Comptabilité Analytique Ait Ali Hassan-1 [PDF]

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Zitiervorschau

Université Hassan II Casablanca – FSJES Ain Chock Comptabilité Analytique Semestre 3 (Ensemble 1 & 2)

I-

2016-2017

Introduction

La comptabilité analytique: complément de la comptabilité générale :

Comptabilité Analytique

Comptabilité Générale

1-

Hassan AIT ALI



La comptabilité générale est publiée et normalisée.



la comptabilité générale donne un résultat unique à posteriori à tous produits confondus, toutes activités confondues.



la comptabilité générale ne s’intéresse qu’aux flux externes (input – output)



La comptabilité analytique est « interne », elle s’adresse aux managers. Ses objectifs sont donc d’aider les managers dans leurs décisions.



La comptabilité analytique est libre et souple et n’est pas indispensable.



la comptabilité analytique aide à la connaissance des coûts supportés par l’entreprise.

Comparaison comptabilité générale / comptabilité analytique : Critères

Comptabilité générale

Comptabilité analytique

au regard de la loi

Obligatoire

Facultative

vision de l’entreprise

Globale

Détaillée

horizon

Passé

Présent, futur

flux observés

Externes

Internes

classement des charges

Par nature

Par destination

objectifs

Financiers

Economiques

règles

Règles normatives

Souples, évolutives

utilisateurs

Direction- tiers

Tous les responsables

nature de l’information

Précise-certifiée-formelle

Rapide, pertinente

M. Hassan AIT ALI

Comptabilité analytique

1

2- Les objectifs de la comptabilité analytique: 

La comptabilité analytique permet une analyse détaillée des flux de gestion pour une bonne prise de décision.



La comptabilité analytique détermine les responsabilités.



Aider les managers à optimiser le lien entre ressources et performance.



Elle permet de calculer les coûts intermédiaires et finaux et le calcul des coûts des biens et services produits.



Elle permet d’analyser la rentabilité afin de mesurer les variations de marges en fonction des étapes de la production.



Elle traite les charges pour une meilleure connaissance du cycle de l’exploitation.



Fournir aux responsables une information cohérente, pertinente et fiable pour aider à prendre de bonnes décisions tactiques et stratégiques dans son champ de responsabilités; et pour assurer le contrôle de gestion de l’organisation. 3 -Les caractéristiques des coûts

Vocabulaire : - Un prix est le résultat d’une transaction avec une personne extérieure à l’entreprise - Une charge est une consommation de ressources par l’entreprise - Un coût est une accumulation de charges sur un produit ou un service. 

Selon le CGNC « un coût est une somme des charges relatives à un élément défini au sein du réseau comptable ». Donc un coût correspond à l’accumulation des charges sur un produit



On peut classer les coûts selon plusieurs typologies : a- Selon le stade d’élaboration du produit (coût d’achat / de production / de revient) : 

D’un coût par moyen d’exploitation: magasin, atelier, usine….



Un coût par production : l’ensemble du produit, famille du produit.



Autres coûts : par région, par catégorie de clients

b-Selon le moment de calcul du coût : On distingue : 

les coûts constatés, calculés à partir des charges réelles



et les coûts préétablis, calculés à partir d’estimations ou d’hypothèses.

c- Selon la nature des charges prises en compte dans le coût (coût complet / partiel) : Le plan comptable distingue ainsi 2 familles de coûts: les coûts complets et les coûts partiels.

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Les coûts complets : ils sont constitués par la totalité des charges relatives à l’objet du calcul,



Les coûts partiels : se sont des coûts obtenus en incorporant qu’une partie des charges pertinentes en fonction du problème à traiter, il existe 2 grandes catégories coûts partiels : le coût variable et le coût direct

Comptabilité analytique

2

Chapitre 1 : La méthode des coûts complets 

La méthode des coûts complets permet de déterminer le coût de revient d’un produit fabriqué ou commercialisé par l’entreprise. Ce coût est égal à toutes les charges supportées par l’entreprise durant le processus de production ou de commercialisation.



Le calcul d’un coût complet nécessite de répartir les charges indirectes entre les différents produits.



La méthode des coûts complets préconise un calcul de coût par stade de fabrication qui doit respecter la réalité du processus de production de chaque entreprise.



On parle de calcul de coûts complets lorsque ces coûts calculés tiennent compte de toutes les charges supportées par l'entreprise, I : Les charges de la comptabilité analytique

Les charges de la comptabilité générale subissent des retraitements avant d’être intégrées dans les coûts, ces retraitements ont pour objet soit : 

d’éliminer certaines charges : les charges non incorporables.



d’en créer d’autres (charges supplétives)

Les charges non incorporables Il s'agit de charges comptabilisées en classe 6, mais qui ne correspondent pas à une exploitation normale de l'entreprise: 

Prime d’assurance vie du dirigeant,



Les dotations aux amortissements des immobilisations en non- valeurs.

