QCM FC MS [PDF]

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Zitiervorschau

Pré-tests FC MS DOCUMENT ÉLABORÉ PAR:

MR. HADDOUGUI DRISS : CADRE DE SANTÉ ET CHEF DE PSI À CHP MOHAMMEDIA

PLAN 1.

Pré-test HTA

2.

Pré-test diabète

3.

Pré-test LAT

4.

Pré-test MSR (Nouveau-né)

5.

Pré-test MSR (Mére)

6.

Pré-test méningites

7.

Pré-test vieillesse

1-PRÉ-TEST [

]HTA

(Les QCM destinées aux infirmiers : n° 1, 2, 6, 10, 11)

Q1- On parle d’HTA grade 1 quand la T.A : a. PAS= 120-129 et / ou PAD = 80 / 84 b. PAS=130-139 et / ou PAD =85-89 c. PAS=140-159 et / ou PAD =90-99 d. PAS≥ 140 et PAD90.

Q1- On parle d’HTA grade 1 quand la T.A : a. PAS= 120-129 et / ou PAD = 80 / 84 b. PAS=130-139 et / ou PAD =85-89 c. PAS=140-159 et / ou PAD =90-99 d. PAS≥ 140 et PAD90.

Q2- L’HTA PEUT SE MANIFESTER PAR : a. Céphalée b. Hémiplégie

c. Vertige d. Aucun signe clinique

Q2- L’HTA PEUT SE MANIFESTER PAR : a. Céphalée b. Hémiplégie

c. Vertige d. Aucun signe clinique

Q3- LE BILAN INITIAL À DEMANDER EN CAS D’HTA : a. Glycémie à jeun b. Echographie cardiaque c. ECG de repos d. Créatinémie e. Fond d’œil

Q3- LE BILAN INITIAL À DEMANDER EN CAS D’HTA : a. Glycémie à jeun b. Echographie cardiaque c. ECG de repos d. Créatinémie e. Fond d’œil

Q4- Devant un patient hypertendu sans bilan biologique, quel est le meilleur traitement à prescrire : :

a. Les diurétiques b. Les bétabloquants c. IEC d. Les associations e. Inhibiteur calcique

Q4- Devant un patient hypertendu sans bilan biologique, quel est le meilleur traitement à prescrire : :

a. Les diurétiques b. Les bétabloquants c. IEC d. Les associations e. Inhibiteur calcique

Q5- Le traitement de l’hta grade I qui n’a pas cédée aux mesures hygiéno-diététiques, avec bilan normal : :

a. Furosémide (Lasilix®, Duresan®,..) b. Diurétique thiazidique c. Bithérapie d. IEC e. ARA II

Q5- Le traitement de l’hta grade I qui n’a pas cédée aux mesures hygiéno-diététiques, avec bilan normal : :

a. Furosémide (Lasilix®, Duresan®,..) b. Diurétique thiazidique c. Bithérapie d. IEC e. ARA II

Q6- Les mesures hygiéno-diététiques pour un hypertendu sont : :

a. Arrêt du tabac b. La réduction de l’excès de poids c. La pratique de l’exercice physique pendant 15 min 6 fois par semaine d. La réduction sodée  6g / jour

Q6- Les mesures hygiéno-diététiques pour un hypertendu sont : :

a. Arrêt du tabac b. La réduction de l’excès de poids c. La pratique de l’exercice physique pendant 15 min 6 fois par semaine d. La réduction sodée  6g / jour

Q7- Les bétabloquants sont indiqués de préférence : a. En cas d’insuffisance cardiaque b. Pour l’hypertendu coronarien c. Pour l’hypertendu diabétique d. En cas d’HTA grade I.

Q7- Les bétabloquants sont indiqués de préférence : a. En cas d’insuffisance cardiaque b. Pour l’hypertendu coronarien c. Pour l’hypertendu diabétique d. En cas d’HTA grade I.

Q8- Le patient hypertendu doit être référé au spécialiste dans les situations suivantes :

a. Une protéinurie b. Une résistance thérapeutique c. HTA grade II d. Hypokaliémie confirmé en dehors du traitement.

Q8- Le patient hypertendu doit être référé au spécialiste dans les situations suivantes :

a. Une protéinurie b. Une résistance thérapeutique c. HTA grade II d. Hypokaliémie confirmé en dehors du traitement.

Q9- Chez le diabétique, l’objectif tensionnel est : a. 14 / 09 b. 13 / 08 c. 12 / 07 d. 14 / 08

Q9- Chez le diabétique, l’objectif tensionnel est : a. 14 / 09 b. 13 / 08 c. 12 / 07 d. 14 / 08

Q10- La mesure de la TA se fait : a. toujours en position couché b. après 5 min de repos c. le pavillon du stéthoscope sous le brassard d. peut se faire par un tensiomètre électronique validé e. bras au même niveau du cœur.

Q10- La mesure de la TA se fait : a. toujours en position couché b. après 5 min de repos c. le pavillon du stéthoscope sous le brassard d. peut se faire par un tensiomètre électronique validé e. bras au même niveau du cœur.

Q11- Les domaines d’action prioritaires du ministère de la santé en matière de maladies cardiovasculaires :

a. La prévention et le contrôle de l’HTA b. La prévention et le contrôle L’HTA et les AVC c. La prévention et le contrôle de l’infarctus du myocarde et l’HTA d. La prévention et le contrôle de l’HTA et du RAA. a ou ad

Q11- Les domaines d’action prioritaires du ministère de la santé en matière de maladies cardiovasculaires :

a. La prévention et le contrôle de l’HTA b. La prévention et le contrôle L’HTA et les AVC c. La prévention et le contrôle de l’infarctus du myocarde et l’HTA d. La prévention et le contrôle de l’HTA et du RAA. a ou ad

2-PRÉ-TEST [

] DIABÈTE

Q1- Parmi les facteurs de risque d’un diabète de type 2 : A. Age moins de 40 ans B. Antécédent familial du diabète type 2 C. Obésité D. Petite taille

Q1- Parmi les facteurs de risque d’un diabète de type 2 : A. Age moins de 40 ans B. Antécédent familial du diabète type 2 C. Obésité D. Petite taille

Q2- Le diagnostic du diabète est posé si : A. Glycémie à jeun ≥ 1,1 g/l B. Glycémie à jeun≥ 1,26 g/l C. Glycémie à n’importe quel moment ≥ 1,4g/l D. Glycémie à n’importe quel moment ≥ 2 g/l

Q2- Le diagnostic du diabète est posé si : A. Glycémie à jeun ≥ 1,1 g/l B. Glycémie à jeun≥ 1,26 g/l C. Glycémie à n’importe quel moment ≥ 1,4g/l D. Glycémie à n’importe quel moment ≥ 2 g/l

Q3- L’injection d’insuline rapide humaine se fait : A. Au moment du repas B. Après le repas C. 30 min après le repas D. 30 min avant le repas

Q3- L’injection d’insuline rapide humaine se fait : A. Au moment du repas B. Après le repas C. 30 min après le repas D. 30 min avant le repas

Q4- Devant un patient présentant des signes cliniques d’hypoglycémie il faut :

A. Le mettre au repos. B. Doser sa glycémie capillaire après lui avoir désinfecté le doigt par de la Bétadine.

C. Lui donner à manger quelque chose de sucré : chocolat, cake, yaourt sucré. D. Lui donner une collation après re-sucrage si le prochain repas est dans plus d’une heure.

Q4- Devant un patient présentant des signes cliniques d’hypoglycémie il faut :

A. Le mettre au repos. B. Doser sa glycémie capillaire après lui avoir désinfecté le doigt par de la Bétadine.

C. Lui donner à manger quelque chose de sucré : chocolat, cake, yaourt sucré. D. Lui donner une collation après re-sucrage si le prochain repas est dans plus d’une heure.

