La Femme Du Royaume [PDF]

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La femme du royaume : Embrasser votre objectif, votre pouvoir et vos possibilités Accrochez-vous à quelque chose parce que Kingdom Woman fera vibrer votre monde. Si vous recherchez une lecture pratique qui peut vous aider à tirer parti de votre objectif et de votre pouvoir en tant que femme dans le royaume de Dieu, ne cherchez pas plus loin. C'est le livre pour toi! Ce livre s'adresse à toutes les femmes qui veulent servir Dieu avec substance et impact. Auteur de You Matter More Than You Think Kingdom Woman est inspirante, motivante et catalysante. La lecture de ce livre a insufflé la vie et rafraîchi la foi dans mon cœur. Les femmes qui veulent vivre avec audace et intentionnellement pour le royaume de Dieu trouveront ce livre fondamentalement encourageant. — Auteur, conférencier populaire et hôte de itakejoy.com Jamais les femmes n'ont été bombardées d'autant d'exigences, de choix et d'attentes concurrentes. Dans Kingdom Woman , le Dr Tony Evans et Chrystal Evans Hurst nous inspirent, nous équipent et nous donnent les moyens de croire en Dieu et, avec une grande foi, de nous engager dans le but et le plan qu'il a pour chacune de nos vies. Votre contribution au royaume est importante à chaque saison. Ce livre vous aidera à continuer à courir votre course magnifiquement. —

Auteur à succès d' Undaunted et fondateur de The A21 Campaign En lisant Kingdom Woman, je me suis souvenu de la beauté d'un père valsant avec sa fille, admirant leurs mouvements gracieux et sentant leur amour et leur affection l'un pour l'autre. Leur écriture est équilibrée avec précision, nous capturant avec leur compassion pour Dieu, la famille, les uns et les autres et mettant chacun de nous au défi d'apprendre à valser avec notre Père céleste alors qu'il nous conduit et nous donne le pouvoir de vivre pour lui. Sheila B. Ministères Royaume Femme Copyright © 2013 Tony Evans et Chrystal Evans Hurst A Focus on the Family livre publié par Tyndale House Publishers, Inc., Carol Stream, Illinois 60188 Focus on the Family et le logo et le design qui l'accompagnent sont des marques déposées au niveau fédéral de Focus on the Family, Colorado Springs, CO 80995. TYNDALE et le logo en forme de plume de Tyndale sont des marques déposées de Tyndale House Publishers, Inc. Toutes les citations bibliques, sauf indication contraire, sont tirées de la Sainte Bible, Nouvelle Version Internationale ®. VNI®. Copyright © 1973, 1978, 1984 par Biblica, Inc .™ Utilisé avec la permission de Zondervan. Tous droits réservés dans le monde entier ( www.zondervan.com ). citations bibliques marquées (ESV) proviennent de The Holy Bible, English Standard Version ®, (ESV®), copyright © 2001 par Crossway, un ministère d'édition de Good News Publishers. Utilisé avec permission. Tous les droits sont réservés. Les citations bibliques marquées (KJV) sont tirées de la version King James . citations bibliques marquées (MSG) sont extraites du Message [paraphrase]. Copyright © par Eugene H. Peterson 1993, 1994, 1995, 1996, 2000, 2001, 2002. Utilisé avec l'autorisation de NavPress Publishing Group.

Toutes les citations bibliques marquées (NASB) sont tirées de la New American Standard Bible ®. Copyright © 1960, 1962, 1963, 1968, 1971, 1972, 1973, 1975, 1977, 1995 par la Fondation Lockman. Utilisé avec permission. ( www.Lockman.org ) . Tous les italiques dans les textes bibliques ont été ajoutés par l'auteur pour mettre l'accent. L'utilisation de matériel ou de références à divers sites Web n'implique pas l'approbation de ces sites dans leur intégralité. La disponibilité des sites Web et des pages est sujette à changement sans préavis. Aucune partie de cette publication ne peut être reproduite, stockée dans un système de récupération ou transmise sous quelque forme ou par quelque moyen que ce soit électronique, mécanique, photocopie, enregistrement ou autre - sans l'autorisation écrite préalable de Focus on the Family. Conception de la couverture par Jennifer Ghionzoli Copyright de la photo d'horizon de couverture © PhotoDisc. Tous les droits sont réservés. Photographie de couverture prise par Stephen Vosloo. Copyright © par Focus on the Family. Tous les droits sont réservés. Les données de catalogage avant publication sont disponibles en contactant la Bibliothèque du Congrès à l' adresse http://www.loc.gov/help/contact-general.html . ISBN : 978-1-58997-743-3 ISBN 978-1-62405-194-4 (ePub); ISBN 978-1-62405-195-1 (Kindle); ISBN 978-162405-193-7 (Apple) Version : 2013-08-29 17:04:41 Ce livre est dédié aux trois plus jeunes : Il y a quatre générations de femmes vivantes dans notre famille.Kariss Jessica Kelsey —femmes du royaume en devenir

CONTENU Remerciements Avant-propos Introduction Partie I : La Fondation d'un Royaume Femme : But Chapitre 1 : Une femme de valeur Chapitre 2 : Une femme d'espoir Chapitre 3 : Une femme d'excellence Chapitre 4 : Une femme engagée Partie II : La Foi d'une Femme du Royaume : Pouvoir Chapitre 5 : Le pouvoir de la foi d'une femme du Royaume Chapitre 6 : La poursuite de la foi d'une femme au Royaume Chapitre 7 : Les possibilités de la foi d'une femme du Royaume Chapitre 8 : La prière de la foi d'une femme du Royaume Partie III : Le fruit d'une femme du royaume : Possibilités Chapitre 9 : Une femme du Royaume et sa vie personnelle Chapitre 10 : Une femme du Royaume et sa vie de famille 11 : Une femme du royaume et son église Chapitre 12 : Une femme du royaume et sa communauté Notes d'annexe

Chapitre

REMERCIEMENTS Je n'ai jamais imaginé cette vie, une vie pleine à craquer de plus de bonté qu'aucun homme ne pourrait en gérer seul. Pourtant, il a été en quelque sorte équilibré avec grâce grâce à vous, Lois. La plus grande histoire de tous les livres du monde ne pourrait jamais décrire l'affection et l'appréciation que j'ai pour vous. Tout ce que j'ai accompli de bien l'a été grâce à vous. Que puis-je dire, à part merci. Chrystal, j'étais un jeune homme de vingt-deux ans, pétri d'inexpérience, la toute première fois que j'ai posé les yeux sur toi. Le médecin est entré par les doubles portes dans la salle d'attente où j'avais arpenté frénétiquement, et il m'a dit que vous étiez là. Et quand je t'ai vu, j'ai su que je ne serais plus jamais le même. Je n'aurais jamais pu imaginer que quarante ans plus tard, vous et moi nous assoirions ensemble, stylos à la main, pour écrire un livre qui aurait un impact sur les femmes du monde entier. Quel cadeau vous avez été pour ce projet. Quel cadeau tu as été pour moi. Tyndale et Focus on the Family : Trouver des proclamateurs qui suivent attentivement la fine ligne du ministère et des affaires avec grâce et intégrité peut être un défi. J'ai trouvé ça en toi. Travailler avec vous sur ce livre a été une joie. J'ai hâte de le refaire bientôt.

Papa, merci pour le coup de pouce affectueux dans la direction de l'appel de Dieu sur ma vie. Tu vois toujours plus en moi que moi. Maman, je n'ai pas eu de meilleur exemple que celui que tu as vécu sous mes yeux, jour après jour, dans les meilleurs et les pires moments. Une grande partie de ce que j'ai appris sur la vie en tant que femme du royaume, je l'ai appris en vous observant. Kariss et Jessica, si vous n'aviez pas accepté de m'aider à préparer le dîner, à nettoyer la cuisine et à surveiller vos frères, je n'aurais pas eu le temps d'écrire. Vous n'êtes pas seulement mes filles; vous êtes mes amis. Silla, pas un jour ne passe sans que je ne sois reconnaissant que tu sois ma seule et unique poule mouillée. Je sais que je n'agis pas toujours comme ça, mais je suis content quand tu

rentres chez moi et que tu rentres par la porte de derrière sans frapper. Vous êtes merveilleux avec les mots parlés et écrits. Merci de me permettre d'apprendre de vous. Un grand merci à Kanika, Michelle et Wynter, qui m'ont régulièrement prêté leur cerveau et m'ont donné accès à leurs idées et à leur créativité. J'apprécie chaque réponse à mes emails, SMS et appels incessants. Sally Clarkson et Zan Tyler, vos paroles d'encouragement résonnent régulièrement dans ma tête. Vos mots d'affirmation ont arrosé les graines dormantes et m'ont rappelé qui je suis. Andrea, tu comprends ma vie - l'école à la maison, les tâches ménagères et les garçons affamés - donc tes réflexions ont tellement compté. Nous prendrons éventuellement plus de temps pour passer du temps avec notre équipe ! Focus sur les éditeurs Family et Tyndale House, merci pour l'opportunité de travailler sur un projet avec mon père. Et le dernier mais non le moindre, à mon mari, Jessie, mon homme du royaume - vous êtes la raison pour laquelle j'ai la liberté de trouver mon chemin et d'essayer de nouvelles choses. Votre amour profond et constant pour cette femme folle que Dieu vous a donnée fait fondre mon cœur, encore et encore.

AVANT-PROPOS Quelques femmes ont soupiré d'hésitation lorsque nous leur avons parlé de ce livre. L'idée d'un autre manuel pour leur dire ce qu'ils ne font pas bien et leur donner des instructions sur la façon de changer ne semblait pas attrayante. La simple mention d'une femme du royaume évoquait une image idéaliste, qui devenait instantanément un fardeau. Peut-être, honnêtement, vous ressentez la même chose - un peu fatigué d'avoir un doigt qui vous demande de faire mieux - surtout quand vous faites déjà de votre mieux. Nous comprenons. Faites-nous confiance, nous comprenons, c'est pourquoi nous sommes heureux que vous ayez ouvert ce livre. Ce livre, tout comme son compagnon Kingdom Man , sera différent des autres que vous avez lus. Il ne vous informera pas et ne vous laissera pas suspendu pour faire face à un

sentiment de condamnation et de culpabilité. Chaque chapitre vous encouragera et vous applaudira, puis vous montrera théologiquement et concrètement comment avoir le genre de foi qui inaugurera le miracle que vous recherchiez - celui que vous aviez envie de voir se dérouler dans votre famille, votre église, ou communauté. Il vous remettra une épée et vous incitera ensuite à la dégainer face à l'adversité au lieu de reculer dans la complaisance ou même dans le désespoir. Après avoir pris connaissance de ces pages, vous serez encouragé et vous serez également habilité pour le voyage à venir. Fusionner deux messages uniques en un paquet succinct et singulier nécessite une paire de personnes qui ont parcouru ensemble les annales de l'expérience. Notre mari/père et notre fille/sœur sont juste le duo pour y arriver. Avec la perspective franche, authentique et réelle de Chrystal ponctuant l'enseignement bibliquement inspiré de Tony, vous trouverez cette lecture une aventure révélatrice et éclairante à travers les Écritures, puis dans votre propre cœur. Chrystal est un peu nouvelle sur la scène de l'édition, mais elle brille dans le ministère des femmes de notre église et dans nos vies personnelles. Depuis de nombreuses années maintenant, elle dirige les dames de notre congrégation locale, les formant à être des femmes déterminées qui sont équipées pour atteindre leur plein potentiel. Dans un monde chrétien rempli de gens qui aspirent à la vedette et au microphone, elle a gagné une place estimée au sein de l'église locale. C'est quelque chose dont il vaut la peine de parler. Sa capacité à engager et à inspirer un public est convaincante, mais sa fidélité à former des femmes individuellement est admirable et a inspiré d'autres à faire de même. Encore plus percutante que cela, Chrystal a réussi à maintenir ses priorités en place, structurant son temps et ses efforts pour se concentrer principalement sur sa famille. Honnêtement, nous ne savons pas comment elle fait, et nous sommes en admiration devant elle tous les jours. En tant que mère scolarisée à la maison de cinq enfants, elle connaît l'acte de jonglage exécuté par des millions de femmes dans le monde entier et a démontré ce que signifie honorer Dieu en tant qu'épouse et mère. Pour couronner le tout, elle prépare une miche de pain maison à la citrouille qui vous mettra l'eau à la bouche. Entre faire la vaisselle, créer des plans de cours et faire des sorties occasionnelles sur le terrain, Chrystal a réussi à trouver le temps de bloguer ses pensées et les événements de sa vie d'une manière qui a capté l'attention des femmes. Le trésor que vous découvrirez dans ce manuscrit viendra non seulement de l'enseignement de Tony mais aussi de l'histoire de la vie de Chrystal. Sa relation profonde et florissante avec Jésus se voit dans chaque mot,

et sa vulnérabilité et son esprit vif vous attireront et vous feront ensuite vous voir dans sa vie. Vous rirez de ses histoires et verrez la vérité biblique qu'elle avait l'intention de partager. Chrystal est rafraîchissante et sans prétention. Pas parfait mais utile. Vous ne vous sentirez pas obligé de l'imiter, mais vous voudrez marcher à ses côtés. Tony n'a probablement pas besoin de présentation. Il a écrit plus de soixante livres, donc celui que vous tenez entre vos mains est la continuation d'une longue lignée de titres fantastiques. Sa contribution dans l'édition a béni des millions de personnes dans le monde entier et a laissé une marque indélébile sur la santé de l'église mondiale. Son désir de découvrir puis de relayer les vérités théologiques d'une manière pratique et pertinente a été la marque de son ministère - un ministère dans lequel il a servi toute sa vie d'adulte. C'est un homme fidèle qui s'est consacré au Seigneur, à sa famille et à l'église locale. Pendant plus de trois décennies, il a fait paître le même troupeau. Pendant plus de quatre décennies, il a aimé la même femme. Pendant près de cinq décennies, il a enseigné le même évangile pur de Jésus Christ. La profondeur de son intégrité et de son caractère correspond à la portée étendue de son ministère. Nous aurions aimé pouvoir vous amener autour de notre table de cuisine pour faire l'expérience des dévotions après le dîner qui se produisaient la plupart des nuits dans notre maison. Ou vous a invité à notre road trip annuel d'un mois à travers les États-Unis qu'il nous a courageusement emmenés chaque mois d'août. Ou vous avez-vous rejoint pour le service du dimanche matin où nous nous sommes assis sous son enseignement inspiré pendant trente-sept ans. Ensuite, vous verriez le vrai homme derrière le personnage plus grand que nature - le pasteur, le père et l'ami introspectif et aimant qui a un cœur qui résonnera avec le vôtre à travers chaque partie de ce livre. Donc, voici l'affaire : ce livre est comme une voie ferrée se dirigeant vers une destination qui vaut chaque once d'énergie dépensée pour faire le voyage. Et, comme toute piste, celleci a deux rails reliés entre eux par les échelons de la sagesse et de l'expérience. À différents moments de votre voyage, vous devrez être prêt à sauter sur chacun de ces rails afin de tirer le meilleur parti de votre lecture. Chacun vous permettra un point de vue différent qui améliorera l'autre. L'un des côtés est celui de Tony - biblique, stimulant et d'une intensité appropriée. Cela vous demandera de regarder dans votre Bible, puis dans votre propre âme

pendant que vous apprenez des leçons de femmes anciennes que vous n'avez peut-être jamais recueillies auparavant. Ensuite, Chrystal vous invitera de son côté de la piste. Vous saisirez sa main, vous stabiliserez sur sa balustrade et commencerez un voyage personnel qui vous permettra d'appliquer les vérités que vous avez lues. Nous serons honnêtes et vous dirons que le trajet ne sera pas toujours facile et sans heurts. Il pourrait y avoir des virages sur quelques falaises spirituelles escarpées qui pourraient vous donner l'impression que vous n'arriverez pas intact de l'autre côté, mais vous le ferez. Vous serez. Tony et Crystal. Père et fille. La combinaison parfaite pour vous apporter cet incroyable manuscrit qui vous marquera à jamais. Vous en sortirez plus riche, plus sage et plus motivée pour devenir la femme du royaume pour laquelle vous avez été créée. Soyez bénis pendant que vous lisez.

INTRODUCTION L'IMPORTANCE D'UNE FEMME DU ROYAUME Quand l'alarme d'une femme du royaume sonne chaque matin, le diable essaie de frapper son bouton snooze. Il fera tout ce qu'il peut pour essayer de l'empêcher de se lever et de commencer une nouvelle journée. L'enfer n'a pas de fureur comme une femme du royaume dérangée. Elle n'arrêtera pas de faire tout ce qu'elle peut pour le royaume jusqu'à ce qu'elle fasse regretter au diable de l'avoir dérangée. Comme l'a dit un jour la forte et éloquente Eleanor Roosevelt : « Une femme est comme un sachet de thé. Vous ne savez jamais à quel point il est fort tant qu'il n'est pas dans de l'eau chaude. [1] Lorsque l'eau chaude arrive, nous assistons souvent à l'explosion de force et de détermination intérieure qui ferait honte à de nombreux hommes. Lors de l'accouchement seul, les femmes endurent et éprouvent souvent plus d'angoisse et de douleur que des dizaines d'hommes envoyés à la guerre. Les femmes sont souvent les héroïnes méconnues derrière toute victoire, découverte ou campagne morale majeure. Tout au long de l'histoire, lorsque les hommes étaient partis au combat, les femmes tenaient le fort, aidaient à créer et à envoyer les fournitures, dirigeaient les entreprises, maintenaient l'économie et la communauté et cultivaient, tout en gérant leurs maisons. Les femmes ont toujours occupé une place d'influence dans la culture, même si cela n'a pas été publiquement reconnu ou légalement autorisé. L'auteur du XIXe siècle Virginia Woolf a écrit succinctement : « Je me risquerais à deviner que [Anonyme,] qui a écrit tant de poèmes sans les signer, était souvent une femme. [2] En fait, les femmes ont été dotées d'une telle capacité d'influence innée qu'elles peuvent changer le monde en bien ou, malheureusement, en mal. Nous ne connaissons que trop bien les influences négatives. Par exemple, Samson pouvait vaincre une armée entière avec la mâchoire d'un âne, mais il s'est affaibli dans les bras d'une seule femme. Salomon possédait la sagesse, la richesse et le pouvoir, mais il s'inclina néanmoins devant l'influence impie de ses nombreuses femmes. David a tué un géant avec toute la bravoure et la bravade d'un gladiateur - avec une seule pierre et une fronde. Pourtant, le roi David a été renversé par un seul regard sur une beauté au bain.

L'influence féminine n'est pas uniquement liée à la sexualité et n'est pas utilisée uniquement pour obtenir un résultat négatif. En fait, de nombreuses femmes utilisent leur pouvoir inné pour faire le bien au nom de ceux qui les entourent. Les femmes en général mûrissent plus vite que les hommes, ce qui leur donne la possibilité de prendre des décisions dans leurs premières années qui les positionnent plus en sécurité dans la vie et au travail. Plus de femmes que d'hommes obtiennent un diplôme à tous les niveaux d'études collégiales. Et les revenus des femmes ont augmenté de 56 % en moyenne depuis 1963, mais leurs collègues masculins gagnaient moins que les hommes qui travaillaient en 1970 . [ 3] Non seulement les femmes influencent plus que jamais le lieu de travail, mais elles sont aussi souvent l'impulsion derrière le changement et la transformation sociale. Le Center on Philanthropy a constaté que les femmes de la génération des baby-boomers et plus, dans presque toutes les tranches économiques, donnent plus - jusqu'à 89% de plus - à la charité que les hommes, augmentant ainsi le volume de leurs voix en ce qui concerne la stratégie, la vision et approche . [ 4] Au-delà de cela, les femmes sont douées d'une capacité séduisante à être d'un charme désarmant, même sans utiliser d'attrait physique supplémentaire. Cela seul peut guider les conversations ou influencer des décisions majeures dans de nombreux domaines, même à l'insu des personnes impliquées. Les femmes incarnent aussi souvent une profondeur spirituelle et une perspicacité supplémentaires qui captivent les hommes parce que ces qualités reflètent quelque chose que les hommes recherchent pour eux-mêmes. Notre culture affiche souvent un mirage qui montre que les hommes ont tout le pouvoir, le contrôle et l'influence. Et les hommes, dans leur forme la plus brute, cherchent à créer, explorer, construire, exploiter, réaliser et conquérir, puis s'attribuent la gloire d'avoir tout fait eux-mêmes. Ce qui est souvent oublié : examiner la motivation derrière les ambitions d'un homme, qui est souvent l'influence d'une femme. Dès le début, un homme dépend d' une femme à bien des égards - de l'utérus à la petite enfance, aux enseignants et à l'influence des médias qui créent une image idéale d'une femme. Un homme n'achète pas une voiture simplement parce qu'il veut cette voiture rapide. Il achètera souvent une voiture pour impressionner une femme, même s'il n'admettra pas que c'est pour cela qu'il l'a fait.

Les hommes apprennent souvent dès le collège que les gars qui font du sport attirent les filles. Les gars qui conduisent de belles voitures, qui ont de l'argent ou qui ont du charme ont les filles. Au fur et à mesure qu'ils deviennent des hommes, ces leçons restent avec eux alors qu'ils visent de bons emplois, une certaine réputation ou le succès. Tout ce que vous avez à faire est d'écouter une chanson chantée par un homme pour découvrir l'une des plus grandes forces motrices derrière une grande partie de ce que font les hommes. Voici un exemple que vous pouvez trouver sur les stations de radio d'aujourd'hui, "Parce que ce que vous ne comprenez pas, c'est que j'attraperais une grenade pour vous." [5] Ou de la bande originale du film populaire de 1991 Robin Hood: Prince of Thieves, un personnage d'un grand enthousiasme, de puissance et de force combat des ennemis dans des scénarios difficiles et dangereux tandis que les paroles indiquent qu'une femme est derrière toutes ses incursions: "Tout ce que je fais , Je le fais pour toi." [6] Ou ramenez-le à ma génération avec les paroles de la chanson à succès « Quand un homme aime une femme » du seul et unique Percy Sledge : « Il échangera le monde contre la bonne chose qu'il a trouvée. » [sept] Il est rare qu'un film épique se termine sans unir ou réunir d'une manière ou d'une autre un homme avec une femme. Des batailles ont été menées au sujet des femmes, l'histoire a été façonnée par des femmes, la politique a été influencée ou décidée par des femmes, des nations ont été dirigées par des femmes. Même en athlétisme, les femmes ont du pouvoir et de l'influence. Pas plus tard qu'aux Jeux olympiques de Londres en 2012, les femmes américaines ont remporté plus de médailles d'or non seulement sur les hommes américains, mais également sur le nombre total de médailles de la plupart des nations (la Chine en a remporté trente-huit et la Grande-Bretagne a égalé les femmes américaines avec vingtneuf). En fait, les femmes américaines ont remporté un total de cinquante-huit médailles, soit plus de soixante-quatre pays au total, sans compter la Chine, la Russie et la GrandeBretagne . [ 8] Sojourner Truth, une femme puissante, a dit : « Si la première femme que Dieu ait jamais faite était assez forte pour bouleverser le monde toute seule, ces femmes ensemble devraient être capables de le retourner et de le remettre dans le bon sens ! [9] L'essayiste britannique du XVIIIe siècle Samuel Johnson a écrit à une époque où les droits des femmes étaient fortement limités par la loi : « La nature a donné aux femmes tellement de pouvoir que la loi leur en a sagement donné très peu. [dix]

Heureusement, les droits légaux et les opportunités des femmes ne sont plus limités en Amérique ou dans de nombreux autres pays comme ils l'étaient à l'époque de Virginia Woolf, Samuel Johnson ou Sojourner Truth, mais le sentiment derrière chacune de leurs déclarations reste vrai. Les femmes sont naturellement douées pour influencer et impacter leur monde. La première femme Les femmes ornent cette planète avec perspicacité, sensibilité et une beauté spirituelle qui les a mises derrière de grandes réalisations. Les dictons populaires sonnent juste : la main qui berce le berceau gouverne le monde, et derrière chaque grand homme se cache une femme plus grande. Ou, dans notre cas, derrière chaque homme du royaume se trouve une femme du royaume. Personne ne dit jamais : « Derrière chaque grande femme se cache un homme plus grand. Cette phrase ne passerait pas. Il y a des dizaines de femmes célibataires qui réussissent, sont compétentes et satisfaites. Et il y a des dizaines de femmes mariées dont les maris ne sont clairement pas des hommes du royaume, mais ces femmes restent elles-mêmes des femmes du royaume. Dieu a créé l'homme à partir de la poussière du sol. À un niveau de base, le Créateur a ramassé de la terre et a jeté Adam ensemble. Le mot hébreu pour Dieu formant l'homme est yatsar , [ 11] qui signifie « former, comme un potier ». Un pot n'a généralement qu'une seule fonction. Pourtant, quand Dieu a fait une femme, Il a « fait une femme de la côte qu'il avait prise de l'homme » (Genèse 2:22). Il l'a créée de Ses propres mains. Il a pris son temps pour la façonner et la façonner en un éclat aux multiples facettes. Le mot hébreu utilisé pour faire de la femme est banah , signifiant « construire, comme une maison, un temple, une ville, un autel ». [12] La complexité impliquée par le terme banah vaut la peine d'être notée. Dieu a donné aux femmes une composition diversifiée qui leur permet de bien remplir de multiples fonctions. Adam peut être considéré comme le prototype humain 1.0, tandis qu'Eve était le prototype humain 2.0. Ce qui est très important, cependant, c'est qu'Eve a été façonnée latéralement avec la côte d'Adam. Ce n'était pas une formation descendante de domination ou une formation ascendante d'asservissement. Au contraire, Eve était un membre tout aussi estimé de la race humaine.

Après tout, Dieu a parlé de la décision de leur création comme d'une seule décision avant même que nous ayons été initiés au processus de leur création. La toute première fois que nous lisons à propos d'Ève et d'Adam, c'est lorsque nous lisons le mandat de gouverner qui leur est donné de manière égale. Nous sommes présentés aux deux sexes ensemble, simultanément. Cela vient du premier chapitre de la Bible : Alors Dieu dit : « Faisons l'homme à notre image, à notre ressemblance, et qu'il domine sur les poissons de la mer et les oiseaux du ciel, sur le bétail, sur toute la terre et sur toutes les créatures qui se meuvent. le long du sol. Alors Dieu créa l'homme à son image, à l'image de Dieu il le créa ; homme et femme, il les a créés . (Genèse 1:26-27) Les hommes et les femmes ont été créés de manière égale à l'image de Dieu. Alors que dans cette égalité se trouvent des rôles distincts et différents (nous verrons cela au chapitre 10), il n'y a pas de différence d'égalité d'être, de valeur ou de dignité entre les sexes. Tous deux portent la responsabilité d'honorer l'image à laquelle ils ont été créés. Une femme faite à l'image de Dieu ne devrait jamais se contenter d'être traitée comme rien de moins qu'un porteur d'image du seul vrai Roi. Comme l'a dit Abraham Lincoln, "Rien marqué de l'image et de la ressemblance divines n'a été envoyé dans le monde pour être piétiné." [13] Tout comme les hommes, les femmes ont été créées pour régner. Une alliance pour la domination Lorsque Dieu créa les cieux et la terre, Il établit un ordre. Bien qu'Il soit le Créateur et le Souverain ultime de Sa création, Il a volontairement donné à l'humanité le pouvoir de régner dans Son ordre prescrit. En théologie, cela s'appelle l'Alliance du Dominion. C'est là que Dieu a confié aux hommes et aux femmes la domination immédiate et tangible sur sa création dans les limites et les stipulations qu'il a établies. L'Alliance du Dominion se trouve dans Genèse 1 où nous venons de lire : « Alors Dieu dit : 'Faisons l'homme à notre image, à notre ressemblance, et qu'il règne' » (verset 26). L'Alliance du Dominion est rarement enseignée ou discutée. Pourtant ce n'est pas rien. Fondamentalement, cela implique le retrait volontaire de Dieu de Lui-même sur la gestion directe de ce qu'Il a créé sur terre tout en libérant cette responsabilité de gestion à l'humanité. Lorsque nous lisons que Dieu a créé l'homme à son image, l'homme et la femme ont été créés. Le Dominion Covenant s'applique non seulement aux hommes, mais aussi aux

femmes. Une femme du royaume est une partie essentielle du règne de Dieu sur terre. Il a délégué cette responsabilité, donnant à chacun de nous le pouvoir de prendre des décisions. Ces décisions s'accompagnent de bénédictions ou de conséquences selon ses limites et ses lois. Dieu a établi un processus par lequel Il honore nos décisions, même si ces décisions vont à son encontre, ou même si ces décisions ne sont pas dans le meilleur intérêt de ce qui est géré. Dieu a dit: "Laissez- les régner." Alors que Dieu conserve l'autorité et la propriété souveraines absolues, il a délégué une autorité relative à l'humanité dans la sphère d'influence, ou de domination, que chaque personne possède. L'une des raisons pour lesquelles cette règle et cette gestion ont été si largement négligées est que beaucoup de gens ne savent pas pourquoi ils sont ici sur terre pour commencer. Cela s'est produit à cause d'une culture qui flirte avec l'hédonisme depuis des décennies. Une vision du monde hédoniste promeut l'idée que le destin personnel de quelqu'un existe pour faire progresser son bonheur personnel. Dans l'économie de Dieu, cependant, le bonheur personnel est un dérivé – un avantage – et non le but ou la force motrice du destin d'une femme du royaume. Le bonheur n'est pas la raison pour laquelle Dieu a créé les femmes. La raison pour laquelle il a créé les femmes était de faire progresser son royaume et sa gloire. Domination dans le Royaume Dieu a investi son image dans ses hommes et ses femmes et les a exposés. Une femme du royaume doit refléter Lui et Son royaume d'une manière si remarquable que les gens veulent en savoir plus sur le royaume qu'elle représente. Elle a été mise ici pour refléter l'image de Dieu. J'en ai remarqué un exemple alors que ma femme, Lois, et moi passions du temps à New York cette année. Chaque fois que nous y allons, nous nous arrêtons inévitablement à Saks Fifth Avenue pour un après-midi. Des vitrines bordent le trottoir à l'extérieur afin que les passants puissent avoir un aperçu de ce qui se trouve à l'intérieur du «royaume» de Saks. Les propriétaires investissent beaucoup de temps et de ressources pour montrer ce que leur royaume a à offrir.

Je souhaite que plus de gens réalisent tout ce que le royaume de Dieu a à offrir. L'une des raisons pour lesquelles si peu de gens saisissent vraiment la signification qui vient de l'Alliance du Dominion est qu'ils ne connaissent pas la vraie valeur du royaume de Dieu. Ils ne savent pas exactement ce qu'ils ont été placés ici pour représenter. Le corps de Christ, en général, se concentre davantage sur le concept de l'église que sur le royaume. Tant de vies ne démontrent pas visiblement la signification que Dieu leur a donnée. Ils ne font pas bien la publicité du royaume de Dieu. L'une des raisons en est que l'église s'est contentée de bâtiments et de programmes au lieu d'enseigner aux hommes et aux femmes comment accéder à l'autorité du royaume. Nous avons eu l'église, mais nous n'avons pas connu le royaume. Sans nos églises fonctionnant d'une manière soucieuse du royaume, les croyants ne sont pas formés pour devenir l'église du royaume que Christ est venu édifier. En fait, Jésus n'a mentionné l'église que trois fois dans son ministère terrestre, et les trois fois sont enregistrées dans le livre de Matthieu axé sur le royaume. [14] Le mot royaume, cependant, se retrouve cinquantequatre fois dans le même livre. [15] Nous entendons généralement plus parler de l'église que du royaume. Nous « implantons des églises » plutôt que de promouvoir le royaume. Nos séminaires enseignent à nos futurs dirigeants comment faire l' église plutôt que comment s'occuper du royaume. Maintenant, nous ne pouvons pas avoir d'église sans le royaume, et le royaume exécute son programme à travers l'église. Pourtant, sans un enseignement ouvert et précis sur la façon de vivre en tant qu'hommes et femmes du royaume, nous manquons de direction pour vraiment vivre nos destinées. Le mot grec pour « royaume » dans le Nouveau Testament est basileia , qui signifie « autorité » et « règle ». [16] Un royaume inclut toujours trois composants : une règle, un royaume de sujets sous sa règle et les règles ou les gouvernances. Le royaume de Dieu est l'exécution autoritaire de « son règne complet sur tous création." Le programme du royaume est simplement « la démonstration visible du règne complet de Dieu sur tous les domaines de la vie ». [17] Le royaume de Dieu transcende le temps, l'espace, la politique, les dénominations, les cultures et les domaines de la société. Il est à la fois maintenant (Marc 1 :15) et pas encore (Matthieu 16 :28), proche (Luc 17 :21) et retiré (Matthieu 7 :21). Les domaines du

royaume comprennent l'individu, la famille, l'église et le gouvernement civil. Dieu a donné des directives pour le fonctionnement de tous les quatre, et négliger ces directives entraîne le désordre et la perte. Le principal élément sur lequel tout le reste repose dans un royaume est l'autorité du souverain. Sans cela, c'est l'anarchie. Sachant cela, Satan s'est assuré que son premier geste était d'essayer de détrôner subtilement et trompeusement le souverain en omettant d'utiliser le terme SEIGNEUR comme Dieu l'a fait lorsqu'il s'est référé à lui-même au début de la Genèse en tant que SEIGNEUR Dieu . Yahweh , traduit par « SEIGNEUR Dieu » dans la Bible, signifie « maître et souverain absolu » [ 18] et est le nom que Dieu a utilisé pour se révéler et révéler sa relation avec nous. Avant que Dieu ne se révèle aux humains, il a été présenté comme Elohim, le puissant Créateur. Quand Satan a parlé à Eve de manger du fruit défendu, il n'a pas fait référence à Dieu comme SEIGNEUR Dieu . Essentiellement, il a dépouillé le nom de SEIGNEUR dans Genèse 3:1 : « En effet, Dieu a-t-il dit . . . ?" (NASB). Satan a essayé de réduire la domination de Dieu en commençant par une torsion subtile mais efficace dans Son nom. Le but de Satan en agissant ainsi était de pousser Eve hors de la définition et de l'ordre du royaume de Dieu. Quand Adam et Eve ont tous deux mangé du fruit dans la désobéissance, ils ont choisi de changer leur façon de voir Dieu, supprimant l'aspect de Maître et Souverain. En conséquence, ils ont perdu leur communion intime avec Lui et les uns avec les autres. Heureusement, sur la croix, Jésus-Christ a réintroduit cette communion intime par son sacrifice sans péché et sa résurrection. Grâce à l'expiation de Christ, nous pouvons jouir d'une communion sans entrave avec Dieu maintenant. Cependant, cela ne se produit que lorsque nous nous alignons sous Dieu en tant que SEIGNEUR Dieu - le Maître et le Souverain. Par conséquent, une femme du royaume peut être définie comme "une femme qui se positionne sous et opère selon la règle de Dieu dans tous les domaines de sa vie". Eve n'a pas commencé sur un si bon pied lorsqu'elle a décidé d'agir par elle-même plutôt que selon la règle de Dieu. Aujourd'hui, de nombreuses femmes ont encore du mal à reprendre le contrôle personnel de leur vie, s'ouvrant ainsi au chagrin, à la perte et au chaos. Pourtant, grâce à la grâce et à la miséricorde de Jésus-Christ, toute femme peut s'aligner sous Dieu et vivre une vie transformée. Chroniques de Crystal

Femme du Royaume. Ces mots sonnent comme des talons aiguilles assez hauts pour se promener toute la journée. La vérité est que je sais que je ne suis pas cette femme. C'est quelqu'un que je m'efforce de devenir mais dont les rôles et les responsabilités semblent être beaucoup à gérer. La définition même d' une femme du royaume place la barre haute. Après tout, où est cette femme – qui est cette femme – qui se positionne régulièrement et constamment sous et opère selon la règle complète de Dieu sur sa vie ? Oh, je sais. Elle doit être ma voisine. Elle doit être la femme qui s'assoit à côté de moi à l'église ou la dame qui semble toujours avoir le temps de servir les autres. Elle doit être la femme qui est mariée depuis cinquante-sept ans ou la femme qui a cinquante-sept ans et qui a marché avec une pureté remarquable. Elle doit être la femme qui marche avec la Bible en lambeaux et déchirée ou la femme qui garde l'attirail de Jésus sur son bureau au travail. Elle doit être la femme qui ne crie jamais sur ses enfants et la femme qui cuisine toujours des repas gastronomiques pour sa famille. Elle doit être la femme qui a une éthique de travail irréprochable et qui vit en toute liberté financière car elle choisit régulièrement la frugalité plutôt que la mode. Elle maintient une taille modeste et ne nourrit aucune dépendance. Elle doit être toutes les autres femmes, c'est-à-dire. Tout comme Eve, nous, les femmes, avons tendance à passer plus de temps à analyser ce que nous ne sommes pas ou ce que nous n'avons pas qu'à reconnaître pour qui nous avons été créées. La victoire de Satan avec Eve a commencé bien avant qu'elle ne mange ce fruit. La morsure n'était que le point culminant d'une mort qui a commencé quand Eve a entamé une conversation avec le diable. Et c'est ce que nous faisons beaucoup. On parle. Nous répétons quotidiennement ce que nous n'avons pas ou qui nous ne sommes pas. Nous nous concentrons sur les zones de notre « jardin » (notre domaine ou notre royaume) qui semblent tout simplement hors de notre portée ou de notre contrôle. Nous prenons la graine de mécontentement offerte par le diable et informons nos âmes de notre insatisfaction, de notre malheur ou de notre mécontentement. Tout comme Eve, nous avons le choix. Nous pouvons choisir de croire ce que la Parole de Dieu dit à propos de qui nous sommes et de ce pour quoi nous sommes créés, ou nous pouvons entretenir les mensonges plantés par l'ennemi de nos âmes et cultivés par la culture dans laquelle nous vivons. Romains 10:17 dit que " la foi vient de l'écoute du message, et le message est entendu par la parole de Christ. Et c'est de cela qu'il s'agit dans ce livre : entendre (et lire) ce que Dieu dit à propos de qui vous êtes en tant que femme créée pour sa gloire.

Je désire être la femme pour laquelle il m'a créée, pas la femme que je pense vouloir être ou la femme que le monde me dit que je devrais être. Cela m'apporte une grande joie de penser à la conception détaillée et à l'effort complexe que Dieu a mis en avant lors de ma création. Je suis si heureuse de ne pas avoir à aspirer à être quelqu'un d'autre que cette femme que Dieu veut que je sois. Vous n'avez pas à chercher l'approbation de quelqu'un d'autre pour la vie que Dieu vous a donnée à vivre. Vous n'avez pas à vous excuser pour la force, le courage, le talent, la beauté ou l'intelligence que votre Créateur vous a donnés. Mesdames, nous sommes tous « l'ouvrage de Dieu, créés en Jésus-Christ pour faire de bonnes œuvres, que Dieu a préparées d'avance pour que nous les fassions » (Éphésiens 2 :10). Femme du Royaume. Ces talons rouges de quatre pouces ne semblent pas faciles à marcher toute la journée. Mais les premiers regards peuvent être trompeurs. La bonne chaussure fabriquée par le bon designer et avec les bons matériaux peut être non seulement portable, mais confortable ! Dieu a conçu un plan et un but pour vous. Vous n'êtes pas seulement « redoutablement et merveilleusement fait » (Psaume 139:14) ; tu es créé à l'image d'un Dieu radieux, magnifique, plein de beauté et de splendeur. Portez donc bien Sa gloire. Marchez sur sa piste.

Plus que des aides Un vieil adage dit : « Les femmes qui cherchent à être égales aux hommes manquent d'ambition ». Pensez-y une seconde, car je ne veux pas que vous manquiez la puissance de son propos. Tant de femmes ont appris que parce que Dieu considérait la femme comme une "aide" pour Adam, les femmes sont par conséquent "moins" que les hommes. Les femmes entendent souvent dire qu'elles doivent ressembler au Saint-Esprit dans son rôle d'« aide ». Pourtant, un examen plus approfondi du mot hébreu utilisé pour « aide » dans les Écritures devrait vous ouvrir les yeux. Les mots hébreux traduits par « une aide appropriée pour lui » dans le récit de la création sont importants parce qu'ils sont étonnamment puissants. Ce sont ezer et kenegdo. Le mot ezer apparaît vingt et une fois dans l'Ancien Testament, avec seulement deux de ces fois

se référant à une femme. Les usages restants se réfèrent à l'aide qui vient directement de Dieu le Père . [ 19] Voici quelques exemples: Il n'y a personne comme le Dieu de Jeshurun, qui monte sur les cieux avec ton aide [ezer]. (Deutéronome 33:26, KJV) Notre âme attend l'Éternel : il est notre secours [ezer] et notre bouclier. (Psaume 33:20, KJV) Pourtant je suis pauvre et nécessiteux ; viens vite à moi, ô Dieu. Tu es mon aide [ ezer ]. (Psaume 70:5) Notre aide [ezer] est au nom de l'Éternel. (Psaume 124:8) Pour distinguer ezer de tous les autres usages de l'Ancien Testament, qui faisaient référence à une aide plus forte apportée par Dieu, le mot kenegdo a été ajouté. Cela signifie littéralement "devant votre visage, à votre avis ou dans votre but". [20] Certains ont traduit kenegdo comme signifiant également « l'achèvement de » ou « la contrepartie de ». Comme vous pouvez le voir d'après le nom que Dieu a donné à Eve, le sien n'est pas un rôle de soumission, de service de bonne ou même celui d'être un esclave. Elle est une aide forte comparable à celle de Dieu le Père. Beaucoup de gens voient la Bible comme un livre écrit avec une vision pessimiste ou dédaigneuse des femmes. Charles Templeton, qui était autrefois un évangéliste, puis a commencé à douter de la Bible, a succinctement exprimé cette opinion dans Adieu à Dieu : "Dans la Bible, les femmes sont des créatures secondaires et relativement sans importance" et "Dans la majorité des expressions fondamentales du christianisme, les femmes restent soumis et secondaire aux hommes. [21] Ceux, comme Templeton, qui estiment que l'Écriture a été créée comme le reflet d'une vision du monde misogyne qui opprime et nie la valeur des femmes n'ont manifestement pas regardé la langue et le contexte d'origine. Pourtant, le mot même que Dieu a choisi d'utiliser pour le but et l'intention de la femme est le même mot utilisé pour se référer à Lui-même en tant que personne principale dans la Divinité. Dieu n'hésite pas à se référer à lui-même ou à se définir à travers l'utilisation de termes ou d'images féminins. Voici quelques exemples : Dieu comme une femme en travail (Esaïe 42:14) Dieu comme une sage-femme (Psaume 22 :9-10 ; 71 :6 ; Isaïe 66 :9) Dieu comme une femme qui cherche une pièce perdue (Luc 15 :8-10)

Dieu comme une mère ours (Osée 13:8) Dieu comme une mère : – allaitant ses enfants (Nombres 11:12) – sans oublier ses enfants (Ésaïe 49: 14-15) – réconfortant ses enfants (Esaïe 66:13) – faisant naître et protégeant Israël (Ésaïe 46 :3-4) – appelant, tenant, guérissant et nourrissant ses enfants (Osée 11 :1-4) – rassemblant ses enfants comme une mère poule (Matthieu 23:37) – protégeant ses petits (Psaume 17 : 8 ; 36 : 7 ; 57 : 1 ; 91 : 1‑ 4) En fait, non seulement Dieu utilise une terminologie et des images féminines pour communiquer des principes spirituels majeurs, mais la principale référence à l'Église dans l'Écriture est également faite avec une terminologie féminine (par exemple, l'épouse du Christ). Lorsque Jésus a choisi d'utiliser Marie comme exemple de disciple personnel, il l'a affirmée d'une manière qui était contraire aux normes culturelles de l'époque pour les femmes. Plutôt que de maintenir l'attente culturelle selon laquelle les femmes devraient s'occuper des tâches ménagères dans la cuisine, comme le faisait Marthe, Jésus a spécifiquement déclaré que Marie avait choisi la meilleure chose en s'engageant dans une étude théologique aux pieds du Christ, qui était uniquement la pratique des hommes. apprenant aux pieds d'un rabbin en ce jour-là. Jésus-Christ a non seulement estimé la décision de Marie en tant que femme, mais Il l'a également félicitée. En fait, Dieu tient les femmes en si haute estime qu'Il n'écoutera même pas les prières d'un homme s'il ne l'honore pas comme une héritière égale dans le royaume de Dieu (1 Pierre 3 :7). Dieu a créé la femme ; Adam n'a pas

La création de la femme par Dieu n'était pas le résultat de la demande d'Adam. Ce n'est pas Adam qui a dit qu'il avait besoin de quelqu'un dans sa vie. Au contraire, Dieu l'a dit: "Il n'est pas bon que l'homme soit seul" (Genèse 2:18, KJV). Dieu a vu le besoin apparent d'un partenaire pour remplir l' Alliance du Dominion, alors Il a créé un ezer kenegdo . Adam n'a pris aucune part à la création d'Eve autre que de faire une sieste. Le premier appel d'Eve était vers Dieu – pour accomplir son dessein pour sa vie, qui dans son cas était d'aider Adam. Son rôle d'aide n'était pas seulement un rôle de compagnie; il comprenait également un rôle important en tant que collaborateur dans le mandat du dominion. Pourtant, de nombreuses femmes aujourd'hui, soit à cause d'un divorce, soit d'un manque d'hommes du royaume pour se marier, n'ont pas d'Adam pour les aider. Si vous êtes l'une de ces femmes, soyez courageuse et fière de votre appel, car Dieu seul est votre but. Vous avez été fait pour Lui. Comme il l'a dit dans Esaïe, « Car ton Créateur est ton époux, l'Éternel tout-puissant est son nom, le Saint d'Israël est ton rédempteur ; il est appelé le Dieu de toute la terre. L'Éternel te rappellera comme si tu étais une femme délaissée et affligée, une femme qui s'est mariée jeune pour être rejetée, dit ton Dieu. (54:5-6) Que vous soyez marié sur terre ou que Dieu soit votre Époux (Ésaïe 54 :5), votre valeur est bien au-dessus de tout trésor. L'une des vérités les plus importantes auxquelles vous devez croire concerne votre valeur. Vous êtes significatif. Vous êtes précieux. Vous valez plus que des bijoux. En tant que femme du royaume qui craint le Seigneur, gardez votre valeur en vous assurant d'abord de vous voir selon la valeur que Dieu vous a donnée. Vous devez faire tout votre possible pour vous assurer que les autres vous traitent avec dignité. Vous devez être traité comme un trésor, pas comme quelqu'un à saccager ou à utiliser. Je comprends qu'il y a des situations où vous ne pouvez pas contrôler la façon dont vous êtes traité, mais cela ne signifie pas que vous devez y acquiescer. Vous n'avez pas à accepter intérieurement le dénigrement de quelqu'un d'autre envers vous. Cela ne devrait pas affecter votre vision de qui vous êtes. Comme l'a dit Eleanor Roosevelt, "Personne ne peut vous faire sentir inférieur sans votre consentement." [22]

Vous êtes avant tout une femme du royaume créée pour l'œuvre de Dieu. Votre vie, grâce à sa force de soutien, devrait être celle d'un grand objectif, d'une puissance spirituelle et de possibilités. Lorsqu'une femme du royaume se retire pour la soirée, un diable frustré et épuisé devrait dire : « J'ai joué avec la mauvaise femme aujourd'hui. Il n'y a rien de tel qu'une femme du royaume qui réussit à vaincre les tentatives de l'ennemi de gâcher sa vie et celle des personnes qu'elle aime. Il n'y a rien comme une femme du royaume qui réussit à trouver et à accomplir le but pour lequel Dieu l'a façonnée. Il n'y a rien comme une femme du royaume entièrement formée.

PARTIE 1 LA FONDATION D'UNE FEMME DE ROYAUME: LE BUT

1 UNE

FEMME DE VALEUR

Quand une femme du royaume commence sa journée, le ciel, la terre et l'enfer le remarquent. Lorsqu'elle nourrit et conseille l'homme qu'elle aime, il ne peut guère lui résister. Lorsqu'elle offre des soins, du réconfort et des encouragements à ses amis et à sa famille, ils peuvent aller plus loin, plus vite et en toute confiance grâce à son inspiration et à son réconfort. "Ses enfants se lèvent et l'appellent bienheureuse" (Proverbes 31:28, ESV). D'autres femmes se tournent vers elle pour des conseils avisés et une oreille compatissante. Son église compte sur son service fidèle. Elle est une contributrice essentielle à la culture et une gardienne chez elle pour éloigner le négatif et promouvoir le positif. Lorsque nous examinons l'histoire de la foi chrétienne, les femmes du royaume (mariées et célibataires) sont partout. Les femmes du Royaume à travers la Bible ont sauvé des vies et des nations. C'est Jokébed qui est intervenue en faveur de son fils Moïse (Exode 2). En raison de sa protection vigilante, Moïse a ensuite été utilisé comme libérateur d'Israël (Exode 3). C'est la femme de Moïse, Séphora, qui a sauvé la vie de Moïse alors que Dieu allait le punir pour son refus de suivre un simple commandement (Exode 4 :2426). La bravoure d'Esther a donné l'occasion au peuple juif de se défendre contre ce qui aurait été l'anéantissement total (Esther 7-8). Le refus de Ruth de retourner auprès des siens en raison de son dévouement envers sa belle-mère, Naomi, a conduit à la lignée continue du Messie (Ruth 4 :18-22). Rahab a joué un rôle déterminant dans la victoire d'Israël sur Jéricho (Josué 2). Marie a porté le Fils de Dieu dans son sein (Luc 1 :30-35). Le profil le plus clair d'une femme du royaume que j'ai jamais trouvé dans la Bible se trouve dans Proverbes 31. Ce qui est intéressant, cependant, c'est que dans toute mon étude des Écritures, je n'ai jamais trouvé de passage corollaire pour les hommes comme Proverbes 31 l'est pour femmes. Il se peut que les hommes aient besoin de toute la Bible pour bien comprendre, tandis que les femmes n'ont besoin que d'un chapitre. La femme Proverbes 31 est la marque des femmes du royaume. j'aime l'appeler une femme pour toutes les saisons. Elle est forte, intelligente, capable, généreuse, ingénieuse, efficace, spirituelle et bien plus encore. Maintenant, ne fermez pas ce livre tout de suite. Je sais que cela ressemble à une femme parfaite, et vous pouvez penser que son niveau est trop élevé pour être réellement atteint.

Mais la femme Proverbes 31 n'est pas le modèle d'une femme parfaite. Une femme du royaume n'est pas non plus appelée à la perfection. Prenons l'exemple d'une mère au foyer. Une femme du royaume n'est pas quelqu'un qui peut parfaitement effectuer plusieurs tâches à la fois tout en scolarisant à la maison trois enfants très différents, en siégeant à quatre comités d'église, en covoiturant onze enfants du quartier dans les deux sens pour aller au football, en gardant sa maison impeccable, en entraînant l'équipe d'orthographe, en fonctionnant comme un tueur PDG sur le lieu de travail, faisant passer chaque soir à son mari la meilleure nuit de sa vie et conservant une silhouette de taille 6 jusque dans la cinquantaine, tout en cuisinant uniquement des aliments biologiques non génétiquement modifiés et en préparant chaque repas à partir de rien. Cette femme n'existe pas. Et nous n'avons pas assemblé ce livre pour vous faire penser que vous devriez être elle non plus. En fait, d'après mon expérience en tant que pasteur d'une église pendant près de quatre décennies et en passant des milliers d'heures à conseiller les femmes et les hommes, le problème est souvent que les femmes essaient d'en faire trop - et tout à la fois. Les femmes, vous pouvez être une femme Proverbes 31 et plus, mais cela ne veut pas dire que vous faites tout cela en même temps. L'un des principes les plus importants pour vous en tant que femme du royaume est que votre vie traverse différentes saisons. Chacune de ces saisons comporte des contraintes de temps, des bénédictions et des exigences différentes. Essayer de tout faire sans être conscient de la saison dans laquelle vous vous trouvez est le moyen le plus sûr d'épuisement et même d'amertume. Le fondement principal d'être une femme du royaume n'inclut pas un million de choses différentes faites d'un million de façons différentes. La fondation principale est en fait simple et directe. Il est situé à la fin des Proverbes 31. Après avoir énuméré tout ce que cette femme en particulier a fait, le verset dit : Le charme est trompeur et la beauté est éphémère ; mais une femme qui craint l'Éternel est digne de louanges.

