CCTP - Travaux D'éclairage Public Des Voies Routières - SIEL [PDF]

Zitiervorschau

Objet de la négociation : LOT NK Travaux d'éclairage public des voies routières, des aires de sport, des espaces publics et des monuments. Programmes 2005 à 2008 inclus

C.C.T.P. Cahier des Clauses Techniques Particulières

Maître d'ouvrage : Syndicat Intercommunal d'Energies du département de la Loire (SIEL) 5, rue Charles de Gaulle - 42021 SAINT-ETIENNE cedex 1 Tél. : 04 77 43 89 00

Fax : 04 77 43 89 53

e-mail : [email protected]

SOMMAIRE ARTICLE 1. 1.1. 1.2. 1.3. 1.4.

ARTICLE 2. 2.1. 2.2.

ARTICLE 3. 3.1. 3.2. 3.3. 3.4. 3.5. 3.6. 3.7.

DÉFINITION DE LA PRESTATION

3

Description des ouvrages Domaine d'intervention Consistance des travaux Conditions générales d’exécution

3 3 3 3

NORMES ET RÈGLES TECHNIQUES

4

Normes Règles techniques

4 5

ETUDES D’EXECUTION

6

Visite préalable Dossier d’étude préliminaire Dossiers techniques et administratifs divers Dossier d’étude définitive Dossier d'autorisations de passage Présentation informatique des études d'exécution Éclairage artistique des monuments et sites

6 6 7 8 9 9 10

REALISATION DES TRAVAUX

10

Terrassements et tranchées Pose de câbles Pose de supports d'éclairage public Lanternes Luminaire ou lanterne posé en façade Raccordements - Branchements Luminaire posé sur un candélabre Luminaire posé sur poteau Dépose et suppression des foyers existants Mise à la terre des installations Tableau EP Ballasts - Amorceurs Coffret EP Raccordement des tableaux d'Éclairage Public Ensemble de commande et de comptage Contrôles - Mesures - Essais Provenance et qualité des matériaux

10 10 10 10 10 10 10 10 10 10 10 10 10 10 10 10 10

ARTICLE 5.

CONTROLE PAR LE MAITRE D’OUVRAGE

10

ARTICLE 6.

DEROGATIONS AUX TEXTES GENERAUX

10

ARTICLE 4. 4.1. 4.2. 4.3. 4.4. 4.5. 4.6. 4.7. 4.8. 4.9. 4.10. 4.11. 4.12. 4.13. 4.14. 4.15. 4.16. 4.17.

ANNEXE I AU CCTP

10

ANNEXE II AU CCTP

10

ANNEXE III AU CCTP

28

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ARTICLE 1

DÉFINITION DE LA PRESTATION

Le présent Cahier des Clauses Techniques Particulières fixe les dispositions techniques nécessaires à la conception et à la réalisation des travaux d’éclairage public, équipements et travaux annexes, demandés par les communes ou leurs groupements, dont le Syndicat Intercommunal de l’Energies du département de la Loire (S.I.E.L.) assume la maîtrise d'ouvrage au titre de ses programmes 2005 à 2008.

1.1. Description des ouvrages Les spécifications techniques et descriptives des ouvrages sont précisées dans chaque commande et ses ordres de service et consistent en général en : - l’installation d’appareils d'éclairage public et de signalisation électrique de toute nature sur supports existants ou à implanter et sur immeuble, de dispositifs de commande, et tous leurs accessoires, etc., - l’exécution des canalisations d'alimentation électrique soit aériennes ou souterraines, et leur raccordement d'une part, aux appareils d'éclairage, d'autre part, au réseau de distribution électrique, ou modification d’installations existantes, - la réalisation de branchements aériens, aérosouterrains ou souterrains, - l’exécution de travaux de mise en lumière des monuments ou des sites, - l’éclairage des voies routières, des espaces publics, et des installations sportives extérieures, - la réalisation des infrastructures nécessaires télécommunication et de vidéocommunication,

aux

canalisations

de

- la réalisation des travaux connexes nécessités par une coordination de chantier et impératifs pour son avancement.

1.2. Domaine d'intervention Ces travaux concernent l'ensemble du territoire des communes adhérentes au SIEL, y compris celles qui adhéreront en cours de marché, ainsi que leurs groupements.

1.3. Consistance des travaux Les prestations demandées au titulaire du marché concernent : - soit l’établissement d’études, - soit la réalisation de travaux, - soit l’exécution d’études et de travaux.

1.4. Conditions générales d’exécution Les études et travaux seront exécutés conformément aux projets dressés par l'entreprise sur directive du SIEL.

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Ils seront exécutés conformément aux règles de l'art en observant : - les conditions que le SIEL jugera à propos d'imposer, à titre spécial, tant au point de vue de la sécurité en général, que dans le but d'éviter des troubles dans les fonctionnements des Services Publics, - les prescriptions contenues dans le présent Cahier, - les bons de commande donnant le détail des travaux à exécuter et fixant la nature des matériaux à approvisionner, - la prise en compte des observations éventuelles émises par le SIEL suite aux réceptions de devis. L’entrepreneur recherche, d’une manière générale, et par ordre de priorité décroissant : - les dispositions techniques permettant d’assurer la sécurité des personnels et des tiers lors de la construction des ouvrages et lors des interventions ultérieures d’exploitation et de maintenance, - l’intégration optimale des ouvrages dans l’environnement, - les dispositions techniques permettant d’éviter les interruptions de fourniture d’électricité en cours de travaux ou lors de la mise en service, - l’implantation sur domaine public en limite en évitant les surplombs de propriétés privées pour les ouvrages BT, EP, FT ou vidéocommunication, - la mixité des ouvrages aériens avec les réseaux de télécommunication et de vidéocommunication ou souterrains. Par ailleurs, il devra se conformer aux modalités du plan général de prévention prévu par le Décret du 20.02.92 ou si les conditions générales d'application sont réunies au plan général de coordination, de sécurité et de santé prévu par le Décret du 26.12.1994 issu de la loi du 31.12.1993.

ARTICLE 2 2.1.

NORMES ET RÈGLES TECHNIQUES Normes Pour l'exécution des travaux, l'Entrepreneur est soumis au respect des normes et textes en vigueur le premier jour du mois d'établissement des prix, et notamment : - NFC 11-201 d’octobre 1996 relative aux règles d'exécution des réseaux aériens et souterrains HT et BT et des postes de transformation HT/BT, et annexe relative aux appuis communs, - NFC 12-201 relative à la protection contre les risques d’incendie dans les établissement recevant du public, - NFC 13-100 relative aux postes d’abonnés moyenne tension, - NFC 14-100 relative aux installations de branchements de première catégorie comprises entre le réseau de distribution d'énergie électrique et l'origine des installations intérieures des abonnés, - NFC 15-100 relative aux règles d'exécution et d'entretien des installations électriques basse tension. - NFC 17-200 / 17-202 / 17-205 / 17-210 relatives à l'éclairage public.

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Les qualités, les caractéristiques, les types, dimensions et poids, les procédés de fabrication, les modalités d'essai, de marquage, de contrôle et de réception des matériaux, des produits ou des matériels mis en oeuvre sont conformes aux normes françaises en vigueur le jour de la commande des travaux.

2.2.

Règles techniques - Arrêté interministériel du 2 avril 1991 relatif aux conditions auxquelles doivent satisfaire les distributions d'énergie électriques, et arrêtés modificatifs ainsi que les nouvelles conditions techniques fixées par arrêté du 17 mai 2001 entrées en vigueur le 13 décembre 2002. - Guide technique de la distribution publié par EDF, - Guide technique SETRA étude et réalisation des tranchées, - Règlements de voirie établis par les gestionnaires de la voirie, - Arrêté du 4 juin 1996 relatif à la qualification des opérateurs qui soudent le polyéthylène dans le domaine soumis à l’arrêté du 2/08/1997, étendu aux installations de réseau et branchements, - Arrêté du 13 juillet 2000 portant règlement de sécurité de distribution de gaz combustible par canalisations, - Publications UTE : .

