CONTRAT Réalisation Niches [PDF]

REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE WILAYA DE BEJAIA DAIRA DE CHEMINI COMMUNE D’AKFADOU CONTRAT N° : ____ /

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REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE WILAYA DE BEJAIA DAIRA DE CHEMINI COMMUNE D’AKFADOU

CONTRAT N° : ____ /2019 PASSE ENTRE : LA COMMUNE D’AKFADOU, REPRESENTE PAR MONSIEUR AKLIT Mohamed PRESIDENT DE L’ASSEMBLEE POPULAIRE COMMUNALE D’AKFADOU

ET L’ENTREPRISE : ETB TCE ACHERCHOUR Ikhlef

INTITULE DE L’OPERATION : Réalisation des niches pour bacs à ordures à travers la commune

1

RÉPUBLIQUE ALGÉRIENNE DÉMOCRATIQUE ET POPULAIRE WILAYA DE BÉJAIA DAIRA DE CHEMINI COMMUNE D’AKFADOU

DECLARATION DE CANDIDATURE 1/Identification du service contractant : Désignation du service contractant : la commune d’Akfadou représentée par Monsieur AKLIT Mohamed président de l’assemblée populaire communale d’Akfadou. 2/Objet du contrat : Réalisation des niches pour bacs à ordures à travers la commune.

3/Objet de la candidature : La présente déclaration de candidature est présentée dans le cadre d’un contrat alloti : Non Oui Dans l’affirmative : Préciser les numéros des lots ainsi que leurs intitulés: ……………………..……………… Néant ……………. ……………………………………

4/Présentation du candidat ou soumissionnaire : Nom, Prénom, nationalité, date et lieu de naissance du signataire, ayant qualité pour engager la société à l’occasion du contrat: TOUTOU Djilali né le 21/07/1971 à Sidi Aich , Nationalité Algérienne, agissant : En son nom et pour son compte Au nom et pour le compte de la société qu’il représente 4-1/Candidat ou soumissionnaire seul : Dénomination de l’entreprise : ETB/TCE EGTPH TOUTOU Djilali. Adresse, N° de téléphone, N° de Fax, adresse électronique, numéro d’identification statistique (NIS) pour les entreprises de droit algérien, et le numéro D-U-N-S pour les entreprises étrangères : Village Ait Amara Commune Akfadou Béjaia. Tél : 0771472537 NIS N° : 197106390056820. Forme juridique de la société : ………………………………………… Entreprise Individuelle ……. ………………………………………

Montant du capital social : ……………………………………………… Néant

………….

…………………………………………………………………

4-2/Candidat ou soumissionnaire, membre d’un groupement momentané d’entreprises : Le groupement est : Conjoint Solidaire Nombre de membres dans le groupement (en chiffres et en lettres): ……………………………… Néant …………………………………

Nom du groupement : ……………………………………………………… Néant …………………………………………………………………………….

Présentation de chaque membre du groupement : Dénomination de la société: ………………………………………………… Néant ………………………………………………………………………….

Adresse, N° de téléphone, N° de Fax, adresse électronique, numéro d’identification statistique (NIS) pour les entreprises de droit algérien, et le numéro D-U-N-S pour les entreprises étrangères: …………………………… Néant ………………………………

Forme juridique de la société : …………………………………………………………… Néant …………………………………………………………

Montant du capital social : ………………………………………………………… Néant …………………………………………………………………

La société est-elle mandataire du groupement ? : Non Oui Les membres du groupement (Tous les membres du groupement doivent opter pour le même choix) : o Signe individuellement la déclaration à souscrire, la lettre de soumission, l’offre du groupement ainsi que toutes modifications du contrat qui pourraient intervenir ultérieurement ou ;

2

o Donnent mandat à un membre du groupement, désigné en qualité de mandataire, conformément à la convention de groupement qui accompagne l’offre, pour signer, en leur nom et pour leur compte, l’offre du groupement et toutes modifications du contrat qui pourraient intervenir ultérieurement ; Dans le cas d’un groupement conjoint préciser les prestations exécutées par chaque membre du groupement, en précisant le numéro du lot ou des lots concerné(s), le cas échéant: ……………………………………… Néant ………………………………………………

5/Déclaration du candidat ou soumissionnaire: Le candidat ou soumissionnaire déclare qu’il n’est pas exclu ou interdit de participer aux marchés publics : o pour avoir refusé de compléter son offre ou du fait qu’il s’est désisté de l’exécution d’un contrat ; o du fait qu’il soit en état de faillite, de liquidation de cessation d’activité ou qu’il fait l’objet d’une procédure relative à l’une de ces situations ; o pour avoir fait l’objet d’un jugement ayant autorité de la chose jugée constatant un délit affectant sa probité professionnelle ; o pour avoir fait une fausse déclaration ; o du fait qu’il soit inscrit sur la liste des entreprises défaillantes ; o du fait qu’il soit inscrit sur la liste des opérateurs économiques interdits de participer aux marchés publics ; o du fait qu’il soit inscrit au fichier national des fraudeurs, auteurs d’infractions graves aux législations et réglementations fiscales, douanières et commerciales ; o pour avoir fait l’objet d’une condamnation par la justice pour infraction grave à la législation du travail ; o du fait qu’il n’a pas honoré son engagement d’investir ; o du fait qu’il ne soit pas en règle avec ses obligations fiscales, parafiscales et envers l’organisme en charge des congés payés et du chômage intempéries des secteurs du bâtiment, des travaux publics et de l’hydraulique, le cas échéant, pour les entreprises de droit algérien et les entreprises étrangères ayant déjà exercé en Algérie ; o pour n’avoir pas effectué le dépôt légal des comptes sociaux, pour les sociétés de droit algérien ; Non Oui Dans la négative (à préciser) : ………………………………………………… Néant ……………………………………………………………………….

Le candidat ou soumissionnaire déclare qu’il n’est pas en règlement judiciaire et que son casier judiciaire datant de moins de trois mois porte la mention « Néant ». Dans le cas contraire, il doit joindre le jugement et le casier judiciaire. Dans le cas ou l’entreprise fait l’objet d’un règlement judiciaire ou de concordat le candidat ou soumissionnaire déclare qu’il est autorisé à poursuivre son activité. Le candidat ou soumissionnaire déclare qu’il : o est inscrit au registre de commerce ou, o est inscrit au registre de l’artisanat et des métiers, pour les artisans d’art ou, o détient la carte professionnelle d’artisan , o Est dans une autre situation (à préciser): ……………………………………………………………………………………………………

Dénomination exacte et adresse de l’organisme, numéro et date d’inscription : C.N.R.C DE BEJAIA N° 06/00 – 0953798A08. Le candidat ou soumissionnaire déclare qu’il détient le numéro et date d’identification fiscale suivant : 19780642002913 Délivrés par DG DES IMPÖTS DE BEJAIA le / pour les entreprises de droit algérien et les entreprises étrangères ayant déjà exercé en Algérie. Le candidat ou soumissionnaire déclare qu’il n’existe pas des privilèges, nantissements, gages et/ou des hypothèques inscrits à l’encontre de l’entreprise. Non Oui Dans l’affirmative : (préciser la nature et joindre copie de leurs états, délivrés par une autorité compétente) : …………………….... …………………………………………………………………………

Néant

…………………………………………………………………………………………

3

Le candidat ou soumissionnaire déclare que la société n’a pas été condamnée en application de l’ordonnance n°03-03 du 19 Joumada 1424 correspondant au 19 juillet 2003, modifiée et complétée, relative à la concurrence ou en application de tout autre dispositif équivalent: Non Oui Dans l’affirmative : (préciser la cause de la condamnation, la sanction et la date de la décision, et joindre copie de cette décision) ……………………………………………………………………… Néant ………………………………………………………………………………

Le candidat ou soumissionnaire seul ou en groupement déclare présenter les capacités nécessaires à l’exécution du contrat et produit à cet effet, les documents demandés par le service contractant dans le cahier des charges (lister ci-après les documents joints) : Néant : D. candidature, R. commerce, C. fiscale, Extrait rôle, Attestation mise à jour (CNAS, CASNOS, CACOBATPH), D. probité. Capacités professionnelles : certificat de qualification et de classification. Capacités techniques : moyens humains et matériels et références professionnelles (Attestation de bonne exécution). Le candidat ou soumissionnaire déclare que : o La société est qualifiée et/ou agréée par une administration publique ou un organisme spécialisé à cet effet, lorsque cela est prévu par un texte réglementaire : Non Oui Dans l’affirmative : (indiquer l’administration publique ou l’organisme spécialisé qui a délivré le document, son numéro, sa date de délivrance et sa date d’expiration) WB/DL DE BEJAIA N° R/2017/117 DU 16/08/2017 AU 16/08/2022. o la société a réalisé pendant ……………………………….…… Néant ………………………………………………….. (indiquer la période considérée exigée dans le cahier des charges) un chiffre d’affaires annuel moyen de (indiquer le montant du chiffre d’affaires en chiffres, en lettres et en hors taxes) : ………………………………… Néant ………. …………………………………………… dont …… /.……% sont en relation avec l’objet contrat ou du lot (barrer la mention inutile). Le candidat ou soumissionnaire présente un sous-traitant : Non Oui Dans l’affirmative remplir la déclaration de sous –traitant.

6/Signature du candidat ou soumissionnaire seul ou de chaque membre du groupement  : J’affirme, sous peine de résiliation de plein droit du contrat ou de sa mise en régie aux torts exclusifs de la société, que ladite société ne tombe pas sous le coup des interdictions édictées par la législation et la réglementation en vigueur. Certifie, sous peine de l’application des sanctions prévues par l’article 216 de l’ordonnance n° 66-156 du 18 Safar 1386 correspondant au 8 juin 1966 portant code pénal que les renseignements fournis ci-dessus sont exacts.

Nom, prénom et qualité du signataire

Lieu et date de signature

TOUTOU Djilali, Gérant

AKFADOU Le 14/04/2019

N.B : o o o o o

Signature

Cocher les cases correspondant à votre choix. Les cases correspondantes doivent obligatoirement être remplies. En cas de groupement, une déclaration suffit pour le groupement. En cas d’allotissement chaque lot doit faire l’objet d’une déclaration. Lorsque le candidat ou soumissionnaire est une personne physique, il doit adapter les rubriques spécifiques aux sociétés, aux entreprises individuelles. 4

RÉPUBLIQUE ALGÉRIENNE DÉMOCRATIQUE ET POPULAIRE WILAYA DE BÉJAIA DAIRA DE CHEMINI COMMUNE D’AKFADOU

DECLARATION DE PROBITE 1/Identification du service contractant : Désignation du service contractant : la commune d’Akfadou représenté par Monsieur AKLIT Mohamed président de l’assemblée populaire communale d’Akfadou. 2/Objet du contrat : Réalisation des niches pour bacs à ordures à travers la commune.

3/Présentation du candidat ou soumissionnaire : Nom, Prénom, nationalité, date et lieu de naissance du signataire, ayant qualité pour engager la société à l’occasion du contrat : TOUTOU Djilali né le 21/07/1971 à Sidi Aich , Nationalité Algérienne, agissant : En son nom et pour son compte. Au nom et pour le compte de la société qu’il représente. Dénomination de l’entreprise : ETB/TCE EGTPH TOUTOU Djilali Adresse, N° de téléphone, N° de Fax, adresse électronique, numéro d’identification statistique (NIS) pour les entreprises de droit algérien, et le numéro D-U-N-S pour les entreprises étrangères: Village Ait Amara Commune Akfadou Béjaia. Tél : 0771472537 NIS N° : 197106390056820. Forme juridique de la société : Entreprise individuelle ……………………………………………………………………..

4/Déclaration du candidat ou soumissionnaire : Je déclare que ni moi, ni l’un de mes employés ou représentants, n’avons fait l’objet de poursuites judiciaires pour corruption ou tentative de corruption d’agents publics. Non Oui Dans l’affirmative :(préciser la nature de ces poursuites, la décision rendue et joindre une copie du jugement) : …………………..

5

………………………………………………………………………………… Néant …………………………………………………………………………………….

M’engage à ne recourir à aucun acte ou manœuvre dans le but de faciliter ou de privilégier le traitement de mon offre au détriment de la concurrence loyale. M’engage à ne pas m’adonner à des actes ou à des manœuvres tendant à promettre d’offrir ou d’accorder à un agent public, directement ou indirectement, soit pour lui-même ou pour une autre entité, une rémunération ou un avantage de quelque nature que ce soit, à l’occasion de la préparation, de la négociation, de la passation, de l’exécution ou de contrôle d’un contrat ou d’un avenant. Déclare avoir pris connaissance que la découverte d’indices concordants de partialité ou de corruption avant, pendant ou après la procédure de passation d’un contrat ou d’un avenant, sans préjudice des poursuites judiciaires, constituerait un motif suffisant pour prendre toute mesure coercitive, notamment de résilier ou d’annuler le contrat ou l’avenant concerné et d’inscrire l’entreprise sur la liste des opérateurs économiques interdits de participer aux marchés publics. Certifie, sous peine de l’application des sanctions prévues par l’article 216 de l’ordonnance n° 66-156 du 18 Safar 1386 correspondant au 8 juin 1966 portant code pénal que les renseignements fournis ci-dessus sont exacts.

