Les Obstacles A La Communication Version 2 [PDF]

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Zitiervorschau

Master « Gouvernance, gestion des ressources humaines et ingénierie des compétences » Module : Communication interpersonnelle et prise de parole en public.

Les obstacles à la communication

Travail préparé par : -

Zakaria HAJJAJ Rachid RAJI Rachid BEN HMIDOU Omar ndadani

Encadré par : Professeur GUEDIRA Mohamed

Année universitaire 2019/2020

Plan

Introduction I. II. III. IV.

Les éléments constituants l’acte de communication Les fonctions de la communication Les obstacles à la communication Les techniques pour surmonter les obstacles à la communication

Conclusion

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Introduction :

La communication est une activité d’échange incessante et improbable entre deux ou plusieurs unités (individuelles, organisationnelles, interpersonnelles) qui cherchent à modifier leurs comportements mutuels pour réduire l’incertitude inhérente au fait que ces unités sont et resteront différentes les unes des autres ». « La communication est définie comme l’acte par lequel un émetteur produit un message à propos d’un référent pour le transmettre à un récepteur en utilisant un code et un canal. En effet, Les obstacles à la communication tiennent à la nature humaine : chacun veut avoir raison et fait de sa vérité une règle universelle. Or, cette prédisposition mentale de l'individu est en contradiction avec le fondement de la communication c'est s'ouvrir à l'autre, l'écouter et le comprendre.

La communication est un processus complexe qui dépend de plusieurs éléments. Cependant plusieurs facteurs peuvent nuire à la bonne transmission du message. Quelques perturbations peuvent toujours altérer la qualité du message. On les appelle les obstacles. L’obstacle dont on parle désigne tout ce qui affecte la transmission du message Communiquer a toujours été un problème pour les humains. Mais ce n’est que depuis peu que les spécialistes se soucient autant de ce problème et de son fonctionnement dans les sociétés. Toutefois, une série de mots et de thèmes à la mode ont surgi tout à coup et ont, en fait, obscurci le vrai problème : les obstacles à communiquer. Quels sont ces obstacles ? Et quels sont les moyens pour les surmonter, voire les vaincre ?

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I.

Les éléments constituants l’acte de communication

On distingue 7 composants principaux dans un processus de communication. Ils sont tous actifs en même temps et sont très importants puisqu’ils influencent le résultat de la communication : l’accord ou le désaccord, le conflit ou la compréhension mutuelle, la coopération ou le malentendu. Voici la liste de ces composants :  L’émetteur : c’est la personne qui émet le message ;  Le récepteur : c’est la personne qui reçoit le message ;  Le message : c’est l’information à transmettre ;  Le canal : c’est le moyen utilisé pour le transmettre (voix, lettre, gestes, fax, radio, télé, téléphone, journal, Internet…).  Le code : c’est l’ensemble de signes utilisés pour transmettre un message sous forme transmissible et compréhensible (la langue) ;  Le référent : c’est ce dont on parle ;  Le feed-back : c’est le message en retour vers l’émetteur ; il peut être une réponse

II.

Les fonctions de la communication

Les fonctions de la communication telles que les identifie Roman Jakobson sont chacune liées à un de ces éléments. 1. La fonction expressive Il s'agit de la fonction relative à l'émetteur. Elle est utilisée par le destinateur pour informer le récepteur sur sa propre personnalité ou ses propres pensées : pour Jakobson, « elle vise à une expression directe de l'attitude du sujet à l'égard de ce dont il parle. Elle tend à donner l'impression d'une certaine émotion, vraie ou feinte ; c'est pourquoi la dénomination de fonction "émotive", proposée par Marty s'est révélée préférable à "fonction émotionnelle. La couche purement émotive, dans la langue, est présentée par les interjections » Jakobson donne pour exemple d'utilisation de la fonction expressive la répétition, quarante fois, de Segodnja večerom (« ce soir », en russe) par un acteur qui passait son audition chez 4