UTE C 18-510 « Prescriptions de sécurité applicables aux travaux de construction, d’exploitation et d’entretien des réseaux de distribution et des ouvrages de production d’énergie électrique soumis au contrôle technique du Ministère chargé de l’énergie électrique »,

.

UTE C 18-520 « Instruction générale pour l'exécution des travaux sous tension sur les réseaux de distribution d'énergie électrique soumis au contrôle technique du Ministère chargé de l'énergie électrique »,

.

UTE C 18-530 « Carnet de prescription de sécurité électrique destiné au personnel habilité non électricien (B0, M0), exécutant (B1, M1), chargé d’intervention (BR),

.

UTE C 18-533 « Condensé de la Publication UTEC C 18-513 à l'usage de l'exécutant »,

.

Cahier des clauses techniques générales applicables aux travaux d'électrification en zones rurales, constitué par la norme NF C 11-201, ses annexes, additifs et guides d'utilisation (CCTG) de septembre 1991,

.

Cahier des Clauses Techniques Générales (CCTG) applicable aux travaux d’infrastructures de télécommunications tel qu’il est défini par le décret N° 93-1164 du 11 octobre 1993 modifié par le décret N° 96-420 du 10 mai 1996.

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ARTICLE 3 3.1.

ETUDES D’EXECUTION Visite préalable A chaque commande le maître d'oeuvre remet à l'entrepreneur les bases de l'avant-projet des travaux correspondants. Il est ensuite programmé une visite préalable en accord avec le Maître d'œuvre qui choisira d’y associer, suivant nécessité, les concessionnaires exploitants, gestionnaires des différents réseaux ou voiries éventuellement, ainsi que le maire ou son représentant. Celle-ci permet une entente entre les différents intervenants sur les dispositions à adopter. Un compte-rendu est rédigé par le Maître d’œuvre. Cette visite pourra dans certains cas, pour aider à l’élaboration de l’avant-projet, être anticipée par rapport à la commande. A partir de cette visite préalable, l'entrepreneur procède à l'établissement des pièces et devis prévus ci-après, dans les délais indiqués à l'article 4 du Cahier des Clauses Administratives Particulières. Des essais de mise en lumière d'un espace public ou d'un monument peuvent être programmés par le maître d'ouvrage, nécessitant la présence du maître d'oeuvre. Ils feront l'objet d'une rémunération spécifique.

3.2.

Dossier d’étude préliminaire Il tiendra compte des éléments relatifs à l’avant-projet, la visite préalable et de toutes les instructions données par le maître d’oeuvre. Il sera composé du dossier d’étude d’exécution établi conformément aux normes en vigueur. Il sera transmis pour vérification en deux exemplaires au maître d’oeuvre. Il comportera les éléments figurant ci-après qui reprennent tous les articles devant figurer au devis estimatif par tronçons spécifiques entre repères :

- 2 exemplaires de plan de l’étude dressés à l’échelle 1/200 ou 1/500, toutes longueurs confondues (photocopies de plan exclues), - le cheminement des câbles souterrains, - la recherche des canalisations existantes, - l’emplacement des candélabres, des bornes de balisage, socles et coffrets, - la nature et la section des câbles, le tableau des conducteurs à poser, déposer, reposer, - l’armoire de commande avec descriptif du matériel installé, - la fiche de renseignements (commune, intitulé des travaux), - le calcul (si demandé par le maître d’œuvre) : de la section des conducteurs, des chutes de tension, des consommations prévisionnelles, - la technique utilisée (classe I, classe II), - les mesures de résistivité des sols avec schéma et valeurs des terres, - les notes de calcul des supports des réseaux de distribution électrique, CCTP Éclairage Public 2005/2008 Lot NK Procédure Négociée

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- l’étude d’éclairement en fonction du site avec notamment (si demandé par le maître d’œuvre) les calculs d’éclairement, de luminance, d’uniformité, du confort, d’éblouissement. - la représentation photographique, Les notes de calcul (annexe I) seront jointes au dossier d’étude préliminaire. Par ailleurs, pour certains travaux en coordination avec d’autres réseaux, il pourra être demandé le représentation des coupes types de tranchées et un tableau des terrassements en fonction de ces coupes types.

3.3. Dossiers techniques et administratifs divers Après approbation de l’étude préliminaire par le maître d’oeuvre (retour d’un exemplaire avec éventuelles observations), l'entrepreneur établira pour chaque commande les dossiers de demande d'autorisation de construire pour l'application des articles 49 et 50 du décret du 29 juillet 1927, modifié le 14 août 1975. L’entrepreneur établit pour le compte du SIEL, dans les délais définis à l’article 4.1.2. du CCAP, pour chaque commande et en nombre d’exemplaires précisés à l’approbation de piquetage, les dossiers ci-après qui doivent être accompagnés de l’ensemble des conventions d’autorisation de passage. Ces dossiers seront établis en nombre et en forme demandés par le service du Contrôle des Distributions d'Energie Électrique. Ils devront être présentés au nom du Syndicat Intercommunal d'Énergies du département de la Loire. Ils seront remis directement au S.I.E.L., qui en assurera la ventilation. Une copie du bordereau sera adressé à l’Entrepreneur pour information. Ils comprendront :

► pour les Articles 50 : -

1 mémoire descriptif, 1 état de renseignements, 1 plan d'ensemble au 1/10000 avec un extrait de carte au 1/50000, les plans de piquetage et éventuellement les profils en long, 1 dossier technique avec le dessin des ouvrages et la note de calculs, - 1 état des traversées des voies publiques, des lignes de télécommunication et des lignes d'énergie. Š en 14 exemplaires et éventuellement plus en cas de nécessité sur demande du maître d’œuvre.

► pour les Articles 49 : - le dossier d’étude d’exécution, - 1 plan de situation au 1/10000, Š en 19 exemplaires

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Nota Bene : Pour les projets ne comportant que de l’éclairage public, une procédure Article 50 simplifiée sera mise en œuvre. La consultation se fait sous la forme d’un Article 50 mais le contenu du dossier est celui d'un Article 49. 6 exemplaires sont à fournir.

►

pour les dossiers de traversées : Une convention avec le maître d'ouvrage pour les voies ferrées, voies navigables, forêts soumises au régime forestier et voies autoroutières.

Dans le cas d’un dossier coordonné avec le réseau basse tension, seule la lettre d’envoi de l’article 49 ou 50 sera jointe au dossier d'éclairage. Éventuellement : ƒ Un dossier de servitudes dressé conformément aux dispositions réglementaires en vigueur : ce dossier sera établi en quatre exemplaires à la demande du maître d’oeuvre. ƒ Un dossier de permis de construire ou déclaration de travaux exemptés de permis de construire, conformément aux dispositions réglementaires en vigueur.

3.4. Dossier d’étude définitive Le dossier d’étude définitive sera établi en un exemplaire, comprenant les mêmes pièces que le dossier d’étude préliminaire. Un deuxième exemplaire sera nécessaire lorsque le projet associe le réseau France Télécom. Il tiendra compte des observations formulées par le maître d’oeuvre, ainsi que celles consécutives à la consultation Article 49 ou 50. Si des modifications doivent être apportées, un exemplaire supplémentaire sera nécessaire. Il comprendra de plus : - le devis estimatif des travaux, établi sur la base des prix du marché et des quantités figurant au dossier de piquetage. Ce devis devra avoir une exactitude absolue et comporter différents sous-chapitres (cf. annexe II présentation de devis). - ainsi que tout autre découpage lié à la nature ou au financement des travaux, selon précisions du maître d’œuvre, apportées lors de la commande ou de la visite de pré piquetage. Il sera actualisé sur la base des derniers indices connus au moment de la présentation du décompte définitif. Tout ouvrage non prévu à ce dossier et qui aurait été exécuté sans un accord écrit ne sera pas pris en compte lors de la présentation du décompte définitif. Les plans seront fournis avec les légendes conventionnelles pour les lignes à construire, à déposer ou existantes.