Q5- La surveillance par bandelettes urinaires au cours de la céto-acidose diabétique :

A. Se fait toutes les heures tant que la cétonurie reste positive. B. Se fait toutes les quatre heures après disparition de la cétonurie. C. Se fait toutes les heures même après disparition de la cétonurie. D. Est inutile une fois le diagnostic est fait.

Q5- La surveillance par bandelettes urinaires au cours de la céto-acidose diabétique :

A. Se fait toutes les heures tant que la cétonurie reste positive. B. Se fait toutes les quatre heures après disparition de la cétonurie. C. Se fait toutes les heures même après disparition de la cétonurie. D. Est inutile une fois le diagnostic est fait.

Q6- Chez un diabétique de type 2 nouvellement

diagnostiqué, il est préférable de commencer par : A. Un sulfamide B. La metformine C. Les mesures hygiéno-diététiques D. L’Insuline

Q6- Chez un diabétique de type 2 nouvellement

diagnostiqué, il est préférable de commencer par : A. Un sulfamide B. La metformine C. Les mesures hygiéno-diététiques D. L’Insuline

Q7- La céto-acidose diabétique : A. Doit être recherchée chez tout diabétique malade. B. Est caractérisée par la présence d’acétone dans les urines même si la glycosurie est négative.

C. Son traitement repose essentiellement sur l’administration d’insuline rapide. D. peut révéler un diabète méconnu.

Q7- La céto-acidose diabétique : A. Doit être recherchée chez tout diabétique malade. B. Est caractérisée par la présence d’acétone dans les urines même si la glycosurie est négative.

C. Son traitement repose essentiellement sur l’administration d’insuline rapide. D. peut révéler un diabète méconnu.

Q8- Parmi les critères de gravité imposant une

hospitalisation en réanimation en cas de céto-acidose : A. Coma profond. B. Non reprise de la diurèse après 3 heures. C. Glycémie > 5 g/l. D. Douleurs abdominales.

Q8- Parmi les critères de gravité imposant une

hospitalisation en réanimation en cas de céto-acidose : A. Coma profond. B. Non reprise de la diurèse après 3 heures. C. Glycémie > 5 g/l. D. Douleurs abdominales.

Q9-

Parmi les examens suivants, indiquez celui (ceux) que vous devez demander pour compléter le bilan du diabète type 2 :

A. Enquête alimentaire.

B. Dosage du cholestérol et des triglycérides C. Dosage de la micro albuminurie

D. Fond d'œil E. Urographie intraveineuse

Q9-

Parmi les examens suivants, indiquez celui (ceux) que vous devez demander pour compléter le bilan du diabète type 2 :

A. Enquête alimentaire.

B. Dosage du cholestérol et des triglycérides C. Dosage de la micro albuminurie

D. Fond d'œil E. Urographie intraveineuse

Q10- Le dépistage des complications dégénératives chez le diabète de type 2 se fait : :

A. Apres 5 ans d’évolution du diabète B. Après 1 an d’évolution du diabète C. Au moment du diagnostic du diabète D. Tous les 6 mois

Q10- Le dépistage des complications dégénératives chez le diabète de type 2 se fait : :

A. Apres 5 ans d’évolution du diabète B. Après 1 an d’évolution du diabète C. Au moment du diagnostic du diabète D. Tous les 6 mois

3-PRÉ-TEST [

] LAT

Q1- On suspecte la tuberculose chez un patient qui consulte pour : :

a.

Toux persistance et expectorations de plus de deux semaines

b.

Toux plus crachats hémoptoïques pendant d’apparition récente (moins de O3 jours)

c.

Fièvre, toux et expectorations de moins dix jours

Q1- On suspecte la tuberculose chez un patient qui consulte pour : :

a.

Toux persistance et expectorations de plus de deux semaines

b.

Toux plus crachats hémoptoïques pendant d’apparition récente (moins de O3 jours)

c.

Fièvre, toux et expectorations de moins dix jours

Q2- Le diagnostic de la tuberculose pulmonaire est confirmé par :

a. L’examen bactériologique direct des expectorations b. La radiographie pulmonaire c. La radiographie pulmonaire et l’examen bactériologique direct des expectorations.

Q2- Le diagnostic de la tuberculose pulmonaire est confirmé par :

a. L’examen bactériologique direct des expectorations b. La radiographie pulmonaire c. La radiographie pulmonaire et l’examen bactériologique direct des expectorations.

Q3- Le traitement de la tuberculose pulmonaire à

microscopie positive préconisé par le PNLAT est

a. 2 (ERHZ)/ 4RH b. 2 S(RHZ)/ 4RH c.

2 S(RH) Z/4RH

:

Q3- Le traitement de la tuberculose pulmonaire à

microscopie positive préconisé par le PNLAT est

a. 2 (ERHZ)/ 4RH b. 2 S(RHZ)/ 4RH c.

2 S(RH) Z/4RH

:

Q4- Le registre du suspect doit être disponible au niveau de : a. Toutes les formations sanitaires des soins de santé de base b. Des CDTMR seulement c. Des formations sanitaires dotées d’un laboratoire de tuberculose d. Toutes les formations sanitaires des soins de santé de base et des CDTMR

Q4- Le registre du suspect doit être disponible au niveau de : a. Toutes les formations sanitaires des soins de santé de base b. Des CDTMR seulement c. Des formations sanitaires dotées d’un laboratoire de tuberculose d. Toutes les formations sanitaires des soins de santé de base et des CDTMR

Q5- Le dépistage des sujets contacts doit être mené dans l’entourage d’un:

a. Patient qui est sous traitement pour Tuberculose pulmonaire à microscopie positive (nouveau cas, rechute ou échec) b. Enfant présente une primo-infection tuberculeuse

c. Patient qui présente une tuberculose extra-pulmonaire d. Tous les patients tuberculeux

Q5- Le dépistage des sujets contacts doit être mené dans l’entourage d’un:

a. Patient qui est sous traitement pour Tuberculose pulmonaire à microscopie positive (nouveau cas, rechute ou échec) b. Enfant présente une primo-infection tuberculeuse

c. Patient qui présente une tuberculose extra-pulmonaire d. Tous les patients tuberculeux

Q6- Le suivi du traitement d’une tuberculose pulmonaire à microscopie positive est basé sur:

a. La radiologie b. La radiologie et l’examen bactériologique c. L’examen bactériologique

Q6- Le suivi du traitement d’une tuberculose pulmonaire à microscopie positive est basé sur:

a. La radiologie b. La radiologie et l’examen bactériologique c. L’examen bactériologique

Q7- Un malade tuberculeux sous traitement est déclaré guéri si :

a. L’examen bactériologique des expectorations est négatif au sixième mois b. L’examen bactériologique des expectorations est négatif au cinquième et au sixième mois c. Les lésions radiologiques se sont améliorées

Q7- Un malade tuberculeux sous traitement est déclaré guéri si :

a. L’examen bactériologique des expectorations est négatif au sixième mois b. L’examen bactériologique des expectorations est négatif au cinquième et au sixième mois c. Les lésions radiologiques se sont améliorées

Q8- Les objectifs de la stratégie DOTS sont : a. Taux de détection d’au moins 70% et de succès thérapeutique d’au moins 85% b. Taux de détection d’au moins 85% et de succès thérapeutique 70%

c. Taux de détection d’au moins 80% et de succès thérapeutique 85%

Q8- Les objectifs de la stratégie DOTS sont : a. Taux de détection d’au moins 70% et de succès thérapeutique d’au moins 85% b. Taux de détection d’au moins 85% et de succès thérapeutique 70%

c. Taux de détection d’au moins 80% et de succès thérapeutique 85%

Q9- Le traitement antituberculeux doit être délivré au malade :

a. Sous supervision directe au moins pendant la phase initiale b. Sous supervision directe pendant toute la durée du traitement c. Auto-administré pendant toute la durée de traitement.

