EE Section B Karim Sehaki [PDF]

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Zitiervorschau

Lettre : 01 Sehaki Kaim

Paris, le 05/10/2020

45, rue des roses

Monsieur Bernard Ledoux

Paris, France

Rédacteur en chef du journal «  Le Monde »

Objet : réaction à l’article du 12/10/2020 Fidèle lecteur de votre journal, je vous écris aujourd’hui en réaction à l’article paru dans l’édition du 12/10/2020 dans lequel vous avez déclaré que « que les caméras de surveillance boostent la productivité ». Et je voudrais apporter mes réflexions sur le sujet. En effet, il est vrai que la présence de caméra de surveillance dans les lieux de travails, évite à mon avis aux entreprise certains problèmes liés au manque du professionnalisme de certains employés comme par exemple, l’absentéisme, les poses et arrêts de travails exagérés et sans motifs, car ces employés savent que leurs responsables peuvent facilement le savoir s’ils consultent les vidéos, et donc ils quittent moins souvent leurs postes de travail. Néanmoins, j’estime que la surveillance des employés par les caméras, impacte de manière directe leur humeur, ils seront donc tout le temps sous stresse, ils auront l’impression d’être tout le temps sous le regard de leurs chefs, ces conditions peuvent impacter d’une part leur concentration et créativité, et ils vont se baser uniquement sur la quantité de travail en délaissant la qualité. D’autre part, certains travailleurs, feront juste semblant de travailler sans que cela soit réellement le cas, prenons l’exemple des employés de bureaux, qui consultent pendant des heures des sites internet, des médias ou encore pire, cherchent un autre boulot en utilisant la connexion de leurs employeurs. De plus, il me semble que surveiller ses employés, témoigne de façon claire d’un manque de confiance du management en ses ressources humaines, le personnel se sente donc moins impliqué et peu intéressé par la réussite de son entreprise ce qui va sûrement affecter négativement leur productivité. Pour conclure, je pense que les sociétés peuvent garder leur droit à utiliser les caméras de surveillance, mais avec modération, pour cela l’utilisation de ses dernières doit être réservée aux lieux communs, les entrées et sorties ainsi que les espaces de stockages mais pas dans les bureaux et ateliers pour préserver le moral des effectifs et maintenir de bonnes relations entre employé et employeur. Je suis ravi de partager avec vous mes idées, j’espère que vous publiez ma lettre dans vos prochaines éditions afin d’ouvrir le débat a vos lecteurs Veuillez agréer monsieur le rédacteur en chef l’expression de mes sentiments distingués.

Lettre : 02 Sehaki Karim 45, Résidence des roses, Paris, France

Paris, 10 octobre 2020 Monsieur Marc Ledoux Rédacteur en chef du journal « le monde »

Objet : réaction à l’article du …. Monsieur le rédacteur en chef Fidèle lecteur de votre journal, je vous écris aujourd’hui en réaction a votre article paru le …… dans lequel vous avez déclaré que « internet nous rend isolés de la société ». Je voudrais à mon tour faire part de ma réflexion sur le sujet, en effet, il est vrai qu’après l’arrivé de l’internet, certaines personnes s’isolent de plus en plus, les gens ont tendance à passer plus de temps seuls sur leurs écrans, qu’en compagnie des autres membres de la société , prenons l’exemple des jeunes adolescents qui passent une grande partie de leurs temps libre à jouer sur des jeux vidéo en ligne et ne fréquentent que rarement les membres de leurs familles, et qui ne tiennent avec leurs parents que de brèves discussions souvent superficielles, ce qui augmente leur sensation de solitude et les poussent à se replier sur eux même, et rester dans leur coque. - Néanmoins, internet, si bien utilisé, peut aider les gens à entretenir de meilleurs relations avec leurs connaissances, et leur permet d’établir de nouveau, le contact avec des gens dont il ont perdu la trace, elle leur permet ainsi de renouer avec des amitiés perdues, et cela grâce aux réseaux sociaux, on n’a souvent qu’à écrire le nom et le prénom de la personne sur Facebook, pour retrouver un vieil ami d’école ou un ancien collègue, plusieurs personnes ont aussi découvert des membres de leurs famille dont ils ignoraient l’existence et Facebook leur a permis de s’approcher, de se connaitre et de partager des moments ensemble chose qui était presque impossible sans l’aide d’Internet. Comme ma grand-mère Par exemple qui a retrouvé la famille de son frère dont elle a perdu la trace depuis son jeune âge De plus, internet aident beaucoup de jeunes à sortir de leur célibat, en fait dans la société moderne, une partie des jeunes restent célibataires et cela est souvent due à leur timidité, selon une étude publiée sur un journal portugais, 35 pourcents déclarent qu’ils sont seuls car ils n’ont pas le courage d’aborder les filles dans la vraie vie. Et c’est Ici que les sites de rencontres sont intervenus et ont permis à des millions de jeunes de passer outre leurs complexes et entrer dans des relations avec leurs sexe opposé, beaucoup d’entre elles ont abouties a des mariages et vie de couples heureuse. Comme par exemple, Julian un ami a moi qui est sorti de sa solitude grâce à un site de rencontre. Pour conclure, il est donc important de savoir faire bon usage de l’internet, pour pouvoir profiter pleinement des avantages et opportunités qu’elle offre sans tomber dans le piège de la dépendance, et maintenir un équilibre entre le temps qu’on passe dans le monde virtuel de l’internet et le monde réel dont on vie.

