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Université Hassan II – Casablanca Faculté des Sciences Aïn Chock Projet de Fin d’Etudes Pour obtenir le Master en Ingé

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Université Hassan II – Casablanca Faculté des Sciences Aïn Chock

Projet de Fin d’Etudes Pour obtenir le Master en

Ingénierie et Optimisation des Systèmes de Transport et Logistique

Réalisé et soutenu par OUAHERRA Yassine Le, 06 juillet 2017 Encadré par LAKHBAB Halima, Faculté des Sciences Aïn Chock ELBOUAZZAOUI Nawal , CASHPLUS Membres du Jury : Aghezzaf Ibrahim, Faculté des sciences Ain chock Elbyed Abdeltif, Faculté des sciences Ain chock Lakhbab Halima, Faculté des sciences Ain chock

Président Rapporteur Encadrante

Année Universitaire 2016/ 2017

Dédicace Je dédie ce travail A mon père qui est parti dans le royaume des cieux, qui m'a toujours encouragé et encadré dans mes études. J'espère que, du monde qui est sien maintenant, il apprécie cet humble geste comme preuve de reconnaissance de la part d'un fils qui a toujours prié pour le salut de son âme. Puisse Dieu, le tout puissant, l'avoir en sa sainte miséricorde ! A ma mère à qui je dois la vie et une part essentielle de ma personnalité, pour son soutien, son amour, sa patience, son sacrifice et son engagement. J’espère être à la hauteur de tes attentes, aucune dédicace ne saura être assez éloquente pour exprimer ce que tu mérites. A mon frère pour ses précieux conseils, son aide, et ses encouragements. A mes chers amis et camarades qui m’ont accompagné durant mon parcours d’études supérieures et su être là quand j'en avais besoin, et à tous ceux qui ont contribué de près ou de loin dans ce travail, je vous exprime ma toute reconnaissance.

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Remerciements Je remercie Dieu le tout puissant de m’avoir donné la santé et la volonté d’entamer et de terminer ce projet. Au terme de mon stage de fin d’études au département d’achat et des moyens généraux, je tiens à exprimer un remerciement aussi particulier et une profonde gratitude à l’ensemble de l’équipe de l’entreprise et spécialement à mon encadrante Madame EL BOUAZZAOUI NAWAL, à Mr. HAZIME SEBATA directeur général, à Mr. NABIL AMMAR directeur adjoint pour leur confiance, leurs encouragements et leurs conseils pertinents. Dans le même sens, je remercie ma chère encadrante pédagogique à la faculté Madame LAKHBAB HALIMA pour le privilège qu’elle m’a fait en acceptant de diriger ce projet. Sa gentillesse, ses directives précieuses et l'accueil cordial qu'elle m'a toujours réservé m'ont inspiré une grande admiration à son égard. Je profite aussi de l’occasion pour dire Merci à mon chef de filière Mr. IBRAHIM AGHEZZAF pour sa contribution directe au développement de notre master « Ingénierie et optimisation des systèmes de transport et logistique » ainsi que pour tous les efforts qu’il fournit pour l’excellence de notre formation , pour ses conseils et orientations et sa riche expérience. Je remercie également tout le cadre professoral de la faculté des sciences Ain Chock, du master IOSTL et tous ceux et celles qui ont contribué de près ou de loin à l’accomplissement de ce travail.

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Résumé L’archive est un composant primordiale dans la gestion administrative quotidienne de tout organisme, car les documents d’archives permettent d’enregistrer toute sorte d’activité. Donc la gestion d’archive et l’optimisation de son flux vont permettre aux gestionnaires d’améliorer leurs processus et leurs déroulements tout en gardant une traçabilité de données. C’est dans ce cadre que s’est déroulé mon stage de fin d’étude. En outre ce mémoire est le fruit du travail réalisé au sein de l’entreprise de transfert d’argent CASHPLUS, afin de mettre en place un système de gestion d’archivage et de collecte. Le travail consistait tout d’abord et avant de passer à la gestion des archives, de faire des visites au local d’archive et étudier la production des documents durant une période donnée, pour pouvoir comparer la capacité de conservation et le flux d’archive entrant sur l’échelle de 10 ans. Par la suite et afin d’organiser la procédure de collecte des boites d’archives depuis les agences, une classification d’agences selon leurs localisations (longitude, latitude) a été réalisée. Ainsi l’intégration d’un système d’information dédié à l’archivage, ce dernier permet de repérer l’emplacement des boites d’archives, le suivi et la traçabilité de mouvement des documents consultés, la génération de code-barres, une vision sur la tenue du stock et finalement l’organisation et l’optimisation des tournées de collecte. Bref, ce mémoire met en place le savoir-faire acquit durant mes deux années du Master, ainsi que des technologies informatiques employées pour la réalisation de la solution. En outre, il reflète toutes les connaissances assimilées en domaine du transport et logistique, durant la période du projet.

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Abstract The archive is an important componnent in the administrative management and organization, because the documents of archives save and record all kind of activity. Thus the management of archive and the optimization of its flow will make it possible to the managers to improve their processes and their unfoldings while keeping a traceability of data. In this way that was held my traineeship of en of study. Moreover this memory is the fruit of the work completed in CASHPLUS one of the leader campany of money transfert The sequence consisted first of all and before passing to the management of the archives, to make visits in the archive’s local and to study the production of documents in the reason to compare the capacity of conservation and the flow of archive entering on the 10 year old scale. Thereafter and in order to organize the procedure of collection of box of archive from the agencies, a classification of agencies according to their localization(longitude, latitude) was realized. Thus the integration of an information system dedicated , to archiving, this last makes it possible to locate the site of box of archive, the follow up and thetraceability of movement of the documents consulted, the generation of codebars, a visionon the behaviour of stock and finaly the organization an the optimization of the rounds of collection.

In short, this memory sets up know-how acquired during my two years of the master degree, as well as the technologies processing employed for the realization of solutin. Moreover, it reflects all assimilated knowledge in the field of the transport and logistics, During the periode of the project.

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Table de matière Dédicace ..................................................................................................................................... 1 Remerciements .......................................................................................................................... 2 Résumé ....................................................................................................................................... 3 Abstract ...................................................................................................................................... 4 Table des matières ..................................................................................................................... 5 Liste des figures .......................................................................................................................... 8 Liste des tableaux ..................................................................................................................... 10 Introduction Générale .............................................................................................................. 11 Chapitre I : Généralité du projet .............................................................................................. 13 I.1 Présentation générale de l’entreprise ............................................................................. 14 I.1.1Historique (CASHPLUS) .............................................................................................. 14 I.1.2 Les valeurs de l’entreprise ....................................................................................... 14 I.1.3 Fiche technique ........................................................................................................ 15 I.1.4 L’organigramme : ..................................................................................................... 17 I.1.5 Un établissement de paiement : ............................................................................... 18 I.1.6 Moyens logistiques et locaux de l’entreprise : ......................................................... 18 I.1.7 Service proposé par l’entreprise : ............................................................................. 18 I.2. Préliminaire sur l’archivage ............................................................................................ 19 I.2.1 Introduction : ............................................................................................................ 19 I.2.2 Le contexte de la loi sur les archives :....................................................................... 19 I.2.3 Les locaux d’archives :............................................................................................... 20 I.2.4 Nature des documents d’archives et leur durée de vie : .......................................... 23 I.2.5 Cycle de vie des documents à Cashplus : .................................................................. 25 Chapitre II :Problématique et plan d’action ............................................................................. 27 II.1 Introduction .................................................................................................................... 28 II.2 Définition de la problématique ...................................................................................... 28 II.3 Etude de l’existant : ........................................................................................................ 28 II.3.1 Etat du dépôt d’archive :.......................................................................................... 28 II.3.2 Capacité du local d’archive : .................................................................................... 30

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II.3.2 procédure de stockage et de conservation : ........................................................... 31 II.3.3 procédure de collecte et de ramassage : ........................................................................ 31 II.4 Gestion de projet et plan d’action : ................................................................................ 31 II.4.1 Principe : .................................................................................................................. 31 II.4.2 Cadrage du projet : .................................................................................................. 32 II.4.3 Plan d’action :........................................................................................................... 33 Chapitre III : Classification des données et problème du voyageur de commerce ................. 35 III.1 Introduction : ................................................................................................................. 36 III.2 Classification automatique non supervisée :................................................................. 37 III.3.1 Définition :............................................................................................................... 37 III.3.2 Méthodes de partitionnement : ............................................................................. 37 III.3.2 Méthodes de classification : ................................................................................... 38 III.3 Problème de voyageur de commerce ........................................................................... 41 III.3.1 Notion de base : ...................................................................................................... 41 III.3.2 Présentation du problème: ..................................................................................... 42 III.3.3 Modélisation mathématique du PVC : .................................................................... 43 III.3.4 Méthode de résolution : ......................................................................................... 44 III.2.5 Méthode de résolution choisie ............................................................................... 47 Chapitre IV : Outils et technologies utilisées ........................................................................... 51 IV.1. Introduction ................................................................................................................. 52 IV.2. Outils utilisés ............................................................................................................... 52 Chapitre V : Etude et Conception ............................................................................................. 57 V.1 Introduction ................................................................................................................... 58 12.2 V.2 Diagramme de cas d’utilisation .......................................................................... 58 12.3 V.4. Diagramme de séquence ................................................................................... 59 12.4 V.5. Diagramme de classe ......................................................................................... 63 Chapitre VI : Réalisation et solution ......................................................................................... 65 V.1. Introduction .................................................................................................................. 66 V.2 Etude et classification : .................................................................................................. 66 V.2.1 Statistique descriptive et évolution des variances : ............................................... 68 Master IOSTL 2017 ---Rapport de stage PFE---CASHPLUS

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V.2.2 Résultat de classification avec la méthode CHA : (Ward) ....................................... 68

V.2.3 Résultat de classification avec la méthode K-means............................................... 70 V.3 Réalisation et solution informatique : ........................................................................... 71 V.3.1 Environnement de développement :....................................................................... 71 V.3.2 Réalisation :.............................................................................................................. 71 V.3.2 Conclusion :.............................................................................................................. 81 Conclusion et perspective ........................................................................................................ 82 Référence ................................................................................................................................. 84

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Liste des figures Figure 1 : organigramme .......................................................................................................... 17 Figure 2: Local d'archive ........................................................................................................... 20 Figure 3 : Cycle de vie des documents Cashplus ...................................................................... 25 Figure 4 : Images de magasin ................................................................................................... 29 Figure 5 : images du local d'archive ......................................................................................... 29 Figure 6 : Dessin 3D avec sketchup .......................................................................................... 30 Figure 7 : Localisation et revue du projet ................................................................................ 32 Figure 8 : diagramme de GANT ................................................................................................ 33 Figure 9 : classification des points............................................................................................ 39 Figure 10 : arbre CHA ............................................................................................................... 41 Figure 11 : cycle hamiltonien ................................................................................................... 42 Figure 12 : exemple du pvc ...................................................................................................... 42 Figure 13 : 2-opt ....................................................................................................................... 49 Figure 14 : cas d'utilisation application web ............................................................................ 58 Figure 15 : cas d'utilisation application mobile ........................................................................ 59 Figure 16: Action authentification ........................................................................................... 60 Figure 17 : Action repérage ...................................................................................................... 61 Figure 18 : Action modification ................................................................................................ 62 Figure 19 : diagramme de classe .............................................................................................. 63 Figure 20 : Graphe des transactions mensuelles ..................................................................... 66 Figure 21 : localisation des agences par (long, lat) .................................................................. 67 Figure 22 : page d'accueil Archivage-Cash ............................................................................... 71 Figure 23 : page d'initialisation des rayons .............................................................................. 72 Figure 24 : page de repérage ................................................................................................... 72 Figure 25 : page d'authentification .......................................................................................... 73 Figure 26 : page d'accueil ......................................................................................................... 73 Figure 27 : page de recherche .................................................................................................. 74 Figure 28 : saisie de données ................................................................................................... 74 Figure 29 : resultat de recherche ............................................................................................. 75 Figure 30 : enregistrement de la demande .............................................................................. 75 Figure 31 : demande de consultation ...................................................................................... 76 Figure 32 : traçabilité des documents ...................................................................................... 76 Figure 33 : générateur de codebare ......................................................................................... 77 Figure 34 : ensemble de codebar ............................................................................................. 77 Figure 35 : tenu et disponibilité d'emplacment ....................................................................... 78 Figure 36 : Liste des boites inactives ........................................................................................ 78 Figure 37 : page d'organisation des tournées .......................................................................... 79 Master IOSTL 2017 ---Rapport de stage PFE---CASHPLUS