Q9- Le traitement antituberculeux doit être délivré au malade :

a. Sous supervision directe au moins pendant la phase initiale b. Sous supervision directe pendant toute la durée du traitement c. Auto-administré pendant toute la durée de traitement.

Q10- Un patient présente une tuberculose multi-résistante si le test de sensibilité montre une résistance à :

a. Streptomycine, isoniazide et pyrazinamide b. Streptomycine et rifampicine c. Streptomycine, rifampicine et ethambutol d. Rifampicine et isoniazide

Q10- Un patient présente une tuberculose multi-résistante si le test de sensibilité montre une résistance à :

a. Streptomycine, isoniazide et pyrazinamide b. Streptomycine et rifampicine c. Streptomycine, rifampicine et ethambutol d. Rifampicine et isoniazide

4-PRÉ-TEST [ ] MSR (NOUVEAU-NÉ)

Q1- LA PRÉPARATION D’UNE RÉCEPTION DE NOUVEAUNÉ EN SALLE DE NAISSANCE COMPORTE :

a)L’analyse du dossier obstétrical b)La préparation du matériel c) Le maintien d’une température adéquate au sein de la salle d)L’appel du pédiatre après la naissance

Q1- LA PRÉPARATION D’UNE RÉCEPTION DE NOUVEAUNÉ EN SALLE DE NAISSANCE COMPORTE :

a)L’analyse du dossier obstétrical b)La préparation du matériel c) Le maintien d’une température adéquate au sein de la salle d)L’appel du pédiatre après la naissance

Q2- L’équilibre thermique en période néonatale est : a) fragile même chez les nouveau-nés à terme

b) une obligation pour le bien être de tous les nouveau-nés c) assuré grâce à la préparation des salles de réception et aux premiers soins prodigués dès la naissance du nouveau-né d) secondaire chez le nouveau-né en mauvaise adaptation à la vie extrautérine

Q2- L’équilibre thermique en période néonatale est : a) fragile même chez les nouveau-nés à terme

b) une obligation pour le bien être de tous les nouveau-nés c) assuré grâce à la préparation des salles de réception et aux premiers soins prodigués dès la naissance du nouveau-né d) secondaire chez le nouveau-né en mauvaise adaptation à la vie extrautérine

Q3- La prise en charge des nouveau-nés en salle d’accouchement comporte

a)La recherche des malformations congénitales b)La mise en route des prophylaxies : vit K1 et collyre c) La prise des mensurations d)La mise en route de l’allaitement maternel

Q3- La prise en charge des nouveau-nés en salle d’accouchement comporte

a)La recherche des malformations congénitales b)La mise en route des prophylaxies : vit K1 et collyre c) La prise des mensurations d)La mise en route de l’allaitement maternel

Q4- L’évaluation d’un nouveau-né en mauvaise adaptation à la vie extra-utérine est basée sur :

a)la fréquence cardiaque

b)le cri c) la respiration

d)la couleur

Q4- L’évaluation d’un nouveau-né en mauvaise adaptation à la vie extra-utérine est basée sur :

a)la fréquence cardiaque

b)le cri c) la respiration

d)la couleur

Q5- L’A B C D de la réanimation néonatale comporte : a)Assurer la respiration b)Assurer une bonne circulation c) Apporter le sucre d)Donner l’adrénaline si nécessaire

Q5- L’A B C D de la réanimation néonatale comporte : a)Assurer la respiration b)Assurer une bonne circulation c) Apporter le sucre d)Donner l’adrénaline si nécessaire

Q6- UN NOUVEAU-NÉ EN DÉTRESSE RESPIRATOIRE : a)Nécessite toujours un apport en oxygène b)Doit être évalué par le score d’APGAR pour apprécier la gravité de la détresse

c) Après sa mise en condition, on doit chercher l’étiologie d)Peut être alimenté quelque soit le degré de sa détresse

Q6- UN NOUVEAU-NÉ EN DÉTRESSE RESPIRATOIRE : a)Nécessite toujours un apport en oxygène b)Doit être évalué par le score d’APGAR pour apprécier la gravité de la détresse

c) Après sa mise en condition, on doit chercher l’étiologie d)Peut être alimenté quelque soit le degré de sa détresse

Q7- UN ICTÈRE APPARU À H 10 DE VIE EST a)Pathologique jusqu’à preuve du contraire b)Peut être dû à une incompatibilité ABO ou Rh c) Peut être physiologique d)Ne nécessite aucun bilan

Q7- UN ICTÈRE APPARU À H 10 DE VIE EST a)Pathologique jusqu’à preuve du contraire b)Peut être dû à une incompatibilité ABO ou Rh c) Peut être physiologique d)Ne nécessite aucun bilan

Q8- EN FAVEUR D’UNE INFECTION MATÉRNO-FŒTALE BACTÉRIENNE ON PEUT RELEVER :

a)Une fièvre maternelle au premier trimestre b)Un ictère précoce c) Une mauvaise adaptation à la vie extra-utérine sans cause obstétricale d)Un refus d’alimentation

Q8- EN FAVEUR D’UNE INFECTION MATÉRNO-FŒTALE BACTÉRIENNE ON PEUT RELEVER :

a)Une fièvre maternelle au premier trimestre b)Un ictère précoce c) Une mauvaise adaptation à la vie extra-utérine sans cause obstétricale d)Un refus d’alimentation

Q9- LE NOUVEAU-NÉ DE FAIBLE POIDS DE NAISSANCE INCLUT :

a)les nouveau-nés prématurés b)les nouveau-nés à terme hypotrophiques c) tous les nouveau-nés dont le poids est inférieur à 2500g quelque soit le terme d)les nouveau-nés pesant moins de 3000 g

Q9- LE NOUVEAU-NÉ DE FAIBLE POIDS DE NAISSANCE INCLUT :

a)les nouveau-nés prématurés b)les nouveau-nés à terme hypotrophiques c) tous les nouveau-nés dont le poids est inférieur à 2500g quelque soit le terme d)les nouveau-nés pesant moins de 3000 g

Q10- LES SOINS « KANGOUROU » a) S’adresse à la prise en charge des nouveau-nés de faible poids de naissance b) Sont une excellente solution de prise en charge des nouveau-nés de FPN quelque soit leur état de santé

c) Sont adaptés à une prise en charge le plus physiologique possible des n-nés de FPN d) Nécessitent une surveillance et une bonne explication de leur principe à la maman.

Q10- LES SOINS « KANGOUROU » a) S’adresse à la prise en charge des nouveau-nés de faible poids de naissance b) Sont une excellente solution de prise en charge des nouveau-nés de FPN quelque soit leur état de santé

c) Sont adaptés à une prise en charge le plus physiologique possible des n-nés de FPN d) Nécessitent une surveillance et une bonne explication de leur principe à la maman.

5-PRÉ-TEST [

] MSR (MÈRE)

Q1- QUELLE EST LA PRINCIPALE CAUSE DE MORTALITÉ MATERNELLE ?

A- L'hémorragie B- L'infection

C- Les phlébites D- L'éclampsie

E- La dystocie dynamique

Q1- QUELLE EST LA PRINCIPALE CAUSE DE MORTALITÉ MATERNELLE ?

