47 0 184KB
Le miracle du chiffre 13 dans le Coran
Le chiffre 13 représentait un miracle étonnant dans le Livre d’Allah le Très-Haut puisque la hijra (la migration de notre Prophète de Makka (La Mecque) à Madîna (Médine)) a eu lieu en l’an treize (13), lisons ensemble…….
L’an treize (13) La migration du Noble Prophète (Paix et Bénédiction d’Allah soient sur lui) de Makka à Madîna pourrait être des plus importants évènements dans l’histoire de l’Islam. Cette migration a eu lieu en l’an treize (13) après son envoi (Paix et Bénédiction d’Allah soient sur lui). Le Noble Prophète (Paix et Bénédiction d’Allah soient sur lui) est né en l’année de l’éléphant (dite en arabe ’Âm Al-Fîl). Son parcours de prophétie et révélation a débuté à l’âge de quarante (40) ans et c’est durant cette année que les premiers versets du Noble Coran furent descendus sur Lui. Le Coran mecquois a été révélé durant les treize (13) années de prédication à La Mecque. Ensuite, en l’an treize (13), le Noble Prophète (Paix et Bénédiction d’Allah soient sur lui) a émigré à Médine et sa prédication a duré dix (10) ans. Il meurt à l’âge de soixante trois (63) ans. Allah l’Exalté a fait descendre un verset pour consoler le Noble Prophète sur son chemin vers Médine : ’’Et que de cités, bien plus fortes que ta cité qui t'a expulsé, avons-Nous fait périr, et ils n'eurent point de secoureur.’’ (Mohammad : 13). Ce qui m’a réellement marqué est que ce verset a été descendu en l’an treize (13) et qu’il est également classé treizième (13ème) dans la Sourate de Mohammad ! Dès lors, je me suis rendu compte que ce chiffre ne peut qu’être un miracle divin. En effet, Allah l’Exalté ne choisit pas un chiffre pour un tel évènement remarquable que pour un sens bon et un but précis. Par conséquent, nous allons approcher certaines réalités numériques surprenantes sur ce chiffre et ses multiples dans le Noble Coran. Première et dernière Sourates dans le Coran Nous constatons en examinant le Livre d’Allah l’Exalté, qu’une partie a été révélée à La Mecque, dite mecquoise et l’autre à Médine, dite médinoise. Cependant, en méditant la première Sourate ‘’AlFatiha’’ (le Prologue) et la dernière ‘’An-Nas’’ (Les hommes), toutes deux descendues à La Mecque, j’ai trouvé dans les versets et mots de ces deux dites Sourates une telle cohérence attractive, en effet,
le nombre des versets de la Sourate ‘’Al-Fatiha’’ est de sept (7) et celui de la Sourate ‘’An-Nas’’ est de six (6), ce qui nous donne treize (13) en les additionnant, donc : 7 + 6 = 13 Mais qu’en est-il donc des mots de ces deux Sourates ? En précisant que nous compterons les conjonctions de coordination ‘’et’’ comme un mot indépendant au cours de nos études sur le miracle numérique ! Le nombre des mots de la Sourate ‘’Al-Fatiha’’ est de trente-et-un (31) et celui de la dernière Sourate qui est (An-Nas) est de vingt-et-un (21), ainsi, le nombre résultant de l’addition de ces deux nombres est également un multiple du chiffre treize (13), donc : 31 + 21 = 52 = 13 x 4 Par ailleurs, le dernier verset dans le Coran ‘’Mina Al-Jinnati wan-Nâs’’ (An-Nas (Les hommes) : 9) ("qu'il (le conseiller) soit un djinn, ou un être humain." ) contient ‘’treize’’ lettres [en arabe]. Les lettres détachées D’aucuns Sourates coraniques ont débuté par des lettres détachées dont la première Sourate ‘’AlBaqarah’’ (La Vache) qui commence par ‘’ALM’’ de l’arabe ‘’Alif Lam Mîm’’ et la dernière qui est sourate ‘’Al-Qalam’’ (la plume) commençant par ‘’N’’ de l’arabe ‘’Noûn’’. Encore une fois, ce qui nous émerveille est que Sourate Al-Baqarah contient deux cent quatre-vingtsix (286) versets. Ce nombre est divisible par treize (13), comme suit : 286 = 13 x 22 En outre, Sourate Al-Qalam comporte cinquante-deux (52) versets qui est un multiple de treize (13). 