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Figure 38 : localisation des agences ......................................................................................... 79 Figure 39 : resultat de l'otpimisation ....................................................................................... 80 Figure 40 : itinéraire d chemin optimal .................................................................................... 81

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Liste des tableaux Tableau 1 : norme climatique des locaux d'archives ............................................................... 21 Tableau 2 : documents commerciaux ...................................................................................... 24 Tableau 3 : documents comptables ......................................................................................... 24 Tableau 4 : documents fiscaux ................................................................................................. 25 Tableau 5 : caractéristique de l'échantillon observé ............................................................... 68 Tableau 6 : inter-classe & intra-classe...................................................................................... 68 Tableau 7 : objet centraux........................................................................................................ 68 Tableau 8 : resultat par classe de CHA ..................................................................................... 69 Tableau 9 : Resultat sur l'arbre ................................................................................................ 69

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A l’ère des systèmes d’informations, la gestion et le traitement des documents est devenu une devise primordiale pour la survie et la continuité d’un organisme, d’où le rôle imminent des archives dans la gestion administrative quotidienne. Ainsi, tout organisme, qu’il soit public ou privé, ne peut sous-estimer leurs utilités. En effet, les documents d’archives permettent d‘avoir une vision sur la traçabilité de son activité, comme ils illustrent son vécu et préservent sa mémoire organisationnelle. Or, l’absence d’une gestion d’archives provoque une mal interprétation d’informations qui peuvent être erronées, ce qui peut engendrer des résultats néfastes lors d’un contrôle interne ou lors du contrôle d’audite. Le marché de transfert d’argent a connu une évolution rapide au cours de ces dernières années au Maroc, ce qui a engendre, d’une part une rude concurrence suite à l’apparition et la création des nouvelles entités plus performantes, plus innovantes au niveau de l’ouverture de nouvelles agences, d’une autre part une immense production des documents comptables et fiscaux (Bordereaux, charges annuelles et BP bancaire, Tva etc.…) Dans ce cadre, et afin d'accompagner ses ambitions en termes de compétitivité, organisation et renforcement de sa position en tant que leader du secteur financier national, Cash Plus a décidé de mener une réflexion de son organisation interne pour l’obtention d’une certification de qualité ISO 9001. L’objectif principal de ce stage au sein de Cash Plus est la gestion et l’optimisation des flux d’archive physique, cet aspect organisationnel nous mène à traiter ce sujet sur trois volets différents :  le premier consiste à faire une gestion de projet et une étude de faisabilité  le deuxième élabore la définition d’une procédure de conservation, de collecte et l’optimisation des tournées du convoyeur.  le troisième propose des solutions techniques et informatiques pour la mise en place d’un système d’information dédié à la gestion des archives. Par ailleurs, afin de consolider le projet, j’ai été amené à définir un plan d’action, et étudier la compatibilité entre la capacité du local et la production de bordereau, dans ce sens j’ai effectué une étude sur le flux d’archivage des 6 mois précédents. Ce présent document est une illustration du travail réalisé, dont le premier chapitre consistera à définir une généralité du projet, dont la présentation générale de l’organisme, Master IOSTL 2017 ---Rapport de stage PFE---CASHPLUS

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son historique et un préliminaire sur les différents points d’archivage. Le deuxième chapitre introduira la problématique à étudier, un compte rendu de l’existants afin de définir les anomalies présentes et les obstacles confrontés, ainsi de mieux localiser le projet, pour clôturer avec la définition d’un plan d’action et les solutions proposées. Le troisième chapitre sera dédié pour la définition du problème de classification et le problème de voyageur de commerce, appliqué à notre cas de collecte, ses méthodes de résolution, et finalement la démarche suivie pour résoudre le cas rencontré au sein de l’entreprise CASHPLUS. Le quatrième chapitre contiendra une simple présentation de l’environnement de travail, dont les outils employés, les technologies et langages de développement. Le cinquième chapitre comportera sur tout ce qui est conception et analyse en utilisant la notion des diagrammes du langage UML. Le denier chapitre sera une description détaillée de la réalisation du système proposé, tout en commençant par une définition du choix de développement en PHP, html et JavaScript, puis la précision du schéma de la base de données, pour passer par la suite à la partie de la classification des agence avec XLSTAT et finir avec la partie interface qui consistera à détailler et décrire les interfaces de l’application et leurs démarches. Enfin, on clôtura ce projet par une conclusion dans laquelle on va résumer notre solution, et définir nos perspectives.

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I.1 Présentation générale de l’entreprise I.1.1Historique (CASHPLUS) La société CASHPLUS a été créée en 2004 par la famille Ammar sous le nom de RAMAPAR. Depuis ce temps et jusqu’à l’année 2010, elle vendait les services de WESTERN UNION. En 2010, RAMAPAR est devenue CASHPLUS et elle a commencé à faire les transferts nationaux. En 2014, CASHPLUS a vendu 49% de ses actions à la société MEDITERRANIA CAPITAL PARTNERS. C’est à cette année que leur collaboration avait commencé. Aujourd’hui, Cash Plus bénéficie d'un avantage concurrentiel remarquable sur ce marché en pleine croissance grâce à:  Ses solides partenariats avec les acteurs internationaux: des sociétés de transfert telles que Western Union, Money Gram, Money Trans, Money Exchange, Ria, Small World, Transfer Zéro...  La force de sa marque: qui a contribué au développement d'un modèle de franchise rentable pour les business.

On peut considérer que la fusion EUROSOL-CASHPLUS vers la fin de l’année 2015 a été le point de développement de cette dernière en élargissant son réseau. Avec un vaste réseau d'environ 1200 points de vente couvrant l'ensemble du territoire du Maroc, Cash Plus aide à améliorer l'inclusion financière en permettant ses 3 millions de clients uniques d’accéder aux services financiers, sans avoir besoin d'ouvrir un compte bancaire ou posséder une carte de crédit.

I.1.2 Les valeurs de l’entreprise Cash Plus Fonde son succès sur des valeurs fortes qui définissent le socle de notre culture d’entreprise:

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INNOVATION

CONFIANCE

EXCELLENCE

-Faire ce que l’on dit et dire ce que l’on fait

-La passion de satisfaire son client

-Comprendre et se faire comprendre

-Le souci du travail bien fait

-Faire confiance et donner sa confiance -Être juste

-Anticiper les attentes et les besoins -Se remettre en cause

-La formation tout au long de la vie

-Partager les idées et encourager les échanges

-Donner ce qu’on a de meilleur

-Promouvoir le changement

I.1.3 Fiche technique

Raison sociale

CASH PLUS

Forme juridique

S.A

Activité principale

Etablissement de paiement

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Date de création

2004

Chiffre d’affaire

130 millions de dirhams

Effectif permanant

400

N° de patente

36350183

N° d’affiliation CNSS

6744587

Adresse

Angle Bd Abdelmoumen 1 Rue des Pléiades. Casablanca

Tél et fax

05 22 86 01 00/03 05 22 86 01 19

Site web

www.cashplus.ma

I.1.4 L’organigramme :

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Figure 1 : organigramme

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I.1.5 Un établissement de paiement : C’est une personne morale qui fournit habituellement des services de paiement. Les services de paiements sont :       

le versement /retrait d’espèces et les opérations de gestion d’un compte de paiement ; les prélèvements, les opérations de paiement effectuées avec une carte de paiement ou un dispositif similaire ; les virements, y compris les ordres permanents ; les prélèvements, paiements avec carte de paiement ou assimilé et les virements associés à une ouverture de crédit ; l’émission d’instruments de paiement et / ou l’acquisition d’ordres de paiement ; les services de transmission de fonds ; l’exécution d’opérations de paiement, lorsque le consentement du payeur est donné au moyen de tout dispositif de télécommunication, numérique ou informatique et que le paiement est adressé à l’opérateur du système ou du réseau de télécommunication ou informatique, agissant uniquement en qualité d’intermédiaire entre l’utilisateur de services de paiement et le fournisseur de biens ou services.

L’établissement de paiement peut également proposer des services de change, des services de garde, l’enregistrement et le traitement de données, la garantie de l’exécution d’opérations de paiement et l’octroi de crédits à l’exception d’opérations de découvert et d’escompte, sous certaines conditions

I.1.6 Moyens logistiques et locaux de l’entreprise :     

Siège 1200 agences 3 voitures de service ‘’convoyeur ‘’ Magasin de stockage Local d’archive

I.1.7 Service proposé par l’entreprise :  Transfert d’argent international : Réception d’argent envoyé depuis l’étranger dans une agence de transfert d’argent Cash Plus, qu’il s’agisse d’un transfert d’argent Western union, Money gram, Money Trans, Wari ou Ria.  Transfert d’argent au Maroc : Envoi de l’argent et réception partout au Maroc grâce à un réseau de 1200 agences de

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transfert d’argent à travers le Royaume.  Change de devises : Un taux concurrentiel et un horaire largement étendu et flexible pour effectuer un change de devises dans toutes les agences Cash Plus au Maroc.  Paiement de factures, de vignette et changement de permis : Paiement des factures d’eau et d’électricité, des vignettes d’automobile ou encore changement de l’ancien permis, dans les agences Cash Plus.  Recharge Maroc Télécom, Méditel et Inwi : Recharges téléphoniques des différents opérateurs de télécommunication au Maroc  Paiement cash d’achats faits sur des sites e-commerce : Paiement des différents achats faits en ligne, sans carte de paiement internet, en espèces, dans toutes les agences Cash Plus.

I.2. Préliminaire sur l’archivage I.2.1 Introduction : Il est nécessaire pour une entreprise de se préoccuper de ses documents. C’est une contrainte fondamentale à respecter. Une bonne gestion d’archivage répond à de réels enjeux économiques. La gestion des archives courantes, intermédiaires et la gestion des archives définitives concerne deux services complémentaires entre eux : le service des archives et le dépôt d’archives. En effet, l’archivage des documents papiers correspond à une procédure qui peut devenir assez complexe si les règles et les bonnes pratiques ne sont pas respectées, au niveau du classement et de stockage. Quelle que soit la forme ou l’activité de l’entreprise la gestion des archives est une nécessité. Elle repose sur des actions a priori simples :  Ranger  Classer  Conserver

I.2.2 Le contexte de la loi sur les archives : LOI N° 69-99 RELATIVES AUX ARCHIVES MAROCAINS :

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-Article1-

Les archives sont l’ensemble des documents, quels que soient leur date, leur forme et leur support matériel, produits ou reçus par toute personne physique ou morale et par tout service ou organisme public ou privé, dans l’exercice de leur activité. La constitution et la conservation de ces documents sont organisées dans l’intérêt public tant pour les besoins de la gestion et de la justification des droits des personnes physiques ou morales, publiques ou privées que pour la recherche scientifique et la sauvegarde du

patrimoine national. Les fonds d’archives constitués par les personnes et les organismes visés au présent article doivent être conservés dans le respect de leur intégrité et structure interne. -Article37Le vol, la destruction ou la dégradation d’un document d’archives publiques ou d’un document d’archives privées conservé par un service public d’archives est puni d’un emprisonnement de deux à dix ans.