Donnez-lui la récompense qu'elle a méritée, et que ses œuvres lui apportent des louanges à la porte de la ville. (Versets 30-31) Ce qui distingue une femme du royaume de toute autre femme se résume à sa crainte de Dieu. Sa révérence détermine ses actions, ses pensées, ses paroles et ses priorités. Sans cela, les exigences de la vie submergeraient n'importe quelle femme. Craignez le Seigneur Une femme qui craint le Seigneur recevra les louanges qui lui sont dues. Ses œuvres et les produits de ses mains lui donneront la reconnaissance et la validation qui n'appartiennent qu'à elle. Lorsqu'une femme comprend qui elle est et comment Dieu l'a créée, lorsqu'elle poursuit son destin à la lumière de la façon dont Dieu l'a créée pour fonctionner, ce qu'elle fait produira des résultats remarquables. C'est parce que ce sera conforme à la volonté de Dieu. Ce que trop de femmes font fréquemment, c'est de fonder leurs décisions sur le fait d'essayer de plaire aux autres, ou d'essayer de gagner l'acceptation, l'appréciation ou le sentiment de valeur de leurs décisions, de leur apparence ou de leurs actions. Pourtant, Dieu n'a jamais dit que vous recevriez des éloges pour avoir essayé de plaire aux autres. La base du fonctionnement d'une femme du royaume vient de sa crainte de Dieu. La façon dont elle donne la priorité à sa maison et à sa famille, organise sa vie, prend des décisions, choisit des investissements et développe ses compétences découle de ses efforts pour faire avancer le royaume de Dieu. Si ses priorités sont enracinées dans autre chose, elles conduiront à la lassitude et à l'agitation plutôt qu'à la fécondité et à l'abondance. La manière la plus simple que je connaisse pour définir ce que signifie craindre Dieu est de prendre Dieu au sérieux. Cela signifie placer ce que Dieu dit et ce que Dieu exige comme la plus haute priorité dans votre vie. Craindre Dieu ne signifie pas que vous avez peur de lui. La peur est mieux comprise comme révérence ou crainte. Cela signifie tenir en haute estime. Une femme du royaume craint le Seigneur dans tous les domaines de sa vie. Le marché ne contrôle pas une femme qui craint Dieu. La télévision, les magazines, les blogs et les sites de médias sociaux ne l'influencent pas loin de Lui. Ses amis ne dictent

pas ses émotions ou ses décisions. La culture ne la définit pas. Même ses propres ambitions ne la dominent pas. Au contraire, la principale influence dans la vie d'une femme du royaume est Dieu. Sa voix est la plus forte. Il est Celui qu'elle cherche à plaire. Son respect pour Lui détermine ses choix. Les résultats de la crainte de Dieu Oui, la femme Proverbes 31 a fait beaucoup. Elle a gagné la confiance de son mari, elle a confectionné des vêtements pour sa famille, elle s'est nourrie des meilleurs fournisseurs et elle a investi dans une petite entreprise avec les revenus de la plantation d'un vignoble. Elle a aidé les pauvres, pris soin de ceux qui étaient chez elle et s'est habillée, ainsi que ses enfants, avec des vêtements de qualité. Elle a apporté le respect à son mari et la sagesse à ceux qui l'entouraient. Gardez à l'esprit qu'elle a vécu à une époque et dans une culture où planter un vignoble ne signifiait pas qu'elle le faisait toute seule. Le passage dit que ses bras étaient forts (verset 17), donc nous savons qu'elle en a fait une partie. Mais selon les normes culturelles de l'époque, il est probable qu'elle ait embauché d'autres personnes pour travailler dans son vignoble. Elle aurait eu des servantes qui aidaient à la maison, lavaient les vêtements, préparaient la nourriture, etc. Lorsque vous décomposez tout ce que la femme Proverbes 31 a fait et que vous le traduisez à l'époque contemporaine, cela ne semble vraiment pas aussi noble et inaccessible. Essentiellement, elle honorait et respectait son mari. Elle a nourri et habillé sa famille avec les produits les plus sains et les plus raffinés qu'elle pouvait se permettre. Elle a investi l'utilisation de ses compétences dans une entreprise personnelle, a parlé sagement et gentiment aux autres, s'est habillée de manière attrayante et a aidé les pauvres. Toutes ces actions peuvent facilement se traduire dans votre monde aujourd'hui. Je ne veux pas que vous sentiez que ce qu'elle a atteint est tellement hors de portée de ce que Dieu est capable de faire à travers vous. Parce que ce n'est pas le cas. Cela revient à dire que sa crainte et sa vénération pour Dieu l'ont amenée à faire de son mieux avec ce qu'elle avait pour promouvoir le royaume et la bonté de Dieu dans sa propre vie et dans la vie de ceux qui l'entouraient. L'aide n'est pas mauvaise

Un principe important qui est souvent négligé lorsque nous examinons la vie de la femme de Proverbes 31 est qu'elle n'était pas trop fière d'obtenir de l'aide. Au verset 15, nous lisons : « Elle se lève alors qu'il fait encore nuit ; elle fournit de la nourriture à sa famille et des portions à ses servantes. Servantes n'est pas un terme que nous utilisons aujourd'hui. Dans la société hébraïque ancienne, il faisait référence à une servante ou à une aide. C'est une petite référence à une vérité très importante. Comme je l'ai mentionné plus tôt, la femme du royaume dans Proverbes 31 n'a pas essayé de tout faire par ellemême. Elle avait de l'aide. Elle était diligente, ingénieuse et productive, mais elle ne l'a pas fait toute seule. Aujourd'hui, les femmes chrétiennes sont particulièrement stigmatisées lorsqu'elles demandent ou utilisent de l'aide. Pour une raison quelconque, les gens en sont venus à croire que «l'épuisement est proche de la piété» est écrit quelque part dans la Bible. Ce n'est pas. Le moyen le plus rapide de vous éloigner de l'accomplissement du destin du royaume de Dieu pour vous est de vous considérer comme une super-femme qui doit tout faire par elle-même. La clé de votre destin est de reconnaître humblement votre dépendance à l'égard de Dieu et de maximiser tout ce qu'il vous offre, même si cela implique d'accepter ou d'utiliser l'aide des autres. Par exemple, dans le monde de l'entreprise, un manager ne serait pas considéré comme un grand manager s'il essayait de faire lui-même le travail de tout le monde. Un grand manager sait tirer le meilleur de ceux qui l'entourent tout en dirigeant et en complétant leurs efforts. Vous n'êtes pas obligé d'accomplir votre destin seul. Chroniques de Crystal Je m'écrasais et m'écrasais vite. Après une folle saison des fêtes suivie d'un voyage hors de l'État pour l'opération de notre fils, j'ai eu l'impression que ma famille devenait incontrôlable. À l'époque, j'avais un adolescent, un préadolescent, un enfant d'âge préscolaire, un bambin et un bébé. Oh, et ai-je mentionné un homme du royaume aimant comme mari qui travaillait justement dans le secteur de la musique, ce qui signifiait beaucoup de voyages et de temps pour gérer des tournées de concerts? J'étais privé de sommeil, à court d'énergie et à court d'heures. En regardant autour de ma maison, je savais que je ne pouvais pas tout faire. Mais j'étais déterminé à essayer. J'étais convaincue que je n'aurais pas besoin d'aide pour mes devoirs d'épouse et de mère. J'avais toujours bien travaillé sous pression et j'étais capable

de faire tourner quelques assiettes en même temps. Ayant été mère dès l'âge de dix-neuf ans, je savais ce que c'était que de jongler avec les priorités et les engagements pour tout faire. J'aimais être capable, et je ne voulais certainement pas que quelqu'un d'autre sur la photo reçoive la gloire, euh. . . Je veux dire . . . être accablé par des responsabilités qui étaient censées être les miennes. Je voyais d'autres femmes dont je savais qu'elles étaient des super-femmes et qui ne demandaient pas d'aide. Je ne savais pas que certains d'entre eux laissaient aussi tomber leurs assiettes tournantes ! On sait masquer les choses, n'est-ce pas ? Chacun de nous, à sa manière, trouve un moyen de rendre les choses belles et bien rangées aux yeux des étrangers tout en connaissant la vérité sur le désordre à huis clos. Je n'étais pas prêt à admettre que j'avais besoin d'aide. Moi aussi je voulais être superwoman. Je me souviens d'une nuit de cette saison follement occupée, pendant ces petites heures honnêtes, quelque temps après que le dernier enfant se soit endormi et que mon mari se soit assoupi, il n'y avait aucun son à part la petite voix douce de Dieu se demandant dans un murmure s'il avait en quelque sorte été oublié ce jour-là. J'ai prié avec une main métaphorique sur ma hanche. "Dieu," dis-je, "si Tu veux que j'aie du temps pour Toi aussi, alors j'ai besoin d'aide pour faire avancer les choses. Et j'ai besoin que tu m'apportes de l' aide . Je ne voulais pas avoir à m'humilier autant pour aller chercher de l'aide, reconnaissant ainsi que j'en avais besoin. Mais c'est à quel point Dieu est grand. Malgré mon moi désagréable, il a entendu ma prière au milieu de ma nuit sombre et écrasante. Maintenant, avant de partager la réponse à cette prière avec vous, laissez-moi vous parler de ma philosophie sur le nettoyage. Je respecte le dicton: "Ma maison doit être suffisamment propre pour être saine, mais suffisamment désordonnée pour être habitée." Parce que je fais l'école à la maison à nos enfants, je ne m'attends jamais à ce que ma maison ressemble à celle d'un magazine. Moi, avec quatre ou cinq enfants (selon la période de l'année ), je suis à la maison au moins quatre jours par semaine toute la journée. Ma maison ne va pas rester vierge juste parce que je nettoie tout le temps. Pas possible. Je m'efforce de trouver un équilibre entre être une bonne mère, une enseignante, une cuisinière, une épouse et une femme au foyer. J'échangerai une

occasion aléatoire de rebondir sur le trampoline avec mes enfants en récurant les plinthes tous les jours ! Bien sûr, je connais une poignée de femmes qui sont de bonnes femmes de ménage, de grandes femmes de ménage, en fait. J'ai essayé de comprendre avec mon mari comment ils le font. Voici ce que j'ai appris. Nous avons tous les mêmes vingt-quatre heures dans une journée. Si la maison de quelqu'un d'autre est toujours vierge, cela a à voir avec la façon dont elle passe son temps. Mon ami avec la belle maison et quatre enfants scolarisés à la maison a des enfants tous âgés de plus de douze ans. (Vous entendez ça, mamans de petits enfants ? Elle n'a pas de petites gens !) Bien sûr, elle court pour s'entraîner au basket et au football, mais avec quatre autres corps capables dans la maison, elle a aussi beaucoup d'aide. Un autre de mes amis avec de jeunes enfants a une magnifique maison prête pour les magazines. Mais ses enfants passent trois jours par semaine à une fête des mères. . . et elle a une nounou. Mon amie qui prépare des repas gastronomiques tous les soirs a ses enfants à l'école traditionnelle toute la journée. J'ai aussi une amie dont la maison est toujours en désordre, mais elle aime ses petits enfants et joue beaucoup plus avec eux que je ne joue avec les miens. Ils sont toujours en train de jouer à l'extérieur ou à l'intérieur de travailler sur un métier soigné. La créativité et le plaisir sont les valeurs les plus élevées de leur famille dans leur saison actuelle. Mesdames, tout dépend de la façon dont Dieu vous a conçue et de ce qui est important dans votre vie en ce moment. Cela détermine comment vous choisissez de passer votre temps. Personne ne peut tout faire. Donc, en tant que mère en train de materner des enfants d'âge préscolaire jusqu'à de jeunes adultes, je fais de mon mieux. Si j'essayais de faire passer les tâches ménagères en premier à tout prix, quelque chose d'autre qui est important en souffrirait : établir des relations avec mes enfants. À la suite de ma révélation, j'ai traversé une série d'ajustements dans mes attentes personnelles au cours des dernières années afin que je puisse rester sain d'esprit. Voici quelques-uns de mes compromis : Je vise une cuisine propre deux fois par jour. Trois fois est un luxe. Même ainsi, je m'attends toujours à ce qu'il y ait de la vaisselle dans l'évier.

Je tire pour un sol nettoyé deux fois par semaine, sauf si cela est autrement nécessaire. C'est tout simplement trop déprimant de passer la serpillière pour découvrir en quelques heures seulement qu'il ne semble pas que j'aie fait quoi que ce soit. J'essaie de frapper chaque pièce de ma maison une fois par semaine selon un horaire rotatif. Qu'est-ce que ça veut dire? Ma maison n'est pas propre en même temps. J'apprends constamment à mes enfants à s'occuper de notre maison, parce que j'essaie de me sortir d'un emploi. Cela signifie que notre "maison propre" ne sera pas parfaitement propre. La lessive est toujours en cours. Je fais environ une charge par jour. Mon tapis n'aura jamais l'air neuf, peu importe le nombre de règles que j'édicte concernant la nourriture et les boissons qui restent dans la cuisine. Cela n'arrive tout simplement pas. Que puis-je dire ? Nous vivons dans notre maison. Mon adolescent fait ses devoirs à l'ordinateur, mes petits font leurs devoirs à la table de la cuisine, nous nous rassemblons sur l'île, bref, nous sommes partout. Alors que nous passons à l'heure du dîner, je tire pour des choses à leur place. Si je ne peux pas avoir ça, alors je tire pour des piles nettes. Ah, et les plinthes ? Je les reçois quand je les reçois. (Ou j'attendrai simplement que mes petits soient assez vieux pour faire du bon travail - ils sont de toute façon plus près du sol !) Mais voici mon problème. Je suis à l'aise avec les normes de ma maison. Mais quand j'ai un visiteur, je suis toujours complètement affolé. Pourquoi? Parce que je ne veux pas laisser une mauvaise impression du genre de femme de ménage que je suis ! Alors imaginez ma consternation lorsque mon père s'est présenté pour une visite inopinée et a procédé à l'inspection de ma maison. Je ne plaisante pas; il allait de pièce en pièce en disant à chaque fois : « Oh, Chrystal ! Ceci venant d'un homme qui élève à peine la voix (sauf pour prêcher, bien sûr). Maintenant, d'accord, le jour où il est venu était une mauvaise journée. Oubliez toutes mes règles de ménage. Il n'aurait pas su que j'en avais ! En fait, c'était un lundi. Les lundis sont toujours les pires. Il a commenté les taches sur le tapis, la vaisselle dans l'évier, les trucs sur mes plans de travail et les paniers de vêtements dépliés dans le couloir, puis il a même jeté un coup d'œil dans ma chambre et

y a vu la confusion. Quand il a regardé dans mon réfrigérateur, papa a aussi gémi en voyant les trucs collants sur l'étagère du haut. Je me suis retrouvé à le suivre dans la maison, expliquant, expliquant et expliquant encore. Alors, comment l'histoire se termine-t-elle ? Eh bien, le Seigneur m'a envoyé de l'aide. Mon père m'a dit avec amour que je ne devais pas essayer de tout faire et que ce n'était pas une mauvaise chose d'avoir de l'aide de temps en temps, surtout pour une mère de cinq enfants. Il a proposé d'envoyer un service d'entretien ménager. Il m'a également dit de faire nettoyer mes tapis à ses frais. Maintenant, j'ai beaucoup de fierté. Je déteste l'idée que je ne peux pas tout faire. Je déteste accepter de l'aide. La vérité est, cependant, que j'avais besoin et que j'appréciais le coup de pouce qu'il m'a fourni. Cela m'a fait gagner des heures (probablement des jours) de travail et m'a donné l'occasion de me concentrer sur des choses qui nécessitaient mon attention personnelle. J'ai eu le temps de rattraper le solde de notre compte bancaire et de planifier à l'avance pour l'école. Au lieu de faire la vaisselle, j'ai pu passer des appels téléphoniques indispensables aux compagnies d'assurance et aux médecins. J'ai eu la chance de nettoyer ce graffiti sur le côté de ma maison (longue histoire à ce sujet). J'ai eu beaucoup de temps pour terminer à fond la planification de l'anniversaire de ma fille. Ce sont des choses qu'un service de nettoyage ne peut pas faire, mais je pourrais . Cette petite injection de plus de temps disponible dans mon emploi du temps m'a fait avancer. J'ai commencé à feuilleter ma liste et j'ai été pris par le fait de faire avancer les choses ! Le but de cette petite illustration n'est pas de dire que tout le monde devrait puiser dans ses poches pour payer quelqu'un pour nettoyer sa maison tout le temps ou même de temps en temps, d'ailleurs. Le principe ici est que vous et moi n'avons pas à tout faire. La femme de Proverbes 31 ne l'a pas fait. Elle vivait dans une culture où les enfants jouaient un rôle déterminant dans l'exécution de grandes tâches dès leur plus jeune âge. (Mettez ces enfants au travail !) Elle n'a pas épluché ces carottes ni coupé ces pommes de terre toute seule. Elle n'a probablement pas fait elle-même tous les voyages au marché pour se nourrir et s'habiller. (Il n'y a rien de mal à faire des achats en ligne, les filles !) Le terrain qu'elle a acheté a probablement été

recherché et recommandé par un ami de confiance. (Utilisez l'expertise des autres, chérie!) Et elle avait des «jeunes filles». Mesdames, si vous êtes en mesure de limiter certains des besoins de votre budget (achats, téléphone portable, câble, restaurants, coiffure, etc.) afin de pouvoir engager un service d'entretien ménager une fois par mois, vous aidant ainsi à être un une personne plus gentille et plus douce - par tous les moyens, faites-le! La femme Proverbes 31 a fait beaucoup, oui. Mais elle l'a fait avec de l'aide. Et cela fait toute la différence dans le monde. L'image de la femme Proverbes 31 ne devrait jamais nous culpabiliser. D'accord, peutêtre pouvons-nous convenir qu'elle était une femme qui avait tout pour plaire. . . mais disons aussi qu'elle n'a pas tout eu en même temps. Proverbes 31:10–31 résume toute sa vie. Devenir une femme Proverbes 31 n'est pas inaccessible, mais elle est définitivement un modèle de femme que nous pouvons imiter si nous prenons le temps de la connaître. La femme de Proverbes 31 garde ses priorités droites et en ligne avec les priorités de Dieu pour elle. Elle maximise ses dons et utilise tout et tout le monde à sa disposition. Elle est gestionnaire . Elle ne le fait pas toute seule. Laissez-vous aller. Découvrez ce que Dieu fait, sautez dans le fleuve de sa volonté et laissez-vous emporter par le courant de ses plans. Acceptez l'aide offerte par un ami, un membre de la famille, un membre de l'église, un collègue ou même un étranger. Vous n'êtes pas obligé de tout faire, d'être tout et de tout avoir en même temps. Il y a d'autres personnes, en ce moment dans votre maison, à votre travail, dans votre église et dans votre communauté, qui peuvent aussi faire du bon travail. Partagez la charge. Nous devons arrêter le coup de pied du je-peux-tout-faire. En tant que do-it-all-aholic en convalescence, je suis là avec vous pour laisser aller ces attentes irréalistes. Reposez-vous dans les attentes du Seigneur pour vous. Il sait ce dont vous avez besoin et il vous aime beaucoup. Il a répondu à ma prière à trente-six heures quand je lui ai dit que je ne pouvais tout simplement pas tout faire. Il a dit : « Chrystal, je le sais. J'ai attendu longtemps que tu le saches aussi. Vous souvenez-vous de Martha et Mary ? Il est si facile pour nous, en tant que femmes, de nous concentrer sur l'action plutôt que sur la chose la plus importante : être dans une relation dynamique avec notre Sauveur.

La cuisine et le nettoyage sont importants. . . Élever vos enfants est important. . . Cultiver un mariage sain est important. . . Faire du bon travail et bâtir une carrière sont importants. . . Contribuer à votre communauté est important. . . Faire preuve de sagesse dans vos finances est important. . . Servir dans votre église est important. . . Prendre soin de sa santé est important. . . Passer du temps de qualité avec ses amis et sa famille est important. . . Profiter de sa vie est important. . . Mais aucune de ces choses ne devrait jamais être une pierre d'achoppement qui vous empêche de craindre Dieu, de découvrir quelle est sa priorité pour vous et de vous concentrer sur ce qui compte pour l'éternité. Craindre Dieu signifie que Son programme est votre programme. Son plan est votre plan. Et Ses desseins sont les desseins pour lesquels vous vivez. Craindre Dieu signifie que vous êtes clair sur l'idée que votre vie est en fait sa vie, qu'il vit à travers vous . Un sage mentor m'a un jour partagé cette pensée : « Chaque matin, avant de laisser vos pieds toucher le sol, allongez-vous dans votre lit pendant un moment déterminé plus longtemps que vous ne le feriez normalement, étirez vos bras vers le plafond et en fait vers le ciel, et offrez vers le Seigneur, l'invitant à vous montrer quelle est la chose la plus importante sur sa liste à faire aujourd'hui. Si vous ne vous arrêtez pas pour Lui demander quelles sont Ses priorités pour vous, votre « bien » fera toujours obstacle au « meilleur » de Dieu. Faites-lui savoir que vous êtes prêt à être interrompu, prêt à être déraillé et

prêt à être surpris s'il le juge bon. Alors lève-toi et marche en sachant que ta journée appartient au Seigneur. Nous sommes tous à différentes saisons de la vie, avec des responsabilités, des exigences et des distractions différentes. Mais quelle que soit notre saison, Dieu nous voit où nous sommes et Il entend nos prières au milieu de nos nuits sombres et accablantes, même lorsque nous prions les mains sur les hanches. La meilleure nouvelle est que lorsque vous êtes une femme du royaume qui choisit de marcher dans la crainte du Seigneur, alors c'est Son travail de trouver et de fournir les outils dont vous avez besoin pour faire Son travail !

Dieu est votre plus grande aide L'illustration de Chrystal peut vous sembler familière. Peut-être avez-vous été là. Peutêtre en êtes-vous arrivé au point où vous vous demandez comment vous êtes censé faire tout cela. Mais la leçon que Chrystal a apprise et l'aide qu'elle a acceptée est aussi une leçon pour vous. La sagesse implique de reconnaître dans quelle saison vous vous trouvez et de vivre en fonction de cela. N'ayez jamais honte d'admettre que vous ne pouvez pas tout faire. L'essentiel est que vous gardiez Dieu d'abord et avant tout, et sa force vous donnera ce dont vous avez besoin pour prendre des décisions qui le glorifieront. Alors que la femme du royaume des Proverbes 31 sert d'idéal, la réalité de la vie quotidienne d'une femme - qu'elle s'occupe des enfants ou des parents, qu'elle ait un emploi, qu'elle s'occupe de sa maison et même qu'elle prenne soin d'elle-même - pourrait rendre cela l'idéal semble impossible. Mais le but est de laisser la crainte de Dieu être l'influence primordiale dans votre vie. Laissez vos actions, vos pensées et vos paroles refléter un cœur qui cherche à l'honorer par-dessus tout. Comme vous le faites, Dieu continuera de vous donner ce dont vous avez besoin pour devenir la femme du royaume que vous êtes destinée à être.

Comme Chrystal, quand tu l'invoqueras, il t'enverra de l'aide : Je lève les yeux vers les collines, d'où vient mon aide ? Mon aide vient de l'Éternel, le Créateur du ciel et de la terre. (Psaume 121:1-2) Lorsque vous lui demandez la sagesse, il promet de vous la donner : « Si l'un de vous manque de sagesse, qu'il la demande à Dieu, qui donne généreusement à tous sans trouver de faute, et elle lui sera donnée » (Jacques 1 :5). Il ne vous quittera jamais. Il ne vous a pas abandonné. En fait, il veut vous voir évoluer vers le royaume de femme qu'il a conçu pour que vous soyez encore plus que vous ne le voudriez. Dieu a un plan pour vous, et parfois, je le sais, ce plan peut sembler écrasant. Vous ne voyez peut-être pas comment vous pourriez arriver à la semaine prochaine, et encore moins cette année. Votre assiette est pleine, votre énergie est faible et l'appel à être une femme du royaume semble noble. Mais je veux que vous commenciez ici avec ce principe très simple de Proverbes 31 : Craignez Dieu dans tout ce que vous faites. Honorez-le avec votre cœur, vos pensées, vos paroles et vos actions. Cherchez-le, tournez-vous vers lui et acceptez l'aide qu'il vous apporte. Prenez votre vie un jour à la fois. Honorez-Le et vénérez-Le aujourd'hui. Craignez-le en tout. Démontrez cette révérence à travers tout ce que vous faites. Si vous le faites, vous serez sur la bonne voie pour devenir une femme du royaume vivant son destin. Le respect pour Dieu sert de fondement sur lequel votre importance en tant que femme du royaume s'épanouira.

2 UNE

FEMME D'ESPOIR

Il y a une belle histoire à propos d'une belle dame. Elle s'appelait Cendrillon. Mais Cendrillon se sentait laide. Elle vivait avec une belle-mère méchante et deux demi-sœurs tout aussi méchantes. Ils ont fait de Cendrillon leur esclave. Maintenant, elle était belle, mais elle ne se considérait pas comme belle, à cause de l'influence d'un environnement méchant qui la rabaissait, la perturbait et la réduisait à néant. Le problème avec Cendrillon était qu'elle était coincée là-bas. Elle était enfermée dans la situation et pendant longtemps, elle n'a pas pu s'en sortir. Vous avez entendu l'histoire. Vous savez pour le bal et comment elle y a miraculeusement été transportée en calèche. A ce bal, elle rencontra un prince. Le prince a vu Cendrillon et l'a aimée. Mais le problème dans l'histoire, comme vous le savez, c'est que l'horloge a sonné minuit, et elle est redevenue elle-même. Elle est redevenue esclave d'une famille perverse. La bonne partie de l'histoire de Cendrillon, cependant, est que le prince ne l'a jamais oubliée. Même si beaucoup de gens avaient été au bal, quelque chose à propos de Cendrillon la faisait se démarquer de la foule. Elle était spéciale. Elle était unique. Elle était rare. Tout le monde voulait le prince, mais le prince voulait Cendrillon. Tout ce qu'il avait à faire pour la retrouver, cependant, était une chaussure qu'elle avait laissée derrière elle. S'il pouvait trouver le pied qui correspond à la chaussure, il trouverait Cendrillon. Il partit donc de maison en maison à la recherche de son trésor. Après une recherche longue et difficile, le prince l'a finalement trouvée. Beaucoup de femmes aujourd'hui vivent comme Cendrillon. Ils sont influencés par une méchante belle-mère, le Diable, qui a deux filles méchantes : le monde et la chair. Vivant comme esclaves dans une situation d'otage, de nombreuses femmes se sentent piégées dans un scénario sans espoir. Cela vous décrit peut-être d'une certaine manière. Peutêtre que vous pensiez que vous seriez plus avancé que vous ne l'êtes en ce moment. Peutêtre avez-vous eu un rêve plus brillant sur la façon dont votre famille serait, ou votre carrière, ou vos relations. Peut-être avez-vous même rencontré le Prince de la Paix, et Il vous a sauvé il y a quelque temps, mais vous vous êtes retrouvé dans l'esclavage. Cela pourrait signifier une servitude émotionnelle, une servitude spirituelle ou même une servitude physique.

Il est facile de perdre courage quand on ne voit pas la fin de la tyrannie. Ce que je veux vous rappeler, c'est qu'il y a de l'espoir. Jésus sait exactement où vous êtes, et Il sait depuis combien de temps vous êtes là. Il a un moyen de sortir de tout désespoir que vous pourriez ressentir. Il ne veut pas seulement vous apporter Son argent, Son château ou Son char. Il veut vous amener à Lui. Il veut vous sortir de l'esclavage et vous laisser vivre dans la liberté de sa présence et de sa provision. Il veut vous montrer votre nouvelle position et votre nouvelle gloire. Il veut vous sortir d'un esprit d'esclavage. Il veut vous donner de l'espoir. Supposons que Cendrillon ait abandonné. Supposons qu'elle ait résolu de rester enfermée dans la maison. Elle n'aurait jamais été retrouvée par le prince. Elle n'aurait jamais essayé sa propre chaussure. Elle aurait raté le bonheur pour toujours. Beaucoup d'entre nous ont abandonné Dieu. Nous avons compté les années où il semble que nos prières n'ont pas été exaucées, et nous avons déterminé qu'il est trop tard. Trop souvent, nous manquons le destin que Dieu a pour nous parce que nous avons cessé de regarder. Nous avons cessé d'espérer. L'Ecriture a une autre histoire pour nous d'une femme limitée par la servitude. Elle n'était pas Cendrillon, mais elle faisait face à ses propres luttes continues qui l'empêchaient de vivre la forme la plus vraie de son destin. Cette femme incapable de se tenir debout se trouve dans le livre de Luc. Il dit : « Il y avait là [dans la synagogue] une femme qui était paralysée par un esprit depuis dix-huit ans. Elle était courbée et ne pouvait pas du tout se redresser » (13 : 11). Ici, nous avons une femme qui, pendant dix-huit ans, a eu un problème irréparable qui l'a doublée. Comme le bossu de Notre-Dame, elle ne pouvait pas se redresser. Ses yeux ne voyaient régulièrement que le sol car elle était incapable de regarder ailleurs. Le passage montre clairement qu'il n'y avait rien qu'elle ou qui que ce soit d'autre puisse faire pour arranger les choses pour elle. Elle avait peut-être une sorte de difformité de la colonne vertébrale qui la maintenait penchée. En raison de sa position physique, elle ne pouvait jamais voir pleinement les choses telles qu'elles étaient réellement. Sa perception non seulement d'elle-même mais aussi du monde qui l'entourait était déformée. Son problème n'était pas seulement un problème de santé, mais c'était devenu un problème d'habitude simplement parce que cela durait

depuis si longtemps. Dix-huit ans, c'est long pour que votre monde soit affecté négativement par quelque chose que vous n'avez rien mérité et que vous n'avez pas le pouvoir de changer. La vie de cette femme a dû être remplie de découragement jour après jour, semaine après semaine, mois après mois, année après année. Il serait facile de supposer que la femme a peut-être perdu espoir. Êtes-vous capable de vous identifier à elle – ou à Cendrillon – de quelque manière que ce soit ? Peut-être avez-vous ressenti une douleur ou un problème qui ne disparaîtra pas et vous vous sentez coincé dans une ornière. Ou coincé dans une position qui n'offre aucun espoir pour un avenir meilleur. Bien que le problème de cette femme soit physique, de nombreuses épreuves peuvent forcer votre tête ou votre cœur vers le bas, émotionnellement ou spirituellement. Cela pourrait être quelque chose que ton père a dit ou fait, ou même ta mère. Cela pourrait être quelque chose qu'un frère ou une sœur irréfléchi aurait pu faire ou dire et qui vous a paralysé émotionnellement pendant si longtemps. Il peut même s'agir d'un conjoint, d'amis ou de personnes au travail qui vous ont mal étiquetée et vous ont retenue de votre destin de femme du royaume. Vous avez essayé de lire des livres pour vous libérer, d'assister à des études bibliques et de parler à un conseiller, un pasteur ou des amis, mais quoi que vous fassiez, le problème ou l'esclavage semble persister. La première chose que je veux te dire, c'est que tu n'es pas seul. De nombreuses femmes se sentent liées par une douleur émotionnelle, spirituelle ou physique. Il se peut que vous sentiez que vous avez suivi la Parole de Dieu et l'avez honoré de votre vie, mais d'une manière ou d'une autre, il n'a pas tenu sa part du marché. Quoi qu'il en soit, cela vous déprime. Et tout ce qui vous a abattu a déformé votre perception non seulement de vous-même mais aussi du monde qui vous entoure. Avant d'abandonner, cependant, levez les yeux. Vous voyez, être une femme du royaume ne se résume pas simplement à aller plus à l'église ou à faire plus de bonnes choses. Il s'agit de se connecter avec Celui qui donne de l'espoir. Luc 13 nous dit que la dame qui ne pouvait pas se redresser était dans la synagogue. Elle était à l'église : « Un jour de sabbat, Jésus enseignait dans l'une des synagogues. . .” (verset 10). Pendant dix-huit ans, cette femme était très probablement venue à l'église, chantait ses chansons, écoutait des sermons, louait Dieu, lui faisait l'aumône, etc. Pourtant, elle n'était pas plus avancée pour être libérée de son esclavage que le premier jour où elle était venue. De toute évidence, l'église, en soi, ne l'a pas aidée. Le système religieux, en soi, ne l'a pas guérie. C'était une infirme sur le banc qui

avait appris à se contenter de gérer son désordre. Elle avait appris à se contenter de s'en sortir. Pourtant, une femme du royaume ne s'installe jamais. Je me rends compte que ce qui s'est passé dans votre enfance ou dans vos relations - abus ou abus - ou même avec votre santé ou vos finances peut vous avoir poussé vers le bas. Et le mieux que vous pensez pouvoir atteindre est d'apprendre à gérer votre douleur. Peut-être qu'il semble irréparable et cassé. Après tout, dix-huit ans, c'est terriblement long. Mais Jésus a plus pour votre avenir que de s'installer. Tout comme Il en avait plus pour la femme qui ne pouvait pas se redresser toute seule : Quand Jésus la vit, il l'appela en avant et lui dit : « Femme, tu es délivrée de ton infirmité. Puis il lui imposa les mains, et aussitôt elle se redressa et loua Dieu. (Versets 12-13) Elle était à l'église depuis longtemps. Évidemment, vous pouvez aller à l'église et ne pas rencontrer Jésus. Vous pouvez être au soi-disant bon endroit et pourtant ne jamais rencontrer Jésus. Quand elle a rencontré Jésus, elle a rencontré Celui qui n'allait pas faire ce qui avait simplement été fait pendant dix-huit ans. Tous les autres s'étaient occupés du fruit, mais Jésus est allé directement à la racine. Deux fois dans l'histoire de cette femme, on nous dit la cause de son problème. Elle avait été liée par Satan (verset 16). Son problème n'était pas le problème. Le problème allait plus loin que ce à quoi elle était physiquement et émotionnellement confrontée. Vous voyez, c'est important à savoir, parce que si le problème est causé par l'Ennemi, un médecin ne peut pas le résoudre. Si Satan cause le problème, un sermon ou une chanson ne peut pas le résoudre. Il ne peut pas non plus être résolu en parlant à des amis, ni noyé en buvant trop, ni couvert par une thérapie au détail que vous ne pouvez vraiment pas vous permettre. Si le problème est de nature spirituelle, alors il a besoin d'une solution spirituelle. Gardez à l'esprit que j'ai dit qu'il fallait une solution spirituelle, pas une solution religieuse. Il y a une grande différence entre les deux. Un aspect clé de votre vie en tant que femme du royaume est la façon dont vous percevez et répondez à Jésus. Est-il simplement quelque chose attaché à un rituel ou à une routine, celle de la religion ? Ou le considérez-vous comme une personne réelle qui aspire à avoir une relation avec vous ? La raison pour laquelle tant de gens se retrouvent liés par des

problèmes est qu'ils essaient de faire face aux circonstances plutôt que de faire appel à Celui qui peut s'attaquer à la racine. Les circonstances peuvent être le résultat d'une situation spirituelle. Si quelque chose a duré aussi longtemps, alors vous avez affaire au fruit et non à la racine. Tant que Satan peut vous faire penser au fruit, il vous tient. Cela ne le dérange pas que vous suiviez votre programme en douze étapes, que vous en parliez tout le temps à vos amis ou que vous preniez des résolutions du Nouvel An maintes et maintes fois. Cela ne le dérange pas parce qu'il sait que ce sont des solutions à base de fruits plutôt que des solutions à base de racines. Si quelque chose dans votre vie ne semble pas s'élever, peu importe ce que vous essayez ou comment vous y faites face, je veux que vous regardiez plus profondément que ce que vous pouvez voir, car il y a une racine spirituelle qui doit être abordée. Quand votre solution vient soudainement La solution de la femme est venue soudainement . Dix-huit ans de lutte pour se redresser ont été guéris immédiatement . Vous voyez, avec Jésus, cela ne doit pas prendre beaucoup de temps pour changer votre point de vue. Mais je veux que vous remarquiez que Jésus lui a demandé de faire quelque chose. Il lui a demandé de venir à Lui. Elle a dû partir de là où elle se tenait et venir à Lui. Elle devait faire son chemin vers Jésus, dans la foi, même si elle ne pouvait pas se tenir assez droite pour Le voir. Elle ne pouvait pas abandonner ou jeter l'éponge. Elle devait garder un peu d'espoir même dans ce qui ressemblait à un scénario sans espoir. Elle ne pouvait pas dire : "Eh bien, j'ai fait tout ce chemin et c'est tout ce que je vais faire." Malgré les douleurs qui étaient sans doute courantes pour ses jambes et son dos à ce moment-là, malgré la honte d'être différente de tous ceux qui l'entouraient, elle est toujours allée vers Jésus. Elle ne s'est pas arrêtée là où elle était. Elle plaça son espoir dans sa voix, et elle continua jusqu'à ce qu'elle l'atteigne. Pour qu'une femme du royaume expérimente la victoire spirituelle ou le soulagement de tout ce qui peut garder sa tête ou son cœur baissé, elle doit aller à Jésus. Il est le seul qui ait autorité sur Satan et ses sbires. Il est assis à la droite de Dieu dans les lieux célestes.

Cela ne veut pas dire que Satan ne peut toujours pas vous déranger, parce qu'il le peut. Cela signifie que Satan ne peut pas vous déranger lorsque Jésus lui dit d'arrêter. Jésus a désarmé Satan lorsqu'il est mort sur la croix : « Et ayant désarmé les puissances et les autorités, il en fit un spectacle public, triomphant d'eux par la croix » (Colossiens 2 :15). En d'autres termes, Jésus est celui qui tire les ficelles maintenant. Alors que Satan a encore beaucoup de pouvoir, Jésus a autorité sur le pouvoir de Satan. Si vous voulez aller à la racine de ce qui vous a découragé et courbé, seul Jésus détient l'autorité dont vous avez besoin pour le faire. Si vous cherchez vos solutions dans le domaine physique alors qu'il y a une cause spirituelle, vous cherchez au mauvais endroit. La distraction appelée découragement L'un des moyens les plus simples de détourner un chrétien de son destin personnel est le découragement. J'ai vu cela maintes et maintes fois lorsque je conseille des personnes aux prises avec le désespoir. Lorsque vous avez l'impression d'avoir perdu espoir, que vous êtes fatigué et que vous voulez abandonner, votre tête et votre perspective ne voient que ce qui ne va pas. Vos épaules tombent. Et vous oubliez qu'un avenir est devant vous, attendant d'être saisi. La meilleure chose que je puisse vous dire de faire si vous faites face au désespoir est d'écouter Jésus. Écoutez-Le appeler votre nom. Comme la femme qui n'arrivait pas à se redresser, n'abandonnez pas. Il ne veut pas que tu démissionnes. Il veut que vous vous rapprochiez de lui afin qu'il puisse vous imposer les mains et changer votre vie soudainement . S'Il ne répond pas immédiatement à vos prières, c'est parce qu'Il opère la guérison de quatre manières. Premièrement, Il peut vous guérir surnaturellement. Deuxièmement, il peut utiliser des moyens humains pour remédier à votre condition ; troisièmement, il peut vous donner la force de gérer votre état jusqu'à ce qu'il le corrige. Quatrièmement, Il peut vous permettre de persévérer à travers la douleur sur terre jusqu'à ce que votre guérison complète se manifeste au Ciel. C'est facile de vouloir abandonner; Je comprends que. Les luttes auxquelles vous faites face sont légitimes. Si tout cela vous semble familier, je tiens à vous encourager à vous accrocher. Une femme du royaume fixe ses yeux sur Jésus, et il la fortifie pour qu'elle soit tout ce pour quoi elle a été créée.

Chroniques de Crystal J'aime essayer de nouvelles choses et je m'excite assez rapidement quand j'apprends quelque chose de nouveau. Des rappels sont partout dans ma maison de choses que j'ai prévu de faire mais qui sont incomplètes. Il y a deux ans, j'ai commencé un cours de courtepointe avec ma fille. La courtepointe est dans mon placard pliée - environ un huitième du chemin jusqu'à l'achèvement. J'ai commencé trois albums : un pour mon fils Jesse, un pour mon fils Kanaan et un pour la famille. Aucun d'eux n'a plus de six à huit pages. J'ai commencé à nettoyer mon placard plus de fois que je ne peux compter. Le fond du placard n'a pas été touché depuis trois ans. J'ai une pile d'articles à vendre sur Craigslist ou eBay. La pile grossit plus vite que les articles ne se vendent. Les livres sont une de mes passions. Cependant, je les achète plus vite que je ne peux les lire. Être à moins de dix minutes d'un Barnes and Noble n'arrange pas ma situation, pas plus que mes visites aux salons annuels du livre de l'école à la maison (oui, c'est au pluriel). Ajoutez à cela la lecture que je dois faire pour suivre l'apprentissage de mes enfants. J'ai commencé plus d'études bibliques que je ne m'en souviens. L' étude biblique Believing God de Beth Moore est toujours sur l'étagère où elle se trouvait lorsque je l'ai commencée il y a deux ans. Les deux étés depuis, c'est sur ma liste de choses à faire. Bien que j'apprécie ma vie et que je ne sois jamais tout à fait coincé dans une ornière ou que je tombe souvent dans l'ennui, je ne peux pas dire que je termine autant de choses que je commence. Et je dois admettre que ce mode de vie ADD n'est pas simplement le résultat d'une vie d'adulte complexe ou le sous-produit de l'amnésie induite par la maternité ! Depuis mon adolescence, je me suis souvent retrouvé tellement concentré sur un domaine de lutte que j'abandonne et cède à la tentation de jeter l'éponge. Probablement la meilleure illustration de cela a été pendant mon athlétisme au lycée.

Quand j'étais au lycée, je faisais de l'athlétisme. Même si mon vrai désir était d'être un sprinteur et de rejoindre l'élite de l'équipe de relais du 400 mètres, la réalité était que je n'étais tout simplement pas assez rapide. J'ai donc été placé dans des courses de plus longue distance. Au lieu de faire partie de l'équipe du relais 400 mètres, j'ai dû tout courir moi-même. Inutile de dire que ce fut une lutte pour moi. Les mêmes personnes qui couraient des courses de 100 mètres et pouvaient continuer pendant un certain temps étaient les mêmes personnes qui participaient aux courses de 400 mètres. Je me suis retrouvé sans espoir à de nombreuses compétitions sur piste alors que je m'installais dans l'idée d'arriver vers l'arrière du peloton. Alors mon entraîneur m'a suggéré d'essayer la course de 800 mètres à la place. Elle pensait évidemment que j'étais un gourmand de punition. Étant donné que je ne semblais pas câblé pour la vitesse, je suppose que mon entraîneur a pensé que je pourrais être câblé pour l'endurance. Je détestais courir cette course. Je pense que j'aurais peut-être préféré arriver dernier sur une course plus courte que de me classer plus haut dans une course qui nécessitait une torture émotionnelle et physique. Je détestais avoir l'impression que mes poumons allaient sortir de ma cavité thoracique et je détestais la sensation de brûlure de mes semelles sur les pointes de l'asphalte. Ma tête me faisait mal, mes cuisses me faisaient mal et mes bras seraient en feu. C'était misérable. Et c'était quand je courais la course lors d'une compétition d'athlétisme. Les pratiques impliquaient leur propre torture unique. J'ai dû courir plus longtemps et plus vite en préparation pour ma performance lors d'une compétition. Le 800 mètres est devenu deux miles pour la pratique de l'endurance, et les tirets de 200 mètres se sont étendus à huit tirets de 200 mètres d'affilée pour développer la vitesse. Mais je voulais courir. J'ai eu du mal à bien le faire, mais je voulais faire mieux, alors j'ai continué à me présenter même quand je voulais arrêter. Il y a une histoire cachée dans ces années de course à pied qui illustre une époque où je voulais arrêter comme rien d'autre, mais je ne l'ai pas fait. C'est un moment où j'avais perdu tout espoir mais j'ai trouvé un moyen de continuer. Nous racontons l'histoire encore et encore à notre table familiale.

Mon père est venu me voir courir le 800 mètres. J'ai commencé et établi un bon rythme. Je me souviens d'avoir franchi la première courbe et d'avoir pensé que je me sentais plein d'énergie et que ma respiration avait un bon rythme. Même après le virage où j'avais l'avantage d'être dans la voie intérieure, j'étais toujours en tête. Maintenant, je commençais à être un peu excité. Je me souviens d'avoir entendu le rythme des filles derrière moi et d'avoir pensé que j'avais une chance de me classer. Lorsque j'ai contourné le deuxième virage, mon adrénaline a commencé à couler et mon cœur a battu un peu plus vite. Étonnamment, je contrôlais toujours mon corps, le faisant avancer à chaque pas et à chaque balancement des bras. Je me sentais puissant. Dans la deuxième ligne droite, les mots ne peuvent exprimer la fierté qui a jailli en moi lorsque j'ai entendu la voix de mon père dans les gradins crier : « Vas-y, Chrystal, vasy, Chrystal ! Tu peux le faire! Continuez comme ça. Votre rythme . . . aller . . . aller . . . ALLER!" Autour de la troisième courbe, personne ne m'avait encore dépassé. Il y avait une chance, une vraie chance, que je puisse remporter une médaille cette fois. Pourtant, avant que je m'en rende compte, ce sentiment familier est apparu. Mes poumons ont commencé à brûler. Mes jambes étaient comme du plomb. J'ai voulu que mes bras pompent plus vite, plus fort . J'étais toujours en tête. Mais bientôt toute ma puissance s'est échappée par mes narines ; la capacité de contrôler ma respiration et mon rythme a disparu. Mon corps et ma chair ont pris le dessus alors que je réalisais lentement que maintenant, même atteindre la ligne d'arrivée pourrait ne pas arriver. Au loin, j'entendais encore mon père crier « Chrystal, n'abandonne pas ! Continue. Allez . . . Allez . . . Continuer à courir . . . N'abandonnez pas, vous pouvez le faire ! Cette fois, mes appendices ne se souciaient pas de ses paroles, et ils dirigeaient le spectacle.

J'entendis les pas de la fille la plus proche de moi s'accélérer légèrement. Elle a vu la ligne d'arrivée approcher aussi, et elle était définitivement après moi. À mi-chemin de la ligne droite, elle m'a dépassé et a emporté avec elle la dernière dose de résolution que je possédais. J'avais perdu, et j'ai entendu la voix lointaine crier de compassion pour moi. « Awww, Crystal ! » dit mon père. Je savais ce qu'il voulait dire par ces mots. J'avais renoncé. Une deuxième paire de pieds se referma sur moi. Quand je dis que je marchais à peine à ce stade, c'est exactement ce que je veux dire. Non seulement je perdais, mais je me demandais même si j'allais finir. J'ai essayé de fixer mes yeux sur la ligne d'arrivée, mais cela semblait trop loin. Je laissai tomber mes yeux sur mes pieds à la place. Ma tête s'est penchée. Mon cadre autrefois droit a commencé à se plier. Compléter les trente derniers pieds jusqu'à la ligne d'arrivée semblait prendre trois heures. Tout bougeait au ralenti. Les voix de la foule étaient devenues inintelligibles. Sauf un. Je l'ai entendu, aussi fort que jamais. Il savait que j'étais découragé. Il savait que j'avais senti que j'avais la première place dans le sac. Il pouvait dire à ma posture que j'avais perdu l'espoir de finir même maintenant. Mais je l'ai entendu crier : « Vas-y, Chrystal ! Tu y es presque! Aller! Tu peux le faire!" Lorsque mon pied droit a franchi la dernière ligne blanche, je me suis arrêté. J'avais terminé! Je n'avais pas abandonné ! Et j'avais attrapé la médaille de la troisième place. J'ai vraiment l'impression que ce jour-là (et chaque jour toute ma famille rit alors que mon père raconte à nouveau l'histoire), j'étais prêt à arrêter. J'ai simplement arrêté de tout donner quand la première fille m'a dépassé. Ma chair était faible, mon esprit était faible et je n'ai pas creusé profondément à l'intérieur pour continuer. Du moins pas tout seul. J'ai appris au cours de cette expérience, cependant, que tout comme nous avons besoin de concentration, de diligence et de maîtrise de soi pour terminer une course, nous avons parfois aussi besoin de quelqu'un qui nous encourage. Quelqu'un qui croit que nous pouvons le faire même lorsque nous avons cessé de croire en nous-mêmes.

Nos vies ne sont pas sans erreurs. Chaque expérience que nous avons, Dieu peut l'utiliser pour sa gloire. Il tisse nos bons et nos moins bons ensemble pour faire une belle tapisserie. Mais, oh, comme je veux éviter les pièges inutiles en abandonnant bien trop tôt. J'ai tellement envie d'être l'une de ces personnes qui vont loin en tant que femme du royaume. Je ne veux pas que ma vie ne laisse que des fils lâches, des bords rugueux ou des tâches inachevées. Je veux finir, et je veux bien finir. Cela me rend triste de penser à des moments passés où je ne l'ai pas fait. Quand je regarde autour de moi tous les projets et tâches que je n'ai pas encore terminés, cela me rend triste de penser que je vais devenir la proie de toutes les activités distrayantes qui se présentent à moi plutôt que de garder les premières choses en premier. Que puis-je faire? Comment puis-je changer ? Hébreux 12:1 nous dit : « Puisque nous sommes environnés d'une si grande nuée de témoins, rejetons tout ce qui entrave et le péché qui s'emmêle si facilement, et courons avec persévérance dans la course qui nous est tracée. ” Comment savoir quelle race est la mienne ? Seul Dieu peut me le dire. Comment puisje obtenir cette information de Dieu ? Je dois passer du temps avec Lui. Je dois le considérer comme plus qu'une religion ou un système de droits et de torts. Jésus est réel. La relation qu'il désire avoir avec moi est réelle. Et Lui seul peut m'aider à relever la tête quand la fatigue de la vie me fait céder. Seule Sa voix compte quand je suis prêt à abandonner. Mon père fait une remarque intéressante lorsqu'il enseigne sur Hébreux 12:1. Le verset ne nous dit pas de rejeter les péchés (au pluriel) qui nous entravent et nous empêtrent. Il dit de jeter le péché (singulier). Nous ne devons pas nous alourdir en essayant de résoudre ceci, cela et l'autre. Parce que si nous ne réussissons pas l'essentiel, nous n'obtiendrons jamais le reste. Le péché auquel ce verset fait référence est le péché d'incrédulité, un manque de foi. Quand Jésus a dit à la femme qui ne pouvait pas se redresser qu'Il voulait qu'elle vienne à Lui, elle aurait pu dire non. Elle aurait pu dire qu'elle avait déjà essayé l'église. Elle aurait pu dire qu'elle était fatiguée. Elle aurait pu dire qu'elle avait mal au dos. Elle aurait pu dire qu'elle ne voulait plus être déçue, alors pourquoi essayer. Au lieu de cela, elle a fait preuve de foi malgré une vie de désespoir.

La vie est dure. La vie est dure. La vie est réelle . Mais le jour où j'ai couru cette course de 800 mètres, d'autres ont couru aussi. La course a été difficile pour tout le monde. Mes jambes n'étaient pas les seules à brûler. Mes poumons n'étaient pas les seuls à haleter. Mes cuisses n'étaient pas les seules à être sans vie et lourdes. Mais la bonne chose est que nous avons tous fini. Je ne pense pas être un lâcheur de nature. Cependant, je suis facilement distrait. N'estce pas comme Satan, cependant? S'il ne peut pas nous convaincre d'arrêter, il ne fait que nous distraire. Mes sœurs, nous courons chacune une course, et Jésus nous appelle à courir avec lui, à ne pas être distraites et à vivre avec un but. Il ne veut plus que nous courions la tête baissée. Il veut que nous fixions nos yeux sur Lui, que nous nous redressions et laissions Sa voix nous pousser. Pouvez-vous L'entendre? Il appelle ton nom. Il vous encourage, vous dit que vous pouvez y arriver et vous encourage pendant que vous courez votre course. Vous n'avez pas besoin d'abandonner. Vous n'avez pas à baisser votre regard vers vos pieds. Nous servons un Dieu qui sait que nous nous fatiguons. Il est le même Dieu qui a passé du temps sur cette terre, vêtu de chair, courant sa propre course, reprenant son souffle et endurant la fatigue et la douleur physiques, émotionnelles et mentales. Mais soyez encouragé. Notre Dieu peut non seulement s'identifier à nous lorsque nous courons, mais, si nous le recevons, Il offre également la puissance et la force pour que nous puissions bien courir notre propre course.

Se tenir droit Je me souviendrai toujours de ce jour où j'ai encouragé Chrystal pendant qu'elle courait. Son histoire nous rappelle que même si la vie devient difficile, nous avons quelqu'un à nos côtés. Il demande à chacun de nous de continuer et de ne pas abandonner. La mort de Jésus sur la croix a remporté votre victoire en tout. Il n'est pas simplement mort pour que vous puissiez gérer votre désordre ou votre misère. Il est mort pour que vous ayez la vie et que vous l'ayez en abondance. Une dernière pensée de l'histoire de la femme qui ne pouvait pas se redresser se trouve dans Luc 13:16, où Jésus nous donne un aperçu clé des droits d'une femme du royaume

: « Cette femme, une fille d'Abraham . . .” Avez-vous attrapé cela? La femme que Jésus a guérie était une fille d'Abraham. Dieu avait fait une alliance avec Abraham tout au long du temps, comme indiqué dans la Genèse, qu'il bénirait Abraham et ses descendants. Ce que Dieu avait promis de donner à Abraham s'appliquait également aux enfants d'Abraham. Cette femme était liée à Abraham, elle était donc liée à ses promesses d'alliance. Elle avait le droit d'être bénie. Il en est de même pour vous. En tant que croyant en JésusChrist, vous êtes un enfant d'Abraham (Galates 3:29) et, par conséquent, vous avez des droits qui vous sont conférés par l'alliance. En tant que femme du royaume, vous avez le droit de vivre pleinement votre destin. Vous n'avez pas à vivre condamné à la déception ou au désespoir. Vous pouvez vous tenir droit et marcher droit.

3 UNE

FEMME D'EXCELLENCE

La plupart d'entre nous préfèrent l'excellence. Nous ne le disons peut-être pas ouvertement, mais nos actions le révèlent. Par exemple, nous voulons l'excellence dans les soins médicaux que nous recevons. Nous ne voulons pas entendre un médecin dire qu'il ne sait pas vraiment ce qui ne va pas chez nous mais qu'il aimerait nous opérer pour découvrir ce qui ne va pas. Lorsqu'il s'agit de notre bien-être physique, nous voulons un médecin qui sait ce qu'il fait. Nous voulons l'excellence. Lorsque nous allons au restaurant, nous ne voulons pas que notre nourriture soit mélangée. Nous voulons qu'il soit préparé avec excellence. Nous ne voulons pas que notre serveur claque du chewing-gum en jetant notre nourriture n'importe où sur notre table. Nous voulons l'excellence. Nous ne voulons certainement pas voler dans un avion qui n'a pas été parfaitement conçu. Nous ne voulons pas que le capitaine vienne sur le haut-parleur avant le décollage pour parler de la façon dont ils ont collé des parties de l'aile ensemble. Ce serait énervant et la plupart des gens, sinon tous, débarqueraient rapidement. Quand nous volons, nous voulons l'excellence. Lorsque nous dépensons de l'argent pour acheter une voiture, nous voulons un excellent savoir-faire. Nous ne voulons pas le conduire dans l'atelier de réparation semaine après semaine alors que pièce après pièce sur nos nouveaux véhicules se casse. Nous voulons l'excellence. Même si nous voulons l'excellence dans les choses que nous recevons, nous manquons souvent d'excellence dans les choses que nous faisons. Pourtant, une femme du royaume comprend que sa position unique l'appelle à un niveau plus élevé que ce que la culture a établi. Elle sait que Dieu l'a destinée à une destinée d'excellence. Être une femme d'excellence, c'est simplement vivre son meilleur, donner le meilleur de soi. Lorsque nous nous tenons devant Dieu au siège du jugement de Christ, il recherchera spécifiquement l'excellence. Nous lisons à ce sujet dans la lettre de Paul à l'église de Corinthe :

L'oeuvre de chacun sera rendue manifeste: car le jour la déclarera, parce qu'elle sera révélée par le feu; et le feu éprouvera le travail de chacun de quel genre il s'agit. (1 Corinthiens 3:13, KJV) Quand un jour vous vous tiendrez devant Dieu, non seulement il vous demandera combien vous avez fait pour lui, mais il jugera aussi à quel point c'était excellent. Avezvous simplement donné à Dieu vos restes, ou la qualité était-elle attachée à votre vie même dans les tâches banales qui s'accumulent dans la vie d'une femme ? Parce que vos journées sont souvent remplies de choses que les autres ne voient peut-être pas – des choses qui doivent être faites pour lesquelles vous n'entendrez peut-être jamais de gratitude ou qui ne seront peut-être pas exposées. Il est facile de revenir sur la qualité de ce que vous faites. Pourtant, Dieu veut que vous vous éleviez à un niveau supérieur. Il désire l'excellence dans tout ce que vous faites. Et votre excellence ne passera pas inaperçue. Dans l'histoire biblique de Ruth, Ruth avait ce qui serait considéré comme un travail banal et négligé. Elle avait voyagé avec sa belle-mère dans un nouveau pays. Devenue veuve, elle n'avait ni argent ni biens. Pour se débrouiller simplement dans la vie, elle devait s'acquitter de la tâche de glaner. Elle devait ramasser les restes des fermiers dans le champ après qu'ils aient récolté la moisson. Ruth n'aurait probablement jamais pensé que quelqu'un jugerait un jour à quel point elle faisait ce travail, mais elle l'a fait avec excellence. Et parce qu'elle l'a fait - toute sa vie a montré l'excellence - elle a ensuite été récompensée en devenant l'épouse d'un homme nommé Boaz, puis l'arrière-grand-mère du roi David d'Israël, finalement l'un des ancêtres directs de notre roi éternel JésusChrist. . Le passage suivant révèle le caractère de Ruth : « Que le Seigneur te bénisse, ma fille », répondit [Boaz]. « Cette gentillesse est plus grande que celle dont vous avez fait preuve auparavant : vous n'avez pas couru après les hommes plus jeunes, qu'ils soient riches ou pauvres. Et maintenant, ma fille, n'aie pas peur. Je ferai pour vous tout ce que vous demanderez. Tous mes concitoyens savent que vous êtes une femme de caractère noble . (Ruth 3:10-11) La réputation de Ruth en disait long sur son caractère et son destin. C'était une femme d'excellence dans ses décisions et ses actions. En conséquence, Dieu l'a soulevée d' une position inférieure et l'a placée dans une vie d'honneur.

