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Techniques de négociations internationales :
Organisations Internationales Réalisé par : Brahim OUBAHMAD Aymen EL-AIBI
Encadré par: Pr. Abdelatif EL MENSSOURI
Plan Contexte général Définition des organisations internationales
Typologie des organisations internationales Étude de cas Conclusion
Objectifs et finalités de la présentation!
Présentener un aperçu sur les Organisations Internationales
Importance et rôle pour le commerce international
Présenter une illustation avec une organisation internationale
Contexte général
Organisations Internationales Les organisations internationales sont de plus en plus nombreuses et occupent une place majeure dans le cadre des relations internationales. Ils s’agissent dans plusieurs pays. Elles sont caractérisées par plusieurs spécificités. D’une part l’organisation internationale est une personne morale de droit public ayant une personnalité juridique propre. Elle n’est pas une simple addition des États membres. Elle dispose de la personnalité juridique internationale et a des droits et des obligations.
Source : article 2 du projet d’articles sur le responsabilité des organisations internationales de 2011
Définitions des organisations internationales
Contexte général Définition des organisations internationales
Les organisations internationales est un regroupement des États qui ont établi un acte constitutif ou un accord. Ce groupement entre les États membre ont un certain nombre d’objectifs et intérêts commun qu’ils sont amenés à respecter.
Keohane, 1989 ; Keohane, Martin, 1995
Contexte général Définition Organisation des Nations Unis
Créée au lendemain de la deuxième guerre mondiale, avec la signature de la charte de San Francisco. L’ONU, répond aux défis mondiaux à travers le multilatéralisme. Elle agit sur les enjeux auxquels l’humanité est confrontée : Ø La paix et la sécurité ; Ø Les droits de l’homme ; Ø L’aide humanitaire ; Ø Le développement durable ; Ø Le droit international.
Typologie des organisations internationales
Organisation Mondiale du Commerce L’Organisation Mondiale du Commerce, est une organisation internationale qui s’occupe des règles régissant le commerce entre les pays. L’OMC est l’origine des accords, négociés et signés par la majorité des puissances commerciales du monde. La finalité est d’aider les producteurs des marchandises et des services, les importateurs et les exportateurs à mener leurs activités.
Missions et rôle Organisation Mondiale du Commerce :
Faciliter la mise en œuvre et le fonctionnement
des
accords
commerciaux multilatéraux Administrer
le
mécanisme
règlement des différentes Servir
de
négociations
forum
pour
les
OMC
Assurer la surveillance multilatérale des politiques commerciales
de
Organisation de Coopération et de Développement Économique L’OCDE, a été fondée en 1961, chargée d’observer les politiques économiques des États membres et proposer des améliorations sur le plan économique et social. Il se compose de 36 pays dont la majorité sont des pays développés. Promotion des politiques publiques
Le bien-être de tous
Égalité des chances
Missions et rôle Organisation de Coopération et de Développement Économique : Mobiliser
de
manière
plus
ciblée l’assistance technique pour le renforcement des capacités des pays Contribuer
à
la
recherche
en développement.
économique quantitative au sujet des coûts et des bénéfices générés par la facilitation des échanges et
Promouvoir
par la mise au point d’une série
améliorent le bien-être économique
d’indicateurs de facilitation des échanges.
OCDE
les
politiques
et social partout dans le monde.
qui
Fond Monétaire International Le fonds monétaire international, crée en juillet 1944. Possédant comme principal but l’encouragement de la stabilité financière et la coopération monétaire internationale par le biais de prêts aux pays membres connaissant de graves difficultés financières. Le FMI regroupe 189 pays membres.
Missions et rôle Fond Monétaire International : Promouvoir
la
internationale
au
permanente
coopération moyen
fournissant
un
monétaire
d’une
institution
mécanisme
de
consultation et de collaboration en ce qui concerne les problèmes monétaires internationaux. Promouvoir
la
stabilité
des
changes,
maintenir entre les États membres des
Aider à établir un système multilatéral de
régimes de cange ordonnes et éviter les
règlement des transactions courantes entre
dépréciations
les
changes.
concurrentielles
des
FMI
États
membres
et
éliminer
les
restrictions de change qui entravent le développement du commercial à l’échelle mondiale.
