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Sommaire Introduction générale…………………...……………………………….. …………………..01 CHAPITRE I : Généralités et concepts de base sur le contrôle de gestion………...…..……03 1. Définition du contrôle de gestion………………………………………………………...03 2. La place du contrôle de gestion…………………………………………………………..03 2.1. Le rattachement au directeur général……………………………………………….03 2.2. Le rattachement au directeur financier……………………………………………...04 3. Le contrôleur de gestion………………………………………………………………….05 3.1. Les missions du contrôleur de gestion………………………………………….…..05 3.2. Les profils du contrôleur de gestion………………………………………...………05 4. Les objectifs du contrôle de gestion……………………………………………………...06 5. Les outils du contrôle de gestion……………………………………………….. ………..06 5.1. La comptabilité analytique………………………………………………………......07 5.2. La gestion budgétaire………………………………………………………………..08 5.3. Le tableau de bord… ………………………………………………………..………08 5.4. Le système d’information………………………………………………………..….08 CHAPITRE II : Le contrôle de gestion est un outil de prévision et de contrôle…...……..…10 1. Définition du budget…………………………………………………………. …………..10 2. Les procédures d’élaboration des budgets…………………………………………..……10 2.1. Elaboration d’un prébudget……………………………………………...………….11 1
2.2. Elaboration et discussion des budgets détaillés…………………………………..….12 2.3. Détermination des prévisions définitives…………………………………………….12 3. La classification des budgets……………………………………………………... ………13 3.1. Le budget des ventes……………………………………………………………..…..14 3.2. Le budget de production……………………………………………………………..14 3.3. Le budget des approvisionnements…………………………………………….…….14 3.4. Le budget des ressources humaines…………………………………………….……14 3.5. Le budget des investissements………………………………………. ………………14 3.6. Le budget de la trésorerie…………………………………………………………….14 CHAPITRE III : Présentation de l’entreprise des emballages et arts graphiques…..……….15 1. Identification…………………………………………………………………………... …15 2. Gamme de produit……………………………………………………………………. …..15 2.1. Sacs grande contenance………………………………………………………..…….16 2.2. Sacs petite et moyenne contenance…………………………………………….…….16 2.3. Boites pliantes………………………………………………………………………..16 3. Organisation et principales missions des responsables……………………. ……………..16 3.1. Organisation de EMBAG………………………………………... …………………..16 3.2. Principales missions des responsables…………………………... …………………..18 3.2.1.Le Président Directeur Général……………………………. …………………18 3.2.2.Le responsable des ventes et du marketing……………….. ………………….18 3.2.3.Le directeur de la production.………………………………... ………………18 3.2.4.Le directeur de la maintenance……..………………………….. …………….19 2
3.2.5.Le directeur des approvisionnements…………………….. …………………..19 3.2.6.Le directeur des ressources humaines …………. …………………………….19 3.2.7.Le directeur financier…………………………….…………….. …………….19 3.2.8.Le responsable assurance qualité ……………………………………………..20 CHAPITRE IV : L’exercice de la fonction du contrôle de gestion au sein de l’EMBAG...…21 1. La place du contrôle de gestion dans l’entreprise…………………………………….…..21 2. Les missions du contrôle de gestion……………………………………………………...21 3. Le contrôle de gestion au sein de l’entreprise EMBAG……………………….. ……..22 3.1. Prévisions budgétaires……………………………………………………………….22 3.1.1.Méthodologie d’établissement du budget…………………………. ……….23 3.1.2.Prévisions de clôture………………………………………………. ………..24 3.2. Le contrôle budgétaire…………………………………………………. ……………24 4. Etude de cas…………………………………………………………………….. ………..25 4.1. La production……………………………………………………………………. …..25 4.2. Les ventes…………………………………………………………………... ………..26 4.3. Les consommations……………………………………………………………. …….28 4.4. Les approvisionnements………………………………………………………. ……..28 4.5. Les ressources humaines…………………………………………………. ………….29 4.6. Les finances …………………………………………………………………...…….30 Conclusion générale…. ………………………………………………………………………32 3
