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FORMATION PROFESSIONNALISANTE PRO/EXP3 GROUPE 2
Sécurité Industrielle
HSE en maintenance et travaux HMD / Centre IAP – 20 ‐ 25 Juin 2015 Mr Marc FENYO
Pénétration dans les espaces confinés
RC ‐ SE TRA ‐ 01595_C_F ‐ Rév.4 ‐ 19/03/2015
Sommaire
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I. Introduction II. Risques encourus III. Processus général IV. Préparation de l’intervention V. Isolement – Consignation VI. Vidange, dégazage, ouverture, ventilation VII. Contrôles atmosphère VIII. Autorisation de pénétrer IX. Dispositions particulières sur le terrain
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Objectifs
A l’issue de la présentation de ce document et des activités pédagogiques associées, les participants seront capables : • D’appréhender les risques majeurs liés aux travaux dans les espaces confinés, • De s’assurer que les prestataires mettent en place les mesures appropriées à leurs travaux, et respectent les prescriptions retenues, • D’anticiper sur les risques de co‐activité avec les autres opérations.
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Sommaire
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I. Introduction II. Risques encourus III. Processus général IV. Préparation de l’intervention V. Isolement – Consignation VI. Vidange, dégazage, ouverture, ventilation VII. Contrôles atmosphère VIII. Autorisation de pénétrer IX. Dispositions particulières sur le terrain
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Contexte I ‐ Introduction
Un certain nombre d’opérations de maintenance nécessitent de pénétrer dans des équipements habituellement clos, que l’on nomme espaces confinés (réservoirs, colonnes, fosses, chambre à vannes, fouilles, …) : • • • •
Inspection réglementaire Réparation, Surveillance, contrôle, …
Des accidents récents et significatifs ont démontré que le non respect des procédures de pénétration dans l’équipement sont à l’origine de catastrophes : Valero Delaware (Delaware) 2005 Xcel Energy (Colorado) 2007 Syngenta (Suisse) 2011 Aperam (France‐Nievre) 2012
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• • • •
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Exemples d’espaces confinés I ‐ Introduction
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Colonne à distiller
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Carneau de four
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Exemples d’espaces confinés I ‐ Introduction
Fosse de relevage d’eaux
Jupe d’équipement chaudronné
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D SEC 1224 A
ESPACE CONFINÉ
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Définitions (Code du travail) Commentaires sur la diapositive précédente
Un espace confiné est défini comme un espace totalement ou partiellement fermé, avec les caractéristiques suivantes : • Cet espace n’est pas au préalable conçu ni destiné à être occupé par du personnel évoluant à l’intérieur • Les opérations qui s’y déroulent sont définies comme exceptionnelles, que ce soit au stade de la fabrication de ces espaces, de leur entretien (nettoyages en particulier) ou de leur maintenance (vérifications périodiques, réparations) • Les moyens d’accès, à l’extérieur comme à l’intérieur, sont restreints • Lors de la pénétration dans ces espaces, les intervenants peuvent être exposés à un nombre important de risques qu’ils convient de maîtriser
Ainsi sont qualifiés d’espaces confinés les puits, regards, grosses canalisations, égouts, fosses en tout genre, citernes, silos, réservoirs, cuves, puisards, tranchées (Nota : pour les tranchées, pas de profondeur minimale définie par le code du travail ou décret)
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Sommaire
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I. Introduction II. Risques encourus III. Processus général IV. Préparation de l’intervention V. Isolement – Consignation VI. Vidange, dégazage, ouverture, ventilation VII. Contrôles atmosphère VIII. Autorisation de pénétrer IX. Dispositions particulières sur le terrain
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Typologie des risques II ‐ Risques encourus
Risques particuliers • • • • • •
Risques d’anoxie, Risques d’intoxication, Risques d’explosion, Température élevée/basse, Co‐activité, Évolution dans le temps de la situation de travail, …
Ces risques sont fortement liés :
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Extraction garnissage de colonne par un trou d’homme
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• À la conception de l’équipement (dimensions, accès, internes, points bas, …) aux produits ayant été contenus (dépôts, boues, chutes d’internes dues à la corrosion, …), • À la mise en sécurité (inertage suivi d’une ventilation insuffisante,…), • À l’environnement proche ,…
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Typologie des risques Commentaires sur la diapositive précédente
Des personnes décèdent ainsi après avoir pénétré dans un espace confiné en sous‐estimant les risques, d’autres pouvant succomber à leur tour en tentant de leur porter secours.
Le caractère invisible et sournois des atmosphères délétère est souvent à l’origine des mécanismes accidentels.
L’analyse préalable des risques : • Nécessite la connaissance des procédés et produits mis en œuvre • Permet de définir les mesures de prévention, de protection, et les moyens d’évacuation
Une étude du BARPI de 2009, fait la synthèse de cas industriels d’accidents survenus en espaces confinés.
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I. Introduction II. Risques encourus III. Processus général IV. Préparation de l’intervention V. Isolement – Consignation VI. Vidange, dégazage, ouverture, ventilation VII. Contrôles atmosphère VIII. Autorisation de pénétrer IX. Dispositions particulières sur le terrain
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Question III ‐ Processus général
A quoi doit‐on penser en 1er, avant de pénétrer dans un espace confiné
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Réponse III ‐ Processus général
Réfléchir à "comment en sortir" ! ! !
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Processus global III ‐ Processus général
Un processus par étapes encadré par des modes opératoires propres au site industriel 1
Préparation intervention analyse de risques
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Isolement complet de la capacité
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Consignation électrique, mécanique, sources radioactives
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Vidange, dégazage, inertage, ouverture ventilation
Contrôle atmosphère
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Signature du permis de pénétrer
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Dispositions particulières sur le terrain
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De la préparation de l’intervention, … , à la surveillance des travaux
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Points de repères réglementaires Commentaires sur la diapositive précédente
Le décret 84‐1093 du 7 Décembre 1984 accompagné de la circulaire du 9 Mai 1985 précise un certain nombre de règles concernant le travail en atmosphère confiné. Ces règles sont inscrites dans le code du travail : • R. 4222‐1 à R. 4222‐3 (Principes et définitions) • R. 4222‐4 à R. 4222‐3 (Locaux à pollution non spécifique) • R. 4222‐10 à R. 4222‐17 (Locaux à pollution spécifique) • R. 4222‐18 à R. 4222‐19 (Pollution par les eaux usées) • R. 4222‐20 à R. 4222‐22 (Contrôle et maintenance des installations) • R. 4222‐23 à R. 4222‐24 (Travaux en espace confinés) • R. 4222‐25 à R. 4222‐26 (Protection individuelle)
Des recommandations viennent compléter et étayer ces règles : • CNAMTS : R435 Cuves et réservoirs • CNAMTS : R447 et R472 (adoptés par le CNTS transport Eaux, Gaz, et de l’électricité) • INRS ED 703 et ED 967
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I. Introduction II. Risques encourus III. Processus général IV. Préparation de l’intervention V. Isolement – Consignation VI. Vidange, dégazage, ouverture, ventilation VII. Contrôles atmosphère VIII. Autorisation de pénétrer IX. Dispositions particulières sur le terrain
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Porter attention à la phase préparatoire IV ‐ Préparation de l’intervention 1
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Identification des risques de l’intervention • • • • • •
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Produits et polluants en présence Risques propres à l’intervention Accès à l’espace confiné Protections collectives et individuelles, Co‐activité Scénario d’évacuation de l’espace confiné
Approbation du plan de platinage
EL 126520
V 101
EL 123150
1344 plateaux de dégazage composés de 24 couches
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• Établi par l’exploitant • Repérage sur site avec l’intervenant • Position des platines tenant compte du phasage des interventions (ex : retrait agitateur, …)
Vers Atm.
NOTA : isoler avec V‐102 calorifuge ép. 100 mm RC ‐ SE TRA ‐ 01595_C_F ‐ Rév.4 ‐ 19/03/2015
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Porter attention à la phase préparatoire Commentaires sur la diapositive précédente
Porter attention sur : • Connaissance précise de la nature de l’intervention (visite, type de travaux, outils et matériels utilisés,…). Identification des risques de celle‐ci et compatibilité avec le contexte de l’espace confiné, • Anticipation des divers scénarios relatifs à des incidents potentiels. Définition des procédures d’évacuation d’urgence, de l’accès des moyens de secours, • Préparation du planning de travaux, de la logistique, identification des besoins de matériels spécifiques (Balise, trépieds, cobra, …), • Préparation par l’exploitant de la procédure d’arrêt, identification des zones de rétention potentielles de produit.
Dans la majeure partie des cas, établissement d’un plan de prévention spécifique pour l’opération du fait de : • Forte co‐activité, concentration des risques dans un espace réduit, • Procédure d’évacuation d’urgence spécifique, • Nomination des surveillants de capacité (validation de leurs compétences).
Préparer l’arrêt sur le terrain : balisage, échafaudages, branchement des flexibles utilité, identification des brides à jointer/déjointer, …
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I. Introduction II. Risques encourus III. Processus général IV. Préparation de l’intervention V. Isolement – Consignation VI. Vidange, dégazage, ouverture, ventilation VII. Contrôles atmosphère VIII. Autorisation de pénétrer IX. Dispositions particulières sur le terrain
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Avant intervention V ‐ Isolement – Consignation 1
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Isolement complet de la capacité • • • •
Platinage au plus près de la capacité Lignes déconnectées avec tampons pleins Retrait des accessoires et instruments Si platinage impossible (isolement "sûr"), procédure d’analyse de risques et définition d’un isolement "Acceptable" 1
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Consignation :
"Zéro énergie".
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• Des mécanismes internes (ex : agitateurs) • Appareils électriques, instrumentation • Des sources radioactives, …
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I. Introduction II. Risques encourus III. Processus général IV. Préparation de l’intervention V. Isolement – Consignation VI. Vidange, dégazage, ouverture, ventilation VII. Contrôles atmosphère VIII. Autorisation de pénétrer IX. Dispositions particulières sur le terrain
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Vérification avant ouverture VI ‐ Vidange, dégazage, ouverture, ventilation 1
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Avant d'ouvrir, il faut vérifier : • les aménagements (pour pénétrer ou évacuer en cas d'urgence) • l'obturation, sans oublier les égouts (usuellement rayon de 20m) • la pose de balisage • la condamnation par obturateurs au ras de la capacité
D SEC 1119 B
O Produ
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Ouverture de la capacité VI ‐ Vidange, dégazage, ouverture, ventilation 1
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Après vidange, platinage, et dégazage, la capacité sera ouverte après : • Obtention d’un permis d’ouverture Ceci ne donne pas autorisation de pénétrer
Exemple d’interdiction de pénétrer
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Précautions particulières VI ‐ Vidange, dégazage, ouverture, ventilation 1
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Si présence de composés pyrophoriques : • Ouvrir les accès dans l'ordre (en commençant par le haut pour éviter l'effet cheminée) • Placer devant chaque accès un flexible d'eau • Conserver la ligne de reflux de tête des colonnes de distillation et la disposer en eau industrielle (en cas de besoin d’urgence)
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Départ de feu dans une colonne de distillation dû à l’inflammation de dépôts de sulfures de fer
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Ventilation naturelle VI ‐ Vidange, dégazage, ouverture, ventilation 1
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L’aération/ventilation naturelle est efficace si : • La capacité comporte un nombre important d’ouvertures hautes et basses • Le tirage naturel est très efficace
L’aération/ventilation naturelle n’est pas suffisante, surtout quand :
DATE
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D SEC 1064 J
AIR
Ballon de conception peu favorable à l’aération naturelle
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• La surface des ouvertures est faible par rapport au volume de la capacité • Il n'existe qu’une seule ouverture • La capacité comporte des internes (matelas dévésiculeur, …) • Le travail à exécuter entraîne des pollutions de l'air (soudure, …)
° AIL N
A RE
:
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Ventilation forcée VI ‐ Vidange, dégazage, ouverture, ventilation 1
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Techniques de ventilation • Elle peut se faire par extraction, soufflage ou combinaison des deux • La ventilation par extraction es généralement préférable
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Ventilation par extraction(haut de l’équipement), et rejet de l’air vicié à l’extérieur du bâtiment RC ‐ SE TRA ‐ 01595_C_F ‐ Rév.4 ‐ 19/03/2015
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Ventilation forcée Commentaires sur la diapositive précédente
Comparaison efficacité de plusieurs modes de ventilation
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Points de repère réglementaires (Code du Travail) Commentaires sur la diapositive précédente
R. 4222‐11 C.T. : • "Pour chaque local à pollution spécifique (*), la ventilation est réalisée et son débit déterminé en fonction de la nature et de la quantité des polluants, ainsi que, le cas échéant, de la quantité de chaleur à évacuer sans que le débit minimal d’air neuf puisse être inférieur aux valeurs fixées à l’article R. 4222‐6. Lorsque l’air provient de locaux à pollution non spécifique, il doit être tenu compte du nombre total d’occupants des locaux desservis pour déterminer le débit minimal d’entrée d’air neuf". • (*) Locaux dans lesquels des substances dangereuses ou gênantes sont émises sous forme de gaz, vapeur, aérosols solides ou liquides autres que celles qui sont liées à la seule présence humaine.
R. 4222‐24 C.T. • Pendant l’exécution des travaux, la ventilation est réalisée suivant les prescriptions de l’article R. 4222‐6 ou R. 4222‐11, selon qu’il s’agit d’un local à pollution non spécifique ou d’un local à pollution spécifique, de manière à maintenir la salubrité de l’atmosphère et à en assurer un balayage permanent, sans préjudice, pour les travaux souterrains, des dispositions des articles R. 4534‐43 à R. 4534‐49”.
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Points de repère réglementaires (Code du Travail) Commentaires sur la diapositive précédente
R. 4222‐13 C.T. • Les installations de captage et de ventilation sont réalisées de telle sorte que les concentrations dans l'atmosphère ne soient dangereuses en aucun point pour la santé et la sécurité des travailleurs et qu'elles restent inférieures aux valeurs limites d'exposition fixées aux articles R. 4222‐10 et R. 4412‐149. • Les dispositifs d'entrée d'air compensant les volumes extraits sont conçus et disposés de façon à ne pas réduire l'efficacité des systèmes de captage. • Un dispositif d'avertissement automatique signale toute défaillance des installations de captage qui n'est pas directement décelable par les occupants des locaux.
R. 4222‐23 C.T. • Dans les puits, conduites de gaz, carneaux, conduits de fumée, cuves, réservoirs, citernes, fosses, galeries et dans les lieux où il n’est pas possible d’assurer de manière permanente le respect des dispositions du présent chapitre, les travaux ne sont entrepris qu’après vérification de l’absence de risque pour la sécurité des travailleurs et, le cas échéant, après assainissement de l’atmosphère et vidange du contenu
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I. Introduction II. Risques encourus III. Processus général IV. Préparation de l’intervention V. Isolement – Consignation VI. Vidange, dégazage, ouverture, ventilation VII. Contrôles atmosphère VIII. Autorisation de pénétrer IX. Dispositions particulières sur le terrain
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Règles générales – Précautions VII ‐ Contrôles atmosphère 1
Après ventilation et refroidissement, il faut contrôler l’atmosphère avant de délivrer l'autorisation de pénétrer
Il s'agit de contrôles : • • • •
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d’oxygène d’explosivité de toxicité de pH, de température
Avant toute mesure, il faut :
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• Arrêter la ventilation forcée, et réaliser une mesure environ 30minutes après • Connaître la constitution interne de la capacité (cloisons, plateaux, …) • Connaître "le passé" de la capacité (nature des contaminants)
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Règles générales – Précautions VII ‐ Contrôles atmosphère 1
La présence de gaz toxiques ou inflammables généralement plus lourds que l’air doit être suspectée dans tous les points bas : • • • •
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CONTRÔLES !
Fosses, locaux en sous‐sol, Tranchées, Égouts, ...
Dans le cas d’équipements complexes, les contrôles doivent être réalisés en plusieurs points.
D MEQ 1391 A
(Voir procédure de pénétration dans capacité avec ARI Pg IX)
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CONTRÔLES !
Contrôles externes d’un équipement 32
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Appareils de contrôle utilisés VII ‐ Contrôles atmosphère 1
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Suivant les contrôles à effectuer, les appareils couramment utilisés sont les suivants : Contrôles à effectuer
Appareils de contrôle
Respirabilité
Oxygènemètre
Inflammabilité
Explosimètre Oxygènemètre + Explosimètre
Oxygènemètre‐Explosimètre (d'après doc. MSA)
Neutralité
Papier pH
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Toxicité
Tubes réactifs Papiers réactifs (H2S) Appareils de mesure spécifique
Détecteur de gaz toxique à tubes réactifs (d'après doc. Draeger ) RC ‐ SE TRA ‐ 01595_C_F ‐ Rév.4 ‐ 19/03/2015
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Résultat des contrôles d’atmosphères VII ‐ Contrôles atmosphère 1
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Si l’un des contrôles donne des résultats incorrects, il faut refermer la capacité et renouveler l’assainissement, l’entrée reste alors interdite Résultats des contrôles d'atmosphère (valeurs usuelles indicatives)
Opérations d'assainissement à effectuer
Oxygène 10 % de la LIE
Dégazage à reprendre (2)
Teneur en gaz toxique > VME
Dégazage à reprendre (3)
pH 8
Rinçage ou neutralisation à reprendre
Température ≥ 50o C
Refroidissement à poursuivre
1.
3.
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2.
Ou pénétration ultérieure par du personnel très spécialisé (ex : plongeur professionnel équipé d'appareils respiratoires isolants (ARI). À cause des risques d'électricité statique, le dégazage à la vapeur est déconseillé en présence d'air et d'éléments combustibles. Toutefois, si la vitesse d'injection est faible on peut, à défaut d'autres moyens, admettre cette méthode. Ou pénétration par du personnel habilité avec port de l’ARI
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I. Introduction II. Risques encourus III. Processus général IV. Préparation de l’intervention V. Isolement – Consignation VI. Vidange, dégazage, ouverture, ventilation VII. Contrôles atmosphère VIII. Autorisation de pénétrer IX. Dispositions particulières sur le terrain
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Deux cas de figure (*) VIII ‐ Autorisation de pénétrer 1
1er : le format de l’autorisation de travail intègre l’analyse de risque spécifique aux opérations en espace confinés
2ème : une autorisation de pénétrer complète l’autorisation de travail, en détaillant l’analyse de risque propre à ce type d’intervention. Elle devra suivre cette dernière dans son cheminement de signatures
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(*) Propre aux règles de l’entreprise. Certaines ont choisi d’afficher à l’entrée de la capacité le résultat des contrôles périodique d’atmosphère.
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Validité de l'autorisation de pénétrer VIII ‐ Autorisation de pénétrer 1
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L'autorisation de pénétrer est renouvelée, après contrôles d'atmosphère, de manière régulière : • à chaque quart posté si l'espace confiné se trouve dans une installation en service • à la fréquence jugée nécessaire par le Service compétent du fait de l’évolution possible des conditions : − désorption dans le temps ou sous l’effet de la température de gaz toxiques ou inflammables − pollution par des contaminants externes
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Il est fortement conseillé pour des travaux de longue durée, ou à risques spécifiques, Pollution par contaminants externes due à l’"effet cheminée" de mettre en place une balise de détection permanente, afin d’anticiper toute évolution de la situation, et d’avertir le personnel intervenant
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Pénétration sans appareil respiratoire VIII ‐ Autorisation de pénétrer 1
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Si la capacité est parfaitement assainie et qu’il ne subsiste aucun doute : PERMIS DE PENETRER N DATE : UNITE : Nom Sécurité Nom Fabrication
DONNE LE APPAREIL: Nom Travaux
Nom Inspection
POSE PAR Nom :
PERMIS DE TRA VAIL N
VALIDITE DU
AU
Signature :
Les cases encadrées en noir devront obligatoirement être remplies.
LE NNE L: DO P AREI on AP Inspecti
Nom TE: N UNI TRER PENE Fabrication ISDE Nom PERM : rité DATE Sécu Nom
Les VAIL
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D AN
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ENTREE REGLEMENTEE D MEQ 2129 C
• L’autorisation de pénétrer sans appareil respiratoire est délivrée • Une signalisation spécifique est mise en place • Après cette dernière phase, les travaux peuvent commencer
ER
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Signalisation de couleur verte
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Exemple de signalisation autorisant l'accès après l'obtention d'un permis de pénétrer (Nota : badges magnétiques du personnel entrant apposé au panneau)
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Pénétration avec appareil respiratoire VIII ‐ Autorisation de pénétrer 1
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Dans certains cas, l’assainissement requis ne peut être atteint :
Alors, une pénétration avec appareil respiratoire devra être envisagée.
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• Pénétration sous atmosphère inerte (Ex : remplacement de catalyseur, …), • Pénétration initiale pour s’assurer de la qualité de l’atmosphère dans toutes les parties de l’installation (même si le contrôle effectué de l’extérieur donne des résultats corrects), • Nettoyage de bac (vidange totale et parfaite impossible), • VME très faibles.
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Pénétration avec appareil respiratoire VIII ‐ Autorisation de pénétrer 1
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Matériel utilisé • Autonomes avec bouteilles sur le dos • Non autonome à adduction d’air
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Pénétration avec appareil respiratoire VIII ‐ Autorisation de pénétrer 1
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Une signalisation spéciale est mise en place et reste tant que la capacité n’est pas totalement assainie. Les précautions particulières sont portées sur l’autorisation de pénétrer.
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Signalisation utilisée si l'atmosphère est inerte ou non parfaitement assainie RC ‐ SE TRA ‐ 01595_C_F ‐ Rév.4 ‐ 19/03/2015
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Points de repère réglementaires (Code du Travail) Commentaires sur la diapositive précédente
R. 4222‐25 C.T. • Si l’exécution des mesures de protection collective prévues par le présent chapitre est impossible, des équipements de protection individuelle doivent être mis à la disposition des travailleurs. • Ces équipements sont choisis et adaptés en fonction de la nature des travaux à accomplir et présentent des caractéristiques d’efficacité compatibles avec la nature du risque auquel les travailleurs sont exposés. Ils ne doivent pas les gêner dans leur travail ni, autant qu’il est possible, réduire leur champ visuel.
R. 4222‐26 C.T. • L’employeur prend les mesures nécessaires pour que les équipements de protection soient effectivement utilisés, maintenus en bon état de fonctionnement et désinfectés avant d’être attribués à un nouveau titulaire”.
Remarque sur prêt des appareils de protection respiratoire (voir note Draëger de février 2014 et guide INRS 6077‐2013)
Voir aussi Note INRS ED 6126 (Travaux en atmosphère appauvrie)
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Sommaire I. Introduction II. Risques encourus III. Processus général IV. Préparation de l’intervention V. Isolement – Consignation VI. Vidange, dégazage, ouverture, ventilation VII. Contrôles atmosphère VIII. Autorisation de pénétrer IX. Dispositions particulières sur le terrain © 2015 ‐ IFP Training
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Dispositifs techniques IX ‐ Dispositions particulières sur le terrain 1
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Les précautions matérielles suivantes sont à prendre :
Système d’extraction par trépied et treuil manuel
− Bouteilles à l’extérieur de la capacité − Chalumeau allumé à l’extérieur
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• Éclairage TBTS (24 volt), agréé ATEX si nécessaire • Suivant la nature des travaux, privilégier des balises de détection de gaz permanentes • Maintien de la ventilation pendant travaux • Prévoir un système d’extraction des intervenants • Obturation ou fermeture de l’entrée de la capacité chaque soir après la fin des travaux • Ne pas entreposer de solvants ou autres produits dangereux dans la capacité • En cas de travaux de soudage oxyacétylénique
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Dispositifs organisationnels IX ‐ Dispositions particulières sur le terrain 1
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5
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Les précautions organisationnelles suivantes sont à prendre : • Aménagement des accès • Limiter au maximum le nombre d’intervenants à l’intérieur • Présence d’un surveillant de capacité doté de moyens d’alerte qui : − − − −
• Suivant le type de travaux et la configuration de l’équipement, intervenant encordé (fil d’Ariane) RC ‐ SE TRA ‐ 01595_C_F ‐ Rév.4 ‐ 19/03/2015
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Est compétent et formé Connaît sa mission Sait utiliser le matériel Est en mesure d'avoir une bonne réaction appropriée − Régulièrement entrainé
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Rôle et mission du surveillant de capacité Commentaires sur la diapositive précédente
Connaître le nombre et l’identité des intervenants
Savoir donner l’alerte si présence d’un danger externe. • Interpréter la nature du sinistre (alerte unité, alerte générale site, POI, …) • Transmettre l’alerte aux intervenants (Sifflet, corne de brume, Talkie, ..)
Identifier une situation interne anormale et savoir donner l’alerte : • Sur site industriel (moyens de secours et d’intervention dédiés) − Alerter les secours (Connaitre le fonctionnement des moyens d’alerte (Radio, …), − Garder son calme, savoir s’exprimer, savoir se situer, − Rester présent sur le lieu du sinistre pour diriger les secours. • Hors site (ex : travaux sur pipe) : connaître la procédure retenue.
Maintenir un contact fréquent avec les intervenants
Certains industriels dispensent eux‐mêmes une formation aux surveillants de capacité des entreprises extérieures, afin de s’assurer de leurs réactions et compétences. D’autres s’obligent même à réaliser une simulation grandeur nature de mise en situation (essai mannequin).
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Exemple : travaux de soudage en espace confiné IX ‐ Dispositions particulières sur le terrain
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Points‐clés à retenir
Processus sous contrôle • • • • • • •
Préparation intervention (1ère question : comment je sors !) Isolement complet de la capacité ("Sûr", et au plus près) Consignation des organes mécaniques et autres (Zéro énergie) Vidange, dégazage, ouverture, ventilation Contrôles atmosphère (savoir ce que je cherche) Établissement et signature d’un permis de pénétrer Dispositions particulière sur le terrain
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Surveillant compétent, en contact avec les intervenants Tenir compte de l’évolution des conditions Matériel électrique TBTS Maintenir la ventilation Gérer les co‐activités
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− − − − −
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Manutentions manuelles et mécaniques
RP ‐ SE TRA ‐ 01592_C_F ‐ Rév.0 ‐ 10/03/2015
Sommaire I.
Introduction
II. Manutentions manuelles III. Manutentions mécaniques
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Objectifs
A l’issue de la présentation de ce document et des activités pédagogiques associées, les participants seront capables : • d’appréhender les risques majeurs liés aux travaux de manutention, • de s’assurer que les prestataires mettent en place les mesures appropriées, • d’anticiper sur les risques de co‐activité avec les autres opérations.
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Sommaire I.
Introduction
II. Manutentions manuelles III. Manutentions mécaniques
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Données statistiques I ‐ Introduction
Les manutentions constituent la principale cause d’accident en France (environ 1 sur 3). Elles sont, soit : • Manuelles • Mécaniques, en utilisant : − − − − − −
Vérins, Palans, Ponts roulants, Portiques, Chariots automoteurs, …. Causes AT
Source INRS 2012
Le travail de manutention manuelle est la cause la plus fréquente de fatigue professionnelle et de douleurs lombaires.
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I ‐ Introduction
Dans les deux cas, ….
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… , réflexion et analyse des risques préalables à l’action ! !
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Sommaire I.
Introduction
II. Manutentions manuelles III. Manutentions mécaniques
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Cadre réglementaire II – Manutentions manuelles
La réglementation applicable est inscrite dans le code du travail (R4541‐1 à 11), et se base sur les principes suivants :
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• éviter le recours à la manutention manuelle de charges, • accorder la priorité à la manutention mécanique (appareils de levage), • évaluer les risques que représentent les manutentions qui n’ont pu être évitées, • mettre en place des mesures d’organisation appropriées et des moyens adaptés (aides mécaniques, moyens de préhension, …), • limiter les charges, • former le personnel au déplacement des charges, • fournir des équipements de protection individuelle adaptés.
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Cadre réglementaire II – Manutentions manuelles En savoir plus
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Risques encourus II – Manutentions manuelles
Lors de ces opérations les risques encourus sont : • des lésions corporelles de l'individu : − écrasement des extrémités (mains, pieds), − contusions, coupures, − lombalgies, hernies. Le mal de dos est responsable de 7 % des arrêts de travail ;
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• la détérioration de l'objet transporté, • des conséquences annexes sur d'autres personnes et le matériel à proximité ( exemple : conséquences suite à un lâcher brutal de l'objet porté).
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Risques encourus II – Manutentions manuelles En savoir plus
Certains facteurs sont à prendre en compte dans l’analyse des risques liés aux manutentions manuelles : • Charge à manutentionner : dimension importante, difficulté de préhension, faible ou manque de stabilité, répartition inégale de la charge, charge imposant des postures inadéquates (port à distance du tronc, flexion, torsion du tronc), • Milieu de travail : espace exigu, sol inégal, instable, glissant, présence de dénivelés, ambiances thermique ou lumineuse inadéquates, distances trop grandes (pour prendre, poser, déplacer la charge), • Activité : travail dans l’urgence, pauses insuffisantes, cadence imposée, • Salarié : formation ou information insuffisante, inadéquation des équipements de travail.
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Conséquences possibles II – Manutentions manuelles
Les effets immédiats : • blessure accidentelle, • fatigue.
Les effets à long terme : • douleurs chroniques au dos, aux tendons, • déchirures musculaires, • colonne vertébrale douloureuse. Ces douleurs peuvent arriver suite à un évènement unique (lever une charge trop lourde, glisser, tomber, …). Mais la plupart du temps, ces douleurs sont le résultat de la répétition d’un mouvement particulier.
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Conséquences possibles II – Manutentions manuelles En savoir plus
Les manutentions manuelles sont largement répandues : • 4 salariés sur 10 déclarent manipuler des charges dans le cadre de leur travail et 3 sur 10 aux moins 2 heures par semaine (source INRS). • les hommes jeunes, ouvriers et intérimaires sont particulièrement exposés aux risques qu’elles représentent. • le bâtiment et l’industrie sont les secteurs où les manutentions sont les plus fréquentes.
Le fait de porter, pousser, tirer, lever, poser ou déposer des charges (même peu lourdes) implique des efforts physiques et parfois des positions de travail inconfortables (contraintes posturales).
Effectuées à un rythme soutenu, ou de façon répétitive, les manutentions sollicitent à l’excès les os, les articulations ou encore les tendons et les muscles. Elles peuvent provoquer accidents, fatigues, douleurs ou maladies au premier rang desquelles figurent les TMS et les lombalgies. Une mauvaise prise en charge de ces affections invalidantes peut compromettre le maintien au travail.
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Recommandations II – Manutentions manuelles
La prévention passe par : • L'information sur le poids des charges, • Une formation et une éducation gestuelle, • L'organisation de la tâche : − préparation, prévision de la manutention, − utilisation de moyens auxiliaires de manutention (palans, chèvres, …), − optimisation du parcours (longueur, dénivelé, …), et dégagement du terrain, − présence éventuelle de plusieurs personnes.
• Le port des protections individuelles. © 2015 ‐ IFP Training
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Recommandations II – Manutentions manuelles En savoir plus
Remarques concernant les charges maximales : • L'Article R 4541‐9 C.T. précise "qu'un travailleur ne peut être admis à porter d'une façon habituelle des charges supérieures à 55 kg, qu'à condition d'y avoir été reconnu apte par le médecin du travail, sans que ces charges puissent être supérieures à 105 kg". Les femmes ne sont pas autorisées à porter des charges supérieures à 25 kg. Pour les jeunes travailleurs, les limites dépendent de l’âge et du sexe. • Selon la médecine du travail "la limitation du port de charges au seuil légal fixé à 55 kg ou encore la possibilité d’une autorisation médicale individuelle pour porter plus de 55 kg sont des pratiques dangereuses et obsolètes pour la prévention" .