I.2.3 Les locaux d’archives : [2]

Figure 2: Local d'archive

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Définition :

Un local d’archive ou magasin de stockage définit un espace de conservation et stockage de document d’archive. Il ne s’agit pas d’un espace de travail. C’est un espace conçu de manière à protéger les archives et assurer la pérennité des archives. Les archives sont fragiles, la présence d’humidité, les écarts de température, la contamination par des agents naturels (moisissures, bactéries, insectes, rongeurs…) sont autant de facteurs nocifs à leur bonne conservation. L’aménagement du local doit prendre en compte leur nature particulière :



LES MATÉRIAUX DE CONSTRUCTION, LE CLIMAT ET L'ÉCLAIRAGE :

i.

Concernant le climat : voici un tableau regroupant les normes climatiques idéales en fonction du type de support :

Tableau 1 : norme climatique des locaux d'archives

Dans tous les cas, l'essentiel est d'éviter des écarts de température et d'humidité trop importants ; il faut donc équiper le local d'un chauffage pour l'hiver et d'aérations (au mieux une VMC ; plus simplement, ouvrir les fenêtres périodiquement peut suffire dans certains cas) pour que l'air soit renouvelé régulièrement. ii.

L'ÉCLAIRAGE : L'idéal est de disposer de locaux avec des ouvertures ne dépassant pas 1/10 de la surface de la façade du local. Si la surface vitrée est malgré tout plus importante, il faudra prévoir des stores qui devront rester

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baissés quand personne ne travaille dans le local. Les rayonnages doivent être perpendiculaires aux ouvertures pour éviter que les rayons solaires ne frappent les documents. L'éclairage artificiel doit avoir une puissance comprise entre 100 et 150 lux et doit être placé au plafond dans les allées, et non au-dessus des rayonnages. 

LA SÉCURITE INCENDIE ET LA PRÉVENTION DES INONDATIONS :

i.

LA SECURITE INCENDIE : Les mesures de lutte et de protection des locaux d'archives contre l'incendie sont moins onéreuses que la restauration des documents touchés par les flammes ; il est par ailleurs impossible de restaurer des papiers ou parchemins carbonisés." Note AD 1399/DE 58 069 du 3 février 1992. Le local doit être équipé au minimum d'un extincteur à poudre sèche (1 pour 100 m²) et d'un

système de détection des fumées. Il est aussi utile de prévoir une issue de secours pour évacuer les documents. Il est préférable de ne pas installer le local à proximité d'installations à risque (chaudière). Si tel est malgré tout le cas, il doit être en plus équipé de parois et de planchers coupe-feu 2 h et de portes coupe-feu 1 h. L'installation la plus efficace est la suivante : un système de détection des fumées déclenchant un système d'alarme et la fermeture automatique des portes coupe-feu. La meilleure des protections contre l'incendie reste encore d'éviter les risques d'incendie ; ainsi il doit être interdit de fumer dans le local. Il faut aussi veiller à ce que les espaces de circulation ne servent pas de lieu de stockage même temporaire et cela quelle que soit la nature des objets entreposés. Par ailleurs, si des travaux sont en cours dans le local ou à proximité, la vigilance doit être accrue, car certains comme la soudure ou le stockage temporaire de produits combustibles comme la peinture, par exemple, augmentent le risque d'incendie.

ii.

LA PREVENTION DES INONDATIONS : Afin d'éviter toute inondation qui endommagerait gravement les documents, il est recommandé de ne pas installer de canalisations dans le local d'archives. Si cela n'est pas possible, il faut tout de même éviter de faire passer celles-ci audessus ou au-dessous des rayonnages. Par ailleurs, il est conseillé d'éviter les

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zones inondables et en premier lieu les caves. 

RÉSISTANCE AU SOL ET MATÉRIAUX DE STOCKAGE

i.

LA RESISTANCE AU SOL :

Si le local est équipé de rayonnages fixes, le sol doit avoir une résistance comprise entre 900 et 1200 kg/m². Pour des rayonnages mobiles, la résistance doit être comprise entre 1300 et 1800 kg/m². ii.

LES RAYONNAGES :

Les rayonnages (montants et tablettes) doivent être métalliques (tôle d'acier émaillée1 ) ; en effet, les rayonnages en bois, outre le fait qu'ils soient susceptibles de brûler, favorisent le développement des moisissures et des insectes xylophages. Ils peuvent être fixes ou mobiles ; ces derniers sont utiles dans le cas d'un local exigu, mais leur prix est plus élevé. Les tablettes doivent présenter une résistance minimale de 100 kg/m². Afin d'assurer plus facilement cette résistance, les tablettes doivent mesurer entre 1 et 1, 20 m de longueur maximum. Les tablettes utiles les plus hautes ne doivent pas être à plus de 1, 80 m du sol, pour ne pas avoir à monter sur un tabouret, un escabeau ou une échelle. Les tablettes doivent mesurer entre 0, 30 m et 0,35 m de profondeur environ. Les tablettes doivent être pleines et il est préférable, pour la stabilité de l'ensemble, que les montants le soient également. Une allée centrale de circulation de 1,20 m minimum de large doit être aménagée dans le local ; les rayonnages doivent être séparés par 0, 80 m de large. Il faut aussi prévoir un espace d'au moins 0,15 m entre l'extrémité des rayonnages et les murs, ainsi que le long des murs pour éviter la formation de poches d'air humide et permettre une meilleure ventilation de l'air.

I.2.4 Nature des documents d’archives et leur durée de vie : A. Type de document d’archive : Un document d’archive est tout sorte de documents (papier, photographique, électroniques) produit ou reçu par entreprise durant tout l’exercice de son activité, ces documents doivent répondre essentiellement à trois points d’intérêt :  

Les dossiers dits vivants sont ceux qui doivent être conservés dans le bureau, afin de disposer des informations utiles au bon fonctionnement de l’activité de l’entreprise Les dossiers clos, ne sont plus des archives courantes mais intermédiaires à conserver dans un local de stockage tout au long de leur durée légale de conservation et afin de les

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consulter en cas de litige ou de contentieux. Grâce à la conservation, les droits des personnes physiques et morales peuvent ainsi être justifiés au regarde de la valeur de preuve. Les documents à valeur historique : les archives dites définitives sont conservées définitivement et constituent par conséquent les matériaux de l’histoire sauvegardée de l’entreprise

B. Durée de vie des documents : i. Documents commerciaux : Tableau 2 : documents commerciaux

Nature de document

Durée de conservation

Texte de loi

Tous les documents contractuels, contrats et conventions conclus dans le cadre d’une relation ou correspondance commerciale

5 ans

.110-4 du code de commerce

Les déclarations en douane

3 ans

16 du règlement n°2913/92 du Conseil du 12 octobre 1992

Tout type de garanties pour les biens ou services fournis au consommateur

2 ans

218-2 du code consommation

Les polices d’assurance

2 ans

114-1 du code des assurances

ii.

de

la

Documents comptables Tableau 3 : documents comptables

Nature de document

Durée de conservation

Texte de loi

Toutes les pièces justificatives : les bons de commande, de livraison ou de réception, factures clients et fournisseurs

10 ans

.123-22 du code de commerce

Les livres et registres comptables : livre journal, grand livre, livre d’inventaire

10 ans

.123-22 du code de commerce

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iii.

Documents fiscaux Tableau 4 : documents fiscaux

Nature de document

Durée de conservation

Les impôts sur le revenu (IR) et impôts sur les sociétés (IS)

6 ans

.102 des procédures fiscales

Les bénéfices industriels et commerciaux (BIC), bénéfices non commerciaux (BNC) et bénéfices agricoles (BA) en régime réel

6 ans

102 B du livre des procédures fiscales

Les impôts sur les sociétés pour l’EIRL, des sociétés à responsabilité limitée (exploitations agricoles, sociétés d’exercice libéra

6 ans

102 B du livre des procédures fiscales

Les taxes sur le chiffre d’affaires (TVA et taxes assimilées, impôt sur les spectacles, taxe sur les conventions d’assurance…)

6 ans

.102 B du livre des procédures fiscales

Texte de loi

I.2.5 Cycle de vie des documents à Cashplus :

Figure 3 : Cycle de vie des documents Cashplus

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On distingue que les documents d’archives sont générés à partir de deux sources : 

Les agences de Cash plus : les services opérés par chaque agence sont représentés par des bordereaux, dont la conservation est nécessaire pour la traçabilité des activités , dans ce sens les agences sont tenues à garder ou transmettre ses archives au locaux d’archives définitif ,et une fois ces documents atteignent leurs durées de vie ils seront éliminé et détruits .



Les services du siège : chaque département produit des documents administratifs ou de comptabilités, ces documents en cours seront stocké au sein du siège (archive intermédiaire) pour la réutilisation ou la vérification avant d’être transmis au local d’archive (archive définitif).

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II.1 Introduction Dans ce chapitre, on va définir la problématique du projet et manœuvrer un plan d’action afin de résoudre le problème et organiser son traitement. Donc avant d’entamer cette étape on va tout d’abord étudier l’existant et détecter les anomalies présentes lors du processus d’archivage, les causes et les faiblesses pour proposer des solutions pertinentes au niveau de la faisabilité opérationnelle et financière.

II.2 Définition de la problématique Cash Plus Possède un dépôt divisé en deux locaux, le premier immobilisé pour le stockage des produits et le deuxième pour la conservation d’archive. Suite à la réalisation d’une fusion entre les deux sociétés Cash plus et Eurosol, cette dernière a transporté son archive au dépôt, chose qui a mené à un grand désordre et accumulation, un archive qui date de 2004 sans destruction, sans classification et stocké en vrac. La présence de ces anomalies pousse la société à garder ses archives en cours au sein du siège et des agences, ce qui cause une dégradation de la qualité des agences en occupant un espace important. De plus ce désordre rend la recherche d’un document ou le repérage d’une boite d’archive presque impossible. Donc face à un contrôle interne, audit ou tout simplement un besoin de consultation d’un document, les employées doivent se déplacer sur place et faire des recherches manuelles, une mission qui connait souvent l’échec. D’une autre part, la collecte des archives se fait via les convoyeurs ou bien sous-traité à une société de transport « CTM ». L’absence d’une procédure et un délai de collecte rend cette tache moins rigoureuse, ainsi il génère des frais supplémentaires sur le coût de transport.

II.3 Etude de l’existant : II.3.1 Etat du dépôt d’archive : Afin d’avoir une vision général sur les anomalies présentes au niveau du magasin et le local d’archive, j’ai réalisé une visite et j’ai pu rapporter les points suivants :

Au niveau du local de magasinier 

La surface n'est pas bien exploitée en totalité.

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Absence de rayon et rack de stockage pour le stockage des articles et l’archivage des documents



Accumulation des boites d’archives, elles occupent 40 % de la superficie



Enorme Stock mort de plusieurs affiches, flyers, Roll up et de matériel endommagé



Source d’archive « Eurosol»

Figure 4 : Images de magasin

Au niveau du local d’archive : 

Les boites sont placées sans classification, ce qui rend presque impossible le repérage des documents souhaités.