Je suis ravi de partager avec vous, mes idées, et j’espère que vous publierez ma lettre a fin d’ouvrir le débat a vos lecteurs. Je vous prie d’agréer, Monsieur le rédacteur en chef, l’expression de mes sentiments distingués.

Lettre : 03 Sehaki Karim

Paris le 24 novembre 2020

45, rue des roses,

Monsieur Bernard Ledoux

Paris, France

Rédacteur en chef du journal Le Monde

Objet : Réaction à l’article du 22 novembre 2020 Fidèle lecteur de votre journal, je vous écris aujourd’hui en réaction à l’article du 22 novembre 2020, où vous affirmez « qu’il est inutile d’enseigner l’histoire dans les écoles », et j’aimerais partager avec vous mes réflexions sur le sujet. En fait, il est vrai que, se concentrer sur les matières scientifiques, et techniques dans les écoles est à mon avis un choix plus judicieux, car ça nous permettra de nous baser sur les domaines qui amélioreront notre quotidien, et assureront un meilleur avenir pour les générations futures, comme par Example, l’informatique, les mathématiques et les sciences naturelles, qui vont aider à améliorer les niveau des élèves dès leur jeune âge dans ces domaines et nous permettra d’avoir de meilleurs informaticiens, médecin, et chercheurs, pour assurer une amélioration continue de notre confort, et la protection de notre planète grâce aux nouvelles technologies moins polluantes. Néanmoins, ne pas donner sa place à l’histoires dans les programmes scolaires, risque de engendrer une génération inconsciente du passé de leurs pays, et seront moins attachés à ce derniers, j’estime qu’un enfant qui ne connais l’histoire de son pays, de ces ancêtres, deviendra un adulte qui ne ressent aucune appartenance à la société, il sera donc plus difficile de les convaincre à contribuer pour le sauvegarde de son environnement, et du patrimoine culturel, prenons l’exemple de certains jeunes qui n’ont pas accès aux études en Egypte, et qui cherchent les trésors des pharaons et les vendent aux étrangers plutôt que de les préserver dans des musées selon un article que j’ai lu dernièrement. De plus, je pense que ne pas enseigner l’histoire dans les écoles, laisse les jeunes exposés à la manipulation de certains extrémistes et risque de les laisser refaire les erreurs du passé, prenons l’exemple des jeunes allemands qui grâce à une bonne éduction, incluant l’histoire parfois tragique de leurs pays, leur permet d’éviter l’influence des néo-nazis, qui restent une minorité infime et a permis à l’Allemagne d’avoir une génération de jeune stables et ouvert d’esprit. Pour conclure, je dirais que nous devons faire un bon mélange entre les matières enseignées dans les écoles, nous baser sur les matières techniques et scientifique sans délaisser l’histoire qui reste à mon avis une matière indispensable.

Ravis d’avoir partagé avec vous mes idées, et j’espère que vous publierez ma lettre afin d’ouvrir le débat à vos lecteurs. Je vous prie d’agréer monsieur le rédacteur en chef l’expression de mes sentiments déstingués.

Lettre : 04 Sehaki Karim 45, rue des roses

Paris, le 14 janvier 2020 à Monsieur Bernard Ledoux rédacteur en chef du journal « le Monde »

Paris, France

Objet : réaction à l’article du 14 janvier Fidèle lecteur de votre journal, je vous écris aujourd’hui en réaction a votre article de l’édition du 14 où vous affirmez que l’école obligatoire tue la motivation, et je voudrais apporter mes réflexions sur le sujet. En effet, il est vrai que les jeunes enfants actuels ont du mal à accepter qu’on leur impose ce qu’ils doivent faire, et quand ils font des choses à contre-cœur, ils nous le font savoir en portant que peu d’intérêt, et c’est qui fait à mon avis que quand on leur impose de faire des études qu’ils ne veulent pas, ils finissent souvent par échouer, ce qui leur causent à la fin une perte de temps, et peuvent en effet, ne pas réussir dans leurs vies professionnelles, alors qu’ils pouvaient réussir dans d’autres domaines, tel que le domaine artistique ou sportif. Néanmoins, je pense que si on les laissent à leur guise, et on leur laisse le choix d’aller ou pas à l’école, beaucoup d’entre eux, vont peut-être arrêter leurs études, sans pouvoir réussir ailleurs, ce qui engendrera une génération de chômeurs, non cultivés et fera d’eux un lourd fardeau que notre société ne pourra se permettre de porter vu la situation économique actuelle, et ils seront probablement orienté vers le banditisme, le vol ou le trafic de drogue, comme on le voie chez plusieurs jeunes qui ont arrêté leurs études de manière précoce, selon un article que j’ai lu sur le net, 83 pourcent des délinquants, ont arrêté leurs études avant le collège, De plus, j’estime que les enfant n’ont pas encore atteint une maturité suffisante pour pouvoir prendre des décisions cruciales et ont besoin de l’accompagnement de leurs parents ou tuteurs, pour leurs tracer un chemin vers la réussite et le succès, inciter son enfant à aller à l’école et suivre une éducation scolaire est parfois une nécessité malgré que parfois, ils ne sont pas d’accord, prenons l’exemple de mon frère, qui disait vouloir arrêter les études et faire un stage chez un mécanicien, mais grâce au refus de mes parents, il a continué ses études et à finalement devenu médecin, et il leurs est actuellement très reconnaissant. Pour conclure, je dirais que les parents doivent trouver le juste milieu entre leurs volanté de voir leurs enfants réussir aux études, et les envies de ces derniers, ils doivent aussi les consulter, prendre leurs avis et les accompagner vers un avenir promettant.

