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NOTION DE DROIT ET PRINCIPES COMPTABLES
Comptabilité approfondie 2013/2014 LPSEG ENSET MOHAMMEDIA
LPSEG***comptabilité approfondie AMIFI hamid
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I/
DROIT COMP TABLE ET NORMALISATION
Avant la réforme comptable au Maroc: la comptabilité comme moyen de preuve ; ses dispositions relèvent : D.O.C et du code de commerce (articles 10 et18). le code pénal et le droit de sociétés.
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I/
DROIT COMP TABLE ET NORMALISATION
Actuellement plusieurs textes de lois meublent le contexte juridique du champs comptable : En matière de législation et doctrine fiscales :
la loi sur la T.VA ( 1986); la loi sur IS (1987); la loi sur I.G.R(1990).
En matière de normalisation comptable :
la loi n° 9-88 instituant la comptabilité normalisée dans les E/ses (BO n° 4183 bis) ; Décret n° 2-89-61 instituant le CGNC dans les E/ses du secteur public (BO n°4023) ; Décret n" 2-88-19 instituant le Conseil National de la Comptabilité ( BO n° 4024) ; Décret n° 2-92-837 instituant la protection du titre de Comptable Agréé. Dahir n0 1-91-228 instituant les centres de gestion de comptabilité agréés. LPSEG***comptabilité approfondie AMIFI hamid
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I/
DROIT COMPTABLE ET NORMALISATION
En matière de contrôle de comptes :
Loi n° 15-89 instituant la protection du titre d'Expert Comptable et le monopole du contrôle . Décret n° 2-89-519 instituant le diplôme national d'Expert Comptable (BO 11° 4064) ; Lois réformant le commissariat aux comptes dans les S.A et S.A.R.L.
Autres textes :
dahir n° 6-7-1993 instituant la réforme de la profession bancaire , plusieurs textes réformant le marché des capitaux ( BVC, CDVM, OPCVM) ;
réforme de droit de sociétés et du Code de Commerce.
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II/ Contexte international de la normalisation comptable
La norme comptable marocaine s'inscrit dans le contexte international par la référence aux normes:
de l'IASC; Ies directives de la CEE ( 4ème et 7ème ); les directives de l’OUA; les directives de l'ONU; etc.
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III/ les organes de la normalisation de la comptabilité au niveau national
Conseil national de la comptabilité
II est composé d’ un ensemble des professionnels de la comptabilité. Ils sont nommés par le ministre de l'économie. Ses attributions sont : 1. 2. 3. 4. 5.
harmoniser la comptabilité au niveau national. établir des plans de comptables sectoriel. publier ces avis et des recommandations. adapter les normes comptables aux nouveaux besoins des destinataires de l'information comptable Représenter le Maroc au niveau des organisations internationales de la normalisation comptable au niveau international
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III/
les organes de la normalisation de la comptabilité au niveau national
l'ordre des experts comptables :
Les attributions générales de l'Ordre des Experts Comptables sont les suivantes :
Assurer la sauvegarde des principes et traditions de moralité et de dignité qui font l'honneur de la profession d'expert comptable et veiller au respect par ses membres, des lois, règlements et usagers qui régissent l'exercice de la profession.
Admettre dans la profession les experts comptables selon les formes et les conditions prévues par la loi;
Assurer la défense des intérêts matériels et moraux de la profession d'expert comptable éventuellement devant les juridictions.
Organiser et gérer les œuvres de coopération, de mutualité et d'assurance de ses membres ainsi que les œuvres de retraite.
Représenter la profession d'expert comptable auprès de l'Administration à qui il donne son avis . LPSEG***comptabilité approfondie AMIFI hamid
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IV/ Quelques instances internationales d'harmonisation comptable
International accounting standard Board (lASB ) (La commission des normes comptables internationales):
Elaborer et publier dans l'intérêt du public, des normes comptables internationales IFRS qui devront être respectées lors de la présentation des comptes annuels et des états financiers,
Assurer l'acceptation et l'application de ces normes à l'échelon mondial.
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IV/ Quelques instances internationales d'harmonisation comptable
IASB a publié 41 IAS et 33 interprétations Compte 153 membres dans 112 pays. Problèmes :
manque de traduction manque d’interprétation existences de plusieurs options
NB: Normes IFRS à appliquer à partir de 2005 pour les comptes consolidés. refléter la réalité économique et financières de l’e/se indépendamment de son aspects juridique.
