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GESTION DE L’APPROVISIONNEMENT Les soties du stock sont valorisées en utilisant plusieurs méthodes d’évaluation. Parmi ces méthodes on distingue : ✓ Le coût moyen unitaire pondéré : ➢ fin de la période (CUMP) 𝑠𝑡𝑜𝑐𝑘 𝑖𝑛𝑖𝑡𝑖𝑎𝑙 𝑒𝑛 𝑣𝑎𝑙𝑒𝑢𝑟+𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑛𝑡𝑟é𝑒𝑠 𝑒𝑛 𝑣𝑎𝑙𝑒𝑢𝑟
Avec CUMP=𝑠𝑡𝑜𝑐𝑘 𝑖𝑛𝑖𝑡𝑖𝑎𝑙 𝑒𝑛 𝑞𝑢𝑎𝑛𝑡𝑖𝑡é+𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑛𝑡𝑟é𝑒𝑠 𝑒𝑛 𝑞𝑢𝑎𝑛𝑡𝑖𝑡é ✓
➢ Après chaque entrée L’épuisement des stocks : ➢ Premier entrée premier sortie (PEPS) ➢ Dernier entrée premier sortie(DEPS)
Le choix d’une méthode d’évaluation dépend en grande partie de la nature et des caractéristiques des articles stockés A la fin de la période, et quelque soit la méthode de valorisation, le stock final peut être calculé de la manière suivante : 𝑆𝐹(𝑄) = 𝑆𝐼𝑒𝑛 𝑞𝑢𝑎𝑛𝑡𝑖𝑡é + 𝑡𝑜𝑡𝑎𝑙 𝑑𝑒𝑠 𝑒𝑛𝑡𝑟é𝑒𝑠 𝑒𝑛 𝑞𝑢𝑎𝑛𝑡𝑖𝑡é − 𝑡𝑜𝑡𝑎𝑙 𝑑𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑟𝑡𝑖𝑒𝑠 𝑒𝑛 𝑞𝑢𝑎𝑛𝑡𝑖𝑡é 𝑆𝐹 (𝑉) = 𝑆𝐼 𝑒𝑛 𝑣𝑎𝑙𝑒𝑢𝑟 + 𝑡𝑜𝑡𝑎𝑙 𝑑𝑒𝑠 𝑒𝑛𝑡𝑟é𝑒𝑠 𝑒𝑛 𝑣𝑎𝑙𝑒𝑢𝑟 − 𝑡𝑜𝑡𝑎𝑙 𝑑𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑟𝑡𝑖𝑒𝑠 𝑒𝑛 𝑣𝑎𝑙𝑒𝑢𝑟 Total des entrées en valeur = coût d’achat des marchandises achetées ou des MP achetées Total des sorties en valeurs = coût d’achat des marchandises vendues(A) ou des MP consommées Si la méthode utilisée est CUMP fin de période on peut déterminer ces 2 valeurs (le SF et les Sorties) sans recours à la fiche de stock : ✓ Stock final (V) = SF (Q) x CUMP ✓ Sorties (V) = sorties (Q) x CUMP Pour les autres méthodes on doit établir la fiche de stock pour déterminer la valeur des sorties (A) Marge commerciale = Chiffre d’affaires — coût d’achat des marchandises vendues Méthode CUMP fin de période CUMP après chaque entrée PEPS DEPS
Avantages -Diminue les fluctuations des prix puisque elle compense les variations des coûts d’achats - Facile à appliquer - permet de réduire la variation des prix -Les stocks sont évalués à tout moment
Inconvénients - On ne peut pas valoriser les sorties à tout moment, les sorties seront valorisées qu’à la fin de la période
-Convient pour évaluer les produits périssables
-Elle peut majorer le résultat en cas de hausse des prix ou le minorer en cas de baisse -Elle est déconseillée car elle gonfle les coûts - Elle peut minorer le résultat en cas de hausse des prix ou le majorer en cas de baisse
- Lourde, à appliquer du fait des calculs à effectuer
Conseiller pour les articles de modes
Analyse de l’évolution du stock : Stock Moyen = SM =
𝒔𝒕𝒐𝒄𝒌 𝒊𝒏𝒊𝒕𝒊𝒂𝒍+𝒔𝒕𝒐𝒄𝒌 𝒇𝒊𝒏𝒂𝒍 𝟐
Coefficient de rotation des stocks (vitesse de rotation) = r = 𝐏é𝐫𝐢𝐨𝐝𝐞
La durée de stockage = 𝐥𝐞 𝐜𝐨𝐞𝐟𝐟𝐢𝐜𝐢𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐞 𝐫𝐨𝐭𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 =
𝑨 𝑺𝒕𝒐𝒄𝒌 𝒎𝒐𝒚𝒆𝒏 (𝑽)
𝟑𝟔𝟎 𝒓
Si on vous demande de calculer la durée de stockage sans poser la question pour rechercher « r » le coefficient de rotation dans ce cas on peut écrire :
Durée de stockage =
𝐬𝐭𝐨𝐜𝐤 𝐦𝐨𝐲𝐞𝐧 𝐱 𝟑𝟔𝟎 𝐀:𝐜𝐨û𝐭 𝐝′ 𝐚𝐜𝐡𝐚𝐭𝐝𝐞 𝐌𝐬𝐞𝐬 𝐯𝐞𝐧𝐝𝐮𝐞𝐬
Attention : le stock final de l’année N-1 = le stock initial de l’année N (SF N-1 = SIN) Période : voir les énoncées de l’exercice (année : 360j / semestre = 180 jours / trimestre = 90 jours / mois = 30 jours) A : Coût d’achat des marchandises vendues = stock initial + les achats MSE – le stock final A : Coût d’achat des matières consommées = stock initial + les achats MP – le stock final A : Coût de production des PF vendus = stock initial + production – le stock final
A
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Comparaison entre les années on utilise les termes suivants : a augmenté … a diminué … reste constant Comparaison avec le secteur on utilise les termes suivants : supérieur au secteur … inférieur au secteur … = au secteur Remarque importante : L’interprétation du coefficient de rotation et la durée de stockage est généralement accompagnée avec l’analyse du BFR et les deux ratios de politique commerciale : Délai crédit client et Délai crédit fournisseur en effet :
BFR = (Stocks + Créances) – Fournisseurs et autres dettes
Rotation des stocks
Délai des crédits clients
Délai des crédits fournisseurs
On recommande généralement l’entreprise à : Demander des prolongations des délais de règlement auprès de ses fournisseurs ce qui augmente ses ressources de financements à court terme, diminue son BFR et améliore son équilibre financier.
Développer ses actions commerciales pour la recherche des débouchés, pour diminuer ses stocks, son besoin en fonds de roulement et améliorer sa trésorerie.
Surveiller continuellement les rotations des stocks, en effet un sur stockage pèse lourdement sur la trésorerie.
Adopter une stratégie plus rigide avec ses clients, raccourcir les délais de recouvrement accordés aux clients par la suite, diminuer la valeur des créances et améliorer l’équilibre financier.
La gestion prévisionnelle des stocks
Stock de maximum
Quantité 1000 --
Stock d’alerte
Stock Minimum
Stock de sécurité
800 --
Délai de 600 -Livraison
Retard De livrais on
400 --
Stock minimum Stock de sécurité 2
4
6
8
Date de déclenchement de la commande
Date de commande = 𝒔𝒕𝒐𝒄𝒌 𝒊𝒏𝒊𝒕𝒊𝒂𝒍 − 𝒔𝒕𝒐𝒄𝒌 𝒅′𝒂𝒍𝒆𝒓𝒕𝒆 𝒄𝒐𝒏𝒔𝒐𝒎𝒎𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒑𝒂𝒓 𝒋𝒐𝒖𝒓
10
12
14
16
18
20
Date de réception de la livraison
Quantité commandée = Stock maximum — Stock de sécurité
jours
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Consommation journalière
C annuelle / 360j, ou C semestrielle /180j ….
Stock minimum
C journalière x délai de livraison
Stock de sécurité
C journalière x risque de retard
Stock d’alerte
Stock minimum + Stock de sécurité
Il n’y a pas de formules spécifiques. Lire bien les énoncées
Les niveaux de stocks : on distingue les niveaux de stock suivants : - Stock maximum : pour éviter le surstockage - Stock minimum : pour éviter la rupture de stock ; il correspond à la quantité à consommer pendant le délai de livraison. - Stock de sécurité : pour éviter les retards de livraison - Stock d’alerte : niveau de déclenchement de la commande
Nombre de commandes N
Stock moyen en quantité SM (Q) =
Stock moyen en valeur
𝐐
𝐐 𝐱 𝐜𝐮
SM (V) =
𝟐𝐍
𝟐𝐍
𝐂
=
Coût total de possession
Coût de passation
SM (v) x i 𝐂𝐢 =
Px N
𝟐𝐍
Coût total d’approvisionnement
=pxN +
𝟐𝐍
X cu : Coût d’achat unitaire
N Q cu C i 𝐶𝑥𝑖 2𝑁
ou Coût de possession unitaire x Q
𝐂𝐢 𝟐𝐍
x i : Taux de possession
Nombre de commande ou cadence d’approvisionnement Quantité achetée ou consommée Coût d’achat unitaire Consommation en valeur (ou les achats en valeur) Taux de possession Coût de possession total
Coût de possession unitaire Coût d’achat unitaire x i p Coût de passation d’une commande PxN Coût de passation total Coût total d’approvisionnement Coût de passation + Coût de possession Coût global d’approvisionnement Coût de passation + Coût de possession + Coût d’achat (C) N* : Nombre de commande optimal : pour N* on a
Coût total d’approvisionnement est minimum 𝑪𝒐û𝒕 𝒕𝒐𝒕𝒂𝒍 𝒅′𝒂𝒑𝒑𝒓𝒐𝒗𝒊𝒔𝒊𝒐𝒏𝒏𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕
Coût de possession = Coût de passation = 𝟐 Coût total d’approvisionnement = 2 x Coût de passation = 2 x Coût de possession C’est la politique d’approvisionnement optimale que l’entreprise doit adopter
Formule de Wilson
N* = √
𝐂𝐱𝐢 𝟐𝐱𝐏
Lot économique (quantité par commande) Périodes de réapprovisionnement
=√
(𝑸 𝒙 𝒄𝒖 )𝒙 𝒊 𝟐𝒙𝑷
(𝑸 𝒙 𝑪𝒐û𝒕 𝒅𝒆 𝒑𝒐𝒔𝒔𝒆 𝒖𝒏𝒊𝒕 )
N* = √
𝟐𝒙𝑷 COUT DE POSSESSION UNITAIRE = COUT D’ACHAT UNITAIRE X i
q* =
𝐐
(====> N =
𝐍∗ 𝟑𝟔𝟎
Périodes =
𝐍
𝑄 𝑞
)
(====> N =
360 𝑃
)
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GESTION DE LA PRODUCTION : Coûts complets : o
Les charges directes : Elles sont directement affectées aux coûts des produits, car la consommation de ces charges par chaque type de produit est connue; Les charges indirectes : Généralement regroupées dans les centres d’analyse, elles ne peuvent pas être directement affectées aux coûts des produits. Elles nécessitent un travail de partage dans les centres d’analyse
o
Tableau de répartition secondaire des charges indirectes Eléments
Sections auxiliaires Administration
Energie
Atelier 1
Atelier 2
Distribution
…….