52 = 13 x 4 Le plus surprenant est que le nombre doublement multiple de treize (13), résultant de l’addition des deux dits chiffres, ainsi : 286 + 52 = 338 = 13 x 13 x 2 Maintenant, si nous considérons le nombre des versets des vingt-neuf (29) Sourates débutant par des lettres détachées, qui est de 2743, nous constatons qu’il est un multiple de treize (13), à savoir :
2743 = 13 x 211 De ce qui précède, nous pouvons résumer que, le nombre des versets des Sourates contenant les lettres détachées est un multiple de ‘’treize’’ (13) et que le nombre des versets de la première ainsi que la dernière de ces Sourates est également un multiple de treize (13). D’ajouter, le nombre de toutes les lettres détachées dans le Coran qui est de soixante-dix-huit (78) est divisible par treize (13). 78 = 13 x 6 Pour conclure, trois chiffres symbolisent les évènements importants de la vie du Noble Prophète (Paix et Bénédiction d’Allah soient sur Lui), à savoir : 1- L’envoi : à l’âge de quarante (40) ans ; 2- La migration : à l’âge de cinquante-trois (53) ans ; 3- Le décès : à l’âge de soixante-trois (63) ans. L’addition de ces trois chiffres nous donne ce qui suit : 40 + 53 + 63 = 156 = 13 x 12 Nous prions Allah l’Exalté que ces vérités sur le miracle phénoménal de ce chiffre permettent de guider tous ceux qui doutent de ce Noble Livre, et la fin de notre invocation est louange à Allah, Seigneur de l'Univers. -------------------Ecrit par: Abduldaem Al-Kaheel www.kaheel7.com/fr Références: - Le Noble Coran, de Hafs de ’Asim (Moushaf de Médine) - ’’Al-M’ojam Al-Mofahras li Alfâdh Al-Quor’ân’’ (Dictionnaire de la terminologie du Noble Coran) – Mohammed Fouâd ’Abdulbaki, Dar El-Fikr, Beyrouth.
Le chiffre sept témoin de la noblesse du Coran Nous allons aborder, à travers cet exposé, certaines subtilités numériques septuples comprises dans le livre d’Allah le Très-Haut. Ces dernières viennent, à cette époque, pour témoigner de la noblesse de ce Livre….
Louange à Allah, Seigneur de l'univers, et Paix et Bénédiction d’Allah soient sur notre Prophète Mohammed, sur sa famille et ses compagnons. Ô Allah, Nous n'avons de savoir que ce que Tu nous as appris. Certes c'est Toi l'Omniscient, le Sage. Chers sœurs et frères, nous allons approcher dans cette étude une nouvelle découverte relative au miracle du Noble Coran. En effet, après une étude de dix ans sur les versets du Noble Coran, j’ai découvert que le Coran est basé sur un système numérique qui confirme la noblesse de ce Livre, et prouve à tous ceux qui ont le moindre doute dans leurs cœurs que le Coran est le Livre d’Allah le Très-Haut et l’Islam son message éternel. Cette découverte est fondée sur le chiffre sept et ses multiples ; preuve concrète que Celui qui a créé les sept cieux est Celui qui a descendu ce Coran. Chers frères, le Coran fut descendu afin de guider l’humanité. Le miracle pourrait être une des raisons principales de cette guidance. Qui ne se rappelle-il pas de l’histoire de la conversion à l’islam de Omar (qu'Allah soit satisfait de lui). Lorsqu’il a écouté des versets de la Sourate Ta-Ha, il a été impressionné par l’éloquence de ses sens, la noblesse de ses mots et la splendeur de son style. Il a réalisé, à travers cette éloquence, que le Coran est la Parole d’Allah l’Exalté et il est passé ainsi de l’association et l’égarement à l’unicité et la foi !