Fait à Akfadou Le 14/04/2019 (Nom, qualité du signataire et cachet du candidat ou soumissionnaire)

N.B : o o o o o o

Cocher les cases correspondant à votre choix. Toutes les rubriques doivent obligatoirement être remplies. En cas de groupement, chaque membre doit présenter sa propre déclaration. En cas de sous-traitance, chaque sous-traitant doit présenter sa propre déclaration. En cas d’allotissement, une déclaration suffit pour tous les lots. Le(s) numéro(s) de lot(s) doit (vent) être mentionné(s) dans la rubrique n° 2 de la présente déclaration. Lorsque le candidat ou soumissionnaire est une personne physique, il doit adapter les rubriques spécifiques aux sociétés, aux entreprises individuelles.

RÉPUBLIQUE ALGÉRIENNE DÉMOCRATIQUE ET POPULAIRE WILAYA DE BÉJAIA DAIRA DE CHEMINI COMMUNE D’AKFADOU

DECLARATION A SOUSCRIRE 1/Identification du service contractant : Désignation du service contractant : la commune d’Akfadou représenté par Monsieur AKLIT Mohamed président de l’assemblée populaire communale d’Akfadou. Nom, prénom, qualité du signataire du contrat: AKLIT Mohamed président de l’assemblée populaire communale d’Akfadou

2/présentation du soumissionnaire et désignation du mandataire, dans le cas d’un groupement: Présentation du soumissionnaire (reprendre la dénomination de la société telle que figurant dans la déclaration de candidature): Soumissionnaire seul. Dénomination de l’entreprise: ETB/TCE EGTPH TOUTOU Djilali. Soumissionnaire groupement momentané d’entreprises : Conjoint Solidaire Dénomination de chaque société membre du groupement : 1/……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………... 2/…………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….. 3/…………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….. 6

Dénomination du groupement : …………………………………………………… Néant …………………………………………………………………

Désignation du mandataire : Les membres du groupement désignent le mandataire suivant : ……………………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………………

Néant

…………………………………………………………………………………

3/Objet de la déclaration à souscrire : Objet du contrat: Réalisation des niches pour bacs à ordures à travers la commune Wilaya(s) où seront exécutées les prestations, objet du contrat : Wilaya de Bejaia La présente déclaration à souscrire est présentée dans le cadre d’un contrat alloti : Non Oui Dans l’affirmative : Préciser les numéros des lots ainsi que leurs intitulés: …………………………………… Néant …………………………………………………

Offre de base Variante(s) suivante(s) (décrire les variantes sans mentionner leurs montants)

:

………………………………………………………

Néant …………………………………………………………………………………… Prix en option(s) suivant(s) (décrire les prestations, objet des prix en options, sans mentionner leurs montants) : ………. ………………………………………………………………………………… Néant ………………………………………………………………………………

…………………………………………………………………………………

4/Engagement du soumissionnaire : Après avoir pris connaissance des pièces constitutives du contrat prévues dans le cahier des charges, et conformément à leurs clauses et stipulations, Le signataire S’engage, sur la base de son offre et pour son propre compte ; Dénomination de l’entreprise: ETB/TCE EGTPH TOUTOU Djilali Adresse, N° de téléphone, N° de Fax, adresse électronique, numéro d’identification statistique (NIS) pour les entreprises de droit algérien, et le numéro D-U-N-S pour les entreprises étrangères: Village Ait Amara Commune Akfadou Béjaia. Tél : 0771472537 NIS N° : 197106390056820. Nom, Prénom, nationalité, date et lieu de naissance du signataire, ayant qualité pour engager la société à l’occasion du contrat: TOUTOU Djilali né le 21/07/1971 à Sidi Aich , Nationalité Algérienne Engage la société, sur la base de son offre ; Dénomination de la société: ………………………………………………… Néant …………………………………………………………………………..

Adresse, N° de téléphone, N° de Fax, adresse électronique, numéro d’identification statistique (NIS) pour les entreprises de droit algérien, et le numéro D-U-N-S pour les entreprises étrangères: ………………………… Néant …………………………………

Nom, Prénom, nationalité, date et lieu de naissance du signataire, ayant qualité pour engager la société à l’occasion du contrat : ………………………………………………………… Néant ……………………………………………………………………………………

L’ensemble des membres du groupement s’engagent, sur la base de l’offre du groupement : Présentation des membres du groupement (Chaque membre du groupement doit renseigner cette rubrique. Les autres membres du groupement doivent remplir cette rubrique dans une feuille jointe en annexe, en donnant un numéro d’ordre à chaque membre) : 1/Dénomination de la société: ………………………………………………… Néant ……………………………………………………………………

Adresse, N° de téléphone, N° de Fax, adresse électronique, numéro d’identification statistique (NIS) pour les entreprises de droit algérien, et le numéro D-U-N-S pour les entreprises étrangères: ……………………………… Néant …………………………… …………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………. ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….

Nom, Prénom, nationalité, date et lieu de naissance du signataire, ayant qualité pour engager la société à l’occasion du contrat : ……………………………………………………………… Néant ………………………………………………………………………………

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Dans le cas d’un groupement conjoint préciser les prestations exécutées par chaque membre du groupement, en précisant le numéro du lot ou des lots concerné(s), le cas échéant:

Désignation des membres ………………………………

Nature des prestations

Néant ………………………………………

…………………………………

Néant ………………………………………

À livrer les fournitures demandées ou à exécuter les prestations demandées aux prix cités dans la lettre de soumission, et dans un délai de (en chiffres et en lettres) … Quatre vingt dix (90) jours à compter de la date d’entrée en vigueur du contrat, dans les conditions fixées dans le cahier des charges. Le présent engagement me lie pour le délai de validité des offres.

5/Signature du soumissionnaire : J’affirme, sous peine de résiliation de plein droit du contrat ou de sa mise en régie aux torts exclusifs de la société, que ladite société ne tombe pas sous le coup des interdictions édictées par la législation et la réglementation en vigueur. Certifie, sous peine de l’application des sanctions prévues par l’article 216 de l’ordonnance n° 66-156 du 18 Safar 1386 correspondant au 8 juin 1966 portant code pénal que les renseignements fournis ci-dessus sont exacts.

Nom, prénom et qualité du signataire

Lieu et date de signature

TOUTOU Djilali, Gérant

AKFADOU Le 14/04/2019

Signature

6/décision du service contractant : La présente offre est acceptée A AKFADOU, le ________________________________ / Signature du représentant du service contractant :

N.B : o Cocher les cases correspondant à votre choix. o Les cases correspondantes doivent obligatoirement être remplies. o En cas de groupement, présenter une seule déclaration. o En cas d’allotissement présenter une déclaration par lot. o Pour chaque variante présenter une déclaration. o Pour les prix en option présenter une seule déclaration. o Lorsque le soumissionnaire est une personne physique, il doit adapter les rubriques spécifiques aux sociétés, à l’entreprise individuelle.

RÉPUBLIQUE ALGÉRIENNE DÉMOCRATIQUE ET POPULAIRE WILAYA DE BÉJAIA DAIRA DE CHEMINI COMMUNE D’AKFADOU

LETTRE DE SOUMISSION 1/Identification du service contractant : Désignation du service contractant : la commune d’Akfadou représenté par Monsieur AKLIT Mohamed président de l’assemblée populaire communale d’Akfadou.

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Nom, prénom, qualité du signataire du contrat: AKLIT Mohamed président de l’assemblée populaire communale d’Akfadou.

2/présentation du soumissionnaire : Présentation du soumissionnaire (reprendre la dénomination de la société telle que figurant dans la déclaration de candidature): Soumissionnaire seul . Dénomination de l’entreprise: ETB/TCE EGTPH TOUTOU Djilali. Soumissionnaire groupement momentané d’entreprises : Conjoint Solidaire Dénomination de chaque société : 1/……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………... 2/…………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….. 3/…………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….. Dénomination du groupement : ……………………………………………………… Néant ………………………………………………………………

3/Objet de la lettre de soumission : Objet du contrat: Réalisation des niches pour bacs à ordures à travers la commune Wilaya(s) où seront exécutées les prestations, objet du contrat : Wilaya de Bejaia. La présente lettre de soumission est présentée dans le cadre d’un contrat alloti : Non Oui Dans l’affirmative : Préciser les numéros des lots ainsi que leurs intitulés: …………………………………… Néant ……………………………………………………

4/Engagement du soumissionnaire : Le signataire S’engage, sur la base de son offre et pour son propre compte ; Dénomination de l’entreprise: ETB/TCE EGTPH TOUTOU Djilali. Adresse, N° de téléphone, N° de Fax, adresse électronique, numéro d’identification statistique (NIS) pour les entreprises de droit algérien, et le numéro D-U-N-S pour les entreprises étrangères: Village Ait Amara Commune Akfadou Béjaia. Tél : 0771472537 NIS N° : 197106390056820. Nom, Prénom, nationalité, date et lieu de naissance du signataire, ayant qualité pour engager la société à l’occasion du contrat: TOUTOU Djilali né le 21/07/1971 à Sidi Aich , Nationalité Algérienne Engage la société, sur la base de son offre ; Dénomination de la société: …………………………………………………… Néant ………………………………………………………………… Adresse, N° de téléphone, N° de Fax, adresse électronique, numéro d’identification statistique (NIS) pour les entreprises de droit algérien, et le numéro D-U-N-S pour les entreprises étrangères: …………………………… Néant …………………………

Nom, Prénom, nationalité, date et lieu de naissance du signataire, ayant qualité pour engager la société à l’occasion du contrat : ………………………………………………………… Néant ………………………………………………………………………………

L’ensemble des membres du groupement s’engagent, sur la base de l’offre du groupement : Présentation des membres du groupement (Chaque membre du groupement doit renseigner cette rubrique. Les autres membres du groupement doivent remplir cette rubrique dans une feuille jointe en annexe, en donnant un numéro d’ordre à chaque membre) : 1/Dénomination de la société: ………………………………………………… Néant ……………………………………………………………… Adresse, N° de téléphone, N° de Fax, adresse électronique, numéro d’identification statistique (NIS) pour les entreprises de droit algérien, et le numéro D-U-N-S pour les entreprises étrangères: …………………………… Néant ………………………………

Nom, Prénom, nationalité, date et lieu de naissance du signataire, ayant qualité pour engager la société à l’occasion du contrat : ……………………………………………………… Néant ………………………………………………………………………………………

Après avoir pris connaissance des pièces du projet de contrat et après avoir apprécié sous ma responsabilité, la nature et la complexité des prestations à exécuter : o Remets, revêtus de ma signature, un bordereau des prix et un détail estimatif, établis conformément aux cadres figurant au dossier du projet de marché. 9



Me soumets et m’engage envers (indiquer le nom du service contractant) la commune d’Akfadou, représenté par Monsieur AKLIT Mohamed président de l’assemblée populaire communale d’Akfadou à exécuter les prestations conformément aux conditions du cahier des prescriptions spéciales et moyennant la somme de : (indiquer le montant du contrat en dinars et le cas échéant, en devises étrangères, en chiffres et en lettres, et en hors taxes et en toutes taxes) : 1694 500,00 DA en HT soit en lettre Un million six cent quatre vingt quatorze mille cinq cent Dinars et 2 016 455,00 DA en TTC soit en lettre Deux millions seize mille quatre cent cinquante cinq Dinars.. Dans le cas d’un groupement conjoint préciser les prestations exécutées par chaque membre du groupement, en précisant le numéro du lot ou des lots concerné(s), le cas échéant:

Désignation des membres ………………………………

Nature des prestations

Néant ………………………………………

…………………………………

Néant ………………………………………

Imputation budgétaire : PCD 2019 Suivant la décision N° 684/WB/DPSB/PCD/2018 DU 03/12/2018, Numéro de l’opération NE.5.797.2.262.370.18.03 Le service contractant se libère des sommes dues, par lui, en faisant donner crédit au compte bancaire n° 005 00134400240606048 ouvert auprès : BDL Sidi Aich Adresse : Sidi Aich W.Bejaia.

5/Signature du soumissionnaire : Affirme, sous peine de résiliation de plein droit du contrat ou de sa mise en régie aux torts exclusifs de la société, que ladite société ne tombe pas sous le coup des interdictions édictées par la législation et la réglementation en vigueur. Certifie, sous peine de l’application des sanctions prévues par l’article 216 de l’ordonnance n° 66-156 du 18 Safar 1386 correspondant au 8 juin 1966 portant code pénal que les renseignements fournis ci-dessus sont exacts.

