CONTEXTE [PDF]

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Zitiervorschau

I.

ETUDE DE CONTEXTE DE L’ORGANISME :

1. Compréhension de l’organisme et de son contexte : Etape 1 : comprendre le contexte de l’organisme et définir les critères : Etape 1.1 Identification des enjeux internes et externes : Nous commençons la démarche de l’analyse de contexte par l’identification des enjeux à prendre en compte dans la mise en place du système de management de la santé et de la sécurité au travail. En réalité, l’analyse du contexte interne de l’organisme est réalisée à travers la détermination des enjeux internes et ceci en menant une réflexion collective au sein de l’organisme. En effet, l’analyse de l’entreprise permettrait d’identifier les éléments pouvant influer sur le SME. Dans le but de faciliter la détermination de ce type d’enjeux, on a choisi de les regrouper sous plusieurs groupes. Ces derniers sont illustrés dans la figure suivante :

la culture de l'organisme

technologies

Structure organisationelle

Equipements, locaux

Enjeux internes

compétences

Ressources, connaissances

condition de travail

temps de travail, relation avec les travailleurs

Système d'information

Figure : Groupes d’enjeux internes à l’entreprise. La liste d’enjeux internes qu’on a déterminés est présentée dans le tableau suivant :

1

Types d’enjeux

Structure Organisationnelle

Equipements

Locaux

Condition de travail

Relation avec les travailleurs

Ressources

2

Enjeux internes identifiés *La structure organisationnelle de la société est hiérarchique et les services et les fonctions sont bien structuré et organisés dont chacun ne dépasse pas ces responsabilités. Cela se présente comme un bénéfice au niveau de la mise en place de du SM de la S&ST. *EPI : équipements de protection individuel, conformité, vérification et contrôle périodique (casques, oreillettes, gants, lunettes,masques et vêtements de travail). La sélection est faite par le comité de santé et de sécurité au travail. *Équipement, appareil de levage, chariot élévateur, Pont roulant, accessoire de levage, santé et sécurité humain, son soumis à une vérification périodique. *Élaborer des mesures clés qui améliorent la capacité des travailleurs à détecter les risques et à être vigilants : les voyants et les alarmes sonores ; les panneaux avertisseurs ; les indicateurs. *Maklada Eljem, située dans la zone industrielle de EL JEM (Tunisie), éloignée des agglomérations Et de la population. Mais présence de terrain agricole et décharge publique au voisinage (Maklada Eljem). *Identification des lieux de travail, permis de feu, identification des accès, premiers soins, premiers secours, permis de circulation, affichages et consignes de sécurité. *Traçages et identification des voies de circulation, zone de chargement. * L’environnement de travail, composé des facteurs physico-chimiques tels que bruit, ventilation, humidité, température, vibrations, éclairage, poussières, adéquation des outils, agents toxiques, rayonnements, et plus généralement ergonomie du poste de travail. *Bruit (< 85dcB), émergence globale : usage des EPI. *Garantir une bonne compréhension des perceptions et des exigences des travailleurs de la société Maklada Eljem *Communiquer la volonté de la direction de bâtir une relation participative, de coopération et de confiance avec les travailleurs sur les sujets relatifs à la S&ST. *Bien comprendre les perceptions, besoins et attentes des travailleurs. *Bien comprendre les perceptions, besoins et attentes des représentants des travailleurs. *Financières : disponibilité de ressources financières pour la phase de la planification de la mise en place du SM de la S&ST. *Humains : Personnel qualifié et en nombre suffisant selon l’organigramme de la société. *Matériels : Toutes les ressources nécessaires pour le bon fonctionnement du processus.

Compétences

Reconnaissances. Technologies

La culture de l’organisme

Système d’information

*Préserver la santé physique et mentale du capital humain : les travailleurs de l’entreprise ; *Fidéliser les travailleurs et améliorer leur implication à travers des mécanismes efficaces ; *Améliorer le climat social au sein de la société ; *Développer les compétences des travailleurs en santé et sécurité au travail, à travers des cycles de formations théoriques et pratiques, la participation à des stages professionnels, etc. *Maintenir et développer la capacité (humaine, connaissances, etc.) de la maîtrise et de l’entretien des installations de production ; *Capitaliser sur les savoirs et les savoir-faire de l’entreprise (compétences, connaissances techniques et relatives à la S&ST) ; *Adapter les langues utilisées dans la documentation et communication à tous les travailleurs afin d’assurer une bonne assimilation des procédures et instructions communiquées *(Techniques et S&ST) ; *L'entreprise organise des cours de sensibilisation et de formation continue Levage et manutention, formation à la conduite, Déstockage électrique, clairance, incendie, équipement de protection individuelle, Bruit, risques chimiques, santé et sécurité au travail *Le logiciel AX (ERP) pour le suivi de fabrication, vente et demande de produit. *Direction de la communication. *Energie renouvelable tel que « tri génération ». *Assurer la compétitivité concurrentielle et assurer la qualité Des produits *Assurer l'accès aux Formations : technique, commerciale et de Gestion ses employées. La culture de prévention des risques S&ST n’est pas bien développée au sein de la Société Maklada ELjem (malgré la présence d’un CSST actif au sein de la Société MK). Il faut donc renforcer la culture de Prévention des accidents et des maladies professionnelles et faire participer/consulter davantage les différentes parties intéressées dans la mise en œuvre et l’amélioration continue du SM de la S&ST. Ce qui permettra par la suite de bâtir une culture basée sur l’approche proactive et sur l’amélioration continue. *Vérifier l’efficacité de système et des voies de communication & de coordination entre les travailleurs. Systèmes et voies de communication et de coordination entre les travailleurs ; Tableau : Enjeux internes à l’entreprise.

Cette analyse du contexte interne de la compagnie est menée conjointement avec l’analyse de

3

Son contexte externe. C’est cette analyse qui permettra à la société Maklada Eljem de bien comprendre son environnement et de déterminer les enjeux externes à son système de management de la santé et de la sécurité au travail.

Les relations avec les travailleurs et les autres parties intéressées

Ecologique

Environneme nt social Politique

Enjeux Externes

Technologique

Légal

Economique

Figure : Groupes d’enjeux externes à l’entreprise. Nous nous sommes inspirés de l’outil utilisé en stratégie qui est connue sous l’application « PESTEL » (Politique, Economique, Technologiques, Socio-culturel, Ecologique et Légal) pour identifier huit types d’environnements : environnement politique, environnement Economique, environnement financier, environnement socio-culturel, Environnement concurrentiel, environnement technologique, environnement écologique et Environnement légal. Les enjeux externes que nous avons déterminés sont présentés dans le tableau suivant :

4

Groupe D’enjeux

Environnement Politique (Stabilité des gouvernements, Politique fiscale, Protection sociale, Commerce extérieur)

