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Zitiervorschau

Avant-propos

yiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiw iiiiiwiiiniiiiiniiiimiiiuii

H

E f (Diplome d'ltudes en langue irangaise), sous sa forme act ueUe, a |t| mis en place — reembrp 2 0 0 5 . Les anciennes umtes capitalisables ay ant a cette date disparu,le terme 2 — ' ou de DALF d ls igne d|soirmais un dipiomr. On di^ fo gu1 ainsi dans V° rdrp, les c —. -j s tous publics suivants: DELF AX DEHF A2, DELF Bl, DELF B2 , DALF Cl, DALF C2 -

5

~ 5 "^:;^;5ir.es, ainsi que leurs noms en font i tat, correspondent aux |cheUps de mw ^ x t - L e europ|en commun de r|f|rence (CECR). ~ls soirt constitu|s d-|preuves orales —t ern te s 3 rganis|es sous iorme de tachrs, semblables a celles que tout: un chacun peut avoii: t ,-. - » - au quotidipn. Leur obtr ntion atteste offiripllrm e r t d'un niveau de connaissance c

j ugue irangaise.

h nv ra u B l du Cadre europ|en commun de reference correspond au nwMU s— uil. ~. une —i — n c e d '« utiiisatrur incHpenciai^t;» qui « peut comprendreles points ^ se n tid s quanel^irarzn|ita^i^^^^^". ■njpertsm t o chomsoms r da site a deja en reg istre: ■ B O O C chansons ■ 9 6 Q C C chansons |TQCC chansons A 700 prenoms et 10 chansons par album, soit 7 0 00 chansons!

z cccnmander: M rvres de contes t cartes - 'i nvita tio r

4 Vous entendez : 'faire imprimer des cartes d'invitation".

1 asbums de chansoms

- Le musee d’Orsay -*

- La Cite des scien ces

- Le Parc A sterix -* ......._.......................

- D isneyland Paris

- La Tour Eiffel -* ...............................

- Le Futuroscope -*

- Versailles -*

ACTIVITE 7

Repondez aux questions en cochant (X) la bonne reponse. • Les Vergers de Gaily fournissent:

a. □ 5 fruits et legum es par jour b. □ des fruits c. □ des legumes

• Les corbeilles sont livrees:

a. □ chez le directeur de Ventreprise b. □ chez le con cierge de Ventreprise c. □ directem ent dans Ventreprise • Les fruits proviennent:

a. □ de vergers b. □ des halles c. □ de toute la France • Les corbeilles sont livrees :

a. □ dans des cageots b. _) sur un presentoir c. □ sur des assiettes

12

Dans les corbeilles, il y a : a. □ des fruits de saison b. J toujours des pom m es c. □ jamais de fraises ni d'oranges La corbeille co n tie n t: a. □ 8 kilos de fruits b. □ 12 kilos de fruits c. □ de 8 a 12 kilos de fruits Les Vergers de Gaily sou tien n en t: a. □ la recherche contre le cancer b. □ le b ien -etre des salaries c. □ le projet« 5 fruits et legumes par jour »

wll|^lwlllllllllll^llll^mllllllllllllWllWlllHllllllll)llWlltlllllllllllllllillH|ln/ltiq ues pu bliques. Et pou r mo^ cet ecfe c se crista llisait particule remm t en de/enti'on*,

talnr de detenus, sans jamais

aujnurd ’h ui vl'c r-pres ('drnte du

leur demander le mottf de leur

Genepi. de/^r^ia (ns a rr^etrn/ au

apprend l’existence de cette assodation creee en mai 1976. Depuis le debut, son engage­

tion

rxp:lque-t-ellr. Marie

Class(nr

incarreration.

sa

cription (il faur etre etudiant et avoir un casier j/diciaire v lrrgr), un rn tretirn est propo­ se pour crrn rr :es motivations

f t / du tempos, :v nombre d/ossi'ne,

r.xp/iqur qui

est

debut, jfe

de q/r/i^l/r^s mots, mais

pensais qM’on mettait en p ri­

m ux qui continuent rrstent e«

son beaucoup tmp de monde...

general p /«sie^C/'>|||||/|"|>|/|||-|lCCll|//ClnlCllllllllnull^ulllmunl/lm°uUflHHl/wMMlll-m/c/llwwll,llUlnnnlH,mlHU|lwmlHllon^Hlw,l,lmnm,|llm Hl,ml,lw,llU7la«Hnl,lll,

Bdi dam l C^ u rtiM desir i celebrer son 0nniv|Isaire ou r is tauram a v ic s is amis. f i 'ET *11 ln 1r! s taurd :lt dans un l i i l dgreobl1, oalm l, a lo campogni ou o v ic une jolie roe Ei)! vo l droit pr° pos|r a aea tnvlitf ( un m |nl original a v ic le plus possible d i choix “2rls}ls plots is lls d ls s llta •Ell i d ftM son budget a 3 5 - 4 0 € par p irso n n i pour un menu ° v ! c hom age i t d issert.

Void les menus des trois restaurants consultes.

t meem L'eSat)>« dr Bourgogne da^ tous ses etats (cache pane u pervade. aubleu de Laqueuil^ |nmillier^iJllra^!( nosines) ou LdcaiUi oorame1isee, i1111711'!1! de Mines ou mogree de ramrd fame et pormeson ou ^viioies de siumon tabel rouge et miaiKes. gombos popillon confites a f M e d'olivi colombino

l^ ^ r -s Doa de o^t^illl^udde petit Ciatut, Le tout cliocotoe risotto B)oke &WhiK. grand cru Mpa3o l!guni!5 Tempura ! ff!l v!1oiis W R0ue d c i tron fenmiim pomme, pommi, des montagnis du carnal pommi!!! chaude, confteMewppl) aumbte oux omondis m, Fromm s ftiba bouchai 0 la vonife FaissiHe de fromoge b1ano de 3oirm>n a lo creme parflm! ou rtum 0l fromogis ftas it offines dOn'crgne et d'oi^!lr^

iiiiiiiitiiiHliiiiiiiiiuiuiiiiuiimiiiiiiiiiiiiuiuiinimiuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiuiiiiiiiiiiiiiuiiiwiiimiiiminiiiiimiiiiMiiiiiiiniiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiuiiiiimuHiiiiimiiiiiiiunitiiiiiiiiiiiiiiiiniiiiiiii

a. Dans le tableau ci-apres, cochez ce qui convient (C) ou ne convient pas (NCP). Situation

C

NCP

Choix Entrees C

NCP

Choix Plats C

Fromages

NCP

C

NCP

Choix Desserts C

NCP

Prix

C

NCP

M idland La Fontaine La Table de M arlene

b. Quel restaurant va choisir Madame Courtine ?

M u M i l =11 Les Despres (3 personnes) et les Favre (3 personnes) ont 1'habitude de passer leurs vacan ces d'hiver ensemble, une sem aine a la montagne. Cette annee, ils voudraient loger en chambres dliotes, dans un cadre agreable et calme. Ils sont prets a choisir une autre destination que les Alpes. Ils aimeraient faire du ski et se detendre dans les eaux chaudes d'une piscine ou d'un spa, par exemple. Leur budget ne doit pas depasser 4 0 € par personne et par nuit avec le petit- dejeuner car il leur faudra ajouter les autres repas. Gourmands, ils aiment gouter aux specialties regionales.

Observez les documents. © Dans les Alpes - Repaire de champions Sept enfants, six champions : la famille Piccard est unique dans le sport frangais ! Au centre des Saisies, en Savoie, Le Chalet d'Eleonore [...] a donne naissance a un nid d’athletes. Yeux gris et cheveux coupes court, Leila, medaillee de bronze en slalom geant aux Championnats du monde de 1997 a Sestrieres (Italie), recoit dans le chalet familial dont a seulement disparu... la salle de musculation.

Moquette au sol, bardages de pin aux murs, les chambres ayant pour nom Franck, Ted ou John, ses freres, emeuvent par leur simplicite. Le matin, dans la salle a manger ouvrant sur la chaine du Beaufortain, elle distribue confitures faites maison, oeufs bio de son poulailler et conseils avises... Qu'il s’agisse de passer son flocon ou de se muer en etoile des neiges.

Le Chalet d'Eleonore, avenue des Jeux Olympiques. 7 3 6 20 Les Saisies. 9 9 € la chambre double, 120 € pour 3 personnes en hiver. Toutes avec petit-dejeuner.

