Washington. Le quatrième avion s'écrase en Pennsylvanie avant d'atteindre sa cible. Le bilan de cette série d'attentats est d'environ 3000 morts. Curieusement, Ben Laden a attendu les élections américaines de 2004 pour revendiquer l'attentat.
2002 11 avril (Tunisie) : 21 personnes (dont 14 Allemands) sont tuées dans un attentat-suicide contre la synagogue de la Ghriba à Djerba. 8 mai (Pakistan) : Un attentat-suicide à la voiture piégée contre un autobus transportant des employés de la Direction des constructions navales (DCN) française fait 14 morts (dont 11 Français). 6 octobre (Yémen) : Un attentat au large du Yémen contre le pétrolier français le Limburg cause la mort d'un de ses membres d'équipage. 12 octobre (Indonésie) : Un attentat à la voiture piégée contre une discothèque à Bali fait 202 morts et 300 blessés, majoritairement des touristes australiens. 28 novembre (Kenya) : 18 personnes sont tuées dans un attentat-suicide contre un hôtel de Mombasa. Le même jour, un avion israélien échappe au tir de deux missiles lors de son décollage de Mombasa.
2003
12 mai (Arabie saoudite) : Un triple attentat-suicide à Ryad, perpétré par 15 kamikazes dans un complexe résidentiel, fait 35 morts et 194 blessés. 5 août (Indonésie) : Un attentat-suicide au fourgon piégé contre l'hôtel américain Marriott à Jakarta fait 12 morts et 150 blessés. 8 novembre (Arabie saoudite) : Un attentat-suicide à la voiture piégée dans un complexe résidentiel de la banlieue ouest de Ryad fait 17 morts et une centaine de blessés. 12 novembre (Irak) : Un attentat au camion piégé contre une base militaire italienne à Nassiriyah fait 28 morts (dont 19 Italiens). 16 novembre (Turquie) : Un double attentat à la voiture piégée contre deux synagogues d'Istanbul fait 25 morts et plus de 300 blessés.
2004 11 mars (Espagne) : Ce sont 191 personnes qui ont péri et 1 500 qui ont été blessées à bord de trains de banlieue de la capitale Madrid, cette attaque constitue le plus important acte terroriste jamais survenu en Europe. 28 mai (Arabie saoudite) : Vingt-deux morts après l'assaut donné contre des membres présumés d'Al-Qaida qui retenaient depuis la veille une cinquantaine de personnes en otage dans un immeuble d'un complexe résidentiel.
2005 7 juillet 2005 à Londres revendiqué au nom de la marque Al-Qaida mais son degré d'implication fait toujours l'objet d'une enquête alors qu'il existe de nombreux éléments de preuve indirects selon un rapport parlementaire britannique du 12 mai 2006 [1]. 23 juillet : Attentats à Charm el-Cheikh. Le bilan est de 88 morts. 14 septembre : Al-Qaida revendique onze attentats, dans la même journée, à Bagdad pour venger les sunnites tués lors de la bataille de Tall Afar : 150 morts et 230 blessés. Liste des principaux chefs [modifier] Abou Faraj al-Libbi, responsable des opérations extérieures, depuis avril 2004. Arrêté au Pakistan le 3 mai 2005. Abou Mohamed al-Masri, responsable de la propagande et donc de la réalisation et de la diffusion des messages audio et vidéo. Ahmed al-Hisawi, nom de guerre Cheikh Saïd, responsable des finances depuis 1998.
Ayman al-Zawahiri, n° 2. Mehdat Mursi, nom de guerre Abou Khabab, responsable de la sécurité interne depuis 2002, il dirige la Force 55. Oussama ben Laden, n° 1.
Chefs régionaux ou émirs Abdelkrim al-Medjati pour l'Europe et le Maghreb. Aereef Sumarso pour l'Asie du Sud-Est. Amin ul-Haq pour le sous-continent indien (région indo-pakistanaise). Fadel Nazzal al-Khalayleh, nom de guerre Abou Moussab al-Zarqaoui pour l'Irak, tué à Bakouba au cours d'un bombardement américain le 7 juin 2006. Il a été remplacé par Abou Hamza Al-Mouhajer. Habib Akdash pour le Grand-Orient (Syrie, Jordanie, Liban, Turquie). Salah al-Awadi pour le Moyen-Orient. Saoud al-Aouataybi pour le Golfe. Tohir Yuldach pour l'Asie centrale.
Anciens chefs Mohammed Atef, ancien n°3, tué en Afghanistan au cours d'un bombardement américain fin 2001. Khalid Cheikh Mohammed, ancien n°3, arrêté au Pakistan en février 2003. Abou Faraj al-Libbi, responsable des opérations extérieures, depuis avril 2004. Arrêté au Pakistan le 3 mai 2005. Abou Abd Al-Aziz, arrêté à Bagdad en juillet 2005 Khamis Farhan Khalaf Abed Al-Fahdawi, alias Abou Saba, arrêté à Ramadi en juillet 2005.
Les États-Unis et Al-Qaida Un (en) conflit a opposé au Waziristan, qui fait partie des régions tribales, des membres d'Al-Qaida et des Talibans contre l'armée régulière pakistanaise, alliée des États-Unis, entre 2004 et 2006. Achevée en septembre 2006, l'arrêt des hostilités a coïncidé avec une reprise des violences en Afghanistan, de l'autre côté de la frontière.Les adversaires des actions menées par les États-Unis et les pays occidentaux au Proche-Orient
et dans le monde prétendent que les actions du gouvernement américain (et de son allié israélien) ont provoqué une forte opposition parmi les peuples arabes et musulmans, et que le terrorisme est le stade ultime des réactions qui en résultent. Selon eux, ces actions sont notamment : le soutien des États-Unis à l'État d'Israël (au prétexte de son occupation de la Cisjordanie) ; L’appui des États-Unis à certains dictateurs du Moyen-Orient, dont Saddam Hussein durant la guerre Iran-Irak entre 1980 et 1988 ; le bombardement apparemment erroné par les États-Unis d'une usine pharmaceutique au Soudan en 1997 suivi par un embargo sur des produits médicaux essentiels entrainant la mort de plusieurs milliers de personnes ; l'utilisation des bases saoudiennes par les forces alliées attaquant l'Irak en 1991 (à l'invitation de l'Arabie saoudite). Lieu de naissance de l'islam, la péninsule arabe est considérée comme Terre Sainte pour les musulmans dont certains estiment que la présence de non-croyants en ce lieu est contraire à l'Islam; les bombardements de l'Irak, en vertu des résolutions des Nations unies, par les États-Unis et le Royaume-Uni entre 1991 et la guerre en Irak de 2003 et que beaucoup considèrent donc comme illégaux.
La cible Al-Qaida Pour les partisans de la responsabilité américaine, la désignation de l'organisation Al-Qaida comme le responsable principal voire unique des attentats islamistes dans le monde est exagérée. La plupart des liens entre les différentes composantes d'Al-Qaida sont extrêmement ténus, et peuvent tout aussi bien relever des connaissances entre personnes de même affinité que de l'appartenance à une même organisation tentaculaire. Ainsi, Richard Reid s'est dit partisan d'Oussama Ben Laden, mais pas membre d'Al-Qaida. On parle à ce sujet d'Al-qaidaisme concernant les méthodes et croyances propagées par Al-Qaida. Soldats canadiens déployés lors de l'opération Anaconda, en mars 2002.Ben Laden lui-même a affirmé qu'AlQaida ne correspondait à rien ; c'est ainsi aussi que la moitié des documents attribués par la CIA à cette organisation soit ne sont pas traduits, soit ont étés égarés (ou perdus suite à un plantage informatique). Alain Bauer, se fondant sur des sources issus des services secrets indiens, proches du Pakistan, ainsi que des services secrets français, britanniques et israéliens, traditionnellement mieux renseignés sur le monde arabe que leurs homologues états-uniens, estime quant à lui que les dirigeants des États-Unis exagèrent grandement l'importance d'Al-Qaida afin de justifier la « guerre contre le terrorisme ». Al-Qaida serait plutôt une mutuelle d'organisations indépendantes, perméables entre elles. Ce qui explique l'impression de nébuleuse. La controverse entourant l'authenticité du réseau Al-Quaida est d'ailleurs dépassée. Les experts occidentaux reconnaissent qu'Al-Qaida est plus une marque ou un emblème basé sur un mode opératoire et un objectif commun.
Après l'offensive internationale en Afghanistan, la nébuleuse a connu des problèmes de communication entre ses membres, et aujourd'hui les différentes cellules terroristes agissent indépendamment les unes des autres, se réclamant d'Al-Qaida mais n'obtenant pas de fonds ni d'ordres particuliers de Ben Laden ou ses adjoints.
La thése de la "création" d'Al-Qaida par les États-Unis De nombreux responsables politiques et journalistes, qualifiés de partisans de la théorie du complot, suggérent que l’existence même d’Al-Qaida seraient due au soutien des États-Unis et l'entraînement donné aux moudjahiddins afghans combattant l'invasion soviétique entre 1979 et 1989. Certains lobbys du complexe militaro-industriel nostalgiques de la guerre froide désirant en refaire une autre, avec Al-Qaida dans le rôle qu'occupait l'Union soviétique. Les activités du groupe Carlyle dont sont membres de nombreuses personnalités américaines comme l'ancien président George Bush ou étrangères comme John Major ainsi que sur l'implication récente d'autres conglomérats de l'industrie pétrolière, tels Halliburton, liés au gouvernement de George W. Bush appuient cette thèse supportée par le controversé Rebuilding America's Defenses rédigé par le think tank néoconservateur Project for the New American Century, soutenant l'idée d'un renforcement de la puissance américaine basé sur son potentiel militaire mondial. Le régime militaire pakistanais a servi d’intermédiaire pour la fourniture de l'essentiel de l'armement aux combattants afghans dont le commandant Massoud mais également les islamistes talibans. Cet armement provenait en grande partie des États-Unis. Le Pakistan a par la suite continué à soutenir les Talibans, une fois ceux-ci au pouvoir en Afghanistan, pour avoir une profondeur stratégique face à l'Inde et infiltrer le Cachemire indien. Selon Leonide Chebarchine, ancien directeur adjoint du KGB, Al-Qaida serait une création des États-Unis et Oussama Ben Laden n'aurait jamais cessé d'être un agent de la CIA. Selon Maloy Krishna Dhar, ancien directeur adjoint du renseignement indien, Al-Qaida aurait été organisé par l'ISI pakistanaise à la demande de la CIA et du MI6. Selon David Shayler, un ancien agent du MI6, les services secrets britanniques auraient eu recours aux hommes de Ben Laden pour effectuer certaines opérations. Al-Qaida aurait notamment été payé par la Couronne britannique pour assassiner Mouammar Kadhafi. Selon Seymour Hersh, journaliste juif travaillant pour The New Yorker et qui avait déjà fait éclater le scandale de la prison Abou Grahib, dans une conférence au Caire éxplique que : Dick Cheney, Elliott Abrams (déjà baigné dans le scandale de l'Iran Contra) et le prince saoudien Bandar Ben Saoud continuent de financer des membres du réseau Al-Qaida, dans des opérations secrétes au Liban et en Iran, visant à destabiliser ces 2 pays en poussant à des luttes interconfessionnelles. Ils pousseraient également l'Iran à une manœuvre qui donnerait une raison à son attaque par les États-Unis.
Conséquences des actions d'Al-Qaida
Selon le géostratégiste Gérard Chaliand, le terrorisme islamique, n’est qu’un épiphénomène qui bien que mobilisant fortement les médias et l’opinion publique n’a pas de conséquences sur le cours de l’histoire. En effet, que ce soit par les pertes humaines occasionnées finalement minimes en comparaison avec des guerres entre États, des effectifs mobilisés ou des conséquences politiques (aucun régime arabe n’a évolué dans le sens voulu par Al-Qaida), son action n’a que des conséquences nulles ou quasi-nulles, à la manière des terroristes anarchistes de la fin du XIXe siècle et du début du XXe siècle, aujourd’hui tombés dans l’oubli. Antoine Sfeir a une analyse proche, selon lui Ben Laden a déjà échoué et ne réussira pas dans son projet principal qui est de rassembler l’essentiel du monde musulman du Maghreb au Machrek dans un califat recréé regroupant tous les croyants.
Oussama Ben Laden Oussama Ben Laden (Usāmah bin Muhammad bin `Awad bin Lādin, ) أسامة بن محمد بن عوض بن لدن, originaire du Yémen, né le 10 mars 1957 à Riyad en Arabie saoudite est le chef et fondateur du réseau terroriste AlQaida. Il est particulièrement connu comme instigateur présumé des attentats du 11 septembre 2001 aux EtatsUnis, pour lesquels il reste à ce jour le principal suspect Le FBI le désigne comme le terroriste le plus recherché au monde. Toujours selon le FBI, Oussama Ben Laden est connu sous plusieurs pseudonymes dans les milieux terroristes, dont « le Prince », « l'Émir », « Abou Abdallah », « Moudjahid Cheikh », « Hajj », « le Directeur ». S'il a pu être considéré comme un héros par certaines populations et à certains moments, il est très loin de faire l'unanimité parmi les musulmans. Al-Qaida ne fait non plus l'unanimité parmi les mouvements terroristes ou islamistes militarisés : par exemple, il est accusé par le Hezbollah de faire le jeu de l'administration américaine et ses actions de porter préjudice à l'islam. Une fatwa a même été édictée à l'encontre d'Oussama Ben Laden.
Biographie Une jeunesse dorée Ben Laden est issu d'une riche famille d'Arabie saoudite, originaire du Yémen. Son père Mohammed a réussi à bâtir un empire dont le fleuron est la Bin Laden Construction group, une importante entreprise de bâtiments travaux publics détentrice de nombreux contrats d'exclusivité avec le gouvernement saoudien. La proximité avec la famille royale (famille princière Ibn Saoud) participe à la fortune de l'entreprise qui, devenue une des premières entreprises de construction au monde, se diversifie et devient le Saudi Binladin Group[4] aux nombreuses ramifications. Parmi elles, la Bin Laden Telecommunications, devenue depuis 1999 la Baud Telecom Company (BTC Networks)[5].
Oussama Ben Laden a 53 demi-frères et demi-sœurs (de plusieurs mères). Lui-même a une vingtaine d'enfants. Le jeune homme fait des études commerciales et techniques à l'université de Djeddah Arabie saoudite, puis il intègre le groupe familial vers le milieu des années 1970. Il étudie à cette période les textes principaux du wahhabisme, principale école de droit musulman en Arabie saoudite, comme le font la plupart des étudiants saoudiens.
1979 - 1989 : contre l'ennemi commun En 1979, il est approché par le prince Turki Al Fayçal, alors chef des services secrets de l'Arabie saoudite (de 1977 à 2001), actuel ambassadeur d'Arabie saoudite à Londres, et fils de l’ancien roi Fayçal ben Abdel Aziz Al-Saoud (de 1964 à 1975). À l'époque, l'invasion de l'Afghanistan par l'URSS vient de commencer. Le recrutement de militants islamistes internationaux débute. Ce mouvement est soutenu notamment par l'Arabie saoudite qui y voit une possibilité de diffusion du wahhabisme, le Pakistan qui se verrait à terme à la tête d'une future internationale islamique et les États-Unis qui y voient un moyen de prêter main forte aux moudjahiddins d'Afghanistan en lutte contre l'envahisseur soviétique. Le prince saoudien Turki lui demande d'organiser le départ des volontaires pour l'Afghanistan et leur installation à la frontière pakistanaise. Le jeune homme est enthousiaste. En effet, la cause est en accord avec sa vision de la foi ; d'autre part, ce combat contre les Soviétiques est extrêmement populaire dans le monde entier, jusqu'en Occident. Enfin, il obéit ainsi aux désirs de la famille royale. En arrivant sur place, le jeune homme découvre des militants motivés, mais très peu organisés. L'amateurisme règne. Ben Laden coordonne l'arrivée des militants à Peshawar via une organisation appelée « Bureau des services ». Il met en place une véritable organisation et assure la formation militaire et idéologique des combattants (camps d'entraînement, mosquées, écoles, etc.) ainsi que l'approvisionnement en armes. Peu à peu, il prend en charge les familles. Il s'occupe des veuves et de l'éducation religieuse des enfants. L'organisation devient alors une véritable fraternité et une nouvelle force politique dans un Afghanistan déjà morcelé. C'est ainsi que le jeune homme timide prend de l'autorité. Il participe lui-même à quelques combats. Son prestige grandit parmi ses hommes. En 1989 son mentor et ami, le Palestinien Abdallah Youcef Azzam, est assassiné. Oussama Ben Laden se retrouve alors à la tête de l'organisation. Elle est la base d'Al-Qaida, logistique du djihadisme international. Durant toute cette décennie, Ben Laden rend régulièrement compte au prince Turki. Ses voyages en Arabie saoudite sont nombreux. Cependant, la situation de l'organisation est complexe. Beaucoup de moudjahiddins se méfient de cette organisation d'étrangers fondamentalistes. Le commandant Massoud, notamment, refuse toute alliance. Oussama Ben Laden se rapproche alors de Gulbuddin Hekmatyar, un chef fondamentaliste local. Ce dernier est à la tête d'une force politique et le Pakistan voudrait le voir à la tête du pays après le départ des Soviétiques.
En février 1989 les Soviétiques annoncent leur retrait d'Afghanistan. Les djihadistes veulent poursuivre le combat jusqu'à la prise du pouvoir à Kaboul. Cependant, les États-Unis qui ont atteint leur objectif, et l'Arabie saoudite, stoppent le financement et le soutien logistique massif.
1989 - 1993 : la rupture Oussama Ben Laden se sent trahi, mais à son retour en Arabie saoudite, il est considéré en héros. Il organise des conférences dans les mosquées, dans les écoles, à l'université sur son djihad contre l'armée soviétique. La rupture intervient avec la Guerre du Koweït (1990-1991). Oussama Ben Laden propose au roi Fahd d'utiliser sa milice pour défendre le pays contre une éventuelle invasion des troupes irakiennes. Ce dernier refuse et préfère ouvrir son territoire à l'armée des États-Unis. Pour Oussama Ben Laden, le sol sacré de l'Arabie saoudite est souillé par les Infidèles. Il se fait alors de plus en plus critique vis-à-vis de la famille royale. Il va jusqu'à accuser les princes de corruption. Il est déchu de la nationalité saoudienne en 1994. Pressé de quitter le pays, il se rend alors à Khartoum, au Soudan. Il est accueilli par Hassan al-Tourabi, chef du groupe islamiste Front national islamique soudanais (FNI). Il s'installe dans le pays, y investit et fait quelques affaires (routes, exportations agricoles, acquisitions foncières, activités bancaires en accord avec les principes de la banque islamique).
Il reste cependant en relations discrètes avec certains membres du régime saoudien (la famille royale est en effet peu unie). De même, il garde des relations avec la CIA ; son nom de code aurait été « Tim Osman ». 1993 - février 1996 : les années troubles Ben Laden suit et finance des groupes islamistes issus du combat contre les Soviétiques et revenus dans leur pays d'origine (ils y sont surnommés « les Afghans »). Il finance également des camps d'entraînement. Dès décembre 1992 un groupe financé par Ben Laden est responsable d'un attentat au Yémen contre les soldats américains en route pour l'opération Restore Hope en Somalie.