5

Enjeux externes Identifiés  Réaliser la transformation démocratique en Tunisie Depuis la chute de l’ancien régime politique dictatorial, la scène politique a complètement changé. La révolution a permis de lancer un processus démocratique de gouvernance. En fait, ces dernières années, le processus démocratique a été façonné A--Une nouvelle constitution a été élaborée par l'Assemblée nationale constituante (26 janvier 2014). Cette constitution choisit un nouveau système plus démocratique appelé "système mixte" (ni parlementaire ni présidentiel) basé sur le partage du pouvoir. La constitution a établi de nombreux organes constitutionnels indépendants dotés de la personnalité juridique et de l'indépendance financière. Parmi les juridictions concernées par les problèmes de santé et de sécurité des travailleurs, on peut citer : *"Droits de l'homme", qui contrôlent et promeuvent le respect des droits de l'homme et des libertés ; *La Commission du développement durable et des droits des générations futures, qui est actuellement consultée sur les projets de loi sur les questions économiques, sociales et environnementales, ainsi que sur les plans de développement. Cette nouvelle constitution a choisi de renforcer l'autorité locale basée sur la décentralisation. Décentralisation par les communautés locales, y compris les municipalités, les régions et les régions. Chacune de ces catégories couvre toute la république. Les autorités locales jouissent de la personnalité juridique et de l'indépendance administrative et financière. Gérer les intérêts locaux conformément au principe de la libre administration. Il convient de noter que l'élection des autorités locales élues pour décembre 2017 était prévue, mais que la loi sur les autorités locales n'a pas été établie. B--Élection de l'Assemblée des représentants du peuple. C--Election du Président de la République.  Instabilité des gouvernements tunisiens  : Bien que la Tunisie ait participé à un processus démocratique depuis la révolution, le pays n'a pas réussi à maintenir une équipe gouvernementale stable. En fait, de nombreux remaniements ministériels ont touché même les chefs de gouvernement. Cela conduit inévitablement à un manque de visibilité et à une incapacité à élaborer et à mettre en œuvre des stratégies nationales dans différents secteurs. Cette disposition à court terme ne permet pas de traiter efficacement les cas. En conséquence, les gouvernements successifs n'ont pas réussi à trouver des solutions appropriées aux problèmes majeurs tels que l'incapacité des trois fonds sociaux : CNAM, CNRPS, CNSS. Cela réduit la confiance des différentes parties prenantes dans la capacité de l'Etat tunisien à les respecter des obligations.

Environnement Economique (Cycle économiques, Evaluation du PIB, Taux d’intérêt, Inflation, Politique monétaire, Chômage, Revenu disponible)

 Lancement d'une lutte dynamique contre la corruption : Le Premier ministre Yusuf Shahid a lancé une opération mains propres en mai 2017. Ce processus a débuté par l'arrestation de plusieurs passeurs et hommes d'affaires en quelques jours. L'Assemblée des représentants du peuple et le président de la République ont manifesté leur soutien à cette dynamique. En fait, la dynamique anti-corruption La contrebande est confirmée au jour le jour.  Reconnaissance politique des efforts en matière de santé et de sécurité au travail : Reconnaissance par les autorités politiques des efforts dans le domaine de la santé et de la sécurité au travail. Par exemple, le prix national de la santé et de la sécurité au travail est attribué à des entreprises publiques ou privées qui démontrent leur engagement et leurs performances en matière de santé et de sécurité au travail. (Par exemple, en 2015, ce prix a été attribué à trois entreprises privées par le président de la République tunisienne à l'occasion de la fête du travail). Une situation économique délicate en Tunisie En 2016, la situation économique était inférieure aux attentes. Le ralentissement de la croissance, deux doubles déficits (deux ans et deux) avec l’élargissement, le chômage, la persistance des inégalités, la baisse de l’investissement…  Croissance Depuis le déclenchement de la révolution, la croissance économique n'a cessé de se dégrader (voir Graphique). Début 2016, les prévisions de la croissance économique étaient optimistes (de l'ordre de 2,5 % selon la Banque Mondiale). A la fin de l'année, une révision à la baisse a été enregistrée. La croissance économique en 2016 devrait se limiter à 1,5 % (selon le FMI). Cela est en partie dû à un repli du secteur agricole et une baisse de la valeur ajoutée des industries non manufacturières notamment celle du secteur des hydrocarbures et de l'extraction minière (de 3 % et de 3,3 % respectivement). La dégradation de l'activité du tourisme peut être aussi comme cause de la croissance modeste en 2016. L'instabilité sécuritaire et la série d'attentats qui ont frappé le pays en 2015 se sont traduites par une baisse des recettes du tourisme de 33 % entre 2014 et 2015 et encore de 4 % en 2016. La chute des investissements peut également expliquer les faibles performances en termes de croissance économique. Depuis 2011, l'instabilité, la sécurité et le climat économique sont une source de harcèlement pour les investisseurs. Alors qu'ils représentaient plus de 23% du PIB en 2011, les investissements ne représentaient que 21,9% en 2015 et 21,7% en 2016. 

Inflation

En ce qui concerne l'inflation, la tendance à la hausse observée depuis la révolution a commencé à diminuer progressivement depuis 2014 (graphique 1). Cependant, le niveau de l'inflation est connu comme un rebond à la fin de 2016. Selon la Banque

6

centrale de Tunisie (BCT), l'inflation devrait atteindre 4,6% et 5% en 2017. La hausse des prix à la consommation est un facteur d'attraction de la consommation intérieure, Sur la croissance. Le pouvoir d'achat des ménages est également caractérisé par la baisse du dinar tunisien, qui augmente le coût des importations. 

Chômage

Le chômage reste particulièrement sensible à la Tunisie postrévolution. Après le pic de chômage de 2011 (18,3% selon la Banque mondiale), le taux de chômage a légèrement diminué et s'est stabilisé autour de 15,5% en 2016. Selon l'Institut national de la statistique de Tunisie, le chômage touche plus que les hommes, et frappe en particulier les diplômés de l'enseignement supérieur D’environ 30%. En 2016

Croissance Economique et Inflation 2005-2016 

Environnement Financier

7

L’existence de mécanismes d'incitation financière pour le développement de la santé et de la sécurité au travail dans les entreprises * Augmentation des contributions versées au CNAM au titre du régime d'indemnisation des accidents du travail et des maladies professionnelles (voir l'article 20, paragraphe 10, du décret n ° 583 de 1995 modifiant le décret n ° 1010 en 1999); * Possibilité de tirer profit de primes moins élevées en améliorant les performances de S & ST (mesures visant à réduire la fréquence et la gravité des accidents du travail et des maladies professionnelles sur le lieu de travail) (voir article 27, article 27 du décret n ° 583 de 1995, tel que modifié par le décret n ° 1010 de 1999). * La possibilité de recourir à un prêt et à une allocation d'investissement accordés par le Fonds pour le financement du projet Santé et sécurité au travail (voir décret n ° 96-1050 du 3 juin 1996 modifié et complété par le décret n ° 2009-2344 du 12 août 2009); * Remboursements d'impôts dans la formation professionnelle "TFP" payés sur les salaires (à un taux de 1% pour les entreprises manufacturières et de 2% pour le reste des activités économiques). Les modalités permettant de bénéficier de cette taxe sont régies

Environnement Socio-culturel (Démographie, Distribution de la richesse, Modes de vie, Attitude par rapport aux loisirs et travail, Niveau d’éducation…)

8

par les dispositions suivantes : Loi n ° 69-2007 du 27 décembre 2007 / Décret 2009-229 du 2 février 2009 / Décision du ministre des Finances et ministre de l'Emploi et de l'Enregistrement des jeunes professionnels du 10 février 2009. L’existence de sanctions pécuniaires pour non-respect des exigences ou carences dans la gestion de la santé et de la sécurité au travail : *Éviter les sanctions pénales et administratives résultant du nonrespect des obligations légales et réglementaires (par exemple, articles 233 et suivants du Code du travail, etc.).  Absence de culture de prévention en Tunisie : * La culture de la prévention n'a pas encore été développée et des mesures proactives sont prises pour gérer différents types de risques dans la société tunisienne. Cela inclut clairement la prévention des risques pour la santé et la sécurité au travail. En effet, malgré la ratification par la Tunisie de plusieurs conventions internationales sur l'hygiène, la santé et la sécurité au travail, les conditions de travail et la prévention des risques, ainsi que l'élaboration de nombreuses lois et réglementations en la matière, nous n'avons pas réussi à intégrer cette logique à la culture de nos citoyens. Les quelques campagnes de sensibilisation menées aux niveaux national et local n'ont pas permis de remédier à cette situation. Ceci explique les difficultés rencontrées pour établir la sécurité et la santé dans les procédures de travail, qui reposent notamment sur le concept de prévention. En fait, cette déficience culturelle ne concerne que Travailleurs mais aussi dirigeants et dirigeants d’entreprises tunisiennes. Il appartient aux décideurs de lancer l'approche de précaution et de déployer les ressources nécessaires pour la réaliser efficacement. En résumé, nous devons prendre en compte le sousdéveloppement de la culture de prévention dans la mise en œuvre du système de gestion HSE dans une entreprise tunisienne.  La barrière de la langue au niveau des entreprises tunisiennes : *La langue utilisée dans les normes et manuels de santé et de sécurité au travail est le français ou l'anglais. Il serait prudent d’en tenir compte dans l’élaboration de tout système de gestion de la santé et de la sécurité au travail. En fait, certaines de ces normes, directives et instructions doivent être adaptées au français et à l'arabe (la langue utilisée par la plupart des employés de l'entreprise).  Absence de culture du respect de la loi et de la réglementation en Tunisie : * La culture de conformité aux exigences légales et réglementaires reconnaît le retard de la Tunisie. Il convient de noter que ce phénomène est riche en corruption, le phénomène social et culturel qui a envahi la société tunisienne. La corruption affecte désormais toutes les organisations et tous les secteurs, publics et privés. En fait, cette pratique néfaste est la solution la plus largement utilisée pour violer ou contourner la loi. Par exemple, certaines entreprises