La norme NF X 35‐109 (Ergonomie manutentions manuelles), et des normes européennes et internationales (NF EN 1005‐3,4 et NF ISO 11228‐2), font les recommandations suivantes (pour des conditions favorables) :
Activité Soulever ‐ Porter Pousser ‐ Tirer
Valeur maximale acceptable
Valeur maximale sous condition
15 kg de charge par opération 7,5 tonnes/jour/personne
25 kg de charge par opération 12 tonnes/jour/personne
200 kg de poids déplacé
400 kg de poids déplacé
Conditions favorables = Hauteur de prise : 0,75 ‐ 1,10 m ; Distance de déplacement de la charge : < à 2m ; Absence d’autres contraintes physiques, liées à l’environnement ou à l’organisation du travail ; Valeur maximale acceptable = Impossible de supprimer les opérations de manutention manuelle ; Valeur maximale sous condition = Moyens mécaniques difficiles à mettre en œuvre du fait de la configuration des lieux . RP ‐ SE TRA ‐ 01592_C_F ‐ Rév.0 ‐ 10/03/2015
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Fréquence des manipulations : 1 manipulation toutes les 5 minutes ;
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Recommandations II – Manutentions manuelles En savoir plus
Bibliographie complémentaire
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Recommandations II – Manutentions manuelles En savoir plus
Quelques conseils pratiques : • Prendre le temps de préparer la manutention : − Quelles sont les aides à la manutention disponibles ? − Quelle distance à parcourir ? − Le parcours est‐il encombré ? − Est‐il possible de se faire aider pour porter la charge ? • Utiliser les aides à la manutention disponibles, en respectant les consignes de sécurité établies : − appareils de levage, chariots, cric, vérin, … • Porter les équipements de protection nécessaires (gants, chaussures de sécurité). • Organiser les manutentions de façon à éviter de tordre et de fléchir le buste, plier plutôt les genoux. • Porter les charges au plus près du corps. • Déposer la charge au plus près de vous. • Proposer des améliorations pour faciliter votre travail ou aménager votre poste.
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Sommaire I.
Introduction
II. Manutentions manuelles III. Manutentions mécaniques
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Matériel et équipements III – Manutentions mécaniques
Un certain nombre d’équipements peuvent être utilisés pour réaliser des manutentions mécanisées : • Transpalette : − manuel, ou électrique, − conducteur accompagnant, ou porté, − gerbeur, …
• Chariot :
Transpalette électrique Conducteur accompagnant
− tracteur, à plateau porteur, … − bi ou tri directionnel, ...
• Chariot élévateur :
en porte à faux ( capacité < 6T, ou > 6T), à bras télescopique, porte conteneur, propulsion électrique, ou à gaz, …
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− − − −
Chariot élévateur en porte à faux
Chariot élévateur à bras télescopique 19
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Matériel et équipements III – Manutentions mécaniques
Différents composants d’un chariot élévateur à conducteur porté
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Risques encourus III – Manutentions mécaniques
De même nature que ceux relatifs aux manutentions manuelles, mais avec des conséquences généralement plus graves, les risques encourus sont : • des lésions corporelles graves (fractures, écrasement), • la détérioration de l'objet transporté, voire celle de l'engin de manutention,
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• des conséquences annexes, pouvant être graves du fait du poids important de l'objet et de la hauteur de la chute plus graves, • écrasement, chute de hauteur.
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Recommandations III – Manutentions mécaniques
La prévention passe par :
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Habilitation du conducteur
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Respect des consignes et organisation du chantier
La conformité technique de l’engin de manutention
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Recommandations III – Manutentions mécaniques 1
Formation et habilitation du conducteur : • l’autorisation de conduite, prévue par l’article R 4323 C.T., est obligatoire depuis le 2 décembre 1998. • elle est fondée sur les 3 éléments suivants : − un examen d’aptitude réalisé par le médecin du travail, − un contrôle des connaissances et savoir‐faire de l’opérateur pour la conduite en sécurité de l’équipement de travail, − une connaissance des lieux et des instructions à respecter sur le site d’intervention.
Exercice de conduite sur chariot
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• l’autorisation de conduite est délivrée par l’employeur.
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Recommandations III – Manutentions mécaniques En savoir plus
Obligation ou non du CACES : • L'autorisation de conduite est établie et délivrée au travailleur, par le chef d'établissement, sur la base d'une évaluation effectuée par ce dernier et basée sur les trois points évoqués ci‐avant. • La Caisse Nationale d’Assurance Maladie a rédigé des recommandations, avalisées par les représentants des professions, définissant la meilleure façon de répondre au deuxième point de ces obligations : délivrance du CACES par des organismes certifiés. • Si vous décidez de mettre en œuvre une autre procédure que le CACES (formation interne par exemple), il vous faudra, en cas d’accident éventuel, démontrer la qualité de la formation : − compétences techniques et pédagogiques du formateur, − programme de la formation, référentiel et durée, − résultats aux tests de connaissance, … • Cette procédure est possible mais complexe à mettre en œuvre surtout pour une petite entreprise. La CRAM préconise donc le CACES (délivré par un organisme habilité, cf. recommandations R 389 de la CNAM). Le CACES est adapté au type d’engin concerné.
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Recommandations III – Manutentions mécaniques
Conformité technique des engins : • la conformité d’un engin neuf est sous la responsabilité du constructeur. • l’arrêté du 1er mars 2004 précise les obligations auxquelles doivent se soumettre les utilisateurs d’engins selon le type d’équipement et l’usage qui en est fait :
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− vérification générale périodique : la fréquence de ces vérifications est définie par l’arrêté (Ex : Chariot élévateur = tous les 6 mois). − vérification hebdomadaire : effectuée par une personne spécialement désignée par le chef d'établissement. − vérification journalière : effectuée par l’utilisateur à chaque prise en charge en début de poste. − nota : vérifications enregistrées, sur un registre, et réalisées par un personnel compétent désigné par l’employeur.
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Recommandations III – Manutentions mécaniques
Respect des consignes et organisation du chantier : • Il est interdit de : − transporter des personnes, − transporter des bouteilles de gaz comprimés ou liquéfiés à même les fourches, − monter sur les fourches, − circuler fourches hautes en charge ou à vide, − circuler en marche avant sans visibilité, …
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• Suite à des accidents notables, ne pas :
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Rupture élingue nylon placée à même les fourches lors d’une opération de levage effectuée avec un chariot élévateur
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− effectuer un levage avec un chariot élévateur et des élingues placées à même les fourches, − amorcer une manœuvre de braquage avec une charge en hauteur, − de disposer à même les fourches pour les transporter, des éléments de tuyauterie, pièces mécaniques, …
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Recommandations III – Manutentions mécaniques
Respect des consignes et organisation du chantier : • Il est recommandé de : − transporter des bouteilles de gaz comprimés ou liquéfiés au moyen d’un casier prévu à cet effet, − cercler sur une palette les équipements à transporter tels que pompe, moteur électrique, … − organiser les opérations de manutention afin d’éviter les heurts entre les chariots et les personnes à pied (Art. R 4323‐52 C.T.).
• Autres bonnes pratiques prises sur certains sites :
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Casier spécifique pour transport de bouteilles
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− séparation matérialisée entre allées piétons, et zones de circulation chariots, − circuler à vide avec une palette posée sur fourches, − chariots à cabine pivotante, ….
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Points‐clés à retenir
Manutentions = 1ère cause d’accidents (en nombre) Manutentions manuelles • Une aide mécanisée est‐elle possible ? • Analyse préalable de l’opération • Ergonomie du poste, et de la posture de travail
Manutentions mécaniques • • • • •
Manutention ≠ Levage Habilitation du conducteur Visites périodiques des engins Organisation du chantier Respect des règles d’utilisation © 2015 ‐ IFP Training
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Travaux de levage
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Sommaire I.
Introduction
II. Matériel utilisé III. Risques lors des opérations de grutage IV. Recommandations relatives au grutage V. Préparation et suivi d’un grutage
VII. Ponts roulants et palans RP ‐ SE TRA ‐ 01600_X_F ‐ Rév.0 ‐ 12/05/2015
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VI. Accessoires et composants de levage
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Objectifs
A l’issue de la présentation de ce document et des activités pédagogiques associées, les participants seront capables : • D’appréhender les risques majeurs liés aux travaux de levage, • De s’assurer que les prestataires mettent en place les mesures appropriées, • D’anticiper sur les risques de co‐activité avec les autres opérations.
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Sommaire I.
Introduction
II. Matériel utilisé III. Risques lors des opérations de grutage IV. Recommandations relatives au grutage V. Préparation et suivi d’un grutage
VII. Ponts roulants et palans RP ‐ SE TRA ‐ 01600_X_F ‐ Rév.0 ‐ 12/05/2015
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VI. Accessoires et composants de levage
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Données statistiques I ‐ Introduction
Le levage est une activité à risques, à occurrence moyenne sur les sites industriels. Elle représente néanmoins 3 % des causes de décès en France
L’utilisation des engins de levage est encadrée par de nombreuses règles touchant : • Au choix des engins, • A leur maintenance et vérifications, • A leur mise en œuvre, • Ainsi qu’à la formation du personnel en charge de les utiliser.
On remarque aussi une méconnaissance des responsabilités engagées en fonction du contrat établi avec le levageur ;
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Données INRS 2012
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Conséquences spectaculaires I ‐ Introduction
Trop souvent, ….
Mauvaises informations sur la nature du sol
Mauvaises informations sur le poids de la charge à soulever
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… , une mauvaise préparation du travail est à l’origine de ces accidents ! !
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Sommaire I.
Introduction
II. Matériel utilisé III. Risques lors des opérations de grutage IV. Recommandations relatives au grutage V. Préparation et suivi d’un grutage © 2015 ‐ IFP Training
VI. Accessoires et composants de levage VII. Ponts roulants et palans
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Définitions II ‐ Matériel utilisé
Un appareil de levage est un engin, un dispositif ou une installation dont la fonction essentielle consiste à soulever ou descendre une charge. Ce sont des "Équipements de Travail" composés par l’assemblage de :
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• Machine : ensemble de pièces ou d’organes liés entre eux dont au moins un est mobile, … en vue de déplacer des charges avec ou sans changement de niveau • Accessoires de levage : équipements non incorporés à une machine, placés entre la machine et la charge, ou sur la charge, pour permettre la préhension de la charge, tels que : élingue, palonnier, pince auto‐serrante, aimant, ventouse, etc. • Composants d’accessoires de levage : non incorporés aux accessoires ci‐dessus tels que crochets à œil, manilles, anneaux, etc • Chaînes, câbles, sangles : non incorporés aux Pont roulant équipé de ses accessoires et composants ci‐dessus différents composants et accessoires RP ‐ SE TRA ‐ 01600_X_F ‐ Rév.0 ‐ 12/05/2015
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Définitions II ‐ Matériel utilisé En savoir plus Points de repère code du travail
Machine : Ensemble équipé ou destiné à être équipé d’un système d’entrainement autre que la force humaine ou animale appliquée directement, composé de pièces ou d’organes liés entre eux dont au moins un est mobile, et qui sont réunis de façon solidaire en vue d’une application définie. • Voir articles R.4311‐4 à R.4311‐4‐6 C.T. pour la définition complète • Voir articles R.4311‐5 pour les exclusions
Equipement de travail : Les équipements de travail sont les machines, appareils, outils, engins, matériels et installations (soit : machines, appareils, et accessoire de levage traités dans ce document). • Voir articles L.4311‐2.
Appareil de levage : Machines et leurs équipements, conduits par un ou des opérateurs, qui agissent sur les mouvements au moyen d’organes de contrôle, dont au moins une des fonctions est de déplacer une charge. • Voir Articles R.4323‐29 à R,4323‐49 pour les dispositions particulières des équipements de travail servant au levage de charges. • Voir arrêté du 1er Mars 2004 pour la définition des appareils soumis à vérifications réglementaires
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Définitions II ‐ Matériel utilisé
Les grues sont parmi les engins de levage les plus utilisés sur les chantiers de travaux neufs ou de maintenance. Elles sont divisées en deux catégories : • Grues Mobiles : − − − − −
Grue à flèche télescopique, Grue à flèche treillis, Grue de chargement, Grue ferroviaire, Grue flottante, …
• Grues Fixes : Grue à tour, Grue à flèche pivotante, Grue de déchargement portuaire, Grue offshore, …
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− − − −
Grue mobile sur porteur à flèche télescopique RP ‐ SE TRA ‐ 01600_X_F ‐ Rév.0 ‐ 12/05/2015
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Exemples de grues mobiles II ‐ Matériel utilisé Grue télescopique automotrice
Grue ferroviaire
Grue flottante
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Grue à flèche treillis
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Exemples de grues fixes II ‐ Matériel utilisé
Grue de déchargement portuaire
Grue à flèche pivotante
Grue sur plateforme offshore
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Grue à tour
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Sommaire I.
Introduction
II. Matériel utilisé III. Risques lors des opérations de grutage IV. Recommandations relatives au grutage V. Préparation et suivi d’un grutage
VII. Ponts roulants et palans
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VI. Accessoires et composants de levage
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Principaux risques encourus III ‐ Risques lors des opérations de grutage
Renversement des engins, dû à : • • • •
Effet du vent, Mauvaise implantation de la grue, Stabilité du sol, stabilité de la grue, Sous‐évaluation de la charge,…
Chute de la charge, due à : • Rupture mécanique des accessoires, • Mauvais élingage, ..
Chute d’objets restés sur la charge, Électrisation, Heurt de personnes durant levage :
Impacts potentiels sur installation : • Moteur thermique en zone ATEX, • Circulation véhicules, …
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• Mauvaise visibilité, • Mauvaise maîtrise de la charge, …
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Sommaire I.
Introduction
II. Matériel utilisé III. Risques lors des opérations de grutage IV. Recommandations relatives au grutage V. Préparation et suivi d’un grutage © 2015 ‐ IFP Training
VI. Accessoires et composants de levage VII. Ponts roulants et palans
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Prévention dans les opérations de levage IV ‐ Recommandations relatives au grutage
La prévention passe par :
1
Habilitation du personnel
Respect des consignes et organisation du chantier RP ‐ SE TRA ‐ 01600_X_F ‐ Rév.0 ‐ 12/05/2015
2
La conformité technique de l’engin de levage
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3
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Organisation de l’équipe de levage IV ‐ Recommandations relatives au grutage 1
Composition • Grutier : personnel formé et habilité par son employeur (Autorisation de conduite : aptitude médicale, CACES, connaissance des lieux et consignes du site)
Chef de manœuvre
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• Chef de Manœuvre : personnel formé et habilité par son employeur • Élingueur : personnel formé et habilité par son employeur
Élingueur 17
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Organisation de l’équipe de levage IV ‐ Recommandations relatives au grutage En savoir plus Rôle de chacun Grutier : • il met en place le balisage, • il s’assure visuellement du bon fonctionnement de son matériel. Il doit également s’assurer que sa grue a passé avec succès les contrôles périodiques, • il s’assure du bon fonctionnement de sa grue, • il s’assure de l’existence d’un chef de manœuvre, vérifie avec lui les moyens de communication et respecte les consignes du site, • il s’assure que la charge à lever, et que l’environnement de travail, sont en adéquation avec sa grue et son calage, • Il utilise son droit d’alerte et de retrait en cas de doute.
Chef de manœuvre : • il dirige la manœuvre du grutier en prenant en compte l’environnement et les effets du vent. Il doit être identifiable par le port d’une chasuble ou d’un brassard, • il contrôle l’adéquation de l’engin par rapport au levage à réaliser, • il vérifie l’élingage, • il contrôle la zone de manœuvre.
Elingueur : • il s’assure de l’adéquation du choix des équipements de levage avec la charge à déplacer • Il vérifie l’intégrité des composants • Il réalise l’élingage en respectant les règles de sécurité applicables.
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Formation du personnel IV ‐ Recommandations relatives au grutage 1
Formation et habilitation du grutier
• Les articles R.4323‐55 à R.4323‐57 définissent les obligations concernant la délivrance d’une autorisation de conduite des engins mobiles ou servant au levage de charge. • Elle est fondée sur les 3 éléments suivants : − un examen d’aptitude réalisé par le médecin du travail, − un contrôle des connaissances et savoir‐faire du grutier pour la conduite en sécurité de l’équipement de travail, − une connaissance des lieux et des instructions à respecter sur le site d’intervention.
• La recommandation CNAM R383 complète ces dispositions pour les grues mobiles • La recommandation CNAM R377m complète ces dispositions pour les grues à tour
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• L’autorisation de conduite est délivrée par l’employeur
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Formation du personnel IV ‐ Recommandations relatives au grutage En savoir plus
Obligation ou non du CACES® pour un grutier (extraits ED 6107 INRS) • L'autorisation de conduite est établie et délivrée au travailleur par l’employeur, sur la base d'une évaluation effectuée par ce dernier et basée sur les trois points évoqués ci‐avant • Le CACES®(Certificat d’Aptitude à la Conduite en Sécurité), est un référentiel national qui permet le contrôle des connaissances et du savoir faire des opérateurs, en référence au §"b", de l’article 3, de l’arrêté du 2 décembre 1998 • Ce n’est pas un "permis de conduire". Il est institué en référence à des recommandation de la CNAMTS. A ce titre, il ne constitue pas une obligation réglementaire, mais établit une source de droit dont le non‐ respect peut avoir des conséquences juridiques • Le CACES® ne peut être délivré qu’à l’issue d’une évaluation effectuée par une personne qualifiée, validée par un organisme certificateur accrédité par le COFRAC et conventionné par la CNAMTS. La R383 décrit le référentiel pour la conduite des grues mobiles, en définissant cinq catégories d’engins. Les CACES® ont une durée de validité limitée dans le temps (5ans pour les grues mobiles • Toutefois, le CACES® n’est ni un diplôme, ni une reconnaissance professionnelle. La décision de confier une grue relève de l’employeur au travers de la délivrance de l’autorisation de conduite
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Formation du personnel IV ‐ Recommandations relatives au grutage En savoir plus Existe‐t‐il ou non un référentiel CACES® pour les chefs de manœuvre ? • Réponse : Non. Par contre il existe un référentiel émanant de l’Union Française du Levage. Les principaux points abordés en formation sont : − Responsabilités : du grutier, de l'élingueur, du chef de manœuvre − Inspection commune préalable du chantier. Réglementation applicable − Types de grues et spécificités. Examen d'adéquation (réalisation et formalisation) − Plan de levage (levage à 1 ou 2 grues), calcul des pression au sol, balisage de chantier − Lecture et compréhension des abaques de levage, règles d'élingage − Mode de communication avec le grutier, geste de commandement, ….
Existe‐t‐il ou non un référentiel CACES® pour les élingueurs ? • Réponse : Non. Par contre il existe un mémento de l’élingueur (Note INRS ED919). Les principaux points abordés en formation sont : − Rôles et responsabilités de l’élingueur − Les types d’élingues, avantage et inconvénients, accessoires, leur suivi et entretien − Les règles d’élingage (angles, tables, facteurs de modes, appréciation des charges, choix et mise en place des élingues,..) − La manutention : levage, déplacement, dépose − La sécurité et les gestes de commandement, …
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Vérification des machines et appareils de levage IV ‐ Recommandations relatives au grutage
Conformité technique des équipements : • La conformité d’un équipement neuf est sous la responsabilité du constructeur • Les appareils et accessoires de levage sont soumis réglementairement à des vérifications suivant les articles R.4323‐22 et R.4323‐28, ainsi que de l’arrêté du 1er mars 2004. On distingue :
2
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− Vérification à la mise en service − Vérification à la remise en service − Vérification générale périodique : la fréquence de ces vérifications est définie par l’arrêté (Ex : Grue mobile = tous les 6 mois). Elles sont réalisées par des personnes qualifiées, appartenant ou non à l’entreprise − La vérification à la prise de poste renforce le dispositif préventif. Tous les travaux réalisés seront consignés sur le carnet de maintenance de l’appareil
• L’inspection du travail est en mesure d’imposer une vérification complémentaire. Dans ce cas le recours à un organisme accrédité est obligatoire RP ‐ SE TRA ‐ 01600_X_F ‐ Rév.0 ‐ 12/05/2015
Matériel (câble) non entretenu
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Vérification des machines et appareils de levage IV ‐ Recommandations relatives au grutage En savoir plus Mise en service : • Vise la première utilisation dans l’établissement, que l’équipement soit neuf ou d’occasion.
Remise en service : • Concerne un équipement qui a subi une opération de montage et remontage, ou une modification susceptible de mettre en cause la sécurité : − Changement de site d’utilisation des appareils installés à demeure, − Changement de configuration ou des conditions d’utilisation sur un même site, − Suite à un démontage puis remontage de l’appareil, − Suite à tout remplacement, réparation, ou transformation importante relatif aux organes essentiels, − Suite à tout accident provoqué par la défaillance d’un organe essentiel de l’appareil.
Vérifications périodiques : • Appareils et accessoires de levage voir arrêté du 1er mars 2004 • Examen périodique approfondi des grues à tour : voir aussi arrêté du 3 mars 2004
Vérifications demandées par l’inspection du travail : • L’inspection du travail peut demander des vérifications complémentaires suite à un accident, lors d’un constat d’une situations dangereuse, ou en cas de doute sur la conformité. Elle se fait par écrit à l’employeur en application des articles L.4722‐1 et R.4722‐6 C.T.
Autres supports documentaires : • Note INRS ED 6067 "Vérification des machines et appareils de levage" • Circulaire 2005/04 du 24 mars 2005 relative à l’application des arrêtés du 1er et 3 mars 2004
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Respect des consignes IV ‐ Recommandations relatives au grutage
Quelques rappels réglementaires 3
Même un simple mouvement de flèche à vide, patins non déployés peut provoquer le renversement de la grue RP ‐ SE TRA ‐ 01600_X_F ‐ Rév.0 ‐ 12/05/2015
Grue non stabilisée lors de sa mise en position
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• "Il est interdit de soulever, … une charge supérieure à celle marquée sur l’appareil… " (Art. R 4323‐33 C.T.) • "Il est interdit de transporter des charges au‐dessus des personnes…" sauf nécessité ; "dans ce cas des procédures doivent être définies et appliquées". (Art. R 4323‐36 C.T.) • "Il est interdit de soulever ou de tirer les charges en oblique sauf à l’aide d’appareils conçus à cette fin". (Art. R 4323‐45 C.T.). • "Il est interdit de balancer les charges pour les déposer en un point qui ne peut être atteint normalement par l'appareil de levage". (Art. R 4323‐45 C.T.). • "les équipements de travail … servant au levage de charges doivent être utilisés de manière à garantir la stabilité de l’équipement de travail durant son emploi… " (Art. R 4323‐29 C.T.)
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Stabilité d’une grue IV ‐ Recommandations relatives au grutage En savoir plus
Mise en équation simplifiée
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Respect des consignes IV ‐ Recommandations relatives au grutage
Consignes et bonnes pratiques • "Le poste de manœuvre d’un appareil de levage doit être disposé de telle façon que le conducteur puisse suivre des yeux les manœuvres effectuées par les éléments mobiles de l’appareil".. Si ce n’est pas le cas…"un chef de manœuvre, en communication avec le conducteur… doit diriger le conducteur" (Art. R 4323‐41 C.T.). • "Toutes mesures seront prises … pour éviter le contact direct ou provoquer un amorçage avec les parties actives d’installations électriques non isolées" (Art. R 4323‐30 C.T.) • Distance minimum à respecter avec un câble sous tension pour éviter tout amorçage électrique
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− Si < 50Kvolt, D > 3m − Si > 50Kvolt, D > 5m
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Amorçage entre flèche et ligne 30kV
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Respect des consignes IV ‐ Recommandations relatives au grutage
Consignes et bonnes pratiques • "Les accessoires de levage doivent être entreposés de manière à ce qu’ils ne puissent être endommagés ou détériorés". "Dès lors qu’ils présentent des défectuosités susceptibles d’entraîner une rupture, ils doivent être retirés du service" (Art. R 4323‐49 C.T.) • "Lorsqu'il dépasse une hauteur fixée, ... l'emploi à l'air libre d'un équipement de travail servant au levage de charges non guidées cesse dès que la dégradation des conditions météorologiques est susceptible de compromettre la sécurité de leur fonctionnement et d'exposer toute personne à un risque". (Art.R.4323‐46.C.T.). • La recommandation R 406 de la CNAM fixe, pour les grues à tour, les valeurs limites de vitesse de vent de :
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− 50 km/h (arrêt de la manutention de charges ayant une grande surface au vent) − 72 km/h (arrêt des manutentions et mise en sécurité) (En tenant compte des instructions du constructeur) Accident de Toul 26/01/1995
3
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Sommaire I.
Introduction
II. Matériel utilisé III. Risques lors des opérations de grutage IV. Recommandations relatives au grutage V. Préparation et suivi d’un grutage
VII. Ponts roulants et palans RP ‐ SE TRA ‐ 01600_X_F ‐ Rév.0 ‐ 12/05/2015
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VI. Accessoires et composants de levage
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Préparation d’une opération de levage V ‐ Préparation et suivi d’un grutage
De nombreux accidents seraient évités si l’on vérifiait au préalable que les équipements de levage soit bien adaptés au travaux à réaliser !
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Préparation d’une opération de grutage V ‐ Préparation et suivi d’un grutage
Quelques rappels réglementaires • "Les voies de circulation empruntées par les équipements de travail mobiles doivent avoir un gabarit suffisant… elles doivent être maintenues libres de tout obstacle… Le chef d’établissement doit établir des règles de circulation adéquates et veiller à leur bonne application" (Art. R 4323‐50 C.T.). • "Des mesures d’organisation doivent être prises pour éviter que des travailleurs à pied ne se trouvent dans la zone d’évolution des équipements de travail"… (Art. R 4323‐52 C.T.).
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Anticipation Préparation
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Préparation d’une opération de grutage V ‐ Préparation et suivi d’un grutage Expression du besoin (Demandeur) 3
Examen d’adéquation (Entreprise de levage) Visite sur site
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Plan de levage (Entreprise de levage)
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Préparation d’une opération de grutage V ‐ Préparation et suivi d’un grutage En savoir plus
Expression du besoin : • Identifier la nature de la charge (poids, dimensions, centre de gravité, etc …) • Déterminer les points de prise et de dépose de la charge (élévation, distances, …) • Transmettre la nature des sols, et identifier les ouvrages (égouts, réseaux enterrés, …) • Identifier les contraintes et obstacles (charpentes à proximité, ligne haute tension,…) • Définir le trajet de la grue (Entrée site=> Point de levage) et les contraintes associées (racks, zone Atex, …), • … Examen d’adéquation : • Visite sur site impérative ! • Adéquation du matériel utilisé au cycle de travail à réaliser, • Choix de la grue (comparaison abaque et charge à lever) • Choix de l’implantation de la grue (résistance sol, survol installation, trajet charge), • Visibilité satisfaisante tout au long de l’opération, position du chef de manœuvre, • Ajustement si besoin rayon en charge, définition du balisage, • …
Plan de levage : • Consensus de tous les acteurs sur l’opération à venir, • Débattu lors du PDP et joint à l’autorisation de travail, • Outil de vérification sur le terrain que les mesures décidées sont bien appliquées.
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Suivi d’une opération de grutage V ‐ Préparation et suivi d’un grutage Rôle attendu de l’entreprise utilisatrice R.4513‐1 C.T. : L’entreprise Utilisatrice (E.U.) doit s’assurer que les mesures de prévention décidées avec l’Entreprise Extérieure (E.E.) sont appliquées : 1 Habilitation du personnel :
• Demander à L’EE de présenter les habilitations lors des PDP, réunions de coordination, ou signature des permis, … 1
Conformité technique :
2
Habilitation du personnel
• Demander à L’EE de présenter les certificats des engins à chaque entrée sur site, … 3
Organisation du chantier :
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3
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Respect des consignes et organisation du chantier
La conformité technique de l’engin de levage
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• Débattre des plans de levage, • Vérifier les informations transmises à l’EE (poids de la charge, nature des sols …)
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Suivi d’une opération de grutage V ‐ Préparation et suivi d’un grutage En savoir plus Vérifications préalables (Signature des permis) • Autorisation (Permis) de travail, • Permis de feu (si besoin), • Autorisation de coupure de rue (si requis), • Plan de levage disponible sur le terrain,…
Contrôle de la mise en place d’une grue : • L’abaque de charge doit se trouver dans la cabine (ou affichage électronique), • Le grutier doit avoir une bonne visibilité , • Extincteur accessible et proche de la zone, • Vérification du calage de la grue (appui sur plaques), • Vérification du balisage de la zone, • Vérification des coupures de rues, • Vérification des différents agréments,…
Suivi de l’opération : • Tenir compte des évolutions météorologiques, • Interférence entre appareils de levage, • Evolution de la co‐activité.
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Abaque de charge et limiteur de capacité (CEC) V ‐ Préparation et suivi d’un grutage En savoir plus Exemple abaque Grue 55T
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Sommaire Introduction
Matériel utilisé
Risques lors des opérations de grutage
Recommandations relatives au grutage
Préparation et suivi d’un grutage
Accessoires et composants de levage
Ponts roulants et palans
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Liaison entre charge et appareil de levage VI ‐ Accessoires et composants de levage
Le grutier reste responsable d’une opération décisive pour la sécurité des manutentions mécaniques : l’accrochage, ou l’élingage de la charge à déplacer à l’appareil de levage. Mais pour ce faire il confie cette mission à l’élingueur.
Principales causes d’accidents liés à l’élingage :
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• Décrochage de la charge, • Rupture de l’élingue, • Basculement de la charge en raison d’un mauvais alignement du centre de gravité de la charge ou de l’utilisation d’un support de charge inadapté, • Coincement des membres supérieurs (mains ou bras) d’un salarié, • Chute d’une partie d’une charge fractionnée, • Chute de hauteur de l’élingueur pendant l’accrochage ou le décrochage de la charge, • Écrasement de l’élingueur pendant le déplacement de la charge ou heurt de l’élingueur par le crochet de l’appareil de levage, • Sous‐dimensionnement du palonnier, …
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Capacité de levage VI ‐ Accessoires et composants de levage
La capacité de levage doit prendre en compte l'ensemble des accessoires
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Élingues VI ‐ Accessoires et composants de levage
Les règles de conception des accessoires de levage entrent dans le champ d’application de la directive Machines (2006/42/CE)
Les élingues, constituées de câbles, chaînes, sangles ou cordage font partie de ces accessoires
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Élingues VI ‐ Accessoires et composants de levage En savoir plus Références normatives élingues et accessoires de levage
Des normes européennes harmonisées définissent des spécifications techniques pour ces accessoires de levage, permettant le respect des exigences de la réglementation. Leur application n’est pas obligatoire, mais leur respect permet de bénéficier d’une présomption de conformité à la réglementation
Références des normes européennes relatives aux accessoires de levage • Élingues câbles : EN 13414‐1, 13414‐2 et 13414‐3 • Élingues chaînes : EN 818‐1, 818‐2, 818‐3, 818‐4, 818‐5 et 818‐6 • Élingues textiles : EN 1492‐1, 1492‐2 et 1492‐4 • Équipements amovibles de charge : EN 13155 • Manilles : EN 13889 • Accessoires d’élingage : EN 1677‐1, 1677‐2, 1677‐3, 1677‐4, 1677‐4 et 1677‐5 • Terminaisons de câbles : EN 13411‐1, 13411‐2, 13411‐3, 13411‐4, 13411‐5 et 13411‐6 • Anneaux de levage : EN ISO 3266
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Élingues VI ‐ Accessoires et composants de levage
Les élingues sont caractérisées principalement par leur Charge Maximale d’Utilisation (CMU)
Il existe plusieurs méthodes pour connaitre cette valeur : inscription sur l’élingue, étiquette spécifique, couleur, nombre de traits, …
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Élingues VI ‐ Accessoires et composants de levage En savoir plus Règles de bon usage des élingues et accessoires de levage
Une élingue ne doit être utilisée qu'en bon état.