Je suis ravi d’avoir partagé mes idées avec vous, et je serais heureux de vous voir publier ma lettre dans vos prochaines éditions, afn d’ouvrir le débat à vos lecteurs, Veuillez agréer Monsieur le rédacteur en chef l’expression de mes sentiments distingués .

Lettre : 05 Fidèle lecteur de votre journal, je vous écris aujourd’hui en réaction à votre article paru dans l’édition du 22 janvier ou vous affirmez que nous le travail occupe une trop grande place dans nos vies » et j’aimerais vous faire part de mes réflexions sur le sujet, En effet, il est vrai qu’à notre époque plusieurs personnes ont tendance à consacrer tout leur temps pour le travail, ils ne pensent à mon avis qu’à leur réussite professionnelle, en délaissant les autres aspects de la vie, on observe par exemple, des jeunes qui travaillent tout la journée et rajoutent des heures supplémentaires, tout ça pour gagner plus d’argent ou pour décrocher une augmentation de salaire, ils passent donc moins de temps avec leurs proches et leurs familles, cette attitude se termine souvent avec des problèmes familiaux ou des disputes conjugales, et affecte finalement de façon négative, le bien-être et le bonheur de ses bosseurs acharnés, comme c’était le cas de mon cousin qui passait presque toutes ses journées en déplacement, et loin de sa famille, se qui lui a couté son mariage. De plus, j’estime que les personnes qui se focalisent sur le travail, et font de lui une obsession, n’ont pas le temps pour sortir et décompresser, ils sont par conséquence, toujours sous stress, et de mauvaise humeur, et si on rajoute a cela, la pression qu’ils subissent de la part de leurs patrons, ou celle qu’il se mettent eux même pour atteindre certains objectifs, pourra affecter leur santé physique, mais surtout mentale, selon une étude que j’ai lu sur un site de psychologie, 43 pourcent des jeunes qui occupent un deuxième travail, déclarent ils ont des problèmes de sommeil et des problèmes de perte de poids ou d’obésité. Néanmoins, à mon avis, ne pas faire les efforts nécessaires pour améliorer sa situation professionnelle, ou ne pas bien planifier son travail, impacte directement le niveau de vie de la personne, car à notre époque, nous avons de plus en plus de besoins (soins, téléphone, internet, vêtement à la mode… etc.) et pour pouvoir satisfaire tous ces besoin, gagner plus d’argent reste le seul moyen possible, nous devons donc toujours chercher à améliorer notre job, Pour conclure, je pense que nous devons toujours chercher le bon équilibre entre travail et réussite et entre bien-être et loisirs, pour ça, nous devons bien planifier nos carrières, faire des études des stages, travailler dur pendant les heures de travail mais tout en gardant suffisamment de temps pour la famille et pour les loisirs, afin d’avoir à la fois une bonne santé mentale et financière.

Lettre : 06

Fidèle lecteur de votre journal je vous écris aujourd’hui en réaction à l’article paru dans votre journal dans l’édition du 23 janvier ou vous avez affirmé que la génération précédente est plus éduquée que la génération actuelle » et j’aimerai vous faire part de ma réflexion sur le sujet En effet, il est vrai que les jeunes d’aujourd’hui ont tendance à négliger les bonne manières d’autrefois, beaucoup d’entre eux ne respectent plus les vieux, et les personnes plus âgées, de la manière que les jeunes des décennies précédentes le faisaient, par exemple, on ne voient plus assez souvent, un jeune qui laisse sa place à un vieux dans les transports en commun, au point que cela est devenu si observé, un geste presque héroïque, alors qu’autrefois c’était un geste courant et banal et au contraire si on le fait pas on est mal vu par les autres. De plus, j’estime que même à l’âge adulte les gens de notre époque perdent d’une part, de plus en plus certaines valeurs, comme l’entre-aide, rendre visite à son prochain, d’autre part, on remarque de plus en plus de personne qui tombent dans la délinquance, le vol ou le trafic de drogue, tout ça est dû à mon avis à l’intérêt que les gens actuels porte à l’argent et le confort de vie, par rapport aux valeurs sociales et aux liens familiaux, selon un article que j’ai lu, le taux de criminalité a augmenté de 23 pourcents entre les années 60 et 2020. Néanmoins, l’image que nous avons sur les deux génération et cet écart flagrant entre l’éducation des deux générations est parfois faussée par les données que nous avons, à notre époque, la vie quotidienne est plus médiatisée, si un individu commis le moindre acte inapproprié, on le vois directement sur la télé, les journaux ou sur le net, et donc on aura l’impression que toute la génération actuelle est mal éduqué alors que c’est pas le cas, mais les vilains actes commis par les générations précédentes passent parfois inaperçues. Pour conclure, je dirais que je suis en partie d’accord avec vous, les générations passées sont mieux éduquées, mais les médias ont influencé notre perception de la chose, Je suis ravi d’avoir partagé avec vous mes idées, j’espère vous voir publier ma lettre dans vos prochaines éditions afin d’ouvrir le débat a vos lecteurs, Veuillez agréer Monsieur, l’expression de mes sentiments distingués.