En

général,

toutes

les

charges

non

courantes

constituent

les

charges

non

incorporables.

Les charges supplétives : Ce sont des charges incorporées aux coûts bien qu’elles ne figurent pas en comptabilité générale pour des raisons juridiques et fiscales. Elles sont au nombre de deux: 

C'est le cas des capitaux propres dont la rémunération ne fait pas partie des charges de la comptabilité générale.



De même, dans une entreprise individuelle, la rémunération de l'exploitant qui n'est pas salarié, doit être incluse dans le calcul des coûts. Charges de la C.A = Charges de la C.G – Charges non incorporables + Charges supplétives

Les charges incorporables sont ensuite scindées en deux groupes: les charges directes et les charges indirectes :

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Charge directe : peut être affectée sans ambiguïté au coût d’un produit (exemple : matières premières)



Charge indirecte : nécessite un calcul préalable (exemple : loyer d’un atelier dans lequel plusieurs produits sont fabriqués).



Charge fixe : constante quelque soit le volume d’activité de l’entreprise (loyer).



Charge variable : fonction de l’activité de l’entreprise (matières premières)

Comptabilité analytique

3

Exemple de charges : Charges Directes

Indirectes

Variables

Fixes

Matières premières

Amortissement des machines spécifiques

Certains frais de personnel

Certains frais de personnel

Consommables

Frais administratifs

Energie

La constitution des coûts par étape fait apparaître : - Un ou des coûts d’approvisionnement ou d’achat - Des coûts de production - Des coûts de distribution A- le coût d’achat : Il comprend les charges directes (prix d’achat HT) et les charges indirectes imputées au centre d’approvisionnement: Coût d’achat= Prix d’achat HT + Charges sur achats B- Coût de production : Il comprend: 

Le coût d’achat des matières premières



Les autres charges directes (coût de la main d’œuvre).



Les charges indirectes relatives à la production. Coût de production = Coût d’achat des matières consommées + Autres charges de production

C- Le coût de revient : Le coût de revient = Coût de production des produits vendus + charges de distribution

Résultat Analytique = Ventes – Coût de revient

Rappel: Un calcul de coût en cohérence avec l’organisation

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Comptabilité analytique

4

II : L’inventaire permanent : Définition du Stock : « Un stock est l’ensemble des marchandises ou des articles accumulés dans l’attente d’une utilisation ultérieure plus ou moins proche et qui permet d’alimenter les utilisateurs au fur et à mesure de leurs Besoins ». On peut classer les stocks en deux grandes catégories: Les stocks «en amont du processus d’exploitation »: 

les marchandises, à revendre en l’état ;



les approvisionnements, à transformer (matières premières) et à utiliser ;



au cours du processus d’exploitation (matières et fournitures, consommables, emballages commerciaux).

Les stocks «en aval du processus d’exploitation »: 

Les produits en cours,



Les produits intermédiaires (« semi-finis»),



Les produits finis,



Les produits résiduels (déchets).

Les méthodes d’inventaire des stocks : L’inventaire des stocks peut être effectué selon deux méthodes : -

L’inventaire intermittent :

Ce type d’inventaire est préconisé par la comptabilité générale, il implique l’évaluation périodique des stocks restants au moment des opérations d’inventaire physique, opérées généralement chaque fin d’exercice. -

L’inventaire permanent :

Cette Méthode est préconisée par la comptabilité analytique en raison de sa plus grande précision. Il s’agit d’un inventaire comptable qui permet de connaître à tout moment les mouvements enregistrés et de connaître de manière continue les existants en stock en quantité et en valeur. L’évaluation des sorties en stock : Méthode des coûts moyens pondérés : avec 2 approches : -Méthode du coût moyen unitaire pondéré après chaque entrée (C.M.U.P) . - Méthode du coût moyen pondéré de période de stockage. Méthode du premier entré premier sorti (FIFO) Méthode du dernier entré, premier sorti (LIFO)

1 - Coût moyen unitaire pondéré après chaque entrée : A chaque entrée de stock, on calcule le CMUP compte tenu des nouvelles entrées et du stock précédent.