Nom, prénom et qualité du signataire

Lieu et date de signature

TOUTOU Djilali, Gérant

Akfadou Le 14/04/2019

Signature

6/Décision du service contractant : La présente offre est acceptée A AKFADOU, le ________________________________ /

Signature du représentant du service contractant :

N.B : o Cocher les cases correspondant à votre choix. o Les cases correspondantes doivent obligatoirement être remplies. o En cas de groupement, présenter une seule déclaration. Dans le cas d’un groupement conjoint préciser éventuellement le numéro de compte bancaire de chaque membre du groupement. o En cas d’allotissement présenter une déclaration par lot. o Pour chaque variante présenter une déclaration. o Pour les prix en option présenter une seule déclaration. o Lorsque le soumissionnaire est une personne physique, il doit adapter les rubriques spécifiques aux sociétés, à l’entreprise individuelle.

10

(INDICATIONS GENERALES) IDENTIFICATION DES PARTIES CONTRACTANTES Le présent contrat est conclu entre la commune d’Akfadou, Représenté par le Président de l’assemblée populaire communale d’Akfadou Mr AKLIT Mohamed, Ci-après désigné par l’expression «  Le Maître de l’ouvrage »

D’UNE PART, ET L’entreprise : ETB/TCE EGTPH TOUTOU Djilali

Représentée par TOUTOU Djilali Désigné ci après par le terme «  cocontractant »

D'AUTRE PART.

Il a été convenu et arrêté ce qui suit :

11

ARTICLE l : OBJET DU ONTRAT  Le présent contrat a pour objet de fixer les conditions d’exécution et le règlement des travaux concernant : Réalisation des niches pour bacs à ordures à travers la commune ARTICLE 2: TEXTES DE REFERENCES Les dispositions contenues dans ce contrat sont régies par les textes législatifs et réglementaires en vigueur, notamment :  Au cahier des clauses administratives générales approuve par arrête du 11/12/1964 (cf. Détail CCAG 64).  L’Ordonnance n°66-156 du 08/06/1966, Portant code pénal, modifiée et complétée.  Vu l’ordonnance n° 75-58 du 26 septembre 1975, modifiée et complétée, portant code civil ;  Vu l’ordonnance n° 75-59 du 26 septembre 1975, modifiée et complétée, portant code de commerce ;  Vu l’ordonnance n° 95-07 du 23 Chaâbane 1415 correspondant au 25 janvier 1995, modifiée et complétée, relative aux assurances ;  Vu l’ordonnance n° 03-03 du 19 Joumada El Oula 1424 correspondant au 19 juillet 2003, modifiée et complétée, relative à la concurrence ;  décret présidentiel n° 15-247 du 16 septembre 2015 portant réglementation des marchés publics et des délégations de service public  Vu la loi n° 04-02 du 5 Joumada El Oula 1425 correspondant au 23 juin 2004, modifiée et complétée, fixant les règles applicables aux pratiques commerciales ;  Vu la loi n° 04-08 du 27 Joumada Ethania 1425 correspondant au 14 août 2004, modifiée et complétée, relative aux conditions d’exercice des activités commerciales ;  Vu la loi n° 06-01 du 21 Moharram 1427 correspondant au 20 février 2006, modifiée et complétée, relative à la prévention et à la lutte contre la corruption ;  Vu la loi n° 06-04 du 21 Moharram 1427 correspondant au 20 février 2006, modifiée et complétée, l’ordonnance n° 95-07 du 25 janvier 1995, relative aux assurances ;  Vu, la loi n° 11-10 du 20 radjab 1432 correspondant au 22 juin 2011 relative à la commune.  Vu le décret exécutif n° 05-468 du 10 décembre 2005 fixant les conditions et les modalités d’établissements de la facture, du bon de transfert, du bon de livraison et de la facture récapitulative;  Vu le décret exécutif n° 14-139 du 20 Joumada Ethania 1435 correspondant au 20 avril 2014 portant obligation pour les entreprises, groupes d’entreprises et groupements d’entreprises intervenant dans le cadre de la réalisation des marchés publics de certains secteurs d’activités d’être titulaires du certificat de qualification et de classification professionnelles ; ARTICLE 3 : MODE DE PASSATION DU CONTRAT Le présent contrat est conclu suite à la procédure d’avis de consultation ouverte conformément aux dispositions de l’article 13 et 14 du décret présidentiel n°15-247 du 2 Dhou El Hidja 1436 correspondant au 16 septembre 2015, portant réglementation des marchés publics et délégations de service publics. ARTICLE 4 : PIECES ET DOCUMENTS CONTRACTUELS Les pièces et documents contractuels constituant le présent contrat sont les suivant : 1- Le présent contrat et ses annexes. 2- La lettre de soumission. 3- La déclaration de candidature. 4- La déclaration de probités. 5- La déclaration à souscrire ARTICLE 5 : LES PRIX Les prix fixés au titre du présent contrat sont ceux indiqués dans le bordereau des prix unitaires joint en annexes. Ces prix comprennent toutes les charges et frais nécessaires pour la bonne exécution du présent contrat, sont fermes, non actualisables et non révisables durant toute la phase d’exécution du contrat, sauf modification légale des droits et taxes. ARTICLE 5 : MONTANT DU CONTRAT Le montant, toutes taxes comprises, du présent contrat s’élève à la somme de : En chiffres : 2 016 455,00 DA en TTC En lettres : Deux millions seize mille quatre cent cinquante cinq Dinars. /TTC ARTICLE 6 : PAIEMENT DES TRAVAUX ET DOMICILIATION BANCAIRE 12

Le paiement sera effectué mensuellement sur présentation de situation dont 02 orignaux et 06 copies visées par l'entrepreneur et le représentant de l'administration. L'état se libérera des sommes dues par lui, en exécution de présent marché en faisant donner crédit au compte bancaire N° 00500134400240606048 auprès : BDL Sidi Aich Adresse Sidi Aich W.Bejaia

ARTICLE 7 : AVANCE FORFAITAIRE ET SUR APPROVISIONNEMENT Il n'est pas prévu d'avances forfaitaire et sur l’approvisionnement au titre de ce présent contrat ARTICLE 8 : RESILIATION Conformément à l’article 149, 150, 151,152 du décret présidentiel n° 15-247 du 16 septembre 2015 portant réglementation des marchés publics et des délégations de service public. Le présent contrat sera résilie de plein droit et sans indemnité de part et d’autre dans le cas et aux conditions prévues aux articles n°9 ,11 , 34 et 37 du CCAG et avec indemnité s’il y a lieu dans le cas prévue a l’article 34 en cas d’augmentation ou de diminution dans la masse des travaux au délai de la limite de 20 % l’entrepreneur pourra obtenir la résiliation de son contrat , sans indemnités aux conditions prévues aux articles 30 et 31 du CCAG. La résiliation pourra être valablement prononcée dans les cas ci-après : 1/ A la demande du maître de l’ouvrage, sans indemnité de part et d’autre, lorsque l’entrepreneur ne pourra pas justifier de l’une ou plusieurs obligations découlant du présent contrat en particulier, assurance des ouvriers contre les accidents, régularité de sa situation envers les caisses de sécurité sociale, congés payes etc. … 2/ A la demande du maître de l’ouvrage en cas de force majeur excepte si l’entrepreneur dépasse de plus de deux mois de délai d’exécution fixe par la soumission et si malgré les mises en demeures, il n’a pas achevé les travaux dans un délai supplémentaire, la résiliation est prononcée sous préjudice de l’application de pénalités de retards prévues au présent marché. 3/ A la demande du maître de l’ouvrage, si l’entrepreneur par négligence, incapacité, mauvaise fois ou toutes autres causes ne se conforme pas aux dispositions du projet et du contrat ainsi qu’aux ordres écrits après mise en demeure d’y satisfaire dans un délai déterminé sauf en cas d’urgence ne sera inférieur a dix jours. 4/ A la demande du maître de l’ouvrage en cas de force majeur excepte, lorsque l’entrepreneur aura abandonne les travaux pendant huit 08 jours constatés et après mise en demeure, de reprise des travaux, n’aura pas repris les dits travaux ou les poursuivra qu’avec lenteur manifeste toute mise en demeure ou notification de résiliation sera valablement faite lettre recommandée avec accuse de réception. ARTICLE 09 : RETENUE DE BONNE EXECUTION Une retenue de bonne exécution fixée à cinq pour cent (5%) du montant du contrat en TTC sera opérée sur chaque décompte. Elle sera restituée un mois après la réception définitive des travaux. ARTICLE 10 : RESTITUTION DE LA RETENUE DE GARANTIE La retenue de garantie est totalement restituée dans un délai d’un (01) mois à compter de la date de réception définitive des travaux. Elle est retenue en cas de non achèvement des travaux conformément au contrat et la non levée des réserves émises lors de la réception provisoire. ARTICLE 12 : DELAI D’EXECUTION Le délai d'exécution est fixé à : Quatre vingt dix (90) jours à compter de la date de notification de l'ordre de service à l'entrepreneur prescrivant de commencer les travaux. Respect des délais et cadence des travaux conformément à circulaire ministériel n° 01/2003 du 25/01/2003 Compte tenu de la spécificité du projet, le partenaire cocontractant s'engage à mettre en œuvre tous les moyens nécessaires pour réaliser le projet dans les plus courts délais et des cadences appropriées. En cas de nécessité ou de retard éventuel qui serait constaté sur le planning prévisionnel des travaux.

C H A P I T R E II CAHIER DES CLAUSES ADMINISTRATIVES GENERALES 13

ARTICLE 01 : DISPOSITION GENERALES A- Conditions à remplir pour prendre part aux contrats  1. L’exécution des marchés ne peut être confiée qu’a une entreprise ayant les capacités juridique, technique et financière nécessaires. L’administration apprécie souverainement ces capacités 2. Pour pouvoir présenter des offres, les personnes ou sociétés en état de règlement judiciaire, doivent avoir été préalablement autorisé par l’administration. B- Demande d’admission et justification à fournir Chaque candidat est tenu de présenter : a) Une déclaration indiquant son intention de soumissionner et faisant connaitre ses nom, prénom, qualité et domicile et, s’il agit au nom d’une société, la raison, l’adresse du siège social, la qualité en laquelle il agit et les pouvoirs qui lui sont conférés b) une note indiquant ses moyens techniques (1) le lieu, la date la nature et l’importance des travaux qu’il a exécutés ou à l’exécution desquels il a concouru l’emploi qu’il occupait dans chacune des entreprises auxquelles il a collaboré, ainsi que les noms, qualités et domiciles des hommes de l’art sous la direction desquels ces travaux ont été exécutés. Les certificats délivrés par ces hommes de l’art sont joints à la note. Ils peuvent être remplacés par des certificats délivrés par un organisme de qualification et classification agrée par l’administration. c) les renseignements ou pièces d’ordre technique, concernant l’entreprise et dont la production peut être exigée, le cas échéant, par d’appel d’offres. d) une déclaration conforme à un des modèles fixés par arrêté du ministre de l’économie nationale, justifiant notamment qu’il ne tombe pas sous le coup des sanctions prévues par la loi n° 47-1635 du 30 aout 1947 ou par le dernier alinéa de l’article 37 de l’ordonnance n° 45-1483 du 30 juin 1945 modifiée par le décret n° 58-545 du 24 juin 1958 et justifiant en outre, dans les conditions fixées par décret, de sa situation à l’égard de la sécurité sociale et des recouvrements fiscaux. ARTICLE 02 : PIECES A DELIVRER A L’ENTREPRENEUR Frais de passation des marchés 1- Aussitôt après la signature du contrat, le maitre d’ouvrage délivre sans frais, à l’entrepreneur, sur son récépissé, une expédition vérifiée et certifiée conforme de la soumission, du cahier des prescriptions spéciales et des autres pièces particulières expressément désignées comme constitutions du contrat. 2- En cas de nantissement du contrat, le maitre d’ouvrage délivre également sans frais, à l’entrepreneur, un exemplaire spécial ou un extrait officiel du marché portant la mention «exemplaire unique», et destiné à former titre. 3- Les exemplaires supplémentaires demander par l’entrepreneur lui sont délivrés à titre onéreux. les sommes dues par lui à l’administration et arrêtées par le maitre d’ouvrage, sont déduites du montant des décomptes des travaux. 4- L’entrepreneur peut d’ailleurs faire prendre copie dans les bureaux des ingénieurs, des autres pièces qui ont figuré s au dossier public d’adjudication. 5- L’entrepreneur acquitte les droits auxquels peuvent donner lieu le timbre et l’enregistrement du contrat, tels que des droits résultent des lois et règlements en vigueur.