A- L'hémorragie B- L'infection

C- Les phlébites D- L'éclampsie

E- La dystocie dynamique

Q2- LA SURVEILLANCE DU TRAVAIL PENDANT LA PHASE DE LATENCE SE FAIT PAR UN EXAMEN :

A- Toutes les heures B- Toutes les 2 heures

C- Toutes les 3 heures D- A l'admission seulement

E- Lors des efforts expulsifs

Q2- LA SURVEILLANCE DU TRAVAIL PENDANT LA PHASE DE LATENCE SE FAIT PAR UN EXAMEN :

A- Toutes les heures B- Toutes les 2 heures

C- Toutes les 3 heures D- A l'admission seulement

E- Lors des efforts expulsifs

Q3- LES BRUITS DU CŒUR DU FŒTUS SONT NORMALEMENT ENTRE :

A- 80 et 100 / mn B- 100 et 120 / mn

C- 120 et 160 / mn D- 160 et 180 / mn

E- 100 et 180 / mn

Q3- LES BRUITS DU CŒUR DU FŒTUS SONT NORMALEMENT ENTRE :

A- 80 et 100 / mn B- 100 et 120 / mn

C- 120 et 160 / mn D- 160 et 180 / mn

E- 100 et 180 / mn

Q4- LES DEUX ÉLÉMENTS FONDAMENTAUX DU DIAGNOSTIC DU DÉBUT DU TRAVAIL SONT :

A- Les contractions utérines B- Les modifications du col utérin

C- L'expulsion du bouchon muqueux D- La rupture des membranes

E- Les métrorragies

Q4- LES DEUX ÉLÉMENTS FONDAMENTAUX DU DIAGNOSTIC DU DÉBUT DU TRAVAIL SONT :

A- Les contractions utérines B- Les modifications du col utérin

C- L'expulsion du bouchon muqueux D- La rupture des membranes

E- Les métrorragies

Q5- LA TENSION ARTÉRIELLE MINIMA EST CONSIDÉRÉE ANORMALE À PARTIR DE :

A.80 mm Hg B.85 mm Hg

C.90 mm Hg D.95 mm Hg

E. 100 mm Hg

Q5- LA TENSION ARTÉRIELLE MINIMA EST CONSIDÉRÉE ANORMALE À PARTIR DE :

A.80 mm Hg B.85 mm Hg

C.90 mm Hg D.95 mm Hg

E. 100 mm Hg

Q6- Les conditions de l'utilisation de la ventouse d'extraction sont :

A- Dilatation du col utérin à 8 cm

B- Présentation céphalique quelle que soit la flexion de la tête C- Présentation de sommet, engagée D- Episiotomie E- Membranes rompues

Q6- Les conditions de l'utilisation de la ventouse d'extraction sont :

A- Dilatation du col utérin à 8 cm

B- Présentation céphalique quelle que soit la flexion de la tête C- Présentation de sommet, engagée D- Episiotomie E- Membranes rompues

Q7- Une femme enceinte hypertendue convulse à

l'admission de la maternité, quelle est votre prise en charge ?

A- Transférer immédiatement la patiente dans un service de réanimation B- Faire un remplissage par le sérum salé

C- Administrer le sulfate de magnésie D- Rompre les membranes

E- Faire une césarienne

Q7- Une femme enceinte hypertendue convulse à

l'admission de la maternité, quelle est votre prise en charge ?

A- Transférer immédiatement la patiente dans un service de réanimation B- Faire un remplissage par le sérum salé

C- Administrer le sulfate de magnésie D- Rompre les membranes

E- Faire une césarienne

Q8- La rupture prématurée des membranes est définie par une rupture des membranes :

A- Au début du travail B- Pendant la phase de latence

C- Avant le début du travail D- A dilatation complète

E- Avant 37 semaines d'aménorrhée

Q8- La rupture prématurée des membranes est définie par une rupture des membranes :

A- Au début du travail B- Pendant la phase de latence

C- Avant le début du travail D- A dilatation complète

E- Avant 37 semaines d'aménorrhée

Q9- LA PERFUSION D'OCYTOCINE EST INDIQUÉE EN CAS DE :

A- Dystocie dynamique B- Suspicion de bassin rétréci

C- Inertie utérine D- Epreuve du travail

E- Systématiquement chez la parturiente primipare

Q9- LA PERFUSION D'OCYTOCINE EST INDIQUÉE EN CAS DE :

A- Dystocie dynamique B- Suspicion de bassin rétréci

C- Inertie utérine D- Epreuve du travail

E- Systématiquement chez la parturiente primipare

Q10- QUELLES SONT LES SITUATIONS À RISQUE D'HÉMORRAGIE DE LA DÉLIVRANCE ?

A- La multiparité B- La présentation de siège

C- Le travail prolongé D- La grossesse gémellaire

E- L'hématome rétro placentaire

Q10- QUELLES SONT LES SITUATIONS À RISQUE D'HÉMORRAGIE DE LA DÉLIVRANCE ?

A- La multiparité B- La présentation de siège

C- Le travail prolongé D- La grossesse gémellaire

E- L'hématome rétro placentaire

Q11- QUELLES SONT LES INDICATIONS DE LA RÉVISION UTÉRINE ?

A- Placenta incomplet B- Utérus cicatriciel

C- Grossesse gémellaire D- Accouchement d'une présentation de siège

E- Hémorragie de la délivrance après accouchement à domicile

Q11- QUELLES SONT LES INDICATIONS DE LA RÉVISION UTÉRINE ?

A- Placenta incomplet B- Utérus cicatriciel

C- Grossesse gémellaire D- Accouchement d'une présentation de siège

E- Hémorragie de la délivrance après accouchement à domicile

Q12-

Quel est le délai de la surveillance obligatoire de l'accouchée dans le post-partum immédiat, en dehors de complications?

A- 1 heure B- 2 heures

C- 3 heures D- 4 heures

E- 5 heures

Q12-

Quel est le délai de la surveillance obligatoire de l'accouchée dans le post-partum immédiat, en dehors de complications?

A- 1 heure B- 2 heures

C- 3 heures D- 4 heures

E- 5 heures

Q13- Une parturiente est admise à la maternité à terme pour une rupture prématurée des membranes, elle n'est pas en travail, sa température est à 38°C, le liquide amniotique est clair. Quelle attitude obstétricale adoptez-vous ?

A- Abstention en attendant l'entrée spontanée en travail B- Antibiothérapie seule et attente de l'entrée en travail

C- Antibiothérapie et déclenchement du travail D- Césarienne immédiate

E- Déclenchement du travail 12 heures après

Q13- Une parturiente est admise à la maternité à terme pour une rupture prématurée des membranes, elle n'est pas en travail, sa température est à 38°C, le liquide amniotique est clair. Quelle attitude obstétricale adoptez-vous ?

A- Abstention en attendant l'entrée spontanée en travail B- Antibiothérapie seule et attente de l'entrée en travail

C- Antibiothérapie et déclenchement du travail D- Césarienne immédiate

E- Déclenchement du travail 12 heures après

Q14- Une femme est ramenée par sa famille dans un état de métrorragie faite de sang rouge, la tension artérielle est à 80 / 50 mm de Hg, le pouls est filant, la hauteur utérine est à 32 cm, l'utérus se contracte, les bruits du cœur du fœtus sont positifs. Quelle est l'attitude obstétricale à adopter?

A- Remplissage vasculaire B- Activer le travail par une perfusion d'ocytocine

C- Faire une césarienne immédiatement D- Arrêter les contractions utérines par une tocolyse

E- Dilater artificiellement le col utérin

Q14- Une femme est ramenée par sa famille dans un état de métrorragie faite de sang rouge, la tension artérielle est à 80 / 50 mm de Hg, le pouls est filant, la hauteur utérine est à 32 cm, l'utérus se contracte, les bruits du cœur du fœtus sont positifs. Quelle est l'attitude obstétricale à adopter?

