QCM-Phrmacologie Oran + CT  [PDF]

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Zitiervorschau

I-

3eme année médecine Année universitaire: 2020 - 2021

QUESTION À CHOIX MULTIPLE

PHARMACOLOGIE

Important…

,, "La détermination d’aujourd’hui mène au succès de demain" La volonté est tout ce qu'il faut à quelqu'un pour réussir. Si tu l'as et que tu la gardes, tu as tout gagné.

A.

K.H

1-La voie intraveineuse : A. Est une voie d’urgence. B. Présente un intérêt chez les patients inconscients. C. Inutile en cas de diarrhée. D. Inutile en cas de vomissement. E. Expose le patient au risque de contamination microbiologique. 2-Parmi les vois suivantes, lesquelles peuvent être locales : A. Orale. B. Rectale. C. Vaginale. D. Intra-artérielle. E. Sublinguale. 3-La biodisponibilité d’un médicament administré par voie orale peut-être influencée par : A. La glycoprotéine P. B. L’effet du 1er passage intestinal. C. L’effet du 1er passage hépatique. D. Les enzymes rectales. E. La vascularisation du muscle fessier. 4-La phase biopharmaceutique d’un comprimé gastrorésistant administré par voie orale se passe au niveau : A. De l’estomac . B. De la bouche. C. De l’intestin. D. Du rectum. E. Du poumon. 5-La fixation protéique des médicaments acides faibles : A. Est spécifique à l’albumine. B. Est spécifique à l’alpha-1-glycoprotéine. C. Est spécifique aux lipoprotéines. D. Peut exposer au risque des interactions médicamenteuse. E. Peut-être saturable. 6-Au cours de la distribution du médicament, la fraction libre : A. Est responsable de l’action pharmacologique. B. Peut traverser le placenta. C. Peut traverser la barrière hémato-encéphalique. D. Est une forme de stockage temporaire. E. Est la fraction liée aux protéines plasmatiques.

7-Le métabolisme des médicaments : A. Est obligatoire pour tout médicament. B. Se déroule toujours au niveau du foie. C. Implique obligatoirement une oxydation enzymatique. D. Peut engendrer des métabolites actifs. E. Peut engendrer des métabolites inactifs. 8-A propos des métabolites des médicaments : A. Ils peuvent être toxiques. B. Les métabolites de la phase I sont toujours inactifs. C. Les métabolites de la phase II sont toujours inactifs. D. Sont généralement hydrosolubles. E. Sont généralement liposolubes. 9-A propos de l’élimination du médicament de l’organisme : A. La totalité de la dose administrée doit être métabolisée pour être éliminée. B. La voie rénale peut être considérée comme une voie principale pour l’élimination des médicaments. C. La filtration glomérulaire des médicaments se fait par mécanisme saturable. D. La voie pulmonaire est réservée pour l’élimination des médicaments volatils. E. L’excrétion salivaire est une voie accessoire. 10-La réabsorption tubulaire des médicaments : A. Est un phénomène de transport du médicament du sang vers la lumière tubulaire. B. Se fait par mécanisme actif au niveau du tube contourné proximal. C. Se fait par mécanisme passif au niveau du tube contourné distal. D. Est influencée par le PH urinaire. E. Est augmentée pour les médicaments acides faibles en cas d’alcalinisation des urines. 11-A propos des paramètres pharmacocinétiques : A. Pour un médicament à coefficient d’extraction faible, la quantité du médicament soustraite de la circulation générale est très importante. B. L’estimation de l’aire sous la courbe permet l’étude de la biodisponibilité du médicament. C. Le volume de distribution est un volume fictif quantifiant la distribution d’un médicament. D. La clairance totale d’un médicament correspond à la somme des clairances des organes épurateurs. E. L’étude des paramètres permet une meilleure adaptation posologique du médicament.

12-A propos du récepteur muscarinique de l’ACh A. C’est un récepteur couplé à la protéine G. B. C’est un récepteur canal excitateur. C. La fixation du ligand entraine la formation d’un second messager. D. Il peut être une cible des curares. E. Il peut être une cible des benzodiazépines. 13-A propos de la pompe Na+/K+ ATPase : A. Elle joue un rôle majeur dans le maintien du potentiel membranaire. B. Son inhibition entraine une accumulation du Na+ intracellulaire. C. Son inhibition entraine un effet inotrope positif. D. Sa stimulation entraine une augmentation du Ca++ intracellulaire. E. Elle peut être stimulée par les digitaliques. 14- La toxicité digestive liée à l’administration des AINS : A. Est un effet indésirable imprévisible. B. Est un effet indésirable dose-dépendant. C. Est une réaction idiosyncrasique. D. Est un effet lié aux propriétés pharmacologiques de ces médicaments. E. Est un effet indésirable de type E. 15-A propos de l’hydrolyse ralentie de la succynilcholine : A. C’est un défaut d’absorption de la succinylcholine. B. C’est un défaut de métabolisme de la succinylcholine. C. C’est un effet indésirable fréquent. D. C’est une réaction immuno-allergique. E. Elle peut provoquer une paralysie respiratoire. 16-Pour le phénobarbital : A. Après un temps de demi-vie, sa concentration plasmatique diminue de moitié. B. Après un temps de demi-vie, sa concentration plasmatique augmente de moitié. C. La mesure de T1/2 permet le calcul de la constante de vitesse d’élimination. D. Après 2 temps de demi-vie, sa concentration plasmatique devient indétectable. E. L’estimation de la demi-vie permet de définir le rythme posologique.