La même année, un attentat touche le World Trade Center. Il fait 6 morts. Un groupe lié à Oussama Ben Laden est soupçonné. Cependant, l'enquête du FBI est freinée par la CIA. Oussama Ben Laden profite en effet de la politique d'une partie de l'administration Clinton, soutenue par le lobby pétrolier. Celle-ci a plusieurs objectifs : le soutien à des régimes stables en Asie centrale afin de permettre l'acheminement du pétrole, la lutte contre l'influence russe dans la région et une politique résolument engagée contre l'Iran chiite. Pour cela, il faut soutenir l'islamisme sunnite issu notamment du Pakistan et de
l'Arabie saoudite. C'est pourquoi Oussama Ben Laden n'est pas perçu uniquement comme une menace. Cependant, cette stratégie est infléchie dans les derniers temps du mandat de Bill Clinton. En février 1996, Oussama Ben Laden lance un appel à attaquer les intérêts américains partout dans le monde. Il devient dès lors un ennemi officiel des États-Unis. Les Américains obtiennent son expulsion du Soudan. Il se réfugie alors en Afghanistan, passé sous contrôle des talibans depuis 1996. Les États Unis, épaulés par le Pakistan, négocient avec le régime, mais les talibans soufflent le chaud et le froid. Les attentats du 11 septembre 2001 stoppent brutalement cette négociation. Depuis 1996 : le terrorisme de masse, la traque et la communication Les États Unis le tiennent pour responsable des attentats à la bombe dirigés contre les ambassades américaines de Nairobi au Kenya (213 morts dont huit Américains) et de Dar es Salaam en Tanzanie (onze morts, tous Tanzaniens) le 7 août 1998. Le gouvernement américain offre 25 millions de dollars pour toute information conduisant directement à sa capture, et une prime additionnelle de deux millions de dollars est offerte conjointement par la « Airline Pilots Association » et la « Air Transport Association ». À chaque agression, Ben Laden se réjouit des attentats, mais ne les revendique pas. À partir de ce moment, les États-Unis veulent officiellement Ben Laden « mort ou vif ». Le vol 175 de United Airlines percute la seconde tour du World Trade CenterEn août 2001, le prince Turki est limogé par le régime saoudien. Oussama Ben Laden est considéré par les pays occidentaux comme le principal responsable des attentats du 11 septembre 2001 contre le World Trade Center et le Pentagone. Il n'a lui même jamais revendiqué les attentats contre le World Trade Center du 11 septembre 2001 bien qu'il se soit félicité de leur tenue. À ce titre, le site du FBI ne recherche pas Ben Laden pour cet acte, mais pour d'autres actes terroristes (attaques contre l'ambassade des États-Unis de Nairobi et de Dar El Salem). De là nait une controverse sur la responsabmlité de Ben Laden et d'Al Qaida dans les attentats du 11 septembre. En 2004, nous apprend le journaliste d’investigation Eric Laurent, le leader terroriste Ben Laden n’est en réalité ni recherché ni inculpé par les autorités américaines pour les attentats du 11 septembre, ni contre le croiseur USS Cole à Aden. John Aschcroft, ministre de la justice, dont dépend le FBI, n’a jamais donné l’ordre que l’on délivre un avis de recherche fédéral contre Ben Laden. Pour la justice et les agences chargées de l’enquête, Oussama n’est pas suspect dans le carnage du 11 septembre. Et dans une vidéo fournie à al-Jazira quelques jours après le 11 septembre, Ousama Ben Laden dit: « Le gouvernement américain m'accuse réguliérement d'être derrière toutes [les attaques]. Je veux certifier au monde que je n'ai pas organisé les dernières attaques qui semblent avoir été mises en oeuvre pour des motifs personnels. Je vis dans l'émirat islamique d'Afghanistan et j'obéis aux lois de son dirigeant. Or, son dirigeant actuel ne m'autorise pas à mener ce genre d'opération ».
De plus, Richard Labevière, journaliste d’investigation de haute renommée en Suisse, a rapporté les preuves qu’Oussama avait été hospitalisé durant deux semaines en juin 2001 à l’hôpital américain de Dubaï, aux Emirats Arabes Unis, et soigné par le chirurgien Terry Callaway, histoire confirmée par plusieurs agences de presses. L’agent local de la CIA, Larry Mitchell, lui a rendu visite à cette occasion, une information reprise par de nombreux journaux, y compris Le Figaro du 31 octobre 2001 sous la plume d’Alexandra Richard. Oussama Ben Laden est-il réellement rejeté par l’ensemble de sa famille tel que l’administration américaine a voulu le présenter à la face du monde? Si oui, alors comment se fait-il qu’il ait reçu, durant son hospitalisation à Dubaï en 2001, la visite des membres de sa famille ainsi que des Saoudiens importants ? Comment intégrer le fait que pendant l’été 2001, à l’occasion du mariage du fils d’Oussama en Afghanistan, les Ben Laden se soient rendus à la noce que présidait Oussama, information diffusée par l’agence France Presse le premier mars 2001, Al Jazeera et le Washington Foreign Press Center ? Les experts considèrent que Ben Laden a été un activiste proaméricain en Asie centrale, entraîné et financé par la CIA. Cela ne fait guère de doute. La question est de savoir jusqu’à quand ? Un journaliste d’Emperor’s Clothes, Rick Rozoff, proclame tout haut ce que beaucoup de gens pensent tout bas : « Ben Laden est un agent opérationnel de la CIA et de l’ISI pakistanais. Ces organisations le soutiennent et soutiennent également Al Qaida. » Cet avis est partagé par l’Alliance du Nord afghane, et de nombreux pays ont également fait part de leurs doutes en évoquant cette possibilité, sur le mode hypothétique car l’affirmation n’est
guère
diplomatique
et
il
n’est
pas
question
de
froisser
les
Etats-Unis.
Lydon Larouche, ancien candidat à la présidence américaine, confirme cette opinion en affirmant que Ben Laden est une créature des services secrets américains. Le vice-président de la Commission des Affaires Etrangères de la Fédération de Russie, Michail Magrelov, dis que « quel que soit le rôle qu’ait joué Ben Laden ou différents pays, ils étaient au mieux la partie d’une structure qui a été planifiée et réalisée par une organisation non encore identifiée ».
Le doute subsiste encore sur l'identité de Ben Laden.
Le 14 décembre 2001, le gouvernement américain diffuse une vidéo montrant Ben Laden confessant la participation d'al qaida dans les attentats du 11 septembre. Cette vidéo aurait été trouvée dans une maison abandonnée à Jalalabad, en Afghanistan. Cependant, certains détails restent génants, tels que par exemple la très mauvaise qualité de la vidéo et que même ainsi, en comparant avec les autres images que nous possédont de Ben Laden, nous ne voyons aucune resemblance, le fait que Ben Laden écrive de la main droite alors qu'il est gaucher (d'après le F.B.I.), et le fait qu'il porte une bague en or, alors que c'est proscrit par sa religion, et que ça n'appaait pas dans son portrait décrit par le F.B.I. La chaîne qatarie Al-Jazira publie le 12 novembre 2002 un message sonore reconnu par les autorités des ÉtatsUnis comme provenant d'Oussama Ben Laden. Celui-ci met en garde et menace plusieurs pays occidentaux de nouveaux attentats s'ils continuent à soutenir « le gang des bouchers de la Maison Blanche ».
Après les attentats du 11 septembre 2001, le président des États-Unis George Walker Bush déclenche une guerre en Afghanistan dans le but déclaré d'anéantir Al-Qaida. Ben Laden échappe toujours totalement à ses poursuivants. La CIA pense qu'il se cache dans les régions tribales au nord-ouest du Pakistan. Selon l'IDIAP Research Institute de Martigny en Suisse au moins un des messages de Ben Laden authentifiés par la CIA (celui du 12 novembre 2002) serait un faux. Une vidéo diffusée par la chaîne d'information en arabe Al-Jezira quatre jours avant les élections présidentielles aux États-Unis tendrait à montrer qu'Oussama Ben Laden est toujours en vie au moment de l'enregistrement malgré les rumeurs persistantes de décès dans les montagnes à la frontière de l'Afghanistan et du Pakistan. Ce dernier renvoie dos à dos les deux candidats et annonce de futurs attentats. Il affirme que contrairement à la thèse de dirigeants américains, son but n'est pas de lutter contre la liberté, auquel cas il se serait attaqué à des États nordiques. Il estime que les attaques contre le World Trade Center sont une mesure de rétorsion contre les « tueries » organisées par les militaires américains. Le 27 décembre 2004, la chaîne de télévision Al-Jezira a diffusé un enregistrement audio, attribué à Oussama Ben Laden, désignant le Jordanien Abou Moussab al-Zarqaoui comme son adjoint en Irak et appelant à un boycott des élections prévues le 30 janvier 2005. Le 19 janvier 2006, après un an de silence, Al-Jezira diffuse un nouvel enregistrement audio où Oussama Ben Laden annonce la préparation de nouvelles opérations terroristes et propose une « trêve » en échange d'un retrait des troupes américaines en Irak et Afghanistan : « Nous n'avons pas d'objection à vous offrir une trêve (hudna) de longue durée dans des conditions justes que nous respecterons, parce que nous sommes une nation à laquelle Dieu interdit la traîtrise et le mensonge ». Une trêve aussitôt refusée par la Maison Blanche. L'absence d'images alimente de nouvelles spéculations selon lesquelles Oussama Ben Laden serait malade ou blessé et peut-être même mort. Dans un autre enregistrement audio diffusé le 23 avril, Oussama Ben Laden évoque pour la première fois la situation au Soudan en appelant ses partisans à « se préparer à une guerre de longue durée au Darfour ». La fortune d’Oussama Ben Laden Des investigations poussées ont été conduites pour déterminer l’étendue de la fortune d’Oussama Ben Laden, commanditaire présumé des attentats, et pour repérer les sociétés qu’il contrôle. Diplômé en management et en économie de la King Abdul Aziz University, Oussama Ben Laden est un homme d’affaires avisé. Dès 1979, il fut sollicité par son tuteur, le prince Turki al-Fayçal al-Saud (directeur des services secrets saoudiens de 1977 à août 2001), pour gérer financièrement les opérations secrètes de la CIA en Afghanistan. En quelques années, la CIA investit 2 milliards de dollars en Afghanistan pour faire échec à l’URSS, faisant de ces opérations les plus coûteuses jamais engagées par l’Agence.
En 1994, alors qu’il était devenu l’ennemi public des États-Unis et qu’il avait été déchu de sa nationalité saoudienne, Oussama Ben Laden hérita d’environ 300 millions de dollars, correspondant à sa part au sein du Saudi Binladen Group (SBG). Cette holding, la plus importante d’Arabie saoudite, réalise la moitié de son chiffre d’affaires dans le bâtiment et les travaux publics, et l’autre moitié dans l’ingénierie, l’immobilier, la distribution, les télécommunications et l’édition. Elle a formé une société suisse d’investissements, la SICO (Saudi Investment Company), qui a créé plusieurs sociétés avec des filiales de la National Commercial Bank saoudienne. Le SBG détient d’importantes participations dans General Electric, Nortel Networks et Cadbury Schweppes. Le SBG est représenté aux États-Unis pour ses activités industrielles par Adnan Khashoggi (ex-beau-frère de Mohammed al-Fayed), tandis que ses avoirs financiers sont gérés par le Carlyle Group. Jusqu’en 1996, les montages des filiales du SBG étaient préparés à Lausanne par son conseiller, le banquier François Genoud (dit, « le banquier nazi » p arce qu'il était l'exécuteur testamentaire du dr. Goebbels,et passait pour " le banquier du IVe Reich ". Il travaillait en lien avec de nombreux groupes anti-juifs dans le monde et finança notamment des actions de " Carlos) . Le SBG est indissociable du régime wahhabite, au point d’avoir longtemps été le contractant officiel et unique pour la construction et la gestion des lieux saints du royaume, Médine et La Mecque. De même, il a remporté la majorité des marchés BTP de construction des bases militaires US en Arabie Saoudite et de reconstruction du Koweït après la guerre du Golfe. Le groupe a été fondé en 1931 par le patriarche, cheikh Mohammed Ben Laden. Après son décès accidentel, en 1968, son fils aîné, Salem, lui a succédé. Celui-ci est décédé à son tour dans un " accident " d’avion survenu au Texas, en 1988. Désormais, le SBG est dirigé par Bakr, le deuxième fils du fondateur.
Bien que le SBG déclare avoir rompu tout lien
avec Oussama Ben Laden depuis 1994, de nombreux auteurs, distinguant le droit positif du droit coutumier, prétendent que le leader intégriste continue à exercer une autorité morale sur lui et à percevoir des dividendes. Oussama Ben Laden a investi son héritage dans la création de plusieurs banques, sociétés agroalimentaires et de distribution au Soudan. Parmi celles-ci, il a placé 50 millions de dollars dans l’AlShamal Islamic Bank, dont la Tadamon Islamic Bank est l’autre actionnaire de référence. Par ce biais, Oussama Ben Laden est le partenaire financier du ministère des Affaires sociales des Émirats Arabes Unis et de la Dar al-Maal al-Islami que le prince Mohammad Al-Faisal Al-Saud utilise pour financer au nom de l’Arabie Saoudite l’ensemble des mouvements wahhabites dans le monde. Oussama Ben Laden est également réputé détenir des parts dans la Dubaï Islamic Bank de Mohammed Khalfan Ben Kharbash, ministre des Finances des Émirats Arabes Unis. D’abord avec l’appui du colonel Omar Hassan el-Béchir, puis d’Hassan elTourabi, il développa diverses compagnies au Soudan, construisant un aéroport, des routes, installant un pipeline et contrôlant la majeure partie de la production de gomme arabique. Malgré ces réalisations, il fut expulsé du Soudan en 1996. Par ailleurs, Oussama Ben Laden aurait été actionnaire du laboratoire pharmaceutique d’Al-Shifa, suspecté par les États-Unis de préparer des armes chimiques et bombardé à ce titre, en 1998. Enfin, il est suspecté de jouer un rôle central dans le commerce international de l’opium dont l’Afghanistan est le premier producteur mondial.
Oussama Ben Laden exerce une autorité spirituelle sur de puissantes associations caritatives musulmanes, dont principalement l’International Islamic Relief Organisation (IIRO) et la Fondation du beau-frère du roi Fahd, Abdul Aziz al-Ibrahim. Si l’on ajoute à ces avoirs des stocks d’armes de la première guerre d’Afghanistan qu’Oussama Ben Laden aurait pu conserver, sa fortune peut être évaluée dans une fourchette de 300 à 500 millions de dollars. On est donc bien loin des 6 milliards de dollars évoqués par certaines personnalités politiques. Quoi qu’il en soit, aucun élément n’a été relevé qui permette de relier les sociétés contrôlées par le leader intégriste aux délits d’initiés du 11 septembre.
Les partenaires financiers d’Oussama Ben Laden Deux personnalités de premier rang paraissent omniprésentes dans les sociétés d’Oussama Ben Laden : Cheikh Khaled Salim Ben Mahfouz et Saleh Idris. Selon la revue Forbes, Khaled Ben Mahfouz détient la 251ème fortune mondiale, évaluée à 1,9 milliards de dollars. Son père avait fondé la principale banque saoudienne, la National Commercial Bank, qui a créé diverses sociétés avec la SICO du Binladen Group. Sa sœur a épousé Oussama Ben Laden . Jusqu’en 1996, les Ben Mahfouz, comme les Ben Laden, recouraient aux conseils du banquier nazi François Genoud pour les montages de leurs filiales. Khaled Ben Mahfouz dispose d’une résidence à Houston (Texas) et, avec le soutien de la famille Bush, a acheté une partie de l’aéroport de la ville pour sa convenance personnelle. Il possède des sociétés dans le monde entier. Bien que partenaires réguliers d’Oussama Ben Laden, Khaled Ben Mahfouz est un homme d’affaires respecté sur les places financières internationales. La chose est d’autant plus troublante, qu’il fut au cœur du principal scandale bancaire
du
début
des
années
90,
le
crack
de
la
BCCI .
La Bank of Credit and Commerce International (BCCI) était un établissement anglo-pakistanais présent dans soixantetreize pays. Elle était conjointement détenue par trois grandes familles : les Gokal (Pakistan), les Ben Mahfouz (Arabie
saoudite)
et
les
Geith
Pharaon
(Abu
Dhabi).
Elle fut utilisée par Ronald Reagan pour corrompre le gouvernement iranien pour qu’il retarde la libération des otages américains de l’ambassade de Téhéran et saboter ainsi la fin de la présidence de Jimmy Carter (opération dite " October Surprise "). Puis, sous l’impulsion de l’ex-directeur de la CIA et vice-président George Bush (père), l’administration Reagan utilisa encore la BCCI pour faire transiter les dons saoudiens aux Contras du Nicaragua, et pour faire transiter l’argent de la CIA vers les Mujahidines en Afghanistan. La BCCI est également impliquée dans les trafics d’armes du trader syrien Sarkis Sarkenalian, dans le scandale Keatinga aux USA, dans les affaires du trader Marc Rich, dans le financement du groupe Abu Nidal, etc. En définitive, la banque sombra lorsqu’il fut établi qu’elle blanchissait aussi l’argent du Cartel de Medellin. Elle grugea un million de petits déposants lorsqu’elle ferma ses portes. Le fait que la BCCI a pu être manipulée, sinon créée, par la CIA ne doit pas surprendre. Il existe une longue tradition bancaire dans les services secrets américains depuis la fondation de l’OSS par des juristes d’affaires et des courtiers de Wall Street. Deux anciens directeurs de la CIA, Richard Helms et William Casey, ont travaillé à la BCCI, ainsi que deux prestigieux agents d’influence de la CIA, Adnan Khashoggi et Manucher Ghobanifar (les principaux
traders de l’Irangate). Sans parler de Kamal Adham (beau-frère du roi Fayçal et chef des services secrets saoudiens jusqu’en 1977), du prince Turki al-Fayçal al-Saud (chef des services secrets saoudiens de 1977 à août 2001) et d’Abdul Raouf Khalil (directeur adjoint des services secrets saoudiens). Pour mémoire, on notera que la BCCI semble avoir aussi joué un rôle occulte en France. Elle aurait notamment servi à masquer le transfert de technologie nucléaire américano-français vers le Pakistan et à payer la libération d’otages. Un homme d’affaires des Hauts-de-Seine, proche de Charles Pasqua, a été inculpé à l’étranger pour son rôle à la BCCI, indépendamment de ses mises en examen en France dans l’affaire Elf-Thinet. Trois ans après la déconfiture de la banque, ce sont ses anciens dirigeants qui jouèrent les intermédiaires lors de la passation du contrat Sawari-II et organisèrent un système de rétrocommissions censé financer la campagne présidentielle d’Edouard Balladur. Les interrogations soulevées par cette vente de vedettes à l’Arabie Saoudite conduisirent Jacques Chirac, dès son arrivée à l’Élysée, à faire placer sur écoute l’ancien ministre de la Défense d’Edouard Balladur, François Léotard. La BCCI travaillait en étroite collaboration avec la SICO (initialement CYGNET), filiale suisse d’investissement du Saudi Ben Laden Group, et l’on remarquait parmi ses administrateurs, l’un des frères d’Oussama Ben Laden, Salem. Un an avant sa banqueroute, la BCCI servit à monter une vaste opération d’enrichissement illicite de George Bush Jr, alors directeur d’une petite société pétrolière, Harken Energy Corporation. Harken emporta les concessions pétrolières du Bahrein, comme rétrocommission des contrats américano-koweïtiens négociés par le président George Bush père. Khaled Ben Mahfouz était actionnaire d’Harken à hauteur de 11,5 %. Ses actions étaient " portées " par l’un de ses fondés de pouvoir, Abdullah Taha Bakhsh. Tandis que l’un des frères d’Oussama Ben Laden, Salem, était représenté au conseil d’administration d’Harken par son fondé de pouvoir américain, James R. Bath. Tenu pour solidairement responsable de la faillite de la BCCI, Khaled Ben Mahfouz fut inculpé aux États-Unis, en 1992. Il parvint à faire lever les charges à son encontre, en 1995, à l’issue d’une transaction avec les créanciers de la banque d’un montant de 245 millions de dollars. Saleh Idris, quant à lui, est le directeur de la Saudi Sudanese Bank, filiale soudanaise de la National Commercial Bank de Khaled Ben Mahfouz. Il était l’associé d’Oussama Ben Laden dans l’usine pharmaceutique d’Al-Shifa. Au Royaume-Uni, Salah Idris est actionnaire majoritaire d’IES Digital Systems, une importante société produisant des matériels de surveillance high-tech. La baronne Cox s’est étonnée à cet égard à la Chambre des Lords qu’IES Digital Systems, assurait la sécurité des sites gouvernementaux et militaires britanniques les plus sensibles. De la BCCI au Carlyle Group Les principaux responsables et clients de la BCCI se retrouvent aujourd’hui dans le Carlyle Group, un fonds de placement créé en 1987, soit quatre ans avant la déconfiture de la banque. Carlyle gère aujourd’hui un portefeuille de 12 milliards de dollars. Il détient des participations majoritaires dans Seven Up (qui assure la mise en bouteille pour Cadbury Schweppes), Federal Data Corporation (qui a par exemple équipé la Federal Aviation Administration de son système de surveillance du trafic aérien civil) et United Defence Industries Inc. (le principal équipementier des armées
américaines, turques et saoudiennes). À travers les sociétés qu’il contrôle, le Carlyle Group arrive au 11ème rang des compagnies d’armement américaines. En 1990, le Carlyle Group a été mis en cause dans une affaire d’extorsion de fonds. Un lobbyiste du Parti républicain, Wayne Berman, avait racketté des fonds de retraite américains pour financer les campagnes électorales des Bush, l’un de ces fonds avait accepté de verser 1 million de dollars au Carlyle Group pour obtenir un contrat public dans le Connecticut. The Carlyle Group gère l’essentiel des placements financiers du Saudi Binladen Group. Parmi ses dirigeants, on trouve Sami Mubarak Baarma, le fondé de pouvoir au Royaume-Uni de Khaled Ben Mahfouz, et Talat Othmann, un ancien administrateur de Harken Energy Corporation, la société qui permit à George Bush
Jr
de
s’enrichir
illégalement.