... 44

S s g p ^ iE aiGfa

des ECRITS 3

D an s le s V o s g e s - Un p et it air de P o lyn e sie Helene MathieUi la proprietaire de Co|leirs Bois & Spa a parcoiri le monde et v eci a Bora B° ra, en Polynesie , avant de s’rnsmller a r orre d i village de Xonript, tout pres de Gerar^ e r A i milieu des sapins, elle a fait constri|re in e immense maison (700 m3) avec terrasse oivrant s ir le Holineck (.1363 mX t e veo r a de differentes essences de bras

(sapin, epicea o i melezeX les qiatre clambres spacieises arborent ici des skis en tete de lit, la m e belle patine c o i le ir amett^;^^!^tt^.,, et s. si r la table d'hotes, Helene privilegiis to is les delices di terroir [,,,1 a i spa-sauna, iaccuzi et salle de sport, elle a clioisi de la^ser flotter to ites les fragrances de la Polynesie.

Cculeue Us Is et Spu.lOOputn e uBlancRuxel.884 0 0 Xonruut-Loggemor. BO€lnchamOndOoublodaedpttit-dl jeonu^.n5€ € la i uil l 26 € l a tablen|f6tee,lS € lespou « N s s os v i u ct o a s ».

3 CHATTAUX VOISINS GIMBELHOF

MONT SA IN TE-ODILL : TOXR COMPLAT d u m x r PAIAN

Convient

Convient

Ne convient pas

Ne convient pas

Distance Denivele Panorama Restauration Duree Printemps Possibility d'ecourter la randonnee

b. Quelle excursion von t-ils choisir?

E5 B 5 B H 1 puur des euisons proOessionnelles, Pisees Lemercier s'est esnr u jsudi 29 mars 2012 a Toulouse pour ve r i er l'expoi^si^:ion « Explorez M ars » qui se tisnt a lu Q te de I'Espuce du 11 fevrisr 2012 au 3 juillst 2013. Comme il ne repart que le samecli 31 mars au soir, il a s ecicle de profiler de son temps Upre pour misux connaitre la vMs. A l'uff ics du tourisme, on lui a remis quelques Mees de circm ts et de visites. pierre aime Peaucoup s e(^^^u^\^Ip^lr le patrimoine culrursl er monumental s 'une v Ms m^ s aussi son patrimoins culinaire, car est tres gourmand. (Zomment v a - t - il organiser sa journee ?

Obp scp p ec esso op ooition s d e v Svite (ppg e 48t-

D comme... DELF

Pa la is d e ju stice ou la ville en fo u ie

c

La ua |s d f g o u rm an d e

Le Palais de justice vous ouvre ses potties pour une visite a travers |'histoire toulousaine, de |a crvpte archeologique a Pedifice contemporain. Vous decouvrez |es vestiges de la porte Narbonnaise, de la voie romaine, du CM trau des Comtes de Toutouse et du Parlement. Une vfefce exceptionnelle.

V:

pour le plsisiI des yeux et des papilles, suivez un parcours historique et gasti^ionom^que dans les marches Iouloussf3 s et degustez des prodmK d'exception (porc 3 ofr gascon, foie gras,vins et fromages regioraiuc). Tous les 4' samedis du mois a l0 n 30 (Duree de la halane: 2 n Tarif norma1: 12.50 E - Tarif reduit : II € DegustaHon incluse

Tous|es T et 3e samedis du mois. a 10 h et ll h Duree de |a visite :l h ftrtf unique; 4 €

Gr«ands m o n u m e n ts d e Tou lo u s e

La Oslad^fd u p strimoine

Vous decouvrez le Capitole (Hotel de ville) et ses salles dapparat (sous reserve); la Basiiique JSaint-fennn, d ief-cta u v re de Part roman, etape majeure sur les ct e mms de ^j^iint-Jj^c^c^ues de C° mpastelle ; l egl^e et le cloltre des Jacobins, maison mere des Domfnicafns a lext^aordiarchitecture, et l'h6tel de Bemuy, temoin de page d'or toulousain.

pour une premiere decouverte de la ville. cette vfsiIe vous propose un panorama complet des principai^^uc sttes et monuments. Au gre de cetIe balade, sdmirez en passant le Capitole (h6Iel de ville), ia B i ss^ us SamtSernin , de n°m breuses eglises et hotels parIiculifrs e1, ie long de la Garenne, profitez de sPlendides points de vue sur les monuments emblemstiques de 'ftiutause.

Touslssm(m is ilM h30 Tousles san^ed^sil>h Ian fat f normal : 1? € Tartfreduit : 7.5 0 €

Dims3che^5 ma5 s l 5 S t a r i e t e tav sse z h

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Tarit noNia J S 50 € T rtfie duit : 6 €

vinv.caUmeo.com a iD a n s ie ts U lf a u c i - a P r e ®, c o c h e z c e q u a'c o i m 'e n t (C) e t c e qu i n e co n v ie n t p a s (N C P) a |a s i t u a t io n d e P ie r r e . Contenu

C

NCP

Date

C

Heure

NCP

C

NCP

Palais de justice La balade gourmande Grands monuments de Toulouse La balade du patrimoine -

b. G u e{{i^qs) Usls h e(s) ou v is i t e rs) P i e r r a v a - t - i l i a H e ? ,.

48

Duree

C

NCP

des€CCTT immmmHmmmmmtmmmmHimmmmmmmiiimHmmmttMmmHmtmmmmmimmmmmmmmimimmimuimmtim

frte IPa^ est pairti p o ir i ne snmainn en Bnetagne p o ir i n stage de vuile .ll veln. bien sur, rapporter su|vnnirs, mais ses spunumins ne t o permeu ent pas de dspdnsdr p lis de 33 €, I (ait i n e liste des p e n o nnes a||q|nllns tt su||ainn fai re i n padna u : sa maman, son papa, sa s re ir Emma et son copain Kev in, I n dans i n magassn de souvenirs et palp lln : °a A m r de sel coum 4 ,30 € 1230 g, la boitn en fen de Traou Had dspunse d ,ig tabldalu de Gaugmn 6 € p o ir 8 galnnnds, te plane min^ ine : 5 € , oe bol a prinom 8 € et ,s sac en toite de jute : 7,50 € Qi^ nt au talslnau avec °es nio i cls de marins, on °e nrolvn a partir de 36 € .

a. Pour chacune des persortnes et pour chacun des souvenirs proposes, cochez (X) la case « C onvient» ou « Ne convient pas ».

Bols a prsgom

Convinnt

Ne convient pas

Traou Mad de ponn- Aven

Convinnt

Ne convinnt pas

Tableau de n o i d s marins

Co]^’v.ni^t

Ne convinnt C.8

R eur de sel dn ^ ^ ande nt i n sapennuiln de jitn Convient

Ne convient pas

Pharn mim a tire

cop\t^(^i^'^

Ne ponvinng pas

S . mamam Sen papa h s o ur € mma Sea copain Kevin

b. Quels souvenirs Paul v a -t-il rapporter ?

49

part ie

2

D comme... DELF lnniiiiiiliiiililiiiiillllilinniilimiililiililiiiiiilllniililliiliiililiiiiiiiliiiiilililiililrileiiiuuiiiiiiiliiiniiiiiiiniiiieNuilllliuiliiiiiimiiiiiiiiiiiiitlilniiwieiinililluiiniiiihiiUlliiliiliimlniiiiiiilHlli

MUmMHnEl M ichels voudruit acheHer uee tablette tucti's , ^’urfout pour sss M sfrs. E|s u|msvoy agsr et i d t bsaucoup de photos qu'elle vout o i t pouvoir regarder ddis de bo i i e s ^ n ^ e cm s. Avene de se reedre daes u e magasie, el|s a dem d ide cor^ei' a so i irere. RUi a rs commu]edr d'^(^(qiaut

D O 'M

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iPodtouch

iPodclassic 8

k 3 a .|

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Le tecteurde musique inc^o'^J^l^ll^^m!^l!iir ^ @ 1 propose de tom b:ellet actwtee sur place romme |e baeketbali et Je volleyball. Des eqoiperaente pour etfAttt eont 6galemeni prevue y compris une pataogeoire e[ une a re de jeux, En ete, le mini-c^ accueiHe Jes etfAttl entre 4 et 12 ans, Services Restaurant, bar, jooinaux, jardin, terrasse, chambres tot-flmelre, accessible aux personnel a mobiM^ r§doite, lbalCAge. bol[iqlee dans I'hOiel, tzack-bar: Marahisserie, iolAtiot de velos, equipe d'AnimAtiOii. teivile de navette (en supplement),

Description A 800 metres de la plage, ce village de vacances avec piscine exterieure et court de tennis est situe a Aigeles-tur-Me^ Lee cottages ditpotezt d'lte teiiAeee privee. Situe eur la cote mediterrAn^enne. te a ;ri^;fti'glU3 [oflll]®® eet ti[le a 5 kr^ du l e t tie v|J|e d'AigeIit-Sl r-Me^ e[ a 25 km de Perpignan. En ete, un teivile de navette es[ ditpotib1e pour ee :etdie au h z1: . v||Je d'Aige16t-lliMe: et a la plage. pit l ine ex^ne ! :! (de tAitot) e[ pillite couverte avec patalgeoi:e, earna bammam. (baine a bl ||es e[ ea.e fitness.