Les accessoires de levage doivent faire l’objet de vérifications et examens définis réglementairement. La périodicité fixée pour les vérifications générales périodiques (dans le cadre général d’application de l’arrêté du 1er mars 2004) est d’un an.
Concernant les cordages, les déformations, épissures, nœuds ainsi que le froid et l'eau sont des facteurs d'affaiblissement très importants (50 % et plus).
On ne doit jamais faire un nœud avec une chaîne ni la réparer ; le froid fragilise l'acier également.
On définit le coefficient de sécurité (ou d'utilisation) qui est le rapport entre la charge de rupture sur la C.M.U.
Il est nécessaire aussi de tenir compte du mode d'élingage pour déterminer la charge réelle d'utilisation d'une élingue. Les exemples ci‐après donnent des indications suivant le nombre et l'angle des élingues notamment.
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Modes élingage VI ‐ Accessoires et composants de levage En savoir plus
Une élingue simple ayant à son extrémité une charge P est soumise à un effort égal à P (cas 1).
Si deux élingues identiques, parallèles supportent une charge P, chaque élingue subit un effort égal à P/2 (cas 2).
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Modes élingage VI ‐ Accessoires et composants de levage En savoir plus Pour équilibrer la charge il est souvent nécessaire d'écarter les points d'ancrage créant de ce fait un angle entre deux brins qui supportent alors une charge supérieure à P/2 par brin (cas 3).
On détermine la résistance utile que chaque brin doit offrir en appliquant la formule suivante :
Il faut toujours s'efforcer de limiter l'angle à 90o dans les conditions normales de travail et ne jamais dépasser 120o
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Modes élingage VI ‐ Accessoires et composants de levage En savoir plus
Pour un élingage à 4 brins, la formule est légèrement différente :
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Palonniers VI ‐ Accessoires et composants de levage
L’utilisation d’un palonnier permet : • De prendre et de déplacer des charges longues et de soutenir en des points intermédiaires des charges flexibles • De réduire l'angle d'élingage • De réduire la hauteur libre nécessaire pour lever une même charge longue avec un élingage à deux brins
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Sommaire I.
Introduction
II. Matériel utilisé III. Risques lors des opérations de grutage IV. Recommandations relatives au grutage V. Préparation et suivi d’un grutage © 2015 ‐ IFP Training
VI. Accessoires et composants de levage VII. Ponts roulants et palans
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Matériel VII ‐ Ponts roulants et palans
Il existe plusieurs types de ponts roulants et de palans
La source d'énergie permettant le déplacement de la charge peut être : • Electrique • Pneumatique • Manuelle (palan à chaînes)
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Vérifications VII ‐ Ponts roulants et palans
Les ponts roulants, tout comme les palans, les porte‐palans et les potences, sont considérés comme des appareils ou des accessoires de levage
A ce titre, et conformément à l’arrêté du 1er mars 2004, ils doivent être inspectés régulièrement (fréquence annuelle), ou avant toute utilisation
Potence trou d’homme
Rupture tige de potence lors d’un arrêt
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Potence + palan électrique
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Points‐clés à retenir
Levage = activité à risques nécessitant une préparation soignée
Principaux risques • • • •
Renversement engins Chute de la charge Électrisation Chocs sur personnes ou équipements
Trois axes pour la prévention
Influence du type de contrat sur responsabilité civile si accident
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• Habilitation et compétence du personnel : 3 acteurs clefs : − Grutier − Chef de manœuvre − Élingueur • Conformité des engins • Organisation du chantier
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Travaux en hauteur
RC ‐ SE TRA ‐ 02608_C_F ‐ Rév.0 ‐ 30/03/2015
Sommaire I.
Introduction
II. Risques encourus III. Cadre réglementaire IV. Échelles, escabeaux, marchepieds V. Échafaudages : Généralités VI. Échafaudages de pied VII. Échafaudages roulants IX. Équipements de protection individuelle RC ‐ SE TRA ‐ 02608_C_F ‐ Rév.0 ‐ 30/03/2015
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VIII.Plateformes Élévatrices Mobiles de Personnes
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Objectifs
A l’issue de la présentation de ce document et des activités pédagogiques associées, les participants seront capables : • D’appréhender les risques majeurs liés aux travaux en hauteur, • De s’assurer que les prestataires mettent en place les mesures appropriées, • D’anticiper sur les risques de co‐activité avec les autres opérations.
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RC ‐ SE TRA ‐ 02608_C_F ‐ Rév.0 ‐ 30/03/2015
Sommaire I.
Introduction
II. Risques encourus III. Cadre réglementaire IV. Échelles, escabeaux, marchepieds V. Échafaudages : Généralités VI. Échafaudages de pied VII. Échafaudages roulants IX. Équipements de protection individuelle RC ‐ SE TRA ‐ 02608_C_F ‐ Rév.0 ‐ 30/03/2015
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VIII.Plateformes Élévatrices Mobiles de Personnes
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Données statistiques I ‐ Introduction
Chaque année en France, plus de 10 % des accidents du travail avec arrêt sont dus aux chutes de hauteur. Elles peuvent survenir depuis : • Un plan de travail en hauteur : − Toiture, charpente, − Terrasse de bâtiment, …
• Un moyen d’accès en élévation : − − − −
Échelle, escabeau, Escalier, passerelle, Échafaudage, Nacelle, …
• Un équipement de travail : Causes AT
Source INRS 2012
• Le sol : − Chute dans une fouilles, une tranchée, ...
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− Toit de réservoir, − Dôme de camion citerne, …
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Données statistiques I ‐ Introduction
Les chutes de hauteur représentent la 3ème cause d’accidents mortels liés au travail.
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Source INRS 2012
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Sommaire I.
Introduction
II. Risques encourus III. Cadre réglementaire IV. Échelles, escabeaux, marchepieds V. Échafaudages : Généralités VI. Échafaudages de pied VII. Échafaudages roulants © 2015 ‐ IFP Training
VIII.Plateformes Élévatrices Mobiles de Personnes IX. Équipements de protection individuelle
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Risques encourus II ‐ Risques encourus
Les risques liés aux travaux en hauteur sont nombreux : • Chute de personnes, • Chute d’objets, • Renversement, ou l’effondrement d’un échafaudage, • Exposition aux dangers environnants, • Manutention de matériel et de matériaux lourds et encombrants, • Électrisation, • Renversement des engins.
Risque de chute de personne
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Risque de renversement d’un échafaudage
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Catastrophes récentes II ‐ Risques encourus
Deux accidents ont marqué les mémoires :
Chantiers de St Nazaire ‐ 15 novembre 2003 16 personnes décédées 29 personnes blessées
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Catastrophe de Furiani ‐ 5 mai 1992 18 personnes décédées 2 357 personnes blessées
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Sommaire I.
Introduction
II. Risques encourus III. Cadre réglementaire IV. Échelles, escabeaux, marchepieds V. Échafaudages : Généralités VI. Échafaudages de pied VII. Échafaudages roulants IX. Équipements de protection individuelle RC ‐ SE TRA ‐ 02608_C_F ‐ Rév.0 ‐ 30/03/2015
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VIII.Plateformes Élévatrices Mobiles de Personnes
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Application de 5 principes généraux de prévention III ‐ Cadre réglementaire
Eviter le risque
Formation
Principes généraux de prévention
Evaluer les risques
(Extrait article L.4121‐2 C.T.) © 2015 ‐ IFP Training
Priorité aux mesures collectives
Combattre le risque
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Principes généraux de prévention III ‐ Cadre réglementaire En savoir plus Illustration de l’application de cinq des neuf principes généraux de prévention aux travaux en hauteur
Éviter le risque : pré‐assemblage au sol de charpentes, commandes à distance, facilitation de la maintenance par systèmes permettant leur descente ou remontée, …
Évaluer les risques qui ne peuvent être évités : étude poste de travail, fréquence des accès, nature surface d’appui, toitures fragiles,…
Combattre les risques à la source : mettre en place des protections appropriées après évaluation (ex : garde corps), ...
Donner la priorité aux mesures de protection collective : privilégier les installations permanentes, les échafaudages, les PEMP, … En cas d’impossibilité technique, prévoir l’utilisation d’équipements de protection individuelle contre les chutes (systèmes d’arrêt de chute, harnais…).
Donner les instructions appropriées aux travailleurs : habilitation échafaudeurs, formation réception échafaudage, formation au port et utilisation des EPI,…
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Dispositions générales III ‐ Cadre réglementaire Dispositions issues du Code du travail :
• Pas de définition précise de la notion de travail en hauteur, • Analyse de risque préalable d’un poste de travail vis‐à‐vis des risques de chute à mettre en œuvre par l’employeur, • Privilégier les protections collectives au dépend des protections individuelles, • Conception des lieux de travail vis‐à‐vis des chutes de hauteur (passerelles, trappes, puits, toitures, …), • Encadrement des travaux temporaires en hauteur, • Règles particulières pour le secteur du BTP et jeunes travailleurs, • Donner les instructions appropriées aux travailleurs, • Etc...
NON !
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Dispositions générales III ‐ Cadre réglementaire En savoir plus Points de repère code du travail Dispositions générales (principes généraux de prévention) • Voir articles L.4121‐1 à 5 C.T.
Conception lieux de travail : • Passerelles, planchers plateformes en surélévation : voir article R.4224‐5 C.T. • Puits, trappes, ouvertures : voir article R.4224‐5 C.T. • Toitures en matériaux fragiles : voir articles R.4224‐8 C.T., R.4214‐5 C.T. • Matérialisation zones de danger : voir articles R.4224‐4 et 4224‐20 C.T.
Travaux temporaires en hauteur : • Définition plan de travail et accès : voir articles R.4323‐58 C.T., R.4323‐66 C.T • Echafaudages : voir articles R.4323‐69 à R.4323‐80 C.T • Echelles, escabeaux, marchepieds : voir article R.4223‐5 C.T.
Travaux interdits aux jeunes travailleurs : • Interdiction travaux en élévation pour les jeunes < 18ans : voir article D.4153‐36 C.T. • Dérogations pour étudiants et apprentis : voir article D.4153‐48 C.T .
Dispositions spécifiques au BTP : • Matériels particuliers (passerelles et plates‐formes) : voir articles R.4534‐74 à R.4534‐84 C.T. • Travaux sur toiture : voir articles R.4534‐85 à R.453494 C.T.
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Sommaire I.
Introduction
II. Risques encourus III. Cadre réglementaire IV. Échelles, escabeaux, marchepieds V. Échafaudages : Généralités VI. Échafaudages de pied VII. Échafaudages roulants © 2015 ‐ IFP Training
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Cadre d’utilisation IV ‐ Échelles, escabeaux, marchepieds
Règle générale : échelles, escabeaux et marchepieds sont des moyens d’accès et non des postes de travail Dérogation possible si : • Impossibilité technique de recourir à un E.P. Collectif, • Évaluation du risque faible, • Travail non répétitif et de courte durée.
Différents types d’échelles : • • • •
Un travailleur doit porter un harnais lorsqu’il utilise une échelle comme poste de travail en élévation. Il doit être accompagné obligatoirement d’une personne en mesure de lui porter secours.
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échelles fixes, échelles portables, échelles suspendues, échelles composées ou les échelles à coulisse.
Harnais si l’échelle est un poste de travail RC ‐ SE TRA ‐ 02608_C_F ‐ Rév.0 ‐ 30/03/2015
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Cadre d’utilisation IV ‐ Échelles, escabeaux, marchepieds En savoir plus Points de repère code du travail Article R.4323‐63 C.T. : il est interdit d'utiliser les échelles, escabeaux et marchepieds comme poste de travail. Toutefois, ces équipements peuvent être utilisés en cas d'impossibilité technique de recourir à un équipement assurant la protection collective des travailleurs ou lorsque l'évaluation du risque a établi que ce risque est faible et qu'il s'agit de travaux de courte durée ne présentant pas un caractère répétitif.
Les échelles, les escabeaux et les marchepieds doivent être : • d’une solidité et d’une résistance adaptée à l’emploi , • utilisés dans des conditions adaptées du point de vue ergonomique, • assurés d’une bonne stabilité au cours des accès et de l’utilisation , • pourvus de marches ou d’échelons horizontaux .
Échelles fixes : faire une évaluation du risque au regard de la hauteur d’ascension et prévoir des paliers de repos convenablement aménagés. La CNAMTS recommande de privilégier l’utilisation d’échelles inclinées.
Échelles portables : appuyées et reposées sur des supports stables, résistants et de dimensions adéquates, afin de demeurer immobile. Fixées dans la partie supérieure ou inférieure de leurs montants, soit être maintenues en place au moyen de dispositif antidérapant.
Échelles à coulisse : Leurs différents éléments doivent être immobilisés les uns par rapport aux autres. La longueur de recouvrement des échelles à coulisse doit être suffisante pour assurer leur rigidité (longueur recommandée 1 mètre minimum).
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Cadre d’utilisation IV ‐ Échelles, escabeaux, marchepieds
Inclinaison d’une échelle (entre 70 et 75o par rapport à l’horizontale) • L’échelle est placée de telle sorte que la distance de son pied à la paroi verticale soit comprise entre 1/3 et 1/4 de sa longueur • Les échelles d'accès sont d'une longueur telle qu'elles dépassent d'au moins un mètre le niveau d'appui supérieur
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Dépassement et fixation d’une échelle fixe RC ‐ SE TRA ‐ 02608_C_F ‐ Rév.0 ‐ 30/03/2015
Recouvrement mini de 1m pour les échelles à coulisse
Inclinaison normale des échelles 18
Cadre d’utilisation IV ‐ Échelles, escabeaux, marchepieds En savoir plus Points de repère code du travail et normes
En tant qu’équipements de travail, les échelles, escabeaux et marchepieds sont soumis à un certain nombre de prescriptions (articles R. 4323‐81 à R. 4323‐88 du Code du travail). Notamment, leurs matériaux constitutifs et leur assemblage doivent être solides, résistants, et doivent permettre une utilisation adaptée de l’équipement du point de vue ergonomique (article R. 4323‐81). Leur stabilité doit pouvoir être assurée et les échelons ou marches doivent pouvoir être placés horizontalement (article R. 4323‐82).
L’utilisation d’échelles fixes ou d’échelles portables doit se faire en respectant un certain nombre de règles (articles R. 4323‐84 à R. 4323‐88). Toutes doivent permettre une prise et un appui sûrs. Le port de charges, légères et peu encombrantes, doit rester exceptionnel (article R. 4323‐88).
Normes relatives aux échelles • Échelles fixes : NF E 85‐016, NF E 85‐015, NF E 85‐012 • Échelles portables : NF EN 131‐1, NF EN 131‐2, NF EN 131‐3, NF EN 131‐4 • Escabeaux : NF EN 14183
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Une alternative à l’utilisation des échelles et escabeaux IV ‐ Échelles, escabeaux, marchepieds
La plateforme individuelle de rehausse (P.I.R.) est à considérer comme une protection collective (plancher de travail, garde corps complet, appuis stabilisés, …)
(Article L4121‐2 CT)
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La priorité est donnée aux mesures de protection collective
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"Cela n’arrive pas qu’aux autres" IV ‐ Échelles, escabeaux, marchepieds
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Sommaire I.
Introduction
II. Risques encourus III. Cadre réglementaire IV. Échelles, escabeaux, marchepieds V. Échafaudages : Généralités VI. Échafaudages de pied VII. Échafaudages roulants IX. Équipements de protection individuelle RC ‐ SE TRA ‐ 02608_C_F ‐ Rév.0 ‐ 30/03/2015
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Définition d’un échafaudage V ‐ Échafaudages : Généralités
Un échafaudage est un équipement de travail, composé d'éléments montés de manière temporaire en vue de constituer des postes de travail en hauteur et permettant l'accès à ces postes ainsi que l'acheminement des produits et matériaux nécessaires à la réalisation des travaux
L’échafaudage doit :
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• Être adapté aux besoins, • Être conforme, • Ne pas générer d’autres risques (ex : gêne dans les passages, ..)
• Tenir compte des contraintes (ex : accessibilité aux équipements, ..)
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Différents types d’échafaudages V ‐ Échafaudages : Généralités Échafaudage de pied
Plusieurs types d’échafaudage peuvent être utilisés suivant les circonstances de travail : • Échafaudages de pied, • Échafaudage roulant, • Échafaudage volant (ou Plateformes suspendues).
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Échafaudage roulant RC ‐ SE TRA ‐ 02608_C_F ‐ Rév.0 ‐ 30/03/2015
Échafaudage volant 24
Sommaire I.
Introduction
II. Risques encourus III. Cadre réglementaire IV. Échelles, escabeaux, marchepieds V. Échafaudages : Généralités VI. Échafaudages de pied VII. Échafaudages roulants IX. Équipements de protection individuelle
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Éléments constitutifs VI ‐ Échafaudages de pied
Livraison des divers éléments avant montage sur site
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Éléments d’assemblage RC ‐ SE TRA ‐ 02608_C_F ‐ Rév.0 ‐ 30/03/2015
Pied réglable
Constitution d’un échafaudage de pied 26
Éléments constitutifs VI ‐ Échafaudages de pied En savoir plus Points de repère bonnes pratiques et normes
Règles d’usage • Il faut accorder une grande attention aux appuis qui doivent être de résistance suffisante. • L’extrémité des montants reposant sur le sol est soutenue par une embase. Les embases reposent sur une cale qui compense les irrégularités de l’appui. Certains montants doivent être pourvus d’un vérin de réglage. • Les montants (ou poteaux) doivent être parfaitement verticaux. • Il faut utiliser des éléments compatibles de même origine et dans les conditions où ils ont été testés (Ne pas mélanger des éléments provenant de fournisseurs différents).
Principales normes relatives aux échafaudages de pieds • NF EN 12810‐1 Échafaudages de façade en composants préfabriqués. EN 12810‐2 Échafaudages de façade en composants préfabriqués. : Méthodes particulières pour le calcul des structures • NF EN 12811‐1 Échafaudages de pieds : Exigences de performance et de conception. EN 12811‐2 Informations concernant les matériaux. EN 12811‐3 Méthodes d'essais. • NF HD 1000 : Échafaudages de service en éléments préfabriqués. matériaux, dimensions, charges de calcul et exigences de sécurité. © 2015 ‐ IFP Training
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Planchers VI ‐ Échafaudages de pied
Nature de planchers • planchers métalliques • planchers en bois
Préférence aux planchers métalliques • affichage charge utile inaltérable, • assemblage rapide, • dispositifs anti‐soulèvement.
Élément de plancher métallique
Échafaudage avec plancher bois RC ‐ SE TRA ‐ 02608_C_F ‐ Rév.0 ‐ 30/03/2015
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Remarque : pour des raisons de rétention de produits, de risque lié au feu, ainsi que pour leur caractère antidérapant, certains sites de l’industrie du raffinage, de la chimie, et de la pétrochimie interdisent l’utilisation de planchers en bois. Pour des ouvrages de forme complexe, cette recommandation ne peut être toujours tenue à 100 %.
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Planchers VI ‐ Échafaudages de pied En savoir plus Classes de planchers
Classe 1 : pour contrôles et travaux avec outils légers et sans stockage de matériaux sur les planchers.
Classes 2 à 5 : pour situations intermédiaires. En règle générale, les planchers de classe 4 sont prescrits dans les raffineries et les industries pétrochimique ou chimique.
Classe 6 : travaux lourds (Exemple : maçonnerie),et stockage de matériaux sur les planchers.
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Planchers VI ‐ Échafaudages de pied En savoir plus Planchers métalliques
Les plateaux métalliques préfabriqués doivent être bien fixés aux cadres avec un dispositif anti‐soulèvement.
Attention à la bonne mise en place des dispositifs anti‐soulèvement : la vie des utilisateurs de l’échafaudage est en jeu.
Il faut utiliser des éléments compatibles, et de même origine.
Les planchers doivent être horizontaux. Il faut prévoir une largeur minimum de 0,90 m pour La circulation sur plancher.
Les planchers ne doivent pas être encombrés (Cf : utilisation des échafaudages).
Attention : les plateaux métalliques de certains fabricants n’assurent pas un contreventement horizontal, contrairement à ce que dit le §5.3.1 de la recommandation CNAM R 408.
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Planchers VI ‐ Échafaudages de pied En savoir plus Planchers en planches de bois À défaut, l’utilisation ponctuelle de planchers en planches de bois est tolérée.
Les planches jointives doivent avoir un écart inférieur à 2,5 mm entre planches immobilisées.
L’épaisseur des planches doit être de 40 mm minimum, leur largeur de 20 cm minimum.
Les extrémités des planches doivent être gaufrées (ferrage), ou "aboutées ".
Les planches doivent être en bon état et exemptes de nœuds.
Pour les planches se recouvrant partiellement, il faut prévoir un recouvrement de 20 cm minimum, soit 10 cm de part et d’autre du boulin support.
Pour les planches installées bout‐à‐bout, il faut prévoir deux boulins à 20 cm l’un de l’autre et à 10 cm du bord de celles‐ci.
La portée maximum entre 2 boulins ne peut pas dépasser 1,50 m.
Les boulins doivent être fixés à leurs extrémités.
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Accès VI ‐ Échafaudages de pied
Privilégier • • • • •
Escaliers, Tour d’accès avec palier et portillon, Échelles inclinées, Trappes auto rabattable, Garde‐corps supplémentaire côté vide.
Distance maximale entre deux accès : 20m
Escalier d’accès RC ‐ SE TRA ‐ 02608_C_F ‐ Rév.0 ‐ 30/03/2015
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Exemple de montage avec trappe auto rabattable Élément de plancher à trappe auto rabattable
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Garde‐corps VI ‐ Échafaudages de pied
Les garde‐corps sont placés à une hauteur comprise entre 1 m et 1,10 m du plancher de travail et sont composés de 3 éléments (Cf Code du Travail) : • Une plinthe de butée de 10 à 15 cm, • Une main courante, ou lisse, • Une sous lisse à mi‐hauteur.
Les garde‐corps de type MDS (cf ED 6074 de l’INRS), renforcent la sécurisation du personnel en charge du montage
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Garde corps MDS de sécurité définitif
Garde‐corps complets disposés sur les différents planchers de travail
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Processus réglementé de la demande à l’utilisation VI ‐ Échafaudages de pied
Montage
Réception Conformité technique
Note de calcul
Examen d’adéquation
Montage échafaudage
Conforme aux besoins
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Règles utilisation échafaudage
Validation journalière
Seul habilité à le modifier
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Fiche d’expression du besoin
Utilisation
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Processus réglementé de la demande à l’utilisation VI ‐ Échafaudages de pied En savoir plus
Réglementation applicable • Directive européenne 2001/45/CE du 27 juin 2001 • Décret 2004‐924 du 1er septembre 2004 • Nouveaux articles R. 4323‐69 à R. 4323‐80 du Code du Travail • Arrêté du 21 décembre 2004 fixant les conditions de vérification Recommandations et autres sources documentaires • Circulaire DRT 2005/08 du 27 juin 2005 • Recommandation R 408 de la CNAMTS du 10 juin 2004 • Recommandation R 457 du comité technique du BTP • Note technique UIC Normandie juin 2008 • Guides INRS ED 6074, • Note Travail & Sécurité 677
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Montage de l’échafaudage VI ‐ Échafaudages de pied
Expression du besoin • Analyse des besoins de chaque utilisateur (Cf §5.1.1 de la recommandation R408 CNAMTS), • Analyse des contraintes de site (Cf §5.1.1 de la recommandation R408 CNAMTS)
Montage Fiche d’expression du besoin
• Notice descriptive à compléter par les prescripteurs (Exemple en Annexe 8 de la recommandation R408 CNAMTS) Note de calcul
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Montage échafaudage
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Montage de l’échafaudage VI ‐ Échafaudages de pied
Plan et note de calcul d’un échafaudage • Encadrés par l’article R.4323‐70 C.T., et le § 5.4 de la R408 CNAMTS. • Réalisés par une personne compétente (Voir Annexe 2 de la R408 CNAMTS).
• Hauteur < 24 m : basés sur configurations et notes de calcul du fabricant. • Hauteur > 24 m : note spécifique justifiant toutes les dispositions à tenir.
Montage Fiche d’expression du besoin
Note de calcul
Notice du fabricant d’échafaudage • Disponible pour tous sur le chantier Montage échafaudage
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(Voir Annexe 2 de la R408 CNAMTS)
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Montage de l’échafaudage VI ‐ Échafaudages de pied
Montage échafaudage par : • Du personnel formé et habilité (Article R.4323‐69 C.T., et annexe 3 de la R408). • Équipé de ses EPI spécifiques : − Harnais (avec de préférence 2 longes), − Casque avec mentonnière.
Montage Fiche d’expression du besoin
• Travail isolé interdit.
Prendre en compte :
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Montage échafaudage
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• Les conditions météorologiques (orages, vent, ...), • Respect des distances vis‐à‐vis des lignes électriques.
Note de calcul
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Montage de l’échafaudage VI ‐ Échafaudages de pied En savoir plus R 408 Annexe 3
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Réception de l’échafaudage VI ‐ Échafaudages de pied
Les articles R.4323‐24 & R.4323‐25 spécifient les prescriptions communes relatives aux vérifications des équipements de travail : • Réalisées par des personnes qualifiées, • Résultats consignés sur un registre de sécurité.
Conformité technique
Examen d’adéquation
Conforme aux besoins
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L’arrêté du 21 décembre 2004 définit le contenu, les conditions d’exécution, et la périodicité des vérifications lors de la mise en service, ou après toute modification d’un échafaudage.
Réception
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Réception de l’échafaudage VI ‐ Échafaudages de pied En savoir plus Arrêté du 21 décembre 2004 (Extraits)
Art. 2 ‐ Conditions d'exécution des vérifications.
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• I. ‐ Le chef d'établissement dont le personnel utilise un échafaudage est tenu à l'exécution des vérifications pertinentes. A cette fin : − a) Il doit disposer ou mettre à la disposition des personnes qualifiées chargées des vérifications les documents adéquats : plans et instructions pour le montage, le démontage et le stockage, note de calcul de résistance et de stabilité si elle ne figure pas dans une notice du fabricant ou si le montage ne correspond pas à une configuration prise en compte dans la note de calcul du fabricant. − b) Afin de permettre la réalisation de l'examen d'adéquation, il doit mettre par écrit à la disposition de la personne qualifiée chargée de l'examen les informations nécessaires relatives aux travaux qu'il est prévu d'effectuer avec l'échafaudage et notamment les charges à supporter qu'impliquent ces travaux. − c) Afin de permettre la réalisation de l'examen de montage et d'installation, il doit communiquer à la personne qualifiée chargée de l'examen les informations nécessaires, notamment les données relatives au sol, à la nature des supports et des ancrages, aux réactions d'appui au sol et, le cas échéant, à la vitesse maximale du vent à prendre en compte sur le site d'utilisation, à la nature du bâchage éventuel. − d) Il doit veiller à ce que les conditions d'exécution définies au présent arrêté soient réunies préalablement à la réalisation complète des examens. • II. ‐ Lorsqu'un échafaudage est utilisé par plusieurs entreprises, sur un même site et dans la même configuration, il n'est pas nécessaire que chaque chef d'entreprise réalise les vérifications avant mise en service ou remise en service ainsi que les vérifications trimestrielles. • Chaque chef d'entreprise utilisatrice de l'échafaudage doit toutefois s'assurer que toutes les vérifications qui s'imposent pour cet échafaudage ont été réalisées en tenant compte des conditions dans lesquelles il l'utilise effectivement ou que ces conditions ne mettent pas en cause les résultats des vérifications. Dans tout cas contraire il lui appartient de réaliser les vérifications nécessaires. • Il doit toujours être en mesure de présenter les documents faisant état des conditions de réalisation des vérifications ainsi que de leurs résultats.
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Réception de l’échafaudage VI ‐ Échafaudages de pied
Quatre types de vérifications : • Vérification avant mise ou remise en service, • Vérification journalière, • Vérification trimestrielle, • Vérification par un organisme agréé, sur demande de l'inspection du travail.
Selon la vérification, application de trois types d’examen :
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Conformité technique
Examen d’adéquation
Conforme aux besoins
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• Examen d’adéquation, • Examen de montage et d’installation, • Examen de l’état de conservation.
Réception
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Réception de l’échafaudage VI ‐ Échafaudages de pied En savoir plus Arrêté du 21 décembre 2004 (Extraits)
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Art. 3 ‐ Définition des examens susceptibles de faire partie des vérifications. • I. ‐ Examen d'adéquation : − On entend par "Examen d'adéquation d'un échafaudage", l'examen qui consiste à vérifier que l'échafaudage est approprié aux travaux que l'utilisateur prévoit d'effectuer ainsi qu'aux risques auxquels les travailleurs sont exposés et que les opérations prévues sont compatibles avec les conditions d'utilisation de l'échafaudage définies par le fabricant. • II. ‐ Examen de montage et d'installation : − On entend par "Examen de montage et d'installation d'un échafaudage", l'examen qui consiste à s'assurer qu'il est monté et installé de façon sûre, conformément à la notice d'instructions du fabricant ou, lorsque la configuration de montage ne correspond pas à un montage prévu par la notice, en tenant compte de la note de calcul et conformément au plan de montage établi par une personne compétente • III. ‐ Examen de l'état de conservation : − On entend par "Examen de l'état de conservation d'un échafaudage", l'examen qui a pour objet de vérifier le bon état de conservation des éléments constitutifs de cet échafaudage pendant toute la durée de son installation. − L'examen doit notamment porter sur : » La présence et la bonne installation des dispositifs de protection collective et des moyens d'accès ; » L'absence de déformation permanente ou de corrosion des éléments constitutifs de l'échafaudage pouvant compromettre sa solidité ; » La présence de tous les éléments de fixation ou de liaison des constituants de l'échafaudage et l'absence de jeu décelable susceptible d'affecter ces éléments ; » La bonne tenue des éléments d'amarrage (ancrage, vérinage) et l'absence de désordre au niveau des appuis et des surfaces portantes ; » La présence de tous les éléments de calage et de stabilisation ou d'immobilisation ; » La bonne fixation des filets et des bâches sur l'échafaudage, ainsi que la continuité du bâchage sur toute la surface extérieure ; » Le maintien de la continuité, de la planéité, de l'horizontalité et de la bonne tenue de chaque niveau de plancher ; » La visibilité des indications sur l'échafaudage relatives aux charges admissibles ; » L'absence de charges dépassant ces limites admissibles ; » L'absence d'encombrement des planchers.
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Réception de l’échafaudage VI ‐ Échafaudages de pied En savoir plus Arrêté du 21 décembre 2004 (Extraits) Art. 4 ‐ Vérification avant mise ou remise en service. • La vérification avant mise ou remise en service s'impose dans les circonstances suivantes : − a) Lors de la première utilisation ; − b) En cas de changement de site d'utilisation et de tout démontage suivi d'un remontage de l'échafaudage ; − c) En cas de changement de configuration, de remplacement ou de transformation importante intéressant les constituants essentiels de l'échafaudage, notamment à la suite de tout accident ou incident provoqué par la défaillance d'un de ces constituants ou de tout choc ayant affecté la structure ; − d) A la suite de la modification des conditions d'utilisation, des conditions atmosphériques ou d'environnement susceptibles d'affecter la sécurité d'utilisation de l'échafaudage ; − e) A la suite d'une interruption d'utilisation d'au moins un mois. • Elle comporte un examen d'adéquation, un examen de montagne et d'installation ainsi qu'un examen de l'état de conservation.