Le Carlyle Group est présidé par Frank C. Carlucci (ancien directeur adjoint de la CIA, puis secrétaire à la Défense). Il est conseillé par James A. Baker III (ancien chef de cabinet du président Reagan, puis secrétaire au Trésor, enfin secrétaire d’État sous Georges Bush père) et Richard Darman (ancien directeur du Budget). Pour le représenter à l’étranger, le Carlyle Group a recours à John Major (ancien Premier ministre britannique) et Georges Bush père (ancien directeur de la CIA, puis président des États-Unis). En France, le Carlyle Group est devenu l’actionnaire de référence du Figaro (cf. RV 99/0422). Contrairement à une idée reçue, Oussama Ben Laden n’est pas seulement un sous-traitant de la CIA, employé pour combattre le nationalisme arabe, puis l’URSS, au nom de l’islam radical. Il a été - et sa famille reste - l’un des principaux partenaires financiers de la famille Bush. S’il est exact, comme le prétendent de nombreux officiels américains, que la famille Ben Laden continue à entretenir des relations avec Oussama et à financer ses activités politiques, alors le Carlyle Group, qui gère les placements financiers du Saudi Binladen Group, serait nécessairement impliqué dans les délits d’initiés. Georges Bush père serait alors l’un des heureux bénéficiaires des manœuvres boursières du 11 septembre 2001.
Organisation
Composition du Front islamique mondial pour le djihad contre les Juifs et les croisés (bras armé d'Al-Qaïda)
-Le Djihad égyptien : Dirigé par Ayman al-Zawahri, ex-chirurgien et l’un des principaux conseillers d’Oussama ben Laden. -Le Rassemblement des oulémas du Pakistan : Dirigée par Mir Hamza, cette organisation porterait également le nom d’Organisation des clercs islamiques. -Mouvement des combattants Al-Ansar : Dirigé par Fadl al-Rahman, ce mouvement porte aussi le nom arabe de Harakat ul-Ansar ou Harakat ul-Mujahedeen. Ce groupe est surtout actif au Cachemire indien et en Afghanistan. -Le Djihad du Bangladesh : Dirigée par Abdel-Salam Mohamed, cette organisation est pratiquement inconnue des autorités du Bangladesh. -Armée islamique pour la libération des lieux saints : Responsable des attentats contre les ambassades américaines du Kenya et de Tanzanie, en août 1998, cette organisation serait une création d’Oussama ben Laden et découlerait directement d’Al-Qaïda. Nom donné au réseau terroriste islamiste placé sous l’autorité morale d’Oussama ben Laden depuis le Soudan (1991-96), puis, dès 1996, depuis l’Afghanistan. Al-Qaïda s’est rendue célèbre par le double attentat contre les ambassades américaines de Nairobi et de Dar Es-salaam en août 1998 et le triple attentat du 11 septembre 2001 à New York et à Washington DC. En fait, Al-Qaïda n’est qu’une organisation virtuelle qui repose sur le réseau informel des combattants vétérans d’Afghanistan. Le terme de « mouvance » serait sans doute plus approprié. Al-Qaïda est un réseau non structuré, dont les liens et les maillons sont différents à chaque opération. Conçue comme « base » logistique et de ressources humaines de la guerre contre les Soviétiques en Afghanistan, elle a donné son nom aux nouveaux réseaux informels des anciens 4 « afghans ». Autrefois chef de ce bureau de recrutement, Oussama ben Laden est resté le chef spirituel des réseaux « afghans ». S’il assume la responsabilité morale des actions du réseau, il n’est pas certain qu’il en assure la conduite opérationnelle. Les observations montrent que les opérations sont décidées de manière décentralisée, organisées au niveau régional. Le financement nécessaire est obtenu à travers les réseaux, sans qu’une « autorisation » centralisée ne soit requise.
Personnalités du réseau Al-Qaïda et leur situation (juin 2003)
Noyau dur du réseau Oussama ben Laden Aïman al-Zaouahri Mohammed Atef Abou Zubaïdah Abd al-Rahim al-Nashiri Khaled Shaïkh Mohammed Ramzi Binalshibh Abou Musab Zarqawi Abou Zubair al-Haili Zaid Khayr Mohammad Salah Tariq Anwar al-Sayyid Ahmad Tawfiq Attash Khallad Qaed Salim Sinan Al-Harethi Omar Al-Farouq
(Arabie Saoudite) Emplacement inconnu (Egypte) Idéologue de l’organisation Emplacement inconnu (Egypte) chef des opérations probablement tué (octobre 2001) (Palestine-Arabie Saoudite): Coordinateur des opérations dans le monde. Capturé (… 2002) (Arabie Saoudite) Chef des opérations pour le Golfe Persique: capturé (novembre 2002) Chef des opérations pour le 11 septembre 2001 (?). Capturé au Pakistan 28 février 2003 (Yémen) Concepteur et organisateur du 11 septembre 2001; capturé (Jordanie): réfugié en Iran capturé au Maroc (juin 2002) Emplacement inconnu (Egypte) Probablement tué en Afghanistan (Egypte) Responsable des opérations (Egypte) probablement tué (Yémen) Responsable de l’attentat contre l’USS Cole; Capturé au Pakistan (30 avril 2003) (Yémen) Chef des opérations pour le Yémen. Tué par attaque aérienne. (Koweït) Chef des opérations pour le Sud-Est asiatique ; capturé.
Responsables de la sécurité Saif al-Adil Amin al-Haq
(Egypte) Emplacement inconnu (Afghanistan) Emplacement inconnu
Conseiller juridique-religieux Abou Hafs the Mauritanian
(Mauritanie) Emplacement inconnu
Commandants de camps d’entraînement en Afghanistan Abou Mohammad al-Masri (Egypte) Emplacement inconnu Ibn Al-Shaykh al-Libi (Libye) capturé Abd al-Hadi al-Iraq capturé
Finances et logistique Shaikh Saiid Shaikh Saiid Al-Masri Abou Jafar al-Jaziri Abou Salah al-Yemeni Abdul Rahim Riyadh Ahmad Said al-Kadr Hamza al-Qatari Mohammed Jamal Khalifa Saad Al-Sharif
(Arabie Saoudite): Arrêté au Pakistan (28 février 2003) (Egypte) Chef des finances. Emplacement inconnu tué tué capturé (Egypte-Canada) Emplacement inconnu tué (Arabie Saoudite) Emplacement inconnu (Arabie Saoudite) Emplacement inconnu
Relations publiques et propagande Sulaiman Abou Ghaith (Koweit) Emplacement inconnu
Recherche en armes de destruction massive Midhat Mursi (Egypte) Emplacement inconnu
Autres cadres Abou Basir al-Yemeni Abd al-Aziz al-Jamal Bilal ben Marwan Saqar al-Jadawi Mohammad Omar Abdel-Rahman Ahmad Omar Abdel-Rahman
(Yémen) inconnu inconnu (Arabie Saoudite) inconnu (Yémen-Arabie Saoudite) inconnu (Egypte) capturé à Quetta, Pakistan (13 février 2003) (Egypte) capturé
Mouvements soupçonnés d’appartenir au réseau Al-Qaïda Ahl al-Sounna wal Jamaa (Les Fidèles de la Sunna et de la Communauté) Al-Jabha al-Islamiya al-Tounsiya (Front Islamique Tunisien) Al-Jamaa al-Islamiya al-Mouqatila al-Libiya (Groupe Islamique Combattant Libyen) Al-Jamaa al-Islamiya al-Mouqatila al-Maghribia (Groupe Islamique Combattant Marocain) Al-Jamaa al-Mouqatila al-Tounsiya (Groupe Combattant Tunisien) Al-Marsed al-Islami (Observatoire Islamique) Al-Mouhajiroun (Les Emigrés) Al-Nahda (La Renaissance) Al-Salafiyoun (Les Salafistes) Ansar al-Islam (Partisans de l’Islam) Ansar al-Qaïda (Partisans d’Al-Qaïda) Ansar al-Scharia (Partisans de la Charia) Asbat al-Ansar (Ligue des partisans) Es-Sounna wal-Jamaa (La Sunna et La Communauté) Groupe Salafiste pour la Prédication et le Combat Harakat al-Ansar al-Islamiya (Mouvement Islamique des Partisans) Ittihad al-Islamiyya (Unité Islamique) Jaïsh Adan Abiyan (Armée d’Aden Abyan) Jaïsh e-Mohammed (Armée de Mohammed) Jamaa Islamiya (Groupe Islamique) Jemaah Islamiyaah Jound al-Islam (Soldat de l’Islam) Jound al-Shams (Soldat du Levant) Lujnat al-Nassiha wal-Islah (Comité de Conseil et de Réforme) Salafiya Jihadiya (Groupe Salafiste Djihadiste)
Opérations Opérations attribuées à Al-Qaïda 26.06.95 25.06.96 07.08.98 12.10.00 11.09.01
Tentative d’assassinat contre le Président égyptien Hosni Moubarak Destruction des Khobar Towers sur la base américaine de Dharan (Arabie Saoudite) Attentats simultanés contre les ambassades américaines de Nairobi (Kenya) et de Dar Es-Salaam (Tanzanie) Attentat-suicide contre le croiseur USS Cole Attentats-suicide simultanés contre le World Trade Center (New York) et le Pentagone (Washington DC)
Oussama Ben Laden a besoin de recruter des personnes prêtes à se sacrifier. Il utilise pour cela le ressort religieux.
Le choix de cibles particulièrement spectaculaires, dans le cadre de ses opérations terroristes, montre tant un sens de la préparation tactique que de l'utilisation des médias. Concernant la conceptualisation du terrorisme et le volet « idéologique » d'Al Qaida, le "cerveau" est Ayman al-Zawahiri. Ben Laden se serait contenté de financer les attentats du 11 septembre, et l'opération aurait été proposée et orchestrée par Khalid Cheikh Mohammed, selon les aveux de ce dernier et les conclusions du rapport final de la Commission nationale sur les attaques terroristes contre les États-Unis. Une vidéo diffusée par Al-Jazira le 7 septembre 2006 montrerait cependant Ben Laden et ses lieutenants, dont Mohammed Atef (mort en Afghanistan en novembre 2001), préparant les attentats du 11 septembre. Al-Qaida fonctionne comme une franchise du terrorisme islamiste. Des groupes comme celui d'Abou Moussab Zarqaoui en Irak ou ceux responsables des attentat de Bali, attentats du 16 mai 2003 à Casablanca, attentats du 11 mars 2004 à Madrid, Istanbul, attentats du 7 juillet 2005 à Londres ou attentats du 23 juillet 2005 à Charm el-Cheikh, se revendiquent d'Al Qaida mais ont une existence autonome. Il n'y a pas de hiérarchie pyramidale, on parle plutôt d'une nébuleuse. L'organisation d'Oussama Ben Laden aurait ainsi financé de nombreux groupes terroristes islamistes sans s'impliquer dans leur fonctionnement. La transmission du message médiatique est une méthode fondamentale pour Oussama Ben Laden. Les cassettes enregistrées et diffusées, souvent par la chaîne Al Jazira en exclusivité, poursuivent plusieurs objectifs :maintenir la psychose du terrorisme dans les démocraties occidentales, parfois en s'immisçant dans le jeu politique comme lors des élections américaines en 2004. Rappeler son existence aux opinions publiques des pays musulmans en abordant des thèmes qui les touchent, pour faciliter le recrutement d'Al Qaida. Réactualiser les objectifs du djihad d'Al Qaida. On suppose que les cassettes de Ben Laden sont acheminées depuis sa cachette au Pakistan ou ailleurs, après un trajet long et compliqué, et ne sont diffusées que plusieurs jours ou semaines après l'enregistrement. Paradoxalement, cet isolement n'empêche pas l'exploitation des ressources de la mondialisation des communications.
Motivations Ben Laden condamne l'évolution de la civilisation islamique depuis la suppression du Califat (le dernier calife était le sultan ottoman jusqu'en 1924). Cet objectif passe par un renversement des gouvernements arabes « laïcs » et « impies » protégés par les États-Unis. La plupart des actions terroristes revendiquées ou probablement exercées par Al Qaida visent à déstabiliser ces régimes.
Parmi les positions politiques d'Oussama Ben Laden se retrouve la lutte contre ceux qu'il considère comme les « croisés occidentaux », en premier lieu les Américains. Ce fut l'une des raisons principales de son rejet par la famille royale d'Arabie saoudite. Lors de son interview par le journaliste Robert Fisk en 1996, il avait notamment déclaré : « Le peuple comprend maintenant les discours des oulémas dans les mosquées, selon lesquels notre pays est devenu une colonie de l'empire américain. Il agit avec détermination pour chasser les Américains d’Arabie saoudite. […] La solution à cette crise est le retrait des troupes américaines. Leur présence militaire est une insulte au peuple saoudien. » Pour Oussama Ben Laden, les bases militaires présentes en Arabie saoudite ne sont pas acceptables. Il souhaite que la présence américaine au Moyen-Orient disparaisse, afin, selon sa rhétorique, de recouvrer la « liberté » du peuple musulman. Si en 1991 Oussama Ben Laden s'insurge contre le pouvoir royal saoudien qui accepte l'installation des militaires américains, c'est parce que le territoire saoudien est considéré comme sacré (avec les lieux saints Médine et La Mecque) et que la présence de troupes « infidèles » sur son sol natal est donc un sacrilège pour tout islamiste radical fondamentaliste. À l'origine ces bases américaines devaient être provisoires, le temps de remporter la guerre contre Saddam Hussein. Lors de la dernière guerre en Irak, l'étatmajor américain n'a pas fait partir l'offensive américaine d'Arabie saoudite, Riyad ayant refusé pour éviter des manifestations d'hostilité de la part des mouvances islamistes locales.
Origines revendiquées du 11 septembre La Palestine et le Liban Oussama Ben Laden utilise dans sa propagande la référence à l'occupation israélienne du Liban sud lors de l'« opération Paix en Galilée » en 1982. Oussama Ben Laden affirme avoir été affecté par les bombardements israéliens contre les réfugiés palestiniens au cours de la guerre du Liban. « Je vous le dis, Allah sait qu'il ne nous était pas venu à l'esprit de frapper les tours. Mais après qu'il fut devenu insupportable de voir l'oppression et la tyrannie de la coalition américano-israélienne contre notre peuple de Palestine et du Liban, j'ai alors eu cette idée. Les évènements qui m'ont affectés de manière directe ont commencé en 1982, lorsque l'Amérique a permis aux Israéliens d'envahir le Liban et que la sixième division aérienne américaine les a aidés. Ce bombardement a commencé et a fait de nombreux morts et blessés, ainsi que des personnes terrorisées et réfugiées. Je ne pourrais pas oublier ces scènes, le sang, les membres déchiquetés, des femmes et des enfants gisant partout. Les maisons détruites ainsi que leurs occupants, des amoncellements de gravats sur leurs corps, des bombes qui pleuvaient sur nos maisons sans pitié. » « Cette situation était comme un crocodile rencontrant un enfant sans défense. Est-ce que le crocodile peut comprendre une conversation qui n'inclurait pas une arme ? Et le monde entier a vu, et entendu, mais il n'a pas répondu. »
Oussama Ben Laden exploite un sentiment de rancœur chez une grande partie des musulmans de Palestine et du Moyen-Orient face à ce qui est ressenti comme une agression israélienne soutenue par les États-Unis. Oussama Ben Laden qualifie lui-même les opérations israéliennes de « tyrannie » et d'« oppression ». La première Guerre d'Irak, et l'embargo Ben Laden a présenté l'embargo économique contre l'Irak et les bombardements réguliers de ce pays entre les deux guerres, comme une preuve que les États-Unis, par l'intermédiaire de leur président George H. W. Bush, étaient des « assassins d'enfants ». L'embargo contre l'Irak aurait fait 500 000 morts parmi les enfants iraquiens, selon l'Organisation des Nations unies (ONU)
Le 11 septembre Selon Oussama Ben Laden, le 11 septembre est une réponse à ce qu'il présente comme une agression générale et continue des États-Unis contre les musulmans. Cette « agression » est initialement pour Oussama Ben Laden une question religieuse : présence militaire en Arabie saoudite (profanation d'une terre sainte) et soutien à Israël qui occupe Jérusalem (lieu saint). La rhétorique sur la souffrance des Palestiniens ou des Irakiens est utilisée pour sensibiliser l'opinion du monde arabe à son combat mais n'est pas au centre des préoccupations d'Al Qaida. « Avec ces images en tête, les évènements du 11 septembre sont venus comme une réponse à ces terribles erreurs. Comment un homme pourrait-il être blâmé pour défendre sa maison ? Se défendre et punir l'agresseur est-il du terrorisme ? » Ces actions terroristes, ayant entraîné la mort d'innocents, sont condamnées par la plupart des musulmans. En effet, certains passages du Coran condamnent la mort d'innocents. En outre, la présence indirecte américaine, incarnée par le soutien inconditionnel à l'État israélien, justifie pour Oussama Ben Laden, des attaques partout dans le monde des intérêts américains. Introduction du discours de Ben Laden, novembre 2004, vidéo diffusée sur Al-Jazeerah « Avant de commencer, je vous dis que la sécurité est un pilier indispensable de la vie humaine, et que les hommes libres ne compromettent pas leur sécurité, contrairement à la falsification de George Bush, qui dit que nous détestons la liberté. Si c'était le cas, qu'il explique pourquoi nous ne frappons pas, par exemple, la Suède ? » « Non, nous combattons parce que nous sommes des hommes libres, qui ne peuvent dormir sous l'oppression. Nous voulons restaurer la liberté de notre nation »
Les manipulations américaines selon Ben Laden
Oussama Ben Laden estime que George Bush cache les raisons du 11 septembre, et ce, afin de tromper le peuple américain. « Même si nous sommes dans la quatrième année après les évènements du 11 septembre, Bush continue la désinformation, et vous cache les causes réelles [des évènements du 11 septembre] […] C'était le message que je cherchais à vous faire comprendre en faits et gestes, de façon répétée, et ce, bien avant le 11 septembre. Et vous pouvez lire tout cela, si vous le souhaitez, dans mon interview avec Scott, dans le Time Magazine, en 1996, ou avec Peter Arnett, sur CNN, en 1997, ou lors de ma rencontre avec John Weiner, en 1998. […] Et vous pouvez lire mon interview avec Abdul Bari Atwan, et encore mes interviews avec Robert Fisk. » Il considère la nouvelle guerre d'Irak de 2003, comme une tentative de George W. Bush de « supprimer un vieil agent Saddam Hussein, et de le remplacer par une nouvelle marionnette, qui permettra le pillage du pétrole d'Irak et d'autres outrages. » Oussama Ben Laden n'a aucun lien prouvé avec Saddam Hussein. Au contraire, il semblerait que Ben Laden considérait Saddam Hussein comme un « socialiste » infidèle.
Actualité et rumeurs Traque D'après Éric Denece, directeur du Centre français de recherche sur le renseignement, les commandos français en Afghanistan ont eu, pendant la première quinzaine de septembre 2004, Oussama Ben Laden de visu dans leur jumelle longue distance. Cependant, prévenues, les forces américaines leur auraient demandé de ne pas intervenir. Ce genre de demande de non-intervention serait survenu plusieurs fois. Maladie ou décès de Oussama Ben Laden Ben Laden souffrirait d'insuffisance rénale chronique nécessitant des traitements et serait sous dialyse. Le chef d'Al Qaida a de nombreuses fois été annoncé mort. En janvier 2002, le président du Pakistan, Pervez Musharraf estimait que l'islamiste serait mort de déficience rénale. En juillet 2002 le chef du FBI Dale Watson pensait qu'il n'était "probablement plus de ce monde". En décembre 2002, c'est le chef de la diplomatie pakistanaise, Khurshid Kasuri, qui affirme que Ben Laden avait succombé à la suite d'opérations militaires américaines. Le 23 septembre 2006 L'Est Républicain révèle l'existence d'une note classée "confidentiel défense" de la DGSE qui indique que les services secrets saoudiens seraient convaincus qu'Oussama Ben Laden serait mort le 23 août 2006 d'une crise de fièvre typhoïde. Jacques Chirac, surpris de la divulgation de l'information, a déclaré que "cette information n'est en rien confirmée".
Pirates de l'air American Airlines #11
Satam M. A. Al Suqami
Waleed M. Alshehri
Wail M. Alshehri
Mohamed Atta
Abdulaziz Alomari
American Airlines #77
Khalid Almihdhar
Majed Moqed
Nawaf Alhazmi Salem Alhazmi Hani Hanjour
United Airlines #93
Saeed Alghamdi
Ahmad Ibrahim Ahmed Alnami A. Al Haznawi
Ziad Samir Jarrah
Fayez Rashid Ahmed Hassan Al Qadi Banihammad
Hamza Alghamdi
Ziad Samir Jarrah
Marwan AlShehhi
Ahmed Alghamdi
Mohand Alshehri
Sitôt parues le 19 septembre 2001, ces listes ont été décortiquées par les services de presses, et 9 de ces présumés terroristes ont été retrouvés vivants: Waleed al Shehri a, selon la bbc, quitté les états unis en septembre 2000, vit maintenant à Casablanca au maroc. Abdulaziz Al Omari a été retrouvé par ce même journaliste et est ingénieur à Saudi télécom. Il dit avoir perdu son passeport alors qu'il étudiait à Denvers. Le directeur du F.B.I. , Robert Muller, reconnaît dans ce même article, que l'identité des présumés terroristes est incertaine. Au moins neuf « pirates » seraient encore vivants: Wail M. Al-Shehri est pilote sur la Saudi Arabian Airlines Mohand al Shehri vivrait en arabie saoudite
Khalid al mihdhar est programmateur informatique à La Mecque Salem al-Hazmi travaille dans une usine chimique à Yembo, en Arabie saoudite. Son passeport a été volé au caire 3 ans avant les attentats Saeed al Ghamdi suit une formation de pilote à Tunis Ahmed al Nami est superviseur administratif chez Saudi airlines. Et le père de Mohamed Atta affirme avoir eu son fils au téléphone le 12 septembre. Le 20, et le 27 septembre, Muller affirme qu'il n'y a aucune preuve légales concernant l'identité ds terroristes. De plus, leurs nom n'apparaissent même pas sur les rapports d'autopsie des vols, et le paragraphe d'introduction ne mentionne pas leur absence.