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3.5. Dossier d'autorisations de passage Il appartiendra à l'entrepreneur de rechercher les autorisations de passage et de mise à disposition de terrain nécessaires à l'obtention des droits de passage, de surplomb ou d'appui sur immeubles. Ces autorisations seront établies en autant d’exemplaires originaux que de parties (propriétaires, nu propriétaires, tous les propriétaires en cas d’indivision ou de co-propriété) plus un pour la publication. L’utilisation des modèles de convention cités ci-après, est obligatoire. - convention de servitude pour ouvrage de distribution d’électricité réseaux électriques (BT ou HTA), type AER85 pour surplomb de câble, implantation de poteau ou coffret, reprise de branchements, canalisations souterraines, - convention de mise à disposition d’un terrain pour l’implantation d’un poste de transformation de courant électrique ou armoire, - autorisation de passage de réseau d’éclairage public pour l’implantation de point d’éclairage et la fixation de câbles, - autorisation de reprise de branchement téléphonique pour la reprise d’adduction téléphone d’un particulier à utiliser uniquement dans le cas où il n’y a pas de reprise de branchement électrique. Toutes les rubriques de ces documents doivent être complétées et ce de manière lisibles et sans ratures. L’ensemble des conventions d’une même opération sera impérativement regroupé sur un état récapitulatif comportant le nom de l’opération, le n°dossier du SIEL, le lot l’année du programme, le n° du plan et sera accompagné d’un extrait de plan cadastral ainsi que d’un document photographique en cas de branchements et d’implantation de coffrets pour chaque parcelle concernée. Ces documents seront fournis après la signature du marché et devront être adressés au Maître d’œuvre avant tout commencement d'exécution. L'entrepreneur reste responsable des poursuites qui pourraient être intentées par les propriétaires et les indemnités qui pourraient en résulter dans le cas où il aurait pénétré sur le terrain et où il aurait commencé l'exécution des travaux avant la signature des autorisations de passage ou de surplomb ou encore avant l'établissement des servitudes. L'entrepreneur est également responsable des dommages causés aux propriétaires qui ne seraient pas couverts par des actes d'acquisition ou de servitudes.

3.6. Présentation informatique des études d'exécution L’ensemble des documents graphiques liés aux études d’exécution doit pouvoir, à la demande du maître d’oeuvre, être fourni sous forme informatique. Les plans de récolement sont obligatoirement fournis sous forme informatique en accompagnement des tirages papier. Ils répondent aux spécifications suivantes : - Format : DGN, DxF ou DwG (version Autocad > V12) - Structure du fichier : chaque famille d’objet devra figurer sur des couches (ou niveaux) indépendantes. Un descriptif des couches utilisées accompagnera le fichier graphique. - Support : disquette PC 1,44 mo ou CD ou e.mail

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Chaque objet du réseau devra être accompagné des renseignements suivants, figurant soit sur le plan, soit sur un fichier excel associé. - Foyer :

. code foyer n° - armoire – départ - exemple : 1 A a . nature lampe (SHP….) . puissance . marque . type

- Armoire : . code armoire (A – B …) . équipement d’armoire . type de commande - Réseau : . aérien : en traits pleins . type et sections de câbles

souterrain : en pointillés

- Les réseaux électriques souterrains Les reports après travaux sont faits suivant les spécifications EDF carto 200, à partir des documents informatiques fournis par le concessionnaire lorsque les folios existent ou le cas échéant par l’entreprise en charge des travaux. Dans ce dernier cas, l’entreprise choisit un prestataire qualifié pour établir des relevés au 1/200ème suivants les spécifications EDF. - Les réseaux France Télécom Les plans auront pour échelle le 500ème et les différentes jonctions y seront précisées. Chaque exemplaire papier devra impérativement être daté, signé et tamponné par l’entreprise. Afin d’uniformiser les plans, les contraintes suivantes devront être suivies : . les réseaux existant seront représentés par un trait continu de couleur verte, . le récolement des réseaux propriété du SIEL sera dessiné en trait discontinu de couleur verte, . chaque élément du réseau sera accompagné d’un identifiant ou d’un attribut qui permettra de le définir en tant qu’entité. Pour cela un code devra être attribué à chaque objet graphique sous forme de label (fichiers Microstation ) ou d’attribut (fichiers Autocad). . Chacun de ces codes sera ensuite répertorié dans un fichier de données de type excel avec une description pour chacun de des éléments leurs étant asssociés: nombre et type de fourreaux, longueur… . les chambres et les conduits seront côtés, . la longueur entre les chambres et la sortie apparaîtra, . le type et le nombre de fourreaux seront donnés.

3.7. Éclairage artistique des monuments et sites La commune ou le SIEL peuvent confier les études d’éclairagisme à un bureau d’études spécialisé. Dans ce cas, l’entrepreneur assure les études d’alimentation électrique et de fixation mécanique des appareils définis par l'eclairagiste (sections et cheminements des câbles, coffrets de commande…), recherche, le cas échéant, les autorisations de passage ou d’appui, établit le dossier de piquetage correspondant, et collabore aux séances d’essais éventuelles.

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ARTICLE 4

REALISATION DES TRAVAUX

4.1. Terrassements et tranchées a) Dispositions générales L’entrepreneur aura la charge d'assurer tous les épuisements et de prendre toutes les mesures nécessaires à l'assainissement des chantiers de façon que tous les ouvrages soient exécutés à sec. Ces sujétions font partie des aléas normaux de l'entreprise et ne donneront lieu à aucune rétribution spéciale. Si l'entrepreneur ne peut descendre à profondeur ses fouilles pour diverses raisons, il devra le faire savoir et le faire constater par le maître d’œuvre afin qu'une solution technique soit déterminée et acceptée. L'entrepreneur devra, si nécessaire, étayer à ses frais toutes les fouilles au fur et à mesure de leur approfondissement et prendra à ses frais toutes les mesures nécessaires pour soutenir les maçonneries, fondations et ouvrages divers, dont la démolition n’est pas rendue nécessaire pour la construction des ouvrages mais qui auraient été déchaussées pendant l’exécution des fouilles. Il reste responsable : - de tous les éboulements qui pourraient survenir, - de tous les dommages consécutifs à l’exécution des travaux, en particulier les dégâts que subiraient les constructions voisines, les canalisations et câbles de toutes sortes dont il devra tenir compte. Dans le cas où l'entreprise effectuerait des fouilles à proximité de murs de clôtures ou d'habitations en mauvais état, il lui appartient d'en faire le constat au préalable afin d'éviter toute responsabilité ultérieure de dégradation. L'entrepreneur devra prendre toutes les précautions utiles pour assurer la bonne coordination de ses travaux avec ceux des autres entreprises travaillant sur le même chantier et assurera la continuité de la signalisation diurne ou nocturne dans le cas où ses propres travaux ne seraient pas terminés. Il supportera toutes les sujétions de signalisation complète des chantiers. Lorsque l’entrepreneur n’a pas en charge l’exécution de l’ensemble des travaux de terrassements et tranchées, il doit cependant participer à la matérialisation du tracé des tranchées sur le terrain et prendre contact avec l’entrepreneur chargé des terrassements pour assurer la coordination des approvisionnements en matériels et de ses interventions (déroulage, sable, fourreautage, dispositif de signalisation, repérage des câbles). Dans tous les cas, l’entrepreneur reste responsable des travaux dont il a la charge et qui sont à minima : la réception technique du fond de fouille (vérification de la compatibilité des caractéristiques de la fouille - tracé, profondeur, boisage, régalage…-, avec les règles de l’art relatives aux canalisations à poser), la fourniture et la mise en œuvre de l’enrobage en matériau fin, du grillage avertisseur, des fourreaux, de la câblette de terre.