……
…..
…
…
….
………………
………………
………………
………………
………………
………………
………………
………………
………………
………………
………………
………………
0
0
………………
Totaux après R.P. Répartition Sec. Administration Energie Totaux après R.S.
Approvisionnement.
Nature l’U.O. Nombre d’U.O.
………………
………………
………………
Heure de MOD
Unité fabriquée
Unité vendue
………………
………………
………………
………………
………………
………………
………………
………………
Kg acheté
Coût de l’U.O.
Se fixe selon la nature des unités d’œuvre
o o o o
(montants en dinars) Sections principales
Coût de l’unité d’œuvre = 𝑇𝑜𝑡𝑎𝑢𝑥 𝑎𝑝𝑟é𝑠 𝑟é𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑠𝑒𝑐𝑜𝑛𝑑𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑢𝑛𝑖𝑡é𝑠 𝑑′𝑜𝑒𝑢𝑣𝑟𝑒
Le coût d’achat = Prix d’achat + charges d’approvisionnement (directe et indirecte) Le coût de production= Coût d’achat des matières consommées +fournitures diverses + MOD+ charges indirecte de fabrication. Coût de revient= Coût de production des produits vendus + Charges de distribution (directes et indirectes) Résultat analytique= Chiffre d’affaires (ventes) – Coût de revient
o
Coût de l’unité d’œuvre =
✓ ✓ ✓
𝑇𝑜𝑡𝑎𝑢𝑥 𝑎𝑝𝑟é𝑠 𝑟é𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑠𝑒𝑐𝑜𝑛𝑑𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑢𝑛𝑖𝑡é𝑠 𝑑′𝑜𝑒𝑢𝑣𝑟𝑒
Charges directes : leurs coûts unitaires sont donnés dans les informations Charges indirectes : leurs coûts unitaires sont trouvés dans le TRCI : CUO : coût de l’unité d’œuvre Le nombre des unités d’œuvre est déterminé selon la nature de l’unité d’œuvre (si la nature KG acheté on doit chercher les KG acheté) (si la nature est dinars d’achat on doit chercher les achats en dinars)
…………..
…………..
Eléments
Quantités
CU
Charges indirectes
Se fixe selon la nature de l’unité d’œuvre
CUO
Total des nombres des unités d’œuvre
Montants
Quantités
CU
Se fixe selon la nature de l’unité d’œuvre
CUO
Montants
Total après répartition secondaire
N'acceptez jamais la défaite, vous êtes peut-être à un pas de la réussite. Labdi khaled
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Coûts partiels : ✓
Certaines charges restent inchangés (constantes) quelque soit le niveau d’activité (exprimé en quantité ou en valeur). Elles sont dites « charges FIXES » ou (charges de structure). Elles constituent le COUT FIXE. ; le coût fixe est variable par unité.
✓
D’autres charges varient en fonction du niveau d’activité. Elles sont dites « charges VARIABLES ». Elles constituent le « coût variable » ; le coût variable est constant par unité »
✓
Le seuil de rentabilité (SR) est le niveau d’activité à partir duquel, l’entreprise commence à réaliser des bénéfices c’est à dire le niveau d’activité pour lequel le résultat est nul.
Tableau de résultat différentiel
Désignation Chiffre d’affaires - Coûts variables
Produit « P » Montant …………. ………….
= Marge sur coût variable - Coûts fixes
…………. ………….
𝑀/𝐶𝑉 𝐶𝐴
= Résultat analytique d’exploitation
………….
𝑅 𝐶𝐴
Seuil de rentabilité (en valeur) :
SR (V) =
Seuil de rentabilité (en quantité) :
SR (Q) =
𝑪𝒐û𝒕𝒔 𝒇𝒊𝒙𝒆𝒔 𝑻𝒂𝒖𝒙 𝒅𝒆 𝒎𝒂𝒓𝒈𝒆 𝒔𝒖𝒓 𝒄𝒐û𝒕 𝒗𝒂𝒓𝒊𝒂𝒃𝒍𝒆
Taux du coût variable
% 100 % 𝐶𝑉 % 𝐶𝐴
Taux de la marge / CV
%
Taux de rentabilité
— %
SR (V) =
𝑪𝒐û𝒕𝒔 𝒇𝒊𝒙𝒆𝒔 𝑿 𝑪𝑨 𝑴𝒂𝒓𝒈𝒆 𝒔𝒖𝒓 𝒄𝒐û𝒕 𝒗𝒂𝒓𝒊𝒂𝒃𝒍𝒆
𝑪𝒐û𝒕𝒔 𝒇𝒊𝒙𝒆𝒔
𝑺𝑹 (𝑽) 𝑷𝒓𝒊𝒙 𝒅𝒆 𝒗𝒆𝒏𝒕𝒆
SR (Q) = 𝑴𝒂𝒓𝒈𝒆 𝒔𝒖𝒓 𝒄𝒐û𝒕 𝒗𝒂𝒓𝒊𝒂𝒃𝒍𝒆 𝒖𝒏𝒊𝒕𝒂𝒊𝒓𝒆
Attention : SR (V) = SR (Q) X Prix de vente
M/CV unitaire = PV unitaire —CV unitaire 𝑴𝒂𝒓𝒈𝒆 𝒔𝒖𝒓 𝑪𝑽 𝒈𝒍𝒐𝒃𝒂𝒍𝒆 M/CV unitaire = 𝑸𝒖𝒂𝒏𝒕𝒊𝒕é 𝒗𝒆𝒏𝒅𝒖𝒆
Marge de sécurité
MS (V) = Chiffre d’affaire — Seuil de rentabilité en valeur Ou MS en (Q) = Q vendues — SR (Q)
Date du seuil de rentabilité
Date =
𝑺𝑹 (𝑽) 𝑪𝑨
x Mois d’activité
𝑺𝑹(𝑸)
Date = 𝑸 𝒗𝒆𝒏𝒅𝒖𝒆𝒔 x Mois d’activité
Exemple : date = 3,793 mois =➔ 3 mois et (0,753 x 30 = 23,79 =24 j) ==➔ soit le 24 avril
تاريخ عيد ميالدي
Résultat prévisionnel CA prévisionnel et Quantité prévisionnelle
(Taux de M/CV x CA prévisionnel) — Coût fixe CA prévisionnelle =
𝑹é𝒔𝒖𝒍𝒕𝒂𝒕+𝑪𝒐û𝒕 𝒇𝒊𝒙𝒆 𝑻𝒂𝒖𝒙 𝑴/𝑪𝑽
(M/CV unitaire x Q vendues prévisionnelles) – C Fixes Quantités prévisionnelles =
𝑹é𝒔𝒖𝒍𝒕𝒂𝒕+𝑪𝒐û𝒕 𝒇𝒊𝒙𝒆 𝑴/𝑪𝑽𝒖𝒏𝒊𝒕𝒂𝒊𝒓𝒆
✓ ✓
Les Matière première et les HMOD par unité sont toujours des charges variables ; Les Dotations aux amortissements sont des charges fixes ; les frais relatifs à une compagne publicitaire : charge fixe
✓
(Charges = 6 000 D dont 1 500 D charges fixes) c.à.d: (charges fixes = 1 500 D) et (charges variables = 6 000 – 1 500 = 4 500 D) M/CV = TM/CV x CA
Coûts Et M/CV
Zone de gain
Coûts Fixes
CF = Constante
Zone de perte
CA SR (V)
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Le choix des quantités à fabriquer Dans le domaine de la production le gestionnaire est confronté à plusieurs contraintes (technique, commerciale, de rentabilité…) dont il faut les surmonter. En tenant compte de ces contraintes le gestionnaire doit chercher la quantité optimale de production qui permet de minimiser les coûts et d’améliorer la rentabilité Le profit maximum est obtenu à partir de l’optimisation d’une fonction économique appelée la fonction « objectif » Z
Z= [Marge bénéficiaire du produit 1 × Q optimale du produit 1] + [Marge bénéficiaire du produit 2 × Q optimale du produit 2] Z= [M/CV unitaireP1 X Q optimale du produit 1] + [M/CV unitaireP2 X Q optimale du produit 2] Dans le système du plein emploi n’oubliez pas de mettre les inéquations des contraintes de production (< ou=) et les contraintes logiques et s’il y en a les contraintes commerciales On détermine donc les quantités optimales soit en appliquant la solution algébrique (à l’aide d’un système de 2 équations à 2 inconnus) soit en appliquant la solution graphique. Atelier 1
P2
Plein emploi
Atelier 2
Zone OptimalP2
des solutions Possibles ( on peut produire P1 et P2 Ensemble) optimalP1
P1
Si on vous demande de voir si une combinaison peut être fabriquée par l’entreprise, vous devez remplacer les éléments de cette combinaison dans les deux inéquations de production et voir si on a respecté les capacités des ateliers En cas de l’impossibilité de satisfaire la commande du client l’entreprise peut recourir à : Solution à court terme (solution non permanente) : La sous-traitance (confier les quantités supplémentaires à une petite entreprise d’activité similaire) Augmenter les heures de travaille (heures supplémentaires) Solution à long terme (solution radicale) : Acquérir une machine pour augmenter la production (Investissement de Capacité) Le recoure à la sous-traitance peut être réalisé même si l’entreprise n’est pas saturé : c’est le cas d’une commande peut être satisfaite par l’entreprise mais son coût de revient est très élevé et ne permet pas à l’entreprise de dégager des bénéfices donc elle fait appel à un sous-traitant qui peut réaliser la commande à un prix compétitif.