Chapitre 4 : L’après 11 septembre
Quand les tours de Manhattan se sont effondrées sous les yeux du Monde entier, chacun d’entre nous a compris que le Monde en serait bouleversé et q’une page nouvelle allait se bâtir sur ces ruines et sur les 3 000 victimes invisibles coincés sous les décombres, qui jusqu’à là, symbolisait la puissante Amérique. Les Islamiques sont alors montrés du doigt par toute la planète, qu’on rend immédiatement responsable de cette catastrophe…pour eux et pour les américains, plus rien ne sera comme avant. 1- Développement de l’ISLAMOPHOBIE - Définition du terme : Venant de « ISLAM » et « PHOBIE », elle constitue une forme particulière de racisme dirigé contre l’Islam et les Musulmans. L’Islamophobie serait considérée comme une Religiophobie en terme français. Une généralisation de son utilisation est notée après les attentats du 11 Septembre 2001. L’Islamophobie serait-elle assimilable au racisme ? Aujourd’hui, le terme est employé pour désigner 2 choses :
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l’hostilité ou un sentiment négatif envers l’Islam ou certaines de ces formes, ou envers les musulmans en tant que croyants (un usage qui le rapproche donc de celui de anticléricalisme).
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Une attitude xénophobe dans les pays occidentaux, à l’encontre des musulmans et par amalgame, des résidents originaires (ou dont les parents sont originaires) de pays majoritairement musulmans (Moyen Orient, Maghreb etc).
En revanche, il ne faut pas confondre cette phobie qui reste dans un contexte générale, avec des formes de racismes telles que le racisme « anti-arabe » ou « anti-immigré ». L’Islamophobie est un phénomène réel mais elle n’est q’une autre forme de racisme, qui ne mérite pas une qualification propre. -
Après les attentats du 11 septembre 2001 :
D’après l’écrivain Vincent GEISSER, ce phénomène est aussi bien constaté en Europe, qu’en Amérique du Nord. Depuis les attentats du 11 Septembre 2001, une phobie de l’Islam en tant que religion et civilisation ne cesse de s’accroître dans le monde entier et à atteindre des degrés de rejet important pour ceux qui en font partie. Face à la menace terroriste, c’est l’Islam dans son ensemble qui a été et qui sera alors pointé du doigt. Cette peur de l’ISLAM et des musulmans se déploie de façon autonome. Depuis le 11 Septembre, nous constatons une Islamophobie qui se concrétise sous la forme d’agressions physique ou d’insultes verbales. L’Islamophobie consiste alors, à assimiler l’ensemble d’une communauté de croyants aux crimes et méfaits, réalisés par des intégristes de cette communauté (attentats de Londres par exemple). - Vision de l’Islam dans le Monde en quelques chiffres : Notons en Australie par exemple, d’après un sondage auprès de la population australienne, 40% des interrogés estiment que l’Islam est une menace à leur mode de vie. De plus, 1 sondé sur 3 craint d’avantage les musulmans depuis le 11 septembre 2001. Un sondage réalisé en Mars 2006, indique que ¼ des interrogés voient l’Islam comme une croyance fondamentaliste et intolérante. Cependant, ces dernières se sentent moins menacées quand elles sont en contacts directs avec les pratiquants de cette religion. En Allemagne en 2006, 62% des interrogés estiment qu’il y aura toujours des conflits majeurs entre l’Islam et le Christianisme. 71% d’entre eux, voient l’Islam comme une religion intolérante. En Espagne, 68% des Espagnols considèrent les sociétés musulmanes comme « violentes ». Nous constatons également que la peur de l’Islam est plus élevée dans les pays d’Europe de l’Ouest, victimes d’attentats après le 11 septembre 2001, telle que la Grande-Bretagne (7 juillet 2005) par exemple, l’Espagne (11 mars 2004) avec les attentats des trains ou encore l’Italie, où la classe politique s’est lancée dans de virulentes proclamations anti-islamiques et immigration. Cela nous amène donc a étudier l’Islamophobie en Europe : - L’Islamophobie en Europe, une hostilité accrue sur le longe terme : D’après un rapport récent de l’EUMC de 2005, une recrudescence de l’hostilité et un regain prolongé d’attaques verbales et physiques envers les musulmans tant en groupe qu’isolément ont été signalés dans beaucoup d’Etats membres de l’UE. Le voile que de nombreuses femmes musulmanes ont choisi de porter est apparemment l’objet le plus souvent visé. Il semble être devenu le principal élément visuel d’identification et de prétexte de haine, des musulmanes ayant été couramment insultées et agressées dans les pays de l’UE où elles ont pu être identifiées de cette manière. Les hommes à turbans constituent un autre groupe important de victimes de ces agressions répétées. De nombreuses attaques contre des mosquées en outre, on été signalées, allant du petit vandalisme (graffitis) aux
incendies criminels et attentats à la bombe. On parle beaucoup d’actes d’intimidation. Dans plusieurs pays, des mosquées ainsi que des institutions islamiques ont été saccagées, ont subi des attentats à la bombe ou ont été incendiées. Une recrudescence récente de la violence xénophobe et raciste a déferlé à la reprise de la crise au Moyen Orient, en particulier en Grande-Bretagne, en Italie et en France. D’ailleurs, c’est en Grande-Bretagne qu’on dénombre le plus d’associations d’ Anti-Islamophobie, vu que le nombre de musulmans y est fort important. Le rapport de l’EUMC souligne également de nombreuses initiatives destinées à atténuer les tensions et à combattre les préjugès. Un intérêt et une curiosité pour l’Islam a été observé à grande échelle, de multiples campagnes appelant à la tolérance et à la prise de conscience interculturelles ont été lancées dans de nombreux Etats membres. -
L’Islamophobie en Amérique du Nord :
Selon un rapport de la FIH, les plus graves réactions ont été constatés aux Etats-Unis, qui ont enregistré plus qu’aucun autre pays , de très nombreuses agressions violentes et atteintes aux droits de l’homme à grande échelle. Contrairement à l’Union Européenne, où il y a une augmentation d’actes de violences et surtout d’intimidation. Aux Etats-Unis, on a signalé un grand nombre de d’incidents où des musulmans avaient été frappés à coup de pied, à l’aide de parapluies ou autres objets, des appels téléphoniques menaçants, menaces de morts et insultes dans la rue. Depuis les attentats, ils existent de nombreux préjugés contre les musulmans, concernant leur religion, leur culture. Cependant, la majorité des américains essaient de se montrer plus accessibles vis-à-vis des musulmans souhaitant repartir sur de nouvelles bases. De nombreuses réunions interreligieuses ont été mis en place dans les grandes universités américaines afin que les étudiants et enseignants de différentes religions et ethnies puissent apprendre à se connaître et à dialoguer. Certains étudiants musulmans après les attentats n’osaient plus venir en cours, de peur d’être victime de représailles.
Une jeune musulmane et une jeune juive conversent dans une salle de la Palisades Emergency Residence Corporation : refuge pour sans-abris de 40 lits à Union City (New-Jersey), créée par de jeunes filles musulmanes et juives. En revanche, aux Etats-Unis et ce depuis le 11 septembre 2001, ce terme est aussi employé essentiellement par des associations et mouvements musulmans et antiracistes, tel que le Council on American-Islamic Relations. Stephen SCHWARTS, écrivain américain critique les méthodes du wahhabisme qui consiste selui à traiter des gens d’Islamophobes, ce qui va souvent en association avec les accusations de sionisme. Même si elle a diminué en intensité, elle est restée à un niveau sensiblement plus élevé qu’avant le 11 septembre 2001.
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Caractéristiques de l’Islam vue par le Monde :
Dans une oeuvre intitulé « Islamophobie, un défi pour nous tous », voici 5 caractéristiques que l’écrivain Runnymede TRUST, auteur de cet ouvrage, associe à l’Islam : -
L’Islam est vu comme un bloc monolithique, statique et incapable de répondre aux changements L’Islam est perçu comme inférieur à l’Occident : barbare, irrationnel, primitif et sexiste. L’Islam est perçu comme violent, agressif, menaçant, soutenant le terrorisme et engagé dans un choc des civilisations. - L’Islam est perçu comme idéologie politique, utilisée à des buts politiques et militaires. - L’hostilité anti-musulmane est perçue comme naturelle et normale. Ces caractéristiques sont pensés part une grande majorité de personnes, en particulier en Occident (Europe de l’Ouest) et par les Etats-Unis depuis les attentats. Une partie de l’opinion publique idenfie l’Islam ou l’Islamisme radical aux Arabes. L’Islamophobie qui a pris d’ampleur aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne depuis ces terribles attentats, peut alors s’exprimer sous la forme d’un racisme anti-arabe. -
L’Islam dans les médias :
Les événements du 11 septembre 2001 ont fait l’objet d’une gigantesque couverture médiatique importante. Ceux qui ont donc perpétré ces crimes ont réussi la plus colossale opération médiatique de l’Histoire du terrorisme : pour un coût de 500 000 milliards de Dollars environ, de couverture médiatique. Même si les journalistes et les médias ressentent la même chose que ceux qui ont pu vivre l’évènement en direct, ils contribuent à une suite logique : l’exposition publique et attise ainsi la curiosité et les préjugés des gens autour de l’Islam. En effet, ils ne créent pas l’Islamophobie mais la transmettent publiquement dans leurs reportages à travers des clichés et des stéréotypes dégradants l’image des islamistes. La presse avec les caricatures de Mahomet ou la télévision sont ceux qui contribuent le plus à cette nouvelle phobie, qui constitue donc pour le peuple musulman : une publicité négative et dégradante, voire humiliante et non respectueuse. Les reportages ont doublés en seulement 20 ans. Aujourd’hui et encore plus depuis ces attentats, la place qu’ils occupent dans les médias est fortement importante. Les médias considérés comme fournisseur de la peur en utilisant des mots débordant de sens à charge émotive, qui peuvent être facilement appris par tous : « Ben Laden », « Axe du Mal », « Islamistes », « Menace terroriste » etc. Concernant ces attentats, le paradoxe est que les médias, les analystes et l’opinion publique ont parlé de AL QUAIDA comme une organisation formelle affirmée, et de Ben Laden comme son chef, alors que à ce jour, AL QAIDA, est considérée comme une vague structure informelle.
Les chaînes de télévision de toute la planète n’ont cessées de repasser en boucle les mêmes scènes d’horreur et ceux pendant les semaines qui ont suivis les attentats : ici la chaîne américaine Fox News. 2 –Des américains traumatisés à vie : Les attaques du 11 septembre 2001, ne constituent pas une première, si ce n’est par le nombre de victimes qu’elles ont faites. L’objectif principal d’Al Qaida était d’engendrer des pertes humaines importantes et surtout américaines plutôt qu’occasionner des dégâts matériels importants. Ces crimes ont laissés une Amérique et des spectateurs dans le Monde traumatisés à tout jamais par cette tragédie. Rien ne saura plus comme avant pour le peuple américain… « Etre libre de toute peur est un droit fondamental de l’homme. Plus que jamais, nous devons nous réaffirmer avec confiance et détermination, notre droit de vivre sans peur, ici à New-York, partout aux Etats-Unis, et dans le monde entier. D’une voix claire et unanime, nous devons dire, que nous ne céderons pas au terrorisme ». -
Rudy GUILIANI, ancien maire de New-York,1er octobre 2001-
Les Etats-Unis frappés en plein cœur :
Les Etats-Unis, surpris par leur propre vulnérabilité et par l’audace d’un ennemi qu’ils croyaient non pas inoffensif, mais incapable d’actions d’une telle ampleur, dénoncent l’infamie et ne cesse de jurer de riposter. Touchés dans ses points névralgiques, la capitale administrative et la capitale symbolique du des Etats-Unis, l’Amérique s’est retrouvée dans une véritable situation de chaos. Les New-Yorkais ont d’abord cru à un accident. Puis la menace s’est précisée et l’horreur a envahi tous leurs sens. Pour les Américains, il s’agit là d’un nouveau Pearl Harbor » (1941) mais encore plus meurtrier. -
Un peuple américain sous le choc psychologique :
Suite à ces événements, on peut analyser les dynamiques d’une société Post-11 septembre 2001, sans oublié d’examiner l’une de ces principales caractéristiques : la TERREUR rimant avec peur, anxiété, épouvante, appréhension, mots qui reviennent souvent dans les témoignages des rescapés. Les mots ne manquent donc pas, pour décrire l’état de choc dans lequel ils se trouvèrent après les multiples attaques terroristes perpétrées contre leur territoire : « stupéfiant », surréaliste», « inimaginable », dépassant même leurs pires cauchemars. -
Le syndrome Post-Traumatique :
Les rescapés resteront sous le choque sans doute pour le restant de leur vie. La plupart des victimes et des rescapés ont été victimes d’un choc psychologique important appelé psycho traumatisme. C'est-à-dire, que ce traumatisme se définit comme un évènement violent et brutal faisant irruption dans la vie d’un individu. La victime est complètement débordée face à l’évènement, ses défenses psychologiques sont anéanties. Pour les rescapés, la symptomatologie post-traumatique se décompose en 3 périodes : la réaction immédiate (pouls et respiration accélérer, sortie d’urine qu’on ne peut retenir), le temps de latence (crise de larmes, décharges émotives, abattement), puis les réactions tardives, qui constituent le syndrome post-traumatique proprement dit (hallucinations, paranoïa, tics, remise en question de sa vie).
Comment ne pas être choqué par cette vision d’horreur ? Imaginons la terreur des américains qui assistent aux scènes en direct, au bas des tours…
…certains américains sont restés outrés pendant de longs moments devant cette horreur.
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Les plus traumatisés :
Les résidents de Manhattan sont le plus touchés par le syndrome de stress post-traumatique (PTSD). Les services de santé mentale ont énormément de travail à New-York et il en est de même dans beaucoup d’Etat. Malheureusement, à Washington DC, aucun soutien spécifique n’a été mis en place pour les personnes les plus
durement affectées. Les victimes dépendent de la prise en charge proposée par leurs assurances privées, généralement liées à l’emploi. Les enfants sont plus affectés également, notamment parce qu’ils ne savent pas quelles questions se poser. Certains groupes ethniques sont également touchés. La majorité de la population de Washington est Noire américaine. Comme beaucoup d’autres minorités (les réfugiés d’Asie et d’Amérique Centrale), ils ont déjà été traumatisés par la violence ou la terreur politique de leur pays d’origine. Cela les rend donc, encore plus vulnérables. Sans compter qu’ils sont souvent employés par l’administration et que le nombre de poste fédéraux sont menacés par les réorganisations qui font suite à la nouvelle législation en suspens pour « La Sécurité de la Patrie ». Une situation qui renforce le stress et rend l’accès aux traitements plus difficiles.
Problèmes médicaux et environnementaux : - Problèmes de santé : Parmi les milliers de personnes affectés physiquement depuis le 11 septembre 2001, on constate la multiplication de problèmes pulmonaires, des déficiences respiratoires et des cancers. Quelques centaines de citoyens se sont adressées aux tribunaux pour obtenir réparation, estimant les institutions responsables de leur état par dissimulation de la pollution atmosphérique. Une étude conduite en 2002 en partie par le « State Department of Health’s Office of Managed Care », a montré qu’à l’Ouest de Brooklyn, les asthmatiques se plaignent 2,4 fois plus d’asthme aggravé que dans le reste de la ville après le 11 septembre, et 1,5 fois plus se sont rendus à l’hôpital pour ce type de problèmes. En 2006, un seul décès par fibrose pulmonaire a été officiellement attribué à Ground Zero après autopsie : 60 personnes serait décédées suite à ce type d'infection (selon le Dr Levin du World Trade Center Medical Monitoring Programs au Mt Sinai Hospital).
Une des rares rescapés encore sous le choc physique et psychologique, aidé par un pompier américain.
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Problèmes environnementaux :
Les effondrements de tours avaient relâché dans l'air divers polluants : de la dioxine, du plomb, de l'amiante, du mercure, et de la fibre de verre, dans des quantités importantes. L'Agence de Protection de l'Environnement était en charge d'évaluer les risques et la dangerosité de l'air. Christine Todd Whitman, administrateur de cet organisme, avait alors, avec cinq communiqués dans les dix jours qui suivirent, garanti le caractère sain de l'atmosphère de Manhattan, ainsi que de l'eau de la ville. Cependant, le 21 août 2003, l'Agence rendait public un rapport signé par l'Inspecteur Général Nikki Tinsley exposant les modifications imposées par l'administration Bush, aux énoncés de prudence rédigés pour prévenir du danger représenté par les poussières, complété par une étude de 2004 des documents par le Sierra Club, où l'Agence se voit reprocher de n'avoir pas d'office mis en garde le public, avant toute mesure de pollution, en raison de la connaissance qu'elle avait de la dangerosité de certains matériaux constituant les immeubles. L'EPA envisagea même de classer « secret » les documents relatifs à cette pollution. Les plaintes de malades ont été acceptées par les juges (Deborah Batts et Alvin Hellerstein) en février et octobre 2006. Le 8 mars 2007, à la demande de Jerrold L. Nadler, le «9/11 Heroes Health Improvement Act of 2007» devrait apporter 1,9 milliard de dollars pour financer l'évaluation et des solutions aux des problèmes de santé induites par le 11 septembre 2001.
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Une confiance qui baisse dans les services du pays :
Après la vague d’attentats et selon les sondages du IPSOS-REID, au lendemain des évènements, les attentats ont ébranlé la confiance des Américains dans 3 grands secteurs d’activité : - plus de 2 américains sur 3 (68%) révèlent que leur confiance dans les services de sécurité des aéroports a baissé. - La moitié (50%) se disent perplexes sur la sécurité nationale et la protection des attractions touristiques - 47% sont moins confiants concernant les efforts américains anti-terrorisme. En revanche, la confiance reste forte envers la défense militaire, les opérations de secours d’urgence, le service des pompiers et l’application de la loi. Les Américains restent assurés que justice sera faite. Un peu moins de la moitié des américains restent confiants dans les relations diplomatiques américaines et du soutien que leur apportent les autres pays du monde. Si on est conscient des moyens utilisés par les dirigeants pour obtenir pouvoir et soutien pour toute guerre, on peut discerner les mêmes machinations à l’œuvre. En effet, la peur est un ingrédient clé du ralliement ou à l’acquisition de pouvoir, il y a donc l’exploitation de la peur par la manipulation de la perception. D’ailleurs, George w. BUSH et sa «Guerre globale contre le terrorisme » fût l’argument politique décisif lors de sa réélection de 2004. Par la réélection de George W. BUSH, les américains ont voulu montrés qu’ils avaient confiance en lui et surtout prêt à combattre la menace terroriste. En effet, sous l’influence de la peur, le système nerveux autonome se met soit en mode « combattre et s’allier » ou soit « fuir » le problème. Depuis les évènements, il y a eu un renforcement de la sécurité aux frontières, dans les avions et aéroports, dans les autres types de transports publics, dans les expéditions de cargo. De même de plus grandes restrictions sur les visas et l’immigration, la détention, l’asile, des mesures de lutte contre le blanchiment d’argent, des efforts pour améliorer le partage du renseignement international et la coopération à travers les agences d’exécution des lois et des alertes et exercices très fréquents. « Lorsque nous renforçons la sécurité des frontières des Etats-Unis, nous en faisons un pays plus sûr tant pour nos citoyens que pour les millions de personnes qui, chaque année, viennent chez nous des 4 coins du monde ».