Stanislavski. Chaque fois cet acteur devait varier l'intonation de ce soir selon une situation bien précise, imposée par Stanislavski ; pour que l'audition soit réussie, il fallait que l'auditoire reconnaisse chacune de ces situations « à partir des changements dans la configuration phonique de ces deux simples mots ». Dans un contexte informatique, la fonction expressive pourrait être remplie par des métainformations ou métadonnées exprimant l'état psychologique de l'agent émetteur. 2. La fonction conative C'est la fonction relative au destinataire. Elle est utilisée par l'émetteur pour que le récepteur agisse sur lui-même et s'influence. C'est évidemment une fonction privilégiée par la publicité. Cette fonction trouve son expression grammaticale la plus pure dans le vocatif et l'impératif. Cet aspect est lié à une autre approche, la théorie des actes de langage. Des formes grammaticales comme le vocatif ou l'impératif permettent l'instanciation de cette fonction, de la même manière que les verbes dits performatifs comme « demander », « affirmer », « proposer » 3. La fonction phatique La fonction phatique (fonction de mise en phase) est utilisée pour établir, maintenir ou interrompre le contact physique et psychologique avec le récepteur. Elle permet aussi de vérifier le passage physique du message. Il s'agit de rendre la communication effective avant la transmission d'information utile et d'en confirmer la bonne réception. Ce sont les fonctions que remplissent par exemple le « Allô » d'une communication téléphonique, le "entendu" qui clôt un échange, ou les hochements de tête de l'interlocuteur attentif. 4. La fonction métalinguistique C'est la fonction relative au code, le dictionnaire, le mode d'emploi. Avant d'échanger des informations il peut être important que l'échange porte d'abord sur le codage utilisé pour le message. Ainsi les partenaires vérifient qu'ils utilisent un même code. Cette fonction 5

consiste donc à utiliser un langage pour expliquer ce même langage ou un autre langage. On l'appelle parfois « traduction ». Exemples : « 日本語, c'est du japonais », « le verbe manger est un verbe du premier groupe », « quand il a parlé de Marie, c'est bien entendu de Marie Dupont qu'il voulait parler, et non de Marie Durand ». 5. La fonction référentielle Cette fonction du message est centrée sur le monde (un objet ou un évènement extérieur) : le contexte ou référent. Le référent d'une communication peut être par exemple la table qui se trouve dans l’environnement des interlocuteurs (dans le même « contexte »), ou alors une culture, un pays. C'est une fonction extrêmement utilisée puisque la plupart des discussions et des textes dans le monde contiennent une information. Cette fonction décrit une réalité objective. La fonction référentielle oriente la communication vers ce dont l'émetteur parle, vers le sujet sur lequel on informe, vers des faits objectifs, à savoir les référents (personnes, objets, phénomènes, etc.,) sans lesquels il n'y aurait pas de communication possible. Cette fonction englobe les informations objectives que véhicule le message. Par exemple, l'énoncé de faits qui se produisent quelque part. 6. La fonction poétique Pour Jakobson1, « la visée (Einstellung) du message en tant que tel, l'accent mis sur le message pour son propre compte, est ce qui caractérise la fonction poétique du langage. Cette fonction ne peut être étudiée avec profit si on perd de vue les problèmes généraux du langage [...]. La fonction poétique n'est pas la seule fonction de l'art du langage, elle en est seulement la fonction dominante, déterminante, cependant que dans les autres activités verbales elle ne joue qu'un rôle subsidiaire, accessoire. »

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Il s'agit donc de mettre en évidence tout ce qui constitue la matérialité propre des signes, et du code. Cette fonction permet de faire du message un objet esthétique, même de façon minimale. Les efforts liés à l'euphonie et à l'ordre des mots concernent la fonction poétique. Le niveau de langue, le ton, la hauteur de la voix construisent aussi la fonction poétique d'un message oral. 7. Fonctions d’intégration : La communication est largement utilisée pour l'intégration de l'individu à son environnement social. En permanence, il doit prendre position par rapport au comportement des autres, les comprendre, interagir avec eux, s'adapter. Il doit capter les expériences des autres, assimiler leurs connaissances et les mettre à profit pour progresser dans son développement personnel. Il ne peut tenir sa place qu'en échangeant, en collaborant et en communiquant avec ses Semblables. 8. Fonction de révélation : La communication avec autrui permet de dépasser ou corriger les limites ou les erreurs de la connaissance directe. Elle permet à chacun de se révéler à autrui comme, souvent, à soimême, par le canal de sa relation avec les autres. La communication directe avec autrui offre, par rapport à la lecture ou à l'audiovisuel, l'avantage de l’interactivité : l'autre sert de "miroir" et aide à corriger ses erreurs. 9. Fonction valorisation : La communication ne se limite pas à la seule transmission d'informations. Elle peut constituer, pour l'individu, une manière d'attirer l'attention sur lui, de s'affirmer, de se valoriser, voir, aussi de se dévaloriser. 10. Fonction d’influence : Chacun, dans sa vie quotidienne, cherche à amener les autres à partager ses opinions, ses idées. L'entreprise, cherche à convaincre le consommateur des qualités supérieurs de son(ses) produit(s) par des actions publicitaires. 11. Fonctions de guérison : La communication est, aujourd'hui, très utilisée par les thérapeutes pour guérir les désordres psychologiques et aider les individus à résoudre leurs problèmes personnels.