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b) Signalisation de chantiers Celle-ci sera conforme à : - l’arrêté du 14 novembre 1967 modifié par les arrêtés du 5 novembre 1992, 4 janvier 1995, 16 novembre 1998, 8 avril 2002 et 31 juillet 2002, relatif à la signalisation des routes et autoroutes, - le livre 1 – 8ème partie de l’instruction interministérielle sur la signalisation routière « signalisation temporaire » approuvée par arrêté du 6 novembre 1992 (JO du 30 janvier 1993). - au manuel du SETRA « chef de chantier » édition 2000 : . volume 1 : voirie bi-directionnelle . volume 2 : chaussées séparées . volume 3 : voirie urbaine . volume 4 : circulation alternée . volume 5 : déviation . volume 6 : exploitation. Par ailleurs, à la diligence du maître d’ouvrage, celle-ci pourra être complété de panneaux informatifs de contenu spécifique au SIEL.

c) Largeur des tranchées Le règlement des travaux est effectué sur la base de la largeur théorique de la tranchée. Cette largeur correspond à la largeur réelle minimale définie par les normes, règles et conventions en vigueur. La largeur réelle de la tranchée peut, dans certains cas, être supérieure à la largeur théorique servant de base à la rémunération de la prestation, en fonction de contraintes de terrain particulières. La largeur prise en compte pour la rémunération de la tranchée est calculée sur la base de la totalité des réseaux présents dans la tranchée, et tous maîtres d’ouvrage confondus, lorsqu’il s’agit d’une tranchée commune à plusieurs maîtres d’ouvrages (SIEL, EDF, GDF, France Télécom, Opérateur Câble…). La part facturée au SIEL est proportionnelle à la largeur d’occupation des ouvrages réalisés sous maîtrise d’ouvrage du SIEL, par rapport à la largeur totale de la tranchée. Le reste pourra être facturé aux autres maîtres d’ouvrage selon la même règle, sous réserve de leur accord préalable. Ces dispositions s’appliquent également lorsque différentes natures de réseaux font l’objet de commandes séparées pour une même tranchée.

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4.2. Pose de câbles a) Câbles souterrains Les câbles souterrains utilisés seront de la série U 1000 RO 2V, passés dans des fourreaux de Ø 63 mm au minimum. Ils passeront en coupure dans les candélabres ou projecteurs. La jonction entre les supports de lanternes et les coffrets muraux dans lesquels arrivent les câbles souterrains sera assurée par des câbles de série U 1000 RO 2V minimum égale à 2,5 mm². Le raccordement entre les ballasts fixés aux façades sur poteaux où dans les candélabres sera fait en 2 X 2,5 mm². Sur et dans les poteaux la liaison entre le ballast et la boîte d'extrémité inférieure ou l'embout sera faite également en câble U 1000 RO 2V ou H 07 RNF. Toutes les fois que les services d'E.D.F. ou le SIEL le décideront, des essais sous tension seront effectués avec ampèremètre et voltmètre enregistreurs fournis par l'entrepreneur, en quelque point de la ligne qu'il leur conviendra de désigner, le relevé de la tension aux normes d'arrivée du courant secteur étant fait simultanément. Toutes défaillances consécutives à un mauvais équilibrage, à la mise en place de sections inférieures à celles indiquées aux projets pourront mettre l'entrepreneur dans l'obligation et à ses frais de déposer les câbles extérieurs ou souterrains, en conséquence de rouvrir les fouilles, de retirer les câbles défaillants, de les remplacer par les câbles appropriés, de refaire toutes les dérivations, branchements, et de refermer les tranchées. Les fourreaux seront posés en tranchées assurant 0.80 m de couverture audessus de leur génératrice supérieure. Les fouilles seront descendues verticalement jusqu'au fond qui sera aplani et débarrassé de pierres. Les câbles de mises à la terre et de protection sont en cuivre nu de 25 mm². Un grillage de protection en plastique et de largeur de 0,40 m sera posé sur toute la longueur des fouilles à 0,20 m au dessus de la génératrice supérieure du câble. Les boucles éventuelles, les sorties de boîte de dérivation ou jonction, les changements de direction, etc. devront avoir un large rayon (minimum 15 fois le diamètre extérieur du câble) pour ne pas nuire à la contexture du câble et provoquer les déformations des protections et l'étirement des conducteurs. Chaque fois que cela sera nécessaire, une saignée sera effectuée dans les maçonneries pour logement des câbles entre le sol et les armoires de commande ou coffrets muraux. Celle-ci sera refermée suivant les règles de l'art, le ragrément des soubassements et façades étant fait dans le style architectural propre à chaque immeuble intéressé.

b) Câbles sur façade Les câbles U 1000 RO 2V seront fixés sur les façades des immeubles au moyen de colliers tenus par pattes à scellements à raison d'au moins 3 fixations au mètre linéaire. Ces câbles seront posés de telle façon qu'ils soient dissimulés le mieux possible à la vue des passants. Ils seront parfaitement dressés, un collier supplémentaire au mètre étant posé si nécessaire pour éviter le feston. Ils épouseront le plus rigoureusement possible les motifs architecturaux rencontrés sous réserve de ne pas les déparer.

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Ils seront, autant que la hauteur le permettra, posés sous les volées de toiture, la pose horizontale ou verticale sur façades nues ou trumeaux étant à éliminer, sauf impossibilité.

c) Câbles aériens Jusqu’à environ 3 mètres au-dessus du niveau du sol et toutes les fois que le câble ne passera pas à une distance réglementaire d'une ouverture, ces câbles seront protégés par une protection mécanique agréée. Celle-ci sera fixée aux maçonneries dans le même principe que ce câble U 1000 à raison d'un collier au mètre. L'extrémité supérieure de ce tube sera obturée avec un mastic spécial pour en assurer l'étanchéité, la partie inférieure sera raccordée aux coffrets muraux ou armoires au moyen d'une bayonnette coudée de telle manière qu'il ne soit pas nécessaire d'entailler les maçonneries pour le remplacement éventuel des câbles détériorés ou avariés. La jonction entre un coffret mural et le support de la lanterne ou le coffret à ballast sera faite sans discontinuité sauf le cas échéant dans les boîtes de dérivations murales à trois ou quatre directions. En ce qui concerne l'alimentation des points d'éclairage public par lignes aériennes constituées en câbles autoporteurs, dont les sections seront répertoriées sur plans, celles-ci pourront être prises directement d'un point d'injection aérienne ou continuer une alimentation souterraine.

4.3. Pose de supports d'éclairage public a) Massifs de fondation Les candélabres seront fixés sur des massifs en béton dont les dimensions seront précisées au mémoire relatif à chaque chantier. Ces massifs seront exécutés en béton au ciment de laitier dosé à 350 Kg de ciment par mètre cube de béton en œuvre. Le niveau supérieur de chaque massif sera arasé à 0,10 m en dessous du niveau du sol fini. Les massifs pour candélabres de hauteur égale ou supérieure à 14 m seront équipés d'un "panier ferraillé". Au coulage du béton, il sera procédé à la mise en place : - des tiges de scellements. Ces tiges mises au gabarit correspondant à l'écartement des trous de passage de la plaque de base, - du fourreau de "carottage" et des lumières de passage en câbles, - des fourreaux pour permettre le passage des câbles et de la mise à la terre éventuelle. S'il s'agit de massifs "carottés", le candélabre sera calé au sable fin à l'intérieur et à l'extérieur. Un joint extérieur en ciment recouvrira le sable de calage. Les ferrures sont toutes galvanisées à chaud et éventuellement thermolaquées. Sur les poteaux en bois, la fixation des consoles supportant les luminaires est réalisée à l'aide de deux boulons traversant le poteau de part en part, avec contreplaques.