- Maura MARTY, Secrétaire d’Etat adjointe pour les affaires consulaires Département des Etats-Unis En janvier 2006, la secrétaire d’Etat, Mme Condoleeza RICE et le ministre de la sécurité intérieure M. Michael CHERTOFF, ont fait valoir les améliorations apportées depuis 4 ans à la procédure de délivrance de visas afin de renforcer la sécurité des frontières et celle des voyageurs. Ils ont soulignés la détermination du gouvernement des Etats-Unis à poursuivre les changements novateurs mis sur pied après le 11 septembre et à mettre la technologie au service de l’amélioration d’obtention de visas et des formalités d’entrée aux EtatsUnis. En outre, ils s’emploient à créer des documents de voyage qui permettront de protéger l’identité des personnes et d’accélérer les formalités sans compromettre la sécurité des voyageurs. -
Les nouvelles peurs :
Après ces évènements, certains s’interrogent sur l’emploi même du mot « terrorisme », parlant d’ «hyper terrorisme » ou « d’actes de guerre ». De ce drame, de nouvelles peurs sous différentes formes, apparaissent chez les américains. Peur d’être encore victime d’actes terroristes venant en premier lieu, d’AL QAIDA, mais aussi de la Corée du Nord ou encore de l’Iran. Les américains ont peur : -
d’une attaque biologique ou dit aussi, «bioterrorisme », par l’intermédiaire d’arme biologique mortelle, telle l’anthrax ou par le botulisme. Depuis les attentats, les américains ont investi des centaines de millions de dollars pour se préparer à de tels attentats. Ils ont simulé des attaques à grande échelle dans 120 des plus importantes villes américaines. Mais les armes biologiques sont-elles idéales pour les terroristes qui voudraient éliminer de grandes populations ? On préfère parler alors, de bombes fabriquées à partir de bactéries ou de virus mortels. La liste est longue puisqu’elle comprend plus de 70 pathogènes possibles. Les plus menaçants incluent donc l’anthrax, mais aussi la variole, la peste et la toxine botulinique. Le favori est l’anthrax : il est n’est pas transmissible mais il possède un taux de mortalité de 100% auprès de la victime. Les premiers symptômes s’apparentes à ceux d’une grippe. Jusqu’à présent, les quelques tentatives de bioterrorisme se sont finis par des échecs. Seuls les Soviétiques ont élaboré des armes dont l’efficacité n’a jamais été démontré. Des organisations comme celle de Ben Laden préfèrent encore la simplicité et l’efficacité des armes conventionnelles. Les couteaux, les avions civils et un plan bien exécuté ont fait, qu’il a organisait le plus grand acte terroriste de l’histoire de l’Humanité. ». L’ «avantage », est que les armes biologiques et chimiques sont plus facilement utilisables et surtout moins coûteuses que l’arme atomique.
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d’une attaque ou d’un accident nucléaire ou radioactive : seconde grande peur des Américains. Soit par explosion ou accident d’une centrale nucléaire, soit par utilisation de la bombe nucléaire. Cependant, l’émergence de menaces de nouveaux types comme le terrorisme chimique précédemment cité, pourrait donc amoindrir le poids de la dissuasion nucléaire. Fonder sa stratégie nucléaire sur la menace de riposte est devenu en quelque sorte obsolète, mais le risque d’attaque de cette nature est toujours fort présent. On parle surtout d’attaque nucléaire, voire de contre-attaque nucléaire entre les Etats-Unis et l’Iran. Elle fait très peur aux américains car ces derniers connaissent les effets destructeurs de la bombe nucléaire (Hiroshima-1945) et les répercussions des ondes radioactives sur la santé des individus (Tchernobyl-1986).
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Un retour à la normale?
Le monde entier est marqué et touché par cette tragédie. 5 ans après le drame, cette cavité porte toujours le même nom : Ground Zero. Des groupes de touristes se pressent autour, avec toujours la même émotion, comme si l’évènement avait eu lieu hier. Aujourd’hui, nous pouvons remarquer 2 images contradictoires en plein cœur de New-York : d’un coté, le retour à la normale dans le quotidien new-yorkais ainsi que son activité économique, bien plus rapide que
prévu au lendemain des attentats. Et de l’autre, une impression de stagnation sur le lieu même du drame, où repose un sentiment de colère et de paix à la fois. Malgré l’acharnement des terroristes à perturber la paix, les Etats-Unis veulent prouver que la force intérieure de l’homme l’emportera toujours sur la tragédie.
3 – Patriotisme : « Fière d’être Américain ! » Toute l’Amérique et la planète entière a ressenti cette humiliation de l’impuissance devant une machination aussi inattendue. Des groupes de touristes se pressent autour, avec toujours la même émotion, comme si que l’évènement avait eu lieu hier. Le ressort dont font preuve les peuples du monde entier, malgré l’acharnement des terroristes à perturber la paix, prouve que la force intérieure de l’homme l’emportera toujours sur la tragédie. L’esprit patriotique doit soutenir les hommes unis et solidaires après cette tragédie.
- Une patrie qui se soutient mutuellement : Après le désastre, plus de 1,8 million de tonnes de débris ont dû être enlevées du site du World Trade Center. L’esprit patriotique reste le même, toujours aussi vif et fort qu’il y a 5 ans. En effet, le 11 septembre est désormais proclamé la journée des Patriotes, même si pour le moment, ce jour n’est pas considéré comme férié aux Etats-Unis et ne le deviendra peut-être jamais. Cependant, chaque 11 septembre a lieu une cérémonie sur les lieux des drames. Le président et des personnalités s’y rendent à chaque date, entourés de milliers de visiteurs venus des quatre coins du monde et bien sûr d’américains dès la matinée, heure du 1er crash d’avion sur une des tour du WTC. 1 minute de silence est y est toujours respectée.
1ère Cérémonie après le 11 septembre 2001: le Président George W. Bush et sa femme au Ground Zero déposant une gerbe pour hommage aux victimes. Ce sentiment d’appartenance à un pays et les évènements vécus par tous, ont renforcés l’unité à travers les valeurs américaines communes, quelque soit les nationalités ou les cultures.
Certains mêmes se sont montrés plus tolérables et abordables vis à vis des Musulmans. Les drapeaux se sont mis à fleurir partout : sur les métros et les bus, devant les maisons et dans les bâtiments publics. Le dynamisme de la ville de New-York, n’a jamais été réellement éteint, il a été tout simplement « assommé ». Le 26 octobre 2001, le USA PATRIOT Act (Uniting and Strengthening America by Providing Appropriate Tools Required to Intercept and Obstruct Terrorism Act soit en français Loi pour unir et renforcer l’Amérique en fournissant les outils appropriés pour déceler le contre terrorisme ) est une loi américaine qui a été votée par le Congrès des Etats-Unis et signée par George W. Bush. Cette loi spécifique est une conséquence directe des drames du 11 septembre 2001. Elle sert avant tout à renforcer et agrandit les pouvoirs des différentes agences gouvernementales des Etats-Unis, tels que le FBI, la CIA, le NSA ou l’armée. Le Président a accompagné son geste, du commentaire suivant : « Avec ma signature, cela donnera de nouveaux instruments aux services des renseignements et à la police pour combattre les dangers actuels ». Afin de réviser cette loi, le 21 juillet 2005, la Chambre des représentants a décidé à une grande majorité de prolonger cette loi, qui a la base, était prévu de durer seulement 4 années et rectifier quelques textes concernant son utilisation par rapprt aux agences gouvernementales. Voici quelques axes majeurs du Patriot Act (au total, il y en a 9) : -
Titre I : Augmenter la sécurité domestique contre le terrorisme Titre III : Réduction du blanchissement d’argent international et lois de financement anti-terroriste de 2001. - Titre VII : Partage accru des informations pour la protection d’infrastructures politiques. - Titre VIII : Renforcement des Droits pénaux contre le terrorisme Le patriot acte a éé ratifié d'abord pour une durée de 4 ans. En 2005, le texte a été revu entre l'Assemblée et le Sénat. En 2006, le texte a été ratifiée avec une large majorité et reconduit 14 des 16 propositions du USA PATRIOT Act, malgré les protestations des juristes et des organisations en faveur des droits de l'homme. Sous le coup des lois antiterrorristes, le gouvernement a aussi fait passé des lois réduisant les droits des prisonniers dits terrorristes, en les faisant passer directement devant des tribunaux spéciaux, à huit clos, et en ne permettant pas à la défense d'accéder aux dossiers. Le pouvoir de surveillance et de perquisition donné au F.B.I., à la C.I.A., à la DOD, et à l'armée à grandement augmenté. Cela à amené à la psychose qui fait penser à la période maccarthyste. En 2003, le dynamisme des Etats-Unis est revenu au même niveau qu’avant les attentats. Lla verve patriotique s’exprime encore, mais elle semble avoir perdu son caractère immédiat. Le plus remarquable aujourd’hui, c’est la force intérieure des Américains qui demeure inébranlée. -
Hommage aux victimes et aux héros :
Le 11 septembre 2009, le jour du 8ème anniversaire des attentats du 11 septembre 2001, un monument à la mémoire des disparus doit être inauguré sur le site du World Trade Center. Non seulement il honorera les victimes les victimes, mais il offrira aussi aux futures générations, la possibilité de comprendre les retombées historiques de ce jour fatidique. « Ce monument commémoratif ne nous appartiendra pas…Il est destiné à nos enfants et petits-enfants. C’est pour que ceux qui visiteront ce lieu sacré sachent ce qui s’est passé et pourquoi tant de gens sont morts pour protéger nos libertés ». -
M. Michael BLOOMBERG, maire de N.Y en janvier 2004 lors de l’inauguration officielle des plans du monument –
D’une superficie de près de 65 000 mètres carrés, ce site rendra hommage aux personnes qui ont péri dans les 3 villes où ont eu lieu les attentats, mais aussi à celles qui ont trouvé la mort le 26 février 1993 lors de l’attentat à la voiture piégée contre le World Trade Center. De plus, 2 autres monuments commémoratifs sont prévus, l’un au Pentagone et l’autre, en Pennsylvanie, sur les lieux du vol 93. Les 2 architectes ont voulu créer un lieu qui serait imprégné du sentiment de perte et d’absence né de la destruction du WTC. Le nom des 2979 victimes sera inscrit dessus. Les plans prévoient aussi un centre d’accueil et d’éducation. Dans un musée de 900 m2, les visiteurs pourront écouter les témoignages et les récits d’actes d’héroïsme. Le site comportera aussi, une salle de recueillement où les visiteurs pourront allumer une bougie ou tenir un service commémoratif discret. Une salle sera réservée aux proches des victimes et les restes humains qui n’ont pas pu être identifié trouveront leur dernière demeure dans un espace spécialement aménagé. Tout ceci pour encourager la réflexion et le recueillement et évoquer l’importance de ce fait, qui déjà demeure comme historique. En souvenir, l’emplacement des Twins sera toujours préservé.
Le projet de l’architecte Daniel LIBESKIND a été retenu pour remplacer les Twin Towers. La plus grande tour sera la FREEDOM TOUR. L’agence du site du World Trade Center envisage aussi de construire une tour sur le lieu où étaient construite les Tour Jumelles : la FREEDOM TOWER. En Février dernier, l’agence a approuvé la somme de 1 Milliards de dollars pour financer la construction de cette tour. Les responsables de l’agence ont indiqué que le budget pour la haute tour de plus de 500 mètres de haut, était estimait à 2,9 milliards de dollars, dont 500 millions de dollars pour des coûts de commercialisation et pour la sécurité de la construction. La construction du bâtiment, un des cinq à être reconstruits pour remplacer les bureaux détruits lors des attentats, a commencé en avril dernier. La tour devrait ouvrir en 2012. Au total, 7 bâtiments seront construits dont la FREEDOM TOWER, la plus grande des tours. La disposition permettra un ensoleillement des emplacements des 2 anciennes tours. Cependant, même si les traces du drame on été effacées, il ne reste que pour l’instant, un chantier inactif, un trou bétonné cerné de hautes grilles métalliques et flanqué d’une station de métro neuve. Contrairement aux
promesses, aux idées et signatures de projets, la reconstruction n’a pas vraiment commencé. Elle n’a cessé de prendre du retard et les projets n’aboutissent pas. Ceci s’explique entre autre par, les intérêts contradictoires des familles, des habitants du quartier, des milieux d’affaires, des architectes, des promoteurs et des politiques.
DELIT D'INITIES Les auteurs des attentats du 11 septembre 2001 et les personnes informées de leurs intentions pouvaient anticiper certaines retombées économiques de cette attaque. Dès lors, ils pouvaient engager des manœuvres spéculatives sur les compagnies aériennes propriétaires des avions détournés, sur les sociétés ayant leur siège social dans les tours jumelles du World Trade Center, et sur les assurances concernées. Ils pouvaient aussi anticiper une probable baisse générale de l’ensemble des valeurs cotées en Bourse. Pour ce faire, ils devaient spéculer à la baisse en achetant non pas des actions, mais des "puts", c’est-à-dire des "options de vente". Acheter des options de ventes revient à dire que l'on pense que le cours de l'action va baisser. L’identification des initiés ne représente pas seulement un enjeu en matière de fraude boursière, mais surtout un moyen d’établir, directement ou indirectement, l’identité des auteurs des attentats et de leurs complices. Au lendemain des attentats, des manœuvres caractéristiques du " délit d’initié " ont été constatées dans les six jours précédents l’attaque. L’action United Airlines (compagnie propriétaire des avions qui se sont écrasés sur la tour sud du WTC et à Pittsburg) a artificiellement chuté de 42 %. Celle d’American Airlines (compagnie propriétaire de l’appareil qui s’est écrasé sur la tour nord du WTC, et de celui qui se serait écrasé sur le Pentagone) a chuté de 39 %. Aucune autre compagnie aérienne dans le monde n’avait fait l’objet de manœuvres comparables, à l’exception de KLM Royal Dutch Airlines. De sorte que l’on peut déduire qu’un avion de la compagnie hollandaise avait probablement été choisi pour faire l’objet d’un cinquième détournement. Des agissements identiques ont été constatés sur les options de vente des titres de Morgan Stanley Dean Witter & Co qui ont été multipliées par douze dans la semaine précédant les attentats. Or, cette société occupait vingtdeux étages du WTC. De même pour les options de vente sur les actions du premier courtier en Bourse du monde, Merrill Lynch & Co, dont le siège social se trouve dans un immeuble voisin menacé d’écroulement, qui ont été multipliées par vingt-cinq. Et surtout pour les options de vente sur les actions des assureurs
impliqués : Munich Re, Swiss Re et Axa. La Commission de contrôle des opérations boursières de Chicago a été la première à donner l’alerte. Elle a constaté qu’à la Bourse de Chicago, les initiés avaient réalisé 5 millions de dollars de plus-values sur United Airlines, 4 millions de dollars sur American Airlines, 1,2 millions de dollars sur Morgan Stanley Dean Witter & Co et 5,5 millions de dollars sur Merrill Lynch & Co. Les autorités de contrôle de chaque grande place boursière recensent les plus-values réalisées par les initiés. Les investigations sont coordonnées par l’Organisation internationale des commissions de valeurs (IOSCO). Le 15 octobre, elle a tenu une vidéo-conférence où les autorités nationales ont présenté leurs rapports d’étape. Il apparaît que les plus-values illicites porteraient sur des centaines de millions de dollars, constituant le " plus important délit d’initié jamais commis ". Il a été possible d’établir que la majeure partie des transactions avait été " portée " par la Deutsche Bank et sa filiale américaine d’investissements, Alex. Brown. Cette société était dirigée, jusqu’en 1998, par un personnage haut en couleurs, A. B. Krongard. Capitaine des Marines, féru de tir et d’arts martiaux, ce banquier est devenu conseiller du directeur de la CIA et, depuis le 26 mars, numéro trois de l’Agence de renseignement américaine. Compte tenu de l’importance de l’investigation et de l’influence d’A. B. Krongard, on aurait pu penser qu’Alex. Brown aurait coopéré sans difficulté avec les autorités pour faciliter l’identification des initiés. Il n’en a rien été. De même, on aurait pu penser que la révélation par Ernest Backes de l’existence d’enregistrements des principales transactions interbancaires par deux organismes de clearing aurait facilité la traque des enquêteurs. Là encore, il n’en a rien été. Tout se passe donc comme si, malgré les déclarations bellicistes des dirigeants occidentaux, on avait renoncé à mener les investigations jusqu’à leur terme et que l’on avait rapidement déclaré forfait: même lorsque la paix du monde est en jeu, l’opacité des paradis fiscaux ne permettrait pas de " tracer " les transactions et de remonter aux criminels. Au demeurant, les initiés ont prudemment renoncé à percevoir 2,5 millions de dollars de plus-values sur American Airlines qu’ils n’avaient pas eu le temps d’encaisser avant que l’alerte ne soit donnée. De plus, quelques heures avant les attentats du 11 septembre, de nombreux transferts d'argent de plus de 100 millions de dollars (normalement contrôlés parce que illégaux). Les traces de ces transferts étaient gardées dans l'ordinateur central. Cependant, même détruit, plus de 200 disques durs ont été récupérés, mais aucune poursuite judiciaire n'a été mise en place. EVACUATION DES SAOUDIENS ET LE CARYLE GROUP
Le journal New York Times relate que «dans les jours qui ont suivi les attentats terroristes de New York et de Washington, l’Arabie Saoudite a supervisé l’évacuation d’urgence de 24 membres de la famille élargie d’Oussama Ben Laden hors du territoire des Etats-Unis». Jane Mayer affirme dans le New Yorker que d’après un fonctionnaire saoudien, les Ben Laden furent transportés par avion privé avec l’accord du FBI. Un appareil de la marque Lear, fourni par l’entreprise d’armement Raytheon, a été mis à disposition des saoudiens et a été autorisé à décoller de Tampa le 13 septembre, alors que l’intégralité des vols sur le territoire américain étaient suspendus. Mais les largesses de l’administration Bush furent également accordées à l’ensemble des membres ou des proches de la famille royale saoudienne, puisqu’au total ce furent 140 saoudiens qui purent quitter le sol des Etats-Unis sans même subir le moindre interrogatoire de la part du FBI ou d’une autre agence, une exfiltration choquante qui fut amplement dénoncée par le réalisateur-écrivain Mickael Moore dans ses œuvres (Tous aux abris, 9/11 Fahrenheit). A la lumière des relations préexistantes entre la maison Bush et la maison Saoud, ce procédé s’explique parfaitement. La famille Bush entretenait depuis fort longtemps des relations privilégiées avec la famille Ben Laden. La première visite de Salem Ben Laden au Texas, fief des Bush, remonte à 1973. Il faut avoir en tête que les Ben Laden sont une des familles les plus riches d’Arabie. Leur entreprise de construction a édifié la majorité des infrastructures saoudiennes : gratte-ciels, routes, centrales électriques, télécommunications, etc. Ils possèdent d’innombrables parts dans les entreprises américaines, comme par exemple des parts de Microsoft et de Boeing, comme dévoilé dans le New Yorker du 28 octobre 2001. Ils ont fait don de 2 millions de dollars à l’université où Bush a fait ses études, de 300 000 dollars à l’université Tufts. Ils possèdent des propriétés et des terrains au Texas, en Floride et au Massachussets. Le Cheik Salim Ben Laden est un partenaire de George Bush junior, les deux hommes sont associés dans les sociétés Zappata Oil et Arbusto Ltd. En 2001, les Ben Laden étaient actionnaires du Carlyle Group, au même titre que la famille Bush, et pour l’anecdote, Shafiq Ben Laden était en train d’assister à un séminaire du groupe Carlyle à Washington le matin du 11 septembre (Riyad a dépensé plus de 170 milliards de dollars en matériel de défense pendant les années 1990, une grande partie des transactions ayant été assurées par le groupe Carlyle). Ce fonds d’investissements, créé en 1987, gère aujourd’hui un portefeuille de 12 milliards de dollars. Il détient des participations majoritaires dans Seven Up, Federal Data Corporation (qui a par exemple équipé la Federal Avion Administration de son système de surveillance du trafic aérien civil) et United Defense Industries Inc, le principal équipementier des armées américaines, turques et saoudiennes. Carlyle arrive au 11 ème rang des compagnies d’armement américaines. Les avoirs financiers du Saudi Binladen Group sont financés par le Carlyle Group. Dans un article paru dans le Monde, le 30 avril 2004, on apprend que John Major a travaillé et investi dans Carlyle, le plus grand investisseur privé au monde qui possède des participations dans près de 200 sociétés, un modèle unique construit à l'échelle planétaire sur le capitalisme de relations. Le groupe incarne aujourd'hui le complexe militaro-industriel contre lequel le président Eisenhower mettait en garde le peuple
américain en quittant ses fonctions en 1961. La collection de personnages influents qui travaillent, ont travaillé ou investi dans le groupe ferait l'incrédulité des adeptes les plus convaincus de la théorie du complot. Sans énumérer l'aréopage complet délivré par le journal Le Monde, citons les noms des Bush, père et fils, du prince Saoudien Al-Walid, de Colin Powell, du milliardaire Georges Soros, du premier ministre de la Corée du sud Park Tae Joon, de Karl Otto Pöhl ancien président de la Bundesbank, de feu Henri Martre, président de l'Aérospatiale, sans omettre, bien sûr : la famille Ben Laden. Les Bush étendent également leur amitié et leur protectorat à la famille royale saoudienne. Pour l’anecdote, Bush père appelle le prince saoudien : Bandar Bush. L’épouse du prince a déclaré que les Bush étaient comme ses propres parents, nous apprend Robert Baer dans Sleepling with the Devil. C’est qu’avec deux mille milliards de dollars investis dans les marchés financiers et les banques américaines, l’argent saoudien irrigue profondément le système américain, et le système Bush au passage. Cela n’est-il pas fait pour conforter l’amitié ?