Art. 5 ‐ Vérification journalière. • Le chef d'établissement doit, quotidiennement, réaliser ou faire réaliser un examen de l'état de conservation en vue de s'assurer que l'échafaudage n'a pas subi de dégradation perceptible pouvant créer des dangers. • Lorsque des mesures s'imposent pour remédier à ces dégradations, elles sont consignées sur le registre prévu à l'article L. 620‐6.
Art. 6 ‐ Vérification trimestrielle. • Aucun échafaudage ne peut demeurer en service s'il n'a pas fait l'objet depuis moins de trois mois d'un examen approfondi de son état de conservation. Cet examen implique des vérifications techniques concernant notamment les éléments énumérés à l'article 3‐III du présent arrêté.
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Réception de l’échafaudage VI ‐ Échafaudages de pied
Exemple de panneau de conformité
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Réception de l’échafaudage VI ‐ Échafaudages de pied
Remarque
Vérification avant utilisation • La CNAMTS recommande d'utiliser un procès verbal de réception écrit et contradictoire (§5.9, annexes 6 et 7 de la R 408)
La réception effectuée uniquement sur la pancarte "réception constructeur" fixée à l'échafaudage ne répond donc pas intégralement à cette recommandation.
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Panneau de conformité signé au pied de l’échafaudage
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Qui réalise la vérification journalière ? VI ‐ Échafaudages de pied
Il revient à l’EU d’organiser cette vérification. Certaines régions ont publiés des "DT" afin d’uniformiser les pratiques sur leurs sites industriels. L’EU peut faire appel à un mandataire pour réaliser cette vérification. Peuvent être missionnés pour assurer la vérification journalière et la formalisation des contrôles : • • • •
soit le constructeur d’échafaudage, soit l’EU ou son mandataire, soit un organisme de contrôle, soit l’entreprise utilisant l’échafaudage. Dans le cas de multi utilisateurs : − soit chaque entreprise fait la vérification journalière, − soit une des entreprises est mandatée par l’EU. © 2015 ‐ IFP Training
Remarque Pour que cette vérification puisse être réalisée avec le maximum de précision, le plan de montage et la note de calcul doivent être à la disposition du vérificateur.
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Utilisation des échafaudages VI ‐ Échafaudages de pied
Une fois l'échafaudage réceptionné, les panneaux "accès interdits" sont retirés et remplacés par les panneaux d'autorisation "accès réglementé" à proximité de chaque accès à l'échafaudage. Les panneaux mentionnent : • les conditions d'utilisation (limites de charges autorisées), • le nom des entreprises autorisées à utiliser l ’échafaudage, • Les signatures des différentes personnes ayant réalisé les vérifications nécessaires.
Formation des échafaudages :
travailleurs
utilisant
Règles utilisation échafaudage
Validation journalière
les
• (Par conséquent, les chefs d'entreprise devraient délivrer une attestation de formation à leurs employés appelés à utiliser un échafaudage comme poste de travail)
Seul habilité à le modifier
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• Les travailleurs accédant à un échafaudage et l'utilisant comme poste de travail doivent être formés (voir annexe 5 de la R 408).
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Utilisation
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Utilisation des échafaudages VI ‐ Échafaudages de pied En savoir plus Annexe 5 de la R 408
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Référentiel de compétences des personnels travaillant sur l ’échafaudage . • Accéder et circuler en sécurité sur l'échafaudage : − Utiliser les tours d'accès, les escaliers, les échelles et trappes pour accéder et changer de niveau et refermer les trappes après utilisation. • Respecter les limites de charges : − En cas de stockage de matériel, respecter les limites de charges des planchers d'échafaudages. • Maintenir l'échafaudage en sécurité : − Prendre les mesure de sécurité compensatoires lorsque les mesures de protection collectives ont été déposées, − Veiller à remettre en place aussitôt que possible les mesures de protection collectives qui ont été déplacées. • Tenir compte de la co‐activité sur les chantiers : − Veiller à ne pas créer de risques pour les travailleurs avoisinant (chutes d'objets, effondrement de charges). • Signaler les situations dangereuses : − Informer le responsable du chantier, − Savoir réagir en cas de danger immédiat.
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Quelques règles de bon usage VI ‐ Échafaudages de pied
Il est interdit de :
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• Déverser du matériel contre les poteaux, • Laisser tomber du matériel sur le plancher, • Courir ou sauter sur le plancher, • Encombrer les planchers, • Laisser tomber du matériel du haut d’un plancher, • Monter sur les garde‐corps ou les plinthes, • Grimper sur les montants de l’échafaudage pour accéder aux planchers, • Travailler à partir des moyens d’accès, • Disposer des planches sur les lisses ou les sous lisses pour rehausser le niveau du poste de travail,
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Quelques règles de bon usage VI ‐ Échafaudages de pied
Il est interdit de :
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• Se pencher à l’extérieur des garde‐corps, • Utiliser l’échafaudage pour des travaux différents de ceux pour lequel il a été conçu, • Accéder à l’échafaudage sans autorisation, • Enlever ou changer de place les panneaux d’interdiction ou d’autorisation d’accès, • Prolonger un échafaudage, ou de réunir deux échafaudages par un plateau, • Enlever les protections collectives sans autorisation, • Modifier un échafaudage sans y être autorisé et habilité,…
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Modification d’un échafaudage VI ‐ Échafaudages de pied
Pour toute modification d'échafaudage, il faut : • Évacuer le personnel utilisant l'échafaudage, • Remplacer le panneau "accès réglementé" par un panneau "accès interdit" apposé de manière très visible, • Bloquer les accès par un balisage en dur, • Exécuter la modification par le personnel habilité de l’entreprise de montage, • Après modification, procéder à une nouvelle réception de l'échafaudage.
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Règles utilisation échafaudage
Validation journalière
Seul habilité à le modifier
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Les échafaudages ne peuvent être modifiés que par des personnes compétentes et habilitées.
Utilisation
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Modification d’un échafaudage VI ‐ Échafaudages de pied En savoir plus Points de repère réglementaires
Les échafaudages ne peuvent être montés, démontés ou sensiblement modifiés que sous la direction d'une personne compétente et par des travailleurs qui ont reçu une formation adéquate et spécifique aux opérations envisagées et comportant notamment : • la compréhension du plan de montage, de démontage ou de transformation de l'échafaudage concerné ; • la sécurité lors du montage, du démontage ou de la transformation de l'échafaudage ; • les mesures de prévention des chutes de personnes ou d'objets ; • les mesures de sécurité en cas de changement des conditions météorologiques ; • les conditions en matière d'efforts de structure admissibles ; • tout autre risque que les opérations de montage, de démontage et de transformation peuvent comporter.
Cette formation doit être renouvelée aussi souvent qu'il est nécessaire (C. T., art. R. 4323‐69).
Une protection appropriée contre le risque de chute de hauteur et le risque de chute d'objets doit être assurée avant l'accès à tout niveau d'un échafaudage lors de son montage, de son démontage, ou de sa transformation (C. T., art. R. 4323‐71). © 2015 ‐ IFP Training
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Sommaire I.
Introduction
II. Risques encourus III. Cadre réglementaire IV. Échelles, escabeaux, marchepieds V. Échafaudages : Généralités VI. Échafaudages de pied VII. Échafaudages roulants IX. Équipements de protection individuelle RC ‐ SE TRA ‐ 02608_C_F ‐ Rév.0 ‐ 30/03/2015
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VIII.Plateformes Élévatrices Mobiles de Personnes
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Constats VII ‐ Échafaudages roulants
Les accidents les plus fréquents avec les échafaudages roulants se produisent :
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• Lors du montage et démontage, • Par défaut de préparation de la zone d’installation et d’évolution, • Lors de déplacements, • En cas de non blocage des roues, • En cas de stabilisation insuffisante de l’échafaudage, • Par mauvaise adéquation du matériel à l’environnement du chantier.
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Recommandations VII ‐ Échafaudages roulants
En pratique, il faut :
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Échafaudage roulant avec béquilles et blocage des roues
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• Caler et fixer les échafaudages roulants pendant leur utilisation de manière à empêcher tout déplacement, • Bloquer les roues pour éviter qu’elles tournent ou pivotent, • Déployer les dispositifs (telles que béquilles métalliques) empêchant leur basculement, • Limiter la hauteur du plancher le plus élevé à 3 fois la largeur de la base développée avec les béquilles, • Avant tout déplacement, faire descendre les travailleurs avec leurs matériels et leurs outils, • Il est interdit de demeurer sur un échafaudage roulant lors de son déplacement.
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Bases réglementaires VII ‐ Échafaudages roulants En savoir plus
Le déplacement ou le basculement inopiné des échafaudages roulants lors du montage, du démontage et de l'utilisation est empêché par des dispositifs appropriés (cf C.T. Art. R. 4323‐75).
Selon les prescriptions du cahier des charges du certificat de qualification OBS (dit Label OBS), la largeur de la base d'un échafaudage roulant ne doit être inférieure ni à un mètre ni à sa hauteur/3,5.
Les échafaudages roulants font l'objet des normes :
NF EN 1004, NF EN 1298 et NF P 93 520.
La recommandation R 457 (publication INRS ISBN 978‐2‐7389‐1973‐1), adoptée par le CTN BTP de la CNAMTS le 10 mai 2011, informe les chefs d'entreprises sur les risques liés au montage, au démontage et à l'utilisation des échafaudages et leur propose des mesures de prévention propres à améliorer le niveau de sécurité. La compétence des opérateurs est prise en compte dans la maîtrise des risques. Une annexe à la recommandation présente un référentiel de compétences (monteur, vérificateur, utilisateur). Il y est évoqué qu’il convient d'interdire : • tout déplacement par un travailleur se trouvant sur le plancher et faisant effort sur une structure fixe • tout déplacement de l'échafaudage avec une personne sur le plancher ; • l'application d'un effort horizontal important dans le sens transversal, au niveau du plancher ou du garde‐ corps. © 2015 ‐ IFP Training
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Bases réglementaires VII ‐ Échafaudages roulants En savoir plus Extraits R457
Les consignes d’utilisation sont établies sous la responsabilité du chef d’entreprise pour chaque chantier. Elles sont établies à partir des notices de fabricants.
Ces consignes permettent de : • s’assurer de la compétence et de l’effectif requis pour le montage et le démontage, • identifier les éléments nécessaires au montage et écarter tous les éléments en mauvais état, repérer et baliser la zone de montage et d’utilisation, • respecter les charges admissibles et leur répartition (un seul plancher chargé), • respecter les configurations permises quant aux hauteurs acceptées (en station ou en déplacement), • prendre en compte les conditions climatiques, • interdire l’utilisation de planches ou bastaings pour constituer des planchers, • appliquer la procédure de montage et de démontage • effectuer les vérifications avant utilisation
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Montage échafaudages roulants VII ‐ Échafaudages roulants
Processus similaire à celui suivi pour les échafaudages de pied.
Montage échafaudage par du personnel formé
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• Les opérateurs chargés de monter, démonter, utiliser ou vérifier des échafaudages doivent avoir un savoir‐ faire et des compétences visant à la maîtrise des risques liés à cet équipement de travail. • Le montage, le démontage et l’utilisation des échafaudages roulants nécessitent une technicité acquise par une formation spécifique. • Une attestation de compétences est délivrée par le chef d’entreprise (Cf annexe 2 de la R457). • Ces compétences peuvent avoir été acquises par une formation en interne ou en externe à l’entreprise. • Le chef d’entreprise s’assure de l’actualisation des compétences des opérateurs.
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Vérification des échafaudages roulants VII ‐ Échafaudages roulants
Processus similaire à celui suivi pour les échafaudages de pied.
Personne compétente chargée de la vérification
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• Le chef d’établissement désigne une personne compétente chargée des vérifications. • Le chef d’établissement s’assure que le personnel qui installe ou qui utilise l’échafaudage roulant est formé (cf. annexe 2 de la R457) pour effectuer les vérifications rappelées (cf. annexe 3 de la R457). • L’échafaudage roulant comporte (par exemple au niveau de la trappe d’accès) une trace écrite des vérifications (initiale et journalières).
Panneau de conformité placé sur l’échafaudage RC ‐ SE TRA ‐ 02608_C_F ‐ Rév.0 ‐ 30/03/2015
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Sommaire I.
Introduction
II. Risques encourus III. Cadre réglementaire IV. Échelles, escabeaux, marchepieds V. Échafaudages : Généralités VI. Échafaudages de pied VII. Échafaudages roulants © 2015 ‐ IFP Training
VIII.Plateformes Élévatrices Mobiles de Personnes IX. Équipements de protection individuelle
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Risques encourus VIII ‐ Plateformes Elévatrices Mobiles de Personnes
Ces matériels peuvent s’avérer dangereux si : • La PEMP n’est pas adaptée aux travaux à exécuter, • Le personnel qui les utilise n’a pas été formé à la manœuvre de l’engin, et ne connait pas, ou ne respecte pas les limites d’utilisation, • Les vérifications ou entretien ne sont pas correctement assurés.
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Utilisation irraisonnée d’une PEMP
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Renversement PEMP lors de sa manipulation
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Risques encourus VIII ‐ Plateformes Elévatrices Mobiles de Personnes
En plus des risques liés aux travaux en hauteur, il faut prendre en compte les risques propres à l’utilisation des PEMP : • Risques liés aux mouvements de la nacelle et du chariot porteur (lorsque l’appareil est commandé depuis la nacelle), • Risques de basculement de l’appareil sur un sol non horizontal, • Risques de coincement de l’opérateur en nacelle, • Risques de chute de l’opérateur, • Risque d’électrisation avec lignes HT. − Distances de sécurité préconisées : » D > 5m si ligne > 50KV » D > 3m si ligne 5m, préconisé par CRAM R232), Chantier de travail HP balisé Penser à un balisage dans les trois dimensions, Équipe au complet En cas de travail au furet ou à la barre, disposer un écran de protection du côté de leur sortie potentielle, et prévoir un fin de course pour limiter leur sortie, • Rester hors de portée des installations électriques.
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Durant l’inspection commune préalable du plan de prévention : • Trouver une solution adaptée au problème de la co‐activité (Ex : horaires décalés) • Informer l’entreprise intervenante des risques liés aux produits contenus dans les équipement à nettoyer.
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Mesures de prévention individuelles II ‐ Nettoyage Haute Pression
L’employeur de l’entreprise de nettoyage doit doter son personnel des EPI adaptés aux travaux à réaliser • Casque avec visière ou cagoule, • Bottes renforcées par une coque résistante à la perforation à semelle antidérapantes, • Dispositif antibruit, • Gants à manchettes, • Tablier en cuir, kevlar, ou cotte de maille, • Combinaison imperméable et résistante à l’agression des produits chimiques contenus dans les appareils à nettoyer Rester hors de portée des installations électriques.
Tous ces équipements doivent bien sûr être maintenus en bon état de propreté et de fonctionnement, et doivent être remplacés si besoin est
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Nettoyage échangeur ayant contenu des produits chimiques agressifs
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Formation du personnel II ‐ Nettoyage Haute Pression
"L’employeur ne doit confier l’utilisation d’un appareil à jet d’eau sous haute pression, qu’à une ou des personnes autorisées. L’autorisation leur est délivrée par écrit par l’employeur après vérification de l’aptitude médicale et professionnelle et après une formation appropriée aux travaux à effectuer". (Recommandation CRAM MR 39 Art 9)
Celle‐ci comprend 2 volets :
Cette formation pratique devra être révisée pour tenir compte de l’évolution des techniques et matériels
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• Un volet théorique (présentation des dangers liés à la Haute Pression, connaissance des matériels, avantages et inconvénients des EPI,…) • Un volet pratique (démonstration du fonctionnement d’un générateur HP, du maniement des accessoires de projection, prise en compte des effets de recul, …)
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Vérification du matériel II ‐ Nettoyage Haute Pression
Le générateur de pression, les flexibles et tuyauteries fixes, ainsi que les accessoires de projection, sont concernés par un suivi rigoureux. Un certain nombre de vérifications sont à effectuer et à noter sur un registre : • À la mise en service initiale • Chaque fois que cela est nécessaire, notamment après un arrêt prolongé, et au moins tous les ans, • Chaque fois que le matériel est modifié dans ses éléments essentiels (éléments dont la défaillance peut entraîner des situations dangereuses pour le personnel). © 2015 ‐ IFP Training
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Sommaire I.
Introduction
II. Nettoyage Haute Pression III. Hydrocurage (Pompage produits) IV. Lavage chimique
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Utilisation III ‐ Hydrocurage (Pompage produits)
Les citernes mobiles de vidange servent à pomper, transporter, vidanger à l’intérieur et à l’extérieur des sites industriels des produits tels que : • • • •
eaux diverses liquides inflammables (sous certaines conditions) produits chimiques produits chauds, boueux, pâteux, pulvérulents, …
Ces combinés sont couramment appelés : tonne de vidange, combiné de nettoyage, camion pompe, hydrocureur
Du fait des risques liés à leur utilisation, on se limite aux opérations telles que : © 2015 ‐ IFP Training
• pompage par écrémage (caniveaux, fosses diverses) • purges de fonds de bacs ou de capacités ouvertes • pollutions accidentelles, fuites de capacité, débouchage d’égouts, …
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Équipement des citernes III ‐ Hydrocurage (Pompage produits)
Citerne Mobile de Vidange (ou Combiné Hydrocureur, ou Tonne à vide) Schéma de principe général
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Equipement des citernes III ‐ Hydrocurage (Pompage produits) En savoir plus
Les citernes de vidange sont constituées d’une cuve à deux compartiments pouvant résister à une mise sous vide, et dont le fond arrière est à ouverture totale de façon à en faciliter le nettoyage.
Cette cuve, montée en fixe sur un châssis de tracteur poids lourd, est équipée : • d’un système de pompage avec pompes volumétriques • d’un groupe de mise sous vide de la citerne • d’un ensemble de tuyauteries permettant l’admission des produits et le rejet à l’atmosphère de l’air et des vapeurs • de dispositifs de sécurité (clapet, mise à la terre, niveau haut, soupapes, …) et d’indication (niveau, pression, …)
L’ensemble doit répondre à la réglementation relative au transfert des matières dangereuses (ADR : Accord européen relatif au transport international des marchandises Dangereuses par Route).
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Risques III ‐ Hydrocurage (Pompage produits)
Les principaux risques encourus lors de l’utilisation de ces matériels sont :
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Emballement et explosion moteur véhicule utilitaire suite à reflux vapeur inflammables à l’hydrocureur
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• Désorption des gaz dissous dans le liquide pompé et rejet à l’atmosphère par l’évent (plus ou moins important suivant le mode de pompage). Création d’une zone de danger à l’évent (Toxicité, inflammabilité), • Agressivité des produits pompés pour l’être humain, • Points chauds générés par le moteur d’entrainement, • Mise sous‐vide de la capacité lors du pompage, • Incompatibilité et réaction chimique entre deux produits pompés, • Destruction de la citerne de l’hydrocureur si matériaux non compatible avec le produit pompé, • Risques routiers.
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Deux principaux modes de pompage III ‐ Hydrocurage (Pompage produits)
Pompage par transfert : • Le pompage s’effectue par une pompe alternative "volante" (ex : pneumatique) ou par la pompe volumétrique de la citerne. Le produit est refoulé dans la citerne, évent ouvert et soupape en service. Vidange d’un bac de stockage par pompe volumétrique de la citerne
Pompage sous vide :
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• Peut être pur (immersion permanente du flexible) ou aéraulique (entrée d’air) • Le vide est créé dans la citerne par un compresseur à anneau liquide • Le produit à éliminer est aspiré par succion, (vidange de puisards, Aspiration par mise sous‐vide caniveaux, et des écrémages de la citerne de surface sans crainte de désamorçage)
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Évolution des risques en fonction du mode de pompage III ‐ Hydrocurage (Pompage produits)
(Extraits étude R‐19 CRAM Sud Est)
Le mode de pompage retenu, va influencer la taille de la zone de rejet (débit de rejet à l’évent plus important pour un pompage sous‐vide), ainsi que la composition des produits rejetés (vaporisation des fractions légères, ou désorption de produits solubilisés dans le liquide pompé)
Le pompage sous vide va donc augmenter : • Les zones à risque de toxicité au voisinage de l’évent, • Les zones à risque d’inflammation. 750 m3
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Pompage en transport pneumatique (1500 m3/h à 50 % de vide) Pompage sous‐vide
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15 m3
RIVARD
Pompe de transfert 28
Evolution des risques en fonction du mode de pompage III ‐ Hydrocurage (Pompage produits)
Illustration : Résultat étude R‐19 CRAM Sud Est
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Recommandations pour tous types de pompage III ‐ Hydrocurage (Pompage produits)
Quel que soit le principe de pompage retenu, les précautions générales d'usage sont les suivantes :
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• Connaitre la nature du produit à pomper • Obtention des permis adéquats (permis de travail, permis de pompage, permis de feu si besoin) • Balisage du chantier, et du rejet de l’évent (+ mise en place balise de mesure suivant produit) • Personnel intervenant formé et habilité, EPI adaptés au produit pompé (Mise à disposition de protection respiratoire suivant produit) • Prise de terre équipotentielle connectée • Vérification propreté citerne avant chargement (bon de lavage) • Lavage, neutralisation des gaz émis • Vérifier que les évents de la capacité à pomper sont ouverts • Utilisation d’un combiné ADR/ATEX en zone ATEX : Attention, l’utilisation d’un tel équipement n’enlève en rien
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Recommandations particulières suivant mode de pompage III ‐ Hydrocurage (Pompage produits) Logigramme analyse de risque (Extraits étude R‐19 CRAM Sud Est)
Pompage par transfert : • Recommandé pour le pompage de produits toxiques, ou ceux dont le point éclair est < à 600
Pompage sous‐vide :
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• Utilisable sans précaution supplémentaires pour le pompage de liquide dont le point éclair est > 600 • Si produit toxique, analyse de risques et travail sur le captage des rejets • Si point éclair < 600 pratiquer analyse de risque, prendre mesures compensatoires, voire interdire ce mode de pompage (Appui sur logigramme R19)
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Sommaire I.
Introduction
II. Nettoyage Haute Pression III. Hydrocurage (Pompage produits) IV. Lavage chimique
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Lavage chimique IV ‐ Lavage chimique Définition
• Élimination de dépôts existants à l’intérieur d’un équipement ou d’une tuyauterie par circulation d’un produit chimique ou solvant approprié
Risques
Dégagement gazeux lors de l’attaque chimique par le produit de nettoyage
• Inflammabilité, réactions chimiques, mélanges incompatibles, toxicité propres aux produits de nettoyage, ou des gaz de réaction, • Mise sous vide de l’équipement à traiter, • Risques environnementaux.
Recommandations
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• Transport des eaux de lavage soumis à l’ADR, • Prise en compte de la FDS du produit de lavage, • Permis de feu si travail en zone ATEX, • Flexibles, raccords, en parfait état Skid de nettoyage
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Points‐clés à retenir
Nettoyage HP • • • • • •
Analyse préalable de l’opération Privilégier les aires de lavage dédiées Co‐Activité à gérer sur unité (impact sur autres corps de métier) Sur unité : Équipe de 3 personnes (formées et habilitées) Matériel conforme, homologué, et vérifié Travaux en capacité : Alternative tête rotative possible ?
Pompage produit Connaitre les caractéristiques du produit à pomper Suivant toxicité et point éclair statuer sur le mode de pompage Vérifier compatibilité produit et matériau citerne Vérifier propreté citerne avant opération Citerne ADR/ATEX
RC ‐ SE TRA ‐ 01598_C_F ‐ Rév. 4 ‐ 30/03/2015
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• • • • •
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Travaux de sablage et peinture
RP ‐ SE TRA 2571_C_F ‐ Rév.0 ‐ 23/03/2015
Sommaire I.
Introduction
II. Préparation des surfaces III. Constitution d’une peinture IV. Application des peintures
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Objectifs
A l’issue de la présentation de ce document et des activités pédagogiques associées, les participants seront capables : • D’appréhender les risques majeurs liés aux travaux de sablage et peinture • De s’assurer que les prestataires mettent en place les mesures appropriées • D’anticiper sur les risques de co‐activité avec les autres opérations
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Sommaire I.
Introduction
II. Préparation des surfaces III. Constitution d’une peinture IV. Application des peintures
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Les peintures I ‐ Introduction
Objectifs des peintures : • Protéger à l’aide d’un film la surface des structures, équipements, appareils, tuyauterie, robinetterie et accessoires contre : − la corrosion − les agressions chimiques − L’environnement (atmosphère saline, pluie, soleil, rayons UV, vent, etc.)
• Identifier la nature des circuits ou réseaux (couleur)
Types de supports • Surfaces métalliques − Métaux ferreux − Métaux non‐ferreux
• Autres © 2015 ‐ IFP Training
− Béton, bois, plastiques
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Les peintures I ‐ Introduction
La qualité du résultat obtenu, ainsi que la résistance aux agressions externes du système de peinture appliqué va dépendre de : • La préparation des surfaces • Une rugosité suffisante pour l’accrochage de la peinture • Un respect de normes et standards dans la mise en œuvre du système d’application de la peinture
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Non respect des standards d’application de peinture = problèmes de maintenance et d’exploitation futurs RP ‐ SE TRA 2571_C_F ‐ Rév.0 ‐ 23/03/2015
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Sommaire I.
Introduction
II. Préparation des surfaces III. Constitution d’une peinture IV. Application des peintures
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Élimination des contaminants II ‐ Préparation des surfaces
Nature : • Graisse, huile, sels, poussières grasses, etc… • Laine de calorifuge, …
Élimination des solubles : • Nettoyage au jet d’eau HP (300 à 700 bar)
Dégraissage des corps gras insolubles dans l’eau • Agents alcalins • Solvants • Jet de vapeur
Risques liés à ces opérations : •
Cf : Risques liés au nettoyage industriel (01598_C_F)
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Traitement des fonds anciens II ‐ Préparation des surfaces
Dépolissage des fonds anciens • Utilisé en maintenance courante pour assurer l’accrochage des couches supplémentaires • Techniques utilisées − Ponçage manuel ou mécanique − Meulage − Décapage par projection d’abrasifs
Élimination de la rouille et des fonds anciens adhérents • Techniques utilisée Brossage, grattage manuel Meulage Projection d’abrasifs (Sablage) Nettoyage au jet d’eau HP
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− − − −
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Matériel de sablage II ‐ Préparation des surfaces
Types de matériels utilisés pour le traitement de surface : • Sableuse, • Grenailleuse ou microbilleuse.
Une sableuse est constituée :
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• D’un réservoir de stockage d’abrasif (de 20 à 300 litres), • D'une soupape de décharge, • D'une vanne d’admission d’air pour mise en pression, • D'une vanne de dosage d’abrasif, • D’un flexible de transfert, • D’une buse de projection, • D'un ensemble de pieds de Unité de Buse de sablage maintien. sablage d’après documentation "Streeltechniek" RP ‐ SE TRA 2571_C_F ‐ Rév.0 ‐ 23/03/2015
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Les abrasifs II ‐ Préparation des surfaces
Suite au décret du 14 janvier 1987, interdisant l’utilisation du sable comme abrasif, de nouveaux abrasifs sont apparus sur le marché, ayant des qualités d’abrasion bien supérieures au sable. (Le décret stipule : "l’abrasif ne doit pas contenir plus de 5 % en poids de silice libre").
Dans la catégorie d’abrasifs non siliceux on trouve des produits d’origine et de fabrication diverses :
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• Les laitiers de haut fourneau concassés : ce sont des résidus de matériaux (Cu, Cr, …), tributaires de la matière première et générant beaucoup de poussières • Les scories : résidus de matériaux. Les plus utilisés sont les résidus de cuivre dont les grains angulaires ont un aspect noir vitrifié • Les abrasifs de synthèse : ce ne sont pas des Exemple d’abrasifs résidus d’une fabrication mais l’aboutissement d’un procédé spécifique. Bonne stabilité, pas de traces noirâtres, poussière claire et sèche, aspect rugueux et brillant.
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Risques liés au "sablage" II ‐ Préparation des surfaces
Le sablage est l’une des opérations qui comporte le plus de risques en ce qui concerne la silicose (Tout sablage, même si l’abrasif lui‐ même ne contient pas de silice, peut entraîner un risque de silicose lorsqu’il est effectué sur des matériaux qui en contiennent).
Les risques principaux sont :
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Opération de sablage
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• Production de poussières fines, à même d’obstruer des interstices au niveau des équipements et de perturber leur fonctionnement, • Génération d’étincelles lors de l’arrachage des particules d’oxydes ou de métal, • Travail en espace confiné délicat (mauvaise visibilité dans la zone de travail), • Co‐activité sur chantier complexe à gérer.
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Prévention lors des opérations de "sablage" II ‐ Préparation des surfaces
Protection collective : • Privilégier les opérations de sablage en cabine (quand les équipements concernés le permettent), • Sur installation, protection par bâches et balisage de la zone, • Permis de feu si travaux en zone ATEX, • Nettoyage systématique du chantier en fin de journée. • Alternative à la problématique poussière : Sablage à l’eau UHP
Protection individuelle : le décret du 6 juin 1969 prescrit les mesures applicables lors de ces travaux :
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• Vêtements de travail étanches, serrés au cou, aux poignets et aux oreilles, • Port de gants, chaussures de sécurité, cagoule alimentée en air frais extérieur (à raison de 165 l/mn minimum), • Si travaux en cabine, accès interdit à toute personne non munie d'une cagoule et ne peut être autorisé que lorsque l'atmosphère est assainie.
Équipements de protection pour une opération de sablage 13
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Sommaire I.
Introduction
II. Préparation des surfaces III. Constitution d’une peinture IV. Application des peintures
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Choix d’une peinture III ‐ Constitution d’une peinture
Le choix du type de peinture est un facteur déterminant pour la sécurité des personnes. Deux grandes familles se distinguent :
Peinture glycérophtalique appelée plus communément "Peinture à l’huile"
Peinture acrylique appelée plus communément "Peinture à l’eau"
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Laquelle présente le plus de risques ? RP ‐ SE TRA 2571_C_F ‐ Rév.0 ‐ 23/03/2015
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Peinture glycérophtalique III ‐ Constitution d’une peinture
Principe : une résine synthétique ("huile") sert de liant entre les pigments. Elle est composée de : • Liants, résines, • Solvants, • Pigments, additifs, etc ...
Avantages : • Bonne tenue dans le temps, • Ne craint pas l’humidité, • Lessivable.
Risques apportés par les constituants :
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• Incendie (constituants inflammables), • Risques toxicologiques, liés à la présence d’une forte quantité de solvants organiques, responsables de neurotoxicité centrale périphérique, dermatose, et toxicité hépatorénale.
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Peinture acrylique III ‐ Constitution d’une peinture
Principe : "l’huile" utilisée comme liant est remplacée par de la résine acrylique, diluable dans l’eau. Elle est composée de : • • • •
Solvants organiques solubles dans l’eau, Dérivés d’éther de glycol (CMR R1b) Pigments, additifs, etc ... Elle sera non lessivable.
Avantages : • Peu d’odeur à l’application, • Temps de séchage rapide, ….
