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Zitiervorschau

Un fourgon blindé banalisé de transport de fonds a fait un accident et des sacs d'argent se retrouve par tous dans la route Un convoyeur de fonds a été victime d'un braquage digne du grand banditisme, hier à Briatexte. Son fourgon a été percuté par une première voiture avant que des hommes armés prennent la fuite avec le butin dans un second véhicule. Un convoyeur de fonds, seul à bord d'un véhicule banalisé, a été attaqué hier vers 15 h 30, sur la route de Cabanès, au lieu dit L'Arnaude, commune de Briatexte. Le Ford Transit blanc circulait en direction de Cabanès quand il a été percuté par une voiture venant en face. Le fourgon, une roue arrachée, a terminé sa course dans le fossé. Une seconde voiture de grosse cylindrée suivait la première. Des individus armés ont surgi de l'habitacle et se sont précipités vers le fourgon. Un scenario digne d'un polar américain et qui a surpris le convoyeur, sorti indemne de l'accident. Les forces de l'ordre procédaient hier soir à son audition pour déterminer ce qui s'est réellement passé.

Une jeune australienne décide de faire le tour du monde à pied pour une bonne cause Il y a ces petits moments qui nous rappellent combien la vie est précieuse. Combien elle mérite d’être vécue comme on l’entend, combien elle est belle si on décide d’y croquer à pleines dents. Cela peut venir d’un livre qu’on aurait lu, d’un film qu’on aurait regardé, d’une rencontre ou d’un drame… À un âge où l’on pense être invincible, Tom Turcich perd une amie d’enfance, AnneMarie, alors âgée de 17 ans. Dans ce malheur qui le plongera en dépression pendant plusieurs mois, Tom Turcich prend fatalement conscience que la vie ne tient qu’à un fil. Il se promet alors d’occuper chaque minute de chaque jour du reste de sa vie, pour se sentir vivant. « Sa mort a réorganisé ma compréhension du monde. J’ai soudainement vu la vie comme quelque chose de fragile et d’éphémère ». Avec des économies en poche et la furieuse envie de parcourir le monde à la façon de Steve Newman, premier homme à avoir fait un tour du monde ininterrompu à pied dans les années 80, il quitte son New Jersey natal à 26 ans et se lance finalement dans l’aventure de sa vie : voir ce que les 7 continents ont à lui offrir ! « Je savais que je voulais voyager. Je n’avais pas d’argent. Alors voyager à pied a semblé être la meilleure solution ». Un mois avant son départ, le propriétaire de la société Philadelphia Sign, qui connaissait AnneMarie, a décidé de soutenir financièrement le projet de Tom. Depuis, la compagnie verse suffisamment d’argent à Tom pour lui permettre de vivre son rêve.

Une coupure d'électricité dans super marché c'est la panique. Avant-hier, une coupure d'électricité a touché des boutiques de Polygone Riviera. Un témoin raconte un mouvement de foule. L'enseigne assure que l'évacuation s'est bien déroulée La journée de shopping a viré au cauchemar pour Françoise, 70 ans, une habitante de Saint-Vallier-deThiey, qui se trouvait dans le magasin Primark de Polygone Riviera, avant-hier, lors d'une longue coupure d'électricité, qui a touché apparemment toutes les boutiques du premier étage. Car si l'incident peut paraître anodin, ce qui s'est passé à l'intérieur de la vaste boutique l'est beaucoup moins. Selon Françoise, qui se trouvait avec sa fille au premier étage du magasin quand les lumières se sont éteintes, après un moment de flottement, un vent de panique a soufflé dans les rayons. La septuagénaire raconte que « la lumière s'est éteinte, on a attendu que ça... -----On a dû quitter le magasin en laissant tout à l’intérieur », témoigne un client, sur le parking d’Ikea, à Lomme ce mardi vers midi. Le magasin a été brièvement évacué, « pour des raisons de sécurité indique Fabrice Fouquemberg, directeur. Il y a eu une petite coupure EDF, pendant quelques minutes, moins de dix. On a préféré demander aux personnes présentes de quitter les lieux. » Un singe qui est entré dans un supermarché et a causé beaucoup de dégâts. «SURTOUT, ne sortez pas de votre bureau et fermez bien votre porte. » Les consignes fermes sont prestement adressées au directeur du Franprix. Interloqué, le responsable du supermarché ne comprend pas mais s'exécute. En face de lui, une petite armada de policiers et de pompiers s'active en désordre entre les rayons, armés d'un étrange équipement. Y aurait-il un braquage ou une agression dans le magasin ? Non, juste une interpellation qui s'annonce peu banale. La scène drolatique se passe samedi matin, à Gonesse, dans le centre commercial du quartier de la Fauconnière. « J'ai vu brusquement un singe sauter du sol vers la vitrine où sont rangées les bouteilles d'alcool, rapporte Cécile, une caissière. C'était une belle bête, à l'allure impressionnante. » L'animal est en cavale. Prêt à tout pour déjouer la capture au lasso qui se prépare contre lui. « Visiblement, la poursuite a commencé dans la cité, ajoute l'employée du Franprix. Tout le monde pensait qu'il s'agissait d'un renard. » Malgré la ruse dont il a fait preuve, le fauteur de trouble était vraisemblablement un singe magot, une espèce sauvage protégée qui, d'ordinaire, se prélasse en bandes criardes sur le Rocher de Gibraltar ou en Afrique du Nord. Conduit au commissariat Le fugitif est donc entré par l'accès réservé aux clients. Son arrivée impromptue nécessite même l'évacuation du supermarché pendant une vingtaine de minutes. Après un passage express à la boulangerie, il se réfugie dans la salle de repos du personnel. La pause est courte et se conclut par un grand bond qui laisse sans voix les témoins. Direction l'arrière du magasin. Le dernier round se dispute alors entre les palettes. Le macaque termine finalement la lutte, enroulé dans une couverture bleue, sans faire de casse, ni de blessés. Ses exploits étant salués à leur juste valeur, il s'est ensuite vu attribuer une cage plutôt spacieuse avant d'être