L'excellence est une question spirituelle. Cela diffère du succès parce que le succès est généralement lié à la somme d'argent que vous gagnez, au travail que vous exercez ou au prestige que vous recevez. Le succès consiste à atteindre un niveau que le monde reconnaît comme un succès. Alors que le succès appartient à quelques-uns, l'excellence est accessible à tous. L'excellence ne concerne pas la façon dont vous vous comparez aux autres. L'excellence concerne la façon dont vous êtes comparé au potentiel de la façon dont vous êtes censé être. En d'autres termes, l'excellence a à voir avec le destin de Dieu pour vous. Allezvous progressivement de l'avant et avancez-vous vers ce qu'il veut pour vous ? Définissez-vous vos décisions, pensées et actions par la plus haute qualité et authenticité que vous avez à offrir ? C'est la mesure de la véritable excellence. Dieu vous a appelée, comme Ruth, à être une femme d'excellence. Vous ne pensez peutêtre pas que quelqu'un vous regarde ou que ce que vous faites a beaucoup d'importance sur la base des valeurs de la culture. Pourtant, dans un domaine obscur, tout en collectant les restes des repas d'autres personnes, Ruth a acquis une réputation d'excellence. Dieu l'a vue, et Il a été satisfait de ce qu'Il a vu. Il lui accorda également la faveur aux yeux de tous ceux qui la voyaient. Paul nous dit que toutes nos vies devraient être marquées par l'excellence : Enfin, frères, nous vous avons appris à vivre pour plaire à Dieu, car vous vivez en effet. Maintenant, nous vous demandons et vous exhortons dans le Seigneur Jésus à le faire de plus en plus. (1 Thessaloniciens 4:1) L'excellence devrait être votre objectif en tant que femme du royaume. Les proverbes nous rappellent que l'excellente femme, ou l'excellente épouse, est un trésor rare de la plus haute valeur : « Une excellente épouse qui peut trouver ? Elle est bien plus précieuse que les bijoux » (31:10, ESV). L'excellence de Dieu est de vous servir de modèle : « Chantez à l'Éternel ; car il a fait d'excellentes choses » (Ésaïe 12:5, KJV). L'excellence est la norme vers laquelle vous devez viser, puisque vous êtes un enfant créé à son image. Gardez à l'esprit que l' excellence ne signifie pas la perfection . Cela signifie faire tout ce que vous pouvez avec tout ce que vous avez à ce moment-là. Je n'oublierai jamais quand Chrystal a couru cette course de 800 mètres. Je n'aurais pas pu être plus fier d'elle.

Elle avait commencé si vite que je savais qu'il était probable qu'elle manquerait d'élan avant d'atteindre la ligne d'arrivée. Mais j'ai admiré sa ténacité et son zèle, et elle a appris une leçon importante sur son rythme ainsi que sur la valeur de la finition. La chose dont j'étais le plus fier, c'est que lorsqu'elle a vu les deux autres coureurs la dépasser, et que son corps lui a crié d'arrêter, elle ne l'a pas fait. Elle a continué. Elle n'a pas laissé la réalité de son passé - le bon (être si loin devant au début) ou le mauvais (avoir deux coureurs qui la dépassent) - affecter son présent. Elle se concentra sur l'endroit où elle se trouvait à ce moment précis. Paul a écrit l'un des plus grands passages des Écritures sur le fait d'aller de l'avant malgré les revers ou le découragement. Paul, un leader dans la foi chrétienne, a parlé de son propre cheminement de foi lorsqu'il a écrit ce qui suit : Non pas que j'aie déjà obtenu tout cela, ou que j'aie déjà été rendu parfait, mais je m'empresse de m'emparer de ce pour quoi le Christ Jésus s'est emparé de moi. . . . Oubliant ce qui est derrière et tendant vers ce qui est devant, je cours vers le but pour gagner le prix pour lequel Dieu m'a appelé au ciel en Jésus-Christ. (Philippiens 3:12-14) Voici le secret de votre vie de femme du royaume par excellence : une mémoire courte doublée d'une direction claire. Si vous voulez vivre dans l'excellence, vous devez oublier hier. Que ce soit bon, mauvais ou moche, si c'est hier, vous devez laisser tomber. Quand vous poussez hier plus loin que vous ne le devriez, vous ruinez aujourd'hui. Si vous gâchez aujourd'hui, alors vous gâchez demain. Si quelqu'un devait être pris en otage hier, ce serait Ruth. Elle savait ce que c'était que d'être jeune et mariée, avec beaucoup de nourriture et de vivre dans une culture qui la comprenait et l'acceptait. Elle savait aussi ce que c'était que de perdre son mari et de quitter sa patrie sans rien à son nom. Mais si Ruth s'était continuellement vautrée à la fois dans le bien et dans le mal d'elle hier, elle n'aurait plus eu l'esprit d'être excellente en elle aujourd'hui. Ruth était une femme d'excellence car elle n'était pas l'otage d'hier. Elle savait insister. Vous devez apprendre d'hier, mais ne vivez pas dedans. Le moyen de faire sortir hier d'aujourd'hui est de faire ce que Paul a dit – d'avoir une vision de demain : « Oubliant ce qui est derrière et tendant vers ce qui est devant, je continue . . .”

Lorsque vous voyez quelque chose dans votre rétroviseur qui attire votre attention pendant que vous conduisez, cela vous ralentit. Votre attention est maintenant concentrée sur ce qui est derrière vous plutôt que sur ce qui est devant vous. En conséquence, vous levez le pied de l'accélérateur et ralentissez. Pourtant, lorsque vous vous concentrez sur ce qui vous attend, vous êtes capable de garder votre pied sur l'accélérateur et d'avancer. Au fur et à mesure que vous le faites, ce qui se trouve derrière vous devient de plus en plus petit jusqu'à ce qu'il finisse par disparaître. Vous ne vous débarrassez pas d'hier en en parlant tout le temps; vous vous débarrassez de son effet sur vous en avançant. Dieu a dit à Israël qu'il avait un avenir pour eux, et c'était un bon avenir coulant de lait et de miel, ce qui signifie que c'était un avenir abondant. Dieu a délivré les Israélites d'Égypte. Mais l'Égypte n'a jamais été délivrée des Israélites. Ils n'arrêtaient pas de regarder par-dessus leurs épaules ce qu'ils avaient. Ils vivaient une vie d'hier. En fait, ils ont discuté hier si longtemps et si souvent que Dieu leur a donné encore quarante ans dans le désert pour qu'ils puissent en discuter encore. Les Israélites ont échoué dans une vie d'excellence parce qu'ils étaient liés à une vie d'hier. Un esprit d'excellence est un esprit qui continue, grandit, apprend, se repent et tire le meilleur parti de la journée qui lui a été donnée. Un exemple d'une femme excellente Un autre problème qui fait souvent obstacle à une vie d'excellence survient lorsque nous vivons plus pour les gens que pour Dieu. Nous faisons des gens notre norme plutôt que Dieu. Nous faisons notre travail pour ceux qui nous entourent, nous travaillons pour la louange de notre famille, nous faisons nos actions et nos choix à la lumière de la façon dont les gens vont nous répondre plutôt que de savoir si Dieu va dire que nous sommes excellents. Il est facile pour nous de ne regarder que ce que nous pouvons voir, mais Dieu voit tout. Il voit même les tâches les plus banales que personne d'autre ne pourrait jamais remarquer. Martin Luther aurait dit : « [Même] une laitière peut traire les vaches à la gloire de Dieu. Paul a écrit : « Soit donc que vous mangiez, soit que vous buviez, ou quoi que vous fassiez, faites tout pour la gloire de Dieu » (1 Corinthiens 10 :31). Miser sur l'excellence. Ne pensez pas à ce que vous pouvez faire pour vous en sortir. Ne vous permettez pas d'avoir des pensées bâclées. Demandez-vous si Dieu applaudit tout ce que vous faites. Considérez-vous comme il vous considère, comme une femme destinée à l'excellence.

Encore une fois, l'excellence n'est pas la perfection. Au contraire, il définit votre mouvement. Vous avancez ? Progressez-vous pour ressembler de plus en plus à JésusChrist ? Investissez-vous dans l'instant plutôt que d'être lié par hier ou de vous soucier de demain ? L'excellence signifie passer au niveau supérieur. Il apparaît de petites manières plus que de grandes manières. C'est un modèle, un mode de vie. Paul a parfois mauvaise presse des femmes. Il ne mâchait pas ses mots et ne se faisait pas beaucoup d'amis avec ses écrits sur les femmes. Mais l'un des plus grands honneurs qu'il ait jamais rendus dans ses écrits a été rendu à une femme d'excellence. Dans le dernier chapitre de son œuvre phare, le livre des Romains, Paul a résumé ses pensées. Ce faisant, il envoya ses salutations et ses vœux à ceux qu'il aimait. Il venait de terminer sa déclaration finale lorsqu'il écrivit : « Que le Dieu de paix soit avec vous tous. Amen » (15:33). Sa toute prochaine déclaration, alors qu'il commençait ses salutations d'adieu, se concentrait sur une femme du royaume nommée Phoebe. Il n'y a que deux versets sur Phoebe dans la Bible, mais ils en disent long sur son excellence. Phoebe n'est pas cachée quelque part au milieu d'une litanie de noms. Paul a commencé par souligner expressément cette femme : Je vous recommande notre soeur Phoebe, une servante de l'église de Cenchrea. Je vous demande de la recevoir dans le Seigneur d'une manière digne des saints et de lui donner toute l'aide dont elle pourrait avoir besoin de vous, car elle a été d'une grande aide pour beaucoup de gens, dont moi. (16:1–2) L'excellence de Phoebe, comme l'excellence de Ruth et comme l'excellence de la femme Proverbes 31, doit également être votre excellence. C'est votre plus haute vocation en tant que femme du royaume, car à travers une vie d'excellence, vous rendez gloire à Dieu. Les gens excellents qui fixent leur esprit sur Dieu n'ont pas besoin d'être poussés à bien faire. Ils s'acquittent volontairement de leurs responsabilités parce qu'ils les font pour le Seigneur. Chroniques de Crystal Il n'y a pas si longtemps, je me suis dit en me levant pour nettoyer la cuisine pour la énième fois, que je n'en avais pas envie. Ce que j'ai réalisé d'autre, c'est combien de fois au cours des dernières semaines, mois et années, j'ai ressenti la même chose à propos de pas mal de mes responsabilités en tant que mère.

La vérité est qu'il y a très peu de place pour l'égoïsme dans ce lieu de servitude. Si je prenais la route de déplorer mon sort, les choses ne feraient qu'empirer, et alors j'aurais un plus grand trou d'apitoiement sur moi-même pour me creuser. Si je ne fais pas la vaisselle, elle s'accumule. Si je ne fais pas la lessive, nous n'avons pas de vêtements propres. Si je ne paie pas les factures, nous n'avons pas d'électricité. Je ne peux même pas imaginer à quoi ressemblerait la vie ici si je ne faisais que ce que J'avais envie de faire. J'ai donc découvert que ce chemin d'être une femme du royaume n'est pas un chemin pour les poules mouillées ou pour les femmes qui ne sont pas faites de choses dures. J'ai découvert que mes meilleurs jours sont ceux où je me lève tôt pour me réunir avant que les troupes ne convergent, et où je me couche plus tard que tout le monde pour m'assurer que tout est bien parti pour demain. Croyez-moi, je ne préfère pas me réveiller en premier et dormir en dernier. Cependant, cela semble être la clé pour passer une bonne journée. Aujourd'hui, par exemple, j'ai commencé à cuisiner le dîner peu de temps après avoir terminé le petit-déjeuner. Mettre un poulet dans le Crock-Pot a fait que ma préparation du dîner a duré trente minutes à 18h00. Faire de la sauce, rôtir des pommes de terre, cuire du riz et préparer une salade était presque sans effort. J'ai aussi fait un menu pour le reste de la semaine, ce qui m'a permis de faire ma liste d'épicerie, ce qui a permis d'entrer et de sortir de l'épicerie en trente minutes. Être semi-habillé (habillé mais pas glamour) avant que mon équipage ne se lève m'a permis d'être un peu calme lorsque ma sonnette a sonné. Ce sont de petites choses dans lesquelles je vise l'excellence, et pourtant elles sont énormes en retour quand je peux soupirer à la fin de la journée parce que je réalise que j'ai tout donné. Un jour comme aujourd'hui brille par rapport à d'autres jours où j'ai été abattu, en retard, affamé, déconcerté et stressé. La plupart de ces moments impliquent mon autoapitoiement indulgent sur la difficulté des choses en tant que femme tirée dans tant de directions et nécessaire à tant de personnes. Décider de prendre ma maison et ma famille comme une femme du royaume et de ne pas me recroqueviller sous le poids de ce qui est fastidieux et banal rend le déroulement de ma journée tellement plus facile.

Si je regarde trop longtemps dans le temps, je trouverai des choses que j'aurais aimé faire mieux ou je reculerai devant toutes les choses que j'ai choisi de ne pas faire du tout. En regardant dans le rétroviseur d'hier, je vois beaucoup de « aurait », « aurait pu » et « devrait avoir ». Mais ces années sont passées. Ils sont partis. La façon dont j'ai utilisé ce temps est la façon dont je l'ai utilisé, et je ne peux pas revenir en arrière. Mais je peux faire un pas en avant vers un avenir meilleur. Chaque jour que j'ai la chance de vivre me donne un autre jour pour continuer et faire de mon mieux avec ce que j'ai. Cela me donne un jour de plus pour vivre en tant que femme d'excellence. Non, la plupart des gens ne sauront jamais combien de brassées de lessive je fais en un an, combien de déversements je nettoie ou combien de cours à la maison je prépare et note. Mais Dieu sait. Il connaît chacun de mes mouvements, et Il m'a créé pour faire chacun de mes mouvements dans un esprit qui n'est rien de moins qu'excellent. Il sait la même chose de vous aussi. Souvent, la vie d'une femme, jeune ou âgée, mariée ou célibataire, présente des occasions d'accomplir des tâches ingrates de bien des façons. La tentation est là de reculer ou simplement de s'en sortir. Mais quand je commence à penser ainsi, je me souviens de ma tante et de l'exemple qu'elle a toujours vécu dans l'excellence. Jamais mariée, elle s'est consacrée uniquement au Seigneur et s'est donnée pour être "Tante" à ses nièces et neveux et maintenant ses petites-nièces et petits-neveux de tant de façons. Elle s'est également consacrée au lancement et à la gestion du programme pour enfants de notre église pendant des décennies, tout en obtenant simultanément son doctorat. C'est une femme d'excellence, et lorsqu'on lui demande ce qui la motive à être ainsi, elle répondra : « À cause de ce jour ». "Ce jour-là" est sa référence au jour où elle s'attend à se tenir devant Jésus et au jour où il testera la qualité de son travail. La vérité est que nous ferons tous face à « ce jour-là », et si le service que nous lui avons offert est excellent, nous entendrons ces paroles bénies : « Bravo, bon et fidèle serviteur. . . . Entre dans la joie de ton maître » (Matthieu 25:23, ESV). Je veux entendre ces mots. Je veux ce que je fais et ce que j'ai fait pour faire sourire Jésus ce jour-là. Une vie d'excellence n'est pas facile. Il n'y a pas toujours d'accolades, surtout quand vous choisissez d'accorder de l'importance aux choses qui sont

importantes pour le Seigneur. Mais il y aura une distinction très significative "ce jourlà". Où le Seigneur pique-t-il votre cœur pour faire plus, aller plus loin ou élever la barre ? Bien que mon défi soit dans la routine de la maternité, ce n'est pas le seul endroit où l'excellence dans la féminité est requise. Dans votre travail, vous contentez-vous de maintenir le statu quo ou faites-vous un effort supplémentaire dans vos responsabilités quotidiennes ? Dans votre apparence, êtes-vous satisfait de la façon dont vous êtes, ou visez-vous à être en meilleure santé ? Faites-vous de votre mieux avec ce que vous avez pour représenter votre Sauveur lorsque vous franchissez la porte ? Qu'en est-il de votre mariage ? Vous contentez-vous d'une coexistence confortable avec votre mari, ou faitesvous de votre mieux pour tenter d'avoir un mariage céleste ici sur terre ? Si vous désirez le mariage et attendez que Dieu réponde au désir de votre cœur, que faites-vous de votre temps ? Utilisez-vous votre temps pour sa gloire, ou marquez-vous simplement le temps ou vous demandez-vous combien de temps encore votre horloge biologique fera tic-tac ? Pendant que vous attendez un compagnon, saisissez-vous toutes les opportunités que Dieu vous offre pour utiliser votre temps, vos talents et vos ressources pour faire avancer le royaume ? Cette question n'est pas seulement pour la femme célibataire; c'est pour la femme retraitée, la femme contente, ou la femme qui se sent arrivée. "Mais nous tous, le visage découvert, voyant comme dans un miroir la gloire du Seigneur, nous sommes changés en la même image de gloire en gloire, comme par l'Esprit du Seigneur" (2 Corinthiens 3:18, KJV). L'excellence sur terre n'est pas une destination ; c'est un processus continu de transformation vers ce que Dieu veut que nous soyons. L'excellence qu'Il attend de nous n'est pas non plus un niveau de supériorité ou de distinction que nous pouvons atteindre par nous-mêmes. Notre trésor n'est pas dans nos « vases d'argile », mais dans l'excellence de sa puissance en nous (2 Corinthiens 4 :7, KJV). Excellent est ce que nous serons lorsque nous serons rendus parfaits dans la prochaine vie. Cependant, en attendant, notre travail consiste à lutter pour l'excellence que le Père nous a révélée dans la saison de la vie dans laquelle nous nous trouvons, dans le contexte de nos vies en ce moment. Et tandis que nous nous engageons à poursuivre cette vie, la vie d'une femme excellente, le Père nous transforme à l'image de Son Fils.

Psaume 16:11 dit : « Tu m'as fait connaître le chemin de la vie ; tu me rempliras de joie en ta présence, avec des plaisirs éternels à ta droite. Choisir l'excellence maintenant, c'est choisir le fruit de la joie et du plaisir des jours à venir. Lorsque nous choisissons l'excellence, Dieu obtient la gloire. Lorsque nous choisissons l'excellence, nous bénéficions de marcher dans la plénitude de sa joie sur terre et d'investir dans les plaisirs de l'éternité au ciel. Alors, mon ami, choisissez la voie excellente. Et ne le faites pas pour les raisons que vous pouvez voir, mais pour les choses qui ne se voient pas et qui sont éternelles (2 Corinthiens 4 :18). Destin complet Être excellent, c'est être plus qu'un simple parmi la foule. C'est vivre d'une manière qui vous distingue comme étant spécial et unique. Tout comme Chrystal l'a dit et Phoebe a vécu sa vie, ce que vous faites et comment vous le faites attire l'attention des autres sur la gloire de Dieu. Comme Ruth, il vous positionne dans la manifestation la plus complète de votre destin. Vous ne serez jamais excellent si vous faites du monde votre standard. Une femme du royaume connaît sa vraie valeur et montre le reflet de la façon dont Dieu la voit. Elle fait sienne la norme de Dieu dans tout ce qu'elle fait. Pensez-y en termes de l'un des groupes les moins remerciés de notre société : les éboueurs. Ce n'est pas ce que vous appelleriez un travail de grande classe. Cependant, à New York en 1990 et à nouveau en 2006, les éboueurs se sont mis en grève. [23] Tout d'un coup, ces personnes généralement ignorées et invisibles sont devenues les personnes les plus importantes de la ville parce que toute la ville a réalisé à quel point elle avait besoin d'eux. Une grande partie de ce qui se passe dans la vie d'une femme du royaume ne fera pas la une des journaux. Pour une grande partie de ce que vous faites, vous ne serez peut-être jamais remercié. Les gens peuvent seulement remarquer que vous n'êtes pas là ou que vous ne le faites pas. Mais cette réalité ne change pas votre signification. Vous êtes une perle rare, un bijou précieux. En tant que femme du royaume, vous avez la vertu d'excellence, et même si vous ne l'entendez peut-être pas autant que vous le souhaitez, voire autant que vous le devriez, ceux qui vous entourent ont besoin de vous.

Votre famille a besoin de vous. Votre église a besoin de vous. Votre communauté a besoin de vous. En fait, le monde a besoin de vous. En tant que femme du royaume, vous avez été spécialement conçue pour mener une vie d'excellence.

4 UNE

FEMME D'ENGAGEMENT

Certaines personnes ont suggéré que l'histoire aurait été considérablement différent si les trois sages avaient été trois sages. Depuis ce n'est pas ce qui s'est passé, le mieux que nous puissions faire est de conjecturer ce qui aurait pu se passer si trois femmes sages avaient accueilli l'enfant Jésus plutôt que les trois hommes sages. Si cela avait été les femmes sages plutôt que les hommes sages , certains disent que les femmes sages auraient demandé des directions, seraient arrivées à l'heure, auraient aidé à accoucher, nettoyé l'étable, fait une casserole et apporté des cadeaux pratiques de Babies“R « Nous, y compris les couches, les lingettes, les bavoirs et le lait maternisé. Il ne fait aucun doute que les femmes, en tant que genre, sont très douées. Le multitâche pour une femme est souvent aussi simple que le travail en solo pour un homme. La recherche nous montre que les femmes sont souvent plus enclines à la spiritualité que les hommes. Selon le Forum sur la religion et la vie publique du Pew Research Center dans son analyse de l'enquête sur le paysage religieux aux États-Unis, les femmes sont plus susceptibles que les hommes d'être affiliées à une religion, plus susceptibles que les hommes de prier quotidiennement, plus susceptibles que les hommes de croire en Dieu et plus susceptibles que les hommes d'assister régulièrement aux cultes. [24] Les femmes semblent vivre ensemble, profitant au maximum de leurs journées et des dons que Dieu leur a accordés. Pourtant, même si les femmes sont souvent qualifiées dans l'art de gérer les situations de la vie et d'obtenir des résultats, les défis peuvent

parfois être trop grands. C'est vrai pour n'importe qui. La vie peut lancer des balles courbes. Ou peut-être que ce n'est pas du tout une balle courbe. C'est peut-être juste que la vie continue de lancer des balles rapides, l'une après l'autre. Et les défis commencent à s'empiler les uns sur les autres, ce qui donne l'impression que vous ne serez jamais à l'abri du stress, de la douleur ou du vide qui peuvent survenir lorsque vous avez épuisé toutes vos ressources naturelles tout en essayant de gérer chacune et tout. Lorsque cela se produit, il est facile de vouloir jeter l'éponge. Mais la vie des autres dépend du fonctionnement et du bien-être d'une femme qui jongle autant. Même si vous jetez l'éponge, la vie continue de vous lancer des défis. Vous devez faire face aux épreuves. Une femme qui n'a pas jeté l'éponge La prochaine femme que je veux regarder était une femme capable qui a peut-être pensé qu'elle l'avait bien à un moment donné. La saga de cette femme apparaît dans l'Ancien Testament. Maintenant, je me rends compte que l'Ancien Testament peut sembler éloigné des situations d'aujourd'hui, mais ce qui a été enregistré dans cette partie de la Bible est pour notre bénéfice : instruction » (1 Corinthiens 10:11, ESV). L'Ancien Testament est un livre pertinent même si les histoires peuvent sembler dépassées dans notre monde contemporain. Les récits bibliques nous offrent des principes qui transcendent le temps, des principes spirituels pour guider nos vies, même aujourd'hui. La femme du royaume que je veux que nous regardions se trouve dans 2 Rois 4. Bien que nous ne sachions pas grand-chose sur elle, nous savons qu'elle était sage, car lorsqu'elle s'est retrouvée dans une situation difficile au-delà de ses propres capacités à résoudre, elle a cherché le prophète local. Nous savons aussi que cette femme avait été mariée. Se marier à l'époque biblique était source non seulement de sécurité mais aussi de dignité. En plus de cela, elle avait été fructueuse. L'Écriture nous dit que cette femme avait des enfants. Elle avait été bénie par les meilleurs. Puis, à l'improviste, sa vie a été bouleversée. Son mari est décédé. Elle a perdu le revenu régulier qu'il lui avait fourni, alors elle a essayé de trouver un moyen de nourrir et d'habiller ses enfants par elle-même, mais bientôt les dettes ont commencé à s'accumuler. Lorsque les dettes s'accumulaient, comme c'était la coutume dans sa

culture, les créanciers avaient alors le droit de venir saisir ses deux enfants pour les faire travailler comme esclaves afin de payer ce qu'elle devait. Il n'y a probablement pas de plus grande douleur qu'une femme puisse ressentir que de voir quelqu'un jouer avec ses enfants et de ne pas pouvoir les protéger ou les protéger. Je ne peux pas imaginer le chagrin dans le cœur de cette femme alors qu'elle pensait que ses deux précieux enfants seraient bientôt utilisés, maltraités et très probablement abusés comme esclaves. Cela fera ressortir la maman ours dans n'importe quelle femme du royaume, à coup sûr. Nous regardons une femme qui faisait face à plusieurs couches de douleur en même temps. Sans doute a-t-elle ressenti une douleur émotionnelle à cause de la perte de son mari et de la peur de perdre ses enfants. Elle était maintenant devenue une mère célibataire souffrante. En plus de cela, elle a connu des difficultés financières. "Le créancier est venu prendre mes deux enfants pour qu'ils soient ses esclaves" (2 Rois 4:1, ESV). Les factures ne cessaient de s'accumuler tandis que les créanciers continuaient d'appeler. Elle n'avait ni mari ni argent et était sur le point de perdre ses enfants. Pour n'importe qui, ce serait trop difficile à gérer. Pour ajouter l'insulte à l'injure, elle souffrait également physiquement. Elle avait faim. "Votre serviteur n'a rien dans la maison qu'une cruche d'huile" ( verset 4:2). Si tout ce qu'elle avait était un pot d'huile, alors elle n'avait définitivement rien à manger. Avezvous déjà eu faim ? Il est moins probable dans notre pays de trouver quelqu'un qui sache vraiment ce que signifie avoir faim. Mais encore aujourd'hui, partout dans le monde, les gens se couchent complètement affamés. Même dans la douleur émotionnelle, financière et physique de cette femme, elle faisait face à une douleur de plus en plus grande. Elle souffrait spirituellement. Elle a révélé quelque chose d'important au sujet de son mari décédé : « Votre serviteur, mon mari, est mort, et vous savez que votre serviteur craignait le SEIGNEUR » (verset 4:1). Rien n'est pire que de craindre Dieu et pourtant de ne pas pouvoir le localiser quand vous en avez le plus besoin. C'est la vraie souffrance spirituelle. Son mari avait craint le Seigneur, et ils avaient été une famille craignant Dieu. Non seulement Dieu avait autorisé la fin de la vie de son mari, mais maintenant cette femme

risquait aussi de perdre ses enfants. Je ne serais pas surpris si des doutes traversaient son esprit, interrogeant Dieu. Si c'est ce que vous procure une vie craignant Dieu, alors pourquoi le faire ? Si je faisais un sondage en ce moment auprès de tous ceux qui lisent ce livre, combien d'entre vous diraient qu'ils savent ce que c'est que d'être dans la douleur spirituelle ? Vous savez ce que c'est que les situations de la vie ne s'additionnent pas. Vous savez ce que c'est que de se sentir comme si le Dieu qui dit qu'il ne vous quittera jamais ou ne vous abandonnera jamais ne semble pas être là. Vous Le servez, Lui obéissez, Le cherchez, Lui donnez, L'adorez et aidez ceux qu'Il aime. Vous avez fait le travail de la vie chrétienne. Et il est probable que vous l'ayez fait avec un cœur sincère. Pourtant, vous ne pouvez pas payer les factures. Vous vous sentez seul. Vous souffrez. Et ce qui est pire, vous ne semblez pas trouver Dieu n'importe où. Peut-être que vous ne pouvez pas vous identifier à toutes les douleurs auxquelles la femme de 2 Rois 4 a été confrontée, mais je suppose que vous pouvez vous identifier à une seule. J'ai conseillé à beaucoup trop de gens au cours de près de quarante ans de ministère de ne pas reconnaître que c'est souvent un fil conducteur dans la vie de ceux qui souffrent. La question que j'ai souvent entendue est "Où est Dieu quand j'ai le plus besoin de Lui?" Ma réponse est toujours la même : quand Dieu se tait, il n'est pas immobile. Dieu fait une partie de Son meilleur travail dans l'obscurité. Il fait une partie de Son meilleur travail quand vous pensez qu'Il ne fait rien. Il est dans les coulisses, en train de s'en sortir. Il est fidèle même si vous sentez que vous ne pouvez pas Le voir. Il a un plan pour vous, et il est bon. Votre engagement dans l'obscurité est le chemin de votre victoire dans la lumière. S'engager à garder sa foi, à chercher Dieu et à ne pas jeter l'éponge lorsqu'aucune solution humaine n'est en vue est le secret pour échanger le vide contre l'abondance. Le prophète et le plan Un prophète dans la Bible était quelqu'un qui parlait au nom de Dieu. Un prophète était la voix de Dieu pour l'humanité. Son devoir était de dire ce que Dieu disait. Il n'était pas simplement un enseignant. Un enseignant peut prendre la Parole de Dieu et dire : « C'est

ce que Dieu veut dire », alors qu'il explique la vérité de Dieu. Mais un prophète était plus qu'un enseignant parce qu'un prophète serait non seulement capable de dire : « C'est ce que Dieu veut dire », mais serait également capable d'appliquer les paroles de Dieu à une situation spécifique. Un prophète pourrait vous dire ce que Dieu disait car cela vous concernait directement. Ce n'était pas la Parole de Dieu sous une forme abstraite. C'était plutôt la Parole de Dieu pour un scénario ou un besoin unique. Quand un prophète parlait à quelqu'un en particulier, c'était la Parole de Dieu avec le nom de cette personne écrit directement dessus. Avez-vous déjà été à un service religieux quand il semblait que ce que le prédicateur enseignait aurait pu avoir votre nom écrit partout ? Vous aviez l'impression que personne d'autre n'était même dans la pièce; le message était directement destiné et prononcé juste pour vous. C'est alors que le Saint-Esprit a pris la Parole de Dieu et l'a transformée en une parole prophétique pour votre situation. Pourquoi la femme de 2 Rois 4 est-elle allée voir le prophète ? Elle est allée vers lui parce qu'elle était dans une situation que seul Dieu pouvait régler. Avez-vous déjà été dans une situation que seul Dieu peut résoudre ? Vous avez essayé tout ce que vous pouviez imaginer pour y remédier, mais rien n'a fonctionné. Si vous êtes ou avez été dans une telle situation, il est fort probable que Dieu vous place exactement là où Il vous veut. Parfois, Dieu vous permet d'être dans une situation que Lui seul peut résoudre, alors vous découvrirez qu'Il est Celui qui peut le résoudre. Vous ne découvrirez jamais que Dieu est tout ce dont vous avez besoin jusqu'à ce que vous arriviez à l'endroit où Dieu est tout ce que vous avez. Lorsque vous avez été réduit au-delà de vos propres capacités pour faire fonctionner les choses. Quand la banque refuse de vous accorder le prêt. Quand vos amis ne répondent pas au téléphone. Quand vous avez parlé à toutes les personnes auxquelles vous pouvez penser et que personne n'intervient en votre nom. Quand les médecins ne peuvent pas identifier ce qui vous fait mal. Vous êtes dans une situation qui vous dépasse et même au-delà de ceux qui vous entourent. C'est là que se trouvait cette femme dans la Bible, alors elle est allée directement voir le prophète. Elle avait besoin d'un mot rien que pour elle. Elle n'avait pas besoin d'un sermon, d'une étude biblique ou d'une chanson. Elle avait besoin d'un rhéma – un mot avec son nom dessus. Dans les Écritures, Dieu communique de différentes manières. Un logos est un

mot général pour tous les croyants . [ 25] Pourtant, un rhema est un énoncé spécifique avec une situation ou une personne spécifique à l'esprit. Cette femme est allée voir le prophète parce qu'elle avait besoin d'un mot juste pour sa situation, un rhéma . [ 26] Le prophète a répondu par un rhema juste pour elle; cependant, quand il l'a fait, il a soulevé une question intéressante. Il ne répondit pas comme il semblait devoir répondre. Au lieu de cela, il a posé sa propre question : « Que dois-je faire pour vous ? Dites-moi; qu'as-tu dans la maison ? (2 Rois 4:2, ESV). C'est une question étrange. En fait, c'est une question sur une question. Tout d'abord, Elisée a demandé : « Que dois-je faire pour vous ? Mais il ne lui laissa pas assez de temps pour répondre avant de demander : « Qu'as-tu dans la maison ? La première question est devenue encore plus critique dans sa signification une fois qu'il l'a suivie avec la deuxième question. Le prophète faisait savoir qu'en venant à lui, la femme n'obtiendrait pas une réponse ordinaire. Le mot clé de la première question est je . En se référant à lui-même, il posa sa question suivante. Sa prochaine question ne consistait pas en des mots polis. En la posant, il fit savoir à la veuve qu'en venant à lui, elle ne devait pas s'attendre à ce que tout le monde proposerait comme solutions. Il n'allait pas faire ce que ses amis, sa famille ou ses voisins auraient essayé de faire. Au lieu de cela, Elisha a évoqué ce qui pourrait ressembler à un autre problème en soi. Il a souligné son insuffisance en lui demandant ce qu'elle avait chez elle. La femme ne détourna pas l'étrange question. Elle savait que sa réponse n'allait pas consister en ce qu'on attendait. Alors elle répondit franchement: "Votre domestique n'a rien dans la maison, sauf un pot d'huile ." "Exactement", a répondu Elisha (dans une traduction libre). Puis il a commencé à lui dire exactement ce qu'il voulait qu'elle fasse avec ce "rien" plus un "pot d'huile". Faites le tour et demandez à tous vos voisins des bocaux vides. Ne demandez pas que quelques-uns. Entrez ensuite et fermez la porte derrière vous et vos fils. Versez de l'huile dans tout les bocaux, et au fur et à mesure que chacun est rempli, mettez-le de côté. (Versets 3–4) Non seulement Elisha voulait qu'elle fasse l'expérience de son propre néant, mais il lui a aussi spécifiquement dit d'aller chercher chez ses voisins leurs "bocaux vides". Il ne

lui a pas dit d'aller chercher leur huile. Il lui a dit de récupérer leur "rien" aussi. Ce faisant, il a essentiellement augmenté le volume de son vide en le grossissant. Je ne sais pas pour vous, mais pour moi, cela ressemble à un conseil un peu fou. La veuve a dit au prophète qu'elle n'avait rien dans sa maison, et il lui a dit d'aller aussi chercher le néant de tous les autres. Allant de mal en pis, il lui a alors dit qu'après avoir récupéré les casseroles, poêles et seaux vides de ses voisins, elle devait lui prendre un maigre pot d'huile et remplir leurs pots avec le sien. Elle devait verser le peu d'huile qu'elle avait de son pot et le mettre dans celui de quelqu'un d'autre. La demande était au mieux illogique et au pire insensée. Mais il était le prophète, et il avait donné un rhema du Seigneur à la veuve. C'était à elle de décider si elle allait s'engager dans ses instructions dans la foi ou abandonner complètement la mission. Après tout, il ne lui avait pas donné de solution qu'elle pourrait suivre partiellement. Une fois, elle a franchi sa porte; a parcouru le chemin de terre jusqu'à la maison de son premier voisin; est entrée dans la maison de son voisin; demandé des casseroles, des poêles et des seaux ; et les empilait tous pour les ramener à la maison, le mot serait sorti de ce qu'elle faisait. Soit elle devait suivre ses instructions jusqu'au bout, soit elle serait la risée de ceux de son voisinage ainsi qu'une déception pour le prophète. Pourtant, parce que la veuve s'est engagée à suivre les instructions du prophète, elle a vécu un miracle. Les femmes du Royaume obéissent à la Parole de Dieu même quand cela semble n'avoir aucun sens. Gardez à l'esprit que la foi n'a pas toujours de sens. Mais ça fait des miracles. Chroniques de Crystal En lavant la vaisselle après un repas en famille, j'ai commencé à réfléchir à la valeur des casseroles et des poêles que j'avais. Je me suis souvenu du moment où je me suis marié et j'ai reçu diverses casseroles et poêles en cadeau de mariage. Chaque fois que je cuisinais, je les lavais furieusement par la suite pour essayer de les garder neufs et inutilisés. Vous pouvez deviner que mon obsession pour les casseroles et les poêles propres n'a pas duré trop longtemps, car plus de défauts de cuisson sont apparus plus rapidement que je ne pouvais les nettoyer.

En grandissant, je ne comprenais pas pourquoi ma mère laissait ses pots avoir l'air "en désordre". Maintenant, en tant que femme adulte moi-même, je sais pourquoi. Les bons cuisiniers ont des casseroles et des poêles assaisonnées. Les casseroles préférées de ma mère étaient généralement les plus moches. La poêle polyvalente de ma grand-mère était en fonte – un vétéran de plusieurs années. Mon Crock-Pot n'a pas de prix, mais il a ses propres éraflures. Si une casserole ou une poêle n'est pas marquée, cela indiquerait qu'elle n'a pas été utilisée. Nous avons tendance à regarder les gens qui ont des blessures mortelles et à nous demander ce qui leur est arrivé. Parfois, ces cicatrices de bataille sont le résultat de luttes que la personne s'est apportées. Parfois, cette personne peut n'avoir eu aucune faute dans l'acquisition de ses blessures. De l'extérieur en regardant à l'intérieur, nous pouvons nous arrêter et regarder parce que nous avons tendance à ne pas aimer les imperfections visibles. Le fait est que de nombreuses femmes avec des éraflures sont simplement aguerries et, par conséquent, plus disponibles pour l'usage de Dieu en raison de leur imperfection, de leur inadéquation ou de leur vide. Comme la veuve qui en était à son dernier pot d'huile, de nombreuses femmes savent ce que c'est que d'être à leur dernière poignée d'énergie, d'argent, d'espoir ou de joie et entendent encore la voix de Dieu leur demandant de tout lui donner en tout donner aux autres. Je ne peux pas imaginer abandonner ma dernière bouchée et la mettre dans les bocaux des autres. Mais parfois, les choses que Dieu nous demande de faire semblent tout aussi étranges et farfelues. Pourtant, lorsque nous les faisons, nous pouvons le voir se manifester d'une manière à laquelle nous ne nous attendrions jamais. Certes, nous sommes parfois pires pour l'usure, à l'extérieur - un peu essayés, testés et meurtris - mais il en va de même pour certaines des casseroles et poêles les plus précieuses de nos cuisines. Vivre sans taches est possible, je suppose, mais je ne pense pas que ce soit ce que Dieu recherche lorsqu'il cherche un cœur qui s'engagera à le suivre. Au lieu de cela, Il cherche si la femme a appris à dépendre de Lui, si elle connaît la valeur de l'engagement et le pouvoir suprême de la foi. C'est ce qu'Il cherchait quand Il envoya le prophète pour aider la veuve qui luttait juste pour survivre avec ses deux enfants, et c'est ce qu'Il cherche encore aujourd'hui.

L'un des moyens les plus sûrs de rester à l'écart du radar miracle de Dieu est de rester dans le cabinet de la vie afin de continuer à paraître brillant et nouveau. Dieu ne cherche pas le brillant et le nouveau ; Il recherche une foi aguerrie. Tout comme mes pots et mes casseroles, nous devons compter le coût de la vie en tant que femmes du royaume. Une femme du royaume se rend compte que parfois le poêle sur lequel Dieu la place devient très chaud. Une femme du royaume comprend que, parfois, les choses de la vie qu'elle doit «cuisiner» peuvent être très salissantes et laisser des preuves de sa participation. Mais allons-nous vivre le bien avec le mal ? Ou allonsnous ne rien expérimenter du tout, caché en toute sécurité dans une armoire ? En vieillissant - le terme de cuisine correct serait assaisonné - j'apprends à moins craindre les éléments. J'apprends qu'il est plus précieux de sortir dans la foi pour que Dieu m'utilise que de me cacher quelque part dans ma marche chrétienne où je ne risquerai pas une bosse ou une contusion. J'apprends que marcher avec un peu de gâchis de la vie encore sur moi - quelques taches, cicatrices ou entailles - est un témoignage d'un Dieu qui, malgré le peu que j'ai à Lui offrir et à quel point cela peut sembler insignifiant dans le grand projet de vie, regarde plus que ce que le monde voit. Il regarde mon cœur. Il regarde si je lui réponds, comme la veuve, avec foi et confiance, ou si je juge le vide de mes voisins ou le mien. Lorsque nous venons avec foi devant un Dieu suprême et puissant, il peut faire quelque chose à partir de rien. Non seulement il peut répondre à mes besoins, mais il peut aussi m'utiliser pour répondre aux besoins des autres. Le monde dans lequel nous vivons ne chérit pas les contusions et les brisures, l'insuffisance ou les mains vides. Le monde méprise la faiblesse et l'idée d'une âme volontairement soumise. Le monde n'apprécie pas ce que Dieu apprécie : l'humilité, le vide, la douceur et la beauté du cœur d'un serviteur. Notre monde n'apprécie ni n'estime les difficultés, les moments difficiles et les choses de la vie qui laissent un résidu de sable ou de crasse. Mais Dieu le fait. Dieu aime les gens, les femmes, qui sont prêtes à échanger leurs extérieurs brillants contre une utilité dans son royaume. Dieu chérit celui qui désire ses desseins plutôt qu'une vie facile. Notre Père accorde plus d'importance aux femmes qui aiment son plan

pour elles qu'elles n'aiment leur plan pour elles-mêmes, même lorsque son plan peut faire mal. Dieu aime la femme qui a confiance qu'il ne la laissera expérimenter que le grain et la crasse nécessaires pour qu'il l'utilise pleinement pour sa gloire. Dieu aime une sœur expérimentée - une femme du royaume qui choisit d'être remplie de son amour et de sa puissance - qu'elle ait ou non des siens à puiser.

Le chemin de la sagesse L'un des plus grands défis de notre expérience chrétienne est de s'engager à suivre la sagesse de Dieu plutôt que celle du monde. La sagesse du monde est parfois appelée mondanité. La mondanité est simplement ce système mis en place par Satan qui cherche à exclure Dieu. Lorsque la veuve s'est approchée du prophète, il a clairement indiqué dès le début que la voie de Dieu allait être différente de celle de n'importe qui d'autre. La voie de Dieu comprend souvent des chemins que nous ne pouvons pas comprendre et qui n'ont pas de sens. Si la femme en était à son dernier pot d'huile, pourquoi lui disait-il d'aller aussi chercher les pots vides de tous les autres ? Pourtant, c'est exactement ce que le prophète a fait. Il a élargi la vision de la femme au-delà d'elle-même. En rassemblant les bocaux de tout le monde, elle voyait maintenant non seulement ses propres besoins, mais aussi les leurs. Non seulement cela, mais le prophète lui a également tracé un chemin d'engagement qui démontrerait sa foi. La raison pour laquelle tant de gens vivent aujourd'hui en deçà de la vie victorieuse du royaume est qu'ils se sont contentés de se convertir. La conversion est grande — elle vous réconcilie avec le royaume de Dieu pour l'éternité. Mais pour que la puissance du royaume de Dieu soit active en vous, il faut un engagement. Cela exige un dévouement à sa Parole et à sa voie. S'il n'y a pas d'engagement envers le Roi et Son royaume, et que vous choisissez de suivre la définition du monde de la sagesse ou des solutions à la place, vous ne verrez pas la manifestation du Roi, parce que Jésus a clairement déclaré : « Mon royaume n'est pas de ce monde » (Jean 18:36).

Quand vous venez à Jésus avec vos défis, comme le prophète Il dit : « Que ferai - je pour vous ? Ceci est un rappel que Celui que vous avez approché va avoir un chemin différent qui nécessite un engagement afin d'en voir le miracle. Il y a quatre principes que je veux examiner à partir du chemin d'engagement de la veuve. Le premier principe appris est que la voie de Dieu est la meilleure façon d'aborder les problèmes de la vie. Le problème de la veuve n'a pas été résolu jusqu'à ce qu'elle ait reçu une parole prophétique de Dieu par Elie. Jusque-là, elle était coincée. Elle était coincée avec seulement une opinion humaine. L'opinion humaine ressemble beaucoup à la malbouffe. Si vous faites le plein de malbouffe, quand les vrais trucs arriveront, vous n'aurez plus de place pour ça. Parce qu'elle est d'abord allée voir le prophète, la veuve a trouvé la volonté de suivre ses paroles. Lorsque vous avez besoin d'une parole prophétique de Dieu – un rhéma rien que pour vous –, il est bon de ne pas se remplir des opinions des autres. Les solutions humaines peuvent sembler logiques, pratiques ou encourageantes, mais lorsque Dieu a une parole pour vous - lorsque le Saint-Esprit parle à votre âme - cela est utile si vous n'êtes pas si plein de ce que tout le monde dit que vous ne le faites pas. n'ayez aucune pièce pour L'entendre du tout. Le deuxième principe des choix de la veuve est que Dieu répond à votre vide. Dieu a répondu à la veuve alors qu'elle n'avait rien à offrir. Tout ce qu'elle avait était un seul pot d'huile. Tous ses autres bocaux, casseroles, poêles et récipients étaient vides. Que pourrait-elle faire avec un pot d'huile ? Rien. Elle n'avait même pas de quoi le mélanger pour faire de la nourriture. Elle n'allait certainement pas le manger directement. L'une des raisons pour lesquelles il est souvent difficile de faire l'expérience des miracles de provision de Dieu est que nous nous approchons de lui avec notre plénitude plutôt qu'avec notre vide. Nous présentons ce que nous pensons avoir à offrir à Dieu plutôt que de reconnaître qu'en dehors de Lui, nous ne sommes littéralement rien (Jean 15). La Bible a un mot pour cela. Cela s'appelle l'orgueil. La Bible a aussi un mot pour le vide. Cela s'appelle l'humilité. L'orgueil, c'est reconnaître votre propre autosuffisance, tandis que l'humilité, c'est reconnaître votre propre insuffisance. Les Écritures nous disent clairement : « Dieu s'oppose aux orgueilleux, mais il fait grâce aux humbles » (Jacques 4 :6). Il n'y a pas de femme fière du royaume, car les termes s'excluent mutuellement. En fait, ils ne peuvent

pas coexister car la définition même de l'orgueil contredit la définition d'un royaume féminin aligné sous l'autorité et la règle de Dieu. L'une des chansons des Temptations, « Ain't Too Proud to Beg », devrait être notre chanson thème en tant que croyants en Christ. Parce que lorsque vous devenez trop fier pour supplier Dieu pour ce dont vous avez besoin ou trop pour avoir besoin de lui - parce que vous pensez que vous pouvez le faire par vous-même, vous pouvez le réparer, vous pouvez le résoudre, vous pouvez y faire face - vous perdez sur sa plus grande puissance et gloire. En tant que femme du royaume, ne soyez jamais trop fière pour mendier tout ce dont vous avez besoin de Christ. Admettez-Lui que vous connaissez votre propre vacuité. Le troisième principe important du chemin de la veuve est de donner aux autres ce dont vous avez besoin que Dieu vous donne. Ou comme nous le lisons dans le livre de Luc : « Donnez, et il vous sera donné. Une bonne mesure, pressée, secouée et débordante, sera versée sur vos genoux. Car avec la mesure que vous utilisez, il vous sera mesuré » (6:38). Le mot cela dans ce verset fait référence à la chose que vous avez donnée. Tout ce que vous voulez que Dieu fasse pour vous, donnez -le à quelqu'un d'autre. Tout ce que la veuve avait était un pot d'huile, mais le prophète lui a ordonné de verser son un pot d'huile dans les pots vides des autres. Elle ne savait pas ce qu'il allait faire de l'huile une fois qu'elle l'aurait versée. Pour autant qu'elle en sache, il allait lui demander de rapporter les bocaux à ses voisins et de lui donner de l'huile. Mais elle l'a fait quand même. C'est le principe auquel l'Ecriture fait référence lorsque Jésus a dit : « Il y a plus de bonheur à donner qu'à recevoir » (Actes 20 :35). Ce qu'Il disait, c'est qu'en donnant, vous ouvrez un canal pour lequel recevoir également. En d'autres termes, en thésaurisant - ou en gardant ce que vous pensez n'être qu'à vous - vous coupez le flux de Dieu vers vous. Si Dieu ne peut pas couler à travers vous vers les autres, alors Il ne continuera pas à couler vers vous. Une bénédiction peut être définie comme expérimenter, apprécier et étendre la bonté de Dieu dans votre vie. Cela inclut d'être utilisé par Dieu pour bénir les autres également. Lorsque la veuve s'est engagée à suivre les instructions du prophète en versant son dernier peu d'huile dans les jarres vides de ses voisins, son vide est alors devenu plein. Au fur et à mesure qu'elle versait, son bocal se remplissait de sorte qu'elle pouvait

continuer à verser jusqu'à ce qu'« elle dise à son fils : 'Apporte-m'en un autre'. Mais il a répondu, 'Il n'y a plus un pot.' Alors l'huile cessa de couler » (2 Rois 4:6). Vous ne ferez ce pas de foi pour donner aux autres ce dont vous avez vous-même besoin que si vous croyez vraiment que Dieu est votre source. Parce que si Dieu est votre source, alors la question n'est pas de savoir si vous avez assez pour continuer à donner aux autres, mais si vous avez la foi pour croire qu'il reconstituera ce que vous donnez en son nom. Dieu a promis de « pourvoir à tous vos besoins selon sa richesse dans la gloire » (Philippiens 4:19, NASB) quand vous l'aimez et marchez selon sa volonté (Romains 8:28). C'est une promesse que vous pouvez apporter à la banque, tout comme la veuve l'a finalement fait en vendant l'huile accumulée et en retirant le profit (2 Rois 4:7). Dieu n'a pas besoin de beaucoup pour faire beaucoup Le dernier principe de 2 Rois 4 est simple mais profond. Dieu n'a pas besoin de beaucoup pour faire beaucoup. Le peu d'huile que la femme avait était plus que suffisant pour que Dieu se multiplie. Ce principe apparaît à plusieurs reprises dans les Écritures. Tout ce que Moïse avait était un bâton de berger avec un crochet au bout, mais quand il le jeta et le ramassa, il devint la puissante verge de Dieu. En fait, il était si puissant que Moïse l'a utilisé pour ouvrir la mer Rouge et faire sortir de l'eau d'un rocher. Tout ce que David avait était une fronde et cinq pierres lisses. En fait, tout ce qu'il a utilisé était une de ces pierres. Pourtant, il a vaincu le géant qu'une armée entière ne pouvait pas abattre (1 Samuel 17). Samson n'avait qu'une mâchoire d'âne, et il tua les Philistins (Juges 15). Tout ce que Shamgar avait était un aiguillon, et il a sauvé toute la nation d'Israël (Juges 3). Rachel n'avait que quelques cruches pleines d'eau, mais en offrant de l'eau aux chameaux d' un étranger, elle est devenue une partie de la lignée de Jésus-Christ, notre Sauveur (Genèse 24). Tout ce que Sarah avait était un fils, et elle est devenue la mère de toute la nation du peuple élu de Dieu (Genèse 21). Tout ce que Jael avait était un piquet de tente, et elle a pu abattre Sisera et changer le cours de toute une bataille (Juges 4). Le jeune garçon qui écoutait le sermon de Jésus n'avait que du poisson et du pain. Mais c'était suffisant pour nourrir tout le monde et fournir des restes que les disciples

pouvaient trimballer. Tout ce que Marie-Madeleine avait était un pot de parfum, pourtant elle nous a enseigné l'une des plus grandes leçons spirituelles de la Bible. Si vous n'en avez pas beaucoup, ce n'est pas grave. Dieu peut prendre votre peu et le transformer en beaucoup lorsque vous vous engagez à suivre son chemin pour vous. En fait, il peut faire « infiniment plus que tout ce que nous demandons ou imaginons, selon sa puissance qui agit en nous ». (Éphésiens 3:20). Être une femme du Royaume d'engagement implique de prendre une décision fondée sur la foi pour suivre le chemin prescrit par Dieu tout en vous alignant sous son autorité. Ce sera rarement le chemin que vous auriez choisi par vous-même, mais il vous mènera toujours à votre destin, qui est un endroit bien plus grand que pas d'endroit du tout. Dans un poème mémorable écrit dans le style du Dr Seuss, un personnage nommé Zoad ressemble à beaucoup d'entre nous et à notre incapacité à nous engager dans une direction solitaire par la foi : Vous ai-je déjà parlé du jeune Zoad ? Qui est venu à un signe à l'embranchement de la route? Il a regardé d'un côté et de l'autre aussi Le Zoad devait décider quoi faire— Eh bien, le Zoad s'est gratté la tête, le menton et le pantalon. Et il s'est dit : « Je vais tenter ma chance. Place One, cet endroit peut être chaud

Si je vais à

alors comment

saurai-je si je l'aime ou non? D'un autre côté, cependant, je me sentirai tellement idiot Si je vais au Place Two et que je trouve que c'est trop cool. Dans ce cas, je peux attraper un frisson et devenir bleu.

Donc, Place One peut être le meilleur et non Place Two. « Jouez en toute sécurité », cria le Zoad, « je jouerai en toute sécurité, je ne suis pas un cancre. Je vais simplement commencer par les deux endroits à la fois. Et c'est ainsi que le Zoad, qui ne prendrait pas de risque,

n'est allé

nulle part avec une fente dans son pantalon . [ 27] Dieu a donné aux femmes du royaume la direction et le chemin qu'il veut que vous suiviez. Et s'il n'a pas révélé chaque étape en ce moment même, mon conseil est de continuer à marcher jusqu'à ce qu'il révèle l'étape suivante. Le chemin de Dieu est le chemin de la foi. Le suivre, même si vous ne pouvez pas voir la destination devant vous, est le moyen le plus sûr de devenir tout ce pour quoi vous avez été créé. Des problèmes surgissent, cependant, si vous essayez de mélanger la sagesse du monde avec la sagesse divine. C'est alors que vous finissez par n'aller nulle part au lieu d'arriver au destin uniquement pour vous.

PARTIE II

LA FOI D'UNE FEMME DU ROYAUME :LE POUVOIR

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LE POUVOIR DE LA FOI D'UNE FEMME DU ROYAUME

Il y a quelques années, un événement intéressant s'est produit en Caroline du Sud. Je devais parler lors d'une croisade au Williams-Brice Stadium, qui est le stade de football de l'Université de Caroline du Sud. La météo avait prédit de la pluie. En fait, il avait dit qu'il y aurait une tempête. Plus de vingt-cinq mille personnes s'étaient déjà rassemblées dans le stade et attendaient le début de la croisade, quand nous avons vu se former des nuages d'orage. Alors nous, les dirigeants et les organisateurs de la croisade, avons voulu prier pour que Dieu retienne la pluie. Nous sommes descendus dans une petite pièce, nous nous sommes réunis et avons commencé à prier. Bien sûr, nous avons prié des choses comme : « Mon Dieu, s'il te plaît, retient la pluie » et « Si c'est ta volonté, Dieu, pourrais-tu retenir cette pluie ? Pourtant, au milieu de nous tous en train de prier, une petite femme nommée Linda s'est avancée. Peut-être avait-elle été frustrée par les prières des soi-disant professionnels les prédicateurs et les dirigeants. Quoi qu'il en soit, Linda s'est levée et a demandé : « Ça vous dérange si je prie ? Que pourrions-nous dire d'autre que "Allez-y" ? Linda a prié : « Seigneur, ton nom est en jeu. Nous avons dit à ces gens que s'ils sortaient ce soir, ils entendraient une parole de Dieu. Nous leur avons dit qu'ils auraient de vos nouvelles. Maintenant, s'ils viennent et que Tu laisses pleuvoir, et que Tu ne contrôles pas le temps, alors Tu auras mauvaise mine. Nous leur avons dit que tu voulais leur dire quelque chose, et si tu ne retiens pas ce que tu peux contrôler - le temps - quelqu'un pourrait dire que ton nom n'est pas bon. Et puis elle a jeté une ligne qui nous a tous fait nous regarder du coin de l'œil. "C'est pourquoi, en ce moment même, je demande au Nom du Seigneur Jésus-Christ que la pluie s'arrête pour l'amour de Ton Nom !"