III.

Les obstacles à la communication 7

1) Les bruits Appelé aussi parasite, le bruit est tout ce qui crée une interférence avec le message tel qu’il est transmis par le canal. En termes techniques, il est décrit comme une perturbation de la communication qui déforme le message, empêche le récepteur de capter aisément le contenu transmis. Il peut être de nature physique (bruit), psychologique (idées préconçues) ou sémantique (significations mal comprises) 1.1)

Les bruits techniques

Les bruits sont des perturbations qui peuvent altérer la qualité de la communication, dénaturer le message communiqué, rendre difficilement perceptible l’information ou causer sa perte partielle ou totale. Ce sont des bruits liés au canal de transmission. Si le canal est mal choisi, la communication ne passe pas ou passe mal. Ce type de bruit est lié à l’environnement extérieur, aux conditions techniques « physique et matérielle » : moment mal choisi, endroit mal choisi. Email peut réduire la communication face-à-face, et les messages peuvent être perdus. Les obstacles technologiques tels que le courriel et la messagerie texte ont fourni de nombreux moyens nouveaux et rapides pour communiquer, ils peuvent aussi être des obstacles à la communication interpersonnelle en supprimant l'aspect personnel et verbale de la communication Certaines informations passent mieux à l’oral que par écrit, un schéma est préférable à une longue description…  Les stéréotypes sont des catégories cognitives limitées, assimilées et apprises par un individu pour interpréter des réalités complexes. En situation de communication, ils provoquent chez l’individu des réponses apprises et automatiques, des réactions rigides ne favorisant pas la compréhension.  Les distorsions constituent un effet de sélection. C’est ce qui fait qu’un message n’est pas interprété ou reconstruit de la même façon par deux personnes.

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 La conception de soi ou l’idée que l’on fait de soi- même qui amène à ne choisir ou à n’intégrer que les messages qui font écho à cette image de soi-même. Cela va affecter aussi bien le contenu de la communication que la relation entre l’émetteur et le récepteur. Exemples : friture ou grésillement sur une ligne téléphonique, coupure lors d'une communication téléphonique, message complexe transmis par téléphone. 1.2)

Les bruits sémantiques

Tout élément susceptible de perturber le codage ou le décodage sémantique (fatigue, distraction, ivresse…), il est l'un des types de bruit de communication dans lequel le locuteur utilise un langage complexe, technique, autochtone ou grammatical, et quiconque le reçoit ne comprend pas le message. Cela se produit lorsque celui qui émet le message utilise un mot ou une phrase dont le sens n'est pas connu ou est utilisé d'une manière différente de celle qui le reçoit. Exemple : emploi d’un jargon spécialisé comme le jargon médical.

1.3)

Les bruits sémiologiques

La sémiologie est la science qui étudie les systèmes de signes, c'est-à-dire les comportements non verbaux (paralangages). Les bruits d'attitudes sont les obstacles à la communication ayant une cause psychologique et affective profonde. Les bruits sémiologiques sont nécessairement liés à l'attitude et à la conduite, c'est-à-dire au comportement du récepteur et / ou de l'émetteur.

Exemples : le récepteur ne s'intéresse pas au message ; il n'écoute pas. Parler à quelqu’un en lisant un journal ou en regardant la télévision.