EXECUTION DES TRAVAUX ARTICLE 03 : DOMICILE DE L’ENTREPRENEUR PRESENCE DE L’ENTREPRENEUR SUR LES LIEUX DES TRAVAUX 1- L’entrepreneur est tenu d’élire domicile à proximité des travaux et de faire connaitre le lieu de ce domicile, à le maitre d’ouvrage. Faute par lui d’avoir à satisfait à cette obligation dans un délai de quinze jours à dater de la notification de la signature du contrat, toutes les notifications qui se rapportent à son entreprise sont valables lorsqu’elles ont été faites à la mairie de la commune désignée à cet effet par le cahier des prescriptions spéciales. Si les travaux sont exécutés sur le territoire d’une seule commune et si aucune mairie n’a été désignée par le cahier des prescriptions spéciales, les notifications sont valables lorsqu’elles ont été faites à la mairie de commune du lieu des travaux. 2- Après la réception définitive des travaux l’entrepreneur est relevé de l’obligation d’avoir un domicile à proximité des travaux s’il ne fait pas connaitre son nouveau domicile au maitre d’ouvrage, les notifications relatives à son entreprise, sont valablement faites à la mairie ci-dessus désignée. 14

3- pendant la durée des travaux, l’entrepreneur ne peut s’éloigner du chantier qu’après avoir fait agréer par l’ingénieur d’arrondissement ou par l’architecte, un représentant capable de le remplacer, de manière qu’aucune opération ne puisse être retardée ou suspendue à raison de son absence. 4- l’entrepreneur se rend dans les bureaux le maitre d’ouvrage et il les accompagne dans leurs tournées toutes les fois qu’il en est requis. ARTICLE 04 : SOUS TRAITANCE Conformément à l’article 140 du décret présidentiel n° 15-247 du 16 septembre 2015 portant réglementation des marchés publics et des délégations de service public .Le partenaire cocontractant du service contractant peut confier à un sous-traitant l’exécution d’une partie du contrat, par un contrat de sous-traitance, dans les conditions prévues dans le présent décret. En tout état de cause, la sous-traitance ne peut dépasser quarante pour cent (40 %) du montant total du contrat 1- L’entrepreneur ne peut céder à des sous-traitant une ou plusieurs parties de son entreprise, ni en faire apport à une société ou à un groupement, sans autorisation expresse de l’administration. 2- Dans tous les cas, il demeure personnellement responsable, tant envers l’administration qu’envers les ouvriers et les tiers. 3- Si, sans autorisation, l’entrepreneur a passé un sous-traité, ou fait apport du contrat à une société ou à un groupement, il peut être fait application, sans mise en demeure préalable, des mesures prévues à l’article 35 ciaprès. 4- Le marchandage est interdit. N’est pas considérée comme marchandage une sous-entreprise portant essentiellement sur la main-d’œuvre, dans laquelle le sous-registre du commerce ou au registre des métiers et propriétaire d’un fonds de commerce. ARTICLE 05 : PREPARATION ET EXECUTION DES TRAVAUX 1- L’entrepreneur doit commencer les travaux dans des délais fixés par l’ordre de service du maitre d’ouvrage. 2- Le cahier des prescriptions techniques communes ou de cahier des prescriptions spéciales, peut définir les délais dans lesquels l’entrepreneur doit, à compter de la date de notification de la signature du marché, présenter à l’approbation de l’ingénieur d’arrondissement ou de l’architecte d’une part, le calendrier d’exécution des travaux et les mesures générales qu’il entend prendre à cet effet, d’autre part, le dessins dont l’établissement lui incombe, assortis de toutes justifications utiles. Le cahier des prescriptions communes ou le cahier des prescriptions spéciales, peut subordonner le commencement des travaux à la présentation ou à l’approbation de tout ou partie de ces documents. 3- L’entrepreneur reçoit gratuitement le maitre d’ouvrage au cours de l’entreprise, une copie certifiée de chacun des dessins relatifs aux dispositions imposées par le projet et des autres documents nécessaires à l’exécution des travaux. 4- Il se conforme strictement aux ordres de service qui lui sont notifiés. 5- Il se conforme aux changements qui lui sont prescrits pendant le cours du travail, mais seulement lorsque le maitre d’ouvrage le a ordonnée par ordre de service et sous sa responsabilité. Il ne lui est tenu compte des changements qu’autant qu’il justifie de cet ordre de l’ingénieur d’arrondissement ou de l’architecte. 6- l’entrepreneur a toutefois l’obligation de vérifier les documents visés aux alinéas 3, 4 et 5 du présent article et de signaler à l’ingénieur d’arrondissement ou à l’architecte, avant toute exécution, les erreurs, omissions ou contradictions qu’ils peuvent comporter et qui sont facilement décelables pour un homme de l’art. 7- lorsque l’entrepreneur estime que les prescriptions d’un ordre de service dépassent les obligations de son contrat, il doit sous peine de forclusion, en présenter l’observation écrite et motivée, à l’ingénieur d’arrondissement ou à l’architecte dans un délai de dix jours. La réclamation ne suspend pas l’exécution de l’ordre de service, à moins qu’il n’en soit ordonné autrement par l’ingénieur d’arrondissement ou à l’architecte. 8- les ordres de services sont obligatoirement écrits. Ils sont datés, numérotés et enregistrés. ARTICLE 06 : CHOIX DES COMMIS CHEFS DE CHANTIERS OU D’ATELIERS ET OUVRIERS 1- L’entrepreneur ne peut prendre pour commis et chefs de chantiers ou d’ateliers que des personnes capables de l’aider et de le remplacer au besoin, dans la conduite et le métrage des travaux. 2- L’ingénieur chargé du suivi a le droit d’exiger le changement des agents et ouvriers de l’entrepreneur pour insubordination, incapacité ou défaut de probité. 3- L’entrepreneur demeure responsables des fraudes ou malfaçons qui seraient commises par des agents et ouvriers dans la fourniture et l’emploi des matériaux. ARTICLE 07 : AMBAUCHAGE DES OUVRIERS (1) 15

1- L’entrepreneur doit faire connaitre huit jours aux moins avant l’ouverture des chantiers ou ateliers, au service de la wilaya de la main-d’œuvre compétent, pour le lieu où s’exécuteront les travaux, ses besoins de main-d’œuvre, par profession, avec toutes indications utiles concernant les conditions de travail, de salaire et généralement , tous renseignements de nature à intéresser les chômeurs en quête d’emploi. Il doit renouveler ces indications, en temps opportun ; toutes les fois qu’il se trouve dans l’obligation de procéder à de nouveaux embauchages, notamment par suite de l’extension des travaux. Il doit accueillir les candidats présentés par le service départemental de la main d’œuvre. Toutefois, sa liberté d’embauchage reste entière et il n’est pas tenu d’engager les ouvriers qui ne se présenteraient pas les aptitudes requises. Il devra, en cas de refus, en indiquer le motif sur le coupon de réponse de la carte de présentation par le service. Le coupon est renvoyé ensuite à ce dernier par l’entrepreneur. 2- Pour l’application des prescriptions du présent article, il est précisé que les besoins de main-d’œuvre s’étendent à tout le personnel nécessaire des chantiers ou ateliers, en dehors des ouvriers déjà attachés à l’entreprise avant l’ouverture des travaux. ARTICLE 08 : LISTE NOMINATIVE DES OUVRIERS – OUVRIERS ETRANGERS 1- Le nombre des ouvriers de chaque profession doit toujours être suffisant pour permettre l’exécution des travaux dans les délais impartis. 2- Le nombre des ouvriers étrangers ne peut dépasser la proportion fixée par le cahier des prescriptions spéciales. 3- Pour mettre l’ingénieur ou l’architecte à même de contrôler l’accomplissement de ces conditions, l’entrepreneur remet périodiquement à l’ingénieur ou à l’architecte, aux époques fixées par celui-ci, la liste nominative des ouvriers mentionnant la nationalité de chacun d’eux, sa qualification professionnelle, son mode de recrutement et la date de son affectation à l’entreprise. ARTICLE 09 : APPLICATION DE LA LEGISLATION ET DE LA REGLEMENTATION DU TRAVAIL, DE LA LEGISLATION ET DE LA REGLEMENTATION SOCIALE AU PERSONNEL DE L’ENTREPRISE-PAIEMENT DES OUVRIERS 1- Décret N° 64-219 du 06.08.1964 portant application de la législation du travail 2- La charge entière de l’application au personnel de l’entreprise de l’ensemble de la législation et de la réglementation du travail, notamment en ce qui concerne l’hygiène et la sécurité des travailleurs, comme de la législation et de la réglementation sociales incombe à l’entrepreneur, et l’administration pourra, en cas d’infraction, appliquer les mesures coercitives prévues à l’article 35 du CCAG 1964. 3- Le salaire payé aux ouvriers ne doit pas être inférieur pour chaque profession et, dans chaque profession, pour chaque catégorie d’ouvriers aux prix qui figure au bordereau du taux normal et courant les salaires. Les heures supplémentaires de travail faites par les ouvriers au-delà de la durée légale seront majorées dans les conditions prévues par la législation en vigueur ou par les conventions collectives de travail applicables dans la profession et dans la région, si celles-ci prévoient des taux supérieurs. 4- Toutefois, l’employeur peut, exceptionnellement, appliquer un salaire moindre aux ouvriers que leurs aptitudes physiques mettent dans une condition d’infériorité notoire sur les ouvriers de la même catégorie. La proportion maximum de ces ouvriers par rapport au total des ouvriers de la catégorie, et le maximum de réduction possible de leur salaire, seront fixés par le cahier des prescriptions spéciales dans les limites permises par la législation en vigueur. 5- Les bordereaux du taux normale et courant des salaires, est affiché par les soins aux frais de l’entrepreneur dans les chantiers et ateliers ou sont exécutés les travaux. 6- Indépendamment des obligations prescrites par les règlements en vigueur en ce qui concerne l’inspection du travail, l’entrepreneur est tenue de donné communication à l’ingénieur d’arrondissement ou à l’architecte sur la demande de ce lui ci, de tous les documents nécessaires pour vérifier que le salaire payé au ouvriers n’a pas été inférieur au salaire porté à ce bordereau. Un agent de l’administration peut assister au paiement des ouvriers, toutes les fois que celle-ci le juge utile. 7- Si l’administration constate une différence, elle indemnise directement les ouvriers lésés au moyen de retenues opérés sur les sommes dues à l’entrepreneur, ou à défaut, sur son cautionnement et elle en avise l’inspecteur de travail et la commission centrale des contrats. 8- Le bordereau de taux normal et courant des salaires reste en vigueur, tant qu’un nouveau bordereau, établi dans les conditions règlementaires, n’a pas été notifié à l’entrepreneur. Si un nouveau bordereau est notifié à l’entrepreneur, il remplace le bordereau primitif et devient applicable au jour de sa notification. 16

