Sciences Expérimentales Et Technologie CM 2 Integral Guide [PDF]

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Zitiervorschau

Sciences expérimentales et technologie CM2 Guide d’accompagnement Rédaction : Marie-Hélène Chaput Coordination : Daniel Passat Expert : Christian Loarer Ce cours est la propriété du Cned. Les images et textes intégrés à ce cours sont la propriété de leurs auteurs et/ou ayants-droits respectifs. Tous ces éléments font l’objet d’une protection par les dispositions du code français de la propriété intellectuelle ainsi que par les conventions internationales en vigueur. Ces contenus ne peuvent être utilisés qu’à des fins strictement personnelles. Toute reproduction, utilisation collective à quelque titre que ce soit, tout usage commercial, ou toute mise à disposition de tiers d’un cours ou d’une œuvre intégrée à ceux-ci sont strictement interdits. ©Cned-2011

CM2 SCIENCES EXPÉRIMENTALES ET TECHNOLOGIE FICHIER D’ACCOMPAGNEMENT Auteur Marie-Hélène CHAPUT Professeur des écoles, chargée de mission à la Cité de l’Espace Coordonnateur Daniel PASSAT Inspecteur d’académie, inspecteur pédagogique régional établissements et vie scolaire Expert Christian LOARER Inspecteur général de l’Éducation nationale

Ministère de l'Éducation nationale Les cours du Cned sont strictement réservés à l’usage privé de leurs destinataires et ne sont pas destinés à une utilisation collective. Les personnes qui s’en serviraient pour d’autres usages, qui en feraient une reproduction intégrale ou partielle, une traduction sans le consentement du Cned, s’exposeraient à des poursuites judiciaires et aux sanctions pénales prévues par le Code de la propriété intellectuelle. Les reproductions par reprographie de livres et de périodiques protégés contenues dans cet ouvrage sont effectuées par le Cned avec l’autorisation du Centre français d’exploitation du droit de copie (20 rue des Grands Augustins, 75006 Paris).

© Cned Toulouse 5CA05GUPA0111

Fiche méthodologique

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Une année de sciences et technologie en CM2 Au cours des séances de ce manuel, votre enfant va aborder des notions en sciences et en technologie. Ces apprentissages lui permettront d’appréhender le monde dans lequel il vit, de mieux le comprendre et quelquefois de le modifier ou de modifier son comportement. Ainsi, en accédant à une meilleure compréhension du monde qui l’entoure mais aussi de son corps, l’enfant devient acteur de sa santé, il se sent responsable de son environnement et peut s’impliquer en tant qu’écocitoyen. Au cours de cet enseignement, votre enfant va également acquérir des méthodes qui sont propres à l’enseignement scientifique comme la démarche d’investigation. Il apprendra également à représenter ce qu’il voit par des schémas. Pour ce faire, il lui sera demandé de tenir un cahier d’expériences, de sciences, qui lui permettra de suivre sa propre évolution dans l’acquisition de nouvelles connaissances. Nous souhaitons un excellent parcours scientifique à votre enfant, espérant avoir pu susciter chez lui de la curiosité sur les phénomènes physiques et sur le monde qui l’entourent. Il pourra aborder le collège avec, nous l’espérons, des connaissances, des capacités et des attitudes scientifiques développées...

Les auteurs du cycle 3



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Fiche méthodologique

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Des références Les textes officiels, le «  socle commun de connaissances  » listent ces apprentissages en trois domaines : les connaissances, les capacités de l’élève et les attitudes. A. Connaissances

Elles sont déclinées dans les domaines essentiels abordés dans les manuels.



Les grandes lignes sont :



• • • • • • • •

le ciel et la Terre ; la matière (l’eau, l’air...) ; l’énergie (besoins, économies...) ; l’unité et la diversité du vivant ; le fonctionnement du vivant ; le fonctionnement du corps humain et la santé ; les êtres vivants dans leur environnement (adaptation, chaînes alimentaires, évolution...) ; les objets techniques.

B. Capacités

« L’élève est capable de :



• pratiquer une démarche d’investigation: savoir observer, questionner ; • manipuler et expérimenter, formuler une hypothèse et la tester, argumenter ; • mettre à l’essai plusieurs types de solutions, être critique ;

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Fiche méthodologique

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• exprimer et exploiter les résultats d’une mesure ou d’une recherche en utilisant un vocabulaire scientifique à l’écrit et à l’oral ; • maîtriser des connaissances dans divers domaines scientifiques ; • mobiliser ses connaissances dans des contextes scientifiques différents et dans des activités de la vie courante ; • exercer des habiletés manuelles, réaliser certains gestes techniques.

C. Attitudes

• sens de l’observation ; • curiosité pour la découverte des causes des phénomènes naturels, imagination raisonnée, ouverture d’esprit ; • esprit critique... par rapport à des situations diverses ; • intérêt pour les progrès scientifiques et techniques ; • observation des règles élémentaires de sécurité dans l’usage de l’électricité ; • responsabilité face à l’environnement, au monde vivant, à la santé... »



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Fiche méthodologique

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La démarche d’investigation Elle est préconisée dans les programmes 2008 et dans le socle commun de connaissances. À la fin du CM2, l’élève devra «  pratiquer une démarche d’investigation : savoir observer, questionner, manipuler et expérimenter, formuler une hypothèse et la tester, argumenter, mettre à l’essai plusieurs pistes de solutions, exprimer et exploiter les résultats d’une mesure ou d’une recherche en utilisant un vocabulaire scientifique ». Faire des sciences, c’est partir d’une observation du réel ou d’un questionnement apporté à l’enfant. On l’invite à faire le point sur ses représentations initiales (rubrique « Que sais-tu ? »). Au travers d’activités, on lui propose une investigation qui se décline de plusieurs manières différentes en fonction du thème abordé : • l’expérience est chaque fois que possible privilégiée ; • la lecture de documents ; • la manipulation ; • l’enquête, la réponse à un questionnaire qui oriente son observation. L’enfant est guidé dans son apprentissage : il remet en cause ses représentations initiales. La rubrique «  Faisons le point » correspond à la synthèse des notions à retenir. Les exercices d’entraînement permettent de réinvestir les notions nouvellement acquises et de les consolider (rubrique « Entraîne-toi »). Enfin, la rubrique « Pour aller plus loin » propose parfois d’approfondir les notions.



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Fiche méthodologique

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Le dessin d’observation / Le schéma d’expériences Chaque fois que c’est pertinent, on demande à l’enfant de dessiner ce qu’il voit. Un dessin d’observation ou un schéma d’expérience ou de manipulation doit respecter les contraintes suivantes : • un dessin scientifique doit toujours être réalisé au crayon à papier (éviter les crayons de couleur) ; • le dessin doit occuper au moins la moitié de la page ; • il doit être précédé d’un titre ; • les flèches de la légende doivent être tracées à la règle, elles ne doivent pas se croiser ; • l’élève doit écrire lisiblement pour être lu. Il doit également respecter les proportions entre les différentes parties de l’objet ou de l’être vivant représenté.



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Fiche méthodologique 4 Le cahier d’expériences et d’observations : traces écrites et leçons Les travaux de l’enfant font l’objet d’écrits divers consignés dans un cahier d’expériences et d’observations. Il est l’outil essentiel de l’apprentissage des sciences en cycle 3. Il permet à l’élève de faire le point sur ses connaissances, de garder la trace de ses investigations, puis de la leçon qu’il devra retenir. Cet outil devra être organisé : la date du jour y figure ainsi que le titre de la leçon (ou question). Il comprendra également les rubriques « Que sais-tu ? » où l’enfant indique les réponses qu’il pense être justes , « Expérimente »... et « Faisons le point » qui est la leçon à retenir. La leçon est un texte à trous à compléter et à recopier. Il est important que cela reste le cahier de l’élève. Il pourra donc le compléter à son gré par des remarques, des images, des dessins... si possible légendés et datés. Lecture d’un texte, d’une image En sciences, de nombreux textes sont associés à des photographies, des illustrations, des schémas... Ces derniers jouent un rôle important. Ils aident à mieux comprendre le texte qui l’accompagne. Cependant, la lecture des textes/images est un apprentissage. Il faut aider l’élève à acquérir une méthode de lecture de ces documents. Ils peuvent lire par exemple une première fois le texte et les illustrations, puis lire les paragraphes en lien avec chaque illustration de façon à mieux comprendre l’information explicitée dans le schéma correspondant.



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Fiche méthodologique

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Lecture d’un texte, d’une image En sciences, de nombreux textes sont associés à des photographies, des illustrations, des schémas... Ces derniers jouent un rôle important. Ils aident à mieux comprendre le texte qui l’accompagne. Cependant, la lecture des textes/images est un apprentissage. Il faut aider l’élève à acquérir une méthode de lecture de ces documents. Ils peuvent lire par exemple une première fois le texte et les illustrations, puis lire les paragraphes en lien avec chaque illustration de façon à mieux comprendre l’information explicitée dans le schéma correspondant.



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Fiche méthodologique

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Les outils Pour l’aider dans son apprentissage, l’élève doit disposer d’un certain nombre d’outils : • un dictionnaire (électronique ou papier) pour rechercher la définition des mots nouveaux, pour répondre à des questions ; • un atlas si possible, il est parfois demandé de localiser telle ou telle région ; • facultatif : des livres documentaires ; • un ordinateur connecté à Internet*. Il s’entrainera à dessiner, à observer puis à faire des croquis qu’il mettra dans son cahier de sciences. Les recherches par ordinateur vont lui permettre de répondre à des questions (enquêtes) et d’acquérir de l’autonomie dans ses démarches d’investigation. Les fichiers créés seront rangés dans des dossiers bien repérés. *en continu ou occasionnellement : les réponses ou enquêtes peuvent être reportées...

