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LE GUIDE
VERS L’OREILLE ABSOLUE KATJA KELLER
Musicienne, compositeur, réalisateur, diplômée d’un Master en Musique et Musicologie (l’Université de Copenhague), maîtrise en musicologie (La Sorbonne, Paris IV) et Diplômée du DARK (Conservatoire Danois Alternatif de la Musique Rhythmique)
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enseigne en France depuis 2009 25 méthodes // programmes // formations musicales plus de 100 stages & formations en ligne plus de 50 000 abonnées plus de 3500 clients
Si les portes de la perception étaient nettoyées, chaque chose apparaîtrait à l'homme telle qu'elle est : infinie. William Blake
1.
QU-EST CE QUE CʼEST - LʼOREILLE ABSOLUE ? L’oreille absolue est un phénomène qui fascine et intrigue, provoque et appelle ; un don, un fardeau, une capacité prodigieuse, une chose inutile… On trouve toutes sortes d’opinions à propos de l’oreille absolue. Pour la plupart, les gens disent que l’oreille absolue est une capacité de nommer les notes musicales sans référence externe. Pourtant, il s’agit d’un phénomène beaucoup plus complexe. L’oreille absolue est accessible à chacun. L’application pratique de ce savoir nous permet d’évoluer en tant que musicien. Cela favorise et stimule toutes les activités telles que le solfège, le déchiffrage et la lecture des partitions, la mémoire musicale, ainsi que la maîtrise de la technique, du rythme et de l’expression artistique.
La capacité de nommer les notes sans référence n’est que le sommeil d’iceberg le reste étant tout un système d’organisation cérébrale par rapport à la perception auditive de l’individu. Cela se reflète dans les habitudes des absolutistes qui se diffèrent des autres. Ses habitudes montrent que l’oreille absolue s’entraine constamment, et pas forcement dans une salle de répétition. La méthode que je propose a pour but de découvrir une oreille absolue qui à son tour permettra dʼexplorer et dʼapprendre à utiliser les différents facteurs qui donnent cette capacité merveilleuse, lʼoreille absolue. Permettez-moi une illustration : Op fra den underjordisk hule, hvor kældermørkets første drømmekryb og al den grusomhed, vi helst vil skjule, lægger bunden under sindets dyb...
Parmi ceux qui lisent le texte ci-dessus, il y en a peut-être les gens qui comprennent le danois. Pour la plupart dʼentre vous, jʼimagine que ce texte reste incompréhensible. Si je lisais ce poème à haute voix et avec un ton expressif, vous pourriez vous faire une idée du contenu émotionnel du texte. En vous concentrant très fort, vous pourriez distinguer le début et la fin de certaines phrases, mais le sens des paroles, lʼidée verbalisée, les nuances émotionnelles et lʼappréciation de la beauté du poème vous resteront obscures et très approximatifs, à moins que vous ne compreniez la langue. Comparez maintenant avec un poème en français:
Il pleure dans mon cœur Comme il pleut sur la ville ; Quelle est cette langueur Qui pénètre mon cœur ? Le poème évoque tout de suite des images très précises. Si lʼon veut, on peut classer les mots en catégories, on peut analyser le syntaxe du langage etc. En fait, ON COMPREND ! Pour lʼoreille sans formation ou relative, la musique est une vague qui mène quelque part. Mais on évolue dans le brouillard ! On reconnaît des émotions... Parfois, on est très ému. Mais quelle différence quand vous êtes consciemment présent !!! Vous saisissez les nuances comme jamais vous ne lʼaviez fait auparavant ! En faisant ma recherche, j’ai découvert que l’oreille absolue agit autrement dans les situations que tout le monde connait. Curieusement, vous pouvez vous reconnaitre dans certains cas, dans d’autres, peut-être pas. C’est parce que nous avons tous l’oreille absolue intuitive, mais pour la plupart nous ne l’utilisons guère : 1. L’attention auditive de l’oreille absolue est naturellement prédominante par rapport aux autres types de perception (visuelle et kinesthésique). Par exemple, si un absolutiste vous raconte son expérience lors la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympique, il vous parlera plus des hurlements de la foule, de la musique et des effets sonores que des couleurs, des danses ou des costumes portés par les athlètes.