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Comparaison entre les prévisions et réalisations (L’ECART) Définition d’un écart :L’écart se définit comme la différence entre les réalisations et les prévisions. En effet, et d’une manière générale pour tout élément de coût :
Ecart = Réel — Prévisionnel La signification des écarts Ecart > 0 Coût réel > Coût préétabli : L’écart est défavorable car l’entreprise a supporté un coût supérieur à celui prévu. Ecart < 0 Coût réel < Coût préétabli : L’écart est favorable car l’entreprise a supporté un coût inférieur à celui prévu. Ecart = 0 Coût réel = Coût préétabli : L’écart est nul. Il est favorable car les prévisions de l’entreprise sont exactes.
Remarque : Ecart sur coût ============= > s’il est > 0 : Défavorable ; s’il est < 0 : Favorable Ecart sur résultat ou CA =============== > s’il est > 0 : Favorable ; s’il est < 0 : Défavorable Le calcul et l’analyse des écarts globaux : Production réelle (constatée) = Production prévue Le calcul de l’écart global L’écart global se définit comme la différence entre le coût réel de la production réelle et le coût préétabli de la production préétablie.
Ecart global = Coût réel de la production constatée - Coût préétabli de la production constatée
Ecart sur coût = (Coût réel/unit – Coût préétabli/unit) ×Qquantité réelle Ecart global = Ecart sur coût + Ecart sur quantité Ecart sur Quantité = (Quantité réelle –Quantité préétablie) × Coût préétabli/unit
Ecart sur coût ============= > s’il est + : Défavorable ; s’il est — : Favorable Ecart sur résultat ou CA =============== > s’il est + : Favorable ; s’il est — : Défavorable
Lors de l’analyse aidez vous en retraçant le tableau
Eléments MP consommées
Q
Coûts réels CU
CT CTréel
Q
Coûts préétablis CU CT CTprévu
Ecarts Réel — Prévisionel CTréel - CTprévu
Ecart sur coût =
Ecart sur quantité =
(Coût réel/unit – Coût préétabli/unit) X Quantité réelle
(Quantité réelle – Quantité préétablie) X Coût préétabli/unit
N’oublier pas d’indiquer la nature de l’écart (favorable ou défavorable) Si on a un écart sur quantité défavorable sur MP: Gaspillage au niveau de la quantité de matière première. Ceci a
entrainé un coût supplémentaire. Si on a un écart sur coût favorable sur MP : Une économie réalisée sur le coût de matières premières. Un écart défavorable peut influencer la performance d’une entreprise et n’aide pas l’entreprise à atteindre ses objectifs:
La société n’est pas performante étant donné qu’elle n’a pas pu atteindre son objectif suite au gaspillage dans la consommation des matières premières. Par conséquent, elle doit contrôler ses facteurs de production (machines et main d’œuvre) afin d’identifier l’origine du gaspillage et prendre les décisions adéquates.
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Lot économique
Approvisionnement
N*
Nombre de commande qui minimise le coût total d’approvisionnement Coût de passation d’une commande : Quantité consommée Coût d’achat unitaire Consommation (en valeur) : Q x cu
p Q cu C SM (Q) SM(V) i Coût de possession Coût Total
Production
𝑸 𝟐𝑵 𝑪 = 𝟐𝑵 Taux de possession de la période =
= SM (V) x i =
Coût de passation + coût de possession
Quantité par commande Période
𝑪𝒙𝒊
(𝑸 𝒙 𝒄𝒖 )𝒙 𝒊
N* = √𝟐 𝒙 𝑷 = √ q* = Périodes =
𝟑𝟔𝟎 𝑵
CL Q cu C ou P SM(Q) SM(V) t Coût de stockage Coût global
𝑪𝒊 𝟐𝑵
=pxN + Formule de Wilson
𝑪𝒊 𝟐𝑵
N*
𝟐𝒙𝑷
𝑸 𝑵∗
(si la période = 1 an)
Nombre de lot qui minimise le coût total lié à la production Coût de lancement d’un lot Quantité produite Coût de production unitaire Production en V ou le coût de production total (annuel) 𝑸 = 𝟐𝑵 𝑪 = 𝟐𝑵 Taux de stockage 𝑪𝒕
= SM (V) x t = 𝟐𝑵 Coût de lancement + coût de stockage 𝑪𝒕 = cl x N + 𝟐𝑵
Formule de Wilson
𝑪𝒙𝒕
N* = √𝟐 𝒙 𝑪𝒍 = √
Quantité par lot Période
(𝑸 𝒙 𝒄𝒖 )𝒙 𝒕 𝟐 𝒙 𝒄𝒍
q* = Périodes =
𝟑𝟔𝟎 𝑵
𝑸 𝑵∗
(si la période = 1 an)
Pour une meilleure gestion, il convient de rechercher un nombre optimal annuel de lots. Ce nombre de lots est celui qui minimise le coût global. Dans le cadre de cette étude, il s'agit de minimiser les coûts liés au stockage. Il faut donc considérer les coûts liés au lancement de la fabrication et à la possession des stocks.
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GESTION COMMERCIALE I/ L’étude de marché: L'étude de marché consiste à rechercher de l'information visant à acquérir une bonne connaissance de l'environnement, de la concurrence, du consommateur, et, de la distribution. 1) Etude de l’environnement : dégager les MENACES et les OPPORTUNITES On distingue plusieurs types d’environnement à savoir : ➢ Environnement juridique : ensemble des lois ➢ Environnement culturel : mode de vie, pensée, tradition… ➢ Environnement social ➢ Environnement écologique ➢ Environnement économique : pouvoir d’achat, chômage, inflation… ➢ Environnement sanitaire : maladie, espérance de vie… ➢ Etc 2) Etude du consommateur : les facteurs psychologique, culturel et sociologique qui influencent son comportement 3) Etude de la concurrence : nombre des concurrents, leurs prix, leurs qualité… 4) Etude des autres intervenants : les distributeurs, les intermédiaires… II/ La provocation des ventes : A/ la segmentation et Ciblage La segmentation consiste à découper un marché en groupe d’individus ayant des comportements similaires L’objectif de la segmentation et de choisir la cible La cible est constituée de l’ensemble des consommateurs potentiels dont l’entreprise souhaite qu’ils deviennent des clients effectifs Une politique commerciale se décompose de quatre axes : ❖ La politique de produit ❖ La politique de prix ❖ La politique de communication (promotion) ❖ La politique de distribution 1)
❖ ❖ ❖ ❖
Le choix d’une politique de produit : Le choix d’une politique de produit dépend de la phase du cycle de vie ou se trouve le produit Chaque produit peut avoir quatre grandes phases dans sa vie à savoir : Phase de lancement Phase de croissance Phase de maturité Phase de déclin