Environnement Légale (Lois des monopoles, Droit du travail, Législation sur la santé, Normes de sécurité, Règlements sectoriels) Environnement Écologique (Lois de protection, Recyclage, Consommation d’énergie…) Environnement Technologique Dépense publique en R&D, Investissement public et privé, Innovation, Transfert technologique, Obsolescence.)

mettent en œuvre des "plans opérationnels internes" qui ne sont pas compatibles sur le plan technique ou organisationnel, et pourtant, elles reçoivent des licences des agences gouvernementales concernées en échange d'une offre de pot-devin. La prise en compte de cette composante sociale et culturelle doit être prise en compte lors de la mise en place d'un système de gestion de la santé et de la sécurité au travail. Bien sûr, il est nécessaire de respecter la loi et de ne pas être tenté de recourir à des pratiques douteuses, même si elles sont largement pratiquées par d'autres sociétés. *Contrôle de l'identification, du contrôle et du respect des exigences légales et réglementaires en matière de santé et de sécurité au travail applicables au secteur industriel. *Disponibilité d’un comité SST *Disponibilité d’un Responsable sécurité *Disponibilité d’une équipe première intervention Zone industrielle : *située dans la zone industrielle de EL JEM (Tunisie), éloignée des agglomérations Et de la population. *Présence de terrain agricole et décharge publique au voisinage (Maklada Eljem). *Utilisation des produits inflammables et dangereux *Energie renouvelable tel que « tri génération ». *Présence des experts dans le domaine SST *Les projets d’amélioration de la productivité *La généralisation des enregistrements sur les restes d’équipements.

*Assurer une bonne compréhension des concepts et des besoins des travailleurs de Maklada ; Les relations avec les *Établir le désir du Département d'établir une relation de travailleurs et les coopération, de coopération et de confiance avec les personnes autres parties travaillant dans les domaines liés au commerce et au intéressées développement ; *Renforcer le rôle de la CSST sous S & ST MS et impliquer cet organisme dans l'analyse des risques en matière de sécurité et de santé au travail. Tableau : Enjeux externes de l’entreprise.

9

Etape 1.2  : traduire les enjeux en risques et en opportunités  : Les enjeux (internes et externes) identifiés lors de la première étape ont ensuite été traduits dans la matrice Combiné « SWOT/PESTEL ». Cette matrice permet d'effectuer des analyses internes et externes de l'entreprise et du système de managementde la santéetde la sécurité au travail. Parmi les principaux critères qui illustrent le choix de cette matrice sont : la facilité d'utilisation, l'évolutivité, l'adaptation à différents contextes et niveaux d'analyse. Ces atouts en font un outil approprié pour les processus décisionnels participatifs et consultatifs. La matrice combiné « SWOT/PESTEL » utilisée à cette étape apparaît dans le tableau suivant :

10

Origine Externe (Environnement)

Origine Interne (Organisationnelle)

ORGANISATION Forces Faiblesses Oi1 : Appartenance à un

MARCHE Opportunités Menaces Oe1 : Projet de restructuration Re1 : Entrée sur le marché de

groupe ;

au niveau du groupe

la concurrence

Oe2 : Ouverture sur les

Re2 : Absence d’une veille

Marché Africains et

technologique en matière

Oi2 :Moyen d’âge environ

Ri1 : Turn over important ;

30 ans Oi3 :Certification SMQSE

Politique

P

Limitrophes Ri2 : Modification fréquente Oe3 : Amélioration de

produit/service Re3 : L’âge moyen de cadres

au niveau de l’organisation l’image de marque auprès

ou de là de 50 ans avec une

des clients locaux et

expérience proche de 30 ans de service

Ri3 : Problème dans la mise

étrangers et de PI Oe4 : Amélioration de

en application et le suivi

l’image de marque auprès

des processus du SMQSE

des fournisseurs locaux et étranger et des PI

Ri4 : Intégration du contrôle

qualité dans le processus Economique

E

Oi4 : Capacité de

réalisation Ri5 : Changement fréquent

Oe5 : Disponibilité des stocks

Re4 : Vieillissement et

production et satisfaction

des programmes de

produits finis

oxydation prématurée à la

de la demande

fabrication

commerciale Oi5 : Disponibilité des

Ri6 : Stocks rossignol de PR

longue des produits Oe6 : La mise en exploitation

Re5 : Dévalorisation continue

moyens financier

des certains modules de

du dinars

Oi6 : Plusieurs

Ri7 : Encombrement et non-

l’ERP AX Oe7 : Aménagement des

Re6 : Méthode et moyen de

certifications de produits :

respect de la règle FIFO

magasins PR,

stockage et de manutention

CARES, ASQPE, DCL,

consommables et produits

PTI Oi7 : Capacité de stockage

finis Ri8 : Instabilité de prix de la

Re7 : Non disponibilité ou

importante

MP

rupture des MP&C

Oi8 : Diversité des activités

Ri9 : Surstock de produits

Oe8 : Stabilité et confiance

Re8 : Marché parallèle

et des produits

finis

des clients locaux et

Oi9 : Installation de l’unité

Ri10 : Entrée de la

Re9 : Nombre limité des

de trigénération

concurrence sur les

fournisseurs des MP

Oi10 : Le système de suivi

marchés (Local/Etranger) Ri11 : Dévaluation continue

de la productivité Oi11 : Présence continue

du dinars Ri12 : Emplacement de

dans les salons et les

l’usine (problème

foires ;

d’acheminement des

Oi12 : Achats regroupés

MP&C)

pour les deux sites (FM) Oi13 : Compétence et

Ri13 : Emplacement de

Oe9 : Encouragement de

Re10 : Non disponibilité de la

Qualification

l’usine (Problème de

l’état sur le volet embauche

main d’œuvre qualifié

transport personnel) Oi14 : Système de

et formation Oe10 : La mise en place d’une

motivation (prime de

direction de communication

étrangers

productivité)

Social

S

Ri14 : Exode de la main

Re11 : Départ de tréfileurs

après 4 ans

Oi15 : Amélioration des

d’œuvre qualifiée Ri15 : Non-respect du port

conditions de travail

des EPI et des Exigences SST

Oi16 : Assurance groupe

pour l’ensemble du personnel ; Oi16 : Couverture sociale

Technologiqu e

T

totale. Oi17 : Plusieurs équipement

Ri16 : Savoir-faire non

Oe11 : Présence des experts

renouvelés Oi18 : Laboratoire

documenté Ri17 : Difficulté de trouver

dans le domaine SST Oe12 : La génération des

métrologique d’Eljem bien

des compétences en

enregistreurs sur le reste des

équipé Oi19 : Disponibilité de la

métiers de tréfilage Ri18 : Faible rendement de

équipements Oe13 : Programme intensifié

totalité des fiches

certains équipements

de formation spécifique

techniques

(25M, lot 4, 10M et 21 M)

technique

E

Oi20 : Station de traitement

Ri19 : Station vétuste

Re12 : Non-conformité des

des eaux Oi21 : Contrats avec les

Ri20 : Présence de la

collecteurs de déchets

décharge publique u

Oi22 : Procédures

voisinage de l’Ejem Ri21 : Non-respect de la

Oe14 : Elaboration d’une

périodiques de liquidation

procédure d’identification

matrice d’identification

des déchets valorisés

d’analyse et d’évaluation

d’analyse et d’évaluation

des AIES ;

des AIES

Ri22 : Non-respect de la

Oe15 : Elaboration d’une

procédure d’identification

matrice d’identification

d’analyse et d’évaluation

d’analyse et d’évaluation

des RSST Ri23 : Non-respect des

des RSST

rejets Hydriques

exigences relatives au ramassage, triage et stockage des déchets ; Ri24 : Non-respect des exigences relatives à la