2) Les obstacles culturels et sociologiques Ils touchent les modes de pensée, les opinions, l’inconscient collectif (les valeurs telles qu’elles sont reconnues et admises au sien d’un groupe /une société) et le langage. Ces obstacles diffèrent en fonction de :

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• la culture de l’émetteur et récepteur : La culture dépend du pays et/ou de l’origine (on ne communique pas de la même façon au Maroc qu’en suède, ou à rabat qu’à làayoune). La différence culturelle peut, dans certaines situations donner lieu une mauvaise interprétation du message et en conséquence, à un quiproquo qui peut, parfois, causer une situation conflictuelle • le milieu socio-économique : L’éducation et les préoccupations des individus dépendent de leur class d’origine. • Niveau de connaissance : L’outillage intellectuel, souvent lié au niveau des études. • L’âge : Il est pratiquement difficile de trouver des sujets communs de discussion entre des personnes appartenant à des générations différentes (grands parents et petits)

3) Les obstacles psychologiques et affectifs Dans ce cas, les interlocuteurs ne communiquent pas réellement ou communiquent mal. Ces obstacles se traduisent sous formes de : • Attitudes subjectives d’acception ou de refus de communication, du contact, du dialogue. Des rapports de sympathie ou d’antipathie sont mis en jeu. • Peur ou mépris de l’autre : parfois, on est contraint de garder le silence soit par crainte d’un supérieur hiérarchique soit mépris d’un subalterne. • Ignorance des problèmes d’autrui : c’est quand un adolescent par exemple méconnaît les causes des conflits ou des disputes de ses parents. L’inverse est généralement juste. • Absence ou insuffisance d’écoute : dans ce cas, les interlocuteurs ont du mal à s’écoute ; personne ne prête attention à ce que les autres disent. Chacun ne se soucie que le ses propre idées. • Peur du silence : quand on a peur du silence, on parle pour ne rien dire. On parle uniquement pour meubler le vide. • Mauvaise préparation du récepteur à recevoir le message : quand par exemple on demande de l’argent à papa alors qu’il vient de s’accrocher avec le patron au téléphone. Les obstacles de la communication sont évidents dans la vie quotidienne. Parfois, leur résultat est comique, mais quand on envisage les choses à longs termes dans leur contexte historique, on s’aperçoit que l’effet cumulatif des incompréhensions a eu des conséquences tragiques.

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IV.

Les techniques pour surmonter les obstacles à la communication

 Écoute active : Processus par lequel un auditeur organise en un tout significatif ce qu’il comprend de l’ensemble du message d’un locuteur, c’est à dire de ses signaux verbaux et non verbaux ainsi que de ses pensées et de ses émotions.  Empathie : Capacité de se mettre à la place de l’autre personne pour connaître ses pensées et ses sentiments  Ne pas hésiter à poser des questions : Le dialogue a pour objectif de rendre les choses plus claires ou de transmettre des renseignements. Parfois, certaines informations sont omises et le message reste flou. Pour chaque discussion, il ne faut pas de craindre de poser des questions lorsqu’un passage paraît peu clair. Cela montre à l’interlocuteur que vous vous intéressez et que vous recherchez à répondre au mieux à ses besoins. En posant des questions, vous obtiendrez des informations qui vous permettront de rebondir.  Trouver un terrain d’entente en adaptant le message en fonction de l’interlocuteur. Il faut savoir faire comprendre et accepter son message. Dans la communication professionnelle courante (lettre, appel téléphonique…), il est recommandé d’utiliser un vocabulaire simple.  Etre capable de détecter les intentions et les sous-entendus. Il faut savoir >, savoir détecter le sens véritable du message.  Adapter le verbal au non verbal : il ne faut pas qu’il y ait de mouvements ou de gestes parasites pour que les récepteurs pas dérangés, voir même ne se sentent pas en danger.  Veiller à mettre son interlocuteur à l’aise : C’est pourquoi, durant vos conversations, pensez à adopter une posture d’ouverture. En adoptant ainsi un comportement bienveillant, vous aurez plus de chances de maintenir le lien. Et n’oubliez pas que le sourire est une arme redoutable ! Lorsque vous sentez votre interlocuteur plus tendu, vous pouvez essayer de glisser astucieusement une plaisanterie par exemple.  Agissez de façon naturelle Les gestes ajoutent de l’intérêt et de l’emphase à votre présentation. Si vous êtes nerveux, si vous vous sentez maladroit ou mal à l’aise, démarrez lentement et ajoutez des mouvements ou des gestes à mesure que vous commencez à vous détendre. Pratiquez les gestes en préparant votre présentation et ils viendront plus facilement lorsque vous livrerez votre discours.