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b) Mâts et candélabres Sauf indications contraires du maître d'ouvrage, les candélabres sont en tôle d'acier galvanisé à chaud d'épaisseur 4 mm minimum pour les mâts dont la hauteur est supérieure à 5 mètres. Après la mise en place du candélabre, les boulons de fixation seront recouverts d'une couche de peinture bitumineuse et enveloppée dans un manchon rempli de graisse. Cette peinture bitumineuse recouvrira également la base du candélabre jusqu’à 10 cm au dessus du sol fini. Les connexions des câbles d'alimentation ainsi que les coupe-circuits ou disjoncteurs protégeant la lanterne seront groupées dans un coffret en classe II fixé sur la barrette support d'appareillage des candélabres. Le calage de la plaque d'appui du candélabre sur le massif sera réalisé sur une surface plane rigide suivant les recommandations des fournisseurs. Sur demande du maître d’œuvre un système isolateur et stabilisateur sera mis en œuvre entre la semelle du candélabre et le massif béton ou autre support d’une part, et entre l’écrou et cette semelle, d’autre part, le système sera en matériau composé d’élastomère et granulat de liège.

c) Poteaux bois et béton Le traînage des supports sur le sol est exceptionnel. Il est subordonné à l’accord préalable du maître d’œuvre. L’entreprise prend toutes les dispositions utiles pour que les poteaux soient entreposés dans des conditions garantissant la sécurité de la circulation et prend l’accord du Maire ou son représentant et du gestionnaire de la voirie. - Poteaux en béton : Il pourra exceptionnellement être fait usage de poteaux teintés, en accord avec le maître d’œuvre . Ils sont de classe D ou E et répondent aux spécifications des normes NFC 67200, NFC 67-220, NFC 67-250. - Poteaux en bois : Ils sont utilisés de façon préférentielle dans les zones boisées et rurales non agglomérées et répondent aux spécifications de la norme NFC 67-100.

4.4. Lanternes Les lanternes seront du type appareillage incorporé ou appareillage séparé. Elles seront à équiper avec les lampes spécifiées aux plans et fixées aux supports au moyen de raccord appropriés. Tous les matériels électriques doivent pouvoir fonctionner pour toute température ambiante comprise entre - 25 ° et + 40 °.

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4.5. Luminaire ou lanterne posé en façade Toute installation de luminaire sur façade fera l'objet par l'entreprise d'une demande écrite d'autorisation à l'amiable avec les propriétaires. La fixation des câbles d'alimentation sera réalisée le plus discrètement possible en profitant au maximum de tout élément de dissimulation. Le raccordement s'effectuera en câble U 1000 RO 2 V 2,5 mm² sous protection si le passage du câble se trouve à proximité d'une ouverture. Le luminaire sera de classe II si celui-ci se situe en proximité directe d'une ouverture.

4.6. Raccordements - Branchements Aucune lanterne ne doit être installée sur un poteau de distribution publique supportant des conducteurs HTA (circulaire numéro 147 du Ministère de l'Industrie du 7 mars 1963). Le luminaire est raccordé au réseau d'éclairage public par l'intermédiaire d'un fusible installé soit dans un coffret posé sur le poteau soit dans le pied du candélabre. Si plusieurs luminaires sont posés sur un même poteau ou sur un même candélabre, les masses des luminaires de classe I sont reliées par une liaison équipotentielle. Ils sont protégés individuellement. Les luminaires de classe I seront protégés avec une protection en tête adaptée à la valeur de la terre. Le fusible est du calibre le plus faible permettant un fonctionnement du luminaire qu'il protège (intensité nominale plus celle de l'appareillage, plus la surintensité à l'allumage). Dans le cas où les lignes existantes de distribution électrique basse tension sont en aluminium, le contact devra être particulièrement étudié et soigné de façon à éviter la formation du couple galvanique alu-cuivre.

4.7. Luminaire posé sur un candélabre La liaison entre le luminaire et le coffret raccordement situé dans le pied du candélabre, doit être effectuée en câble : - U 1000 RO 2V X 2,5 mm2 cuivre ou H 07 RNF avec un conducteur vert-jaune si le luminaire est de classe I, le conducteur vert-jaune assurant la liaison électrique entre la masse du luminaire et la mise à la terre du candélabre, - U 1000 RO 2V X 2,5 mm2 ou H 07 RNF si l'installation est de classe II sous gaine souple.

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4.8. Luminaire posé sur poteau La fixation des câbles d'alimentation des foyers lumineux sur les supports est réalisée par des colliers en acier inoxydable, avec des protecteurs isolés. Ces câbles sont raccordés sur les réseaux en conducteurs nus par des connecteurs à serrage mécanique type CBM/CNU (cuivre), ou CMB/CNA (aluminium) et sur les réseaux en conducteurs isolés par des connecteurs CP B1/CT 25 (pour le conducteur EP), et CP B1/CT 70 (pour le conducteur neutre). Les liaisons réseau / coffret / fusible / luminaire sont réalisées à l'aide d'un câble U 1000 RO 2V 2,5 mm² cuivre. Le coffret fusible doit comporter deux entrées pour câble bipolaire U 1000 RO 2V X 2,5 mm² cuivre et sera de classe II.

4.9. Dépose et suppression des foyers existants Dans certaines artères à transformer ou à moderniser différents foyers d'éclairage public existants pourront être déposés provisoirement ou définitivement. Toutes sujétions de dépose seront prises par l'entrepreneur étant admis que les pièces en scellement ne devront pas être coupées au ras des façades. Elles seront, suivant accord du propriétaire, soit coupées suffisamment en retrait du bord de mur pour être masquées par une reprise de maçonnerie, soit laissées en l’état plutôt que de dégrader les dites façades par leur dépose. Toutes les précautions seront prises pour neutraliser les effets de la corrosion. Le maître d'ouvrage jugera de l'opportunité de dépose des câbles fixés sur les immeubles ou de pose en tranchées. Il appartient à l'entrepreneur de réagréer les façades.

4.10. Mise à la terre des installations Conformément au décret interministériel en vigueur ainsi qu'aux textes de la norme C 17-200 de l'U.T.E., les installations d'éclairage public de classe I seront mises à la terre par liaison équipotentielle des masses. Dans le cas d'une extension du réseau à partir d'une installation existante, l'entrepreneur devra s'assurer de la continuité de la terre existante ainsi que de sa valeur et l'indiquer sur l'étude préliminaire pour approbation. Les différents départs seront connectés entre eux par barrettes de raccordement ou par soudure pour leur assurer une parfaire solidarité. Dans le cas d’une installation d’éclairage extérieur raccordé à un vestiaire ou un ensemble bâti l’installateur respectera obligatoirement la mise à la terre avec une connexion au TGBT (NFC 15-100).