Bibliographie Annexes
Introduction L’émergence du contrôle de gestion a fait ses débuts aux USA suite aux grandes crises économiques des années 30, sa naissance officielle peut être fixée en 1939, lorsque fut créer le controller’s Institute of American, il devient de plus en plus indispensable au pilotage de l’entreprise ; il ne s'agit, ni d’un outil magique, ni d’une comptabilité améliorée ou d’un simple contrôle budgétaire. Cette activité a connu des mutations ces dernières années suite à l'intensification de la concurrence induite par la mise en place d’une nouvelle approche mercatique, la mondialisation de l'économie et le développement des Techniques d’information et de communication. La mise en place d’une fonction contrôle de gestion efficace doit tenir compte des caractéristiques de l’entreprise et l’analyse de son environnement. L’objectif principal de ce travail est de décrire le contrôle de gestion de l’entreprise en tenant compte de l’environnement générale de l’entreprise. La notion de contrôle est utilisée dans le sens de la maîtrise de la gestion. Cette maîtrise est assurée par les responsables opérationnels et 4
la direction générale. Le contrôleur de gestion a pour vocation de les aider à obtenir cette maîtrise, en mettant en œuvre les outils nécessaires à la définition des objectifs, l’élaboration des plans d’action et le suivi des réalisations. Il doit répondre aux objectifs économiques de l’entreprise liés à la rentabilité et la suivre. C’est à partir de ces objectifs que se définissent les problèmes à résoudre, compte tenu de l’environnement, la concurrence,
etc...
Quelles
sont
les
compétences
à
acquérir,
les
technologies à maîtriser, les stratégies à étudier et les choix à faire. les métiers peuvent être internes (consultants et grands cabinets d’audit, experts comptables) ou internes (Directions administratives et financières, services comptables ou services contrôle de gestion plus ou moins bien formalisés et organisés). On notera en outre que la fonction contrôle de gestion peut être plus ou moins centralisée et déconcentrée au sein de l’entreprise. Les grandes lignes de la fonction peuvent en effet être réparties au sein même des services et engagées par les acteurs (du contrôle externe à l’auto contrôle). Malgrés les critiques dont elle fait l’objet, la gestion budgétaire constitue toujours la méthode de contrôle de gestion la plus utilisée par les entreprises. Mais si presque toutes les entreprises préparent un budget, les pratiques sont extrêmement variables. La gestion budgétaire correspond à une vision technicienne du contrôle de gestion et se définit comme l’ensemble des techniques mises en œuvre pour établir des prévisions à court terme applicables à la gestion d’une entreprise et pour les comparer aux résultats effectivement constatés. Le contrôleur de gestion joue un rôle central dans ce processus de construction budgétaire, il est le garant de la cohérence globale de celle-ci et sa position transversale lui permet d’accompagner l’ensemble des décideurs opérationnels dans la définition de leurs objectifs et le choix de leurs moyens.
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L’attention de ce rapport est portée sur l’usage de la gestion budgétaire comme étant un outil de gestion et son fonctionnement au sein d’une entreprise pour mieux prévoir les ventes et atteindre les objectifs à court et à moyen terme. Ce qui nous amène à nous interroger, quel est le rôle que joue la gestion budgétaire dans les systèmes de gestion ? Et c’est pourquoi aussi un certain nombre de questions méritent réflexions à savoir :
-
Quelle est la place du contrôle de gestion au sein de l’entreprise ?