17-A propos de l’effet antabuse : A. Il résulte de l’effet inhibiteur de l’alcool en cas de consommation unique et massive. B. Il résulte de l’effet inducteur de l’alcool en cas d’une absorption continue. C. Il se manifeste par une rougeur intense du visage, du cou et du thorax avec hypotension. D. Il est lié à l’accumulation de l’acétaldéhyde. E. Il peut être exploité dans le sevrage alcoolique. 18-A propos de la variabilité de la réponse aux médicaments chez le sujet jeune, on note : A. Une accélération de l’absorption des médicaments. B. Une diminution du volume de distribution des médicaments hydrosolubles. C. Une diminution de la biodisponibilité des médicaments à effet de premier passage hépatique importante. D. Une diminution de la demi-vie des médicaments à élimination rénale. E. Une augmentation de la fraction libre des médicaments acides faibles. 19-Une femme âgée de 32 ans est enceinte de 22 semaines ; présente des douleurs lombaires et fatigue, elle consulte pour soulager ses douleurs avec une HTA gravidique non-équilibrée. Quelle(s) est (sont) la (les) prescription(s) permise(s) ? A. Un AINS + Prednisone. B. Deux AINS + suppléments vitaminiques + ramipril (IEC). C. Prédnisolone + paracétamol + suppléments vitaminiques + nifédipine. D. Un AINS en application locale (3 fois par jour) + paracétamol. E. Prednisone + paracétamol + suppléments vitaminiques + méthyldopa. 20-En cas de grossesse, les médicaments suivants sont contre-indiqués : A. Les antidiabétiques oraux. B. Les insulines. C. Les héparines de faible poids moléculaire. D. Les antivitamines K. E. Les AINS

21-Pour traiter une femme allaitante ; vous devez vous assurer que le médicament prescrit : A. Se lit faiblement aux protéines plasmatiques . B. Soit peu lipophile. C. Présente une demi-vie longue. D. Soit fortement métabolisé en produits actifs. E. Présente un profil de sécurité rassurant pour le nourrisson. 22-Le charbon activé : A. Est indiqué dans les intoxications médicamenteuses. B. Est contre-indiqué dans les intoxications médicamenteuses. C. Augmente l’absorption des médicaments. D. Diminue l’absorption des médicaments. E. Sa biodisponibilité est nulle. 23-L’association de la rifampicine (inducteur enzymatique) et acénocoumarol (antivitamine K (AVK) à métabolite inactif ) : A. Augmente le risque d’hémorragie. B. Augmente le risque de thrombose. C. Nécessite une augmentation de la dose de la rifampicine. D. Nécessite une diminution de la dose de la rifampicine. E. Entraine une synergie d’effet anticoagulant. 24-L’association de naloxone et morphine : A. Est synergique. B. Est antagoniste. C. Est contre indiquée en cas d’intoxication morphinique. D. Est potentialisatrice. E. Est indiquée en cas d’intoxication à la morphine. 25-L’association AINS et anticoagulant (AVK) : A. Augmente le risque d’hémorragie digestive. B. Protège l’estomac du risque de saignement digestif. C. Nécessite l’augmentation des doses AVK. D. Nécessite l’augmentation des doses des AINS. E. Augmente l’effet anti-inflammatoire des AINS. 26-Concernant la dose de charge : A. Elle permet d’atteindre rapidement l’état d’équilibre. B. Elle donne toujours des concentrations dans la zone thérapeutique. C. Elle varie d’un médicament à un autre. D. Elle est généralement administrée au milieu du traitement. E. Elle peut être administré au milieu du traitement.

27-Vous demandez un dosage de vancomycine (médicament administré en IV, non-métabolisé et éliminé par voie rénale) pour l’un de vos patients. La concentration mesurée est inférieure au seuil de détection. Les causes possibles sont : A. La molécule peut-être mal absorbée. B. Le patient prend également un médicament inhibiteur enzymatique. C. Le patient prend également un inducteur enzymatique. D. Il y a eu un problème au moment de l’analyse. E. Le patient présente une fonction rénale accélérée. 28-Les médicaments aux propriétés anticholinergiques peuvent entrainer : A. Une diarrhée. B. Une constipation. C. Une sécheresse buccale. D. Un encombrement bronchique. E. Une mydriase. 29-Les parasympathomimétiques : A. Constitue le traitement de choix de l’HTA. B. Peuvent entrainer une bronchoconstriction. C. Constitue le traitement de choix de l’ulcère gastrique. D. En collyre, ils sont myotiques. E. En collyre, ils sont mydriatiques. 30-L’intoxication organophosphorée peut être traitée par : A. L’atropine. B. L’ipratropium (ammonium quaternaire) par voie orale. C. Neostigmine. D. Pyridostigmine. E. Parasympathomimétiques directs. 31- Un neuroleptique peut présenter : A. Un effet antipsychotique. B. Un effet sédatif. C. Un effet désinhibiteur sur les symptômes productifs. D. Un effet anti productif sur les symptômes négatifs. E. Un effet inhibiteur sur la sécrétion de prolactine. 32-Les benzodiazépines : A. Sont des anxiolytiques. B. Antagonisent les récepteurs GABA-A. C. Agissent en présence du GABA. D. Sont proconvulsivants. E. Agonisent les récepteurs NMDA.