Informations et elppleaents Une c o tte x io t WJ-F| es[ dieponible da tt les parties communes au tari[ de 2,50 EUR pa: te uie.

pour 4-6 personnes -1 chambre avec 1 lit 2 personnes -1 chambre avec 2 lits 1 personne ■1 couchage convertible pour 2 personnes dans le salon - Salle d'eau - WC separfes - Coin cuisine avec r6frig6rateur - Micro-ondes Les R u s. Terrasse Isois Tarll 8 6 2 € im6g:6e spmi.a eemarne cooverte.

P

62



des ECRITS wm m m um im iiiMm m im m m m m m im m m m m m nm m m m m m m m m im Hm im m m im im m m m tm m m m im i

P(hseu/jfrts ■ so3 m de /a plage. SuperfLc/e

d4hectares.lkmdeslommerres, Espa ceaquuaqouoouvrttlpO \a

raison. P parcaquatique nee pplrlner a sl arum) : upgrand bass.nde 200 m? ceaWniXXC (prnfonnxurmax: 150 m- prol nl uri n ?1.20 m)i pm patopeoire (profondem: 0.30 m). nntobpgpan aq l ique.

9 3 :5 3 Toutatacatan Ba^i^esti^urant glarieeplnisr empoPoomiut prsegorrafipf de rnfrigUrateerret XeXarbecue i mping. i 3 n p " 3 ■m l enjuurnno: 3ettvnes sportives, enro^ e : cecktpiis. concerts.

t ntenrnggggspn^ C E E IS a epumeras ouveeO uVuxi auio septembm. Wiglpa^« nt ^u^tol leeampino (lntem^peaa1eotp locatit). aes UaiemesUtreetriqles rommeiOr sur)eMmpinu-

n a Jurst-Mot ijg rtttt deoain etoeeieopoLseriee. , Snackkunivean deiaprscinr.P3vette (tarife prt'SnenSelsl

frifanltrMdos: Mini-eiub 4-12 pop, Rendez-vous 3dos tf-l? pns,

Sports et ioista: volley. pCtpnque. spge dejeux, piredejeuxpourepfppts.

Camping L0 PI0Q6

p - n j O -6p^^ro« )enjolrpeec i baootetteceovertirill)«0 oer e1 g eo.p cn.eme comprepant micro-oedee. rntrgnrateorapverfrezpr eaflOt)^e.ustpppSee de uweine. plaques de cuisson. i ehpmbre aveeliitilOmr). IchambneaveeniitsSr /up lrp^^ l l s s af|acl\ettl s l e s h eu b l ra m n -es ot l s s h e ua p rl Ii i e r l a l ticles

du reglem ent de la premiere. (Voor les documents page suivahltp)

67

PART1E2

Dcontme... DELF nmmmmmmmmmmmlm mmmmttm55mM55mom nMnmmtlm lm lmmHmmmMmsm U bmnmmttmmmtmmmlml|mmmm|mmmmlHmt orgal sU p r le Comft*ee JuiPOgpdoecint RPMYnnoonotC S T

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i p a r t l r i l s i ^I^OO

l m p lvraie>. Tout comme La guerre est declaree, de Valerie Donzelli, qui avait aussi su toucher au coeur les spectateurs en s’attachant au combat d’un couple confronte a la maladie de son enfant. Faut-il alors stigmatiser des divertissements qui, a coups de bons sentiments, assommeraient la populace? Voila une critique, •vieille comme le spec­ tacle de masse-, qui herisse Emma­ nuel Ethis. ■ Lart, rappelle-t-il, loin

de nous eloigner de la realite. nous en rapproche. Mieux, loin de nous endormir, le cinema nous galva­ nise', il nous remplit d'energie-. Et le rire, plus encore que les larmes, •permet de ne rien eluder4

des questions graves, de tout dire, mais gentiment, positivement-. En d'autres temps, les films de Frank

Capra (La vie est belle) ou les comedies italiennes (type Mes chers amis, de Monicelli) furent de puissants revelateurs des societes americaine et transalpine. La recette n’est done pas nouvelle. Mais si Intouchables fait mouche, aujourd'hui, e’est, estime Emma­ nuel Ethis, parce qu’il met le doigt sur un probleme sensible: l'alterite5. Entre Driss, le jeune Noir desherite, et Philippe, le grand bourgeois for­ tune, le choc est moins social que culture! Et le duo Nakache-Toledano ose un slogan simple : •Haut

les cceurs/* «Le film nous suggere que la solution n est pas technocratique. Elle est entre nos mains, elle repose sur la confiance partagee-, analyse Emmanuel Ethis. Et le bouche-a-oreille ne dit pas juste «e'est drole», mais «vas-y, tu comprendras•, bref, derriere le rire, il y a •une quete de sens-. La aussi, on pourrait saluer l'utopie, comme chez Guediguian, qui dans les Neiges du Kilimandjaro, veut encore croire, avec le sourire, a une solidarite des pauvres. Pour ►

SH i9SliS2iS2a

des ECRITS wHiiuiiiiiHUiwumiimmmiHMiitm m M m uttMttMimmmnmtmmiiMiimimmtftttimumHiiniiiMiftimMWHHmMmmmMimmiiirmiii

Bmmanue1 Ethis, hilouctoblcs f'a’t neanmoins echo a une realite. A un te soin de communicatkon dans un mondc qui d ’ve'’. Et 'a c'est 'c president d'un’vcrs’te qui s'exprimc: •Atmgnon es/ unc unin rstie populaire, qui totatoe

4 8 % de boursiers, un rccord. Mats nos e/uAants cxultent tie pouW r sc nae7iangcr. dc se con/rontcr a d auare ' milieux .* De fait, Inooucbabes, dc par son large succes, federc des publics . e rents. B’en sur, c'csi du

1 H- . iramatique frangais. Grant1prix du jury au festival dc c arnes 2010. 11s'cst in^spir^Cidc rassassmat des mo’nes dc TiMii nnc ca Agenc en 1996. ue . ta rctracc 'a v’e quotii icnnc des molncs ct St25 interrogations face a 'a montec de 'a vfcitencc pendant ics mols q t ont precede 'cur enlevement 'ors de 'a gucrrc civile cn Aigeric, 1 Him ’ran’cn sort’ sur 'es ecrans cn ^ H . Oscar ct Cesar t mefllcuufI1m etrangcr cn 2012. ATeheran. ^iLa^ilr c- Nader eecadent dc iIvorccr. Nadcr engage alors unc aiie-soignante

dnema, ma’s unc r rance capable i'a pplauilir a httouchablcs n'a piobablemem pas abdlquC 'a generosiie. ftederic TheotoJd.1 / vic, na 5456, 24 novcmlbrc -011.

pour sbccupcr dc son perc ma1adc.11Ignore alors que 'a jcunc femme est cncein-e ct a accept! ce tiavai’ sans I'accori ic son m a . unhommc psychologiquement mstablc... 3. t o t o usiasmec. 4. Evi-er avcc a&csse. 5. Caracterc de ce qui cst autrc. i i/ercncc. 6. Kviscr. separcr en parties cil’stinctes. par cxcmplc, 'c clivage dc 'a gauchc ct de 'a i roii^c.

I& po n d d u a u q u iu /o n ^mymmMmwwm/j/wiiiy&mi/mMMmMm/Mwqim/iqfflj/Jiiiwii/iimMjmii 1 o uc -heme du fIlm « Intcucb abics » cst l'his tc irc d'une amitie cntrc t a. □ un rcclus du milieu ct un hemiplegique b. □ un pcrcius de 'a banlIcuc ct un te-raplegiquc c. □ un cx clu dc 'a banlIcuc ct un -e-raplegiquc 2 • uc succes du f11m cst i u cn g ra n ic partie au to u c h e -a -orcillc . Expliquca cette expression.

pour 'c sccicicguc Elmmanuel Ethis, 'c c’ nema ’ nv’tc a 'a communic ation. Qucllcfs) pbrascfs) justific(n-) ccttc affirmation ?

4 o u- rirc permi t dc parler dc questions graves. de -ou- fore. □ Vrai □ r aux □ ° n nc sait pas 5 • Pourquoi « Intcuchabics » fai1- -’ m cucbc ? |ustifica votre reponse cn ci-cn- unc phrase du -cxtc.

6 o Entrc Driss ct Philippe, 'c A oc cst t a. El plutot culture1 b. □ plu-ot social c. D plutot social ct culture1 7 o Dans son fi1m 'es Ncigcs du Kilimandjaro, a quoi Guediguian v cuI - -1 encore croi re ? Citca 'a phrase du -cxtc.