Les savants ont récemment découvert un grand nombre de secrets de cet Univers que le Coran avait déjà révélé et que personne ne connaissait lors de sa descente. Parfois, nous entendons parler de la conversion à l’Islam d’un des savants occidentaux qui a bien compris un des versets du miracle scientifique dans le Livre d’Allah le Très-Haut. Ainsi, le miracle scientifique fut la raison de la guidance de celui qui l’a compris et saisi. De nos jours, dans une époque de la technologie numérique, le miracle numérique du Coran convient parfaitement à cette époque ; cela pourrait même être une raison dans la guidance de beaucoup d’athées qui ne comprennent que la langue des chiffres et de la matière. Maintenant, nous allons connaître des réalités numériques extraordinaires dans le Livre d’Allah l’Exalté. Ces dernières affirment l’authenticité de ce Noble Livre et prouvent à tous ceux qui doutent, que la Coran est le Livre d’Allah l’Exalté et qu’Il l’a préservé et le préserve de toutes déformation et modification. Allah… Unique Parmi les merveilles du Coran est que le nom le plus répété dans le Coran est ‘’Allah’’ ! Et le nombre le plus répété est ‘’wâhid’’ (un) !! A travers ces répétitions, Allah le Très-Haut veut nous donner un bon signe qu’Allah l’Exalté est unique ! Ainsi, ce signe dissimulé par Allah l’Exalté démontre que chaque mot du Coran se réitère suivant un système méthodique. En effet, ce n’est pas sans but que nous trouvons ‘’Allah’’ le nom le plus répété dans le livre d’Allah. En examinant tout ce qui a été écrit par l’être humain depuis des milliers d’années jusqu’à nos jours, nous ne pouvons trouver un livre dont le nom de l’auteur est le plus répété !
L’Univers et le Coran … une conformité surprenante Plusieurs signes coraniques démontrent l’existence d’une concordance numérique entre les mots du Coran. Effectivement, en examinant les versets coraniques universels qui évoquent à titre d’exemple la nuit et le jour, et le soleil et la lune, nous constatons que ces mots se disposent toujours suivant cet ordre. Allah le Très-Haut dit : "Et c'est Lui qui a créé la nuit et le jour, le soleil et la lune ; chacun voguant dans une orbite." (Al-'Anbiyâ' (Les Prophètes) : 33). J’ai découvert, en étudiant longuement cet ordre, deux signes : le premier universel et le deuxième numérique. En effet, de nos jours, les astronomes confirment que la nuit est créée avant le jour car l’Univers est passé, au début de sa création, par une époque obscure. Ils affirment aussi que le soleil est créé avant la lune. La disposition de ces mots dans le Coran concorde parfaitement avec l’ordre de leur création ! Cette réalité universelle était méconnue lors de la descente du Coran ; elle n’est révélée que depuis ces dernières années. Donc, cet ordre est une découverte scientifique sans précédent pour le Noble Coran dans le domaine de l’astronomie. En ce qui concerne le miracle numérique, j’ai considéré ces quatre mots, en l’occurrence : Al-Layl (la nuit), An-Nahâr (le jour), Ach-Chams (le soleil) et Al-K'amar (la lune). En comptant le nombre de fois dont ces mots sont répétés, j’ai trouvé que le mot le plus répété est Al-Layl, suivi du mot An-Nahâr, ensuite le mot Ach-Chams et enfin le mot AlK'amar. Dès lors, nous réalisons que l’ordre des mots dans le Coran concorde avec le nombre de fois dont ils sont mentionnés.
Cette extraordinaire concordance entre l’ordre des mots et leur répétition dans le Coran, d’une part, et l’ordre des mots et l’ordre de leur création dans l’Univers, d’autre part, est une preuve que le Créateur des Univers n’est autre que Celui qui a fait descendre le Coran Les hommes de caverne J’ai lu un jour un article écrit par un des athées qui prétend que le Coran compte beaucoup de légendes et de mythes, en citant comme exemple l’histoire des hommes de cavernes. Celui-ci explique qu’il est inconcevable que des gens se réveillent après un sommeil qui dure des centaines d’années. Ainsi, le coran de son point de vue n’est pas fondé. Cela m’a incité à tenter de trouver dans cette histoire un miracle numérique relatif au nombre 309 qui représente le nombre d’années durant lesquelles les hommes de caverne sont restés. Le mot clé de ce miracle est ‘’demeurèrent’’ de l’arabe ‘’Labithoû’’, ce mot représente la durée dont les hommes de caverne demeurèrent (309 années). Donc, nous pouvons dire que ‘’Labithoû’’ = 309. L’histoire débute par la parole d’Allah le Très-Haut : ‘’Quand les jeunes se furent réfugiés dans la caverne, ils dirent : ‹Ô notre Seigneur, donne-nous de Ta part une miséricorde; et assure-nous la droiture dans tout ce qui nous concerne› * Alors, Nous avons assourdi leurs oreilles, dans la caverne pendant de nombreuses années * Ensuite, Nous les avons ressuscités, afin de savoir lequel des deux groupes saurait le mieux calculer la durée exacte de leur séjour’’ (Al-Kahf (la caverne) : 9-12) et se conclue par : ‘’Or, ils demeurèrent dans leur caverne trois cent ans et en ajoutèrent neuf (années) * Dis: ‹Allah sait mieux combien de temps ils demeurèrent là’’ (Al-Kahf (la caverne) : 25-26). En étudiant cette histoire, nous trouvons que le mot ‘’Labithoû’’ est répété dans le début et la fin de l’histoire.