33-Concernant les antiépileptiques de 1ère génération : A. L’acide valporique peut être utilisé pour réduire les absences. B. Le midazolam est une benzodiazépine utilisée pour le traitement chronique de l’épilepsie tonico-clonique. C. La carbamazépine est caractérisée par son effet inducteur enzymatique. D. L’ethosuximide est utilisé pour réduire les absences de la maladie épileptique. E. Ils ont une pharmaco cinétique complexe. 34-Pour une grossesse sans risque important de malformations néonatales sous traitement antiépileptique ; il est préférable de : A. Prescrire la lamotrigine. B. Prescrire l’acide valporique. C. Prescrire une supplémentation en acide folique. D. Prescrire une poly thérapie. E. Prévenir la patiente du risque potentiel. 35-L’intoxication au paracétamol peut être traitée par : A. La codéine. B. Le tramadol. C. La morphine. D. La naloxone. E. La N-acétylcystéine. 36-Les antalgiques de palier III ou niveau III peuvent entrainer les effets indésirables suivants : A. Constipation. B. Diarrhée. C. Somnolence. D. Rétention urinaire. E. Insomnie 37-La miansérine : A. Est un antidépresseur atypique. B. Agit par inhibition des récepteurs α 2 adrénergiques pré-synaptiques. C. A un effet anticholinergique. D. A un effet antihistaminique H1. E. Présente un effet sédatif. 38-Les AINS peuvent induire : A. Une hypokaliémie. B. Une hyperkaliémie. C. Une hypotension. D. Une insuffisance rénale. E. Un bronchospasme.

39-Le célécoxib : A. Agit par inhibition de la COX 1 . B. Est contre indiqué pendant la grossesse. C. Est dépourvu toxicité rénale. D. Peut être prescrit chez un patient ayant des antécédents d’ulcère gastroduodénal. E. Peut induire le syndrome de Reye. 40-Les anti-inflammatoires stéroïdiens sont contre indiqués : A. En cas de grossesse. B. Chez la femme qui allaite. C. En cas d’hypotension. D. En cas d’hypertension. E. En cas de vaccination par un vaccin vivant atténué. 41-Les anti-inflammatoires stéroïdiens peuvent entrainer les effets indésirables suivants : A. Une hyperglycémie. B. Une insuffisance rénale. C. Une hypokaliémie. D. Une hyperkaliémie. E. Un glaucome. 42-A propos du relais héparine-antivitamine K : A. Il est obligatoire lors d’un traitement par héparine. B. Il est obligatoire lors d’un traitement par antivitamine K. C. Il consiste en une administraion concomitante de l’héparine et de l’antivitamine K. D. Il consiste en une administration de l’héparine après arrêt de l’antivitamine K. E. Les héparines de bas poids moléculaire sont les seules héparines utilisées. 43-Parmi les anticoagulants suivants, lesquels sont administrés par voie orale : A. Fondaparinux. B. Danaparoide. C. Antivitamine K. D. Héparine. E. Rivaroxaban. 44-A propos des hypertenseurs : A. Les inhibiteurs calciques ont un effet inotrope négatif. B. Les β-bloquants augmentent la fréquence cardiaque. C. La toux sèche est caractéristique des inhibiteurs de l’enzyme de conversion. D. L’aliskiren est utilisé en première intention dans le traitement de l’HTA. E. L’hypertrophie cardiaque est un effet lié à l’inhibition de l’enzyme de conversion (IEC).

45-Parmi les médicaments utilisés pour le traitement de l’HTA : A. Les diurétiques de l’anse sont utilisés pour augmenter la volémie. B. Les β-bloquants réduisent le débit cardiaque. C. Les IEC sont des hyperkalémiants. D. Les ARA II entrainent l’inhibition d’une enzyme de conversion. E. Les antihypertenseurs centraux peuvent être utilisés chez la femme enceinte. 46-Les diurétiques thiazidiques : A. Peuvent induire une hyperkaliémie. B. Présentent un effet diurétique progressif. C. Peuvent être indiqués dans le traitement de la lithiase urinaire liée à une hypercalciurie. D. Peuvent induire une insuffisance rénale fonctionnelle. E. Peuvent induire une hypoglycémie. 47-Parmi ces classes de diurétiques ; laquelle présente un effet diurétique majeur ? A. Les diurétiques thiazidiques. B. Les inhibiteurs de l’anhydrase carbonique. C. Les diurétiques osmotiques. D. Les diurétiques de l’anse. E. Les anti-aldostérones. 48-Un antibiotique temps-dépendant : A. Nécessite une administration unique. B. Peut nécessiter une administration continue. C. Est efficace lorsque sa concentration au niveau du sang est inférieure à la CMI de la bactérie. D. Son efficacité est reliée à la Cmax. E. Sa concentration résiduelle est importante pour le suivi pharmacologique. 49-Les bêtalactamines : A. Sont bactériostatiques. B. Sont des inhibiteurs de la synthèse du peptidoglycane. C. Sont des inhibiteurs de la sous unité 30S ribosomale. D. Possèdent un effet post-antibiotique très long. E. Les inhibiteurs des béta-lactamases peuvent diminuer la résistance bactérienne à ces antibiotiques. 50-La vancomycine est un antibiotique glycopeptide : A. Agissant par inhibition de la réplication de l’ADN. B. Agissant par inhibition de la synthèse du peptidoglycane. C. Bactéricide. D. Concentration dépendant. E. Active uniquement sur les bactérie à gram +

51- La voie percutanée : A. Consiste en l’administration du médicament au niveau de la muqueuse rectale. B. Est une voie sans effraction cutanée et/ou muqueuse. C. Evite l’effet du premier passage hépatique. D. Evite l’effet du premier passage pulmonaire. E. Garantie sa biodisponibilité totale. 52-Au cours de la distribution du médicament, la fraction liée : A. Est responsable de l’action pharmacologique. B. Peut traverser le placenta. C. Peut traverser la BHE. D. Est une forme de stockage temporaire. E. Est la fraction liée aux protéines plasmatiques. 53-La biodisponibilité d’un médicament peut-être influencée par : A. Le phénomène de résorption. B. L’effet de premier passage intestinal. C. L’effet de premier passage hépatique. D. Le mécanisme d’action. E. Les effets indésirables. 54-La réaction de glucoroconjugaison : A. Est catalysée par le cytochrome P450. B. Est catalysée par l’UDP glucoronyl-transférase. C. Est une réaction d’oxydation. D. Peut se produire au niveau du foie. E. Concerne uniquement les métabolites les réactions de la phase I. 55-Parmi les paramètres pharmacocinétiques suivants ; le(s)quel(s) permet(ent) de quantifier la phase d’absorption ? A. La biodisponibilité. B. Le temps de demi-vie. C. L’aire sous la courbe. D. Le volume de distribution. E. La clairance rénale. 56-A propos des récepteurs enzymes : A. Ce sont des récepteurs membranaires. B. Ils peuvent avoir une activité tyrosyl kinase. C. Ils peuvent avoir une activité tyrosyl phosphatase. D. Ils peuvent être à activité cationique. E. Ils peuvent être à activité anionique.