99

/) comme... DELF 'lllllmt/tlrlrrllllllnltltwllilili:'rlli|ir|l|a|/||l||//|/||lllSllllllIc/: /iH/li//HHllrllmlHi/l/c/lilWN/l/inll/llUiU/illiilc:lLlHllilUl/tlimliUlUll/aolllilil11lHHIl/nl/llll/lll/ll"ilHllllIIIlI//lll/lll/l/"llllllll

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C’u c t t u c h rno 'c

uoiutu eemo/ue |, ust'0u |n cnc'0i qe'nu uu pout aulrir qe'nu |iseut |n Dupeis qu'il e tnc bcetcnc, Hnmn logun. Lus 'uCsc1,1- 1. uu proa'tuut, motn C'umrloi iustomont MChe t|us caainnc n'o aluc d'a0011-: 1011-. 1 sn pnrsuotec qu'uuo iuiora|ce a 00^ lo choccn C'oau cc-He- ? B cn aabrii snnt euoiiie per cuc ^ ecOTrr^ndes queu aiCeiicuro (n cBum, a|r||yce a ceut tu patnc, qui o trac u't uu P1'1^0 ei6rnglyrhiLm ues, c°r ecr|us rla' s i'iCeo tu vivru uu ucuvuau rauchelougeuc cer suc poqentc |0 onut'ou tnoluoinerc, c°c eaa|rn':is reninceii oor chn: in concurrom. I,'10!11./14 oLa/crn: cnL:nl, quul ust sou blit ? oeriqenr, cuc teieseones sibyiiius, Cus coucnatuers ° ci ausc' arni4g4n Et cu oeguetoccope eqwpe c 'eu sue| aetout t'objuts quotiCIouc qu'L| nn plr lo susillaniroile4 du c|iout. qei bnetou meltia 0uctinu cer | n qenl nu cnmarnuC plus. Mois Hoon c0Piuuc u'ocnro jaools rnutrn eu rrac^etos, Sicsn cus uoifs, aaute tn aarvnu'i ie e toti tn cn crn'ru t ep|ssn. L|n'nct c0pu porcn qu'il uu c0° s rnnC p|ls isrogremmur nu nurnoictruonut, ^i^ ;iii qun leviciimu ' ' uu onfer org|u'ce aeI ootn t'uoaloi. C^oonont cu to'-1 ete cree pner unec himilter ? Doii" con cnmblobln, Homo s i s 10. . mg ,qeu uoirn cocieie torn^'onne oa|gr4 inerc, Cuvous-nous uner recoetrn a uienc/c, qui, Cous snu |oboreto'rn, tout ? «On council touc Juc rn/|ic Cu u'utiiiser quo 10 % Cus possibilites Ju /ooonto' ni coucnatuel'cn c- uuint cnuueiccouce Inchuiqnnl, r|crere nos eqelpnonutc ? pove Cu bneInuc : coM Ju « l'iufnti lu soc'ologeu : |n aiis, ch|Oa'0u te Lus uoifs objoctoront qi1'1 nv'sIn Jus ooiinu n:Cluei:u » 1 Deia |Ul0Ur c uu mani-menudu DVD, |ucoec|u, Lmb|tmodus ' ' 00 : 10/. wH| h| h|» ,reaonC mouemnut t'eemner c a jtotor'Q1tobln cei Wiutowc. Et 'u1- , . -1, qe/ Mornl touc uu lanoego c0c'n|ng'qtn. (Luc Oecicinus obcntctec, feOTtog/rnrroepn !ns couu|'SceucnS tu cuc Lus 00 : ° : ''00:101 dwo ^ t teus doc otrourc ta 'c a /esnt pu,ci'ci0uiuc, aiouuiurc sn cebstite|ui auv Ootnc ins ginuiurs. Lll'piiqens, w 110' ' -1 ,? ed. Gollioerd, 2002), Cer'st'ou Mot0! t'noaloi. tror tnceuiqenc, IrattiIs a |e iiun|n2 viuut tu subl'or uu |ivrn c 'uti|ite Rosto la poecio 'us o yct6riuux pc(rolove touc eun ta'Iuru Ju incei'0U subliqun : c ° riln|ormflCnr torromons cuuces remjDtacer oi||e au leanu, ui> [prncqen] |ron:ois : orCLnc/ru. Uuu nuqeetn aucci tro|n mots. Pour lo sluport t e s jol's, :|s u° es « QeeuC uu sicciou Jn Pind 0 uu quo aosc'ouuouto, qu' ticsequn |vuc loissnnt souvnut oois5 comon c°s vue, flutez lu proxon»), i|s nuvrnuI le precision du metnciu teotete pUUi poelus tuvout enu fonrchutte. Qiri' Cus ebious tu purplovite. D'a'llourls, che sur uu corpc c°s iouronuic ot" tieu Motul recoute cett- |nUctoiU du plus pnrsnuun uu !nc |it. Pour MniUS uoirns qui unec anerricsnut|e v'u. sociolo^eu Cutniro'u. Dor r |ncto'|ottns c'ost sur, in leugogn 0 ete |uvnute Lu trovei! cneregnev du w cwtogi1du TGV Poris-Liile, I1 0 rumotqu4 qeu pner creni du linn, . e ' 1110, a|ccur pout su recumor uu qeu|qens q^ ' lu pLctograome qui iut'quu |u raWnet in iumpc. Pos sour iraucoottre Jns tinns 'uuocnuins : pnerqec'|ns t t''|isad'neu ust naaocU. L°s voyoeours nuI 'uaormotions brutnc. Uu ecrivoiu ne iners tu ingiclul Win'owc Ccivuut-iiii pris lu tussin pour te bnetnu ui s° soui eu grout orotuer auro du oel a iuCii aossnr par (n muuu « Deo|lrer» pour ochemiSs 'usses. C,c w. 00011®-^ qenr a uu icuriciu !n chnoiu C'rnct etniutin lour nrciuainer ? pceIqeci |o Covrout i'ru lu ||vrn 'u s^Jtotoo10 ' a poui oiior a lo bnelougnr'n | a r|es oorchn omeru C'euO voiiern autodeaeu tu ruooouur uun " o1'14, ilc procen. Lo louguu us1 equivoqun, met'qeu oct-ollo placee a i'0|0nt d° ruitoevnrout |ner huO0enipn0sru. ueoucen, n| | n c° ||iccn iUiUISt6ius lo morchn oveut ? Qun||nc cdn 'uc N'coloc Doiusaiio. Teler|ma. mntilatiouc arnlnutnc c 'eu 'utectrin| Du coup, lla tarn d'ei:u ^ c o n s 3 u°3036,1emerc2°° 8. uci ptofoudeoeiu ouc:ee d|uc /0 qui vnut Cuc V ascos c '00u ccu||eus. 1 PtSparer secretrment quo/que choso. - 2. OUSi Cn oc:on poui StrnCte le mprc|-rtfortUrc',t»r l|mr t^|ntul|ir- rel|Se a un moucho.

3. D,4ficin- a comrtenCre. - 4. Mtanqur d'ou'cce, Jo c0' 1:000. - 5. U0!. . 01 cci : ouet dn sSupour. R s p on C o : c u ;v q u c r t/onr.

m m m m m iim m

1 c D an, co tcxtc, ' I osS qurst:lcu d r: a. Cl /a ccm pll^>^:^'tS J o /a/|nr ur ftan :| iic b. E] lc c c o pll^J^i.sS 'o s :c lat|ons hum|iurr c. □ lc ccm pll^3cisS Cos m °c ° r t '- 0 p’L|^i2 o Pourquoi 1^ 0 0 0 , cn ^rs que nous la secretons, nous souffrons de ceiie tenace real||e : «lva quantite de temps quoft'die?j don| nous disposons resie immuaWe c es1 la seule de^jree qui soit totoiement rationnee, et en erosion perma­ nents*, rappelle le journaliste jeanLouis Servan-&±heiber, le redaci^i^i^i' en chef du magazine Cf e , dont Trop trite f (ed. Albin Michel) est le dernier opus4 d'une reflexion sur le temps entamee ' v a trente ans. Un sondage ipsos d'octobre 2010 le con|irme a sa man'ere : les Fran^ais sont convaincus que s'ils disposaient de quatre heures de plus chaque jour, ik pourraient meneir a bien tom ce qu ils ont entrepris. Preuve s il en is 1 d'un malaise, qui ici confine a la deraison: «Pe»'dus dans une mer demcn^ee, sa ns phare pour nous donneir la direction, nous app ooatons d'une soc1111 epiieptique*, analyse Eric ftottorino qui, en UiU qu’homme de «presse* et ecrivain,