9- En cas de retard dûment constaté dans le paiement des salaires, l’administration se réserve la faculté de payer d’office les salaires arriérés sur les sommes dues à l’entrepreneur ou, à défaut, sur son cautionnement. 10- L’entrepreneur devra assurer le transport de tout ouvrier malade blessé, soit à l’établissement de soins le plus proche du lieu des travaux, soit à domicile, suivant la gravité de son état. 11- Outre les conditions de travail expressément stipulés par le cahier des charges des prescriptions spéciales ou par les présentes clauses administratives générales, l’entrepreneur soit assurer à son personnel les autres conditions de travail qui peuvent être fixés par la règlementation locale, les conventions collectives ou les usages pour chaque profession et, dans chaque profession, pour chaque catégorie d’ouvriers, dans la localité ou la région où le travail est exécuté. 12- Le maitre d’ouvrage peut, s’il le juge utile, dans l’intérêt public, prescrire à l’entrepreneur de demander et d’utiliser, après les avoir obtenues, les dérogations aux lois et règlements prévus par ces textes en ce qui concerne la durée de travail et le repos hebdomadaire. 13- L’entrepreneur doit faire apposer dans le chantier et ateliers, une fiche indiquant l’administration ou le service pour le compte duquel les travaux sont exécutés, les noms, qualité et adresse du représentant de cette administration ou de ce service, ainsi que les noms, et adresse de l’inspecteur du travail chargé du contrôle de l’établissement. 14- Dans le cas où l’entrepreneur est autorisé à sous-traiter une partie de son entreprise, il demeure responsable du respect une partie de son entreprise, il demeure responsable du respect des obligations mises à sa charge en vertu du présent article, qui doivent être portées par lui à la connaissance de ses sous-traitants. ARTICLE 10 : ORGANISATION ET POLICE DES CHANTIERS RELATIONS ENTRE LES DIVERS ENTREPRENEURS A- Clauses applicables à tous les travaux 1- L’entrepreneur doit reconnaitre les emplacements réservés aux chantiers ainsi que les moyens d’accès, et s’informer de tous les règlements administratifs auxquels il doit se conformer, pour l’exécution des travaux. 2- L’entrepreneur est tenu d’observer tous les règlements et consignes de l’autorité compétence, ainsi que, le cas échéant, les consignes spéciales fixées par le chef de l’établissement dans lequel sont exécutés les travaux. 3- L’entrepreneur doit contracter une assurance garantissant sa responsabilité à l’égard des tiers en cas d’accidents ou de dommages causés aux tiers par la conduite ou des modalités d’exécution des travaux. Il demeure, en tout état de cause responsable. 1- Police des chantiers : a) Lorsqu’il l’estime nécessaire, l’ingénieur d’arrondissement ou l’architecte peut exiger, le renvoi du chantier, d’ouvriers ou de préposés de l’entrepreneur, sans que l’Etat puisse être rendu responsable des conséquences de ces renvois. b) Lorsque l’entrepreneur et ses sous-traitants ont découvert un acte de malveillance caractérisé, ils sont tenus d’alerter immédiatement le maitre d’ouvrage, sous peine de poursuites éventuelles, en application de l’article 100 du code pénal, sans préjudice, soit de la résiliation pure et simple du contrat, soit de la passation, suivant telle procédure que jugera utile l’administration, d’un nouveau marché à leurs risques et périls. Dans tous les cas, l’application de ces sanctions contractuelles est décidée par le ministre. c) Si, à la suite d’un acte de malveillance caractérisé, l’administration estime que des mesures de sécurité doivent être prises visant notamment le personnel, le titulaire du contrat et ses sous-traitants s’engagent à les appliquer, sans délai. Ils ne peuvent s’en prévaloir pour réclamer une indemnité. d) Le titulaire du contrat doit aviser ses sous-traitants, sous sa propre responsabilité des obligations qui résultent des dispositions des alinéas B, 1, a, B, 1 b, et B, 1, c, ci-dessus. 2- Protection du secret : a) Lorsque le contrat présente en tout ou en partie un caractère secret ou lorsque les travaux doivent être exécutés en des lieux où des précautions particulières sont prises en permanence en vue de la protection du secret ou de la permanence de points sensibles, l’administration invite les candidats à prendre connaissance dans les bureaux du service, des instructions en vigueur relatives à la protection du secret dans les entreprises privées travaillant pour la défense. En tout état de cause, tout soumissionnaire ainsi avisé. Est réputé avoir pris connaissance de ces instructions. b) L’administration notifie au titulaire du contrat les éléments de celui-ci considérés comme secrets, et les mesures de précautions particulières à adopter. 17

c) L’entrepreneur et ses sous-traitants doivent prendre toutes dispositions pour assurer la conservation et la protection des documents secrets qui leur sont confiés et avises, sans délai le maitre d’ouvrage, de toute disparition et de tout incident. Ils doivent maintenir secrets tous renseignements d’ordre militaire dont ils peuvent avoir connaissance à l’occasion du contrat. d) L’entrepreneur est soumis à toutes les obligations prévues par les instructions relatives au contrôle du personnel et à la protection du secret et des points sensibles, ou résultants des mesures de précautions prescrites. Il est tenu de faire respecter par ses sous-traitants ces instructions et prescriptions. Il ne peut s’en prévaloir pour réclamer une indemnité à un titre quelconque. e) Au cas où l’entrepreneur et ses sous-traitants viendraient à méconnaitre les obligations prévues par les alinéas B, 2, a, à B, 2, d, ci-dessus, il serait fait application des sanctions contractuelles prévues à l’alinéa B, 1, b, ci-dessus. ARTICLE 11 : TRANSPORTS RESERVES L’entrepreneur est soumis, pour les transports exécutés en vue de pouvoir à l’exécution du marché, aux obligations résultant des lots et règlements en vigueur. ARTICLE 12 : PROPRIETE INDUSTRIELLE OU COMMERCIALE 1- Du seul fait de la signature du contrat, l’entrepreneur garantit l’Etat contre toutes les revendications concernant les fournitures et matériaux, procédés et moyens utilisés pour l’exécution des travaux et émanant des titulaires de brevets, licences, dessins modèles, marques de fabrique ou de commerce. Il lui appartient, le cas échéant, d’obtenir les cessions, licences ou autorisations nécessaires et de supporter la charge des droits, redevances ou indemnités y afférant. 2- En cas d’action, dirigée contre l’Etat par des tiers détenteurs de brevets, licences, modèles, dessins, marques de fabrique ou de commerce utilisés par l’entrepreneur pour l’exécution des travaux, l’entrepreneur doit intervenir à l’instance et indemniser l’Etat de tous dommages et intérêts prononcés à son encontre, ainsi que des frais supportés par lui. 3- Sous réserve des droits des tiers, l’administration a la possibilité de réparer elle-même, ou de faire réparer les appareils brevetés utilisés ou incorporés dans les travaux au mieux de ses intérêts, par qui bon lui semble, et de se procurer comme elle l’entend, les pièces nécessaires à cette réparation. ARTICLE 13 : ORIGINE, QUALITE ET MISE EN ŒUVRE DES MATERIAUX 1- Sauf exceptions prévues au cahier des prescriptions technique spéciales, les matériaux doivent être conformes aux dispositions du cahier des prescriptions communes. 2- Dans chaque espèce, catégorie ou choix, ils doivent être de la meilleure qualité, travaillés et mis en œuvre conformément aux règles de l’art. 3- Ils ne peuvent être employés qu’après avoir été vérifiés et provisoirement acceptés par l’ingénieur d’arrondissement ou par leurs préposés, à la diligence de l’entrepreneur. 4- Nonobstant cette acceptation et jusqu’à la réception définitive des travaux, ils peuvent en cas de surprise, de mauvaise qualité ou de malfaçon, être rebutés par l’ingénieur d’arrondissement, et ils sont alors remplacés par l’entrepreneur et à ses frais. 5- Sous réserve, le cas échéant, des dispositions résultant des traités ou accords internationaux, tous matériaux, matériels, machines, appareils, outillages et fournitures employés pour l’exécution des travaux, doivent être d’origine algérienne. ARTICLE 14 : DIMENSIONS ET DISPOSITIONS DES MATERIAUX 1- L’entrepreneur ne peut, de lui-même, apporter aucun changement au projet. 2- Sur l’ordre de service de l’ingénieur d’arrondissement ou de l’architecte qui fixe un délai d’exécution, il est tenu de faire remplacer les matériaux ou reconstruire les ouvrages qui ne sont pas conformes au cahier des prescriptions spéciales ou aux ordres de service. 3- Toutefois, si les ingénieurs ou l’architecte reconnaissent que les changements faits par l’entrepreneur ne sont contraires ni aux règles de l’art, ni au bon goût, les nouvelles dispositions peuvent être maintenues ; dans ce cas, l’entrepreneur n’a droit à aucune augmentation de prix, à raison des dimensions plus fortes ou de la valeur plus élevés que peuvent avoir les matériaux ou les ouvrages. Dans ces cas, métrés sont basés sur les dimensions prescrites par le cahier des prescriptions spéciales ou par les ordres de service. Si, au contraire, les dimensions sont plus faibles ou la valeur des matériaux moindre, les métrés et les prix sont réduits en conséquence. ARTICLE 15 : ENLEVEMENT DU MATERIEL ET DES MATERIAUX SANS EMPLOI 1- Au fur et à mesure de l’avancement des travaux, l’entrepreneur doit procéder, à ses frais, au dégagement, au nettoiement et à la remise en état des emplacements mis à sa disposition par l’administration, pour 18

l’exécution des travaux. Il se conforme pour ce dégagement, ce nettoiement et cette remise en état à l’échelonnement et aux délais fixés par le cahier des prescriptions spéciales ou par les ordres de service. 2- A défaut d’exécution de tout ou partie de ces opérations, dans les conditions prescrites, les matériels, installations, matériaux, décombres et déchets non enlevés peuvent après mise en demeure par le maitre d’ouvrage et, à l’expiration d’un délai de trente jours après cette mise en demeure, être transportés d’office suivant leur nature, soit à la décharge publique aux frai, risques et périls de l’entrepreneur, ou vendus aux enchères par le ministère d’un officier public. Toutefois, lorsqu’une vente aux enchères est envisagée par le maitre d’ouvrage, celui-ci en réfère au ministre avant la mise en demeure. 3- Les sanctions définies à l’alinéa 2 du présent article, sont appliquées sans préjudice des pénalités particulières qui peuvent avoir été prévues contre l’entrepreneur dans le cahier des prescriptions spéciales. 4- En cas de vente aux enchères, le produit de la vente est versé au nom de l’entrepreneur, à la caisse des dépôts et consignations déduction faite des frais et, s’il en a été prévu, des pénalités visées à l’alinéa 3 du présent article. ARTICLE 16 : OBJETS TROUVES DANS LES FOUILLES 1- L’Etat se réserve la propriété des matériaux qui se trouvent dans les fouilles et démolitions faites dans les terrains lui appartenant ; sauf à indemniser l’entrepreneur de ses soins particuliers. 2- Il se réserve également les objets de toute nature et en particulier les objets d’art qui pourraient s’y trouver sauf indemnité à qui de droit. Leur découverte doit être immédiatement signalée par l’entrepreneur à l’intérieur d’arrondissement ou à l’architecte. 3- L’entrepreneur est tenu d’informer son personnel du droit que se réserve ainsi l’Etat. ARTICLE 17 : EMPLOI DES MATERIAUX NEUFS OU DE DEMOLITION APPARTENANT A L’ETAT Lorsque, en dehors des prévisions du contrat, les ingénieurs jugent à propos d’employer des matériaux neufs ou de démolition appartenant à l’Etat, l’entrepreneur n’est payé que des frais de main-d’œuvre et l’emploi, réglés conformément aux indications de l’article 29 ci-après. ARTICLE 18 : VICES DE CONSTRUCTION 1- Lorsque le maitre d’ouvrage présume qu’il existe dans les ouvrages des vices de construction, il peut prescrire par ordre de service, soit en cours d’exécution, soit avant la réception définitive , la démolition et la reconstruction des ouvrages ou parties d’ouvrages présumés vicieux. 2- Lorsque cette opération n’est pas faite par l’entrepreneur, il y est procédé en sa présence ou lui dument convoquer. 3- Les dépenses résultant de cette opération sont à la charge de l’entrepreneur lorsque les vices de construction sont constatés et reconnus sans préjudice de l’indemnité à laquelle l’état peut prétendre de ce fait. ARTICLE 19 : CESSATION ABSOLUE OU AJOURNEMENT DES TRAVAUX 1 – Lorsque l’administration ordonne la cessation absolue des travaux, l’entreprise est immédiatement résiliée. 2 – Lorsque l’administration prescrit leur ajournement pour plus d’une année soit avant, soit après un commencement d’exécution, l’entrepreneur adroit à la résiliation de son marché, s’il le demande par écrit sans préjudice de l’indemnité, qui dans un cas comme dans l’autre, peut lui être allouée, s’il ya lieu. 3 – La demande de l’entrepreneur n’est recevable que si elle est présentée dans le délai de quatre mois à partir de la date de notification de l’ordre de service prescrivant l’ajournement des travaux. 4 – Il en est de même dans le cas d’ajournement successifs dont la durée totale dépasse un an, même dans la cas où les travaux ont été repris entre temps. 5 – Si les travaux ont reçu un commencement d’exécution, l’entrepreneur peut requérir qu’il soit procédé immédiatement à la réception provisoire des ouvrages exécutés, puis à leur réception définitive, après l’expiration du délai de garantie. 6 - Lorsque l’administration prescrit l’ajournement des travaux pour moins d’une année, l’entrepreneur n’a pas droit à la résiliation, mais seulement à une indemnité en cas de préjudice dûment constaté. ARTICLE 20 : MESURES COERCITIVES 1- Lorsque l’entrepreneur ne se conforme pas, soit aux dispositions du contrat, soit aux ordres de service qui lui sont donnés par l’ingénieur d’arrondissent ou l’architecte, le maitre d’ouvrage le met en demeure d’y satisfaire, dans un délai déterminé, par une décision qui lui est notifiée par un ordre de service. 1- Ce délai, sauf le cas d’urgence, n’est pas inférieur à dix jours à dater de la notification de la mise en demeure. 19