Lettre : 07

Fidèle lecteur de votre journal, je vous écris aujourd’hui en réaction à l’article paru dans l’édition du 23 janvier où vous avez affirmé « que les sites de rencontre ne font qu’éloigner les gens » et j’aimerais vous faire part de ma réflexion sur le sujet, en effet, il est vrai que lors de l’utilisation des sites de rencontres, les jeunes célibataires sont à mon avis confrontés à plusieurs problèmes qui rendent difficile l’aboutissement des relations entreprises

via ces plateformes, notamment les faux profiles qui comportent des information falsifiées, on observe par exemple des jeunes qui postent des photos trompeuses et peu représentative de leur vrai physique, en utilisant des application de montage photo (photoshop) qui attirent souvent le sexe opposé, mais qu’une fois rencontrés, ils se rendent compte que ce n’est pas réellement la personne qui les a fait tomber sous son charme. De plus, autre l’aspect physique les gens ont tendance a mentir et à idéaliser leur images sur les sites internet, selon une études que j’ai lu sur un magazine spécialisé, seulement 1 site de rencontre sur 5 vérifie les informations mentionnés sur les profils de leurs utilisateurs, et que plus de 63 pourcent des profiles comportent des informations falsifiées (l’âge, l’éducation… etc.) prenons l’exemple de ma cousine qui a rencontré un homme après l’avoir connu sur meetic, et elle à été surprise par la suite que c’était un homme marié. Néanmoins, j’estime que les sites de rencontre rendent un service immense à une catégorie de personnes qui sont timides et n’ont pas le courage d’aborder des personnes en face, et ils ont besoin de ce sentiment de sécurité qu’ils ont derrière leurs écrans, et qui grâce aux réseaux ont pu entamer des discussions avec des célibataires, qui ont abouties a des relations sérieuses. Comme c’était le cas de l’un de mes amis, qui a rencontré sa femme actuelle sur un site spécialisé. Pour conclure, je dirais que les sites de rencontres nous offrent plusieurs avantages et permettent a ceux qui sont timides, qui n’ont pas le temps de chercher l’amour ou qui ne trouvent pas la personnes qui leur correspond dans leur entourage, d’espérer de rencontrer leur âme sœur sur la toile. Mais nous devons en faire bon usage, et faire attentions aux arnaques pour éviter tout risques de déception.

Lettre : 08

Sehaki Karim 45 rue des roses, Paris, France

à Monsieur bernard le dou, rédacteur en chef du journal « le Monde »

Fidèle lecteur de votre journal, je vous écris aujourd’hui en réaction à votre article paru dans l’édition du trois janvier 2020, où vous avez déclaré « que la génération d’aujourd’hui ne s’intéressent qu’a leur apparence » et j’aimerais vous faire part de ma réflexion sur le sujet, En effet, il est mon avis vrai, qu’une large tranche des jeunes d’aujourd’hui porte une attention parfois excessive a leur apparence, cela est du d’une part à l’influence des médias sur eux, sur les couvertures des magazines ou dans la majorité des programme télévisé, on ne parle que de la mode, les jeunes se sentent alors obligé de suivre le courant, pour pouvoir sentir cette appartenance à une génération branchés, d’autre part l’influence des vedettes et des superstar de la Music, du sport, et des acteurs des différents films et séries, ainsi que la concurrence entre les membres de la nouvelle

génération pour leur ressembler et s’habiller comme eux, ne fait qu’empirer les choses, et les jeunes sont devenus obsédés par leur look plus que tout autre chose. De plus, j’estime qu’avec l’arrivée des téléphones portable, et des réseaux sociaux, les gens prennent plus de photos, selon une étude que j’ai lu sur le net, le nombre de photo prises dans l’année 2018, équivaut au nombre de photo prise de 1970 à 2000, les jeunes veulent donc paraitre beaux tout le temps et être prêts car ils ne savent pas quelle photo d’eux fera le tour de la toile, et ils ne veulent pas prendre le risque de pas paraitre assez beaux pour éviter les moqueries de leurs amis. Néanmoins, dire que les jeunes d’aujourd’hui ne pense qu’à leur apparence, est pour moi loin d’être la réalité, car même si ils sont bien habillé et branché, une grande partie de ces jeunes, possède un niveau intellectuel élevé, et une éduction exemplaire, prenons l’exemple de mon cousin, qui suit la mode de très près, et qui se soucie de son apparence à tout moment, mais qui reste un médecin brillant dans son travail, et quand il porte sa blouse blanche, mets tout le monde d’accord sur ses talents, Pour conclure, je dirais que malgré qu’une tranche des jeunes ne pense qu’à leurs apparences, une autre partie arrive à faire les deux choses à la fois, et joint l’utile à l’agréable en se faisant plaisir et en réussissant leur vie professionnelle. Je suis ravi de partager avec vous mes idées et je souhaite vous voir partager ma lettre dans vos prochaines éditions afin d’ouvrir le débat à vos lecteurs. Veuillez agréer Monsieur le rédacteur en chef, l’expression de mes sentiments distingués.

Lettre : 08 Sehaki Karim

Paris, le 09 janvier 2020

45, rue des roses Paris, France

à Monsieur Bernard LEDOUX le rédacteur en chef du journal « Le Monde ».

Objet : réaction à l’article du 22 janvier 2020 Fidèle lecteur de votre journal, je vous écris aujourd’hui en réaction à l’article paru dans l’édition du 22 janvier où vous affirmez qu’il faut « stop aux langues étrangère, et apprenons correctement nos langues maternelles » et j’aimerais vous faire part de ma réflexion sur le sujet, En effet, il est à mon avis vrai que nous devons se concentrer sur nos langues maternelles pour préserver notre patrimoine culturelle, car pour moi un peuple qui va laisser à l’abandon sa langue, va finir par perdre une grande partie de son histoire une fois cette langue est éteinte, comme nous pouvons le constater chez certains peuples africains, qui ont opter pour le français ou l’anglais comme langue officielle dans leurs pays, tout en délaissant leurs langues maternelles et qui ont fini par se retrouver dans une rupture partielle avec leurs origines, et qui ont perdu à jamais, une partie de leur identité.