transporté au commissariat de Gonesse pour les vérifications d'usage. Le jeune propriétaire de ce curieux animal de compagnie s'est, quant à lui, manifesté dans l'après-midi, auprès du directeur du Franprix. Il lui a affirmé que le singe s'était échappé de son domicile lors d'un cambriolage. Depuis un an passé, plusieurs singes ont été capturés dans le département. Le 29 janvier, un animal vêtu d'une couche-culotte avait été repéré dans une BMW, devant la gare de Taverny. Victime d'un phénomène de mode, le magot est de plus en plus importé illégalement en France. Leur détenteur finit généralement par craquer au bout de quelques mois et par se débarrasser d'un animal peu sensible au genre humain.

Sauvés par les dauphins Une nuit, un groupe de sept requins -dont des adultes de 7 mètres- les a attaquées en tapant violemment contre la coque du bateau avec leur queue. Jennifer Appel suppose que les parents étaient en train d'apprendre aux plus jeunes comment chasser. De quoi provoquer aux deux femmes marines une énorme frayeur, qui se répétera une fois. Mais il y a eu aussi des jours plus doux. Comme ce matin où elles se sont réveillées entourées de cinq dauphins, nageant gaiement autour du bateau, venus dire bonjour. "D'un coup, ils étaient près de 70 tout autour de nous à nous saluer!", explique Jennifer Appel. Après 5 mois seuls en mer, les deux femmes sont heureuses d'avoir pu retrouver la terre ferme. Loin des requins. Un passager inhabituel : Les passagers d’un bateau ont eu un choc pendant leur croisière lorsqu’ils ont vu un gros ours polaire passer tête par la fenêtre de la salle à manger Arctique - Au cours d'un voyage en bateau en Arctique, des touristes ont pu voir un ours polaire de très près : attiré par les odeurs de cuisine, celui-ci avait passé la tête par un hublot. Les passagers d'un bateau ont eu un choc lorsqu’ils ont vu un ours polaire passer la tête par le hublot de la cuisine. Le navire s'était arrêté au milieu des glaces afin d'offrir à ses passagers un déjeuner dans un décor spectaculaire. Un ours polaire, attiré par l'odeur de la soupe a passé sa tête par le hublot de la cuisine, causant une bonne frayeur aux passagers. Il disparaît pendant un match de football et réapparaît 11 ans plus tard C’est une histoire incroyable que relate le quotidien L’Essentiel. Rolf Bantle, un supporter suisse du FC Bâle, a disparu en août 2004 alors qu’il assistait à un match à Milan. Le sexagénaire s’est perdu en cherchant les toilettes du stade et n’a pas réussi à retrouver ses amis. Ces derniers l’ont cherché partout dans les travées et l’ont attendu sur le parking à la fin du match, en vain. L'envie de tout quitter Complètement perdu, Rolf Bantle s’est mis à errer dans les rues de Milan et a fini par passer la nuit dehors. Étrangement, au lieu de chercher à contacter ses proches par tous les moyens possibles, le Suisse a ressenti du plaisir à découvrir Milan au gré de ses pérégrinations. Pris d’un élan de liberté, il a résolu d’abandonner tout ce qui faisait sa vie d’avant et de rester dans la ville italienne. « Je me suis plu et je n'ai pas trouvé de raisons de rentrer. Comme j'avais pas mal bossé sur des chantiers avec des Transalpins, je n'ai pas eu de problème avec la langue », raconte-t-il.