Risques apportés par les constituants : © 2015 ‐ IFP Training
• Incendie (constituants inflammables), • Risques d’irritation, • Sensibilisation cutanéo‐muqueuse.
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Méfions nous des apparences ! ! III ‐ Constitution d’une peinture
Peinture glycérophtalique appelée plus communément "Peinture à l’huile"
Peinture acrylique appelée plus communément "Peinture à l’eau"
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Match nul ! ! ! RP ‐ SE TRA 2571_C_F ‐ Rév.0 ‐ 23/03/2015
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Sommaire I.
Introduction
II. Préparation des surfaces III. Constitution d’une peinture IV. Application des peintures
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Application manuelle IV ‐ Application des peintures
Accessoires • Brosse, pinceau, guipon • Rouleau (bonne alternative pour bac de stockage)
Avantages
Guipon
• Efficace dans les coins et sur les bords • Pas d’aérosol de solvant
Inconvénients
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• Couches d’épaisseur irrégulière • Aspect hétérogène laissant des traces
Brosse
Rouleau RP ‐ SE TRA 2571_C_F ‐ Rév.0 ‐ 23/03/2015
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Application par pulvérisation IV ‐ Application des peintures
Matériel • Pistolet à pression d’air • Pistolet Airless© (sans air et sans solvant)
Avantages • Couches déposées d’épaisseur régulière • Aspect homogène
Inconvénients Peu efficace dans les coins et sur les bords Pas adapté pour les peintures à haute viscosité Protection du peintre (EPI spécifiques) Protection de l’environnement (Bâches) Pistolet à air :
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• • • • •
Pistolet à pression d’air
− Aérosol de solvant important
• Pistolet Airless© : − Pressions élevées (>200b)
Pistolet airless
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Protection collective IV ‐ Application des peintures
Difficultés à identifier la composition et les risques d’une peinture de part le simple étiquetage : • Type de résine, • Solvants présents, • Nature de certains pigments minéraux
Demander la FDS
Profiter du plan de prévention pour : Echanger avec l’entreprise sur les FDS des produits, Définir les zones de stockage (risque incendie), Anticiper les évolutions météorologiques (vent), Définir balisage, Veiller aux port des EPI, Règles de propreté des installations, • Espace confiné ?, … Difficultés pour connaitre les risques associés à ces peintures
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• • • • • •
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Protection individuelle IV ‐ Application des peintures
Les moyens de protection individuelle doivent être utilisés : • Port de vêtements couvrants, chaussures, masque, • Lunettes et gants adaptés, • Eventuellement appareil respiratoire, notamment si le produit est pulvérisé, afin d’éviter tout contact direct avec la peinture.
Respect des règles élémentaires d’hygiène : proscrire les habitudes telles que : • Boire, • Manger, • Voire fumer (!),
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... sur le lieu où sont préparées, appliquées, la peinture, et nettoyés les différents accessoires.
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Points‐clés à retenir
Composants d’une peinture = Produits • Inflammables • Nocifs, voire toxiques • Toxiques pour l’environnement
Risques "Peinture à l’huile" ≈ Risques "Peinture à l’eau"
Choix du mode d’application • Fort Impact sur la co‐activité (Aérosol de solvant ou non)
Privilégier la peinture des pièces en cabine (préfabrication)
Lors du plan de prévention
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• Demander les FDS • Définir les zones de stockage • Analyse de risque approfondie si travail en espace confiné
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Risques liés à l’utilisation de rayonnements en milieu industriel
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Sommaire I.
Introduction
II. Rayonnements non ionisants III. Rayonnements ionisants IV. Prévention contre les rayonnements ionisants
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RP ‐ SE TRA ‐ 02777_C_F ‐ Rév.1 ‐ 16/04/2015
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Objectifs
A l’issue de la présentation de ce document et des activités pédagogiques associées, les participants seront capables : • D’appréhender les risques majeurs liés aux différents rayonnements utilisés en milieu industriel, • De s’assurer que les prestataires mettent en place les mesures appropriées, • D’anticiper sur les risques de co‐activité avec les autres opérations.
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RP ‐ SE TRA ‐ 02777_C_F ‐ Rév.1 ‐ 16/04/2015
Sommaire I.
Introduction
II. Rayonnements non ionisants III. Rayonnements ionisants IV. Prévention contre les rayonnements ionisants
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RP ‐ SE TRA ‐ 02777_C_F ‐ Rév.1 ‐ 16/04/2015
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Différents types de rayonnements I ‐ Introduction
L’être humain peut être exposé à deux types de rayonnement : • Rayonnements non ionisants (énergie est trop faible pour ioniser la matière) • Rayonnements ionisants (Capable d’ioniser la matière, soit enlever un ou plusieurs électrons à ses atomes) 1
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RP ‐ SE TRA ‐ 02777_C_F ‐ Rév.1 ‐ 16/04/2015
Sommaire I.
Introduction
II. Rayonnements non ionisants III. Rayonnements ionisants IV. Prévention contre les rayonnements ionisants
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Ondes électromagnétiques II ‐ Rayonnements non ionisants
Application industrielle • Rayonnements de basses et très basses fréquences (0 → 10 Kz) Lignes de transport électrique, alternateur, transformateur, moteurs électriques, soudures, four à induction…
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Transformateur 7
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Ondes électromagnétiques II ‐ Rayonnements non ionisants • Radiofréquence (10 Kz → 300 MHz) Soudure, stérilisation, écrans d'ordinateur, fusion par induction, RMN, radio FM… • Hyper‐fréquences (300 MHz →1012 Hz) Fours à micro‐onde industriel, mesure de niveau par radar, communication par satellite, téléphonie portable, WI FI…
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Mesure de niveau par radar RP ‐ SE TRA ‐ 02777_C_F ‐ Rév.1 ‐ 16/04/2015
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Ondes électromagnétiques II ‐ Rayonnements non ionisants
Effets sur la santé À l'heure actuelle, il n'y a aucune certitude sur un lien éventuel entre ondes électromagnétiques et risque de cancer ou leucémie ou modification du système immunitaire
Cas du téléphone portable
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• Recommandation d’éloigner le combiné de la tête lors des phases de connexion • Attention ! Il est formellement interdit d’utiliser les téléphones portables de conception standard dans les zones ATEX, car ils peuvent générer des étincelles électriques. Certains mobiles peuvent être "ATEX", mais leur utilisation ou non, reste soumise aux règles du site (Risque complémentaire : perturbation des Téléphone portable compatible avec systèmes de conduite) une Zone ATEX de type 1
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Rayonnements optiques II ‐ Rayonnements non ionisants
Applications industrielles • La présence des rayonnements optiques infrarouges, visibles et ultraviolets (1012 Hz → 1016 Hz) est très courante dans l'industrie • Utilisation industrielle :
Détection gaz par barrière infrarouge
− Éclairage − Détecteur de gaz combustible (IR, UV) − Détecteur de flamme (four, chaudière) − …
• Émission lors de travaux : − Soudage à l'arc (UV) © 2015 ‐ IFP Training
− Soudage au gaz (UV, IR) − … Émission de rayonnements UV lors du soudage à l’arc RP ‐ SE TRA ‐ 02777_C_F ‐ Rév.1 ‐ 16/04/2015
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Rayonnements optiques II ‐ Rayonnements non ionisants
Effets sur la santé • Une exposition professionnelle continue à forte dose peut avoir des conséquences pathologiques aiguës et chroniques liées à l'absorption des rayonnements dans la peau et l'œil ou à des effets induits • Effets aigus
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− brûlures thermiques de la peau : érythème (coup de soleil 2ème degré) − lésions oculaires : conjonctivite (sensation de grains de sable dans les yeux, larmoiement, œil rouge), inflammation de la cornée (Photokératite) − formation d'oxydes d'azote, d'ozone, de gaz irritants par réactions photochimiques dues aux UV Pénétrations des rayonnements dans l’œil
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RP ‐ SE TRA ‐ 02777_C_F ‐ Rév.1 ‐ 16/04/2015
Rayonnements optiques II ‐ Rayonnements non ionisants
• Effets chroniques − Vieillissement prématuré de la peau − Cataracte (opacité du cristallin) suite à une exposition aux UV − Altération de l'ADN, modifications des protéines,… par les UV pouvant entraîner des cancers à long terme
Altération possible de l’ADN © 2015 ‐ IFP Training
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Rayonnements optiques II ‐ Rayonnements non ionisants
Prévention – Protection • Collectives : par signal visuel ou sonore indiquant la source active dans une pièce et/ou extinction automatique de cette source en cas de pénétration humain • Individuelles : par le port de lunettes, d'écrans, de masques ou de vêtements adaptés
Masque de soudage optoélectronique (protection contre les UV)
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Écran facial (protection contre les IR)
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RP ‐ SE TRA ‐ 02777_C_F ‐ Rév.1 ‐ 16/04/2015
Rayonnements "LASER" II ‐ Rayonnements non ionisants
"LASER" : • Light Amplification by Stimulated Emission of Radiation
Applications industrielles • Détection de présence • Télémétrie (construction d'ouvrage de grande hauteur : cheminée, pose de pipe‐line)
Découpage de tôle au laser
Utilisation lors de travaux Découpage de tôles Soudure par points Alignement de machines tournantes Nettoyage (bâtiments) ...
RP ‐ SE TRA ‐ 02777_C_F ‐ Rév.1 ‐ 16/04/2015
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• • • • •
Alignement d’une pompe au LASER
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Rayonnements "LASER" II ‐ Rayonnements non ionisants
Effets sur la santé • L'énergie dissipée est faible (0,5 mW à qq W) • Mais l'énergie concentrée sur un minuscule point d'impact, se transforme en chaleur avec pour conséquences : − brûlures de la peau (érythèmes, 2ème degré) − lésions oculaires : dans les milieux transparents de l'œil (inflammation de la cornée, cataracte), sur la rétine (perte de la fonction visuelle au point d'impact, diminution du champ visuel)
• Les risques encourus dépendent :
2 Risques majeurs : ‐ Inflammation œil ‐ Rater le Pénalty !
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− de la puissance émise et de la gamme de fréquence − du type de construction de l'appareil − de la distance séparant l'émetteur de l'individu − du temps d'exposition
Énergie suffisante pour enflammer une allumette RP ‐ SE TRA ‐ 02777_C_F ‐ Rév.1 ‐ 16/04/2015
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Rayonnements "LASER" II ‐ Rayonnements non ionisants En savoir plus
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RP ‐ SE TRA ‐ 02777_C_F ‐ Rév.1 ‐ 16/04/2015
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Rayonnements "LASER" II ‐ Rayonnements non ionisants
Prévention – Protection • La norme NF EN 60825‐1 (*), et l’ANSI ont classé les Lasers en cinq grandes catégories (*+ subdivisions lors de la dernière évolution 01/09/2010 voir annexe), selon le niveau de risque encourus et de protections à prendre. • Les appareils dont le rayonnement est accessible doivent être marqués : − − − −
signal d'avertissement classe de laser plaques signalétiques et d'identification du laser © 2015 ‐ IFP Training
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Exemple de plaque d’avertissement Laser cat 3B ou 4
Identification des appareils laser 17
Sommaire I.
Introduction
II. Rayonnements non ionisants III. Rayonnements ionisants IV. Prévention contre les rayonnements ionisants
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RP ‐ SE TRA ‐ 02777_C_F ‐ Rév.1 ‐ 16/04/2015
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Généralités III ‐ Rayonnements ionisants
Famille de rayonnements à très haute fréquence
Ioniser la matière = capacité à enlever un ou plusieurs atomes
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Origine électromagnétique : Rayons X, Ȣ (Gamma) Origine particulaire : Rayons α, β
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RP ‐ SE TRA ‐ 02777_C_F ‐ Rév.1 ‐ 16/04/2015
Généralités III ‐ Rayonnements ionisants
Les radioéléments émettent plusieurs types de rayonnements ionisants à la fois (α, β, γ, X, neutronique). L’activité d’une source radioactive (émission de rayonnements) diminue avec le temps (de quelques jours à plusieurs millions d’années). La période radioactive T est la durée pour laquelle l’activité du radioélément est réduite de moitié. Radioélément
Uranium 238
Césium 137
Cobalt 60
Iridium 192
Radon
Période T
4,5 Milliards ans
30 ans
5,3 ans
74 Jours
4 Jours
Exemples de périodes T de certains radioéléments
L’activité s’exprime en Becquerel • 1Bq = 1 désintégration/s
• 1 Curie = 3,7 x 1010Bq
L’activité d’une source dépend de sa nature et de sa masse
RP ‐ SE TRA ‐ 02777_C_F ‐ Rév.1 ‐ 16/04/2015
Activité (Bq/g de matière)
Iridium 192
3,7 x 1010
Césium 137
3,7 x 1012
Exemple activité de certains radioéléments
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Une ancienne unité est encore utilisée dans le milieu industriel : Le Curie
Source
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Origine des expositions III ‐ Rayonnements ionisants
Industrie nucléaire dans son ensemble
Industrie non nucléaire : en fonction de l’application, la source est fixe ou mobile Type de source
Sources Fixes (Risques généralement faibles)
Sources Mobiles
Activité
(Bq)
‐ ‐ ‐ ‐
Détecteur de niveau dans capacité Analyseur en continu (densimètre, …) Détecteurs de fumée Appareil de laboratoire (Fluorescence X, ..)
Cobalt, Césium Curium Américium Générateur rayons X
109 109 104 ‐
‐ ‐ ‐ ‐
Mesure d’épaisseur (recherche corrosion) Contrôle qualité soudure Radiographie circuit en service Vérification trafic liquide dans colonne, ..
Césium Cobalt Iridium Générateur rayons X
3x1012 5x1013 3x1014 ‐
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(Risques généralement élevés)
Applications
Radio éléments ou générateurs utilisés
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RP ‐ SE TRA ‐ 02777_C_F ‐ Rév.1 ‐ 16/04/2015
Exemple d’application de sources fixes III ‐ Rayonnements ionisants
Mesure de niveau : • Sans contact avec le produit • Absorption différente des rayons en fonction de l’état du produit : − Solide − Liquide − Gazeux
• Le conteneur porte‐source possède un système de verrouillage de la source en cas de besoin (maintenance, …) Principe de mesure d’un niveau par source radioactive
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Système de verrouillage de conteneur porte‐source RP ‐ SE TRA ‐ 02777_C_F ‐ Rév.1 ‐ 16/04/2015
Conteneur porte‐source
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Exemple d’application de sources mobiles III ‐ Rayonnements ionisants
Contrôles non destructifs : • Recherche d’éventuels défauts à l’intérieur des matériaux, sans compromettre l’intégrité des pièces vérifiées
Radiologie industrielle : • La radiographie est une méthode de contrôle non destructif qui consiste à obtenir une image de la densité de matière d’un objet traversé par un rayonnement électromagnétique. L’image est obtenue grâce à un détecteur qui est soit : − Un film argentique − Un écran "photostimulable" − Un ensemble de détecteurs numériques
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Manque de pénétration dans une soudure de rabotage RP ‐ SE TRA ‐ 02777_C_F ‐ Rév.1 ‐ 16/04/2015
Principe de pénétration industrielle
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Principe du tir Gammamétrique (Ex : Radiographie de soudure) III ‐ Rayonnements ionisants
Principe de l’appareillage de gammagraphie
Mise en place de l’appareillage de gammagraphie
• La source est disposée à l'intérieur de l'appareil de radiologie • Celui‐ci, muni d'un dispositif de télécommande (avec verrouillage et signalisation), permet la sortie du porte‐ source vers le collimateur pour le tir gammamétrique puis son retour en position de stockage
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Appareil de radiologie gamma RP ‐ SE TRA ‐ 02777_C_F ‐ Rév.1 ‐ 16/04/2015
Manœuvre de la télécommande
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Effets sur l’être humain III ‐ Rayonnements ionisants
Deux types d’exposition distincts
Contamination (Industrie nucléaire)
Irradiation (Travaux)
• Rayons α, β • Contact avec la matière • Ex : effets des retombées de poussières radioactives issues de l’explosion du réacteur de Tchernobyl sur la France en 1986
• Rayons X, Ȣ (Gamma) • Pas de contact avec la matière • Ex : effet des radiations sur les pompiers volontaires Russes pour limiter l’incendie du réacteur de Tchernobyl en 1986
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RP ‐ SE TRA ‐ 02777_C_F ‐ Rév.1 ‐ 16/04/2015
Effets sur l’être humain III ‐ Rayonnements ionisants
Les effets sur l’organisme sont directement liés : • Aux doses reçues (exprimée en Sievert Sv) • Aux débits de doses (Sv/h) reçus − une dose donnée est considérablement plus dangereuse si elle est reçue en quelques minutes que sur plusieurs mois
• Aux organes cibles (moelle osseuse, tube digestif) • A la nature des rayonnements
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RP ‐ SE TRA ‐ 02777_C_F ‐ Rév.1 ‐ 16/04/2015
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Effets sur l’être humain III ‐ Rayonnements ionisants
Effets à court terme • Liés aux lésions cellulaires et pour lesquels le seuil d’apparition est défini
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Brûlure radiologique sur le bras d’une victime
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RP ‐ SE TRA ‐ 02777_C_F ‐ Rév.1 ‐ 16/04/2015
Effets sur l’être humain III ‐ Rayonnements ionisants
Effets à long terme • Altération de l’ADN, • Liés au pouvoir de pénétration du rayon dans l’organisme (α, β 1 000 V • basse tension : 50 < U < 1 000 V • très basse tension de sécurité (TBTS) : − U < 50 V (milieu sec) − U < 25 V (milieu humide) − U < 12 V (milieu mouillé) © 2015 ‐ IFP Training
RP ‐ SE TRA ‐ 02509_C_F ‐ Rév.0 ‐ 09/04/2015
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Contacts directs / indirects III ‐ Effets du courant sur le corps humain
La résistance du corps humain est très variable et dépend de : • la résistance superficielle Rs, fonction de : − de la résistance de la peau (à l’entrée et à la sortie du courant) variable en fonction de son état (épaisseur, humidité, ...). Elle varie de 500 ohms à 4500 ohms − de l’environnement (air humide, sol mouillé...) − de la surface de contact (bout de doigt, paume de la main, plante de pieds...) − de la nature des EPIs portés (gants, chaussures, combinaison, …)
• la résistance interne Ri, résistance des tissus et liquides internes en fonction du trajet du courant dans l’organisme © 2015 ‐ IFP Training
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Contacts directs / indirects III ‐ Effets du courant sur le corps humain • Avec : U = R x I − U : tension (en volts V) = énergie des charges électriques circulant dans un conducteur − I : intensité (en Ampère A) = quantité d’électricité circulant chaque seconde dans un conducteur (corps humain) − R : résistance (en ohms Ω) s’opposant au passage du courant selon la nature du conducteur
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Contacts directs / indirects III ‐ Effets du courant sur le corps humain Intensité du courant (mA)
La gravité des dommages corporels provoqués par le courant électrique dépend de :
30mA
Seuil mortel (1 seconde) Fibrillation cardiaque Syncope
Seuil mortel (1 minute) Tétanisation des muscles Risque d’asphyxie Non lâcher, répulsion Risque de chute
10mA
1mA
Seuil dangereux Secousse électrique
Seuil de perception
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• la valeur de l’intensité à travers le corps • du trajet du courant (contact main‐ main, main‐pied, corps‐pied, avec chemin de moindre résistance via le cœur, les poumons, les reins) • la durée du passage du courant • du type de courant : à tension équivalente, le courant alternatif est plus dangereux que le courant continu. Les fréquences 50‐60 Hz sont dans la tranche la plus dangereuse
50mA
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Défaut électrique : flash
La gravité des dommages corporels dépend : • de la violence du flash (tension mise en jeu, …), • de la distance.
Les conséquences peuvent être : Flash dans armoire de distribution
Brûlure par effet thermique RP ‐ SE TRA ‐ 02509_C_F ‐ Rév.0 ‐ 09/04/2015
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• brûlures par effets thermiques en surface (par rayonnement ultraviolet), • brûlures par projection de métal en fusion, • aveuglement par intensité lumineuse, • chute ou gestes incontrôlés.
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Sommaire I.
Introduction
II. Origine des accidents électriques III. Effets du courant sur le corps humain IV. Protections collectives V. Protection individuelle © 2015 ‐ IFP Training
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Protection contre les contacts directs : Consignation IV ‐ Protections collectives
Les travaux effectués hors tension sont les seuls présentant une sécurité totale vis à vis du risque électrique (Remarque : parfois impossibilité technique =>
Procédures spéciales de travail sous tension avec personnel habilité)
Il est important de consigner une installation avant une intervention :
forcément requis en BT : voir NF C18‐510)
et de faire réaliser ces opérations par du personnel formé et habilité.
RP ‐ SE TRA ‐ 02509_C_F ‐ Rév.0 ‐ 09/04/2015
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• en séparant cette installation de toute source de tension • en interdisant toute remise sous tension (cadenas, verrouillage, retrait fusible, …) • en signalant la consignation par une pancarte et un balisage • en vérifiant l’absence de tension • Puis en mettant à la terre, et en court‐circuit (Non
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Tableau récapitulatif des habilitations électriques IV ‐ Protections collectives En savoir plus
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RP ‐ SE TRA ‐ 02509_C_F ‐ Rév.0 ‐ 09/04/2015
Protection contre les courants directs IV ‐ Protections collectives
Il s’agit de mettre hors de portée des personnes tous les conducteurs habituellement sous tension : • par éloignement (exemple : distance à respecter entre les lignes aériennes et des travaux de levage)
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RP ‐ SE TRA ‐ 02509_C_F ‐ Rév.0 ‐ 09/04/2015
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Protection contre les courants directs IV ‐ Protections collectives • en intercalant un obstacle (exemple : capot, porte, balisage, …) avec panneau d’avertissement
Panneau d’avertissement d’un risque électrique © 2015 ‐ IFP Training
Balisage lors d’une intervention
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Protection contre les courants directs IV ‐ Protections collectives • par isolation (mise en place de manchons, panneaux isolants)
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Manchons et panneaux isolants sur câbles sous tension
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Protection contre les courants indirects IV ‐ Protections collectives
Il s’agit de mettre hors de portée des personnes tous les conducteurs sous tension
La protection passe par :
Disjoncteur différentiel 30mA
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• la mise à la terre des masses des récepteurs • les disjoncteurs différentiels, détectant une défaillance de l’isolement de l’alimentation : lorsque l’intensité du courant de départ qui s’écoule dans la prise de terre atteint la valeur seuil (30 mA), l’alimentation est automatiquement coupée • la protection par séparation des circuits des appareils électriques récepteurs de la source d’alimentation • l'utilisation de la très basse tension (24V) si nécessaire • l'utilisation de matériel électrique avec la classe électrique appropriée à l’activité
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Classe isolation électrique du matériel IV ‐ Protections collectives
La norme NF C 71000 distingue 4 classes d’isolement : Classe
Symbole
Caractéristiques
Installation
1
Isolation principale des parties actives, et masses reliées à la terre
Utilisation possible sur les lieux de travail pour les machines non fixes
2
Isolation renforcée (double Utilisation possible sur les isolation). lieux de travail pour les Masses non reliées à la terre machines non fixes
3
Alimentation en très basse Obligatoire sur les appareils tension de sécurité (TBTS) portatifs en milieu confiné Masses non reliées à la terre ou humide Transformateur de sécurité
0
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Aucun
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Appareil non isolé
Déconseillée en milieu industriel
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Indice de protection du matériel électrique (NF C 20‐010) IV ‐ Protections collectives
L’indice de protection d’un appareil électrique, définit ses caractéristiques d’adaptabilité au milieu dans lequel il est installé
Le code IP est constitué de 2 chiffres (ex : IP 55), plus si besoin d'une lettre additionnelle
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Matériel électrique et zones Atex IV ‐ Protections collectives
Rappels • Les étincelles apportées par le matériel électrique sont des sources d’inflammation capables d’initier un incendie ou une explosion
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• Les zones Atex sont de type, "Gaz" ou "Poussières", et divisées en 4 catégories suivant la probabilité d’apparition de l’Atex : − Zone 0 − Zone 1 − Zone 2 − Hors zone • Le matériel électrique est conçu suivant des modes de protection spécifiques, qui déterminent dans quelle zone il peut être installé. Boîte de jonction pour zone ATEX RP ‐ SE TRA ‐ 02509_C_F ‐ Rév.0 ‐ 09/04/2015
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Matériel électrique et zones Atex IV ‐ Protections collectives En savoir plus
Différents modes de protection et compatibilité avec type de zone ATEX
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Matériel électrique et chantier IV ‐ Protections collectives
Points à vérifier sur chantier Risques liés à la zone de travail : • Permis de feu pour utilisation d’un matériel portatif en zone Atex, • Port d’un explosimètre pour ouverture d’un boîtier électrique en zone Atex.
Risques pour l’être humain :
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• Matériel de chantier conforme, vérifié, et protégé par un disjoncteur différentiel 30mA, • Vérification des mises à la terre, branchements sur des points prescrits, • Habilitation électrique requise pour pénétrer en station électrique, • Respect des procédures de consignation, • Matériel en TBTS si travail en espace confiné.
Coffret de chantier conforme 30
Sommaire I.
Introduction
II. Origine des accidents électriques III. Effets du courant sur le corps humain IV. Protections collectives V. Protection individuelle © 2015 ‐ IFP Training
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Équipements de protection individuelle V ‐ Protection individuelle
La personne qui effectue des travaux électriques ou au voisinage d’une installation électrique doit être munie d’équipements assurant sa sécurité.
Remarques sur les chaussures de sécurité isolantes :
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• résistance minimale de la semelle de 100 000 Ω • résistance maximale de 106 Ω pour évacuer les charges d’électricité statique • protection contre un contact corps‐pieds uniquement Tenue appropriée aux travaux électriques RP ‐ SE TRA ‐ 02509_C_F ‐ Rév.0 ‐ 09/04/2015
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Équipements de protection individuelle V ‐ Protection individuelle
La connaissance de la zone où les travaux sont effectués est essentielle afin de préparer correctement l’intervention
Selon les caractéristiques électriques du matériel dans la zone, le matériel de sécurité adapté est utilisé : • Tabouret ou/et tapis isolant perche sont utilisés pour toutes les manœuvres d’appareils de séparation HT, disjoncteur, interrupteur • Matériel "électro‐secours" en sous‐station électrique
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Tabouret isolant
Tapis isolant 33
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Équipements de protection individuelle V ‐ Protection individuelle
En sous‐station électrique, le matériel "électro‐secours" doit être vérifié avant l’intervention
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Matériel électro‐secours
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Points‐clés à retenir
Gravité des accidents d’origine électrique > autres accidents Seuils • Mortel (Intensité) : 50mA • Danger (Intensité) : 10mA
Habilitations • Renforcement réglementaire récent • Obligatoires pour toute intervention
Matériel
Mise à la terre des récepteurs Protection différentielle 30mA Utilisation TBTS si besoin Indice de protection (IP) adapté à l’unité Mode protection Atex en accord avec type de zone Coffrets chantiers conformes et vérifiés
EPI • Spécifiques au métier
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• • • • • •
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Organisation de la prévention
RC ‐ SE TRA ‐ 01973_D_F ‐ Rév. 0 ‐ 22/05/2015
Sommaire I.
Principes généraux de prévention
II.
Co‐activité entre différents acteurs sur le site
III. Coordination des interventions des E.E. IV. Plan de prévention et autorisations de travail V.
Autorisation de travail : évaluation des risques
VI. Différents types de travaux et permis VII. Autorisation de travail : responsabilités des signataires VIII. Acteurs de la prévention X.
L’obligation de sécurité
RC ‐ SE TRA ‐ 01973_D_F ‐ Rév. 0 ‐ 22/05/2015
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IX. Moyens de la prévention
Objectifs
A l’issue de la présentation de ce document et des activités pédagogiques associées, les participants seront capables : • D’organiser la prévention des interventions des entreprises extérieures, • De modifier leur comportement et enclencher une dynamique positive dans le comportement des autres. • D’évaluer la responsabilité de chaque acteur
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Sommaire I.
Principes généraux de prévention
II.
Co‐activité entre différents acteurs sur le site
III. Coordination des interventions des E.E. IV. Plan de prévention et autorisations de travail V.
Autorisation de travail : évaluation des risques
VI. Différents types de travaux et permis VII. Autorisation de travail : responsabilités des signataires VIII. Acteurs de la prévention X.
L’obligation de sécurité
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IX. Moyens de la prévention
"Tournant" Réglementaire I – Principes généraux de prévention
La directive‐cadre européenne relative à la sécurité et à la santé au travail (directive 89/391 CEE) adoptée en 1989 marque un tournant décisif pour l'amélioration de la sécurité et santé au travail.
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Elle garantit des conditions minimales de sécurité et de santé à travers l'Europe tout en autorisant les États membres à maintenir ou à mettre en place des mesures plus strictes.
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Directive 89/391 CEE I – Principes généraux de prévention
En 1989, certaines dispositions de la directive‐cadre ont suscité une considérable innovation, notamment : • Le terme "environnement de travail", adopté en accord avec la Convention n°155 de l'Organisation internationale du travail (OIT), définit une approche moderne prenant en compte la sécurité technique ainsi que la prévention générale des maladies.
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• La directive vise à établir un niveau égal de sécurité et de santé au profit des travailleurs.
Directive cadre 89/391 CEE I – Principes généraux de prévention
En outre cette directive à défini des objectifs clairs en terme de sécurité et santé au travail : • Elle oblige les employeurs à prendre des mesures adéquates pour rendre le travail plus sain et sûr. • Elle introduit comme élément clé le principe d'évaluation des risques et définit ses principaux éléments : © 2015 ‐ IFP Training
− identification des dangers, − participation des travailleurs, − introduction de mesures adéquates avec priorité d'éliminer les risques à la source, − documentation et ré‐évaluation périodique des dangers sur le lieu de travail RC ‐ SE TRA ‐ 01973_D_F ‐ Rév. 0 ‐ 22/05/2015
Objectif central de la directive cadre 89/391 CEE I – Principes généraux de prévention
Avant
Après
Pratiquer une analyse de risque préalable, et mettre en place des mesures pour que l’accident ne se produise …
Plus
Pas
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Mettre en place des mesures pour que l’accident ne se produise …
9 Principes généraux de prévention I – Principes généraux de prévention ÉVALUER
COMBATTRE
les risques
les risques à la source PLANIFIER la prévention
ÉVITER les risques
La Prévention
FORMER le personnel
Privilégier les protections
collectives
Remplacer ce qui est dangereux par ce qui l’est moins © 2015 ‐ IFP Training
Tenir compte des évolutions technologiques
Adapter le travail à l’Homme, …. RC ‐ SE TRA ‐ 01973_D_F ‐ Rév. 0 ‐ 22/05/2015
Directives annexes I – Principes généraux de prévention
Cette directive cadre (89/391) a été complétée entre autres par : • 89/654 CEE (lieux de travail), • 89/655 CEE (équipements de travail), • 89/656 CEE (équipements de protection individuelle), • 90/269 CEE (manipulation manuelle de charges), • 90/270 CEE (équipements à écran de visualisation). © 2015 ‐ IFP Training
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Sommaire I.
Principes généraux de prévention
II.
Co‐activité entre différents acteurs sur le site
III. Coordination des interventions des E.E. IV. Plan de prévention et autorisations de travail V.
Autorisation de travail : évaluation des risques
VI. Différents types de travaux et permis VII. Autorisation de travail : responsabilités des signataires VIII. Acteurs de la prévention X.