Les instruments de mesure : généralement, ce sont des instruments qui doivent faire partie de l’environnement de l’élève :

• un outil de mesure de masses (type balance ménagère) ; • des outils de mesure de longueurs (centimètre de couturière, mètre de maçons...), de capacité (verre doseur de cuisine), de température (thermomètres), de mesure du temps (montre avec trotteuse ou chronomètre). Attention : avant d’utiliser un thermomètre, vérifier le maximum et le minimum admissibles par l’appareil afin d’éviter de l’endommager. Les élèves devront également savoir s’en servir (cf. méthode ci-dessous). Comment utiliser un thermomètre pour mesurer la température de l’eau contenue dans un verre ? Placer le réservoir du thermomètre dans le récipient. 1. Attendre que le liquide coloré s’arrête de monter ou de descendre dans le tube. 2. Placer ses yeux face à la limite du liquide coloré. 3. Lire le nombre indiqué par la graduation. Écrire ce nombre en degrés (°C).



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Fiche méthodologique

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La sécurité Il est souvent demandé à l’élève de manipuler. L’utilisation d’un cutter ne se fera que par l’adulte accompagnateur. Pour le reste, les manipulations proposées sont sans danger. De la même façon, toutes les manipulations avec l’électricité ne seront faites qu’avec des piles. Seules des observations pourront être prévues à propos d’appareils branchés sur le secteur. Pour les appareils producteurs de chaleur, l’accompagnateur surveillera le déroulement de l’expérience proposée et empêchera toute brûlure. Les expériences citées utilisent du matériel de cuisine assez classique (réchaud, casserole, verres….).



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Fiche méthodologique

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Pour aider l’enfant à utiliser son manuel* Questions sur ce que tu sais ou crois savoir.

Documents à observer et comprendre

Expériences à réaliser avec l’aide de l’adulte.

Résumé à compléter et à conserver dans ton cahier de sciences

* Exemple du manuel de CE1

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Fiche méthodologique

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La place des exercices Toutes les séances de travail se terminent par un ou plusieurs exercices. Ils permettent à l’élève de réinvestir les notions acquises au cours de la leçon. C’est pourquoi il est important que l’élève s’entraîne au fur et mesure de ses apprentissages. Au cours de ces exercices, il convient d’encourager l’élève à reprendre la leçon afin de rechercher les informations qu’il a oubliées ou les notions non complètement acquises. Chaque séance est également accompagnée d’un exercice interactif, à réaliser en fin de séance. Ils sont repérés sur le manuel par le logo Ces exercices reprennent les points essentiels de la leçon mais certains invitent l’enfant à aller plus loin. Là encore, l’élève peut s’aider du fichier en cas de doute. Une touche permet également de visualiser la correction. Elle n’est à utiliser que pour vérifier les réponses. En cas d’erreur, l’élève doit chercher à comprendre les bonnes réponses puis il est souhaitable qu’il recommence l’exercice autant de fois que nécessaire.



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Fiche méthodologique

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La place de l’évaluation Évaluation formative : évaluer pendant l’apprentissage Pendant les situations d’apprentissage, l’accompagnateur aura à valider les réponses de l’élève. Il peut expliciter les consignes mais il devra inciter l’élève à répondre seul aux exercices proposés. Au-delà des connaissances scientifiques, on va vérifier que l’élève acquière de l’autonomie dans ses raisonnements, qu’il développe de la curiosité, qu’il apprenne à observer scientifiquement, c’est-à-dire en essayant d’expliquer les phénomènes qui l’entourent, à argumenter, à schématiser, à modéliser. La démarche d’investigation proposée doit développer « la créativité, l’esprit critique et l’intérêt pour le progrès scientifique et technique ». On peut fréquemment l’interroger sur ce qu’il sait, sur ce qui a déjà été abordé lorsqu’il travaille dans une séquence. Les rubriques « Faisons le point » rappellent l’essentiel de ce qui doit être retenu. Les exercices en ligne sont autocorrectifs et permettent à l’élève de s’entraîner et de vérifier ses connaissances. Évaluation sommative : évaluer après l’apprentissage Durant l’année il est proposé quatre évaluations de bilan reprenant l’essentiel des notions à acquérir. Ces évaluations seront envoyées régulièrement à l’enseignant correcteur (calendrier fixé) qui les retournera avec ses commentaires et ses recommandations.



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Fiche méthodologique 8

Annexe - L’organisation des activités sur l’année

L’air, l’atmosphère, la pollution

Séquence 1

Séance 1 Qu’est-ce que l’atmosphère ? Séance 2 Préserver l’atmosphère Séance 3 Traiter les déchets

Le fonctionnement du vivant

Séquence 2

Séance 1 La reproduction sexuée des êtres vivants Séance 2 Qu’est-ce que la reproduction asexuée ? Séance 3 Différents modes de reproduction asexuée

L’unité et la diversité du vivant

Séquence 3

Séance 1 Critères de différenciation Séance 2 À la recherche de caractères communs Séance 3 Une approche de la classification scientifique

Les êtres vivants dans leur environnement

Séquence 4

Séance 1 Le milieu marin Séance 2 Les rivages menacés ? Séance 3 Comment protéger la mer ?

Le fonctionnement du corps humain et l’éducation à la santé (1) Séance 1 Le sommeil

Séquence 5

Séance 2 Peut-on agir sur sa santé ? Séance 3 Comment se déroule la grossesse ?

Pour aller plus loin : comment se déroule la fécondation chez les humains ?



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Annexe

Fiche méthodologique

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Le fonctionnement du corps humain et l’éducation à la santé (2) Séance 1 Comment l’œuf devient-il un bébé ?

Séquence 6

Séance 2 Comment le fœtus ne nourrit-il ? Séance 3 Comment le bébé naît-il ?

Pour aller plus loin : qu’est-ce que la puberté ?

Le monde construit par l’homme

Séquence 7

Séance 1 Comment fonctionne un moteur électrique ? Séance 2 Comment le moteur peut-il tourner ? Séance 3 Système roue dentée - crémaillère

Volcans et séismes

Séquence 8

Séance 1 Notre terre est-elle vivante ? Séance 2 Pourquoi la Terre tremble-t-elle ?

Le ciel et la Terre, l’aventure spatiale

Séquence 9

Séance 1 Le système solaire Séance 2 Les principales étapes de l’aventure spatiale Séance 3 Que trouve-t-on dans l’univers ?

Les Technologies de l’Informatique et de la Communication (TIC)

Séquence 10

Séance 1 Utiliser la messagerie Séance 2 Ouvrir un blog Séance 3 Faire des recherches sur internet



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séquence

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L’air, l’atmosphère, la pollution Situation 2

Séance 1 Qu’est-ce

que l’atmosphère

Photo de la Terre vue depuis l’espace. L’atmosphère apparaît bleue car les gaz qui la composent diffusent le bleu de la lumière.

?

Activités proposées  : faire constater à l’élève qu’il est entouré d’air et que cet air est en fait composé de plusieurs gaz différents. Puis, lui faire prendre conscience que notre atmosphère ne nous permet pas uniquement de respirer mais qu’elle nous protège de bien des dangers. Commencez par demander à l’élève ce qu’il y a autour de lui en précisant qu’il s’agit de quelque chose que l’on ne voit pas mais qui est indispensable à la vie. Faites-lui faire la première expérience (le verre dans d’eau). Le verre « vide » contenait en fait de l’air mais celui-ci est invisible. Faites lui ensuite observer la photo de la Terre vue depuis l’espace ainsi que le schéma sur la composition de l’atmosphère et répondre aux questions. Lui faire rechercher sur internet ou une encyclopédie ce que sont les rayons ultra-violets et en quoi ils sont dangereux. Il cherchera également les températures à la surface de la Lune (+ 107°C le jour, - 153°C la nuit) afin de découvrir que notre atmosphère permet de réguler la température à la surface de la Terre.

TRACE ÉCRITE Il est important que l’élève rédige sa propre trace écrite. Voici le type de phrases qu’il doit obtenir. Quand on dit qu’un verre est vide, c’est qu’il ne contient ni liquide, ni solide. Mais il contient quand même de l’air. À température ambiante, l’air est un gaz invisible. Il est présent autour de nous dans les espaces qui nous paraissent vides. L’air est un mélange de plusieurs substances dont les deux principaux constituants sont le diazote et le dioxygène. L’élève peut maintenant réaliser les activités interactives de la séance.

Séance 2 Préserver l’atmosphère

Situation 1

Activités proposées : comprendre à l’aide d’une expérience simple, l’effet de serre, son origine naturelle et son accentuation pour l’activité humaine.

En enfonçant le verre dans l’eau, l’élève ressent une résistance. En retournant le verre, des bulles d’air s’échappent vers la surface.

Calculer l’épaisseur de l’atmosphère afin de se rendre compte qu’elle n’est qu’une couche de gaz très fine qui entoure la

Les expériences



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L’air, l’atmosphère, la pollution

séquence

1

chaleur est piégée par les gaz à effet de serre. L’effet de serre est un phénomène naturel qui crée une augmentation de la température. L’activité humaine libère des gaz qui accentuent l’effet de serre. Ils ont pour origines principales les industries, l’élevage intensif, les transports.

Terre. Réaliser une expérience sur l’effet de serre pour en percevoir la conséquence. Comprendre le phénomène à l’aide d’un schéma à reproduire sur le cahier pour une meilleure assimilation. Une explication simple informe sur l’origine naturelle de l’effet de serre, les principaux gaz responsables ainsi que sur les activités humaines responsables de son accentuation.

L’élève peut maintenant réaliser les activités interactives de la séance.

Les expériences Situation 1 Utiliser la proportionnalité pour calculer l’épaisseur que représenterait l’atmosphère sur un globe de 30 cm de diamètre (moins d’un millimètre).