Retour en Suisse Le sexagénaire s’est attiré la sympathie d’habitants qui l’ont aidé à survivre en lui donnant un sac de couchage et de la nourriture. Il a passé dix ans à se promener dans les rues et à aller à la bibliothèque tous les jours. Sauf qu’en avril dernier, Rolf Bantle a dû être hospitalisé après s’être brisé le fémur. Les secouristes, se rendant compte que le Suisse n’avait aucun papier d’identité, ont contacté le consulat pour le rapatrier. L’homme était porté disparu officiellement depuis le 29 septembre 2011, après des années de recherches infructueuses. Revenu en Suisse, Rolf Bantle coule désormais des jours paisibles dans une maison de retraite et bénéficie d’une pension. Un canadien disparu depuis dix ans, fait soudainement l’apparition L'incroyable histoire d'Anton Pilipa s'apparente à celle d'un Robinson Crusoé des temps modernes. Ce Canadien, qui a été retrouvé à plus de 10 000 kilomètres de Toronto, a rejoint lundi 6 février ses proches, cinq ans après sa disparition. Comme le rapporte CBC News, cet ancien humanitaire de 39 ans, atteint de troubles schizophrènes, était porté disparu depuis 2012 et vient d'être retrouvé au beau milieu de la jungle amazonienne au Brésil. Pour survivre, Anton Pilipa se serait nourri de fruits qu'il cueillait, en fouillant dans les ordures mais également à l'aide des visiteurs occasionnels qu'il croisait. Selon le Daily Mail, sa maladie l'aurait poussé à entamer ce long périple tout d'abord en direction de l'Argentine, obnubilé par l'idée de visiter la Bibliothèque nationale de la République située à Buenos Aires. Un long voyage qu'il a alors entamé sans papiers d'identité, sans bagage, sans argent et, plus étonnant, selon le témoignage de son frère, en grande partie sans chaussures. Alors qu'il parvient à relier Buenos Aires en faisant du stop et en marchant, le Canadien à l'allure hirsute est alors refoulé à l'entrée du bâtiment. Après les États-Unis, le Mexique, le Guatemala, le Costa Rica, le Panama, la Colombie, l'Argentine et le Venezuela, le routard reprend son itinérance, direction le Brésil. Fuite de l'hôpital Fin novembre 2016, le Canadien est retrouvé errant au bord d'une route du pays. Les autorités, qui réussissent à établir son identité, préviennent sa famille, soulagée d'apprendre qu'Anton Pilipa n'est pas décédé. "J'étais abasourdi, je me disais qu'il était mort, c'était la seule chose qui pouvait expliquer son absence", a témoigné son frère au Daily Mail. L'histoire pourrait s'arrêter là, mais Anton Pilipa parvient à s'enfuir de l'hôpital. L'homme trouve alors refuge au cœur de la forêt amazonienneavant d'être de nouveau interpellé en janvier. Afin de permettre son retour, sa famille lance alors une campagne de financement participatif pour payer le billet d'avion d'Anton. Son frère se souvient de ces émouvantes retrouvailles : "Il avait l'air un peu abîmé, on voyait les stigmates de son périple sur son corps et son visage. Et il avait beaucoup plus de cheveux que la dernière fois que je l'avais vu." Aujourd'hui placé dans un institut spécialisé au Canada, Anton Pilipa jure ne s'être "jamais senti seul" durant son incroyable voyage. "J'ai réfléchi à beaucoup de choses, j'ai dormi en plein air. C'est une façon très simple de vivre, on a besoin de peu pour vivre."

Mignon ! Une fillette de 8 ans est retrouvée dans un zoo Une petite fille vivant parmi les singes a été retrouvée dans le nord de l'Inde A mi-chemin entre Tarzan et Le livre de la jungle. Ce sont des élagueurs travaillant dans la réserve naturelle de Bahraich dans le nord de l’ Inde qui ont donné l’alerte. Il y a deux mois, alors qu’ils coupaient des branches, ils ont aperçu une petite fille émaciée parmi un troupeau de singes. Selon l’officier de police DineshTripathi, interrogé par Time of India, les singessemblaient la considérer comme une des leurs et ont tenté d’effrayer les policiers venus récupérer l’enfant qui « semblait faible et était très affamée ». Malgré la peur de la fillette, « terrifiée par [les policiers] », l’officier « s’est dépêché de partir avec elle dans sa voiture de police tandis que les singes leur faisaient la chasse », raconte-il.

Endormi au travail et leurs collègues font la blague Un homme s'endort au bureau et ses collègues lui font croire qu'il dort depuis trois jours. Un homme, apparemment exténué, s'endort au bureau et ses collègues décident de profiter de la situation. Ils se cachent pour lui faire une blague dont il se souviendra pendant longtemps. Une fois réveillé, il se rend compte qu'il se retrouve seul à son bureau, tous ses collègues ont déserté leur poste pour se cacher à quelques mètres de lui. L'homme prend son téléphone pour tenter de comprendre ce qu'il se passe. Un de ses collègues décroche et lui apprend qu'il est dimanche ! Apparemment perdu, il décide de quitter la pièce pour chercher quelqu'un mais ses collègues en profitent pour regagner leur place. Une fois de retour, il semble plus que jamais perplexe. Une bonne leçon pour ceux qui prennent leur bureau pour un lit ! Un chirurgien fait une découverte inattendue en ouvrant l'estomac d'un patient Ensuite, un tel objet ne pourra pas passer dans l’intestin, et sera bloqué. "Le patient se sentira très malade, nauséeux, avec des maux d’estomac et des vomissements", détaille le Dr Emmanuel. "Lorsque ces patients se présentent à l’hôpital, on détecte le problème sur les radios. Un tel événement est une urgence médicale, puisque ces corps étrangers peuvent perforer l’estomac ou l’intestin. Le risque infectieux et même mortel est conséquent", poursuit-il. Si les petits objets tels que des pièces de monnaie ou des épingles peuvent être enlevés par endoscopie, les plus, tels qu’une brosse à dents, doivent être retirés chirurgicalement

Faux chauffeur, un homme utilise son véhicule pour le transport public Avec un minibus maquillé aux couleurs de la régie de transports de la métropole niçoise, un homme n'a pas eu beaucoup de difficultés à arnaquer les passagers qui attendaient aux arrêts officiels. Celui-ci a été arrêté mercredi par la police.