a toujours vecu cette tension Uee au temps de rtatCTieur - il compte d'ailleurs b'en toi consacrer son prochain roman, Mais ce sont encore nos enfants, suWssant directement l impact de cette frenesie dans laquelle ils grandissent, qui nous disent le mieux a quel point nous allons maL •Car non seulement fes adu/fes veulent a toutprix etre performans, mais iVsffont aussi courir fcurs enfants avec eux, passant leur temps a fes fousodie.- tant a l ’eco/e, ou ife ^ ivent aWer directement a la case “reussUe ”, que dans les multiples activi'tes extrascolaires quon leur* programme pendant leurs moindres temps Hb”es*. se desole la psychanalyste Sophie Marinopoulos, specialist” d” la famille et du lien mere-enfant. « me/aut donc |s rappeler : r enfance n’estpas une maladie”Un enfant a t e o in de tempspcurgrandir, e| ce temps de la croissa nce esi un temps dont on ne peut/aire ^econom|et, poursuit l auteur d” Wtes-mioi a quoi ilp ue, je vous di'rai commen/ I va (ed, Marabout), qui constate, en reaction a cette ‘ ambiance

anxitoghe!*, une augmentation des troubles du developpement ch”t ses jeunes patients. Esoce la raison pour laquelle ces a risque* ou ra haut risque* des la derrnere annee de recole ma;ernelle. L idee derriere cette initiative est peut-etre btenveillante, mais il y a deux gros problemes. D'abord, les enseignants frangais ne beneficient (^aucrne for­ mation medicale rn psychologique, et ne donc pas capables d'identifier avec ficbiHie des troubles de f’enfance . Et surtout J y a ce contexl e fran^fc et cet usage de Techec qui curait des consequences affreuses z on dasserait des enfants des l'age de 4 ans. La tragedie est que parmi ces jeunes gosses stig­ matises se trouverait peut-etre un Steve Jobs francais. Aux Etats-Unis,il pourrait faire face a cet e^ ec predOde et triompher. En France, il s^rait selon toiJte prohaM lte condcmne a une vte c perdue ». Peter Gumbel, La Croix, 28 oa obre 2011.

le p o n d o z a u x q u e s t io n s . 1 o Quel est le theme principal du docume n t? a. D la mort de Steve Jobs b. E les consequences de Vechec en France c. □ l'echec scolaire 2 o Steve Jobs a ete souvent confronte a l 'echec avanit de ccnnaitre la vraie reussite. El Vrai D Faux □ On ne sait pas Justifiez vot t e reponse.

3 • Comment con sid ere-t-o n l'ech ec en France? Justifiez votre reponse en citant une phrase du texte.

4 o « En France. il n'y a pas de seconde chance ni de marche arri ere. n ExpUquez cette phrase en quelques mots.

5 o Le nouveau dispo s e qui idI ntiflI les enfants « a ri sque » des l'age de 4 ans pose des problemes. D Vrai

□ Faux

D ° n ne sait pas

Justifiez votre reponse.............................................................-........-.....................— --------------

6 o Aux Etats - Unis, au contraire de la France, on peut surmonter ses echecs et meme en profiter. □ Vrai □ Faux Cl On ne sak pas

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PARTIE 2

Dcomme... D£LF uJiJ/ffJUfHiujjJWi/iJHfiJWiiHiiH/ni///iinijiJiiiJiiiiNmij/Jiiwii/iiiijnniiiiw//j/JiJ/iJ/Ni/Jiiiicciici/ji/iiiuiijiiiwi//fjm/ii//iiw/i//iiti//i//iiHin/iimiiiHiNiiMum/Njfif/ij///iciuH/i/iii/, ACTIVIFE 22

L a Fr a n c e n 'o s f p a s e p a c g n e o paw l o « h u m - o u lt0 QuunJ Ns accivont dans te cabinet du quO/los dc/Vont ucwmp/ir». Jefaille meJecin. cos patients J isenf pcafiPhilippe Douillet, charge J e mission a quement toujoucs Ja meme cboso. 1'Agence nut'onale pouc I'arnel'oration ■ Docteuw, jo su's wde. Te n’en peux J es ccnJit'cns J e tcava'1. plus.. . » Sans focce et sans toujoucs Dans un uifloxe J'aufo-Jefense, la fcop savo'c ce qui teuc arcive. «Choz v'ct'mo J 'un bum-cu( va souvent Jes pocsonnos afto/ntos do burn-out, Jevoloppec un certain disengagement. c'esf quelquo ctoso do lues irappa/n/: parfois te|nfe J e cyn'smo. « Commo" co senttmonf d'etre vide, commo n’a p/us Jes moyons 'o repcndre uux consum°' do rtntecieur o, constate lo exigences de son travail, |'/nd/v/du J ocfeur Franp^is Baumann, genera­ va devo/cppor un corta/m nombco t e a pacis. ' Wees negatives. Um pcofossouu, D'ougino angle-saxonne, ce termo par exomp/o, va deccetec quo fous J e bum-ou? s'esf peu a pou impose sos efud/ants sont dos imbec/tes, ce en France. Une socle d'«epursequi, d'un seuJ coup, va cen're toufos monf prcfesslcnne/>> Jeccif pour la Joucs Jtemandos /'/legitimes. Ct lui per­ premiere fo's J uns los annees 1970 m ittee de frouvoc un pcefexfe pouc ne par un psychiatre americain, Herbert p/us uvc/'r a y cepcndco*, oxplique Freudenberger. «« ava/t compare co DiJ iorTcucbct, pcofesseuc Je psychosyndrome a un immeub/e imcend/e, log'e soc'aJo 'u frava" of J e Ja sante dont c7 ne cestutf plus quo la fapade a rum'versrte J e Franche-Comte, a mu's enftecemenf bru/e Jo I'/nfeneuc», Besanpcn. explique Jo J octeur Baumann. Un l...] «E- weg/e genera/e, /e premier burn-out n'esf pas une simple Jepresout" thecapouf/gue est /'annef do luas'o- . Cn general, son J'agnostic esf va/7. C'esf impocfont quo Ja personne efab|i a partir do tco's gcanJos caracaccep/e ri'e e gu'e//e do/'t s'uureHcist'quos. «Le premier s/gno ost un fou pouu uno duceo p/us ou moins epu/semonf prcfoss/cnne/ qu/va b/en longue. Ensu/'to, on peut efre amone uu-do/a d'une s/mp/o fuf/gue. Lo doua pcoscrire des untideprossoucs pouu x/eme osf Jo devoloppomenf d'uno uno periods ftmifeo. Cola peut a/deu corta/no depousonna/isaft'on face au Jes paf/ents, en part/cutter coux pour tca-a//. Enffm on uofcouvo chez /es /esque/s ne p/us aJ|er tuuvai//er tous pecsonnos ccncemees un lues fort /os /cuus peut so uew/er lues amxios°nt/’menf J o non-uccomp/lCcemnogem?» explique te docteuc Bau­ 0f de por/e J e sens par rapport a ce mann, qui accompagne souvonf cetfe

prise en charge J 'une psychotherapie. Comme ses confreres.11souligne qu'il faut auss' ef suctouf engager avoc te pecsonne une reflexion sur son fiava" ef sur ies changements a mettco en ®uvre pouc qu'ello pu'sse y rotournor sans se cemeftco en dan­ ger. Cetfe tacbo n'est ev|Jommont pas simple ef J6passo b'on souvenf tes capac'fes J 'act'on J es soignanfs. Tous Je Jisent, en pacticul'ec los medecins J ufravai1: so'gnertebum-ouf. c'osf auss' slnto-nger suc tes mufa''ons3 J 'un monJ e J u trava" ou la cecboccbo J es gains J e pcoductivite fail pesec une pcession pacfo's poussee jusqu'a |'absucJ e. «Lo plus teuc/b/e, c ’osf co sontimert do pecfe de sons face au truvai/”, constate Odiie Chapuis, mombre 'u M e cti1J es meJec'ns 'u fcavai' 'e Boucg-en-Bresse. «Dans boaucoup 'o mas ons do wefwaife, paw oxomp/o, to situation esf cutastrcpbi'gue. assure--teNe. Do plus on plus y cegnonf J os ox/goncos 'o len/abiWe ussoz deA'ranfes. On chconcmetco Jes so/gnants, on leuw J/f: “Uno douche, co n'est plus six rn'nutes ma's quatco minutos.“ Ocmmen/ voutez-vous quo ceux quicnf c/io's/co metier pacce qu’i/s a/ma/enii Jos pocsonnos agees no deviennent pas d/mgues... u piocre Bionvaul/l La Croix. 1112/2011.

1 oetuuit. - 2. Qu;"puovoquo 1'amgcisso. Vanxie/e. - 3. Los cbamgomom1s.

R e p on d e z u u x q u e s tio n s . ^/////////////////////^^^ 1 c Lo fheme 'o co J ccumoi^t ^i^t: °. ^ C/ Ja Jepcoss:icm b. J /'epuisomei^-: c . C ^e depay sement 2 c Quo/s scnt |os fuc|s gcanJo s caractenistiquos J u bun i - out ? Ci/oz los ^j^xp/^^e^s J u tex/e.