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IV/ Quelques instances internationales d'harmonisation comptable
FASB(financial acconting standard board):
Aux États-Unis, les normes comptables sont fixées par le Financial Accounting Standards Board (FASB) réunissant 4 membres de la profession comptable et 3 personnes issues du monde des affaires, de la fonction publique, ou du milieu universitaire.
Ce comité a défini un standard des états financiers contenant les éléments suivants : un bilan, un compte de résultat, un tableau de variation des capitaux propres, un tableau de flux de trésorerie, une annexe
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V/ PRINCIPES COMPTABLES FONDAMENTAUX 1.
ASPECTS GENERAUX Les entreprises doivent à la fin de chaque exercice comptable établir les états de synthèse aptes à donner une image fidèle de leur patrimoine, de leur situation financière et de leurs résultats.
2.
La représentation d'une image fidèle repose nécessairement sur un certain nombre de conventions de base - constitutives d'un langage commun - appelées principes comptables fondamentaux.
3.
Lorsque les opérations, événements et situations sont traduits en comptabilité dans le respect des principes comptables fondamentaux et des prescriptions du Code Général de la Normalisation Comptables, les états de synthèse sont présumés donner une image fidèle du patrimoine, de la situation financière et des résultats de l'entreprise,
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V/ PRINCIPES COMPTABLES FONDAMENTAUX Dans le cas ou l'application de ces principes et de ces prescriptions ne suffit pas à obtenir des états de synthèse une image fidèle, l'entreprise doit obligatoirement fournir dans l'état des informations complémentaires (ETIC), toutes indications permettant d'atteindre l'objectif de l'image fidèle.
Dans le cas exceptionnel ou l'application stricte d'un principe ou d'une prescription se révèle contraire à l'objectif de l'image fidèle, l'entreprise doit obligatoirement y déroger. Cette dérogation doit être mentionnée dans l'ETIC et dûment motivée, avec indication de son influence sur le patrimoine, la situation financière et les résultats de l'entreprise . LPSEG***comptabilité approfondie AMIFI hamid
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Document comptable
Etats de synthèse
oui
Image fidele?
Respect des 7 principes comptables
non
Etats de synthèses + informations complémentaires
Fin oui
Images fidele ?
non
Dérogation justifiée
Fin
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VI/Notion de l’image fidèle Il s'agit de la traduction en langue française du concept britannique du «true and fair view» qui est universellement admis et largement adopté par les pays européens à économie libérale. L'image fidèle n'est pas un principe comptable fondamental supplémentaire. C'est un objectif qui est assigné à la comptabilité normalisée. LPSEG***comptabilité approfondie AMIFI hamid
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VI/Notion de l’image fidèle Dans le cas ou cette augmentation du coût d'entrée paraît irréversible, l'entreprise doit évaluer, par dérogation, son stock final à 150 DH l'unité au lieu de 100 DH de façon à donner une image fidèle de son patrimoine et de ses résultats . image trahie par une évaluation à 100 DH.
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VI/Notion de l’image fidèle
Exemple: Les stocks de matières d'une entreprise, représentant 50% de l'actif, sont évalués les exercices précédents, selon la méthode du coût moyen pondéré calculé sur la période de stockage. cette durée est de 2 mois dans l'entreprise considérée. Le coût moyen des entrées des deux derniers mois a été de 100 DH l'unité .Cependant, le stock final n'est composé que de matières entrées dans la dernières quinzaine au coût unitaire de 150 DH.
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VII/Les principes comptables fondamentaux 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7.
Le principe de continuité d'exploitation ; Le principe de permanence des méthodes ; Le principe du coût historique ; Le principe de spécialisation des exercices ; Le principe de prudence ; Le principe de clarté ; Le principe d'importance significative.
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1- LE PRINCIPE DE CONTINUITE D'EXPLOITATION
l'entreprise doit établir ses états de synthèse dans la perspective d'une poursuite normale de ses activités.
Par conséquent, en l'absence d'indication contraire, elle est censée établir ses états de synthèse sans l'intention ni l'obligation de se mettre en liquidation ou de réduire sensiblement l'étendue de ses activités.
Dans le cas ou les conditions d'une cessation d'activité totale ou partielle sont réunies, l'hypothèse de continuité d'exploitation doit être abandonnée au profit de l'hypothèse de liquidation ou de cession.
En conséquence, les principes de permanence de méthodes, du coût historique et de spécialisation des exercices sont remis en causes.
Seules des valeurs de liquidation ou de cession doivent alors être retenues et la présentation des états de synthèse doit elle-même être faite en fonction de cette hypothèse.