2. Souvent l’oreille absolue reconnait les notes musicales dans les bruits quotidiens et connait parfaitement les notes chez soi. Alors que l’on remarque que la brosse à dent électrique est déchargée quand elle ne marche plus, l’oreille absolue sait que la brosse doit «chanter» sur le Do ; si la note est baissée au Si, c’est le temps de la recharge. 3. L’oreille absolue remarque les sons autours d’elle et se rend automatiquement compte de leurs provenance. Souvent, elle peut en donner assez précisément la direction et la distance. Même si l’absolutiste n’a pas vu son voisin partir, il a sûrement remarqué que vingt minutes auparavant, la porte de son garage a claqué et que sa voiture s’est éloignée de la maison. Témoin d’un accident, il dira bien exactement ce que se passait, à l’oreille, même s’il n’a rien vu. 4. L’oreille absolue se souvient facilement des musiques dès la première écoute. Comme le décrivait Thomas D., «Depuis mon enfance, je peux rejouer les mélodies de la musique après avoir vu un film au cinéma. Dans la famille, ils m’appelait Petit Mozart, pour ça». 5. Entend le monde comme un grand orchestre. Pour elle, il y a plus des notes que de bruits dans le monde. Olivier Messiaen n’avais pas besoin de composer laborieusement ses chansons des oiseux : il écoutait attentivement les forêts, retraçait ses chants et trouvait les sonorité musicales pour les reproduire.
6. Le musicien absolutiste ne pratique son instrument qu’un tiers de son temps. Le reste se passe dans sa tête. Glenn Gould disait qu’il n’approchait même pas son piano avant de connaitre le morceau par coeur. 7. On peut tous décrire la différence entre les voix humaines. Les musiciens décrivent facilement celles entre les timbres des instruments. Mais c’est bel et bien l’oreille absolue qui sait décrire la différence entre les notes musicales, puisque chaque note possède sa propre identité, son propre visage, sa propre individualité. Dans le poème Voyelles, Arthur Rimbaud, dont l’oreille poétique était sans doute absolue, associe chaque voyelle à une couleur («A noir, E blanc, I rouge, …»). De même manière, un absolutiste peut normalement dire qu’une note est bleu, une deuxième est chaude, une troisième, du velours, ou encore une autre, joyeuse et brillante. 8. Tandis que la conception de consonance et de dissonance est à la base du solfège «non-absolue», pour l’oreille absolue cela n’est qu’une convention de la musique tonale. Une seconde mineure sonne parfaitement reposée pour elle, tandis que triton est un intervalle de beauté supérieure. C’est pour cela que les musiques contemporaines sont très difficiles pour les chanteurs non-absolutistes. Pas seulement qu’elle «est impossible à mémoriser», mais «Où est l’harmonie ?».
9. Imaginez qu’un proche vous téléphone. Vous échangez avec lui quelques remarques insignifiantes mais malgré ses assurances que tout va bien, vous entendez qu’il est troublé. Qu’ entend-on ? Le contenu de la conversation est tout à fait ordinaire, le timbre de sa voix ne change pas, on ne voit pas la mine de l’interlocuteur… Le fait est que la tonalité de la voix (la note sur laquelle la voix se repose) est susceptible de baisser ou d’augmenter en fonction de notre état émotionnel. Votre oreille absolue intuitive entend la différence et le cerveau la traduit en observation : la personne de l’autre côté est stressée, inquiète ou triste. Vous lui direz alors : «Attend, mais qu’est ce qui se passe ?» Un absolutiste pourrait quant à lui préciser: «Ta voix est baissée d’une seconde majeure…». Pourtant, si ce dernier possède un tant soit peu de tact, il s’abstiendra de faire une telle remarque et agira comme tout le monde.
2.
RECONNAÎTRE LES NOTES À L'OREILLE
V
otre musique est toujours une réflection de votre écoute. Vous ne pouvez pas chanter, ni jouer, ce que vous n'entendez pas...