Séance 3

Situation 2

Traiter

Exposer deux boîtes en plastique identiques contenant de la terre sous une lampe. L’une des deux boîtes est fermée par un couvercle. Mesurer toutes les minutes la température dans chacune des boîtes. Dans la boîte fermée, la température monte d’abord moins vite que dans la boîte ouverte, puis rapidement les courbes s’inversent, la chaleur étant piégée par le couvercle, principe de l’effet de serre.

les déchets

Activités proposées : à partir de plaquettes d’informations éditées par une commune, l’élève prend connaissance des déchets ménagers qui peuvent être recyclés. Ce que doit apprendre l’élève : certains déchets ménagers peuvent être recyclés. Cette action protège l’environnement et c’est l’affaire de tous, y compris celle de l’élève.

TRACE ÉCRITE

Lecture de la plaquette d’informations puis réponse aux questions. Les exercices permettent à l’élève de réinvestir les notions qu’il vient de voir mais aussi de découvrir un autre déchet recyclable : la pile usagée.

Il est important que l’élève rédige sa propre trace écrite. Voici le type de phrases qu’il doit obtenir. Sur un globe terrestre de 30 cm de diamètre, l’atmosphère peut être représentée par une épaisseur de 1 mm.

L’observation : laisser l’élève lire la plaquette et essayer de comprendre son utilisation. Faire le point de ce qui peut être recyclé de ce qui ne peut pas l’être au moment de son édition.

Les gaz responsables de l’effet de serre se trouvent entre 0 et 10 km dans l’atmosphère. Les rayons du Soleil chauffent la Terre. Une partie de la



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cycle 3 - niveau 3 – Sciences expérimentales et technologie – fichier d’accompagnement

séquence

1

L’air, l’atmosphère, la pollution

TRACE ÉCRITE Il est important que l’élève rédige sa propre trace écrite. Voici le type de phrases qu’il doit obtenir. Nous n’avons qu’une seule Terre et nous en sommes tous responsables. Pour mieux l’aider, chacun d’entre nous peut commencer par bien gérer son univers immédiat. En triant les déchets ménagers, je permets à ma commune de valoriser les déchets recyclables. Voici quelques déchets ménagers que l’on peut recycler : prospectus, journaux et magazines, aérosols, bidons, barquettes, bouteilles d’eau, de jus de fruit, de soda, de lait, de soupe..., cubitainers, briques alimentaires, boîtes et suremballages en carton, piles usagées. L’élève peut maintenant réaliser les activités interactives de la séance.



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séquence

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Le fonctionnement du vivant, la reproduction asexuée Chez d’autres animaux, la femelle pond des œufs et le petit se développe à l’extérieur du corps de la femelle. Ce sont des ovipares.

Séance 1 La

reproduction sexuée des êtres vivants

Activités proposées  : trois situations permettent de revoir rapidement la reproduction sexuée des êtres vivants telle qu’elle a été vue au CE2 et au CM1. Ce que doit apprendre l’élève : on parle de reproduction sexuée lorsqu’une cellule mâle rencontre une cellule femelle, qu’il y ait accouplement ou non. Cette dénomination est également valable pour les plantes. Aider l’élève à comprendre les trois situations en lui faisant expliquer à chaque fois ce qui se passe et en quoi la situation étudiée diffère des précédentes. TRACE ÉCRITE Il est important que l’élève rédige sa propre trace écrite. Voici le type de phrases qu’il doit obtenir. Pour se reproduire, certains animaux doivent s’accoupler. C’est le cas du cheval, du chien, des oiseaux… Lors de l’accouplement, le mâle dépose des cellules reproductrices mâles (les spermatozoïdes) dans l’appareil génital de la femelle. L’un d’eux entre dans l’ovule de la femelle : c’est la fécondation. On dit que la fécondation est interne.

Mais l’accouplement n’est pas systématique. Pour que la cellule reproductrice mâle rencontre la cellule reproductrice femelle, certains animaux procèdent différemment. Chez la truite, la femelle dépose des ovules dans l’eau et le mâle les arrose avec des spermatozoïdes. La fécondation a alors lieu dans l’eau. On parle alors de fécondation externe. Chez les plantes à fleurs, c’est la fleur qui est l’organe sexuel. Elle produit des grains de pollen au bout de ses étamines, organes mâles. Grâce à un insecte pollinisateur (comme l’abeille) ou à l’aide du vent, les grains de pollen peuvent être transportés sur le pistil - organe femelle - d’une autre fleur  : c’est la fécondation. Ensuite, les pétales de la fleur fanent et tombent : c’est la production d’un fruit dans lequel se développent des graines. Le fruit mûrit lentement et se détache de la plante : les graines contenues à l’intérieur vont être libérées, s’enfoncer dans la terre et donner de nouvelles plantes. Le cycle recommence alors. Dans tous ces cas, pour faire un nouvel être vivant, il y a eu rencontre d’une cellule reproductrice mâle avec une cellule reproductrice femelle et fécondation. On obtient alors un nouvel être vivant différent des deux êtres vivants dont il est issu. On parle alors de reproduction sexuée.

Une fois la femelle fécondée, le petit peut se développer entièrement dans le corps de la femelle et naître vivant. C’est le cas par exemple des mammifères. On dit qu’ils sont vivipares.



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cycle 3 - niveau 3 – Sciences expérimentales et technologie – fichier d’accompagnement

Le fonctionnement du vivant, la reproduction asexuée

Exercices

séquence

2

L’idéal est de se procurer les différents végétaux cités dans la leçon ou bien des végétaux se reproduisant de la même façon. Le temps d’observation étant assez long, il convient de commencer plusieurs semaines avant le début de la leçon.

Un exercice de relation par flèches permettent à l’élève de refaire le point sur les connaissances revues au cours de la séance.

Situation 1 Le pied de fraisier. Il s’agit d’un cas de multiplication végétative, à partir d’un seul pied. Pourtant, le pied de fraisier comprend des fleurs. Il faut donc faire comprendre que le pied de fraisier a deux façons de se reproduire : la reproduction sexuée et la reproduction asexuée.

L’élève peut maintenant réaliser les activités interactives de la séance.

Séance 2 Qu’est-ce

que la reproduction asexuée

Situation 2 Il s’agit de planter des bulbes et de suivre l’évolution des plants. Constater la reproduction sexuée (les fleurs et les graines) et la reproduction asexuée (la multiplication du bulbe).

?

Activités proposées  : les deux situations proposées sont deux exemples de multiplication végétative. Les parties mâles et femelles des plantes n’interviennent pas dans la reproduction asexuée. Il convient d’adapter le choix des plantes à l’environnement dans lequel l’élève vit.

TRACE ÉCRITE Il est important que l’élève rédige sa propre trace écrite. Voici le type de phrases qu’il doit obtenir. Pour se reproduire, le pied de fraisier utilise des tiges rampantes appelées stolons. Le ou les nouveaux plants restent reliés à la plante mère jusqu’à ce qu’ils soient capables de subvenir eux-mêmes à leurs besoins. Le bulbe de jonquille (ou de tulipes, de jacinthe…) se multiplie dans la terre après la floraison, donnant ainsi naissance à d’autres bulbes. C’est en fait un organe complexe comprenant une tige très courte et aplatie, des racines, un bourgeon et des ébauches de feuilles gorgées de réserves.

Ce que doit apprendre l’élève : on parle de reproduction asexuée ; c’est un processus par lequel un individu donne naissance à deux ou plusieurs individus de même sexe sans intervention de phénomènes sexuels, c’est-à-dire sans fécondation. La reproduction sexuée et asexuée sont deux processus indépendants qui ne s’excluent pas et peuvent se produire chez les mêmes individus.



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cycle 3 - niveau 3 – Sciences expérimentales et technologie – fichier d’accompagnement

séquence

2

Le fonctionnement du vivant, la reproduction asexuée

Dans ces deux cas, les nouvelles plantes sont nées sans qu’il y ait intervention des éléments reproducteurs mâles et femelles contenus dans la fleur. Il s’agit d’un mode de reproduction asexué. Cependant, tous les végétaux cités produisent des graines. Le mode de reproduction asexué s’ajoute donc à la reproduction sexuée que nous avons vue précédemment.

Situation 1

Exercices

Situation 2

 L’élève peut maintenant réaliser les activités interactives de la séance.

Placer un rameau de misère dans un bocal ou dans une bouteille transparente. On observe rapidement la formation de racines. Encourager l’élève à réaliser des schémas au fur et à mesure de l’évolution. Situation 3

Séance 3 Différents

La pomme de terre. Il est préférable de se procurer des pommes de terre vendues en jardinerie, celles du commerce étant souvent traitées pour ne pas germer. Après l’avoir dessinée, la placer dans une caissette en bois ou en polystyrène. Il faut attendre trois mois environ pour obtenir un développement complet du plant.

Ce petit texte cite des cas de reproduction asexuée chez les animaux. Faire dire à l’élève que cela n’existe pas chez les mammifères par exemple.

modes de reproduction asexuée

Activités proposées  : cette séance permet à l’élève de découvrir deux modes de reproduction asexuée très faciles à observer : la pomme de terre et le bouturage d’une plante que l’on trouve souvent dans les maisons (misère, balsamine…). Enfin, la situation 3 lui présente deux cas de reproduction asexuée chez les animaux. Ce que doit apprendre l’élève : il existe plusieurs situations de reproduction asexuée chez les plantes. La reproduction asexuée existe également chez quelques animaux d’organisation très simple.



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TRACE ÉCRITE Il est important que l’élève rédige sa propre trace écrite. Voici le type de phrases qu’il doit obtenir. Un tubercule de pomme de terre n’est pas une racine, mais un morceau de tige gorgé de réserves. Les yeux correspondent aux bourgeons. Le bouturage est un procédé qui consiste à prendre une partie d’un végétal (en général un morceau de tige, déjà pourvu de bourgeons et souvent de feuilles) et à le planter en terre. Il fera ensuite des racines.

cycle 3 - niveau 3 – Sciences expérimentales et technologie – fichier d’accompagnement

Le fonctionnement du vivant, la reproduction asexuée

séquence

2

La reproduction asexuée existe aussi chez quelques animaux dont l’organisation est très simple.