Philippe Pradal, président de la régie métropolitaine de transports a indiqué que « nos équipes de conducteurs et d'agents de contrôle ont repéré en début d'année le manège d'un chauffeur de minibus qui sévissait entre le centre-ville et l'aéroport, sur un parcours desservi par une ligne à tarification spéciale ». En effet, l'homme intervenait entre deux passages de bus officiels, et annonçait aux passagers que les bus étaient en grève ou qu'ils arriveraient plus vite avec lui. Il pratiquait le même tarif que les bus de la ville Toutes vos infos en illimité et sans publicité à partir d'1€/mois « Ce chauffeur apposait sur son véhicule utilitaire des panonceaux au logo de la régie métropolitaine dont il avait récupéré le graphisme sur internet » a ajouté Philippe Pradal. Impossible pour les passagers de deviner qu'il s'agissait d'une arnaque. Ils réglaient alors les six euros de tarif que coûtait le trajet, identique à celui pratiqué par les transports publics niçois. L'enquête a révélé que l'homme était salarié d'une entreprise privée de transports et qu'il se servait du véhicule de sa société pour effectuer son escroquerie. La métropole niçoise a porté plainte et a précisé qu'elle ignorait depuis quand ces agissements avaient commencé.

Un employé d’un centre commercial a sauvé la vie de plusieurs personnes. OTAGES - Il a eu le réflexe de cacher dans la chambre froide plusieurs clients, alors que le preneur d’otages s’introduisait dans le supermarché casher. Il s’appelle Lassana Bathily. Malien et musulman, il a sauvé la vie de plusieurs clients du magasin juif où Amedy Coulibaly a fauché la vie de quatre personnes et a pris en otage une dizaine d’autres vendredi. Âgé de 24 ans, l’employé a su faire acte de bravoure en ayant le réflexe de cacher dans la chambre froide du supermarché une quinzaine de personnes. >> LIRE AUSSI - Vincennes : qui sont les quatre victimes de la prise d'otages ? "Je suis allé au congélateur, j’ai ouvert la porte". Lorsque le terroriste pénètre dans l’Hypercasher de la porte de Vincennes, il ouvre le feu aussitôt sur les clients. Ces derniers se réfugient alors en partie au fond du magasin où ils s’engouffrent dans un escalier menant au sous-sol. Ils y trouvent Lassana Bathily qui a le bon réflexe : "je suis allé au congélateur, j’ai ouvert la porte, et plusieurs personnes sont rentrées avec moi". Il éteint la lumière et le congélateur pour ne pas que les rescapés meurent de froid. "Je leur ai dit de se calmer, de ne pas faire de bruit", a raconté Lassana à BFMTV. C’est une quinzaine de personnes que Lassana a sauvé de la mitraille du sauveur d’otages, dont un enfant de trois ans et un nourrisson. "On sort et on se sauve". Mais Amedy Coulibaly finit par réaliser qu’une partie des clients sont cachés au sous-sol. Il envoie alors un salarié du magasin les chercher. Lassana essaye de dissuader les clients de

remonter : "Je leur ai dit : ‘comme vous voulez mais moi, j’ai une idée si vous voulez me suivre’". Son plan ? "On peut monter par le monte-charge et prendre la sortie de secours", rapporte-t-il sur BFMTV. >> LIRE AUSSI - Porte de Vincennes : dans les coulisses de l'opération Des infos précieuses pour la police. Mais personne n’accepte de le suivre. "Ils ont eu peur", raconte-t-il, peur que le bruit du monte-charge n’interpelle Amedy Coulibaly. Lassana Bathily s’enfuit donc seul et se rend à la police, mains au-dessus de la tête. Menotté par les policiers plus d’une heure, il aide un maximum les forces de l’ordre, leur livrant les plans de magasins ainsi que la clef du rideau de fer du magasin, des éléments précieux pour le Raid qui préparait alors son assaut. Humilité. Lassana minimise son geste : "on est des frères". "Ce n’est pas une question de juifs, de chrétiens ou de musulmans, on est tous dans le même bateau", estime-t-il. Des paroles humbles qui ont touché les réseaux sociaux, où le jeune Malien s’est attiré les louanges de nombreuses personnes.

Un homme de 65 ans vu en uniforme de contrôleur SNCF entraine de contrôler les billets des passagers d’une façon irrégulière Pendant 5 ans, Jean-Pierre Tegakau, un Tahitien de 26 ans, a joué l'agent SNCF en dupant employés et usagers du rail. Il a été condamné à 1 an de prison ferme. Le voyage s'est arrêté net pour le passionné de trains. Terminus, vendredi, 17 heures, devant le tribunal correctionnel qui a condamné Jean-Pierre Tegakau, 26 ans, à un an de prison ferme. Il avait passé 5 ans dans les voitures SNCF avec la casquette d'un faux agent des rails. Absent à l'audience, il comparaissait pour le vol de plusieurs tenues d'agent et pour escroquerie envers la SNCF, partie civile ( notre édition du 1er décembre 2014). Le 28 novembre 2014, son procès avait été renvoyé dans l'attente d'une expertise psychiatrique, à laquelle il ne s'est pas soumis. Même son avocate, Me Stéphanie Calvet, n'a plus de nouvelles de son client. Interpellé le 26 novembre 2014 alors qu'il circulait dans un train NarbonneBordeaux vêtu d'un costume gris et violet des contrôleurs SNCF, Jean-Pierre Tegakau a été démasqué par un employé. Il avait reconnu avoir pris le train «un millier de fois partout en France et au Luxembourg depuis 5 ans». Habillé en agent de la SNCF l'homme avait expliqué, lors de l'audience du 28 novembre, être passionné par les trains et avoir postulé il y a 5 ans pour être agent de maintenance, sans succès. «Je me sens utile, c'est devenu une obsession», avait expliqué l'homme. Il arpentait les allées, aidait les voyageurs à hisser leur bagage ou à trouver leur voiture. Allant jusqu'à contrôler les usagers. Un jour, avec une poinçonneuse volée, Jean-Pierre a assuré un contrôle. «Mais il ne savait pas la faire fonctionner. Un vrai contrôleur est passé et lui a demandé où il avait été formé !», avait expliqué la défense, le 28