Dès lors, j’ai pensé à compter les mots à partir du premier mot ‘’Labithoû’’ jusqu’au dernier mot ‘’Labithoû’’. La surprise était grande lorsque j’ai trouvé que le nombre des mots était 309 pareillement au nombre d’années durant lesquelles les hommes de caverne sont restés ! Plus surprenant encore, est que l’expression ‘’Thalātha Miā'atin’’ (trois cents) est classée trois-centième (300) dans cette histoire ; signe d’Allah l’Exalté qui démontre que chaque mot dans le Coran est dans l’emplacement exact. Le chiffre le plus singulier dans le Coran et la Sunna Le Prophète (que la Paix et la Bénédiction d’Allah soient sur lui) a accordé dans ses Hadiths une grande importance au chiffre sept : ‘’Allah le Très-Haut mettra sous Son ombre sept catégories de personnes…’’, ‘’Evitez les sept péchés funestes (Moûbiquât)…’’. Il dit aussi ’’Le Coran a été révélé en sept lettres’’ (c'est-à-dire sept langues / manière de récitation du Noble Coran). ‘’Il m'a été ordonné de me prosterner sur sept os’’. Il a cité également, (que la Paix et la Bénédiction d’Allah soient sur lui), des multiples de sept : ‘’ La bonne action est récompensée par dix à sept cents fois sa valeur’’ (donc, le nombre sept cents est multiple de sept). Et ‘’Certes, quiconque jeûne un jour pour la satisfaction d'Allah ; Allah l'éloignera (littéralement, éloignera son visage) de l'Enfer d'une distance de soixante dix ans (littéralement automnes).’’ (donc, le nombre soixante-dix est multiple de sept). Pas de hasard dans le Livre d’Allah l’Exalté 1-.D’aucuns pensent que ces concordances numériques sont un pur hasard. Cependant, nous devons être sûrs qu’il n’y a pas de hasard dans le Livre d’Allah le TrèsHaut mais une perfection et un miracle. En effet, le premier chiffre mentionné dans le Coran est le ‘’sept’’ et c’est le nombre de couches dont chaque atome de l’univers se compose.
2.-Quand Allah l’Exalté nous apprend que le nombre des cieux est sept de même que le nombre de fois dont ces sept cieux sont répétés dans le Coran, ceci nous affirme que cette concordance n’est pas sans but mais la détermination d’Allah le Très-Haut.