Néanmoins, j’estime que l’apprentissage des langues étrangères est devenu à notre époque, plus qu’une nécessité, d’une part à cause de la mondialisation et les besoins de communications qu’elle a engendré, que ce soit dans les échanges commerciaux ou lors des voyage, ce qui incite les gens à apprendre les langues les plus parlées dans le monde comme l’anglais, le français ou l’espagnol, d’autre part, grâce à l’internet, les jeunes des différents pays entrent de plus en plus en contacte, et ils ont besoin de parler une langue en commun afin de leur ouvrir la voie pour connaitre les gens des quatre coins du monde, et leurs permettre d’explorer de nouveaux horizons, De plus, je pense que pour réussir sa vie professionnelle, une éducation de qualité s’impose naturellement, et pour pouvoir étudier sans limites, les jeunes étudiants ont besoin d’apprendre les langues dont les ouvrages et les ressources de documentation sont le plus disponibles, notamment l’anglais et le français, comme c’était le cas de pour mon cousin, qui affirme que grâce à sa maitrise, de l’anglais, a pu avoir accès à des études récentes publiés uniquement en cette langue, ce qui l’a aider dans son travail pour son projet de fin d’études. Pour conclure, je dirais que l’apprentissage des langues étrangère est très bénéfique dans un monde qui devient de plus en plus étroit, mais cela doit être fait, en préservant nos langues maternelles, et il faut trouver le juste milieu entre la volonté de s’ouvrir sur le monde, et le sauvegarde de nos patrimoines culturels, Je suis ravi d’avoir partagé avec vous mes idées, et je souhaite vous voir publier ma lettre dans vos prochaines éditions, afin d’ouvrir le débat a vos lecteurs. Veuillez agréer Monsieur le Rédacteur en chef, l’expression de mes sentiments distingués.

Lettre : 10

Sehaki Karim

Paris, le 09.10.2020

45, rue des roses

Jean Ledoux,

Paris, France

Rédacteur en chef du journal «  le Monde »

Objet : Réaction à l’article du 08 octobre 2020 Fidèle lecteur de votre journal, je vous écris aujourd’hui en réaction à l’article paru dans l’édition du 08 octobre 2020 ou vous avez déclaré que « l’uniforme scolaire devrait être obligatoire ». Je voulais vous faire part de mes réflexions sur le sujet. En effet, il est vrai que la majorité des jeunes écoliers préfèrent ne pas porter un uniforme scolaire, les adolescents préfèrent s’habiller librement, pour pouvoir exprimer leurs gouts, leur genre vestimentaire et montrer qu’ils suivent la mode, pour plusieurs c’est leur seule façon de manifester leur différence ou de montrer leur appartenance à un group. Prenons l’exemple des jeunes enfants

qui aiment le rock et qui s’habillent d’une façon précise pour le montrer, ainsi j’estime que leur imposer de porter un uniforme va surement porter atteinte à certaines de leurs libertés. Néanmoins, le fait de laisser les enfants porter ce qu’ils veulent à l’école peut être la source d’autres problèmes, comme par exemple la différenciation des élèves selon leurs classes sociales, ainsi les enfants mieux habillés, se moquent souvent des enfants moins riches ou pauvres et qui ne peuvent s’offrir les derniers habits ou accessoires à la mode, ce qui pourra créer à mon avis des complexes pour ces derniers et les empêchent de se concentrer sur leurs études. De plus, j’imagine qu’un uniforme scolaire présente l’avantage d’apprendre aux écoliers le sens de l’organisation et de la discipline, ce qui feras d’eux des futur adultes organisés et qui respectent les lois du pays, le code morale de la société et les règlements intérieurs des entreprises dont ils vont travailler, en fait, selon le rapport d’une étude que j’ai lu sur le net, les employées qui ont fait leurs études dans des écoles qui exigent un uniforme, respectent plus le port des équipements de protection individuels mis à leurs disposition au travail. Pour conclure, je pense que le port d’un uniforme scolaire présente beaucoup plus d’avantages que d’inconvénients, il est alors, important de le généraliser sur toutes les écoles, a condition qu’il soit fourni par l’école et non pas acheté par les parents d’élèves, pour ne pas constituer des dépenses supplémentaires sue les parents les plus nécessiteux Ravi d’avoir partagé mes idées avec vous, j’espère que vous publiez ma lettre dans vos prochaines éditions pour ouvrir le débat a vos lecteurs. Veuillez agréer Monsieur le rédacteur en chef, l’expression de mes sentiments distingués.

Lettre : 11 Karim SEHAKI 45 rue des roses Paris, France

Paris le 05 octobre 2020 Monsieur Bernard LEDOUX Rédacteur en chef du journal « Le Matin »

Fidèle lecteur de votre journal, je vous écris aujourd’hui en réaction a votre article paru dans l’édition du 04 octobre, dans lequel vous avez déclaré que « les jeunes n’accordent plus d’importance à la famille » En effet, il est vrai que les jeunes de notre époque ne sont plus attachés a leurs familles comme les jeunes des générations précédentes, cela est dû à mon avis à la façon dont les parents actuels élèvent leurs enfants, on observe de plus e plus des parents qui laissent leurs enfants chez des nourrices a un âge très précoce, puis ils les envoient dans des crèches quand ils ont à peine trois ou quatre ans, les enfant développe donc peu d’attachement, d’après un articles que j’ai lu dernièrement, les enfants qui ont grandis dans une famille dont les deux parents travaille a temps pleins, sont moins attaché a leurs familles, par rapport aux enfants dont la maman est une femme au foyer.