novembre. «S'il s'est fait passer pour un contrôleur, ce n'était pas pour voyager gratuitement : c'est simplement parce qu'il rêvait de l'être», avait plaidé son avocate. Un sentiment partagé par la partie civile : «c'est quelqu'un qui a envie d'être agent SNCF mais il faudrait qu'à un moment il s'arrête !». La SNCF a sollicité 1 000 € de dommages et intérêts pour le préjudice. L'homme avait volé plusieurs tenues d'agent dans les casiers des employés mais aussi du matériel confidentiel comme les clés donnant accès aux cabines de conduite des TGV. Le jeune homme s'était déjà fait démasquer et condamné à 11 reprises pour les mêmes faits. Il était sorti de prison récemment. Le tribunal a décerné un mandat d'arrêt. Il devra aussi payer 1000 € de dommages et intérêts à la SNCF. Un patron qui part à la retraite fait une surprise a ses employés Le PDG d'une société britannique d'assurance automobile a fait un don aux 8.000 salariés de son entreprise dans le monde, soit 1.200 euros par personne. Plus d'une centaine d'employés sont concernés dans le Nord. Des employés chanceux. Henry Engelhardt, le PDG d'Admiral Group, une société britannique d'assurance automobile (elle possède L'olivier et LeLynx), prend sa retraite et a décidé de fêter ça avec ses employés. Il a donc fait un don aux 8.000 salariés de son entreprise dans le monde. Chaque employé va donc recevoir un joli chèque d'environ... 1.200 euros (600 euros pour ceux en temps partiel ou présents depuis moins d'un an) ! En France, 170 personnes vont toucher ce beau cadeau, rapporte La Voix du Nord. Ainsi, 40 collaborateurs du siège à Paris et 130 au centre de relation clients, situé à Marcq-en-Baroeul, près de Lille, sont concernés. "Nous voulons remercier du fond du cœur chacun d'entre vous". "Je remercie tous les employés d’Admiral qui ont travaillé si dur tous les jours pour faire du groupe un endroit si particulier. Ce don est la reconnaissance de tout le travail et l’esprit d’équipe qui sont à la base du succès d’Admiral une petite start-up qui est devenue aujourd’hui une entreprise cotée au FTSE100 à la bourse de Londres et valorisée à 5 milliards de livres (6,3 milliards d’euros). Mon épouse et moi-même, voulons remercier du fond du cœur chacun d’entre vous", a déclaré Henry Engelhardt. La Voix du Nord précise que les salariés recevront également des actions gratuites du groupe, deux fois par an, pour environ 5.000 euros. Une entreprisedécidément bien généreuse.

Un patron qui part à la retraite fait une surprise a ses employés Un patron anglais, fondateur d'un groupe d'assurances, a pris la décision de quitter l'entreprise. Non sans verser une prime de 1 200 € aux 8 000 employés !

De mémoire de salariés, on n'avait jamais vu ça. Henry Engelhardt, le patron d'un groupe d'assurances britannique qui quitte l'entreprise a décidé de faire un geste inédit : distribuer une prime de 9 millions d'euros aux 8 000 salariés de l'entreprise ! Ramené individuellement, le chèque s'élève à 1 200 euros par personne. Les membres du personnel qui sont présents depuis moins d'un an ou à temps partiel recevront quant à eux une prime de 600 euros. Le geste est valable pour les salariés d'Admiral Group présents partout dans le monde. Ainsi en France, 170 salariés de «L'olivier» une filiale spécialisée dans l'assurance automobile en profiteront. Cédric Bricout, le directeur des ressources humaines de L'olivier, s'est avoué «surpris» à l'annonce de la décision du patron mais assure que les salariés sont «à la fois heureux et satisfaits». Henry Engelhardt qui a pris cette décision peu commune en accord avec son épouse a expliqué clairement son geste : «Je remercie tous les employés d'Admiral qui ont travaillé si dur tous les jours pour faire du groupe un endroit si particulier. Ce don est la reconnaissance de tout le travail et l'esprit d'équipe qui sont à la base du succès d'Admiral, une petite start-up qui est devenue aujourd'hui une entreprise cotée à la bourse de Londres et valorisée 6,3 milliards d'euros». Le patron assure que c'est l'argent sonnant et trébuchant qui est le meilleur moyen de récompenser les efforts des salariés. Son épouse assure qu'il fallait un geste significatif pour qu'il marque les esprits et aide vraiment les finances des salariés. Et immédiatement de tempérer : «nous ne restons pas sans le sou !». Une bonne nouvelle n'arrivant jamais seule, le groupe Admiral a aussi mis en place un dispositif d'attribution d'actions gratuites pour les collaborateurs. En effet, à partir de cette année, chaque salarié recevra des actions gratuites du groupe à raison de deux rendez-vous par an pour un montant total de 5 000 euros. Et ce quelle que soit sa fonction au sein de l'entreprise du simple téléopérateur au manger ou directeur. Merci patron ! Tout sourires, les salariés de L'Olivier, filiale française du groupe d'assurance automobile britannique Admiral, ont accueilli avec enthousiasme mardi leur PDG qui, à l'occasion de son départ à la retraite en mai, a décidé d'offrir 9 millions d'euros de primes à tous ses employés. Gâteaux, jus d'orange et calembours, l'ambiance était conviviale dans la salle commune rouge et blanche de la société L'Olivier, dans le 10e arrondissement de Paris, pour la venue du grand patron, l'Américain Henry Engelhardt. Avec cette visite, « Henry » comme l'appellent ses 8 100 salariés, achève une tournée d'adieux mondiale commencée il y a un an à l'annonce de son départ à la retraite et du versement de 1 200 euros de bonus à tous ses employés (600 pour ceux présents depuis moins de six mois). « C'est une façon de dire merci. Les employés travaillent dur au quotidien pour notre entreprise. Ils ont besoin d'encouragements et de reconnaissance », indique Henry Engelhardt, 58 ans, qui finance de sa poche ce don inattendu. Hector Garcia, du département tarification de L'Olivier, se souvient comme si c'était hier du jour où il a appris la nouvelle : « On était dans une grande salle à Cardiff (siège d'Admiral) avec des milliers d'employés, tout le monde s'est levé, les gens ont applaudi, certains ont pleuré. » Cette décision est « une excellente surprise » pour Marion Lombard, responsable du marketing digital de L'Olivier, qui espère avec cet argent pouvoir emmener ses parents au Cambodge, un rêve de longue date. Pour Julien Gigoi, du département tarification, qui a d'abord cru à une farce, et veut utiliser son bonus pour financer son mariage : « Ce cadeau d'Henry montre l'égalité entre tous les salariés. » « Au milieu de tout le monde »