57-Les effets indésirables imprévisibles peuvent être : A. Dose indépendants. B. Des réactions allergiques. C. Des réactions idiosyncrasiques. D. Liés à l’effet principal des médicaments. E. Liés à l’effet accessoire des médicaments.

63-Les AINS sont des : A. Protecteurs gastriques. B. Antiagrégants plaquettaires. C. Antihémorragiques. D. Hyperkaliémiants. E. Hyperglycémiants.

58-Dans l’insuffisance rénale, on doit : A. Utiliser des substances non métabolisées par le foie. B. Utiliser des substances à élimination biliaire. C. Utiliser des substances à index thérapeutique large. D. Adapter la posologie à la fonction hépatique. E. Espacer les prises ou diminuer les doses.

64-Les anti-inflammatoires stéroïdiens sont des : A. Antiallergiques. B. Antipyrétiques. C. Antiagrégants plaquettaires. D. Ulcérigènes. E. Immunosuppresseurs. 65-La surveillance du traitement par héparine de bas poids moléculaire comporte : A. Une numération des plaquettes. B. Une mesure du taux de prothrombine. C. Une mesure de l’activité anti-Xa. D. Une surveillance de la fonction hépatique. E. Une surveillance de la fonction rénale. 66-Parmi les médicaments utilisés dans le traitement de l’HTA : A. Tous les inhibiteurs calciques sont dotés d’une sélectivité vasculaire. B. Les β bloquants antagonisent le récepteur β 2 cardiaque. C. Les IEC et les ARA2 sont des médicaments du système rénine angiotensine aldostérone. D. L’association de deux antihypertenseurs permet de réduire les doses de chacun. E. Les anti-HTA centraux peuvent être utilisés pour une HTA gravidique. 67-La codéine médicament à propriété anticholinergique peut entrainer : A. Une constipation. B. Une augmentation des sécrétions salivaires . C. Un myosis. D. Une sécheresse buccale. E. Une bronchoconstriction.

59-A propos du suivi thérapeutique pharmacologique (STP) : A. Il permet de gérer les interactions médicamenteuses. B. Il permet de prévenir la toxicité médicamenteuse. C. Il permet de réduire les risques d’échec. D. Il ne permet pas de vérifier l’observance au traitement. E. Il est indispensable pour les médicaments à index thérapeutique large. 60-Les antipsychotiques atypiques par rapport aux neuroleptiques classiques : A. Présentent une meilleure tolérance. B. Présentent plus d’effets extra-pyramidaux. C. Présentent moins d’effets anticholinergiques. D. Sont réservés aux formes résistantes de schizophrénie. E. Sont moins efficaces sur les symptômes négatifs de la schizophrénie. 61-A propos de l’association paracétamol-codéine, elle : A. Est classée comme antalgique palier I. B. Est classée comme antalgique palier III. C. Augmente l’élimination du paracétamol. D. Est antagoniste. E. Peut entrainer une constipation. 62-Les inhibiteurs de recapture de la sérotonine (ISRS) : A. Présentent une activité anticholinergique. B. Sont dépourvus de toxicité cardiaque. C. Présentent un délai d’action court. D. Peuvent induire un syndrome sérotoninergique. E. Peuvent être prescrits en première intention chez l’adulte.

68-L’administration du charbon active : A. Peut diminuer la biodisponibilité des médicaments qui lui sont associés. B. Peut augmenter la biodisponibilité des médicaments qui lui sont associés. C. Nécessite une prise séparée d’au moins 2 heures avec les autres médicaments qui lui sont associés. D. Peut traiter les intoxications médicamenteuses pris par voie orale. E. Augmente le risque d’intoxication des autres médicaments qui lui sont associés.

69-Parmi ces diurétiques, 2 sont hypokaliémiants : A. Spironolactone. B. Furosémide. C. Hydrochlorothiazide. D. Amiloride. E. Triamtérène. 70-Un antibiotique concentration-dépendant : A. Est caractérisé par une bactéricidie rapide. B. Est caractérisé par un effet post-antibiotique. C. Doit être administré en plusieurs fractions journalières. D. Son efficacité est reliée à la Cmin. E. La gentamicine est un antibiotique concentrationdépendant. EMD 2 (2017-2018) 71- La myasthénie peut être traitée par : A. les anticholinesterasiques irréversibles. B. les pyridostygmines. C. les anticholinergiques muscariniques. D. les anticholinergiques nicotniques . E. l’atropine. 72- le glaucome peut être traité par : A. un médicament anticholinergique. B. un spasmolytique neurotrope. C. un médicament mydriatique . D. un médicament myotique . E. l’atropine. 73- A propos des β bloquants : A. la cardioséléctivité est le critère de choix de ces médicaments chez la femme qui allaite. B. la cardioséléctivité est le critère de choix de ces médicaments chez la femme enceinte . C. l’arrêt peut être brutal. D. l’arrêt doit être progressif . E. ils peuvent entrainer une hypoglycémie . 74- A propos de l’ASI ( activité sympathomimétique intrinsèque ) des β bloquants : A. elle permet d’éviter le passage à travers la barrière hémato-encéphalique. B. elle permet d’éviter les troubles lipidiques . C. elle permet de traiter avec efficacité les crises de migraine. D. elle augmente le risque d’hypoglycémie . E. elle permet d’éviter le passage à travers la barrière placentaire .