Le comportement du gestionnaire diffère suivant la phase du produit. On peut résumer ce comportement dans le tableau suivant : Phases Lancement
Croissance
Maturité
Déclin
Caractéristiques Le produit n’est pas exempt des défauts Coûts élevés Concurrence est faible Les coûts baissent Le produit commence à être connu La concurrence augmente Marché saturé Les consommateurs sont fidèles Le coût unitaire est faible La concurrence est acharnée Le produit est dépassé Le coût unitaire est élevé La distribution se rétrécit
Comportements Poursuivre les efforts de recherche et développement Faire connaitre le produit Essayer de baisser les coûts Maitriser davantage les coûts Accentuer l’effort de publicité Faire une mise au point définitive du produit Apporter quelques améliorations sur le produit Augmenter la production Les profits générés par cette phase doivent être utilisés pour financer la lancement d’un nouveau produit Abandonner le produit Rajeunir le produit en changeant l’emballage par exemple Lancer un nouveau produit
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2)
Le choix d’une politique de prix :
Il s’agit de fixer un prix de vente selon les critères (modes) suivants : La demande (prix psychologique) Les coûts La concurrence
CALCULS COMMERCIAUX Entreprise industrielle
Entreprise commerciale
Marge bénéficiaire = Prix de Vente — Coût de Revient
Marge commerciale = Prix de vente — Coût d’achat de Mses vendues
Taux de Marge =
𝑀𝑎𝑟𝑔𝑒 𝑏é𝑛é𝑓𝑖𝑐𝑖𝑎𝑟𝑒 𝐶𝑜û𝑡 𝑑𝑒 𝑅𝑒𝑣𝑖𝑒𝑛𝑡
Taux de Marge =
𝑀𝑎𝑟𝑔𝑒 𝐶𝑜𝑚𝑚𝑒𝑟𝑐𝑖𝑎𝑙𝑒 𝐶𝑜û𝑡 𝑑′𝑎𝑐ℎ𝑎𝑡
Taux de Marge bénéficiaire par rapport au coût de revient
𝑃𝑉 — 𝐶𝑅 𝐶𝑜û𝑡 𝑑𝑒 𝑅𝑒𝑣𝑖𝑒𝑛𝑡
Taux de Marge commerciale par rapport au coût d’achat
𝑃𝑉 — 𝐶𝑜û𝑡 𝑑′𝑎𝑐ℎ𝑎𝑡 𝐶𝑜û𝑡 𝑑′𝑎𝑐ℎ𝑎𝑡
Taux de Marque = Taux de Marge bénéficiaire par rapport au prix de vente = Taux de rentabilité
𝑀𝑎𝑟𝑔𝑒 𝑏é𝑛é𝑓𝑖𝑐𝑖𝑎𝑟𝑒 𝑃𝑟𝑖𝑥 𝑑𝑒 𝑉𝑒𝑛𝑡𝑒
Taux de Marque =
𝑀𝑎𝑟𝑔𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒𝑟𝑐𝑖𝑎𝑙𝑒 𝑃𝑟𝑖𝑥 𝑑𝑒 𝑉𝑒𝑛𝑡𝑒
𝑃𝑉 — 𝐶𝑅 𝑃𝑟𝑖𝑥 𝑑𝑒 𝑣𝑒𝑛𝑡𝑒
Taux de marge commerciale par rapport au prix de vente
𝑃𝑉 — 𝐶𝑜û𝑡 𝑑′𝑎𝑐ℎ𝑎𝑡 𝑃𝑟𝑖𝑥 𝑑𝑒 𝑣𝑒𝑛𝑡𝑒
Entreprise industrielle
Entreprise commerciale
Prix de vente = Coût de revient + Marge
Prix de vente = Coût d’achat + Marge
Prix de vente = Coût de revient x (1 + taux de Marge) Coût de revient = Prix de Vente =
𝑃𝑟𝑖𝑥 𝑑𝑒 𝑉𝑒𝑛𝑡𝑒 (1+𝑡𝑎𝑢𝑥 𝑑𝑒 𝑀𝑎𝑟𝑔𝑒)
𝐶𝑜û𝑡 𝑑𝑒 𝑟𝑒𝑣𝑖𝑒𝑛𝑡 (1 —𝑇𝑎𝑢𝑥 𝑑𝑒 𝑀𝑎𝑟𝑞𝑢𝑒)
Coût de revient = Prix de Vente x (1 — taux de Marque) [taux de marque = Taux de rentabilité]
Prix de vente = Coût d’achat x (1 + taux de Marge) Coût d’achat =
𝑃𝑟𝑖𝑥 𝑑𝑒 𝑉𝑒𝑛𝑡𝑒 (1+𝑡𝑎𝑢𝑥 𝑑𝑒 𝑀𝑎𝑟𝑔𝑒)
Prix de Vente =
𝐶𝑜û𝑡 𝑑′𝑎𝑐ℎ𝑎𝑡 (1 —𝑇𝑎𝑢𝑥 𝑑𝑒 𝑀𝑎𝑟𝑞𝑢𝑒)
Coût d’achat = Prix de Vente x (1 — taux de Marque)
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3) Le choix d’une politique de communication: Il s’agit de choisir un ou plusieurs moyens de communications suivantes : ➢ La publicité média (TV, Radio, réseau sociaux, internet…) ➢ La publicité hors média ➢ La promotion des ventes ➢ Le sponsoring Une fois le choix est effectué il faut connaitre l’impact de ce choix sur l’image de marque de l’entreprise
Part de marché (indicateur de positionnement) CA = Vente (D) = Quantités vendues x Prix de vente unitaire CA de marché = CA du secteur = CA de la branche = CA (Ese) + CA (Eses Concurrentes) Quantités vendues sur le marché = Q vendues (Ese) + Q vendues (Eses Concurrentes) Part de marché en volume (en quantité) =
𝑸𝒖𝒂𝒏𝒕𝒊𝒕é𝒔 𝒗𝒆𝒏𝒅𝒖𝒆𝒔 𝒅𝒆 𝒍’𝒆𝒏𝒕𝒓𝒆𝒑𝒓𝒊𝒔𝒆 𝑸𝒖𝒂𝒏𝒕𝒊𝒕é𝒔 𝑽𝒆𝒏𝒅𝒖𝒆𝒔 𝒅𝒖 𝒔𝒆𝒄𝒕𝒆𝒖𝒓
Part de marché en valeur =
𝑽𝒆𝒏𝒕𝒆𝒔 𝑯𝑻 𝒅𝒆 𝒍’𝒆𝒏𝒕𝒓𝒆𝒑𝒓𝒊𝒔𝒆 𝑽𝒆𝒏𝒕𝒆𝒔 𝑯𝑻 𝒅𝒖 𝒔𝒆𝒄𝒕𝒆𝒖𝒓
=
𝑪𝑨 𝑯𝑻𝒅𝒆 𝒍’𝒆𝒏𝒕𝒓𝒆𝒑𝒓𝒊𝒔𝒆 𝑪𝑨 𝑯𝑻 𝒅𝒖 𝒔𝒆𝒄𝒕𝒆𝒖𝒓
= 0,5642 (4 chiffres après la virgule) pour avoir un % de 2 chiffres après virgule soit 56,42% Les deux indicateurs ne donnent pas les mêmes résultats vus l’effet du Prix (prix de vente de l’Ese est généralement différent du prix de vente moyen des concurrents)
L’évolution du Chiffre d’affaires Taux de croissance annuel du CA Taux d’accroissement annuel du CA Taux d’évolution annuel du CA Taux de variation annuel du CA
=
𝑪𝑨 𝑯𝑻 𝑵− 𝑪𝑨 𝑯𝑻 𝑵−𝟏 𝑪𝑨 𝑯𝑻 𝑵−𝟏
CAN = CAN-1 x (1+ taux de variation du CA) 4) Le choix d’une politique de distribution: Un circuit de distribution est formé de plusieurs canaux : Entreprise =================================================================== ➔ Consommateur : ultra court / Direct Entreprise ====================➔ Détaillant ====================================➔ Consommateur : Court Entreprise ====================➔ Détaillant ==========➔ Grossiste================➔ Consommateur : Long Canal direct ou ultra-court : aucun intermédiaire n’entre le producteur et le consommateur. Canal court : le produit transite par un détaillant avant de parvenir au consommateur. Canal long : il y a plus d’intervenant entre le fabriquant et l’utilisateur final. Canal Canal direct
Canal court
Canal long
Avantages - Contact direct des clients (connaître leurs besoins) - prix concurrentiels - Possibilité de modifier le mode de distribution des produits - Eviter les problèmes des intermédiaires - Possibilité de représenter l’entreprise sur les marchés éloignés
Inconvénients - Frais de stockage, de manutention et de distribution très importants - Faible couverture du marché - Frais de stockage, de manutention et de distribution importants - Faible couverture du marché - prix très élevés - difficulté de modifier le mode de distribution des produits
Exécution et suivi des ventes : C’est le fait de réaliser la vente (l’exécution) et l’après-vente (le suivi) par la force de vente L’exécution de la vente : - L’enregistrement de la commande - La livraison et le contrôle des produits - La facturation et le recouvrement des créances Le suivi de la vente (le service après-vente): Installation, garantie, entretien et Réparation, essai d’utilisation, etc. La force de vente désigne généralement l'ensemble des salariés d'une entreprise participant à la commercialisation des produits ou services.