Les pays du monde ont été choqués et indigné par cet évènement. L’Islamophobie envers les musulmans a augmenté dans les pays d’Europe de l’Ouest en particulier, ceux qui ont été récemment victimes d’attentats. En revanche, les américains essaient de d’être plus tolérant et plus compréhensibles envers les musulmans. Cela s’explique entre autre par le soutien et l’esprit patriotique entre les différentes ethnies de Manhattan et la guerre en Irak de George W. Bush qui déplait à de plus en plus de citoyens américains. En effet, le nombre de soldats américains tués dans les conflits en Afghanistan et en Irak dépasse à présent le nombre de victimes des attentats terroristes du 11 septembre 2001. Les familles américaines ne cessent de pleurer leurs hommes morts au combat. Mais les Etats-Unis continuent d’avancer avec fierté, même si chaque américain sera blessé intérieurement pour toujours. Beaucoup d’entre garderont des séquelles psychologiques, d’autres physiques, pour certains, ce sera les 2. Certes ils ont perdus confiance en la sécurité des services et des lieux publics mais leur gouvernement à pris des initiatives et à créer de nouvelles lois pour renforcer la sécurité des habitants d’Amérique, y compris les visiteurs d’autres pays du monde. Même si les Etats-Unis se montrent plus méfiants qu’avant, ils ne veulent pas perdre l’accueil chaleureux qu’ils réservent à leurs visiteurs, mais aussi il est important de garder leurs valeurs toujours intactes. La blessure est toujours présente car elle ne doit pas se montrer aux yeux du Monde et surtout pas à leurs ennemis, qui n’attendent qu’une seule chose : son affaiblissement Avec les différentes attaques, comme de Pearl Harbor en 1941, les américains ont compris que pour rester fort, il fallait rester unit et solidaires les uns autres, quelques soit les nationalités, quelques soit les cultures. C’est avant tout cela, la magie de New-York.
NEW-YORK aujourd’hui…
Chapitre 5 :Meyssan et les réseaux Voltaire
Qui est vraiment Thierry Meyssan ? Thierry Meyssan est un écrivain et un homme a la personnalité obscure dont nous allons essayer de décrypter le coté sombre et inquiétant. Né en 1957, il est connu en France et dans le monde arabe pour son livre, l'Effroyable imposture, dans lequel il développe l’idée selon laquelle « aucun avion ne s'est écrasé sur le Pentagone » et que le 11 septembre est un complot de la CIA. Contrairement à ce qu’on pourrait penser, le Français le plus populaire dans les pays arabes, ce n’est pas Zidane, mais Thierry Meyssan. C’est ce qu’a découvert Fiammetta Venner, politologue italienne en 2002, lors d’un séjour à Amman, en Jordanie. « Thierry Meyssan, c’est l’honneur de la France », lui a dit le libraire, la voyant feuilleter la traduction arabe de L’Effroyable imposture, trônant entre le Protocole des sages de Sion et une réédition de Mein Kampf… Thierry Meyssan a entamé des études de sciences politiques, mais il est très vite exclu de l'IEP pour des raisons qui restent non élucidées. Il prétend « avoir été mis à la porte, sous Giscard d'Estaing pour "activités politiques contraires à la République". Dans les années 70, né d'une famille bordelaise conservatrice, il a un temps été l'icône du mouvement charismatique, un mouvement sectaire et intégriste chrétien. Avant d'en être exclu. Son mariage ayant été annulé pour « homosexualité » par l'Eglise catholique le 17 janvier 1990.
Il rejoint alors le mouvement homosexuel, notamment à l'association Gay pour les libertés (GPL), d'où il se fait exclure le 10 janvier 1989 après s'être fait élire, au nom de l'association mais sans l'avoir consultée. Secrétaire général adjoint de l'International Lesbian and Gay Association. Il sera par la suite exclu d’autres associations gays et lesbiennes, notamment l'ILGA, pour s'être autoproclamé « secrétaire à l'information » (un titre qui n'existe pas), Il prétend avoir créé la Maison des Homosexualités. Ce qui est contesté par tous ses fondateurs. En 1990, il intervient dans l'affaire du pasteur Doucé, un religieux connu pour militer pour la dépénalisation de la pédophilie, mystérieusement assassiné, et que Meyssan fréquentait au sein du Centre du Christ Libérateur. Un local accueillant des réunions pour : « Sado-maso », « travestis », « transsexuelles » et qui consacre des mariages homosexuels. Meyssan écrira a plusieurs journaux pour attribuer sa mort à l’extrême droite avant de changer de version. Le pasteur Doucé aurait selon lui était tué par les Iraniens. Le 8 août 1990, il est entendu par la Brigade criminelle, qui ne prend pas sa déposition au sérieux. Mais Le Monde en fait état le 31 août 1990. En revanche, en 1992, il créée le Projet Ornicar, destiné à se battre pour la liberté sexuelle, pornographique et à lutter contre la répression du proxénétisme. Le Projet Ornicar organise notamment un colloque sur le thème de « la pornographie en Europe » grâce au sponsoring de Gérard Menoud, un mécène condamné par la justice pour avoir « commercialisé des films consacrés à la représentation de la violence et aux perversions sexuelles dégradantes pour la personne humaine ». En mars 1994, il fonde le Réseau Voltaire sur les traces du Projet Ornicar mais dans un but plus large : la défense des libertés (notamment de la liberté pornographique) mais aussi la laïcité. Le Réseau se bat notamment contre l'amendement Jolibois entré en vigueur le 1er mars 1994 et qui prévoit de punir sévèrement « le fait soit de fabriquer, de transporter, de diffuser par quelque moyen que ce soit et quel qu'en soit le support un message à caractère violent ou pornographique ou de nature à porter gravement atteinte à la dignité humaine ». Par la suite, le Réseau Voltaire élargira son audience et son public en organisant des manifestations contre la commémoration de Clovis ou contre la venue du pape en France en 1996. Thierry Meyssan se revendique de la franc-maçonnerie, bien qu'il soit très contesté dans ces milieux aussi. Il se défend en expliquant : « Je suis franc-maçon dans la lignée des philosophes des lumières. J'ai donc une conception offensive de la maçonnerie qui peut paraître surprenante au regard de la dérive conformiste, voire affairiste, de quelques loges trop connues. » Il semble toujours secrétaire du Parti radical de gauche. À ce titre, il a fait partie des équipes de campagnes de Bernard Tapie (élections européennes de 1994) et de la députée Christiane Taubira (élection présidentielle de 2002). Il publie des enquêtes remarquées mais aussi contestées pour leur fiabilité sur l'extrême droite (en particulier sur le service d'ordre du Front national (parti français), qui mène à une enquête parlementaire), et sur l'Église catholique (par exemple l'Opus Dei)... De 1996 à 1999, il est coordinateur suppléant du Comité national de vigilance contre l'extrême droite qui rassemble chaque semaine les 45 principaux partis politiques, syndicats et associations de gauche pour élaborer une réponse commune face à la montée de l'intolérance. De 1999 à 2002, il succède à Emma Bonino à la tête de la Coordination radicale anti-prohibitionniste, une organisation internationale visant à lutter contre le crime organisé en mettant fin à ce qu'ils voient comme sa principale source de revenus, la prohibition des drogues. Son livre de 2002, L'Effroyable imposture, qui présente une thèse controversée sur le 11 septembre 2001, a été un best-seller mondial, traduit en vingt-sept langues, bientôt suivi par un second, Le Pentagate.
Sa théorie présentent les attentats comme un complot interne aux États-Unis : « Les Tours jumelles, que l'on croyait être une cible civile, cachaient une cible militaire secrète. Peut-être que des milliers de personnes ont péri parce qu'elles servaient à leur insu de bouclier humain. La Tour 7 - mais peut-être aussi d'autres bâtiments et sous-sols - masquait une base de la CIA ». Ce livre a d'abord été largement diffusée sur Internet puis son succès en librairie lui a valu un passage remarqué dans l'émission de télévision Tout le monde en parle de Thierry Ardisson, le 16 mars 2002. Thierry Meyssan a depuis présenté son livre dans le monde entier, notamment dans des pays arabes, en Amérique latine et en Europe. Il a demandé à l'Organisation des Nations unies d'ouvrir une enquête internationale sur les attentats du 11 septembre 2001, mais n'y est pas parvenu malgré le soutien que la Ligue arabe et le Conseil de coopération du Golfe lui ont apporté. Dans l'Effroyable Imposture, Meyssan affirme que ce n'est pas un avion mais un camion qui a déchiqueté la façade du Pentagone. Il changera d’avis et de version dans un second livre, le Pentagate, où il affirme que ce n'est pas un camion mais un missile qui a détruit la façade du Pentagone. En réalité, ses théories sont le fruit de l'imagination d'un « réseau d'experts » plutôt douteux, composé d'un officier des renseignements poursuivi par la justice (Pierre-Henri Bunel), d'un commissaire membre de la direction générale des renseignements généraux (Hubert Marty-Varance), d'un passionné d'espionnage (Stéphane Jah) et d'un conspirationistes d'extrême droite (Emmanuel Ratier). Depuis ce livre, Thierry Meyssan assure une forme de diplomatie parallèlle au service des intérêts iraniens, syriens, et même selon des anciens membres du Réseau Voltaire... chinois. Une dérive qui a provoqué le départ successif de plusieurs de ses administrateurs. Notamment Michel Sitbon, Jean-Luc Guilhem et Gilles Alfonsi. Ils se disent notamment gênés par des propos antisémites entendus au Conseil d'Administration et la présence de militants soutenant des thèses révisionnistes. En effet, ces départs ont été compensés par l'arrivée de militants favorables au révisionnisme et à l'islamisme : comme Bruno Drewski (suspendu de la revue la Pensée pour soutien à des thèses révisionnistes), Claude Karnoouh (témoin à décharge lors du procès Faurisson, et coauteur de "l'intolérable intolérance", un texte soutenant ceux qui relativisent l'existence des chambres à gaz...et Issa el Ayoub (journaliste Syrien pro-Hezbollah et qui a défendu la chaîne Al Manhar). Depuis le 11 septembre, le Réseau Voltaire a considérablement réorienté sa ligne vers la lutte contre l'impérialisme américain et le Moyen-Orient. Il a édité un jeu de cartes des responsables américains singeant celui édité pour les anciens dignitaires irakiens, pris la défense du Hezbollah et de Al Manhar, et édite un bulletin en ligne qui traduit les communiqués de la « résistance irakienne ». Son site, très visité, surtout dans le monde arabe et en Amérique latine, a inauguré une rubrique, Flagrant délit, où l'on peut lire qu'un « agent de la CIA revendique la prise d'otages de Beslan » (17 septembre 2004) ou encore que le meurtre de Théo Van Gogh ne serait pas du à un réseau islamiste mais à un complot de la CIA pour masquer un trafic d'armes avec les Pays-Bas (« L'assassinat de Theo Van Gogh », 8 novembre 2004). Ces news sont même disponibles en plusieurs langues. Le site est donc a prendre avec beaucoup de méfiance car c’est l’exemple même de l’Internet ou l’on trouve tout et n’importe quoi. En juin 2002, Thierry Meyssan a été déclaré persona non grata sur le territoire des États-Unis par le Département de la Défense américain. Selon une statistique du Département de la Sécurité intérieure, datée de juin 2005, plus de 3 000 ouvrages ont été publiés dans le monde pour ou contre Thierry Meyssan. L’un de ses ouvrages L’Effroyable imposteur (Grasset),2004, la politologue Fiammetta Venner décrypte la « méthode Meyssan » et dresse le portrait de celui qui a connu un succès planétaire en affirmant qu’« aucun avion ne s’est écrasé contre le Pentagone » le 11 septembre.
Rentrée à Paris, Fiammetta Venner décida de s’atteler au portrait de cette vedette de la presse engagée et alternative, et de retracer minutieusement son parcours, des années soixante-dix à nos jours. Parcours tortueux, à l’image d’un charlatan sinistre qui est parvenu, à force de manœuvres, à être de tous les combats de gauche, avant de connaître enfin la gloire en s’attaquant à l’empire du mal américain et au complot sioniste. La première fois que Thierry Meyssan a eu sa photo à la « une » d’un journal, c’était en 1986, en couverture de l’hebdomadaire catholique La Vie. On le voyait place Saint-Pierre, à Rome, les bras levés, extatique, au milieu de ses compagnons du Renouveau charismatique venus célèbrer la Pentecôte au Vatican. La photo, prise dix ans plus tôt, n’était pourtant presque plus d’actualité. En 1986, Dieu n’intéresse plus beaucoup Meyssan. Il s’apprête à devenir l’un des porte-parole de la cause gay, en attendant de combattre l’extrême-droite et de batailler pour la liberté d’expression à la tête du Réseau Voltaire. Il retrouvera toutefois le Très-haut — du moins ses proches collaborateurs — en septembre 2002 : invité en Iran pour y présenter l’Effroyable imposture, il sera reçu en héros par les huiles du régime, fondamentalistes en tête. Cinq mois plus tôt, c’est à Dubaï qu’il connaissait le triomphe. Cet amoureux de la vérité a-t-il parlé avec ses nouveaux amis de ses combats passés, pour la laïcité, les droits des homosexuels, les sites pornos ?… Dans l’itinéraire soigneusement calculé de Thierry Meyssan, si les causes changent avec l’air du temps, les moyens ne varient jamais : ce sont toujours les mêmes divagations complotistes, assénées avec le même aplomb. Fiammetta Venner démontre par les faits que le délire qui a présidé à l’écriture de l’Effroyable imposture n’est pas né du jour au lendemain. Chez Meyssan, la paranoïa est autant une folie qu’un système. La machination est partout et lui sert d’explication à toutes les questions en suspens — et, à l’occasion, à régler ses comptes personnels. Il remplit les trous des enquêtes et répond aux interrogations légitimes que soulève parfois l’actualité avec des « informations » dignes du plus cinglé des mythomanes, mais qui, à chaque fois, trouvent preneur. Quand il affirme que c’est Mitterrand qui a créé le DPS (service d’ordre du Front national) pour protéger Mazarine, Noël Mamère reprend le « scoop » en direct sur LCI… Lorsqu’une explication s’effondre, il en trouve une autre. Dans ses engagemments comme dans ses thèses, Meyssan n’a pas peur du grand écart. Ainsi, le pasteur Doucé, mystérieusement assassiné, a d’abord été victime d’un complot du PS, puis d’une conspiration
d’extrême-droite, avant de faire les frais d’agissements occultes du régime iranien. À l’en croire, le monde ne serait qu’un gigantesque lobby homo-facho-socialo-judéo-maçonnique. Mais loin de le considérer comme un simple affabulateur, Fiammetta Venner estime au contraire que Thierry Meyssan fait preuve d’un réel talent « pour coller à son époque et répondre à la demande ». La demande, tout le problème est là. Comme le souligne l’auteur, quand on écoute Meyssan, on se fait peut-être plaisir, mais on n’apprend rien. Il ne dit que ce que l’on attend qu’il dise. Il agite la machine à fantasmes. C’est précisément ce qui séduit chez lui. Encore aujourd’hui, malgré les élucubrations publiques de son fondateur, le Réseau Voltaire reste une source de renseignements considérée comme fiable par de nombreux journalistes et hommes politiques de gauche. Alors même que récemment, on a pu lire sur le site internet du réseau que le meurtre de Théo Van Gogh est le fait d’un complot de la CIA destiné à masquer un trafic d’armes avec les Pays-Bas… Au-delà du portrait qu’elle dresse d’un personnage peu fréquentable mais trop souvent courtisé, Fiammetta Venner s’interroge sur les devoirs de la presse militante : « Je reste impressionnée de voir à quel point cet homme a su utiliser toutes les failles, saisir toutes les opportunités, pour détourner un genre aussi noble que la presse engagée au service de sa propre gloire, au mépris de toutes les règles, celle de la vérité et surtout celle de la responsabilité. Faire ce portrait, c’était avant tout faire le procès de cette tentation conspirationniste qui empoisonne l’esprit critique et la pédagogie, deux valeurs dont le devoir d’informer ne saurait se passer ». Deux valeurs dont Meyssan, ceux qui l’écoutent, le suivent et le relaient avec gourmandise, en revanche, se passent fort bien.
Soirée spéciale sur la théorie du complot :
«Sommes-nous tous Manipulés ? » D’après une émission (de quoi j’me mêle ?) diffusée le mardi 13 avril 2004 à 20h45, une équipe d’ARTE pilotée par Daniel Leconte et composée de Barbara Necek et d’Antoine Vitkine s’est penchée sur ceux qui crient au grand complot. Ce documentaire en trois volets s’attelle à dresser une fresque des différentes thèses qui remettent en cause l’existence même d’une tragédie du 11 septembre et dénoncent ce qu’ils estiment être une gigantesque machine à manipuler : une alliance, évidemment « américano-sioniste », entre les plus hautes instances politiques et militaires, les médias et le monde de la finance. Voici la synthèse de ce documentaire. Barbara Necek et Antoine Vitkine sont deux réalisateurs independants et elle, prépare actuellement un documentaire sur les Protocoles des Sages de Sion co-réalisé par le directeur de recherche du CNRS Pierre André Taguieff.
Les tragiques événements du 11 septembre 2001 ont provoqué une nette rupture dans la politique extérieure américaine : c’est désormais une Amérique de « faucons impérialistes » qui a pris le pas sur des Etats-Unis gouvernés par un Président républicain, dont le programme des élections de 2000 faisait apparaître de façon explicite un non-interventionniste économique et militaire de façon plutôt univoque.
Je vais essayer de montrer en quoi la théorie « complotiste » arrive à fonctionner et convaincre ou du moins faire douter des millions de personnes à travers le monde et rendre populaire les auteurs de certaines de ses affabulations.
1. Le 11 septembre n’a pas eu lieu
Les thèses les plus « farfelues » ont circulées a propos du 11 Septembre 2001.Selon certaines thèses, une gigantesque manipulation de l’armée américaine, dont l’objectif est de choquer l’opinion afin de procéder à un remodelage du Moyen-Orient, ou bien encore la théorie selon laquelle 4000 juifs prévenus par le Mossad ne seraient pas venu travailler le 11 septembre 2001 au matin au World Trade Center, ce même Mossad qui distribuerait des bonbons à Gaza pour provoquer des scènes de joie … Bien que cela paraisse trop énorme pour être crédible, « la sauce va prendre »… Tout cela est fort heureusement faux ! Alors, pourquoi offrir une tribune aux auteurs de ces montagnes d’idioties ? C’est la raison d’être de la première partie de ce documentaire qui retrace l’histoire d’une défaite de la raison.
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En France :
Cette histoire commence en France, avec l’incroyable succès de l’ouvrage de Thierry Meyssan intitulé L’Effroyable Imposture, traduits en 28 langues et dont l’auteur est fier de constater qu’il en existe des versions pirates. La thèse de Thierry Meyssan est la suivante : aucun avion ne s’est abattu sur le Pentagone. Les dégâts constatés sont l’œuvre d’un missile. L’objectif des attentats est de justifier un virage dans la politique extérieure des Etats-Unis. La stratégie marketing sans faille de Thierry Meyssan commence sur Internet, avec l’apparition d’un site interactif, un jeu des sept erreurs, appuyant les thèses de Thierry Meyssan. Selon le sociologue Pierre Lagrange, l’auteur est très fort : il fait en sorte que l’internaute ou le lecteur se fasse acteur l’espace de quelques instants. Résultat : 850 000 internautes par jour se connectent sur le site ! Le directeur des éditions Carnot, qui soutiennent ces thèses fantaisistes, n’est autre que Pierre-Henri Bunel, un ex-officier de l’armée française accusé de trahison au Kosovo et qui écrivait des articles dans Jeune Résistance, un journal d’extrême droite. Son bouquin, L’effroyable Mensonge, chez Dasquié, « Thèses et foutaises sur le 11 Septembre » collecte en fait des « témoignages » de spécialistes de la désinformation. Le site http://www.hoaxbuster.com est assez intéressant et critique au sujet de ce livre. Autre soutien implicite de notre auteur, Thierry Ardisson et son émission aux deux millions de téléspectateurs, « Tout le Monde en Parle », sur France 2. La semaine qui suivit la diffusion de l’émission au cours de laquelle Thierry Meyssan , « s’est livré à sa démonstration, appelant le téléspectateur à constater par lui-même qu’aucun avion n’a pu s’écraser sur le Pentagone », vit le nombre de commandes de L’Effroyable Imposture porté à 130 000…(voir en annexe le texte intégral de l’interview de Tout le Monde en Parle).