2- Passé ce délai, si l’entrepreneur n’a pas exécuté les dispositions prescrites, le maitre d’ouvrage après en avoir, sauf cas d’urgence, référé au ministre, peut ordonner l’établissement d’une régie aux frais de l’entrepreneur. Cette régie peut n’être que partielle. 3- Il est alors procédé, immédiatement, en présence de l’entrepreneur ou lui dûment appelé, à la constatation des ouvrages exécutés, des matériaux approvisionnés, ainsi qu’à l’inventaire descriptif du matériel de l’entrepreneur et à la remise entre les mains de celui-ci de la partie de ce matériel qui n’est pas utilisée par l’administration pour l’achèvement des travaux. - Dans le cas des travaux exécutés suivant les pratiques du bâtiment, l’entrepreneur est invité, par un ordre de service, à fournir le métré des ouvrages exécutés dans le délai fixé par cet ordre de service ; si l’entrepreneur n’a pas satisfait à cet ordre de service dans un délai prescrit, métré est dressé à la diligence de l’administration aux frais de l’entrepreneur. 4- De toute manière, il est rendu compte des opérations au ministre qui peut, selon les circonstances, soit ordonner une adjudication à la folle enchère de l’entrepreneur, soit prononcer la résiliation pure et simple du marché, soit prescrire la continuation de la régie. 5- Dans le cas de la régie et pendant sa durée, l’entrepreneur est autorisé à en suivre les opérations, sans qu’il puisse toutefois entraver l’exécution des ordres des ingénieurs. Il peut être relevé de la régie s’il justifie des moyens nécessaires pour prendre les travaux et les mener à bonne fin. 6- Les excédents de dépenses qui résultent de la régie ou du nouveau contrat sont prélevés sur les sommes qui peuvent être dues à l’entrepreneur ou, à défaut, sur son cautionnement, sans préjudice des droits à exercer contre lui en cas d’insuffisance. 7- Si la régie ou le nouveau contrat entraîne, au contraire, une diminution dans les dépenses, l’entrepreneur ne peut réclamer aucune part de ce bénéfice, qui reste acquis à l’Etat. 8- Pour les marchés intéressant la défense, l’administration peut substituer à la procédure de l’adjudication à la folle enchère, la passation d’un contrat sur appel d’offres ou d’un marché de gré à gré, avec ou sans concurrence, suivant telle forme qu’elle estime devoir suivre en l’espèce et sans que l’entrepreneur puisse élever aucune protestation sur la procédure choisie à raison des sommes dont il sera, en définitive, constitué débiteur envers l’Etat. 9- Le ministre peut, même si le marché n’intéresse pas la défense, décider qu’en raison de l’urgence de l’achèvement des travaux, il sera procédé comme il est dit à l’alinéa précédent. 10- Lorsque des actes frauduleux, des infractions réitérées aux conditions de travail ou des manquements graves aux engagements pris, ont été relevés à la charge de l’entrepreneur, le ministre peut, sans préjudice des poursuites judiciaires et des sanctions dont l’entrepreneur est passible, l’exclure pour un temps déterminé ou définitivement des marchés de son administration. L’entrepreneur est invité préalablement, à présenter ses moyens de défense dans un délai imparti par l’administration. ARTICLE 21 : REPRISE DU MATERIEL ET DES MATERIAUX EN CAS DE RESILIATION A) – Dans les cas de résiliation prévus par les articles 9,11,18,30,34,35 et 37 du présent texte. 1- Il est procédé avec l’entrepreneur ou ses ayants-droit présents ou dûment convoqués, à la constatation des ouvrages exécutés, à l’inventaire descriptif du matériel et des installations de chantier de l’entreprise. 2- L’état de la faculté, mais non l’obligation, de racheter en totalité ou en partie a- Les ouvrages provisoires dont les dispositions ont été agrées parles ingénieurs ou l’architecte. b- Le matériel spécialement construit pour l’exécution des travaux de l’entreprise et non susceptible d’être réemployé de manière courante sur les chantiers de travaux publics. Le prix de rachat des ouvrages provisoires et du matériel susvisés est égal à la partie non amortie des dépenses exposées par l’entrepreneur ; ces dépenses étant limitées, s’il en est besoin, à celles correspondant à une exécution normale. B) – Dans les cas de résiliation prévus par l’article 33 du présent texte. 1 – L’état rachète à l’entrepreneur dans les conditions fixés à l’alinéa A 3 du présent article. a- Les ouvrages provisoires dont les dispositions ont été agrées parles ingénieurs ou l’architecte. b- Le matériel spécialement construit pour l’exécution des travaux de l’entreprise et non susceptible d’être réemployé de manière courante sur les chantiers de travaux publics. C) – Dans tout les cas de résiliation, l’entrepreneur est tenu d’évacuer les chantiers, magasins, et emplacements utiles à l’exécution des travaux dans le délai qui est fixé par le maitre d’ouvrage. D) – Les matériaux approvisionnés par ordre, s’ils remplissent les conditions fixées par le cahier des prescriptions spéciales, sont acquis par l’état aux prix du contrat ou à ceux résultant de l’application de l’article 29 ci-dessus à moins de stipulations contraires du cahier des prescriptions spéciales. 20

MODE D'EVALUATION DES OUVRAGES ARTICLE 22 : MODE D'EVALUATION DES OUVRAGES Tous les travaux ci-dessus décrits et définis par les plans d’exécution seront payés après mètre aux prix du bordereau Les prix du bordereau comprennent toutes les fournitures et main d’œuvre nécessaires à la complète exécution des ouvrages, en particulier, toutes celles stipulées au présent contrat. Ils tiennent compte, en particulier de l'amortissement de tout le matériel de toutes les charges et taxes fiscales à la date de la signature du contrat. Il est expressément spécifié que les quantités d'ouvrages portées au détail estimatif ne sont données qu'à titre indicatif et que les différences qui pourraient existé ne pourront donner lieu à aucun changement dans les prix unitaires. ARTICLE 23 : DEFINITION DES PRIX Les prix du bordereau des prix tiennent lieu de définition des prix. ARTICLE 24 : MODE D’EVALUATION DES TRAVAUX Le montant des travaux sera déterminé en application au prix figurant au bordereau des prix unitaires les quantités réellement exécutées est justifies par attachement contradictoire entre le maître de l’ouvrage et l’entrepreneur, le montant du présent marche sera réajusté en fonction des travaux effectivement exécutés. Néanmoins il y a lieu de noter que pour tout les travaux supplémentaires ou non prévues devront au préalable faire l’objet d’attachement écrit ou figure, établie par le maître de l’œuvre, a défaut de justification dûment approuvé par le maître de l’ouvrage l’entrepreneur ne pourra obtenir de règlement des travaux supplémentaires correspondants. ARTICLE 25 : CONTENU DES PRIX UNITAIRES Les prix du présent contrat comprennent le bénéfice ainsi que tous les frais, impôts, taxes, frais généraux, faux frais et d’une façon générale toutes les dépenses qui sont la conséquence nécessaires et direct des travaux. ARTICLE 26 : CONSTATATION DES METRES Les attachements sont établis à partir des constatations des métrés sur chantier, des éléments qualitatifs et quantitatifs relatifs aux travaux exécutés et des approvisionnements réalisés d’après les calculs effectués en partant de ces éléments pour déterminer les quantités directement utilisables pour l’établissement des décomptes. ARTICLE 27 : CONDITIONS DE REGLEMENT DES TRAVAUX Les prestations seront réglées à l’entreprise sur présentation des situations en dix exemplaires et adresser au maître de l’œuvre le 25 de chaque mois, tout les travaux doivent être justifies à base d’attachement contradictoire signé par le maître de l’œuvre et accepter par l’entrepreneur. ARTICLE 28 : TRAVAUX EN AUGMENTATION OU EN DIMINUTION Les travaux en augmentation ou en diminution ne seront pris en compte que dans la mesure ou ils auront fait l’objet d’un ordre de service délivré par le maître de l’ouvrage leur évaluation se fera à la réglementation en vigueur (29.30.31.32 du C.C.A.G du 11/12/1964). Les travaux en augmentation ou en diminution doivent faire l’objet de passation d’un avenant conformément aux articles N° 136, 137, 138 et 139 du décret présidentiel n° 15-247 du 16 septembre 2015 portant réglementation des marchés publics et des délégations de service public. ARTICLE 29 : TRAVAUX IMPREVUS Les travaux non prévus au présent contrat ne seront exécutés que sur ordre de service et seront réglés sur la base des prix qui auront été déterminés avant leurs exécution conjointement par les parties contractantes et seront réalisés par l’entrepreneur après notification par ordre de service et approbation du bordereau des prix unitaires. Le règlement des prix des ouvrages non prévus au marché initial se fera conformément aux articles (29 .30 . 31. 32 et 51 du CCAG du 11/12/1964). ARTICLE 30 : DELAIS DE MANDATEMENT. Le service contractant est tenu de procéder au mandatement des acomptes ou du solde dans un délai qui ne peut dépasser trente (30) jours, à compter de la réception de la situation ou de la facture. Toutefois, pour le solde de certaines catégories de marchés, un délai plus long peut être fixé par arrêté du ministre chargé des finances. Ce délai ne peut être supérieur à deux (2) mois. Le délai de mandatement est précisé dans le contrat. La date du mandatement est portée, le jour de l’émission du mandat et par écrit, à la connaissance du cocontractant par le service contractant. Le défaut de mandatement dans le délai prévu ci-dessus, fait courir, de plein droit et sans autre formalité, au bénéfice du cocontractant, des intérêts moratoires calculés au taux d.intérêt directeur de la banque d’Algérie augmenté d’un (1) point, à partir du jour suivant l’expiration du dit délai jusqu’au quinzième (15) jour inclus 21

suivant la date du mandatement de l’acompte. Conformément à l’article N° 122 du décret présidentiel n° 15247 du 16 septembre 2015 portant réglementation des marchés publics et des délégations de service public. ARTICLE 31 : DELAIS DE CONSTATATION Le délai ouvert pour procéder aux constatations ouvrant droit au paiement est fixé à 60 jours, conformément à l'article 49 alinéas B2 du CCAG du 11/12/1964. ARTICLE 32 : ASSURANCE OBLIGATOIRE L’entrepreneur s’engage à souscrire une assurance de chantier dont il est le seul responsable des accidents corporels ou matériels survenus lors de l’exécution des travaux objet de la consultation. ARTICLE 33 : RENDEZ –VOUS SUR CHANTIER 33.1- L’entrepreneur s’oblige expressément à assister personnellement aux rendez-vous sur chantier fixés par l’architecte ou a y faire représenter par les mandataires habilites par lui et agrées par le maître de l’œuvre. 33.2- Travail en double brigade : L'entreprise titulaire du marché doit prendre toutes les dispositions nécessaires pour traduire dans la pratique le travail en double brigades au niveau du projet, cette exigence repose sur la nécessité indéniable d'écourter les délais de réalisation des projets en cours dont la non maîtrise constitue un facteur de surcroît économique et social évident. ARTICLE 34 : DOMICILIATION DE L’ENTREPRENEUR Conformément à l’article 10 du C.C.A.G. L’entrepreneur est tenu a élire domicile a proximité des travaux ou de faire connaître le lieu domicile au maître de l’œuvre et au maître de l’ouvrage, faute par lui de ne pas satisfaire a cette obligation dans un délai de 15 jours a dater de la notification de la signature du contrat, toutes les notifications qui se rapportent a son entreprise sont valables lorsqu’elles ont été faites par L’APC lieu des travaux.

C H A P I T R E III CAHIER DES PRESCRIPTIONS TECHNIQUES COMMUNES NATURE - PROVENANCE - QUALITE ET PREPARATION DES MATERIAUX ARTICLE 01 : CONSISTANCE DES TRAVAUX Les travaux sont tels que définis et décrits sur le devis quantitatif et estimatif joint en annexe. ARTICLE 02 : PLANS ET DESSINS L'entrepreneur entamera les travaux sur la base des dessins d'exécution techniques et de normes de réalisation dûment approuvés. L'entrepreneur devra signaler par écrit au chef de projet avant l'exécution des travaux toutes les erreurs et non concordance entre les plans. ARTICLE 03 : PROVENANCE, QUALITE ET PREPARATION DES MATERIAUX. Les matériaux et produits fabriqués nécessaires à l'exécution des travaux devront obligatoirement provenir de l'industrie Algérienne. Les matériaux et matériels utilisés dans le cadre de ce contrat devront être de bonne qualité et satisfaire aux normes en vigueur. ARTICLE 04 : COMPOSITIONS DES MORTIERS ET BETONS Les mortiers et bétons auront en principe la composition suivante au mètre cube : MORTIER :

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Mortier pour 1000 litres de sable : Mortier n° 1 : 425 kg de ciment (briquetage et enduit ordinaire) Mortier n° 2 : 525 kg de ciment (chapes) Mortier n° 3 : 600 kg de ciment avec addition d’hydrofuge (enduit étanche)

BÉTON :