A- Remplissage vasculaire B- Activer le travail par une perfusion d'ocytocine

C- Faire une césarienne immédiatement D- Arrêter les contractions utérines par une tocolyse

E- Dilater artificiellement le col utérin

Q15- Une parturiente consulte à terme et en travail, l'examen à l'admission découvre une hauteur utérine à 40 cm, quelles sont les diagnostics à évoquer ? A- Grossesse gémellaire B- Grossesse prolongée

C- Macrosomie fœtale D- Tumeur prævia

E- Présentation de siège

Q15- Une parturiente consulte à terme et en travail, l'examen à l'admission découvre une hauteur utérine à 40 cm, quelles sont les diagnostics à évoquer ? A- Grossesse gémellaire

B- Grossesse prolongée C- Macrosomie fœtale

D- Tumeur prævia E- Présentation de siège

6-formation des formateurs régionaux en matière de L’AXE « méningites » dans le cadre du plan national de formation continue- 2012, DRH/DF/SFC DU 3 AU 5 DÉCEMBRE 2012, RABAT (INAS)

Q1- AU MAROC, LA MÉNINGITE CÉRÉBROSPINALE À MÉNINGOCOQUE SÉVIT À L’ÉTAT :

a. sporadique b. épidémique

c. Endémo-épidémique d. endémique

e. autre forme

Q1- AU MAROC, LA MÉNINGITE CÉRÉBROSPINALE À MÉNINGOCOQUE SÉVIT À L’ÉTAT :

a. sporadique b. épidémique

c. Endémo-épidémique d. endémique

e. autre forme

Q2- AU MAROC, L’INCIDENCE CUMULÉE DE LA

MÉNINGITE (TOUTE FORME CONFONDUE) CES 5 DERNIÈRES ANNÉES EST D’ENVIRON :

a. 0,5 cas pour 100.000 habitants b. 1,5 cas pour 100.000 habitants

c. 2 à 4 cas pour 100.000 habitants d. 5 à 7 cas pour 100.000 habitants

e. Plus de 7 cas pour 100.000 habitants

Q2- AU MAROC, L’INCIDENCE CUMULÉE DE LA

MÉNINGITE (TOUTE FORME CONFONDUE) CES 5 DERNIÈRES ANNÉES EST D’ENVIRON :

a. 0,5 cas pour 100.000 habitants b. 1,5 cas pour 100.000 habitants

c. 2 à 4 cas pour 100.000 habitants d. 5 à 7 cas pour 100.000 habitants

e. Plus de 7 cas pour 100.000 habitants

Q3- AU MAROC, LA LÉTALITÉ DE LA MÉNINGITE TOUTE FORME CONFONDUE A VARIÉ POUR LA PÉRIODE 20062011 ENTRE :

a. 2 à 3 % b. 4 à 6 % c. 7 à 12 % d. Plus de 12%

Q3- AU MAROC, LA LÉTALITÉ DE LA MÉNINGITE TOUTE FORME CONFONDUE A VARIÉ POUR LA PÉRIODE 20062011 ENTRE :

a. 2 à 3 % b. 4 à 6 % c. 7 à 12 % d. Plus de 12%

Q4- LA LÉTALITÉ PAR TYPE DE GERME EST PLUS IMPORTANTE POUR LES CAS DE MÉNINGITE BACTÉRIENNE À :

a. Haemophilus influenzae type b b. pneumocoque c. méningocoque d. BK

Q4- LA LÉTALITÉ PAR TYPE DE GERME EST PLUS IMPORTANTE POUR LES CAS DE MÉNINGITE BACTÉRIENNE À :

a. Haemophilus influenzae type b b. pneumocoque c. méningocoque d. BK

Q5- AU MAROC, LE TAUX DE CONFIRMATION DES

MÉNINGITES PAR CULTURE EST EN MOYENNE DE :

a. Inférieur à 20% b. Entre 20 et 50%

c. Entre 50 et 70% d. Supérieur à 70%

Q5- AU MAROC, LE TAUX DE CONFIRMATION DES

MÉNINGITES PAR CULTURE EST EN MOYENNE DE : a. Inférieur à 20% b. Entre 20 et 50%

c. Entre 50 et 70% d. Supérieur à 70%

Q6- AU MAROC, LE SÉROGROUPE DE NEISSERIA MENINGITIDIS LE PLUS FRÉQUENT EST :

a. A b. B c. C d. D e. Y f. W135

Q6- AU MAROC, LE SÉROGROUPE DE NEISSERIA MENINGITIDIS LE PLUS FRÉQUENT EST :

a. A b. B c. C d. D e. Y f. W135

Q7- AU MAROC, LA VACCINATION CONTRE NEISSERIA

MENINGITIDIS PROTÈGE CONTRE LES SÉROGROUPES : a. A b. B c. C d. D e. Y f. W135

Q7- AU MAROC, LA VACCINATION CONTRE NEISSERIA

MENINGITIDIS PROTÈGE CONTRE LES SÉROGROUPES : a. A b. B c. C d. D e. Y f. W135

Q8- ON SUSPECTE UN CAS DE MÉNINGITE DEVANT LES SIGNES CLINIQUES SUIVANTS:

a. Fièvre d’installation progressive, céphalées, vomissements, raideur de la nuque. b. Fièvre d’installation brutale, céphalées, vomissements, raideur de la nuque.

c. Fièvre d’installation brutale, vomissements, hypotonie de la nuque chez le nourrisson. d. Fièvre d’installation brutale, convulsions, vomissements, refus de tétée chez le nourrisson.

Q8- ON SUSPECTE UN CAS DE MÉNINGITE DEVANT LES SIGNES CLINIQUES SUIVANTS:

a. Fièvre d’installation progressive, céphalées, vomissements, raideur de la nuque. b. Fièvre d’installation brutale, céphalées, vomissements, raideur de la nuque. c. Fièvre d’installation brutale, vomissements, hypotonie de la nuque chez le nourrisson.

d. Fièvre d’installation brutale, convulsions, vomissements, refus de tétée chez le nourrisson.

Q9- LORS D’UNE PONCTION LOMBAIRE (PL), LE LCR DOIT ÊTRE RECUEILLI DE PRÉFÉRENCE DANS :

a. 1 tube à hémolyse stérile b. 2 tubes à hémolyse stériles

c. 3 tubes à hémolyse stériles d. 4 tubes à hémolyse stériles

Q9- LORS D’UNE PONCTION LOMBAIRE (PL), LE LCR DOIT ÊTRE RECUEILLI DE PRÉFÉRENCE DANS :

a. 1 tube à hémolyse stérile b. 2 tubes à hémolyse stériles

c. 3 tubes à hémolyse stériles d. 4 tubes à hémolyse stériles

Q10- APRÈS UNE PL, LE LCR DOIT ÊTRE ENVOYÉ AU LABORATOIRE :

a. Le plus vite possible, soit moins d’une heure après le prélèvement b. 1 à 2 heures après le prélèvement c. 3 heures après le prélèvement pour le laisser décanter

d. Peut être conservé au réfrigérateur et envoyé après

Q10- APRÈS UNE PL, LE LCR DOIT ÊTRE ENVOYÉ AU LABORATOIRE :

a. Le plus vite possible, soit moins d’une heure après le prélèvement b. 1 à 2 heures après le prélèvement c. 3 heures après le prélèvement pour le laisser décanter