-
La
gestion
budgétaire
contribue
t-elle
à
la
performance
de
l’entreprise ? Pour répondre à ces questions, nous adapterons la méthodologie suivante : Dans une première étape, nous allons consacrer notre recherche à l’approche théorique du contrôle de gestion en nous basant sur la compilation d’articles, de rapports, d’ouvrages, de documents divers et de même des sites internet. Ensuite, pour couronner notre bagage théorique, nous avons aussi effectué un stage au niveau de l’entreprise EMBAG SPA où
nous
avons
eu
plusieurs
entrevues
et
entretiens
avec
des
professionnels. En réponse à cet objectif, nous avons organisé notre travail de la manière suivante : Le premier chapitre rappelle les principaux concepts du contrôle de gestion, le second chapitre porte sur l’organisation de la gestion budgétaire comme étant l’un des outils du contrôle de gestion, ensuite nous sommes passés à la présentation de l’entreprise EMBAG SPA, et enfin le quatrième et le dernier chapitre qui est consacré à la mise en œuvre de la démarche de la gestion budgétaire.
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GENERALITES ET CONCEPTS DE BASE DU CONTROLE DE GESTION
CHAPITRE I : GENERALITES ET CONCEPTS DE BASE SUR LE CONTROLE DE GESTION.
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Dans ce présent chapitre, nous allons essayer d’éclaircir quelques notions de bases liés au contrôle de gestion. Il a pour objet de nous aider dans l’identification de l’information nécessaire au contrôle de gestion.
1. Définition du contrôle de gestion Définir le contrôle de gestion ou, le management control, fut l’objet de plusieurs essais. ANTHONY. R.N, a donné en 1965 la définition formelle et la plus répandue: « le contrôle de gestion est le processus par lequel les managers obtiennent l’assurance que les ressources sont obtenues et utilisées de manière efficace et efficiente pour la réalisation des objectifs de l’organisation »(1) Cependant, la définition qui semble plus riche, est donnée par l’auteur Jean LOCHARD en 1998, il a définit le contrôle de gestion comme étant « l’ensemble des dispositions prises pour fournir aux dirigeants et aux divers responsables des données chiffrées périodiques caractérisant la marche de l’entreprise. Leur comparaison avec des données passées ou prévues permet aux dirigeants de déclencher rapidement les mesures correctives appropriées avec l’aide ou les conseils du contrôle de gestion. »(2)
2. La place du contrôle de gestion Dans les structures classiques et de petites tailles, le contrôleur de gestion est très souvent rattaché à la direction générale ou à la direction financière. 2.1. Le rattachement au directeur général C’est la solution qui apporte le plus de légitimité au contrôleur de gestion lorsqu’il ne dispose pas de pouvoir hiérarchique. Ce pouvoir est souvent informel ; il s’appuie sur l’influence dont le contrôleur de gestion dispose sur l’élaboration de la stratégie. Il assure alors souvent la cohérence
du
niveau
de
contractualisation
avec
la
stratégie
l’exploitation, jouant ainsi le rôle de consultant (1): ALAZARD .C, SEPARI .S, « contrôle de gestion, manuel et application », édition DUNOD, Paris, 2007, p10.
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et
(2) : Jean LOCHARD, « la gestion budgétaire : outil de pilotage des managers », édition d’organisation ; Paris 1998, p15.
interne et de formateur auprès des opérationnels. Figure n°1 : le rattachement au directeur général Direction générale
Direction de production
contrôle de gestion
Direction commerciale
Direction
financière Source : www.performancezoom.com 2.2.
Le rattachement au directeur financier
Cette solution présente plusieurs inconvénients. Elle diminue l’influence du contrôleur de gestion sur la direction financière (« écran » plus ou moins opaque pouvant être généré aussi bien par son étiquette de financier que par la personnalité du directeur financier). Ceci peut rendre plus difficiles ses rapports avec les opérationnels eux-mêmes et leurs responsables, car il est à la fois juge et partie. C’est ce que montre notre étude avec le cas de Monsieur Henri JOUVEN, rattaché directement en n+1 au directeur financier, qui explique que l’on ne peut être à la fois juge et parti et que son rôle ne peut par le fait être opérationnel. Il exerce exclusivement une fonction de support et permet de faire remonter les informations utiles afin d’aider à la décision la direction générale, mais le lien ne semble effectivement pas être direct. Enfin,
les
économique
sources et
d’information
financière
au
seront
prioritairement
détriment
de
données
de
physiques
opérationnelles (volume, qualité, délai, etc.). Figure n°2: rattachement au directeur financier Direction Générale 9