Espace de travail non optimisé



On trouve plusieurs sources d’archives, (Boufone, Ramapar,Cashplus) sans aucune séparation



Absence des équipements de sécurité

Figure 5 : images du local d'archive

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II.3.2 Capacité du local d’archive : La Salle d’archivage a comme superficie 65 m² , on distingue qu’ il n’ y pas une norme pour la définition d’une largeur minimale d’allée entre les rayonnages ( 1 mètre , 1metre et demi ) et celle de l’allée principale , la salle comporte des rayonnages en bois contenant 6 étages (6 tablette ) , chaque tablette peut conserver 6 boites d’archive et approximativement 3000 feuilles. Calcule de la capacité totale : Nb : nombre de rayonnage Y : nombre de boite / tablette F : nombre de feuilles /tablette Cb : capacité en boites Cf : capacité en feuilles Cb = Nb x Y x 6 (boites) Cf = Nb x F* 6 (feuilles)

Figure 6 : Dessin 3D avec sketchup

Nb Y

63 6

F

3000

Cb

2268

Cf

1 134 000

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II.3.2 procédure de stockage et de conservation : L’ancien chef de service d’archivage a pris l’initiative de faire la restructuration du local d’archive en procédant par : L’Aménagement du local d’archive par des rayonnages de bois , étiquetage des emplacements avec des numéro pour le repérage des boites et définissant un classement selon les dates d’arrivage des boites d’archives , le problème rencontrée face à cette manière d’agir , c’est que la gestion se fait manuellement via le saisie des informations (date, source , type ) sur des feuilles Excel or certaines agences et employées du sièges ne respectent pas la modalité du marquage des boites d’archives . D’une autre part il manquait un suivi de flux des documents et leurs mouvement, chose qui a stagné l’activité d’archivage et à mener à la saturation du local au niveau de stockage.

II.3.3 procédure de collecte et de ramassage : Les 1200 agences de Cashplus sont distribuées dans toutes le territoire marocain, et comme le dépôt d’archive est localisé sur CASABLANCA, la collecte et le ramassage des boites d’archives se fait via deux modes de transport :  Le premier c’est les voitures de service (convoyeurs) : Cash plus possède trois voitures mobilisés pour l’alimentation des agences de la région de Casablanca en liquide, d’ailleurs ces voiture sont utilisé aussi pour la collecte d’archive au niveau de la même région, ce qui engendre une augmentation au niveau de la consommation quotidienne de carburant à cause de l’absence d’une planification de tournée associée à un nombre fini d’agence  Le deuxième CTM : puisque CTM est l’un des partenaires de cash plus, l’approvisionnement des agences en équipement nécessaire et la collecte d’archive se fait via cette entreprise de transport. De même pour ce mode de transport on distingue qu’il y pas d’optimisation au niveau des couts de transport associe à chaque collier reçu

II.4 Gestion de projet et plan d’action : II.4.1 Principe : La gestion de projet est l’utilisation des outils et des techniques de gestion dans le cadre des activités d'un projet, afin de satisfaire les exigences et les attentes des parties concernés. Le gestionnaire de projet, parfois appelé coordinateur ou chef de projet, il est le responsable de l’administration des détails, du début à la fin. Il s’agit là d'un défi constant qui demande

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une compréhension du contexte plus général du projet et la capacité de concilier des exigences contradictoires telles que :  les ressources disponibles et les attentes  les priorités différentes des parties prenantes  les besoins définis et à la portée du projet

 la qualité et la quantité. II.4.2 Cadrage du projet : Avant d’entamer l’étude de faisabilité d’un projet et définir les différents taches à suivre, on est censé de faire un cadrage du projet, en localisant le projet en terme de taille et complexité, ainsi en détaillant sa revue et sa certification qualité. En effet La taille et la complexité d’un projet représente le degré des dépenses financières pour sa réalisation ainsi le degré de difficulté pour l’adaptation d’un ensemble de procédure. Taille

Complexité Projet d’archivage

Figure 7 : Localisation et revue du projet

Comme il existe déjà un local dédié à l’archivage, le cout de la réalisation du projet va prendre en charge seulement la réorganisation du dépôt, son aménagement et la mise en place d’un système d’information. D’une autre part la conception du projet d’archivage touche plusieurs aspects (organisationnel, logistique et informatique) chose qui élargie le niveau de complexité du problème.

II.4.3 Plan d’action : Digramme de Gantt :

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Le diagramme de Gantt, couramment utilisé en gestion de projet, est l'un des outils les plus efficaces pour représenter visuellement l'état d'avancement des différentes activités (tâches) qui constituent un projet. La colonne de gauche du diagramme énumère toutes les tâches à effectuer, tandis que la ligne d'en-tête représente les unités de temps les plus adaptées au projet (jours, semaines, mois etc.). Chaque tâche est matérialisée par une barre horizontale, dont la position et la longueur représentent la date de début, la durée et la date de fin. Ce diagramme permet donc de visualiser d'un seul coup d'œil :

   

Les différentes Tâches à envisager La date de début et la date de fin de chaque tâche La durée escomptée de chaque tâche Le chevauchement éventuel des tâches, et la durée de ce chevauchement

Plan d’action proposé :

Figure 8 : diagramme de GANT

Les différentes tâches et solutions proposées ou à suivre dans ce plan d’action : 

Mise à niveau : Cette tâche consiste à faire un inventaire physique de l’archive actuel, le réaménagement du local d’archive et finalement l’entreposage des boites d’archives. On a affecté 4 ressources humaines pour la réalisation de cette mission, avec une durée de 68 jours.

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Analyse et statistique : Afin de définir la procédure d’archivage et proposer une meilleur classification sur la distribution des agences, on a recourt à analyser le mouvement des documents d’archives, la production annuelle des documents et la localisation des agences pour cela on a procédé par les statistiques réalisées lors de la taches précédente et faire des prévisions au niveau de la production des documents comme les bordereaux.



Solution informatique : Une tâche qui consiste à : - Définition d’un cahier de charge qui répond aux besoins de la société, -Création d’une application mobile pour le repérage des boites d’archives depuis les locaux d’archives. -Création d’un système d’information dédié à l’archivage, en créant une Application web qui a comme fonctionnalité : faire de recherche sur l’emplacement des boites d’archives, le suivie de la traçabilité du mouvement des documents consulté, le contrôle et la vérification de la capacité physique des locaux et finalement l’organisation et l’optimisation des tournées de collectes des boites d’archives.

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III.1 Introduction : Afin de définir une procédure de conservation et optimiser les coûts de transport dans ce chapitre, on va traiter deux aspects mathématiques :  Le premier est la classification non supervisé : Dans notre quotidien, on regroupe les objets suivant certaines caractéristiques, ce regroupage est basé sur l’instinct et l’observation. On ne s’intéresse pas seulement aux objets matériels mais on regroupe aussi les choses abstraites, on parlera par exemple d’un sentiment de tristesse, de joie ou de peur. En effet, les premiers scientifiques qui ont mené une étude théorique sur la classification c’était les biologistes, afin de spécifier des classes ou des espèces animales, en procédant par des descriptions simples à chaque animal, en l’étiquetant par tel ou tel nom d’espèce. Mais le problème s’est avéré plus complexe. Aujourd’hui, en nous intéressant aux problèmes issus des technologies de l’information, nous sommes amenés à traiter des données très complexes, par leur nature, leur taille, leur diversité. L’envie d’organiser pour simplifier a conduit à dégager la classification non-supervisée cet aspect va nous servir dans la classification des agences au niveau de Casablanca selon leurs localisations.  le deuxième est l’optimisation, qui est omniprésente dans tous les domaines : dans l’industrie, dans la logistique, dans la recherche scientifique, dans l’aérospatiale... C’est la recherche des compromis entre un besoin et plusieurs contraintes. Dans notre cas le problème d’organisation des tournées lors de la collecte des boites d’archives est le sujet de cette optimisation, Chaque convoyeur sera affecté à un nombre d’agence localisé par son altitude et longitude, en commençant sa tournée du dépôt pour y retourner au final. La solution proposée doit fournir une tournée optimale pour minimiser le coût du carburant qui est proportionnel à la distance. Ce problème est connu sous le nom du problème du voyageur de commerce (en anglais travelling salesman problem : TSP), c’est un problème NP-Complet. La complexité de temps des algorithmes exacts proposés croît exponentiellement avec n (la taille du problème ou le nombre de villes). Plusieurs méthodes d’approximation ont été proposées qui approchent en temps raisonnable la solution optimale.

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III.2 Classification automatique non supervisée : III.3.1 Définition : La classification automatique (clustering) est une méthode exploratoire de données : pour faciliter l’étude d’une population d’effectif important (Client, Produit, plantes, gènes, etc...) sans connaissance a priori d’une classification, on les regroupe en plusieurs classes de telle sorte que les individus d’une même classe soient le plus semblables possible et que les classes soient le plus distinctes possibles.

III.3.2 Méthodes de partitionnement : III.3.2.1 Distances (ou dissimilarité) entre individus : Afin de regrouper les individus qui se ressemblent, il faut choisir un critère de ressemblance. Pour cela on est censé de faire un traitement sur l’ensemble d’information concernant les individus. Supposons les informations suivantes : (Xi, Yi, . . .) et on imagine que chaque individu est un point Mi = (Xi, Yi, Zi, . . .) de l’espace. S’il n’y a que deux variables relevées (xi, yi) on obtient ainsi un nuage de points Ω dans le plan, chaque point Mi ayant pour coordonnées (xi, yi). Ce nuage Ω = {Mi, i = 1,…, n} contient n points, si n est l’effectif total de la population. La distance euclidienne de deux individus Mi et Mj est par définition :

𝑑2 (𝑀𝑖, 𝑀𝑗) = √(𝑋𝑖 − 𝑋𝑗)2 + (𝑌𝑖 − 𝑌𝑗)2 III.3.2.2 Ecarts entre classes : Soit Ω = {Mi, i = 1, . . ., n} un nuage décomposée en plusieurs classes Ω 1, Ω 2, .... , Ω k et notons :

G1 , G2 , .... , G𝑘 les centres de gravité respectifs de chaque classes et notonsp1 , p2 , ..., p𝑘 les poids respectifs de chaque classe que l’on définit de la façon suivante : si l’on suppose que tous les individus ont le même poids égal à 1/n, le poids p1 de la classe 2 est égal é l’effectif de Ω l divisé par n. De cette façon la somme des poids de toutes les classes vaut 1. Rappelons que le centre de gravité G d’un nuage de points Ω est le point moyen du nuage. Pour mesurer la proximité ou l’écart entre deux classes 1 et𝑚 , il existe plusieurs façons de procéder. On calcule par exemple la quantité Min {d (Mi, MJ), Miꞓ Ω𝑚 , Mjꞓ Ω1 } appelée distance du plus proche voisin ou encore Max {d (Mi, Mj), Miꞓ Ω𝑚 , Mjꞓ Ω1 } ou simplement la distance des centres de gravité d2 (Gm, Gl) des classes. Mais la mesure que l’on utilise le plus souvent lors des classifications automatiques, appelée écart de Ward, est définie par : 𝑃𝑚 𝑃𝑙 𝑃𝑚+𝑃𝑙

𝑑2 (𝐺𝑚, 𝐺𝑙)2

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Où pl et pm sont les poids des deux classes. III.3.2.3 Inertie interclasse et inertie intraclasse : On appelle inertie totale d’un nuage Ω = {Mi, i = 1, . . . ,n} la somme pondérée des carrés des distances de ses points au centre de gravité du nuage. Donc, si G d´désigne le centre de gravité de Ω, l’inertie totale de Ω est, si tous les points du nuage sont de même poids égal à 1/n. 1

I() = (𝑑2 (𝑀1 , 𝐺)2 + 𝑑2 (𝑀2 , 𝐺)2 + ⋯ + 𝑑2 (𝑀𝑛 , 𝐺)2 ) 𝑛

Notons que le centre de gravité est précisément le point G pour laquelle cette somme pondérée est minimal. L’inertie “mesure” la dispersion du nuage. Si le nuage Ω est composé de k classes1 , 2 ,...., 𝑘 (disjointes deux à deux), celles-ci seront d’autant plus homogènes que les inerties de chaque classe, 𝐼(1 ) +, I(Ω 2), .... , 𝐼(2 ), calculées par rapport à leurs centres de gravité G1 , G2 , .... , G𝑘 respectifs, sont faibles. La somme de ces inerties est appelée inertie intraclasse :

𝐼𝑖𝑛𝑡𝑟𝑎 = 𝐼(1 ) + 𝐼(2 ) + ⋯ + 𝐼(𝑘 ) Les inerties des classes I (Ω1), I (Ω2), ... sont simplement calculées avec la formule (1) cidessus où l’on remplace le centre de gravité G par celui de la classe G1, G2, ... et le poids 1/n par celui de la classe. L’inertie totale d’un nuage n’est généralement pas ´égale `à la somme des inerties des classes qui le composent, c’est-à-dire à l’inertie intraclasse (sauf dans le cas où les centres de gravité de toutes les classes sont confondus) car il faut prendre en compte ´également la dispersion des classes par rapport au centre de gravité du nuage. Il s’agit de l’inertie interclasse d´définie par : 2 𝐼𝑖𝑛𝑡𝑒𝑟 = ̅̅̅. 𝑝1 𝑑2 (𝐺1 , 𝐺)2 +𝑝 ̅̅̅. 𝑝𝑘 𝑑2 (𝐺𝑘 , 𝐺)2 2 𝑑2 (𝐺2 , 𝐺) + ⋯ + ̅̅̅. Où 𝑝𝑗̅ d´désigne le poids total de la classe Ωj.