Sur ce, nous avons ouvert les yeux. Les sourcils se sont levés. Tout ce que nous pouvions dire et penser était "Whoa. Est-ce qu'elle vient vraiment de prier pour ça ? Après les prières, nous sommes tous montés et nous nous sommes assis sur l'estrade. Le ciel était maintenant devenu entièrement noir derrière nous. Un gars qui avait été chargé de communiquer directement avec le bureau météorologique a déclaré: «Les averses arrivent. Ce sont de gros orages, et ils viennent droit sur nous. Il est maintenant 19h00 et la musique commence. Il est temps de commencer la croisade lorsque des tonnerres et des éclairs massifs nous ont entourés. Les gens ont commencé à s'agiter sur leurs sièges. Certains ont même commencé à se lever et à ouvrir leurs parapluies. Linda était sur scène avec le reste d'entre nous. Alors que des parapluies commençaient à monter dans le public, et plusieurs sur la scène, Linda resta assise confiante. Un calme regard d'attente couvrit son visage. Puis quelque chose s'est produit que je n'ai vu qu'une seule fois dans toute ma vie. La pluie se précipita vers le stade comme un mur d'eau. Pourtant, quand il est arrivé au stade, il s'est séparé. La moitié de la pluie est tombée sur un côté du stade. L'autre moitié est partie de l'autre côté. Puis il s'est littéralement rencontré de l'autre côté du stade. Pendant tout ce temps, Linda était assise là avec un regard confiant sur son visage. Le reste d'entre nous, les prédicateurs et les dirigeants, nous sommes juste regardés. On a regardé la pluie qui faisait le tour du stade, puis on s'est revu. Puis nous avons regardé Linda. Linda regardait droit devant. Maintenant, ce n'est pas une histoire que quelqu'un m'a racontée. J'étais là. En fait, ma famille était là avec moi. Non seulement cela, mais vingt-cinq mille personnes étaient là avec moi aussi. Et nous avons tous vu un miracle cette nuit-là juste devant nos yeux. Je crois que Dieu a accordé une attention particulière à la prière de Linda parce qu'elle avait une grande foi. Elle connaissait le nom de Dieu. Elle a compris que son nom représentait son caractère. Et sa prière faisait appel à ce qui comptait le plus pour Lui. Elle savait parler la langue de Dieu.

Je crois que la prière de Linda a inauguré un miracle parce qu'elle s'est rendu compte que Dieu est passionné pour sa propre réputation. Elle a mis sa foi en Dieu. Sa petite taille détenait du pouvoir, simplement parce qu'elle était intimement liée et investie au nom de Dieu. Parce que la pluie s'est déplacée autour du stade, la foule a été protégée afin qu'elle puisse entendre l'évangile et répondre avec un cœur ouvert, venant d'être témoin d'un phénomène météorologique. Lorsque les femmes du royaume se passionnent pour ce qui passionne Dieu, des changements positifs peuvent se produire dans les vies, les familles, les communautés et même notre nation. Hannah La Bible contient des histoires de femmes qui ont fait face à des situations apparemment impossibles. Pourtant, à maintes reprises, ces femmes ont manifesté une foi sans doute plus forte que la plupart des hommes dans les Écritures. Les femmes ont une capacité unique de foi, et c'est l'un des principaux moyens de faire avancer le royaume de Dieu. La première femme que je veux regarder se trouve dans 1 Samuel. Hannah était stérile. Elle ne pouvait pas avoir d'enfants. En fait, la raison pour laquelle elle ne pouvait pas avoir d'enfants est que Dieu lui-même avait fermé son ventre (1 : 5). Il n'y avait pas simplement une limitation biologique dans la vie d'Hannah. Il y avait une raison spirituelle et l'action de Dieu derrière sa réalité physique. Non seulement Hannah ne pouvait pas concevoir, mais elle vivait aussi dans un environnement désagréable. Elle vivait dans une culture où l'identité d'une femme était souvent étroitement liée, sinon entièrement liée, à sa capacité à avoir des enfants. Les gens autour d'Hannah se moquaient d'elle. Ils l'ont abattue. Une femme en particulier a le plus dérangé Hannah. C'était Peninnah. Elle était également l'épouse du mari d'Hannah, Elkanah. Sa femme rivale [Hannah] l'a raillée cruellement, la frottant et ne lui laissant jamais oublier que Dieu ne lui avait pas donné d'enfants. Cela a duré année après année. Chaque fois qu'elle se rendait au sanctuaire de Dieu, elle pouvait s'attendre à être raillée. Hannah était réduite aux larmes et n'avait pas d'appétit. (1:6-7, MSG) En conséquence, Anne s'est tournée vers Dieu. Anéantie dans l'âme, Hannah a prié Dieu et a pleuré et pleuré, inconsolable.

Puis elle a fait un vœu : Oh, Dieu-de-l'Ange-Armées, Si vous jetez un bon regard dur sur ma douleur, Si vous arrêtez de me négliger et agissez pour moi En me donnant un fils, Je te le donnerai entièrement, sans réserve. Je vais le mettre à part pour une vie de sainte discipline. (1:10–11, GMS) Dans une situation qu'elle ne pouvait pas résoudre, Hannah a demandé à Dieu d'inverser la façon dont les choses avaient été toute sa vie d'adulte. Hannah a abordé spirituellement son problème physique. Tout comme Linda qui a compris que la tempête avait moins à voir avec les nuages dans l'air qu'avec la capacité de Dieu à retenir ces nuages, Hannah a cherché son soulagement et son aide auprès du seul qui pouvait l'apporter. Elle a cherché une solution spirituelle à un besoin physique. Quand Hannah a cherché Dieu comme solution à son problème, elle a placé sa foi en lui. En fait, elle est allée plus loin. Elle a dit à Dieu que s'il lui donnait un fils, alors elle lui rendrait ce même fils pour le servir dans le temple tous les jours de sa vie. Elle a considéré Dieu comme la réponse et a cherché à l'honorer dans le processus. Avec cela, il a donné à Hannah un fils. L'Ecriture dit, Le lendemain matin, de bonne heure, ils se levèrent et se prosternèrent devant l'Éternel, puis retournèrent chez eux à Rama. Elqana coucha avec Anne sa femme, et le L'Éternel s'est souvenu d'elle. Ainsi, au cours du temps, Hannah conçut et donna naissance à un fils. Elle l'appela Samuel en disant : "Parce que j'ai demandé au SEIGNEUR pour lui. (1:19–20) Un principe important de vivre par la foi est de savoir que si Dieu est la cause du problème auquel vous êtes confronté, alors seul Dieu peut être la solution. Peu importe qui vous connaissez, quel est votre nom, votre puissance ou combien d'argent vous avez. Dieu est votre source. Tout le monde et tout le reste n'est qu'une ressource. Parce que le Seigneur s'est souvenu d' Anne, son ventre s'est ouvert.

Hannah a tenu parole après avoir donné naissance à Samuel. Elle l'a donné au Seigneur pour le service dans le temple. Le fils pour lequel elle avait prié pendant toutes ces années a été rendu à Dieu, tout comme elle avait dit qu'elle le ferait. Mais ce qui est intéressant, c'est qu'après qu'Anne ait donné à Dieu ce qu'elle voulait depuis toujours son enfant - Il lui a à son tour donné une maison pleine d'enfants. Dans 1 Samuel 2, nous découvrons que non seulement Anne a donné naissance à Samuel, mais qu'elle a également donné naissance à trois autres fils et deux filles (verset 2:21). Non seulement Dieu a répondu à la foi d'Hannah en exauçant sa prière, mais Il est également allé audelà de sa demande pour remplir sa maison de cinq enfants. Il a honoré son acte de foi en lui rendant Samuel. La veuve de Sarepta Dans 1 Rois, nous rencontrons une autre femme qui a démontré le pouvoir de la foi face à des obstacles impossibles. Une famine avait frappé la terre où elle vivait, rendant difficile sa survie. L'économie s'était effondrée et le pays connaissait bien plus qu'une récession. C'était une dépression affectant d'innombrables personnes. Dieu avait ordonné au prophète Élie d'aller dans un endroit appelé Sarepta, où vivait une veuve. Dieu a dit à Elie qu'il avait ordonné à la veuve de subvenir aux besoins d'Elie. Cependant, quand Elijah a rencontré la femme à la porte de la ville, il a fait face à de la réticence de sa part. Au début, quand il lui a demandé une tasse d'eau, elle était prête à la lui donner et a commencé à aller la chercher. Pourtant, quand il a demandé du pain avec son eau, elle n'était pas si désireuse de le faire : « Aussi sûrement que l'Éternel, ton Dieu, vit, répondit-elle, je n'ai pas de pain, seulement une poignée de farine dans une cruche et un peu d'huile dans une cruche. Je rassemble quelques bâtons pour ramener à la maison et préparer un repas pour moi et mon fils, afin que nous puissions le manger et mourir. (17:12) La femme n'avait pas l'intention de manger à nouveau après ce repas. Elle a expliqué à Elijah qu'elle ne pouvait rien lui donner car elle n'avait rien à donner. Pourtant Elie avait reçu un message différent de Dieu. Dieu avait dit à Elie qu'il avait ordonné à la femme d'aider Elie. Dans cette confidence, Élie a demandé à la femme de ne pas avoir peur. Il lui a demandé d'aller lui faire un gâteau au pain, mais ensuite il lui a dit autre chose. Vous voyez, la femme a dit qu'elle n'en avait pas assez. Elijah savait

qu'elle en était à sa dernière portion de céréales. Mais Elijah lui a dit que si elle lui faisait un gâteau, elle pourrait en faire aussi pour elle et son fils. Il y en aurait assez pour tout le monde. Car c'est ainsi que dit l'Éternel, le Dieu d'Israël : « La cruche de farine ne s'épuisera pas et la cruche d'huile ne se taira pas jusqu'au jour où l'Éternel fera pleuvoir sur le pays. (Verset 14) La veuve n'avait pas d'avenir. Elle n'avait pas d'économies. Elle n'avait aucune provision. Elle n'avait aucun espoir. Pourtant, face à l'incertitude et à la famine, Élie lui a demandé de faire preuve de foi. Qu'est-ce que la femme a fait? Exactement ce qu'Elie lui a dit que Dieu a dit de faire. Elle a obéi. Je me demande ce qu'elle a dû penser en ramassant le dernier morceau de farine et en le transformant en un gâteau au pain. Très probablement, ça n'allait pas être un délicieux gâteau au pain. Je ne peux pas imaginer qu'elle avait un assaisonnement à ce momentlà, et elle n'avait certainement rien pour aller avec. Je ne suis pas sûr que le mot gâteau donne la bonne impression. Cela aurait peut-être ressemblé plus à une boule de pain quand tout a été dit et fait. Quoi qu'il en soit, la veuve a utilisé ce qui lui restait pour obéir à Dieu. Elle a donné quelque chose à un parfait inconnu pour nourrir son fils. Ses instincts maternels devaient lui crier dessus, mais sa foi les a supplantés. Si elle allait vraiment être en mesure d'offrir un avenir à son fils, elle allait devoir ignorer le désir de lui donner à manger le dernier morceau de nourriture qu'il lui restait. Elle allait devoir mettre tous ses œufs, ou du moins toute sa farine, dans le même panier, le panier de Dieu. Pourtant, lorsqu'elle l'a fait, « la jarre de farine n'a pas été épuisée et la cruche d'huile ne s'est pas tarie, selon la parole de l'Éternel prononcée par Élie » (verset 16). La demande d'Elijah n'était pas pratique. En fait, cela n'aurait peut-être même pas semblé moral : donner de la nourriture destinée à nourrir son fils à quelqu'un d'autre. À quoi Elijah pensait-il pour faire une telle demande? Il savait que le Dieu qui lui avait ordonné de le faire tiendrait sa parole. Cela n'avait aucun sens. En fait, c'était carrément ridicule. Pourtant, Dieu avait demandé. Et elle obéit avec foi. Elle avait la foi de Linda. La foi d'Anne. Elle avait la foi qui ferait descendre le ciel sur terre.

Voici mon point de vue sur le passage : Dieu connaissait la foi de cette femme en particulier et c'est pourquoi Il lui a envoyé Elie. Il y avait beaucoup de veuves à cette époque. La famine durait depuis près de quatre ans. Mais toutes les veuves n'ont pas attiré l'attention de Dieu, parce que toutes les veuves n'ont pas démontré un cœur de foi. Quelque part le long de la ligne, Dieu avait vu cette veuve agir avec foi. Il savait que s'il lui demandait de faire ce qui semblait tout à fait déraisonnable, mais qui apporterait sa bénédiction et sa faveur, elle le ferait. Il ne l'a pas choisie au hasard. Ses actions, ses pensées et ses décisions menant à ce point avaient fait d'elle une femme qui a attiré l'attention particulière de Dieu. En plus de cela, elle a vécu en dehors d'Israël dans la ville phénicienne de Sidon. Dieu n'est pas allé à « l'église » pour trouver la femme qu'Il allait utiliser. Il n'est pas allé visiter l'étude biblique la plus proche. C'est parce que parfois la plus grande foi se trouve dans les endroits les plus surprenants, simplement parce que la foi dépend de la relation plutôt que de la religion. La religion peut être l'un des plus grands obstacles à la foi car elle crée une dépendance à l'égard d'un rituel plutôt que du Dieu de l'univers qui peut tout faire. En cherchant une femme de foi grande et puissante, Dieu a regardé au-delà du banc. Il a regardé dans les cœurs pour trouver la seule femme qui répondrait. En fait, lorsque Dieu a cherché quelqu'un pour finalement sauver le ministère de son prophète Élie à un moment de grande épreuve et de besoin, il n'est même pas allé voir un homme. Il y avait certainement beaucoup d'hommes à cette époque qui avaient accès à de la nourriture. Pourtant, à ce moment crucial de l'appel d'Elie en tant que prophète, Dieu choisit intentionnellement une femme du royaume pour sauver la situation. Jésus a parlé de la veuve à Sarepta, soulignant spécifiquement le fait que Dieu a envoyé Élie à une femme pour obtenir de l'aide dans une période critique de son ministère : Je vous assure qu'il y avait beaucoup de veuves en Israël à l'époque d'Elie, lorsque le ciel s'est fermé pendant trois ans et demi et qu'il y a eu une grave famine dans tout le pays. Pourtant Élie n'a été envoyé à aucun d'eux, mais à une veuve en Sarepta dans la région de Sidon. (Luc 4:25-26) En d'autres termes, Dieu savait que lorsque les temps étaient devenus difficiles et que chaque personne essayait de survivre, la foi des gens de l'église n'allait pas être assez forte pour faire ce qu'Il allait demander. Les femmes d'Israël, les dames qui avaient été élevées pour faire confiance au Seigneur de tout leur cœur, n'allaient pas croire Ses

paroles. Les hommes non plus. Mais l'étrangère, une femme vivant en dehors des cercles "chrétiens" normaux, était celle qui croirait. Elle a donc eu l'intervention surnaturelle dans un scénario très désespéré et désespéré. Elle a obtenu l'investissement surnaturel de Dieu qui durerait jusqu'à ce que l'investissement naturel - la pluie - apporte à nouveau de la nourriture. Je ne pense pas que cette femme soit la première femme que beaucoup de gens évoquent lorsqu'ils considèrent les femmes de grande foi. En tant que veuve vivant à une époque de famine, elle était sans aucun doute découragée et désespérée. Ses vêtements étaient probablement en lambeaux. Ses chaussures, si elle en avait, avaient probablement des trous. Je ne sais pas ce qu'elle a utilisé pour faire le pain, peut-être un bol ébréché ou cassé, sur des braises qui n'avaient plus rien à donner. Quel que soit le récipient qu'elle a utilisé, il n'aurait pas été utilisé dans un grand magasin à vendre ou dans un restaurant gastronomique pour cuisiner. Mais lorsqu'il est associé à la foi, ce qui semblait ne pas suffire est devenu l'avenue même pour plus qu'assez. Souvent, la foi implique de regarder au-delà de ce que vous pouvez voir ou des limites auxquelles vous êtes confronté. Peut-être que vous n'avez pas assez de temps dans la journée pour faire tout ce que vous devez faire. Ou peut-être que vous n'avez vraiment aucune ressource pour effectuer tout ce qui doit être fait. Il se peut que vous ayez du mal à élever vos enfants toute seule pendant que votre mari est occupé à travailler ou à voyager ou que le père des enfants a été complètement absent depuis longtemps. Peutêtre que votre compte bancaire est bas et que vous faites tout ce que vous pouvez pour trouver un emploi, et Dieu vous demande de l'honorer encore avec une partie de votre argent. Ou il se peut que vous ayez reçu un rapport de votre médecin qui n'est pas bon, mais Dieu a placé l'espoir dans votre cœur de croire en Son toucher de guérison. Peut-être que Dieu vous a clairement fait comprendre qu'il veut que vous quittiez votre carrière et que vous restiez à la maison à plein temps avec vos enfants, mais votre famille ne peut pas s'en sortir avec un seul revenu. Ou peut-être que Dieu vous a dit de donner ce bonus que vous avez reçu cette année à une famille proche dans le besoin. Quoi qu'il en soit, la foi agit sur la vérité que même si vous n'en avez pas assez, Dieu en a plus qu'assez, et Il a promis de fournir tout ce dont vous avez besoin. Chroniques de Crystal

Au moment où j'écris cette réflexion, je suis tellement bénie d'avoir encore mes deux grands-mères en vie et disponibles pour parler régulièrement de ma vie. Ma grand-mère maternelle, « Grand-mère », aura bientôt quatre-vingt-quatorze ans et elle prévoit de se lancer dans une autre croisière dans quelques semaines. Ma grand-mère paternelle, « Two Mama », m'appelle sans faute si elle a l'impression que j'ai passé trop de temps sans l'appeler. Si elle n'appelle pas , elle m'envoie un e-mail en MAJUSCULES, exprimant clairement sa désapprobation de mon manque de communication. Oui. À presque quatre-vingts ans, ma grand-mère m'envoie des e-mails. Mes deux grands-mères sont vivantes et actives. Mais comme le temps n'attend personne, j'ai conscience que le temps que j'ai avec chacun d'eux est précieux et que chaque coup de fil, chaque visite, chaque baiser sur une joue usée est un cadeau inestimable. Ce qui est drôle à propos de voir vieillir des grands-parents ou des parents, c'est que je vois les personnes de ma vie qui ont toujours été les plus fortes, les plus responsables et les plus ensemble se métamorphosent lentement devant mes yeux. Ils passent d'un état d'indépendance perçue à une saison de dépendance. Récemment, ma charmante Two Mama a eu des problèmes de santé. Après des années de diabète et de multiples interventions chirurgicales pour maintenir une bonne circulation sanguine dans ses extrémités, Two Mama a dû se faire amputer une jambe. Elle était allée à l'hôpital avec tellement de douleur. Et c'est une femme forte, donc si elle a dit qu'elle souffrait, ça devait être vraiment mauvais. Au cours des deux jours suivants, son médecin a déterminé que rien d'autre ne pouvait être fait pour sauver la jambe. Je n'étais pas là. Je ne pouvais pas lui tenir la main. J'ai donc fait la meilleure chose suivante et j'ai appelé plusieurs fois par jour. Lors d'un de ces appels téléphoniques, je pouvais l'entendre crier d'angoisse. La douleur était tout simplement trop forte et j'ai entendu ma grand-mère forte exprimer ce son guttural que seule la véritable agonie connaît. Mon père, qui était dans la chambre avec elle à ce moment-là, a mis le téléphone à son oreille et m'a dit de parler. "Deux maman, je t'aime. Je suis désolé que vous souffriez autant. Nous vous aimons tous et prions pour que tout aille bien bientôt. Ça va être OK. Tu vas bien.

Entre ses vagues de traumatismes lancinants, je l'ai entendue dire : « Dieu est bon, bébé. Je dois Lui faire confiance. Dieu est bon." Où peut-on obtenir ce genre de foi? Où une femme trouve-t-elle la force de bien parler de son Dieu au milieu d'une douleur intense, d'une blessure, d'une détresse, d'un inconfort ou d'une difficulté ? Je me considère toujours comme étant au milieu de ma propre marche de foi et je n'ai pas la forte forteresse de foi que mes grands-mères ont toutes deux atteint face à l'exposition d'une vie à de bons et à de moins bons moments. Cependant, je sais que cela est vrai : le genre de foi que ma grand-mère a montré ce jour-là et dans les jours à venir est le genre de foi qui ne peut être construite que brique par brique et jour après jour, alors qu'une femme marche engagée envers les desseins et les plans de Dieu. pour sa vie. Hébreux 11 : 1 définit la foi comme « étant sûr de ce que nous espérons et certain de ce que nous ne voyons pas ». Le Message le définit ainsi : « Le fondement solide de tout ce qui fait que la vie vaut la peine d'être vécue. C'est notre poignée sur ce que nous ne pouvons pas voir. Pourquoi ma grand-mère avait-elle la capacité de bien parler de Dieu dans une circonstance difficile ? Parce qu'elle l'a choisi. C'est si simple. Pas forcément facile. Mais certainement simple. La foi est une décision. La foi est une décision que vous prenez pour croire le meilleur de votre conjoint lorsque vous ressentez une profonde déception quant à qui il semble être. La foi est une décision que vous prenez pour croire que vous êtes ce que Dieu dit que vous êtes, même lorsque vous luttez régulièrement contre l'insécurité et le doute de vousmême. La foi est une décision que vous prenez pour croire que gérer votre argent à la manière de Dieu est la meilleure façon.

La foi est une décision que vous prenez pour croire que prendre le temps de prier à propos de vos préoccupations est une meilleure utilisation de votre temps que de vous en soucier. La foi est une décision que vous prenez pour croire que la route sombre sur laquelle vous voyagez finira par céder au lever du soleil. La foi est la décision de méditer, de répéter et de répéter ce que Dieu dit de vous et de votre vie, malgré ce que vous voyez. Tout comme ma grand-mère a choisi de croire en la bonté de Dieu alors qu'il n'y avait absolument rien de bon dans sa situation, toute vraie femme de foi doit faire de même. Une femme du royaume fait des choses difficiles, et parfois avoir une foi basée sur la Parole de Dieu est la chose la plus simple mais la plus difficile qu'elle aura jamais à faire. La mère de ma mère, grand-mère, a vu l'objet de sa foi devenir réalité. Elle est mère de huit enfants, qui connaissent tous Jésus comme leur Sauveur personnel. Cela n'est pas arrivé par accident. Ma grand-mère passait une grande partie de son temps à élever ses enfants seule parce que le travail de mon grand-père l'éloignait la plupart du temps. Elle avait pour tâche de prendre soin des enfants non seulement physiquement mais aussi de leur âme . Ma mère et ses frères et sœurs se souviennent encore avec émotion des études bibliques matinales que ma grand-mère dirigeait, où elle s'attendait à ce qu'ils écoutent respectueusement la Parole de Dieu et sa discussion du texte. Elle l'a fait avec des enfants qui avaient du mal à rester assis, des enfants qui riaient parfois ou contractaient un cas de "sottises", et même des adolescents qui pensaient qu'ils auraient peut-être mieux à faire. Ma grand-mère leur a lu la Bible régulièrement pendant des années parce qu'elle avait la foi, la foi que la Parole de Dieu ne reviendrait pas sans effet et qu'elle vivrait pour voir ses enfants aimer et servir le Seigneur. Ce n'était pas facile, mais elle l'a fait. Ces histoires de ma grand-mère avec des enfants sur ses genoux m'encouragent dans la saison où je suis. La maternité est un travail qui peut attendre plus de vingt ans pour le premier chèque de paie. Mais c'est un peu plus facile de traverser les tremblements et

les rires ou les regards vides des jeunes adultes sous mon toit parce que je sais que je ne suis pas le premier à marcher sur cette route. Et vous n'êtes pas non plus la première femme à marcher sur la route que vous parcourez. La foi que nous devons avoir en tant que femmes chrétiennes se développe mieux dans l'incubateur d'une communauté de femmes dont les marches de foi les ont amenées un peu plus loin sur la route que nous ne le sommes actuellement. J'espère que vous avez des femmes dans votre vie qui peuvent vous encourager à continuer d'avancer lorsque les lampadaires sont éteints et que votre lampe de poche est cassée. Même si vous n'avez pas l'impression d'avoir ce genre de fraternité, la Parole de Dieu est pleine d'histoires de femmes qui ont suivi le même chemin. Ces femmes ont découvert qu'il vaut la peine de croire que Dieu est celui qu'il dit être et qu'il fera ce qu'il dit qu'il peut faire. Comme Rahab, croyez que Dieu vous libère d'un style de vie qui ne lui plaît pas. Comme Hannah, croyez que Dieu entend les aspirations gutturales de votre âme. Comme Ruth, croyez que Dieu peut vous porter à travers la dévastation et la perte afin que vous puissiez danser à nouveau. Comme Bethsabée, croyez que la bonté de Dieu peut remplacer les conséquences d'une mauvaise décision. Comme la femme au puits, croyez que Dieu peut satisfaire votre soif la plus profonde. Comme Marie, la femme au parfum coûteux, croyez qu'offrir à Jésus le meilleur de tout ce que vous êtes et de tout ce que vous avez n'est jamais une poursuite sans valeur. Comme Marie, la mère de Jésus, croyez que Dieu peut utiliser des filles ordinaires comme vous et moi pour livrer de grandes choses au reste du monde ou au champ de mission dans nos propres maisons. Oui, j'ai la chance d'avoir mes deux grands-mères avec moi et de voir le fruit de leur foi ainsi que leur pratique continue de la foi en Dieu - qui il est et ce qu'ils savent qu'il peut faire.

Vous êtes bénis parce que ce même Dieu est votre Dieu : « Sachez donc que l'Éternel, votre Dieu, est Dieu ; il est le Dieu fidèle, gardant son alliance d'amour pour mille générations de ceux qui l'aiment et gardent ses commandements » (Deutéronome 7:9). Même quand ça fait mal, Dieu est avec vous. Même quand c'est difficile, Dieu peut vous aider. Même lorsque les choses semblent hors de contrôle, Dieu est pour vous. Il entend chaque cri et voit chaque larme. Il n'est pas absent lorsque vous êtes dans un état d'angoisse ou d'anxiété. Il sait que vous ne voulez pas parcourir votre chemin seul. Il n'est pas en congé, en congé ou MIA. Il sait qu'il vous a demandé de grands sacrifices, des choix difficiles ou de porter une lourde croix. Ayez la foi. Et si tout ce que vous pouvez évoquer est la valeur d'une graine de moutarde, cela suffit.

Agir Même si votre foi est petite, laissez vos actions être grandes. Sortez et louez Dieu malgré l'épreuve à laquelle vous pourriez être confronté. Sortez et tenez-vous debout la Parole de Dieu, même si cela n'a pas de sens pour les gens autour de vous. Plus que cela, faites preuve de foi et offrez de l'aide à d'autres qui pourraient avoir des difficultés similaires à vous. Choisissez d'honorer Dieu en lui donnant quelque chose qui vous est proche et cher. Que vous sacrifiiez votre temps, votre énergie ou un besoin personnel, rien n'est gaspillé lorsque vous vous engagez à le servir. Les femmes du Royaume comprennent que l'un des secrets d'une vie pleine de la puissance de la foi est d'honorer Dieu par ce que vous lui donnez et ce que vous donnez aux autres en son nom. Luc 6:38 est fréquemment cité, mais peu de gens le comprennent vraiment. Nous l'avons examiné brièvement dans le dernier chapitre, mais regardons de plus près maintenant : Donnez, et il vous sera donné. Une bonne mesure, pressée, secouée, débordante, sera mise sur vos genoux. Car avec la mesure que vous utilisez, il vous sera mesuré. (ESV) Ce verset résume le noyau des deux femmes dont nous avons parlé plus tôt dans ce chapitre. Pour obtenir quelque chose en échange de leur foi, Hannah et la veuve devaient

donner quelque chose. Hannah a pris l'engagement envers Dieu qu'elle abandonnerait son fils si Dieu lui en donnait un. La veuve a dû donner tout ce qu'elle avait à manger. D'autres femmes du royaume dans la Bible ont fait des choses similaires. En fait, nous avons regardé Ruth plus tôt dans le livre. Elle a renoncé au potentiel d'une relation avec les hommes dans sa propre culture. Il aurait été beaucoup plus facile pour Ruth de trouver un autre homme dans son propre pays qu'en tant qu'étranger dans un autre pays. Pourtant, elle a dit à Naomi, sa belle-mère, qu'elle allait abandonner cette option et aller avec Naomi à la place. Ruth a dit à Naomi que son peuple serait aussi le peuple de Ruth. Elle a dit que le Dieu de Naomi serait le Dieu de Ruth. Ruth a pris la décision basée sur le royaume de suivre le seul vrai Dieu au-dessus de tout plan personnel ou de commodité qu'elle aurait pu avoir. Ruth avait un besoin : elle était seule ; peut-être même était-elle seule. Mais plutôt que de rester chez elle et d'essayer de se positionner de la meilleure façon possible pour répondre à ce besoin, elle a donné ce dont elle avait besoin à quelqu'un d'autre. En tant que veuve âgée, Naomi avait très peu de chances, voire aucune, de se remarier un jour. Naomi était en fait plus seule que Ruth. En raison de cette réalité, Ruth a choisi de répondre au besoin relationnel de Naomi. Et en le donnant à Naomi, Ruth l'a reçu de Dieu sous la forme d'un nouveau mari, Boaz. Dans 1 Samuel, nous avons vu qu'Anne était restée sans enfant pendant des années parce que Dieu avait fermé son ventre. Pourtant, la situation d'Anne a changé lorsqu'elle a pleuré amèrement devant le Seigneur et lui a juré qu'elle lui donnerait « cela », son enfant, s'il lui donnait « cela », un enfant. Elle a abandonné son fils avant même que Dieu ne lui en ait donné un. Quand Hannah a donné "ça" (son besoin) au service de Dieu, Dieu lui a rendu "ça" parce qu'Il a tellement ouvert son ventre qu'elle a eu cinq autres enfants. La veuve de Sarepta avait besoin de nourriture. Dieu a dit de le donner au prophète. Même s'il n'était pas pratique de donner exactement ce dont elle avait besoin au prophète, la veuve l'a fait avec foi. Elle lui a donné de la nourriture, et en retour, Dieu l'a rendue. Il lui a donné plus qu'assez à manger jusqu'à la fin de la famine, et elle a pu à nouveau cultiver sa propre nourriture.

La foi n'est pas simplement liée à la croyance. Il est lié à une action. La foi est liée à vos pieds. Le pouvoir de la foi vient lorsque vous êtes prêt à donner la chose même dont vous avez besoin à quelqu'un d'autre afin que Dieu puisse vous la rendre. La raison pour laquelle tant de prières restent sans réponse est simplement parce que les gens ne sont pas disposés à donner à Dieu tout ce qu'ils ont. Ils ne sont pas disposés à donner la chose même qu'ils recherchent et dont ils ont besoin. Donnez, et il vous sera donné dans cette vie. Pressé, secoué et débordant. Pour mieux comprendre ce que signifie la dernière phrase, nous devons savoir qu'à l'époque biblique, une femme portait une robe sur laquelle était cousu un pli spécial. Ce pli servait un peu comme un tablier aujourd'hui. Quand une femme allait chercher du grain, elle tendait la partie de sa robe avec le pli, et le grain était versé sur ses genoux, pour ainsi dire. Parce qu'elle voulait que sa robe retienne le plus de grain possible, elle secouait son tablier pour régler le grain dans tous les espaces ouverts. Secouer a créé plus de place pour plus de grain. Ensuite, elle appuyait sur le grain pour l'aplatir un peu plus afin que la robe puisse contenir encore plus de grain jusqu'à ce qu'elle finisse par déborder . [ 28] Ce que Dieu dit, c'est que lorsque vous donnez selon la foi que vous avez en Lui, Il suscitera quelqu'un pour vous le « rendre » à tel point que cela débordera. Vous recevrez en retour en abondance. La puissance de la foi n'est pas seulement que Dieu répondra à votre prière ; la puissance de la foi en action est que Dieu vous rendra « bien plus abondamment que tout ce que nous demandons ou pensons » (Éphésiens 3 :20, ESV). La foi n'est pas un principe à analyser. Vivre comme une femme du royaume de foi est un principe à expérimenter. Linda avait entendu le bulletin météo comme nous tous. Elle pouvait voir les nuages. Pourtant, Linda connaissait la puissance de Dieu. Elle savait que la croisade avait pour but de bénir les milliers de personnes présentes et de glorifier le nom de Dieu. Ce n'était pas sa croisade. C'était aux autres de connaître la bénédiction de Dieu. À cause de cela, Linda a prié avec foi. Je n'oublierai jamais quand le monsieur assis à côté de Linda sur la scène du stade lui a offert son parapluie alors que les nuages d'orage sombres roulaient. Elle s'est retournée et l'a regardé, a souri poliment, puis a levé la main. « Je n'en ai pas besoin, dit-elle. Et elle ne l'a pas fait. En fait, aucun de nous ne l'a fait.

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POURSUITE DE LA FOI D'UNE FEMME DU ROYAUME

Une fois, je luttais contre un rhume et je ne pouvais pas m'en débarrasser. J'ai appelé mon médecin et dit mes symptômes, et il m'a dit que je n'avais pas besoin de venir. va appeler une ordonnance pour moi. Il m'a dit quel médicament il prescrivait et comment le prendre. Maintenant, un certain nombre de choses se sont mises en branle. D'abord, j'ai dû croire que je parlais à la personne que je pensais avoir appelée, parce que je ne pouvais pas le voir. C'était juste une conversation au téléphone. J'ai donc dû écouter sa voix. J'ai écouté et il m'a dit comment résoudre mon problème. J'aurais pu rester au lit et méditer. J'aurais pu le croire mais je suis restée au lit en pensant à quel point c'était bien d'avoir un médecin qui comprenait mon problème et m'apportait une solution. J'aurais pu rester là à penser à quel point c'était génial d'avoir une solution. Mais tout ce temps à traîner et à penser aux paroles du médecin ne m'aurait pas rendu meilleur. Cela m'aurait peut-être donné des frissons chaleureux parce qu'il m'a parlé personnellement, mais j'aurais toujours été aussi malade que lorsque je l'ai appelé pour la première fois. J'ai dû me lever, monter dans ma voiture, me rendre à Walgreens et demander au pharmacien : « Avez-vous une ordonnance avec mon nom dessus ? Bien qu'il existe de nombreux types de médicaments dans la pharmacie, j'avais besoin de quelque chose avec mon nom dessus. Le médecin m'avait dit que c'était là, et j'ai agi sur sa parole. Au-delà de cela, j'aurais pu simplement recevoir le médicament et le regarder. J'aurais pu m'assurer que cela me paraissait acceptable. Mais j'aurais été tout aussi malade. En suivant les instructions du médecin, ma croyance correspondait à mes travaux et j'ai commencé à me sentir beaucoup mieux. Beaucoup d'entre nous ont des rhumes spirituels, pourtant nous venons à Dieu pour entendre ce que le Docteur doit prescrire, seulement pour que rien ne change. C'est parce que beaucoup d'entre nous s'arrêtent là. Nous pensons à quel point il était bon de l'entendre ou de lui parler. Certains d'entre nous se tournent vers la Parole de Dieu et se sentent bien à quel point la prescription semble merveilleuse et toutes les choses qu'elle

est censée faire, mais nous restons tout aussi «malades» parce que nous n'ingérons pas le «médicament» que Dieu donne nous. La poursuite de la foi implique bien plus que la simple recherche de Dieu et de sa Parole. Bien que ceux-ci en fassent définitivement partie, la véritable poursuite implique de répondre de manière à ce que nos actions suivent ses instructions. Ce n'est que lorsque la foi bouclera la boucle que le plein bénéfice se manifestera dans nos vies. La pleine foi est une approche totale et sans limites d'une vie rythmée par des actions de croyance. Je me rends compte que des choses se produisent qui rendent plus difficile de vivre avec des actions qui démontrent la foi. Peut-être n'avez-vous pas été élevé dans un environnement où les gens autour de vous vous ont appris à quoi ressemblait une vie de foi. Peut-être que votre vie a révélé des déceptions au début, ou peut-être avez-vous été blessé d'une manière ou d'une autre et êtes-vous un peu timide pour prendre des risques. Peut-être pensez-vous que vous avez trop à perdre en vous dirigeant dans une direction où vous sentez que Dieu vous conduit. Quoi qu'il en soit, les gens ont différentes raisons pour lesquelles ils reculent devant la confiance et la confiance en Dieu. Les Écritures parlent d'une femme qui a également eu des difficultés, mais elle a pu les surmonter grâce à sa foi. Elle ne permettait à rien de l'empêcher de faire ce qu'elle devait faire. Dans la version King James, le principal problème de cette femme était "une question de sang": Une femme ayant une perte de sang pendant douze ans, qui avait passé toute sa vie sur des médecins, et dont aucune ne pouvait être guérie, vint derrière [Jésus] et toucha le bord de son vêtement : et aussitôt sa perte de sang s'arrêta. Et Jésus dit : Qui m'a touché ? Quand tous refusèrent, Pierre et ceux qui étaient avec lui dirent : Maître, la multitude t'afflue et te presse, et tu dis : Qui m'a touché ? (Luc 8:43-45, KJV) Le saignement, en particulier, est un problème difficile à traiter car la perte de sang signifie la perte de la vie - le zeste, l'énergie et la force - car "la vie de la chair est dans le sang" (Lévitique 17:11, KJV) . Je suis sûr que vous avez entendu l'expression saignement , qui signifie qu'une personne a perdu tellement de sang qu'elle en meurt. Le corps a besoin de sang pour vivre. Le sang est une partie importante de la vie. Chaque fois que vous allez chez le médecin parce que vous ne vous sentez pas bien, il ou elle fait souvent une prise de sang. Un

médecin peut découvrir beaucoup de choses en regardant et en examinant votre sang. Parce que dans votre sang se trouve l'essence même de la vie. Cette femme avait une hémorragie; sa vie la quittait depuis douze très longues années. Pourtant, non seulement sa vie physique déclinait à cause de ce problème – sans aucun doute la rendait faible et faisait souffrir ses organes car ils manquaient d'oxygène nécessaire pour fonctionner correctement – mais ses finances étaient également touchées. Certains d'entre vous qui lisez ces mots en ce moment savent ce que c'est que d'avoir des factures médicales en cours parce qu'un problème de santé continue de ne pas être résolu pendant une période prolongée. Alors que les médecins essaient ceci, cela et l'autre, les factures continuent de taxer et de grever vos finances. Pourtant, non seulement cette femme souffrait d'un problème physique et financier ; elle souffrait également d'un problème spirituel. Nous le savons parce qu'elle était une femme juive vivant sous la loi de l'Ancien Testament : Si une femme [a] une perte de sang plusieurs jours en dehors du moment de sa séparation, ou si elle [s'étend] au-delà du moment de sa séparation ; tous les jours de la sortie de son impureté seront comme les jours de sa séparation : elle sera impure. (Lévitique 15:25, KJV) Être considéré comme « impur » dans la culture israélite avait de multiples ramifications. D'une part, elle ne pouvait pas être touchée. Cela signifiait que son problème physique s'était également transformé en un problème social parce qu'elle était forcée de vivre à l'écart du contact ou de la chaleur de l'humanité. Très probablement, elle ne pouvait pas sortir et participer aux activités du marché, car toute autre femme qui pourrait la toucher accidentellement pourrait également être considérée comme impure. Elle ne pouvait pas non plus assister à des cérémonies religieuses. On lui a probablement aussi prescrit un certain nombre de toniques pour soigner son hémorragie, et ceux-ci peuvent avoir eu des effets secondaires qui leur sont propres. Très probablement, cette femme a vécu une existence solitaire, isolée et douloureuse. Elle avait définitivement des "problèmes". Avant de plonger plus profondément dans son histoire, cependant, je veux faire une pause pour vous demander si vous pouvez vous identifier à cette femme. Peut-être pas à toute l'échelle de son histoire, mais quelque chose vous a-t-il affecté physiquement,

socialement, financièrement ou spirituellement, et quoi que vous essayiez de résoudre le problème, cela ne fonctionne tout simplement pas ? Vous dépensez votre argent en aide médicale, aide psychologique, vitamines, herbes et les derniers remèdes. Indépendamment de tout cela, vous vous retrouvez avec un sac à main vide et le cœur lourd alors que vous portez tranquillement votre fardeau. Si cela vous décrit d'une manière ou d'une autre - endolori, blessé, découragé, découragé, déçu - et qu'il semble que personne ne puisse vous aider - en fait, l'aide que vous obtenez a tendance à aggraver les choses - je veux vous demander de apprendre de cette femme. Après douze ans, il ne fait aucun doute que sa situation apparaissait irrémédiable d'un point de vue humain. En fait, il est même douteux qu'elle se sente comme si quelqu'un s'en souciait encore. Si les choses allaient s'améliorer, quelque chose au-delà d'elle et au-delà de tout le monde et de tout le reste devait arriver. Elle avait besoin d'une touche surnaturelle. La femme fidèle avait besoin d'une guérison surnaturelle. Elle s'est donc dirigée vers une position où elle pouvait obtenir exactement cela. Comme nous l'avons vu plus tôt dans Luc 8, elle s'est frayée un chemin à travers la foule et est venue derrière Jésus pour toucher son manteau. Matthieu 9:20 dit qu'elle a spécifiquement atteint l'ourlet du vêtement de Christ. Pourquoi est-ce important ? Parce que pour descendre assez bas pour toucher l'ourlet, elle devait s'humilier. Elle avait besoin de renoncer à toute forme d'orgueil, d'auto-préservation et de sagesse humaine. Elle a dû s'humilier pour s'ouvrir à l'impact de la Parole de Dieu – le point de vue de Dieu sur son problème. Elle devait s'appuyer non pas sur sa propre compréhension (Proverbes 3:5) mais se pencher pour gagner la compréhension de Dieu. Elle a dû arrêter de regarder sa situation à travers sa propre perspective et commencer à chercher la solution de Dieu. Elle croyait que si elle pouvait simplement saisir cet ourlet, attaché à Jésus-Christ, le Fils de Dieu et la Parole de Dieu, elle serait guérie. Nous savons qu'elle était une femme d'une grande foi : « Elle se dit : 'Si seulement je touche son manteau, je serai guérie' » (Matthieu 9:21). Une femme du royaume est une femme qui sait et croit que sa solution ne se trouve pas dans l'argent, le raisonnement humain ou d'autres personnes. Sa solution consiste à s'humilier devant Jésus-Christ et à s'abandonner à la Parole de Dieu. Souvent, Dieu vous laissera essayer tout ce dont vous pensez avoir besoin pour essayer de résoudre vos

propres problèmes. Il vous laissera dépenser tout votre argent, perdre tout votre temps et simplement vous épuiser et vous fatiguer. Il permet cela parce que souvent ce n'est que lorsque quelqu'un est arrivé à la fin d'elle-même et de ses propres options qu'elle se tourne vers la seule véritable option pour une guérison durable : Dieu. La chose importante à noter dans l'histoire de cette femme du royaume est qu'elle a compris le pouvoir de relier Jésus-Christ à la Parole de Dieu. Voyez, si vous avez la Parole écrite mais pas de Parole vivante, vous avez la vérité sans vie. Si vous avez la Parole vivante à l'exclusion de la Parole écrite, vous avez la vie sans la pleine révélation de la vérité. Mais quand vous avez la Parole vivante tout en saisissant la Parole écrite, vous avez la vie et la vérité. En poursuivant cette combinaison dans la foi, la femme fut immédiatement guérie. Chroniques de Crystal Pine Cove, à Tyler, au Texas, est un camp chrétien auquel notre famille participe chaque année depuis aussi longtemps que je me souvienne. Mon père est souvent un conférencier vedette à Pine Cove, alors quand il l'est, le reste d'entre nous l'accompagne pour de belles vacances en famille. Il y a quelques années, cependant, nos vacances ont pris une tournure effrayante. Un après-midi, les enfants avaient terminé leurs activités, et il était temps pour eux de s'installer pour une sieste. Notre semaine ensemble touchait à sa fin et les femmes de notre famille ont décidé de faire un tour en ville pour faire du shopping pendant que nos petits dormaient. Nous les avons laissés dans la cabane avec leur grand-père, qu'ils appellent affectueusement "Poppy". Je me souviens que nous sommes partis vers 14h30. Alors que je quittais l'allée, je me souviens avoir vu mon fils aîné, Jesse, me regarder par la fenêtre dans la pièce où il était censé être allongé. Vers 16 heures, j'ai reçu un appel de mon père disant que la porte d'entrée de la cabane était ouverte et que Jesse, trois ans, n'était pas dans la maison. Mon père avait vérifié partout et n'avait trouvé mon fils nulle part. À ce moment-là, mon rythme cardiaque s'est accéléré et mes poumons se sont resserrés. Je pouvais à peine respirer. Si vous avez déjà pensé une seconde que votre enfant était perdu, avait disparu ou pourrait être en danger, alors vous savez exactement de quoi je parle. J'ai prié les seuls mots que je pouvais rassembler à ce moment : « Seigneur Jésus. . . aidez-moi s'il vous plaît.

Je me suis dit que je devais garder mon calme, faire confiance à Dieu et faire tout ce dont j'avais besoin pour retrouver mon fils. Nous avons rassemblé les filles de nos différents emplacements dans le centre commercial et nous sommes immédiatement retournées au camp pour aider à la recherche effrénée de mon petit garçon. Nous étions à vingt minutes du camp. Ces vingt minutes ont été incroyablement lentes. Je voulais que le téléphone sonne, et je voulais que mon père soit à l'autre bout du fil pour me dire qu'il avait trouvé Jesse dans une autre pièce ou dehors en train de jouer dans la poussière. Au lieu de cela, j'ai reçu un appel de lui pour me dire que le personnel du camp avait été rassemblé pour commencer une recherche dans les bois et autour du lac qui se trouve au centre du terrain de camping. Dans ces moments-là, je dois admettre que ma foi ne fonctionnait pas. J'ai essayé. Je voulais croire. Mais un million d'images m'ont traversé l'esprit et les histoires d'autres familles que j'avais vues à la télévision me sont venues à l'esprit. Ces longues minutes ont probablement été les plus intenses auxquelles j'ai jamais été confrontées. Mon cœur se déchirait à l'intérieur. Alors que nous étions encore en route, et avant même le début des recherches, un appel téléphonique est venu du poste de police. Un policier avait trouvé Jesse. Il était en sécurité, heureux et prêt à rentrer à la maison. D'après ce que nous pouvons reconstituer, Jesse a dû sortir en courant de la pièce et de la porte d'entrée pour tenter de nous attraper alors que nous partions pour notre virée shopping. Mon père était dans sa chambre avec sa porte ouverte pour qu'il puisse écouter les enfants, mais avec le remue-ménage de toutes les femmes quittant la cabine, il n'avait rien entendu d'inhabituel lorsque mon fils a également franchi la porte. Quelque temps après que Jesse ait quitté la cabine, la police l'a récupéré chez des personnes qui l'avaient trouvé errant seul. Jesse était sorti de la cabane, du terrain de camping et s'était engagé sur la route principale - une route rurale à deux voies sur laquelle les véhicules parcouraient généralement entre cinquante et soixante milles à l'heure. Il a quitté la cabine en ne portant qu'une couche, pas de chaussettes ni de chemise. Une voiture est passée à côté de lui et il a couru sur la route derrière la voiture. Il se pourrait que la voiture ressemble à notre voiture. Je ne suis pas sûr. Quoi qu'il en soit, Jesse a commencé à poursuivre la

voiture sur la route. Le conducteur de la voiture a vu dans son rétroviseur le petit enfant vêtu d'une couche qui courait pour le rattraper. Il s'arrêta immédiatement. Ce conducteur anonyme est venu le chercher et l'a emmené à la maison la plus proche sur la route. De là, les habitants ont appelé la police et la quête a commencé pour savoir de qui il s'agissait. Avant même que la police n'arrive, un membre du personnel de Pine Cove se dirigeant vers la ville a remarqué l'agitation et s'est arrêté pour savoir ce qui se passait. Le membre du personnel savait que l'orateur de Pine Cove était mon père et qu'il avait amené toute sa famille avec lui. Le membre du personnel a suggéré que mon fils pourrait appartenir à la famille Evans. Quand la police est arrivée, ils ont ramené Jesse au camp et nous ont retrouvés. Au moment où j'arrivai sur le terrain, Jesse était habillé, jouait avec un animal en peluche que le policier lui avait donné et profitait de toute l'attention. Je courus vers Jesse et le pris dans mes bras. J'espérais ne pas lui avoir fait mal parce que je le serrais si fort. Les premiers mots qui sont sortis de la bouche de mon bébé ont été : "Maman, je t'ai trouvé !" La police nous a dit que Jesse avait été heureux. Cependant, les policiers ont également dit qu'ils pouvaient dire qu'il avait pleuré à un moment donné, car des larmes séchées coulaient sur son visage. Mais depuis le moment où il avait poursuivi la voiture sur la route et que la famille était venue le chercher, il avait souri et ri. Plus tard dans la soirée, j'ai demandé à Jesse pourquoi il avait quitté la maison. Il a dit sans hésiter : « Je te cherchais, maman. Mon jeune fils me cherchait. Il m'avait poursuivi. Il m'avait vu partir dans une autre direction dans une foule de tantes et de parents, et il a dû tout faire pour me retrouver. Cela l'a finalement conduit sur une route où ses jambes de trois ans ont poursuivi une voiture. Si Jesse s'était rendu compte qu'il ne pouvait pas me trouver et qu'il était seul quelque part, il aurait pu rester seul et pleurer. Il aurait pu simplement s'asseoir et abandonner. Pourtant, parce qu'il a continué à poursuivre - il a continué à chercher tout ce qui ressemblait à ce qu'il cherchait - il a poursuivi une voiture, le conducteur s'est arrêté et Jesse a fini par me "trouver". Je suis convaincu que Jésus-Christ était là avec le petit Jesse, l'encourageant à continuer à chercher, à poursuivre. Même s'il s'était égaré dans un scénario effrayant et dangereux,

parce qu'il n'avait pas arrêté de poursuivre ce qu'il croyait trouver, il a trouvé ce qu'il cherchait. "Maman, je t'ai trouvé !" Ces mots me font encore monter les larmes aux yeux et me bouchent la gorge de gratitude pour un enfant qui n'arrêtait pas de chercher - et pour un Dieu qui est resté là avec lui tout le long du chemin. Je ne sais pas ce que vous cherchez. Je ne connais pas l'objet de vos désirs les plus profonds. Vous savez peut-être exactement ce que vous voulez, ou vous êtes peut-être simplement aux prises avec un trou que vous ne savez pas comment combler. Quoi qu'il en soit, il y a une chose dont je suis certain. Poursuivre Dieu en vaut la peine. Soyez déterminé à ne rien connaître « si ce n'est Jésus-Christ et le crucifié » (1 Corinthiens 2 :2). Interrogé sur la chose la plus importante qu'une personne doit faire, Jésus a répondu : « Aime le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de tout ton esprit et de toute ta force » (Marc 12 :30). Poursuivre Dieu, vouloir plus de lui par-dessus tout, c'est là que commence le voyage de la foi. Lorsque nous montrons par nos actions que nous croyons qu'il est bon, et que nous illustrons par notre activité que nous croyons que Dieu peut nous donner plus que nous ne pourrions jamais acquérir par nous-mêmes sans lui, c'est le début du voyage de la foi.

Qui m'a touché ? Tout ce que le petit Jesse savait quand il a vu sa mère sortir de l'allée, c'est qu'il voulait la retrouver. Dans son petit esprit d'enfant de trois ans, il a décidé de la poursuivre de la seule manière qu'il connaissait : sur ses petits pieds d'enfant de trois ans. Bien que la situation en temps réel ait probablement été le moment le plus effrayant de ma vie, la pureté de l'illustration de la poursuite passionnée de celui que vous aimez - dans le cas de Jesse, sa mère, Chrystal - est un si bon rappel pour chacun de nous de la façon dont nous ne devons rien désirer de plus que d'être en présence de Christ. Comment nous devons volontairement quitter la sécurité de notre zone de confort et sortir avec foi pour poursuivre le chemin qui nous mènera le plus près de Jésus.

Ce n'était pas un petit pas pour la femme qui souffrait d'hémorragie de se déplacer dans une foule qui normalement la rejetterait et la mépriserait comme une paria intouchable. Elle a courageusement poursuivi le Christ même si cela l'a sortie du confort de l'obscurité. Et parce qu'elle l'a fait, elle L'a trouvé, avec son miracle. L'un des éléments les plus intrigants de l'histoire de cette femme est la façon dont Jésus a pu dire, en dehors de tous les autres, qui le touchait lorsque cette femme en particulier touchait ses vêtements. Il pouvait sentir que Son pouvoir était utilisé pour la guérir : "Qui m'a touché ?" demanda Jésus. Quand ils ont tous nié, Pierre a dit: "Maître, le peuple se presse et se presse contre toi." Mais Jésus dit : « Quelqu'un m'a touché ; Je sais que le pouvoir m'a quitté. (Luc 8:4546) Gardez à l'esprit qu'il y a une différence fondamentale entre la femme touchant Jésus et tous ceux qui se pressaient contre lui et le touchaient d'une manière ou d'une autre. Je tiens à souligner à nouveau cette différence parce que c'est un principe spirituel qui, lorsqu'il est appliqué, ouvrira la porte de la puissance céleste dans votre vie en tant que femme du royaume : La femme qui a touché l'ourlet du vêtement de Christ s'est baissée ; elle s'est probablement agenouillée. Elle s'était humiliée pour poursuivre l'objet même de sa foi, la Parole de Dieu. Tous les autres étaient debout. Ils faisaient partie de la foule, se contentant d'approcher Jésus au même niveau et profondément inconscients de leur besoin authentique de Sa Parole. Un grand nombre de personnes dans la foule ont touché ou pressé Jésus mais n'ont reçu aucune manifestation de sa puissance. Vous voyez, vous pouvez faire partie d'une foule qui se rassemble à l'église ou même se rassemble pour faire une étude biblique, mais à moins que vous ne reconnaissiez votre véritable humilité devant le Dieu vivant et votre dépendance totale envers Lui et Sa Parole, vous ne serez que dans le environs. Vous ne ferez partie que du Jesus Fan Club. Vous resterez intact. Rien ne changera en vous car Son pouvoir ne vous sera pas communiqué. Une femme du royaume de foi doit poursuivre à la fois le Christ et l'autorité de l'Écriture avec un cœur d'humilité. Ce n'est que lorsque vous vous agenouillez pour atteindre

l'ourlet, lorsque vous vous humiliez sous Son autorité divine basée sur Sa Parole divine, que vous obtiendrez le pouvoir dont vous avez besoin pour vivre la plénitude de votre destin. Vous pouvez obtenir un contact de Jésus dès maintenant si vous êtes prêt à descendre suffisamment bas, si vous êtes prêt à ignorer les regards des gens et si vous êtes prêt à persévérer dans votre douleur. Si vous vous humiliez pour saisir sa Parole, sa puissance est vôtre. En tant que pasteur d'une assez grande congrégation, je vois trop souvent un certain schéma se produire. Je vois des individus qui aspirent à être guéris, à être libérés et à servir Dieu, mais ils n'abandonneront pas leur contrôle, leur autonomie et leur préservation. Ils ne lâcheront pas prise et tomberont bas. En conséquence, ils restent dans les environs sans l'énergie dont ils ont besoin pour mener une vie victorieuse. La foi associée à l'humilité est le secret du succès de chaque femme du royaume. Comme l'a écrit un théologien, "L'orgueil doit mourir en vous, sinon rien du ciel ne peut vivre en vous." [29] Parce que la femme qui a lutté pendant douze ans avec un problème de santé majeur a choisi le chemin de la plus grande humilité devant Dieu, elle a reçu le plus grand don de pouvoir et de guérison. En fait, s'agenouiller pour toucher les cordons bleus attachés à l'ourlet du vêtement de Jésus n'était pas la fin de sa pratique de l'humilité. Après le transfert du pouvoir de guérison à la femme, Jésus a demandé qui l'avait touchée. Il ne demandait pas parce qu'Il ne savait pas. Il demandait parce qu'il voulait que la femme fasse un autre acte courageux d'humble foi. Il voulait qu'elle devienne publique. Il savait qu'elle avait été guérie. Elle savait qu'elle avait été guérie. En fait, Marc 5:29 dit : "Elle sentit dans son corps qu'elle était libérée de sa souffrance." Il voulait qu'elle partage avec les autres ce qui s'était passé grâce à sa grande humilité et sa foi. Il voulait qu'elle sorte de la zone de confort de la vie isolée qu'elle avait connue pendant si longtemps et qu'elle déclare publiquement ce qu'il avait fait. Jésus savait que cette action ne viendrait pas naturellement à une femme habituée à être négligée et ignorée. Il savait que parler de ce qui s'était passé serait inconfortable pour elle. Mais Il voulait qu'elle le fasse. Même en le faisant une fois, en sa présence, elle apprendrait le courage de le faire encore et encore. Cette femme d'une grande foi et d'une grande

humilité a aussi dû découvrir un grand courage. Et Jésus était là pour l'aider. Quand elle l'a entendu demander spécifiquement pour elle. . . Alors la femme, voyant qu'elle ne pouvait passer inaperçue, vint en tremblant et tomba à ses pieds. En présence de tout le monde, elle raconta pourquoi elle l'avait touché et comment elle avait été instantanément guérie. (Luc 8:47) Elle tremblait. Elle n'avait pas l'habitude d'être remarquée dans de grandes foules. Elle n'avait pas l'habitude de faire partie d'une conversation aux yeux du public. Mais elle s'avança et dit à Jésus qu'elle avait touché ses vêtements. La réponse de Jésus était personnelle. Elle n'était pas du tout une étrangère pour Lui. En fait, il l'appelait le terme attachant dans cette culture de fille . Il a récompensé à la fois sa poursuite et son courage avec plus que la guérison. Il le récompensa par la paix en disant : « Ma fille, ta foi t'a guérie. Allez en paix » (verset 48). D'une manière ou d'une autre, entre être physiquement guérie et avoir le courage d'en témoigner, elle avait établi une relation avec son Sauveur. Elle était passée de « Qui ? » à "Fille". Elle est devenue une récipiendaire de paix au sein de la famille de Dieu. Tout le monde n'obtient pas la paix dans cette vie. Beaucoup de gens ont ce qui serait considéré comme les bénédictions d'une bonne santé, d'argent, de vêtements ou d'une belle maison. Pourtant, Dieu peut vous bénir avec une maison, et vous n'avez peut-être toujours pas de maison. Dieu peut vous bénir avec une guérison physique, mais vous pouvez toujours être dans l'angoisse mentale. Dieu peut vous bénir avec des choses que vos cinq sens physiques peuvent apprécier, mais vous n'avez peut-être toujours pas de relation avec lui. Jésus veut faire plus pour vous. Ça ne le dérange pas de te donner des trucs. Il ne se soucie pas de votre corps fonctionne correctement. Et Il veut que vous vous portiez bien. Mais plus que cela, il veut que vous soyez sa fille. Il veut que vous ayez le courage de le poursuivre publiquement afin d' entrer dans une relation intime avec lui. Une femme du royaume poursuit Christ en privé et en public. C'est alors que vous arrivez à Le voir apparaître d'une manière que vous ne pouvez pas expliquer. C'est alors que vous faites l'expérience d'une proximité que vous n'avez jamais connue. Poursuivre Jésus pendant que vous vous emparez de Sa Parole vous libère du pouvoir. Les choses

avec lesquelles vous luttez depuis des années peuvent être résolues dans un moment où vous poursuivez Christ humblement, publiquement et de manière holistique.