d. Peut être conservé au réfrigérateur et envoyé après

Q11- LA RÉALISATION DE LA PL DOIT ÊTRE DIFFÉRÉE OU RETARDÉE EN CAS DE :

a. Purpura fulminants b. Hypertension intracrânienne sévère

c. Malade agité d. Troubles de la coagulation

Q11- LA RÉALISATION DE LA PL DOIT ÊTRE DIFFÉRÉE OU RETARDÉE EN CAS DE :

a. Purpura fulminants b. Hypertension intracrânienne sévère

c. Malade agité d. Troubles de la coagulation

Q12- UN LCR NORMAL COMPREND : a. 3 à 5 éléments par mm3 b. Une glycorachie inférieure à 2/3 de la glycémie

c. 20 à 50 éléments / mm3 en période néonatal d. Albuminorachie > à 1 g/l

Q12- UN LCR NORMAL COMPREND : a. 3 à 5 éléments par mm3 b. Une glycorachie inférieure à 2/3 de la glycémie

c. 20 à 50 éléments / mm3 en période néonatal d. Albuminorachie > à 1 g/l

Q13- DEVANT UNE MÉNINGITE LYMPHOCYTAIRE ON PEUT SUSPECTER :

a. Une atteinte virale b. Une méningite tuberculeuse

c. listeria d. méningococcie

Q13- DEVANT UNE MÉNINGITE LYMPHOCYTAIRE ON PEUT SUSPECTER :

a. Une atteinte virale b. Une méningite tuberculeuse

c. listeria d. méningococcie

Q14- Selon la définition d’un cas de méningite, un LCR

d’aspect trouble permet de classer le cas comme étant :

a. Un cas suspect b. Un cas de méningite bactérienne probable c. Un cas de méningite lymphocytaire d. Un cas de méningite à méningocoque

Q14- Selon la définition d’un cas de méningite, un LCR

d’aspect trouble permet de classer le cas comme étant :

a. Un cas suspect b. Un cas de méningite bactérienne probable c. Un cas de méningite lymphocytaire d. Un cas de méningite à méningocoque

Q15- Des diplocoques gram positif, lancéolés en flamme

de bougie, capsulés, parfois en courtes chaînettes doivent faire penser à :

a. Haemophilus influenzae type b b. Streptococcus pneumoniae c. Neisseria meningitidis

Q15- Des diplocoques gram positif, lancéolés en flamme

de bougie, capsulés, parfois en courtes chaînettes doivent faire penser à :

a. Haemophilus influenzae type b b. Streptococcus pneumoniae c. Neisseria meningitidis

Q16- LES BACTÉRIES POUVANT ÊTRE DÉTECTÉES PAR LES ANTIGÈNES SOLUBLES SONT :

a. Neisseria meningitidis (A, B, C,W135) ; b. S. pneumoniae,

c. H. influenzae type b ; d. les streptocoques du groupe B ; et

e. Escherichia coli sérotype K1

Q16- LES BACTÉRIES POUVANT ÊTRE DÉTECTÉES PAR LES ANTIGÈNES SOLUBLES SONT :

a. Neisseria meningitidis (A, B, C, W135) ; b. S. pneumoniae,

c. H. influenzae type b ; d. les streptocoques du groupe B ; et

e. Escherichia coli sérotype K1

Q17- AVANT DE DÉCLARER NÉGATIVE UNE CULTURE, IL FAUT FAIRE UNE LECTURE :

a. 6 heures après ensemencement b. 12 heures après ensemencement

c. 24 heures après ensemencement d. 48 heures après ensemencement

e. 72 heures après ensemencement

Q17- AVANT DE DÉCLARER NÉGATIVE UNE CULTURE, IL FAUT FAIRE UNE LECTURE :

a. 6 heures après ensemencement b. 12 heures après ensemencement

c. 24 heures après ensemencement d. 48 heures après ensemencement

e. 72 heures après ensemencement

Q18- LA DÉCLARATION D’UN CAS DE MÉNINGITE EST :

a. Obligatoire b. Facultative c. Doit se faire le plus vite possible dans les 24 heures suivant la détection du cas

Q18- LA DÉCLARATION D’UN CAS DE MÉNINGITE EST :

a. Obligatoire b. Facultative c. Doit se faire le plus vite possible dans les 24 heures suivant la détection du cas

Q19- Quels antibiotiques diffusent suffisamment dans le LCR pour permettre le traitement des méningites:

a. Aminosides b. Amoxicillines c. Phénicolés (Thiobactin) d. Fluoroquinolones e. Macrolides f. Cyclines

Q19- Quels antibiotiques diffusent suffisamment dans le LCR pour permettre le traitement des méningites:

a. Aminosides b. Amoxicillines c. Phénicolés (Thiobactin) d. Fluoroquinolones e. Macrolides f. Cyclines

Q20- LA DURÉE DU TRAITEMENT DE LA MÉNINGITE EST AUTOUR DE :

a. 14 jours pour le pneumocoque b. 7 jours pour le méningocoque

c. 14 jours pour l’haemophilus d. 7 jours pour le pneumocoque

e. 14 jours pour le méningocoque

Q20- LA DURÉE DU TRAITEMENT DE LA MÉNINGITE EST AUTOUR DE :

a. 14 jours pour le pneumocoque b. 7 jours pour le méningocoque

c. 14 jours pour l’haemophilus d. 7 jours pour le pneumocoque

e. 14 jours pour le méningocoque

Q21-

Parmi les vaccins utilisés dans la prévention de la méningite, ceux introduits dans le programme national d’immunisation sont :

a. Le vaccin contre le pneumocoque b. Le vaccin contre le ménincocoque (vaccin bivalent AC)

c. Le vaccin contre le ménincocoque (vaccin trivalent A, C,Y et W135) d. Le vaccin contre l’Haemophilus influenzae type b

Q21-

Parmi les vaccins utilisés dans la prévention de la méningite, ceux introduits dans le programme national d’immunisation sont :

a. Le vaccin contre le pneumocoque b. Le vaccin contre le ménincocoque (vaccin bivalent AC)

c. Le vaccin contre le ménincocoque (vaccin trivalent A, C,Y et W135) d. Le vaccin contre l’Haemophilus influenzae type b

Q22- L’INVESTIGATION ÉPIDÉMIOLOGIQUE D’UN CAS DE MÉNINGITE SE FAIT :

a. Dès l’entrée à l’hôpital b. En parallèle avec la prise en charge du patient

c. Après la sortie de l’hôpital

Q22- L’INVESTIGATION ÉPIDÉMIOLOGIQUE D’UN CAS DE MÉNINGITE SE FAIT :

a. Dès l’entrée à l’hôpital b. En parallèle avec la prise en charge du patient

c. Après la sortie de l’hôpital

Q23-

Dans le cadre de la riposte autour des cas de méningite à méningocoque au maroc, la chimio prophylaxie utilise comme antibiotique :

a. La spiramycine comme 1er choix b. La rifampicine comme 1er choix

c. Les cyclines d. Céphalosporine en IM

e. Quinolones

Q23-

Dans le cadre de la riposte autour des cas de méningite à méningocoque au maroc, la chimio prophylaxie utilise comme antibiotique :

a. La spiramycine comme 1er choix b. La rifampicine comme 1er choix

c. Les cyclines d. Céphalosporine en IM

e. Quinolones

Q24-

En cas de détection de deux cas de méningite à méningocoques dans deux classes différentes, les mesures prophylactiques (chimioprophylaxie et vaccination) sont indiquées pour :

a. L’entourage immédiat des deux élèves (élèves du même rang) b. Les élèves des deux classes

c. Les élèves de toute l’école d. Aucune proposition n’est correcte

Q24-

En cas de détection de deux cas de méningite à méningocoques dans deux classes différentes, les mesures prophylactiques (chimioprophylaxie et vaccination) sont indiquées pour :

a. L’entourage immédiat des deux élèves (élèves du même rang) b. Les élèves des deux classes

c. Les élèves de toute l’école d. Aucune proposition n’est correcte

Q25- SI LA RIFAMPICINE EST UTILISÉE DANS LA CHIMIO PROPHYLAXIE, ELLE DOIT ÊTRE UTILISÉE :

a. à raison d’une seule prise par jour pendant 2 jours b. à raison de deux prises par jour pendant 2 jours c. Est contre indiquée chez le nouveau-né d. La durée de traitement est de 5 jours e. Doit être administrée à n’importe quel moment même après 10 jours suivant le contact