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GESTION DES RESSOURCES HUMAINES I/ Les besoins en personnel: La gestion prévisionnelle des emplois et des compétences est une démarche qui consiste à : ➢ Fixer des objectifs de développement de l’entreprise en fonction de l’évolution de l’environnement ➢ Définir les besoins en personnel ➢ Connaitre les ressources humaines disponibles et analyser leur évolution probable dans le temps (départ, promotion,…) ➢ Comparer l’effectif prévisionnel avec les besoins fixés ➢ Dégager et analyser les écarts ➢ Prendre les actions correctrices Pour dégager les écarts sur les effectifs de chaque catégorie on peut utiliser les formules suivantes : Effectifs prévisionnels = effectifs actuels – départs ± promotions Ecarts = effectifs prévisionnels – besoins théoriques II/ Le recrutement: Le recrutement est l’ensemble des opérations par lesquelles une entreprise se procure de la main d’œuvre dont elle a besoin Le recrutement peut être soit interne soit externe Le recrutement peut se faire soit par les moyens propres de l’entreprise soit par des bureaux spécialisés de recrutement Un coût de recrutement est l’ensemble des dépenses engagées par une entreprise afin de se procurer de la main d’œuvre dont elle a besoin III/ La formation du personnel: La formation est un investissement humain coûteux pour l’entreprise La formation vise à améliorer les compétences acquises des travailleurs et à les adapter aux évolutions technologiques Il existe deux plan de formation à savoir : ➢ Une formation initiale est celle acquise avant l’entré dans la vie professionnelle ➢ Une formation continue est celle acquise après l’entrée dans la vie professionnelle Le coût de la formation est l’ensemble des charges engagées par une entreprise pour réaliser la formation de ses employés déduction faite des ristournes accordées par l’Etat : Coût réel de la formation = Coût global de la formation – Ristourne obtenue
IV/ La rémunération du personnel: La rémunération du personnel est la contre partie d’un travail effectué c’est un REVENU pour l’employé et un COUT (Charge) pour l’entreprise Les 3 formes de salaires : Salaire au temps, Salaire au rendement, Salaire Mixte (au temps + au rendement) La masse salariale (ou Coût de la MOD) représente l’ensemble des coûts liés à l’utilisation du facteur travail Méthode de détermination de la masse salariale : Salaire brut + Les charges sociales patronales (CNSS 16,57%) +Les charges fiscales patronale (TFP et FOPROLOS)
Eléments TFP (charge fiscale) FOPROLOS (charge fiscale) CNSS (charge sociale)
Entreprise industrielle S. Brut x 1% S. Brut x 1% S. Brut x 16,57%
Entreprise commerciale S. Brut x 2% S. Brut x 1% S. Brut x 16,57%
Charges patronales
S. Brut x 0,1857
S. Brut x 0,1957
Salaire brut
Somme des salaires bruts annuels de toutes les catégories = S. Brut x 1
Somme des salaires bruts annuels de toutes les catégories = S. Brut x 1
S. Brut + charges patronales S. Brut + S. Brut x 0,1857 S. Brut x 1,1857
S. Brut + charges patronales S. Brut + S. Brut x 0,1957 S. Brut x 1,1957
Masse salariale annuelle
Taux d’évolution de la masse salariale
𝑀𝑎𝑠𝑠𝑒 𝑠𝑎𝑙𝑎𝑟𝑖𝑎𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑙 ′ 𝑎𝑛𝑛é𝑒 𝑁 − 𝑀𝑎𝑠𝑠𝑒 𝑠𝑎𝑙𝑎𝑟𝑖𝑎𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑙 ′ 𝑎𝑛𝑛é𝑒 𝑁 − 1 𝑀𝑎𝑠𝑠𝑒 𝑠𝑎𝑙𝑎𝑟𝑖𝑎𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑙 ′ 𝑎𝑛𝑛é𝑒 𝑁 − 1
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Fiche de paie ou bulletin de paie
Salaire de base
+ Heures supplémentaires + Primes et Indemnités
= Salaire brut
- CNSS 9,18% (charge ouvrière) = Salaire imposable - IRPP - Autres retenues
= Salaire net
Heures normales x taux horaire
Régime 40 H (par semaine) Régime 48 H (par semaine) HS x taux horaire x 1,25 (Les 8 premières heures) HS x taux horaire x 1,75 (Toutes les heures > 48 H) HS x taux horaire x 1,50 (Au-delà des 8 premières heures) Prime : somme d’argent versée à titre d’encouragement Indemnité : somme versée pour compenser des conditions de travail défavorables
Salaire de base + Heures supplémentaires + primes et indemnités
S. Brut x 9,18% Salaire brut – CNSS 9,18% C’est une donnée Voir les énoncées (avance, opposition, cession, affiliation à l’UGTT, annuités prêt…)
Salaire imposable – IRPP – Autres retenues
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GESTION FINANCIERE I-
Le financement du cycle d’investissement :
Les sources de financement des investissements sont classées en : Sources internes : • Autofinancement : dégagée par l’activité propre de l’entreprise • Cession des actifs immobilisés Sources externes • Augmentation du capital : Apport des associés • Emprunts bancaires et Crédit accordés par des tiers • Crédit bail : c’est un contrat de location- vente moyennant le versement des redevances ❖ La capacité d’autofinancement (CAF) de l’entreprise La capacité d’autofinancement (CAF) est la différence entre les produits encaissables et charges décaissables. ❖ L’utilité de la capacité d’autofinancement (CAF) Reprises sur provisions et les ▪ La rémunération des apporteurs des capitaux (distribution des dividendes); résultats de cession plus values ▪ Le renouvellement de ses actifs immobilisés (investissement) ; (736 et 757) ▪ L’expansion de l’entreprise ; ❖ Calcul de la capacité d’autofinancement (CAF) a) A partir du résultat de l’exercice
CAF = Résultat + Charges non décaissables - Produits non encaissables ▪ b)
Résultat = Total des produits (classe 7) – Total des charges (classe 6)
Dotations aux amortissements et les résultats de cession moins values (636 et 656)
A partir de produits encaissables et charges décaissables
CAF = Produits encaissables - Charges décaissables
▪ Produits encaissables = Total des produits - Produits non encaissables ▪ Charges décaissables = Total des charges - Charges non décaissables ❖ l’autofinancement (AF) ; L’autofinancement correspond aux ressources que l’entreprise créées du fait de son activité tout au long de l’exercice comptable et qu’elle garde pour investir ou pour diminuer son endettement (remboursement des emprunts). ❖ Calcul de l’autofinancement (AF) ▪ L’autofinancement = CAF – dividendes ❖ Eléments de calcul financier ▪ Les intérêts simples : L’intérêt simple est le revenu d’un placement ou crédit à court terme. 𝒄×𝒕×𝒏
I = 𝟑𝟔𝟎𝟎𝟎
I=
𝒄×𝒕×𝒎 𝟏𝟐𝟎𝟎
I=
𝒄×𝒕×𝒂 𝟏𝟎𝟎
▪ Les intérêts composés : Notion de capitalisation : Un capital est dit placé à intérêts composés lorsqu’à l’issue de chaque période de placement (généralement un an), les intérêts s’ajoutent au capital et porte eux-mêmes intérêt au taux du contact initial. Ce principe est dit « capitalisation des intérêts » ➢
Cn = C0 (1+i)n = C0 x TF1 (Table I)
➢
Notion de valeur actuelle : L’actualisation est l’opération inverse de la capitalisation. La valeur actuelle représente le capital (C 0 ) qu’il fournit, placé à la date zéro ‘0’ à intérêt composé au taux (i) pendant (n) période pour obtenir à l’échéance (C n)
C0 = Cn (1+i)-n = Cn x TF2
(Table II)
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❖
Les annuités : Les anuités sont des sommes (constantes ou variables) payables à intervalle de temps constant et régulier (généralement année) dans le but : ➢ De constituer un capital : il s’agit des annuités de placement ou de capitalisation : Annuité de début de période ; ➢ De rembourser une dette : il s’agit des annuités de remboursement ou d’amortissement : Annuité de fin de période.
Annuité constante de fin de période Valeur acquise d’une suite d’annuité Valeur actuelle d’une suite d’annuité
Vn = 𝐚
(𝟏+𝒊)𝒏 −𝟏
V0 = 𝒂
Annuité constante de début de période
Vn = a
= a x TF3 (Table III)
𝐢 𝟏−(𝟏+𝒊)−𝒏 𝒊
(1+𝑖)𝑛 −1
V0 = 𝑎
= a x TF4 (Table IV)
i
(1+i) (Table III)
1−(1+𝑖)−𝑛 𝑖
(1+i) (Table IV)
❖ Les emprunts indivis : C’est un emprunt contracté auprès d’un seul préteur (généralement la banque), la somme emprunté est remboursé selon plusieurs modalités : Remboursement par amortissements constants (fractions/tranches) : 𝑴𝒐𝒏𝒕𝒂𝒏𝒕 𝒅𝒆 𝒍′𝒆𝒎𝒑𝒓𝒖𝒏𝒕 Amortissement constant A= 𝒅𝒖𝒓é𝒆 𝒅𝒆 𝒓𝒆𝒎𝒃𝒐𝒖𝒓𝒔𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕 Tableau d’amortissement de l’emprunt /crédit bail
Périodes
CRDDP
Intérêts I= CRDDP * i
Amortissement A
Annuités a=A+I
CRDFP= CRDDP-A
1
Vo
I1
𝐴
a1
Vo - A
Vo - A
I2
CRDn = An
In
∥ ∥ 𝐴
a2 a3 an
0
2 .. n
Capital restant dû au début de période
Intérêt annuel
1
2=1xi
Amortissement constant
3=
Annuité annuelle (Ou Redevance)
Capital restant dû en fin de période
4=2+3
5=1—3
𝑨 𝒏
Remboursement par annuités constantes (redevances) :
annuité constante = a = Vo x
𝒊 𝟏— (𝟏+𝒊)−𝒏
= Vo x TF5
Tableau d’amortissement de l’emprunt Périodes
CRDDP
Amortissement A=a-I
Annuités a
CRDFP= CRDDP-A
Vo
Intérêts I= CRDDP * i I1
1
A1
a
Vo - A1
2 .. n
Vo - A1
I2
CRD = An
In
A2 A3 An
∥ ∥ a
0
Capital restant dû au début de période 1
Intérêt annuel
2=1xi
Amortissement annuel
3=4–2
Annuité constante 4 = Vo x TF5
Capital restant dû en fin de période
5=1—3
Le même tableau s’applique pour Le crédit bail au lieu de la colonne annuité on a redevance (redevance = amortissement + intérêt)
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Remboursement par versement des intérêts à la fin du chaque année et la totalité du principal à la fin de la durée de l’emprunt (Emprunt INFINE)
Tableau d’amortissement de l’emprunt Périodes
CRDDP
Intérêts
Amortissement
Annuités
1
Vo
I = Vo x i
—
I = Vo x i
CRDFP= CRDDP-A Vo
2 .. n
Vo Vo Vo
I = Vo x i I = Vo x i I = Vo x i
— — Vo
I = Vo x i I = Vo x i I + Vo
Vo Vo 0
Remboursement par un versement unique (principale + intérêt) à la fin de la durée de l’emprunt
Versement unique = montant de l’emprunt x (1 + i)n Amortissement des immobilisations Coût d’acquisition H.T = Io = VO = coût d’achat net des réductions commerciales + ∑ de tous les frais hors TVA. Annuité d’amortissement : Dotations aux amortissements =Amortissement =
a)
Taux 𝒅′ 𝒂𝒎𝒐𝒓𝒕𝒊𝒔𝒔𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕 = Plan d’amortissement
Date de mise en service :……………….. Durée d’utilisation :………….. Taux d’amortissement : ……….. Années
t:
𝟏𝟎𝟎 𝒏
valeur d′origine durée d′utilisation
= VO x taux d’amortissement
(n : nombre d’année).