« Dans les autres entreprises, les bonus sont variables. Ici, on a tous eu la même somme, quel que soit le grade », précise à l'Agence France-Presse Julien Gigoi, un trentenaire comme la plupart des salariés du groupe. Une mise sur un pied d'égalité représentative de la culture d'entreprise développée par Henry Engelhardt depuis la création du groupe d'assurance automobile Admiral en 1991. « Je ne suis pas le big boss, je suis un employé comme les autres », aime à répéter Henry Engelhardt qui veille à ce que tous ses salariés soient actionnaires du groupe Admiral pour que le personnel ait « la sensation de posséder une partie de la société ». « Henry préfère être assis au milieu de tout le monde, sans bureau cloisonné. Il est très accessible, c'est assez rare dans le secteur financier et bancaire », souligne à l'Agence France-Presse le directeur général de L'Olivier, Pascal Gonzalvez. Tutoiement entre chefs et subordonnés, abandon de la cravate, open space cosy et coloré, la société L'Olivier comme toutes les filiales d'Admiral a adopté un style de management horizontal et décontracté. « Tous les managers pensent qu'il est important que les employés soient heureux de travailler pour la compagnie », confirme à l'AFP David Stevens, successeur d'Henry Engelhardt. Les yeux se tournent à présent vers le nouveau patron et une question brûle les lèvres de ses collègues : « Que fera David quand il partira ? » rapporte un brin taquin Henry Engelhardt à l'Agence France-Presse.

Une touriste anglaise ,65A tente de rejoindre son mari parti en croisière sans elle,ennageant Elle voulait vraiment prendre ce bateau. Une touriste anglaise a été secourue samedi soir alors qu’elle était en train de se noyer à 500 mètres de la côte de Funchal, capitale de l’île portugaise Madère. La sexagénaire a expliqué qu’elle tentait de rejoindre un paquebot parti sans elle. Hospitalisée pour hypothermie Comme le raconte le journal Correio da Manha, la touriste s’était disputée avec son mari alors qu’ils effectuaient une croisière en direction des Caraïbes. Très en colère, elle avait décidé de quitter le bateau lors d’une escale au port de Funchal et de rentrer en Angleterre en avion. Mais, prise de remords, elle a finalement résolu de continuer la croisière… qui avait poursuivi sa route sans elle. La femme âgée de 65 ans a alors sauté à l’eau avec sa mallette et a essayé de gagner à la nage le paquebot. Elle a été sauvée de la noyade par des pêcheurs alertés par ses appels à l’aide, puis a été hospitalisée quelques heures pour cause d’hypothermie. C’est là que la pauvre femme a appris que son mari n’était de toute façon même plus sur le bateau : il avait pris l’avion pour rentrer en Angleterre !