3.Quand Allah l’Exalté nous apprend également que le Feu a sept portes, et que le terme ‘’Djahannem’’ (le Feu) est répété dans le Coran un nombre de fois qui est multiple de sept, nous affirmons que Celui qui a créé le Feu à sept portes est Celui qui a fait descendre le Coran suivant une concordance extraordinaire de ses mots. 4.- La noblesse et la puissance du Créateur, Exalté soit-Il, et Son savoir qui embrasse toute chose pourraient être saisi à travers ce chiffre. Allah l’Exalté dit : "Allah qui a créé sept cieux et autant de terres. Entre eux [Son] commandement descend, afin que vous sachiez qu'Allah est en vérité Omnipotent et qu'Allah a embrassé toute chose de [Son] savoir." (At-Talâq (Le Divorce) : 12). 5.- Quand nous considérons la première fois que le chiffre sept est mentionné dans le Coran, nous constatons qu’il est cité dans la Sourate Al-Baquara (La Vache) dans Sa Parole : ‘’puis Il a orienté Sa volonté vers le ciel et en fit sept cieux. Et Il est Omniscient.’’. Et la dernière fois qu’il est cité, dans la Sourate An-Naba' (La Nouvelle) : "et construit au-dessus de vous sept (cieux) renforcés". Par ailleurs, en comptant le nombre des Sourates de la Sourate Al-Baquara (première Sourate dont le nombre sept est mentionné) jusqu'à la Sourate An-Naba' (dernière Sourate dont le nombre sept est mentionné), nous trouvons exactement soixante-dix-sept (77) Sourates. Ce chiffre est un multiple de sept (77 = 7 x 11). Et en comptant le nombre des versets du premier verset : ‘’puis Il a orienté Sa volonté vers le ciel et en fit sept cieux. Et Il est Omniscient.’’ jusqu’à "et construit au-dessus de vous sept (cieux) renforcés", nous trouvons cinq mille six cent quarante-neuf (5649) versets. Ce chiffre est également multiple de sept. Aussi, en comptant les versets précédant le premier verset nous trouvons vingt-huit (28) versets, et en comptant les versets venant après le dernier verset nous trouvons également vingt-huit (28) versets. Le nombre vingt-huit est un multiple de sept.
Gloire à Allah l’Exalté ! Un tel exceptionnel système pourrait-il être un hasard ? En effet, le chiffre sept est cité la première fois dans la Sourate Al-Baquara et la dernière fois dans la Sourate An-Naba'. Le nombre des Sourates est un multiple de sept, le nombre des versets est un multiple de sept, le nombre des versets précédant le premier verset est un multiple de sept et le nombre des versets venant après le dernier verset est également un multiple de sept ! Y t-il un être humain sensé qui croirait qu’un hasard pourrait engendrer une telle infaillible concordance ?! - Des réalités contenues dans la plus noble des Sourates ! Ô chers ! Sourate Al-Fatiha (le prologue), que le Prophète (que la Paix et la Bénédiction d’Allah soient sur lui) a évoqué dans le Hadith : "Louange à Allah, Seigneur de l’univers. Elle constitue les sept [versets] répétés et le Coran Sublime qui m'a été révélé.", est la première et la plus noble des Sourates coraniques, dite Oum Al-Cor`ân (Substance du Coran, littéralement la mère du Coran). Nous avons choisi particulièrement cette Sourate car elle représente la clé du miracle dans le Livre d’Allah le Très-Haut. Effectivement, en considérant le nom ‘’As-Sab`-ol-Mathânî’’ (les sept versets que l'on répète) donné à cette Sourate, nous constatons qu’il se compose de deux mots : ‘’As-Sab`’’ qui fait référence au chiffre sept, ‘’Al-Mathânî’’ qui fait référence au doublage et à la répétition. Les arabes disent ‘’Thannâhou’’ (doubler) et ‘’ils sont venus Mathnâ’’ (deux par deux), et ce, selon le dictionnaire. Par conséquent, ce mot pourrait nous conduire vers un système basé sur le chiffre sept et ses répétitifs dont nous allons exposer à travers les réalités numériques suivantes.