75- La pyridostigmine est un médicament : A. liposoluble. B. Anticholinoestérasique irréversible. C. Anticholinergique . D. Hydrosoluble . E. Anticholinestérasique réversible. 76- les neuroleptiques classiques : A. entrainent une perte d’appétit. B. induisent une hypothermie . C. peuvent aggraver les symptomes negatifs de la schizophrénie. D. ont un effet anti-émétique. E. entrainent une hypoprolactinémie. 77- les antiépileptiques utilisés dans le traitement des absences sont : A. carbamazépine. B. acide valproique. C. ethosuximide. D. phénolebarbital. E. lamotrigine 78- la pseudoéphedrine ( sympathomimétique α stimulant ) est contre-indiquée : A. dans le traitement de la congestion nasale. B. dans le traitement de l’AVC. C. chez la femme enceinte . D. dans les traitement d’HTA. E. chez le nourrisson. 79- a propos des antagoniste du SRAA ( système rénine angiotensine aldostérone ) : A. les IEC peuvent diminuer la filtration glomérulaire . B. les ARA II ( antagonistes des récepteurs de l’angiotensine II ) peuvent induire une hypokaliémie. C. les IEC ( inhibiteur de l’enzyme de conversion ) ont des propriétés cardioprotectrices. D. les ARA II peuvent induire une accumulation de bradykinine . E. les IEC peuvent induire une toux sèche permanente. 80- concernant les antidepresseurs IMAO ( inhibiteurs de la mono amino oxydase ) : A. la préscription des IAMO non sélectifs nécessite un régime pauvre en tyramine qui doit être interrompu dès l’arrêt de l’antidépresseur . B. ils peuvent induire une hypotension (cheese effect) . C. ils sont réservés généralement aux dépressions majeures. D. les IMAO non sélectifs ont moins d’effets indésirables E. les IMAO sélectifs antidepresseurs agissent par inhibitions de la MAO type A.

81- pour le traitement des douleurs neuropathiques ; on peut utiliser : A. les anti-inflammatoires non stéroidiens. B. des antiépiléptiques . C. le néfopam. D. des antidépresseurs. E. le paracétamol. 82-a propos des propriétés pharmacodynamiques des neuroleptiques : A. l’effet anti déficitaire est lié au blocage dopaminergique D2 au niveau de la voie mésocorticale . B. l’effet anti productif est lié au blocage dopaminergique D2 au niveau de la voie mésocorticale. C. l’effet antidéficitaire est lié à stimulation sérotoninergique 5HT2A au niveau de la voie mésocorticale. D. l’effet antiproductif est lié au blocage dopaminergique D2 au niveau de la voie mésolimbique . E. les troubles extrapyramidaux sont liés au blocage dopaminergique D2 au niveau de la voie nigrostriée. 83- a propos de l’effet de première dose de la prazosine ( α1 bloquant ) : A. il peut être lié à l’administration d’une forte dose . B. il peut être lié à la diminution rapide de la posologie . C. il peut se manifester par un évanouissement prolongé. D. il se manifeste par une hypotension orthostatique . E. il se manifeste par une crise hypertensive. 84- par voie générale, l’atropine est contre-indiquée dans le traitement de : A. la sécheresse buccale . B. l’intoxication aux organophosphorés . C. la constipation . D. L’HTA E. la rétention urinaire.

87- a propos des antidépresseurs tricycliques : A. ils sont tous désinhibiteurs. B. certains effets indésirables sont la conséquence de leur activité anticholinergique. C. ils agissent en inhibant la recapture des amines biogènes . D. ils sont tous sédatifs. E. ils possèdent un délai d’action . 88- les diurétiques thiazidiques : A. peuvent être utilisés dans le traitement de lithiase urinaire B. préservent leur action chez l’insuffisant rénal. C. peuvent induire une hyperkaliémie. D. sont les diurétiques les plus puissants . E. ont un effet progressif. 89- les anti-inflammatoires stéroidiens ne présentent pas de risque : A. chez l’hypertendu. B. chez l’immunodéprimé . C. en cas de vaccination par « des vaccins inactivés » . D. chez une femme qui allaite. E. chez l’asthmatique . 90- les AINS classiques sont contre-indiqués en cas de : A. hémorragie digestive. B. perforation intestinale. C. hypotension. D. clairance de la créatinine < 30 ml/min. E. hypokaliémie. 91- les AINS classiques peuvent induire : A. une insuffisance rénale. B. une bronchodilatation . C. une hyponatrémie . D. une augmentation des contractions utérines . E. une hépatite médicamenteuse .

85- les corticoïdes : A. peuvent entrainer une hyperkaliémie. B. stimulent la synthèse protidique . C. stimulent la sécrétion de l’ACTH . D. peuvent entrainer un glaucome . E. peuvent entrainer une rétention d’eau et de sodium .

92- le néfopam : A. entraine un risque de dépendance. B. est un antalgique morphinique . C. est indiqué dans les douleurs chroniques types cancéreuses . D. peut être associé aux autres antalgiques . E. peut être utilisé dans les frissons post-anesthésiques

86- le Flumazénl : A.est administrée par voie IV. B. a une demi-vie longue. C. a une demi-vie courte. D.est l’antidote des beanzodiazépines. E. est l’antidote des barbituriques .