a croisière en amoureux avait pourtant bien démarré pour ce couple de sexagénaires britanniques. Ils avaient décidé de s'offrir ce voyage à bord du "Marco Polo", un paquebot qui leur a d'abord fait découvrir les douceurs des Caraïbes avant de rentrer en Europe. Sur le chemin du retour, le navire a fait une escale sur l'île de Madère. C'est là qu'une dispute conjugale éclate. Madame, excédée et visiblement très remontée, a profité de l'escale portugaise pour faire sa valise et quitter le paquebot. Direction l'aéroport pour rentrer en Grande-Bretagne par le premier avion. Une fois arrivée dans le hall d'embarquement vers 20 heures, sur la côte est de l'île, elle voit, fendant l'horizon, le "Marco Polo" quittant Madère pour Lisbonne. Avec son sac à main, elle décide de se jeter à la mer pour tenter de nager jusqu'au bateau. En vain. Ce n'est que quatre heures plus tard que des pêcheurs, qui passaient par là, ont entendu des cris de détresse d'une femme en hypothermie au milieu de l'Atlantique. Quand les autorités ont appelé le paquebot pour prévenir son mari, on leur a expliqué qu'il n'était plus à bord. Il aurait pris le premier vol pour rentrer chez lui. Le couple s'était raté à l'aéroport. Un couple de retraites a gagné au loto, ils ont décidé de faire surprise à l’école du quartier « Ah, si j’étais riche » nous chantait Ivan Rebroff dans les années 70… Tout le monde s’est en effet un jour demandé ce qu’il ferait s’il gagnait au Lotto. Saviez-vous qu'un don à une oeuvre de bienfaisance se trouve souvent sur la wishlist de nos gagnants Lotto? Les mêmes numéros depuis des années 1 665 263 million d’euros, tel est le montant exact que ces deux cinquantenaires ont remporté le 29 juin dernier. Ces personnes, dont la Loterie ne peut révéler le nom, jouent régulièrement les mêmes numéros au Lotto depuis des années. Et ils comptent bien ne pas changer leurs habitudes. Une bonne assiette de moules Certains gagnants achètent une nouvelle voiture, d’autres investissent ou donnent une partie de leur gain à leurs enfants. La destination des gains varie d’une personne à l’autre. Mais un cadeau ou un don à une oeuvre de bienfaisance est quelque chose que nos millionaires Lotto envisagent souvent. À quelle association? La plupart des gagnants ne communique pas ce genre d'information. La seule chose qu’ils nous ont révélée, c’est qu’ils allaient célébrer cela avec une bonne assiette de moules. il distribue des pièces de l'euro pour fêter sa retraite, un passant appelé la police Allemagne – Un homme, visiblement très content d’avoir enfin atteint la date de fin de sa vie professionnelle, a décidé de fêter cela en distribuant des pièces de un euro dans la rue. Voilà un homme qui attendait avec une réelle impatience le jour où il serait en retraite. Ainsi, un Allemand a décidé de fêter cela en se rendant dans les rues piétonnes de la ville d’Aschaffenburg pour y distribuer des pièces de un euro aux passants. Et l’homme d’expliquer à l’AFP, panneau au cou et déguisé : "Je ne suis ni chômeur, ni sans domicile fixe. Je suis marié. Je vais bien. C'est pourquoi je souhaite vous offrir un euro". Un passant effrayé a appelé la

police pour la prévenir de ce qui se passait, mais les forces de l’ordre n’ont rien fait : distribuer de l’argent dans la rue n’a rien d’illégal. Un couple veut célébrer son mariage au marathon de Montréal, mais les organisateurs ne voulaient pas que les coureurs soutiennent le couple. Attention : vous devez transformer le cheminement de l’exercice. Partageant depuis plusieurs années la même passion, Joe et Kay O'Regans ont décidé de courir 42 kilomètres ensemble pour célébrer un événement bien particulier : leur anniversaire de mariage. A 80 ans, Joe et Kay O'Regans forment un couple qui dure, et pour cause, ils viennent d'entamer leurs 58ème année de mariage. Pour marquer le coup, ils ont décidé de rompre leurs habitudes en s'attaquant, ensemble cette fois, au marathon de Cork en Irlande. Ainsi, le 6 juin dernier, ils ont parcouru main dans la main 42 kilomètres en 5 heures et 23 minutes. A chaque kilomètre effectué, le couple a démontré que même dans la difficulté, ils restent soudés. Un geste symbolique 500 mètres avant de franchir la ligne d'arrivée, Joe a saisi la main de Kay et comme portés par leur amour, ils ont accéléré le pas. Non seulement, ils ont fini ensemble mais ils ont également gagné en étant les plus rapides de leur catégorie. "Il n'en a pas toujours été ainsi" Kay est aujourd'hui une adepte des marathons, si bien qu'elle a couru dans les plus grandes villes du monde. Elle voyait en chacun des 113 marathons auxquels elle a participé un véritable défi et elle s'efforce encore aujourd'hui de repousser ses limites. Joe aussi se défend puisqu'il compte 29 marathons à son actif. Mais si leurs performances nous laissent bouche bée, ils confient au magazine Today qu'il n'en a pas toujours été ainsi. Kay et Joe se sont adonnés à ce sport sur le tard, à l'âge de 49 ans. Mais ils ont vite rattrapé leur retard puisqu'en 1993, les capacités de Kay ont atteint leur paroxysme, lors du marathon de Melbourne en Australie. Elle avait alors réalisé son meilleur temps personnel qui est de 3 heures et 35 minutes. Kay éprouve encore une grande fierté à raconter ce moment et parler de leur passion qui ne les a pas quittés. Ils ont même fini par rejoindre un club en 1997 où ils y ont connu, d'ailleurs, la plupart de leurs amis. La der des ders ? Ravis d'avoir pu partager ce moment ensemble, ils ont déclaré à Today : "Il n'y a pas meilleur frisson que celui qu'on vient de vivre aujourd'hui". Cependant, avant d'entamer ce marathon, le couple avait convenu que ce serait leur dernier. C'est pourquoi, ils avaient décidé d'immortaliser ce moment de la même manière qu'ils l'avaient fait 30 ans plus tôt, en 1989, lors du marathon de Londres. Ilscélébreraientainsi la fin d'une époque. Mais juste avant le départ, Kay et Joe ont appris qu'ils étaient à 250 jours de battre un record, celui d'être le plus vieux couple du monde à faire un marathon. Aussi, ils auraient déclaré qu'il ne faut jamais dire jamais. On s'attenddonc à réentendreparlerd'euxd'ici 8-9 mois.