Instrument, chant, composition, improvisation sont toutes les pratiques qui s’appuient sur l’oreille. Mieux on entend, mieux on joue l'instrument, mieux on chante, mieux on déchiffre, improvise, retient la musique en mémoire. Un musicien a besoin d'une bonne oreille.
COMMENT SAVOIR SI MON OREILLE EST BONNE ? Souvent, soit on se sous-estime (“Je chante comme une casserole”), soit on se surestime dans les domaines qui nous semblent être “faciles”. Si on veut progresser dans sa pratique musicale, il est utile à faire une analyse des points forts et des points à améliorer.
Pour commencer, soyez réaliste mais adoptez une attitude positive face aux difficultés. Il n’y a pas de “bonnes” ou de “mauvaises réponses”. Ne faites pas la comparaison avec Horowitz ou Carlos Santana ou autrement un niveau imaginaire d’un “bon niveau”. Il faut s’évaluer par rapport à soi-même, à son répertoire et à son niveau du jeu de l’instrument ou du chant. Pour chaque point d'auto-évaluation, donnez une note entre 0 à 10 (“0” - très facile, “10” - très difficile) : 1. je me sens relâché et à l’aise lors que je joue/ chante (par exemple, vous mettez 7) 2. je retiens les morceaux en tête sans difficulté (ici, par ex, 5, etc) 3. je joue/chante facilement à l’oreille 4. je peux chanter pile-poil juste dans une harmonie 5. je déchiffre ma musique sans trop de difficulté 6. je peux suivre les voix différentes, toutes en même temps 7. je maitrise mon attention auditive : les bruits et les sons ne me dérangent pas 8. j’entends les autres musiciens / mon accompagnateur 9. j’entend si je fais une fausse note et je peux m’ajuster 10. je comprends les rythmes à l’oreille
11. je maitrise la rythmique de mes morceaux quel que soit le tempo 12. je mémorise la musique rapidement 13. je peux discerner à l’oreille des structures mélodiques et harmoniques utilisées dans mes morceaux 14. avec ma partition, je joue/chante tout en restant dans la concentration relâchée 15. j’arrive à lire (jouer/chanter) ma partition correctement et sans m’arrêter 16. je peux jouer des passages longues et les morceaux un peu plus exigeants de mon niveau habituel 17. j’élargi régulièrement mon répertoire actif (j’apprend de nouveaux morceaux) 18. je compose des mélodies et je peux écrire n’importe quelle idée musicale qui me vient à l’esprit 19. je reste dans le tempo naturellement 20. je maîtrise mes morceaux — je peux improviser le texte ou l’interprétation/l’expression lors ce que je joue/ chante Maintenant, comptez vos points, le nombre maximal est 200. Si vous avez plus de 150 : votre oreille est assez adoptée à votre niveau de la pratique musicale. Remarquez les domaines où vous voudrez améliorer et travaillez-les tranquillement. Pensez à apprendre des nouveaux morceaux.
Si vous avez moins de 120 et/ou si le résultat de l’addition ne vous convient pas : le développement de l’oreille musicale peut vous faire progresser massivement et plus rapidement. Travaillez-la en parallèle avec votre pratique de l’instrument ou du chant.
" ... Katja, je veux vous remercier pour votre formation en ligne; c'est génial pour moi qui travaille tout le temps; Depuis le stage: mon audition a changé ; je m'aperçois que j'écoute la musique moins fort, je repère des sons, je reconnais des notes, je peux mieux jouer la musique que j'entends…. Je suis bien contente d'avoir vu que vous étiez non pas une multinationale mais une petite entreprise à taille humaine, qui souhaite aider les musiciens, bravo. Au plaisir de vous écouter à nouveau . " Sylvie (piano, amateur)
3.