7 LES POSSIBILITÉS DE LA FOI D'UNE FEMME DU ROYAUME L'histoire raconte que l'hiver a été rude dans les Rocheuses. La neige s'empilait de plus en plus profondément. La température est descendue en dessous de zéro et y est restée. Les rivières ont gelé. Les gens souffraient. La Croix-Rouge a utilisé des hélicoptères pour transporter des fournitures. Après une longue et dure journée, alors qu'ils retournaient à leur camp de base, l'équipe de secours en hélicoptère a vu une cabane presque submergée dans la neige. Un mince filet de fumée sortait de la cheminée. Les hommes ont pensé que les gens dans la cabine manquaient probablement de nourriture et de carburant. À cause des arbres, ils ont dû s'installer à environ un mile de la cabane. Ils ont mis leur lourd équipement d'urgence sur le dos, ont marché péniblement dans la neige jusqu'à la taille et ont atteint la cabine épuisés, haletants et en sueur. Ils ont cogné à la porte et une montagnarde maigre et décharnée a finalement répondu. Le chef de file pouvait à peine prononcer les mots : « Madame, nous sommes de la Croix-Rouge. Elle garda le silence un instant, puis elle dit : « Ça a été un long et dur hiver, fiston. Je ne pense tout simplement pas que nous puissions donner quoi que ce soit cette année. Beaucoup de femmes se retrouvent dans des situations comme cette montagnarde. Il semble que vous ayez utilisé chaque once d'énergie, d'approvisionnement, de réserve et de savoir-faire juste pour répondre aux besoins de ceux qui vous entourent, et pourtant quelqu'un vient encore frapper à votre porte. Le problème est qu'il devient difficile de discerner que cette personne n'est pas là pour demander plus mais pour offrir de l'aide. Alors que la Croix-Rouge s'était effectivement présentée pour aider la femme, elle

supposait qu'ils n'étaient que d'autres personnes parmi une longue liste de personnes ayant besoin de quelque chose d'elle. Parfois, il est difficile de distinguer quand Dieu envoie de l'aide sur votre chemin, car cela vient enveloppé d'un linceul de foi. Il faut un dévoilement avant de réaliser ce que Dieu est en train de faire. Beaucoup de femmes dans la Bible ont dû faire preuve de foi lorsqu'elles ont fait face à un manque ou à un besoin avant de voir la réponse de Dieu pour répondre à leurs besoins avec abondance. L'expression faire un acte de foi implique un mouvement rapide et sûr dans une direction où la destination est invisible. En 2011, j'étais en Afrique du Sud avec Lois, et nous avons vu un bel animal appelé l'impala. L'impala a la capacité unique de sauter à plus de dix pieds de haut. Il est également capable de sauter plus de trente pieds. En Afrique, l'impala court et saute librement dans les grands parcs à gibier ou les réserves fauniques. Cependant, l'impala - malgré son don de sauter haut et long - peut facilement être contenu dans une enceinte de zoo avec rien de plus qu'un mur de trois pieds de haut. C'est parce que l'impala ne saute pas lorsqu'il ne peut pas visualiser où il va atterrir. L'impala reste piégé dans des limitations auto-imposées simplement à cause de son incapacité à faire un acte de foi . Pour beaucoup d'entre nous, la foi est un terme amorphe que nous n'arrivons pas à saisir. Parce que nous manquons de foi, nous restons confinés derrière des murs de peur, de doute, d'insécurité et d'auto-préservation. Pourtant, la foi est le sentier même de la liberté. En termes simples, la foi agit comme si Dieu disait la vérité. Agir comme si Dieu disait la vérité, c'est agir selon Ses paroles sans avoir à voir d'abord aucune preuve que ce qu'Il dit est vrai. Je résumerai souvent la foi de cette façon : La foi, c'est agir comme si quelque chose était ainsi, même quand ce n'est pas ainsi, afin que cela puisse être ainsi simplement parce que Dieu l'a dit. La foi n'est pas d'abord et avant tout vos sentiments. Ce n'est pas une émotion. En fait, beaucoup de gens peuvent se sentir pleins de foi mais n'avoir aucune foi du tout. C'est parce que la foi n'est pas fonctionnelle et utile tant qu'elle n'est pas une action. La foi implique toujours vos pieds. C'est pourquoi Paul a dit de marcher par la foi, et non de parler par la foi. Vous savez que vous avez la foi par ce que vous faites, pas simplement par ce que vous dites ou ressentez. Chroniques de Crystal

Ma fille aînée, Kariss, était inscrite dans une coopérative d'enseignement à domicile pendant son adolescence. Elle recevait des devoirs par e-mail de son professeur de fitness et de nutrition. Parce que Kariss était scolarisée à la maison, sa responsabilité était de terminer son devoir avant la semaine suivante, lorsque sa classe se réunissait. Mon travail consistait à trouver des façons d'intégrer la forme physique (EP) et la nutrition (manger sainement) à notre vie quotidienne. La mission d'une semaine particulière était de faire ce qui suit : Courez/marchez un mile et chronométrez-le. Immédiatement après avoir terminé votre mile, comptez votre fréquence cardiaque. Trouvez votre fréquence cardiaque cible et votre plage de fréquence cardiaque cible. Nous sommes donc allés en famille ce soir-là au 24 Hour Fitness et avons commencé à faire nos propres entraînements. Mon mari et ma fille ont couru côte à côte sur leurs tapis roulants respectifs pour faire de cette référence d'un mile. J'étais sur un vélo elliptique qui leur tournait le dos. De temps en temps, je regardais en arrière pour voir comment ils allaient. Remarquant que ma fille n'arrêtait pas d'atteindre son cou pour trouver son pouls, je me suis inquiété pendant une brève seconde que quelque chose n'allait pas. Mais ensuite je me suis souvenu qu'elle essayait de garder un œil sur son pouls pendant qu'elle courait. C'est drôle, on pourrait penser qu'une personne qui court un mile ne se concentrerait que sur le mile. On pourrait penser que l'accent serait mis sur le fait de mettre un pied devant l'autre, de garder une respiration rythmée et d'inspirer profondément. Mais, oh non, cette fille avait sa main sur son cou. Je trouve cela drôle parce que dans la marche chrétienne, nous avons tellement de mesures de la qualité de notre cheminement. Nous voulons nous assurer que nous avons des dévotions tous les matins. Nous essayons de faire nos cultes du dimanche matin à tout prix (même si nous le faisons tard). Nous donnons même la dîme à nos églises locales exactement 10 %. Nous gardons nos doigts sur le « pouls » de notre christianisme. Mais la vraie mesure de notre marche avec Christ est de savoir si nous gardons un pied devant l'autre, marchant avec lui et parlant avec lui, croyant par la foi qu'il nous aidera à terminer la course qu'il nous a demandé de courir. « Sachant ceci, que celui qui a

commencé en vous une bonne œuvre la poursuivra jusqu'au jour de Jésus-Christ » (Philippiens 1 :6). La véritable mesure de notre relation avec Christ et de notre foi en Christ est notre capacité à agir sur la base de ce que nous savons. C'est la capacité de s'y tenir même lorsque nous ne pouvons pas voir notre chemin. La foi apprend à entendre clairement sa voix tout au long du chemin alors que nous grandissons dans l'art de prier sans cesse (1 Thessaloniciens 5:17). D'une certaine manière, la foi n'est pas confinée à un certain moment de la journée, mais est comme l'air en ce sens que nous en avons besoin tout au long de la journée pour nous soutenir. Le voyage d'une femme du royaume est pour la femme qui est prête à apprendre la valeur d'apprendre à connaître le Christ sur le chemin de la foi plutôt que de se concentrer sur le chemin lui-même. La vraie mesure de notre marche avec Christ est la quantité de Lui que nous «inspirons» et recevons profondément dans nos âmes jusqu'à ce que Sa glorieuse puissance de résurrection s'infiltre à travers nos pores - «J'ai été crucifié avec Christ et je ne vis plus, mais Christ vit en moi. La vie que je vis dans le corps, je la vis par la foi au Fils de Dieu, qui m'a aimé et s'est livré pour moi » (Galates 2 :20). Le défi de cette marche de la foi est de s'assurer que notre objectif est au bon endroit. Bien que le « pouls » ou les indicateurs que les chrétiens ont l'habitude de regarder soient réels et fournissent une jauge de ce qui se passe à l'intérieur d'une personne, ils ne sont pas la fin. Nous avons un Dieu et Sauveur qui veut que nous marchions avec lui . Il veut une relation qui transcende les mesures et les repères. Il veut que nous le connaissions . N'est-ce pas quelque chose? J'ai vu de nombreux coureurs prendre une serviette et couvrir le tableau de bord du tapis roulant qui révèle la distance parcourue, le temps restant et les calories brûlées. Pourquoi? Parce qu'ils ne veulent pas se concentrer sur leurs statistiques ; ils veulent profiter de la course. Mon espoir pour ma fille était qu'elle ne se concentrerait pas tant sur la mécanique de la course ou sur les exigences de la course, mais qu'elle courrait simplement la course, sachant que toutes ces autres choses se mettraient en place tant qu'elle mettre un pied devant l'autre.

C'est aussi mon espoir pour vous! Dans la vie, certains chemins nous mènent là où nous voulons aller, et certains chemins nous éloignent de là où nous voulons finir. Certaines routes sont lisses, d'autres rocheuses, d'autres glissantes et d'autres nous bloqueront. J'ai personnellement parcouru des chemins douloureux et des chemins qui m'ont apporté tant de joie que j'avais l'impression d'exploser. De temps en temps, j'ai parcouru un chemin qui n'a duré qu'un bref instant, ou qui m'a carrément épuisé parce qu'il semblait n'avoir aucune fin. Il y a eu des chemins bordés de beauté et certains bordés de sites que j'espère ne plus jamais revoir. J'ai parcouru des sentiers qui m'ont conduit à des impasses, et certains m'ont conduit à des endroits que je n'aurais jamais pu imaginer. Qu'ai-je appris ? La seule façon de vivre est de choisir un chemin et de le suivre. En termes simples : choisissez de marcher sur le chemin que Dieu a placé devant vous et mettez un pied devant l'autre. Parfois, nous ne savons pas ce que nous réservent nos chemins ; en fait, la plupart du temps, nous n'avons aucune idée de ce que nos voyages nous apporteront. Ce sont les voies avec une direction et une fin que vous ne pouvez pas voir. La voie à suivre peut sembler floue, mais vous savez au fond de vous que Dieu vous a demandé de parcourir ce chemin. Dieu nous demande toujours de marcher sur le chemin de la foi. Je peux contempler ce chemin autant que je veux de loin . Ce n'est que lorsque je choisis de marcher sur ce chemin, de profiter de toutes les images et de tous les sons, de vivre le voyage étape par étape, pas à pas, que je vis ma vie dans son intégralité. Ce n'est que lorsque je fais un pas dans la foi que je peux atteindre une destination dont Dieu seul savait qu'elle était là depuis le début, mais je ne pouvais pas me voir. En parcourant ces chemins, je prie : Seigneur, aide-moi non seulement à être un auditeur mais un acteur. Aide-moi à ne pas être un regardeur mais un marcheur.

Empêche-moi de me tenir sur le précipice de ma vie. Tiens ma main et aide-moi à laisser des empreintes sur les chemins où tu me conduis. Seigneur, aide-moi à marcher avec audace sur les chemins tracés devant moi. Aide-moi à vivre la vie que tu m'as donnée pleinement, complètement et abondamment. Laissez-moi expérimenter la puissance fournie par la vie de Jésus-Christ vivant en moi. Seigneur, laisse-moi vivre ma vie d'une telle manière, avec une telle endurance, avec un tel engagement avec une telle vigueur, que lorsque tu me diras de prendre un chemin étranger avec une destination que je ne peux pas prédire, je serai prêt à le faire avec audace - sachant que tu es avec moi tout au long du chemin, que je ne suis pas seul et que tu me mets seulement sur un chemin de l'ignorance parce que Tu veux que je grandisse dans la marche et que je m'emmène vers un endroit plus grand à travers le voyage. Quelle est votre prière ? Quelles sont vos inquiétudes ou hésitations ? Quelles que soient vos angoisses ou vos appréhensions, vos peurs ou vos trépidations, suivez les instructions que le Père vous a données dans Sa Parole sur le chemin qu'Il a pour vous. Marchez ou courez dans la direction qu'Il vous indique. Mettez un pied devant l'autre et suivez le chemin de la foi.

Séphora La Bible est pleine de femmes à qui Dieu a demandé de marcher sur le chemin de la foi, tout comme Chrystal l'a décrit. En fait, alors que je me penchais sur les Écritures à la recherche des bonnes histoires à extraire pour démontrer les femmes de foi, j'ai rencontré tellement de femmes que j'ai dû choisir. Il n'y a pas assez de pages dans ce livre pour inclure chacune d'entre elles, mais je veux que nous examinions quelques histoires plus puissantes. Une femme a agi avec foi alors qu'elle suivait un mari, Moïse, qui rendait Dieu fou. Si vous savez ce que Séphora a dû ressentir, assurez-vous simplement que votre « amen » en ce moment n'est pas si fort que votre mari puisse vous entendre.

On ne sait pas grand-chose sur Séphora. Nous savons qu'elle était d'origine africaine. Elle était la fille d'un homme nommé Jethro, qui occupait la position respectée de prêtre de Madian. Nous savons également que Séphora a épousé Moïse après qu'il ait fui l'Egypte, et que leur mariage interracial avait été la cause de certains conflits dans la famille biologique de Moïse (Nombres 12). Séphora était un prosélyte de la foi. Elle croyait au seul vrai Dieu... Dieu de Moïse. Et elle a démontré sa crainte de Dieu et sa foi en Lui lors d'une moment où Moïse semblait manquer de foi. Moïse avait été chargé de circoncire son fils premier-né comme une démonstration de son engagement envers l'alliance de Dieu. L'alliance était l'unique accord que Dieu avait établi entre lui-même et ses disciples, les Israélites. Il appartenait au père, selon la culture et la tradition, d'élever sa famille dans la foi et de lui apprendre à accomplir les divers actes symboliques et manifestations de la foi. Dieu avait dit à Moïse qu'il avait une grande tâche à lui confier. Moïse devait aller dire à Pharaon que le jugement de Dieu était sur le point de venir : « Alors dis à Pharaon : 'Voici ce que dit l'Éternel : Israël est mon fils premier-né' » (Exode 4:22). Le fils premierné était le fils du privilège et de l'honneur. Dieu clarifiait ce point à Pharaon en ce qu'Il voulait que Ses enfants, les Israélites, soient relâchés. Pourtant, parce que Pharaon a refusé de laisser partir Israël, Dieu a dit : « Mais tu as refusé de le laisser partir ; ainsi je tuerai ton fils premier-né » (Exode 4:23). C'était un prix élevé à payer pour la rébellion de Pharaon contre Dieu. Dieu avait clairement dit à Moïse que c'était le message qu'il devait transmettre. Cependant, le problème de Moïse se posa alors : « Dans un lieu d'hébergement sur le chemin, l'Éternel rencontra Moïse et allait le tuer » (verset 24). C'est le même Moïse pour qui Dieu avait dit plus tôt qu'il avait de grands projets. C'est le même Moïse que Dieu avait choisi pour être Son chef et Son porte-parole. Et pourtant, Dieu cherchait maintenant à faire mourir Moïse. C'est une grande tournure des événements s'il y en a jamais eu un. Nous savons pourquoi ce grand renversement s'est produit à cause de ce que Séphora a fait ensuite. « Séphora prit un couteau en silex, coupa le prépuce de son fils et en toucha les pieds de Moïse » ( verset 25).

Elle a fait ce que Moïse n'avait pas réussi à faire. Elle a trouvé le courage de réaliser ce que Moïse ne pouvait pas. Quand Moïse a manqué comme chef spirituel dans sa maison, Séphora s'est levée dans la foi et s'est tenue dans la brèche. Moïse n'avait pas réussi à faire entrer son fils premierné dans l'alliance avec Dieu. Alors Séphora a pris l'affaire en main parce qu'elle craignait Dieu. Séphora savait que le jugement de Dieu était sur son mari. Elle a donc fait ce que beaucoup de femmes ont fait au fil des âges. Elle s'est interposée entre le jugement de Dieu et la personne qui devait être jugée. L'interposition, c'est quand vous agissez dans l'obéissance dans une tentative de détourner le jugement de Dieu destiné à quelqu'un d'autre. De nombreuses femmes se sont interposées comme un acte de foi au nom de quelqu'un d'autre, peut-être un enfant capricieux ou même un conjoint. Ils ont détourné le jugement de Dieu et ont en fait provoqué la bénédiction à la place. L'acte de foi de Séphora ne s'est pas fait sans frustration. « Mais Séphora prit un couteau en silex, coupa le prépuce de son fils et toucha les pieds de Moïse avec. « Certes, tu es pour moi un époux de sang », dit-elle » ( verset 25). Elle était bouleversée. Il était venu sur ses épaules de s'occuper de quelque chose de la plus haute importance spirituelle, et elle a fait savoir à Moïse ce qu'elle ressentait à ce sujet. Parce que la colère de Dieu était contre lui, Moïse aurait pu inaugurer la destruction de sa famille. La foi de Séphora était tout ce qui se tenait entre cette destruction et un avenir. Grâce à la force de Séphora dans la foi, « l'Éternel le laissa faire » (verset 26). La foi de Séphora a sauvé la vie de Moïse et de sa famille. De nombreuses vies ont été sauvées grâce à l'intervention d'une femme du royaume là où les maris et/ou les pères ont échoué. Je l'ai vu un nombre incalculable de fois. Dans divers scénarios de conseil, l'homme est clairement dans le tort spirituellement, et pourtant Dieu semble bénir le couple sous une forme ou une autre à cause du courage de la foi de la femme. Cela soulève des questions que j'entends souvent dans le conseil : que faites-vous si votre mari n'est pas le leader ? Que se passe-t-il s'il n'assume pas la responsabilité de la direction spirituelle ou de la direction du foyer ? Que signifie être

soumis face à son propre manque de soumission à Dieu ? Comment suivre une voiture garée ? L'homme ne dirige clairement pas spirituellement, mais encore une fois, il ne veut pas non plus que vous dirigez. Quoi alors ? La vie de Séphora donne une réponse. Quand il s'agit d'obéir Dieu—accomplir les commandements de Dieu—vous agissez quand même. Quand il s'agit d'une question de principe, et non de préférence, vous vous soumettez à Dieu. Vous voyez, la soumission ne signifie pas que vous ne faites rien. La soumission signifie que vous vous abandonnez à la volonté révélée de Dieu parce que votre engagement envers Dieu est plus grand que votre engagement envers votre mari. Les hommes pensent souvent que la « direction » est un chèque en blanc pour ordonner à leurs femmes de faire ou de ne pas faire ce qu'elles veulent. Si une femme ne le fait pas, son mari l'appelle « rebelle » ou « insoumise ». Mais la validité de la direction repose sur la soumission de ce chef, l'homme, sous Jésus-Christ. Ce que les hommes feront souvent, c'est ne citer que la moitié du verset, manquant ainsi tout le sens. Pourtant, les Écritures donnent la définition de la direction : Maintenant, je veux que vous réalisiez que le chef de tout homme est Christ, et le chef de la femme, c'est l'homme, et le chef de Christ, c'est Dieu. (1 Corinthiens 11:3) L'ordre est clair : Dieu, Christ, homme, femme. Demander à une femme de se soumettre à un homme qui n'est pas aligné sous Dieu et Christ, c'est demander à cette femme de se soumettre à autre chose que Dieu, ce qu'elle ne devrait jamais faire. Les hommes portent la responsabilité de s'aligner sous Dieu avant de demander à leurs femmes de s'aligner sous eux. Au cours de mes années de rencontre avec des couples en difficulté, j'ai trouvé que c'était un point de discorde principal dans la mesure où une femme luttera souvent entre la soumission à un homme qui ne vit manifestement pas une vie spirituellement mature et les enseignements qui viennent de Dieu sur la façon dont elle doit vivre sa vie. S'il y a un choix à faire sur un principe spirituel spécifique, le choix doit être la soumission à Dieu si l'homme n'est pas aligné avec les principes de Dieu. C'est pourquoi la Bible limite le mot soumission . Il ne s'agit pas d'une soumission exhaustive. Les Écritures disent clairement qu'une femme doit être soumise à son mari « comme au Seigneur » (Éphésiens 5 :22). En d'autres termes, il y a un engagement plus élevé qu'envers votre mari, et cet engagement est envers Dieu. Ainsi, toute personne qui essaie de vous dire que la soumission signifie que vous devez faire tout ce que votre

mari dit, que Dieu soit d'accord ou non, cette personne utilise le terme de manière incorrecte. Malheureusement, c'est l'un des principes les plus mal utilisés et les plus abusés dans les foyers chrétiens aujourd'hui, et souvent l'une des principales causes conduisant à une rupture de la vie familiale. Séphora a honoré Moïse en honorant Dieu. Grâce à sa foi, sa famille a été sauvée. Rahab Une autre femme qui s'est interposée au nom de son foyer est Rahab. A en juger par son seul nom, Rahab ne venait pas d'une famille qui croyait au seul vrai Dieu. Le nom de Rahab commence par le mot Ra . Ra est le nom d'un faux dieu représentant le soleil, ou les pouvoirs créateurs. Rahab venait du groupe de personnes connu sous le nom de Cananéens. Élevée dans un environnement païen, Rahab avait grandi pour choisir un style de vie indigne. Rahab était une prostituée. Certaines personnes auraient pu la traiter de prostituée ou de pute. Certains l'ont peut-être qualifiée de coquine, d'escorte, de prostituée ou de pute. Quelle que soit la façon dont ils l'ont référencée, les titres signifiaient tous exactement la même chose : Rahab gagnait sa vie en répondant aux désirs sexuels des hommes. Comme c'est la clé de l'immobilier, c'était la clé de l'activité de Rahab : l'emplacement était primordial. Elle avait obtenu la place principale du mur de la ville. Les voyageurs de passage ainsi que les compatriotes qui partaient pouvaient facilement s'arrêter une minute ou dix avec Rahab. Nous lisons : « car sa maison était sur la muraille de la ville, et elle habitait sur la muraille » (Josué 2 :15, KJV). Peut-être était-ce précisément parce que les étrangers visitaient si fréquemment la maison de Rahab que les espions que Josué avait envoyés pour explorer Jéricho ont décidé de s'arrêter et de se cacher chez Rahab. Même s'ils ont essayé d'échapper à l'attention, la présence des espions a attiré l'attention des hommes du roi. Le roi envoya alors des émissaires pour les retrouver. Rahab a alors fait face à la décision de sa vie. Risquerait-elle une mort subite pour avoir hébergé des espions – si les émissaires du roi venaient à le découvrir – ou risquerait-elle le désastre potentiel qui menaçait du Dieu des Israélites ? Vous pouvez en dire énormément sur les gens par ce qu'ils font plutôt que par ce qu'ils disent. Les actions de Rahab ont révélé où se trouvait réellement sa foi : c'était dans le seul vrai Dieu. Nous le

savons parce qu'elle a envoyé les émissaires du roi dans une folle chasse aux Israélites tout en aidant les espions à se faufiler vers leur armée qui les attendait. Rahab a soutenu ses actions avec ses paroles lorsqu'elle a révélé pourquoi elle avait fait ce qu'elle avait fait : [Rahab] leur dit [aux espions] : « Je sais que l'Éternel vous a donné ce pays et qu'une grande crainte de vous est tombée sur nous, de sorte que tous les habitants de ce pays fondent de peur à cause de vous. . Nous avons entendu comment l'Éternel a mis à sec pour vous l'eau de la mer Rouge à votre sortie d'Égypte, et ce que vous avez fait à Sihon et à Og, les deux rois des Amoréens à l'est du Jourdain, que vous avez entièrement détruits. Quand nous l'avons appris, nos cœurs se sont effondrés et le courage de tous a failli à cause de vous, car l'Éternel, votre Dieu est Dieu dans les cieux en haut et sur la terre en bas. (Versets 9-11) La foi de Rahab contrôlait ses pieds. Sa foi a dicté ses actions. Sa foi a déterminé ce qu'elle a fait. Elle a caché les espions et leur a ensuite expliqué pourquoi. Mais elle ne s'est pas arrêtée là. Elle a également dit aux espions qu'elle voulait conclure un accord avec eux. Après tout, elle venait de leur sauver la vie, alors sauver la sienne et celle de sa famille devrait valoir la peine d'être réciproque : Maintenant, je vous prie de me jurer par l'Éternel que vous ferez preuve de bonté envers ma famille, car je vous ai fait preuve de bonté. Donnez-moi un signe certain que vous épargnerez la vie de mon père et de ma mère, de mes frères et sœurs, et tous ceux qui leur appartiennent, et que tu nous sauveras de la mort. (Versets 12-13) Rahab a conclu un accord avec le peuple de Dieu. Elle a demandé de la gentillesse et leur a rappelé qu'elle venait de traiter gentiment avec eux. À cause de cela, elle voulait qu'ils traitent gentiment avec elle et sa famille. Elle a utilisé le mot hébreu chesed , qui a depuis été traduit par "gentiment". Chesed ne voulait pas seulement dire être gentil. Chesed signifiait spécifiquement loyauté et fidélité. [30] Apparaissant plus de deux cents fois dans l'Ancien Testament, chesed se réfère spécifiquement à l'attitude envers un accord ou une alliance. C'est le mot utilisé plus fréquemment que tout autre pour définir un lien d'alliance. La plupart du temps, il était utilisé pour décrire la couverture d'alliance de Dieu sur le peuple d'Israël malgré son infidélité. Chesed signifie gentillesse sous stéroïdes. Il fait référence à un amour loyal, que l'autre partie le mérite ou non. Rahab savait qu'elle n'avait rien dans son passé, son histoire ou

sa culture pour appeler les Israélites à avoir pitié d'elle. Elle leur a donc demandé de se souvenir de son acte de foi avec une alliance de bonté chesed . En conséquence, la foi de Rahab a rendu une prostituée sainte. Non seulement les espions ont honoré sa demande et ont assuré la sécurité de tous ceux qui sont restés chez elle, mais Rahab a également décroché une place à la plus haute place d'honneur des Israélites. Elle est entrée dans le Hall of Faith d'Hébreux 11. Sa foi la plaçait dans le même chapitre que le patriarche Abraham. Elle se tient côte à côte avec d'autres hommes et femmes de foi courageuse. Un aspect intéressant de l'histoire de Rahab qui est souvent négligé est la façon dont Rahab et sa famille ont survécu. Après tout, les Écritures nous disent que la maison de Rahab était sur le mur. Pourtant, les Écritures nous disent aussi que les Israélites firent le tour de la ville une fois par jour pendant six jours, et le septième jour, ils en firent sept fois le tour, sonnèrent de leurs trompettes et poussèrent des cris, et la muraille s'effondra (Josué 6). Le point zéro de Jéricho était une zone sinistrée. Sauf pour une place. La maison de Rahab. Alors que le mur s'est effondré tout autour de la famille de Rahab, sa maison est restée intacte. Elle et sa famille étaient en sécurité. Je suis sûr que les gens ne pouvaient pas le comprendre à l'époque, et beaucoup ne pouvaient probablement même pas croire que tout le monde dans sa maison s'en soit sorti en toute sécurité. Mais ils l'ont fait à cause de la couverture de Hessed de l'alliance de Dieu . Il y a une histoire vraie intéressante racontée à propos de Ground Zero au World Trade Center à New York. Après plus d'un mois de recherche et de nettoyage parmi les décombres et la destruction, l'équipe de sauvetage qui avait désespérément parcouru le terrain à la recherche de toute vie ou espoir est tombée sur un poirier Callery solitaire encore en vie. D'une manière ou d'une autre, enterré sous le monticule de poussière, de débris, de béton et de métal tordu, cet arbre a survécu. Au moment où les ouvriers l'ont retiré de l'épave, il était gravement carbonisé et il ne restait plus qu'une branche. Ce poirier n'était apparemment pas prêt à partir quand tout autour de lui est tombé. Le poirier a survécu à ce que personne ne pensait qu'un organisme vivant puisse survivre.

Avance rapide d'un peu plus d'une décennie, et l'arbre du survivant - comme il a été affectueusement et respectueusement nommé avec cinq autres de l'épave - fait maintenant plus de trente pieds de haut, replanté dans les jardins commémoratifs honorant la mémoire de ceux qui ont été tués le 9/11. [31] L'arbre du survivant nous rappelle le pouvoir de l'espoir. Il nous indique également un autre arbre qui se dressait sur une colline il y a plus de deux mille ans en forme de croix . Cet arbre et la vie qui y est attachée ont survécu d'une manière ou d'une autre à la destruction qui l'entourait alors que les péchés du monde s'effondraient autour de lui, envoyant Celui qui s'y était accroché profondément dans les profondeurs de la terre. Pourtant, trois jours plus tard, Dieu a ressuscité Jésus d'entre les morts, offrant à ceux qui placent leur confiance en lui une espérance vivante et une vie abondante plus puissante que tout ce à quoi ils sont confrontés. Rahab connaissait la puissance de cet espoir. Elle connaissait la force de la foi. Son histoire est aussi celle de la survie. Après tout, sa maison était dans le mur. Il y avait deux façons dont les gens sont morts ce jour-là à Jéricho. Soit ils sont morts à cause de l'effondrement et de l'effondrement du mur sur eux, soit ils sont morts aux mains de l'armée israélite. Les espions ont honoré la demande de Rahab de ne pas lui faire de mal ni à sa famille tant qu'ils restaient dans leur maison sur le mur. Mais les espions n'avaient aucun contrôle sur la façon dont ce mur s'effondrerait ou si une partie de celui-ci resterait intacte. Je serais curieux de savoir ce que Rahab et sa famille pensaient lorsqu'ils ont ressenti les secousses lorsque le mur de Jéricho a commencé à trembler. On leur avait dit de ne pas quitter leur maison, et pourtant leur maison menaçait de les enterrer vivants. Certains disent que la foi de Rahab était de cacher les espions. Pourtant, sa plus grande foi a peut-être été de rester à l'intérieur alors que les murs autour d'elle se sont effondrés. Imaginez la tentation de courir dehors alors que les tremblements, les secousses et l'effondrement ont commencé. Pourtant, Rahab est restée à l'intérieur à cause de sa foi dans les paroles des espions - et finalement à cause de sa foi en Dieu, sachant qu'elle avait été informée que sa sécurité était chez elle.

Tout ce que l'armée faisait et pouvait faire, c'était de contourner le mur. Nulle part l'Écriture ne nous dit que lorsqu'ils sont arrivés à la partie du mur où vivait Rahab, l'armée a marché sur la pointe des pieds. Au lieu de cela, Dieu a effondré le mur, tout en protégeant la partie où Rahab et sa famille sont restées. Vous pouvez avoir l'impression que tout autour de vous s'effondre. Il peut sembler que vous voyez des tremblements dans votre vie et que les murs qui étaient censés vous soutenir et vous protéger s'effondrent. Cependant, si vous êtes là où Dieu dit que vous devez rester, restez-y. Je veux que vous sachiez que vous pouvez faire confiance à Dieu malgré ce qui se passe tout autour de vous. Séphora et Rahab nous donnent toutes deux des exemples de femmes dont les possibilités ont augmenté grâce à leur foi. Le mari désobéissant de Séphora a finalement conduit la nation d'Israël hors de l'esclavage et de la servitude de l'Égypte. Rahab a ensuite épousé un constructeur et architecte très respecté nommé Salmon, qui a fondé la ville de Bethleham. (1 Chroniques 2 :11-51, 54). Aucune de ces femmes ne venait de la lignée d'Israël. Ni l'un ni l'autre, sur la base de leur culture et de leur environnement, n'auraient été reconnus comme ayant un énorme potentiel. Nous ne connaissons pas le passé de Séphora, mais nous savons que Rahab a eu un passé mouvementé. Malgré tout cela, Dieu a honoré la foi des deux femmes, qui ont finalement connu leurs glorieux destins. Je ne sais pas ce qui s'est passé dans votre vie – peut-être avez-vous eu un enfant hors mariage ou épousé un homme qui vous a maltraité ou abusé. Ou peut-être avez-vous fait des choix qui vous ont éloigné de la volonté de Dieu. Quoi qu'il en soit, je sais que si vous répondez par la foi au seul vrai Dieu, si vous l'honorez de vos actions malgré le chaos qui vous entoure, si vous choisissez de suivre le chemin de la foi auquel il vous a appelé, même lorsque vous n'êtes pas sûr du résultat, il vous honorera, vous protégera et vous établira en tant que femme du royaume.

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LA PRIÈRE DE LA FOI D'UNE FEMME DU ROYAUME

On raconte l'histoire d'une merveilleuse dame chrétienne âgée. Elle avait très peu d'argent et vivait dans une maison délabrée, mais elle louait toujours le Seigneur. Son seul problème était avec le vieil homme d'à côté. Il essayait toujours de prouver que Dieu n'existait pas. Un jour, alors que le vieil homme passait devant sa maison, il remarqua la femme par une fenêtre ouverte. Elle était agenouillée en prière, alors il s'est glissé jusqu'à la fenêtre pour l'entendre. Elle priait : « Seigneur, tu m'as toujours donné ce dont j'avais besoin. Et maintenant, tu sais que je n'ai pas d'argent, que je n'ai plus d'épicerie et que je ne recevrai pas un autre chèque avant une semaine. Elle s'arrêta puis continua: "D'une manière ou d'une autre, Seigneur, peux-tu me faire des courses?" L'homme avait entendu tout ce dont il avait besoin. Il s'éloigna de la fenêtre et se précipita vers l'épicerie. Il a acheté du lait, du pain et de la viande. Il est retourné à la maison de la femme portant les courses. Il posa le sac près de sa porte, sonna à la porte et se cacha à côté de la maison. Vous pouvez imaginer comment la femme a réagi en voyant le sac d'épicerie. Elle a jeté ses mains sur sa tête et a commencé à louer le Seigneur. "Merci Jésus!" cria-t- elle . "J'étais sans nourriture et tu as fourni les provisions." À peu près à ce moment-là, le vieil homme a sauté et a dit: "Je t'ai maintenant." Elle était trop occupée à crier "merci" à Jésus pour y prêter attention, alors il a continué. "Je vous ai dit que Dieu n'existait pas", a déclaré le vieil homme. « Ce n'est pas Jésus qui vous a donné ces provisions ; c'était moi." "Oh non," répondit la femme. "Jésus m'a donné ces provisions et les a fait payer par le diable." La prière est un outil puissant entre les mains d'une femme du royaume. Dieu peut même utiliser les injustes pour répondre aux prières des Siens. Dieu agit souvent à travers les gens, même ceux que vous soupçonnez le moins. Il le fait en coopération avec l'humanité. Et Il le fait en réponse à nos prières.

Lorsque Jésus a décidé qui utiliser comme l'une des plus grandes illustrations de la prière, il a choisi une femme. Il a souligné la ténacité et la force de cette seule femme comme un objectif que nous tous, hommes et femmes, devrions viser dans notre relation avec Dieu. Cette femme a compris le pouvoir de la persévérance. Elle a compris que parfois la vie est injuste et que sa voix peut ne pas être entendue, reconnue ou valorisée, mais elle avait des droits légaux qui lui donnaient droit à plus que ce qu'elle recevait. Sur la seule base de ces droits, elle a trouvé le courage de continuer à demander ce qui lui appartenait. Luc a énoncé d'emblée la prémisse de la parabole que Jésus a racontée à propos de cette femme. Il a dit au début de l'histoire : « Alors Jésus dit à ses disciples une parabole pour leur montrer qu'ils devaient toujours prier et ne pas abandonner » (Luc 18 :1). Jésus parlait de cesser de fumer, ou de jeter l'éponge, lorsque vous sentez que vous ne pouvez plus le supporter ou que vos prières n'accomplissent pas ce que vous pensez qu'elles devraient. Jésus a voulu rappeler à chacun de nous le pouvoir trouvé par le bon type de persévérance. La parabole fait référence à ces moments où vous ne savez honnêtement pas combien de temps vous pouvez endurer les circonstances qui vous entourent. Souvent, les gens s'évanouissent lorsqu'ils ne peuvent plus respirer profondément ou suffisamment d'oxygène pour leurs poumons. Depuis mon plus jeune âge, j'ai lutté contre l'asthme. Mon père m'emmenait aux urgences quand j'avais une crise d'asthme. Comme vous le savez peut-être si vous souffrez d'asthme, lorsque vous subissez une crise, vous avez l'impression de ne pas avoir assez d'air. Ce qui est habituellement une action subconsciente de respirer vient maintenant au premier plan de votre esprit. La respiration devient une activité intentionnelle. Il en va de même pour la prière. Quand les choses vont bien dans nos vies, nous disons une prière ici ou là sans trop y penser. Mais lorsque nous rencontrons des luttes ou des difficultés, elles ont une manière d'augmenter l'intentionnalité de notre vie de prière. Pourtant, lorsque nous ne voyons aucune amélioration avec le temps, il est facile de penser que nos prières ne font aucune différence, alors nous nous arrêtons ou abandonnons. Cependant, ce que Jésus a illustré à travers la parabole de la femme devant le juge injuste, c'est que même lorsque les choses ne semblent pas s'améliorer, nous devons maintenir le contact avec Dieu car la prière doit être une orientation, pas une position. La prière tenace est un mode de vie qui produit des résultats. La prière, c'est plus que se mettre à genoux ou serrer les mains tout en fermant les yeux.

La prière est une attitude d'opérer en conjonction avec Dieu. La prière implique l'exercice de notre autorité pour une intervention céleste dans nos affaires terrestres. La veuve et le juge La parabole de Luc 18 commence par nous informer que dans une certaine ville il y avait un juge qui ne craignait ni Dieu ni les hommes. En d'autres termes, il ne se souciait pas de ce que quelqu'un d'autre pensait ou disait de lui parce qu'il était le juge. À l'époque biblique, cela ressemblait beaucoup à l'ancien Ouest américain, lorsqu'un juge de circuit voyageait de ville en ville pour juger des affaires, régler des différends ou rendre des verdicts. Ce juge particulier dans la parabole doit avoir eu de nombreux cas dans son domaine d'autorité. Et avec le temps, il avait acquis la réputation d'être un juge injuste. Les juges comme celui-ci étaient des cibles faciles pour les pots-de-vin ; les riches pourraient toujours le payer pour qu'il règne en leur faveur. La veuve qui avait une affaire devant lui n'avait probablement ni argent ni influence. Elle n'avait aucune chance d' être entendue ou de recevoir une décision juste dans son cas. Mais cela ne l'a pas empêchée d'essayer. De la Genèse à l'Apocalypse, lorsque Dieu veut faire valoir un point, Il choisit souvent le plus bas des plus bas pour le faire. Il mettra souvent en avant les orphelins ou les veuves car ils représentent les plus vulnérables de la société. Une veuve aux temps bibliques avait un certain nombre de choses contre elle. Premièrement, il y avait peu de protection pour les femmes à cette époque. Si une femme n'avait pas de mari pour la défendre, la culture ne la défendrait pas. Deuxièmement, les veuves des temps bibliques étaient normalement pauvres, sans ressources financières importantes, puisque la plupart des emplois appartenaient aux hommes. De même, le fait que cette veuve particulière ait dû plaider sa propre cause signifie qu'elle n'avait pas d'amis ou de parents qui voudraient ou pourraient la défendre. Elle était seule. Elle était seule, avec ce qui devait ressembler au monde entier contre elle. Jésus n'a pas donné les détails exacts de l'affaire qui l'a amenée au tribunal, mais nous savons que quelque chose s'est passé dans lequel elle a été lésée. Il s'était passé quelque chose qui devait être réglé légalement. Nous savons qu'elle demandait une protection

juridique à son adversaire. Elle devait se sentir vulnérable, en danger et effrayée. Elle avait besoin de la loi pour arbitrer entre elle et l'opposition, dont le but était de lui nuire. Alors, quand elle n'a pas obtenu la protection à laquelle elle avait légalement droit de la part du juge injuste, elle a décidé de continuer à demander. Elle n'a pas abandonné. Quelqu'un voulait lui faire du mal, et elle ne possédait pas la capacité, l'argent ou le pouvoir de l'arrêter. Seule la loi pouvait l'arrêter. Avant de creuser plus profondément dans l'histoire, je veux faire une pause pour vous demander si vous avez déjà été dans une situation où les personnes qui étaient censées vous aider ne l'ont pas fait. Soit cela, soit ils se sont rendus indisponibles pour vous lorsque vous en aviez le plus besoin. Vous êtes-vous déjà senti seul et vulnérable et pourtant entièrement convaincu que ce qui vous est arrivé était mal, voire illégal ? Si vous avez déjà ressenti de tels sentiments, alors vous connaissez la situation dans laquelle se trouvait cette femme. Elle ne possédait pas la capacité de se protéger dans sa culture ou son environnement. Elle savait que si le juge n'intervenait pas en son nom, elle n'avait alors aucun autre recours pour obtenir sa propre protection ou la victoire sur son adversaire. Cependant, le juge s'en fichait. Il n'était pas disposé à l'aider et n'a pas été ému par son sort. C'était un juge injuste, et peu lui importait que cette femme ait droit à des droits légaux. Pourtant, ce que Jésus a souligné à travers cette histoire, c'est que même si le juge n'avait pas de cœur pour aider la femme, il est intervenu en son nom simplement pour la débarrasser de son dos : Pendant un certain temps, il a refusé. Mais finalement il se dit : « Même si je ne crains pas Dieu et que je ne me soucie pas des hommes, mais parce que cette veuve continue de m'embêter, je veillerai à ce qu'elle obtienne justice, afin qu'elle ne finisse pas par m'épuiser avec sa venue. !" (Versets 4–5) Essentiellement, le juge ne voulait plus être dérangé. Il ne voulait pas avoir continuellement à entendre parler de son problème. Ce n'était pas qu'il se souciait de sa situation, ou même qu'il se souciait de ce que les autres ou même Dieu pensaient de sa situation ; il était juste fatigué de l'entendre s'en plaindre. Il s'est dit qu'il n'y avait qu'un seul moyen de se débarrasser de cette femme : lui donner ce qu'elle demandait ! Alors il a fait exactement cela. Il lui a donné la protection juridique à laquelle elle avait droit.

On sait à quel point ce juge injuste ressentait la ténacité de ce femme , car le mot grec qui se traduit par « me fatiguer » signifie « donner un œil au beurre noir ». [32] Le problème n'était pas qu'elle allait littéralement frapper le juge ou lui faire un œil au beurre noir. Donner un œil au beurre noir signifiait ruiner sa réputation. Non seulement la femme épuisait le juge injuste, mais il savait aussi que si elle continuait à venir, elle avait le potentiel de ruiner son nom en raison de son refus de remplir son obligation légale. De toute évidence, cette femme se présentait devant un tribunal public et disait au juge qu'il ne faisait pas ce qui était juste. Elle avait poussé l'affaire un peu plus loin que son désir de protection juridique. Elle avait remis en question son nom, et elle l'a fait publiquement. Ainsi, non seulement pour se débarrasser de la femme, mais aussi pour protéger sa propre réputation, le juge a donné à la femme ce qui lui appartenait de droit. Jésus fait un contraste intéressant entre la veuve et le juge injuste et nous devant Dieu : « Dieu ne fera-t-il pas justice à ses élus, qui crient vers lui jour et nuit ? Va-t-il continuer à les éliminer? Je vous le dis, il veillera à ce qu'ils obtiennent justice, et rapidement. Mais quand le Fils de l'homme viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre ? ( versets 7-8). Jésus a clairement indiqué que si un juge injuste qui ne se souciait pas de Dieu, du peuple, de la justice ou de la loi - et pourtant il se souciait suffisamment de son confort et de sa réputation - répondait à l'appel de cette femme, à plus forte raison Dieu - qui est juste, justes et compatissants — faites régner la justice pour ses élus. La veuve était étrangère au juge. Les élus ne sont pas étrangers à Dieu. Les élus sont les élus de Dieu ; ce sont ses enfants. Vous et moi appartenons à JésusChrist et formons Ses élus. Si un juge injuste accorde une protection légale à un étranger afin de protéger sa propre réputation, combien plus Dieu rendra-t-il justice à Ses propres enfants, non seulement à cause de Son propre nom, mais aussi à cause de ceux qui Il aime? Jésus le dit clairement : il ne tardera pas à le faire quand vous le chercherez comme la femme cherchait le juge. Faire valoir vos droits légaux Jésus a utilisé un concept intéressant dans sa parabole qui est facile à manquer. Il l'a utilisé à quelques reprises : le concept de justice, ou de protection juridique. La question à trancher n'était pas de savoir si le juge connaissait la femme, l'appréciait ou même se

sentait désolé pour la femme. La question sur la table était la loi. Elle avait besoin que le juge apporte le pouvoir de la loi à sa situation parce que son adversaire la traitait injustement. Elle avait besoin d'une intervention judiciaire. Voyez, il y a plus qui peut attirer l'attention de Dieu que Sa relation avec vous, Sa compassion envers vous, ou même l'amour de son nom. En tant qu'enfant du roi, vous êtes l'héritier des "droits légaux". Ces « droits » existent à cause de la nouvelle alliance dans laquelle vous êtes entré lorsque vous avez fait confiance à Jésus-Christ pour votre salut. Le problème auquel vous pouvez être confronté ou avec lequel vous luttez aujourd'hui peut être un problème d'alliance. Si c'est le cas, vous êtes libre d'en appeler à Dieu. Même si le juge injuste ne s'est pas soucié de la femme, il a répondu à sa demande et lui a donné ce qui lui revenait légalement parce qu'elle n'arrêtait pas de le confronter à la loi. La réputation des juges était en jeu, car il ne respectait pas la loi et, en fin de compte, il était obligé de respecter la loi. Dieu est un Dieu d'alliance. Il est aussi un Dieu de sa parole. Il a obligé Lui-même à Sa propre Parole. Il a lié Son nom et Sa réputation à ce Il a dit. Il est attaché à Ses propres accords d'alliance. Et parce que Dieu est par nature juste, Il est attaché à Sa propre norme juste et agira de concert avec Sa propre alliance. Cependant, de nombreux croyants ne comprennent pas quels sont leurs « droits » selon l'alliance de Dieu. Si la veuve n'avait pas su à quoi la loi l'autorisait, elle n'aurait rien eu à apporter devant le juge injuste. Pourtant, parce qu'elle connaissait la loi et savait ce qu'il était légalement obligé de lui donner, elle a pu revenir en toute confiance encore et encore et encore pour demander ce qui lui appartenait légalement. Sa connaissance de la loi lui a donné une base sur laquelle se tenir. Vous souvenez-vous lorsque nous avons examiné la guérison de la femme qui s'était penchée pendant dix-huit ans ? Après que Jésus l'ait guérie, les responsables de la synagogue se sont indignés parce que la guérison a eu lieu le jour du sabbat. Ils ont dit à Jésus que le travail ne devait pas être fait le jour du sabbat. La réponse de Jésus était révélatrice. Il fit appel au droit d'alliance de la femme en disant : « Cette femme, une fille d'Abraham, que Satan a tenue liée pendant dix-huit longues années, ne devrait-elle pas être libérée le jour du sabbat de ce qui la liait ? (Luc 13:16).

Vous voyez, la loi du sabbat a été donnée sous Moïse. Cependant, Abraham a précédé Moïse. En tant que fille d'Abraham, cette femme est tombée sous une alliance par laquelle Dieu a promis d'apporter la guérison à son peuple lorsque le problème venait d'une source spirituelle. Nous avions vu plus tôt dans son histoire que la femme n'était pas courbée à cause d' une condition médicale mais à cause de Satan. Puisque c'était Satan qui avait gâché sa vie, alors son droit d'alliance en tant que fille d'Abraham lui donnait droit à la guérison spirituelle et à la libération de l'esclavage. Elle avait une relation juridique qui transcendait la loi mosaïque. Jésus le savait. Cependant, si vous ne connaissez pas votre relation juridique, vous ne pouvez pas faire valoir vos droits légaux. Certains d'entre vous peuvent avoir des problèmes, des situations, des circonstances et des désordres qui durent depuis longtemps, et vous vous demandez pourquoi Dieu n'est pas encore intervenu pour vous. Parce que la veuve connaissait la loi et continuait à faire appel au juge sur la base de la loi, elle a reçu ce qui lui revenait. Si un juge injuste se soumet à la loi même s'il ne la respecte pas, pensez à combien plus un Dieu saint et juste vous accordera ce qui vous appartient légalement en tant que son enfant quand vous le lui demandez. Dieu est lié à Sa Parole. Revendiquer vos « droits » légaux n'est pas une approche de la vie où Dieu est obligé de faire tout ce que vous voulez qu'Il fasse. Cependant, c'est profiter de tout ce que Dieu dit qu'il veut faire pour son peuple en fonction de ce qui tombe dans les limites de sa volonté souveraine. C'est l'approche que Moïse a adoptée lorsqu'il a demandé à Dieu de changer d'avis et de ne pas rendre de jugement sur les Israélites sur la base de ce qu'il avait promis de faire pour son peuple (Nombres 14 :11-21). Dieu n'a pas non plus oublié qui Il est ni quelle est Sa nature. Mais tout en priant conformément à Sa Parole, nous nous rappelons et prions avec le pouvoir de la loi de l'alliance. Ce qu'une femme du royaume fait, c'est plus que simplement prier. Une femme du royaume sait prier légalement. Si vous êtes comme la veuve et que vous n'avez pas d'endroit où vous tourner, vous devez connaître votre position devant Dieu. Lorsque vous connaissez vos « droits », alors vous faites appel à Dieu avec l'autorité d'obtenir son attention ou sa faveur en fonction de votre statut juridique accordé par le sang de

Jésus-Christ et la nouvelle alliance. La meilleure façon de prier est de soutenir la norme de Sa propre Parole. Vous ouvrez votre Bible aux endroits où Dieu a dit ce qu'il fera pour ses enfants, et vous priez : « Dieu, tu ne mens pas et tu es fidèle. C'est ce que tu as dit, et c'est ce que je demande au nom de Jésus. Ce genre de prières, basées sur la Parole de Dieu, sont exaucées. « Je vous le dis, il veillera à ce qu'ils obtiennent justice, et rapidement » (Luc 18 :8). Certains passages de l'Écriture sont de véritables promesses, comme « Jamais je ne te quitterai ; jamais je ne t'abandonnerai » (Hébreux 13:5). Ensuite, il y a des vérités générales qui ne sont pas des promesses à toute épreuve : « Quand les voies d'un homme sont agréables à l'Éternel, il fait vivre en paix avec lui même ses ennemis » (Proverbes 16 :7). Dans les deux cas, priez et demandez à Dieu sa bénédiction selon sa volonté pour vous en Jésus-Christ. En termes de ce qu'il a écrit, Dieu s'est engagé d'abord et avant tout à sa parole, à son alliance. Dieu n'est pas lié à ce que vous pensez. Il n'est pas lié à ce que les autres pensent. Il n'est même pas lié à ce que vous ressentez. Il n'est pas lié à vos parents, votre conjoint, votre patron, votre médecin, vos amis ou quoi que ce soit. Mais Il est lié à Sa Parole. C'est la seule chose à laquelle Il s'engage entièrement. Si vous apprenez à Le prier selon vos droits d'alliance, vous Le verrez ouvrir des portes que vous pensiez fermées, fermer des portes à votre opposition, vaincre vos ennemis, vaincre vos démons et vous amener rapidement vers votre destinée. Vous verrez le roi intervenir au nom des femmes de son royaume qui prient les prières du royaume. Chroniques de Crystal J'avais besoin de cinq cents dollars. Après avoir additionné toutes mes dépenses et calculé les revenus que je pouvais rapporter, j'avais encore besoin de cinq cents dollars. À l'âge de dix-neuf ans, j'étais une toute nouvelle mère célibataire, célibataire, au milieu de ma deuxième année d'université, et j'essayais de comprendre comment faire fonctionner les chiffres pour pouvoir rester à l'école. Je pense que je peux m'identifier complètement à la veuve qui est allée voir le juge. Vulnérable, en danger et effrayé. Oui, ça résume exactement ce que je ressentais.