De plus, les circonstances de la vie modern, comme les études dans des universités lointaines, ou le travail à l’étranger, affecte la relation entre les enfants et leurs familles, les enfants passe donc de moins en moins de temps dans leurs domiciles familials explique ce détachement et manque de complicité entre les membres d’un même foyer. Contrairement à l’époque où les gens vivaient avec leurs parents jusque à un âge avancé et même quand ils quittent la maison parentale, ils ne s’installent généralement pas loin et gardent toujours un lien fort avec la famille. Néanmoins, avec l’arrivée des technologies de communication, comme le mobile et les réseaux sociaux, il me semble que les relations familiales ont tendance a s’améliorer, car le jeunes garde un meilleur contacte quand ils s’éloigne grâce a ces moyens de communication. Pour conclure, je pense que pour garder un lien fort, entre les jeunes et leurs familles, les parents actuels devrons passer plus de temps avec leurs enfants dans leur jeune âge pour nouer des liens fort qui demeurerons malgré les circonstances de la vie, les enfants eux, devront revoir leurs priorités, car les liens familiaux ne sont pas moins importants que la réussite scolaire ou l’épanouissement dans la vie professionnelle. Je suis ravi de partager avec vous mes idées, j’espère que vous publierez ma lettre dans vos prochaines éditions afin d’ouvrir le débat a vos lecteurs. Je vous prie d’agréer monsieur le rédacteur en chef, l’expression des mes sentiments distingués.

Lettre : 12 Fidèle lecteur de votre journal, je vous écris aujourd’hui en réaction à l’article paru dans votre journal, où vous avez déclaré « qu’avec internet il est inutile de consulter un médecin »

En effet, il est vrai que l’internet nous offre la possibilité de rechercher les détails sur nos problèmes de santé, elle nous permet d’approfondir nos connaissances en terme général, sur les différentes méthodes de traitements possibles, leur efficacité, la gravité de la maladie, les chances de guérison… etc. Néanmoins, j’estime que le fait de penser qu’internet pourra remplacer l’avis du médecin, constitue en soi, un danger pour notre santé. Car ça peut nous exposer a divers dangers, comme l’automédication. D’après un article que j’ai lu dans un magazine scientifique, Plusieurs cas d’intoxication par les médicaments sont constatés chaque année a cause de l‘utilisation de médicaments qui ne sont pas adaptés au patient ou utilisés avec des doses incorrect ou excessives, prenons l’exemple des gens qui sont sensibles a certaines molécules actives contenues dans ces médicaments et que seul un médecin pourra détecté. De plus, je pense qu’une utilisation incorrect des médicaments, nous expose à un autre problème de santé qui est l’antibiorésistance, en effet les bactéries contenues dans notre organisme, ou celles qui nous contaminent, peuvent développer une résistance aux antibiotiques, si ces derniers sont arrêtés avant la fin du traitement, ce qui est souvent le cas quand on achète des médicament non prescrits

par un professionnel de la santé, comme c’était le cas de mon cousin qui a dû subir une longue hospitalisation, suite à ce problème, alors que la maladie était facile à éradiquer s’il avait consulter un spécialiste. S’ajoute a cela, le faite qu’un patient ne peut pas identifier sa maladie exact à tous les cous, il peut donc facilement se tromper vu que plusieurs maladies différentes partagent les mêmes symptômes, et qu’il est nécessaire d’effectuer des analyses approfondies afin de détecter le problème, si il se trompe de maladie, il ne pourras pas la traiter. Pour conclure, l’utilisation d’internet doit se limiter aux problèmes légers du quotidien, pour chercher des remèdes de grand-mère, ou pour approfondir ses connaissances pour mieux choisir la méthode de traitement, mais la consultation d’un médecin en cas de maladie reste plus que nécessaire, voir obligatoire. Je suis ravi de partager avec vous mes idées, j’espère que vous publierez ma lettre dans vos prochaines éditions afin d’ouvrir le débat a vos lecteurs. Veuillez agréer monsieur le rédacteur en chef, l’expression de mes sentiments distingués.

Lettre : 13

Fidèle lecteur de votre journal, je vous écris aujourd’hui en réaction a votre article paru dans l’édition du 05 janvier ou vous avez déclaré que « avec les films et les séries il est inutile de lire des livres ». Et je voudrais vous faire part de mes réflexions sur le sujet. En effet, il est vrai que les séries et les films constituent une source très importante de savoir, notamment les séries scientifiques qui traitent des sujets variés et enrichissant, et qui nous renseignent sur l’archéologie, l’histoire, l’écologie et bien d’autres domaines, prenons l’Example de la série les jeux du cerveau qui passe sur national géographique, et qui nous explique avec clarté le fonctionnement du cerveau et le raisonnement des humains. Tout cela sans fournir aucun effort il nous suffit de s’allonger sur le canapé et laisser notre cerveau profiter de cette source d’information inépuisable. Néanmoins, à mon avis, la place du livre reste irremplaçable, j’estime que le livre et contrairement aux séries et aux films, offre une liberté absolue à notre imagination, chacun de nous peut alors, surfer dans un même livre a sa manière. Prenons l’exemple des romans ; les gens qui lisent les mêmes romans peuvent imaginer les figures et personnage de façon différente, et ils ne sont pas limité à l’image que l’auteur a dessiné dans sa tête, comme c’est le cas des films, ou tout le monde regarde le même personnage. De plus, lire les livres permet d’améliorer l’orthographe, et d’élever le niveau intellectuel de la personne, chose que les séries et les films ne peuvent pas offrir, car il n’est suffisant d’entendre les mots a la télé pour connaitre leur structure, et savoir comment les écrire, de plus je pense que