 L’élève peut maintenant réaliser les activités interactives de la séance.



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séquence

3

L’unité et la diversité du vivant fentes branchiales (5 chez la roussette). La petite nageoire molle sur le dos chez la truite et le saumon est également appelée nageoire adipeuse.

Séance 1 Critères

de différenciation

Situation 2

Activités proposées : la première situation permet à l’élève de découvrir quelques critères morphologiques pertinents pour différencier différents animaux de poissonnerie. La deuxième situation lui demande d’observer attentivement ces critères sur de véritables poissons et de remplir un tableau des critères. Ce que doit apprendre l’élève  : cette séance permet à l’élève de se réapproprier les notions vues au CE2 et au CM1  : critères morphologiques, espèces, unité et diversité du vivant. Situation 1 L’idéal serait de mener cette séance avec des animaux frais, non vidés, non écaillés et aux nageoires non coupées, venant d’une poissonnerie et manipulés par l’élève. Si c’est impossible, travailler sur la planche en annexe. Remarques anatomiques : les nageoires d’une roussette et d’une truite, par exemple, ne sont pas construites de la même façon. Chez la roussette, ce sont des ailerons, avec de la peau recouvrant une structure en partie musculeuse. Chez la truite, il y a des rayons reliés entre eux par de la peau. Les branchies, organes de la respiration chez ces animaux, peuvent être facilement vues sur une truite par simple soulèvement de l’opercule. Cette dernière structure est absente chez la roussette, où les branchies sont directement en contact avec l’eau via des



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Les critères 1 « nageoires avec des rayons  », 2 « branchies recouvertes par un opercule» et 3 « nageoire caudale symétrique » permettent de regrouper truite, saumon, maquereau, sole et carrelet en un même ensemble : le groupe A. Le critère 4 « nageoires dorsale et anale s’étendant sur tout le dos et le ventre  » permet de regrouper sole et carrelet en un même ensemble : le groupe B. Le critère 5 «  petite nageoire molle sur le dos  » permet de regrouper truite et saumon en un même ensemble: le groupe C. TRACE ÉCRITE Il est important que l’élève rédige sa propre trace écrite. Voici le type de phrases qu’il doit obtenir. Les êtres vivants ont des différences morphologiques appelées critères morphologiques. Exemple : la chèvre possède des cornes, le cheval n’en possède pas. En observant ces différences, on peut différencier les animaux mais aussi les regrouper dans des groupes ayant les mêmes critères. Exercice Cet exercice est un peu complexe car il oblige à constituer de nombreux groupes. Il faudra aider l’enfant dans sa démarche de recherche.

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séquence

L’unité et la diversité du vivant

Poisson-chat

Chien

Lapin brun

Sarcelle d’été

Papillon machaon

Criquet commun

Yeux

X

X

X

X

X

X

X

X

Squelette externe

X

X

Antennes

X

X

Ailes

X

X

6 pattes

X

X

Bouche

X

X

X

X

Squelette interne

X

X

X

X

Nageoires à rayons

X

4 membres

X

X

X

Poils

X

X

Mamelles

X

X

3

X

Plumes

Les critères yeux et bouche permettent de regrouper tous les animaux (groupe A). Les critères squelette externe, antennes, ailes et 6 pattes permettent de regrouper le papillon machaon et le criquet commun en un sous-groupe de A (groupe B). Le critère squelette interne permet de regrouper le poisson-chat, le chien, le lapin brun et la sarcelle d’été en un sous-groupe de A (groupe C). Le critère nageoires à rayons permet d’isoler le poisson-chat en un sous-groupe de C (groupe D) tandis que le critère 4 membres permet de regrouper le chien, le lapin brun et la sarcelle d’été en un sous-groupe de C (groupe E). Enfin, on regroupe le chien et le lapin brun dans un sous-groupe de E sur les critères poils et mamelles et la sarcelle d’été forme un autre sous-groupe de E toute seule sur le critère plumes.



L’élève peut maintenant réaliser les activités interactives de la séance.



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cycle 3 - niveau 3 – Sciences expérimentales et technologie – fichier d’accompagnement

séquence

3

L’unité et la diversité du vivant TRACE ÉCRITE

Séance 2 À

Il est important que l’élève rédige sa propre trace écrite. Voici le type de phrases qu’il doit obtenir.

la recherche de caractères communs

Activités proposées  : cette séance continue le travail de la séance précédente. L’élève reprend les animaux de la poissonnerie et regroupe ceux qui ont des caractères en commun pour les représenter sous forme d’emboîtements. Il réinvestit ensuite ce travail avec 6 autres animaux.

Les scientifiques classent les êtres vivants en fonction de ce qu’ils ont. Par exemple, un chat a des oreilles, des poils… Ce sont des critères, caractères ou attributs. Les scientifiques rassemblent les animaux qui se ressemblent. Ils observent les caractères visibles à l’extérieur de l’animal comme les poils ou les plumes mais aussi les caractères à l’intérieur d’eux, comme le squelette.

Ce que doit apprendre l’élève : les scientifiques classent les êtres vivants en fonction des caractères qu’ils ont et non pas en fonction de ceux qu’ils n’ont pas. Un mot de vocabulaire de la vie courante (comme poisson) peut ne revêtir aucune réalité scientifique. Situation 1 Reprendre le travail de la séance précédente sur les animaux de la poissonnerie et permettre une éventuelle correction. Puis aider l’élève à comprendre la représentation par emboîtements. Situation 2 Ici l’élève applique ce qu’il a vu dans la situation 1 aux animaux étudiés à la séance précédente. Le tableau est donné, l’élève en déduit les groupements possibles (ensembles et sous-ensembles) puis il remplit les boîtes qui sont déjà constituées.



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L’élève peut maintenant réaliser les activités interactives de la séance.

cycle 3 - niveau 3 – Sciences expérimentales et technologie – fichier d’accompagnement

L’unité et la diversité du vivant

3

C’est ainsi qu’ils font de la classification.

Séance 3 Une

séquence

Les animaux regroupés dans un même groupe possèdent un ancêtre commun qui possédait les caractéristiques de ce groupe.

approche de la classification scientifique

Les êtres vivants sont donc en évolution.

Activités proposées : cette séance continue le travail des deux séances précédentes. L’élève reprend les emboîtements de la séance précédente et se familiarise avec la représentation sous forme d’arbre. Il réinvestit ensuite ce travail avec six autres animaux. Ce que doit apprendre l’élève : faire de la classification, c’est regrouper les animaux qui ont les mêmes caractéristiques et nommer ces groupes. Tous les animaux d’un même groupe ont un ancêtre commun qui possédait les caractéristiques de groupe et qui n’existe plus et donc les espèces évoluent. Situation 1 On reprend les animaux de la poissonnerie mais présentés cette fois-ci sous forme d’arbre. La notion d’ancêtre commun apparaît alors. Exercice Le même travail est demandé à partir d’animaux de la ferme. TRACE ÉCRITE Il est important que l’élève rédige sa propre trace écrite. Voici le type de phrases qu’il doit obtenir.

L’élève peut maintenant réaliser les activités interactives de la séance.

Les scientifiques regroupent les animaux qui ont les mêmes caractéristiques, puis ils nomment chacun de ces groupes.



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cycle 3 - niveau 3 – Sciences expérimentales et technologie – fichier d’accompagnement

séquence

4

Les êtres vivants dans leur environnement Situation 3

Séance 1 Le

Le texte explique le problème de la surpêche et ses conséquences.

milieu marin

Activités proposées : après une petite enquête personnelle faite par l’élève, on propose deux situations qui permettent à l’élève, à partir de textes, de comprendre ce qu’apporte la mer et les dangers de la surexploitation surtout celle de la pêche. Ce que doit apprendre l’élève  : la mer apporte de nombreuses ressources. Elles ne sont pas pour autant inépuisables. La surexploitation de la pêche a déjà fait des victimes, d’autres espèces sont en danger.

TRACE ÉCRITE Il est important que l’élève rédige sa propre trace écrite. Voici le type de phrases qu’il doit obtenir. La mer offre de multiples ressources à l’homme : nourriture, pétrole, gaz, minéraux… Mais l’explosion démographique a conduit l’homme à surexploiter ces ressources. Aujourd’hui, des espèces maritimes ont disparu, d’autres sont menacées.

Les textes choisis sont un peu difficiles pour des élèves de cet âge. Il convient de les aider à chercher le sens des mots inconnus et à chercher des exemples dans une encyclopédie ou sur internet. Situation 1 Enquête menée par l’élève. Il convient de l’adapter en fonction des conditions de vie de l’élève. Situation 2 Le texte fait le point sur les ressources marines que l’homme exploite.



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L’élève peut maintenant réaliser les activités interactives de la séance.

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Les êtres vivants dans leur environnement

4

Situation 3

Séance 2 Les

séquence

Le texte fait état de deux types de pollution bien différents : la pollution visible (déchets et hydrocarbures) et la pollution invisible. L’eau peut paraître limpide et être très polluée par des produits chimiques qui vont se concentrer au fur et à mesure qu’ils parcourent la chaîne alimentaire.

rivages menacés

Activités proposées : après une petite enquête personnelle faite par l’élève, on propose deux situations, à partir de textes et de schémas, qui permettent à l’élève de comprendre les dangers qui menacent le littoral : la pression démographique et la pollution.

TRACE ÉCRITE Il est important que l’élève rédige sa propre trace écrite. Voici le type de phrases qu’il doit obtenir. L’industrialisation, l’urbanisation massive et le tourisme intensif, mettent en danger la préservation du littoral :

Ce que doit apprendre l’élève  : le littoral est la partie de la mer la plus en danger car l’écosystème y est fragile. On peut distinguer deux types de pollution qui le menacent : la pollution visible (déchets) et la pollution invisible (chimique).