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En Allemagne :
Par ailleurs, 70% des Allemands ne croient pas ce que racontent les médias sur les attentats du 11 septembre ! Pas étonnant, car la littérature conspirationniste foisonne dans ce pays. L’éditeur allemand de Thierry Meyssan n’est autre que Peter Krebs, qui appartient à la Nouvelle Ere des Lumières (une société secrète d’extrême droite) il n’est donc pas politiquement d’accord avec Thierry Meyssan. La prestigieuse maison d’édition Piper, qui publie notamment Hannah Arendt, porte quant à elle caution aux thèses révisionnistes, ainsi l’ouvrage de cet ancien ministre de la Recherche, qui dit les choses suivantes : « un seul citoyen israélien a été tué le 11 septembre », ou encore « une entreprise de SMS israélienne a prévenu deux Israéliens, et tous les Israéliens s’en sont allés ». Des accusations sans preuve…Ce même Mathias Bröckers qui, au cours d’une conférence sur le 11 septembre dans une université allemande, crie au complot, et prétend démontrer que six
des quinze kamikazes sont encore en vie. Le schéma de pensée de ces déformateurs de l’Histoire est le suivant : accuser avant d’être accusé. Mais que fait la presse allemande face aux conspirationnistes ? Un Allemand sur cinq croit en l’implication de l’administration américaine dans les attaques du 11 septembre…Selon Der Spiegel, ce phénomène est dû à l’isolation de l’information dans la chronologie : personne ne tient compte des démentis futurs. Les conspirationnistes, eux, posent des questions et exigent des réponses. L’un des ciments de l’identité allemande serait un antiaméricanisme rampant, par lequel la critique des Etats-Unis serait devenue un sport national, et les conspirationnistes se font…négationnistes.
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Dans le monde arabe :
Ce même Thierry Meyssan, donnant une conférence à la Ligue Arabe au Zayad Centre, entre temps fermé à la suite de pressions américaines, accueilli comme un chef d’Etat dans le monde arabe – il y aurait vendu plus de 250 000 exemplaires de L’Effroyable Imposture. En Syrie, au Maroc et en Egypte, 62% de la population pense qu’Al-Qaeda n’est pas impliquée dans les attaques du 11 septembre 2001. La chaîne de télévision du Hezbollah Al-Manar a lancé la rumeur infondée selon laquelle 4000 Israéliens ne se seraient pas rendus dans les Tours du World Trade Center un certain 11 septembre 2001. Ces dires ont évidemment été repris sur AlJazeera (En plus le super-espion Hamid Gul au Pakistan et le prince saoudien Nayef, Ministre de l’Intérieur qui dépense des millions pour imprimer de la propagande anti-chiite, et qui se fait le grand avocat de la thèse selon laquelle c’est le Mossad qui a commandité le 11 Septembre ; thèse très populaire en Malaisie, y compris dans l’entourage de Mahathir ancien Premier Ministre Malaisien.
Les Allemands auraient du mal à prononcer le mot « juif », et disent à la place « la côte Est des Etats-Unis »… Montasser Al-Zayat, l’avocat des extrémistes musulmans, refuse les théories du complot. Il convient selon lui de ne pas exagérer le rôle d’Israël, ce qui dessert finalement les intérêts arabes. 11 mars 2004, à Madrid, il est sept heures du matin. Est-ce le Mossad ? La C.I.A. ? Il n’a suffit que de deux jours pour voir apparaître de nouvelles théories du complot. La réalité ne compte pas pour les conspirationnistes…
2. Le Grand Complot
L’accroche de cette seconde partie n’est autre qu’une présentation d’un étrange personnage, Bernard Perrier, plus « connu » sous le nom de Ben Peri, et qui se prend pour un agent secret. Il est l’auteur de L’Empreinte du Diable…Est-il autre chose qu’un illuminé solitaire qui se voit donné de l’importance par quelques conférences données par des associations en mal d’intervenants ? N’empêche que son livre figure, dans une librairie parisienne, au beau milieu d’ouvrages très sérieux de géopolitique. Comment notre société en arrive-t-elle à offrir une tribune à des gens comme Ben Peri ? Ce dernier a participé à un débat télévisé, dont le médiateur était Paul Wermus, ce dernier voulant tourner une information qu’il trouve ennuyeuse et triste en spectacle, mais sans dépasser la « ligne jaune ».
Selon Pascal Bruckner, le soupçon naît de la clarté de l’attaque, et de la tentative de réponse à cette vieille question qu’est « à qui profite le crime ? ». D’après Nicole Bacharan, professeur à l’Institut d’Etudes Politiques de Paris et spécialiste des Etats-Unis, l’extrême gauche veut faire de Bush le responsable de tous les maux de la Planète. Or, tous les pays ont un intérêt pétrolier… Pour Bruckner, le fond de commerce de certaines personnes est de désigner ceux qui contrôleraient le monde. Jean-Marie Le Pen accuse depuis des années le Bnei’Brith – une grande organisation maçonnique et juive – d’empêcher la droite de s’associer avec l’extrême droite française, qui ne se dit pas antisémite. Mais qu’est-ce que le Bnei’Brith ? Ce n’est autre qu’une association juive d’origine maçonnique. En 1789, la Monarchie de droit divin est détruite. Pour les Royalistes, le complot judéo-maçon ne cherche autre chose qu’à dominer le monde, son objectif ultime étant la destruction des valeurs catholiques. Toutes ces thèses sont étayées dans Les Protocoles des Sages de Sion, traité antisémite écrit par un faussaire russe à la fin du XIXème siècle,( en fait un agent de l’Okhrana ,la police secrète russe du 19e siècle) et qui simule le complot lui-même, une diabolique stratégie du chaos. Deux siècles plus tard, en 1989, le Mur de Berlin tombe et une nouvelle ère, plus complexe que la précédente, s’ouvre, alors que les théories du complot sont justement réductrices de complexité. Selon le sociologue Pierre Lagrange, Thierry Ardisson s’est dit : « j’ai un Watergate », et n’a pas senti la thèse conspirationniste. Et d’après France Télévision, les équipes de Thierry Ardisson ne se sont pas plus posées de questions en découvrant la thèse de Thierry Meyssan (on a vu en première partie que Thierry Meyssan avait été l’invité de Thierry Ardisson sur France 2). C’est tout le problème du métier de journaliste : il faut une contre enquête sur tout sujet qui semble « explosif » afin de faire la part des choses entre information et divertissement. Thierry Ardisson a par la suite avoué qu’il avait fait une faute professionnelle. Mais un an après, il organisa une émission sur le thème « Diana a-t-elle été assassinée ? », émission au cours de laquelle deux invités sur trois penchaient pour l’assassinat. Si trente pour cent des Britanniques croient en effet au complot, quarante pour cent des Français en sont convaincus (sondage réalisé après l’émission de Thierry Ardisson). Le complot fait vendre ! Et l’argent vous fait oublier toutes les règles journalistiques. Et si Diana était bel et bien une formidable ambassadrice pour les réfugiés du monde, surtout les enfants, certains prétendent que les Britanniques et les Français l’ont faite assassiner pour protéger les intérêts des Israéliens… Le mobile est absurde, mais le complot fait vendre. Même des magazines sérieux et nés d’un effort intellectuel, tels le Nouvel Observateur et l’Express, tombent dans les dérives du mercantilisme : quand les ventes tombent, ils ressortent les vieux dossiers annuels sur les Francs-Maçons, etc. Qu’on ne s’étonne pas que 57% des Français ne croient plus ce que leurs racontent les journalistes ! Les Guignols de l’Info ont quant à eux créé un monde de marionnettes pour parodier l’actualité. Selon Bruno Gaccio, il y aurait comme un sentiment de méfiance, et les Guignols tentent de dire qu’à travers les marionnettes, on nous cache la vérité – qui serait celle du complot ? Derrière le monde, la World Company, incarnée par le commandant Sylvestre qui lui-même incarne un phantasme ? D’après « les Guignols », les politiques ne seraient là que pour se faire réprimander. L’idée selon laquelle le pouvoir serait concentré dans les mains de quelques uns est un danger pour la démocratie, démocratie qui est l’anti-théorie du complot. L’anti-théorie du complot, c’est justement le thème du livre de Guillaume Dasquié, L’Effroyable Mensonge…
3. Le Débat
S’ensuivit un débat très équilibré et d’un très bon niveau argumentaire, en présence de Rémi Kauffer, qui dénonça le mythe des services de renseignements, Gunther Latsch, de Der Spiegel, ainsi que Philippe Val, le rédacteur en chef de Charlie Hebdo. Selon Gunther Latsch, les anti-colonialisme, américanisme et capitalisme remontent aux mouvements de 1968. Mais ce n’est que plus tard que le phénomène se mis à toucher la société toute entière : depuis le début des années quatre-vingt dix, dix-sept millions d’Allemands sont nourris de l’idée selon laquelle l’ennemi de l’Allemagne sont les Etats-Unis d’Amérique. Quant à l’anti impérialisme invectivé et récurrent, il est le fait de l’extrême-droite. D’après Philippe Val, les gens confondent la réalité et ce qu’ils lisent sur Internet – vecteur de propagation des mensonges. En niant les crimes, on veut les rendre acceptables, reproductibles. L’objectif de ces théories négationnistes est d’aider Al-Qaeda, directement ou indirectement. Le sergent recruteur d’Al-Qaeda se voit pourvu et bombardé de dizaines d’arguments.
Conclusion
Les Etats Unis ont subis un terrible choc psychologique suite à ces attentats, le monde n’a jamais était le même … Cependant les attentats du 11 septembre ont surtout permis à Bush de faire la guerre en Afghanistan et en Irak sans que personne ne s’oppose à lui … Après avoir lu cette thèse n’avez-vous pas désormais un doute … comme si c’étais une blessure auto infligée …
Comparaison entre un Boeing 707 et d’un Boeing 767
Pour récapituler l'avion : La masse de décollage maximale pour un Boeing 707-320B est de 152.41 Tonnes. La masse de décollage maximale pour un Boeing 767-200ER est de 179.17 Tonnes. Soit une différence de +17.5% L'envergure d'un Boeing 707 est de 44.50 mètres. L'envergure d'un Boeing 767 est de 47.54 mètres. Soit une différence de +7% Capacité maximale de carburant d’un Boeing 707 est de 87 065 litres Capacité maximale de carburant d’un Boeing 767 est de 90 775 litres Soit une différence de +4% La vitesse de croisière d'un Boeing 707 est 977 km/h La vitesse de croisière d'un Boeing 767 est 853 km/h Soit une différence de -13%
Le Boeing 707 et 767 sont avion très semblable, la principale différence. Etant que le 767 est à peine plus lourd et plus efficace en termes de consommation de combustible, et le Boeing 707 est plus rapide.
Les enregistreurs de vol ou "Boîtes noires"
Parfois connus sous l'appellation de "boîtes noires", les enregistreurs de vol sont des équipements de sécurité obligatoires sur les avions de transport. Compte tenu de complexité des aéronefs et de l'extraordinaire diversité des situations qui peuvent être rencontrées en exploitation, ils constituent un outil privilégié pour la détermination et l'explication des circonstances et des causes d'un accident ou d'un incident d'aviation civile. D'autres sources de données sont également exploitées. Il s'agit d'une part des informations que certains équipements embarqués peuvent garder en mémoire, d'autre part de l'enregistrement des radars ou des télécommunications du contrôle aérien. Ce seront souvent les seules sources disponibles lorsque l'événement concerne un hélicoptère ou un avion léger. Au BEA, la lecture et l'exploitation du contenu des enregistreurs sont effectuées par les enquêteurs spécialisés du département technique. Le département technique participe aux activités conduites au plan international (OACI, EUROCAE, JAA) pour établir la réglementation et les spécifications techniques applicables aux moyens de demain, enregistreurs vidéo ou enregistreurs data-link par exemple. Les enregistreurs réglementaires CVR et FDR - description
Il y a actuellement deux types d'enregistreurs réglementaires : Le CVR (Cockpit Voice Recorder - enregistreur phonique) enregistre en boucle, sur trente ou cent vingt minutes, l'environnement acoustique du poste de pilotage (les échanges entre les pilotes ou avec les contrôleurs, les bruits ou les alarmes sonores). Caractéristiques
Durée d'enregistrement : 30 à 120 minutes (pour les enregistreurs à mémoire statique),
Nombre de canaux : 4
Tolérance à l'impact : 3 400 G pendant 6,5 millisecondes
Résistance au feu : 1 100°C / 1 heure (Température de combustion du kérosène)
Résistance à la pression de l'eau : 5 000 mètres (20 000 pieds)
Batterie : 6 ans
Délai maximum avant découverte (en cas d'immersion) : 30 jours (autonomie électrique de la balise de localisation subaquatique)
Durée de survie des données : longue (stockage sur bande magnétique ou carte mémoire type « Flash »)
Le FDR (Flight Data Recorder - enregistreur de paramètres) enregistre en boucle et sur vingt-cinq heures les valeurs de certains paramètres significatifs (vitesse, altitude, fonctionnement des moteurs, pilote automatique, position des gouvernes, des commandes de vol...). Selon l'âge et le type de l'aéronef le nombre de paramètres enregistrés chaque seconde varie de cinq à plus de mille.
Caractéristiques
Durée d'enregistrement : 25 heures (minimum réglementaire)
Nombre de paramètres : de 28 à plus de 1 300
Tolérance à l'impact : résistance à une accélération de 3 400 G pendant une durée de 6,5 millisecondes sur une cible
Résistance au feu : 1 100°C pendant 1 heure
Résistance à la pression de l'eau : 5 000 mètres (20 000 pieds)
Batterie : 6 ans
Durée d'émission de la balise subaquatique (en cas d'immersion) : 30 jours (autonomie de la balise de localisation subaquatique
Les « boîtes noires » sont conçues pour que leur contenu résiste à de fortes contraintes : une accélération supérieure à 3 400 g, une température de 1 100 °C pendant une heure, un mois d'immersion à six mille mètres de profondeur, etc. Et pourtant, elles arrivent parfois au BEA dans un état de destruction spectaculaire... Aujourd'hui, selon leur génération, les enregistreurs utilisent deux types de supports : la bande magnétique et la mémoire électronique. Une petite balise à déclenchement automatique permet souvent de les retrouver lorsque l'épave est au fond de l'eau.
CVR à bande magnétique trente minutes (en dessous sans son capot de protection)
Comment récupère-t-on les données ?
Dépouillement des enregistreurs
Les bandes sont relues à l'aide de lecteurs analogues à des magnétophones. Les mémoires électroniques sont placées quant à elles sur un châssis d'enregistreur de même type utilisé comme lecteur. Le déchiffrement du signal est ensuite effectué par les spécialistes du département technique au moyen de logiciels spécialisés et, pour les paramètres, à l'aide des grilles fournies par l'exploitant.
Le laboratoire enregistreurs du BEA est équipé pour relire la quasi totalité des enregistreurs « occidentaux » ainsi que nombre de QAR, ces enregistreurs à cassette non protégée utilisés par certains exploitants pour l'analyse de leurs vols. Dans le cas d'une bande magnétique trop endommagée pour pouvoir être lue par un moyen classique, le laboratoire utilise un équipement spécifique, dit à "grenat", qui permet de révéler les signaux enregistrés (transitions magnétiques), de façon à récupérer une à une les données qui n'auraient pas été détruites dans l'accident. Toutes les opérations d'ouverture des enregistreurs sont filmées en continu. Une copie de l'enregistrement est réalisée, sur laquelle se feront les travaux ultérieurs. Analyse des données Les données une fois récupérées, il convent de les exploiter. A cet effet, leur analyse déjà commencée dans le cadre de la validation des données brutes, va se poursuivre, en liaison avec l'enquêteur désigné responsable de l'enquête et certains experts. Les spécialistes acousticiens du département technique procèdent à l'écoute et à la transcription des enregistreurs phoniques. Ils en effectuent l'analyse spectrale, identifient les alarmes et les bruits enregistrés, datent les événements avec précision. Parallèlement, d'autres enquêteurs analysent les paramètres enregistrés, les interprètent et les présentent sous forme de courbes ou d'animations 3D. L'analyse des enregistreurs et le traitement des données se font dans le cadre des enquêtes conduites par le BEA ou, pour des événements survenus à l'étranger, dans le cadre de sa participation à une enquête concernant un aéronef d'exploitation ou de construction française. Ils peuvent également correspondre à des prestations de service pour des pays qui ne possèdent pas de laboratoire de lecture. Ces travaux sont réalisés par la Division Technique du BEA ou sous son contrôle.
Architectures communes aux enregistreurs
CVR A100A - Bande de trente minutes
Photo comparative d'une carte à mémoire statique et d'un mécanisme à bande
Interview de Thierry Meyssan à Tout Le Monde en Parle Invité par Thierry Ardisson dans le cadre de son émission du samedi soir "Tout le monde en parle" (diffusée le 16 mars 2002 sur France 2, puis rediffusée par TV5), Thierry Meyssan eut l'occasion inespérée d'y développer ses théories extravagantes sur les attentats du 11 septembre, presque sans contradicteur. Plus tard, l'animateur regrettera de d'avoir offert une telle tribune à la thèse de Meyssan. Voici le texte de l'interview réalisée à cette occasion: Ardisson : Après le 11 septembre vous êtes intrigué par des anomalies que vous remarquez sur les premières photos de l'attentat contre le pentagone et puis par la confusion, les contradictions des déclarations qui sont faites par les autorités américaines à propos du World Trade Centre. Vous décidez de mener une enquête et vous faites des découvertes qui sont assez terrifiantes, peut-être la plus grande manipulation de l'Histoire, on pourrait dire d'une certaine façon Et ce que je veux préciser avant qu'on commence c'est que vos découvertes sont uniquement fondées sur des documents de la Maison Blanche et du Département de la défense américain. Fondées aussi sur les déclarations des dirigeants militaires et civils américains données à la presse internationale donc parfaitement vérifiables. Meyssan : Parfaitement, tous les documents sur lesquels je me suis appuyé sont vérifiables par n'importe qui. Ardisson : Alors vous mettez en doute la théorie selon laquelle les attentats du 11 septembre sont le fait d'ennemis extérieurs aux Etats-Unis et pas d'ennemis intérieurs. En fait vous dites qu'il s'agirait d'une macabre mise en scène destinée non pas à tuer mais à frapper les esprits, un complot intérieur organisé par le lobby militaire pour augmenter le budget de l'armement et puis aussi par le lobby pétrolier pour faire passer ce fameux pipeline qui doit descendre de l'Asie centrale à travers l'Afghanistan jusqu'aux mers chaudes. C'est ce dont nous avait parlé Guillaume Dasquié qui était venu ici et qui nous avait parlé de ça, il a écrit un bouquin là dessus, sur le pipeline qui vient d'Asie centrale. Vous racontez tout cela dans un livre qui s'appelle « 11 septembre 2001 : l'effroyable imposture ». Aucun avion ne s'est écrasé sur le Pentagone. Je montre le livre. Alors on va commencer par le Pentagone. L'avion qui s'est soi disant écrasé sur le pentagone a provoqué trés très peu de dégâts finalement. Meyssan : Alors quand on regarde les photos qui sont disponibles sur cet attentat et qu'on se fonde d'abord sur les photos fournies par le département de la défense et sur les photos diffusées par Associated Press juste après l'attentat on peut constater qu'il y a une impossibilité matérielle pour que la version officielle fonctionne. Dans la version officielle on nous raconte qu'un boeing 757, c'est un engin énorme, arrive devant le Pentagone, descend juste devant le bâtiment sur une pelouse qui se trouve à l'avant, frappe cette pelouse, rebondit, touche la façade, s'engouffre dans la façade au niveau du rez de chaussée et du 1er étage, est totalement happé à l'intérieur du bâtiment et brûle là à l'intérieur. Ça c'est ce qu'on nous raconte. Maintenant n'importe qui peut regarder la photo qui est sur la couverture du livre qui est la photo d'Associated Press qui est la première photo qu'on ait prise après l'attentat. Donc sur la partie gauche de la photo vous avez de la fumée, au bas de la fumée vous avez, caché par cette fumée, un trou qui est sensé être celui qui a absorbé un boeing 757. Donc ce n’est pas bien difficile de comprendre que ça n'est pas possible. Ardisson : Et puis en plus c'est bizarre qu'un avion se soit planté horizontalement dans une façade qui fait 24 m de haut. Meyssan : Voilà parce si vous deviez attaquer le Pentagone en avion vous tomberiez en piqué sur le Pentagone, c'est un bâtiment plat. Venir faire une manœuvre extrêmement complexe pour toucher un bâtiment bas sur la façade et du mauvais coté, c'est quand même une curieuse idée. Ardisson : Vous dites on n'a jamais trouvé l'épave de l'avion, en fait, on l'a jamais vue.