 Critère de la meilleur classification : L’inertie totale d’un nuage de points composé de différentes classes disjointes deux à deux est la somme de son inertie intraclasse et de son inertie interclasse, c’est-à-dire :

I () = 𝐼𝑖𝑛𝑡𝑒𝑟 + 𝐼𝑖𝑛𝑡𝑟𝑎

III.3.3 Méthodes de classification : III.3.3.1 K-means : Master IOSTL 2017 ---Rapport de stage PFE---CASHPLUS

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III.3.2.1.1 Définition : K-means est un algorithme de quantification vectorielle (clustering en anglais). K-means est un algorithme qui, étant donné un entier K, L’objectif de la méthode est de partitionner en K classes des individus pour lesquels on dispose de mesures. On représente les individus comme des points de l’espace ayant pour coordonnées ces mesures.

Figure 9 : classification des points

III.3.2.1.2 Algorithme :

III.3.2.2 Classification hiérarchique ascendante (CHA) : III.3.2.2.1 Algorithme : Pour classifier une population d’effectif n dont les individus sont numérotes 1, 2, ..., on Master IOSTL 2017 ---Rapport de stage PFE---CASHPLUS

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considère cette population comme la réunion de n classes à un seul élément et on regroupe progressivement les classes deux à deux selon l’algorithme suivant :

III.3.2.2.2 Construction d’arbre : On peut construire alors un arbre, appelé dendrogramme (voir dessin ci-dessous) de la façon suivante. On aligne sur l’axe horizontal des points représentant les différents individus et on les joint deux à deux, successivement, en suivant cet algorithme de classification hiérarchique ascendante (commençant par les plus proches, etc...). On poursuit ainsi jusqu’à regroupement de tous les individus en une classe unique. Pour plus de lisibilité, on pourra disposer les individus dans l’ordre dans lequel les regroupements ont ´été effectués. Le niveau (hauteur) de chaque nœud de l’arbre est, par exemple, choisi proportionnel à la distance des deux classes regroupées. On cherche ensuite à couper le dendrogramme au niveau où cela crée la meilleure répartition des points du nuage en classes bien distinctes entre elles. On peut comprendre qu’il ne sera pas optimal de couper le dendrogramme à un niveau où le regroupement s’est fait entre deux classes assez proches mais qu’au contraire on cherche à couper l`a où les classes regroupées ´étaient les plus éloignées.

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Figure 10 : arbre CHA

III.3 Problème de voyageur de commerce III.3.1 Notion de base : En théorie des graphes, un graphe non orienté G = (V, E) est défini par la donnée d’un ensemble V de sommets et d’un ensemble E d’arêtes, chaque arête étant une paire de sommets (par exemple, si x et y sont des sommets, la paire (X, Y) peut être une arête du graphe G). Une chaîne reliant deux sommets x et y est une suite d’arêtes a1 …… a𝑘 telle que pour i=2 à k - 1, l’arête ai possède une extrémité en commun avec a𝑖+1 et l’autre Extrémité en commun avec a𝑖+1 . Un cycle est une chaîne simple dont l’extrémité initiale coïncide avec l’extrémité Finale. Un graphe hamiltonien est un graphe possédant au moins un cycle passant par tous les sommets une fois et une seule. Un tel cycle élémentaire est alors appelé cycle hamiltonien. Un graphe est complet si chaque sommet est lié directement à tous les sommets.

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Figure 11 : cycle hamiltonien

III.3.2 présentation du problème: Le problème du voyageur de commerce peut être modélisé à l’aide d’un graphe constitué d’un ensemble de sommets et d’un ensemble d’arêtes. Chaque sommet représente une ville (agences), une arête symbolise le passage d’une ville à une autre, et on lui associe un poids pouvant représenter une distance, un temps de parcours ou encore un coût. Résoudre le problème du voyageur de commerce revient à trouver dans ce graphe un cycle passant par tous les sommets une unique fois (un cycle Hamiltonien) et qui soit de longueur minimale. Pour un nombre de villes égal à N, le nombre de parcours possibles est égal à (N1) !/2. Par exemple, pour 5 villes, le nombre de parcours est égal à 12, mais pour 10, il est déjà de 181 440. Supposons un ordinateur assez rapide pour évaluer un parcours en une demi-microseconde : le cas à 12 villes serait résolu en moins de 6 microsecondes, le cas à 10 villes en 0,09 secondes, mais il faudrait 964 ans pour résoudre le cas à 20 villes en balayant toutes les solutions possibles. C’est pourquoi il est indispensable d’élaborer des techniques performantes de résolution pour trouver rapidement la meilleure solution, ou du moins une solution de bonne qualité.

Figure 12 : exemple du pvc

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III.3.3 Modélisation mathématique du PVC : Soit G= (V, E), un graphe dans lequel l’ensemble V des sommets représente les villes à visiter, ainsi que la ville de départ de la tournée, et E l’ensemble des arcs de G, représente les parcours possibles entre les villes. À tout arc (i, j) de E, on associe la distance de parcours

𝑑𝑖𝑗 de la ville i

à la ville j. La longueur d’un chemin dans G est la somme des distances

associés aux arcs de ce chemin. Le PVC se ramène alors à la recherche d’un circuit hamiltonien de longueur minimale dans G. On peut formuler le PVC de manière équivalente en associant à chaque couple (i; j) de villes à visiter (i=1 à n, j=1 à n et i ≠ j) une distance (ij) =

𝑑𝑖𝑗

s’il existe un moyen d’aller

directement de i à j ((i; j) ∈ E dans G), et une variable de succession, 𝑋𝑖𝑗 binaire qui prend la valeur 1 si la ville j est visitée immédiatement après la ville i dans la tournée et qui prend la valeur 0 sinon. Le PVC est alors modélisé par : 𝑛 Min Z = ∑𝑛 𝑖=1 ∑𝑗=1 dij ∗ 𝑋𝑖𝑗 s.c

i ≠j

(1.1)

∑𝑛𝑗=1 X = 1

∀ i = 1…n

(1.2)

∑𝑛𝑖=1 X𝑖𝑗 = 1

∀ j = 1…n

(1.3)

𝑖𝑗

∑𝑖∈𝑆 ∑𝑗∈𝑆 𝑋𝑖𝑗 ≤ |𝑆| − 1 𝑋𝑖𝑗 ∈ {0,1}

Pour tout S de V

(1.4)

∀(𝑖, 𝑗) ∈ 𝐸

Tel que : 

(1 .1) : est la fonction objective qui cherche à minimiser la distance (coût, temps…)



(1.2) : contrainte qui assure qu’on sort qu’une seule fois de chacun des points



(1.3) : contrainte qui vérifie que l’on entre seulement une fois à chaque point



(1.4) : contrainte qui élimine les sous tours

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III.3.4 Méthode de résolution : III.2.4.1 Méthode heuristique de construction : a) Algorithme du hasard Son principe est d’effectuer des permutations entre deux sommets i et j, générer d’une façon aléatoire. Le tirage des sommets suit une loi uniforme. Au début, on choisit un chemin initial qui représente le chemin de départ, ce chemin-là contient tous les sommets à visiter et bien sûr il a un coût, le coût fait référence à la distance total parcouru. Après on lance un ‘Rand’ pour tirer le sommet j qui seras permuter avec le sommet i courant. Qui dit permutation dit changement de coût, ce qui implique soit un coût supérieur ou inférieur, au coût précèdent. Donc si le nouveau coût est inférieur à l’ancien, on le garde et on enregistre le trajet générer. Si non on rejette ce dernier chemin sans l’afficher.

b) Algorithme du plus proche voisin Cet algorithme est bâti sur le principe d'aller visiter le plus proche voisin du sommet que l'on vient de visiter. Ici "plus proche voisin" est à considérer au sens de la distance entre les deux sommets. On visite d'abord un sommet initial, déterminé par l'utilisateur, et on évalue ensuite les distances entre le sommet que l'on vient de visiter et les autres sommets qui n'ont pas encore été visités. Puis on détermine la plus petite de ces distances, celle-ci correspond au sommet le plus proche du dernier sommet visité. Pour calculer les distances, on appelle la fonction de calcul de coût des distances. On réitère cette opération jusqu'à ce que tous les sommets aient été visités. On retourne ensuite au point de départ.

c) Algorithme de l’insertion du moindre coût Principe de l'algorithme pour l'insertion de moindre coût : Il s'agit tout d'abord de construire un cycle constitué d'un triangle défini arbitrairement. Pour cela, on demande à l'utilisateur de saisir trois numéros de colis compris entre 1 et le nombre de colis. Ceci constitue un cycle C. On prend ensuite le plus petit côté du triangle ; on appelle (i, j) l'arête constituant le plus petit côté du triangle. Puis pour chaque colis k qui n'est pas dans C, on teste la relation : (R)

d(𝑖,𝑘) + d(𝑘,𝑗) - d(𝑖,𝑗) où d(𝑖,𝑗) est la distance entre les colis i et j. Cette relation doit être la plus petite possible, c'est la minimisation sur k de (R). On choisit le colis k pour lequel on minimise (R) et on insère k entre i et j. Puis on réitère l'opération jusqu'à ce que tous les colis soient dans le cycle C. On constate très vite que le nombre de tests sur k sera de plus en plus petit. En effet le nombre de colis à tester qui ne sont pas dans C sera de plus en plus petit.

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III.2.4.2 Méthode d’amélioration : a) Algorithme 2-opt Simple et relativement efficace, 2_opt est un algorithme itératif permettant, à chaque étape, de supprimer deux arrêts du résultat courant et reconstruire des deux autres ainsi formés.

b) Algorithme 3-opt L'algorithme 3-opt fonctionne de façon similaire, mais au lieu d'enlever deux bords nous enlever trois. Cela signifie que nous avons deux manières de reconnecter les trois voies dans un tour valide Un mouvement 3-opt peut effectivement être considéré comme deux ou trois mouvements 2-opt.

III.2.4.3 Méta heuristique : III.2.4.3.1 Classification des métas heuristiques : Il existe plusieurs façons de classer les métas heuristiques. On en donne quelques-unes, et nous adopterons celle faisant la différence entre les méthodes de trajectoire et les méthodes basées sur une population. 1) Les méthodes de trajectoire : Elles manipulent une seule solution à la fois et tentent itérativement d’améliorer cette solution. Elles construisent une trajectoire dans l’espace des solutions en tentant de se diriger vers des solutions optimales. Par exemple : – La descente locale : Les méthodes de descente sont assez anciennes et doivent leur succès à leur simplicité. À chaque pas de la recherche, cette méthode progresse vers une solution voisine de meilleure qualité. La descente s’arrête quand tous les voisins candidats sont moins bons que la solution courante : c’est-à-dire lorsqu’un optimum local est atteint. D’une autre manière on peut la définir comme suit : à partir d’une solution, choisir une solution s0 dans un voisinage de s, telle que s0 améliore la recherche (généralement telle que f(s0) < f(s)). On peut décider soit d’examiner toutes les solutions du voisinage et prendre la meilleure de toutes (ou prendre la première trouvée), soit d’examiner un sous-ensemble du voisinage.