J'avais fait tout ce que je pouvais faire en termes de ma propre figure. J'avais cherché un autre emploi, réduit mes dépenses et relu les chiffres plus de fois que je ne pouvais compter. Épuisé par mes propres forces, j'ai décidé que ma seule option était de prier pour un miracle. Droits? Avais-je même des droits ? L'alliance de Dieu s'est-elle étendue à moi dans ma situation ? Pourrais-je L'appeler sur la base de Sa Parole et m'attendre à ce qu'Il me réponde ? J'ai pensé que ça ne pouvait pas faire de mal d'essayer, alors c'est ce que j'ai décidé d'essayer de faire. J'ai ouvert ma Bible et j'ai fait ce que tant d'entre nous font quand nous avons besoin d'entendre une parole sérieuse du Seigneur : j'ai laissé tomber le Livre et j'ai espéré que la parole que j'avais besoin d'entendre se trouvait sur cette page. Pas de chance. Mais j'ai commencé à lire. J'ai continué à lire simplement parce que je voulais tellement avoir de ses nouvelles, et j'étais désespérée de persister jusqu'à ce que j'obtienne ce dont j'avais besoin. Finalement, j'ai lu directement le passage couvrant l'histoire de David et Goliath, et j'ai senti que cette histoire était celle sur laquelle je devais fonder ma demande de prière. Même après avoir entendu cette histoire encore et encore quand j'étais enfant, j'ai dû la lire cinq fois ce jour-là. Je cherchais le message dans l'histoire – mon message de Dieu. Honnêtement, plus je le lisais, plus j'étais confus! Quel était mon géant ? Mon géant devait-il vaincre en restant à l'école et avoir foi en la provision de Dieu et en sa force pour finir ? Ou le géant devait-il faire confiance à Dieu, céder au changement de ma vie, rentrer à la maison et repartir à zéro ? C'était probablement au milieu de la nuit quand je me suis finalement levé de la table de la cuisine et je suis allé me coucher. J'avais lu le passage encore et encore, prié encore et encore, journalisé mon cœur chuchote à ce sujet - et toujours pas de réponse claire. Épuisé, je me retirai les mains vides. Ce n'était que cinq cents dollars. De nombreuses années plus tard, je peux repenser à cette soirée de ma vie et être étonné de voir à quel point ce déficit de cinq cents dollars

m'a semblé monstrueux. Si rester à l'université était mon géant, alors ce montant en dollars était mon épée pour le tuer. Et je n'avais pas l'arme en ma possession. Alors que le temps se rapprochait pour moi de finaliser ma décision de retourner à l'école ou de rester dans ma ville natale, j'ai continué à demander à Dieu les cinq cents dollars supplémentaires nécessaires pour conquérir le géant devant moi. Je croyais dans mon esprit que le Dieu qui possédait « le bétail sur mille collines » (Psaume 50:10) pouvait trouver un moyen de vendre quelques-uns de ces bovins en mon nom. J'avais répété à maintes reprises ma conviction que "mon Dieu pourvoira à tous vos besoins selon sa richesse glorieuse en Jésus-Christ" (Philippiens 4:19). Alors comme Gédéon déposant sa toison, j'ai exposé mes désirs devant le Seigneur et j'ai attendu qu'il me réponde définitivement. Il a répondu. Au dernier moment, le courrier est arrivé avec une lettre qui m'était adressée par quelqu'un que je n'avais jamais rencontré. J'ai ouvert la lettre et j'en ai tiré un chèque de cinq cents dollars. Sans blague. Pour de vrai. Exactement cinq cents dollars. Et fidèle à la forme, la bénédiction de Dieu ne s'est pas arrêtée là. Il a continué à me bénir " excédant infiniment au-delà de tout ce que nous demandons ou pensons" (Ephésiens 3:20, KJV). En fait, ce don monétaire initial était le premier cadeau parmi tant d'autres que Dieu m'enverrait à travers une famille précieuse tout au long de mon séjour à l'université jusqu'à ce que j'obtienne mon diplôme. Maintenant, vous supposez probablement qu'avec une réponse à une prière de cette nature, je suis devenu un guerrier de prière éprouvé et vrai. J'ai honte de dire que ce n'est pas le cas. Je vais être honnête et admettre que la prière est toujours l'une des disciplines spirituelles les plus difficiles pour moi. Bien que je crois évidemment au pouvoir de la prière, j'ai toujours tendance à dépenser beaucoup d'énergie à essayer d'exercer mon propre pouvoir dans une situation avant qu'il ne me soit venu à l'esprit d'accéder au pouvoir de Dieu par la prière.

Le monde dans lequel nous vivons nous encourage à être tout, à tout avoir et à tout faire. On nous dit, en tant que femmes modernes, que nous pouvons être la solution et la solution ultime à toute situation à laquelle nous sommes confrontés. Nous sommes poussés à être fiers de notre pouvoir, à tirer le meilleur parti de notre esprit et à saisir toutes les opportunités qui se présentent à nous. Nous sommes un produit de la génération du bricoleur, de la culture "Just Do It" et de la philosophie du "faire les choses". La femme d'aujourd'hui est censée être autonome, autosuffisante et finalement égoïste. Mais plus je vis longtemps, plus Dieu me pousse gracieusement dans sa direction, m'encourageant à mettre mes préoccupations à ses pieds. Plus je vis longtemps, plus j'ai d'occasions de voir clairement mon besoin de la direction et de l'intervention souveraines du Seigneur. Plus je vis longtemps, plus je perçois mes propres faiblesses et imperfections. Plus je vis longtemps, plus j'ai le temps d'apprendre que le contrôle n'est qu'une illusion et que Dieu est la seule source sûre de sécurité, de réconfort et de caution. Plus je vis, plus j'en viens à comprendre que, comme la veuve, tout ce que j'ai, c'est Dieu, et la prière est l'une des façons dont je démontre ma dépendance à son égard. Alors que la prière de crise a sa place, seule une relation superficielle avec le Père a ce genre de prière comme pilier. Je me suis engagé dans ma propre part de prières d'urgence et j'ai été béni de savoir que Dieu répond dans sa souveraineté. Cependant, j'apprends au fil des années que ce sont mes prières respiratoires qui offrent le plus doux retour. Ces prières offertes à mon Sauveur de la même manière que je les partagerais avec un ami sont sans effort et non stressantes, et je suis particulièrement ravi quand Il répond ! Il n'y a rien de mieux que le Père me donne un désir du cœur juste parce qu'Il le peut et parce qu'Il m'entend quand je partage mon âme avec Lui. La prière est une conversation, une attitude, un style de vie. Elle peut prendre différentes formes : verbale ou écrite, silencieuse ou bruyante, à genoux ou debout. C'est le fait de saisir des occasions continues de montrer ma confiance dans la capacité du Sauveur d'entendre, de comprendre et de livrer. La communication verticale intentionnelle est l'acte d'opérer dans la foi que le Dieu auquel je dis croire est présent et pleinement actif dans ma vie. La prière me permet de parler à mon Ami. Cet échange devient plus fluide au fur et à mesure que je le comprends, et je le comprends davantage en apprenant délibérément à le connaître en lisant la lettre qu'il

m'a écrite. C'est dans cet échange - moi qui lui parle avec ma bouche, mon esprit ou mon cœur, et lui qui me parle par sa Parole, son Esprit ou cette petite voix douce - que je peux opérer en toute confiance que ses promesses font s'étendent en effet sur moi et que je peux compter sur Lui. La prière n'est pas seulement pour les urgences ou lorsque nous avons besoin d'une percée. La prière est le miracle quotidien où le Dieu de l'univers choisit de parler avec nous. Et dans ce phénomène presque inconcevable, nous découvrons que nous pouvons « nous approcher du trône de la grâce avec confiance, afin que nous recevions miséricorde et que nous trouvions grâce pour nous aider au moment où nous en avons besoin » (Hébreux 4 : 16). Priez parce que vous le pouvez. Priez parce que vous le devriez. Priez parce que le Dieu auquel vous croyez est ravi, chaque jour, d'avoir une conversation avec vous.

La conversation La vie chrétienne sans prière, c'est comme conduire une voiture avec un réservoir d'essence presque vide. Vous conduisez avec des vapeurs , en espérant arriver à destination avant que votre voiture ne crachote et ne meure. De même, beaucoup d'entre nous essaient de vivre sans prière parce que nous pensons que nous pouvons nous en tirer, c'est-à-dire jusqu'à ce que nous nous retrouvions en panne sur le bord de la route. La réalité est que beaucoup d'entre nous ont du mal avec la prière. Nous lisons l'histoire de la veuve et du juge injuste et voyons comment le Christ déclare clairement que Dieu entendra et répondra à nos prières. Pourtant, nous négligeons encore ce domaine crucial de la vie. Je suppose qu'il est difficile de parler à quelqu'un que vous ne pouvez pas voir et qui ne répond pas d'une voix audible. C'est dur d'avoir la foi. Nous considérons souvent la prière comme l'hymne national chanté avant un match de baseball : elle lance le match, mais elle n'a pas grand-chose à voir avec ce qui se passe sur le terrain. Nous prions quand nous commençons notre journée, ou nous prions ici et là, mais cela n'a pas un grand rôle dans notre vie quotidienne.

Nous ne sommes pas les seuls croyants à lutter avec la prière. Les disciples de Jésus lui ont demandé de leur apprendre à prier parce qu'ils ne savaient pas. Ils ont posé certaines des mêmes questions que nous : Comment pouvons-nous, en tant qu'êtres physiques, communiquer avec le Dieu invisible ? En fait, pourquoi devons-nous le faire du tout? Jésus a répondu à leurs questions dans Matthieu 6-7. Jésus a expliqué comment nous devrions prier ainsi que comment nous ne devrions pas prier. Les précautions qu'il a énumérées sont des choses auxquelles il faut faire attention, car elles ruineront nos vies de prière. En fait, Jésus nous donne la prière du Seigneur comme modèle ou modèle pour une communication respectueuse et efficace avec Dieu. Priez régulièrement La première chose que Jésus veut que vous sachiez, c'est que vous devez prier régulièrement. On s'attend à ce que si vous êtes un disciple de Jésus-Christ - pas simplement un chrétien mais un disciple - la prière fera partie intégrante de votre vie. La prière est définie comme «la communication d'un croyant avec Dieu par la personne de Christ et assistée par l'œuvre du Saint-Esprit». Au cœur de la prière se trouve la communication relationnelle avec Dieu. Il y a une différence entre parler et communiquer. Lorsque vous priez, vous ne parlez pas à vous-même mais à un Dieu saint. Il doit être dans votre esprit, le centre de votre attention et l'objet de votre communication. La prière est rendue possible par le Christ seul ; la seule raison pour laquelle nous pouvons arriver à Dieu est que le sang de Christ nous a ouvert une porte. Jésus a dit : « Je suis le chemin, la vérité et la vie » (Jean 14 :6). Il est le point d'accès. Nous ne pouvons pas entrer dans la présence d'un Dieu saint en tant que pécheurs. L'accès doit être fourni par le Fils. C'est pourquoi nous prions au nom de Jésus. La Bible nous dit dans Hébreux 10 :19-22 que nous y avons accès par le sang de Christ. Sa mort a satisfait les exigences d'un Dieu saint. Hébreux 4:16 dit que nous pouvons nous approcher avec assurance du trône de la grâce et entrer en sa présence. Nous pouvons marcher jusqu'à Son trône. Avec confiance, nous pouvons dire : « Me voici, Seigneur. Jésus-Christ m'a laissé entrer. La prière devrait faire partie intégrante de nos vies car elle est si essentielle pour nous. Vous vous demandez peut-être : « Pourquoi prier ? Hébreux 11 : 6 l’exprime ainsi : «

Sans la foi, il est impossible de plaire à Dieu, car quiconque vient à lui doit croire qu’il existe et qu’il récompense ceux qui le recherchent ardemment. » La prière est une façon d'exprimer la foi, et sans la foi, nous ne pouvons plaire à Dieu. Même si vous êtes faible dans la foi, priez quand même, car invoquer le nom de Dieu est un acte de foi, qui, à son tour, édifiera votre foi. Allez vers Dieu, même si vous ne pouvez pas le voir physiquement et qu'il ne vous répond pas de manière audible. Croyez qu'Il est là parce que la Bible promet qu'Il est là. Cela renforcera votre foi. Priez sincèrement Lorsque nous prions, Jésus dit que nous devons aussi prier sincèrement : Lorsque vous priez, ne soyez pas comme les hypocrites, car ils aiment prier debout dans les synagogues et aux coins des rues pour être vus des hommes. Je vous dis la vérité, ils ont reçu leur récompense dans son intégralité. (Matthieu 6:5) Cela va de pair avec Matthieu 6:1 : Faites attention à ne pas faire vos « actes de justice » devant les hommes, pour être vus par eux . Si vous le faites, vous n'aurez aucune récompense de votre Père céleste. Si vous priez pour les applaudissements des gens, vous perdez les applaudissements du ciel. Si vous priez pour être entendu des gens et non pour communiquer avec Dieu, vous ne communiquez pas avec Dieu. Jésus a précisé dans ces versets que les pharisiens n'étaient pas des modèles de prière ; c'étaient des hypocrites. Hypocrite est un mot très visuel, signifiant littéralement "porter un masque". Tout comme les acteurs qui jouent leur rôle, les pharisiens priaient pour que d'autres voient leur « sainteté ». À l'époque de Jésus, les Juifs priaient trois fois par jour, à 15h00, 18h00 et 21h00. Lorsque l'heure de la prière arrivait, les hypocrites se rendaient dans les endroits les plus fréquentés du quartier - les marchés, les coins des rues, partout où d'autres pouvaient observer leur piété religieuse. Jésus a dit à ses disciples de faire le contraire. Il a dit de ne pas prier comme si nous étions sur scène, en utilisant des mots fantaisistes. L'éloquence dans la prière peut impressionner les hommes, mais elle n'a aucun pouvoir au ciel.

Priez secrètement La troisième précaution que Jésus nous donne concernant la prière est qu'il faut prier en secret. Lorsque vous priez, entrez dans votre chambre, fermez la porte et priez votre Père, qui est invisible. Alors votre Père, qui voit ce qui se fait en secret, vous récompensera. (Matthieu 6:6) Votre vraie foi transparaît lorsque vous êtes seul. Si vous passez plus de temps à essayer d'impressionner les autres qu'à communiquer avec Dieu dans vos prières privées, alors vos priorités spirituelles sont hors de propos. Jésus nous dit de prier en secret, mais il ne veut pas dire que nous ne devrions jamais prier en public. Beaucoup de prières publiques sont dans la Bible. Par exemple, dans 1 Timothée 2 :8, Paul a dit aux membres de l'église d'« élever des mains saintes » dans la prière collective. Jésus a également prié publiquement. Il ne condamnait pas la prière publique, mais Il disait que si un homme prie publiquement, il devrait aussi avoir une vie de prière privée. Il serait faux de présenter une façade à l'église les dimanches et mercredis pour faire croire aux gens que vous voulez être en présence du Seigneur alors que vous n'avez pas communiqué avec Dieu ou ne vous êtes pas approché de Lui de toute la semaine. Ce que vous faites en secret est qui vous êtes vraiment. Lorsque Jésus nous ordonne de prier en secret, il veut dire que nous devons exclure tout ce qui pourrait nous empêcher de passer du temps avec le Seigneur. Il nous dit de fermer physiquement la porte, car nous sommes si facilement distraits. Dieu est esprit, et Il n'utilise pas souvent une voix audible pour communiquer avec Ses disciples, il nous est donc difficile de vraiment parler et écouter avec foi. Nous devons supprimer ces distractions afin que Dieu puisse se connecter avec nous par le Saint-Esprit. Vous pensez peut-être que c'est ennuyeux d'être tout seul dans une pièce sans bruit, juste vous et Dieu. Mais une fois que l'Esprit vous connectera à la solitude de Sa présence, vous comprendrez ce dont David a parlé dans les Psaumes : allongé sur son lit en présence de Dieu et ayant Dieu le remplir et l'entourer. Ce sont des moments puissants seuls avec le Créateur. Priez attentivement

Aussi, quand nous prions, Jésus dit que nous devons prier pensivement. Matthieu 6: 7 dit: "Et quand vous priez, ne continuez pas à babiller comme des païens, car ils pensent qu'ils seront exaucés à cause de leurs nombreuses paroles." Cette précaution est convaincante. Quand j'ai lu ces mots, je me souviens quand j'étais un garçon, ma mère me demandait souvent de prier avant les repas, mais je détestais quand elle me demandait les jours où nous mangions du poulet frit. Je priais les yeux ouverts, à la recherche du morceau de poulet parfait qui satisferait ma faim. Je mettrais mes mains au bord de mon assiette avant de terminer ma prière afin d'être encore plus près d'arracher le meilleur morceau de poulet. Je ne pensais pas à Dieu; Je pensais au poulet. Je devais juste passer à travers la prière et passer avec Dieu pour arriver à ce poulet. N'est-ce pas trop souvent notre attitude ? Nous voulons nous dépêcher et prier afin de pouvoir nous rendre au repas ou à la réunion ou à tout ce qui est à côté de nos horaires. Alors, comment briser le schéma de la répétition sans signification ? Nous devons augmenter notre connaissance du sujet (Dieu) et apporter cette information pour influencer notre vie de prière. Plus nous en savons sur quelqu'un, plus nous devons en parler avec cette personne. Lorsque vous apprenez quelque chose de Dieu à travers les Écritures ou à l'église, permettez-lui d'influencer votre prière. Priez spécifiquement Enfin, examinons Matthieu 7:7. Jésus a dit : « Demandez et l'on vous donnera ; Cherchez et vous trouverez; frappez et la porte vous sera ouverte. Demander exige de l'humilité parce que cela signifie que vous devez aller à lui et lui demander quelque chose. Alors Jésus continua en disant : Pour tout le monde qui demande reçoit; celui qui cherche trouve ; et à celui qui frappe, la porte s'ouvrira. Lequel de vous, si son fils demande du pain, lui donnera une pierre ? Ou s'il demande un poisson, lui donnera-t-il un serpent ? Si donc vous savez donner de bons cadeaux à vos enfants, quoique méchants, combien plus votre Père qui est aux cieux fera-t-il de bons cadeaux à ceux qui le lui demanderont ! (Versets 8–11) Le poisson et le pain, comme Jésus l'a mentionné dans ces versets, étaient le régime quotidien ordinaire de la personne juive. Dieu se soucie du « poisson » et du « pain » de notre vie quotidienne – les événements courants de nos jours, les sentiments de notre cœur et les détails de nos pensées. Il ne veut pas seulement entendre parler de nous

lorsque nous avons d'énormes problèmes. Il veut entendre toutes nos préoccupations et nos louanges, grandes et petites. Si vous ne vous reliez à Dieu que dans les grands problèmes de la vie, vous faites de lui un résolveur de problèmes d'urgence 911, et vous ne vous relierez qu'occasionnellement à lui. Mais si vous communiquez avec lui dans les moments « poisson » et « pain » de votre vie, vous suivrez l'instruction de 1 Thessaloniciens 5 :17 de « prier continuellement ». En fait, lorsque le verset parle de quelqu'un demandant un poisson ou un pain, ce sont deux éléments qui sont des besoins quotidiens légitimes. Le poisson et la miche de pain indiquent des choses que nous devrions nous attendre à ce que Dieu fournisse. Dieu se soucie de vos besoins. Apportez-lui vos demandes ordinaires, mais ayez également confiance qu'il peut faire plus que ce à quoi vous pourriez vous attendre. Il est un Dieu à la fois de l'ordinaire et de l'extraordinaire. Louez-le lorsque vous avez de la nourriture sur la table. Louez-le quand il ouvre le Mer Rouge. Louez-le quand vous avez des vêtements sur le dos. Louez-le quand il fait sortir l'eau de la pierre et la manne d'en haut. Louez-le lorsque vous avez de l'essence dans votre réservoir. Louez-le lorsque le médecin dit que votre maladie est guérie. Louez-le pour cela, mais louez-le aussi parce que rien ne s'est mal passé aujourd'hui. Louez-le car il pourvoit à vos besoins fondamentaux. Louez-le pour le « poisson » et le « pain ». Louez-Le pour l'ordinaire. Et devine quoi! Il sera là pour l'extraordinaire. La prière est un canal de communication multiforme avec Dieu. Lorsque vous le combinez avec les principes de la parabole de la veuve et du juge injuste - aller à Dieu sur la base de sa parole et de vos droits légaux grâce à la nouvelle alliance - cela peut également être un outil puissant utilisé pour vous aider à vivre la plénitude de votre destin en tant que femme du royaume.

PARTIE III

LE FRUIT D'UNE FEMME DU ROYAUME : LES POSSIBILITÉS

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UNE FEMME DU ROYAUME ET SA VIE PERSONNELLE

Chaque fois qu'on me demande quelle est ma citation préférée de tous les temps, je réponds toujours par les mots profonds de Corrie ten Boom, auteur de The Hiding Place et Survivant des camps de concentration de la Seconde Guerre mondiale : "Il n'y a pas de fosse si profonde que [Dieu] ne soit pas encore plus profonde." [33] Corrie a non seulement compris la souffrance humaine intense, mais a également vécu une vie dans laquelle Dieu était prioritaire par-dessus tout. Elle a pu accéder à sa paix au milieu d'une douleur inimaginable. La douleur fait souvent partie du trottoir sur le chemin de la foi et de la maturité spirituelle. Tous ceux qui s'engagent sur cette route ne voyagent pas à la même vitesse ou n'atteignent pas la même destination. Je crois que la réponse est liée à la façon dont chaque femme non seulement embrasse mais coopère également avec la formule de Dieu pour la fécondité même dans les moments de douleur. Sa formule se trouve dans Jean 15 et implique un processus d'élagage, de respect, puis finalement de fructification. Le processus de porter des fruits Jésus et ses disciples étaient assis dans une chambre haute à Béthanie, partageant ensemble leur dernier repas avant la crucifixion. Sur leur chemin vers la ville, leur chemin les conduisit à travers la vallée du Cédron. Kidron était le pays imaginaire d'un viticulteur, avec des vignobles fertiles florissants de tous les côtés. Peut-être que lorsque Jésus remarqua les raisins succulents poussant sur ces vignes prolifiques, il lui vint à l'esprit d'utiliser cette imagerie pour l'un de ses enseignements les plus poignants. Dans Jean 15 :1-11, il dit à ses disciples : Je suis la vraie vigne et mon Père est le jardinier. Il coupe en moi tout sarment qui ne porte pas de fruit, tandis que tout sarment qui porte du fruit, il l'émonde pour qu'il soit encore plus fructueux. Vous êtes déjà pur à cause de la parole que je vous ai dite. Restez en moi, et je resterai en vous. Aucune branche ne peut porter de fruit par ellemême ; il doit rester dans la vigne. Vous ne pouvez pas non plus porter de fruit si vous ne demeurez pas en moi.

je suis la vigne; vous êtes les branches. Si un homme demeure en moi et moi en lui, il portera beaucoup de fruit ; à part moi tu ne peux rien faire. Si quelqu'un ne demeure pas en moi, il est comme un sarment qu'on jette et qui se dessèche ; ces branches sont ramassées, jetées au feu et brûlées. Si vous demeurez en moi et que mes paroles demeurent en vous, demandez ce que vous voudrez et cela vous sera accordé. C'est à la gloire de mon Père que vous portiez beaucoup de fruit, vous montrant comme mes disciples. Comme le Père m'a aimé, je vous ai aimés. Reste maintenant dans mon amour. Si vous obéissez à mes commandements, vous resterez dans mon amour, tout comme j'ai obéi aux commandements de mon Père et je demeure dans son amour. Je vous ai dit cela afin que ma joie soit en vous et que votre joie soit complète. Puisque les disciples étaient juifs, ils auraient probablement repensé à Psaume 80:8, où Israël a été comparé à une vigne transplantée par Dieu de l'Egypte à la Terre Promise. Il n'y avait qu'un seul problème avec cette vigne déplacée : elle produisait des fruits aigres. Au lieu de grandir comme Dieu le voulait, les Juifs se sont laissés emporter par leur propre justice. Puis vint Jésus. "Amis," dit-il, "Je suis la vraie chose. Vous pensez peut-être avoir déjà vu des vignes, mais vous n'avez rien vu de semblable à Moi. Et puis il y a Mon Père; C'est le vigneron. Il prend soin de la vigne. Dans ce vignoble, nous avons été initiés à la vigne et au vigneron. Au verset 2, Jésus tourna son attention vers les sarments de la vigne. C'est là que vous intervenez. Cependant, avant d'explorer ce qu'est une branche, prêtons attention à ce que Jésus voulait dire quand il a dit "toute branche en moi". Pour illustrer mon propos, il me suffit de me référer à l'institution du mariage. Lorsque vous vous mariez, vous entrez dans une relation organique ; vous et votre conjoint devenez une seule chair. Mais, comme beaucoup d'entre nous le savent, le fait que vous ayez dit "oui" n'entraîne pas automatiquement une relation conjugale intime et enrichissante. Des étincelles d'amour ne volent pas dans votre salon simplement parce qu'il y a un anneau doré autour de votre doigt. Il est tout à fait possible (et trop courant) d'être marié et misérable. Le but du mariage est donc bien plus que de réunir deux personnes. Le mariage est une union d'alliance conçue pour renforcer la capacité de chaque partenaire à réaliser

le plan de Dieu dans sa vie. Lorsque Jésus parlait d'être une branche « en moi », il ne faisait pas allusion à ceux qui le connaissent simplement. Il faisait référence à des personnes qui demeurent dans une unité intentionnelle avec Lui, concentrées sur le même objectif de glorifier Dieu et Son royaume. Taille Passer de l'absence de fruits à la production de quelques fruits est une étape importante. Pourtant, ce n'est que le début. Une fois que vous commencez à refléter le caractère de Christ, qui a élu domicile en vous lorsque vous avez été sauvé, alors Dieu passe à la vitesse supérieure. Il commence à tailler vos branches dans l'espoir de produire plus de fruits. La taille, pour nos besoins, consiste à éliminer les distractions indésirables qui ont tendance à priver les branches de la nourriture qu'elles reçoivent de la vigne. Dans le jargon du viticulteur, ces distractions s'appellent des sarments , de petites branches qui poussent là où la vigne et la branche se croisent. Au fur et à mesure qu'ils grandissent, ils commencent à faire exactement ce que leur nom l'indique : ils aspirent la sève vivifiante qui va de la vigne au sarment. Avant longtemps, la branche devient mal nourrie et finit par mourir, tout cela parce que la pousse du meunier a été autorisée à consommer ce qui était initialement destiné à la branche. C'est pourquoi toute vigneronne digne de ce nom coupera ces rejetons dès qu'elle les découvrira. Plus ils sont enlevés tôt, moins ils infligent de dégâts. Toutes les femmes du royaume doivent faire face à des rejets d'une sorte ou d'une autre. Certains d'entre vous ont des amis qui correspondent à cette description. Même si vous commencez par avoir l'intention de les influencer, ils finissent par exercer plus d'influence sur vous. Au lieu de vous rapprocher de Dieu, ils vous attirent, vous privent de la nourriture vivifiante qui résulte de la communion intime avec le Père. Les gadgets sans vie comme les téléviseurs, les iPod et les téléphones intelligents peuvent être transformés en pousses de ventouse si vous leur permettez de siphonner le temps et l'attention que vous consacreriez autrement à Dieu. Lorsque nous laissons nos priorités tomber en désarroi, nous pouvons compter sur un peu d'élagage. Dieu ne restera pas là à regarder quelque chose d'autre sucer la vie d'une branche potentiellement fructueuse. L'une des choses intéressantes à propos des distractions est qu'elles peuvent être de bonnes choses en elles-mêmes. Les

distractions ne sont pas toujours des choses négatives qui nous éloignent de ce qui est bon. Souvent, ce sont de bonnes choses qui nous éloignent de ce qui est mieux. L'histoire biblique de Marthe et Marie souligne clairement ce point. Pendant que Jésus voyageait de ville en ville pour annoncer la bonne nouvelle, il entra dans un certain village où vivaient deux dames, Martha et Mary. Maintenant, même si Jésus était avec ses disciples - et tout le monde sait que si vous invitez treize prédicateurs chez vous, cela signifie que vous allez devoir préparer un repas assez copieux - Marthe s'est chargée de l'accueillir ainsi que son équipe pour le dîner. . Cependant, au milieu de la préparation de cet énorme repas, un problème est survenu entre les deux sœurs. Apparemment, Marie avait commencé à aider dans la cuisine mais s'était retrouvée aux pieds de Jésus, captivée par ce qu'il disait. Nous savons que tout cela s'est produit sur la base de ce que Marthe a dit à Jésus : « Mais Marthe était distraite par tous les préparatifs qui devaient être faits. Elle vint à [Jésus] et lui demanda : 'Seigneur, ne te soucies-tu pas que ma sœur m'ait laissé faire le travail toute seule ? Dis-lui de m'aider ! » (Luc 10:40). La réponse de Jésus à Marthe nous donne l'un des aperçus les plus significatifs de notre relation avec Dieu. Il a dit : « Marthe, Marthe. . . vous êtes inquiet et contrarié par beaucoup de choses, mais une seule chose est nécessaire. Marie a choisi ce qui est meilleur, et cela ne lui sera pas ôté » (versets 41-42). Dans sa déclaration, Jésus a affirmé que Marie avait choisi la meilleure chose. Les choses qui avaient distrait Martha n'étaient pas mauvaises. En fait, c'étaient de bonnes choses qu'elle faisait pour Jésus. Cependant, les choses mêmes que Marthe faisait pour Jésus la distrayaient de Jésus. Marthe n'avait pas désobéi à Dieu dans ses préparations de repas, mais elle s'y était tellement impliquée qu'elle s'est exclue du temps avec Christ. Essentiellement, son calendrier était devenu rempli de cuisine plutôt que d'être avec son Sauveur. Souvent, lorsque des femmes viennent me consulter parce qu'elles ont des difficultés dans leur vie, ce n'est pas à cause d'un péché continu. Ce n'est pas non plus parce que ce sont de mauvaises personnes. La plupart du temps, les problèmes se sont développés

en raison de la surabondance de bonnes choses qu'ils essaient d'accomplir simultanément, ce qui a conduit à un décalage de leurs priorités. Un autre problème qui se pose souvent est le même que ce qui s'est passé avec Martha. Il est facile de blâmer Dieu lorsque les choses deviennent chaotiques, même si ce chaos est le résultat direct d'une trop grande activité et de priorités mal alignées. Marthe a dit : « Seigneur, ne t'en soucie-t-il pas. . . ?" Essentiellement, Martha accusait Dieu de ne pas se soucier de son travail si dur dans la cuisine. Il est important de ne pas blâmer Dieu lorsque vos propres distractions s'accumulent et créent des défis. Le problème de Marthe n'était pas le Seigneur. En fait, le problème de Martha n'était même pas Mary. Le problème de Martha était Martha. Si je pouvais paraphraser la réponse de Jésus, cela aurait pu ressembler à ceci : « Changez de menu, Martha. Si préparer un banquet doit vous éloigner de Moi, alors une casserole fera l'affaire. Non seulement la vie trépidante de Marthe l'a éloignée de Jésus, mais elle a également interrompu son intimité avec sa sœur, Marie. Qui sait de combien d'autres choses ou relations la concentration préoccupée de Martha l'a également empêchée. Dans votre vie personnelle en tant que femme du royaume, il est essentiel de noter que dans les bonnes choses de la vie, vous devez essayer de ne pas perdre les choses importantes. Montrez-moi votre calendrier, et je vous montrerai vos priorités. La façon dont vous planifiez votre temps, ainsi que vos ressources, révèle ce qui est vraiment important. Si vous ne passez pas de temps à cultiver votre relation avec le Sauveur, ce n'est pas parce que vous n'en avez pas le temps. C'est parce que vous ne donnez pas la priorité à la relation. Quelle que soit la première chose dans votre vie, vous trouverez le temps de le faire. Lorsque nos vies sont profondément empêtrées dans des choses qui nous éloignent de Dieu, il utilise souvent cette opportunité ou cette situation pour nous élaguer. Permettez-moi de souligner quelque chose que vous avez probablement déjà remarqué. La taille fait mal. Il est indéniable que lorsque Dieu commencera à supprimer des morceaux de votre vie, le processus sera moins confortable. Plus il y a

de pousses à tondre, plus le processus est douloureux. Dieu est-il sensible à votre douleur ? Bien sûr. Mais Dieu mettra en balance l'inconfort à court terme et le bénéfice à long terme. Je me souviens d'une certaine visite chez le médecin quand mon fils Anthony était encore assez jeune. Anthony avait attrapé un insecte et avait besoin d'une injection pour le remettre sur la voie de la guérison. Le médecin est entré dans la pièce en brandissant une aiguille qui devait paraître aussi grosse qu'un stylo à mon fils. "Tourne-toi et penche-toi", ordonna le médecin. Anthony m'a regardé d'un air pétrifié et pitoyable et m'a dit : « Papa, ne le laisse pas faire ça. Il va me faire du mal ! Papa !!" À ce moment-là, je devais me souvenir du bénéfice à long terme en jeu qui l'emportait sur la peur et la douleur à court terme d'Anthony. Malgré ce que mes émotions me disaient, être un bon père signifiait encourager Anthony pendant qu'il se faisait vacciner. J'ai dû aider à maintenir mon fils pendant que le tir était délivré. Endurer le processus d'élagage, c'est un peu comme faire face à l'aiguille. Et la vie est pleine d'aiguilles. Nous avons deux choix devant nous. Nous pouvons courir hors de la pièce pour éviter les aiguilles, ou nous pouvons courir vers notre papa céleste. Maintenant, notre Père peut nous garder dans la chambre, mais c'est seulement parce qu'Il sait que nous avons besoin de l'aiguille. Femme seule L'histoire de Marthe et Marie est une excellente transition vers un aspect important d'être une femme du royaume qui s'applique à un grand nombre de femmes aujourd'hui. C'est le domaine d'être un seul royaume. Rien dans le passage sur Marthe et Marie ne nous porte à croire que l'une ou l'autre de ces dames était mariée. En règle générale, dans la culture biblique, une femme était souvent présentée en fonction de son statut familial, soit en tant qu'épouse de , soit en tant que mère de . Pourtant, avec ces deux femmes, nous ne les voyons jamais une seule fois liées à un mari ou à des enfants, ce qui rend la réalité de Marie reposant aux pieds du Christ plus pertinente que nous ne l'imaginons. Si Marie avait eu besoin de s'occuper de sa famille et de ses enfants, elle n'aurait peut-être pas eu le luxe de passer autant de temps ininterrompu en présence du Christ. Être un célibataire du royaume a ses avantages

spirituellement. Même Paul l'a noté lorsqu'il a parlé de célibataires (nous y reviendrons bientôt). L'église met souvent l'accent sur le mariage, comme il se doit. Le mariage est une institution divine créée par Dieu pour mener à bien Son mandat de domination sur la terre. Tant de programmes d'église et même d'études bibliques sont destinés aux couples mariés. Cependant, je ne crois pas qu'on accorde suffisamment d'importance à la valeur et à l'importance du célibat. Être célibataire chrétien est une vocation unique et élevée. Les Écritures n'ont pas ignoré le sujet, et dans ce chapitre sur une femme du royaume et sa famille, je veux m'assurer que nous n'ignorons pas non plus le sujet. Au fil des ans, j'ai rencontré de nombreux célibataires qui entrent dans l'une des deux catégories. Soit ils sont frustrés en attendant ce qu'ils croient être leur véritable objectif - une relation conjugale - soit ils sautent trop tôt dans des relations malsaines et vivent donc insatisfaits de ce qu'ils ont. Pourtant, Paul a encouragé les célibataires à réaliser qu'ils peuvent et doivent être à la fois satisfaits et épanouis dans leur objectif supérieur. Paul a écrit franchement : « Mais si vous vous mariez, vous n'avez pas péché ; et si une vierge se marie, elle n'a pas péché. Mais ceux qui se marient rencontreront beaucoup de problèmes dans cette vie, et je veux vous épargner cela » (1 Corinthiens 7 :28). Essentiellement, Paul assimile «problèmes» au mariage dans ce passage. Il a poursuivi en expliquant : Je voudrais que tu sois libre de toute inquiétude. Un homme célibataire est préoccupé par les affaires du Seigneur—comment il peut plaire au Seigneur. Mais un homme marié est préoccupé par les affaires de ce monde - comment il peut plaire à sa femme - et ses intérêts sont partagés. Une femme célibataire ou vierge s'occupe des affaires du Seigneur : son but est d'être dévouée au Seigneur dans son corps et dans son esprit. Mais une femme mariée est préoccupée par les affaires de ce monde, comment elle peut plaire à son mari. Je dis cela pour votre propre bien, non pour vous restreindre, mais pour que vous puissiez vivre d' une manière juste dans une dévotion sans partage à la Seigneur. (Versets 32–35) L'un des points soulevés par Paul est que dans le mariage, vous êtes désormais lié aux attentes et aux besoins des autres. Vous ne pouvez pas aller où vous voulez aller

comme vous l'avez fait autrefois en tant que célibataire. Vous ne pouvez pas faire tout ce que vous voulez faire comme vous le faisiez autrefois en tant que célibataire. Tout ce que vous faites doit d'abord passer par la grille de la façon dont il se croise avec la satisfaction des besoins de votre famille. Paul mettait l'accent sur la liberté du célibat. C'est un domaine dont je pense que beaucoup de célibataires ne profitent pas ou même ne profitent pas pleinement, car ils souhaitent être mariés. Pourtant, si vous êtes célibataire, vous êtes libre. Paul veut que vous sachiez en tant que célibataire que vous avez une opportunité unique de maximiser une perspective céleste sur terre. Lorsque vous permettez au ciel de dicter vos actions et vos pensées en tant que célibataire, vous pouvez devenir l'une des femmes du royaume les plus productives et les plus importantes dont Dieu dispose. Au moment où vous êtes distrait par l'idée que le célibat n'est pas épanouissant - en désirant ou en poursuivant un compagnon plutôt que d'attendre le plan de Dieu pour votre vie (que cela inclue ou non un compagnon ) - vous avez laissé votre célibat se mettre en travers du chemin de Dieu. objectif. En fait, vous avez laissé votre célibat entraver le royaume de Dieu et votre bien-être parce que vous avez choisi de passer votre temps à réfléchir, à vous sentir frustré ou à essayer de créer un moyen de vous marier. Dieu désire que vous soyez satisfait là où vous êtes en tant que célibataire. Vous avez la possibilité que les femmes mariées n'ont pas de maximiser pleinement vos dons, vos compétences, votre temps, vos trésors et vos talents pour la gloire de Dieu. Non seulement cela, mais vous avez aussi plus de temps pour vous asseoir aux pieds de Jésus comme Marie l'a fait et développer une relation intime avec le Sauveur. Quand Dieu a créé Adam, Adam n'avait pas de femme, mais il avait un but. Il était tellement occupé par le but que Dieu lui avait donné que ce n'est même pas Adam qui remarqua qu'il était seul et qu'il avait besoin d'aide. L'Ecriture nous dit que Dieu a remarqué. Dieu a créé Eve et l'a amenée à Adam. Adam n'est pas allé chercher Eve. Sous la nouvelle alliance, il n'y a ni homme ni femme dans l'équation du royaume de Dieu pour faire avancer sa gloire sur terre. En tant que célibataire, vous avez un but et Dieu vous a doté du pouvoir de vivre votre appel en tant que célibataire. Dieu vous amènera une compagne, comme Il l'a fait avec Adam, si telle est Sa volonté. Vous n'êtes pas obligé d'aller en chercher un. Ce que vous pouvez faire pour vivre une vie satisfaisante en tant que célibataire est de vous concentrer sur votre objectif en tant

qu'enfant de Dieu, la fille de son royaume. Et n'oubliez jamais, ou ne vous contentez pas de moins que votre vraie valeur. Un homme faisait un jour ses courses dans un magasin d'antiquités où la propriétaire, une femme, avait une belle table à vendre. Le prix sur la table était de six cents dollars, mais l'homme a pensé qu'il essaierait d'obtenir un marché, alors il lui a proposé quatre cents dollars. Ils ont commencé à avoir une conversation sur la table, et elle l'a informé qu'elle ne prendrait pas moins que le prix demandé. L'homme a continué à demander le prix réduit, alors le propriétaire a commencé à lui dire toutes les qualités uniques de cette table particulière. Leur conversation se poursuivit un certain temps. Puis l'homme lui a demandé si elle accepterait de prendre cinq cents dollars. Elle a dit : « Non, nous avons tellement parlé de cette table, on m'a rappelé sa valeur. Le prix, monsieur, est maintenant de mille dollars. Célibataire du Royaume, vous êtes bien plus précieux que vous ne le pensez. Vous êtes un enfant du Roi ; vous êtes uniquement appelé et placé pour vivre dévoué à Dieu comme l'un de ses principaux agents pour faire avancer ses desseins sur terre. C'est un appel élevé, et Il vous permettra de bien le vivre. N'oubliez jamais votre valeur. Ne vous contentez jamais de moins que ce que vous êtes vraiment. Respecter Il y a plusieurs années, lorsque j'ai prêché pour la première fois un message sur le fait de demeurer à ma congrégation à Dallas, je voulais illustrer à quel point il est vital de « demeurer » en Christ, comme le dit la version King James dans Jean 15. Ainsi, le samedi matin, je J'ai arraché une branche de l'arbre devant chez moi et je l'ai posée sur le porche. Puis, juste avant de partir pour l'église le dimanche matin, j'ai arraché une branche similaire du même arbre et j'ai apporté les deux branches avec moi à la chaire. Alors que je les tenais pour que la congrégation puisse les voir, la différence était claire. Les feuilles de la branche du dimanche matin étaient encore fraîches et vertes, tandis que les feuilles de la branche du samedi étaient déjà sèches et brunes sur les bords. C'est ce qui se passe lorsqu'une branche cesse de "demeurer" ou de "rester" dans l'arbre. Il est coupé de sa source de vie. Sans être connecté à la source de sève dans

le tronc de l'arbre (ou de la vigne), la mort commence, même si cela peut prendre plusieurs heures avant qu'elle ne devienne apparente. Jésus a dit que la clé pour être un disciple fructueux et productif est de demeurer dans Lui, tout comme un sarment « demeure » dans un cep. Tant que nous le ferons, la sève de son Esprit continuera de couler à travers nous, et son caractère éclatera en fleurs sur nos branches qui mûriront en fruits succulents. Le problème avec beaucoup d'entre nous, c'est que nous ne sommes pas doués pour respecter. Nous nous trompons en pensant que nous pouvons survivre en dehors de la vigne. Mais nous ne pouvons pas. Sans persévérance, ce n'est qu'une question de temps avant que nos feuilles ne commencent à se flétrir, à se dessécher et à brunir, et que nous devenions incapables de porter le moindre fruit. Une étude informelle, « Obstacles to Growth Survey », a rapporté que les chrétiens sont trop occupés pour s'y soumettre. L'étude a recueilli des informations auprès d'environ vingt mille chrétiens dans près de 140 pays. Plus de quatre chrétiens sur dix dans le monde disent courir « souvent » ou « toujours » d'une tâche à l'autre. Six sur dix disent qu'il est « souvent » ou « toujours » vrai qu'une vie trépidante les empêche d'approfondir leur marche avec Dieu. [34] Le principal problème ici est de donner la priorité à leur temps pour pouvoir demeurer en Christ. Respecter ne signifie pas simplement entrer ou sortir. Respecter peut être défini comme « flâner » ou « traîner » avec. Cela implique une connexion continue et continue en présence d'un autre. Gardez à l'esprit que demeurer a des avantages : « Si vous demeurez en moi, et que mes paroles demeurent en vous, vous demanderez ce que vous voudrez, et cela vous sera accordé » (Jean 15 :7). Ce verset est souvent cité par certains prédicateurs sans scrupules et non bibliques que vous voyez à la télévision tard le soir. Tout ce que vous avez à faire est d'écrire pour ce tissu de prière spécial ou une fiole d'eau du Jourdain, et hop ! vos prières (peu importe à quel point elles sont égoïstes et autodestructrices) seront exaucées. Mais ces hommes ont tendance à négliger la clé de ce passage. Il ne dit pas simplement de demander. Il nous dit de demeurer, puis de demander : « Si tu demeures en moi et que mes paroles demeurent en toi. . .” Le monde est plein de gens qui demandent mais ne respectent pas . Le Psaume 37 : 4 dit : « Prends plaisir en l’Éternel et il te donnera les désirs de ton cœur . » Voyez-vous la structure de ce verset ? Il a la même construction si/alors que

nous venons de voir : si vous vous réjouissez en l'Éternel, alors il vous accordera les désirs de votre cœur. Si vous demeurez en Lui, alors demandez ce que vous voulez. Lorsque nous nous délectons du Seigneur, son programme devient le nôtre. Ses priorités passent avant les nôtres. Nous prenons nos décisions selon sa norme. Ses désirs deviennent nos désirs. Une femme du royaume qui prend plaisir au Seigneur peut très bien désirer une maison, une voiture ou quelque autre commodité. Mais elle priera : « Seigneur, donne-moi cette maison, cette voiture ou quoi que ce soit pour qu'elle devienne la tienne. Réponds à mes besoins afin que je puisse construire ton royaume. C'est comme si Dieu disait : « Si tu veux Mes bénédictions pour pouvoir construire ton propre royaume, n'attends pas grand-chose. Je ne suis intéressé qu'à répondre aux prières des femmes qui veulent vraiment être fructueuses pour Moi. Porter des fruits "C'est à la gloire de mon Père que vous portiez beaucoup de fruit, vous montrant comme mes disciples" (Jean 15:8). Comme pour toutes les autres facettes de votre vie, vous devez porter du fruit pour glorifier Dieu. Plus vous grandissez de manière fructueuse, mieux vous reflètez la gloire de Dieu et moins vous encombrez votre calendrier avec vos propres agendas à courte vue. De nombreux observatoires du monde utilisent encore des télescopes géants à réflexion. Ils fonctionnent sur un principe simple : un énorme miroir incurvé recueille la lumière d'étoiles faibles et lointaines et la reflète avec une netteté nette sur un petit oculaire. Le pouvoir réfléchissant du miroir permet aux astronomes de voir les merveilles de l'espace. Votre fécondité en tant que femme du royaume vous rend plus représentative de la gloire de Dieu et vous permet de concentrer plus efficacement sa lumière sur un monde sombre et nécessiteux. Nous avons vu à quel point il est vital de demeurer en Christ comme chemin vers la fécondité, mais comment faites-vous réellement cela ? Les versets 9 et 10 contiennent la réponse : « Comme le Père m'a aimé, moi aussi je vous ai aimés. Reste maintenant dans mon amour. Si vous obéissez à mes ordres, vous resterez dans mon amour. Rester, ou demeurer, est une question d'amour, pas une question de devoir. L'amour biblique est une action, pas une émotion. Vous demeurez dans l'amour de Dieu en

gardant ses commandements. Sans obéissance, il ne peut y avoir de persévérance. Sans persévérance, il ne peut y avoir de fruit. Si vous manquez d'obéissance, autant arrêter de prier. Si vous n'obéissez pas, autant vous lever de vos genoux, déplier vos mains, ouvrir vos yeux et aller vous promener. Vous pouvez faire ce que vous voulez, mais vous n'avez pas besoin de prier. Jésus a dit que seuls ceux qui restent en lui peuvent s'attendre à recevoir ce qu'ils demandent. Pourtant, si vous êtes vitalement connecté à Jésus-Christ et engagé à lui obéir malgré vos défauts et vos échecs, alors n'hésitez pas à lui dire ce que vous avez sur le cœur. C'est son bon plaisir de vous accorder tout ce que vous souhaitez. Vous pouvez dire : « D'accord, Tony, je respecte. Je me suis engagé à obéir. Et quand je n'atteins pas cette marque, je confesse mon péché, je me repens et je me remets dans le mode respectueux. J'ai prié pour quelque chose au cours des trois dernières années, et rien ne s'est produit. Comment faites-vous pour vous en sortir entre le moment où vous commencez à respecter et le moment où les réponses apparaissent ? » J'ai de bonnes nouvelles pour toi. Si vous demeurez, Dieu vous a donné quelque chose pour que l'attente en vaille la peine : la joie : « Je vous ai dit cela afin que ma joie soit en vous et que votre joie soit parfaite » (verset 11). Ne soyez pas confus; la joie est différente du bonheur. Le bonheur est une sensation chaleureuse et pétillante que vous ressentez lorsque tout va bien. La vraie joie n'a rien à voir avec la façon dont les choses se passent. La joie est une question d'état d'esprit, peu importe comment les choses se passent. En fait, la joie elle-même est appelée un fruit de l'Esprit. La joie a à voir avec une capacité interne donnée par Dieu pour bien faire face. Il peut produire la paix au milieu de la panique et le calme au milieu de l'agitation. La veille de sa crucifixion, Jésus a prié dans le jardin pour que la coupe s'éloigne de lui. Après tout, il n'y avait pas de bonheur associé à la mort sur la croix. Jésus était prêt à souffrir; Il n'en avait pas envie. Beaucoup d'entre nous prient des prières similaires. Votre "tasse" particulière peut être un conjoint litigieux, un employeur autoritaire, un utérus stérile, un compte bancaire vide ou un problème de santé chronique. Tout comme Dieu n'a pas enlevé la coupe de Jésus, Dieu n'enlève pas beaucoup de nos difficultés. Alors, comment fait-on pour bien se débrouiller ? De la même manière que Jésus l'a fait : « À cause de la joie qui lui était réservée, [il] a enduré la croix » (Hébreux 12 :2). Jésus a décidé de regarder au-delà de la douleur et de voir le but. L'agonie et la honte avaient un but.

Si vous êtes totalement attaché à cette vérité, vous gagnerez en perspicacité pour voir au-delà de votre situation et entrevoir l'œuvre de Dieu en cours. Tant que vous continuez à rechercher la joie de votre situation, le mieux que vous puissiez espérer, ce sont des moments de bonheur fugaces. Certains mariages, par exemple, ne sont pas heureux. Mais ils peuvent être joyeux. Tous les emplois ne sont pas idéaux, mais ils peuvent être joyeux. Tous les enfants ne se lèveront pas et ne vous diront pas béni, mais l' expérience d'élever des enfants peut être joyeuse, à condition que vous continuiez à respecter et à obéir. Permettez-moi de vous donner un autre exemple. Amener un enfant malade chez le médecin peut être énervant. L'enfant ne se sent manifestement pas bien; c'est ce qui a motivé la visite en premier lieu. Si vous êtes également malade, l'expérience peut être doublement stressante, car votre enfant agité et pleurant se tortille sur le siège à côté du vôtre, anticipant ce que le médecin pourrait faire. C'est pourquoi j'ai été particulièrement ravie de voir que notre pédiatre avait aménagé une aire de jeux. Il y avait des blocs, des puzzles, des livres à colorier, des crayons et des voitures miniatures - de nombreuses activités pour garder mes enfants intéressés et occupés jusqu'à ce que le médecin soit prêt à nous voir. Ami, je sais que tu es fatigué d'attendre. Vous avez attendu longtemps que le Seigneur vienne et fraye un chemin hors de votre désert personnel. Pourtant, le médecin n'a peut-être pas encore appelé votre nom. Mais Dieu a mis en place une salle appelée "joie" où vous pouvez passer votre temps à attendre avec un sourire sur votre visage. Fruit du Royaume Dieu ne prend pas cela à la légère lorsque les sarments de sa vigne ne portent pas de fruit. Alors Il soulèvera les branches qui sont tombées à terre, les nourrira et les sortira de la terre. Mais cela ne suffit pas ; Il taille les branches jusqu'à ce qu'elles portent plus de fruits. Pourtant, Il n'est pas satisfait. Il se contentera de rien de moins que beaucoup de fruits. Chroniques de Crystal Je veux être une femme du royaume parce que je désire la meilleure moi possible que Dieu avait à l'esprit lorsqu'il m'a créée. Le problème est que la route vers le meilleur moi possible n'est pas toujours bordée de roses. Il y a eu de nombreux moments de

douleur et de nombreux autres moments de taille. Bien sûr, avec le temps qui passe et l'acquisition de quelques années de plus à mon actif, je peux voir la bénédiction des épreuves et des épreuves. Je peux voir la femme que j'étais et la transition vers la femme que je deviens. Et j'apprends à tout aimer : le passé, le présent et le voyage. Même au moment où j'écris ce livre aux côtés de mon père, ma famille a eu quelques mois difficiles, ce qui a entraîné quelques mois difficiles pour moi . Mon mari, Jessie, a été hospitalisé trois fois en trois mois. Chaque fois, il y avait l'anxiété qui accompagnait une urgence unique et inattendue. Chaque fois, il y avait la pression de suivre mes enfants et de gérer ma maison tout en faisant des allers-retours entre l'hôpital et l'hôpital. Chaque fois, il y avait le stress de penser au fardeau financier qui s'accumulait. Chaque fois que le voyage aux urgences m'a amené face à face avec le choix de faire confiance à Dieu et de me reposer dans sa bonté envers moi et ma famille malgré les circonstances. La dernière visite à l'hôpital s'est produite un week-end lorsque notre église organisait un événement pour femmes – un événement pour femmes que j'étais responsable de diriger. Je suis rentrée à la maison épuisée et prête à me mettre au lit après une réunion à l'église le vendredi soir avant l'événement, seulement pour découvrir que mon mari n'allait pas bien et devait aller à l'hôpital. Nous étions debout toute la nuit aux urgences. J'ai dit aux dames qui servaient avec moi à l'église et qui étaient disponibles pour gérer les choses à ma place d'appeler mon portable si elles avaient des questions. Donc après J'étais resté debout toute la nuit, mon téléphone s'est mis à sonner à six heures du matin. Le lendemain, samedi, fut long. Longtemps parce que nous avons attendu et attendu que les tests, les médecins et les médicaments fassent leur travail. Longtemps parce que j'étais en service virtuel à l'événement des femmes à mon église. Long parce que ces fauteuils d'hôpital ne sont pas confortables. Et le lendemain, je devais diriger la louange et l'adoration. Maintenant, avant que vous ne pensiez que je suis tout saint ou un super saint, laissez-moi vous dire ce que je pensais : Dieu, es-tu sérieux ? À ce stade, Jessie s'est sentie mal que je doive manquer de faire les choses du ministère et que je sois plutôt avec lui à l'hôpital. Je lui ai dit très clairement qu'il était le premier et qu'il était important que j'étais avec lui pour m'assurer qu'il était pris en charge et obtenir des informations de première main du médecin. Mon mari m'a dit qu'il voulait

que je chante dimanche matin. J'ai fait une course à la maison samedi après-midi pour mettre les choses en ordre et me préparer à être à l'hôpital un autre jour. J'ai préparé des vêtements pour dimanche matin, juste au cas où. Avance rapide jusqu'au dimanche matin. Tôt le matin, le médecin nous a dit qu'il n'y avait rien d'important dans le traitement de Jessie jusqu'à l'après-midi. Jessie m'a supplié d'aller à l'église. Donc, à l'insu de la plupart des membres de ma famille d'église qui m'ont vu ce dimanche matin, je me suis habillé pour l'église dans une salle de bain d'hôpital, j'ai laissé mon mari faire la sieste dans son lit d'hôpital et je me suis rendu à l'église. J'ai chanté aux deux services. J'ai prié dans les deux services. J'ai pleuré à travers les deux services. Puis je suis remonté dans ma voiture et je suis retourné à l'hôpital. Ce week-end - ces mois - n'était pas la vie que j'imaginais quand je marchais dans l'allée et que je m'engageais pour le meilleur ou pour le pire. Mais combien d'entre nous voient la réalité du rêve d'une vie sans douleur ou sans souci que nous avions en tant qu'adolescents ou jeunes adultes ? On grandit et la vie arrive. Et nous ne pouvons pas contrôler ce qui nous arrive. Bien qu'en tant que femmes, nous ayons tendance à penser que nos vies grandissent et tombent en fonction des choix que nous faisons, si nous vivons assez longtemps, nous réalisons que nous avons plus de contrôle sur nos réactions à ce que la vie nous réserve que sur la création des situations. que la vie nous amène. Chuck Swindoll le dit ainsi : Plus je vis longtemps, plus je me rends compte de l'impact de l'attitude sur la vie. L'attitude, pour moi, est plus importante que les faits. C'est plus important que le passé, que l'éducation, que l'argent, que les circonstances, que les échecs, que les succès, que ce que les autres pensent, disent ou font. C'est plus important que l'apparence, les dons ou les compétences. Cela fera ou détruira une entreprise. . . une église . . . une maison. Ce qui est remarquable, c'est que nous avons le choix chaque jour quant à l'attitude que nous adopterons ce jour-là. Nous ne pouvons pas changer notre passé. . . nous ne pouvons pas changer le fait que les gens vont agir d'une certaine manière. On ne peut pas changer l'inévitable. La seule chose que nous pouvons faire est de jouer sur la seule corde que nous avons, et c'est notre attitude. Je

suis convaincu que la vie, c'est à 10 % ce qui m'arrive et à 90 % ma façon d'y réagir. Et c'est ainsi avec vous. . . nous sommes maîtres de nos attitudes . [ 35] Je n'aime pas la douleur et je n'aime pas tailler, mais parce que je veux le meilleur de Dieu pour moi, je suis ouvert à ce que la croissance exige. J'essaie chaque jour, même si ce n'est pas parfait, d'avoir une bonne attitude envers ces agents de changement. Si vous vous êtes déjà assis au chevet d'un être cher à l'hôpital, vous pouvez comprendre qu'il y a une attente angoissante avant l'arrivée inopinée du médecin pour donner des nouvelles sur le pronostic et le plan de traitement. Si vous avez déjà été un aidant naturel, vous savez que même si vous ne pouvez pas contrôler beaucoup de choses, il y a de petites choses qui peuvent aider votre proche à passer la journée. Si vous avez déjà reçu un diagnostic pour votre propre santé ou celle d'une personne qui vous est chère, vous connaissez le battement sourd d'un cœur déçu qui bat bruyamment de questions et d'inconnu. Mais voici ce que j'ai appris. Attendre le rapport du médecin développe la patience. Obtenir une tasse de glace ou soutenir un oreiller pour quelqu'un fait preuve de gentillesse. Trouver le calme au milieu d' une mer de questions est un signe de paix. Et ce sont tous des fruits de l'Esprit et d'une vie abandonnée à Christ. Taille. La douleur. Recherche passionnée de Dieu. Tous trois conduisent à porter des fruits dans la vie d'une femme du royaume. Ne soyez pas dupe. Je ne suis pas une super femme. Je ne suis qu'une femme, vivant ma vie, apprenant à me reposer et à demeurer dans les bras du Père et à lui faire confiance pour chaque pas que je fais, un pas à la fois. Et ce faisant, je trouve de la joie. Une chère amie à moi m'a écoutée alors que je lui faisais le point sur ma famille et plus particulièrement sur la santé de mon mari. Après lui avoir ouvert mon cœur, exprimant les faits et mes inquiétudes, sa réponse m'a pris au dépourvu. "Oh, Chrystal, Dieu te donne un merveilleux témoignage !" "Hein?" Je me demandais.