93- l’ipratropium est un médicament : A. anticholinergique . B. utilisé dans le traitement du glaucome. C. hydrosoluble. D. liposoluble. E. utilisé dans le traitement de l’asthme .

94- les AINS classiques sont associés aux IPP ( inhibiteurs de la pompe à protons ) en cas de : A. posologie élevée et durée prolongée . B. sujet agés (>65 ans ). C. insuffisance hépatique . D. coadministration des ISRS ( inhibiteurs sélectifs de recapture de la sérotonine ) E. insuffisance cardiaque. 95- l’effet antiagrégant plaquettaire de l’aspirine ( acide acétyl salicylique ) : A. peut etre lié à l’inhibition de la production de prostacycline PGI2 . B. se manifeste à faible dose . C. peut etre lié à l’inhbition de la production du thromboxane A2. D. peut etre lié à son action irréversible sur la COX 2 plaquettaire . E. est utilisé pour la prévention des maladies hémorragiques . 96- ces diurétiques entrainent une alcalose métabolique : A. les diurétiques hyperkaliémiants . B. les inhibiteurs de l’anhydrase carbonique . C. les diurétiques thiazidiques . D. les diurétiques osmotiques. E. les diurétiques de l’anse. 97- les médicaments β2 stimulants peuvent : A. aggraver l’asthme. B. traiter l’asthme . C. augmenter la glycémie. D. diminuer la glycémie . E. augmenter les contractons utérines . 98- les diurétiques de l’anse : A. doivent être utilisés avec prudence en cas de goutte. B. perdent leur efficacité en cas d’insuffisance rénale. C. peuvent être utilisés dans le traitement de l’hypercalcémie . D. peuvent être utilisés pour corriger une hypokaliémie. E. sont utilisés en première intension dans le traitement de l’HTA. 99- Parmi les médicaments suivants lesquels sont considérés comme cardiotoniques : A. Les digitaliques. B. Les inhibiteurs de la phosphodiesterase. C. Les anticoagulants β adrénergiques. D. Les diurétiques. E. Les inhibiteurs de l’enzyme de conversion.

100- Les digitaliques : A. Sont des médicaments inotropes positifs. B. Sont des médicaments chronotropes positifs. C. Sont indiqués dans le traitement de l’hypertension artérielle. D. Sont indiqués en association avec le calcium en IV. E. N’ont aucune action sur la natriurèse. 101- A propos des digitaliques : A. L’hyperkaliémie potentialise leurs effets. B. L’hypercalcémie potentialise leurs effets. C. L’hypokaliémie augmente leur concentration plasmatique. D. Ils nécessitent un suivi thérapeutique pharmacologique E. Ils possèdent un effet antiémétique. 102- Concernant les inhibiteurs de la phosphodiesterases : A. Ils possèdent un effet inotrope positifs. B. Ils possèdent un effet vasoconstricteur. C. Ils peuvent être utilisés dans l’insuffisance cardiaque aigue. D. Ils peuvent être utilisés dans l’insuffisance rénale sévère. E. Ils entrainent une accumulation d’AMPC. 103- A propos des héparines : A. Elles n’agissent qu’en présence de l’antithrombine. B. L’héparine non fractionnée (HNF) est contre indiqué en cas d’insuffisance rénale. C. L’héparine de bas poids moléculaire (HBPM) est hypokaliémante. D. En cas d’apparition de thrombopénie induite par l’héparine (TIH) de type 2, il faut réduire la posologie de l’héparine administrée. E. La protamine est l’antidote. 104- A propos des anticoagulants injectables : A. Hirudine peut être utilisé en cas de TIH secondaire à HBPM. B. Danaparoide a une activité anti-Xa. C. Fondaparinux a une activité anti-IIa. D. HBPM peuvent être administrés par vois intraveineuse. E. Dabigatran est un anticoagulant injectable. 105- Les anticoagulantes anti-vitamines K (AVK) : A. Ont une action immédiate. B. Antagonisent l’action de tous les facteurs de coagulation. C. Agissent au niveau du foie. D. Sont toujours utilisés en relai de l’héparine. E. Nécessitent une adaptation posologique en cas d’insuffisance hépatique.

106- A propos de la surveillance du traitement anticoagulant : A. L’utilisation de l’héparine nécessite une surveillance systémique de la formule sanguine. B. L’efficacité de l’HNF nécessite une surveillance du taux de la prothrombine C. L’efficacité de l’HBPM nécessite une surveillance de l’activité anti-Xa. D. L’efficacité des AVK nécessite une surveillance du TCA (Temps de Céphaline Activée). E. L’efficacité du Rivaroxaban nécessite la surveillance de l’INR (International Normalized Ratio). 107- A propos des inhibiteurs de la pompe a proton (IPP) : A. Ils provoquent une inhibition réversible de la pompe à protons. B. Ils agissent localement au niveau de l’estomac sans être absorbés. C. La forme ionisée est la forme active. D. Ils peuvent être utilisés dans le traitement du reflux gastro oesophagien. E. Ils peuvent engendrer une insuffisance rénale. 108- Les antihistaminiques H2 (Anti H2) : A. Ont une durée d’action prolongée. B. Inhibe la sécrétion basale de l’acide chlorhydrique. C. Nécessitent une adaptation posologique en cas d’insuffisance rénale. D. Sont préférés le soir. E. Sont tous des inhibiteurs enzymatiques. 109- A propos des topiques gastro intestinaux : A. Inhibent la sécrétion de l’acide chlorhydrique. B. Les médicaments contenants les sels aluminium peuvent entrainer une constipation. C. Ils peuvent diminuer la biodisponibilité des médicaments co-administrés. D. Ils doivent administrés au milieu des repas. E. Ils ont une action immédiate. 110-Le misoprostol : A. Agit par effet tampon sur les ions H+. B. Stimulent les récepteurs à prostaglandines. C. Est contre indiqué en cas de grossesse. D. Peut entrainer une diarrhée nécessitant une réduction des doses. E. Est inhibiteur du cytochrome 2C19. 111- Parmi ces médicaments suivants, lesquels ne provoquent pas d’hypoglycémie : A. Les sulfamides hypoglycémiants. B. Les glinides. C. Les biguanides. D. Les analogues de la GPL-1. E. Les inhibiteurs de la DDP-4.