Ecologique

gestion des situations d’urgence et capacité à réagir ; Oi25 : Utilisation des produits inflammables et dangereux Ri26 : Stockage bobines FM en plein air, oxydation et surconsommation des Oi24 : Le respect des

produits de traitement ; Ri27 : Non classification du

Re13 : Loi des établissements

contrôles réglementaires

site d’Eljem (en cours

classés

« PCSTRAND ») Ri28 : Stockage et manipulation des produits

chimiques Tableau : Matrice combiné SWOT/PESTEL (ensemble de tous les enjeux).

Etape 1.3 : Méthode SWOT d’analyse de risque : Qu’est-ce que l’analyse SWOT ? L'analyse SWOT (Strengths - Weaknesses - Opportunities - Threats) ou AFOM (Atouts Faiblesses - Opportunités - Menaces) est un outil d'analyse stratégique. Il combine l'étude des forces et des faiblesses d'une organisation, d'un territoire, d'un secteur, etc. avec celle des opportunités et des menaces de son environnement, afin d'aider à la définition d'une stratégie de développement. Le but de l'approche est de prendre en compte dans la stratégie, à la fois les facteurs internes et externes, en maximisant les potentiels des forces et des opportunités et en minimisant les effets des faiblesses et des menaces. Logique de l’analyse SWOT :   Interne Externe

Positif Négatif Forces Faiblesses Opportunités Menaces Tableau : Logique de l’analyse SWOT.

*Cotation risque : Occurrence * Gravité = Criticité Gravité

Occurrence

Management/Pérennité/Equipement/personnel Mineur

Significative

Grave

Critique

Catastrophique

1

2

3

4

5

Très probable à

5

5

10

15

20

25

certain Probable

4

4

8

12

16

20

Peu probable

3

3

6

9

12

15

Très peu

2

2

4

6

8

10

probable Très rare

1

1

2

3

4

5

Tableau : Matrice d’évaluation des risques.

 Pour enjeux ayant un effet négatif – Risques : Les risques inappropriés sont ceux qui sont critiques entre 1 et 10. Aborder ces risques n'est pas une priorité et ne fera pas l'objet de plans d'action. Les risques critiques supérieurs à 10, qui sont des risques importants et des risques potentiels, concernent l'entreprise et le système de gestion de la santé et de la sécurité au travail. Cela fera l'objet de plans d'action ultérieurs Ce qui les ramènera à des niveaux acceptables. NIV

Classe de priorité

P2

Acceptable ou Tolérable sous contrôle

P1

Inacceptable

Action Au bien aucune action n’est à entreprendre, au bien organiser un suivi en termes de gestion des risques. Il faut prendre des actions de mesures de réduction des risques

Tableau : tableau de classification des risques. *Cotation d’opportunité : Avantage * Effort = Priorité Avantages

Efforts

Management/Pérennité/Equipement/personnel Très faible

Faible

Moyen

Elevé

Très élevé

1

2

3

4

5

Très faible

5

5

10

15

20

25

Faible

4

4

8

12

16

20

Moyen

3

3

6

9

12

15

Elevé

2

2

4

6

8

10

Très élevé

1

1

2

3

4

5

Tableau : Matrice d’évaluation des opportunités.  Pour enjeux ayant un effet positif – Opportunités : Les opportunités pertinentes (considérées pertinentes à la finalité de la compagnie et à son Système de management de la santé et de la sécurité au travail) possèdent une ampleur de plus De 12. Elles appartiennent aux classes d’opportunités « intéressantes » et « à saisir absolument ». Ces opportunités pertinentes font l’objet d’un plan d’actions qui vise à en tirer profit. Les opportunités non-pertinentes (opportunités négligeables) sont celles qui ont une

ampleur Qui variant de 1 à 10. Les opportunités appartenant à cette classe ne nécessitent pas l’élaboration d’un plan d’actions. NIV

Classe de priorité

P2

Acceptable ou Tolérable sous contrôle

P1

Inacceptable

Action Au bien aucune action n’est à entreprendre, au bien organiser un suivi en terme e gestion des opportunités Il faut prendre des actions afin de profiter des opportunités

Tableau : tableau de classification des Opportunités.

 Analyse et actions mise en œuvre face aux risques

Interne Weaknesses(Faiblesses)

Externe Threats (Menace)

O 3

Cotation risque Risque G Criticité Niveau 4 12 C3 Accident et blessure

Action Respect de la procédure d’achat des EPI (veiller à

Non-respect du port des

l’application scrupuleuse

EPI et des Exigences

de l’évaluation des EPI) et

SST

planification des actions de 3

4

12

C3

Non traitement

sensibilisation Renouvellement des

des eaux usées

équipements usées

Station vétuste

Responsable

GRH / HSE

(Pompes) / remise en application de

Responsable

l’exploitation automatique

Maintenance

de la station 3

3

9

Impact sur l’environnemen

Présence de la décharge

C2

t de travail

publique au voisinage

(dégagement

(Site Eljem)

des odeurs

Modification de la hauteur de clôtures entourant l’entreprise

Selon le programme définit

fétides et risque pour le Identification d’analyse

2

4

8

C2

et d’évaluation des RSST

Non-respect des

3

4

12

exigences relatives à la gestion des situations

patrimoine) Non

Revue de la matrice et

identification de actualisation des risques

HSE /

tous les RSST

SST et des plans d’actions

Maintenance

d’amélioration Assurer la mise en

/ Réalisation

Incident / Accident

application concrète de la

C3

procédure en vigueur /

d’urgence et la capacité à

planifier des actions de

réagir

formation / augmenter la

HSE / GRH

fréquence des actions de Non classification du site d’Eljem

3

4

12

C3

Conformité à la

sensibilisation Relance de la demande

règlementation

auprès des autorités

et Arrêt de

tutelles

RH

Stockage et manipulation

3

3

9

des produits chimiques

C2

l’activité Déversement

Assurer la mise en

/incendie/

application concrète de la

HSE

Intoxication

procédure en vigueur et la

Et Pilot

revue systématique de la La mise en

3

4

12

exploitation des

C3

Non maitrise

matrice Former les personnels à

d’exploitation

l’exploitation des ces

certains modules de l’ERP AX Exploitation de

certains modules de l’ERP AX 3

4

12

Non-conformité

l’application du

par rapport aux

premier consulting

C3

exigences

pour le suivi de la

Légales et

veille LR n’est

réglementaires

systématiquement

et autres

mise à jour Changements des

exigences Dépense

4

2

8

C2

prix des matières premières Dévalorisation continue du dinars

GRH

-

instable 4

4

16

C3

Dépense élevé

HSE

Faires des études sur la

Responsable

dévalorisation des devises

Financier

tunisien Tableau : Extrait d’évaluation des risques Management.