Plan d’amortissement de la machine Amortissement linéaire = constant
Valeur d’origine
Amortissement
Amortissements cumulés
N
VO
Dotation = A
Dotation = A
N+1
VO
Dotation = A
A+A
VO
Dotation
A+A+A
VO
Dotation
VO
Valeur comptable nette VO – A VO – (A+A)
0
Valeur comptable nette = Valeur d’origine - Amortissements cumulés EMPRUNT Montant de la dette V0 Durée de remboursement Annuité de remboursement a = Amortissement + intérêt Taux d’intérêt « i »
INVESTISSEMENT (MACHINE) VO : Coût réel d’acquisition Durée d’utilisation (de vie) Annuité d’amortissement = Dotation aux amortissements Amortissement = CRA/n= VO/n Taux d’amortissement « t »
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CHOIX D’INVESTISSEMENT ✓ Deux critères : valeur actuelle nette (VAN) / durée de récupération du capital investi DRCI ✓ ✓ ✓ ✓ ✓
VAN = (somme des CAF actualisées + Valeur résiduelle actualisée) – Investissement (Io) Io = coût réel d’acquisition = valeur d’origine = Prix d’acquisition HT (ou D net commercial) + frais HT Dotations aux amortissements = valeur d’origine / durée d’utilisation (et non sur la durée du projet) Si valeur résiduelle = VCN fin de projet VR = Vo – somme des amortissements (durée du projet x Dotation) Ou VR = (durée investi – durée de projet) x dotations aux amortissements
Calcul de la CAF (ou cash-flow ou flux nets de trésorerie) Chiffre d’affaires
MCV
Chiffre d’affaires
- dépenses (charges décaissables)
- coûts fixes (y compris l’amortissement)
- coût de revient
- dotations aux amortissements
=Résultat avant impôt
=Résultat avant impôt
=Résultat avant impôt
-Impôt sur le bénéfice (25%)
-Impôt sur le bénéfice (25%)
-Impôt sur le bénéfice (25%) =Résultat net d’impôt
=Résultat net d’impôt ou
o u
+dotations aux amortissements
=Résultat net d’impôt
+dotations aux amortissements
+dotations aux amortissements
=Flux nets
=Flux nets
=Flux nets
× coéficients d’actualisations (TAB 2)
× coéficients d’actualisations(TAB 2)
=Flux nets actualisés
=Flux nets actualisés
× coéficients d’actualisations(TAB 2)
=Flux nets actualisés
Si CAF constantes (CAF : TF4 / VR : TF2) 1…… p = chiffre d’affaire supplémentaire - charges variables - charges fixes autres que les amortissements (sans Dotations aux amortis) - dotations aux amortissements = Résultat avant impôt - Impôt sur les bénéfices 25 % = Résultat net d’impôts + Dotations aux amortissements = CAF ou cash flow
Si CAF variables : (CAF : TF2, VR : TF2) 1 CA - charges variables - charges fixes décaissables (hors amortissements) - dotations aux amortissements = Résultat avant impôt - Impôt sur les bénéfices 25 % = Résultat net d’impôts + Dotations aux amortissements = Flux nets de trésorerie générés par l’investissement x Coefficient d’actualisation TF 2 Capacités d’autofinancements actualisés N’oublier pas de faire la somme des CAF actualisées
زعمة شكون هكا في القسم ؟؟؟؟
CAF 1 (1+i) -1
2
……. p
CAF 2 (1+i) -2
… CAF p … (1+i) -p
Somme des CAF actualisées
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Valeur Actualisée Nette (VAN)
VAN = (somme des CAF actualisées + Valeur résiduelle actualisée) – Investissement (Io) Un seul projet Plusieurs projets VAN > 0 (positive) (ou > VAN conditionnée) VAN la plus grande VAN = somme des CAF actualisées +VR (1+i)-p – I0 (avec p: durée du projet)
CAF variables
Voir le tableau de calcul des CAF
CAF : TF2 // VR : TF2
TF2
VAN = CAF x
CAF constantes
TF2
1 − (1 + i ) − p + VR (1+i)-p – I0 (avec p: durée du projet) i TF4
CAF : TF4 // VR : TF2
TF2
Rappel : ✓ ✓ ✓
Io = coût réel d’acquisition = valeur d’origine = Prix d’acquisition HT (ou Dernier net commercial) + frais HT (avec HT = TTC/1, taux) Dotations aux amortissements = valeur d’origine / durée d’utilisation (et non sur la durée du projet) Si valeur résiduelle = VCN fin de projet (p) ===> VR = Vo – Somme des amortissements à la date p Ou VR = (durée investi – durée de projet) x dotations aux amortissements
Durée de récupération du capital investi DRCI DRCI 1 CAF 1 CAF1
CAF annuelle CAF cumulées
p CAF 2 CAF 1 + CAF2
P+1 CAF 3 ……
4 ……..
Io P ans < DRCI < P+1 ans
Ou x 12 mois
CAF sans actualisation DRCI = p ans +
(I 0 − CAFcumulées p ) CAFp +1
5 CAF + VR
x 360
Un seul projet
Plusieurs projets
DRCI inférieur à la norme
Durée la plus courte
VAN > o
DRCI le plus court
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Tableau des flux nets de trésorerie actualisés (financement par fonds propres): Désignation
0
1
2
3
4
……..
………..
………..
………..
Décaissements :
Coût de l’investissement
Paiement des intérêts
Remboursement du principal
Totaux des décaissements
I0
………
Encaissements :
Montant de l’emprunt
Valeur résiduelle
Economie d’impôt sur amortissement du bien
Economie d’impôt/ intérêts
VR 25% de la dotation aux amortissements
Totaux des encaissements
………
……..
………..
………..
………..
Flux nets de trésorerie= Encaissements-Décaissements
………
……..
………..
………..
………..
Coefficient d’actualisation
1
Flux nets de trésorerie actualisés
Table II
………
………..
………..
………..
………..
3
4
Tableau des flux nets de trésorerie actualisés (financement mixte): Désignation
0
1
2
Décaissements :
Coût de l’investissement
Paiement des intérêts
Remboursement du principal
Totaux des décaissements
I0 Intérêts de l’emprunt Amortissements de l’emprunt ………..
………..
………..
………..
………..
Encaissements :
Montant de l’emprunt
Valeur résiduelle
Economie d’impôt sur amortissement du bien
Economie d’impôt/ intérêts
Mtemp VR 25% de la dotation aux amortissements 25% des intérêts
Totaux des encaissements
Mtemp
………
……..
Flux nets de trésorerie= Encaissements-Décaissements
………..
……..
………..
Coefficient d’actualisation Flux nets de trésorerie actualisés
1
………..
………..
………..
………..
Table II
………..
………..
………..
………..
………..
Tableau des flux nets de trésorerie actualisés (financement par Crédit bail): Désignation
0
1
2
3
4
Décaissements :
Coût de l’investissement
Paiement des intérêts
Remboursement du principal
Totaux des décaissements
I0 Intérêts de crédit bail Amortissements de crédit bail I0
………..
………..
………..
………..
Encaissements :
Montant de l’emprunt
Valeur résiduelle
Economie d’impôt sur amortissement du bien
Economie d’impôt/ intérêts
Mtemp VR 25% de la dotation aux amortissements 25% des intérêts du crédit bail
Totaux des encaissements
Mtemp
………
……..
………..
………..
Flux nets de trésorerie= Encaissements-Décaissements
………..
……..
………..
………..
………..
Coefficient d’actualisation Flux nets de trésorerie actualisés Coût net de financement = somme des flux nets de trésorerie (en +) et (non en —)
1 ………..
Table II ………..
………..
………..
………..
C’est le montant de l’amortissement de l’investissement = dotations x 25% Et non l’amortissement de l’emprunt ATTENTION ATTENTION ATTENTION
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II-
Le financement du cycle d’exploitation
Le cycle d’exploitation comprend toutes les opérations que l’entreprise réalise dans le cadre de son activité Il débute lorsque l’entreprise achète et se termine lorsqu’elle encaisse Chacune des opérations d’exploitation réalisées se traduit par un besoin et une ressource : Les besoins d’exploitation : durée de stockage, durée de production, durée crédit clients,……… Les ressources d’exploitation : délai crédit fournisseurs,….. L’existence du besoin de financement vient du décalage entre les encaissements et les décaissements. Le cycle d’exploitation est constitué des opérations réalisées par l’entreprise depuis l’achat des matières premières jusqu’à la réalisation et l’encaissement des ventes .Le schéma du cycle d’exploitation peut être présenté de la manière suivante : Flux réels Achats de biens Ventes et de services Stockage de bien production stockage de produits finis Temps
d1
Flux Monétaires
d2
d3
d4 d5 Naissance d'une dette
Règlement des fournisseurs
Naissance d'une créance
Règlement des clients
Décalage des flux entre décaissements et les encaissements = besoin de financement d’exploitation Le besoin de financement du cycle d’exploitation vient du décalage entre les différents décaissements et les encaissements La durée du cycle d’exploitation = d1 + d2 + d3 + d4
Le BFR = BESOIN D’EXPLOITATION – RESSOURCES D’EXPLOITATION BFR (J) = d1 + d2 + d3 + d4 – d5 BFR (V) = BFR(j) x CA journalier en HT
FDR (j) = FDR (V) / CA journalier TN j = TN (V) / CA journalier TN (j) = FDR j – BFR j
⟿ Le BFR dépend de : • • • • • •
La longueur du cycle d’exploitation ; La durée d’écoulement des stocks ; La durée du cycle de production ; La durée des crédits accordés aux clients ; La durée des crédits obtenus des fournisseurs ; L’évolution des autres charges (salaires, charges sociales,…).