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Béton n°1 : 200 kg de ciment, 900 litres de caillasses 15/40, 500 litres de sable pour Béton propreté. Béton n° 2 : 300 kg de ciment, 900 litres de caillasse 15/40, 450 litres de sable pour Gros béton et massif. Béton n° 3 : 350 kg de ciment, 350 litres de caillasse 5/15, 550 litres de caillasse 15/25, 400 litres de sable pour béton armé.  Béton n°4 : 400 kg de ciment, 350 litres de caillasse 5/15, 550 litres caillasse 15/25 ,380 litres de sable pour béton armé Il est expressément spécifié que les compositions granulométriques ci-dessus ne sont qu’approximatives Et ne seront déterminées définitivement qu’après essais préalables au laboratoire agrée par l’administration. Les dosages définitifs offrant la compacité et résistance maximale pourront donc différer sensiblement. ARTICLE 05 : FABRICATION, TRANSPORT ET MISE EN ŒUVRE DES BETONS Fabrication des bétons : Tous les bétons seront fabriqués mécaniquement, sauf pour les petites quantités. 22

Les appareils de fabrication du béton devront permettre de doser rigoureusement les divers agrégats, le ciment et l’eau et d’assurer l’homogénéité du mélange. Ils devront permettre de faire varier les proportions par des réglages rapides. Sauf dérogation ou autorisation de l’administration, le dosage sera fait par la méthode pondérale. Transport des bétons : Le béton doit être transporté dans des conditions qui ne donnent lieu ni à la ségrégation des éléments, ni à un commencement de prise avant mise en œuvre. Toutes les précautions sont prises pour éviter, en cours de transport, une évaporation excessive ou l’intrusion de matières étrangères. Mise en œuvre du béton : Avant tout commencement d’exécution, l’entrepreneur soumit à l’agrément de l’administration le programme de bétonnage, celui-ci défini pour tous les bétons les phases de l’exécution, la quantité de béton à mettre en œuvre par unité de temps, la configuration, l’épaisseur et le volume des différentes couches de béton à mettre en place, les coffrages d’arrêt et les surfaces de reprise, les processus de construction des coffrages et de mise en place des couches successives, les délais de juxtaposition ou de superposition de ces couches, et toutes précisions jugées utiles par l’entrepreneur ou l’administration. Le béton doit être mis en œuvre aussitôt que possible après sa fabrication. Le béton qui ne serait en place que dans un délai de 02 Heures et qui serait desséché ou qui aurait commencé à faire prise, est rejeté. Les dispositifs et procédés de mise en place des bétons sont soumis par l’Entrepreneur à l’Administration. Ils doivent être conçus pour éviter la ségrégation et assurer un remplissage régulier des coffrages. Le béton ne doit pas tomber librement d’une hauteur supérieure à 1,5 m sauf autorisation de l’administration Les types de vibreurs et leur mode d’emploi sont agréés par l’administration. La vibration est conduite de manière à expulser l’air du béton et remplir parfaitement les coffrages. Elle est poursuivie jusqu’à un léger reflux du mortier à la surface en évitant la sur vibration. L’empreinte laissée dans le béton par plongée du vibrateur doit se refermer d’elle-même au cours de la remontée de l’appareil. L’épaisseur des couches à vibrer devra être comprise entre les limites fixées ou agréées par l’Agent de l’administration responsable du chantier, et n’excédera en aucun cas 35 cm. En aucun cas les bétons armés ne seront vibrés par leurs armatures, la vibration des bétons armés par les coffrages devra être soumise à l’autorisation de l’administration. Les ligatures et assemblages de coffrages devront être renforcés pour tenir compte des contraintes imposées par la vibration. ARTICLE 06 : REPRISE DE BETONNAGE Les surfaces de reprise sont traitées au jet d’air sous une pression de 5 bars au moins de façon à purger complètement de laitance et de toutes parties friables ou grasses. Si le résultat ne peut être atteint par ce moyen, l’Entrepreneur doit procéder au piquage et nettoyage de la surface. Avant le nouveau bétonnage, les surfaces de reprise sont longuement et abondamment mouillées. Au moment de la reprise, les flaques sont asséchées et les surfaces ne doivent pas ruisseler. L’emploi de barbotines est interdit. ARTICLE 07 : CONSERVATION ET CURE Il est interdit de faire supporter à du béton des charges quelconques avant que sa résistance n’ait atteint une valeur suffisante. La cure du béton destinée à le maintenir dans l’état d’humidité nécessaire à un durcissement satisfaisant pourra être faite par l’humidification ou par enduit temporaire imperméable. Dans le premier cas, le béton sera maintenu humide pendant une semaine après sa prise, Les moyens à employer à cet effet qui varieront avec la nature de l’ouvrage et ses dimensions, seront proposés par l’Entrepreneur à l’agrément de l'administration, L’arrosage intermittent est interdit . Les coffrages non imperméables seront maintenus humides de la même façon. L’enduit sera placé sur la surface libre du béton dés le début de la prise et sur les surfaces décoffrées avant la fin de la cure, dés leur décoffrage. Si durant la période de la protection, qui est de trois jours sauf prescriptions contraires du cahier des prescriptions spéciales, le film protecteur est endommagé pour une raison quelconque, l’entrepreneur doit recouvrir à ses frais la zone en cause par un nouveau traitement complet. Toute reprise de bétonnage sur une surface précédemment traitée doit être précédée du piquage et du nettoyage de la surface, de manière à faire disparaître toute trace de cure. 23

ARTICLE 08 : COFFRAGES La rigidité des coffrages doit être complètement assurée. Les coffrages devront avoir exactement les positions prévues, être soigneusement placés, solidement fixés. Ils devront résister sans fléchissement à la pression qui résulte de la mise en place. Les faces intérieures seront lisses, propres et entièrement humides au moment du bétonnage, si les coffrages sont prévus en bois. Si les coffrages sont prévus en métal, les éléments successifs des coffrages seront ajustés avec soins de manière à former une surface continue bien unie et assurer une bonne étanchéité. Ils seront huilés sur leur face en contact avec le béton. Le système de fixation des coffrages sera soumis à l’approbation de l'administration. En tout cas les attaches, et supports devront pouvoir être retirés sur au moins cinq centimes (05 cm) en arrière du parement, les trous laissés après enlèvement devront être remplis immédiatement et complètement avec du mortier de ciment au dosage fixé par l’administration et la surface lisse et en bon état. Les coffrages devront rester en place jusqu’à ce que leur enlèvement ait été autorisé par l'administration. L’Entrepreneur devra soigner la confection et la pose des coffrages afin de ne pas être obligé d’effectuer des rechargements et des repiquées supérieurs à un centimètre (01 cm). L’enlèvement des coffrages devra être fait avec le plus grand soin et par des efforts purement statiques de manière à ne pas détériorer le béton. ARTICLE 09 : ARMATURES A BETON Les armatures devront être propres, sans aucune trace de calamité, de peinture, de graisse de ciment ou de terre. Elles seront façonnées sur gabarit, et jamais à chaud, sauf autorisation écrite de l’administration qui précisera alors les conditions de façonnage à respecter. Les armatures occuperont exactement les emplacements prévus en projet d’exécution. Les écarts tolérés dans la position de chaque armature ne dépasseront pas la moitié de son diamètre et devront en aucun cas être supérieur à cinq millimètres (5 mm). L’Entrepreneur établira, à ses frais les liaisons nécessaires pour obtenir ce résultat. Le maintient de l’écartement entre les armatures et les coffres ne pourra être réalisé qu’au moyen de parallélépipèdes de béton d’épaisseur convenable et d’environ 6 cm de côté, dans les parallélépipèdes, il sera noyé une épingle en fil recuit qui servira d’attache. Le fil de l’épingle ne devra pas venir au contact du parement du parallélépipède qui deviendra nue après décoffrage. Lorsqu’il y aura à constituer une armature avec deux ou plusieurs barres placées dans le prolongement les uns des autres, les assemblages seront obtenues en juxtaposant les barres sur une longueur égale à soixante fois au moins leur diamètre, sans crochet d’extrémité ou trente fois leur diamètre avec un crochet en demi-cercle d’un diamètre égal à cinq fois celui des barres à assembler. ARTICLE 10 : ENDUITS Les mortiers seront fabriqués manuellement. Les enduits ordinaires seront exécutés en deux couches d’une épaisseur de un à deux centimètres. Les enduits étanches seront exécutés en trois couches, une première couche d’accrochage de faible épaisseur (1cm) dosée à 425 kg de ciment, exécutée sur une surface de béton repiquée, lavée et humidifiée. Une deuxième couche de 0.5 cm d’épaisseur dosée à 525 kg de ciment dite de dressage. Une troisième couche de 0.5 cm d’épaisseur dosée à 600 kg de ciment talochée, et appliquée dés que la deuxième couche commence à tirer. Les deux dernières couches recevront une incorporation de produit tel que SIKA ou analogue. ARTICLE 11 : CONTROLE DES BETONS Des essais seront en principe effectués, aux frais de l’Entrepreneur dans un laboratoire agrée par l’administration Résistance à la compression exigée Elle sera celle prévue aux normes en vigueur se rapportant aux bétons non contrôlés, l’administration se réserve le droit d’exiger un ou plusieurs des essais ci-après : Essais sur béton frais GRANULOMÉTRIE : Le contrôle de la granulométrie du béton mis en œuvre sera effectué par tamisage sous l’eau des éléments supérieurs à 0,1 mm contenus un volume de 5 à 10 Litres de béton.  Elasticité : La plasticité sera mesurée au cône d’Abrahams ou par toute autre méthode normalisée. Prélèvements d’éprouvettes de béton frais pour mesure des résistances à la compression :  Nombre d'éprouvettes : 24

Chaque prélèvement comportera au moins six éprouvettes numérotées coulées dans les moules fournies et entretenus par l’Entrepreneur. Le chantier devra disposer en permanence d’un jeu de moules disponibles.  Mode de remplissage des moules : Le remplissage des cubes de 20 x 20 x 20 s’effectuera de la manière suivante : Remplissage à mi-hauteur et vibration de 3 secondes dans chaque angle au moyen d’une aiguille de 35 cm de diamètre vibrant à 8.000 cycles à la minute. Remplissage total et vibration de 3 secondes au milieu de chaque face latérale sur toute la hauteur. Remplissage complémentaire avec 2 vibrations de 3 secondes chacune dans l’axe de l’éprouvette et sur toute son épaisseur Finition de la surface à la truelle. CONSERVATION DES ÉPROUVETTES :

Les éprouvettes seront conservées par l’Entrepreneur et à ses frais à l’abri du soleil, et de la chaleur ou du froid, en atmosphère humide. Sauf prescription spéciale, le transport des éprouvettes au laboratoire agréé par l’administration par les soins de l’Entrepreneur, ne pourra se faire que soixante douze heures après leur confection. Les échantillons d’un même prélèvement seront pris en principe à la sortie de la bétonnière et sur un seul gâchis, sauf ou prescription particulière. Un procès-verbal de prélèvement devra comporter les indications de la date, de la température ainsi que l’implantation des parties de l’ouvrage coulées ce jour là. La fourniture du béton nécessaire à la confection des éprouvettes est à la charge de l’Entrepreneur. SANCTIONS :

Dans le cas où les résistances obtenues en dernier ressort, seraient inférieures aux résistances minimales et que les essais d’étanchéité auraient donnés des résultats insuffisants, l’administration se réserve le droit de prescrire l’une des mesures suivantes : Démolition totale et réfection aux frais de l’Entreprise. Démolition partielle et réfection partielle et travaux confortatifs soumis à l’agrément de l’administration et à la charge de l’Entreprise. Acceptation de tout ou partie des bétons incriminés. Dans tous les cas, les arrêts de chantier consécutifs à toutes les opérations de contrôle, de démolition ou de réfection, ne pourront donner lieu pour l’Entreprise à aucune indemnité. ARTICLE 12 : MESURES PRESCRITES DANS L'INTERET DU PERSONNEL L'entrepreneur est tenu de faire connaître, huit jours au moins avant l'ouverture des chantiers ou ateliers, à l'Office Public de placement compétent pour le lieu où s'exécuteront les travaux, ses besoins en main d’œuvre par profession avec toutes indications utiles concernant les conditions de travail, de salaires et généralement tout renseignements de nature à intéresser les chômeurs enquête d'emploi. Il devra renouveler des indications en temps opportun toutes les fois qu'il se trouvera dans l'obligation de procéder à de nouvelles embauches, notamment par suite de l'extension des travaux. Il devra accueillir les candidats présentés par l'Office Public de placement. Toutefois, sa liberté d'embauchage reste entière et il n'est pas tenu d'engager les ouvriers qui ne présenteraient pas les aptitudes requises. Il devra en cas de refus, en indiquer les motifs sur la carte de présentation qui est délivrée par l'Office et qui est renvoyée à cet Office soit par le chômeur soit par l'entrepreneur. 12.1- CONNAISSANCE DU LIEU

L'Entreprise qui soumissionne est censée, réputée avoir une entière connaissance de l'importance du projet et de la situation des ouvrages à exécuter, de la nature et de l'état du terrain, des voies et les moyens d'accès, des possibilités d'approvisionnement en eau industrielle ainsi que les conditions climatiques de la région. L'Entreprise devra tenir compte dans ses prix ainsi que dans son planning, les retards qui peuvent être causés par les intempéries prévisibles dans la région et du fait desquelles elle ne pourra invoquer la force majeure et demander une prolongation de délai 12.2 - PHASES PREPARATOIRES

-

L'Entreprise sera responsable de l'organisation et le bon ordre de ses travaux, elle doit observer les prescriptions du Maître de l'œuvre concernant les règlements et consignes à appliquer à cet effet. Dans la phase préparatoire le Maître de l'œuvre et l'Entreprise élaboreront et coordonneront leur organigramme respectif fixant les limites de compétence de leurs représentants et de leurs relations notamment la procédure de transmission des ordres.