 Analyse et actions mise en œuvre face aux opportunités Interne Strenghts (Forces)

Externe Opportunities(Opportunités

Cotation opportunité O G Criticité Niveau

Opportunité

Action

Responsable

) Amélioration des

1

1

1

P3

conditions de travail

Certification SMQSE

1

1

1

P3

Minimiser les

Atteindre les

Resp. HSE /

nombres des

objectifs SST

Resp. Des

accidents du

activités

travail Amélioration de

Direction

l’image de marque Assurance de

générale

auprès de nos

confidentialité

clients, visiteurs et Disponibilité des

3

2

6

P2

moyens financier Installation de l’unité

4

3

12

P1

des PI Amélioration des

Atteindre les

Resp.

actions de

objectifs SST

Financier

prévention Finance

Réalisation des

de trigénération

objectifs(budgets

Personnel formé à

Réduire les RSST

) Planifier des

l’utilisation des

et conformité à la

actions de

règlementation

formation et

équipements

5

2

10 P2

Resp.HSE

Resp.HSE

augmenter la fréquence des Les Respect des

sensibilisation Respect continuel

des équipements

contrôles et

de la procédure

cohérents avec les

exigences

de surveillance et

besoins

réglementaires

mesure des

Achats des produits et

5

3

15

P1

HSE

contrôles réglementaires Communication professionnel 4

2

8

P2

Respect les

Assurer la mise

Direction de

exigences de

en application

communication

procédure de la

concrète de la

communication

procédure de la communication en vigueur

Elaboration d’une matrice

5

3

15

P1

d’évaluation des RSST Stabilité et confiance des

5

3

15

P1

clients locaux et étrangers Présence des experts dans le

4

3

12

P1

d’identification d’analyse et

domaine SST Tableau : Extrait d’évaluation des risques Management

2. Compréhension des besoins et attentes des travailleurs et autres Parties intéressées :  Définition d’une partie intéressée  : Une partie intéressée est un organisme ou personne ne pouvant avoir un intérêt direct ou indirect vis-à-vis de l’entreprise. Appelée aussi « partie prenante » Un individu ou groupe pouvant affecter ou être affecté, directement ou indirectement, dans le court terme comme dans le long terme, par les stratégies, les actions, les messages (et leurs conséquences), que l’entreprise met en œuvre pour atteindre ses objectifs. Les parties intéressées sont ceux qui ont des intérêts dans le projet L’ensemble de ceux : 

Qui participent à sa vie économique (salariés, clients, fournisseurs, actionnaires…),



Qui observent l'entreprise (syndicats, ONG…),



Qu’elle influence plus ou moins directement (société civile, collectivité locale...).

 Qu’est-ce qu’une partie intéressée pertinente dans SMS&ST  : A un impact, réel ou potentiel, sur la performance du SMS&ST  

Prévoir les moyens de recueil des besoins et des attentes Définir une fréquence de révision

Première étape :Détermination de toutes les parties intéressées dans le cadre du SMS&ST. Les travailleurs sont la principale Partie Intéressée (PI). Les autres PI peuvent inclure les autorités au sens larges du terme(commune, département, région pays, monde).  Besoins de travailleurs : -

Contrôle médicaux internes et externes (santé)

-

Formation et sensibilisation en matière S&ST

-

Mise à disposition des Equipements de Protection Individuelle (EPI)

-

Conditions de travail

 Attentes de travailleurs :

-

Prendre en compte de leurs suggestions et reconnaissance de leur contribution aux performances en matière S&ST

-

Implication dans les projets professionnels

-

Eviter les accidents et les maladies professionnelles.

La liste suivante contient toutes les parties intéressées du Maklada Eljem dans le cadre du SMS&ST : Parties Intéressées PI1 : Les représentants des travailleurs de Maklada Eljem. PI2 : Service de médecine de travail.

PI10 : Groupe Maklada

PI3 : La Caisse Nationale d’Assurance Maladie (CNAM). PI4 : L’Office Nationale de la Protection Civile. PI5 : La police et la garde nationale.

PI12 : Inspection de Travail.

PI11 : Les voisins de Maklada Eljem.

PI13 : Autorités légales et réglementaires

PI14 : Les prestataires externes et leurs travailleurs. PI6 : La caisse nationale de sécurité de sécurité PI15 : Les responsable sécurité (Resp. sociale (CNSS). QHSE à Maklada) PI7 : Médias PI16 : Les concurrents (nationaux et internationaux) PI8 : Assesseurs PI17 : Clients PI9 : Institut de santé et de Sécurité au Travail PI18 : Visiteurs (ISST). Tableau : Liste des parties intéressées.  Deuxième étape :Identification des parties intéressées qui sont pertinentes pour hiérarchiser leurs besoins et attentes. Note 1 2 3

Impact sur SMS&ST Impact faible : le pouvoir et les décisions de la partie intéressée n’ont pas d’influence notable sur le SMS&ST Impact moyen : le pouvoir et les décisions de la PI ont une influence moyenne sur SMS&ST Impact moyen : le pouvoir et les décisions de la PI ont une influence significative sur SMS&ST Tableau : Niveau d’influence de PI sur SMS&ST.

Note 1

Fréquence d’intervention dans les décisions de l’organisme Fréquence faible : l’intervention de la PI dans les décisions, le fonctionnement ou l’activité opérationnelle de l’organisme est négligeable et très rare. 2 Fréquence Moyen : l’intervention de la PI dans les décisions, le fonctionnement de l’organisme ou les activités opérationnelles est occasionnelle 3 Fréquence très forte : l’intervention de la PI dans les décisions, le fonctionnement de l’organisme ou les activités opérationnelles est fréquente Tableau : Fréquence d’intervention dans les décisions de l’organisme.

Pertinence du PI est calculée comme suit :Niveaux d’influencex Fréquence d’intervention; Sont considérées comme parties intéressées pertinentes celles ayant une somme d’effet supérieur ou égale à 6 ; Pour PI ayant un effet inférieur à 6, sont considérée non pertinentes pour « MAKLADA » dans le cadre de son système de management de la santé et de la sécurité au travail. Evaluation des parties intéressées Fréquence d’intervention

Fort

3

3

6

9

Moyen

2

2

4

6

Faible

1

1

2

3

1

2

3

Faible

Moyen

Fort

Impact sur la conformité de SMS&ST Tableau : Evaluation de fréquence d’intervention et d’impact sur SMS&ST Les résultats de pertinence des parties prenantes internes et externes de l’organisation ont été clairement expliqués dans le tableau ci-dessous

Désignation des PI

Pouvoir d’influenc e de la PI sur le SM de la SST 3

Les travailleurs de Maklada Eljem

3

Fréquence d’intervention Evaluation Besoins et attentes des parties dans les de intéressées décisions de pertinence l’organisme 3 Travail dans un environnement sain et sûr. Réussite de l’entreprise 9  Participation à des formation (PI professionnelles permettant de Pertinente) développer leurs compétences.  Etablissement et communication d’une stratégie de santé et sécurité au travail de l’entreprise claire et compréhensible.

3

Les représentants des travailleurs de Maklada Eljem

Service de médecine de travail

9 (PI Pertinente)

1

1

3

1

1 (PI non pertinente) 3

*La Caisse Nationale d’Assurance

(PI plus ou

Actions

Conformité légale et réglementaire Faites un ensemble d'exigences légales Les règlements ; Évaluer la conformité de l'entreprise avec respect À ces exigences ; Effectuez les actions correctes pour Conformez-vous à ces exigences. Formation, communication et sensibilisation Examiner le besoin de formation, de sensibilisation et de communication des travailleurs sur les questions de commerce et de navigation ; Mise en œuvre de plans de communication, de sensibilisation et de formation. évaluer les procédures Travail dans un environnement sain Conformité légale et réglementaire et sûr. Faites un ensemble d'exigences  Réussite de l’entreprise légales Les règlements ;  Etablissement et communication Évaluer la conformité de l'entreprise d’une stratégie de santé et sécurité au avec respect À ces exigences ; travail de l’entreprise claire et Effectuez les actions correctes pour compréhensible. Conformez-vous à ces exigences.  Consultation concernant les Formation, communication et programmes et projet pouvant sensibilisation impacter la santé et la sécurité au Examiner le besoin de formation, de travail. sensibilisation et de communication des  Prise en compte de leurs suggestions travailleurs sur les questions de et celles des travailleurs. commerce et de navigation ;  Reconnaissance de leurs Mise en œuvre de plans de contributions et celles des travailleurs communication, de sensibilisation et de aux performance de la S&ST. formation. évaluer les procédures Bonne gestion des risques liés à la Maintenir une bonne communication S&ST de part de l’entreprise ; avec les parties prenantes sans aucun Préserver la santé et la sécurité au effort. travail des travailleurs. Respect des loi et réglementations relatives à la S&ST ;  Bonne gestion des risques liés à la Répondre en cas où les exigences S&ST de part de l’entreprise ; pertinentes des parties sont nécessaires Reporting et amélioration des tout en maintenant une bonne