natures
Direction de production
Direction commerciale
Direction
financière Service contrôle de gestion
Direction comptable
Source : www.performancezoom.com
3. Le contrôleur de gestion 3.1.
Les missions et le rôle du contrôleur de gestion
Le contrôleur de gestion est souvent rattaché à la direction financière ou au directeur du contrôle de gestion, voire à la direction générale en structure moyenne. Au siège, il a en charge un ou plusieurs centres de profit ou unités de production, ou domaine d’action (l’ensemble s’il est contrôleur central). Son rôle d’interface avec le terrain est assez prégnant. En petites structures (PME), sa fonction est souvent cumulée avec les missions finances et comptabilité, mais dans les grands groupes, elle est assurée par divers postes comme : -
Le contrôleur - assistant (ou contrôleur junior)
Il a la responsabilité d’un ou deux domaines d’activités (tableaux de bord, analyse des stocks, frais généraux, etc.) ; Le contrôleur budgétaire Élabore et contrôle les prévisions et réalisations budgétaires ; - Le contrôleur de gestion industrielle -
Rattaché au directeur du site, il exerce la fonction de contrôleur de gestion central, responsable de l’analyse des prix de revient, des coûts de production, etc. Il intervient activement dans l’amélioration de la rentabilité en plus de ses missions de contrôle budgétaire et du reporting ; -
Le contrôleur de gestion commercial
Élabore les tarifs et les marges, analyse la rentabilité des produits par marché, par zone, et contrôle les coûts de distribution. Il intervient, en collaboration avec le directeur commercial, sur la prévision des ventes et la définition des objectifs.
3.2.
Les Profils du contrôleur de gestion
10
Les compétences estimées nécessaires pour un controleur de gestion sont : -
-
Les connaissances spécifiques connaissances en gestion et techniques financières ; connaissances comptables de base (comptabilité française et anglo-saxonne). Les qualités majeures Capacité de synthèse, esprit critique, ainsi que capacités d'organisation et de planification sont nécessaires pour ce
métier ; Le contrôleur de gestion doit avoir un bon sens relationnel pour créer un climat de confiance avec ses interlocuteurs et de la
-
diplomatie pour imposer ses procédures. L’expérience
C'est un métier accessible aux débutants. La formation d'ingénieur avec une formation complémentaire en gestion peut être particulièrement appréciée pour le contrôle de gestion industriel ou produit technique. -
L’évolution professionnelle
Le contrôleur de gestion peut évoluer vers d'autres fonctions de l'administration-finance, et vers une fonction de directeur de gestion. Il peut aussi évoluer vers d'autres métiers de l'entreprise, selon sa formation et ses compétences : commercial, ressources humaines, achats... 4. Les objectifs du contrôle de gestion Le contrôle de gestion veille à : -
Sensibiliser les participants à l’importance du contrôle de gestion en tant que système d’information permettant la mesure, le suivi et le
-
contrôle des performances ; Utiliser de façon pertinente les différentes techniques de contrôle de
-
gestion : coût, budget, tableau de bord ; Maitriser la technique d’instauration d’un système de contrôle de
-
gestion ; Exploiter les indicateurs du contrôle de gestion comme outil d’aide à la
-
décision ; Exploiter les indicateurs du tableau de bord comme outil d’aide à la décision ; 11
-
Donner son avis à la direction sur le choix des objectifs qui sous-
-
tendent la stratégie ; Mesurer les risques associés aux différentes décisions envisagées dans le cadre de la
politique envisagée, autrement dit réduire
l’incertitude.
5. Les outils du contrôle de gestion On classe couramment les outils du contrôle de gestion selon les quatre domaines d'intervention suivant: -
L'analyse des coûts ; Les techniques de planification et les outils budgétaires ; Les indicateurs et les tableaux de bord ; L'analyse comparative.
Le schéma suivant résume les outils du contrôle de gestion.