Première réalité La Sourate Al-Fatiha a été appelée par Allah l’Exalté As-Sab`-ol-Mathânî et le nombre de ses versets est sept. Donc, il y a une concordance entre le nom de la Sourate et le nombre de ses versets. Par ailleurs, le nombre des lettres contenues dans la Sourate Al-Fatiha est vingt-et-un (sans compter les répétitions) ; un multiple donc de sept. Deuxième réalité Allah l’Exalté a t-Il inclut une preuve dans cette Sourate qui confirme qu’Il est son descendeur ? Des plus surprenantes concordances relatives au chiffre sept est que le nombre des lettres du Noble Nom ‘’Allah’’ dans la Sourate Al-Fatiha est sept fois sept ! En effet, le Noble Nom ‘’Allah’’ est composé de trois lettres de l’alphabet, en l’occurrence : Alif (A), Lâm (L) et Hâ (H). En comptant le nombre de ces trois lettres dans la Sourate AlFatiha, nous trouvons vingt-deux fois Alif (A), pareillement pour Lâm (L) et cinq fois Hâ (H) ; ce qui fait un total de quarante-neuf (49) lettres. 49 = 7 x 7 De ce qui précède, nous supposons qu’Allah le Très-Haut veut nous donner un signe qu’Il est le descendeur de cette Sourate. D’ailleurs, c’est pour cela qu’Allah l’Exalté l’a appelée As-Sab`-ol-Mathânî et que le nombre des lettres de Son Nom contenues dans cette Sourate est sept fois sept. Quelle parfaite concordance ! Troisième réalité
Par ailleurs, une concordance septuple lie les mots de la Sourate Al-Fatiha et les mots du verset traitant de cette Sourate : ‘’Nous t'avons certes donné «les sept versets que l'on répète», ainsi que le Coran sublime.’’ Donc, le nombre des mots de la Sourate Al-Fatiha est trente-et un (31) et le nombre des mots du verset traitant de cette Sourate est neuf (9). Le nombre 931 résultant de l’alignement de ces deux nombres est doublement multiple de sept. 931 = 7 x 7 x 19 Ce dit verset se trouve dans la Sourate Al-Hijr (l’habitation de Thamoûd) ; cette dernière débute par les lettres détachées Alif (A), Lâm (L) et Râ (R). En comptant les répétitions de ces lettres dans le verset nous trouvons Alif (A) répétée sept (7) fois, Lâm (L) répétée quatre (4) fois et Râ (R) répétée une seule fois. Ce qui est surprenant est que le nombre 147 résultant de l’alignement de ces chiffres est également doublement multiple de sept. 147 = 7 x 7 x 3 Et le plus surprenant encore est que ces mêmes lettres sont répétées dans la Sourate AlFatiha suivant un procédé identique ! La lettre Alif (A) est répétée dans la Sourate Al-Fatiha vingt-deux (22) fois, la lettre Lâm (L) est répétée vingt-deux (22) fois et la lettre Râ (R) est répétée huit (8) fois. Le nombre 82222 résultant de l’alignement de ces nombres est doublement multiple de sept. 82222 = 7 x 7 x 1678 Ce miracle n’est-il pas digne de méditation et de réflexion ? Quatrième réalité
La Sourate Al-Fatiha se compose de sept versets dont chacun se termine par un mot précis, et ces mots sont consécutivement comme suit : [Ar-Rahîm (le Très Miséricordieux), Al`Alamîn (l'univers), Ar-Rahîm (le Très Miséricordieux), Ad-Dîn (la rétribution), Nasta`în (nous implorons secours), Al-Moustakîm (le droit), Ad-Dhâlîn (des égarés)]. Ces termes fut appelés séparateurs car ils séparent les versets. Le plus étonnant est que les lettres de ces sept mots ont un système basé sur le chiffre sept. En comptant le nombre des lettres de ces sept mots, nous obtenons par ordre (de droite à gauche) 7-8-6-5-6-7-6. Le nombre 7865676 résultant de l’alignement de ces chiffres est cinq fois multiple de sept !!! 7865676 = 7 x 7 x 7 x 7 x 7 x 468. Par ailleurs, certains mots du Coran sont écrits d’une manière particulière. Le mot Al-`Alamîn (l'univers), par exemple, est écrit sans la lettre Alif (A) dont son rajout pourrait provoquer le disfonctionnement du parfait système numérique et la non-existence du miracle du chiffre sept. De ce qui précède, nous affirmons l’existence d’un miracle dans l’écriture des mots du Noble Coran qui confirme, sans aucun doute, que le changement d’une seule lettre pourrait causer la non-existence de cet infaillible système. Cependant, Allah l’Exalté a préservé et préserve le Coran ainsi que ces concordances numériques ; preuve concrète de l’authenticité de Son Noble Livre. En conclusion, nous implorons Allah le Très-Haut que cette étude soit acceptée et bénéfique, et qu’elle soit une motivation pour les étudiants afin de faire des études coraniques. -------------------Ecrit par: Abduldaem Al-Kaheel www.kaheel7.com/fr
Références: Le Noble Coran, de Hafs de `Asim (Moushaf de Médine) -’’Al-M`ojam Al-Mofahras li Alfâdh Al-Kor`ân’’ (Dictionnaire de la terminologie du Noble Coran) - Mohammed Fouâd `Abdulbaki, Dar El-Fikr, Beyrouth. -Ichrakât Ar-Rakm Sab`a, Abduldaem Al-Kaheel, Prix International de Dubaï du Noble Coran, Dubaï 2006