1. Deux pilotes s’endorment sur un vol San Diageo Minnesota, atterrissage retardé. Propo a / PAR MOI : Un boeing 737 relaint………….depasse sa destination de 240 avec 100 passagers à bord, Panique au sol, où le contact avec l’avion a été perdu. Ni le commandant de bord ni le copilote n'étaient conscients lors d’une discussion de la position de l'Avion avant l'intervention d'un steward cinq minutes avant l'heure prévue d'atterrissage. C'est alors que le commandant a réalisé et pris contact avec la tour de contrôle de Minneapolis afin de revenir vers l'aéroport pour se poser. Enfin, l'avion a atterri et les passagers n'ont pas réalisé ce qu'il se passait. Texte2 : Le commandant de bord, 53 ans, et son copilote, 54 ans, ont été interrogés par le Bureau de la sécurité des transports américain (NTSB) pendant plus de cinq heures au total sur cet incident qui les a amenés à dépasser leur destination de 240 km. Ils ont affirmé ne pas s'être endormis durant le vol entre San Diego (Californie, ouest) et Minneapolis (Minnesota, nord) avec 144 passagers à bord et deux stewards. Les deux hommes ont indiqué aux enquêteurs qu'il y avait eu "un moment de distraction dans le cockpit", évoquant une "conversation" durant laquelle ils n'ont pas surveillé les instruments de l'appareil ou répondu aux appels des contrôleurs aériens ni de leur compagnie aérienne, ce qui avait suscité la crainte d'un détournement par des terroristes. Ils ont précisé au NTSB qu'ils avaient commencé leur discussion, qui portait sur les nouveaux horaires de travail résultant de la fusion de Northwest avec Delta, quand l'avion se trouvait déjà à une altitude de croisière. Les deux pilotes ont affirmé "avoir perdu la notion du temps" et admis avoir utilisé leur ordinateur portable dans le cockpit, ce qui est interdit par leur compagnie. Ni le commandant de bord ni le copilote n'étaient conscients de la position de l'Airbus avant l'intervention d'un steward cinq minutes avant l'heure prévue d'atterrissage. C'est alors que le commandant a réalisé la bévue et pris contact avec la tour de contrôle de Minneapolis afin de revenir vers l'aéroport pour se poser. Normalement, une procédure d'atterrissage se prépare près au moins 200 kilomètres avant d'atterrir, selon les experts. Texte 3 Une catastrophe a été évitée vendredi dernier. Un Boeing qui reliait Mumbai à Bruxelles a tout d'un coup perdu de l'altitude. Les contrôleurs aériens ont immédiatement donné l'alerte. L'avion de la compagnie Jet Airways, qui transportait 280 passagers, était manœuvré par un pilote et une copilote peu conscients: pendant que l'un dormait, l'autre regardait sa tablette, raconte le site 20Minutes, rapportant une information du Times of India. Une chute de 1500 mètres Si le commandant de bord dormait, une pause réglementaire autorisée sur les longs courriers, la copilote aurait dû prendre les commandes à sa place. Sauf qu'elle était absorbée par son écran.

Survolant la Turquie lorsque l'avion a perdu de l'altitude, les contrôleurs aériens ont alerté les pilotes pour remonter à 10'000 mètres. La copilote n'avait pas remarqué qu'ils étaient en train de descendre. Les autorités pensent qu'elle dormait également. Enquête ouverte Une enquête a été ouverte. De son côté, la compagnie assure que «la sécurité est d'une importance capitale pour Jet Airways, tout comme le bien-être de nos passagers et de notre équipage. La compagnie prendra toujours les mesures appropriées pour s'en assurer». «Un bouton a-t-il été activé par erreur et que faisait la copilote? Il faut prouver qu'elle était en train de regarder quelque chose sur son iPad ou qu'elle s'est endormie», s'est questionnée la direction générale de l'aviation civile indienne. Si les deux pilotes ont pu continuer de voler après cet événement, ils ont été suspendus mardi. L'enquête devrait durer entre quatre et cinq mois. (nxp) Un couple de motards de retour de leur séjour en Allemagne s’arrête dans une pompe d’essence puis reprend sa route. Après 120 km l’homme remarque que la femme n’est plus sur la moto. Couple de motard : Un couple de motard de retour de leur séjour en Allemagne s’arrête dans une pompe d’essence, reprennent leur route après 120km l’homme remarque que la femme n’est plus sur la moto. Avec un cœur brisé, blâmes et plusieurs sentiments de culpabilité, l’homme a fait le retour vers la pompe en plein vitesse. Larmes aux yeux, il l’a trouvé assise sur le sol, portant un sachet, elle l'a étreint en criant : comment tu m’as laissé derrière, quelques minutes après l’excuse de son mari qui était sous l’effet d’alcool, ils ont décidé de passer la nuit dans le motel du pompe pour se reposer, avant de poursuivre le séjour inoubliable.