Groupe de la Banque Mondiale Est la première source multilatérale d’aider au commerce extérieur, une aide au développement conçue pour favoriser un engagement plus efficaces des pays en développement dans les échanges internationaux. Son objectif est le développement des pays du tiers-monde par l’accord des prêts à faibles taux d’intérêts. Le groupe de la banque mondiale est constitué des mêmes pays membres que le FMI.
Elle a été créée en décembre 1945 durant les accords de Bretton Woods.
Groupe de la Banque Mondiale Ce groupe rassemble les cinq institutions qui agissent au sein de la banque mondiale à savoir : La banque internationale pour la reconstruction et le développement
Association internationale de développement
Société financière internationale
Agence multilatérale de garantie des investissements
Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements
Missions et rôle du Groupe la Banque Mondiale: Réalise différentes actions via le conseil et analyse a des financements (prêts, dons ou des crédits).
Chaque année elle accorde plus dizaines de
La lutte contre la pauvreté dans le monde.
GBM
milliards de dollars de prêts, dont prise de participation, et garantie des pays qui nécessitent.
La Chambre de Commerce et d’Industrie : La chambre de commerce et d’industrie, est un établissement public qui soutient le développement des entreprises françaises. Il existe plusieurs dans tout le territoire. Elles sont rassemblées dans un réseau coordonné par la Chambre de Commerce et d’IndustrieFrance.
Missions et rôle La Chambre de Commerce et d’Industrie : Elle offre des services destinés aux entreprises pour permettre leur réussite économique.
Apporter des moyens et informations pour le développement dans les meilleures Favoriser le développement des entreprises
conditions
CCI
par l’utilisation des outils numériques.
L’Organisation Mondiale des Douanes L’Organisation
Mondiale
des
Douanes
est
une
organisation
inter-
gouvernementale basée à Bruxelles. Créée en 1952, sous le nom de conseil de coopération douanière. Elle compte aujourd’hui 183 membres représentants les administrations des douances à travers le monde.
Missions et rôle l’Organisation Mondiale des Douanes :
Assurer le paiement des recettes Elle
chargée
d’étudier
les
questions
concernant les douanes Faciliter le commerce légal
OMD Protéger la société
Protéger la société
Examine Elle donne des avis, recommandations et des conseils concernant les douances
les
aspects
dispositifs des douanes
techniques
des
Étude de cas
Présentation de l’OCDE L’Organisation de coopération et de développement économique OCDE a été créée en 1961. L'OCDE regroupe 34 pays : toute l'Europe occidentale et l'Amérique du nord, plus le Japon, l'Australie, la Nouvelle-Zélande, la Corée et, depuis 1995 et 1996, certains pays d'Europe centrale (République tchèque, Hongrie, Pologne). L'OCDE siège à Paris.
Les missions de l’OCDE L’Article 1 de la Convention de l’OCDE définit la mission de l’Organisation comme étant de : – soutenir la croissance économique ; – développer l’emploi ; – élever le niveau de vie ; – maintenir la stabilité financière ; – aider les autres pays à développer leur économie ; – contribuer à la croissance du commerce mondial.