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4.11. Tableau EP Pour les travaux de commande, l'entrepreneur appliquera les dispositions du guide pour la réalisation des réseaux d'éclairage public publié par la Fédération Nationale des Collectivités Concédantes et Régies et EDF (B36). Les appareils de commande ou de relayage, ainsi que les dispositifs de protection et ceux de comptage de l'énergie électrique, seront fixés sur un tableau en matière isolante à soumettre à l'agrément du SIEL installés dans des armoires extérieures étanches, disposées à proximité du point principal de livraison de courant. Aucun câble ne devra être apparent sur la face avant d'un tableau en état de marche (les connexions seront effectuées sur la partie arrière du tableau). Les conducteurs seront du type H 07 VR, de section égale à 2,5 mm² pour les circuits de commande et de 16 mm² pour les circuits principaux. Aucune pièce sous tension ne pourra être atteinte, le coffret étant ouvert et le dispositif en état de marche ( coffret IP 2 X porte ouverte). Les appareils seront modulaires, d'un modèle à soumettre à l'accord du SIEL : - contacteur bipolaire ou tétrapolaire 40 ou 60 A (un par circuit), - interrupteur général : bipolaire ou tétrapolaire 32 A dans le cas des coffrets à plusieurs départs, les interrupteurs bipolaires seront reliés par un profilé de liaison, - marche forcée : pour les relayages, elle sera assumée par un ou plusieurs contacteurs à 3 positions ; pour les commandes, il s’agira d'un interrupteur unipolaire, - interrupteur crépusculaire : cellule photopile au silicium ou à technologie infrarouge. La pose de cellule à photorésistance reste interdite, - coupe-circuit de branchement : bipolaire 45 A - 60 A, - coupe-circuit de départ : HPC 14 X 51, phase + neutre sur socle 40 A, - coupe-circuit de protection sur la bobine, l'horloge et la cellule. - Une borne de terre sera installée dans chaque armoire et reliée à la terre. Ces appareils modulaires seront disposés dans des coffrets de répartition. Les protections de chaque départ seront calculées et calibrées en fonction du type de l'installation et mentionnées pour approbation dans l'étude préliminaire. Chaque appareil posé sur un tableau d'éclairage public sera repéré par une étiquette désignant sa fonction de façon explicite. Pour chaque réseau souterrain la protection sera assurée par l’association d’un fusible et d’un interrupteur différentiel calibrés.

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4.12. Ballasts - Amorceurs Les ballasts, amorçeurs et tous dispositifs des appareillages sont ceux conseillés par les fabricants des sources qui leur sont associées de façon à ne pas mettre en cause leur durée de vie. Ils sont conformes aux stipulations des publications UTE C 71 - 200; C 71-210 et C 71 211.

4.13. Coffret EP Les dispositifs de commande ou de relayage sont situés à l'extérieur d'un bâtiment communal, d'un emplacement réservé dans un poste de transformation ou logés dans un coffret conforme à la norme C 17 - 200 (porte IP 44). La profondeur du coffret est minimum de 0,20 m. La partie inférieur supporte les presses-étoupes de 21 pour le passage des câbles. Tous les coffrets sont pourvus d'un système de fixation permettant de les poser, selon le cas, sur un socle, contre un mur, ou sur un poteau, un poste, encastré... Sur poteau, la fixation se fait de préférence à l'aide deux colliers en acier inoxydable. Aucune ferrure ne doit faire saillie par rapport au coffret. Un coffret ne doit pas faire saillie du côté de la chaussée quel que soit l'angle. Si le coffret d'éclairage public est créé en même temps qu'un poste de transformation, il est installé sur celui-ci, que ce dernier soit préfabriqué ou en maçonnerie classique. Une cloison doit alors isoler le coffret de l'intérieur du poste. L'entrepreneur demande au SIEL d'agréer les coffrets qu'il envisage de poser. La fermeture des coffrets se fait à l'aide d'une clé triangulaire (11 cm - canon de 20 mm). L'axe du système de fermeture (pièce triangulaire) est métallique. Le système de fermeture est inoxydable. Le coffret est muni d'un dispositif permettant de le condamner par un cadenas.

4.14. Raccordement des tableaux d'Éclairage Public Les raccordements électriques à réaliser par l'entrepreneur, des tableaux d'éclairage public comprennent les câbles séparés ci-après : - le câble d'arrivée de l'énergie électrique à partir du réseau de distribution - le câble de départ de l'énergie électrique vers le réseau d'éclairage public - sauf en cas de télécommande par voie hertzienne ou téléphonique, le câble d'arrivée du signal de commande (en provenance d'une cellule photoélectrique, ou d'un réseau d'éclairage public...)

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Ces raccordements sont exécutés en câble U 1000 RO 2V ou H O7 RNF protégé mécaniquement. La section des câbles de raccordement est de 4 mm² cuivre pour le réseau d'excitation et de 2,5 mm² cuivre pour la cellule photoélectrique. L'entrée des câbles dans les coffrets se fait par l'intermédiaire de presse étoupes, et leur fixation sur les poteaux à l'aide de collier ou appropriés.

4.15. Ensemble de commande et de comptage Les ensembles de commande et de comptage sont installés dans des armoires extérieures étanches, disposées à proximité du point principal de livraison du courant. Les fonctions de commande à assurer sont : a) allumage de l'ensemble de l'éclairage public à la tombée de la nuit, b) extinction temporaire à horaire fixe de la totalité ou d'une partie de l'éclairage, c) réallumage à horaire fixe de la totalité ou d'une partie de l'éclairage, d) extinction définitive à la venue du jour. Les fonctions "a" et "d" sont assurées par une cellule photoélectrique ou horloge astronomique. Les ensembles de commandes et de comptages constituent deux groupes distincts : 1 - Le groupe de comptage ou contrôle d'énergie comportant : -

un jeu de coupe-circuit équipé de fusibles 45 ou 60 A, à moins qu'il existe un organe de coupure générale (ACG) dans le poste de transformation,

-

les emplacements pour le compteur,

-

un organe de coupure dit "interrupteur de frontière" constitué par un jeu de coupe-circuits à bascule équipés de barrettes de neutre.

2 - Le groupe de commande comportant : -

la cellule photoélectrique photopile ou silicium ou à technologie infrarouge,

-

l'horloge astronomique,

-

l'ensemble des protections des départs. Ces protections sont assurées par des fusibles ou des disjoncteurs convenablement calibrés ou exclusivement pour les réseaux souterrains comportant des masses conductrices accessibles au public, par l’association fusible et interrupteur différentiel.

Ces groupes sont en principe disposés sur des tableaux différents. Toutefois, pour des raisons d'encombrement, il est possible d'utiliser un seul tableau à condition que le personnel de l'entretien de l'éclairage public puisse intervenir "hors tension" sur le groupe de commande, les appareils de contrôle plombés et "sous tension".

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4.16. Contrôles - Mesures - Essais a) Contrôles L'entrepreneur assure, sous sa seule et entière responsabilité, tous les contrôles électriques, photométriques ou spécifiques nécessaires aux différents stades de l'exécution, depuis les études sur le terrain jusqu'à la terminaison des travaux y compris les éventuels travaux de parachèvement. L'entrepreneur s'assurera qu'il a pris en considération toutes les consignes particulières données à l'occasion des différentes lettres de commandes, autorisation d'exécution, ou autres remarques. L’entrepreneur fournira un certificat de conformité à la norme C 17-200 pour l’éclairage public ou C 15-100 pour les terrains de sport ou autres. Ce certificat proviendra d’un organisme agrée ; il sera délivré pour toute installation comportant un réseau souterrain.

b) Essais Le SIEL peut, préalablement à la réception des ouvrages, faire procéder à tous essais, mesures et prélèvements complémentaires qu'il jugera utiles qu'ils soient électriques, photométriques ou spécifiques.