• les mangroves sont surexploitées pour leur bois ; • les récifs coralliens sont fragilisés par le développement touristique ; • les aménagements de certains cours d’eau européens sont parfois un obstacle à la migration de certains poissons.

Les textes choisis sont un peu difficiles pour des élèves de cet âge. Il convient de les aider à chercher le sens des mots inconnus et à chercher des exemples dans une encyclopédie ou sur internet.

La pollution menace également le littoral. Elle peut être visible (déchets, hydrocarbures) ou invisible (chimique).

Situation 1 Enquête menée par l’élève. Il faut l’adapter en fonction des conditions de vie de l’élève. Situation 2 La pression démographique. Aider l’élève à chercher le sens des mots en gras puis à comprendre les effets destructeurs de la surpopulation sur le littoral.

 L’élève peut maintenant réaliser les activités interactives de la séance.



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séquence

4

Les êtres vivants dans leur environnement Situation 4

Séance 3 Comment

progéger la mer

La protection du littoral : quels sont les principes des lois qui protègent le littoral ?

?

TRACE ÉCRITE

Activités proposées  : quatre situations, à partir de textes et de schémas, permettent à l’élève de comprendre les mesures prises pour protéger la mer. Ce que doit apprendre l’élève : il est nécessaire de protéger la mer. Cela nécessite d’évaluer les stocks de poissons, de limiter les prises et de voter des lois de protection du littoral. Aider l’élève à lire les textes et à comprendre les questions. Situation 1 Évaluer et gérer les stocks. Ce texte présente deux méthodes de gestion du stock de poissons : les quotas de pêche et l’aquaculture.

Il est important que l’élève rédige sa propre trace écrite. Voici le type de phrases qu’il doit obtenir. Pour protéger la mer de la surexploitation, il faut d’abord évaluer et gérer les stocks. On peut ensuite mettre au point des méthodes de gestion des animaux marins et faire voter des lois pour protéger le littoral. Exercice L’aquaculture : la maîtrise de la reproduction. Cet exercice permet à l’élève de comprendre les différentes étapes de l’aquaculture de la sélection des géniteurs jusqu’à l’obtention d’adultes de taille propre à la vente.

Situation 2 Évaluation de la toxicité d’un milieu : ce texte présente l’utilisation d’invertébrés pour surveiller la toxicité d’un milieu. Situation 3 Mesures de prévention : ce texte présente les mesures prises au niveau international quant au transport de produits chimiques.



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L’élève peut maintenant réaliser les activités interactives de la séance.

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séquence

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Le fonctionnement du corps humain et l’éducation à la santé (1) gros dormeur ? Quand il a dormi autant qu’il voulait, ne se sent-il pas mieux ?

Séance 1 Le

Situation 2

sommeil

Activités proposées  : dans ces séances, on invite d’abord l’élève à observer ses propres besoins en sommeil. Un enfant de cet âge a besoin de 9 à 10 h de sommeil par nuit. Il doit noter ce qu’il ressent au réveil afin de déterminer le nombre d’heures qui lui sont nécessaires pour être en forme. Ensuite, on lui fait observer un document sur le train du sommeil afin de comprendre la nécessité de consommer les cycles du sommeil entièrement. Informations pour le tuteur : le sommeil est indispensable pour être en forme. Le sommeil permet au corps de se reposer et au cerveau d’enregistrer les informations apprises dans la journée. Les conséquences du manque de sommeil sont l’irritabilité, le manque de concentration, les difficultés à apprendre… Les besoins en sommeil ne sont pas identiques d’un individu à l’autre.

Cet exercice vise à comprendre pourquoi le sommeil est reposant en observant l’activité du corps qui est au repos. Par contre, on peut constater que le cerveau, lui, n’est pas au repos : il rêve même si on ne s’en souvient pas toujours. TRACE ÉCRITE Il est important que l’élève rédige sa propre trace écrite. Voici le type de phrases qu’il doit obtenir. Pendant ton sommeil, tu grandis. Ton cerveau profite de ce moment pour produire l’hormone de croissance qui t’aide à grandir. Pas de bonne mémoire sans sommeil ! Ce que tu as appris pendant la journée est rangé dans ta mémoire pendant ton sommeil. Bien que ton cerveau fonctionne pendant ton sommeil, le reste de ton corps se repose. Pendant ton sommeil, tu ne ressens rien. Mais il est possible que tu rêves. Ces rêves, tu peux parfois les raconter lorsque tu te réveilles.

Les 5 stades du sommeil. Il s’agit de comprendre que le sommeil se déroule par cycles et que pour être réparateur, les cycles du sommeil doivent être complets. L’élève reconnaîtra les deux premiers stades ainsi que le 5e (à cause des rêves), les stades 3 et 4 n’étant pas perçus. Situation 1 Aider l’élève à tenir son tableau de bord du sommeil et surtout à analyser son comportement le lendemain. Est-il un



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L’élève peut maintenant réaliser les activités interactives de la séance.

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Le fonctionnement du corps humain et l’éducation à la santé (1)

agir pour sa santé

5

sur les risques que la prise de ces produits occasionne pour la santé mais aussi en ce qui concernent l’alcool, sur les risques sociaux qui sont immédiats. L’élève trace sur son cahier d’expérience un tableau à deux colonnes pour synthétiser les risques encourus par ces deux produits.

Séance 2 Peut-on

séquence

?

Activités proposées  : dans cette séance, on invite d’abord l’élève à observer son alimentation et à vérifier que les quatre grandes catégories d’aliments sont bien représentées au cours d’une journée. La deuxième partie est consacrée aux risques liés à l’usage de l’alcool et du tabac à l’aide de documents.

TRACE ÉCRITE Il est important que l’élève rédige sa propre trace écrite. Voici le type de phrases qu’il doit obtenir. Pour préserver sa santé, il faut une alimentation équilibrée. Il existe quatre grandes catégories d’aliments qui sont respectivement riches en :

Informations pour le tuteur : les lipides, protides, glucides, sels minéraux, eau et vitamines sont des nutriments nécessaires à l’organisme vivant pour assurer et entretenir la vie. Les nutriments sont des constituants élémentaires contenus dans les aliments.

• protides (les viandes, les poissons, les œufs, les produits laitiers) ; • glucides (les féculents, les sucres et les jus de fruits) ; • lipides (les matières grasses) ; • eau, vitamines et sels minéraux (les fruits et les légumes).

L’élève sera également informé des risques liés à la consommation des produits qu’on appelle les drogues, dont certaines peuvent être légalisées ou non dans certains pays, en fonction de leur législation.

Pour qu’un repas soit équilibré , il faut que les quatre grandes catégories d’aliments soient représentées. L’alcool et le tabac peuvent porter gravement atteinte à la santé à long terme mais les risques liés à l’alcool peuvent être immédiats à cause de la perte de contrôle de soi qu’il occasionne.

Situation 1 Aider l’élève à tenir un tableau dans lequel figurera le contenu de ses repas sur une semaine, et à reconnaître les différentes catégories d’aliments afin de mettre en couleur le tableau ainsi constitué. Faire une analyse avec l’élève. Manque-t-il une famille d’aliments ?

Ces produits ne doivent être consommés en aucun cas pendant l’enfance et la préadolescence.

L’élève peut maintenant réaliser les activités interactives de la séance.

La deuxième partie est basée sur des documents incitant l’enfant à se méfier du tabac et de l’alcool. L’accent est mis



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séquence

5

Le fonctionnement du corps humain et l’éducation à la santé (1) Les expériences

Séance 3 Comment

se déroule la grossesse

Il s’agit de remettre dans l’ordre les différentes étapes de l’évolution de l’embryon. L’élève s’aidera essentiellement de la taille du fœtus qui évolue de mois en mois ainsi que du poids.

?

Activités proposées  : on propose d’abord à l’élève de mener sa propre enquête sur la grossesse de personnes de son entourage. Les réponses peuvent lui être apportées par sa maman. Puis, on demande à l’élève de dessiner le fœtus dans le ventre de sa maman avant de lui montrer des dessins. En comparant les dessins, il doit mettre en évidence ses oublis ou/et ses erreurs. Ce que doit apprendre l’élève  : il faut un homme et une femme pour faire un enfant. Celui-ci se développe dans le corps de la maman pendant 9 mois. Pendant cette période, c’est le cordon ombilical qui lui apporte l’oxygène et les aliments et c’est aussi lui qui permet d’évacuer les déchets.

TRACE ÉCRITE Il est important que l’élève rédige sa propre trace écrite. Voici le type de phrases qu’il doit obtenir. Chez l’être humain, la fécondation donne naissance à un œuf qui se développe pendant environ neuf mois dans l’utérus de la maman. Cet embryon est dans une poche de liquide en communication avec la maman par le cordon ombilical. L’œuf grossit, devient un embryon, puis un fœtus. La naissance a lieu lors de l’accouchement, lorsque le bébé vient au monde.

Situation 1 Faire le point avec l’élève des personnes pouvant répondre à ses questions. Les réponses seront notées dans le cahier d’expérience. Situation 2 Émergence des représentations ; il est intéressant que l’élève dessine lui-même le fœtus dans le ventre de sa maman avant d’observer des dessins. Les différences peuvent porter sur la position du fœtus (lui expliquer que plusieurs sont possibles mais que certaines sont impossibles par exemple, les jambes tendues). Le cordon ombilical sera peut-être oublié.