Q25- SI LA RIFAMPICINE EST UTILISÉE DANS LA CHIMIO PROPHYLAXIE, ELLE DOIT ÊTRE UTILISÉE :

a. à raison d’une seule prise par jour pendant 2 jours b. à raison de deux prises par jour pendant 2 jours c. Est contre indiquée chez le nouveau-né d. La durée de traitement est de 5 jours e. Doit être administrée à n’importe quel moment même après 10 jours suivant le contact

Q26- Le système de surveillance épidémiologique des méningites est basé sur une surveillance :

a. Sentinelle b. Exhaustive

c. Intéresse uniquement les méningites à méningocoque d. Intéresse toutes les formes de méningite

Q26- Le système de surveillance épidémiologique des méningites est basé sur une surveillance :

a. Sentinelle b. Exhaustive

c. Intéresse uniquement les méningites à méningocoque d. Intéresse toutes les formes de méningite

Q27- LA DÉCLARATION D’UN CAS DE MÉNINGITE SE FAIT SELON UN RYTHME :

a. hebdomadaire b. mensuelle

c. trimestriel d. immédiat par fax, téléphone ou email

Q27- LA DÉCLARATION D’UN CAS DE MÉNINGITE SE FAIT SELON UN RYTHME :

a. hebdomadaire b. mensuelle

c. trimestriel d. immédiat par fax, téléphone ou email

Q28- LE SYSTÈME D’ALERTE DE LA MÉNINGITE EST BASÉ SUR :

a. L’analyse hebdomadaire des cas de méningites b. Concerne uniquement les méningites méningocciques confirmés, probables ou non spécifiés c. Concerne tous les types de méningite d. La détermination du Ratio épidémiologique e. Le nombre des cas enregistrés les 5 dernières années

Q28- LE SYSTÈME D’ALERTE DE LA MÉNINGITE EST BASÉ SUR :

a. L’analyse hebdomadaire des cas de méningites b. Concerne uniquement les méningites méningocciques confirmés, probables ou non spécifiés c. Concerne tous les types de méningite d. La détermination du Ratio épidémiologique e. Le nombre des cas enregistrés les 5 dernières années

Q29- LE SYSTÈME D’INFORMATION DES MÉNINGITES COMPREND :

a. La fiche de déclaration d’une maladie transmissible b. La fiche d’investigation d’un cas de méningite c. Rapport trimestriel des activités de lutte contre les méningites d. Un plan d’action annuel des activités de lutte contre les méningites e. Fiche de déclaration des effets indésirables liés à l’administration d’un médicament ou d’un vaccin f.

Le rapport annuel des activités

Q29- LE SYSTÈME D’INFORMATION DES MÉNINGITES COMPREND :

a. La fiche de déclaration d’une maladie transmissible b. La fiche d’investigation d’un cas de méningite c. Rapport trimestriel des activités de lutte contre les méningites d. Un plan d’action annuel des activités de lutte contre les méningites e. Fiche de déclaration des effets indésirables liés à l’administration d’un médicament ou d’un vaccin f. Le rapport annuel des activités

Q30- UN RATIO ÉPIDÉMIOLOGIQUE SUPÉRIEUR À LA LIMITE SUPÉRIEURE PEUT ÊTRE EXPLIQUÉ PAR :

a. la survenue d’une épidémie, b. un artefact de surveillance c. autre chose

Q30- UN RATIO ÉPIDÉMIOLOGIQUE SUPÉRIEUR À LA LIMITE SUPÉRIEURE PEUT ÊTRE EXPLIQUÉ PAR :

a. la survenue d’une épidémie, b. un artefact de surveillance c. autre chose

7-PRÉ-TEST [

] VIEILLESSE

Q1- Selon l’enquête de 2004, la proportion des personnes âgées de 60 ans et plus est de (cocher la ou les vraies réponses):

a. 7,1%, b. 9%

c. 8,1% d. Passera à 11,1% en 2020

Q1- Selon l’enquête de 2004, la proportion des personnes âgées de 60 ans et plus est de (cocher la ou les vraies réponses):

a. 7,1%, b. 9%

c. 8,1% d. Passera à 11,1% en 2020

Q2- Parmi les atypies sémiologiques chez la personne âgée, nous pouvons noter : (cocher la ou les vraies réponses):

a. La douleur thoracique est quasi présente en cas d’infarctus du myocarde b. La fièvre est absente en cas d’infection dans 25% des cas c. Un syndrome confusionnel peur être en rapport avec une rétention aigue d’urine d. Des râles crépitant à l’auscultation pulmonaire indiquent toujours la présence d’une pathologie pulmonaire ou cardiaque

Q2- Parmi les atypies sémiologiques chez la personne âgée, nous pouvons noter : (cocher la ou les vraies réponses):

a. La douleur thoracique est quasi présente en cas d’infarctus du myocarde b. La fièvre est absente en cas d’infection dans 25% des cas c. Un syndrome confusionnel peur être en rapport avec une rétention aigue d’urine d. Des râles crépitant à l’auscultation pulmonaire indiquent toujours la présence d’une pathologie pulmonaire ou cardiaque

Q3- Dans le cadre de l’évaluation gériatrique standardisée,

l’échelle ADL évalue les capacités de la personne pour (cocher la ou les vraies réponses):

a. L’habillage b. L’hygiène

c. L’utilisation du téléphone d. La gestion du budget

Q3- Dans le cadre de l’évaluation gériatrique standardisée,

l’échelle ADL évalue les capacités de la personne pour (cocher la ou les vraies réponses):

a. L’habillage b. L’hygiène

c. L’utilisation du téléphone d. La gestion du budget

Q4- Dans l’évaluation gériatrique standardisée, l’échelle « Mini Nutritionnel Assessment (MNA) », (cocher la ou les vraies réponses):

a. Est une échelle permettant de dépister la dénutrition chez le sujet âgé b. Un score total supérieur à 24/30 est le témoin d’une malnutrition protéinoénergétique

c. Un score inférieur à 17/30 est le reflet d’un bon état nutritionnel. d. Un patient ayant un score entre 17.5 et 23 est à haut risque de malnutrition. e. Il est nécessaire de compléter cette évaluation par des mesures biologiques de dénutrition.

Q4- Dans l’évaluation gériatrique standardisée, l’échelle « Mini Nutritionnel Assessment (MNA) », (cocher la ou les vraies réponses):

a. Est une échelle permettant de dépister la dénutrition chez le sujet âgé b. Un score total supérieur à 24/30 est le témoin d’une malnutrition protéinoénergétique

c. Un score inférieur à 17/30 est le reflet d’un bon état nutritionnel. d. Un patient ayant un score entre 17.5 et 23 est à haut risque de malnutrition. e. Il est nécessaire de compléter cette évaluation par des mesures biologiques de dénutrition.