"Eh bien, ma chérie, je suis désolé que tu doives endurer cette saison difficile, mais je suis si heureux de la personne que tu vas être si tu permets à Dieu de te montrer comment utiliser tes leçons de vie pour sa gloire. Dieu est occupé à écrire votre histoire. Ma soeur, Dieu écrit aussi ton histoire. Je ne sais pas ce qu'il permet dans votre vie pour y arriver, mais je sais qu'il a un but et un plan pour chaque chose qui se produit dans votre vie. Et je sais que même dans les chapitres les plus sombres, vous pouvez toujours trouver de la joie.

10 UNE FEMME DU ROYAUME ET SA VIE DE FAMILLE

Alors qu'ils assistaient à un séminaire de mariage sur la communication, Tom et sa femme, Grace, a écouté l'instructeur, qui a dit: «Il est essentiel que les maris et femmes connaissent les choses qui sont importantes les unes pour les autres. Il s'adressa à l'homme : « Pouvez-vous décrire la fleur préférée de votre femme ? Tom se pencha, toucha doucement le bras de sa femme et murmura : « C'est Pillsbury, n'est-ce pas ? Alors qu'on dit souvent que les mariages se font au paradis, on oublie que certains sont le tonnerre et la foudre. Socrate aurait dit : « Mon conseil pour vous est de vous marier. Si vous trouvez un bon conjoint, vous serez heureux ; sinon, tu deviendras philosophe . Le mariage et la famille sont souvent idéalisés, mais beaucoup se sont rendu compte que cela peut facilement se transformer en épreuve lorsque les deux parties ne vivent pas selon les principes de Dieu. La statistique générale donnée pour les mariages qui se terminent par un divorce en Amérique est d'environ 50 %. Et une grande partie des 50% qui restent ensemble le font pour des raisons autres que leur relation, comme la commodité, les finances ou les enfants. Donc, sur la base de cette réalité, permettezmoi de vous poser une question : si 50 % de tous les avions s'écrasaient, ne feriezvous pas très attention en volant ? Pensez-y : si vous saviez qu'un avion américain sur deux allait s'écraser, vous feriez beaucoup d'enquêtes minutieuses avant de voler, car vous ne voudriez pas finir comme l'une de ces victimes. Pourtant, environ un mariage sur deux se termine par un divorce, et nous avons encore des gens qui se précipitent à l'autel pour se marier souvent sur rien de plus que l'émotion. Et comme Minnie Pearl est censée avoir plaisanté, ils découvrent rapidement que "le mariage, c'est un peu comme une baignoire d'eau chaude. Une fois dedans, il ne fait pas aussi chaud que vous le pensiez. Une compréhension biblique de la nature et du but de l'alliance du mariage est essentielle pour embrasser un environnement familial fructueux. Il y a plus dans le

mariage que des sentiments. Il y a un appel commun à avoir un impact sur le monde au nom du royaume de Dieu et à glorifier Dieu dans tout ce que vous faites. L'une de mes tâches les plus chères pendant que mes enfants étaient encore à la maison était de les emmener à l'école chaque jour. J'ai apprécié cela parce que cela nous a donné du temps ensemble au début de chaque journée. Cela a établi une routine matinale de conversation et de partage de pensées, en particulier parce que nous avons également passé du temps ensemble au petit-déjeuner. Maintenant qu'ils sont tous adultes, il ne se passe pas un jour sans que je ne voie un des enfants, ou plusieurs, ou que je ne leur parle au téléphone. Je pense que cela est dû en grande partie au fait de passer du temps régulièrement au petit-déjeuner, à aller à l'école en voiture, à faire ses devoirs le soir et à s'asseoir autour de la table au dîner. Cette époque a établi un modèle de connexion qui se joue encore aujourd'hui. L'un des aspects intéressants de la conduite de vos enfants à l'école est qu'il existe toujours un système assez élaboré pour les déposer. Peut-être avez-vous vécu cela. Chaque fois que vous avez des centaines de voitures et de parents bloqués avec le même objectif et la même destination mais dans tant de directions, vous avez besoin d'un ordre assez serré pour les faire entrer et sortir en un minimum de temps. Il y a des voies pour les déposes, les entrées, les entrées et les sorties. De plus, un policier se positionne souvent sur la route pour diriger la circulation. Maintenant, les voitures sont définitivement plus fortes que le policier. Ils sont plus grands que le policier. Ils peuvent aller plus vite que le policier. Ils peuvent même maîtriser le policier. Mais lorsque le policier lève simplement la main, les voitures s'arrêtent. Lorsque le policier agite la main, les voitures se déplacent. Les conducteurs font ce que le policier leur ordonne de faire. En effet, le policier a été chargé de statuer sur ce qui serait potentiellement le chaos si des centaines de voitures transportant des centaines d'enfants tentaient toutes d'arriver exactement au même moment. Dieu répond Le 11 septembre est un autre exemple de chaos. Ce jour-là nous a tous touchés différemment, mais ce que nous avions tous en commun, c'est qu'il a amené un concept étranger – le terrorisme – au premier plan de nos esprits. Cela a également accru notre conscience d'apprécier davantage le temps que nous passons avec nos proches et nos

familles. Il nous a envoyé sur l'infraction, en tant que nation, contre le terrorisme. Pourtant, malgré les efforts déployés pour ramener la paix et la stabilité dans les régions qui en sont dépourvues, les terroristes continuent d'essayer de semer le chaos. Ils savent que s'ils peuvent maintenir le chaos à flot, ils peuvent alors limiter le progrès de la liberté et de la force en nous en tant que pays. Satan a le même objectif en tête lorsqu'il s'agit de vous faire vivre une vie pleinement autonome en tant que femme du royaume. Il essaie de faire bouger les choses afin que vous ne puissiez pas trouver l'ordre, la paix et l'harmonie dans votre progression de femme du royaume. Ce serait comme si un certain nombre de voitures dans les couloirs de débarcadère de l'école décidaient de faire leur propre chose : ne pas s'arrêter lorsque le policier a levé la main. Conduire dans les mauvaises voies ou même dans la mauvaise direction. Ne pas ralentir. N'importe laquelle de ces perturbations, même à partir d'un petit nombre de voitures, ou même d'une seule voiture, créerait des perturbations pour tous ceux qui essaient de déposer des enfants. Satan sait que s'il veut annuler votre capacité à bien gérer, il doit perturber l'ordre et semer la confusion et la dissension autour de vous. Satan sait que tout ce qu'il peut diviser, il peut dominer. La raison pour laquelle il nous perturbe est qu'il sait que Dieu opère dans un contexte d'unité. Satan cherche à retirer Dieu de l'équation en divisant ceux qui sont sous son règne. L'un des principaux moyens par lesquels Satan cherche à faire cela dans la vie d'une femme est de gâcher l'alignement que Dieu a établi. Lorsque Dieu a créé l'homme et la femme, Il a établi un alignement entre Lui et eux ainsi qu'entre les sexes. Eve a été créée en tant que contrepartie ou aide d'Adam, avec Adam dans une position de responsabilité ultime. Nous le savons parce que même si c'est Eve qui a été trompée et a mangé le fruit en premier, c'est Adam que Dieu est allé chercher dans le jardin pour le tenir responsable de leurs actions. Dieu n'a pas dit : "Adam et Eve, où êtes-vous ?" Il a dit : "Adam, où es- tu ?" Comme nous l'avons vu dans le premier chapitre, le langage original décrivant Eve la décrit comme une partenaire solide d'Adam. Eve a été créée pour apporter une aide précieuse dans la position d' homologue . Elle devait être une collaboratrice dans tous les sens du terme. Comme nous l'avons vu précédemment, Dieu apprécie tellement les femmes qu'il dit spécifiquement aux hommes qu'il n'entendra même pas ou ne répondra pas à leurs prières s'ils ne montrent pas de manière adéquate l'honneur de

leur femme (1 Pierre 3: 7). Lorsque Dieu a donné le mandat de domination à Adam et Eve, les bénédictions qui découlaient de l'exécution de ce mandat devaient affluer vers eux deux. En fait, Dieu ne bénirait pas l'homme en dehors de la femme parce que la bénédiction était destinée à tous les deux. Les femmes ont été créées comme une composante si essentielle de l'exécution du règne de Dieu qu'il n'est pas étonnant que Satan soit allé voir Eve en premier pour essayer de perturber ce règne. Il savait que s'il pouvait l'atteindre, il lui serait plus facile d'atteindre Adam. Et il avait raison. En cherchant à inverser les rôles établis par Dieu, Satan a introduit le chaos dans ce qui était auparavant un jardin paisible. Essentiellement, Satan a convaincu Eve de quitter sa voie. En conséquence, Adam et Eve ont quitté leurs voies et ont diminué leur capacité à bien naviguer (ou gérer) leur monde. Au lieu de profiter des bénédictions que Dieu avait promises, la chose même qui avait été conçue comme une bénédiction - le sol qui produisait des fruits et du feuillage - est maintenant devenue une malédiction. Aujourd'hui, beaucoup vivent sous la pression du chaos parce qu'ils ne sont pas positionnés dans leurs voies prescrites pour profiter de tout ce que Dieu a prévu pour eux. Non seulement cela les affecte, mais cela affecte également ceux qui les entourent. Dans le Nouveau Testament, ce chaos que Satan cherche à introduire dans la vie des croyants est appelé le « pouvoir secret de l'anarchie » (2 Thessaloniciens 2 :7). Cela fait référence à la tromperie que Satan apporte pour créer le désordre et limiter le pouvoir et les bénédictions dans votre vie. La seule façon de contrecarrer les stratagèmes de Satan est de vous aligner sur l'ordre prescrit par Dieu, car alors vous invoquerez la protection et la bénédiction de Dieu. En fait, lorsque vous prenez vos décisions à la lumière de l'alignement prescrit par Dieu, vous découvrirez qu'Il sait exactement comment répondre à vos besoins. Les Écritures nous disent que Dieu honore ceux qui l'honorent (1 Samuel 2 : 30), et que si vous vous engagez sur votre voie (votre chemin, vos décisions, vos actions et votre cœur), il vous accordera les désirs de votre cœur (Psaume 37:4–5). Vous n'aurez pas à essayer de manœuvrer pour les obtenir. Vous n'aurez pas à essayer d'aller derrière, autour ou au-dessus de votre mari pour les obtenir. Le moyen le plus sûr de recevoir

les bénédictions et la puissance de Dieu dans votre vie est d'honorer son alignement, en lui faisant confiance avec votre cœur parce qu'il prend soin de vous. Chroniques de Crystal Chaque année, je fais nos impôts . Je me suis spécialisé en comptabilité et j'ai réussi l'examen d'expert-comptable agréé (CPA), il est donc logique pour moi de faire les impôts pour notre famille. C'est généralement une épreuve. Pas parce que faire les impôts est difficile. C'est une épreuve parce que je dois avoir du TEMPS pour le faire. Bien qu'en théorie je puisse décomposer ce projet monstrueux en petits morceaux et le conquérir petit à petit, je préfère plonger la tête la première et l'hyper-focus pour le faire en un énorme bloc de temps. En règle générale, pendant trois jours, probablement pendant un week-end, je convaincs mon mari que pour que je puisse faire nos impôts, il doit assumer seul la responsabilité des enfants afin que je puisse m'enfermer dans un coin et accorder toute mon attention à comprendre que numéro spécial qui m'apporte du bonheur chaque printemps—R-EF-UND. Vous voyez, j'ai une arrière-pensée pour faire payer nos impôts. Ça veut dire que je peux dépenser de l'argent. Maintenant, de peur que vous ne pensiez que je suis insensible et que je travaille dur pour pouvoir dépenser de l'argent pour moi, donnez-moi une chance de m'expliquer. Notre remboursement d'impôt me donne de l'argent à dépenser pour des choses pour notre famille. Nous obtenons normalement l'argent pour notre programme d'études à domicile à partir de cette somme forfaitaire. Nous prenons également une partie de l'argent et abattons les factures ou les dettes qui pèsent sur nos têtes, ou l'utilisons pour avancer sur certains de nos objectifs financiers à long terme. Mais de temps en temps, je prévois (se faufile ?) quelque chose qui est important pour moi pour notre famille. Cette année, cet humble gérant de maison a décidé que la famille Hurst avait besoin d'un nouveau canapé. Pas n'importe quel canapé. J'étais tombé amoureux de l'idée d'

un canapé sectionnel en cuir marron. Alors laissez-moi vous dire quelques raisons pour lesquelles je savais que c'était le canapé de notre famille. Un nouveau canapé nous donnerait un espace de sièges indispensable dans notre salle familiale. Non seulement nous avons une famille plus grande que la moyenne, mais chaque fois que nous avons des réunions de famille élargie, je remarque que nous avons besoin de sièges supplémentaires. Le canapé spécifique que je regardais nous permettrait également de faire la transition de notre canapé actuel de taille normale vers notre salle de jeux. Ummm, disons simplement que nos sièges de salle de jeux actuels sont "bien aimés". (Interprétez cela comme signifiant un canapé qui est presque aussi vieux que mon aîné et dont les entrailles se répandent au moment où nous parlons !) Un nouveau canapé créerait une atmosphère plus conviviale pour mes petits. J'ai imaginé une coupe en cuir parfaitement adaptée aux déversements et aux dégâts que ma famille semble créer. Comme ce serait bien de prendre un chiffon humide et d'essuyer le désordre au lieu de sortir le nettoyant pour tissus d'ameublement dans l'espoir de pouvoir enlever une tache. Mon dernier argument en faveur de la sensibilité d'un nouveau canapé était celui que je pensais sûr de gagner mon mari. Quelques mois auparavant, pour l'anniversaire de Jessie, quelques membres de la famille ont cotisé pour acheter une télévision à écran plat pour notre salle familiale, en pensant à Jessie. Bien que ce cadeau ait été un cadeau spectaculairement apprécié, son expérience de visionnage de la TVHD a été limitée par le manque de bons sièges. Je savais juste que mon mari serait d'accord avec moi pour ajouter des sièges en cuir dans notre salon. Si tard un soir, après avoir travaillé fébrilement sur nos impôts pour tenter de finir avant que mon mari ne se couche, je suis sortie victorieuse de mon bureau et j'ai presque sprinté vers mon mari avec le numéro final de notre remboursement d'impôt. J'étais tellement éxcité! Non seulement j'ai eu un argument; nous avions maintenant l'argent. J'ai déposé mon dossier devant mon mari et lui ai offert les pièces justificatives. Et il a dit non.

Mon visage est devenu vide. Mon esprit doutait de la capacité de mes oreilles à entendre. Je suis passé en mode logique. Les hommes sont logiques, non ? Eh bien, oui, mais cela ne veut pas dire que sa logique correspond à la mienne ! Lorsque le mode logique ne fonctionnait pas, le mode plaidoirie commençait. Conclusion : j'ai perdu la discussion - oh, je veux dire la discussion - et j'ai simplement dû me décider à avancer et à tirer le meilleur parti du canapé que nous avions. J'ai aussi décidé de faire de mon mieux pour honorer les désirs de mon mari et laisser tomber le problème. Quelqu'un peut-il témoigner avec moi que la chose la plus difficile au monde pour une femme pieuse à apprendre à faire dans son mariage est de garder la bouche fermée ? ! Avance rapide de quelques semaines. Vers midi, mon mari et moi avons sauté dans la voiture pour aller ensemble à un rendez-vous chez le médecin. Nous avons descendu notre allée et nous sommes sortis sur la route rurale principale. Nous avons tourné à gauche et avons parcouru un peu moins d'un demi-mile, en passant devant la pelouse de notre deuxième voisin sur le côté gauche de la rue. Là, sur la pelouse de notre voisin, il y avait un canapé en cuir marron avec un panneau À vendre dessus. Le canapé que j'ai imaginé dans mon salon était assis sur leur pelouse ce jour-là et m'attendait. À la fin de la journée, mon nouveau canapé, légèrement utilisé et très apprécié, était assis dans mon salon. Livraison sans frais. Sans intérêt. Sans tracas. Dieu a exaucé un désir de mon cœur. Qu'ai-je appris de cette expérience ? Dieu connaît les désirs de nos cœurs. Et Il les honore souvent, mais pas toujours. Je ne me souviens pas m'être jamais agenouillé et avoir demandé à Dieu de me donner un canapé en cuir marron. Mais je sais, sans l'ombre d'un doute, que mon Dieu d'amour s'est assuré que le canapé que je voulais était commodément disponible pour moi à un moment où ma propre planification ne pouvait pas le concrétiser. Proverbes 10:22 dit : « La bénédiction de Dieu enrichit la vie ; rien de ce que nous faisons ne peut améliorer Dieu » (MSG).

C'est une chose tellement merveilleuse de savoir que Dieu nous entend même quand nous ne disons pas un mot. Quand il nous bénit, il fait plus pour nous que nous ne pourrions jamais faire pour nous-mêmes. Le Psaume 37 : 4 dit : « Prends plaisir en l’ Éternel et il te donnera les désirs de ton cœur. » Dieu nous entend. Il sait où nous en sommes, ce que nous traversons et ce que nous désirons, même si nous ne disons jamais un mot. Il nous aime inconditionnellement et prend plaisir à illustrer son amour à des moments et dans des endroits inattendus.

Ordre divin L'illustration de Chrystal nous rappelle l'amour et la fidélité de Dieu qui se manifestent si clairement lorsque nous l'honorons avec nos décisions et que nous nous alignons sous lui. Le passage principal écrit sur l'ordre divinement établi se trouve dans 1 Corinthiens et implique ce concept d'alignement. Paul a souligné cette réalité dans le cadre d'une église corinthienne indisciplinée située directement au cœur de cette ville la plus débauchée du premier siècle. Si vous avez déjà lu 1 Corinthiens, vous savez que l'église de Corinthe était loin d'être sainte. Il n'y avait pas d'ordre du tout. En fait, tout était chaotique. De cette atmosphère sont nées la division, la douleur et la déception au sein de l'église. À cause du désordre, Paul a dirigé les croyants corinthiens vers la prémisse de base qui sous-tend tout. Cela pourrait être similaire à la façon dont un parent s'adresserait à ses enfants lorsqu'ils sont devenus indisciplinés. Le parent commence par la fondation : "Je suis responsable ici." Paul voulait rappeler à l'église indisciplinée de Corinthe qui était responsable – Dieu – et comment Il avait ordonné les choses. Alors il le leur écrivit, comme nous l'avons vu au chapitre 7 : Suivez mon exemple, comme je suis l'exemple du Christ. . . . Maintenant, je veux que vous réalisiez que le chef de tout homme est Christ, et que le chef de la femme est homme , et le chef de Christ, c'est Dieu. (1 Corinthiens 11:1, 3)

Paul n'a pas dansé autour d'elle. Il ne l'a pas édulcoré. Il l'a fait comprendre. Lorsque Dieu a établi Son ordre des choses, Il ne l'a pas caché dans un endroit obscur. Il l'a dit clairement : 1. L'homme est la tête d' une femme. 2. Christ est le chef de tout homme. 3. Et Dieu est le chef de Christ. Avant de poursuivre, je tiens à vous faire savoir que je me rends compte qu'il s'agit d'un sujet sensible. Croyez-moi, je sais. Comme je l'ai dit plus tôt, j'ai conseillé des hommes et des femmes pendant des milliers d'heures, et le domaine de la direction et de l'ordre est souvent un point délicat. Donc, avant d'aller plus loin, je tiens à clarifier ce point : l' ordre n'a rien à voir avec l'égalité. Cela a tout à voir avec l'efficacité fonctionnelle. Jésus est égal à Dieu. Pourtant, alors que Jésus est égal à Dieu dans son être, il n'était pas égal à Dieu dans sa fonction sur terre. Jésus a dit quand il est venu sur terre : « Car je suis descendu du ciel pour faire, non ma volonté, mais pour faire la volonté de celui qui m'a envoyé » (Jean 6 :38). Il a également dit: «Ma nourriture. . . est de faire la volonté de celui qui m'a envoyé et d'accomplir son œuvre » (Jean 4:34). Ce que Jésus a fait était de se soumettre au Père afin d'accomplir Sa fonction sur la terre tout en étant en même temps égal à Son Père (Philippiens 2:6). Dieu travaille toujours à travers une structure ordonnée. En d'autres termes, vous ne pouvez pas obtenir l'implication de Dieu si vous créez votre propre structure. Satan est allé voir Eve pour renverser l'ordre de Dieu parce qu'il savait que s'il pouvait sortir Eve de l'alignement, alors Adam et Eve seraient éloignés de Dieu (Genèse 3). Lorsque les rôles sont inversés, l'enfer se déchaîne. Je me rends compte que parfois les gens mélangent cela et considèrent que la fonction signifie l' inégalité, alors ils déshonorent et manquent de respect aux femmes. La Bible ne sait rien de cela. C'est pourquoi les Écritures appellent la femme une cohéritière, une partenaire égale (1 Pierre 3 :7, ESV). Il y a une distinction entre l'égalité d' être et l'égalité de fonction . Tout le monde ne joue pas le même rôle. Alors que toute femme mariée est égale à son mari en être, elle n'est pas égale à son mari en fonction. Lorsque vous êtes dans votre rôle prescrit, Dieu

est libre de faire couler les bénédictions de son royaume à la fois sur vous et à travers vous. Maintenant, je sais ce que certains d'entre vous disent : « Mais Tony, et si mon mari n'est pas un homme du royaume ? Et s'il n'est pas aligné sous Dieu ? Que dois-je faire alors ? » La réponse à cela est simple : vous vous alignez sous la Parole de Dieu et Sa volonté tout en priant pour que votre mari s'aligne également. Comme nous l'avons vu précédemment, Séphora est un excellent exemple dans les Écritures d'une femme dont le mari, Moïse, ne suivait pas la volonté de Dieu dans une situation particulière. Dieu avait ordonné à Moïse de circoncire ses fils, mais Moïse n'a pas donné suite. En conséquence, la colère de Dieu s'enflamma tellement contre Moïse que Dieu allait le tuer. Conscient de cela, Séphora est intervenu et a exécuté l'ordre de Dieu. Dieu a retenu sa colère contre Moïse parce que la femme de Moïse s'est tenue dans la brèche pour lui. La soumission signifie faire ainsi « comme au Seigneur » (Éphésiens 5 :22). Lorsque nous lisons l'exemple des femmes du royaume dans le Nouveau Testament, il est dit : « Car c'est ainsi que les saintes femmes du passé qui mettaient leur espoir en Dieu utilisaient pour se rendre belles. Elles étaient soumises à leurs propres maris » (1 Pierre 3 :5). La soumission reconnaît que l'homme est en position d'autorité, mais il n'a jamais une autorité absolue. Par exemple, Dieu ne vous demande pas de vous soumettre à des violences physiques ou verbales. Lorsqu'un homme cherche à nuire à une femme avec son corps ou avec ses paroles, elle n'est pas appelée à s'y soumettre. Ce que Paul a écrit concernant l'alignement ne s'appliquait pas seulement aux femmes. Il a écrit que Christ est le chef de tout homme. Un homme doit se soumettre à JésusChrist pour ouvrir le flux de la bénédiction de Dieu dans sa maison. Si vous êtes avec un homme qui n'est pas aligné avec Dieu, Pierre explique le pouvoir que vous, en tant que femme du royaume, pouvez avoir dans cette situation : Femmes, de même soyez soumises à vos maris afin que, si l'un d'eux ne croit pas à la parole, il soit gagné sans paroles par le comportement de ses femmes, lorsqu'il voit la pureté et le respect de vos vies. (1 Pierre 3:1-2) En tant que femme, vous avez le pouvoir d'influencer votre mari par ce que vous faites. Et comme nous l'avons vu dans le cas de Séphora, Dieu en tiendra compte.

Cela ne veut pas dire que vous ne devriez jamais parler. Les versets sont plus indicatifs d' un esprit calme. La vérité est toujours la vérité, et tous les croyants sont appelés à dire la vérité avec amour. Parce que chaque homme est responsable devant Dieu, l'encourager dans son rôle et vivre en alignement avec Dieu est une chose appropriée à faire. Une façon pratique d'influencer votre mari est de l'encourager à lire Kingdom Man avec vous. Laissez-moi être le méchant et dites-lui la vérité sur son rôle dans votre maison. Parfois, les hommes écouteront un autre homme plus facilement qu'ils n'écouteront une femme. Si ce n'est pas Kingdom Man , encouragez-le à lire avec vous des livres de croissance spirituelle ou à écouter des enseignements bibliques sur CD ou via Internet. Beaucoup de femmes ont un problème d'alignement parce qu'elles pensent, mais je suis plus intelligente que mon mari. Je gagne plus d'argent que mon mari. Je suis plus instruite que mon mari. J'ai plus de bon sens que mon mari. Je ne peux pas m'aligner sous lui. Eh bien, supposons qu'un dix-huit roues essaie de rejoindre l'autoroute. Supposons également qu'il y ait une Kia qui descend l'autoroute avec le droit de passage. Le dix-huit roues doit céder. Maintenant, le dix-huit roues peut avoir plus de taille que la Kia, mais la Kia a la priorité. Le conducteur du dix-huit roues peut-il dire : « Parce que j'ai plus que toi, tu t'arrêtes sur l'autoroute et tu me laisses monter » ? S'il y a accident, c'est le conducteur du dixhuit roues qui sera en faute. Même si le camion a plus de poids et de taille, il fonctionne illégalement. L'alignement n'a rien à voir avec combien vous apportez à la table. L'alignement n'a rien à voir avec votre éducation, vos revenus ou votre notoriété. Cela a tout à voir avec l'ordre ordonné de Dieu. Lorsque l'ordre est suivi, il ouvre les canaux pour que la puissance du royaume de Dieu coule. Règne Parentalité Des volumes peuvent être écrits sur le domaine de la parentalité du royaume. Former la prochaine génération d'hommes et de femmes du royaume est l'une des plus hautes responsabilités qu'un parent puisse avoir. Et bien que toutes les femmes ne vivent pas ce que c'est que d'avoir des enfants biologiques, de nombreuses femmes qui n'ont jamais accouché ont adopté ou sont devenues des mères spirituelles pour des parents,

des membres d'église ou des voisins. Le rôle de parent nous appartient à tous dans une certaine mesure. Les mères célibataires en particulier se sentent confrontées à un défi parental écrasant en essayant de couvrir toutes les bases dont leurs enfants ont besoin. Être parent n'est pas un petit rôle, et nous tous, y compris moi, pouvons améliorer notre façon de le faire. (Chrystal examinera cela de plus près dans le prochain chapitre.) Les Écritures nous disent ce qui se passe lorsque la parentalité n'est pas appliquée selon les principes du royaume. Une malédiction se produira : « Les jeunes se dresseront contre les vieux, les vils contre les honorables » (Isaïe 3 :5). La culture entière - la nation dans son ensemble - souffre lorsque les enfants ne sont pas correctement élevés. Élever des enfants du royaume n'est pas seulement quelque chose à faire, vous passerez donc de bonnes vacances en vieillissant. Élever des enfants du royaume est un élément essentiel pour préserver la culture de la décadence morale et spirituelle. Pourquoi Dieu veut-il que vous ayez des enfants en premier lieu ? Eh bien, je peux vous dire une raison pour laquelle Il ne le fait pas : Dieu n'essaie pas de vous créer des sosies. Ce n'est pas Son but. Le but de Dieu pour les hommes et les femmes du royaume qui élèvent des enfants du royaume est de reproduire son image sur terre. Il veut des sosies de lui-même. Le but des enfants se trouve dans Dieu reproduisant Son image dans l'humanité partout sur la terre afin qu'ils puissent faire avancer Son royaume. Les enfants ont une raison spirituelle d'exister, pas seulement une raison biologique, physiologique ou familiale. Dieu veut que les parents transmettent une vision du monde théocentrique – centrée sur Dieu – aux enfants. Élever des enfants du royaume signifie donner à vos enfants une perspective du royaume afin qu'ils alignent leurs décisions sur sa volonté tout au long de leur vie. Ceci, à son tour, rendra gloire à Dieu car ils reflètent Son règne sur la terre. Élever vos enfants dans la perspective d' un royaume, c'est les aimer pleinement. Par amour, cela ne signifie pas leur acheter une nouvelle Xbox, des vêtements et des jouets. Il n'y a rien de mal à acheter des choses pour vos enfants, mais ce dont ils ont vraiment besoin, c'est d'apprendre à être responsable, patient, travailleur et spirituel. Ce sont les plus beaux cadeaux d'amour que vous puissiez offrir à vos enfants, car ces cadeaux d'amour leur permettront de réussir dans la vie.

Et juste une note pour les mères célibataires : il y aura des moments où vous aurez l'impression que vous ne pouvez pas être tout pour vos enfants. Vous travaillez très probablement par nécessité pour payer les factures et votre temps est limité. Cependant, Dieu vous aidera à faire de votre mieux pour amener des influenceurs positifs dans la vie de vos enfants. Quelle que soit votre situation particulière, votre objectif est toujours de les équiper pour qu'ils deviennent un jour des hommes ou des femmes du royaume. Ne sous-estimez jamais le pouvoir d'une femme du royaume en tant que mère. Par exemple, les Écritures nous disent que Timothée avait un père qui rejetait Dieu. Il n'avait pas d'homme du royaume comme père. Pourtant, Timothée a quand même fini par servir Dieu fidèlement grâce à l'enseignement et aux encouragements de sa mère et de sa grand-mère. Enseigner à vos enfants à être des disciples dévoués de JésusChrist malgré le fait que leur père ne l'est peut-être pas, ou que ceux qui les entourent ne le sont peut-être pas, est l'une des choses les plus importantes que vous puissiez faire en tant que mère. Paul a enseigné que les femmes du royaume doivent être « des ouvrières à la maison » (Tite 2 : 5, NASB). Un jour, une fille feuilletait l'album photo de famille avec son père lorsqu'elle est tombée sur les photos du mariage de ses parents. Elle a regardé son père et a dit: "Papa, quand tu as épousé maman, est-ce le jour où tu l'as amenée à venir travailler pour toi?" Maintenant, je sais ce que vous pensez peut-être : Tony, je suis allé à l'université comme lui. En fait, j'ai plus de diplômes que lui. Je peux gagner plus d'argent que lui. Pourquoi dois-je travailler à la maison alors que je peux travailler mieux que lui à l'extérieur de la maison ? Ma réponse est simple : Tite 2:3-5 indique clairement qu'une femme du royaume ne néglige pas sa famille pour sa propre carrière. Le passage ne dit pas que vous ne pouvez pas avoir une carrière, ou même une carrière très réussie. C'est juste que votre carrière ne doit pas se faire au détriment de l'entretien de votre maison et de votre famille. Si votre maison n'est jamais propre parce que vos priorités à l'extérieur de la maison ont dominé à la fois votre temps et votre énergie, vous devez alors réévaluer vos priorités. Comme nous l'avons vu précédemment lorsque nous avons examiné la femme dans Proverbes 31, prendre soin de la maison ne signifie pas que vous ne pouvez pas réussir ailleurs. Cela signifie simplement gérer la maison de telle manière

que chaque membre soit le mieux placé pour vivre pour le royaume. Une femme du royaume atteint une signification suprême en élevant la prochaine génération selon les principes et les préceptes de Dieu. Honorer sans peur Dans l'Ancien Testament, nous lisons l'histoire d'une femme du royaume, Sarah, dont le désir depuis des décennies était d'avoir un enfant. Sarah et Abraham essayaient d'avoir un enfant depuis des années. Vous connaissez l'histoire; tous deux étaient vieux et n'avaient toujours pas eu d'enfant ensemble. Grâce à la décision de Sarah d'honorer Dieu en honorant Abraham, sans crainte, elle a eu la chance de concevoir un enfant bien au-delà des années de procréation. La soumission de Sarah à Abraham, même au milieu de la stérilité et de la douleur, est donnée comme l'une des plus grandes illustrations de la façon dont une femme du royaume doit vivre : « comme Sarah, qui obéit à Abraham et l'appela son maître. Vous êtes ses filles si vous faites ce qui est juste et ne cédez pas à la crainte » (1 Pierre 3 : 6). Non seulement Sarah s'est soumise à Abraham, mais elle l'a également honoré en tant que "seigneur". Honorer votre mari est l'une des choses les plus grandes et les plus puissantes que vous puissiez faire en tant que femme du royaume. Vous devriez être la plus grande pom-pom girl de votre mari. Que vous soyez d'accord ou non avec lui, honorer lui fait savoir que vous respectez sa position. Et l'honorer appelle aussi l'attention favorable sur Dieu. Comme je l'ai expliqué plus tôt, la soumission ne signifie pas le silence ou que vous n'avez pas de volonté et d'esprit. Même Jésus a parlé à Dieu. Il a pleinement exprimé ses pensées et ses sentiments. La soumission, cependant, signifie que vous vous placez volontairement sous l'autorité d'un autre tant que cette autorité ne vous oblige pas à désobéir à Dieu. Aucun homme, pas même votre mari, n'a d'autorité absolue sur vous. Ce qu'un mari a s'appelle une autorité relative parce qu'au moment où il cesse de se soumettre à Dieu, son autorité sur vous est compromise. C'est parce qu'on vous dit d'obéir à Dieu plus qu'à l'homme. La soumission est simplement donner de la déférence à un rôle quand ce rôle a aussi donné de la déférence à Dieu. Lorsque vous voyez la soumission de cette façon, cela enlève la peur.

L'une des raisons pour lesquelles de nombreuses femmes aujourd'hui ne vivent pas le miracle qu'elles espèrent dans leur vie est qu'elles ont choisi de ne pas honorer leurs maris dans les rôles que Dieu leur a donnés. Pourtant, lorsque Sarah a qualifié Abraham de "maître" - honorant essentiellement son rôle dans sa vie - elle a obtenu son miracle. Elle est tombée enceinte et a donné naissance à Isaac. Sa soumission a conduit à son miracle. Sarah est devenue la manifestation visible de ce que David a écrit dans le Psaume 128 : « Ta femme sera comme une vigne féconde dans ta maison » (verset 3). Non seulement Sarah a été fructueuse spirituellement - après tout, elle s'est retrouvée dans le Temple de la Foi des Hébreux - mais elle a également été fructueuse physiquement, donnant naissance à un âge où ce n'était plus possible. Ne laissez donc pas votre manque de soumission légitime vous empêcher de vivre votre miracle. Le principe de soumission qui s'appliquait à Sarah s'applique à vous. Et lorsque vous l'honorez, vous verrez Dieu vous honorer d'une manière qui va au-delà de ce que vous pouvez imaginer. Dieu est si doué pour être Dieu qu'il n'a pas besoin de matières premières pour créer un miracle. Dieu peut faire naître des choses qui n'existent pas (Romains 4:17), comme Il l'a fait avec Isaac dans un sein stérile et sans vie. Il peut prendre des choses vides et leur donner vie. Il peut prendre un utérus mort et créer une intervention miraculeuse pour qu'il puisse abriter un battement de cœur. En fait, Il peut prendre un avenir stérile et lui donner vie. Ou une carrière stérile. Ou un rêve stérile. Ou un cœur stérile. Dieu est un maître pour donner vie à ce qui semble stérile. Si vous avez un espoir, une relation ou un rêve stérile, honorez Dieu en tant que femme du royaume et regardez-le travailler en votre nom. Si vous êtes célibataire et que vous l'êtes depuis longtemps, vous avez peut-être renoncé à croire que votre futur conjoint est quelque part. Comme je l'ai dit au chapitre 9, vous n'avez pas besoin d'inventer un moyen de rencontrer votre homme. Dieu est si bon dans ce qu'il fait, si vous lui faites simplement confiance dans la foi et arrêtez de chercher des solutions humaines pour résoudre un problème spirituel, Dieu peut vous amener directement votre futur conjoint. Il peut créer des familles, des carrières, des avenirs et des vies là où il ne semblait y avoir que de la stérilité. Fais lui confiance. Une liberté formidable vient lorsque vous réalisez que votre soumission ultime est sous un Dieu attentionné et aimant.

Une femme du royaume opère et s'aligne sous la règle complète de Dieu sans crainte. Si vous vous alignez sous Dieu et l'honorez à la lumière des fonctions distinctes qu'il a établies dans le mariage et le rôle parental, vous pouvez vous attendre à expérimenter Dieu d'une manière sans précédent.

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UNE FEMME DU ROYAUME ET SON ÉGLISE

Après un service d'adoration, j'aime accueillir les visiteurs ainsi que ceux qui viennent régulièrement à notre église. Sans faute, une ligne de personnes se rassemble pour dire bonjour ou faire un commentaire sur le message de ce jour-là. J'ai entendu parler d'un pasteur qui, un jour férié, a vu quelqu'un qu'il n'avait vu que sporadiquement. Ainsi, après l'église, il a dit : « Vous venez de temps en temps. Ce serait peut-être une bonne idée si vous rejoigniez l'Armée du Seigneur et que vous veniez plus régulièrement. À quoi cette dame a répondu : « Je suis déjà dans l'armée du Seigneur, pasteur. "Eh bien, alors," a demandé le pasteur, "comment se fait-il que je ne vous voie qu'à Noël et à Pâques?" Elle a chuchoté en retour: "Je suis dans les services secrets." Ce genre de scénario arrive tout le temps. Trouver quelqu'un avec un véritable engagement envers l'église peut être un défi. Avec tout ce qui est en compétition pour le temps et l'attention, la fréquentation régulière de l'église est tombée de la liste des valeurs de beaucoup de gens, sans parler d'une implication significative dans l'église. Pourtant, le contraire peut également être vrai. Vous pouvez trouver quelqu'un qui vient fidèlement à l'église et ce depuis des années, voire des décennies, et pourtant sa vie n'offre qu'un piètre reflet de l'image de Jésus-Christ. Aller à l'église ne fait pas d'une personne un chrétien, ni même un meilleur chrétien. Le cœur d'une personne doit être ouvert au processus de discipolat qui devrait se produire dans l'environnement appelé l'église pour que des fruits durables et une transformation se produisent. Trop souvent aujourd'hui, les gens considèrent l'église comme un hospice plutôt que comme l'hôpital qu'elle était censée être. Un hospice est l'endroit où les gens vont pour qu'ils puissent être confortablement installés pendant leur mort. Ils voient l'église comme un endroit pour se sentir mieux plutôt que pour aller mieux. Un hôpital, en revanche, conjugue personnel et stratégies de manière à ce que les personnes qui s'y trouvent se portent bien. L'objectif à l'hôpital n'est pas d'essayer de

faire en sorte que le patient se sente bien. Parfois, les médecins doivent couper. Parfois, ils doivent administrer des médicaments. Parfois, ils doivent mettre la personne mal à l'aise. Mais tout cela est fait pour rendre la personne en bonne santé. Lorsque le but de ceux qui dirigent l'église vise à donner aux gens un endroit où se sentir bien pendant leur mort plutôt qu'un endroit pour se rétablir pendant qu'ils vivent, ils ont manqué l'intention de Christ pour son corps d'église. Ce n'est pas l'église que Jésus-Christ a établie. Lorsque Jésus a parlé de son corps de croyants, il a fait référence à une entité forte et saine contre laquelle même l'enfer lui-même ne pouvait pas prévaloir. En fait, le terme ecclesia qui est parfois utilisé à la place du mot église dans le Nouveau Testament parlait d'un conseil de gouvernement dans la société grecque qui légiférait au nom de la population. [36] Un conseil d'administration ne pouvait gouverner qu'ainsi que la santé et la force de ses propres membres. Si les membres avaient simplement choisi de passer le temps jusqu'à leur décès, à la recherche d'un endroit agréable pour se réunir avec des amis, manger et chanter des chansons, ils n'auraient pas bien légiféré au nom de leur communauté. L'église est destinée à être bien plus qu'un club social ou un lieu de divertissement. C'est plus qu'un endroit où les célibataires peuvent rencontrer des hommes ou des femmes éligibles. L'église est destinée à être un groupe de personnes qui ont été appelées à apporter la gouvernance de Dieu dans l'application et la pratique pertinentes de l'humanité . Lorsque Jésus a parlé de l'église résistant aux forces des "portes de l'enfer" (Matthieu 16:18, ESV), Il a choisi le terme pour "portes" qui faisait référence à un endroit où les activités législatives avaient lieu. La porte était l'endroit où les dirigeants de la culture se réunissaient pour adopter des affaires et prendre des décisions au nom de la communauté . [ 37] Le concept de législation pour le corps de Christ est renforcé par le fait que des « clés » sont données à l'Église pour accéder à l'autorité du ciel et l'exécuter sur la terre (Matthieu 16 :19). Alors que Jésus est positionné à la droite de Dieu pour gouverner depuis le ciel, nous sommes également positionnés avec Lui (Ephésiens 2:6), c'est pourquoi je pense que Dieu choisira souvent ce qu'Il va faire en fonction de ce qu'Il voit l'église déjà en train de faire (Ephésiens 3:10).

Le but de l'église va au-delà d'un simple lieu de rencontre pour l'inspiration spirituelle ou l'analyse de la culture dans laquelle elle réside. Le but de l'église, ecclesia , est de manifester les valeurs du ciel dans le contexte de l'humanité. Ces valeurs ne peuvent être rendues manifestes que dans la mesure où celles au sein de l' ecclesia reflètent les valeurs elles-mêmes. La démonstration visible du royaume de Dieu sur terre dépend du nombre de membres du corps de Christ qui sont soit des hommes du royaume, soit des femmes du royaume. Alors que le contexte fondamental pour le développement des femmes du royaume passe par la famille nucléaire, ce processus doit également s'étendre au-delà de la famille nucléaire jusqu'à l'église locale. C'est pourquoi la responsabilité nourricière de l'Église est évoquée en termes féminins dans les Écritures. Le but de l'église est de transmettre une vision du monde biblique afin que les femmes commencent à penser et à fonctionner comme Jésus-Christ. Chaque église devrait faire de l'une de ses principales priorités le fait d'avoir un ministère des femmes qui offre aux femmes l'opportunité de faire des femmes des disciples selon la philosophie de Tite 2. Le but de l'église est d'avoir des femmes du royaume encourageant et équipant d'autres femmes à devenir des femmes du royaume comme elles. Chaque église devrait se concentrer fortement sur le discipulat. Le discipulat est ce "processus de développement de l'église locale qui cherche à amener les chrétiens de l'enfance spirituelle à la maturité spirituelle afin qu'ils soient ensuite capables de répéter le processus avec quelqu'un d'autre". Le fait que la culture n'offre pas une manière spécifique de transmettre une vision du monde biblique aux générations futures ne devrait pas signifier que l'église ne devrait pas l'offrir. Nous devons refléter une autre culture, une culture du royaume. Disciples du Royaume Si vous voulez savoir ce qui compte le plus pour quelqu'un, lisez ses derniers mots. Alors que vous cherchez à être une femme du royaume, vous devez savoir ce qui compte le plus pour le roi, afin que cela puisse vous importer le plus. Heureusement, vous n'avez pas à vous poser la question. Juste avant Son ascension au ciel, Jésus nous a dit ce qui était le plus important pour Lui : Tout pouvoir au ciel et sur la terre m'a été donné. Allez donc, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, et enseignez-leur

à observer tout ce que je vous ai prescrit. Et sûrement Je suis toujours avec vous, jusqu'à la toute fin de l'âge. (Matthieu 28:18-20) Clairement, le mandat de Christ pour l'église est de faire des disciples. Cela signifie que Sa volonté pour vous est de devenir un disciple du royaume. Être un disciple de Christ signifie que vous devenez comme lui (Matthieu 10 :25). Cela s'accomplit non seulement en venant à l'église, mais aussi par le fait que l'église est un contexte pour des vies touchant des vies. Dans la deuxième lettre de Paul à Timothée, il a spécifiquement dit : « Et les choses que tu m'as entendu dire en présence de nombreux témoins, confie-les à des hommes dignes de confiance qui seront également qualifiés pour enseigner les autres » (2 :2). Le mot grec traduit par « hommes » dans ce passage est en fait anthrõpos , qui fait référence à « un être humain, qu'il soit de sexe masculin ou féminin ». [38] Dieu s'attend à ce que le discipolat soit fait non seulement par des hommes mais aussi par des femmes. Aujourd'hui, beaucoup de temps et d'efforts sont consacrés à rendre les femmes physiquement attirantes. Beaucoup d'argent et de temps sont consacrés à la mode, à la peau, aux soins capillaires et à l'exercice pour atteindre la plus grande beauté d'une femme. Pourtant, même la femme la plus exquise de la planète perd rapidement son charme et son magnétisme si elle ouvre la bouche et révèle un intérieur laid. Beaucoup trop de femmes sont couture à l'extérieur et marchandes à l'intérieur. Combien de temps et d'efforts sont offerts aujourd'hui pour rendre les femmes spirituellement attirantes ? En 1979, il y a eu une tentative d'introduire une représentation féminine dans le système monétaire américain avec le dollar Susan B. Anthony. Malheureusement, le concept n'a pas fait son chemin. L'une des principales raisons de l'échec de cette nouvelle pièce était que le dollar Susan B. Anthony ressemblait trop à un quart . Il avait la valeur d' un dollar mais l'apparence d'un quart. Cela contraste avec ce que de nombreuses femmes essaient de réaliser aujourd'hui, à savoir l'apparence d' un dollar mais la richesse interne d'un quart seulement. Cela conduit à la confusion, à la déception et au drame à bien des égards simplement parce que les femmes n'ont pas développé au sein de l'église un système pour produire des femmes du royaume de qualité et coûteuses, à la fois à l'intérieur et à l'extérieur. Mesdames, Dieu ne veut pas que vous ressembliez à un dollar et que vous ne soyez qu'un quart. Il veut que votre valeur spirituelle interne corresponde aux efforts que

vous avez déployés à l'extérieur pour être la pleine expression de la femme du royaume pour laquelle vous avez été créée. Dans la lettre de Paul à Tite, il a donné des instructions spécifiques aux femmes pour les encourager à vivre resplendissant avec la pleine gloire que Dieu destine à chaque femme du royaume : De même, apprenez aux femmes plus âgées à être respectueuses dans leur manière de vivre, à ne pas être des médisantes ou des adonnées à beaucoup de vin, mais à enseigner ce qui est bon. Ensuite, elles peuvent entraîner les jeunes femmes à aimer leurs maris et leurs enfants, à se contrôler et à être pures, à être occupées à la maison, à être gentilles et à se soumettre à leurs maris , afin que personne ne diffame la parole de Dieu. (2:3–5) Tout d'abord, Paul a spécifiquement fait référence aux femmes âgées. Veuillez noter qu'il n'a pas dit « vieilles » femmes. Il existe une différence. Une femme plus âgée n'est pas nécessairement une vieille femme. Cela signifie simplement une femme qui a terminé la partie substantielle de l'éducation de ses enfants. Il se pourrait qu'elle ait atteint le stade du nid vide. Mais cela ne veut pas dire qu'elle ne travaille plus ou qu'elle ne s'implique plus activement dans sa maison, son église et sa communauté. Cela signifie simplement qu'en termes de cycle de vie, les journées parentales sont probablement terminées. L'âge spirituel doit également être proportionnel à l'âge physique. Paul parlait des femmes qui avaient traversé les leçons spirituelles de la vie, avaient grandi et avaient surmonté un certain nombre d'expériences difficiles. Il parlait d'une femme qui a vécu assez longtemps pour voir le bien, le mal et l'amertume que la vie a à offrir. Pourtant, elle a également suffisamment appris pour être en mesure de transmettre désormais de précieuses leçons aux jeunes femmes qui la suivent. C'est une femme qui a été exposée à la vérité spirituelle et l'a appliquée pendant un temps raisonnable. L'utilisation de vos dons dans les églises locales n'est pas simplement accessoire mais est essentielle pour que l'église devienne ce qu'elle est censée être. Les femmes sont libres d'agir dans n'importe quel aspect du ministère de l'église, sauf en tant qu'autorité finale. Lorsque Paul a utilisé le mot de même , il ramenait le lecteur ou l'auditeur à ce qu'il avait dit précédemment au sujet des hommes. Essentiellement, il veut que les mêmes

qualités qu'il vient d'énumérer - être "modérées, dignes de respect, contrôlées et saines dans la foi, dans l'amour et dans l'endurance" (verset 2) - soient également des qualités de caractère des femmes du royaume. Ces qualités de caractère se manifestent alors dans le respect. Le mot respectueux va de pair avec le concept d'adoration. En déclarant que les femmes âgées doivent être des femmes respectueuses, Paul a évoqué l'image d'un style de vie d'adoration. Ce type de femme considère toute sa vie comme une représentation d'un Dieu saint. La révérence ne se manifeste pas simplement lorsqu'elle est à l'intérieur des murs de l'église, mais son comportement le met en évidence à l'extérieur de l'église dans la façon dont elle se conduit et se comporte. Un style de vie adorateur implique une orientation qui considère toute la vie comme sacrée. Que vous soyez à l'église, à la maison, au travail ou dans votre communauté, quoi que vous fassiez, c'est à la gloire de Dieu le Père et de Jésus-Christ, son Fils. Peut-être avez-vous grandi avec votre mère ou une grand-mère qui reflétait ce style de vie, alors vous savez de quoi parlait Paul. Je l'ai fait. Ma mère faisait référence à tout et n'importe quoi dans la vie comme se connectant avec Dieu d'une manière ou d'une autre. Elle voulait que nous sachions que Dieu était au milieu de tout et que tout dans nos vies était en quelque sorte lié à sa providence, à son implication et à son plan. Même si ce qu'elle disait ou faisait dérangeait son entourage, elle n'hésiterait pas à relier le sacré à toute la vie, car sa vie était vécue dans une attitude d'adoration. Paul a indiqué que la maturité spirituelle pour une femme du royaume devrait produire un style de vie de révérence et d'adoration. Vous saurez qu'une femme est une femme du royaume si elle sait tenir sa langue. Je vois beaucoup de femmes dans l'église aujourd'hui vivre dans un esprit de médisance. Pour avoir l'air plus spirituel, ils disent qu'ils sont « préoccupés », « attentifs » au « meilleur intérêt » de quelqu'un, « avertissent » quelqu'un ou « prient pour » quelqu'un. Mais ceux qui les entourent savent qu'ils ne peuvent pas être « préoccupés » par tout le monde tout le temps ; c'est juste une couverture pour une femme empêtrée dans le péché des commérages. Des mots calomnieux et dégradants à propos d'un tiers qui n'est pas au courant de la conversation n'utilisent pas votre langue vers Dieu. Ce qu'il fait vraiment, c'est alerter les autres de votre propre immaturité spirituelle. Utiliser votre langue pour abattre les

autres finit par vous abattre. C'est un signe néon d'immaturité et de manque de spiritualité. Peu importe votre âge, la position d'influence que vous occupez ou votre titre, votre langue révèle le niveau de votre maturité spirituelle, et c'est ce qui compte quand Dieu part à la recherche d'une femme du royaume à utiliser pour son ordre du jour de la gloire et du royaume. Plus une femme devient mature, plus elle est sûre d'elle-même et de sa relation avec Dieu. Cela la libère pour construire les autres, aider les autres et ne pas transmettre un commérage quand il croise son chemin. Pour les femmes qui bavardent comme mode de vie - je les connais et vous les connaissez - tout ce qu'elles démontrent vraiment est leur propre manque spirituel. Paul a dit qu'un autre aspect que vous remarquerez chez une femme mûre est qu'elle n'est pas asservie à beaucoup de vin (Tite 2:3). L'idée ici est que les substances ne contrôlent pas sa vie. Elle n'a pas besoin de courir au centre commercial, à la bouteille de vin, au club social, aux antidépresseurs pour insuffler du dynamisme dans sa vie ; son dynamisme vient de sa relation avec Jésus-Christ. Une femme spirituellement mûre a fait de Dieu sa substance de choix. Un professeur de ce qui est bon L'une des choses qui devraient marquer une femme du royaume concerne son ministère d'enseignement. Chaque femme qui a élevé des enfants, traversé les batailles du mariage ou réussi à naviguer dans le célibat a développé des compétences de vie qui doivent être transmises à celles qui n'y sont pas encore allées et qui l'ont fait. Paul a dit qu'une femme mûre enseigne ce qui est bon (Tite 2:3). Elle n'enseigne pas seulement des choses pour le plaisir d'enseigner des choses. Elle n'enseigne pas non plus à se promouvoir, à se faire paraître importante ou à être le centre d'attention. Une femme mature du royaume enseigne des leçons de vie bénéfiques et utiles tout en investissant dans les jeunes femmes qui apprennent encore. Dans l'église, chaque femme âgée devrait être enseignante et chaque jeune femme devrait être étudiante. C'est particulièrement critique aujourd'hui, car nous avons une génération de femmes plus jeunes qui n'ont même pas vécu assez longtemps pour que leur vie soit aussi gâchée qu'elles. Et les femmes plus âgées et spirituellement mûres sont rares. Les jeunes femmes ont besoin d'encouragements. Un encourageur est quelqu'un qui est appelé à ses côtés pour aider. L'encouragement implique bien plus que des informations

en classe, de la doctrine, des études bibliques, etc. L'encouragement implique de marcher à côté de quelqu'un et d'aider. C'est plus qu'offrir une leçon en trois points sur ce que signifie être une femme du royaume. Les femmes matures du royaume doivent apporter plus que de simples informations à la table ; ils doivent apporter l'expérience de traverser la vie. Il fut un temps dans notre culture où les valeurs chrétiennes étaient transférées automatiquement. Il fut un temps où les femmes faisaient des femmes des disciples, non pas parce qu'il y avait un programme et qu'on leur disait qu'elles devaient faire des femmes des disciples, mais parce que c'était ainsi qu'elles vivaient. Les femmes plus âgées ont enseigné aux plus jeunes les bases de la cuisine, du nettoyage, du travail, de l'amour et des soins pour elles-mêmes et pour leurs maris et leurs enfants. Ils ont enseigné les priorités, les valeurs, la moralité, la modestie, etc. Pourtant, avec la montée de l'autonomie, de l'autosuffisance et de l'indépendance, l'atmosphère enseignantapprenant a disparu. Souvent aujourd'hui, lorsque des femmes se réunissent avec d'autres femmes pour des études bibliques ou en petits groupes, cela ne se passe pas dans une atmosphère d'enseignante-apprenante. Souvent, tout le monde dans la salle incarne une posture d'enseignant, et il n'y a pas d'apprenants. Ou tout le monde vient simplement parler et avoir un endroit où il peut parler de ses propres expériences, ou de celles de quelqu'un d'autre, tandis que le concept entier de discipulat est négligé. Le simple fait de se réunir en tant que groupe de femmes à travers les générations ne constitue pas nécessairement une formation de disciple. Le discipulat se produit dans le contexte d'une relation responsable. L'attitude de l'enseignant et l'attitude de l'apprenant doivent accompagner le cœur de la discussion pour que la transformation de la vie prenne racine. Pourtant, quelque part sur la voie de l'autonomie, l'esprit de responsabilité dans le mentorat et la direction de la prochaine génération a laissé non seulement nos femmes mais aussi nos hommes. L'indépendance et l'autosuffisance que nous apprécions tant entravent souvent un modèle de discipulat biblique que d'autres cultures soutiennent plus naturellement et, même à ce jour, continuent de vivre de manière organique. Beaucoup dans notre culture d'église ont perdu cette approche du discipulat et se sont contentés de simplement se rassembler.