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L’élève peut maintenant réaliser les activités interactives de la séance.

cycle 3 - niveau 3 – Sciences expérimentales et technologie – fichier d’accompagnement

Le fonctionnement du corps humain et l’éducation à la santé (1)

Pour

séquence

5

aller plus loin

Activités proposées : on demande à l’élève d’observer puis de reproduire (à main levée ou à l’aide d’un papier calque) les organes reproducteurs de l’homme puis de la femme. Puis un texte lui permet de comprendre ce qu’est un rapport sexuel. Certains mots sont à chercher dans le dictionnaire et les définitions sont à recopier sur le cahier d’expériences. Situation 1 Observation des organes reproducteurs de l’homme et de la femme. Il est utile d’observer les différences entre les deux dessins. Le fait de redessiner les deux dessins permet à l’enfant de mémoriser les différentes parties et leurs noms. Situation 2 Un texte permet à l’élève de comprendre ce qui se passe entre deux personnes au cours d’un rapport sexuel. L’élève doit chercher dans le dictionnaire les termes spécifiques afin de se les approprier : sperme, spermatozoïde et ovule. TRACE ÉCRITE Il est important que l’élève rédige sa propre trace écrite. Voici le type de phrases qu’il doit obtenir. Au cours du rapport sexuel, le pénis de l’homme dépose des spermatozoïdes dans le vagin de la femme. Si ces spermatozoïdes rencontrent un ovule produit par la femme, il peut être fécondé. On l’appelle alors un œuf. Cet œuf se fixe dans l’utérus. Il se développe et devient un embryon puis un fœtus. Neuf mois plus tard, un bébé naîtra.



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cycle 3 - niveau 3 – Sciences expérimentales et technologie – fichier d’accompagnement

séquence

6

Le fonctionnement du corps humain et l’éducation à la santé (2) TRACE ÉCRITE

Séance 1 Comment l’œuf

Il est important que l’élève rédige sa propre trace écrite. Voici le type de phrases qu’il doit obtenir. devient-il un bébé

?

Activités proposées : elles se situent dans le prolongement de la séquence précédente. Situation 1 L’élève doit s’appuyer sur des recherches complémentaires pour comparer les trois photos (encyclopédie, dictionnaire, internet…) car l’observation du document proposé reste limitée. Il remplit ensuite le tableau le plus précisément possible.

Dès la fécondation, l’œuf descend dans les trompes jusqu’à l’utérus. Il se fixe sur la paroi utérine et se développe dans une poche remplie de liquide. Les deux premiers mois correspondent à l’apparition des formes et des organes. La période fœtale commence au début du 3e mois et se termine par l’accouchement au bout de 9 mois. Le bébé est alors capable de vivre sans être raccordé à sa mère mais il est fragile. Sa vie dépend des soins qu’on lui donne.

Situation 2 Elle devrait lui permettre de mieux saisir le positionnement du fœtus dans le ventre de sa mère. Il s’agit d’analyser des documents et des informations différents (s’appuyer également sur la séquence 4). Exercice L’élève doit analyser un document comprenant plusieurs représentations  :  dessins, frise et commentaires. Les réponses aux questions se trouvent indifféremment sur l’une ou l’autre des représentations. Il sera sans doute utile d’aider l’enfant à passer de l’une à l’autre. Une échographie placée à côté du document permet à l’enfant de comprendre qu’il ne s’agit pas d’une photographie.



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L’élève peut maintenant réaliser les activités interactives de la séance.

cycle 3 - niveau 3 – Sciences expérimentales et technologie – fichier d’accompagnement

Le fonctionnement du corps humain et l’éducation à la santé (2)

le fœtus se nourrit-il

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qui le protège. Il est rattaché au placenta par le cordon ombilical.

Séance 2 Comment

séquence

Il est alimenté en oxygène et en nutriments par le sang de la mère (en sens inverse sont « évacués » les déchets et le gaz carbonique contenus dans le sang du fœtus). Le sang de la maman et celui du fœtus ne se mélangent pas

?

Activités proposées Situation 1 Laisser l’élève observer le schéma puis le commenter avec lui. Réexpliquer si besoin les termes dioxygène (ou oxygène), dioxyde de carbone (ou gaz carbonique) et nutriments (reprendre les séquences 4 et 5 du cours de CM1). Situation 2 L’élève doit trouver la bonne réponse aux questions posées. Les réponses sont à trouver à partir du schéma. Bonnes réponses : le placenta sert à nourrir le fœtus, c’est au niveau du placenta que les échanges se font (…), les déchets passent dans le sang de la mère. Exercice Prendre le temps de faire découvrir le schéma à l’enfant (reprendre si besoin les séquences 4 et 5 du cours de CM1). En utilisant deux couleurs différentes, l’enfant comprend que le sang de la mère et du fœtus ne se mélangent pas. TRACE ÉCRITE Il est important que l’élève rédige sa propre trace écrite. Voici le type de phrases qu’il doit obtenir.

L’élève peut maintenant réaliser les activités interactives de la séance.

Le fœtus est bien à l’abri dans une poche remplie de liquide



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cycle 3 - niveau 3 – Sciences expérimentales et technologie – fichier d’accompagnement

séquence

6

Le fonctionnement du corps humain et l’éducation à la santé (2) le coupe et une cicatrice se formera : c’est le nombril. Le placenta est expulsé quelques minutes plus tard.

Séance 3 Comment

le bébé naît-il

?

Activités proposées : lecture du texte de Marcel Pagnol. Faire mettre en évidence les arguments pour la naissance par le nombril puis ceux qui s’y opposent. Faire observer ensuite le schéma de la situation 2. Reprendre les arguments et faire le point. Introduire le terme de vagin inconnu jusqu’à présent. Exercice L’observation des deux schémas permet à l’enfant de voir que le bébé sort (normalement) la tête en premier et que le bébé qui naît est constitué comme un enfant (tête, jambes, mains, oreilles… et même cheveux). TRACE ÉCRITE Il est important que l’élève rédige sa propre trace écrite. Voici le type de phrases qu’il doit obtenir. Après neuf mois de grossesse, le fœtus est prêt à naître. Il sort du ventre de la maman au cours de l’accouchement. Les parois de l’utérus se contractent ce qui crève la poche des eaux, et pousse le bébé vers l’extérieur. L’orifice de l’utérus s’ouvre pour permettre le passage du bébé qui sort par le vagin. L’accouchement dure généralement quelques heures. Dès que le bébé est sorti, il pousse des cris qui permettent à l’air de rentrer pour la première fois dans ses poumons. Il est encore relié au placenta par le cordon ombilical. Le médecin



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L’élève peut maintenant réaliser les activités interactives de la séance.

cycle 3 - niveau 3 – Sciences expérimentales et technologie – fichier d’accompagnement

Le fonctionnement du corps humain et l’éducation à la santé (2)

Pour

séquence

6

TRACE ÉCRITE

aller plus loin

Il est important que l’élève rédige sa propre trace écrite. Voici le type de phrases qu’il doit obtenir.

Activités proposées  : chaque texte est accompagné de questions qui doivent servir de support à la discussion avec l’enfant.

Pour devenir une femme (ou un homme), la petite fille (ou le petit garçon) va devoir subir plusieurs transformations : c’est la puberté qui dure quatre années environ. La silhouette de la fille et celle du garçon se modifient, leurs goûts et leurs caractères changent. La fille et le garçon deviennent des adolescents puis des adultes : la femme et l’homme.

Situation 1 Demander à l’enfant s’il sait en quoi consiste la puberté et faire la part de ce qui est vrai à l’aide du texte. Prendre le temps de bien expliquer en quoi consiste les règles surtout s’il s’agit d’une fille.

En passant cette étape, l’adolescent peut se trouver confronté à de nouveaux problèmes : grossesse précoce, IST… qu’il faut connaître pour pouvoir les éviter.

Situations 2 et 3 Les deux situations suivantes ont pour but de sensibiliser l’enfant aux risques d’une sexualité précoce : grossesse précoce et IST. Il est aussi l’occasion pour l’adulte d’expliquer à l’enfant que puberté ne signifie pas relations sexuelles. Exercice Il permet à l’enfant de faire le point, sous la forme d’un tableau, des différents changements liés à la puberté. Les informations concernant la puberté présentées dans la situation 1 sont reprises sous forme d’un graphique. Aider l’enfant à en comprendre le sens et lui faire reprendre les informations pour compléter le tableau à deux colonnes (fille et garçon).



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séquence

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Le monde construit par l’homme TRACE ÉCRITE

Séance 1 Comment

fonctionne un moteur électrique

Il est important que l’élève rédige sa propre trace écrite. Voici le type de phrases qu’il doit obtenir.

?

Activité proposée : on propose à l’enfant de fabriquer un petit moteur électrique.

Un moteur a besoin d’énergie pour fonctionner. À partir de l’énergie qu’il reçoit, il produit une énergie mécanique qui permet à une voiture d’avancer, à une grue de soulever des charges, à une pompe d’aspirer l’eau…

Ce que doit apprendre l’élève : tout moteur a besoin d’énergie pour fonctionner. Le moteur permet de transformer l’énergie qu’il reçoit en mouvement. On peut faire varier le sens de rotation d’un moteur. Situation 1 Il s’agit de fabriquer un petit moteur électrique. Le montage est facile mais l’ensemble ne fonctionne pas souvent du premier coup et de petits réglages sont souvent nécessaires. Les conseils donnés permettent à l’enfant d’effectuer ces réglages afin de faire fonctionner le moteur. Enfin quelques consignes l’aident à tester le dispositif. Si vous n’avez pas la possibilité de construire un moteur électrique, contentez-vous de l’observation, par exemple, d’un moteur de jouet électrique que vous ferez fonctionner avec une pile. On pourra alors repérer son sens de rotation et s’interroger sur la manière de le faire tourner en sens inverse (en modifiant le sens de branchement sur la pile). L’élève peut maintenant réaliser les activités interactives de la séance.



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Le monde construit par l’homme

le moteur peut-il tourner

7

comprendre les instructions et à observer le schéma de la maquette terminée.

Séance 2 Comment

séquence

Exercice

?

Dans le cas de la meule à aiguiser, le mouvement du pied est un mouvement vertical transformé en mouvement circulaire (la meule tourne autour d’un axe).

Activités proposées : l’élève fabrique d’abord un système rudimentaire de transformation du mouvement avec de petits objets usuels. Il observe ensuite un système biellemanivelle puis en fabrique une maquette. Il s’interroge enfin pour trouver quelques systèmes utilisant ce mécanisme.