malgré le nombre grandissant de séries et films a thème scientifique et culturel, plusieurs sujets ne sont pas encore traités et nous sommes obligés de revenir aux livres si nous voulons nous informer, Pour conclure, je pense que nous devons faire bon usage de tous les moyens disponibles, nous pouvons profiter de la facilité offerte par les films et série tout en les associant a une lecture ciblée et régulière, afin de mettre toutes les chances à nos côtés, pour mieux se cultiver dans un monde qui s’avère de plus en plus exigeant en termes de savoir. Je suis ravi d’avoir partagé avec vous mes idées, et j’espère que vous publierez ma lettre dans les prochaines éditions, afin d’ouvrir le débat à vos lecteurs. Je vous prie d’agréer monsieur le rédacteur en chef, l’expression de mes sentiments distingués.

Lettre : 14 Paris, le 12 octobre 2020 Sehaki karim

Monsieur Jean LEDOUX

45, cité des roses

rédacteur en chef du journal le monde

Paris, France. Objet ; réaction à l’article du 22 octobre 2020 Fidèle lecteur de votre journal, je vous écris aujourd’hui en réaction à l’article paru dans l’édition du 10 octobre ou vous affirmez que les célibataires sont plus heureux que les gens mariés, et je souhaiterais apporter ma réflexion sur le sujet. En effet, il vrai que les jeunes célibataires profitent à mon avis d’une liberté absolue, il peuvent d’une part voyager et partir loin et pour la durée qu’il souhaitent sans devoir rendre compte à personne, d’autre part leurs dépenses restent limités, ils ne sont pas obligés de dépenser pour toutes une famille, et ils peuvent donc économiser leurs argents pour leurs récréations favorites, prenons l’exemple de mon cousin qui avait l’habitude de voyager à l’étranger chaque année, mais qui ne l’a plus refait depuis son voyage de noces, car ses obligations et dépenses ont augmentés considérablement après son mariage. Néanmoins, j’estime que les gens mariés profitent de plusieurs avantages que les célibataires n’ont pas, comme la stabilité affective et émotionnelle, qui les aident à se concentrer sur leurs objectifs, et leurs réussite professionnelle, un jeune marié ne se casse plus la tête à chercher une rencontre amoureuse, et est moins exposer aux déceptions et chagrins d’amour qui peuvent affecter non seulement son humeur, mais bouleverser complètement sa vie, comme on observe chez les joueurs de foot qui se marient très jeunes, pour se concentrer sur leurs carrières. De plus, je pense que les mariés ont l’avantage de fonder une famille et peuvent donc envisager à avoir des enfants, ces derniers vont embellir leurs vies et représenteront pour eux une nouvelle raison de vivre, et les pousseront à donner le meilleur, pour leur offrir un cadre de vie agréable, de

plus, ça leur permettra de découvrir le sentiment de paternité, qui reste l’une des plus belles sensations qu’un célibataire ne connait pas. Pour conclure, je pense qu’il faut savoir profiter de toutes les étapes de nos vies, quand on est célibataire, nous sommes censés profiter de la vie, voyager, découvrir le monde et surtout faire beaucoup de rencontres, mais quand on trouve la bonne personne avec qui partager sa vie, et que les conditions sont favorables, il ne faut pas la laisser filer. Ravi, d’avoir partagé avec vous mes idées, j’espère que vous publierez ma lettre, afin d’ouvrir le débat à vos lecteurs.

Lettre : 15

Sehaki Karim 45, rue des roses Paris, France

Paris, le 10.10.2020 Monsieur Bernard Ledoux Rédacteur en chef du jounal « le Monde »

Objet : réaction à l’article du 10.10.2020

Fidèle lecteur de votre journal, je vous écris aujourd’hui en réaction à l’article paru dans l’édition du 10 octobre et dans lequel vous avez déclaré que « il faut interdire les téléphones portables dans les écoles ». Je voudrais vous faire part de mes réflexions sur le sujet. En effet, il est vrai que les téléphones portables sont actuellement souvent mal utilisés dans les écoles, car d’une part ils constituent une sources de distraction des élèves, quand ils les utilisent pour jouer a des jeux ou pour communiquer entre eux ou avec d’autres personnes sur les réseaux sociaux pendant les cours, d’autre part, les téléphones peuvent aussi être utilisés pour tricher pendant les examens, ce qui fausse l’évaluation du niveau des élèves et nuit à l’équitabilité des chances entre eux. Néanmoins, j’estime que les mobiles si correctement utilisés offrent la possibilité de maintenir un lien direct entre les parents et leurs enfants même pendant leurs cours, l’élève peut donc contacter ses parents en cas d’urgence, et facilite leur récupération une fois les cours terminés, comme c’était le cas de ma nièce, qui grâce au coup de file qu’elle a passé à ses parents a évité d’être agressée, pour ne citer que cet exemple. De plus, grâce à de nombreuses applications, le portable constitue à mon avis, le source d’informations par excellence, les étudiants peuvent utiliser le dictionnaire, la calculatrice, et les moteurs de recherche pour les aider dans leurs études, ils peuvent ainsi, avoir plusieurs livres,

dictionnaires, … etc. a portée de main et tout ça sans devoir porter des poids lourds comme c’est le cas des livres classiques. Pour conclure, je pense qu’avec une sensibilisation des élèves au bon usage du téléphone, et un contrôle strict et rigoureux, les avantages de l’usage des mobiles dans les écoles seront plus importants que ses inconvénients, il est à nous de savoir faire bon usage de cet outils devenu indispensable à notre époque. Je suis ravi de partager avec vous, mes idées, j’espère que vous publierez ma lettre afin d’ouvrir le débat a vos lecteurs. Veuillez agréer, Monsieur le rédacteur en chef l’expression de mes sentiments distingués.