Les missions de l’OCDE L’OCDE met à disposition des informations, des connaissances et des conseils afin que puissent être façonnées des politiques économiques. En tant que source de données et d’analyses socio-économiques comparatives parmi les plus importantes et les plus fiables au monde, elle contribue à orienter les décisions
Les missions de l’OCDE exemples
Les missions de l’OCDE exemples
Les missions de l’OCDE exemples
L’Organisation structurelle de l’OCDE
Cas concret de l’intervention de l’OCDE : Proget BEPS comme exemple Le projet BEPS (L'érosion de la base d'imposition et le transfert de bénéfices) réalisé sous l'égide de l'OCDE et du G20 crée, dans le domaine de la fiscalité internationale, un ensemble unique de règles faisant l'objet d'un consensus pour protéger l'assiette imposable tout en offrant aux contribuables une prévisibilité et une certitude accrues. Ce
projet
vise
à
équiper
les
gouvernements
d'instruments
nationaux
et
internationaux pour lutter contre l'évasion fiscale en s'assurant que les profits soient taxés à l'endroit même où sont ceux-ci sont générés et où a lieu la création de valeur.
Que signifie l’érosion de la base d’imposition et le transfert de bénéfices ? Le phénomène d’érosion de la base d’imposition et de transfert de bénéfices (« BEPS » en anglais) désigne les stratégies de planification fiscale qui exploitent les failles et les différences dans les règles fiscales en vue de faire « disparaître » des bénéfices à des fins fiscales ou de les transférer dans des pays ou territoires où l’entreprise n’exerce guère d’activité réelle, mais où ils sont faiblement taxés, ce qui aboutit à une charge fiscale faible ou nulle pour l’entreprise.
Origines du projet BEPS Les pratiques BEPS coûtent aux pays 100 à 240 milliards de dollars de revenus perdus chaque année, soit l’équivalent de 4 à 10 % des recettes fiscales mondiales des sociétés.
Contexte général
Contexte général
Contexte général
Contexte général Dans le cadre du Cadre inclusif OCDE/G20 sur le BEPS, plus de 135 pays mettent en œuvre 15 actions pour lutter contre : • L’évasion fiscale ; • Améliorer la cohérence des règles fiscales internationales ; • Assurer un environnement fiscal plus transparent ; • Relever les défis fiscaux découlant de la numérisation de l’économie.
Quel est le rôle de l’OCDE dans la lutte contre ce phénomène ? Des mesures unilatérales et non coordonnées prises par des pays agissant isolément peuvent entraîner un risque de double imposition, voire d’imposition multiple, pour les entreprises. Le Plan d’action concernant BEPS constitue une réponse consensuelle à ces défis, et s’inscrit dans les efforts permanents déployés par l’OCDE pour faire en sorte que l’architecture fiscale mondiale soit équitable et juste.
Que préconise le Plan d’action ? Ce Plan recense 15 actions à déployer afin de lutter de façon globale et coordonnée contre l’érosion de la base d’imposition et le transfert de bénéfices.
Ces actions s’inspirent des trois principes fondamentaux suivants : cohérence, substance et transparence.
Quatre actions en faveur de la cohérence Action 1 : Fiscalisation de l’économie numérique – Identifier les principales difficultés posées par l’économie numérique pour l’application des règles fiscales internationales existantes, et élaborer des solutions détaillées pour les résoudre.
Quatre actions en faveur de la cohérence Action 2 : Neutraliser les effets des montages hybrides – Concevoir des règles nationales visant à neutraliser les effets (double non-imposition, double déduction, report à long terme, par exemple) d’instruments et d’entités hybrides (qui peuvent être considérés comme des dettes dans une juridiction et comme des fonds propres dans une autre, par exemple).
Quatre actions en faveur de la cohérence Action 3 : Renforcer les règles relatives aux sociétés étrangères contrôlées (SEC) - Élaborer des recommandations concernant la conception des règles relatives aux sociétés étrangères contrôlées » (notamment l’imposition des filiales non résidentes, sociétés de personnes, fiduciaires ou autres types de société opportunément implantées dans des juridictions à fiscalité faible ou nulle).
Quatre actions en faveur de la cohérence Action 4 : Limiter l’érosion de la base d’imposition via les déductions d’intérêts et autres frais financiers – Certaines entreprises procèdent à des déductions excessives d’intérêts afin de minorer leurs bénéfices imposables, ou recourent à l’emprunt (qui génère une déduction des paiements d’intérêt) pour financer la production d’un revenu exonéré. Cette action aboutira à formuler des recommandations de pratiques exemplaires visant à concevoir des règles empêchant l’érosion de la base d’imposition via les déductions d’intérêts et autres frais financiers.