Dans l’exemple du puits de pétrole, le mouvement circulaire donné par le moteur est transformé en mouvement linéaire comme l’indiquent les flèches de la représentation. TRACE ÉCRITE

Ce que doit apprendre l’élève : le système bielle-manivelle permet de transformer un mouvement de rotation en un mouvement linéaire ou l’inverse. C’est le système qui fait tourner les roues d’une voiture dans un sens ou dans l’autre mais bien d’autres objets l’utilisent.

Il est important que l’élève rédige sa propre trace écrite. Voici le type de phrases qu’il doit obtenir. Le système bielle-manivelle est un système de transformation du mouvement. Il permet de transformer un mouvement circulaire en mouvement linéaire ou l’inverse. C‘est le système de fonctionnement des moteurs à explosion des automobiles.

Situation 1 Fabrication d’un treuil à l’aide d’un crayon et d’une ficelle. Il s’agit de sensibiliser l’élève à la notion de transformation de mouvement. Situation 2 Observation du schéma d’un système bielle-manivelle. Repérer avec l’élève le sens de fonctionnement du mouvement en suivant les flèches. Interroger l’élève : qu’estce qui fait remonter le piston ? Situation 3

L’élève peut maintenant réaliser les activités interactives de la séance.

Fabrication d’une maquette d’un système bielle-manivelle. Aidez l’élève à rassembler le matériel nécessaire, à



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cycle 3 - niveau 3 – Sciences expérimentales et technologie – fichier d’accompagnement

séquence

7

Le monde construit par l’homme

Séance 3 Système

roue dentée-crémaillère

Activités proposées : l’élève observe d’abord une clepsydre, horloge à eau égyptienne, qui utilise un système de roue dentée/crémaillère. Puis il monte un petit système de roue dentée/crémaillère qu’il fait fonctionner. Ce que doit apprendre l’élève : le système roue dentée/ crémaillère permet de transformer un mouvement circulaire en un mouvement linéaire ou l’inverse. C’est le système qui fait tourner les roues d’une voiture mais bien d’autres objets l’utilisent. Situation 1

Laissez l’élève observer le dessin puis demandez-lui de le reproduire sur son cahier d’expériences mais avec les roues tournées vers la droite. Observer l’emplacement de la crémaillère par rapport à la roue dentée. Elle doit être décalée vers la gauche. Si ce n’est pas le cas, demander à l’élève de reprendre la maquette montée précédemment et d’observer ce décalage. TRACE ÉCRITE Il est important que l’élève rédige sa propre trace écrite. Voici le type de phrases qu’il doit obtenir. La clepsydre est un exemple de mécanisme qui utilise la transmission et la transformation du mouvement pour fonctionner. Dans ce cas, le mouvement vertical de la crémaillère est transmis à la roue dentée pour donner un mouvement circulaire (rotation) à la roue dentée.

Observation de la clepsydre. En lisant le petit texte, l’élève doit essayer de comprendre le mécanisme puis l’expliquer à l’adulte. Il répond alors aux questions posées sur son cahier d’expériences. Situation 2 Il s’agit de fabriquer une maquette du système roue dentée/ crémaillère. Le montage est simple ; laisser l’élève manipuler afin qu’il comprenne bien le mécanisme. Corriger les réponses aux questions. Exercice C’est une application du système roue dentée/crémaillère.



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L’élève peut maintenant réaliser les activités interactives de la séance.

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séquence

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Volcans et séismes TRACE ÉCRITE

Séance 1 Notre

terre est-elle vivante

Il est important que l’enfant rédige sa propre trace écrite. Voici les phrases qu’il doit obtenir.

?

Activités proposées : l’élève doit d’abord bien connaître les diverses couches du globe. Ensuite, l’expérience lui montrant les mouvements de convection, doit l’aider dans l’explication des mouvements des diverses plaques de la croûte terrestre. En fin de séance, l’enfant doit se rendre compte que la rencontre de deux plaques qui s’affrontent est parfois à la base de la formation des chaînes de montagnes. Ce que doit apprendre l’élève : la croûte terrestre est en perpétuel mouvement à cause des mouvements de convection dus à la chaleur de l’intérieur de la Terre. Les continents actuels sont le résultat de ces mouvements et continuent à évoluer. L’élève lit les différentes définitions des couches terrestres et cherche à les identifier sur la coupe. À l’aide de l’adulte, l’élève observe les mouvements de convection de l’eau dans une casserole posée sur le feu afin de comprendre ceux du manteau terrestre. L’idéal est de disposer d’une casserole transparente pour mieux visualiser ces mouvements. Ensuite, l’élève observe les mouvements des plaques terrestres à la surface de la croûte afin de comprendre comment les continents actuels se sont formés et que ces plaques sont toujours en mouvement. L’activité 4 se focalise sur l’Inde qui, en glissant sous l’Asie du sud contribue à l’élévation de la chaîne himalayenne.



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Notre Terre a une histoire. Il y a des millions d’années, la croûte terrestre ne présentait pas le même visage. Les déplacements des plaques formant cette croûte ont permis à la Terre de présenter les continents actuels. C’est grâce aux forces de convection engendrées par la chaleur du manteau que ces mouvements de plaques sont possibles. Ces mouvements ont une force suffisante pour entraîner la constitution de chaînes montagneuses. Exercice L’élève recherche dans une encyclopédie le nom de la chaîne montagneuse qui s’est créée suite à la poussée de l’Inde sous le continent asiatique. Puis il remplit les différentes étiquettes.

L’élève peut maintenant réaliser les activités interactives de la séance.

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Volcans et séismes

la

Terre

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lave. Le schéma suivant (Situation 3) lui donne les explications dont il a besoin pour comprendre les photos.

Séance 2 Pourquoi

séquence

tremble-t-elle

La situation 4 peut se réaliser oralement. Vous devez alors être l’interlocuteur de l’enfant et l’aider dans ses recherches, éventuellement dans un atlas.

?

Activités proposées : l’élève est amené à anticiper sur les explications des phénomènes sismiques. La notion étudiée dans la séance précédente (le mouvement des plaques) est reprise et complétée. Les divers schémas s’appuient sur la même légende.

TRACE ÉCRITE Il est important que l’enfant rédige sa propre trace écrite. Voici les phrases qu’il doit obtenir. Nous savons que c’est grâce aux forces de convection engendrées par la chaleur du manteau que les mouvements des plaques sont possibles. Ces mouvements continuent aujourd’hui. Là où les plaques s’affrontent ou se séparent, des séismes et des éruptions volcaniques ont souvent lieu.

Ces explications vérifiées, l’élève doit se familiariser avec la localisation sur le planisphère des principaux volcans actifs actuellement. Ce que doit apprendre l’élève : une éruption volcanique est l’arrivée brutale en surface de matériaux chauds issus des profondeurs. Les éruptions sont diverses, plus ou moins explosives ; elles rejettent des gaz, des laves fluides, des blocs et des cendres. Les laves et les cendres sont riches en minéraux qui donnent des sols fertiles.

Ces phénomènes ont fait de nombreuses victimes et en feront encore.

Invitez l’élève à retrouver les divers éléments du dernier schéma de la séance précédente sur le schéma n° 1 de celleci. Puis faites-lui observer les scènes encadrées et demandezlui des explications sur les deux phénomènes représentés. Puis l’élève lit seul les explications et les confrontent aux siennes. Aidez-le dans cette confrontation et encouragez-le à réécrire ses formulations si nécessaire. Ensuite l’élève observe les photos d’éruptions volcaniques afin qu’il comprenne qu’un volcan ne rejette pas que de la

L’élève peut maintenant réaliser les activités interactives de la séance.



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séquence

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Le ciel et la Terre, l’aventure spatiale Les quatre premières planètes du Système Solaire sont petites et rocheuses. Les quatre suivantes sont géantes, gazeuses et possèdent des anneaux mais les plus connus sont ceux de Saturne.

Séance 1 Le Système Solaire Activités proposées : les deux premières activités permettent à l’élève de percevoir la réalité du Système Solaire (taille des planètes et distances). Les deux autres situations demandent à l’élève de faire des recherches sur les planètes du Système Solaire et sur les autres objets célestes : astéroïdes et comètes. Ce que doit apprendre l’élève : le Système Solaire est composé d’une étoile, de huit planètes, de satellites mais aussi de comètes et d’astéroïdes. Situations 1 et 2 Aider l’élève à faire les calculs nécessaires pour remplir les tableaux de proportionnalité. Lui faire remarquer que les planètes sont très petites par rapport au Soleil et qu’il y a beaucoup de vide entre les planètes. Situations 3 et 4 Aider l’élève dans ses recherches sur les planètes et les objets célestes qui existent dans le système solaire. TRACE ÉCRITE Il est important que l’élève rédige sa propre trace écrite. Voici les phrases qu’il doit obtenir. Le Système Solaire est composé d’une étoile (le Soleil), de huit planètes : Mercure, Vénus, Terre, Mars, Jupiter, Saturne, Uranus, Neptune, de leurs satellites et de nombreux autres corps célestes : astéroïdes, comètes, météorites.



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Entre Mars et Jupiter se trouve la ceinture d’astéroïdes qui correspond à une planète qui ne s’est jamais formée. Audelà de Neptune, se trouve un gigantesque nuage (le nuage d’Oort), véritable réservoir de comètes. Elles le quittent de temps en temps et s’approchent du Soleil. On peut quelquefois les voir dans le ciel à l’œil nu entourées d’un nuage brumeux (la chevelure) et d’une queue spectaculaire. Exercice 1 L’élève doit inventer une phrase mnémotechnique pour retenir l’ordre des planètes dans le Système Solaire. Exercice 2 Les noms des cinq premières planètes ont été choisis au temps des grecs suite à des observations à l’œil nu. Mercure est la planète la plus rapide (dieu du commerce, messager) ; Vénus est la planète la plus brillante dans le ciel (déesse de la beauté) ; Mars est la planète rouge : couleur du sang et du feu (Dieu de la guerre) ; Jupiter est la deuxième plus brillante après Vénus (Dieu des dieux) ; Saturne se situe au-delà de Jupiter, c’est le père de Jupiter. Les deux dernières planètes ont été découvertes à partir du XVIIIe siècle. Uranus est au-delà de Saturne, c’est le père de Saturne ; Neptune est au-delà d’Uranus. Comme la généalogie des dieux s’arrête là, on a choisi Neptune, le frère de Jupiter.