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– Le recuit simule [Kirk Patrick et al., 1983] : Inspiré du processus de refroidissement et réchauffement d’un métal pour minimiser son énergie, peut être utilisée pour améliorer l’algorithme de descente locale. Partant d’une solution donnée, en la modifiant, on en obtient une seconde. Soit celle-ci améliore le critère que l’on cherche à optimiser, on dit alors qu’on a fait baisser l’énergie du système, soit celleci le dégrade. Si on accepte une solution améliorant le critère, on tend ainsi à chercher l’optimum dans le voisinage de la solution de départ. L’acceptation d’une « mauvaise » solution permet alors d’explorer une plus grande partie de l’espace de solution et tend à éviter de s’enfermer trop vite dans la recherche d’un optimum local. – La recherche tabou [Glover, 1986] : à partir d’une solution, appelée solution courante, l’algorithme explore d’autres solutions en appliquant un opérateur de voisinage. La sélection d’une solution à partir de la solution courante doit être la meilleure parmi son voisinage. À chaque choix d’une solution parmi un voisinage, la solution choisie est stockée dans une liste tabou. Cette liste contient donc un certain nombre de solutions choisies précédemment. Le temps que la solution reste dans la liste dépend de la longueur maximale de cette liste, que l’on aura fixée au préalable. À chaque sélection, la nouvelle solution choisie ne doit pas appartenir à cette liste tabou. Contrairement à une simple descente locale, la solution sélectionnée peut être de moins bonne qualité que la solution courante, ce qui permet d’éviter d’être rapidement bloqué sur une solution et de continuer à en explorer d’autres. Après un certain nombre d’itérations, la meilleure solution trouvée, parmi toutes celles qui ont été explorées, est retournée par l’algorithme. Le nombre d’itérations maximal doit lui aussi être défini préalablement. 2) Les méthodes à base de population : Elles se basent sur une population d’individus qui interagissent entre eux afin de s’améliorer ou de produire de nouveaux individus plus performants. Elles travaillent sur un ensemble de points de l’espace de recherche. Ces méta heuristiques sont inspirées de la biologie. Parmi ces algorithmes à population on trouve, particulièrement, les algorithmes évolutionnaires comme : – L’algorithme génétique : Le plus souvent, un individu, ou chromosome, est représenté par une chaîne de bits, ou d’entiers, ou plus récemment de réels, de longueur fixée. Ces constituants sont appelés les gènes de l’individu. La qualité de cette solution est évaluée à l’aide de la fonction d’adaptation (fitness function), qui est bâtie à partir de la fonction objectif. La population évolue grâce à 3 opérations principales : la sélection, qui favorise les "bons" individus. Le croisement, qui engendre 2 enfants, héritant des caractéristiques de chacun de leurs 2

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parents. Les croisements cherchent à conserver les meilleures caractéristiques des parents. La mutation, qui altère un seul individu. Les mutations servent à créer de la diversité, pour éviter la dégénérescence. – L’optimisation par essaim de particule (Particle Swarm Optimization (PSO)) : C’est une méthode d’optimisation stochastique, pour les fonctions non-linéaires, basée sur la reproduction d’un comportement social et développée par le Dr. EBERHART et le Dr. KENNEDY en 1995. L’optimisation par essaim de particules repose sur un ensemble d’individus Originellement disposés de façon aléatoire et homogène, que nous appellerons dès lors des particules, qui se déplacent dans l’hyper-espace de recherche et constituent, chacune, une solution potentielle.

III.2.5 Méthode de résolution choisie III.5.2.1 Algorithmes plus proche voisin Cet algorithme est bâti sur le principe d'aller visiter le plus proche voisin du sommet que l'on vient de visiter. Ici "plus proche voisin" est à considérer au sens de la distance entre les deux sommets. On visite d'abord un sommet initial, déterminé par l'utilisateur, et on évalue ensuite les distances entre le sommet que l'on vient de visiter et les autres sommets qui n'ont pas encore été visités. Puis on détermine la plus petite de ces distances, celle-ci correspond au sommet le plus proche du dernier sommet visité. Pour calculer les distances, on appelle la fonction de calcul de coût des distances. On répète cette opération jusqu'à ce que tous les sommets aient été visités. On retourne ensuite au point de départ.  Principe : Visiter un sommet quelconque TANT QUE il existe un sommet non visité FAIRE Visiter un sommet non visité qui le plus proche (poids minimal) du dernier sommet visité FAIT

Revenir au point de départ

 Algorithme : indice=0 ; visite =NULL ; parcours=[] ; i=rand(1,NBSOMMET) ; Master IOSTL 2017 ---Rapport de stage PFE---CASHPLUS

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parcours[indice]=i ; visite[i]=1 ; K=rand(1,NBSOMMET) ; TANT QUE (visite[k]=0 ET k != i) FAIRE min=distance(i,k) ; point=k ; POUR j=k+1 à NBSOMMETS SI (distance(i,j) < min ) ET visite[j] = 0 & i != j) ALORS min=distance(i,j) ; point=j ; FIN SI FAIT ind=ind+1 ; parcours[ind]=point ; visite[point]=1 ; i=point ; k=rand(1,NBSOMMET) ; FAIT ind=ind+1 ; parcours[ind]=parcours[0] ; Afficher (parcours)

 Exemple :

Le chemin optimal est :{1, 6, 4, 2, 3, 5, 1 } avec un poids de 19.

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III.2.5.2 Méthode 2-opt L’idée générale est de trouver des améliorations à un circuit initialement obtenu par algorithme génétique. Le principe de cette heuristique est d’examiner chaque paire d’arêtes non consécutives du circuit et de déterminer si en remplaçant ces arêtes le nouveau poids du circuit est inférieur. Exemple : Une amélioration possible est de supprimer tout croisement. En s’appuyant sur l’inégalité du parallélogramme, prenons le cas d’un trajet ou un chemin direct relie A à B, un chemin relie B à C et ensuite un chemin relie C à D (exemple illustré dans la figure en dessous). On voit que si log(AB) + log(CD) > log(AC + lgBD)2 alors il y a présence de croisement et il apparaît plus efficace alors de passer de A à C, de relier C à B puis de passer de B à D.

Figure 13 : 2-opt

 Principe : Données :

L :(contient les villes à parcourir avec des informations sur les distances entre les villes.) L’ :(liste contient la liste du parcours de villes à effectuer.) S :(Le trajet initial)

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Début L’ S B1  true Tant que B1 faire L”  amliorationL0 si trajet L” = trajet L’ alors B1  false fin si trajet L” < trajet L’ alors L’  L00 fin fin fin

III.2.5.3 Distance matrix api : Le service Google Maps Distance Matrix API fournit les distances et les durées des trajets, pour une matrice de points de départ et de destinations. Les informations renvoyées s'appuient sur l'itinéraire recommandé entre les points de départ et les destinations, selon les calculs de Google Maps API. Elles se présentent sous forme de lignes contenant les valeurs duration et distance pour chaque arête.

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IV.1. Introduction Pour développer notre solution, un processus de développement a été adopté. Ce chapitre sera consacré pour présenter les différents outils utilisés pour ce développement, ainsi que l’ensemble des langages et technologies employées.

IV.2. Outils utilisés IV.2.1. Classification XLSTAT : XLSTAT est un logiciel de statistiques et d'analyse de données développé depuis 1993 qui vient renforcer les capacités analytiques de Microsoft Excel. XLSTAT est un outil statistique modulaire et évolutif basé autour d'un logiciel principal : XLSTAT-Pro. Le fonctionnement de XLSTAT s'appuie sur Microsoft Excel pour la saisie des données et la publication des résultats. Les calculs sont quant à eux entièrement réalisés dans des programmes autonomes (développés en C++). L'utilisation d'Excel comme interface rend le produit très convivial, simple d'utilisation et efficace. La qualité des calculs est quant à elle identique à celle de logiciels scientifiques classiques.

IV.2.2. Conception StarUML : StarUML est un logiciel de modélisation UML, cédé comme open source par éditeur, à la fin de son exploitation commerciale, sous une licence modifiée de GNU GPL. StarUML gère la plupart des diagrammes spécifiés dans la norme UML 2.0. Ce logiciel est bien fait, facile à prendre en main, on va simplement présenter ses avantages qui se résument sur le fait que tous les diagrammes UML 1.x peuvent être générés. Les petits trucs en plus sont appréciables pour créer des objets dans un diagramme, ajouter rapidement des

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attributs…, Le fait que le code source soit disponible est aussi un avantage indéniable pour l'utilisateur afin d'assurer la pérennité du logiciel.

IV.2.3. Base de données Phpmyadmin : Il s'agit de l'une des plus célèbres interfaces pour gérer une base de données MySQL sur un serveur PHP. De nombreux hébergeurs, gratuits comme payants le proposent ce qui évite à l'utilisateur d'avoir à l'installer Cette interface pratique permet d'exécuter, très facilement et sans grandes connaissances en bases de données, des requêtes comme les créations de table de données, insertions, mises à jour, suppressions et modifications de structure de la base de données, ainsi que l'attribution et la révocation de droits et l'import/export. Ce système permet de sauvegarder commodément une base de données sous forme de fichier .sql et d'y transférer ses données, même sans connaître SQL. Les requêtes SQL restent possibles, ce qui permet de les tester interactivement lors de la création d'un site pour les utiliser ensuite en batch (c'est-à-dire en différé) une fois au point.

IV.2.3. Technologies

Android studio : Android Studio est un environnement de développement pour développer des applications Android. Android Studio permet principalement d'éditer un fichiers Java et les fichiers de configuration d'une application Android. Il propose entre autres des outils pour gérer le développement d'applications multilingues et permet de visualiser la mise en page des écrans sur des écrans de résolutions variées simultanément

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HTML : HTML, l'acronyme de « HyperText Markup Language » (Langage de Balises pour l'« Hypertexte »), est utilisé pour créer et représenter visuellement une page web. C'est ce qui détermine le contenu et la présentation de base d'une page web mais pas ses fonctionnalités. HTML ajoute des « balises » au contenu textuel standard. On parle d'« hypertexte » en référence aux liens interconnectant les pages web, mécanique originelle du « World Wide Web » que nous connaissons aujourd'hui. HTML permet d'inclure des images et d'autres contenus dans les pages web. Grâce à HTML, chacun peut créer des sites web aussi bien statiques que dynamiques. HTML est le langage qui permet de décrire la structure et le contenu sémantique d'un document web. Ce contenu est balisé par des éléments HTML comme , , , , ,

, , ,, et bien d'autres encore. Ces éléments forment les blocs utiliséspour construire un site web

PHP : Ce langage est principalement utilisé pour produire un site web dynamique. Il est courant que ce langage soit associé à une base de données, Exécuté du côté serveur (l'endroit où est hébergé le site) il n'y a pas besoin aux visiteurs d'avoir des logiciels ou plugins particulier. Néanmoins, les webmasters qui souhaitent développer un site en PHP doivent s'assurer que l'hébergeur prend en compte ce langage. Lorsqu'une page PHP est exécuté par le serveur, alors celui-ci renvois généralement au client (aux visiteurs du site) une page web qui peut contenir du CSS, HTLM , JAVASCRIPT

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Bootstrap : C’est est un Framework CSS/JS sous licence Apache développé par la société californienne Twitter. Il est une collection d'outils utiles à la création de sites Web et d’applications Web. C'est un ensemble qui contient des codes HTML et CSS, des formulaires, boutons, outils de navigation et autres éléments interactifs, ainsi que des extensions JavaScript en option. Bootstrap offre du code CSS bien organisé et structuré. Il offre aussi des plugins jQuery de qualité pour enrichir les pages.