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IX. Moyens de la prévention L’obligation de sécurité
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Schéma général II – Co‐activité entre différents acteurs sur le site
L'employeur est tenu à une obligation générale de sécurité, dont l'un des aspects est la prévention des risques professionnels. Cette prévention des risques constitue aujourd'hui l'un des piliers de l'organisation de l'entreprise en ce qui concerne l'hygiène et la sécurité.
Cette prévention concerne bien sûr tout ce qui pourrait impacter ses propres salariés. Mais il doit aussi prendre en compte tous les risques inclus dans son périmètre d’influence (son entreprise au sens large), et notamment toutes les interférences potentielles avec les autres acteurs contribuant au fonctionnement de l’entreprise : Lorsque dans un même lieu de travail les travailleurs de plusieurs entreprises sont présents, les employeurs coopèrent à la mise en œuvre des dispositions relatives à la santé et à la sécurité au travail.
La Prévention c’est aussi gérer les co‐activités RC ‐ SE TRA ‐ 01973_D_F ‐ Rév. 0 ‐ 22/05/2015
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• Sous‐traitants, • Livreurs, • Visiteurs, …
Sources d’interférences II – Co‐activité entre différents acteurs sur le site
…, tout acteur présent sur le site
Service électricité instrumentation
Service maintenance
Service Logistique
Exploitation des installations
Travaux Neufs
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Les entreprises extérieures RC ‐ SE TRA ‐ 01973_D_F ‐ Rév. 0 ‐ 22/05/2015
Sommaire I.
Principes généraux de prévention
II.
Co‐activité entre différents acteurs sur le site
III. Coordination des interventions des E.E. IV. Plan de prévention et autorisations de travail V.
Autorisation de travail : évaluation des risques
VI. Différents types de travaux et permis VII. Autorisation de travail : responsabilités des signataires VIII. Acteurs de la prévention X.
L’obligation de sécurité
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IX. Moyens de la prévention
Vocabulaire III – Coordination des interventions des E.E.
E.U. = Entreprise Utilisatrice (SONATRACH) E.E. = Entreprises Extérieures (Sous‐Traitants) © 2015 ‐ IFP Training
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Généralités III – Coordination des interventions des E.E.
Schéma standard : • L’entreprise utilisatrice fait appel à des entreprises extérieures pour réaliser bon nombre de ses travaux : c’est la sous‐traitance • Deux types d’interférence vont naître : − Celles entre l’activité de l’E.U. et ses installations (température, pression, produits dangereux, inflammables, …), et l’activité de l’E.E. (travaux générant des étincelles, en hauteur, …) − Celles du fait d’opérations simultanées (SIMOPS) entre les différents sous‐ traitants (forte co‐activité sur une zone restreinte).
RC ‐ SE TRA ‐ 01973_D_F ‐ Rév. 0 ‐ 22/05/2015
E.E. 2 E.E. 1
E.E. 3
E.E. 4
E.E. 5
Sous-traitance multiple et en cascade ?
E.E. 6
Limiter au maximum la sous-traitance à 2 niveaux
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Dans les deux cas, la coordination générales des mesures de sécurité est dévolue à l’E.U.
E.U.
Deux temps forts dans la prévention III – Coordination des interventions des E.E.
Préparation travaux
E.E. 1
E.E. 3
E.U.
E.E. 4
Mesures pendant les opérations
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• Coordination régulière des mesures de prévention décidées. Vérification que les instructions prévues ont été données et que les mesures décidées sont exécutées. • Coordination des mesures non prévues initialement. • Devoir d’alerte de l’E.U. vis‐à‐vis de l’E.E. en cas de danger grave d’un salarié de celle‐ci.
E.E. 5
Réalisation chantier
• Inspection commune préalable des installations avec des représentants habilités de toutes les E.E. concernées, • Évaluation en commun des risques résultant de l’interférence entre les activités, les installations les matériels. • Établissement d’un document (Plan de prévention) contenant les mesures de prévention cohérentes décidées d’un commun accord, et contenant la définition du rôle de chacun.
E.E. 2
Mesures préalables aux opérations
Temps
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Sommaire I.
Principes généraux de prévention
II.
Co‐activité entre différents acteurs sur le site
III. Coordination des interventions des E.E. IV. Plan de prévention et autorisations de travail V.
Autorisation de travail : évaluation des risques
VI. Différents types de travaux et permis VII. Autorisation de travail : responsabilités des signataires VIII. Acteurs de la prévention X.
L’obligation de sécurité
RC ‐ SE TRA ‐ 01973_D_F ‐ Rév. 0 ‐ 22/05/2015
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IX. Moyens de la prévention
Mise en œuvre documentaire IV – Plan de prévention et autorisations de travail MISE EN ŒUVRE Plans de prévention "génériques" (pour travaux "courants")
+
Ou
Autorisations Autorisations de travail et de travail et permis permis associé associés
Plans de prévention "spécifiques" (pour SIMOPS)
Risques et précautions ciblés
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Risques généraux et précautions types
Σ = Approche globale de la prévention
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Objectifs complémentaires des deux documents IV – Plan de prévention et autorisations de travail
Plan de prévention
Autorisation de travail
Coordination de l’ensemble de l’opération
Zoom sur les risques liés à une intervention
E.E. 2
E.E. 1
E.E. 3
E.U.
E.E. 5 E.E. 4
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= Analyse des risques spécifiques de l’intervention de l’E.E. concernée sur l’installation de l’E.U. spécifiée
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= Analyse des risques et des interférences entre les activités de l’E.U. et celles des E.E.
Sommaire I.
Principes généraux de prévention
II.
Co‐activité entre différents acteurs sur le site
III. Coordination des interventions des E.E. IV. Plan de prévention et autorisations de travail V.
Autorisation de travail : évaluation des risques
VI. Différents types de travaux et permis VII. Autorisation de travail : responsabilités des signataires VIII. Acteurs de la prévention X.
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IX. Moyens de la prévention L’obligation de sécurité
RC ‐ SE TRA ‐ 01973_D_F ‐ Rév. 0 ‐ 22/05/2015
Classification des différents risques V – Autorisation de travail : évaluation des risques
RISQUES
RISQUES
RISQUES
Liés à l’intervention
Liés à l’équipement
Liés à l’environnement
(fonctionnement, produits contenus, …)
(produits, fonctionnement des autres équipements potentiellement présents dans l’environnement de travail)
(avec les moyens)
MESURES PRÉVENTIVES
Évaluer les risques RC ‐ SE TRA ‐ 01973_D_F ‐ Rév. 0 ‐ 22/05/2015
PRISES PAR L’E.U.
Combattre les risques à la source
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PRISES PAR L’E.E.
Objectifs du document V – Autorisation de travail : évaluation des risques
"L’Autorisation de Travail", est le document de base qui autorise l’opération. On y trouve : • Les phases d’activités dangereuses, • Les moyens de prévention ou de protection retenus, • L’engagement des signataires, • Les instructions à donner aux salariés de l’E.E. "L’Autorisation de Travail" est limitée à : • À la seule intervention prévue, et dont les risques ont été identifiés :
Une autorisation par entreprise et pour une intervention
− à la seule zone de travail définie − au seul équipement mis en sécurité − à une seule E.E.
• À la durée du travail prévue. "L’Autorisation de Travail" est révocable si : • Les conditions de sécurité changent, • Les consignes et les règles de sécurité ne sont pas suivies.
E.E. 4
E.E. 5
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E.E. 2
RC ‐ SE TRA ‐ 01973_D_F ‐ Rév. 0 ‐ 22/05/2015
Objectifs du document V – Autorisation de travail : évaluation des risques
"L’Autorisation de Travail" fait partie intégrante de la démarche d’analyse des risques préalablement à une opération.
"L’Autorisation de Travail" est : • Le reflet de la préparation de chacun • La mise en commun, le partage, et l’analyse des risques • Un outil de contrôle, de suivi, et de prévention sur le terrain
RC ‐ SE TRA ‐ 01973_D_F ‐ Rév. 0 ‐ 22/05/2015
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"L’Autorisation de Travail" est un document officiel qui accuse ou qui défend, et qui doit être renseigné, mis en œuvre, et respecté sur le terrain avec toute la rigueur nécessaire.
Sommaire I.
Principes généraux de prévention
II.
Co‐activité entre différents acteurs sur le site
III. Coordination des interventions des E.E. IV. Plan de prévention et autorisations de travail V.
Autorisation de travail : évaluation des risques
VI. Différents types de travaux et permis VII. Autorisation de travail : responsabilités des signataires VIII. Acteurs de la prévention X.
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IX. Moyens de la prévention L’obligation de sécurité
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Travail à "Froid" VI – Différents types de travaux et permis
On appelle travail à "froid", toute opération exécutée sans faire apparaitre d’échauffement notable, de point chaud, d’étincelles, de flammes capables d’enflammer des produits ou un mélange combustible.
Ce type de travail nécessite un permis de base, appelé suivant les sites : • Autorisation de travail, • Permis d’intervention, • Permis de travail à froid, • Permis de travail sans feu, • …. © 2015 ‐ IFP Training
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Extrait permis de travail à "Froid" SONATRACH VI – Différents types de travaux et permis
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Travail à "Chaud" VI – Différents types de travaux et permis
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On appelle travail à "chaud", toute opération où l’énergie dégagée est suffisante pour provoquer l’inflammation d’un combustible • Soudage (arc, chalumeau, TIG, …), • Meulage, découpage, tronçonnage, • Sablage, • Emploi de matériel électrique, ou moteur thermique non agréé pour une zone ATEX, • ... Ce type de travail nécessite un permis appelé suivant les sites : • Autorisation de travail avec feu, • Permis de feu, • Permis de travail à chaud, • ….
Extrait permis de travail à "Chaud" SONATRACH VI – Différents types de travaux et permis
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Autres permis VI – Différents types de travaux et permis
Voir en annexe ensemble des permis SONATRACH disponibles RC ‐ SE TRA ‐ 01973_D_F ‐ Rév. 0 ‐ 22/05/2015
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En plus de ces deux documents précités, certaines opérations nécessitent des permis complémentaires. Leur objectif est d’approfondir et de détailler l’analyse de risque, en prenant en compte les spécificités de l’intervention. On trouve ainsi suivant les sites : • Permis de pénétrer, • Permis d’excavation, • Permis de radiographie, • Permis de travaux en hauteur, • Permis d’opérations de levage, • Permis d’entrer pour Véhicule/Engin • Permis de fermeture provisoire de route, • Permis de travail électrique, • ….
Exemple autre permis SONATRACH VI – Différents types de travaux et permis
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Sommaire I.
Principes généraux de prévention
II.
Co‐activité entre différents acteurs sur le site
III. Coordination des interventions des E.E. IV. Plan de prévention et autorisations de travail V.
Autorisation de travail : évaluation des risques
VI. Différents types de travaux et permis VII. Autorisation de travail : responsabilités des signataires VIII. Acteurs de la prévention X.
L’obligation de sécurité
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IX. Moyens de la prévention
Principe de base VII – Autorisation de travail : responsabilités des signataires
"Doute = STOP !"
Vous avez un devoir d’alerte !
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J’arrête, je réfléchis, je prends conseil. RC ‐ SE TRA ‐ 01973_D_F ‐ Rév. 0 ‐ 22/05/2015
Le service exploitation VII – Autorisation de travail : responsabilités des signataires Connait les risques de son installation, et vérifie si toutes les recommandations pourront être respectées. S’assure que la mise à disposition de l’équipement est bien réalisée. S’assure que les équipements situés dans l’environnement de travail n’entrainent pas de risque pour le personnel d’intervention.
Autorise en dernier lieu le travail dans sa zone de responsabilité Engage sa responsabilité dans son domaine de compétence Étant propriétaire et responsable de l’installation, il décide en dernier ressort si l’opération est possible en fonction :
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• Des difficultés du process et de sa disponibilité, • De l’état des équipements au moment de la mise à disposition, • Des règles de sécurité mises en place.
Le service maintenance VII – Autorisation de travail : responsabilités des signataires Prépare, organise, et réalise (ou fait réaliser) les travaux. Remplit la partie descriptive de l’opération. Précise les risques particuliers de l’intervention et les règles de sécurité qu’il veut faire respecter sur le chantier.
Est responsable de toutes les questions techniques de réalisation des travaux , ainsi que des informations et contraintes qu’il a portées sur les permis.
En outre, le donneur d’ordres a pour mission de veiller à ce que les règles de sécurité soient appliqués par les intervenants qu’il mandate pour réaliser ces travaux.
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Le service sécurité VII – Autorisation de travail : responsabilités des signataires Aide et conseille sur les moyens de prévention à mettre en place Est le garant du respect des procédures Améliore ou corrige les conditions dangereuses résultant des travaux.
Reste un service fonctionnel et non opérationnel.
Suivant les organisations, il signe ou non les permis. © 2015 ‐ IFP Training
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Le service sécurité VII – Autorisation de travail : responsabilités des signataires Connait les risques spécifiques de son métier Est formé et reconnu par son employeur pour encadrer l’équipe de travail Reconnait avoir pris connaissance des recommandations inscrites sur le permis et s’engage à les respecter, ou les faire respecter par son personnel.
Le preneur de permis, doit avant le début des travaux et sur le lieu même de leur exécution, informer l’ensemble des salariés sous sa responsabilité : de dangers et risques précisés dans le permis des mesures de prévention à prendre des zones dangereuses et des balisages utilisés pour les matérialiser de l’emplacement et de la mise en œuvre des dispositifs de protection collective et individuelle (douche, lave œil, extincteurs, …)
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• • • •
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Tous acteurs VII – Autorisation de travail : responsabilités des signataires
, est l’affaire de ….
La sécurité, ….
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Chacun ! !
Sommaire I.
Principes généraux de prévention
II.
Co‐activité entre différents acteurs sur le site
III. Coordination des interventions des E.E. IV. Plan de prévention et autorisations de travail V.
Autorisation de travail : évaluation des risques
VI. Différents types de travaux et permis VII. Autorisation de travail : responsabilités des signataires VIII. Acteurs de la prévention X.
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IX. Moyens de la prévention L’obligation de sécurité
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Acteurs internes à l’entreprise VIII – Acteurs de la prévention
Ont en charge d’appliquer et de faire appliquer les règles en matière d’hygiène et de sécurité (rôle opérationnel)
Conseille les opérationnels, en matière d’hygiène et de sécurité dans l’établissement (rôle fonctionnel)
Sont consultés pour avis dans le domaine H&S et conditions de travail, et veillent à l’observation des prescriptions Sont consultés sur les documents tels que règlement intérieur, consignes, …
Le chef d’établissement et la hiérarchie
Le chargé de sécurité
Les représentants du personnel RC ‐ SE TRA ‐ 01973_D_F ‐ Rév. 0 ‐ 22/05/2015
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Acteurs externes à l’entreprise VIII – Acteurs de la prévention
Le médecin du travail
L’inspecteur du travail
Vérifie l’application de la réglementation du travail par des contrôles et investigations. Constate les infractions en matière H&S, et met l’employeur en demeure . de se conformer aux prescriptions. En cas de danger grave et imminent pour la santé et la sécurité du travailleur, il peut saisir le wali ou le président de l’Assemblée populaire communale territorialement compétents pour prendre toutes mesures utiles, Fait appliquer la loi pénale à l’encontre du délinquant
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Surveille l’état de santé de chaque salarié de l’établissement et vérifie l’aptitude du salarié à exercer son poste. Participe à tout ce qui touche à l’amélioration des conditions de santé et de sécurité au travail
Le juge pénal RC ‐ SE TRA ‐ 01973_D_F ‐ Rév. 0 ‐ 22/05/2015
Sommaire I.
Principes généraux de prévention
II.
Co‐activité entre différents acteurs sur le site
III. Coordination des interventions des E.E. IV. Plan de prévention et autorisations de travail V.
Autorisation de travail : évaluation des risques
VI. Différents types de travaux et permis VII. Autorisation de travail : responsabilités des signataires VIII. Acteurs de la prévention X.
L’obligation de sécurité
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IX. Moyens de la prévention
Moyens principaux IX – Moyens de la prévention Induit un transfert de la responsabilité du chef d’établissement au délégataire, lorsque le premier ne peut assurer lui‐même son obligation de sécurité.
Représente le pouvoir normatif de l’employeur en matière de discipline, de santé et de sécurité au travail, en fixant les mesures d’application de la réglementation dans ces domaines (Code du travail)
Générales ou spécifiques à poste, sont considérées comme des adjonctions au règlement intérieur, et constituent les règles et lois de bon fonctionnement de l’entreprise. Elles doivent être appliquées (hiérarchie) et respectées (salariés).
La délégation de pouvoirs
Le règlement intérieur
Les consignes
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Moyens complémentaires IX – Moyens de la prévention
Fiche de définition de fonction, fiche d’analyse de risques, fiche de données de sécurité, fiche de formation au poste, … => donne les bases des compétences du salarié requises pour tenir le poste.
Rappelle sur le terrain les risques potentiels et les obligations/interdictions à observer.
Constitue la protection "ultime" du salarié, après avoir "épuisé" les solutions de protection collective.
Concerne les équipements de travail, les locaux, l’ambiance et les conditions de travail : permettent de s’assurer que la sécurité des personnes et des biens ne faiblit pas dans le temps
Les fiches de poste
La Signalisation
Les Équipements de Protection Individuelle
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Les vérifications et contrôles
Les équipements de travail IX – Moyens de la prévention
Équipement de travail = machines, appareils, outils, engins, EPI, matériels, équipement sous pression, … L’employeur doit : • Fournir à ses salariés des équipements conformes à la législation en vigueur, • Les informer sur les risques attenants, • Les Former à leur utilisation, • Faire procéder à la vérification du bon fonctionnement des sécurités après une opération de maintenance, ...
Le salarié doit : © 2015 ‐ IFP Training
• Respecter les notices d’utilisation, • Informer de tout dysfonctionnement, • S’engager à ne pas les modifier, … RC ‐ SE TRA ‐ 01973_D_F ‐ Rév. 0 ‐ 22/05/2015
Protections collectives et individuelles IX – Moyens de la prévention
RAPPELS " . La protection collective est à privilégier par rapport à la protection individuelle… " " . Se protéger est une obligation. " " . Ne pas porter ses équipements de protection, et ne pas utiliser les matériels de prévention est une faute grave. "
Protections collectives : • Balisage : type, installation, retrait... • Signalisation : Définition du type, du nombre, de l’emplacement des panneaux, et du respect des mesures, sous la responsabilité du chef d’établissement (arrêté du 4 novembre 1993). • Couleurs conventionnelles des circuits.
Protections individuelles
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Exemple de balisage en dur
Sommaire I.
Principes généraux de prévention
II.
Co‐activité entre différents acteurs sur le site
III. Coordination des interventions des E.E. IV. Plan de prévention et autorisations de travail V.
Autorisation de travail : évaluation des risques
VI. Différents types de travaux et permis VII. Autorisation de travail : responsabilités des signataires VIII. Acteurs de la prévention X.
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IX. Moyens de la prévention L’obligation de sécurité
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Obligations de l’employeur X – L’obligation de sécurité Responsable de la sécurité dans son entreprise Doit donner à sa structure les moyens pour que les obligations légales en matière HSE soit satisfaites. En cas de manquement , il en assume la responsabilité Tenu d’organiser une formation pratique et appropriée en matière HSE à ses salariés
L’employeur prend les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et protéger la santé physique et mentale des travailleurs.
L’employeur, compte tenu de la nature des activités de l ’établissement, évalue les risques pour la santé et la sécurité des travailleurs, y compris dans le choix des procédés de fabrication, des équipements de travail, des substances ou préparations chimiques, dans l’aménagement ou le réaménagement des lieux de travail ou des installations et dans la définition des postes de travail.
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Obligations du salarié X – L’obligation de sécurité Obligation générale de prudence et de vigilance
Tenu d’appliquer les règles et consignes de sécurité Responsable de ses actes
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Conformément aux instructions qui lui sont données par l’employeur, dans les conditions prévues au règlement intérieur, il incombe à chaque travailleur de prendre soin en fonction de sa formation et selon ses possibilités, de sa santé et de sa sécurité, ainsi que de celles des autres personnes concernées par ses actes ou omissions au travail.
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Retenir l'essentiel Points‐clés à retenir
9 principes généraux de prévention • Base de toute analyse de risque
Plan de prévention • Analyse des risques entre activités de l’E.U et celles des E.E. • Coordination générale des mesures dévolue à l’E.U. • Inspection Commune Préalable pivot du processus
Autorisation de travail • Analyse des risques spécifiques de l’intervention de l’E.E. concernée • Un permis de base (Travail à froid) et des permis complémentaires
Signataires de permis • Engagent leur responsabilité , chacun dans son domaine de compétence
Obligation de sécurité • Tous acteurs
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Activité Amont DIVISION PRODUCTION
Système de Permis de Travail de la Division Production
Septembre 2010
Système de Permis de Travail De la Division Production
Activité Amont Division Production
Code : SPT.AMT.DPR N° Révision : 0 Page:2/79 Emis le:20/09/2010
Table des matières Nº
Titre des chapitres
Page
1
Administration du système
6
1.1
Garde du système
6
1.2
Modifications du contenu
6
1.3
Structures concernées par le système
6
1.4
Mise en œuvre du système
6
2
Définitions
7
3
Vue d’ensemble du système de permis de travail
10
3.1
Introduction
10
3.2
Eléments essentiels du système de permis de travail
10
3.3 4
5
6
7
Objectifs et fonctions du système de permis de travail
Réglementation Algérienne et Politique HSE du Group Sonatrach
11 e
13
4.1
Réglementation Algérienne
13
4.2
Politique HSE du Groupe Sonatrach
15
Rôle et responsabilités des structures HSE ou Sécurité
16
5.1
Département HSE
16
5.2
Structures HSE ou S écurité Production
des sites de la Di vision
Rôle et responsabilités des personnes clés du système de permis de travail
16 17
6.1
Asset Manager
17
6.2
Autorité de Zone
18
6.3
Responsable de la Structure HSE ou Sécurité
18
6.4
Coordinateur de permis de travail
19
Rôle et responsabilités des signataires du système de permis de travail
20
7.1
Demandeur/initiateur de permis de travail
21
7.2
Représentants de l’Autorité de Zone
21
7.3
Représentants du re sponsable de Sécurité
la st ructure H SE ou
22
7.4
Contrôleur d’atmosphère
22
7.5
Services techniques
23
7.6
Responsable d’exécution
24
Activité Amont Division Production
Système de Permis de Travail De la Division Production
Code : SPT.AMT.DPR N° Révision : 0 Page:3/79 Emis le:20/09/2010
Nº
Titre des chapitres
Page
8
Domaine d’application du système de permis de travail
26
8.1
26
Travaux dont les dangers associés sont potentiellement dangereux
8.2
Travaux routiniers à faibles risques
27
8.3
Travaux d’urgence
28
8.4
Travaux dispensés du permis de travail
28
9
Contenu des formulaires du système de permis de travail
29
10
Mise en œuvre du permis de travail
34
10.1
Délivrance du permis et distribution des copies
34
10.2
Supervision durant l’exécution des travaux
34
10.3
Suspension du permis
35
10.4 10.5 11
travail e t l’annul ation
Archivage
36 36
Organisation de la gestion des permis de travail
37
11.1
37
11.2
12
Enregistrement de l a fin de du permis
Point central de coordination
Principe de fonctionnement du point central d coordination
e
37
11.3
Registre des signatures des permis de travail
38
11.4
Système d’affichage des permis de travail
38
Formulaires du système de permis de travail
39
12.1
Liste des permis et certificats
39
12.2
Permis de travail à froid
40
12.3
Permis de travail à chaud
41
12.4
Permis de pénétrer dans un espace confiné
42
12.5
Permis d’excavation
44
12.6
Permis de radiographie
46
12.7
Permis de travaux en hauteur
47
12.8
Permis d’opérations de levage
48
12.9
Permis d’entrer pour véhicule/engin
49
12.10
Permis de fermeture provisoire de route
50
12.11
Permis de travail électrique
51
12.12
Permis de limitation d’accès
52
Système de Permis de Travail De la Division Production
Activité Amont Division Production
Nº
Titre des chapitres 12.13
13
14
e
53
Permis de mise en service d’équipement ou de système
54
12.15
Certificat de consignation électrique
55
12.16
Certificat de confirmation d’isolement
56
12.17
Certificat d’échafaudage
57
Evaluation de risques
58
13.1
Le responsable de l’évaluation de risques
58
13.2
Les membres de l’équipe d’évaluation de risques
58
13.3
Comment procéder à une évaluation de risques
59
13.4
Décomposition du travail en taches élémentaires
60
13.5
Identification des risques potentiels
60
13.6
Acceptabilité du risque
63
13.7
Formulaire d’évaluation de risques
65
13.8
Modèle de contrôle des risques
65
Isolement
66
14.1
66
14.3
16
Permis de test sur équipement électrique haut tension
Page
12.14
14.2 15
Code : SPT.AMT.DPR N° Révision : 0 Page:4/79 Emis le:20/09/2010
Méthodes d’isolement de fluides et de pression
Verrouillage/Etiquetage (Lockout/Tagout) des isolements de fluide et de pression
Consignation électrique
Installations et habilitations électriques
67 68 69
15.1
Classement des installations électriques et exigences des certificats/permis électriques
69
15.2
Habilitation électrique
70
15.3
Les différentes habilitations électriques
72
15.4
La classification des zones
72
Formation et évaluation
73
16.1
74
16.2 16.3
Contenu et durée de la formation du Groupe 1 (Autorités de Zone et leurs représentants)
Contenu et durée de la formation du Groupe 2 (Demandeurs/Initiateurs de permis et responsables d’exécution)
Contenu et durée de la formation du Groupe 3 (Contrôleurs d’atmosphère)
74 75
16.4
Evaluation des compétences
75
16.5
Inscription
75
Activité Amont Division Production
Système de Permis de Travail De la Division Production
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Nº
Titre des chapitres
Page
17
Audit
77
18
17.1
Liste de contrôle d’audit de permis
77
17.2
Enregistrement des audits
78
17.3
Auditeurs
78
17.4
Fréquence des audits
78
Liste des annexes
79
Activité Amont Division Production
Système de Permis de Travail De la Division Production
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1 - Administration du système 1.1 Garde du système de permis de travail Le présent Système est l’adaptation du référentiel publié par la Direction Centrale HSE. Le Département HSE assurera sa diffusion, coordonnera sa mise en œuvre au niveau des sites de la Division Production et procédera à sa révision. 1.2 Modifications du contenu Toutes modifications devant être apportées, améliorations suggérées ou détails à inclure dans des éditions futures de ce système doivent être proposés au Département HSE en vue d’une révision du système. Le Département HSE transmettra à son tour, à la Direction Centrale HSE, toutes les remarques émises et ce en vue d’une éventuelle révision du référentiel du permis de travail. 1.3 Structures concernées par le système de permis de travail Le système de permis de travail doit être mis en œuvre au niveau de toutes les structures de la Division Production chargées de la gestion de patrimoine (Asset Management). 1.4 Mise en œuvre du système Le présent système de permis de travail adapté doit être endossé par le Directeur de la Division Production. Les différentes structures, gestionnaires de patrimoine, de la Division Production doivent construire et mettre en œuvre leur système de permis de travail en fonction des dispositions prévues dans le présent système. L’organisation hiérarchique pour gérer et contrôler l’application du système de permis de travail est la responsabilité de l’Asset Manager (Responsable principal de la structure chargée de la gestion du patrimoine au niveau des sites de la Division Production). Les structures Sécurité ou HSE de la Division Production sont chargées de la diffusion, l’information, la sensibilisation au niveau de leurs sites et de proposer d’éventuelles révisions du système au Département HSE.
Activité Amont Division Production
Système de Permis de Travail De la Division Production
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2 – Définitions 2.1 Asset Manager L’Asset Manager désigne tout responsable principal, des sites de la Division production, en charge de la gestion de patrimoine (usine, bâtiment, base industrielle, base de vie, chantier de construction, projet). L’Asset Manager est l’Autorité Opérationnelle Principale. Les Asset Managers du système de permis de travail correspondent ainsi aux Directeurs régionaux pour les Directions Régionales de Hassi Messaoud, Hassi R’Mel, In Aménas, Gassi Touil, Haoud Berkaoui, Rhourde Nouss, Stah, Tin Fouye Tabankort et Ohanet, les Directeurs de Hamra et Oued Noumer , le Directeur Coordination des Champs Extérieurs (champs d’El Borma, Mesdar, Bir Berkine et la centrale électrique de Bir Berkine), les Chefs de champ pour les périmètres de Djebel Onk, Ras Toumb et Oued Gueterini, le Directeur des Moyens Généraux pour les sites Siége de la Division Production, 10 Rue du Sahara et Dar El Beida, Le Chef de Département logistique/DAT pour le site Base logistique de Oued Smar. 2.2 Autorité de Zone L’Autorité de Zone désigne toute personne en charge des opérations d’une zone bien définie, elle est l’autorité opérationnelle de la zone. Les Autorités de zone correspondent ainsi aux Responsables opérationnels des structures Exploitation (XP pour les installations de traitement des Hydrocarbures, E.P pour les champs et puits de production), le Responsable de la structure de maintenance électrique pour les centrales et sous stations électriques, ou des lignes électriques aériennes, le Responsable de la structure de Maintenance pour les ateliers de maintenance, les canalisations aériennes ou enterrées, le Responsable de la structure HSE ou sécurité pour le Réseau Incendie. Cette liste n’étant pas exhaustive, l’identification des zones devra se faire de manière détaillée au niveau des sites avant sa validation par l’Asset Manager. 2.3 Responsable de la structure HSE ou Sécurité Le responsable de la structure HSE ou Sécurité désigne le responsable HSE ou Sécurité du site, il doit être en relation directe avec l’Asset Manager.
Activité Amont Division Production
Système de Permis de Travail De la Division Production
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2.4 Coordinateur de permis Le coordinateur de permis est la personne responsable de coordonner l’émission et le retour de permis de travail, il assure la résolution des conflits entre permis de travail, il enregistre l’état des isolements et il assure le suivi de tous les travaux en cours sur le site. Ce coordinateur devra être désigné en fonction de son capital expérience sur les opérations et la gestion des travaux ainsi que sur ses connaissances en matière de sécurité. 2.5 Demandeur/initiateur de permis Le demandeur/initiateur de permis de travail est la personne qui fait la demande ou initie le permis de travail. Il prépare les premières étapes pour leur considération ultérieure par les autres signataires du permis. 2.6 Représentant de l’autorité de zone Les représentants de l’Autorité de Zone sont les personnes compétentes désignées par l’Autorité de Zone pour être signataires du permis de travail. Elles peuvent être chefs de département, chefs de service, ingénieurs, superviseurs, chefs de quart ou contremaîtres. 2.7 Représentant du responsable de la structure HSE ou Sécurité Les représentants du responsable de la structure HSE ou Sécurité sont les personnes compétentes désignées pour être signataires du permis de travail. Elles peuvent être chef de secteur, chef de service, ingénieurs ou contremaîtres. 2.8 Contrôleur d’atmosphère Le contrôleur d’atmosphère est la personne habilitée à utiliser des appareils (explosimètres, détecteur d’oxygène, détecteurs de gaz toxique, détecteurs multi gaz) pour analyser l’atmosphère de travail. 2.9 Responsable d’exécution Le responsable d’exécution est la personne en charge de l’exécution du travail. Il peut être une personne
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organique du Groupe Sonatrach comme une personne d’une entreprise extérieure sous traitante. 2.10 Chargé de consignation Le chargé de consignation est la personne habilitée, de la structure maintenance électrique, à effectuer des opérations de consignation des appareils ou des installations électriques. 2.11 Entreprise extérieure Une entreprise est considérée une entreprise extérieure lorsqu’elle est indépendante de la structure où le travail sera exécuté.