𝐂𝐌𝐔𝐏 =

( 𝐕𝐚𝐥𝐞𝐮𝐫 𝐬𝐮 𝐬𝐭𝐨𝐜𝐤 𝐢𝐧𝐢𝐭𝐢𝐚𝐥 𝐚𝐯𝐚𝐧𝐭 𝐥’𝐞𝐧𝐭𝐫é𝐞 + 𝐯𝐚𝐥𝐞𝐮𝐫 𝐝𝐞 𝐥’𝐞𝐧𝐭𝐫é𝐞) (𝐐𝐮𝐚𝐧𝐭𝐢𝐭é 𝐝𝐮 𝐬𝐭𝐨𝐜𝐤 𝐢𝐧𝐢𝐭𝐢𝐚𝐥 𝐚𝐯𝐚𝐧𝐭 𝐥’𝐞𝐧𝐭𝐫é𝐞 + 𝐐𝐮𝐚𝐧𝐭𝐢𝐭é 𝐝𝐞 𝐥’𝐞𝐧𝐭𝐫é𝐞)

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Comptabilité analytique

5

Application : Les mouvements de stock de la matière « M », pour le mois de Mars, sont les suivants : 01/03 : stock initial 7000 Kg à 6DH/Kg 04/03: bon de sortie n°10 : 5000 Kg 10/03 : Réception de 4000 Kg à 6,20Kg 15/03 : bon de sortie n°11: 5500Kg 20/03 : Réception de 5000 Kg à 6,28Kg 29/03 : bon de sortie n °12:4400 kg Les frais relatifs à la réception du stock s’élèvent à 0,50DH/Kg

CMUP après chaque entrée :

2 - Coût moyen unitaire pondéré en fin de période : La méthode du « coût moyen unitaire pondéré » consiste à valoriser les sorties de stock par une moyenne pondérée des achats (qui intègre le coût du stock initial). La formule utilisée pour évaluer le CMUP est la suivante :

∑ (SI v + Entrées v) CMUP = Application : Les données

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∑ (SI q + Entrées q )

Comptabilité analytique

de l’application précédente:

6

Méthodes d’épuisement des lots : Cette catégorie de méthode se base sur la notion de lot, défini comme un ensemble de biens (Marchandises, matières premières, produits finis…) ayant la même valeur unitaire d’entrée. On distingue deux méthodes : FIFO - LIFO

3-Méthode du premier entré premier sorti (FIFO) : Dans cette méthode, les sorties seront valorisées au coût de l’article le plus ancien en stock. Le Stock final est valorisé au dernier coût d’acquisition. Date

Libellés

01/01

SI

03/01

Sortie

12/01

Entrée

28/01

Entrées 5000

10

Sorties

50000 2500

6000

12

10

25000

72000

Sortie

11000

Stocks

122000

2500

10

25000

500

12

6000

5500

56000

5000

10

50000

2500

10

25000

2500

10

25000

6000

12

72000

5500

12

66000

5500

66000

4- Méthode du dernier entré, premier sorti (LIFO : Cette méthode utilise le principe opposé de la première méthode FIFO. C’est-à-dire que les sorties seront valorisées au prix de l’article entré le plus récemment en stock. Date 01/01 03/01 12/01

SI Sortie Entrée

Libellés

28/01

Sortie

5000

Entrées 10 50000

6000

12

11000

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Sorties 2500

10

25000

3000

12

36000

72000

122000

Comptabilité analytique

5500

61000

5000 2500 2500 6000 2500 3000 2500 3000

Stocks 10 10 10 12

50000 25000 25000 72000

10 12 10 12

25000 36000 25000 36000

7

Schéma global de la méthode des coûts complets

III: La méthode des centres d’analyse 1-Précision : Pour déterminer le coût de revient d’un produit il faut alors: -Connaître les charges directes relatives à ce produit -Connaître les différentes charges indirectes relatives au produit 2-Définition : Un centre d'analyse est un pôle de regroupement de charges indirectes, correspondant à des tâches homogènes. La méthode des centres d’analyse est une méthode de calcul du coût complet d’un produit. Elle consiste à analyser les charges incorporables en termes de charges directes et indirectes.

Deux critères pour la définition d’un centre d’analyse: 

Ils doivent correspondre autant que possible à une division réelle (centre de travail) de l’entreprise ou à l’exercice d’une responsabilité (centre de responsabilité).



les charges totalisées dans un centre doivent avoir un comportement commun de telle sorte qu’il soit possible de déterminer une unité de mesure de l’activité de chaque centre.

3Typologie : On distingue 2 grands types de centres d’analyse: - Les centres principaux : Ce sont des centres qui fonctionnent au profit des coûts, ils ont un lien direct avec le cycle d’exploitation de l’entreprise. Exemple : centre approvisionnement, centre production, centre distribution. - Les centres auxiliaires : Ce sont des centres qui fonctionnent au profit des centres principaux, ils n’ont pas de lien direct avec le cycle d’exploitation. Exemple : centre entretien, centre gestion de personnel, centre gestion de matériel…

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Sections principales

Sections auxiliaires

Sections de structures

Ces sections fournissent des prestations directement aux activités principales de l’entreprise (approvisionnement, production, distribution)

Ce sont des sections dont l’activité profite à d’autres sections

Ce sont des sections dont l’activité ne peut être mesurée au moyen d’une unité de mesure physique

Schéma directeur de la méthode :

in Ch co ar rp ge or s ab le s

Charges directes

Affectation

Coût d’approvisionnement

Charges indirectes

Coût de production

Coût de distribution

Retraitement Répartition primaire et secondaire

Imputation

4-Le choix des unités d’œuvre :  les unités d’œuvre sont des unités de mesure de l’activité des centres d’analyse. 