Meyssan : On n'a jamais trouvé le moindre morceau de cet avion à l'exception des boites noires qu'on a exhibées avec beaucoup de retard et puis on aurait retrouvé, d'après le Pentagone, un phare de l'avion qu'on n'a jamais montré mais enfin on dit qu'on l'a retrouvé et rien d'autre. Donc c'est un avion qui se serait dématérialisé. Ardisson : Alors il n'y a aucun photographe, aucune télé qui ont été autorisés à filmer la scène du crash, les seules sources c'est l'armée américaine, alors ils ont donné des explications successives et variables, puis un mensonge en appelant un autre, comme ça, ils ont commencer à partir dans un délire absolument incroyable. Meyssan : Quand on replace dans la durée toutes leurs déclarations, cela devient un tel tissu de contradictions que ça s'effondre par soi-même. Ardisson : Alors CNN vendredi dernier a diffusé des images inédites où on voit une explosion, on voit une boule de feu et ils ont dit : le carburant a explosé. Et vous, vous dites le carburant est inflammable, mais pas explosif. Meyssan : Si il était explosif, vous ne prenez pas l'avion, là il faut absolument changer de compagnie aérienne vous arrêtez ces compagnies américaines qui prennent un carburant dangereux, c'est interdit d'avoir un avion explosif. Ardisson : Et ce que vous ajoutez dans votre bouquin c'est qu'en fait l'aile du Pentagone sur laquelle l'avion est sensé être crashé est en fait un bâtiment en réfection, donc il n'y avait personne dedans. Meyssan : Il y avait du personnel de maintenance mais effectivement très peu de monde par rapport aux autres ailes du Pentagone. Ardisson : Aucun corps retiré n'a été identifié par les familles des victimes. Meyssan : Absolument les corps qu'on a retirés, ce sont les corps des personnels du Pentagone, des personnels de maintenance qui ont été tués par l'attentat qui a eu lieu mais qui n'est donc pas dû à un avion et par contre les corps des victimes, les corps des passagers n'ont jamais été retrouvés au Pentagone. Ardisson : Mais l'avion qui a décollé, il est où? Parce qu'il y a bien un avion qui a décollé à un moment et qu'on n'a jamais retrouvé. Meyssan : Il y a bien un avion qui a décollé, il y avait des passagers à l'intérieur, cet avion on en a perdu toute trace à 500 km de Washington, au dessus de l'Ohio, il n'y a aucune nouvelle depuis et certainement le gouvernement américain aurait des révélations à faire aux familles de ces victimes. Invité : Juste pour savoir si vous êtes le premier à vous en apercevoir, les journalistes qui sont des gens super bien renseignés, il n'y en a aucun qui a émis quelque doute, en France, ici en tout cas… Meyssan : Il y a une raison à cela toute simple, en fait. Quand cet attentat a eu lieu ça a été vécu aux ÉtatsUnis comme un agression terrible et il n'y a pas eu d'enquête aux États-Unis il n'y a même pas eu l'enquête qu'on fait quand il y a un crash d'avion ici. D'ailleurs dès le soir même, dès le lendemain on commence des travaux donc on détruit totalement la scène du crime si vous voulez. Il n'y a jamais eu la moindre enquête et quand le FBI a collectionné quelques éléments, d'abord on n'a jamais recherché de morceau de l'avion et on a jamais rien trouvé, quand le FBI a commencé a travailler, immédiatement on lui a retiré l'enquête qui a été confiée au département de la défense et classée «secret défense». Ardisson : Évidemment ce que vous dites c'est que si il y a une manipulation au niveau du Pentagone il peut y avoir la même chose au niveau du World Trade Centre. Alors plusieurs questions : Pourquoi les pirates de l'air avaient des armes blanches alors qu'on peut embarquer des pistolets en plastiques indétectables… Meyssan : Oui, il y a des pistolets indétectables.
Ardisson : C'était pour faire croire que c'est des musulmans, c'est ce que vous dites… Meyssan : Oui, parce que c'est le mythe du musulman qui égorge, vous savez, on passe d'un mythe à un autre… Le mythe du communiste, le couteau entre les dents, maintenant on a l'islamiste le couteau à la main. Ardisson : Oui, vous dites aussi que la manœuvre qui consiste à piloter les avions pour venir exactement s'encastrer au bon endroit dans les tours c'est déjà difficile pour des pilotes chevronnés et c'est impossible pour des amateurs s'il n'y a pas des balises dans les tours pour guider l'avion. Meyssan : C'est une manœuvre extrêmement compliquée. Même des pilotes de chasse que nous avons interrogés disent en fait, si on devait faire une opération pareille certainement on enverrait plusieurs avions parce qu'on n'est pas du tout sûr d'y arriver. Alors que si on met une balise et qu'on place l'avion sur pilote automatique, alors il va directement sur sa cible. Et il se trouve qu'on a enregistré l'écho d'une balise, alors il en faut deux pour ce type de choses mais on n'a pas le deuxième écho et le fait d'avoir cet écho suffit pour nous à montrer que le mode opératoire n'est pas celui qu'on nous a raconté. La balise est activée deux heures avant et elle est détectée tout de suite parce qu'elle crée une interférence sur les ondes de télévision qui étaient émises du sommet des tours Ardisson : Puis les télévisions amateurs aussi se sont plaintes de brouillage. Et ensuite vous parlez de l'attentat contre le troisième immeuble, c'est à dire l'immeuble numéro 7 qui s'effondre alors qu'il n'a pas pris d'avion celui là, il était un peu plus petit. Les fondations ont été touchées, ils disent, c'est la chaleur de l'incendie. Et vous, vous dites que ce n'est pas possible qu'un immeuble comme cela s'effondre tout seul uniquement à cause du choc. Vous dites qu'il y a des explosifs, en fait qu'il a été descendu avec des explosifs. Meyssan : Il y a un rapport qui est sorti juste là, jeudi, qui indique qu'il y aurait un feu dû à des réserves de fuel qui servaient au chauffage. Mais ça n'explique pas l'effondrement de l'immeuble. Il se trouve que les pompiers de New York témoignent qu'ils ont vu des explosions à la base de ces immeubles. Les pompiers de New York contestent la théorie officielle de l'effondrement des deux premières tours par la fragilisation des structures métalliques suite à la combustion des avions . Ils disent que quand on fait les calculs, ça peut se faire mais certainement pas dans ces délais, qu'il y a eu autre chose. Eux, ils ont vu et entendu des explosions à la base des tours. Alors ils ont recherché de manière très technique, ils ont dit voilà il y a peut-être des substances explosives qui étaient là, pour la sécurité des buildings, d'une manière générale, on doit faire la lumière sur ce qui s'est passé. Et depuis qu'ils cherchent ce qui pourrait être la cause de ces explosions, on ne l'a pas trouvé. S'il n'y avait aucune substance explosive contenue dans les tours, d'où proviennent ces explosions? Donc eux ils ont demandé un commission d'enquête indépendante, ils ont signé des pétitions, leurs journaux professionnels sont pleins d'articles là dessus. C'est question nationale, on refuse de les écouter. Les pompiers, c'est des gars qu'on met en photo sur les calendriers, mais surtout qu'ils ne parlent pas. Ardisson : Ce qu'il ne faut pas oublier aussi c'est que cet immeuble numéro 7 c'était une antenne de la CIA. Meyssan : Alors ça c'était un énorme secret, il y avait dans cette tour, d'une manière tout à fait illégale au regard de la loi américaine, la 2ème base de la CIA dans le monde qui était entièrement consacrée à l'espionnage économique. C'était même le 1er centre mondial d'espionnage économique. Alors c'était l'objet d'un conflit extrêmement dur à l'intérieur de l'appareil d'État américain puisque Bill Clinton sous sa 2ème mandature avait transféré l'essentiel des renseignements militaires vers des objectifs de renseignements économiques. Et cela, évidemment, le lobby militaire ne l'admettait pas. Donc cette base était l'objet d'un très lourd contentieux entre eux, elle a été entièrement détruite et cet objectif qui est donc un objectif militaire se trouvait à l'intérieur du World Trade Centre. Si on voulait paraphaser certaines phrases des militaires américains dans d'autre circonstances, on dirait qu'on a utilisé une population comme bouclier humain. Ardisson : Alors il y a une polémique aussi sur le nombre de morts et en fait il y a eu 2843 victimes en comptant les passagers des deux avions, les malheureux, et les pompiers. Meyssan : Quand on fait le calcul du nombre de personnes dans les tours, donc à cette heure là au minimum
entre 30 et 40 000 personnes. Quand on regarde ce que ça donne par étage, quand on pense que le premier avion touche au niveau du 75ème étage, donc on a des étages supérieurs et donc on a une moyenne de personnes qui se trouvent dans les étages supérieurs, et ceux là ne peuvent pas s'enfuir, c'est impossible. Peutêtre vous pouvez évacuer tout le bas de la tour, peut-être vous pouvez évacuer la 2ème tour, mais pas les gens qui sont dans les étages supérieurs de la 1ère. Or le nombre total de victimes est inférieur, mais très nettement inférieur à cette moyenne des gens qui auraient dû se trouver coincés dans le haut du building. Ardisson : Alors il y a un quotidien israélien qui a dit qu'il y a un message d'alerte qui a été envoyé. C'est une information qui avait déjà été par la presse égyptienne et on a pris cela un peu comme de la propagande Meyssan : Mais c'est une information qui a été donnée par Ha'aretz, un grand journal de la gauche israélienne, et qui explique qu'une société israélienne a reçu un message d'alerte, de manière anonyme, non sourcée, disant qu'il y allait avoir deux heures plus tard ces attentats au World Trade Centre. Donc cette société a pris l'initiative d'essayer de prévenir les autorités américaines, manifestement ils ne s'adressaient pas au bon interlocuteur, alors ils ont fait une autre initiative, ils ont essayé de prévenir… C'est une société qui est spécialisée dans les messages électroniques. Donc ils ont envoyé un message à tous les pagers qui se trouvaient allumés dans cette zone. Quand vous recevez un message qui vous dit : il va y avoir un attentat à votre bureau, soit vous dites, c'est ridicule et vous restez dans votre bureau, soit vous le prenez au sérieux et vous partez. Ardisson : Donc ça expliquerait pourquoi il y aurait moins de victimes que les gens dans les tours. Meyssan : Absolument. Invité : Mais pourquoi alors on n'aurait pas trouvé quelqu'un qui aurait été averti. Alors ça simplifierait tout si quelqu'un pouvait dire : voilà moi, j'ai été averti sur mon pager. Meyssan : Je vous signale que absolument tous les témoignages sur ce sujet sont aujourd'hui classés «secret défense», que même cette société israélienne, pourtant qui n'est pas soumise à la loi américaine, explique qu'elle ne répond plus à la presse après ses interviews, elle avait donné trois quatre interviews à la suite, elle ne répond plus à la presse, elle réserve ses déclarations uniquement pour le FBI. Donc on n'en saura pas plus pour le moment. Invité : Mais dans les gens qui ont survécu il y en quand même un paquet, on ne peut pas tous les contrôler ces gens là, on ne leur met pas un flic derrière eux, ils peuvent parler. Meyssan : Oui, il y en a qui peuvent parler. On en a trouvé des gens qui le disaient, maintenant faut qu'ils le disent publiquement… […] Meyssan : On va continuer l'analyse et manifestement, ce qui s'est passé le 11 septembre, il y avait un plan qui avait été élaboré et ce plan a plus ou moins foiré, ça s'est pas passé exactement comme on l'avait prévu. Il y a des éléments qui ont échappé à ceux qui avaient instigué tout cela. Ardisson : Alors ce que vous dites, Thierry Meyssan, c'est que le dynamitage, les balises d'alerte etc… C'est pas une opération qui peut être conçue et dirigée depuis une grotte en Afghanistan. Meyssan : Ça pas vraiment. Ardisson : Ça vous semble comme ça a semblé a beaucoup de gens, impossible. Alors vous rappelez que Ben Laden a été soigné dans un hôpital américain à Dubai en juillet 2001, c'est une information qui a été donnée par le journal Le Figaro à l'époque. Qu'il, Ben Laden, n'a jamais revendiqué l'attentat, et que la seule cassette qu'on a vue, une cassette qui est sortie comme d'un chapeau où il se marrait avec un copain, en disant « tu as vu…», enfin c'était du guignol. Ce que dit Thierry Meyssan c'est que chez les fondamentalistes, chez les talibans, l'usage de la photographie comme agrément, pour filmer une soirée comme ça, c'est pas courant, c'est même interdit. Alors que les américains, ils jouent avec leur caméscope toute la journée. C'est la première
chose que vous notez. Et ensuite, Ben Laden qui était toujours prêt à faire des déclarations face caméra avec ses kalachnikovs devant une grotte, là il n'a pas revendiqué. Il en parle avec un copain… Meyssan : Mais ce qui est très curieux c'est que dans cette cassette il dit un certain nombre de choses qui ont toutes pour fonction de valider la théorie officielle, et il va revendiquer dans cette cassette des choses qui n'ont jamais existé. Ardisson : Il s'accuse du crash sur le pentagone alors que c'est une des choses dont on est les plus sûrs aujourd'hui. Il n'y a pas d'avion. Il s'accuse d'un truc qui en fait n'aurait pas existé. Quand Ben Laden s'accuse de tout, il a une espèce de rire un peu sardonique.. Meyssan : Absolument. Il joue vraiment le rôle qu'on attend de lui. Ardisson : Ce qu'on peut dire concernant Ben Laden c'est que dans Match cette semaine, il y a un reporter français qui s'appelle Michel Peyrard, qui a été emprisonné par les Talibans et qui dit qu'il a les preuves que Ben Laden pendant les frappes américaines sur l'Afghanistan était tranquillement installé à Jalalabad au Pakistan et que les américains le savaient Meyssan : Forcément puisqu'il était là bas, c'était sous la protection de l'armée pakistanaise. Mais de la même manière CBS a indiqué que le 10 septembre, la veille des attentats, il était hospitalisé sous dialyse à l'hôpital militaire de Rawalpin di au Pakistan sous la protection de l'armée pakistanaise. Donc qu'on nous raconte pas que c'est l'adversaire des États-Unis. Invité : Est-ce qu'elles commencent à circuler, ces informations dans les médias américains ou est-ce qu'ils deviennent une sorte de pays qui se protège totalement … Meyssan : Non, c'est un pays qui s'est renfermé comme une huître. Mais en plus, le problème de ces informations c'est que tout cela est disponible, tout cela est vérifiable, mais tout cela est disjoint, donc il y a un vrai travail… On dit qu'aujourd'hui l'information est mondialisée, c'est une théorie, c'est pas la vérité. La vérité c'est que chacun a son bout d'information. Ardisson : Alors vous savez que Ben Laden a été désigné tout de suite par le FBI comme le grand responsable et que l'enquête en fait n'a pas vraiment eu lieu. On a dit que c'était lui et on ne l'a plus trouvé et on ne le trouve plus. Meyssan : On nous annoncé 25 fois qu'il y aurait des documents officiels, des preuves etc… On n'en a jamais vu, tout ce qui a été annoncé n'a jamais existé. Ardisson : Alors le FBI dans son enquête a trouvé des traces qui sont un peu pitoyables. Par exemple ils ont trouvé à côté d'un aéroport dans une voiture, un livre : J'apprends à piloter un boeing Meyssan : En plus il l'ont trouvé en arabe, donc ça fait rire tout le monde parce que les manuels de pilotage ne sont jamais traduits en arabe parce qu'en arabe il n'y a pas les mots techniques du pilotage donc on les garde en anglais. Donc moi je ne sais même pas où on peut trouver ce genre de chose et puis le manuel de pilotage d'un 757 c'est pas un petit livret comme cela, un manuel de pilotage, il faut deux armoires pour le ranger, c'est une collection de livres. Ardisson : Le passeport de Mohamed Atta a été retrouvé en très bon état dans les ruines du World Trade Centre. Meyssan : On raconte que deux avions sont entièrement carbonisés, que les tours s'effondrent, que tout le monde est mort que c'est la catastrophe générale et on retrouve intact le passeport de Mohamed Atta. C'est merveilleux. Ardisson : Le FBI a donné des listes des terroristes arabes et en fait on s'est aperçus après qu'il y avait un
certain nombre qui étaient bien vivants. Meyssan : Il y en a six au moins qui sont bien vivants. En plus on produit ces gens, ils sont vivants, ils se montrent et le FBI continue sur son site Internet actuellement à donner la même liste comme si ces témoins ne s'étaient pas présentés. Enfin, c'est totalement absurde. Ardisson : L'histoire, d'après vous, c'est que tout ça c'est fait pour éloigner l'enquête d'une piste intérieure, d'un complot, d'un groupe présent au sein de l'appareil d'État américain, en fait pour dicter sa politique au Président Bush. C'est pour cela qu'on a parlé de menace sur la Maison Blanche. Meyssan : Alors, il y a tout un tas de choses qui ont été oubliées, d'abord, l'annexe de la Maison Blanche a brûlé le 11 septembre, personne n'en a parlé mais pourtant la télévision américaine a montré en direct un incendie dans l'annexe de la Maison Blanche. C'était quand même un truc intéressant. D'après le secrétaire général de la Maison Blanche et d'après le porte parole de la Maison Blanche qui se sont exprimés dans les jours qui ont suivi le 11 septembre et qui se sont rétractés 18 jours plus tard, ils ont expliqué en détail comment aux environs de 10h le service de protection des hautes personnalités, le secret service, avait reçu un appel des assaillants contenant manifestement quelque chose à négocier et qui pour authentifier cet appel avaient donné les codes secrets d'authentification et de transmission de Air Force One, l'avion présidentiel et de la Maison Blanche. Donc d'abord pour disposer de ces codes secrets, il n'y a que quelques personnes qui ont cela. Donc ça ne peut être que des gens au sommet de l'appareil d'État américain qui ont organisé cela. Ensuite quand le Président Bush est informé de cette chose la, il a une réaction immédiate. Il est à ce moment là en route en avion vers Washington. On lui apprend que les codes de transmission et d'authentification ont été volés. Donc ça veut dire que n'importe qui peut usurper sa qualité. N'importe qui peut déclencher le feu nucléaire. Ou peutêtre c'est la 3ème guerre mondiale que lui veut déclencher le feu nucléaire et quelqu'un va lancer un contreordre. Comment peut-on savoir ce qui est vrai, ce qui est faux, les codes ont été volés. Donc il n'a qu'une solution, il se précipite à la base stratégique qui est le centre nerveux de la force de frappe nucléaire américaine et là par sa présence physique il peut authentifier ce qui est vrai et ce qui est faux. Une fois qu'il est dans ce bunker il organise une vidéoconférence avec ses conseillers qui sont à la maison Blanche, Condoleezza Rice, Dick Cheney, etc… et nous ne savons pas du tout ce qui se passe pendant cette vidéoconférence, mais ce qui et clair, c'est qu'on discute du message qui a été téléphoné par les assaillants et qu'à la fin de cette vidéoconférence, il dit qu'il n'y a plus de problèmes. Donc logiquement c'est qu'on a bien négocié quelque chose pendant ce moment là. Ardisson : Ce que vous dites c'est que tout ça a été fait pour obliger le président américain à faire une autre politique donc c'est un coup d'État, en fait. Meyssan : Enfin, un coup de palais. Ardisson : Alors le lobby pétrolier évidemment y trouve son intérêt car il n'y a plus de talibans en Afghanistan, il y a Hamid Karsai qui est un ex-migrant aux USA, c'est un ami de Casey, l'ancien directeur de la CIA, donc ils n'auront pas de mal à faire passer leur pipeline en Afghanistan, Meyssan : Et, l'actuel Premier Ministre Afghan était lui-même, préalablement, l'employé de la firme locale qui a ce projet de pipeline et qui est en train de le réaliser. Donc directement, on met ses employés au pouvoir. Ardisson : Et il y a aussi le lobby militaire qui voit désormais récompenser ses espoirs les plus fous puisqu'ils reprennent la guerre des étoiles. Meyssan : C'est même beaucoup plus que la guerre des étoiles. Déjà du temps de Reagan ça paraissait un jeu de science fiction absolument incroyable. Là, le projet qui est mené c'est que l'armée américaine va se doter d'une 4ème arme. Vous avez l'armée de terre, la marine, l'air force. Il y aura une 4ème arme, l'arme spatiale. Donc là, cette arme spatiale, c'est pas seulement le bouclier anti-missile dont on a parlé c'est réellement un armée spécialisée dans l'espace et à partir de ce moment là la guerre devient tellement asymétrique puisqu'ils seront les seuls à disposer de cette armée que, disent-ils, c'est les généraux américains qui s'expriment comme cela, ils disent que «la domination de l'empire américain sera définitive et totale».
Ardisson : c'est pour cela que maintenant ils parlent de l'Irak, c'est dans la même ligne. Meyssan : Non seulement ça mais Los Angeles Times a révélé la semaine dernière l'existence d'une étude actuelle au Pentagone d'usage de la force nucléaire contre 8 États qui pourraient être rayés de la carte donc Cuba, l'Irak, la Corée du nord, etc… Ardisson : La question qu'on peut se poser sérieusement maintenant c'est qui gouverne en Amérique, parce que si le 11 septembre est une tentative putschiste on peut se demander. D'ailleurs le Washington Post est inquiet parce qu'un cabinet fantôme a été créé aux États-Unis d'une centaine de personnes, extérieur à Washington, et qui est sensé… Meyssan : Ils sont dans un bunker, il y a officiellement un 2ème gouvernement parallèle en arrière du 1er et qui ne peut pas être contrôlé par le congrès des États-Unis. Donc vous appelez cela comme vous voulez mais ça paraît quand même assez loin d'une démocratie. Ardisson : Le pouvoir a changé de main aux États-Unis. Meyssan : Totalement.
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