Donc ce principe conditionne l'application des autres principes ,méthodes et règles comptables tels que en particulier ceux relatifs à la permanence des méthodes et aux règles d'évaluation et de présentation des états de synthèse.
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2- LE PRINCIPE DE PERMANENCE DES METHODES
l'entreprise établit ses états de synthèse en appliquant les mêmes règles d'évaluation et de présentation d'un exercice à l'autre.
L'entreprise ne peut introduire de changement dans ses méthodes et règles d'évaluation et de présentation que dans des cas exceptionnels.
Dans ces circonstances, les modifications intervenues dans les méthodes et règles habituelles sont précisées et justifiées, dans l'état des informations complémentaires, avec indication de leur influence sur le patrimoine, la situation financière et les résultats.
Ce principe est important pour la comparabilité des informations comptables dans le temps et dans l'espace.
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2- LE PRINCIPE DE PERMANENCE DES METHODES
Exemple :
Une cimenterie a construit un four supplémentaire d'une capacité de 500000 tonnes par an dans la perspective d'un doublement de sa capacité de production. Deux ans après l’achèvement de construction , le marché du ciment de l'entreprise s'est effondré du fait du démarrage de cimenteries concurrentes et de la stagnation du marché national du ciment. Aucune perspective d'utilisation de ce four n'est envisageable même à long terme .
Dans le cas d'espèce, le four ne doit pas être amorti sur sa durée probable d'utilisation (ou de vie) mais il doit être évalué à sa valeur actuelle (valeur de cession ou de liquidation).
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3- LE PRINCIPE DU COUT HISTORIQUE
la valeur d'entrée d'un élément inscrit en comptabilité pour son montant exprimé en unités monétaires courantes à la date d'entrée reste intangible quelle que soit l'évolution ultérieure du pouvoir d'achat de la monnaie ou de la valeur actuelle de l'élément, sous réserve de l'application du principe de prudence, Par dérogation à ce principe, l'entreprise peut décider de procéder à la réévaluation de l'ensemble de ses immobilisations corporelles et financières, conformément aux prescriptions du CGNC. LPSEG***comptabilité approfondie AMIFI hamid
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Exemple : Un terrain acheté à 100 000 DH en 1980 reste inscrit à la même valeur d'entrée dans le bilan au 31/12/2013.
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3- LE PRINCIPE DU COUT HISTORIQUE Remarque: On pourrait s'étonner, en une période qui connaît d'inévitables tensions inflationnistes, que les évaluations soient fondées sur le coût historique L'explication est que ce principe reste la référence internationalement admise , son application comporte plusieurs avantages: elle évite d'amplifier les tensions inflationnistes ; elle procure une grande fiabilité à la comptabilité normalisée , elle comporte de plus grandes possibilités de contrôle ; elle simplifie la tâche des praticiens.
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4 -PRINCIPE DE SPECIALISATION DES EXERCICES
découpage de la vie de l'entreprise en exercices comptables.
les charges et les produits doivent être. en vertu du principe de spécialisation des exercices, rattachés à l'exercice qui les concerne effectivement et celui-ci seulement.
Les produits sont comptabilisés au fur et à mesure qu'ils sont acquis et les charges au fur et à mesure qu'elles sont engagées sans tenir compte des dates de leur encaissement ou de leur paiement.
toute charge ou tout produit rattachable à l'exercice mais connu postérieurement à la date de clôture et avant celle d'établissement des états de synthèse, doit être comptabilisé parmi les charges et les produits de l'exercice considéré.(intangibilité du bilan).
toute charge ou produit connu au cours d'un exercice mais se rattachant à un exercice antérieur,doit être inscrit parmi les charges ou les produits de l'exercice en cours.
toute charge ou tout produit comptabilisé au cours de l'exercice et se rattachant aux exercices ultérieurs, doit être soustrait des éléments constitutifs du résultat de l'exercice en cours et inscrit dans un compte de régularisation.
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4 -PRINCIPE DE SPECIALISATION DES EXERCICES Exemple :
Une entreprise arrête son bilan au 31 décembre 2012 . Elle établit ses états de synthèse le 31 janvier 2013 ( 1 mois après la date de clôture).
1èr cas : un incendie est survenu à une de ses usines à l'étranger le 30 décembre 2012. L'événement a été connu avant le 3 1 janvier 2013.
Dans ce cas, l'incendie doit être comptabilisé au titre de l'exercice clos le 3 1/12/2012.