Q5- LA PRÉVALENCE DE L’HTA APRÈS 80 ANS EST DE : a. 30% b. 50% c. 70% d. 80%

Q5- LA PRÉVALENCE DE L’HTA APRÈS 80 ANS EST DE : a. 30% b. 50% c. 70% d. 80%

Q6- LE DIAGNOSTIC D’HTA CHEZ LES SUJET ÂGÉ PEUT ÊTRE RETENU PAR :

a. La mesure de la TA à 2 reprises au cabinet b. L’automesure de la TA à domicile c. La mesure ambulatoire de la pression artérielle (MAPA) d. L’existence d’une TA ≥140/90mmg constatée aux urgences

Q6- LE DIAGNOSTIC D’HTA CHEZ LES SUJET ÂGÉ PEUT ÊTRE RETENU PAR :

a. La mesure de la TA à 2 reprises au cabinet b. L’automesure de la TA à domicile c. La mesure ambulatoire de la pression artérielle (MAPA) d. L’existence d’une TA ≥140/90mmg constatée aux urgences

Q7- L’HYPOTENSION ORTHOSTATIQUE a. Peut atteindre 30% après 75 ans b. Est définie par une baisse de la PA de 30mmHg pour la systolique et de 20mmHg pour la diastolique c. Est définie par une baisse de la PA de 20mmHg pour la systolique et de 10mmHg pour la diastolique

d. Peut être retenu même si elle n’a pas été retrouvée à l’examen clinique

Q7- L’HYPOTENSION ORTHOSTATIQUE a. Peut atteindre 30% après 75 ans b. Est définie par une baisse de la PA de 30mmHg pour la systolique et de 20mmHg pour la diastolique c. Est définie par une baisse de la PA de 20mmHg pour la systolique et de 10mmHg pour la diastolique

d. Peut être retenu même si elle n’a pas été retrouvée à l’examen clinique

Q8- Le diagnostic de la dénutrition chez la personne âgée repose sur la présence d'un ou de plusieurs des critères suivants (cocher la ou les vraies réponses):

a. Perte de poids > 10% en un mois ou plus de 15% en six mois. b. IMC ≤ 21 kg/m².

c. Albuminémie < 40 g/l d. MNA global < 17/30.

Q8- Le diagnostic de la dénutrition chez la personne âgée repose sur la présence d'un ou de plusieurs des critères suivants (cocher la ou les vraies réponses):

a. Perte de poids > 10% en un mois ou plus de 15% en six mois. b. IMC ≤ 21 kg/m².

c. Albuminémie < 40 g/l d. MNA global < 17/30.

Q9- La prise en charge nutritionnelle d’une personne âgée dénutrie consiste à (cocher la ou les vraies réponses):

a. Privilégier la voie orale b. Rajouter des compléments nutritionnels par voie parentérale car la voie orale est souvent insuffisante c. Conseiller la voie parentérale en cas d’échec d’une nutrition entérale bien conduite

d. Les compléments nutritionnels oraux doivent être conseillés au moment des repas

Q9- La prise en charge nutritionnelle d’une personne âgée dénutrie consiste à (cocher la ou les vraies réponses):

a. Privilégier la voie orale b. Rajouter des compléments nutritionnels par voie parentérale car la voie orale est souvent insuffisante c. Conseiller la voie parentérale en cas d’échec d’une nutrition entérale bien conduite

d. Les compléments nutritionnels oraux doivent être conseillés au moment des repas

Q10- Parmi les recommandations pour une bonne prescription médicamenteuse chez le sujet âgé (cocher la ou les vraies réponses):

a. Ne pas prescrire sans un diagnostic précis b. S’assurer que la posologie proposée sera efficace

c. Adapter la posologie au taux de la créatininémie d. Prendre en considération l’avis du patient et ne pas tenir compte de celle de l’entourage

Q10- Parmi les recommandations pour une bonne prescription médicamenteuse chez le sujet âgé (cocher la ou les vraies réponses):

a. Ne pas prescrire sans un diagnostic précis b. S’assurer que la posologie proposée sera efficace

c. Adapter la posologie au taux de la créatininémie d. Prendre en considération l’avis du patient et ne pas tenir compte de celle de l’entourage

Q11- LES CHUTES CHEZ LA PERSONNE ÂGÉE (COCHER LA OU LES VRAIES RÉPONSES):

a. Est un phénomène banal et sans grandes conséquences b. Nécessitent la recherche d’un facteur extrinsèque

c. Peuvent être en rapport avec la prise de psychotropes d. Leurs recherches doit être anticipé par des tests spécifiques difficiles à réaliser au cabinet médical

Q11- LES CHUTES CHEZ LA PERSONNE ÂGÉE (COCHER LA OU LES VRAIES RÉPONSES):

a. Est un phénomène banal et sans grandes conséquences b. Nécessitent la recherche d’un facteur extrinsèque

c. Peuvent être en rapport avec la prise de psychotropes d. Leurs recherches doit être anticipé par des tests spécifiques difficiles à réaliser au cabinet médical

Q12- PARMI LES FACTEURS DE RISQUE DE LA MALADIE D’ALZHEIMER (COCHER LA OU LES VRAIES RÉPONSES):

a. Age b. Antécédents de traumatisme crânien; c. Tabagisme d. Faible niveau d’instruction

Q12- PARMI LES FACTEURS DE RISQUE DE LA MALADIE D’ALZHEIMER (COCHER LA OU LES VRAIES RÉPONSES):

a. Age b. Antécédents de traumatisme crânien; c. Tabagisme d. Faible niveau d’instruction

Q13- LES FACTEURS PROTECTEURS CONTRE LA MALADIE D’ALZHEIMER SONT (COCHER LA OU LES VRAIES RÉPONSES):

a. Le régime méditerranéen b. Vaccination c. Activité intellectuelle d. Activité physique

Q13- LES FACTEURS PROTECTEURS CONTRE LA MALADIE D’ALZHEIMER SONT (COCHER LA OU LES VRAIES RÉPONSES):

a. Le régime méditerranéen b. Vaccination c. Activité intellectuelle d. Activité physique

Q14- DANS LA MALADIE D’ALZHEIMER, ON

CONSTATE (COCHER LA OU LES VRAIES RÉPONSES):

a. Un déclin cognitif rapide b. Une perte de l’autonomie progressive c. Une évolution rapidement fatale en moins de 3 ans d. Un retentissement fréquent sur l’humeur

Q14- DANS LA MALADIE D’ALZHEIMER, ON

CONSTATE (COCHER LA OU LES VRAIES RÉPONSES):

a. Un déclin cognitif rapide b. Une perte de l’autonomie progressive c. Une évolution rapidement fatale en moins de 3 ans d. Un retentissement fréquent sur l’humeur

Q15- LA VACCINATION CHEZ LE SUJET ÂGÉ (COCHER LA OU LES VRAIES RÉPONSES):

a. N’a pas un grand intérêt sur la prévention des maladies infectieuses ; b. La vaccination contre l’hépatite B est très recommandée c. Réduit le taux d’occupation des lits hospitaliers par les sujets âgées ; d. La vaccination contre la coqueluche en association avec la vaccination antitétanique et Polio avec un rappel tous les 10 ans est recommandée

Q15- LA VACCINATION CHEZ LE SUJET ÂGÉ (COCHER LA OU LES VRAIES RÉPONSES):

a. N’a pas un grand intérêt sur la prévention des maladies infectieuses ; b. La vaccination contre l’hépatite B est très recommandée c. Réduit le taux d’occupation des lits hospitaliers par les sujets âgées ; d. La vaccination contre la coqueluche en association avec la vaccination antitétanique et Polio avec un rappel tous les 10 ans est recommandée