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des ECRITS rtWMHMiinuiHmHfflmfmmmmmmmmmmmmfmmmmmHuiUMmm iummimiiiimmiiimMimiitmwmmmmHmmim iiimmmimmmimiimii 3 o Le pr° fesseur t e r ete que ses etu& ants sont des imbeciles. Pourquoi ?

4 0 La therepie du bu i ^ ouf est event tout i'arret de travail. m iis ausss : 1 □ les anticlouteurs b. □ les antimalheure c. □ les antidepresseurs 5 • pourquoi feut-U s'interr°ger sur le s mutations du monde du travai P lussifiez votre reponse en ritem une phrase du texte.

6 o La situat/°n cati strophique dans les maisons de retraite est due: i . □ a \i stabiUte b. □ a \i rentabilite c. D a Vanxiete

L i nouveWe donne des antiseches1 Cetf la plus grande menace sur l'enseignemem et \i moins connue: la fraude, Seuls Jes enseignants en fin de cirriere, insensibles aux pressions et menaces, osent la denoncer. Un groupe de trivati fiorme autour de Mk heUe Bergadaa, courigeuse professeur de runivCTstie de Geneve, i mis en evidence I'extension de ce phenomene grace aux nouveW es techn°l°gles, Dins les concours imperiaux de la Chine ancienne, certains cindidits dins \i d° r b/rre de leur tunique des in riseches en papier de sd e. Arjourd'huji \ss reponses toutes pretes se trouvent dins les memdres de c ilculitrices surpuissi rnes. Naguere-, on copiait sur le voisin, aujourd'hui on lit un SMS. Meme si les epreuves sont tom surveillees, c existe d'iutres methodes pour doper son mteUect. Les devoirs a la maison sont souvent -pompesi integral^i^i^i^r^t sur un site Internet ou sur un c°rrr/e| du mei/leur

eleve de \i ciisse, L’e|eve fait du ■copier-colier> ivec son or finitew comme naguere \s (°rrnlliste avec des ciseaux et un pot de coWe pour decouper tes depeches d’agence. □ |ns \e superieur, les memoires de master reproduisent parfois integralement des travaux anterieurs sins mentionner \eur auteur. Et malgre les logiciels ind-fraude, certa/nes theses comportent tint d'emprunts non signales que le doctorant est un vo\err de propriete inteliectre\le, Uensi^ii^ner^i^i^it a distance favorise \i triche. Finle l'epoque des devoirs sous enveloppe, voici les urnverates numeriques. On ne sait pis qui est (ferriere \ecran : l etudi|rn ou son double. i'enseignant ou son i negren3. Certa/nes de ces institutions, ivirtue\lesi, notimment en Roumanie, ont decerne des miNiers de dlplomes sins v|\eur mais non sans cout car le bus/ness du le-\elrning• est

florissant alors meme que le pro­ gramme des universites des pays deveioppes est souvent inidipte aux teiioms des etudiints des pays les plus pauvres. Pour ceux qui peuvent ou preferem et^dler a l etranger, certaines facukes fenrnent les yeux sur l’autfientidte des dlplomes et accueillem a bras ouverts un public souvern payint, ipte a combler le deficit des comptes courants. ^es er n ^ na fantomes, i frlcains ou is ii tiques, ont ete inscr/ts en m|sse dins certains etibllssemenB qu ite ont vlte ctesertes pour ttav ^ e r aux fraiises a Carpentras ou aux me\ons a Cavaillon. ies ^ e.srationw de mveiu en langue frin|iise sont parfois *t)idon.f m|ls on s’lmaglne remonter dans fameux c/ass adaptez votre m ten i tion a la situation, restez naturelfle); -> en/in, M te s - vous con/ianc e : les te sita tions et les erreurs sont normales. Si certains mots vous manquent, ne vous « bloquez » pas, essay ez de trouver une solution (Voir partie i r e IS s s l s g e i s m p o : t s e t S 6 0 < i 0 8 l ) ° a ts.

ACTIVITE 9 M ar i e - Luca d a rc t r l u v c r ia m rum ru1 d e som | : p ays c t m'av a it p lus d onmi cigne d e v i e,

c cur

Facebook. H te e t a it re tc u rM c a ams son

M a r : e - L u t c i l i s n a s i s u a i s e s s l g e s f s F a c e S s oSc p s n r l u b a i m s s rm f e a

s lle sc rai i

col l ec ts l e s anoir ce gu'el f ect Oedsnae e ts s upla: l oncrr S s n a ous elll s f e ia f c m illo. (es tre I f 0 i t l 8 9 m ots) 1. Nounou: use mcum cc an lnnanga edfantm,

L.W

m JT I

En c cd c u ltndt l'n n s u a inc t^l^p h r n iuuc d e v c trc niile, vouc n c u c rcmctes com pta q u 'u d a v ie a ta in c de p csco n n as p c r ta s t ax a c te m en r la m em o mom qua lc v o tra , casta m a r ay a n t a u csi lc m em o p r e s c m ! v ° u s av es alo rs VMea d'organ iccr uma r c n c c s trc cmtra t r u ta r ces dcrsonncs!

A p res a v o ir rele v e leurs adresses, v o u s leu r e n v o y e z u n e le ttre circulaire p o s t r o u t e a n : t e l o o n :r i b e ° e t O : : m : p o s t r u n s d s t r ° t s n a l u p t r m s f l s v t u r o o e a c o n t r e c o n v i n ^ c , a u l t c r d a o s e s r e l : r e x amp le d W r e j m r s a u e l ° c ^ V °tn° | n d u c c m p o r t a r a 1 6 0 a 1 8 0 m ^ .

N 'r u b ili e s p a u d o d c n e e r u n t i t r a a n r t n a a r t i d e .

Vous ra p p alas q u i a st c e ttc p crso n n c. quel p o ste elRa cc c u p ait a a n s Vrntre p riM e t a e p ujc cc m bien de t a m pS. Vouc alnm az qualquec peecicionc run lc a i i r u lcm alst a e Ra fate : d lm b re de p arconner, p a rco n n alite r pnesentac, diu c o u rc , cs^ ux . b u /fat..|

A l'c c c a ric s d u p f r c h a im Sislon a u Liv rc de p nr i r q u i ue t ie e a r a d u 16 au 19 m a rr 2012, la 7‘ Pri:x Fr anca Cultu r e ^ ^ 1 1^ eeccm pamcar a Rc « m cillcvu e rm a n p a ru a u e a n t l'o in e r ». Com m a I'annec p recedenta, d c u x a u t o cues de Fsnnca Cult u re a t aaux la c tc u ic de Telerama caromt c r n n i ir a p a rticipce at a v o ta i .

Pollt S a ir e p p n : tq r d I ul y , j i v s u s s uU|ir c e s s hois ir u a s om r n e p n l r n „uiu]:tm c n V l S c ! d 'e c c-in a n o tn a c r i t i q u e . £ c r i v e s u n t a x t a a n t n e 1 6 0 a 1 8 0

Vous eceivas dnns u s jc u rs n l d a v o trc n ilic , Un (e) d e v os nm i (e)s a 'cn fad ca ast v anu(a) pnscer aeu v a c a n c a s d a n s sn fnmillc, com m a tr u e las an s acp u ic psec a e 2 0 nnc. A pres u n c fl i y ^ ti^ n de c u irin ier(e re) vctea am i (c) act pnsti(a) tnanailler inI'eti^adaar, d anc u s fcct au r a n t , Q ualqucs amne as pluc te rf, gr9ca a son t ennnil, i i/ i lle a cuvcet con peopec re sta u ra n t q u i ast d cv c n u l 'u „ deu m cillcu r r da Ra nilie,

Voy s ebdiq e ° s s ls a ifie lVlsa o tr e s Iy f ei pos ln :n st a tsr sou yprtc c rt n : ofs fsiono sL aa V o u c p l n c e z l n c o u r o g c r a i n c i je u / e u n e c a o )a v i | | e d a m u ) a u r ^ o iix d o d : l | a s s i l s |

laur mcntrar qu'avee du travaii i: cs. possible de reussir. Tro v vatta n t s sa n s issu e i r e e .

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I5S&

ECRITE

M wHWh U Q

i

R'

i

Pour d es e a ir r s c p sc farc i rnncllac, vouc e tas oblig e ^ de p ecn arc r r u v an e Uc tna e d at l aVr°r:.itiiii c s '^ riUey:^:y,g'iN'Vf‘''‘H''>ir'«''>|'g>^ B p r r n d ic p c rn lr sp o n t arB m en t , rx p liq u c u r r a c tion i d e m a rd c queique chose -

a

/ r nain a la p o a fe. Tu v ru x queique c h o arp -

->

Pance g t i lf a ii trop m tu n a il p o u r d t e r m e p ro m ener '

Q jmm e l | / a i i trop m au v c is p o u r d t e r m e p ro m e n e r je y c ii au cir Bmc.