Quatre actions en faveur de la cohérence Action 5 : Lutter plus efficacement contre les pratiques fiscales dommageables – Amélioration de la transparence, notamment par le biais de l’échange spontané obligatoire de renseignements sur les décisions relatives à des régimes préférentiels, et par l’obligation de requérir une activité substantielle pour l’instauration de tout régime préférentiel » (y compris les régimes dits de patent box).
Cinq actions visant à aligner l’imposition sur la substance économique Action 6 : Empêcher l’utilisation abusive des conventions fiscales – Bien que les conventions fiscales aient pour raison d’empêcher la double imposition, elles sont parfois utilisées pour générer une double exonération, notamment par le recours à des sociétés-écrans. Cette action aboutira à élaborer des dispositions conventionnelles types et des recommandations visant à concevoir des règles nationales qui empêchent que les avantages prévus par les conventions puissent être accordés dans des circonstances inappropriées.
Cinq actions visant à aligner l’imposition sur la substance économique Action 7 : Empêcher les mesures visant à éviter artificiellement le statut d’établissement stable – La norme internationale prévoit qu’un pays ne peut pas taxer les bénéfices commerciaux d’une entreprise étrangère si cette entreprise ne possède pas un établissement stable dans ce pays. Si l’entreprise n’est pas imposée sur ces bénéfices dans son pays de résidence, elle bénéficie d’une double exonération. Cette action conduira à modifier la définition d’un établissement stable de manière à empêcher l’évitement artificiel du statut d’établissement stable dans l’optique de l’érosion de la base d’imposition et du transfert de bénéfices.
Cinq actions visant à aligner l’imposition sur la substance économique Actions 8, 9 et 10 : les prix de transfert calculés soient conformes à la création de valeur - Les règles d’établissement des prix de transfert servent à répartir un bénéfice généré par une entreprise multinationale entre les pays dans lesquels elle exerce des activités.
Quatre actions visant à assurer la transparence tout en renforçant la certitude Action 11 : collecter et analyser des données sur BEPS – Des travaux supplémentaires doivent être entrepris afin de mesurer l’ampleur et les effets des pratiques d’érosion de la base d’imposition et de transfert des bénéfices, ainsi que l’impact des mesures prises pour les combattre. Cette action permettra de cerner les instruments pouvant être employés pour suivre et évaluer l’efficacité et l’incidence économique des mesures prises pour remédier à l’érosion de la base d’imposition et au transfert de bénéfices.
Quatre actions visant à assurer la transparence tout en renforçant la certitude Action 12 : Obliger les contribuables à faire connaître leurs dispositifs de planification fiscale agressive – L’amélioration des règles de diffusion d’informations peut aider les administrations fiscales et les pouvoirs publics à repérer les nouveaux domaines à risque, mais également contribuer à dissuader les entreprises tentées par une planification fiscale agressive.
Cette action aboutira à élaborer des règles de diffusion obligatoires qui ciblent ces types de dispositifs.
Quatre actions visant à assurer la transparence tout en renforçant la certitude Action 13 : Réexaminer la documentation des prix de transfert – Bien que les contribuables soient généralement tenus d’établir une documentation volumineuse concernant leurs pratiques d’établissement des prix de transfert, bien souvent ces informations ne permettent pas aux administrations fiscales d’acquérir une vision « globale » des dispositifs mondiaux du contribuable. Cette action conduira à élaborer des règles applicables à la documentation des prix de transfert afin d’accroître la transparence pour l’administration fiscale, en tenant compte des coûts de discipline pour les entreprises. Elle imposera notamment aux multinationales de communiquer à l’ensemble des pouvoirs publics concernés les informations requises sur leur répartition mondiale du revenu, de l’activité économique et des impôts payés dans les différents pays.