Google Map API : Google Maps est un service

basé sur

des informations détaillées sur les

le Web qui fournit

régions géographiques et

des sites dans le monde entier. En plus

des cartes routières

classiques, Google Maps propose des vues aériennes et par satellite de nombreux endroits. Dans certaines villes, Google Maps offre une vue sur la rue, comprenant des photographies prises par les véhicules. Google Maps propose plusieurs services dans le cadre de la plus grande application Web, comme suit. Un planificateur d'itinéraire offre des directions pour les conducteurs, les cyclistes, les marcheurs et les usagers des transports publics qui veulent faire un voyage d'un endroit spécifique à l'autre. L'interface de programme d'application Google Maps (API) permet aux sites Web des administrateurs pour intégrer Google Maps dans un site exclusif comme une page du guide de l'immobilier ou de service communautaire. Google Maps pour mobile propose un service de localisation

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pour les automobilistes qui utilise

le Global Positioning System

( GPS emplacement) de l'appareil

mobile (si disponible) ainsi

que des données provenant sans fil et cellulaires des réseaux. Google Street View permet aux utilisateurs de visualiser et de naviguer à travers des images de niveau de la rue panoramique horizontal et vertical de diverses villes à travers le monde. services complémentaires offrent des images de la lune, Mars, et les cieux pour les astronomes amateurs.

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V.1 Introduction Avant de commencer l’étape de réalisation de l’application, il est nécessaire de d’entamer par la modélisation théorique de l’application à réaliser afin de la décrire d’une manière formelle. La modélisation d'une application Web consiste en premier lieu, à concevoir un modèle à donner au site, d'en définir la structure, à définir le contenu ainsi d’encadrer les utilisateurs ciblés. Cette étape est fondamentale pour préciser tous les travaux de conception d'une application web.

V.2 Diagramme de cas d’utilisation Le diagramme des cas d’utilisation représente les relations entre les acteurs et les fonctionnalités du système. Le diagramme des cas d'utilisation la fonctionnalité de procédure du domaine étudié. Il permet de formaliser les besoins et de modéliser les services offerts par le système, c’est donc une vue du système dans son environnement extérieur, il modélise à la fois des activités (fonctionnalités) et des communications (interactions) pour les entités concernées (acteurs).

 Cas d’utilisation de l’application web :

Figure 14 : cas d'utilisation application web

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La figure ci-dessus représente le diagramme de cas d’utilisation de l’application web. Ce diagramme décrit les droits d’accès et de gestion affectés à chaque acteurs (admin employée, magasinier). Comme on peut bien le constater afin d’effectuer une des actions définies dans le diagramme, l’utilisateur doit être authentifié par un login et un mot de passe.

 Cas d’utilisation de l’application mobil :

Figure 15 : cas d'utilisation application mobile

La figure ci-dessus représente le diagramme de cas d’utilisation de l’application mobile. Ce diagramme décrit les taches affectées au magasinier au sein du dépôt.

V.4. Diagramme de séquence C’est une variante du diagramme de collaboration. Il permet de mieux visualiser la séquence des messages en mettant l'accent sur les aspects temporels. Le diagramme de séquence représente la succession chronologique des opérations effectuées par un acteur pour la réalisation d’un cas d’utilisation, il indique les objets que l’acteur va manipuler et les opérations qui font passer d’un objet à l’autre.

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 Authentification :

Figure 16: Action authentification

Le diagramme affiché dans la figure ci-dessus décrit les différents scénarios possibles lors d’une authentification. En premier lieu, l’utilisateur doit saisir son login et mot de passe. Ensuite, on exécute un teste au niveau de la base de donnée pour vérifier la correspondance des donnée entrés avec les données .Alors si le résultat de la vérification est positif, l’utilisateur est directement redirigé vers la page qui lui a été dédié, sinon on lui affiche un message d’erreur.

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 Repérage :

Figure 17 : Action repérage

La figure ci-dessus représente l’action de repérage , une fois l’utilisateur clique sur recherche le système lui propose un formulaire à saisir ou il doit mentionner l’année , le mois , le code d’agence , descriptive et le document spécifié par cette recherche , ensuite on le système renvoie une requête MySQL pour la vérification des données entrées , si ces informations sont valables dans la base de donnée le système lui affiche l’emplacement physique de la boite d’archive, ainsi et lui permet de faire une demande de consultation en générant un pdf, sinon on lui affiche un message d’erreur .

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 Modification :

Figure 18 : Action modification

La figure exposé en haut, explique l’action de modification, dont la fonction principale est la mise à jour des donnée de traçabilités, donc le système propose un formulaire ou le magasinier doit saisir le numéro document , ensuite on vérifie l’existence de cette information dans la base, une fois la vérification est validé le système affiche un tableau modifiable pour la mise à jour de la traçabilité sinon on affiche un message d’erreur .

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V.5. Diagramme de classe Un diagramme de classe contient principalement les entités (classe) ainsi que leurs associations mais on peut aussi y trouver des objets. En pratique, l'intérêt majeur du diagramme de classes est de modéliser les entités du système d'information. C’est tout simplement un concept qui permet de représenter les entités d’un système en définition des classes selon leurs noms, attributs et leurs opérations.

Figure 19 : diagramme de classe

Comme les boites d’archives sont l’élément indispensable de ce projet, on constate que l’entité (classe) Boite est en relation avec toutes les autres classes du diagramme, parmi ces relations on trouve :

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 Une boite est générée par une seule agence, or une agence peut produire plusieurs boites  Une boite est repérée par un seul emplacement, mais chaque emplacement peut conserver une ou plusieurs boites  Une boite contient plusieurs documents, mais chaque document appartient à une seule boite  Une boite supprimée sera enregistré sur une seule ligne d’historique  Un document est recherché par un ou plusieurs employée de même les employées peuvent repérer et demander la consultation d’un ou plusieurs documents  Un document est définit par une seul traçabilité

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V.1 Introduction Dans ce chapitre, on va analyser la production des archives de toutes les agences du royaume, puis on va faire une simulation sur la classification des agences au niveau de Casablanca et finalement on va présenter la réalisation de l’application mobile « repérage » et l’application web « la gestion des archives ». Pour atteindre cet objectif, l’add-in XLSTAT a été employé.

V.2 Etude et classification : Afin de garantir la conservation des documents au sein du dépôt d’archive, on est censé de d’analyser la production des archives, cela va nous permettre de comparer la capacité totale du local d’archive « Dépôt » avec la tendance des flux entrant d’archivage. Comme on l’a déjà mentionnée dans le chapitre 1, Les services des agences génèrent un nombre important de feuille, c’est-à-dire des documents à conserver. Parmi ces services, on trouve les transactions de change qui représentent la majorité des documents d’archives, pour cela nos études seront focalisées sur les transactions. Le graphe ci-dessous, représente les transactions mensuelles des 6 derniers mois :

Transaction mensuelle 14000

Transaaction

12000 10000 8000 6000 4000

Série1

2000 0

2016/2017

Figure 20 : Graphe des transactions mensuelles

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Suite à l’apparition et l’ouverture de nouvelles agences, le nombre des réalisations (transactions) connait une énorme croissance, cela le traduit le passage de 7019 transactions en novembre 2016 à 11822 transactions en avril 2017. Le nombre de feuilles produites en 6 mois atteint les 59056 feuilles, donc si on prend ce chiffre comme repère d’analyse, le nombre prévu pour une durée de 10 ans est 1 181 121 feuilles. Donc face à cette augmentation prévu des transactions, et la non compatibilité entre la capacité du local d’archive et le nombre de feuille à conserver durant 10 ans, on va prendre en considération quelques agences et les considérées comme locaux d’archive. Afin de garantir une bonne procédure de collecte d’archive sur ces points « locaux d’archives » ,on va faire une classification « clustering » des agences selon le critère de localisation géographique (Longitude, latitude ). Sur Casablanca on trouve 133 agences, on doit les classifier en premier lieu avec la méthode CHA puis on va choisir un nombre exact de classe avec la méthode K-means. le tableau cidessous représente les coordonnée de quelques agences.

Figure 21 : localisation des agences p(long, lat)

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V.2.1 statistique descriptive et évolution des variances : Le daleau ci-dessous représente les caractéristiques de l’échantillon observé : Tableau 5 : caractéristique de l'échantillon observé

Variable

Observations

Minimum

Maximum

Moyenne

Ecart-type

LAT

133

32,502

33,616

33,559

0,097

LONT

133

-7,739

-7,479

-7,594

0,060

Le tableau ci-dessus, nous donnée la description de l’échantillon observé. en premier lieu on trouve le nombre d’élément observé qui est figuré par le nombre d’agence au niveau de Casablanca, comme il s’agit d’un point qui représenté par ses coordonnée (longitude et latitude) , donc on au deux moyennes et deux écart type associe à chaque variable .

V.2.2 Résultat de classification avec la méthode CHA : (Ward) V.2.2.1 évolution des variances : Tableau 6 : inter-classe & intra-classe

Intra-classe

0,001

Inter-classes

0,012

Totale

0,013

V.2.2.2 Objet centraux (3 Classes ) : Tableau 7 : objet centraux

Classe

long

lat

1 (WALAA)

33,573

-7,530

2 (BALADIA)

33,574

-7,608

3 (MENARA NASSIM)

33,545

-7,676

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V.2.2.3 Résultats par classe : Tableau 8 : résultat par classe de CHA

La méthode de CHA a conduit à classifier ces 133 agences en trois classe la premier classe est composé de 50 agences, la deuxième contient 55 agences et la dernière 28 agences 

Résultat sur l’arbre CHA : Tableau 9 : Résultat sur l'arbre Dendrogramme 0,35 0,3

Dissimilarité

0,25 0,2 0,15 0,1 0,05

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C2

C3

C1

0

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V.2.3 Résultats de classification avec la méthode K-means V.2.3.1 Evolution des variances :

Intra-classe

0,001

Inter-classes

0,004

Totale

0,005

V.2.3.2 Les objets centraux : Classe

long

lat

1 (CASJAWHARA)

33,589

-7,520

2 (CASTERMINUS81)

33,541

-7,578

3 (MUSTAFA ELMAANI)

33,588

-7,620

4 (MENARA NASSIM)

33,545

-7,676

V.2.3.3 Résultat par classe : (K=4)

Après le choix de k=4 , on a obtenu 4 classes avec 4 centre différents , la première est

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composé de 40 agences , la deuxième contient 28 , la troisième de 37 agences et la dernière 28 agences .

V.3 Réalisation et solution informatique : V.3.1 environnement de développement : -

L’application mobile « archivage cash plus » a été développé sous Android, j’ai choisi ce système afin de rendre la tâche d’alimentation de base de donnée plus facile et moins chère. Cette application mobile est enrichie par un lecteur de code-barres en utilisant la libraire Zxing.

-

L’application web « gestion des archive » a été développé en PHP, HTML et JavaScript, ainsi boostrap pour le style CSS, le choix de ces langages a été soumis à la demande de mon responsable et l’orientation des technicien du service IT.