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 Établissez un contact visuel Une excellente façon de vous calmer les nerfs est d’établir un contact visuel avec une personne de l’auditoire. Adressez-vous seulement à cette personne. Lorsque vous l’avez regardée assez longtemps pour sentir que vous avez établi un lien, passez à une autre personne, puis à une autre. Une des meilleures façons de conserver l’intérêt de votre auditoire envers votre présentation est de maintenir un bon contact visuel.  Montrez vos sentiments Vous pouvez être de nature réservée, mais commencez votre présentation en souriant. Montrez aux membres de votre auditoire que vous êtes heureux de partager votre information avec eux. Les expressions faciales ajoutent de l’effet aux mots. Assurez-vous seulement que vos expressions conviennent au sujet abordé  Éliminez les distractions Les mots et phrases bouche-trou tels que «euh», «ah», «vous savez», et ainsi de suite deviennent vite des distractions pour les personnes auxquelles vous vous adressez. Perdez l’habitude d’utiliser des mots bouche-trou aussi rapidement que possible. Remplissez plutôt l’espace par le silence—même si cela signifie parler par fragments. À mesure que vous vous détendrez et que vous vous améliorerez, réduisez les moments de silence—à la fin vous pouvez les éliminer presque entièrement.  Reformulez ce que vous dit votre interlocuteur : Reformuler c’est renvoyer à l’autre

avec vos propres mots ce que vous avez entendu, compris, retenu de ce qu’il vous a dit. La reformulation va de pair avec l’écoute active. Elle permet de montrer à votre interlocuteur que vous êtes attentif. C’est également l’occasion pour lui de préciser des points que vous auriez mal compris. La reformulation revêt plusieurs fonctions : – La compréhension : montre à votre interlocuteur que vous le comprenez bien – La validation : fait valider le message en obtenant l’accord de votre interlocuteur – La synthèse : reprend de façon brève et claire ce que vous a dit votre interlocuteur Les amorces de phrases suivantes sont caractéristiques de la reformulation : « Si je comprends bien… », «  Vous voulez dire que… », « Donc à votre avis… », « En d’autres

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Conclusion :

Communiquer à toujours été un problème fondamental entre les Hommes. Le regard porté sur les différents facteurs d'échec de la communication orale nous montre toute la complexité du processus de communication et tous les obstacles auxquels se heurtent le message voulant être transmis. Les

obstacles à la communication peuvent être liés aux personnes (vocabulaire inadapté,

manque d’écoute…) mais aussi à l’environnement (bruits, personnes venant déranger La situation de communication…). Pour favoriser la communication interpersonnelle : – l’émetteur doit avoir conscience de l’influence de son comportement non verbal sur son message verbal. Le lieu de communication doit être adapté afin de réduire les obstacles liés à l’environnement ; – le récepteur doit faire preuve d’attention, faire préciser le sens des termes et éventuellement reformuler le message de l’émetteur pour montrer à son interlocuteur qu’il a bien Compris le message.

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Références

-Olivier Aïm et Stéphane Billiet « communication » ; Dunod , 2015 -MARIE. FRANCE et PRESSE LEBEL « Organiser la communication interne » Editions organisation - Chihab. PARIS - ALGER 1985. -https://www.linkedin.com/pulse/les-fondamentaux-de-la-communication-obstacles-en-insafe-benbelghit?src=afflilpar&veh=aff_src.afflilpar_c.partners_pkw.123201_plc.adgoal %20GmbH_pcrid.449670_learning&trk=aff_src.afflilpar_c.partners_pkw.123201_plc.adgoal %20GmbH_pcrid.449670_learnng&clickid=x3m2-MSnxxyJR9zwUx0Mo3EwUknzE %3A1DwQu83w0&irgwc=1 -https://www.ecoute-psy.com/communication/les-obstacles-a-une-bonne-communication/ -http://blackline22.blogspot.com/p/les-obstacles-la-communication.html

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