Maladie (CNAM) *Inspection de travail

L’Office Nationale de la Protection Civile.

moins Pertinente)

Respect des exigences Légales et réglementaires. Préserver la santé et la sécurité au travail des travailleurs. Coopérer activement avec les agents des agences lors des visites sur le terrain. Appliquer et respecter les recommandations du L’office. Alerte rapide en cas d'urgence nécessitant l'intervention du L'office.

3

3

9 (PI Pertinente)

3

1

3 (PI plus ou moins Pertinente)

3

1

3 (PI Pertinente)

2

2

4 (PI plus ou moins pertinent)

Respect des exigences Légales et réglementaires/ Respect de la propreté du milieu.

3

1

3 (PI plus ou

Respect des lois et réglementations Relatives à la S&ST ;

La police et la garde nationale. La caisse nationale de sécurité de sécurité sociale (CNSS) Les voisins de Maklada Eljem

performances S&ST de la société ; Transparence, collaboration et facilitation du travail des agents de contrôle et d’inspection compétents.

Transparence, collaboration et facilitation du travail des agents de contrôle et d’inspection compétents (exemple : Lors des visites de contrôle des produits dangereux) Respect des loi et réglementations relatives à la S&ST ;  Bonne gestion des risques liés à la S&ST de part de l’entreprise ;

communication avec elles.

Conformité légale et réglementaire élaborer un ensemble d'exigences légales et réglementaires ;  évaluer le respect par l'entreprise de ces exigences ;  prendre les mesures appropriées pour se conformer à ces exigences. Mise en œuvre des recommandations étude de faisabilité des actions correctives envoyées par l’office. Fournir les ressources nécessaires pour mettre en œuvre les procédures. Surveiller l'achèvement des procédures et évaluer leur efficacité. Communiquer et répondre aux urgences des procédures pour signaler, signaler et alerter dans des situations d’urgence ; d'évaluer l'application des procédures Améliorées. La formation des besoins de formation des travailleurs en matière de S & ST et d’intervention d’urgence ; Mise en place de programmes de formation.  Évaluez la formation mise à jour. Répondre en cas où les exigences pertinentes des parties sont nécessaires tout en maintenant une bonne communication avec elles. S'efforcer de répondre aux meilleures exigences pertinentes des parties Intéressées tout en maintenant une excellente communication avec elles. Maintenir la relation avec les parties intéressées sans aucun effort.

Institut de santé et de Sécurité au Travail (ISST).

Les prestataires externes et leurs travailleurs.

Les responsables sécurité (Resp. QHDE à Maklada)

moins Pertinente)

3

3

2

6 (PI Pertinente)

3 9 (PI Pertinente)

Maison mére 3

3

9 (PI Pertinente)

Médias

Clients

Visiteurs

1

1

2

1

2

1

1 (PI non pertinente) 2 (PI non Pertinente) 2 (PI non

 Bonne gestion des risques liés à la S&ST De part de l’entreprise ;  Transparence, collaboration et facilitation Du travail des agents de contrôle et D’inspection compétents. Travail dans un milieu sain et sûr ; Information de leurs travailleurs sur les dangers et risques professionnels présents sur site et, si nécessaire, formation de ces travailleurs.

Assurer un environnement de travail sûr et sain pour assurer la responsabilité sociale. Formation et qualification en SST. Participation à des formations professionnelles permettant de développer leurs compétences. Prise en compte de leurs suggestions. Reconnaissance de leurs contributions. Etablissement et communication d’une stratégie de santé et sécurité au travail de l’entreprise claire et compréhensible. Amélioration continu de processus de SMS&ST Protection de l'environnement de travail (cherche les zéros d’accidents) Déontologie/ éthique Conformité aux exigences légales et réglementaires relative à la SST Assurer un environnement de travail sain et sûr pour faire face à sa responsabilité sociale.  Bonne gestion des risques liés à la S&ST de part de l’entreprise ; Performance en termes de santé, de sécurité et de livraison du produit Conformité aux exigences légales et réglementaires Assurer la protection du lieu de travail pendant la visite.

S'efforcer de répondre aux meilleures exigences pertinentes des parties Intéressées tout en maintenant une excellentecommunication avec elles.

Etudier les besoins des prestataires externes et de leurs travailleurs en information, sensibilisation et formation (à partir de l’identification des dangers, etc.). Planifier et établir des plans supports de communication, sensibilisation et formation pour les travailleurs.

Planifier et établir des plans supports de communication, sensibilisation et formation pour les travailleurs.  évaluer le respect par l'entreprise de ces exigences ;  prendre les mesures appropriées pour se conformer à ces exigences.

Conformité légale et réglementaire Faites un ensemble d'exigences légales Les règlements ; Évaluer la conformité de l'entreprise avec respect À ces exigences ; Effectuez les actions correctes pour Conformez-vous à ces exigences. Maintenir la relation avec les parties intéressées sans aucun effort.

Répondre en cas où les exigences pertinentes des parties sont nécessaires tout en maintenant une bonne communication avec elles. Répondre en cas où les exigences pertinentes des parties sont nécessaires

pertinent) Les assureurs

2

2

4 (PI plus ou moins pertinent)

Autorités légales et réglementaires

3

3

9 (PI Pertinente)

Conformité aux exigences légales et réglementaires relative à la SST Bonne gestion des risques liés à la S&ST de part de l’entreprise ; Préserver la santé et la sécurité au travail des travailleurs.

tout en maintenant une bonne communication avec elles. Maintenir une bonne communication avec les parties prenantes sans aucun effort.

Respect des loi et réglementations relatives à la S&ST ;  Bonne gestion des risques liés à la S&ST de part de l’entreprise ; Reporting et amélioration des performances S&ST de la société ; Transparence, collaboration et facilitation du travail des agents de contrôle et d’inspection compétents.

S'efforcer de répondre aux meilleures exigences pertinentes des parties Intéressées tout en maintenant une excellente communication avec elles.

Tableau : Détermination de PIP en fonction de leurs rentabilité, satisfaction clients et leurs influence SST.

Remarque  :

Faible Moyen Fort

PI non pertinente PI plus ou moins pertinent PI pertinente

Figure : résultat de pertinence de PI.

3. Détermination du périmètre d’application du système de management de la S&ST : Le champ d'application que nous avons choisi pour le système de gestion de la santé et de la sécurité au travail à mettre en œuvre à Maklada Eljem est le suivant : « Le système de management de la santé et de la sécurité au travail s'applique à tous les produits et services fournis par MAKLADA, notamment la réception, le traitement, la fabrication, les tests, la consommation, l’élimination, le stockage, l'expédition et la livraison des produits en acier ainsi que les activités de production d’énergie ». Photo

4. Système de management de la santé et de la sécurité au travail :

PROCESSUS Référence : PCS11

Edition: B

Date: 04/10/2018

Page. 30/4

GROUPE

Sante et Sécurité au travail

1. Objet  :

 Analyse des activités et des risques associés en Santé, Sécurité, générés par l’activité du de « Maklada groupe » pour la santé et sécurité au travail des salariés et de toutes personnes travaillant pour le compte de « Maklada groupe ».  Maitrisant ou influençant la manière dont les produits et services de l’organisme sont conçus, fabriqués, distribués, consommés et éliminés en adoptant une perspective de cycle de vie  Identifier les situations d'urgence potentielles afin d'être en mesure de réagir de manière rapide et efficace pour réduire tout impact sur l'homme et son environnement naturel et technique, en conformité avec la politique de « Maklada groupe » et les exigences du SMSST.