L’UO doit avoir un lien le plus étroit possible avec le volume d’activité de la section analytique, et donc avec le montant de ses charges.

Les unités d’œuvre couramment utilisées sont : 

L’heure de main d’ouvre directe: rattachement de la prestation fournie à la MO consacrée au produit.



L’heure machine: heure de fonctionnement du four, d’un ordinateur…



L’unité de produits élaborés: nombre de produits fabriqués…



L’unité de fourniture travaillée dans le centre de travail, exp : unité de poids, de volume, de surface, de longueur, kg de matières premières consommées

Unité d’œuvre : 

unité physique (nombre de produits fabriqués)



unité de temps (HMOD)



unité monétaire (100 Dhs de chiffre d’affaires) 𝐂𝐨û𝐭 𝐝𝐞 𝐥’𝐮𝐧𝐢𝐭é 𝐝’œ𝐮𝐯𝐫𝐞 =

𝑻𝒐𝒕𝒂𝒍 𝒅𝒆𝒔 𝒄𝒉𝒂𝒓𝒈𝒆𝒔 𝒊𝒏𝒅𝒊𝒓𝒆𝒄𝒕𝒆𝒔 𝒅𝒖 𝒄𝒆𝒏𝒕𝒓𝒆 𝑵𝒐𝒎𝒃𝒓𝒆 𝒅’𝒖𝒏𝒊𝒕é 𝒅’œ𝒖𝒗𝒓𝒆

Une fois les unités d’œuvre choisies, on calcule pour chaque centre d’analyse le coût d’une unité d’œuvre et on impute ainsi à chaque produit une quote-part des charges indirectes au prorata du nombre d’unités d’œuvres consommées : Charges indirectes imputées = Nombre d’U.O

consommées * coût d’une U.O

On peut alors calculer le coût complet en additionnant les charges directes et indirectes imputées au produit : Coût complet = Coût direct + Coût indirect

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5-Procédure de traitement des charges indirectes dans les centres d’analyse : Les charges indirectes sont traitées dans un tableau appelé « tableau de répartition des charges indirectes ». Il se compose de trois parties : 

Répartition primaire,



Répartition secondaire,



Unités d’œuvre.

La répartition des charges indirectes se fait alors en deux étapes : 

La répartition primaire : elle consiste à répartir les charges indirectes sur tous les centres qu’ils soient principaux ou auxiliaires.



La répartition secondaire : les coûts des sections auxiliaires sont répartis entre les différentes sections principales

Exemple : La répartition primaire consiste à répartir les charges incorporées entre les différents centres d’analyse au moyen de clés de répartition.

Prestations réciproques Lorsqu’un centre auxiliaire A (ex : énergie) réparti une partie de ses coûts à un autre centre auxiliaire B (ex : entretien) et que ce centre auxiliaire B réparti une partie de ses coûts au centre auxiliaire A, l’on est en présence de prestations réciproques.

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Il faut utiliser un système de 2 équations à 2 inconnues. Exemple : Soit x : le centre énergie Soit y : le centre entretien 

x=700+5% y



y=650+10% x



x=700+0,05(650+0,1x)



0,995x=732,5



y=650+10%(736,18)



x=732,5/0,995



y=650+73,62



x=736,18



y= 723,62

(700 est le montant de la répartition primaire et 5% la part reçue du centre entretien ) (650 est le montant de la répartition primaire et 10% la part reçue du centre énergie) (On remplace y par sa valeur de manière à n’avoir plus qu’une seule inconnue).

Le montant du centre énergie est de 736,18 et celui du centre entretien 723,62

On peut ensuite procéder à la répartition secondaire, au calcul du coût des UO et à la répartition des charges indirectes. Le coût d’unité d’œuvre ou le taux de frais Lorsque l’on est en présence d’une unité d’œuvre, on calculera un coût d’unité d’œuvre et lorsque l’on est en présence d’une assiette de frais on calculera un taux de frais. 

Le terme « Unité d’œuvre » est réservé aux unités d’œuvres physiques.



Dans le cas d’unités d’œuvre monétaires, on utilise le terme: « taux de frais »

Coût d’unité

Taux de frais

d’œuvre

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Résumé : Calcul des coûts complets On calcule généralement un coût à chaque étape du cycle de production.

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