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Le ciel et la Terre, l’aventure spatiale

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l’envoi du premier satellite : Spoutnik, un satellite soviétique. Le premier homme à aller dans l’espace était soviétique lui aussi. Il s’appelait Youri Gagarine. Mais, à ce jour, seuls les américains ont marché sur la Lune. Le premier d’entre eux fut Neil Armstrong en juillet 1969.

L’élève peut maintenant réaliser les activités interactives de la séance.

Séance 2 Les

séquence

L’Europe a aussi sa place dans la conquête spatiale avec les lanceurs de la famille Ariane qui place l’Europe au premier rang des lancements de satellites commerciaux.

principales étapes de l’aventure spatiale

Actuellement, deux robots américains roulent sur Mars, Spirit et Opportunity, et nous envoient régulièrement des informations sur cette planète.

Activités proposées : l’élève doit reconstituer une frise historique comprenant les principaux événements de l’aventure spatiale puis répondre aux questions.

Exercice Il faut calculer le temps de voyage nécessaire pour aller de la Terre à la Lune en employant différents moyens de locomotion : à pied, en voiture, en avion et en fusée. On donne les vitesses moyennes de déplacement pour les trois premiers moyens de locomotion mais pour le dernier, la fusée, l’élève doit en calculer la vitesse moyenne en sachant qu’il faut 3 jours à la fusée pour parcourir 384 000 km.

Ce que doit apprendre l’élève : l’aventure spatiale a démarré avec Spoutnik. L’événement le plus fort est le premier pas sur la Lune en 1969. Aujourd’hui, seuls des robots roulent vers Mars. L’élève doit découper les vignettes et les ranger par ordre chronologique. Pour cela, il doit lire attentivement les textes afin de les associer à la photo correspondante. Il les colle ensuite sur une frise d’un mètre de long qu’il aura constituée avec pour échelle 2 cm = 1 an. Puis, il doit rechercher les réponses aux questions dans ces textes. TRACE ÉCRITE Il est important que l’enfant rédige sa propre trace écrite. Voici les phrases qu’il doit obtenir.

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La conquête spatiale a commencé en octobre 1957 avec



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séquence

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Le ciel et la Terre, l’aventure spatiale TRACE ÉCRITE

Séance 3 Que

trouve-t-on dans l’univers

Il est important que l’enfant rédige sa propre trace écrite. Voici les phrases qu’il doit obtenir.

?

Activités proposées : la première activité permet à l’élève de comprendre la notion de constellation, la seconde de comprendre comment se forme une étoile, la troisième comment se forme un système planétaire. Ce que doit apprendre l’élève : les constallations sont nées de l’imagination des hommes. Les étoiles naissent dans les nébuleuses et les planètes par accrétion de matière. La première situation vise à faire comprendre à l’élève que les constellations ont été imaginées par les hommes qui y ont vu des formes différentes. On propose à l’élève la constellation du lion pour qu’il cherche à son tour à y voir un dessin. La deuxième expérience lui propose de comprendre comment naissent les étoiles en utilisant une boule de coton. Il fera soit une seule étoile, soit plusieurs étoiles formant ainsi un amas d’étoiles. L’aider à faire le rapprochement avec la photo de la page. En fait, une nébuleuse ne se condense pas en sphères mais plutôt en disques au centre desquels se forment les étoiles. Ce disque de poussières et de gaz tourne sur lui-même et les poussières se rassemblent sous leur propre attraction formant ainsi des corps qui tournent autour de l’étoile : planètes, astéroïdes, comètes. On dit qu’ils s’accrètent.



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Depuis la Terre, nous voyons des regroupements d’étoiles que l’on appelle constellations. Ce sont les grecs, dans l’Antiquité, qui ont nommé la plupart des constellations. Les étoiles naissent dans les nébuleuses, qui sont d’immenses amas de gaz et de poussières. Sous leur propre poids, ces nébuleuses s’effondrent par endroits et, si la température et la pression sont suffisantes, l’étoile s’allume. C’est ainsi que notre Soleil s’est formé, il y a 4,5 milliards d’années. Les planètes se forment par accrétion de matières. Exercice On pourra reprendre les principaux événements de l’apparition de la vie sur Terre, vus au cours de la séquence 2, qui font suite à ceux de la formation de l’univers.

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séquence

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Les Techniques de l’Informatique et de la Communication (TIC) un logiciel de messagerie (Outlook Express, Thunderbird…) ou utiliser un webmail.

Séance 1 Utiliser

Je dois indiquer l’adresse de mon correspondant qui comprend toujours le caractère @ suivi de son fournisseur d’accès.

la messagerie

Activités proposées : l’élève doit savoir utiliser une messagerie. La première activité consiste à demander une adresse sur le site de La Poste. Puis l’élève enverra un message.

J’écris le message et je remplis la zone « objet du message » qui lui permettra de comprendre de quoi parle son message avant de l’ouvrir.

Ce que doit apprendre l’élève : l’élève doit savoir envoyer et recevoir un message. Il doit savoir dire de qui provient un message et à qui il est adressé. Il sait trouver le sujet du message ainsi que sa date d’envoi.

L’élève répond aux questions en observant une copie d’écran présentant un message reçu.

Exercice

Pour faire de la messagerie, des logiciels comme Outlook Express et Thunderbird ne sont pas indispensables. Nous préconisons le webmail de http://laposte.net. C’est un service d’une très grande simplicité d’usage, utilisable avec le navigateur internet. La première activité consiste à ouvrir une boîte aux lettres sur ce site. On peut aider l’élève dans cette activité. La deuxième activité demande à l’élève d’envoyer son premier message. S’il ne connaît personne à qui envoyer ce premier message, il se l’enverra à lui-même. TRACE ÉCRITE Il est important que l’enfant rédige sa propre trace écrite. Voici les phrases qu’il doit obtenir. Pour envoyer un message électronique (mel), je peux utiliser



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Les Technologies de l’Informatique et de la Communication (TIC)

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avec d’autres sources.

Séance 2 Ouvrir

séquence

Pour modifier des images je dois utiliser un logiciel de traitement de l’image comme Photofiltre.

un blog

Exercice Trois exercices simples permettent à l’élève de se familiariser avec les fonctions du logiciel Photofiltre : recadrer une image, flouter une partie de l’image et redimensionner une image.

Activités proposées : avec votre aide et sous votre contrôle l’élève va ouvrir un blog pour mettre en pratique tout ce qu’il doit apprendre à faire sur l’ordinateur. Il convient d’abord de l’informer sur les règles de bonne conduite à respecter sur ce blog et sur Internet en général. Enfin, il apprendra à se servir du logiciel Photofiltre pou traiter des images. Ce que doit apprendre l’élève : l’élève doit être capable d’adopter une attitude responsable sur internet ; il respecte les autres et se protège lui-même dans le cadre de communication et de la publication électroniques. Il sait qu’il doit vérifier s’il a le droit d’utiliser des documents et à quelles conditions. Il sait trouver des indices avant d’accorder sa confiance aux informations et aux propositions que l’ordinateur lui fournit. L’élève doit savoir produire et modifier une image ainsi qu’insérer une image dans un document. TRACE ÉCRITE Il est important que l’enfant rédige sa propre trace écrite. Voici les phrases qu’il doit obtenir. Quand je vais sur Internet, je dois respecter des règles de comportement qui me protègent et protègent les autres. Je sais que je suis responsable de ce que je fais. Je sais contrôler les informations obtenues avec Internet en les comparant

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séquence

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Les Techniques de l’Informatique et de la Communication (TIC) TRACE ÉCRITE

Séance 3 Faire

Il est important que l’enfant rédige sa propre trace écrite. Voici les phrases qu’il doit obtenir.

des recherches sur internet

Activités proposées : il s’agit pour l’élève de se documenter sur l’eau à partir de recherches sur Internet. Après ces recherches, l’élève écrira un texte qu’il publiera sur son blog. Ce que doit apprendre l’élève : l’élève doit apprendre à utiliser les fenêtres, ascenseurs… Il sait repérer les informations affichées à l’écran et trouve des indices avant d’accorder sa confiance aux informations obtenues. Il sait produire un texte et modifier la mise en forme des caractères et des paragraphes. La première activité consiste à effectuer une activité de recherche à partir du site http://www.aqua-junior.fr dans la rubrique « l’eau en s’amusant ». L’élève note les points importants et en particulier les étapes permettant de faire de l’eau potable. Au cours de la deuxième activité, on lui demande de recouper les informations obtenues sur le premier site avec celles d’un autre site car il est important que les élèves mettent en doute les informations trouvées sur Internet. Dans la troisième activité, on lui demande de faire un compte-rendu d’expériences et de le mettre en forme avec un logiciel de traitement de textes. Un exercice l’aide à comprendre comment mettre en forme un texte.



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Quand je vais sur Internet, je dois contrôler les informations obtenues en les comparant avec d’autres informations. Pour mettre en forme un texte, je dois d’abord l’écrire en allant à la ligne à chaque paragraphe. Puis, à l’aide des boutons de la barre d’outils, je peux mettre en forme les en-têtes, mettre en gras, en italique, numéroter les paragraphes… Exercice Cet exercice permet à l’élève de comprendre comment mettre en forme la police de caractères d’un texte (taille, couleur...) ainsi que les en-têtes de paragraphes (numérotation, soulignement..).

L’élève peut maintenant réaliser les activités interactives de la séance.

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