 Gérer les déchets solides et liquides et respecter les limites réglementaires des polluants.  Assurer la sécurité de bien être des travailleurs  Maitrise opérationnelle SST visant à diminuer les risques de chaque danger identifié.  Évaluer la conformité « Maklada groupe » par rapport à la réglementation en termes de SST. 2. Finalités du Processus  :

 Atteinte des objectifs définis pour le « SMSST ».  Respecter la réglementation.  Améliorer en permanence le processus SST.  Préserver la santé des personnels et des biens  Améliorer en permanence la Préparation et la Maîtrise des Situations d’Urgence et la Capacité à réagir.  Réduire les Impact de la pollution quel que soit sa nature en intervenant sur les émissions. 3. Pilote(s) de Processus  :

 Le Responsable du Service Sécurité du site assure la surveillance.  Les Responsables des Activités et les Pilotes de Processus veillent sur l’application des exigences définies. 4. Application  :

 Au niveau de l'ensemble du site et de son entourage. ETABLIS PAR :

VERIFIE PAR :

APPROUVE PAR  :

 Fonction : RSE  Nom : BEN SAID Salem & ZAHMOUL Houssem  Date  : 04/10/2018  Visa :

 Fonction : DG  Nom : CHAIEB Ammar  Date : 04/10/2018  Visa :

 Fonction : DGG  Nom :NAJAI Amor  Date : 04/10/2018  Visa :

5. Moyens  :

 Humains :Personnel Qualifié et en nombre suffisant selon l’Organigramme de la société.  Matériels  :Toutes les Ressources nécessaires pour le bon fonctionnement du Processus. 6. Contexte et Enjeux du Processus  :

 Absence de liaison avec l'ONAS (Maklada Eljem)  Présence de terrain agricole et décharge publique au voisinage (Maklada Eljem)  Absence des tests des simulations de situation d'urgence avec la protection Civile  Limite des moyens et capacités au niveau de l'hôpital communal d'Eljem. Enjeux Externes

 Forces majeures : intempérie, inondation, chaleur élevée, grève, …  Non disponibilité des collecteurs agrées.  Nouvelles Technologies.  Limite des moyens et capacités au niveau de l'hôpital communal d'Eljem  Nouvelles exigences Normatives et LR.  Contrôles réglementaires.

 Station de traitement des eaux usées  Fosse septique limitée  Zones de stockages des huiles usagées, des produits chimiques et des déchets solides  Qualification de l'équipe de premières 'interventions  Exploitation des résultats de suivi et de surveillance : simulation, Accident de travail, Enjeux Internes

incidents, ….

 Sensibilisation et communication au niveau des sous-traitants et visiteurs  Rigueur au niveau de l'application  Poussière, Bruit  Fuites et dégagement de gaz

7. Parties Intéressées  :

 Fournisseurs, Clients et sous-traitants Externes

 Visiteurs et intervenants externes  Autorités et Organismes Agréés  Tous les Processus du SMSST

Internes

 Equipe de 1ère intervention  Personnel

8. Données d’Entrée et de Sortie du Processus  :

Entrée (Début) 

Sortie (Fin)



 Politique S&ST  Attentes de parties intéressées  Plaintes de parties intéressées  Exigences de référentielle OHSAS 18001  Exigences réglementaires et Normatives applicables aux activités Maklada Groupe.  Identifier et évaluer les Risques SST  Formation et sensibilisation de personnel  Maitrise opérationnelle SST  Surveiller les sous-traitants  Surveiller la gestion des déchets  Résultats de mesures et surveillance des émissions  Personnel qualifié et dévoué pour le ramassage, le tri et le stockage.  Résultats de suivi et de surveillance des accidents et incidents  Historique des situations d'urgence et des simulations  Observation des situations à risque, incident, accident, déversement, intempérie, séisme, incendie, alarmes et autres.  Plan des Opérations Internes

 Prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles.  Préparer un plan d’urgence SST  Maitriser les situations d’urgence SST.  Rapport de situation d'urgence et plan d'action  Satisfaction des exigences des Clients et Partenaires,  Conformité avec les exigences Normatives, Légales et Réglementaires  Améliorer en permanence le processus SST  Maitrise opérationnelle santé et sécurité au travail  Plan d'action suite aux contrôles et surveillance des émissions  Besoin en ressources et en formation

9. Indicateurs du Processus :

1. Nombre de non-conformité relative à SST 2. Nombre de plaintes SST 3. Nombre des situations d’urgences relatives à la SST 4. Taux de conformité légale

10. Définition et Abréviations : AA : Action d’Amélioration

SMSST: Système Management SST

RD : Revue de Direction

RMSST: Resp. Management SST

MAR : Matrice Analyse des Risques

BT : Bureau Technique

RCQ  : Responsable Contrôle Qualité

RSE : Responsable Sécurité et Environnement

RP  : Responsable Production

MIAER : Matrice Identification Analyse et Evaluation des Risques SST

GMT  : Groupe de Médecine de Travail

LR : Légal & Réglementaire

11. Examen des Modifications : Edition

Fiche d’Identification des Modifications Modification

Date

A

05/10/2017

B

04/10/2018

Création - Nouvelle présentation dans le cadre de la mise en place du SMQSE selon les normes ISO-9001/2015 - ISO-14001/2015 et OHSAS18001/2007 - Processus regroupant les 3 processus PCS11-12-13: Modification des

indicateurs (mesurables). Tableau : Processus Santé et Sécurité au Travail.

II.

DETERMINATION DES EXIGENCES LEGALES ET AUTRES EXIGENCES APPLICABLES : 1. Définition de la veille règlementaire : La veille réglementaire, est une activité qui consiste à identifier parmi la production législative (nationale, européen et internationale) les nouveaux textes qui sont applicables à l'entreprise, et de définir les actions nécessaires à mettre en place pour se conformée à ces nouvelles exigences. La veille réglementaire couvre à la fois les domaines de la Qualité, sécurité des aliments, santé et sécurité au travail et l’environnement.

2. Détermination des exigences légales qui sont applicables à ses dangers et ses risques pour la SST et à son SMSST : L'identification et l'évaluation de la conformité aux exigences légales et aux autres exigences Applicables dans la phase initiale de la mise en œuvre du système nécessitent un Investissement important en termes de réglementation en matière de santé et de sécurité au Travail. La surveillance réglementaire et les actions qui en résultent continueront d'être une étape majeure dans la vie de la gestion de la SST. Afin de garantir un bon contrôle des activités liées à l'identification, à l'évaluation et au suivi des exigences légales et des autres exigences applicables, Nous présentons dans le tableau suivant le suivi des exigences identifiées au sein de la société Maklada Eljem :