4.17. Provenance et qualité des matériaux En dehors des prescriptions du SIEL en particulier en ce qui concerne les luminaires les sources et les mâts, l'entrepreneur a le choix de la provenance des matériaux et matériels dans les conditions fixées au C.C.T.G. relatif à l'éclairage public. Tous les matériels devront être conformes aux normes en vigueur. Le maître d'oeuvre se réserve le droit de refuser les fournitures n'ayant pas les qualités requises et d'imposer certaines caractéristiques en vue d'un rationalisation et d'une réduction du nombre de types d'appareillages et accessoires utilisés.

a) Conducteurs Les câbles seront fournis par l'entreprise et devront répondre aux normes en vigueur au moment de leur pose.

b) Ferrures Les ferrures seront en acier doux galvanisé, de caractéristiques suffisantes pour assurer le support des fils conducteurs. Les boulons seront galvanisés ou en acier inoxydable. Les ferrures des supports d'angle seront munies de pare-fils si besoin est.

c) Peinture La garantie sera de 5 ans à compter de la date de réception.

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d) Fourreaux Les fourreaux destinés à la protection des câbles souterrains auront les caractéristiques mécaniques suivantes : - fourreaux PVC : ils ne devront pas subir d'écrasement ni d'ovalisation notable pendant le temps de prise du béton d'enrobage, - fourreaux polyéthylène : ils seront du type gaine souple lisse à l'intérieur; ils ne devront pas subir d'écrasement ou d'ovalisation notable lors du tassement des remblais qui les recouvrent, l'enrobage béton n'étant pas nécessaire.

Dépose

Š

Matériels déposés en vue de réutilisation : Ils seront transportés par l’entrepreneur dans un dépôt fixé par le maître d’œuvre, qui pourra être les locaux du concessionnaire, de l’entreprise, d’une autre entreprise ou sur un autre chantier. Les conducteurs isolés ne seront réutilisables que sur des tronçons significatifs, n’ayant pas fait l’objet d’une perforation d’isolant. Les produits de dépose récupérables en matière d’éclairage public (luminaires, candélabres, coffrets, etc…) sont transportés par l’entrepreneur dans un lieu de stockage désigné par le représentant de la commune, ou stockés par l’entrepreneur dans ses entrepôts pour le compte de la commune.

Š

Déchets : L’entrepreneur fournira avec son offre un Schéma d’Organisation et de Gestion des Déchets (SOGED). Dans ce document, remis à la soumission avec le mémoire qualité, l’entrepreneur expose pour chaque étape : -

les méthodes de réalisation, de déconstruction ou de stockage appliquées pour limiter le mélange des matériaux et en faciliter ainsi le réemploi,

-

le mode de transport et le lieu d’évacuation,

-

les modes de suivi et de contrôle mis en place,

-

le plan de réemploi des matériaux in situ ainsi que les modalités de prise en compte des excédentaires et des ultimes.

Il s’engage sur : - les centres de stockage et/ou de regroupement et/ou unités de recyclage vers lesquels seront acheminés les différents déchets à évacuer, en fonction de leur typologie et en accord avec le centre de stockage ou de regroupement, - les dispositions qui seront appliquées pour ne pas mélanger les déchets pendant les différentes phases (dispositions constructives, déconstructives et stockage), - les moyens de contrôle, de suivi et de traçabilité qui seront mis en œuvre pendant les travaux,

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- le tri sur le chantier des différents déchets à évacuer et la mise en place de moyens de récupération des déchets non réutilisables (DIB et DIS) (bennes, stockage, emplacement sur le chantier des installations etc…), - l’information du maître d’œuvre en phase travaux (composition, quantités, lieu de dépôt envisagé…), - les dispositions prises en vue d’un réemploi optimal in situ des matériaux, - les moyens humains et matériel mis en œuvre pour assurer la gestion des déchets. Les poteaux béton seront éliminés par concassage, mais pourront être abandonnés à des particuliers demandeurs contre récépissé. Un état de destination finale doit être remis au Maître d’œuvre. Le conditionnement, le stockage, le transport ainsi que le recyclage et l'élimination des déchets resteront à la charge et sous l'entière responsabilité de l’entreprise. Concernant les sources lumineuses, le syndicat a mis en place une filière de récupération à laquelle l’entreprise peut adhérer. Les factures lui seront alors directement adressées.

Š

Suivi des déchets : Traçabilité L’entreprise doit produire les bordereaux de suivi définissant la nature, le volume et le lieu d’évacuation. Il est rappelé les interdictions suivantes : - brûler les déchets à l’air libre, - abandonner ou enfouir des déchets dans des zones non contrôlées administrativement, - mettre en centre d’enfouissement technique de classe 3 des déchets non inertes, - laisser des déchets spéciaux sur le chantier ou les mettre dans des bennes non prévues à cet effet.

Moyens d’exécution Pour l'exécution de son marché, l'entrepreneur devra dans sa zone géographique d'intervention ou à proximité : - disposer des locaux et installations nécessaires à ses propres services et au stockage des matériels de toute nature devant servir à l'exécution de son marché, - maintenir constamment les stocks à un niveau suffisant pour faire face, sans délai, aux travaux de première urgence qui lui seront demandés, - disposer des appareils de mesure et de contrôle pour mesures des prises de terre, des isolements, des tensions et intensités, des éclairements de luminaires, etc., - disposer des équipements individuels et collectifs pour réduire au minimum CCTP Éclairage Public 2005/2008 Lot NK Procédure Négociée

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les risques d'un travail au voisinage des lignes sous tension, - disposer de véhicules adaptés aux interventions (camion nacelle, véhicule de liaison, véhicule atelier). Le SIEL peut requérir l'entrepreneur pour des travaux urgents. Celui-ci doit alors fournir les personnels et matériels nécessaires et donner au SIEL, sous huitaine, la liste des chantiers en cours dont l'exécution a dû être suspendue pour permettre la réalisation de ces travaux. Cette réquisition ne donnera lieu à aucune indemnité.

ARTICLE 5

CONTROLE PAR LE MAITRE D’OUVRAGE Le SIEL et tenu régulièrement au courant des travaux par courrier ou par télécopie (début de travaux - fin des travaux, problèmes divers) dans les conditions prévues au CCAP. Il a un accès permanent sur les chantiers. Il pourra procéder, à tout moment, aux contrôles de toutes natures qu'il jugera nécessaire. L'entrepreneur mettra ainsi à sa disposition les documents, personnels et matériels correspondants. Le matériel fourni devra être agréé par le SIEL qui pourra imposer certaines caractéristiques en vue, notamment d'une normalisation et d'une réduction progressive des types d'appareils et accessoires utilisés. La qualité et durée de tous les appareils et accessoires seront garanties par l'entrepreneur. Cette garantie ne pourra être inférieure à celle donnée par les fabricants agréés, et ceci dans les conditions prévues au C.C.T.G.

ARTICLE 6

DEROGATIONS AUX TEXTES GENERAUX Les dérogations explicitées dans les articles désignés ci-après du C.C.T.P. sont apportées aux articles suivants le C.C.T.G. et les normes françaises homologuées ci-après :

Dérogation aux articles du C.C.T.G apportée par les articles du C.C.T.P.

ƒ 6 et 14 (CCTG) ƒ

14.1.32 (CCTG)

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Ö 1.4 (CCTP) Ö 4.1 (CCTP)

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Vu et approuvé le présent C.C.T.P. comportant 10 pages pour être joint à mon acte d'engagement

Date :

....................................

L'entrepreneur :

....................................

Cachet et signature

....................................

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FICHE DE TRANSMISSION DES DOSSIERS POUR CHAQUE BON DE COMMANDE ANNEXE I AU CCTP

Nom - adresse de l'entreprise :

Maîtrise d'ouvrage :

...........................................................................................

SIEL

...................................................................................

5 Rue Charles de Gaulle

...................................................................................

42000 SAINT-ÉTIENNE

Commune de :

........................................................................

Travaux Éclairage Public de :

........................................................................