Figure n°3 : les outils du contrôle de gestion
fixation d’objectif
Prévision à court terme +
Suivi des performance Comptabilité analytique
Contrôle budgétaire
Tableau de bord
+ Analyse des Réactions
+
Assistance et conseil aux Action de correction
Simulation
꞊꞊
Contrôle de gestion 12
Source : http://www.performancezoom.com/outil_controle.php 5.1.
La comptabilité analytique
La comptabilité analytique est un système de comptes, ajustés à la comptabilité générale, permettant d’identifier et de valoriser les éléments constitutifs du résultat de l’exercice et d’en permettre l’interprétation et l’exploitation par les directions des entreprises. Elle rapproche chaque produit de ses coûts, qu’ils aient été encourus dans l’exercice ou dans des périodes précédentes. Elle divise les résultats par centre de décision permettant un meilleur pilotage, ou les consolide par ligne d’activité, afin d’en mieux apprécier la situation. Elle est parfois associée à d’autres techniques de management comme la gestion budgétaire ou la gestion par les objectifs, à qui elle fournit les éléments de comparaison comme comptabilité de gestion.
5.2.
La gestion budgétaire
L’élaboration d’un budget est une opération à laquelle maints agents prennent part. Il s’agit d’un processus complexe faisant intervenir des éléments de gestion comptable et de planification à long terme, les deux éléments présentant le plus souvent des objectifs conflictuels qu’il faut réconcilier dans le budget. 5.3.
Le tableau de bord
Le tableau de bord est pour le responsable un outil d’aide au management en trois dimensions, pour : -
Piloter : le tableau de bord est un instrument d’aide à la réflexion. Il permet
d’avoir une approche globale d’un système, dans la
mesure où il en est une représentation réduite. Le responsable peut ainsi mieux définir les actions indispensables pour atteindre les objectifs qui lui sont assignés ;
13
-
Animer : La mise en place d’un tableau de bord est une excellente occasion
pour développer une réflexion collective entre les
différents acteurs d’un même service ou d’une direction. À travers la démarche de conception de l’outil, et surtout lors de l’utilisation des informations, le responsable redonne du sens à l’action et rétablit -
l’articulation entre les niveaux stratégique et opérationnel ; Organiser : Par son effet miroir, le tableau de bord est un reflet du niveau de
performance d’un service. Les indicateurs alertent le
responsable sur les domaines problématiques. Il peut alors réfléchir sur les leviers d’action qui vont permettre d’atteindre les objectifs alloués, en recherchant la meilleure combinaison des ressources techniques et humaines. 5.4.
Système d’information
Le système d’information est un outil stratégique pour la gestion des entreprises et dont la maîtrise est indispensable aux futurs managers. Indispensable en raison de l’accroissement de la concurrence, mais aussi parce qu’une entreprise bien gérée est une entreprise qui valorise l’information initiale en la faisant circuler, en la stockant et en la restituant. C’est l’ensemble d’information circulant dans l’entreprise, ainsi que les procédures de traitement et les moyens octroyés à ces traitements. Il offre les informations nécessaires à la mise en œuvre du processus du contrôle de gestion et il effectue des traitements qui lui sont demandés. Ainsi, on identifie les trois finalités essentielles d’un système d’information : -
Contrôle : le système d’information doit être la mémoire de l’organisation en traitant les données passées ;
-
Coordination : le système d’information doit permettre de suivre les actions présentées ;
14
-
Décision
:
le
système
d’information
traite
des
données
prévisionnelles pour aider à préparer le futur ; Ces trois qualificatifs s’appliquent tout à fait au contrôle de gestion qui doit être un système d’information représentant les fonctionnements de l’entreprise pour le contrôler, pour le coordonner et pour aider à la prise de décision. Après avoir présenté les termes du premier chapitre, nous allons étudier dans le deuxième l’un des outils du contrôle de gestion qui la gestion budgétaire.
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LES TECHNIQUES DU CONTROLE DU GESTION
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