112- Concernant les insulines : A. Ils peuvent induire une prise de poids. B. Elles sont contre-indiquées en cas de grossesse. C. La lipodystrophie est la conséquence de la variation des sites d’injection. D. Il est préférable d’administrer les formes rapides le soir au coucher. E. L’insulinoresistance peut être la conséquence d’une modification du récepteur de l’insuline. 113- Les insulino-sécréteurs sont : A. Les sulfamides hypoglycémiants. B. Les glinides. C. Les incritinomimétiques. D. Les glitazones. E. Les biguanides. 114- Les inhibiteurs des α glucosidases : A. Sont peu absorbés par le tube digestif. B. Provoquent des flatulences. C. Augmentent l’absorption digestive du glucose. D. N’ont pas d’action sur l’hyperglycémie postprandiale. E. Doivent être administré après les repas. 115- Les antihistaminiques H1 (Anti H1) : A. Sont des antagonistes réversibles des récepteurs H1. B. Peuvent agir sur les récepteurs H2. C. Sont antiallergiques. D. Peuvent être sédatifs. E. Sont antiulcéreux. 116- Les antihistaminiques H1 sont utilisés dans le traitement : A. Du glaucome. B. Du mal du transport. C. De la toux non productive. D. Des torsades de pointes. E. De l’asthme allergique. 117. Les antihistaminiques H1 de première génération : A. Traversent la barrière hémato-encéphalique (BHE). B. Sont adrénolytiques α. C. Ont une demi de vie longue. D. Ont une demi de vie courte. E. Stimulent l’appétit. 118 - Les antihistaminiques H1 de deuxième génération A. Sont anticholinergiques. B. Ne sont pas sédatifs. C. Ne diffusent pas à travers la BHE. D. Peuvent entrainer une sécheresse buccale. E. Peuvent entrainer une rétention urinaire.

119-La voie rectale : A. Evite tout effet de premier passage. B. Evite les enzymes digestives. C. Garantit une biodisponibilité totale. D. Peut être utilisée en cas de diarrhée. E. Permet d’avoir un effet local ou général. 120-A propos du mécanisme d’action des digitaliques : A. Ils agissent par stimulation de la pompe Na+/K+ ATPase. B. Ils agissent par inhibition de la pompe Na+/K+ ATPase. C. Ils conduisent à une augmentation du calcium intracellulaire. D. Ils conduisent au relâchement de la cellule myocardique. E. Ils aboutissent à un effet inotrope négatif. 121-Concernant la voie intraveineuse : A. C’est une voie d’administration des médicaments sans effraction cutanée. B. C’est une voie réservée à l’administration des solutions huileuses. C. Elle peut être considérée comme une voie parentérale. D. Les formes pharmaceutiques administrées par cette voie doivent être apyrogènes. E. Elle permet d’éviter l’effet du premier passage hépatique. 122-Concernant la voie per os : A. C’est la voie entérale qui permet d’éviter l’effet du premier passage hépatique. B. C’est une voie non adaptée aux situations d’urgences. C. Cette voie présente une latence d’action. D. C’est la voie de référence pour les sujets comateux. E. Le médicament administré par cette voie peut subir un effet du premier passage pulmonaire. 123-Parmi ces mécanismes de passage transmembranaire, quels sont ceux qui nécessitent un transporteur : A. La diffusion facilitée. B. La diffusion passive. C. Le transport actif. D. La filtration. E. La phagocytose. 124-Concernant la voie sous-cutanée : A. Elle permet l’auto-administration du médicament. B. Elle ne permet pas d’éviter l’effet du premier passage hépatique. C. Le risque de lipodystrophie peut être évité par variation des sites d’administration. D. Est une voie à éviter en cas de brûlure. E. Les suspensions ne doivent pas être administrées par cette voie.

125-Concernant la voie percutanée : A. Elle permet une résorption rapide du médicament. B. Elle permet une libération prolongée du médicament. C. Elle n’est pas indiquée en urgence. D. Elle évite le métabolisme digestif. E. Elle n’est pas coûteuse. 126-Concernant la glycoprotéine P : A. Est une protéine qui peut diminuer l’absorption du médicament par voie orale. B. Est une protéine qui peut métaboliser le médicament. C. Est une protéine qui peut favoriser l’élimination du médicament administré par voie orale. D. Est une protéine qui facilite la diffusion tissulaire de tous les médicaments. E. Tous les médicaments peuvent être des substrats de cette protéine. 127-L’absorption au niveau pulmonaire est favorisée par : A. La grande surface d’échange alvéolaire. B. Le débit sanguin intense. C. La grande épaisseur de l’épithélium. D. La grande taille des particules médicamenteuses. E. La présence d’enzymes pulmonaires. 128-En pharmacocinétique, la phase de distribution : A. Est obligatoire pour tous les médicaments. B. Dépend de l’affinité du médicament aux protéines tissulaires. C. Dépend de la vascularisation des organes. D. Ne dépend pas des caractéristiques physicochimiques du médicament. E. Concerne uniquement la forme inchangée du médicament. 129-A propos de la diffusion des médicaments dans l’organisme : A. La fraction liée du médicament est diffusible. B. La fraction libre du médicament est diffusible. C. La fraction liée peut être métabolisée. D. Se fait toujours par diffusion passive. E. Elle peut être diminuée si le médicament est un substrat de la glycoprotéine P (Pgp). 130-La BHE : A. Limite tout passage du médicament dans le SNC. B. Est perméable en cas d’inflammation. C. Peut laisser passer les médicaments par transport actif. D. Est perméable au médicament hydrosoluble. E. Est perméable au médicament liposoluble.