À cause de cela, nous sommes devenus largement inefficaces en tant que corps d'église, même si nous avons de multiples rassemblements, de nombreuses études bibliques et de nombreux petits groupes. Sans pratiquer le modèle que Paul a présenté, l'église n'est pas efficace. Il doit y avoir un esprit enseignant et un esprit apprenant présents. Nous n'en avons pas assez. Cela explique pourquoi tant de femmes, bien qu'occupées par des choses "spirituelles", sont si loin d'être de vraies femmes du royaume. Le discipulat de Titus 2 au sein de l'église locale implique bien plus que des dames se réunissant pour un café ou un déjeuner, pour être entendues, pour bavarder ou pour passer le temps d'une manière qui n'implique pas les tâches de prendre soin d'une maison et d'une famille . Le discipulat implique la traduction continue d' une perspective de vie par ceux qui ont vécu et appris à ceux qui sont désireux d'apprendre. Une femme m'a dit un jour que pendant qu'elle était dans une autre église voisine, elle a aidé à démarrer un ministère de Titus 2. Plusieurs des jeunes femmes se sont inscrites et étaient impatientes de participer au processus de formation de disciples. Pourtant, alors que cette église serait considérée comme une église doctrinalement saine, et même plus grande que votre église de taille moyenne, ils ne pourraient pas amener une femme plus âgée et spirituellement mûre à accepter de faire des disciples les autres. Cette pénurie de discipulat se manifeste dans le grand nombre de femmes qui gravitent autour de la télévision laïque basée sur le discipulat. Inné en nous est le désir d'apprendre et de grandir. Cela rend ces personnalités de la télévision qui adoptent un personnage semblable à un mentor extrêmement populaires. Quelques exemples incluent Oprah, le Dr Phil, le casting de The View et le Dr Oz. Il y a un cri pour le discipulat parmi nos femmes aujourd'hui. Ils auront un esprit enseignable s'ils sont placés parmi ceux qu'ils respectent et qui dirigent avec un style confiant d'encouragement dépourvu de langage dégradant, dénigrant ou bavard. Le but de l'enseignement est de partager des choses que les jeunes femmes ne peuvent pas voir ou n'ont pas vues et de les aider à placer les choses dans leur vie dans un ordre approprié. D'abord et avant tout, Paul a souligné dans Tite 2:4 que les femmes doivent être encouragées à aimer leurs maris. Cela peut également s'appliquer à la préparation

des femmes qui ne sont pas encore mariées afin qu'elles soient équipées si elles se marient . Cela semble être une demande étrange dès le début. Pourquoi devriez-vous enseigner et encourager quelqu'un à aimer la personne dont elle est tombée follement amoureuse et s'est mariée ? Il est utile de comprendre le contexte de ce passage. À l'époque biblique, l'idée de sortir ensemble pour se marier était inexistante. Au contraire, les compagnons étaient souvent choisis pour vous. Semblable à la façon dont Isaac et Rebekah se sont mariés peu de temps après s'être vus, c'était donc à l'époque du Nouveau Testament. Cela pourrait s'avérer être un défi d'aimer un mari que vous ne connaissiez même pas et avec qui vous étiez pourtant placé dans une relation intime. Les femmes qui étaient passées par le processus d'apprendre à aimer le compagnon qu'on leur avait donné devaient enseigner la même chose aux plus jeunes. Sur la base de ce seul passage, nous savons qu'apprendre à aimer bibliquement est possible. L'amour biblique peut être appris lorsqu'il est enseigné à partir de la bonne source. L'amour biblique n'est pas basé sur une base de plaisir mutuel, d'attirance ou même d'avantages. L'amour biblique signifie rechercher le meilleur de l'autre au nom de Dieu. Tant que vous resterez le centre de votre univers, l'amour sera toujours un combat. L'amour peut être défini comme "poursuivre avec droiture et passion le bien-être d'autrui". Il n'y a pas de place pour l'égoïsme dans cette définition. Cela ne dépend pas non plus de la satisfaction personnelle. Comme note avant de continuer, cela ne signifie pas qu'une femme doit rester dans une relation abusive ou contrôlante. Lorsqu'un homme se retire de la direction et du règne de Jésus-Christ et agit d' une manière préjudiciable à la femme qu'il a épousée, ce n'est pas de l'amour pour rester et permettre à son comportement de continuer. Souvent, la chose la plus aimante à faire est de se dresser contre un comportement abusif afin qu'il puisse en être tenu responsable, prendre conscience de ses actes répréhensibles et se soumettre à Dieu. Aimer un agresseur nécessite souvent de quitter un agresseur pour un temps de séparation physique, car alors vous ne permettez plus à un agresseur de continuer dans un style de vie de péché. Lorsque cela se produit, il est important de demander conseil aux dirigeants de l'église tout au long du processus de séparation. Dans notre église, nous tenons un tribunal de l'église chaque semaine où des questions comme celles-ci, et d'autres, peuvent être examinées et régies.

Honorer la Parole de Dieu Paul a également exhorté les femmes du royaume dans l'église à enseigner et à encourager les jeunes femmes à être « contrôle d'elles-mêmes et pures, à être occupées à la maison, à être gentilles et à être soumises à leurs maris, afin que personne ne calomnie le parole de Dieu » (Tite 2:5). Être maître de soi signifie prendre de bonnes décisions avec un bon jugement. Cela se produit uniquement en raison de l'utilisation d'une perspective divine. La pureté comprend à la fois les actions et les attitudes. Les femmes du Royaume comprennent que la pudeur ne s'incline pas devant le style. Vous pouvez toujours bien paraître et avoir du style tout en vous habillant modestement. La pudeur peut être définie comme « s'habiller d'une manière qui n'attire pas l'attention inappropriée sur soi-même ». Une attention inappropriée peut être attirée soit par un sous-vêtement (est-ce trop haut ? Trop bas ? Trop serré ?) ou par un survêtement (ce que vous portez est-il opulent, extravagant ou centré ?). Gardez à l'esprit que la pureté va au-delà des vêtements. La pureté implique un état d'esprit - ce à quoi vous pensez, voyez, écoutez, désirez et discutez. Nous avons examiné les parties de ce passage se concentrant sur la gestion de la maison dans le chapitre précédent, donc je n'entrerai pas dans les détails ici. Fondamentalement, Paul exhortait une femme du royaume à donner la priorité à sa maison par rapport aux autres voix concurrentes. Mesdames, votre maison est un lieu spirituel. En le gardant bien, non seulement vous offrez un culte à Dieu, mais vous obéissez également à sa haute vocation sur votre vie. Si vous avez une famille, ce qui inclut le fait d'être un parent célibataire, n'oubliez jamais que maintenir et développer votre famille pour la gloire de Dieu est un acte spirituel que Dieu tient en haute estime. Non seulement il pourvoira à tous vos besoins pour l'honorer ainsi que sa Parole à travers ce que vous faites en ce qui concerne votre famille, mais il vous honorera également comme vous l'avez honoré. Dieu honore ceux qui l'honorent (1 Samuel 2:30). Paul a spécifiquement lié le caractère de la femme du royaume à un principe spirituel d'honorer la Parole de Dieu; les choix de vie d'une femme du royaume transcendent à la fois la culture et le temps. En fait, en honorant la Parole de Dieu à travers vos pensées et vos actions, vous faites le tour complet de ce dont Eve est devenue la proie dans le jardin. Satan a délibérément remis en question la Parole de Dieu à Eve lorsqu'il

a dit : « Dieu a-t-il vraiment dit…. . . ?" (Genèse 3:1). C'est le déshonneur même de la Parole de Dieu qui a conduit à la rébellion et au péché d'Ève. En honorant la Parole de Dieu, vous provoquez une inversion du péché dans le jardin tout en invitant les bénédictions et la paix de Dieu dans votre vie. Suivre ces enseignements établis par Paul est une chose très spirituelle avec des ramifications spirituelles. Chroniques de Crystal J'ai probablement lu la plupart, sinon la totalité, des livres de PD Eastman encore et encore à chacun de mes enfants lorsqu'ils tiennent parfaitement sur mes genoux et qu'ils s'accrochent à chaque mot. Êtes-vous ma mère? est l'un de nos préférés. Dans ce livre, une mère oiseau veille sur son œuf. Juste avant l'éclosion, elle part chercher de la nourriture pour son bébé oiseau qui va bientôt naître. Bien sûr, juste au moment où elle est hors de vue, le bébé oiseau éclot et tout le livre raconte l'histoire de la recherche du petit oiseau pour retrouver sa mère - quelqu'un pour le nourrir, l'instruire, le nourrir et le protéger. Aujourd'hui, les femmes de tous âges et de tous horizons recherchent des mères - une autre femme qui peut marcher avec elles, les former et les guider dans les meilleures façons de parcourir leur route particulière. Tout comme une bonne mère physique a la capacité de prendre soin de ses enfants, de les aimer et de leur montrer la voie pour mener une vie productive, responsable et heureuse, une bonne mère spirituelle est nécessaire pour fournir les mêmes choses à ceux qui ses soins. Nos communautés sont remplies de femmes qui sont en quelque sorte des « bébés » parce qu'elles . . . sont nouvelles dans la foi chrétienne et ont besoin d'autres femmes pour leur montrer le chemin de la maturité spirituelle. Je veux vivre comme une femme célibataire qui réussit et j'ai besoin d'une autre femme qui « a été là et qui a fait ça » pour expliquer exactement ce que cela signifie et comment le faire concrètement. n'ont pas la connaissance pratique de la façon d'être de bonnes mères pour leurs propres enfants et ont besoin d'autres femmes pour leur montrer les ficelles de la maternité pieuse.

portent des charges incroyablement lourdes de maladie, de divorce, de problèmes financiers ou de détresse émotionnelle et ont besoin que d'autres femmes prennent soin d'elles, les aiment, les écoutent et prient avec elles. De plus, en l'absence de maternité spirituelle dont Titus 2 dit que nous avons besoin, nous avons une génération de femmes qui apprennent la définition mondiale de la femme à travers la télévision, les films, les magazines et une cargaison de livres d'auto-assistance. Ainsi, les femmes qui sont des bébés dans un domaine particulier de leur vie se retrouvent perdues parce qu'elles ne trouvent pas de mère, ou finissent par souffrir de luttes inutiles comme le vilain petit canard qui a subi des abus et de la négligence avant de réaliser qu'il n'appartenait pas là où il était en premier lieu. Que dit la Bible sur ce concept de maternité spirituelle ? Dans Genèse 3:20, "Adam nomma sa femme Eve, car elle deviendrait la mère de tous les vivants." Dans Genèse 17 : 15-16, « Dieu dit aussi à Abraham : ' Quant à Saraï, ta femme, tu ne l'appelleras plus Saraï ; elle s'appellera Sarah. Je la bénirai et je te donnerai sûrement un fils par elle. Je la bénirai afin qu'elle soit la mère des nations ; des rois de peuples sortiront d'elle. » Dans Genèse 24:59-60, « Rebecca [fut envoyée] en chemin. . . . Et ils bénirent Rébecca et lui dirent : « Notre sœur, puisses-tu augmenter jusqu'à des milliers et des milliers ; que ta progéniture possède les portes de ses ennemis.' ” Sur la base de ces trois versets, ces trois femmes étaient liées d'une manière intéressante. Les trois femmes ont reçu une commission pour la fécondité avant qu'elles ne soient physiquement fécondes. Le nom d'Eve était basé sur une attente de fécondité. Le nom de Sarah a été changé sur la base d'une attente de fécondité fondée sur un miracle. Rebekah a reçu une bénédiction de fécondité à l'origine de sa nouvelle vie de femme mariée, ce qui signifie qu'elle a subi un changement de nom. Qu'est-ce qui est significatif ici ? Chaque fois qu'une femme a subi un changement de nom ou un changement d'identité, elle a également hérité d'un appel à la fécondité. Une chose amusante et parfois irritante pour une femme nouvellement mariée est la question régulière qu'elle reçoit dès qu'elle se marie : "Quand vas-tu avoir un bébé ?" Pourquoi les gens posent-ils cette question ? C'est parce qu'avec le changement d'identité vient une attente de fécondité. Romains 7 : 4 dit : « Vous aussi, vous êtes morts à la loi par le corps de Christ, afin que vous apparteniez à un autre, à celui qui est ressuscité des morts, afin que nous portions du fruit pour Dieu. »

Jean 15:8 dit : "C'est à la gloire de mon Père que vous portiez beaucoup de fruit, vous montrant comme mes disciples." Ma sœur, si tu es chrétienne, tu as une nouvelle identité et tu es appelée à porter du fruit. Et bien que cela semble différent pour chacun de nous selon l'étape de la vie dans laquelle Dieu nous place, le principe est cohérent avec Matthieu 28:19, où il nous est dit de faire des disciples. Imaginez que nous sommes des pommiers et que nous voulons produire une récolte aussi abondante que possible. La meilleure façon d'y parvenir n'est pas seulement d'essayer de faire pousser plus de pommes, mais de produire plus de pommiers ! C'est à la gloire de Dieu que nous fassions tout ce que nous pouvons pour faire avancer son programme et son royaume. Mais un jour chacun de nous ne sera plus sur cette terre. Nos « pommiers » finiront par dépérir et mourir. La seule façon de s'assurer que la vision de Dieu pour la féminité biblique continue est de la transmettre à une autre femme qui peut continuer à porter des fruits et planter de nouvelles graines pour faire pousser de nouveaux "arbres". Tout comme Dieu a conçu tous les êtres vivants pour qu'ils se reproduisent physiquement, il veut que son peuple se reproduise spirituellement. Votre saison peut déterminer la saveur de vos fruits, mais elle ne devrait pas déterminer le niveau de votre fécondité. Former des disciples Vous savez, Jésus aurait facilement pu faire de Son ministère terrestre un acte solitaire, parcourant seul le pays pendant qu'Il prêchait, guérissait et enseignait. Au lieu de cela, il a choisi de prendre douze hommes sous son aile et de les entraîner à transmettre son message après son retour auprès du Père. Les douze disciples de Jésus sont devenus les fondateurs de l'église primitive, et ils en ont à leur tour formé d'autres pour faire des disciples de toutes les nations. L'implantation de l'évangile par Jésus dans le cœur de douze hommes continue de porter du fruit partout dans le monde aujourd'hui. Alors qu'est-ce que Jésus a fait exactement ? Que pouvons-nous apprendre de son exemple ? Tout d'abord, Jésus a passé du temps avec ses disciples. Il était accessible. Dans Jean 1 : 37-39, deux des disciples ont suivi Jésus et ont voulu savoir où il séjournait. «

'Venez,' [Jésus] a répondu, 'et vous verrez.' Ils allèrent donc voir où il demeurait et passèrent cette journée avec lui. Je sais que beaucoup d'entre nous ont du mal à passer suffisamment de temps avec nous-mêmes, et encore moins avec les autres ! Nous sommes occupés, fatigués, surmenés et stressés. Cependant, nous ne pouvons pas laisser le rythme du monde dicter le rythme auquel nous opérons, surtout si ce rythme fait obstacle aux mandats de Dieu pour nous en tant que disciples de Jésus. Quand j'étais à l'école, mes professeurs demandaient deux choses dans mes premières années d'enseignement de l'écriture : (1) laisser une marge sur les côtés gauche et droit du papier, et (2) sauter une ligne. Mes professeurs m'ont demandé de faire les deux choses pour une raison. Ils voulaient aussi de la place pour écrire ! Ils voulaient pouvoir apporter des corrections, me faire des suggestions et ajouter de meilleures façons d'exprimer mes pensées ou de faire valoir mon point de vue. Laissez-moi vous dire que Dieu veut la même chose. Il veut que vous viviez d'une manière qui lui laisse la place de vous dire comment passer votre temps, avec qui passer du temps et comment vous exprimer au mieux dans le contexte de l'engagement des autres. Laissez de la marge – faites de la place pour les activités et les personnes que Dieu veut dans votre vie. Je sais ce que vous pensez. Et moi? Qu'en est-il de mon temps ? Regardons encore une fois la vie de Christ. Notre Sauveur a pris le temps de se retirer et de s'éloigner pour être avec le Père. Mais la clé ici est que Jésus a passé le temps dont Il disposait à faire des choses qui étaient importantes pour le Père. Il savait qu'Il opérait sur une durée limitée, et Il savait qu'Il ne pouvait pas se permettre de perdre ne serait-ce qu'une minute à faire quelque chose qui n'avait pas d'importance pour l'éternité. Nous n'avons pas non plus ce luxe. Le Psaume 62: 5 dit: «Mon âme, attends-toi seulement à Dieu; car mon attente vient de lui » (KJV). Lorsque nous considérons que notre temps est le sien, Dieu ne nous dira pas seulement comment le dépenser, mais il nous fournira également le repos et le rafraîchissement dont nous avons besoin. Nous ne pouvons pas nous occuper à faire de bonnes choses et ensuite utiliser ces bonnes choses comme excuse pour sauter les meilleures choses de Dieu. Il a été clair dans Sa Parole sur ce que sont les meilleures choses.

Deuxièmement, Jésus a formé les disciples. Dans Luc 11, les disciples ont demandé à Jésus de leur apprendre à prier, et Jésus a modélisé à quoi la prière devrait ressembler. Pour qui pouvez-vous être un modèle? Qu'avez-vous appris ou traversé que vous pouvez enseigner à une autre femme pour qu'elle n'ait pas à apprendre à la dure ? Mères, éduquez-vous vos enfants ? Élever des enfants est un travail utile et intentionnel. Cela ne se fait pas par osmose parce que vous les envoyez à l'école du dimanche. Dans le livre Professionalizing Motherhood, Jill Savage met les mères au défi de prendre le travail d'élever des enfants aussi sérieusement que n'importe quel travail rémunéré. Elle sous-entend que, ce faisant, les mères ont le pouvoir d'avoir un impact étonnant sur leurs enfants pour le royaume de Dieu. Si vous êtes une femme « aguerrie » qui se réjouit d'être à la retraite ou libre, cela ne vous déshérite pas du même métier de formatrice et de mannequinat pour d'autres femmes. Quelle jeune femme critiquez-vous en ce qui concerne son comportement, son attitude ou sa tenue vestimentaire ? Modélisez-vous la conduite et la disposition d'une femme qui aime Jésus ? Avez-vous un mot gentil d'encouragement pour les jeunes femmes de votre sphère d'influence ? La formation et le modelage ne sont pas des actes de jugement ou de critique mais des actions visant à atteindre le cœur de l'autre et à conduire doucement quelqu'un d'autre vers une place plus élevée en Christ. Êtes-vous une femme qui a réussi au travail? Comment partagez-vous votre sagesse et votre expérience avec d'autres qui s'efforcent d'utiliser leurs dons, leurs talents et leurs capacités pour la gloire de Dieu ? Qu'avez-vous appris sur la découverte et le renforcement de vos forces et la maximisation de votre potentiel ? Les possibilités sont infinies. Chaque femme a appris quelque chose, peu importe jusqu'où elle est allée. La question n'est pas de savoir s'il y a quelqu'un que vous pouvez former, former ou modeler. Vous n'avez qu'à vous arrêter et demander au Seigneur qui est cette personne ! À qui le Seigneur vous fait-il penser alors que vous lisez ce livre en ce moment ? Un membre de la famille, une femme plus jeune, un ami, un enfant même ? Quelle connexion Dieu vous demande-t-il d'établir ? Enfin, Jésus a servi ses disciples. Jean 13:5 raconte l'histoire de la façon dont Jésus, Fils du Dieu vivant, membre de la Sainte Trinité, a lavé les pieds de ceux qui l'ont

suivi. Il n'avait aucune idée de qui il était, d'où il venait, de ce à quoi il avait droit ou de ce que les autres lui devaient. Il a servi parce qu'en agissant ainsi, il a illustré le plus grand acte de vraie maturité : la volonté de se rendre disponible pour les autres. Jésus, le même Jésus qui est assis à la droite de Dieu, s'est humilié et a fait ce qu'il n'avait pas à faire. Jésus a fait une petite chose en apparence lorsqu'il a lavé les pieds des disciples, mais c'est ce même esprit d'humble servitude qui lui a permis de porter tous nos fardeaux sur la croix. Jésus n'a pas porté son propre fardeau; Il était prêt à porter le fardeau des autres qui ne méritaient pas Son sacrifice. Et ce faisant, il a montré à beaucoup de gens l'amour de Dieu le Père. Alors, pour qui êtes-vous une mère spirituelle, en particulier dans votre église locale ? Où donnez-vous vie aux paroles de l'Écriture dans vos activités quotidiennes ? Chaque jour, des femmes naissent dans l'église. Ils sont nouveaux dans la foi chrétienne, nouveaux dans le mariage, nouveaux dans la monoparentalité, nouveaux dans le célibat, nouveaux dans une deuxième carrière, nouveaux dans la maternité, nouveaux dans une vie saine, nouveaux dans votre église. Beaucoup d'entre eux demandent : « Es-tu ma mère ? Ils veulent savoir si vous prendrez le temps de les former, de les former, de les servir et de les diriger vers le Seigneur. Vous vous demandez peut-être à quoi devraient ressembler la maternité spirituelle et le mentorat de Tite 2 dans le contexte de l'église locale. L'une des façons dont notre église tente de fournir une plate-forme pour que le mentorat ait lieu est par le biais de petits groupes. Les femmes se réunissent deux fois par mois pour fraterniser et s'encourager alors qu'elles discutent de l'application de la vérité basée sur le sermon. Une autre façon d'encourager la connexion spirituelle et la fraternité est grâce à des cours spéciaux axés sur les besoins des femmes. Certaines de ces classes sont basées sur une saison de la vie comme la maternité, le mariage ou devenir une femme pieuse. D'autres cours sont axés sur la guérison et la récupération de situations difficiles comme la dépendance, les luttes émotionnelles ou les dettes. Ce sont des cours qui, bien qu'ils ne durent qu'un certain temps, offrent aux femmes l'occasion de se connecter avec d'autres personnes dans notre corps qui marchent sur la même route qu'elles.

Dans ces cours, les femmes partagent les avantages de leur expérience en utilisant leurs dons (que ce soit dans la coiffure, la cuisine, l'organisation, etc.) avec d'autres femmes. L'église est un endroit merveilleux où vous pouvez utiliser les dons que Dieu vous a donnés ! Parfois, cela peut signifier faire preuve de créativité ou découvrir de nouvelles façons d'utiliser vos expériences et votre expertise dans la vie pour avoir un impact sur les autres, renforcer l'église ou faire avancer le royaume. Dieu vous a donné des dons spécifiques à utiliser pour Ses desseins au sein de Son corps de croyants. L'utilisation de vos dons et de votre expertise est essentielle à la construction de l'église. Enfin, les femmes prennent le temps de s'amuser ensemble à travers des événements féminins organisés tout au long de l'année. Notre conférence annuelle des femmes est l'un de ces événements et lance notre ministère des femmes pour la prochaine année civile. Il est suivi de «Titus 2 Super Saturdays», où les femmes se réunissent deux fois par an pour une journée complète de camaraderie, y compris une assemblée générale, des temps de conversation interactifs et des sessions sur divers sujets, intérêts communs, passe-temps et saisons de la vie. . Ensuite, ils s'assurent de laisser du temps pour s'amuser ! Les sorties sociales et les rencontres aident les femmes à se connaître et à vivre ensemble, en veillant à ce qu'aucune femme à l'église ne soit seule.

Le ministère d'une femme du royaume Gardez à l'esprit que servir les autres et s'aimer les uns les autres avec les dons et les compétences que Dieu vous a donnés devrait s'étendre au-delà des murs de l'église. Aider les enfants dans le besoin est un bon point de départ. Les enfants vivant dans une famille nucléaire sont aujourd'hui minoritaires. Avoir le « luxe » de vivre dans un foyer biparental n'est pas une réalité pour la plupart des enfants. Les parents seuls doivent souvent cumuler deux emplois juste pour joindre les deux bouts, et ils ne peuvent pas être à la maison autant qu'ils le souhaiteraient. Ce manque de mentorat parental peut laisser un trou béant dans la vie émotionnelle et spirituelle de leurs enfants. En tant que femme du royaume, vous pouvez avoir un impact positif sur la société en vous associant à votre église dans une sensibilisation localisée des écoles publiques. Cela pourrait inclure le mentorat, le tutorat ou toute autre forme de service de soutien familial. L'initiative Adopt-a-School de l'Église nationale forme les églises et les

dirigeants d'église à la mise en œuvre de ce modèle missionnaire localisé. Il s'agit d'une approche évolutive pour maximiser les dons et les compétences du corps de Christ et les mettre à profit pour le royaume. ( voir l'annexe L'Alternative Urbaine pour plus d'informations.) Chaque femme du royaume a un ministère auprès d'une autre femme à travers l'église locale. C'est une question de prière et de direction de Dieu pour comprendre à quoi ressemble le discipulat pour vous. Votre travail consiste à rechercher le Seigneur pour sa sagesse en sachant ce que vous avez reçu, vécu ou enduré dans votre vie qui serait une bénédiction pour quelqu'un d'autre. Si vous avez besoin de faire des disciples, votre travail consiste également à prier pour que Dieu vous dirige vers une femme qui peut partager sa vie avec vous et vous aider à grandir dans votre foi afin que vous puissiez expérimenter toutes les possibilités que Dieu a prévues pour votre vie. .

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UNE FEMME DU ROYAUME ET SA COMMUNAUTÉ

L'année était 1955; l'emplacement Montgomery, Alabama. L'environnement empestait la toxicité raciale qui se manifestait principalement dans la ségrégation des Jim Crow Sud. Bien que de simples centimètres séparaient la onzième rangée de la zone réservée aux Blancs dans le bus conduit par James F. Blake, elle représentait un abîme qui existait entre l'égalité et la justice vécues par les citoyens blancs et noirs à cette époque. Assise au onzième rang se trouvait une femme calme, introvertie, mais résolument forte, nommée Rosa Parks. Un homme blanc est monté à bord du bus, et le chauffeur - un homme qui avait auparavant pris l'argent de Rosa et était parti avant qu'elle ne puisse monter à l'entrée arrière du bus - a cherché à la rabaisser une fois de plus. Rosa reconnut son visage alors qu'il se tournait pour lui dire de se lever et de bouger pour que l'homme blanc puisse s'asseoir. Qui pourrait oublier ces yeux d'acier et insensibles ? Rosa venait de suivre un cours sur l'injustice sociale et économique plus tôt dans l'année, un cours dans lequel les protestations non violentes avaient été mises en avant. Pourtant, en tant qu'enquêteur principal chargé d'affaires d'agressions sexuelles contre des femmes noires par des hommes blancs au cours de la décennie précédente, y compris le tristement célèbre viol collectif de Recy Taylor, Rosa savait très bien à quoi la non-conformité pourrait finalement conduire. Elle avait parfaitement le droit de chercher à se préserver et de déménager. Même ainsi, Rosa remarquera plus tard que le souvenir du jeune garçon noir brutalement assassiné Emmett Till aux mains d'hommes blancs jouait principalement dans son esprit lorsque James F. Blake lui a dit de bouger. Et à cause de cela, elle ne pouvait pas le faire, peu importe le risque qu'elle prenait. Rosa Parks est donc restée assise au onzième rang. Ils disent que les actions parlent plus fort que les mots, et vous pouvez dire ce que quelqu'un croit vraiment par ce qu'il ou elle fait. Les lèvres de Rosa n'offraient jamais d'explication à l'homme blanc qui se tenait debout à côté d'elle avec un air de droit, attendant de s'asseoir. Pourtant, les actions de la femme de quarante-deux ans

parlaient avec un tel volume qu'une nation entière ne pouvait s'empêcher d'entendre . [ 39] Sa décision simple mais profonde de refuser de céder son siège à un homme blanc qui l'avait réclamé, de ne plus accepter l'indignité d'une citoyenneté de seconde zone et de proclamer à la fois sa valeur et ses droits d'enfant de Dieu a modifié la trajectoire d'Amérique pour toujours. Ce seul acte a conduit à la naissance et à la maturation du mouvement des droits civiques tel que nous le connaissons, améliorant la vie d'innombrables personnes simplement parce que Rosa a décidé à la fois de maintenir et de conserver sa dignité. Rosa et son mari, Raymond, n'ont jamais eu d'enfants biologiques. Pourtant, elle restera à jamais dans les mémoires comme la mère du mouvement pour la liberté. Ses enfants sont légion. Son influence est aiguë et son héritage significatif. En tant que femme du royaume, vous avez été appelée à prendre soin de vous, à soutenir votre famille, à élever vos enfants et à honorer votre mari, mais vous avez également été appelée à avoir un impact maximum pour le royaume de Dieu. Vous ne devez pas nier les autres buts de votre vie, mais vous ne devez pas non plus vous limiter à eux. Une femme du royaume a un destin qui s'étend au-delà de sa maison - l'héritage que vous laissez à votre communauté et peut-être même à votre nation et au monde. Esther Tout comme Dieu a suscité une femme nommée Rosa pour mettre en mouvement le plus grand changement culturel de l'histoire américaine, Dieu a utilisé les femmes à travers les Écritures non seulement pour avoir un impact sur leurs communautés, mais aussi pour avoir un impact sur la nation. L'une de ces femmes était Esther. Esther était une diva. Dans le livre portant son nom, elle est décrite comme une femme "belle de forme et de traits" (2:7). Son nom signifie « étoile ». Quel que soit le pool génétique qui a amené cette femme du royaume nommée Esther, cela a définitivement joué en sa faveur. Pourtant, malgré les bénédictions intrinsèques d'Esther, elle a dû faire face à un certain nombre d'obstacles extrinsèques. Orpheline en bas âge, Esther a été élevée par son oncle Mordecai. Vivant en tant que race minoritaire dans un pays étranger, sans

beaucoup d'argent à leur nom, Esther et Mordecai faisaient face à des chances insurmontables de jamais percer le plafond de verre persan. Cependant, Esther briserait le plafond de verre avec sa propre expérience de pantoufle de verre Cendrillon. Gagner le cœur du roi grâce à un long processus mis en place pour localiser la prochaine reine, après que le roi Xerxès eut banni la reine Vashti de son rôle, Esther obtint l'honneur d'être appelée la nouvelle reine de Perse. Pour le moins que l'on puisse dire, notre fille Esther vivait bien. Peu de temps après son ascension vers la royauté, Esther fait face à un dilemme. Son propre peuple avait été mis en place pour l'anéantissement par le mal Haman à travers un décret légal et irréversible que son mari, le roi, avait signé. Esther découvrit bientôt, grâce à l'illumination de l'oncle Mardochée, qu'elle s'était élevée à une position de pouvoir "pour un temps comme celui-ci" (4:14). Après l'hésitation initiale d'Esther à risquer sa propre vie au nom de son peuple, Mardochée lui a expliqué que si elle ne se levait pas à ce moment-là, alors Dieu susciterait quelqu'un d'autre pour être le libérateur. Esther a pris à cœur les paroles de Mardochée, a demandé à son entourage de jeûner et de prier pendant trois jours, puis s'est approchée du roi pour rechercher sa faveur, au risque de perdre sa propre vie. Pour ceux d'entre vous qui ne connaissent pas l'histoire, le roi a étendu son sceptre d'or, la vie d'Esther a été préservée et elle a finalement gagné le droit de son peuple, les Israélites, à se défendre contre l'assaut. En conséquence, les Israélites ont pris les armes, non seulement pour se défendre, mais aussi pour vaincre leurs agresseurs, tandis que le méchant Haman a été pendu à la même potence qu'il avait construite pour Mardochée. La bravoure et le courage d'Esther, ainsi que sa position d'influence, ont fait d'elle une femme du royaume avec qui il fallait compter. Elle a assuré à elle seule le droit à la sécurité pour tout un groupe de personnes. Bien que cette histoire date d'il y a longtemps dans un royaume lointain, les principes de la vie d'Esther sont aussi pertinents que si les événements se produisaient aujourd'hui. Vous êtes-vous déjà demandé que Dieu vous ait peut-être ici dans son royaume « pour un temps comme celui-ci » ? Avez-vous déjà envisagé les possibilités

de votre propre pouvoir, à travers le Christ, d'avoir un impact non seulement sur votre famille, votre église et votre communauté, mais peut-être aussi sur votre nation ? Le royaume de Dieu implique Son règne, Ses desseins et Son programme. Dans le royaume, un principe primordial sonne vrai : vous êtes béni afin d'être une bénédiction. Vous êtes libéré pour vous libérer. Vous êtes racheté pour racheter. Peut-être avez-vous eu la chance d'avoir une excellente éducation ou une apparence physique favorable ou même une belle vie. Quoi que ce soit que Dieu vous ait donné, que ce soit un talent, un don ou une capacité unique dans la vie, Il l'a fait exprès. Non pas pour accumuler vos bénédictions, mais pour pouvoir utiliser la position qu'il vous a donnée pour réaliser ses desseins dans la vie des autres autour de vous. Chroniques de Crystal La femme samaritaine a été surprise lorsque Jésus lui a parlé directement. Et elle aurait dû l'être. À cette époque, les Juifs ne s'associaient pas à Samaritains. Ils étaient la sous-classe, les méprisés, les citoyens de second ordre. Dans Jean 4:9, elle dit : « Tu es Juif et je suis une Samaritaine. Comment peux-tu me demander à boire ? Les samaritains n'étaient pas considérés comme d'ascendance « pure ». Ils n'étaient pas considérés comme de véritables descendants des patriarches juifs. On croyait qu'ils étaient une race de personnes issues de mariages mixtes entre Hébreux et Assyriens après que l'Assyrie eut envahi et conquis le royaume du nord d'Israël vers 721 av. C'était un groupe de personnes considérées comme souillées à la fois racialement et spirituellement. Ils étaient considérés comme indignes, sans importance et sans valeur par ceux qui se considéraient comme de «vrais juifs» ou comme des personnes ayant droit à un héritage sacré. La femme au puits a en fait eu deux coups contre elle : c'était une Samaritaine, et bien, c'était une femme ! Ce n'était pas une pratique acceptée pour un homme juif de parler avec une femme en public. De plus, on soupçonne qu'elle n'était pas non plus très respectée en tant que femme dans sa propre communauté. La femme samaritaine est allée puiser de l'eau au puits à midi (Jean 4:6). Cela aurait été la partie la plus chaude de la journée, il est donc sous-entendu qu'elle est allée à ce

moment-là pour éviter d'aller en même temps que la plupart des autres femmes qui puisaient de l'eau au puits. Elle ne voulait pas se mêler à des gens qui pourraient la mépriser ou la ridiculiser. Cette femme ne répondait pas à la norme pour les Juifs. Cette femme ne répondait même pas aux normes de sa propre communauté. Elle était une paria. Et Jésus lui a parlé. Il lui a demandé de lui donner de l'eau. Il l'a invitée à une interaction, une conversation, une discussion sur un cadeau qui était disponible, même pour elle. Puis il lui offrit de l'eau vive. Une eau qui satisferait. L'eau qui venait de l'homme qui était au courant de sa vie souillée et voulait quand même lui faire un cadeau de Dieu. Et la Samaritaine voulait le cadeau. « Seigneur, donne-moi cette eau afin que je n'aie plus soif et que je n'aie plus à venir ici pour puiser de l'eau » ( verset 15). Elle voulait tellement cette eau vive qu'elle était prête à laisser Jésus l'appeler sur son style de vie (versets 16-19). Elle désirait tellement cette eau vive qu'elle a cherché à comprendre la différence entre la religion et une relation personnelle avec le Christ (versets 2026). Cette femme avait si désespérément besoin d'eau vive qu'avec un abandon ardent, elle laissa sa cruche d'eau au puits et courut parler aux autres habitants de sa ville de cet homme qui lui avait offert la vie (versets 28-30). Et ceux de sa ville ont cru. Ils croyaient que la femme était considérée comme une paria. D'abord à cause de sa parole (verset 39) et plus tard parce qu'ils ont fait l'expérience de Jésus par eux-mêmes (verset 42). Dieu a utilisé la femme de Samarie pour avoir un impact sur toute sa communauté. Elle a eu un double impact, évangélique et social. Elle a influencé sa communauté socialement parce qu'elle est devenue l'impulsion pour réunir deux groupes raciaux divers qui n'avaient aucun lien. C'était si efficace que Jésus est allé passer le weekend avec les Samaritains. Elle est devenue la porte par laquelle Jésus est venu et est resté parmi les gens de sa communauté. Même si elle était une femme au passé mouvementé, Dieu l'a utilisée pour influencer la vie de ceux qui l'entouraient, ce qui montre que Dieu peut et utilisera n'importe qui aux fins de son royaume lorsque cette personne répond à sa vérité.

Une femme du royaume n'est pas une femme parfaite. C'est une femme pardonnée. C'est une femme qui a été aimée par le Maître malgré son passé, ses faiblesses, ou ses combats. Elle est audacieuse. C'est la femme qui, parce qu'elle n'a plus rien à perdre, met tout en jeu pour diriger les autres vers le Donneur de Vie. La femme du royaume ne se limite pas aux lignes tracées par notre société à travers les lignes raciales, socio-économiques ou culturelles. Parce que Jésus lui a tendu la main à travers le grand gouffre créé par le péché, elle est disposée à tendre la main aux autres et à leur offrir la parole de son témoignage. C'est une femme qui reconnaît sa propre dépravation, soit parce qu'elle a été au bord d'un gouffre, soit tombée dans un gouffre, soit vautrée dans la boue. Elle est étonnée que Jésus se soit efforcé de la connaître par son nom. Et parce qu'elle s'étonne que Jésus ne la trouve pas trop basse ou indigne du salut, elle est reconnaissante. Une femme du royaume est la femme qui est prête à abandonner son propre agenda, ses plans et ses blocages pour agir selon ce que Dieu dit. Elle est prête à laisser le pot d'eau à l'abreuvoir et à agir. Ma sœur, le moment est venu. Les gens de votre communauté ont besoin de vous maintenant. Les gens de votre rue ont besoin de vous maintenant. La personne qui est assise à côté de vous au travail a besoin de vous maintenant. Il ne s'agit pas de votre perfection. Dieu utilise des gens imparfaits. Il ne s'agit pas d'avoir vos canards dans une rangée. Dieu veut vous aider à les aligner. Il ne s'agit pas d'être superspirituel ou sans péché. Jésus-Christ a couvert nos transgressions de son sang et de son sacrifice pour vous et moi sur la croix. C'est maintenant. Il n'y a pas de meilleur moment pour répondre à l'appel de Dieu sur votre vie que maintenant. Vous n'avez pas besoin d'attendre que votre famille soit parfaite ou que votre salaire soit juste. La sainteté spirituelle n'est pas requise. Peu importe que vos enfants soient encore petits ou que vous ayez du poids à perdre. Les divisions confessionnelles ne sont pas une excuse valable pour refuser aux autres l'amour de Dieu. Votre éducation n'est pas une raison pour éviter de tendre la main à quelqu'un d'autre et de partager avec elle ce que vous avez reçu. L'horloge tourne.

Vous êtes plus que votre passé, la profondeur de votre douleur ou le nombre de vos problèmes. Vous êtes ce que Dieu dit que vous êtes. Vous pouvez faire ce que Dieu dit que vous pouvez faire. Vous pouvez avoir ce qu'Il dit que vous pouvez avoir. Être audacieux. Plus longtemps vous vous accrochez à votre pot d'eau de peur de ne pas conserver votre anonymat ou votre respect de vous-même, moins vous avez de temps pour partager votre vie et votre histoire avec des personnes qui ont besoin de savoir que Jésus peut sauver. Les gens meurent et ont besoin que vous vous précipitiez dans la ville pour leur dire ce que Dieu a fait dans le passé et ce qu'il fait pour vous en ce moment. La femme samaritaine n'avait pas tout, mais elle a rencontré un homme qui l'avait. Jésus lui a offert un moyen de reprendre sa vie en s'appuyant sur lui. Dieu veut vous utiliser. Oui, vous. Votre témoignage, le même témoignage que vous évitez et essayez de cacher, pourrait être la clé même pour que quelqu'un de votre communauté voie Christ – sa bonté, sa miséricorde et sa puissance.

Déborah L'année était d'environ 1050 av. L'emplacement - sous un palmier niché dans les montagnes d'Ephraïm, situé juste entre Ramah et BethEl. C'était une époque où chaque homme et chaque femme faisait ce qui était juste à ses propres yeux. L'humanisme avait pris le dessus au nom du baalisme, tandis que le seul vrai Dieu avait été par la suite marginalisé. Après les règnes courageux de Josué et des trois premiers juges, Othniel, Ehud et Shamgar, Israël s'est de nouveau détourné des commandements de Dieu et a commencé à adorer des idoles. En conséquence, Dieu les a livrés entre les mains des nations païennes environnantes. Il a élevé le séculier afin de ramener son peuple à lui en permettant au roi de Canaan, Jabin, et à son méchant général, Sisera, d'opprimer les Juifs pendant vingt ans. C'est au cours de cette période que Dieu a nommé une femme nommée Deborah pour servir les Israélites d'une manière unique et spéciale. Non

seulement Deborah a été élevée en Israël en tant que première femme juge, mais Dieu l'a également douée en tant que prophétesse. En tant que juge, Deborah a exécuté les décisions pour les différends entre les Israélites. Elle est devenue connue comme une sage juge, et beaucoup l'ont cherchée et ont voyagé loin pour la rencontrer sous le palmier qui porte son nom. En tant que prophétesse, elle avait la capacité de discerner la pensée et les desseins de Dieu et de les communiquer aux autres. Comme son nom l'indique ( Deborah signifie "abeille"), elle était une femme qui dirigeait ceux qui étaient sous son influence avec une douce sagesse comme du miel, mais elle avait aussi un aiguillon mortel pour ceux qui cherchaient à subjuguer son peuple, les Juifs. On ne sait pas exactement pourquoi Deborah a choisi l'endroit sous un palmier où elle a réglé les différends en tant que juge. Certains pensent que c'est parce qu'elle était une femme et qu'il n'aurait pas été culturellement acceptable pour elle de rencontrer des hommes à huis clos. Pour une raison quelconque, Deborah est devenue la prophétesse et juge très recherchée et respectée qui a rendu des décisions sous la beauté d'un palmier tout en exprimant le cœur de Dieu. C'est ici, à l'air libre, que Deborah a également averti les Israélites des conséquences de l'adoration des idoles et les a exhortés à retourner au service de Dieu. Alors que de plus en plus d'Israélites commençaient à répondre aux exhortations de Deborah et retournaient à la suite de Dieu, Dieu ordonna à Deborah de monter contre le mal Souverain cananéen et son général au combat. Alors elle appela un homme nommé Barak, le chef de l'armée israélite et un lévite, et lui donna cette instruction : L'Éternel, le Dieu d'Israël, t'ordonne : « Va, prends avec toi dix mille hommes de Nephtali et de Zabulon, et montre le chemin du mont Thabor. J'attirerai Sisera, le commandant de l'armée de Jabin, avec ses chars et ses troupes au fleuve Kison et livrez-le entre vos mains. (Juges 4:6-7) Parce que Barak était de la tribu de Lévi, il était aussi prêtre. La sagesse de Deborah l'a amenée à reconnaître que la bataille contre Sisera n'était pas seulement une bataille physique; c'était aussi une bataille spirituelle. Deborah savait que pour gagner une bataille spirituelle, elle devait être menée spirituellement. Elle a donc demandé à Barak de représenter les Israélites d'une manière sacerdotale. Dans la culture juive, les femmes pouvaient occuper des postes de direction élevés au sein du gouvernement, et même

dans le domaine spirituel, comme être prophétesse, mais les femmes n'étaient pas autorisées à être prêtres. Deborah savait que pour remporter la victoire dans une bataille spirituelle, elle devait être gagnée dans les lieux célestes. Pourtant, à une époque de l'histoire israélite où il semblait y avoir très peu d'hommes vivant en tant qu'hommes du royaume, même le prêtre à qui Deborah a demandé de mener la charge de bataille a hésité sous la pression d'aller au combat contre vents et marées. Avec les Cananéens se vantant de neuf cents chars avec beaucoup plus de soldats que les Israélites ne pouvaient en rassembler, la bataille - du moins sur le parchemin - semblait être gagnée par les Cananéens. Deborah avait reçu la parole de Dieu que la victoire appartenait aux Israélites, alors elle avait foi dans le résultat. Cependant, Barak ne partageait pas cette même foi. Il a répondu en hésitant : « Si tu viens avec moi, j'irai ; mais si tu ne vas pas avec moi, je n'irai pas » (verset 8). Fondamentalement, il n'était pas disposé à être un homme du royaume. En raison de son manque de foi, Deborah a informé Barak que l'honneur de vaincre finalement Sisera ne serait plus le sien, mais maintenant cet honneur appartiendrait à une femme (verset 9). Deborah est allée avec Barak à Kedesh, où les armées sortiraient pour la bataille. Quand ils l'ont fait, Dieu a causé une grande confusion sur les Cananéens, ainsi que de puissantes pluies à tomber, de sorte que finalement «toutes les troupes de Sisera sont tombées par l'épée; pas un homme n'est resté » (verset 16). Il n'en restait plus qu'un, sisera lui-même, qui avait réussi à s'enfuir à pied, se cachant dans la tente d'Héber, le Kénite et faiseur de tentes, dont la femme, Jaël, l'avait accueilli et avait promis de lui donner lui repos et rafraîchissement. Jaël a tenu sa promesse concernant le rafraîchissement, offrant du lait à Sisera à boire. Et elle a tenu sa promesse de repos. Elle le laissa s'endormir. Jael a alors pris un piquet de tente et l'a conduit à travers le temple de Sisera, mettant ainsi fin au règne sauvage de l'un des généraux cananéens les plus redoutés de tous les temps. Une femme avait mené l'armée israélite au combat en prophétisant sur leur prochaine victoire, et une autre femme avait terminé le travail de vaincre l'ennemi en prenant la vie du général maléfique Sisera. Deborah et Jaël étaient toutes deux des femmes du

royaume dont le courage leur a permis d'inaugurer une ère de paix et de renouveau spirituel pour Israël. Grâce à cette bataille, Deborah protégeait ses enfants spirituels (la nation d'Israël) du désastre physique et de l'oppression et du désastre spirituel du Baalisme et du culte des idoles. Elle les a introduits dans une ère qui comprenait la délivrance physique ainsi que la délivrance spirituelle. De tous les juges, seule Deborah est répertoriée à la fois comme juge et comme prophétesse. Elle avait un appel unique qui a abouti à la victoire de son peuple et à quarante ans de repos pour Israël. Les histoires historiques de Deborah et de Jaël illustrent la réalité que Dieu suscitera des femmes pour faire avancer son royaume sur terre, en particulier lorsque les hommes n'ont pas réussi à bien gouverner leur royaume donné par Dieu. Semblable à l'héritage de Rosa Parks, alors que Deborah et son mari, Lappidoth, n'étaient pas connus pour avoir eux-mêmes des enfants biologiques, Deborah avait un héritage formel en tant que mère d'Israël (Juges 5: 7). Mesdames, vous avez une haute vocation et un grand objectif. Dieu vous a doté du pouvoir d'accomplir des tâches si importantes qu'elles ont le potentiel de changer une nation entière. Malheureusement, de nombreuses femmes aujourd'hui ne peuvent pas voir au-delà de leur vie personnelle. C'est peut-être parce qu'ils sont devenus tellement occupés et distraits à faire de « bonnes » choses comme Martha. Je ne suis pas sûr. Mais ce que je sais, c'est que tout au long de l'Écriture, bien que Dieu fasse des distinctions dans les rôles et les fonctions, Il ne fait pas de distinction entre homme et femme lorsqu'il révèle Sa vérité. Il habilite et appelle les deux à faire progresser son royaume sur terre. Lors d'un autre voyage à New York avec ma femme, j'ai visité Macy's. Juste à l'extérieur du magasin se trouvaient des vitrines bordées de mannequins pour inciter les passants à entrer. Ce jour-là, nous avons remarqué qu'un certain nombre d'individus s'étaient rassemblés devant l'une des vitrines. Nous avons donc décidé de descendre et de vérifier. Dans la vitrine se tenaient plusieurs mannequins bien habillés. Pourtant, lorsque nous avons regardé de plus près, il est apparu que ces mannequins clignaient des yeux. En les regardant, nous nous sommes vite rendu compte qu'il s'agissait de vrais modèles se faisant passer pour des mannequins dans le but d'attirer l'attention des gens sur le royaume qu'ils représentaient, Macy's.

Lorsque les personnes se rassemblant devant la fenêtre ont commencé à détecter qu'il s'agissait de modèles vivants, elles ont commencé à agiter leurs mains et à faire des grimaces étranges pour tenter d'amener les modèles à casser leurs poses. Les adultes adultes faisaient toutes sortes de contorsions pour essayer de distraire les mannequins. Pourtant, les modèles ont tenu bon, ont atteint leur objectif et ont suscité l'intérêt de nombreuses personnes qui sont finalement entrées à l'intérieur, attirées par l'attraction. Les modèles ont pu tenir bon leur objectif car ils n'ont pas été distraits par l'agitation. Leur travail était d'avoir un impact sur le monde qui passait plutôt que d'être impacté par lui. En tant que femme du royaume, vous représentez un roi d'un autre royaume qui vous a mis ici sur terre en avant-première de tout ce qu'il offre et peut fournir. Votre travail consiste à avoir un impact sur votre famille, votre église, votre communauté et le monde qui passent, plutôt que d'être impacté par eux. Un certain nombre de voix cherchent à vous distraire, et beaucoup de ces voix sont même bonnes, mais Dieu vous a donné un but pour le représenter ainsi que son royaume sur terre. Comme pour Rosa Parks, cela nécessitera des risques. Comme pour Esther, cela nécessitera de la concentration. Comme pour la femme samaritaine, cela demandera de l'audace. Et comme avec Deborah, cela nécessitera de la foi. Pourtant, comme pour tous, le fruit portera un héritage résultant de la puissance de la grâce de Dieu et digne du nom de Christ. Mesdames, s'il vous plaît, n'oubliez jamais que le plus grand impact jamais produit dans l'histoire est venu d'une femme du royaume. Marie a donné naissance au Sauveur du monde qui offrirait le chemin du salut à tous ceux qui invoqueraient son nom et croiraient. Marie, seule et jeune, a choisi la foi plutôt que la peur quand elle a hardiment proclamé concernant la volonté de Dieu pour sa vie : « Qu'il m'advienne comme tu l'as dit » (Luc 1 :38). Que cela soit aussi votre proclamation du royaume. Alors asseyez-vous et soyez étonné de tout ce que Dieu fera pour vous et à travers vous. ANNEXE Le Dr Tony Evans et Urban Alternative (TUA) équipent, responsabilisent et unissent

L'ALTERNATIVE URBAINE

Les chrétiens ont un impact sur les individus, les familles, les églises et les communautés pour redonner espoir et transformer des vies.

TUA croit que la cause principale des problèmes auxquels nous sommes confrontés dans nos vies personnelles, nos foyers, nos églises et notre société sont d'ordre spirituel ; par conséquent, la seule façon de les aborder est spirituellement. Nous avons essayé un programme politique, social, économique et même religieux. Il est temps d'établir un programme pour le Royaume – la règle visible et complète de Dieu sur tous les domaines de la vie, car lorsque nous fonctionnons comme nous avons été conçus, il y a une puissance divine qui change tout. Elle renouvelle et restaure à mesure que la vie de Christ se manifeste dans la nôtre. Au fur et à mesure que nous nous alignons sous Lui, il y a un alignement qui se produit du plus profond de nous-même, où Il provoque une restauration complète. C'est une atmosphère qui ravive et rend entier. Comme cela nous impacte, cela impacte les autres, transformant chaque sphère de la vie dans laquelle nous vivons. Lorsque chaque sphère biblique de la vie fonctionne conformément à la Parole de Dieu, les résultats sont l'évangélisation, la formation de disciples et l'impact communautaire. Au fur et à mesure que nous apprenons à nous gouverner sous Dieu, nous transformons les institutions de la famille, de l'église et de la société dans une perspective de royaume basée sur la Bible. Par lui, nous touchons le ciel et changeons la terre. Pour atteindre cet objectif, TUA utilise une variété de stratégies, de méthodes et de ressources pour atteindre et équiper autant de personnes que possible. Médias de diffusion Des centaines de milliers de personnes découvrent The Alternative avec le Dr Tony Evans grâce à l'émission de radio quotidienne diffusée sur plus de 850 stations de radio et dans plus de quatre-vingts pays. L'émission peut également être vue sur plusieurs chaînes de télévision et est visible en ligne sur TonyEvans.org . Formation en leadership Les pasteurs de l'agenda du royaume (KAP) fournissent un réseau viable pour les pasteurs partageant les mêmes idées qui adoptent la philosophie de l'agenda du

royaume. Les pasteurs ont la possibilité d'approfondir avec le Dr Tony Evans car ils reçoivent une plus grande connaissance biblique, des applications pratiques et des ressources pour avoir un impact sur les individus, les familles, les églises et les communautés. KAP accueille les pasteurs principaux et associés de toutes les églises. Le Sommet KAP développe progressivement des dirigeants d'église pour répondre aux exigences du XXIe siècle tout en maintenant le message de l'évangile et la position stratégique de l'église. Le sommet présente des séminaires intensifs, des ateliers et des ressources, abordant les problèmes affectant la communauté, la famille, le leadership, la santé organisationnelle, etc. Pastors' Wives Ministry, fondé par le Dr Lois Evans, fournit des conseils, des encouragements et des ressources spirituelles aux épouses de pasteurs lorsqu'elles servent avec leurs maris dans le ministère. L'un des principaux objectifs du ministère est le sommet KAP qui offre aux épouses de pasteurs principaux un lieu sûr pour réfléchir, se renouveler et se détendre, ainsi qu'une formation en développement personnel, en croissance spirituelle et en prenant soin de leur bien-être émotionnel et physique. Impact sur la communauté National Church Adopt-a-School Initiative (NCAASI) prépare les églises à travers le pays à avoir un impact sur les communautés en utilisant les écoles publiques comme principal véhicule pour effectuer un changement social positif chez les jeunes et les familles en milieu urbain. Les dirigeants d'églises, de districts scolaires, d'organisations confessionnelles et d'autres organisations à but non lucratif disposent des connaissances et des outils nécessaires pour forger des partenariats et mettre en place de solides systèmes de prestation de services sociaux. Cette formation est basée sur la stratégie globale d'impact communautaire basée sur l'église menée par Oak Cliff Bible Fellowship. Il aborde des domaines tels que le développement économique, l'éducation, le logement, la revitalisation de la santé, le renouvellement de la famille et la réconciliation raciale. Nous aidons également les églises à adapter le modèle pour répondre aux besoins spécifiques de leurs communautés tout en abordant simultanément les cadres de référence spirituels et moraux. Développement des ressources

Nous encourageons les partenariats d'apprentissage tout au long de la vie avec les personnes que nous servons en fournissant une variété de documents publiés. Nous proposons des brochures, des études bibliques, des livres, des CD et des DVD pour renforcer les gens dans leur marche avec Dieu et leur ministère auprès des autres.

Pour plus d'informations, un catalogue des ressources du ministère du Dr Tony Evans et un exemplaire gratuit du bulletin de dévotion du Dr Evans : Appelez le (800) 800-3222. Écrivez TUA à PO Box 4000, Dallas, TX 75208. Ou connectez-vous à TonyEvans.org .