Quatre actions visant à assurer la transparence tout en renforçant la certitude Action 14 : Accroître l’efficacité des mécanismes de règlement des différends - Les mesures engagées pour lutter contre l’érosion de la base d’imposition et le transfert de bénéfices doivent être complétées par des dispositions garantes de la certitude et de la lisibilité nécessaires pour encourager l’investissement dans le contexte économique actuel. Cette action procurera cette certitude en trouvant des solutions pour lever les obstacles qui empêchent les pays de résoudre les différends relatifs aux conventions.
Cas concret de l’intervention de l’OCDE : Les Principes directeurs de l’OCDE à l’intention des entreprises multinationales Les Principes directeurs ne visent pas à instaurer des différences de traitement entre les entreprises multinationales et les entreprises nationales ; ils traduisent des pratiques recommandables pour toutes les entreprises. On attend donc des entreprises multinationales et nationales qu’elles aient le même comportement dans tous les cas où les Principes directeurs s’appliquent aux unes et aux autres.
Les Principes directeurs de l’OCDE à l’intention des entreprises multinationales 1. Contribuer aux progrès économiques, sociaux et environnementaux en vue de réaliser un développement durable. 2. Respecter les droits de l’homme des personnes affectées par leurs activités, en conformité avec les obligations et les engagements internationaux du gouvernement du pays d’accueil. 3. Encourager la création de capacités locales en coopérant étroitement avec la communauté locale, y compris les milieux d’affaires locaux, tout en développant les activités de l’entreprise sur le marché intérieur et sur les marchés extérieurs d’une manière compatible avec de saines pratiques commerciales.
Les Principes directeurs de l’OCDE à l’intention des entreprises multinationales 4. Encourager la formation de capital humain, en particulier en créant des possibilités d’emploi et en facilitant la formation des salariés. 5. S’abstenir de rechercher ou d’accepter des exemptions non prévues dans le dispositif législatif ou réglementaire concernant l’environnement, la santé, la sécurité, le travail, la fiscalité, les incitations financières ou d’autres domaines. 6. Appuyer et faire observer des principes de bon gouvernement d’entreprise et mettre au point et appliquer de bonnes pratiques de gouvernement d’entreprise.
Les Principes directeurs de l’OCDE à l’intention des entreprises multinationales
7. Élaborer et appliquer des pratiques d’autodiscipline et des systèmes de gestion efficaces qui favorisent une relation de confiance mutuelle entre les entreprises et les sociétés dans lesquelles elles exercent leurs activités. 8. Faire en sorte que leurs salariés soient bien au fait des politiques de l’entreprise et s’y conforment, en les diffusant comme il convient, notamment par des programmes de formation.
Les Principes directeurs de l’OCDE à l’intention des entreprises multinationales 9. S’abstenir d’engager des actions discriminatoires ou disciplinaires à l’encontre de salariés qui auraient fait des rapports de bonne foi à la direction ou, le cas échéant, aux autorités publiques compétentes, concernant des pratiques contraires à la loi, aux Principes directeurs ou aux politiques de l’entreprise. 10. Encourager, dans la mesure du possible, leurs partenaires commerciaux, y compris leurs fournisseurs et leurs sous-traitants, à appliquer des principes de conduite des affaires conformes aux Principes directeurs. 11. S’abstenir de toute ingérence indue dans les activités politiques locales.
Conclusion Pour être efficace, l’action menée par les organisations internationales doit être coordonnée avec l’action publique nationale et refléter une collaboration dans l’élaboration des instruments juridiques et stratégiques. Les organisations internationales disposent rarement du mandat, des capacités méthodologiques et des informations nécessaires pour procéder à des évaluations de leur politique sur les pays membres. Il est nécessaire de redoubler d’efforts pour instaurer une culture d’évaluation au sein des organisations internationales et de renforcer l'interface avec les politiques publiques nationales.
MERCI POUR VOTRE ATTENTION !