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3 – Vue d’ensemble du Système de Permis de travail 3.1 Introduction Tous les responsables doivent avoir conscience vulnérabilités particulières de leur site lors travaux de construction, de maintenance, ou modification d’équipement ou de bâtiment.
des des de
Ces travaux doivent être réalisés conformément aux règlements et normes de sécurité en vigueur ainsi que les meilleures pratiques et ce, pour la protection des personnes, des biens et de l’environnement. Le système du permis de travail est l’outil le plus important de gestion des risques lors de la réalisation de travaux. C’est un système efficace de planification, de contrôle et de coordination des travaux. La défaillance du système du permis de travail, l’absence d’évaluation de risques, les méthodes inappropriées d’isolement d’énergie et la formation inadéquate du personnel sont les principales causes de plusieurs accidents majeurs enregistrés à travers le monde. Une adéquate mise en œuvre du système de permis de travail permet d’optimiser les méthodes de travail, de développer une culture d’évaluation de risques et de garantir la conformité avec les règlements et standards. 3.2
Eléments essentiels du système de permis de travail
Les éléments essentiels constituant le système de permis de travail sont: a) la définition des rôles et des responsabilités des gestionnaires et signataires du système du permis de travail; b) les procédures d’évaluation de risques, préparation et de mise en œuvre des permis travail ;
de de
c) les formulaires des permis et certificats; d) la formation, l’habilitation travail ; et
l’évaluation des des signataires
e) l’audit du système.
compétences du permis
et de
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3.3
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Objectifs et fonctions du système de permis de travail
Les objectifs et fonctions travail sont principalement :
du
système
de
permis
de
a) assurer la réalisation d’une évaluation de risques avant que chaque travail soit entrepris ; b) identifier les risques qui l'interférence entre les Simultanées ou SIMOPS), les matériels ;
peuvent résulter de travaux (Opérations installations et les
c) spécifier les précautions à prendre et les isolements des substances dangereuses et des sources d’énergie ; d) assurer étagé, niveau travail
une approbation de permis selon un système le niveau hiérarchique augmente avec le de dangers potentiels associés à chaque ;
e) préciser clairement aux exécutants la nature du travail, les risques associés au travail et toutes les conditions à respecter pour la réalisation du travail ; f) assurer que les personnes en charge des opérations d’une zone, unité ou installation soient informées des travaux qui sont réalisés dans leur site de travail ; g) assurer que les mesures de prévention et de protection préconisées dans les permis sont effectivement en place avant que le démarrage des travaux soit autorisé ; h) assurer que les travaux démarrent et se réalisent dans les conditions de sécurité et sans mettre en danger l’environnement ; i) afficher les permis en un coordination pour un meilleur travaux en cours ;
point central de suivi de tous les
j) permettre la réalisation de travaux simultanés (Opérations Simultanées ou SIMOPS) en sécurité et en connaissance de l’autorité de zone ;
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k) assurer un transfert de responsabilité entre les équipes de quart/poste (Passation de consignes) ; l) assurer que les travaux sont achevés en sécurité ; m) assurer que les équipements ou installations dans lesquels les travaux ont été réalisés sont remis à leur état initial ; n) transférer formellement la responsabilité de l’unité aux responsables de l’exploitation ; et o) auditer le système pour permettre de déceler les lacunes et procéder aux améliorations nécessaires.
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4 – Réglementation Algérienne et Politique HSE du Groupe Sonatrach 4.1 Réglementation Algérienne Le système de permis de travail s’appuie sur la Réglementation Algérienne qui regroupe les lois, décrets, arrêtés et circulaires suivants : Loi No. 88-07 du 26 janvier 1988 relative à l’hygiène, à la sécurité et à la médecine du travail. Article 3.- L’organisme employeur est tenu d’assurer l’hygiène et la sécurité aux travailleurs. Article 6.- Le travailleur doit bénéficier des vêtements spéciaux, équipements et dispositifs individuels de protection d’une efficacité reconnue. Article 7.- Tous les outils, machines et installations de travail doivent être appropriés aux travaux à effectuer et à la prévention des risques auxquels les travailleurs peuvent être exposés. Article 19.L’organisme employeur est tenu d’assurer aux travailleurs l’instruction, l’information et la formation relatives aux risques professionnels.
Décret exécutif No. 91-05 du 19 janvier 1991 relatif aux prescriptions générales de protection applicables en matière d’hygiène et de sécurité en milieu de travail. Article 12.- Les travaux effectués en espaces fermés ne peuvent être autorisés qu’après : 9
assainissement de l’atmosphère par un système de ventilation appropriée,
9
protection des travailleurs avec des dispositifs de sécurité adéquats, et
9
surveillance fermé.
par
un
travailleur
à
l’extérieur
de
l’espace
Article 33.Les passerelles, planchers et plates-formes en surélévation, les échafaudages et moyens d’accès doivent être pourvus de garde-corps rigides comportant une lisse, une sous lisse et une plinthe. Article 46.- Les travaux de maintenance susceptibles de provoquer l’incendie ou l’explosion doivent faire l’objet d’une surveillance particulière. Article 65.- Les machines et les mécanismes dangereux doivent faire l’objet de visites, vérifications et entretiens par un personnel habilité désigné par l’organisme employeur.
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Décret exécutif n° 02-427 du 7 décembre 2002 relatif aux conditions d’organisation de l’instruction, de l’information et de la formation des travailleurs dans le domaine de la prévention des risques professionnels. Article 9. — En fonction des risques d’explication des mesures de sécurité organisées en milieu de travail.
à prévenir, des séances prescrites doivent être
Article 10. — La formation à la sécurité a pour objet de doter les travailleurs des connaissances nécessaires en matière de prévention des risques professionnels et les dispositions à prendre en cas d’accident de travail ou de sinistre.
Décret exécutif n° 01-342 du 28 octobre 2001 relatif aux prescriptions particulières de protection et de sécurité des travailleurs contre les risques électriques au sein d’organismes employeurs. Article 4. — Classification des installations électriques en fonction des tensions. Article 61. — L’employeur doit assurer la formation des travailleurs effectuant des travaux, sur des installations hors tension ou sous tension, ou au voisinage d’installations comportant des parties actives nues sous tension. Article 63. – L’employeur ne peut confier les travaux ou opérations sur des installations ou à proximité de conducteurs nus sous tension qu’à des personnes qualifiées. Article 64. – Pour l’exécution des travaux hors tension, la partie de l’installation sur laquelle ils sont effectués doit être préalablement consignée.
Décret présidentiel n° 05-117 du 11 avril 2005 relatif aux mesures de protection contre les rayonnements ionisants. Décret exécutif n°05-08 du 8 janvier 2005 relatif aux prescriptions particulières applicables aux substances, produits ou préparations dangereuses en milieu de travail. Circulaire N° 01 du 18 juillet 1993 de la Direction de la Protection du Patrimoine relative aux prescriptions techniques pour piquage en charge sur les ouvrages de transport d’hydrocarbures liquides, liquéfiés et gazeux et ouvrages annexes. Note Circulaire N° 05/CAB/DPP/2005 du 24 Juin 2005 du Ministère de l’Energie et des Mines relative aux accidents par électrocution.
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Directives Habilitation Electrique - Rev. 1 du 13 Février 2005 relatives à la mise en œuvre du plan d’action afférent à la prévention du risque électrique dans le Groupe Sonatrach. 4.2 Politique HSE (Santé, Sécurité et Environnement) du Groupe Sonatrach Dans sa politique HSE (Voir Annexe 1 – Intégralité de la déclaration de politique HSE du Groupe Sonatrach), le Groupe Sonatrach déclare solennellement : 9 Se conformer aux dispositions légales et réglementaires en matière de Santé, Sécurité et Environnement et à élaborer ses propres standards dans ce domaine. 9 Développer une démarche préventive de gestion des risques d’accidents, d’atteintes à la santé au travail et à l’environnement. 9 Veiller à l’évaluation et à l’amélioration continue des ses performances en matière de Santé, de Sécurité et d’Environnement. 9 Développer l’information et la communication en matière de Santé, de Sécurité et d’Environnement envers ses employés, ses partenaires et toutes autres parties tierces.
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5 – Rôle et responsabilités des structures HSE ou sécurité 5.1 Le Département HSE Le Chef de Département HSE est responsable de : a) l’organisation des audits à la demande du Directeur de la Division Production ou des structures gestionnaires de patrimoine, b) la révision du système de permis de travail; et c) Procéder au reporting à la Direction Centrale HSE des anomalies ayant entraîné à réviser le système de permis de travail et ce afin de procéder à une éventuelle révision du référentiel du permis de travail. 5.2 Structures HSE ou Sécurité des sites de la Division Production Les Chefs de Division Sécurité ou HSE des sites de la Division Production sont responsables de : a) l’accompagnement des structures gestionnaires de patrimoine dans l’adaptation des systèmes de permis de travail; b) la diffusion adaptés ;
des
systèmes
de
permis
de
travail
c) l’accompagnement des structures gestionnaires de patrimoine dans la mise en oeuvre des systèmes de permis de travail adaptés ; et d) la réalisation d’audit programmé ou demandé par la hiérarchie.
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6 – Rôle et responsabilités des personnes clés du système de permis de travail Les personnes clés du système de permis de travail ont la responsabilité d’appliquer et de diriger l’ensemble des dispositions du système et de veiller à son audit et à sa révision d’une manière régulière pour atteindre les objectifs assignés. Les gestionnaires du système de permis de travail sont : les Asset Managers, les Autorités de Zone, les Responsables HSE ou Sécurité de site et les coordinateurs de permis de travail. 6.1 Asset Manager
:
Les principales responsabilités de l’Asset Manager sont : a)
la mise en œuvre et l’application de l’ensemble des procédures et des dispositions du système du permis de travail ;
b)
l’identification des autorités de zone ;
c)
la mise en place d’un système de formation et d’habilitation des personnes signataires du permis de travail ;
d)
l’endossement pour la réalisation potentiellement dangereux ;
e)
la réalisation des enquêtes approfondies suite aux accidents ou incidents dont la cause est imputable à la rupture de la chaîne de contrôle du système de permis de travail ;
f)
l’audit périodique de l’application du système de permis de travail ; et
g)
la revue et l’amélioration continue du système de permis de travail.
de
travaux
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6.2 Autorité de Zone Le rôle et les consistent à :
responsabilités
de
l’Autorité
de
Zone
a) mettre en œuvre les procédures et les dispositions du système de permis dans sa zone de compétence ; b) approuver les permis et les évaluations de risques et ce, selon la matrice d’approbation des permis ; c) désigner ses représentants évaluations de risques approfondies ;
pour réaliser préliminaires
les et
d) désigner ses représentants signataires du permis de travail ; et e) auditer le système de permis de travail selon le programme établi. 6.3 Responsable de la structure HSE ou Sécurité Le rôle et les responsabilités Structure HSE (Santé, Sécurité Sécurité consistent à :
du responsable de et Environnement)
la ou
a) conseiller l’Asset Manager ; b) designer ses représentants signataires du permis de travail ; c) diriger les évaluations de risques ; d) approuver les permis et les évaluations de risques et ce, selon la matrice d’approbation de permis ; e) assurer le support technique aux gestionnaires et signataires du permis de travail ; f) vérifier que les mesures de contrôle prescrites sur les permis sont adéquates et veiller à leur mise en œuvre effective sur site ; g) assurer la formation, le recyclage et les tests de compétence des signataires du permis de travail ; h) maintenir à jour les registres des personnes autorisées à signer les permis ainsi que celles ayant une habilitation électrique ;
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i) assurer l’archivage des permis et certificats ; j) auditer le système de permis de travail selon le programme établi ou à la demande de l’Asset Manager ; et k) réviser périodiquement le système de permis de travail et suggérer des améliorations à l’Asset Manager. 6.4 Coordinateur de permis de travail Le coordinateur de permis de travail peut être une personne de l’encadrement désignée par l’Autorité de Zone pour assurer la coordination : 9 à plein temps, si le nombre de permis l’exige, ou 9 en plus des autres activités qui lui sont affectées. Le coordinateur de permis de travail assure une liaison avec : 9 le demandeur/initiateur de permis, 9 les spécialistes (exploitation, production, maintenance, sécurité) qui définissent, vérifient et mettent en œuvre les mesures de prévention et de protection ; et 9 le personnel de la zone, dans laquelle les travaux sont effectués, qui doit connaître la nature des travaux en cours de planification et des travaux en cours d’exécution. Les principales responsabilités du coordinateur de permis de travail sont : a) la vérification des permis, le rejet des permis lorsqu’ils contiennent des erreurs, et l’indication des problèmes au demandeur/initiateur ; b) la gestion de tous les permis de travail et les documents associés et le maintien de toutes ces données dans un état qui représente correctement les travaux en cours ; et c) l’enregistrement de l’achèvement des travaux et de l’annulation des permis et certificats.
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7 – Rôle et Responsabilités des signataires du permis de travail Chaque permis de travail doit être signé par plusieurs personnes qui jouent chacune un rôle différent dans l’établissement des mesures de prévention et de protection sur le site de travail. Ces personnes font parties de trois catégories principales : 1. Celles qui sont à l’origine des permis de travail, c'est-à-dire les demandeurs/initiateurs. 2. Celles qui : a. analysent la teneur des travaux ; b. vérifient les dates prévues de démarrage et de fin des travaux ; c. participent et font participer les intéressés aux évaluations de risques préliminaires et approfondies ; d. définissent les protection ; et
mesures
de
prévention
et
e. donnent leur accord pour le démarrage travaux ou confirment que ceux-ci ont achevés.
de
des été
3. Celles qui sont responsables de l’exécution et qui ont la responsabilité de respecter et de faire respecter par leur personnel toutes les mesures de prévention et de protection du permis. N.B. Les personnes qui signent le permis de travail, quel que soit leur titre, doivent être formées, évaluées et jugées compétentes en tant que signataires du permis.
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7.1 Demandeur/initiateur de permis de travail Le demandeur/initiateur de permis de travail est la personne qui fait la demande ou initie le permis de travail, il doit être un employé de la structure où le travail est entrepris. Les responsabilités du demandeur/initiateur du permis de travail consistent à : a) renseigner avec le plus de détails et de précisions possible la première section du permis ; b) soumettre le permis au coordinateur de permis avant la date prévue de démarrage des travaux, de 24 heures au minimum ; afin que les autres signataires aient le temps d’étudier, de faire les évaluations de risques nécessaires, et d’approuver le permis. (Les travaux d’urgence sont exemptés de cette exigence) ; et c) désigner un Responsable d’Exécution. Le demandeur/initiateur peut être le responsable d’exécution. Par contre, il ne peut pas signer en tant qu’Autorité de Zone. 7.2 Représentants de l’Autorité de Zone. Leur rôle et leurs responsabilités consistent à : a) réviser les données présentées par le demandeur/initiateur relatives au travail, les méthodes, les outils à utiliser et le personnel d’exécution ; b) identifier les dangers, préconiser les isolements d’énergie, préparer les installations pour les travaux, assurer la coordination des co-activités, et préconiser les mesures de prévention et de protection en collaboration avec le représentant de la structure HSE ou Sécurité ; c) déterminer si une évaluation approfondie est nécessaire ;
de
d) vérifier sur site que toutes les prévention et de protection sont en d’autoriser le début du travail ;
risques
plus
mesures de place avant
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e) suspendre les travaux dans le cas de non observation des mesures de prévention et de protection du permis ; et f) confirmer l’achèvement des travaux et la remise du site de travail à son état initial. 7.3 Représentants du responsable de la structure HSE ou Sécurité Leur rôle et leurs responsabilités consistent à : a) initier, coordonner et faciliter la réalisation des évaluations de risques ; b) déterminer les besoins en matériels de protection ; c) déterminer le besoin d’avoir surveillance sécurité sur site ;
du
personnel
de
d) vérifier que les mesures de prévention et de protection sont adéquates et sont effectivement en place ; e) assurer la couverture (monitoring) des travaux lorsque le permis l’exige et effectuer des contrôles inopinés durant les travaux ; f) suspendre les travaux dans le cas de non observation des mesures de prévention et de protection du permis ; et g) réaliser des audits. 7.4 Contrôleur d’atmosphère Le contrôleur d’atmosphère est la personne habilitée à utiliser des appareils (explosimètres, détecteur d’oxygène, détecteurs de gaz toxique, détecteurs multi gaz) pour analyser l’atmosphère de travail. Le contrôleur d’atmosphère doit être une personne formée, évaluée et jugée compétente par la Structure HSE ou Sécurité et habilitée par l’Asset Manager. Les contrôleurs d’atmosphère peuvent être des personnes issues des structures techniques de maintenance ou des autorités de zone.
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Les principales responsabilités d’atmosphère consistent à :
du
contrôleur
a) s’assurer que les appareils de mesure utilisés sont dans un bon état de service et ont subi avec succès l’épreuve de calibration ou d’étalonnage ; b) se conformer aux exigences du permis en matière de contrôle d’atmosphère ; c) enregistrer les résultats des contrôles d’atmosphère sur le permis de travail ; et d) arrêter le travail et attirer l’attention de l’Autorité de Zone et du Responsable d’Exécution de toute concentration de gaz jugée dangereuse. 7.5 Rôle et responsabilités des services techniques. Les services techniques sont les services spécialisés (électricité, télécommunications / informatique, contrôle / instrumentation, génie civil) dont les avis et contrôles techniques sont nécessaires pour la sécurité des travaux. 7.5.1 Service électricité est chargé de : a) participer aux nécessaire) ;
évaluations
de
risques
(si
b) spécifier les isolements électriques si les travaux comprennent des équipements électriques ; c) consigner les isolements électriques effectués sur les certificats de consignation électriques ; d) confirmer les isolements électriques effectués sur les certificats de confirmation d’isolement ; e) agir, selon les spécificités de chaque structure, en tant qu’Autorité de Zone dans les locaux réservés aux électriciens, des postes de transformations et des lignes électriques aériennes ; et f) approuver les permis de travail électrique, les permis de limitation d’accès et les permis de test sur équipement électrique.
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N.B. L’identification des câbles électriques spécification des mesures de précaution et du permis d’excavation sont doivent être à service le mieux indiqué et ce, selon les organisationnelles de chaque structure.
enterrés, la la signature la charge du spécificités
7.5.2 Service télécommunication/informatique est chargé de : a) participer aux nécessaire) ;
évaluations
de
risques (si
b) agir, selon les spécificités de chaque structure, en tant qu’Autorité de Zone dans les locaux réservés aux instruments de télécommunications, matériels informatiques; et c) identifier les câbles de télécommunication informatique enterrés, spécifier les mesures précaution et signer le permis d’excavation.
ou de
7.5.3 Service instrumentation/contrôle est chargé de : a) participer aux nécessaire) ;
évaluations
de
risques (si
b) consigner les isolements électriques des instruments de contrôle et de commande effectués sur les certificats d’isolements électriques ; c) confirmer les isolements électriques des instruments de contrôle et de commande sur les certificats de confirmation d’isolement ; et d) identifier les câbles de commande/instrumentation enterrés, spécifier les mesures de précaution et signer le permis d’excavation. 7.6 Responsable d’Exécution. Le Responsable d’Exécution doit être une personne dûment formée, évaluée et jugée compétente pour son rôle, ses responsabilités consistent à : a) informer son personnel des risques liés à leur travail et des mesures de prévention et de protection nécessaires pour le bon déroulement du travail ;
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b) respecter et faire respecter par l’ensemble de son personnel les mesures de prévention et de protection préconisées sur le permis de travail et ce, en permanence durant toute la période de validité du permis ; c) accepter les conditions du permis en signant la case sur le permis, réservée à cet effet ; d) être en possession de l’original du permis durant l’exécution des travaux ; e) assurer une supervision permanente du chantier ; f) transférer la responsabilité du chantier dans le cas de besoin, avec l’accord de l’Autorité de Zone, à un remplaçant dûment qualifié ; et g) déclarer la fin du travail et la remise du site dans un état de sécurité, d’ordre et de propreté acceptable par l’Autorité de Zone.
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8 – Domaine d’application du système de permis de travail Le système de permis de travail est applicable à tous les travaux : 9 dont les dangers dangereux ; ou
associés
sont
potentiellement
9 qui nécessitent l’intervention de plusieurs équipes d’exécution (opérations simultanées) et la prise de précautions supplémentaires de communication. 8.1 Travaux dont les dangers associés sont potentiellement dangereux Les travaux dont les dangers dangereux sont les travaux : 9 9 9 9 9 9 9 9 9 9 9 9 9 9
sont
potentiellement
à la chaleur ; en hauteur (Supérieure à 2 mètres) ; de levage ; d’excavation ; en espace confiné ; électriques ; avec des matériaux radioactifs ; de manipulation et de transport de produits dangereux ; sur des systèmes en pression ; utilisant des engins ; sur puits de pétrole ou de gaz ; sur des équipements ou système à températures extrêmes ; avec risques de démarrage accidentel d’appareils mécaniques ; et avec risques de pollution.
Cette liste n’est pas limitative, tout autre travail jugé dangereux peut être rajouté à cette liste.
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8.2 Travaux routiniers à faibles risques Les travaux routiniers à faibles risques sont soumis à l’obtention d’un permis pour travaux routiniers. Les travaux routiniers sont les travaux dont : 9 la fréquence de répétition est élevée ; 9 l’étendue de travail est bien définie ; 9 les risques associés sont faibles ; 9 la réalisation ne nécessite mécanique ou électrique ;
pas
d’isolement
9 le personnel d’exécution a une bonne connaissance des installations ; et 9 le contrôle de l’exécution du travail peut se faire par des précautions prédéfinies. Des exemples de travaux routiniers sont : 9 Des travaux de maintenance programmée dans des zones non dangereuses (non classées). 9 Des remplacements, réparations ou vérifications de systèmes téléphoniques dans des zones non dangereuses (non classées). Le permis pour travaux routiniers doit inclure la spécification des travaux, les dangers identifiés et les précautions à prendre. Les équipements de protection individuelle et les points critiques de sécurité doivent être spécifiés en collaboration avec la structure HSE ou Sécurité. L’Autorité de Zone est responsable de la préparation de la liste des travaux à faible risque et qui peuvent être soumis à ce permis. Cette liste sera soumise au responsable de la structure HSE ou Sécurité pour étude et approbation, et à l’Asset Manager pour endossement. La durée de validité maximale du permis pour travaux routiniers est de 12 mois . Le permis doit être renouvelé à chaque fin de période de validité.
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Cependant, l’autorisation de travailler sous ce permis doit être obtenue de l’autorité de zone à chaque fois que cela s’avère nécessaire et ce, avec enregistrement sur le registre des travaux. Un ordre de travail doit être présenté avec le permis pour travaux routiniers pour être autorisé à travailler. L’imprimé du permis pour travaux routiniers (Voir Annexe 2) comporte un original et une copie. L’original (qui doit être plastifié, pour une meilleure conservation) est remis à la personne ou l’équipe exécutante la tache. La copie reste dans le fichier de l’Autorité de Zone. 8.3 Travaux d’urgence Les travaux d'urgence destinés à éliminer un risque de dommage imminent ou grandissant ne seront pas soumis aux procédures normales d’obtention de permis. Les permis seront signés sur site en présence de l’Autorité de Zone et du responsable de la structure HSE ou Sécurité. Ceci ne déroge pas à la réalisation des évaluations de risques ainsi que la prise des mesures de prévention et de protection pour que les travaux soient entrepris dans les meilleures conditions de sécurité. 8.4 Travaux dispensés du permis de travail Un permis de travail n’est pas obligatoire pour : 9 les opérations se limitant aux contrôles visuels, aux visites externes d’inspection ou de sécurité en dehors des espaces confinés ; ou 9 les opérations de installations ; ou
contrôle
de
fonctionnement
des
9 les interventions d’entretien, sans feu nu, sans génération d’étincelles, et ne nécessitant ni consignation, ni condamnation, effectuées par du personnel placé sous l’Autorité de Zone. Une liste de travaux dispensés du permis de travail doit être élaborée au niveau de chaque structure gestionnaire de patrimoine, et doit être mise à jour dès que cela s’avère nécessaire. Cependant, toutes ces interventions sont néanmoins subordonnées à une autorisation verbale obligatoire d’un représentant de l’Autorité de Zone qui vérifie si les travaux peuvent être entrepris sans danger.
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9 – Contenu des formulaires du système de permis de travail La plus grande partie du système de permis de travail est composée des formulaires de permis et de certificats. Les formulaires utilisés couvrent plusieurs types de dangers. Les deux principaux formulaires sont le permis de travail à froid et le permis de travail à chaud. Il arrive très souvent que plusieurs permis soient nécessaires pour l’exécution d’un travail. Il est essentiel qu’à chaque phase du travail, le permis correspondant soit émis (travail à froid, travail à chaud, permis pour travaux en hauteur ou permis de pénétrer). Si le besoin d’un permis de travail n’est pas clair, doit supposer qu’un tel permis est requis, jusqu'à qu’une clarification soit reçue de l’Autorité de Zone, la structure HSE ou Sécurité ou du coordinateur permis.
on ce de de
Tous les permis et certificats sont conçus avec le même principe, l’ordre des sections est en relation avec l’ordre de mise en œuvre. Les principales sections du permis de travail à chaud sont : Section 1 : Réservée à l’initiateur ou au demandeur du permis qui doit : a) préciser l’endroit où les travaux seront effectués ; décrire les travaux en joignant des procédures et des plans ; b) lister les outillages et équipements utilisés ; c) indiquer la date et l’heure de début et de fin des travaux prévue ; et d) mentionner le nom du responsable d’exécution. Section 2 : Tous les permis et certificats associés au permis de travail doivent être enregistrés dans cette section pour permettre une meilleure coordination et suivi des travaux et des isolements.
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Section 3 : Cette section est réservée à l’évaluation de risques qui est le cœur du système du permis de travail, elle est une démarche collective, elle doit être réalisée avant l’exécution de tout travail. L’évaluation de risques est une analyse systématique des tâches qui composent un travail dans le but de cerner les risques potentiels, d'évaluer leur niveau et de développer des mesures de prévention et de protection pour réduire ces risques à un niveau acceptable et permettre l’exécution du travail en toute sécurité. La procédure d’évaluation de risques plus de détails dans le chapitre 13.
est
décrite
avec
L’évaluation de risques doit être réalisée par une équipe pluridisciplinaire, les membres de l’équipe doivent avoir les connaissances et compétences nécessaires à l’évaluation des risques du travail concerné. Les travaux les plus dangereux doivent être soumis à une évaluation de risques approfondie qui doit être approuvée par l’Autorité de Zone et le responsable de la structure HSE ou Sécurité et endossée par l’Asset Manager. Les travaux listés ci-dessus sont considérés dangereux, cette liste n’est pas exhaustive, elle peut contenir tout autre travail jugé dangereux par l’Asset Manager : a) Piquage en charge (hot tapping); b) Grenaillage ou sablage d’installations en service ; c) Transport (opération de levage) de charge au dessus de : 1. Personnes 2. Infrastructures 3. Installations de production en service d) Transport (opération de levage) de charge au voisinage d’installations électriques non isolées ; e) Travaux de nuit extérieures ; et
effectués
f) Serrage sous pression.
par
des
entreprises
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Section 4 : Tous les isolements en place sont enregistrés dans cette section (Les isolements process, les isolements mécaniques ou positifs ainsi que les isolements électriques). Les certificats de consignation électrique et les certificats de confirmation d’isolement sont référenciés dans cette section également. Section 5 : L’Autorité de Zone ou leurs représentants et le Responsable de la Structure HSE ou Sécurité ou leurs représentants après vérification des résultats de l’évaluation de risques ainsi que les mesures de prévention et de protection préconisées, approuvent le permis. Une matrice d’approbation des différents types de permis doit être établie et approuvée par l’Asset Manager. Le système de permis de travail utilise un système étagé dans lequel le niveau de responsabilité requis pour approuver un permis de travail augmente en fonction du caractère potentiellement dangereux des travaux envisagés. Zone Identifier la zone
PTF Préciser qui doit approuver
PTC ………..
PP
PE
…………
Identifier la zone Identifier la zone
Exemple de Matrice d’approbation des permis PTF (Permis de travail à froid) PTC (Permis de travail à chaud) PP (Permis de pénétrer dans un espace confiné) PE (Permis d’excavation)
Section 6 : Dans Cette section le contrôleur d’atmosphère enregistre les résultats des prises d’atmosphère initiales. Ces contrôles doivent être effectués conformément aux exigences de l’évaluation de risques. Quand il est spécifié de refaire les contrôles d’atmosphère durant les travaux, les résultats des renouvellements des contrôles seront enregistrés sur le permis.
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Section 7 : Le Représentant de l’Autorité de Zone délivre pour la première période de validité le permis, il précisera la durée de validité du permis et ce, après avoir vérifié personnellement que toutes les mesures de prévention et de protection spécifiées sur le permis sont en place. Section 8 : Le Responsable d’exécution signe la partie qui lui est réservée et déclare avoir bien compris ses responsabilités et s’engage à respecter et à faire respecter par son personnel toutes les mesures de prévention et de protection préconisées sur le permis de travail et ce, en permanence durant toute la période de validité du permis. Section 9 : Les renouvellements d’approbation du permis et des contrôles d’atmosphère, et les autorisations de continuation/reprise de travail sont enregistrés dans cette section du permis. Les autorisations de continuation/reprise de travail sont données à chaque changement de quart/poste. Le contrôle d’atmosphère doit être effectué aussi après chaque interruption de travaux pour les travaux à chaud ou de pénétrer. Les raisons d’interruption de travaux sont différentes à celles énumérées dans la partie 10.3 de ce document. Le représentant de l’Autorité de Zone doit autoriser le changement de responsable d’exécution. Section 10 : Cette section est réservée à la déclaration des raisons qui sont la cause de la suspension du travail et à l’annulation du permis. Section 11 : Le Responsable d’Exécution déclare l’achèvement du travail et la remise du site à son état initial avant le début du travail.
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Section 12 : Le Représentant de l’Autorité de Zone déclare avoir vérifié l’état du site de travail et l’avoir trouvé dans un état satisfaisant de sécurité. Section 13 : Cette section est réservée à l’enregistrement de la fin du travail et à l’annulation du permis.
Il est à noter que les différents permis et certificats doivent être lisibles et sans ratures.
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10 – Mise en œuvre du permis de travail Le permis de travail doit être demandé ou initié par du personnel de la structure. La demande doit être introduite 24 heures au minimum avant la date de début des travaux prévue. Le permis l’objet :
de
travail
(toutes
les
copies)
qui
a
fait
a) d’une approbation par l’Autorité Zone ou son représentant et le Responsable de la Structure HSE ou Sécurité ou son représentant ; et b) d’un endossement nécessaire ;
par
l’Asset
doit être remis au coordinateur de émission dans le registre des permis.
Manager,
permis
pour
si
son
10.1 Délivrance du permis et distribution des copies Le permis approuvé sera ensuite délivré par le représentant de l’Autorité de Zone au Responsable d’Exécution sur le site de travail. Le Représentant de l’Autorité de Zone remet l’original du permis au Responsable d’Exécution qui doit toujours l’avoir en sa possession ou l’afficher sur le chantier ; Les autres copies seront remises au coordinateur permis pour leur distribution selon les exigences chaque type de permis. Toutes les copies des permis la fin de chaque période permettre la revalidation ou de travail et de l’annulation
de de
doivent être rassemblées à de validité et ce, pour l’enregistrement de la fin du permis.