La variation du BFR a toujours des conséquences sur la trésorerie en effet Les difficultés de trésorerie sont la principale cause de défaillance des entreprises. Elles proviennent des décalages entre les encaissements et les décaissements, inhérents le plus souvent à l’activité. En fonction de l’analyse de vos difficultés, vous pouvez ou devez agir sur votre fonds de roulement en : ✓ augmentant vos capitaux propres, capital social ou comptes courants, ✓ développant votre autofinancement, amortissements, provisions, bénéfices, ✓ diminuant vos immobilisations, (arrêt des investissements, cession d’immobilisations, diminution de la durée d’amortissements,) En cas de problème conjoncturel, l’Ese peut agir sur son besoin en fonds de roulement en : ✓ diminuant vos stocks et modérer la croissance face à l’impossibilité d’augmenter le capital. ✓ accélérant les paiements des clients, ✓ gérant mieux vos impayés, ✓ négociant des délais plus longs avec vos fournisseurs, et avec les tiers (le fisc, la CNSS...) ✓ cédant des créances et en recourant à l’affacturage,
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Pendant une période donnée le CA d’affaire de l’entreprise augmente et au fur à mesure son BFR augmente L’entreprise dispose d’une ressource permanente et stable à savoir le FDR Si le FDR finance largement le BFR on a une TN > 0 Si le FDR couvre partiellement le BFR on un TN < 0 Pour optimiser ce BFR, le chef d'entreprise se doit d'être rigoureux dans sa gestion il doit surveiller : • niveau de stock, en cherchant à maîtriser - voire réduire- la quantité de produit, marchandises et matière premières stockés. • créances clients : notamment à travers les délais de paiement des clients. Il doit s'assurer de l'application de règles strictes dans ce domaine pour réduire le crédit accordé. Un dispositif comme l'affacturage (ou factoring) permet de diminuer ce poste en optimisant les encours clients. ( factoring : c’est vendre vos factures ou créances clients à une autre entreprise spécialisée |généralement une banque] sans attendre leur échéance) • dettes fournisseurs (à ne pas confondre avec les dettes financières) : négocier des délais de règlement plus longs avec les fournisseurs est un levier important avec un fort impact sur le BFR.
Ratio de rotation du stock
Délai crédit client
Délai crédit fournisseur
𝑨
Coefficient de rotation r = 𝑺𝒕𝒐𝒄𝒌 𝑴𝒐𝒚𝒆𝒏 Durée de stockage =
𝑷é𝒓𝒊𝒐𝒅𝒆 𝒓
𝑪𝒓é𝒂𝒏𝒄𝒆𝒔 𝒄𝒍𝒊𝒆𝒏𝒕𝒔 x 𝒗𝒆𝒏𝒕𝒆𝒔 [𝑪𝑨]𝑻𝑻𝑪
360
Ventes TTC = Ventes HT x 1,19
𝑫𝒆𝒕𝒕𝒆𝒔 𝒇𝒐𝒖𝒓𝒏𝒊𝒔𝒔𝒆𝒖𝒓𝒔 𝑨𝒄𝒉𝒂𝒕𝒔 𝑻𝑻𝑪
x 360
Achats TTC = Achats HT x 1,19
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Les moyens de financement de l’exploitation : Le FDR / Le crédit fournisseur / L’escompte commercial : vente des effets / Le découvert bancaire / l’affacturage
INTERET
Coût de Découvert HT =
COMMISSION HT
𝑴𝒐𝒏𝒕𝒂𝒏𝒕 𝒅𝒖 𝑫é𝒄𝒐𝒖𝒗𝒆𝒓𝒕 𝒙 𝒕 𝒙 𝒏 𝟑𝟔 𝟎𝟎𝟎
+
𝑴𝒐𝒏𝒕𝒂𝒏𝒕 𝒅𝒆 𝒅é𝒄𝒐𝒖𝒗𝒆𝒓𝒕 𝒙 𝒕𝒂𝒖𝒙 𝒅𝒆 𝒄𝒐𝒎𝒎𝒊𝒔𝒔𝒊𝒐𝒏 𝟏𝟎𝟎
ESCOMPTE
Coût de l’Escompte H.T =
Date de négociation
30/…
30— date de négociation
COMMISSION HT
𝑽𝒂𝒍𝒆𝒖𝒓 𝑵𝒐𝒎𝒊𝒏𝒂𝒍 (𝑽𝑵) 𝒙 𝒕 𝒙 𝒏 𝟑𝟔 𝟎𝟎𝟎
+ Commission fixe HT par effet x Nombre d’effets
31/…
30/…
31/…
30/…
Date de l’échéance
31
30
31
30
Date de l’échéance
N’oublier pas d’ajouter les jours de banque s’il y en a
Remarque : AGIO HT = Coût de l’escompte = ESCOMPTE + Commission H.TVA19% AGIO TTC = ESCOMPTE + Commission TTC (Commission HT x 1,19) Valeur nette d’escompte = Net d’escompte = Prix de rachat = Valeur Nominal — Agio TTC Le montant de découvert est généralement = au montant du besoin à financer Parfois pour déterminer le montant du besoin à financer on fait appel à notre trésorerie mais à condition que l’entreprise souhaite garder une liquidité minimale La trésorerie à utiliser = montant des liquidités — Trésorerie minimale exigée Vous devez choisir la combinaison de financement : Qui couvre le besoin (possible) Et Qui a le faible coût (la moins coûteuse)
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Bilan comptable Il est très détaillé ; Il ne montre pas clairement les fonctions d’investissement, de financement et d’exploitation ; Il n’est pas établi pour des fins d’analyse financière.
Bilan fonctionnel Le bilan fonctionnel est un document de gestion élaboré, à partir du bilan comptable, en valeurs brutes. Le bilan fonctionnel est présenté en grandes masses, et il est le support de l’analyse financière.
Les retraitements et les transferts Eléments Détails Immobilisations financières VB + 516 Créances clients VB + 5313 + 5314 + EENE Placement et autres actifs financiers VB – 516 Trésorerie de l’actif Liquidités – 5313 -5314 Amortissements et provisions (actif) Sommes des amortissements et des provisions Provision pour risque (passif) Somme des provisions du passif Dettes financières Emprunt + autres passifs financiers + 505 Autres passifs Concours bancaires financiers 501 + 508 et autres passifs Concours financiers bancaires = 506 + 532 SC + EENE TRESORERIE DU PASSIF 516- Echéances à moins d’un an su prêts non courants 5313- Effets à l’encaissement 5314- Effets à l’escompte 505- Echéances à moins d’un an sur emprunt non courant 501- Emprunts liés au cycle d’exploitation 508- Intérêts courus 506- Concours bancaires courants 532- Banques SC : Soldes Créditeurs)
Ressources stables (Ressources propres + DF)
Emplois stables (Brut) ❑ Immobilisations incorporelles ❑ Immobilisations corporelles ❑ Immobilisations financières : + 516 échéances à moins d’un an sur prêts non courants ❑ Immobilisations à statut juridique particulier ❑ Autres actifs non courants Actifs courants (Brut)
❑
Ressources propres : Capitaux propres avant affectation des bénéfices
❑
Amortissements & provisions sur les éléments actifs
❑
Provisions pour risques et charges (du passif)
❑ ❑ ❑
❑ ❑
Stocks Clients et comptes rattachés + 5313 Effets à l’encaissement + 5314 Effets à l’escompte + Effets escomptés et non échus (donnée hors bilan) ❑ Autres actifs courants ❑ Autres actifs financiers — 516 échéances à moins d’un an sur prêts non courants ❑ Trésorerie active : Liquidités et équivalents de liquidités — 5313 Effets à l’encaissement — 5314 Effets à l’escompte
Dettes financières Emprunts Autres passifs financiers non courants 505 échéances à moins1 an sur emprunts non courants Passifs courants :
❑ ❑ ❑ • • ❑ • • •
Fournisseurs d’exploitation Autres passifs courants Autres passifs financiers courants : 501 Emprunts courants liés au cycle d’exploitation 508 Intérêts courus Trésorerie passive : 506 Concours bancaires courants 532 banque ( SC) Effets escomptés et non échus (donnée hors bilan )
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LES GRANDES MASSES DU BILAN FONCTIONNEL Ressources propres Dettes financières
Les immobilisations (Investissements)
Masse des emplois
N
Masse des ressources
N
Emplois stables
……………
Ressources stables
……………
Actifs courants
……………
Passifs courants
……………
Total des emplois
……………
Total des ressources
……………
Stocks Créances Liquidités (TR de l’actif)
Dettes fournisseurs Autres dettes à CT Concours bancaires (TR du passif)
Analyse des indicateurs de l’équilibre financier Eléments Fonds de roulement : Haut du bilan : F.D.R. = Ressources stables – Emplois stables. Bas du bilan : F.D.R = Actifs courants — Passifs courants
Besoin en fonds de roulement : BFR = Actifs courants hors trésorerie — passifs courants hors trésorerie Trésorerie nette TN = Trésorerie de l’actif — Trésorerie du passif Vérification : l’égalité de l’équilibre financier TN = FDR — BFR
Commentaires : au minimum citez deux idées
Le fonds de roulement est l’excédent des ressources stables sur les emplois stables. Les emplois stables sont financés en totalité par les ressources stables. L’entreprise dispose d’une marge de sécurité. FDR > 0 l’équilibre minimum est assuré Le besoin en fonds de roulement représente le besoin de financement du cycle d’exploitation dû au décalage entre les encaissements et les décaissements Si TN > 0 : Le FDR couvre la totalité du BFR : la trésorerie est positive . L’entreprise doit rentabiliser sa trésorerie excédentaire. L’équilibre financier global est respecté Si TN < 0 : Le FDR ne couvre pas le BFR : la trésorerie est négative. L’entreprise doit faire appel au concours bancaires pour combler ce déficit. L’équilibre financier global n’est pas respecté.
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Analyse par les ratios Pour mieux juger la situation financière de l’entreprise, les responsables doivent compléter l’analyse de l’équilibre financier (calcul du FDR, BFR et TN) par une deuxième analyse : c’est l’analyse par les ratios.