12.3- INSTALLATION DU CHANTIER

25

L'Entreprise est chargée de l'organisation de chantier, de surveillance, de l'hygiène et de la sécurité du chantier conformément à la législation en vigueur. 12.4- PROGRAMME D'EXECUTION DES TRAVAUX

L'Entreprise qui soumissionne doit adresser un programme d'exécution ainsi qu'un planning détaillé sur les travaux qu'elle compte réaliser. Elle doit particulièrement préciser comment et par quels moyens considère telle être en mesure de respecter le délai fixé dans sa soumission. 12.5- QUALITE DES MATERIAUX

Les matériaux utilisés pour la construction doivent être conformes aux stipulations et spécifications techniques. Les essais sont à la charge de l’entreprise 12.6- CONTROLE ET RECEPTION DES TRAVAUX :

Le contrôle, le suivi et la réception sont à la charge des 03 partenaires (l’entreprise, le maître de l’œuvre et le maître de l’ouvrage) 12.7- NETTOYAGE ET REMISE EN ETAT

Après achèvement des travaux l'Entreprise devra procéder au nettoyage du chantier et à l'enlèvement de tout le matériel, matériaux excédentaires seront évacués vers le site désigne par le maitre de l’ouvrage et que le site devra être en bon état de propreté. ARTICLE 13 : ORGANISATION DES CHANTIERS ET EMPRISES AUTORISEES L'entrepreneur pourra utiliser à titre gratuit pour l'exécution de ses travaux pendant la durée des travaux les terrains appartenant au maître de l'ouvrage qui lui seront nécessaires pour ses installations et les transports de matériaux. Tous les terrains que l'entrepreneur occupera pour ses installations ainsi que pour les dépôts de matériaux et qui m'appartiennent pas au maître de l'ouvrage seront requis, loués ou occupés à titre temporaire par lui, les dépenses correspondantes étant entièrement à sa charge. La recherche des autorisations de passage sera effectuée par le maître de l'ouvrage. Le programme primitif ainsi établi sera constamment tenu à jour pendant toute la durée des travaux, adapté semaine par semaine à la situation réelle des chantiers et communiqué immédiatement aux ingénieurs ou à leurs représentants accrédités sur simple demande verbale. En cas de retard constaté à quelque instant que ce soit sur les prévisions l'entrepreneur devra justifier des mesures qu'il aura prises pour en éliminer les conséquences. Par ailleurs, dans le but de réduire les délais de réalisation et les surcoûts, L’entrepreneur est tenu d’employer 2 ou 3 équipes qui agiront suivant le mode de travail 2X8 ou 3X8 heures. ARTICLE 14 : ACTUALISATION DES PRIX ET REVISION DE PRIX Il n’est pas prévu d’actualisation et la révision des prix au titre du présent contrat. ARTICLE 15 : NANTISSEMENT L’entrepreneur est autorisé à mettre son contrat en nantissement dans les conditions prévues par la réglementation en vigueur article 145 du décret présidentiel n° 15-247 du 16 septembre 2015 portant réglementation des marchés publics et des délégations de service public. En conséquence, une copie du contrat portant la mention « Exemplaire unique » sera remise à l’entrepreneur. Le créancier nanti devra se conformer aux dispositions du code civil relatif au nantissement. Sont désignés :  Comme comptable chargé du paiement : Monsieur le Trésorier communal d’Akfadou  Comme fonctionnaire compétant pour fournir les renseignements : Monsieur le président de l'Assemblée Populaire Communale d’Akfadou, ARTICLE 16 : PENALITE DE RETARD Conformément aux articles 147 du décret présidentiel n° 15-247 du 16 septembre 2015 portant réglementation des marchés publics et des délégations de service public. A défaut par l’entrepreneur de ne pas avoir terminé les travaux dans le délai inscrit au présent cahier des charges, il lui sera fait application d’une pénalité de retard journalière calculée. M P : Montant de la pénalité journalière P = ---------------------------ou : M : Montant total du contrat 10 X D D : Délai d'exécution du contrat en jours Cette retenue sera appliquée de plein droit sur simple constatation par le maître de l’œuvre que la date contractuelle d’achèvement des travaux a été dépasse sans la mise en demeure au préalable de l’entrepreneur, le montant des pénalités est limite au 1/10eme du montant du décompte général et définitif.

26

Il reste entendu entre les deux parties qu’au-delà du montant maximum des pénalités susmentionnées, le maître de l’ouvrage aura la faculté de résilier le contrat et de confier les travaux à une autre entreprise. ARTICLE 17 : CAS DE FORCE MAJEURE L’entrepreneur ne peut se prévaloir ni pour éluder les obligations de son contrat ni pour n’élever aucune réclamation, des sujétions qui peuvent être occasionnées. a) Par exploitation normale du domaine publics et des services publics et notamment par la présence et le maintien de canalisation, conduites, câbles de toutes natures ainsi que par les chantiers nécessaires au déplacement ou à la transformation de ces installations sauf les exceptions expressément énumérées dans le cahier des prescriptions spéciales. b) Par l’exécution simultanée des autres travaux expressément désignés dans le (CPS). c) Il n’est alloué à l’entrepreneur aucune indemnité à raison des pertes, avaries ou dommage occasionnés par négligence, imprévoyance, défauts de moyens ou fausses manœuvres. L’entrepreneur doit notamment prendre à ses risques, les dispositions nécessaires pour que ses approvisionnements son matière et ses installations de chantier ne puissent être enlevés ou endommagés par les tempêtes, les crues et tous les phénomènes atmosphériques, ne sont pas compris toute fois , dans les dispositions qui précèdent les cas de force majeure qui dans un délai de 10 jours au plus après l’événement, on été signales par écrit par l’entrepreneur, dans ce cas néanmoins, il ne peut être alloue qu’avec approbation du maître de l’ouvrage passe le délai de dix jours l’entrepreneur, n’est pas admis à réclamer. ARTICLE 18 : RECEPTION PROVISOIRE La réception provisoire est subordonnée a la constatation sur P.V de réception de l’exécution selon les règles de l’art des ouvrages et de leur bon fonctionnement après tout essaies et testes nécessaires. Lorsque la réception provisoire est prononcée avec réserves. L’entrepreneur dispose de 15 jours pour leur levées, lorsque les réserves sont importantes, la réception est reportée ; les éventuelles retards engendres sont à la charge de l’entreprise. Quoi qu’il en soit le délai de garantie ne prend cours que de la date mentionnée sur le procès verbal de réception provisoire sans réserves. ARTICLE 19 : RECEPTION DEFINITIVE La réception définitive est prononcée à l’expiration du délai de garantie, soit 12 mois après la réception provisoire sans réserves, il ne peut y avoir de réserves à la réception définitive. Dans le cas ou l’entrepreneur ne remédier pas aux défauts constatés durant la réception définitive, le maître de l’ouvrage aura le droit de faire exécuter immédiatement, au frais de risque et périls de l’entrepreneur les réparations nécessaires. La réception définitive marque la fin de l’exécution du contrat et libère les contractants sans réserves de droit autres que ceux énoncées dans le contrat. ARTICLE 20: DELAIS DE GARANTIE Le délai de garantie est fixé à douze (12) mois à compter de la date de la réception provisoire. ARTICLE 21 : REGLEMENT DES LITIGES Conformément à l’article 153 du décret présidentiel n° 15-247 du 16 septembre 2015 portant réglementation des marchés publics et des délégations de service public, Les litiges nés a l’occasion de l’exécution du contrat sont réglés dans le cadre des prescriptions législatives et réglementaires en vigueurs. Sans préjudice de l’application de ces dispositions l’opérateur public néanmoins rechercher une solution amiable aux litiges nés de l’exécution de ces contrats chaque fois que cette solution permet de : - Trouver un équilibre des charges incombant a chacune des parties. - Aboutir à une réalisation plus rapide de l’objet du contrat. - Obtenir un règlement définitif plus rapide et moins onéreux.  En cas d'accord des deux parties, celui-ci fera l'objet d'une décision du président d’APC.  Le partenaire cocontractant peut introduire avant toute action en justice, un recours auprès de la commission compétent de la commune. Si après épuisement de tous les recours prévus par la réglementation, le litige persiste, il sera porté devant la cour de BEJAIA. ARTICLE 22 : TIMBRE ET ENREGISTREMENT Le présent contrat est dispensé des droits du timbre et d’enregistrement. ARTICLE 23 : PROTECTION DE L’ENVIRONNEMENT Loi N° 03-10 du 19.07.2003 relative à la protection de l’environnement ARTICLE 24: PLACEMENT ET CONTROLE DE L’EMPLOI Loi N° 04-19 du 25.12.2004 relative au placement des travailleurs et contrôle de l’emploi. 27

En application du l’article 95 tiret 27 du décret présidentiel n° 15-247 du 16 septembre 2015 portant réglementation des marchés publics et des délégations de service public relative à l’utilisation de la main d’œuvre locale, à l’insertion professionnelle des personnes exclues du contrat du travail et des handicapés conformément à la loi N° 02/09 du 08/05/2002 notamment l’article 23. ARTICLE 25 : MISE EN VIGUEUR DU CONTRAT Le présent contrat ne sera mis en vigueur qu’une fois les formalités ci-dessous auront été remplies. Après l’approbation des organes de contrôle, signature du contrat par les parties contractantes et sa notification à l’entreprise de l’ordre de service de démarrage des travaux. FAIT A AKFADOU LE ________________/ (Nom, qualité du signataire et cachet du soumissionnaire) LE PRESIDENT D’APC

REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE WILAYA DE BEJAIA DAIRA DE CHEMINI COMMUNE D’AKFADOU

BORDEREAU DES PRIX UNITAIRES L’INTITULE DE L’OPERATION : Réalisation des niches pour bacs à ordures à travers la commune N°

01 02 03

DESIGNATION DES

OUVRAGES

Terrassement sur terrain de toute nature y compris évacuation à la DP et toutes sujétions de bonne exécution. Le mètre cube : Neuf cent Dinars. Béton légèrement armé en double nappe TS ép : 15 cm dosé à 350 Kg/M3 y compris une couche de béton de propreté et toute sujétion de bonne exécution. Le mètre cube : Dix sept mille Dinars. Fourniture et pose de barreaudée métallique décoré y compris peinture antirouille et peinture glycérophtalique en deux couches sur une hauteur de 1,20cm. Le mètre linéaire : Trois mille Dinars.

UNITÉ

P. UNITAIRE

M3

900,00

M3

17 000,00

ML

3 000,00

FAIT A Akfadou LE 14/04/2019 (Nom, qualité du signataire et cachet du

LE PRESIDENT DE L’APC

soumissionnaire)

28

S.E.P DE CHEMINI

REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE WILAYA DE BEJAIA DAIRA DE CHEMINI COMMUNE D’AKFADOU

DETAIL QUANTITATIF ET ESTIMATIF L’INTITULE DE L’OPERATION : Réalisation des niches pour bacs à ordures à travers la commune N°

01

02

03

DESIGNATION DES

OUVRAGES

Terrassement sur terrain de toute nature y compris évacuation à la DP et toutes sujétions de bonne exécution. Béton légèrement armé en double nappe TS ép : 15 cm dosé à 350 Kg/M3 y compris une couche de béton de propreté et toute sujétion de bonne exécution. Fourniture et pose de barreaudée métallique décoré y compris peinture anti-rouille et peinture glycérophtalique en deux couches sur une hauteur de 1,20cm.

UNITÉ

QTE

P. UNITAIRE

M3

55,000

900,00

49 500,00

M3

35,000

17 000,00

595 000,00

ML

350,00

3 000,00

1 050 000,0 0

MONTANT

1 694 500,00 321 955,00 2 016 455,00

MONTANT TOTAL HT TVA 19 % MONTANT TOTAL TTC

Délai de réalisation : Quatre vingt dix (90) jours. Arrêter le présent détail(en TTC) à la somme de :  En chiffres : 2 016 455,00 DA En lettres : Deux millions seize mille quatre cent cinquante cinq Dinars. 29

FAIT A Akfadou LE 14/04/2019 (Nom, qualité du signataire et cachet du

LE PRESIDENT DE L’APC

soumissionnaire)

S.E.P DE CHEMINI

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