Lettre : 16

Sehaki Karim 45 rue des roses Paris, France

Paris, le 10.20.2020 Monsieur, Jean Ledoux, Rédacteur en chef du journal «   le Monde »

Objet : réaction à l’article du 22 septembre 2020

Fidèle lecteur de votre journal, je vous écris aujourd’hui en réaction à l’article paru dans l’édition du 22 septembre dans lequel vous avez déclaré que « nous devons changer nos habitudes de consommation pour préserver la planète ». et je voudrais faire part de mes réflexions sur le sujet. En effet je vous rejoins totalement sur la nécessité de revoir nos habitudes de consommation, Il est vrai que, pour nourrir plus de sept milliards de personnes, et dans un monde ou manque de temps et délais serrés sont devenus la norme, et où les gens travaillent ou étudient loin de leurs maisons, les gens se sont orientés vers la restauration rapide qui permet de nourrir un nombre important dans des délais brefs, ce qui leur permet de manger à leur faim dans leurs poses qui ne dépassent souvent pas une heure de temps, prenons l’exemple des étudiant qui n’ont qu’une heure pour manger et qui trouvent la solution dans les restaurants Macdonald. Or, j’estime que la restauration rapide signifie habituellement gaspillage, nourriture pas saine, et obésité, car d’une part, pour satisfaire les grosses demande en matière première pour ce genre de restauration, on a toujours recours a des méthodes d’élevages intensif, qui ne se soucient guère des traitements et des conditions des animaux, d’autre part, les méthodes utilisés en agriculture

causent aussi une pollution des nappes d’eau par certains pesticides ainsi que le déséquilibre de la faune et de la flore, ce qui menace la biodiversité et donc l’existence de notre planète. De plus, à mon avis, la restauration rapide est souvent associée aux problèmes d’obésité, qui causent à leur tour plusieurs maladies qui imposent l’utilisation de plus de médicaments, donc plus de produits chimiques et fragilise d’avantage notre planète. Pour conclure, je pense que nous devons trouver un équilibre entre la rapidité et la flexibilité des méthodes de restaurations actuelles, et la protection de notre planète, ainsi on devrait exiger une matière première plus saine, et produite avec des méthodes moins nocives a l’environnement et à la biodiversité. Je suis ravi de partager avec vous mes idées, et j’espère que vous publiez ma lettre dans les prochaines éditions afin d’ouvrir le débat a vos chers lecteurs. Je vous prie d’agréer, Monsieur le rédacteur en chef, l’expression de mes sentiments distingués

Lettre :17

Fidèle lecteur de votre journal, je vous écris aujourd’hui en réaction à l’article paru dans l’édition du 22 janvier où vous avez affirmé que « il faut voyager par avion une fois par an au maximum » et j’aimerais vous faire part de ma réflexion sur le sujet, En effet, il est à mon vrai que voyager par avion reste un moyen de transport relativement cher, en particulier pour les destinations proches, et là ou d’autres alternatives sont possible et à moindre cout, comme par exemple les trains rapides, ces voyage par avions peuvent constituer des dépenses supplémentaires évitables, surtout pour les gens qui voyagent fréquemment et qui sont de classe moyenne, selon une étude que j’ai lu dans un magazine spécialisé, voyager par train ou par bus plutôt que par vol, peut économiser jusque à 30 pourcent des frais du voyage pour les distances de moins de 400 KM, c’est donc un choix judicieux de limiter les voyage par avion pour les courtes distance et de privilégier les autres moyens de transport moins coûteux.

Néanmoins, j’estime opter pour une compagnie aérienne peut être le meilleur choix pour voyager et cela car d’une part, à notre époque l’avion est devenu le moyens de transport le plus sûr, grâces aux moyens de contrôle et à la très bonne organisation de ce type de transport, les accidents et les crash sont devenu rares, et si on consulte les statistiques d’accidents on se rends rapidement compte, que le risque d’avoir un accident est un par douze millions de vols, ce qui représente et de loin le meilleur choix si nous voulons arriver à destination sains et saufs, d’autre part, voyager par avion est toujours plus rapide que les autres moyens, et comme on dit, le temps c’est de l’argent, donc au lieu de perdre des journées entières dans le voyage, il vaut mieux opter pour l’avion et arriver à destination dans quelques heures. De plus, voyager par les autres voies, est pour les grandes distances beaucoup plus fatiguant, surtout pour les personnes malades qui ne supportent pas rester assises pendant longtemps, s’ajoute à tout

ça que parfois, voyager par avion est la seule issue possible pour joindre certaines destinations comme des iles isolées, comme c’est le cas pour certaines iles touristiques dans le continent africain. Pour conclure, je dirais que nous devons faire le bon choix selon la destination pour laquelle nous voulons voyager et selon l’état de santé du voyageur, nous devrons donc favoriser les voyage par voie terrestre pour les courtes distances et quand notre physique nous le permet ou opter pour l’avion pour les voyage de grandes distances. Je suis ravi d’avoir partagé avec vous mes idées, et j’espère vous voir publier ma lettre dans vos prochaines éditions afin d’ouvrir le débat à vos lecteurs. Veuillez agréer Monsieur le rédacteur en chef, l’expression de mes sentiments distinguées.