« Un ratio est un rapport entre deux grandeurs significatives du bilan ». → Comparaison dans le temps : entre les années → Comparaison dans l’espace : avec le secteur. RATIOS
Formules
Ratios de structure Ratio de couverture des ES
Resso𝑢𝑟𝑐𝑒𝑠 𝑆𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒𝑠 𝐸𝑚𝑝𝑙𝑜𝑖𝑠 𝑆𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒𝑠
Ratio d’endettement
Dettes Financières 𝑅𝑒𝑠𝑠𝑜𝑢𝑟𝑐𝑒𝑠 𝑃𝑟𝑜𝑝𝑟𝑒𝑠
Ratio d’autonomie financière
Resso𝑢𝑟𝑐𝑒𝑠 𝑃𝑟𝑜𝑝𝑟𝑒𝑠 𝑅𝑒𝑠𝑠𝑜𝑢𝑟𝑐𝑒𝑠 𝑆𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒𝑠
Ratio d’investissement
Emplois 𝑆𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒𝑠 𝑇𝑜𝑡𝑎𝑙 𝑑𝑒𝑠 𝐸𝑚𝑝𝑙𝑜𝑖𝑠 Ratios de liquidité
Liquidité générale
Actifs Courants 𝑃𝑎𝑠𝑠𝑖𝑓𝑠 𝑐𝑜𝑢𝑟𝑎𝑛𝑡𝑠
Liquidité réduite
Actifs Courants - Stocks 𝑃𝑎𝑠𝑠𝑖𝑓𝑠 𝑐𝑜𝑢𝑟𝑎𝑛𝑡𝑠
TR de l'actif 𝑃𝑎𝑠𝑠𝑖𝑓𝑠 𝑐𝑜𝑢𝑟𝑎𝑛𝑡𝑠
Liquidité immédiate
Ratio de rotation des stocks A: sorties (V) 𝑆𝑇𝑂𝐶𝐾 𝑀𝑂𝑌𝐸𝑁
Coefficient de rotation « r »
Période 𝑟
Durée de stockage Politique commercial Délais crédit client
Délais crédit fournisseur
Créances clients x 360 𝑉𝑒𝑛𝑡𝑒𝑠 𝑇𝑇𝐶
Dettes fournisseurs x 360 𝐴𝑐ℎ𝑎𝑡𝑠 𝑇𝑇𝐶
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FDR =
Fonds de roulement (FDR) Ressources Stables — Emplois Stables
Ratio de financement des emplois stables
Ratio d’endettement
Ratio d’investissement
Resso𝑢𝑟𝑐𝑒𝑠 𝑆𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒𝑠 𝐸𝑚𝑝𝑙𝑜𝑖𝑠 𝑆𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒𝑠
Dettes Financières
Emplois 𝑆𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒𝑠 𝑇𝑜𝑡𝑎𝑙 𝑑𝑒𝑠 𝐸𝑚𝑝𝑙𝑜𝑖𝑠
𝑅𝑒𝑠𝑠𝑜𝑢𝑟𝑐𝑒𝑠 𝑃𝑟𝑜𝑝𝑟𝑒𝑠 Ratio d’autonomie financière :
Resso𝑢𝑟𝑐𝑒𝑠 𝑃𝑟𝑜𝑝𝑟𝑒𝑠 𝑅𝑒𝑠𝑠𝑜𝑢𝑟𝑐𝑒𝑠 𝑆𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒𝑠
Ce ratio mesure la manière dont les emplois stables ont été financés. Il indique ainsi le taux de couverture des emplois stables par des ressources stables. Ce ratio permet aussi d’apprécier l’équilibre financier. Ce ratio doit être supérieur à 1. S’il est inférieur à 1 c’est que l’entreprise finance une partie des ses emplois stables (immobilisations) par des ressources à court terme ➔ Situation périlleuse (dangereuse).
Ce ratio mesure le degré d’endettement de l’entreprise. Ce ratio permet aux banques de formuler un avis (jugement) sur la situation d’une entreprise avant de lui accorder un nouveau prêt. Ce ratio doit être < à 1
liquidité
d’immobilisation des capitaux de l’entreprise. Ainsi il met en évidence la sur-immobilisation ou la sous-immobilisation de l’actif. Ce ratio est variable selon le secteur d’activité.
Ce ratio montre l’importance des ressources propres dans les ressources stables de l’entreprise. Ce ratio mesure le degré de l’indépendance de l’entreprise. Pour que l’entreprise soit autonome financièrement il faut que la part des ces ressources propres représente le pourcentage le plus élevée dans les ressources stables. Généralement supérieur à 50%.
Les ratios de liquidités permettent d’évaluer la capacité de exigibles grâce à ces éléments d’actifs courants. Actifs courants Ratio de liquidité générale Passifs courants Actifs courants – Stocks Ratio de liquidité réduite Passifs courants Ratio de immédiate
Ce ratio mesure le degré
Trésorerie de l’actif Passifs courants
l’entreprise à régler ses dettes les plus rapidement
Ce ratio mesure la capacité de l’entreprise à régler ses dettes à court terme par les liquidités générées par ses actifs courants. Il est souhaitable que ce ration soit supérieur à 1 Ce ratio mesure la capacité de l’entreprise à régler ses dettes à court terme en faisant appel uniquement à ses créances et ses liquidités. Ce ratio mesure la capacité de l’entreprise à régler ses dettes à court terme en faisant appel uniquement à ses liquidités.
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TABLEAU DE FINANCEMENT Le tableau de financement recense les flux financiers (flux entrants et flux sortants) d’un exercice et décrit comment les ressources obtenues par l’entreprise au cours de l’exercice ont permis de financer les besoins apparus pendant ce même exercice. Il est présenter sous deux formes :
ES
ES augmente le FDR diminue
Emplois
ES diminue le FDR augmente
Ressources
RS augmente le FDR augmente
Ressources
RS diminue le FDR diminue
Emplois
RS
Ressources > Emplois = Ressource nette
Ressources < Emplois = Emplois net
FDR
Dividendes = RNE (N-1) — réserve — résultat reportés
C’est le prix de cession des immobilisations (Attention : ne pas voir la colonne diminution dans le tableau de variation des immobilisations)
Voir colonne AUGMENTATION (acquisition) dans le tableau de variation des immobilisations
Voir colonne AUGMENTATION (Contrat ou souscription) dans le tableau de variation des dettes financières Voir colonne DIMINUTION (remboursement) dans le tableau de variation des dettes financières
Emplois stables
Distribution de dividendes
Ressources stables …………
Acquisitions d’immobilisations ❖
Incorporelles
❖
Corporelles
❖
Financières
Réduction des capitaux propres
………….
Cessions d’immobilisations ………… ………… ………… …………
Engagement de frais préliminaires et charges à répartir
Capacité d’autofinancement (CAF) de l’exercice ❖
Incorporelles
❖
Corporelles
❖
Financières
Réduction d’immobilisations financières
…………
Augmentation du capital
…………
Augmentation des dettes financières
…………
Total des ressources
………… ……….. ………… ………… ………. ………..
Remboursement de dettes financières Total des emplois Variation du FDR (ressource nette)
Si total des ressources est supérieur au total des emplois
…………
Variation du FDR (emploi net)
Si total des emplois est supérieur au total des ressources
……….. …………
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Commentaires La variation du FDR est positive → c’est une ressource nette qui augmente la marge de sécurité de l’entreprise càd que le FDR N > FDR N-1 La variation du FDR est négative =➔ c’est un emploi net càd que le FDR N < FDR N-1
L’augmentation du F.D.R. pourra être utilisée pour financer la variation du B.F.R. et/ou de la T.N. Analysons donc la variation du BFR et de la TN
AC
PC sans TR
Sans
AC augmente le BFR augment
Besoin
AC diminue le BFR diminue
Dégagement
PC diminue le BFR augmente
Dégagement
PC augmente le BFR diminue
besoin
Besoin > Dégagement = besoin net
TR BFR
Besoin < Dégagement = Dégagement net
La variation est faite entre N et N-1 ( N – (N-1) Eléments Variations des actifs courants : Stocks Créances clients Autres actifs courants Placements et autres actifs financiers Variations des passifs courants : Dettes fournisseurs Autres passifs courants Autres passifs financiers courants Totaux
Besoins 1
Dégagements 2
+
—
………………………… ………………………… ………………………… …………………………
………………………… ………………………… ………………………… …………………………
+
—
………………………… ………………………… …………………………
………………………… ………………………… …………………………
…………………………
Soldes 2-1
…………………………
Variation nette : Besoin net
………………………… ∆ 𝐵𝐹𝑅
ou Dégagement net Variation de la trésorerie : Variation des disponibilités (trésorerie active) Variation des concours bancaires (trésorerie passive) Totaux Variation nette de la trésorerie
…………………………
+…………………… — …………………………
…………………………
— ………………………… + …………………………
…………………………
+
∆ 𝑇𝑁 …………………………
Variation du FDR : Emploi net ou Ressource nette
…………………………
∆ 𝐹𝐷𝑅 …………………………
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Gestion budgétaire : Gestion de trésorerie : Les programmes et les budgets
L’utilité de la gestion de trésorerie est d’éviter d’être à court de disponibilité ou d’avoir de l’argent qui dort. La trésorerie est l'argent dont une entreprise dispose en caisse et sur ses comptes bancaires pour faire face à ses dépenses. La trésorerie et la rentabilité constituent les deux indicateurs clés de gestion financière que doit suivre un dirigeant d’entreprise Une trésorerie importante ne signifie pas toujours qu’il y’a une bonne rentabilité. De même une trésoreie insuffisante ne signifie pas nécessairement qu’il y’a une mauvaise rentabilité .
Budget des ventes
Budget de productions
Budget des investissements
Budget des autres charges
Budget des achats ou approvisionnements
Budget des encaissements
Eléments Cocher ces éléments dans le ou les budgets concernés
Budget des décaissements
Un programme : ce sont des prévisions en quantité Un budget : c’est la traduction en valeur du programme
Ventes de marchandises Achat d’un micro-ordinateur Salaires bruts Amortissements des machines Impôt sur les bénéfices Revenus des titres Achats de fournitures diverses Contrat d’un emprunt Charges patronales Fournitures de bureau Cession d’une immobilisation Remboursement annuité emprunt TVA à décaisser Achat mobilier de bureau Achat de marchandises Loyers Achat camionnette de livraison
Le banquier, peut en cas de déficit de trésorerie, proposer : A court terme : une autorisation de découvert bancaire, l’escompte bancaire de vos effets de commerce, une facilité de caisse, un crédit de campagne, une avance sur marchandises. A moyen et long terme : un emprunt bancaire à moyen ou long terme un crédit-bail ou bien une location.
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