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4 -PRINCIPE DE SPECIALISATION DES EXERCICES 2ème cas : l'incendie s'est déclarée le 30 décembre 2012 mais n'a été connu par l'entreprise que le 5 février 2013, c'est à dire après la date d'établissement des comptes . dans ce cas, l'entreprise ne peut, par ignorance de l'événement, le rattacher à l'exercice clos le 31 décembre 2012. Elle doit le comptabiliser au cours de l'exercice suivant 2013.
3ème cas : l'incendie est survenu le 2 janvier 2013. Dans ce cas, il doit être rattaché à l'exercice 2013 même s'il a été connu avant le 31 janvier 2013. LPSEG***comptabilité approfondie AMIFI hamid
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5- LE PRINCIPE DE PRUDENCE
les incertitudes présentes susceptibles d'entraîner un accroissement des charges ou une diminution des produits de l'exercice doivent être prises en considération dans le calcul du résultat de ces exercices,
Ce principe évite de transférer sur des exercices ultérieurs ces charges ou ces minorations de produits, qui doivent grever le résultat de l'exercice présent.
en application de ce principe, les produits ne sont pris en compte que s'ils sont certains et définitivement acquis à l'entreprise , en revanche, les charges sont à prendre en compte dès lors qu'elles sont probables.
Seuls les bénéfices réalisés à la date d'un exercice peuvent affecter les résultats ^ par exception est considéré comme réalisé le bénéfice partiel sur une opération non achevée à la date de clôture répondant aux conditions fixées par le CGNC. (IAS 11).
La plus-value constatée entre la valeur actuelle d'un élément d'actif et sa valeur d'entrée n'est pas comptabilisée.
La moins-value doit toujours être inscrite en charges, même si elle apparaît comme temporaire à la date d'établissement des états de synthèse.
Tous les risques et les charges nés en cours de l'exercice ou au cours d'un exercice antérieur doivent être inscrits dans les charges de l'exercice même s'ils ne sont connus qu'entre la date de la clôture de l'exercice et la date d'établissement des états de synthèse.
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5- LE PRINCIPE DE PRUDENCE
Exemple :
Une entreprise a acquis un terrain en 2006 à 100 000 DH. Elle arrête son bilan au 31/12/2013. 1èr cas : la valeur actuelle du terrain au 31/12/2013 est de 2 000 000 DH.
Dans ce cas, la valeur d'entrée est maintenue à 100 000 Dh. Aucun produit ne doit être comptabilisé car la plusvalue sur le terrain a un caractère latent (non réalisée).
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5- LE PRINCIPE DE PRUDENCE
2ème cas la valeur actuelle du terrain au 31/12/2013 est de 35 000dh Dans ce cas, l'entreprise doit constater une dépréciation, sous forme de charge, de 65 000DH, même si cette dépréciation n'est pas définitivement subie par l'entreprise (possibilité de hausse ultérieure de la valeur actuelle du terrain).
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6- LE PRINCIPE DE CLARTE
Toutes opérations et informations doivent être inscrites dans les comptes sous la rubrique adéquate avec la bonne dénomination et sans compensation entre elles;
Les éléments d'actif et de passif doivent être évalués séparément;
Les méthodes utilisées doivent être clairement indiquées notamment dans les cas où elles relèvent d'options autorisées par le CGNC ou dans ceux où elles constituent des dérogations à caractère exceptionnel;
Exceptionnellement, des opérations de même nature réalisées en un même lieu, le même jour, peuvent être regroupées en vue de leur enregistrement selon les modalités prévues par le CGNC;
Par dérogation aux dispositions citées ci-haut , des postes relevant d'une même rubrique d’un état de synthèse peuvent exceptionnellement être regroupés si leur montant respectif n'est pas significatif au regard de l'objectif de l'image fidèle.
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7- LE PRINCIPE D'IMPORTANCE SIGNIFICATIVE
Est significative toute information susceptible d'influencer l'opinion que les lecteurs des états de synthèse peuvent avoir sur le patrimoine, la situation financière et les résultats.
Ce principe trouve essentiellement son application en matière d'évaluation en matière de présentation des états de synthèse.
Dans les évaluations nécessitant des estimations, les méthodes par approximation ne sont admises que si leurs incidences par rapport à des méthodes plus élaborées n'atteignent pas des montants significatifs au regard de l'objectif de l'image fidèle .
Dans la présentation de l'ETIC, le principe d'importance significative a pour conséquence l'obligation de ne faire apparaitre que les informations d'importance significative.
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