DÉVELOPPER L’OREILLE ABSOLUE ? Il y a quatre étapes principales : 1. On change notre perception auditive et on installe les nouvelles habitudes d’écoute. En entendant un son dont l’oreille ne comprend pas la structure, on pense entendre un bruit. De la même manière, quand l’oreille ne comprend pas la musique, cette dernière nous paraît être une séquence chaotique de notes ou de bruits. Donc, le premier pas vers l’oreille musicale développée : il faut stimuler sa conscience musicale et améliorer la perception du monde sonore en générale, y compris les sons qui nous entourent dans notre vie quotidienne. Posez-vous la question : qu’est ce que j’entends « ici et maintenant » ? Observez ce que vous entendez sans jugement, sans réflexion immédiate. Les petits bruits de chez vous : quels sont-ils ? Posez-vous ensuite une autre question : qu’est-ce que cela me fait ressentir, ce que j’entends ? Écoutez vous-même,
encore, attentivement et sans jugement, écoutez tout simplement. Accordez-vous un instant pour être ici et maintenant avec ces sons, et observez comment cette petite action d’écoute volontaire réveille l’oreille, qui vous dira avec reconnaissance qu’elle est prête à écouter et à entendre davantage. 2. Puis, on crée les connexions profondes et stable avec les 12 notes de la gamme. Pour les RE-connaitre, il faut déjà les connaitre. Pour l'oreille absolue, chaque note musicale a son visage, sa pâte, son ressenti unique. Pour une personne DO est vert. Pour une autre, c'est une note fraiche et elle sent de la lavande. Mais pour reconnaître les notes, tout d'abord il faut les connaitre. Et ce n’est pas une décision mentale… Vous ne pouvez pas décider que votre Do est rouge ou vert ou mémoriser une note en la jouant trois mille fois. La note ne va pas se coller... Afin d'activer et entraîner son oreille, il faut créer une connexion profonde et stable avec les 12 notes de la gamme. " Tout à l'heure, j'ai repris cet adagio du 5ème concerto de Beethoven dit l'Empereur et j'ai eu la surprise de vois vivre et danser différemment la note mi bémol très présente. J'étais si troublée, émue, comme en amour, oui avec une sorte de tremblement d'émerveillement amoureux. Je ne savais pas que cette note pouvait me mettre dans un tel état ! Quelle profonde et délicate découverte ! C'est sans doute à cause d'elle, si présente, que je suis tombée en amour de ce morceau...
Merci Katja ! Tout ceci se passe grâce à vous. Quel cadeau de la Vie ! " Dominique (piano, amateur) Il y a 12 notes dans l’arc-en-ciel musical. Parce que le DO au milieu, le DO dans les graves, le DO dans les aiguës, celles ne sont que des nuances de la même couleur. Le mécanisme le plus important qui s'applique dans la reconnaissance et le rappel des notes est un liaison entre la note et son nom à travers d’une image sensorielle :
Il faut connecter le son d’une note à son nom et , de plus, stabiliser cette connexion. 3. On entraîne l'écoute raffinée, spécifique et consciente par rapport aux sons de la musique. Des harmoniques à les harmonies (de là, la compréhension de la musique instinctivement infaillible) ; de la hauteur de note à la couleur tonale (de là, la justesse parfaite et naturelle) ; du calcule fastidieux à la reconnaissance native et la commande facile de votre performance.
4. On intègre la nouvelle écoute dans sa pratique musicale. Et cela reflète votre conscience musicale directement, sans une préparation considérable : on chante/joue plus dans la justesse, on mémorise la musique plus rapidement, tout travail avec les partitions (lecture, déchiffrage, composition/improvisation) s’allége, etc. Dans la méthode, je vous propose tous les exercices pratiques pour couvrir les quatre domaines en équilibre. Venez pour découvrir comment elles sont, vos 12 notes : rouge, joyeuse, calme, etc, et pour apprendre :
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à reconnaître les notes immédiatement et être a l'aise dans son jeu, plus fluide et relâché; d'entendre toutes les notes, jouer plus juste et rapidement, d'être en harmonie avec les autres musiciens ;
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à mieux accorder votre instrument ;
à chanter dans la justesse, que ce soit a capela ou avec l’accompagnement, etc. " J'ai fait d'énormes progrès dans l'écoute, je le constate car ne connaissant pas le solfège je chante de mémoire et je vois très vite l'écart entre la note jouée au piano et ma note chanté que j'ajuste très facilement. Je pense que c'est l'oreille absolue car je ne connais pas les noms des notes, je tente de chanter ce que j'entends. “ Ida (chant, amateur)
4.