W o . m a i's p u i sg u e iu y vos, iu v ru x bfen p o s irr m es le tirrs ?

P u i's q u r , u vcs a lc P o str , ru vcux ^ bi e r p o ste r m rs leiires ?

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iniiniiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiuiiniHiiiiniiiiiuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiwiiiiiiiiiiiiiiiiiniiiiiniiiiiim iniiiiimiiiiimiiiiiiiiiiiiiHim iiiiuiiiiiimitiiitiiiiiiiiiuiiiiiniiiwiiiiiiiiimniii

fa. E x p a n s io n du ii con seq u en ce Li consequence esit mUoclu k e par une conjonction expriman t : —soit une simpie consequence -» si bi^n que (+ ^in 0 itattf) —soit une consequence. un but que i'on s°uhait e —pour que (+ ie ^ ibjoncti1) —soit une consequence « result! » d'une intensk e — >sii (^eiiemer^f (+ adjectif ou |d verbe) + que Exemples : 1 a trop mange, si Wen qu'il e s tm |i|d e . Eiie m i envoy e un SMS pour que nous a Hio n sia chercher a ia gare. Tu es si fteliement) adroite que tu rsuss|s tout I pieuvait si (teHementJ/ort q u e /'emis trempe e !

La con cord a n ce d es t em p s

iKiHiiiiiiiuitiimiiiriiiiitiiuinimiiiinriuniimiuiiiiiiiiriiaiuiiiimiimiiriiiuiuiiiiiimmmtiiitiiuiitiirHiiinuiii,

Dans une phrase compiexe, d e s t- a -dire oomposee d'une ploposiltio t prin ripale et (d'i|u mofns) une pl^oE^(i)0l|:io t subordonnee, si ie temps du verbe de ia proposstion principaie ^ M ig^ celui du verbe de ia (des) propotltlon(s) tubolOonnec(t) change m ro i. On considerera ici quatre ces de cot o OI'danoe des tem ps. MiT^pOTdant au m veau B 1 —ies suboldotnect mtroduites p a rie pronom reli^tti:que ; —ies suboldontees de cause. de but de temps.

mhos s u b o ld ont t e o m tr lO m le lpal ll p r o nom rniod/que E xem ples

Pr opossti o n s u t o r f onnee

P r oposst i on p rin c ip a ie

/

p a sse com pose Im parfait Plu t - quucp a rfa it

Pre se n t (1) Fu t u r (2) P asse com pose (3) Im par fait (4) ^^^l^jj^I^cttiE p re se n t (5)

-» -» -> -> -»

I d 't qu'elie p a r t . R d ft qu'elie p u tin . II d 't qu'elie est p a rtite. II O^ qu'elie p a r ta it. Ii v e u t qu'eli e p a r t e .

(1) Im parfait Pl u s - qu e - p a r fa ii (2) Co ndii i on n el p re se n t (a) Im parfa it Pl u s - qu e - p a r fa ii (4) Im par l m

-» -» -»

II a d 't Il dis l i t I l v l l t di t

qu'elie p l r t a i t . qu'elie e ta t t p a rtie . qu'eiie p l r tir l i t .

-> -» II a voulu Ii v o u lait qu'elie p a r t e , n l v l i t vouto

(5) ^ -> a

je so rs p a rc e que j'ai c h a u d je so rs p a rc e q u e ;'ai eu ch a u d . /e so rs p a rc e que / 'a v a is c h |u d .

IPre se n t Rut u r

-> — )

/e sortir a i p a rc e que ;'a i c h au d . je s o rtir a i p a rc e que / 'aur ai c h lu d

p r e te l^t Im p lrfait P asse com pose Pl u s - q u e - pprfait

-) — > — >

/e s u is to r l | e p a rc e que j "ai ch a u d . /e su is s or t ie p a rc e que /'a v a is ch a u d /e su is sor tie p a rce que j 'ai eu chaud. /e s u is sor tie p a rc e que / 'a v a is eu ch l u d

Im parfa it

— >

/e sor l l i t p a rc e que / i - a i t

Im par fait Pl u s - qu e - p a r fa ii

->

/ e ta is sor t ie p a rc e que / 'ava is c h a u d / e t a i s sor tie p a rc e que / 'a v a is eu chaud.

-— >

"wmmulmlMmlm fllmlfm mlHuw mtlm m m m m m /mmHi^0m ffmlmmmm^mlHmmm mulflalffm w m /|lm im mm r c h e m s u b c^.^c^o n n (^«^s d e b u t Dans une siibordonn ee de but , inSreduLs- fe plus souvent par pour que. le temps du verbe ne change pas, que! que so itle temps du verbe de la proposition principale. Ex emples : |e hii ecris puur qu 'elle vienno. ]e lui avais ectrt peur gu'oiie vienne.. r . L s s i u e o r d e n n e e i d e tem pe Au ni v - |u B1, deux cas sont consideres : - t ''oction de la prepostt ^en subo^donneo a itou en meme temps que celle de la principale : les deu x actions ram sjurnnta n aM. L- s conjonctLons /os plus frequentes a ce mu m sont quand. cemmo, pendant que, dep ui s qno. - Lantlen do /o prepo^ition subordon nee a Unu avant celle de la principale. Les cenjenctiens les plus frequentes a ce ^L^Voou so^ s q^ ^ dop nis que, des que, chaqnefeis que. - Dans les deux c |s , ies verbes des der a proposiLtions sont a i ,inr i catii| en gen eral ou meme temps. sau f au passe. Dans ce cas, si le verbe de /a prLn cip| l- -sS | u passe compose, celui de la subordonnee peut et re a Vim parfat ou au passe compose. Exemples : Efte a /u pern ^ n t qu'Hregard u 't son match defoot. Quand i(s s - rencontrent. l7s von t boire un cafe.

lUUllitim

BJj Les doubles pronoms \ Nl|Mlllll|lHllltltMHHltilHttllHllSl|W^ r r n lm|||llssvmwwlHnsntr mllnm m flw/^l^flrttnllUllMWltHnl^

d os't possibl- d,utiliser simult:anement un pronom complement direct et un pronom complement indirect dans une meme phras-. Coimm- les simples pronoms, As se placem devant ie verb- dont iis sont I'objot.

a. A u x t e m p s s i m p io s e f ° u x lu m p s com pos es, lour ordre d'utilisation ost le suiv a n t:

-------------tftaif

n tportie

1

2

3

4

5

me te se nous vous

le la les

lui leur

y

en

Les combin| isons pessibles sont los sntvantes: 1+2 Exemples : nsnens preten t fes iivres. -> Iis nous ies pretent. Eiie ne ^ chete pas cette gobe. -> EHe ne se /'achetepas. 1+/ Exemple>i : 11mo mnduit a to garo. -» // m'y coinduit. Nous n ens interessons a to pejnture. ->Nous nous y ntte^i^;^As nous en eftreni, 2 +3 Exemple : Vaus lni denne: g-o trza dresse. -> Veus ia /uli donne:. 3+5 Exemple: Nans leur preparons des boissons- -7 Nous leur on prepa^ens. b . A {i m jje r a t i / a ^ ^ m a t i / , l-n ro rdre d'utiUiOtion est /e suivan t :

_____

1 le la les

2 moi toi lui nous vous leur

3

4

y

en

d

Los cembm l isons possibles sont les suivantes : 1+2 Exemples: Pre te -moi ton Llo-?- - Prete-le mai. 2+4 Exemple : Achetez-leur dee livres. - .Achet■ e:-^-nI on

loud

2+3

Kf

N'est pratiqueu m jamais utilise l

167

E l L a ta ca li s a t i o n t / m p o re ll /

MmiMmiiMmHiuiiwiiuiimiwMmitm iMmmwitiHMiimiMmmiwimiinitm

Pour se situer dans le temps, il est possible d'utilise r tes prepositions et adverbes de temps.

a. Les p re p o sitio n s La (les) p re p o sit i o n ^ ) a -» en -> de... a -» vers -» dans -» en -» d e s -----clepuis -----------

exprim e(nt)

E xem pl/s

u n m om ent, u n e h /u r e u n e date, u n e p eriode u n e p e riode, u n in t/r v a ll/ d e tem ps u n m om en t a p p ro x im a te u n e d u re e d an s te fu tu r u n e du re e

N ous com m en f ons a 9 h . le p a rs e n a o 0t, 1 e st /q d u soir a u m atin. 1 vl / n t v e rs 3 h. EUe p a r t d a n s dix jo u rs. On f a i t f a e n de u x Zie u res.

m a r q u e ! u n poin t d e depa rt d ans | e tem ps

Des le m a tin, if trdVdi // / . E He e s t la d e p u is m id i

b. Les adverb es Les a dv / r b / s

^ p r i m e/nt )