131-Concernant le métabolisme des médicaments : A. Il sert à rendre le médicament plus hydrosoluble. B. Est une étape indispensable pour tous les médicaments. C. Il conduit toujours à des métabolites inactifs. D. Tous les médicaments doivent passer par la phase de fonctionnalisation. E. Le CYP3A4 est le plus impliqué dans le métabolisme des médicaments. 132-L’hépatotoxicité du paracétmol est en général la conséquence d’un déficit en : A. Acide glucoronique. B. Ion sulfate. C. Groupement méthyl. D. Glutathion. E. Acides aminés. 133-A propos de l’élimination des médicaments : A. Elle concerne uniquement les métabolites. B. La voie lactée est une voie principale d’élimination chez la femme allaitante. C. L’élimination biliaire concerne les substances dont le poids moléculaire est inférieur à 300D. D. Peut se faire par diffusion passive. E. Peut être appréciée par le calcul de la clairance. 134-Le cycle entérohépatique : A. Retarde l’élimination des médicaments. B. Diminue la durée du séjour du médicament dans l’organisme. C. Concerne les substances éliminées par la bile. D. Diminue le volume de distribution du médicament. E. Peut être minimisé par l’administration de la cholestyramine. 135-L’étude de la pharmacocinétique du médicament dans l’organisme est importante pour : A. Définir les modalités d’administration du médicament en développement. B. Choisir la voie d’administration. C. Calculer la dose et le rythme d’administration. D. Etudier les cibles des médicaments. E. Connaitre les effets indésirables. 136-L’aire sous la courbe (AUC) du médicament : A. Reflète la quantité du médicament disponible dans l’organisme. B. Reflète la quantité de métabolite éliminé de l’organisme. C. Est utilisée pour quantifier la diffusion du médicament dans l’organisme.

D. Peut être utilisée pour déterminer la biodisponibilité du médicament. E. Peut être utilisée pour adapter la posologie d’un médicament. 137-A propos de l’état d’équilibre : A. Il est atteint après 5 temps de demi-vie. B. Il est atteint après 7 temps de demi-vie. C. Il est atteint après une seule administration du médicament. D. Il correspond au temps de séjour du médicament dans l’organisme. E. Il correspond à la stabilisation des concentrations des médicaments dans l’organisme. 138-La stimulation des récepteurs couplés à la protéine G: A. La déphosphorylation du GTP en GDP. B. La phosphorylation du GDP en GTP. C. La combinaison des trois sous-unités de la protéine G. D. La dissociation de la sous-unité α. E. L’activation de l’effecteur par la sous-unité β. 139-A propos des récepteurs canaux ioniques : A. Ils sont de localisation cytosolique. B. Ils sont couplés à la protéine G. C. Ils nécessitent de l’énergie. D. Leur stimulation peut entrainer l’entrée des anions dans les cellules. E. Ils comprennent les récepteurs nicotiniques de l’ACh. 140-A propos des récepteurs à activité enzymatique : A. Le médicament se lie au site actif de l’enzyme. B. Ils peuvent être à activité phospholipase C. C. Ils peuvent être à activité tyrosine kinase. D. Ils peuvent être inhibés irréversiblement par le médicament. E. Leur activité nécessite une autophosphorylation 141-L’interaction Acénocoumarol (AVK à métabolite inactif) et Rifampicine (inducteur enzymatique) peut être gérée : A. En remplaçant la Rifampicine par le Phénobarbital. B. En augmentant la posologie de la Rifampicine. C. En augmentant la posologie de l’Acénocoumarol. D. En diminuant la posologie de l’Acénocoumarol. E. En ajoutant de l’Aspirine à forte dose.

142-Les associations suivantes sont des antagonistes : A. Morphine et Naloxone. B. Aminoside et Péniciline. C. Tétracyclines et Péniciline. D. Aspirine 100mg et AVK. E. Clofibrate et AVK. 143-Dans l’association Acénocoumarol (AVK à métabolite inactif) et Phénobarbital (inducteur enzymatique) : A. Le risque hémorragique est élevé. B. Le risque de thrombose est élevé. C. Le taux de prothrombine (TP) risque d’augmenter. D. Le taux de prothrombine (TP) risque de diminuer. E. Il faut augmenter la posologie du Phénobarbital. 144-A propos des associations médicamenteuses suivantes : A. L’association AVK et Spiramycine est contre-indiquée. B. L’association Ampicilline et Probénécide est contreindiquée. C. L’association AVK et Aspirine à forte dose est contreindiquée. D. L’association Clofibrate et AVK peut augmenter le risque hémorragique de l’AVK. E. L’association Tétracyclines et Calcium pris simultanément peut diminuer la biodisponibilité des tétracyclines. 145-L’idiosyncrasie : A. Est un effet indésirable dose indépendant. B. Est un effet indésirable lié à l’effet principal du médicament. C. Est un effet indésirable lié aux effets accessoires du médicament. D. Est un facteur de variabilité génétique de la réponse au médicament. E. Nécessite un contact préalable avec le médicament pour se manifester. 146-A propos des modalités d’administration des coritcoïdes : A. Ils doivent être administrés le matin. B. Ils doivent être administrés après 16H. C. Ils doivent être administrés le soir. D. Le non respect de l’heure d’administration peut diminuer leur durée d’action. E. Le non respect de l’heure d’administration peut favoriser les effets indésirables.

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