QUESTIONS & RÉPONSES Combien de temps faut-il pour travailler les 12 notes ? Travailler les 12 notes musicales = entraîner la reconnaissance et le rappel des notes. Pour couvrir toutes les notes, il faut 1,5-2 mois au rythme régulier et relâché. J'ai 62 ans et ma question : si je vais-être capable avec votre méthode de mieux chanter en m’accompagnant au piano ? Il y a souvent la question d’âge. Les doutes « je ne suis pas tout jeune…» sont répondues. Pendant des années que j'enseigne, j'avais beaucoup d'élèves de 50 ans et plus. Leurs progrès est aussi concluant que ce des élèves plus jeunes. Chaque âge a ses avantages. La jeunesse a peut-être (pas forcement) plus d’énergie ou de l’enthousiasme, mais la personne mature sait focaliser son énergie. Un(e) adulte se relâche et s’ouvre plus facilement vis-à-vis à la nouveauté grâce à ses expériences émotionnelles, il(elle) sait intégrer et confirmer des nouvelles acquisitions puisque c’est avec les années qu’on apprend à s’auto-discipliner et voir le dessin plus large.
Développer son oreille musicale est très bénéfique pour le cerveau et, en conséquence, pour la mémoire (vous allez mémoriser la musique plus rapidement et plus facilement, car les notes sont des ancrages puissants) et la dextérité. Je joue de la guitare et je chante, est-ce que la formation m’aidera ? La méthode convient à tous les instruments. Les mécanismes de la perception auditive et des notes (cela veut dire des couleurs tonales) sont universelles. Pour les chanteurs : la voix est un instrument comme les autres. Et de plus, la formation vous aidera de se débarrasser définitivement de tout problème de justesse des notes chantées. C'est un bon endroit pour découvrir votre nouvelle écoute, aussi efficace pour un novice comme pour un musicien entraîné. Est-ce que le niveau nécessaire pour travailler votre méthode ? Comme on dit, venez comme vous êtes. La formation s'adresse à toute personne qui pratique la musique. C'est un bon endroit pour découvrir une nouvelle écoute et renforcer votre oreille, aussi efficace pour un novice comme pour un musicien entraîné. La note Fa est exactement pareille dans Petit papa Noël et dans un Concert brandenbourgeois de Bach.
"Bonjour Katja ! J'espère que tu vas bien. J'ai participé au stage de juin à Paris, et depuis j'ai travaillé scrupuleusement -et avec beaucoup de plaisir !selon ta méthode, tes exercices, tes conseils. Au cours de l'été j'ai créé les images sensorielles des douze notes. Puis j'ai continué à m'ouvrir au monde sonore. J'ai passé beaucoup de temps à tout simplement ECOUTER avec mon corps et à audioliser. (ce qui était difficile pour moi : audioliser un son sans le chanter) Mes progrès sont incroyables. Aujourd'hui, je peux trouver chaque note et la chanter juste en pensant à son nom. C'est prodigieux !!!! Sans piano, sans diapason !!! Au fond, c'est se qui compte le plus pour moi... Je te remercie du fond du coeur pour ta méthode, Jamais je n'aurais pensé accéder à l'oreille absolue dans ma vie... et ça compte énormément pour moi. Cordialement, Alexia" (piano, amateur) Ou est-ce que je peux faire des exercices en pratique ? STAGES en groupe : cliquez ici FORMATIONS & MÉTHODES en vidéo COACHING La méthode "Incéption" - la version d'essai de la méthode, avec laquelle vous pouvez essayer les techniques de base du développement de l’oreille absolue : pour la recevoir, envoyez-moi un email à [email protected] S'il vous reste des questions, envoyez-moi un email.
à bientôt dans le blog et aux formations, Musicalement, Katja Keller
© Katja Keller