1 - Plan de l'étude avec repérage des réseaux ˆ ˆ ˆ ˆ

1/200 1/500 1/1000 Plan de situation

2 - Calculs

Installations du type

Classe I

Classe II

ˆ

2.1 - Électriques (base NF C 17 200) 2.2 - Électriques (base NF C 15 100) 2.3 - Photométriques (base C.C.T.G.) 2.4 - De consommation

ˆ ˆ ˆ

3 - Délais d'approvisionnement prévisibles

Luminaires

Candélabres

ˆ ˆ ˆ ˆ

- 4 semaines - 6 semaines - 8 semaines - > 8 semaines

ˆ ˆ ˆ ˆ

4 - Chargé d'exploitation 9 - Intervenant :

Nom .................................................

9 - Le Responsable du Service Éclairage Public Nom ........................... Prénom.....................

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Prénom : ...................................

9 Le Conducteur d'opération Nom.......................... Prénom.................

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ANNEXE II AU CCTP

MODELE DE PRESENTATION DE DECOMPTE COMMUNE « LOIRE » OBJET : RUE DU SIEL

QUANTITE PRIX UNITAIRE

PRIX H.T.

PRIX BORDEREAU B01

Ouverture et remblaiement de tranchée 0.30 m en terrain naturel

10

8.00 €

80.00 €

D001

Mât acier galvanisé à chaud cylindroconique droit hauteur 3.5 m, base 106, sommet 60

10

180.00 €

1 800.00 €

F63

Fourniture, pose et raccordement d’horloge astronomique

1

500.00 €

500.00 €

Total bordereau de prix H.T.

2 380.00 €

Application du coefficient d’actualisation : K = 1.0035

TOTAL BORDEREAU DE PRIX ACTUALISE H.T.

2 388.33 €

PRIX FOURNITURES K01**

Fourniture de lanterne Comatélec

10

535.00 €

5 350.00 €

K01**

Fourniture de lampes Comatélec

10

43.60 €

436.00 €

Total Fournitures H.T.

5 786.00 €

Rabais tarif fournisseur : 25 %

- 1 446.50 €

Total Fournitures H.T. avec rabais fournisseur

4 339.5 €

K05B** Fourniture Mazda – code 403 11

HB1

(1) (2) (3)

2

411.60 €

823.20 €

Total fournitures H.T.

823.20 €

Rabais tarif fournisseur : 60 %

- 493.92 €

Total Fournitures H.T. avec rabais fournisseur

329.28 €

TOTAL FOURNITURES H.T.

4 668.78 €

PRIX HORS BORDEREAU Fourniture mât SIEL – 480.00 m X 1.20 m

1

480.00 €

480.00 €

Application coefficient CCAP : 1.25

576.00 €

TOTAL HB H.T.

576.00 €

TOTAL. GENERAL H.T.

7 633.11 €

Coefficient marché : 0.9

6 869.79 €

Rabais tranche : - 3 %

- 206.09 €

MONTANT H.T.

6 663.70 €

T.V.A. 19.6 %

1 306.08 €

MONTANT GENERAL H.T.

7 969.78 €

A remplir par chacun des indivisaires / en cas de succession, porter mention du(des) nu-propriétaire(s) Rayer la mention inutile Indiquer le nombre d’appareils CCTP Eclairage Public

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ANNEXE III AU CCTP

AUTORISATION DE PASSAGE DE RESEAU D’ECLAIRAGE PUBLIC Commune de ………………………………………………………………………………

Département de la Loire

Le(s) soussigné(s) : M …………………………………..(1)

M ……………………………………..(1)

M ……………………………………..(1)

domicilié (e) …………………………..

domicilié (e) …………………………..

domicilié (e) …………………………..

…………………………………………..

…………………………………………..

…………………………………………..

agissant(s) en tant que : propriétaire(s) / indivisaires / nu-propriétaire(s) / ou représentant dûment mandaté des copropriétaires (2) tant en son(leur) nom personnel que pour le compte de ses(leurs) ayants-droits, d'un immeuble situé : ................................................................................................................................................................................ sur la parcelle cadastrée N°................................. section ................................................................................... désigné(s)(e)(es) ci-après par l'appellation "le(s) propriétaire(s)"

autorise(nt) le Syndicat Intercommunal d’Énergies de la Loire agissant par délégation de la commune : 1.

à établir à demeure - sur la façade de l'immeuble précité donnant sur la voie publique (²) - en souterrain sur la parcelle précitée (²) : ·

………… (3) appareil(s) d'éclairage public, leurs supports et accessoires (²)

·

les conducteurs d’alimentation, leurs supports, ancrages et leurs accessoires (²)

2.

à faire passer lesdits conducteurs aériens, et éventuellement leurs câbles porteurs au-dessus de sa(leur) propriété

3.

à élaguer s'il y a lieu les plantes grimpantes et les branches d'arbres ou d'arbustes qui pourraient gêner la pose ou le fonctionnement des appareils d'éclairage, câbles et accessoires ou occasionner des avaries aux ouvrages

4.

et par voie de conséquence, à faire exécuter par les agents de la commune ou ceux des entrepreneurs dûment accrédités par elle, tous travaux d'exécution, surveillance, entretien et réparation des ouvrages ainsi établis.

La présente convention est accordée gratuitement, compte tenu de la nature des travaux et de l'intérêt qu'ils présentent pour la sécurité publique. Toutefois, les dégâts causés éventuellement par les travaux seront indemnisés à l'amiable ou, à défaut, par le Tribunal compétent ainsi que les dommages pouvant résulter des élagages.

(1) (2) (3)

A remplir par chacun des indivisaires / en cas de succession, porter mention du(des) nu-propriétaire(s) Rayer la mention inutile Indiquer le nombre d’appareils CCTP Eclairage Public

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ANNEXE III AU CCTP Le(s) propriétaire(s) conserve(nt) le droit de demander à la commune le déplacement ou la modification des ouvrages s'il(s) doit(vent) entreprendre des travaux de démolition, réparation ou construction incompatibles avec le maintien desdits ouvrages sur son(leur) immeuble. Il(s) s'engage(nt) à faire mention de la présente autorisation dans tout acte translatif de propriété de son(leur) immeuble. Il(s) reconnaît(ssent) avoir reçu une copie de la présente autorisation dont il(s) accepte(nt) sans réserve les dispositions. L’autorisation prend effet à dater de ce jour et est conclue pour la durée du réseau dont la collectivité est propriétaire ou de tout autre qui pourrait lui être substitué avec la même emprise ou, le cas échéant, avec une emprise moindre. Fait en autant d’exemplaires que de parties à l’acte plus un pour la publication à ............................................................................. le ............................................................................ (en toutes lettres) Signatures précédées de la mention manuscrite "lu et approuvé" Le(s) propriétaire(s), M ………………………..(4)

M ………………………..(4)

M ………………………..(4)

Pour le Président du SIEL et par délégation le Directeur Général des Services

Daniel BELON

ATTENTION A NE REMPLIR QUE PAR L’USUFRUITIER Je, soussigné(e), M ………………………………., domicilé(e) ……………………………………………………………, agissant en qualité d’usufruitier de la ou les parcelle(s) désignée(s) en page 1 de la présente convention, déclare renoncer à tout recours contre le(s) nu-propriétaire(s) qui a(ont) consenti la servitude sur la ou lesdites parcelle(s). (5) Fait à ...................................................................... le ............................................................................. (en toutes lettres) signature précédée de la mention manuscrite « lu et approuvé »

(1) (2) (3)

A remplir par chacun des indivisaires / en cas de succession, porter mention du(des) nu-propriétaire(s) Rayer la mention inutile Indiquer le nombre d’appareils CCTP Eclairage Public

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