E xem ples

hier, aujour d'hui. dem din, un jour, apr es -d e m a in, a v a t f - h i / r

u n / d ate

D /m aiin, je r / n tr e ch ez m oi. Un /our, / / se r a i m edecin. Avu ^ t - h jer, / / su is aile au cinem a.

m d ln t/n d n t, bien to t, en ce m om ent, alors, tout d e s u ite, plu s ta rd , tot, tard , e n su iite, a u ssi tot...

u n m o m /n t

Le/i'm com m ence W/ n tot . Elle s'est l/v e e ta r d / / / m i ce/d p lu s ta r d

/angtem ps, encore, tou/ours

u n e d uree

Elle a longtem ps h a Wte ic' .

par/bis, r d r e m /lt. d e tem ps en tem ps, souven t

u n / frequence



La lo c a lis a t io n s p a t ia le

N ous a Hons d e tem p s en tem ps a /i piscine.

mmtim iitm iitiwwmtMmuiniiiiiminm imiMmim m m iieMimwuiiniitntiitm m

pour situer quelque chose, on peut utiUser un a d ie ^ e ou une preposi^ition de Ueu. o. ^ c a U s a t i o n a J'a l d e d 'u n a d v e r b e d e U/ u Les adverties de ll eu peuient, pour la plupart, se regrouper par « paires », chaque terme s'opposant a l'aut re : iciUa, M-iras a gauch e/ a droi te en h a iit/m bas devant/iierriere au-dessusfau-dessous dessus/ dessous dedans/deh ors a u c /n tte a u rnUeu auj^ond par terre autour Exemple : Z,es enfants aim /nt beaucoup jouer dans ce parc. Au fond, /a-bas, 'i y a un circuit pour !es velos, a gauche, un grand t a ssin avec des canards et a droi te une zone de jeux avec un toboggan au mitfeu. L a c a U s a t i a l a it o de de prep osjitions o u de h cu tion s p r e p i s l t l v a s Les prepositions et les lacutians prepositives precedent alors un nom. Comme les adverbes. elles p /u v /nt se r/g rou p /r par « paires », un terme s'opposant a l'autre. - Les prepasstians: aur/sous devant/derriere vers dans en ch ez /usqu a - Les /ocutians prepositiv e s: a gauch e de/'t! droi te de pres de/loin de a u -dessus de/a u - dessous de en face de long de... h ors de au centre de au miii/u de Ex/m pl/ :Au ranfre de to place. d/v a nt chez m oi i7y a un petit square avec quelques bancs autourclu bassin.

b.



Le s a i t i c u l a t e u i s c h r o o o l o g i q u e s d u (U s c o u r s

par...

'iiHiim i i i iiim m um m litiitnttimiii

Pres / nts dans les tex^ s l d rra :ifs ou d^:^e|o;sn onIp|ino^p ||d ^tn’gr0||a-l|n^ le a,^o n o n reiattif et ia pros,ost^s i0 n re lllit-e situee apres ie pronom relat ff.

oo

^lSL: ,^hl e ;t^ vPc|0t^ l n ll^|

i

l i

grlm m atic l^eenlre ie m° t (ou ip grouipp de - pi^s1^ 11 ie lab'c‘ ’l

o n -d e.laice^

sltue aVan

shvu1:1

Le m o t o u l P t l ° u - e 0 c n o ttc P t su je t (1) com plem e n t (^(ibj ' t 0 i |c t t (2 ) d 'u n nom (a ) _► d 'u n v crbc (4 ) d 'u n l d^J'ai aohete ucerofc1 qui pst tres bpiic' -> J'ai achete g a r l i c qup /e mpts S0U- p|1. ia Exempies : (1) ^ a c ta # ™ ' " / C ; ^ bc s o u p * -> I m l raconte uneM aoir1 d o n / ai oubUe ia |i n ,(3) t , rflm'i l i ,uo; a t : n n pur0pbh iS e m ltj'a e 'ou“' ' ‘ l | ' i t o p rhis|oi|p' -> Cet homme don t tu mta plrie PSJmedpm ( ) cethomme est mettean-Tu m ls pl l'if; ^ Ju ^ —Ton fiis don t tu cs fier a |a it unp betisp.

4

(5 C•^r-J0lson0llit une betise. Tu cs|ipr dp ton|iit. 1(6» - L^| |

S

tet|ne| ^

c7 > -- d ^ ^ g;o^ o0feads0o;n.^l|uAIn^

n^ ^

e:: ‘'llJo;m u^‘P'l:;o td ^

|

... ........................ wnntff\

I „ » c .» * » « « * « » 0'e>e^pl^n'a,IS;;C" Leh|l ^^eEl: ^ -,,t CS00Ie;eP rI0PptSP*0d?t0n^e0^nt» ° u :

certlm' , lealisabic, n'l pas pu etrp realiSee. Type d 'h y p o th ese

E x p ressi on dc i'h y p o th e se

E x p ressi on dc i l conseq u en ce Im peratif

C ertaine

P re se n t d eV indicatif

P re se n t de V indicatif F u tu r deV indicatif

im p a rfa it deV indicatif

C onditionnel p re se n t

Realisable Im par fait d p i in oit a t|i

Pl u s - qu e - p a r l i l l

Co n d itio n n el p ls s e

Co n d ition n e l p ls s e

N on realisee Pl u s - qu e - p a r Jait

Co n d ition n e l p r e se n t

E xem ples et spn s

Si tu veux r e |s s i r t | l v a i ' ie ■ ’ C'cs t u n e p ro p o sitio n ,unp obligat |o n . u n o rd rc . e . Si tu ti^lv a iiC s, t u r e t ^ SiS. Cel l est I ou1 a f l it SUU! . Si t i l r l - l ilp s , tu r e u s s iras . Cell e st p ra t iquem en t su r . _________ Si tu l r l —a i lllit, | u re u ssir l i s . ^ ^ n c l r a - l a i c t p l S , |Cor.S l'ln P re u ssis p a s ! Cela n e u p n qu a toi. a ta volo n ^ d p re u s t ir ! _____________ Si t i t r l - l i« lis , tu l i r l i s r f uSsi M lis tu n c lra v l iilc t jlm llS , l “ort t u n e p o u -a is pas re u s s ir i _ . Si tu l - l i s t r r —r illp, tu l u r l lS r e i s s |. Com mc tu n 'a . p a s t|:av a iiie . tu nP p o u v als p a s re u w if '• _ Si tu a v a is H i v 1'111®. ^ i 1111101, t i p l s s e r ai s dc b o n n c . -a ca n o es,,. M ais tu d o it revispr to n px am p n L . .

169

f f f f f i/f a.

L es a d v e rb e s d e m a n ie re M w - m e n tw

Form a tion

_ Ua c ^ e se fo In - on | jontl n t au feminin de 1'adj.^ccif ie sulfaix- a m m t »: tx em pteS: oci^ active l c tiv u p ent serieux seIri'ense sSrie nse^pent wr a vraie vraiment (1° « e » de « v i i '- » est supprime) - Pou r /os adjectifs qui so s-rm in-nt par o f 2.^1MM^TS^ TRANGERS t (' b. t O» rrmarque, pou: cem qui »e sont pas : r P: ii s°/ s quo/c. qu *s font /objrt : , - soit d'une adaptation du lour oIthooIaph r pour en t0^ 01 /e prui p o iS ble /a ^ ^ G

oa

Exrmp tes: un brlgeo, u» blooueua. un spiPuua-.. - soit Cunr « t r lt e c tibn », tom ain i ou ^ e t t e n t /es Co tadien St froncoph bnrS■ Exemp les: un Calateur (wclIkmant. u» cou m - fmaiij,(o crav|ataoe (c^ a 9-

■ P—

M—

iiniMimin \

/e

Lu fait quo. da»s un S0xS0. /ruinur ."it

'''

pre'cte,» r0inS-;|l| ^St|tuill:jSetii ^CTgrOiennt^o1U0I^OiLtSi^eSnr^lt rae L et-m m em en ra»0ne St rouoere ? ;s ? :tar:3rIesonn»r. ;CoU; ii Pej

traU:laSO^nnqUSCr^

uucns p -^ e„ euion os„ s, i 1t 's^^ ie,

:UC^ ;o lluonn S.,eqoSto rns ^

choqur fois qu'ils cu revetem qScecselres. / est possible (te aai:e eapel a : - un synonyme, - un antonym ,. - un arocete j o ' I1 . 110. , - un procede j o t r s >ti ABC DELF B1: ►Un CD-mp3 inclus avec pres de deu x h eures e 'enregist rem ents sonores pour le travatt de l'oral : ► Les cor ri ges et transcriptions inclus pou r un t t avaH en aut°n omie. A utiUser seulfe) ou en d asse. Une version destinee a u^xjuniors et aux scoiaires est ^gaiement fa ponible: ABC DELF Junior ScoIaire, du Al au B2.

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1