V.3.2 Réalisation : Cette partie sera consacrée pour la description des interfaces des applications réalisées au cours du stage. V.3.2.1 Application mobile :  Logo :  Page d’accueil :

 

La figure à droite expose la page d’accueil, qui est composé de deux boutons : Le premier est désigné pour l’initialisation des emplacements en scannant les étiquettes de chaque emplacement Le deuxième est spécifié au repérage des boite d’archive en l’affectant à un emplacement

Figure 22 : page d'accueil Archivage-Cash

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 Page d’initialisation des rayons : Sur la page d’initialisation, le magasinier doit scanner le code de l’emplacement et il choisit les informations correspondantes à cet emplacement puis il les enregistre (alimentation de la base de donnée). En effet chaque emplacement est représenté par :  Partition (A , B , C , D , E …etc.)  Section (A1, A2, A3 ….B1 , B2 , B3….etc. )  Etage ou nombre de tablette (1 , 2 , 3 , 4 , 5 , 6)

Figure 23 : page d'initialisation des rayons

 Page de repérage :

La page à droite , on trouve deux listes de choix (année et mois ) , plus deux champs à remplir le code d’agence et le descriptif , ces informations seront tirées depuis les boites qui respect la modalité de saisie au sein des agences . Après le remplissage d’information, le magasinier scan le code-barres de la boite ,puis il scan l’emplacement où elle sera placé , cela va alimenter la base de données en affectant la boite à son propre emplacement , et finalement il enregistre en cliquant sur ‘Save’ .

sur Figure 24 : page de repérage

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V.3.2. Application web « GESTION D’ARCHIVE »: V.3.2.1 Authentification :

Figure 25 : page d'authentification

Cette interface permet aux utilisateurs de s’authentifier afin d’accéder à leurs propres sessions. V.3.2.1 page d’accueil :

Figure 26 : page d'accueil

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La figure ci-dessous représente la page d’accueil de la session administrateur, qui englobe la totalité des fonctionnalités des autres sessions (employé et magasinier). On constate qu’il y un ensemble de ‘’rubrique ‘’ qui permet à l’utilisateur de l’application : la localisation de l’emplacement d’un document au sein du dépôt, ainsi le suivie de la traçabilité des documents et de leur mouvement, génération de codes-barres pour l’étiquetage des boite entrantes, avoir une vision globale sur la tenue et l’état du dépôt, affichage des boites mortes ou inactives pour leurs suppressions et finalement l’optimisation des tournées de collecte. Repérage des boites d’archive :

Figure 27 : page de recherche

Cette interface permet à l’utilisateur de repérer l’emplacement d’un document, donc pour effectuer une recherche et faire une demande de consultation l’employée doit suivre ces étapes :

Etape 1 : Spécifier l’année, le mois, le code d’agence, le descriptif et le document souhaité et il valide sa recherche . La figure à droite illustre une exemple de recherche. Le nom du document souhaité est charge annuelle , c’est un bordereau généré par l’agence

‘’1478’’en

septembre

2014

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Figure 28 : saisie de données

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Etape 2 :

Figure 29 : résultat de recherche

Après la validation de la recherche le système va afficher le résultat de repérage, la page de résultat fournie la localisation de la boite d’archive qui comporte le nom de ce document ainsi une image détaillé sur cette localisation , donc afin de consulter ce document l’employé doit faire une demande en cliquant sur enregistrer et il aura le choix d’ajouter un autre document ou bien imprimer un ordre de consultation .

Figure 30 : enregistrement de la demande

Sur la figure ci-dessous on constate qu’après l’enregistrement du résultat, l’employé aura la

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possibilité de faire d’autre recherche ou bien imprimer un PDF -ordre de consultation-

Figure 31 : demande de consultation

La figure ci-dessous représente le document PDF généré, c’est un ordre de consultation qui doit être signé et validé par le responsable d’archivage. Traçabilité des documents :

Figure 32 : traçabilité des documents

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L’interface ci-dessous figure la traçabilité de chaque document consulté. Parmi les éléments de cette traçabilité on trouve la localisation du document, l’employée qui a demandé ou consulté ce document ainsi l’état de chaque document, par exemple : Un document x est : -présent ça signifie que le document x a été consulté ou bien retiré et rendu par un employé dans une date. -absent ça signifie que le document x a été retiré sans qu’il soit rendu au local d’archive -demandé ça signifie que le document x a été demandé par un employé, mais il n’a pas été encore consulté ou retiré. Générateur de code-barres :

Figure 33 : générateur de code-barres

La page de générateur de code-barres permet au magasinier de créer des étiquette ‘codebarres’ selon le nombre de boites collecté quotidiennement. En premier lieu le magasinier doit saisir le nombre demandé, puis le système affiche un ensemble de code-barres, puis il les imprime.

Figure 34 : ensemble de code-barres

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Etat du dépôt :

Figure 35 : tenu et disponibilité d'emplacement

La figure ci-dessous expose l’état du dépôt, cette page permet au magasinier d’avoir une vision sur la disponibilité des emplacements et le nombre de boites qu’il peut stocker dans chaque emplacement, sachant que la capacité maximal de chaque emplacement est 6 boites. Boites inactives :

Figure 36 : Liste des boites inactives

La page des boites inactives représenté par la figure ci-dessous, est désigné à la suppression des boites mortes qui dépasse une durée de 10 ans et qui désigné aussi à la libération des emplacements.

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Opt-Tournée :

Figure 37 : page d'organisation des tournées

Suite à la classification des agences, l’organisation des tournées de collecte va être effectuée selon les noyaux des classes retrouvées. En période de collecte l’administrateur doit choisir l’ensemble d’agence dont le convoyeur doit visiter, et il exécute le programme d’optimisation et il obtient le chemin optimale avec les informations nécessaires liées à cette tournée , en suivant ces étapes : ETAPE1 : En premier lieu, on coche les agences qu’on désire visiter puis on les localise sur la Map pour avoir la matrice de distance avec l’api de distance matrix que le programme va utiliser vers la suite.

Figure 38 : localisation des agences

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ETAPE 2 : Après cocher les agences, on clique sur le bouton tournée optimal et il obtient :

Figure 39 : resultat de l'otpimisation

La figure ci-dessous représente l’ensemble de résultats de l’optimisation obtenu par l’algorithme du plus proche voisin amélioré avec la méthode 2-opt, ainsi il offre les informations liées à cette tournée comme le nombre de boites qui doivent être collecté lors de cette tournée, le carburant consommé durant cette tournée, la longueur de ce trajet optimisé et finalement l’ordonnancement des agences visitées.

Et afin de visualiser l’itinéraire sur la Map, on clique sur le bouton itinéraire pour obtenir :

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Figure 40 : itinéraire d chemin optimal

V.3.2 Conclusion : Ce chapitre a été dédié pour décrire et expliquer la démarche et le fonctionnement de nos solutions proposés en ce qui le repérage des documents, l’organisation et la gestion des tournées de collecte tout en introduisant des outils et langages qui nous ont aidés à atteindre nos objectifs et les résultats attendus de l’entreprise

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Conclusion et perspective Tout au long de ce rapport, on a présenté les différentes étapes de la gestion des projets, modélisation mathématique, la conception et la réalisation de notre application ayant comme objectif la gestion des flux d’archivages. D’après la réalisation de ce travail, nous avons pu aboutir et apporter une réponse à notre problématique qui consiste à concevoir et réaliser un système permettant de gérer le flux d’archive de CASHPLUS et la restructuration de son local d’archive, ainsi que les l’organisation des tournées de collectes. Cette étude nous a aidés à approfondir et élaborer nos connaissances en domaine de logistique et transport, aussi bien que le domaine d’informatique et les technologies utilisées durant la réalisation. En utilisant des différentes procédures et fonctions, à travers le processus effectué, nous avons acquis et développé des qualités, aptitudes et intérêts, ce qui va refléter positivement sur notre carrière professionnelle. Au cours de cette réalisation, on a fréquenté plusieurs

contrainte notamment l’etat

désencombré du local d’archive , le temps qui était relativement un obstacle devant la validation du plan d’action proposé et autres composante comme l’absence des données pour faire les prévisions . Cependant ce travail nous a mis en confiance et nous a rendus capables de concevoir et de mettre en pratique n’importe quelle application visant à résoudre une problématique dans le domaine de logistique et transport, par ailleurs il nous a donné l’opportunité de s’initier à la vie professionnelle dans un milieu réel avec un début d’expérience significatif. Par ailleurs, sur le plan relationnel, ce projet a été une véritable occasion de vivre de près l’expérience du travail au sein d’une société, qui exige la ponctualité et l’intégration dans un groupe de travail. Ce qui nous a permis aussi d’améliorer nos capacités de communication et de nous adapter à la vie professionnelle. Master IOSTL 2017 ---Rapport de stage PFE---CASHPLUS

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Il est à noter que la gestion physique des documents d’archive n’est qu’un premier pas vers une gestion numérique de ces documents , pour cela on est censé d’élargir la complexité du projet et ajouter d’autre fonctionnalité à notre solution présente , en premier lieu on doit définir un procédure de scan et une modalité pour référencier les documents générés par les agences , d’une autre part on doit mener une étude pour améliorer la classification des documents selon leurs valeurs juridiques et leurs utilisations internes.

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Référence [1] https://www.cashplus.ma [2] Norme NF ISO 11 799 "Prescriptions pour le stockage des documents d'archives et de bibliothèques" [3] Michel Roux. Entrepôts et magasins. Editions d'Organisation, 2011 .470 pages [4] résumée dans l'instruction des Archives de France DITN/RES/2004/005 du 2 décembre 2004 [5] https://zagoarchivesblog.wordpress.com/2012/01/08/loi-marocaine-sur-les-archives [6] AD 1399/DE 58 069 du 3 février 1992 "Bâtiments d'archives. Règles de sécurité et de protection des documents". [7] https://developers.google.com/maps/documentation/distance-matrix/intro

[8] https://developers.google.com/maps/documentation/directions/intro [9] http ://www.isima.fr/f4/projets2006/Rapport [10] http ://www.univ-constantine2.dz/files/Theses/Informatique/Doctorat/AmiraGherboudj.pdf

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Université Hassan II – Casablanca Faculté des Sciences Aïn Chock

Année Universitaire 2016 / 2017

Master D’INGENIERIE ET OPTIMISATION DES SYSTEMES DE TRANSPORT ET LOGISTIQUE (IOSTL) Nom & prénom : OUAHERRA YASSINE Titre du sujet : Optimisation et gestion des flux d’archive Secteur d’activité : Transfert d’argent, gestion d’archivage Outils techniques : UML, JavaScript, PHP, Xlstat, Google Map, Android Mots clés : Optimisation, Archive, collecte, classification, prévision, flux de documents, gestion de projet Résumé

L’archive est un composant primordiale dans la gestion administrative quotidienne de tout organisme, car les documents d’archives permettent d’enregistrer toute sorte d’activité. Donc la gestion d’archive et l’optimisation de son flux vont permettre aux gestionnaires d’améliorer leurs processus et leurs déroulements tout en gardant une traçabilité de données. C’est dans ce cadre que s’est déroulé mon stage de fin d’étude. En outre ce mémoire est le fruit du travail réalisé au sein de l’entreprise de transfert d’argent CASHPLUS, afin de mettre en place un système de gestion d’archivage et de collecte. Le travail consistait tout d’abord et avant de passer à la gestion des archives, de faire des visites au local d’archive et étudier la production des documents d’une période donnée, pour pouvoir comparer la capacité de conservation et le flux d’archive entrant sur l’échelle de 10 ans. Par la suite et afin d’organiser la procédure de collecte des boites d’archives depuis les agences, une classification d’agences selon leurs localisations (longitude, latitude) a été réalisée. Ainsi l’intégration d’un système d’information dédié à l’archivage, ce dernier permet de repérer l’emplacement des boites d’archives, le suivi et la traçabilité de mouvement des documents consultés, la génération de codebarres, une vision sur la tenue du stock et finalement l’organisation et l’optimisation des tournées de collecte. Bref, ce mémoire met en place le savoir-faire acquit durant mes deux années du Master, ainsi que des technologies informatiques employées pour la réalisation de la solution. En outre, il reflète toutes les connaissances assimilées en domaine du transport et logistique, durant la période du projet.