Accidents de travail & maladies professionnelles

Etablissement Dangereux

Thème

Texte Chapitre VI (articles 293 à 324) : Les établissements dangereux, insalubres ou incommodes du code du travail 2018. Arrêté du ministre de l'industrie, de l'énergie et des petits et moyennes entreprises du novembres 2005, fixant la nomenclature des établissements dangereux, insalubres ou incommodes Arrêté du ministre de l'industrie et de la technologie du 23 février 2010, modifiant et complétant l'arrêté du ministre de l'industrie, de l'énergie et des petites et moyennes entreprises du 15 novembre 2005 fixant la nomenclature des établissements dangereux, insalubres ou incommodes. Arrêté du ministre de l'industrie et du Commerce du 25 janvier 2012, modifiant et complétant l'arrêté du ministre de l'industrie, de l'énergie et des petites et moyennes entreprises du 15 novembre 2005 fixant la Nomenclature des établissements dangereux, insalubres ou incommodes. Décret 2006 -2687 relatif aux procédures d’ouverture et d’exploitation des établissements dangereux, insalubres ou incommodes et qui abroge le décret 68-88 du 28/3/68(09/10/2006) Arrêté du 20 février 2010, fixant les termes de référence de l'étude de dangers et du plan d'opération interne relatives aux établissements dangereux, insalubres ou incommodes de première et de deuxième catégorie. (20/02/2010) Décret n° 2000-1989 du 12 septembre 2000, fixant les catégories d'entreprises tenues de désigner un responsable de sécurité au travail et les conditions devant être remplies par celui-ci Arrêté du ministre de l'intérieur du 16 Septembre 2013, fixant le contenu et la forme du registre de sécurité. Arrêté du ministre de l'intérieur du 16 Septembre 2013, fixant la composition de l'équipe de sécurité, ses attributions, les conditions de la mise en place dans les bâtiments ainsi que les conditions devant être remplies par les individus habilités à en faire partie Arrêté du ministre de l’intérieur du 16septembre 2013, fixant les documents constituant le dossier d'obtention de l'attestation de prévention ou de son renouvellement ainsi que le modèle de la dite attestation et du livre y réservé. Arrêté du ministre de l’intérieur et du ministre des finances du 25 septembre 2013, fixant le montant de la redevance exigible à la délivrance de l’attestation de prévention. Arrêté du 28 juillet 1988 Fixant les modalités de prise en charge par le fond des accidents de travail des prestations dues aux stagiaires en cas d'accidents de travail et de maladies professionnelles Loi n° 2009-11 du 2 mars 2009, portant promulgation du code de la sécurité et de la prévention des risques d’incendie, d’explosion et De panique dans les bâtiments (1). Arrêté du ministre des affaires sociales du 21 décembre 1994 réglementant le contenu du résumé de la loi n° 94-28 du 21 février 1994 relative au régime de réparation des préjudices résultant des accidents du travail et des maladies professionnelles Arrêté 21 décembre 1994 Arrêté du ministre des affaires sociales du 21 décembre 1994, fixant le modèle des formules de déclaration des travailleurs nouvellement recrutés et de déclaration trimestrielle des travailleurs.

Action

'- Formation 2ème degré pour responsable de sécurité - Formation 1èredegré pour chef d'équipe de sécurité - Dossier à transmettre à la protection civile (Article 09)

Bruit et nuisance sonore à vérifier Comité santé & Sécurité au travail

Loi n° 95-103 du 27 novembre 1995 modifiant et complétant la loi n° 94-28 du 21 février 1994 relative à la réparation des accidents du travail et des maladies professionnelles. Arrêté du 13 janvier 1995, fixant la formule de la déclaration de procédés du travail pouvant provoquer des maladies professionnelles ou la cessation de leur utilisation Arrêté du ministre des affaires sociales du 23 février 1995, fixant la formule de la déclaration des accidents du travail et des maladies professionnelles. Décret n° 84-1556 du 29/12/1984 Portant réglementation des lotissements industriels Arrêté du Secrétaire d'État aux Travaux Publics et à l'Habitat du 08 janvier 1966, Loi n° 94-29 du 21 février 1994, portant modification de certaines dispositions du code du travail. Décret n° 95-30 du 09 janvier 1995, relatif à la composition et au fonctionnement de la commission consultative d'entreprise et aux modalités d'élection et d'exercice des missions des délégués du personnel. Décret 68-71 du 14 mars 1968 Relatif à l'emploi des enfants de plus de 15 ans à des travaux légers Décret n° 68-83 du 23 mars 1968 Fixant la liste des travaux nécessitant une surveillance médicale spéciale

Conditions de travail

Décret n° 68-328 du 22 octobre 1968 fixant les règles générales d'hygiène applicables dans les entreprises soumises au code du travail

Décret 70-517 du 21 septembre 1970 Portant publication des conventions internationales du travail N° 59, N° 77, N° 117, N° 119, N° 120, N° 127 Loi 87-31 du 06 juillet 1987 Portant Ratification de la convention arabe n° 7 relatives à l'hygiène et à la sécurité au travail Loi N°92-114 du 30 novembre 1992 portant ratification du protocole dénommé "protocole de 1990 relatif à la convention sur le travail de nuit" Décret n° 96-190 du 05 février 1996, portant publication de la convention internationale n° 138 concernant l'âge minimum d'admission à l'emploi, adoptée à Genève le 26 juin 1973. Loi n° 96-62 du 15 juillet 1996, portant modification de certaines dispositions du Code du Travail Arrêté du 19 janvier 2000 fixant les types de travaux dans lesquels l'emploi des enfants est interdit Arrêté du ministre des affaires sociales, de la solidarité et des Tunisiens à l’étranger du 14 février 2007, relatif à la protection des travailleurs chargés du transport manuel de charge. Articles 333 à 334 du code du travail "loi N°95-128 du 7 octobre 1959 relative aux vêtements de travail dans l'industrie, le commerce et les professions libérales

Remettre en état et propreté les vestiaires * Fournir des armoires individuelles métalliques à + porte perforée en haut et en bas avec porte vêtement et fermant à clef : + Hauteur : 1 m .30 + Largeur : 0 m30 + Profondeur 0 m 40

Gestion des matières dangereuses

Décret n° 2004-1749 du 20 juillet 2004, fixant la liste et la définition des matières dangereuses de la classe 2 autorisées à être transportées par route et les conditions de leurs emballages, chargements et déchargements

Gestion et transport des matières dangereuses

Loi n° 97-37 du 2 juin 1997, relative au transport par Route des matières dangereuses

Remplir rapport d'activité annuelle d'un service de médecine du travail

Arrêtés du 27 octobre 2003, portant fixation des modèles de contrats de travail pour l'exercice de la médecine du travail dans un service autonome ou d'un groupement de médecine du travail.

Sécurité des équipements

Sécurité administrativ des Bâtiments es SST

Arrêté du 22 décembre 1998 fixant le modèle de l'indication signalant les endroits dans lesquels il est interdit de fumer

Transport routier

Procédures

Médecine du travail

Articles de 152 à 156 : Hygiène et sécurité des travailleurs "loi n96-62 du 15 juillet 1966, portant modification de certaines dispositions du code de travail" Décret n° 2000-1989 du 12 septembre 2000, portant organisation et fonctionnement des services de médecine du travail

Décret n° 64-422 du 18 décembre 1964 modifiant le décret n° 62-129 du 18 avril 1962, relatif aux prescriptions de sécurité dans l'industrie du bâtiment.

Arrêté du 16 janvier 1986 Portant homologation des normes tunisiennes relatives aux ascenseurs et monte-charge Décret N° 75-503 du 28 juillet 1975 portant réglementation des mesures de protection des travailleurs dans les établissements qui mettent en œuvre des courants électriques Arrêté du 12 juin 1987 déterminant les machines et éléments de machines qui ne peuvent pas être utilisé, mais en vente loués sans dispositifs de protection Décret du 12 juillet 1956 Portant réglementation sur les appareils à gaz Arrêté du Ministre du transport du 25 janvier 2000, relatif à l'immatriculation des véhicules, Décret n° 2000-148 du 24 janvier 2000, fixant la périodicité et les procédures de la visite technique des véhicules ainsi que les conditions de délivrance des certificats de visite technique et les indications qu’ils doivent porter. Décret n° 2000-151 du 24 janvier 2000, relatif aux règles générales de la circulation routière. Relatif aux règles générales de la circulation routière… JORT N°92 "Décret n° 2012-2759 du 13 novembre 2012, modifiant le décret n° 2000-147 du 24 janvier 2000 fixant les règles techniques d'équipement etd'aménagement des véhicules"

Mettre en conformité les plaques existants (cigarettes perpendiculaires et texte en arabe en bas du tableau) + affichage

Tableau : Identification des exigences légales et autres exigences applicables.