Voir Annexe 3 (Schéma de principe général de traitement d’un permis de travail) 10.2 Supervision durant l’exécution des travaux Pendant la durée des travaux, le Responsable d’Exécution, le Représentant de l’Autorité de Zone et le Représentant de la Structure HSE ou Sécurité vérifieront la satisfaction de toutes les conditions du permis.
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Les résultats des contrôles effectués par la Structure HSE ou Sécurité durant les travaux seront enregistrés au sur le permis. 10.3 Suspension du permis 10.3.1 Suspension en cas d’alarme Tous les permis seront suspendus en cas les travaux en cours doivent être arrêtés et la sécurité des installations établie. doivent être retournés au point central de permis.
d’alarme, tous de manière sûre Tous les permis de coordination
La reprise du travail ne sera possible qu’après autorisation par les représentants de l’Autorité de Zone. 10.3.2 Autres cas de suspension Le permis doit être suspendu, et le permis annulé, si a) la nature du travail change ; ou b) de nouveaux équipements, outillages, procédures sont introduits ; ou
produits,
c) le personnel d’exécution est jugé incompétent ; ou d) les mesures de prévention et de protection deviennent insuffisantes (risques non identifiés ou sous estimés lors de l’évaluation de risques) ; ou e) les mesures de prévention et de protection ne sont plus respectées sur le site de travail. Cette liste n’est pas limitative, le permis peut être suspendu pour tout autre condition qui mettrait en danger les hommes, les biens et l’environnement. Les raisons de l’annulation du permis doivent être mentionnées sur le permis dans la section réservée à la suspension du permis. Toutes les copies du permis doivent être rassemblées et l’annulation prononcée. Un nouveau permis sera émis pour terminer le travail.
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10.4 Enregistrement de la fin de travail et l’annulation du permis Dès que tous les travaux ont été achevés et que le chantier est restitué à l’état initial, l’original du permis est remis par le Responsable d’Exécution au point central de coordination des permis. Toutes les copies (y compris la copie remise à la Structure HSE ou Sécurité) du permis seront rassemblées par le coordinateur de permis. Une fois toutes les copies du permis réunies, le Responsable d’Exécution déclare la fin des travaux, en signant dans la section correspondante sur le permis. Le Représentant de l’Autorité de Zone doit aussi signer dans la section qui lui est réservée pour confirmer l’achèvement des travaux et la restitution de l’équipement/installation à son état initial. Le coordinateur de permis procède par la suite à l’enregistrement de la fin du travail sur le registre des permis et à l’annulation du permis ainsi que tous les permis et certificats associes à ce permis. Les permis et certificats annulés doivent être envoyés à la structure HSE ou Sécurité pour archivage. 10.5 Archivage Les permis et niveau de la durée d’une doivent être récupération d’enquête sur
certificats annulés doivent être gardés au structure HSE ou Sécurité et ce, pour une année. Des moyens d’archivage adéquats prévus. Ces moyens doivent permettre une facile des archives en cas d’audit ou un incident/accident.
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11 - Organisation de la gestion des permis de travail 11.1 Point central de coordination Un point central de coordination doit être désigné, de préférence en salle de contrôle ou dans le bâtiment de contrôle, à travers duquel tous les permis de travail doivent passer entre chaque étape de préparation. Ceci permet à l’Autorité de Zone et au coordinateur de permis de vérifier que les nouveaux permis ne sont pas en conflit avec les travaux en cours d’exécution, et d’être au courant de tous les travaux en cours de réalisation dans l’unité. Le point central de coordination permet l’affichage continu des travaux en cours, il doit être facile d’accès. 11.2 Principe de fonctionnement du point central de coordination Tous les permis et certificats d’isolement et de consignation doivent être affichés pour permettre aux opérationnels : a) d’identifier facilement les équipements qui ne sont pas disponibles ; b) de déterminer les équipements/installations qui sont isolés ainsi que leur méthode d’isolement ; et c) de se maintenir informé des travaux de maintenance en cours. Le reste du personnel peut également acquérir une vue d’ensemble des isolements actuels de l’équipement/installation, suivre l’avancement des permis de travail sur l’ensemble de l’unité, et évaluer les besoins futurs de planification/permis pour les zones qui les intéressent. Le coordinateur de permis ou tout autre personne désignée par l’Autorité de Zone pour assurer la coordination est responsable de la gestion du point central de coordination des permis et certificats.
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La dimension et la disposition du point central de coordination des permis et certificats doit tenir compte du nombre de permis et certificats à gérer, et doit répondre aux exigences suivantes : a) une séparation physique doit être établie entre le coordinateur et les clients (demandeurs/initiateurs et responsables d’exécution) de permis de travail, de façon que les données affichées ne puissent être modifiées que par le personnel autorisé ; et b) il est nécessaire que les clients soient capables de s’approcher du comptoir du point central de coordination des permis sans devoir enlever les habits de travail (c'est-à-dire les bottes et les bleus de travail), et que les affichages soient faciles à lire par tous ceux concernés par le permis de travail. 11.3 Registre des signatures des permis de travail Une des exigences fondamentales du système de permis de travail est que les détails des personnes et les niveaux de compétence de tout le personnel qui est autorisé à signer les permis de travail, quel que soit leur qualité, soient enregistrés dans les registres des signatures qui sont maintenus comme suit : 1er registre sera maintenu et mis à jour au niveau de la structure HSE ou Sécurité. 2eme registre sera maintenu et mis à jour au niveau du coordinateur de permis. 11.4 Système d’affichage des permis de travail Un système d’affichage à montage mural, sur lequel les copies de tous les permis et certificats pour les travaux en cours d’exécution sont affichées. Il doit être disposé en colonnes verticales et en rangées horizontales (affichage subdivisé en zone), de façon que l’emplacement et l’état de chaque permis soit visible immédiatement, et que les catégories principales d’état des permis puissent être identifiées facilement.
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12 – Formulaires du système de permis de travail 12.1 Liste des permis et certificats 12.1.1 Liste des permis Permis de travail à froid (Annexe 4) Permis de travail à chaud (Annexe 5) Permis de pénétrer dans un espace confiné (Annexe 6) Permis d’excavation (Annexe 7) Permis de radiographie (Annexe 8) Permis de travaux en hauteur (Annexe 9) Permis d’opérations de levage (Annexe 10) Permis d’entrer pour véhicule/engin (Annexe 11) Permis de fermeture provisoire de route (Annexe 12) Permis de travail sur équipement électrique (Annexe 13) 9 Permis de limitation d’accès (Annexe 14) 9 Permis de test sur équipement électrique haute tension (Annexe 15) 9 Permis de mise en service d’un équipement/système (Annexe 16) 9 9 9 9 9 9 9 9 9 9
12.1.2 Liste des certificats 9 Certificat de consignation électrique (Annexe 17) 9 Certificat de confirmation d’isolement (Annexe 18) 9 Certificat d’échafaudage (Annexe 19)
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12.2 Permis de travail à froid Le permis de travail à froid est établi pour les travaux n’utilisant pas une flamme, ne générant pas d’étincelles ou n’émettant pas de chaleur. Les équipements électriques et les instruments de mesures utilisés doivent être intrinsèquement sûrs. 12.2.1 Durée de validité La période maximale d’approbation possible du permis de travail à froid est de 7 jours consécutifs. L’Autorité de Zone et le Responsable de la Structure HSE ou Sécurité déterminent la période d’approbation du permis et ce, en fonction des particularités du travail. Le permis doit être délivré (autorisation pour travailler) pour une période ne dépassant pas la durée d’un quart/poste , il doit être revalidé à chaque transfert de responsabilité entre quart/poste (Passation de consignes). La délivrance du permis doit être en conformité avec la période d’approbation du permis. 12.2.2 Imprimé 12.2.2.1 Couleur La couleur du permis de travail à froid est BLEUE. Toutes les copies du permis ont la même couleur. 12.2.2.2 Format Le format du permis de travail à froid est : A3. 12.2.2.3 Distribution des copies Le permis de travail à froid comporte un original et trois copies et sont distribués comme suit : Original
Responsable Exécution (En possession du Responsable d’Exécution)
Première copie
Autorité de Zone (Pour Affichage Point Central de Coordination des permis)
Deuxième copie
Autorité de Zone (Autorité de Zone)
Troisième copie
Structure HSE ou Sécurité (Pour suivi et audit)
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12.3 Permis de travail à chaud Le permis de travail à chaud est établi pour tous les travaux exigeant une flamme/feu nu ou pouvant être générateurs d’étincelles. Le permis de travail à chaud minimise le risque d’incendie ou d’explosion. Il assure une coordination entre les différentes structures concernées, il prévoit une activité de surveillance anti-incendie et un contrôle d’atmosphère obligatoire. 12.3.1 Durée de validité La durée maximale d’une approbation du permis de travail à chaud est de 24 heures au maximum , cette approbation peut être renouvelée sur le même permis pour 7 jours consécutifs. Le permis doit être délivré (autorisation pour travailler) pour une période ne dépassant pas la durée d’un quart/poste, il doit être revalidé à chaque transfert de responsabilité entre quart/poste (Passation de consignes). La délivrance du permis doit être en conformité avec la période d’approbation du permis. 12.3.2 Imprimé
12.3.2.1 Couleur La couleur du permis de travail à chaud est ROUGE. Toutes les copies du permis ont la même couleur. 12.3.2.2 Format
Le format du permis de travail à chaud est : A3. 12.3.2.3 Distribution des copies
Le permis de travail à chaud comporte un original et trois copies et sont distribués comme suit : Original
Responsable Exécution (En possession du Responsable d’Exécution)
Première copie
Autorité de Zone ( Pour Affichage Point Central d e Coordination des permis)
Deuxième copie
Autorité de Zone (Autorité de Zone)
Troisième copie
Structure HSE ou Sécurité (Pour suivi et audit)
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12.4 Permis de pénétrer dans un espace confiné Le permis de pénétrer est exigé pour toute entrée dans un espace confiné (réservoirs, récipients, capacités, colonnes) ou dans une excavation dont la profondeur est supérieure à 1.5 mètres. Un espace confiné est une enceinte qui n’est pas conçue pour que du personnel puisse l’occuper continuellement et qui possède une ou plusieurs caractéristiques suivantes : contient ou, a la capacité de contenir une atmosphère dangereuse ; ou contient des matériaux pouvant engouffrer la personne y accédant (sable, boue) ; ou a une configuration interne particulière au point que la personne entrante peut s’asphyxier suite à une diminution de section. Tout accès de la moindre partie du corps de la personne dans l’espace confiné est considéré comme entrée. Le permis de pénétrer dans un espace confiné détermine les conditions nécessaires à l’exécution d’une entrée de personnel dans un espace confiné sans danger et non à l’exécution d’un travail quelconque à l’intérieur de cette espace. 12.4.1 Durée de validité La durée maximale d’une approbation du permis de pénétrer dans un espace confiné est de 24 heures au maximum , cette approbation peut être renouvelée sur le même permis pour 7 jours consécutifs. Le permis doit être délivré (autorisation pour pénétrer) pour une période ne dépassant pas la durée d’un quart/poste, il doit être revalidé à chaque transfert de responsabilité entre quart/poste (Passation de consignes). La délivrance du permis doit être en conformité avec la période d’approbation du permis. 12.4.2 Imprimé
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12.4.2.1 Couleur La couleur du permis de pénétrer dans un espace confiné est VERTE. Toutes les copies du permis ont la même couleur. 12.4.2.2 Format Le format du permis de pénétrer dans un espace confiné est : A3 12.4.2.3 Distribution des copies Le permis de pénétrer dans un espace confiné comporte un original et trois copies et sont distribués comme suit : Original
Responsable Exécution (En possession du Responsable d’Exécution)
Première copie
Autorité de Zone ( Pour Affichage Point Central d e Coordination des permis)
Deuxième copie
Autorité de Zone (Autorité de Zone)
Troisième copie
Structure HSE ou Sécurité (Pour suivi et audit)
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12.5 Permis d’excavation Le permis d’excavation est nécessaire pour l’exécution de fouille, ouverture de tranchée, grattage, enfouissement, déplacement non habituel de sable ou de terre, et toute autre opération qui pourrait endommager les conduites, câbles ou ouvrages couverts ou enterrés. Les objectifs recherchés sont : permettre une meilleure communication entre tous les départements concernés avant de procéder aux excavations, fouilles, ouvertures de tranchées, forage ou déblaiement ; établir une procédure cohérente et bien documentée ; assurer que la mise à jour des plans et documents est effectuée après toutes modifications ; et fournir un système pour contrôler la travaux d’excavation en toute sécurité.
réalisation
des
12.5.1 Durée de validité La période maximale d’approbation possible du permis d’excavation est de 7 jours consécutifs . L’Autorité de Zone et le Responsable de la Structure HSE ou Sécurité déterminent la période d’approbation du permis et ce, en fonction des particularités du travail d’excavation. Le permis doit être délivré (autorisation pour travailler) pour une période ne dépassant pas la durée d’un quart/poste, il doit être revalidé à chaque transfert de responsabilité entre quart/poste (Passation de consignes). La délivrance du permis doit être en conformité avec la période d’approbation du permis. 12.5.2 Imprimé 12.5.2.1 Couleur La couleur du permis d’excavation est BLANCHE. Toutes les copies du permis ont la même couleur. 12.5.2.2 Format Le format du permis d’excavation est : A3
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12.5.2.3 Distribution des copies Le permis d’excavation comporte un original copies et sont distribués comme suit :
et
trois
Original
Responsable Exécution (En possession du Responsable d’Exécution)
Première copie
Autorité de Zone ( Pour Affichage Point Central d e Coordination des permis)
Deuxième copie
Autorité de Zone (Autorité de Zone)
Troisième copie
Structure HSE ou Sécurité (Pour suivi et audit)
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12.6 Permis de radiographie Le permis de radiographie est exigé lors d’opération de radiographie, il permet d’assurer la coordination entre les différentes structures concernées et fixe les conditions à respecter pour la réalisation de l’opération de radiographie en sécurité. 12.6.1 Durée de validité La durée maximale d’une approbation du permis de radiographie est de 24 heures au maximum , cette approbation peut être renouvelée sur le même permis pour 7 jours consécutifs. Le permis doit être délivré de radiographie) pour une durée d’un quart/poste, il transfert de responsabilité de consignes).
(autorisation pour le travail période ne dépassant pas la doit être revalidé à chaque entre quart/poste (Passation
La délivrance du permis doit être en conformité avec la période d’approbation du permis. 12.6.2 Imprimé 12.6.2.1 Couleur La couleur du permis de radiographie est JAUNE. Toutes les copies du permis ont la même couleur. 12.6.2.2 Format Le format du permis de radiographie est : A3 12.6.2.3 Distribution des copies Le permis de radiographie comporte un original et trois copies et sont distribués comme suit : Original
Responsable Exécution (En possession du Responsable d’Exécution)
Première copie
Autorité de Zone ( Pour Affichage Point Central d e Coordination des permis)
Deuxième copie
Autorité de Zone (Pour tout autre affichage ou destinataire jugé nécessaire)
Troisième copie
Structure HSE ou Sécurité (Pour suivi et audit)
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12.7 Permis de travaux en hauteur Le permis de travaux en hauteur est exigé pour tout travail exécuté à une hauteur de 2 mètres et plus et/ou le risque de chute est présent. Le permis de travaux en hauteur a pour objectif de déterminer les conditions applicables aux équipements de hauteur utilisés ainsi qu’aux utilisateurs des équipements en hauteur. 12.7.1 Durée de validité La période maximale d’approbation possible du permis de travaux en hauteur est de 7 jours consécutifs . L’Autorité de Zone et le Responsable de la Structure HSE ou Sécurité déterminent la période d’approbation du permis et ce, en fonction des particularités des travaux en hauteur. Le permis doit être délivré (autorisation pour travailler en hauteur) pour une période ne dépassant pas la durée d’un quart/poste, il doit être revalidé à chaque transfert de responsabilité entre quart/poste (Passation de consignes). La délivrance du permis doit être en conformité avec la période d’approbation du permis. 12.7.2 Imprimé 12.7.2.1 Couleur
La couleur du permis de travaux en hauteur est BLANCHE. Toutes les copies du permis ont la même couleur. 12.7.2.2 Format
Le format du permis de travaux en hauteur est : A3 12.7.2.3 Distribution des copies
Le permis de travaux en hauteur comporte un original et trois copies et sont distribués comme suit : Original
Responsable Exécution (En possession du Responsable d’Exécution)
Première copie
Autorité de Zone (Pour Affichage Point Central d e Coordination des permis)
Deuxième copie
Autorité de Zone (Autorité de Zone)
Troisième copie
Structure HSE ou Sécurité (Pour suivi et audit)
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12.8 Permis d’opérations de levage Le permis d’opérations de levage est nécessaire toute opération de manutention mécanique.
pour
Le permis d’opérations de levage consiste à identifier les dangers, les mesures de protection et les différents points (concernant les équipements et les hommes) à vérifier avant et pendant le levage. 12.8.1 Durée de validité La période maximale d’approbation possible du permis de d’opérations de levage est de 7 jours consécutifs . L’Autorité de Zone et le Responsable de la Structure HSE ou Sécurité déterminent la période d’approbation du permis et ce, en fonction des particularités des opérations de levage. Le permis doit être délivré (autorisation pour réaliser les opérations de levage) pour une période ne dépassant pas la durée d’un quart/poste, il doit être revalidé à chaque transfert de responsabilité entre quart/poste (Passation de consignes). La délivrance du permis doit être en conformité avec la période d’approbation du permis. 12.8.2 Imprimé 12.8.2.1 Couleur
La couleur du permis d’opérations de levage est BLANCHE. Toutes les copies du permis ont la même couleur. 12.8.2.2 Format
Le format du permis d’opérations de levage est : A3 12.8.2.3 Distribution des copies
Le permis d’opérations de levage comporte un original et trois copies et sont distribués comme suit : Original
Responsable Exécution (En possession du Responsable d’Exécution)
Première copie
Autorité de Zone (Pour Affichage Point Central d e Coordination des permis)
Deuxième copie
Autorité de Zone (Pour tout autre affichage ou destinataire jugé nécessaire)
Troisième copie
Structure HSE ou Sécurité (Pour suivi et audit)
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12.9 Permis d’entrer pour véhicule/engin Le permis d’entrer pour véhicule/engin est une autorisation pour permettre l’entrée de tout véhicule ou engin dans une zone classée ou réglementée. Le permis d’entrer pour véhicule/engin stipule les conditions à respecter par le conducteur ainsi que la conformité des véhicules et engins aux spécifications techniques particulières de sécurité. 12.9.1 Durée de validité La période maximale d’approbation possible du permis d’entrer pour véhicule/engin est de 7 jours consécutifs . L’Autorité de Zone et le Responsable de la Structure HSE ou Sécurité déterminent la période d’approbation du permis et ce, en fonction des particularités du permis d’entrer pour véhicule/engin. Le permis doit être délivré (autorisation pour entrer pour véhicule/engin) pour une période ne dépassant pas la durée d’un quart/poste, il doit être revalidé à chaque transfert de responsabilité entre quart/poste (Passation de consignes). La délivrance du permis doit être en conformité avec la période d’approbation du permis. 12.9.2 Imprimé
11.9.2.1 Couleur La couleur du permis d’entrer pour véhicule/engin est BLANCHE. Toutes les copies du permis ont la même couleur. 12.9.2.2 Format
Le format du permis d’entrer pour véhicule/engin est : A3 12.9.2.3 Distribution des copies
Le permis d’entrer pour véhicule/engin comporte un original et trois copies et sont distribués comme suit : Original
Responsable Exécution (Pour affichage au niveau du véhicule/engin)
Première copie
Poste de garde ou de contrôle de l’u suivi et permettre l’accès)
Deuxième copie
Autorité de Zone (Autorité de Zone)
Troisième copie
Structure HSE ou Sécurité (Pour suivi et audit)
nité (Pour
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12.10 Permis de fermeture provisoire de route Le permis de fermeture provisoire de route est établi pour toute fermeture provisoire, totale ou partielle, d’une route. Il permet la passation de l’information aux équipes d’exploitation et d’intervention, la désignation de route alternative et la mise en place de moyens de signalisation et de balisage. 12.10.1 Durée de validité La durée de validité du permis est laissée à l’appréciation des responsables qui valident le permis. Le permis sera annulé au rétablissement de la situation. 12.10.2 Imprimé 12.10.2.1 Couleur La couleur du permis de fermeture provisoire de route est BLANCHE. Toutes les copies du permis ont la même couleur. 12.10.2.2 Format Le format est : A4
du
permis
de
fermeture
provisoire
de
route
12.10.2.3 Distribution des copies Le permis de fermeture provisoire de route comporte un original et trois copies et sont distribués comme suit : Original
Demandeur du permis
Première copie
Autorité de Zone (Point central de coordination des permis)
Deuxième copie
Affichage salle de contrôle des équipes d’intervention incendie
Troisième copie
Structure HSE ou Sécurité (Tout autre affichage Centre de Coordination des Urgences)
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12.11 Permis de travail électrique Le permis de travail électrique est utilisé pour les travaux d’ordre électrique dans les sous stations électriques, postes de transformation électriques, lignes électriques aériennes, câbles électriques enterrés et tout autre installation dont l’Autorité de Zone, en général, est le spécialiste en électricité. Le permis de travail électrique doit être associé à un autre permis de travail (à chaud ou à froid) si une coordination avec une autre Autorité de Zone est nécessaire. Le permis de travail électrique doit être délivré à une personne en possession d’une habilitation électrique en cours de validité. 12.11.1 Durée de validité Le permis de travail électrique est valable depuis sa date d’approbation jusqu'à la fin des travaux . Néanmoins, si l’Autorité de Zone désire contrôler les périodes de validité du permis, un permis de travail à froid ou à chaud peut être utilisé à cet effet. 12.11.2 Imprimé 12.11.2.1 Couleur La couleur du permis de travail électrique est BLANCHE. Toutes les copies du permis ont la même couleur. 12.11.2.2 Format
Le format du permis de travail électrique: A4
12.11.2.3 Distribution des copies
Le permis de travail électrique comporte un original et deux copies et sont distribués comme suit : Original
Responsable Exécution (En possession du Responsable d’Exécution)
Première copie
Affichage Point Central de Coordination des permis
Deuxième copie
Autorité de Zone
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12.12 Permis de limitation d’accès Le permis de limitation d’accès est utilisé pour des travaux à proximité d’équipements électriques sous tension. Le permis de limitation d’accès peut être utilisé lorsqu’un permis de travail électrique n’est pas applicable et lorsque les instructions verbales sont considérées insuffisantes. Le permis de limitation d’accès doit être délivré à une personne en possession d’une habilitation électrique en cours de validité. Le permis de limitation d’accès doit être associé à un autre permis de travail (à chaud ou à froid) si une coordination avec une autre Autorité de Zone est nécessaire. 12.12.1 Durée de validité Le permis de limitation d’accès est valable depuis sa date d’approbation jusqu'à la fin des travaux . Néanmoins, si l’Autorité de Zone désire contrôler les périodes de validité du permis, un permis de travail à froid ou à chaud peut être utilisé à cet effet. 12.12.2 Imprimé 12.12.2.1 Couleur La couleur du permis de limitation d’accès est BLANCHE. Toutes les copies du permis ont la même couleur. 12.12.2.2 Format Le format du permis de limitation d’accès est : A4 12.12.2.3 Distribution des copies Le permis de limitation d’accès comporte un original et deux copies et sont distribués comme suit : Original
Responsable Exécution (En possession du Responsable d’Exécution)
Première copie
Affichage Point Central de Coordination des permis
Deuxième copie
Autorité de Zone
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12.13 Permis de test sur équipement électrique haute tension Le permis de test sur équipement électrique haute tension est utilisé pour effectuer des tests sur des équipements électriques haute tension qui ont été isolés avec un certificat de consignation électrique. Tous les permis de travail électrique en cours de validité doivent être suspendus/annulés avant la délivrance du permis de test sur équipement électrique haute tension. Les mises à la terre ne seront enlevées que par le Responsable d’exécution des tests sur équipement électrique haute tension. Le permis de test sur équipement électrique haute tension doit être associé à un autre permis de travail (à chaud ou à froid) si une coordination avec une autre Autorité de Zone est nécessaire. 12.13.1 Durée de validité Le permis de test sur équipement électrique haute tension est valable depuis sa date d’approbation jusqu'à la fin des tests . Néanmoins, si l’Autorité de Zone désire contrôler les périodes de validité du permis, un permis de travail à froid ou à chaud peut être utilisé à cet effet. 12.13.2 Imprimé
12.13.2.1 Couleur La couleur du permis de test sur équipement électrique haute tension est BLANCHE. Toutes les copies du permis ont la même couleur. 12.13.2.2 Format Le format du permis de test sur équipement électrique haute tension est : A4 12.13.2.3 Distribution des copies
Le permis de test sur équipement électrique haute tension comporte un original et deux copies et sont distribués comme suit : Original
Responsable Exécution (En possession du Responsable d’Exécution)
Première copie
Affichage Point Central de Coordination des permis
Deuxième copie
Autorité de Zone
Activité Amont Division Production
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12.14 Permis de mise en service d’équipement ou de système Le permis de mise en service d’équipement ou de système est établi pour permettre la mise en service d’un équipement ou d’un système, il assure que toutes les parties concernées par une activité en amont de la mise en service (travaux neufs, maintenance, inspection, contrôle) ainsi que les parties concernées par la mise en service elle-même (exploitation, production, sécurité) prennent toutes les dispositions pour garantir une mise en service en sécurité et formalisent leur accord par écrit. Imprimé du permis de mise en service d’équipement doit être: 9 de couleur de blanche, et 9 d’un format A4 Le permis de mise en service d’équipement ou de système comporte un original et trois copies et elles sont distribués comme suit :
Original
Responsable Exécution (En possession de L’Autorité de Zone)
Première copie
Autorité de Zone (Point central de coordination des permis)
Deuxième copie
Service technique
Troisième copie
Structure HSE ou Sécurité
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12.15 Certificat de Consignation Electrique Le Certificat de Consignation Electrique est une attestation qui comporte les informations concernant : a) la séparation d’un ouvrage ou équipement des sources de tension ; b) la condamnation des appareils de séparation ; c) l’identification des moyens de condamnation ; et d) la VAT (Vérification d’Absence de Tension) suivie éventuellement de tout autre test/précaution supplémentaire. Le Certificat de Consignation Electrique est signé par un chargé de consignation dûment habilité. Le Certificat de Consignation Electrique est nécessaire pour tout isolement électrique. 12.15.1 Durée de validité Le Certificat de Consignation Electrique est valable pendant toute la durée de la consignation électrique . Seule, la personne chargée de la consignation, est habilitée à l’annuler. 12.15.2 Imprimé
12.15.2.1 Couleur La couleur du Certificat de Consignation Electrique est BLANCHE. Toutes les copies du certificat ont la même couleur. 12.15.2.2 Format Le format du Certificat de Consignation Electrique est : A4 12.15.2.3 Distribution des copies
Le Certificat de Consignation Electrique comporte original et une copie et sont distribués comme suit :
un
Original
Responsable Exécution (En possession du chargé de consignation)
Copie
Chargé de consigna tion (Po ur affich age au po int central de coordination des permis)
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12.16 Certificat de Confirmation d’Isolement (CCI) Le Certificat de Confirmation d’Isolement est un enregistrement en un seul document de tous les isolements nécessaires pour réaliser le travail en sécurité. Il s’applique aux isolements des énergies de fluides, de pression et mécaniques, aux inhibitions des systèmes d’instrumentation et de contrôle, et à l’isolement de l’énergie électrique. 12.16.1 Durée de validité
Le Certificat de Confirmation d’Isolement est complété avant que les permis de travail soient délivrés, il restera en vigueur jusqu'à ce que tous les permis de travail soient annulés . Le Certificat de Confirmation d’Isolement est annulé lorsque l’Autorité de Zone signe sa déclaration d’annulation. 12.16.2 Imprimé 12.16.2.1 Couleur
La couleur du Certificat de Confirmation d’Isolement est JAUNE. Toutes les copies du permis ont la même couleur. 12.16.2.2 Format
Le format du Certificat de Confirmation d’Isolement est : A3 12.16.2.3 Distribution des copies
Le Certificat de Confirmation d’Isolement comporte original et une copie et sont distribués comme suit : Original
Autorité de Zone
Copie
Affichage au poin t central de coor permis
un
dination des
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12.17 Certificat d’Echafaudage Le Certificat d’Echafaudage est signé par une personne compétente chargée de la surveillance et de l’inspection des échafaudages. L’inspection a pour objectifs d’assurer que l’échafaudage est: a) approprié aux travaux programmés ; b) monté et installé de façon sûre ; et c) en bon état de conservation pendant toute la durée de son installation. 12.17.1 Durée de validité Le Certificat d’Echafaudage a une durée d’approbation maximale de 7 jours, cette période peut être renouvelée 3 fois sur le même certificat. 12.17.2 Imprimé 12.17.2.1 Couleur La couleur du Certificat d’Echafaudage est BLANCHE. Toutes les copies du certificat ont la même couleur. 12.17.2.2 Format Le format du certificat d’échafaudage est : A4 12.17.2.3 Distribution des copies Le Certificat d’échafaudage comporte un original et deux copie et sont distribués comme suit : Original Première copie Deuxième copie
Affichage Point Central de Coordination des permis
Demandeur du certificat
Personne responsable de échafaudages
l’inspection des
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13 – Evaluation de risques L’évaluation de risques doit être réalisée par une équipe pluridisciplinaire, les membres de l’équipe doivent avoir les connaissances et compétences nécessaires à l’évaluation des risques du travail concerné. 13.1 Le responsable de
l’évaluation de risques
L’évaluation de risques sera dirigée et animée par le responsable de la structure HSE/de Sécurité ou son représentant, il doit assurer : a) le leadership risques ;
dans
le
processus
d’évaluation
de
b) que les membres de l’équipe comprennent le processus d’évaluation de risques et les objectifs à atteindre ; c) que dans l’équipe d’évaluation de risques sont incluses les personnes avec le savoir nécessaire et la compétence pour les travaux évalués ; d) que l’équipe d’évaluation fasse une visite de site lorsque ceci est nécessaire ; e) que les résultats de l’évaluation de risques sont issus d’un consensus général ; et f) que tous les résultats de l’évaluation de risques sont enregistrés sur le formulaire conçu à cet effet. 13.2 Membres de l’équipe d’évaluation de risques Les responsabilités principales l’évaluation de risques doivent :
des
membres
de
a) participer activement à l’évaluation de risques ; b) aider à l’identification des dangers et aux mesures de prévention et de protection pour éliminer ou réduire le niveau de risques ; et c) aider
à identifier toute déficience dans le processus du travail et suggérer des améliorations.
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13.3 Comment procéder à une évaluation de risques? L’évaluation de risques doit être structurée de la façon suivante : 1. décomposer le travail en une série de tâches élémentaires ; 2. identifier les risques potentiels pour chaque tache ; 3. évaluer le niveau de risques ; 4. déterminer les mesures de prévention et de protection pour contrôler ces risques; et 5. évaluer le niveau de risques résiduels.
DECOMPOSER LE TRAVAIL EN TACHES ELEMENTAIRES
IDENTIFIER LES RISQUES POTENTIELS POUR CHAQUE TACHE
EVALUER LE NIVEAU DE RISQUES
BARRIERES RISQUE ACCEPTABLE?
NON
PREVOIR DES MESURES DE PREVENTION ET DE PROTECTION POUR REDUIRE LE RISQUE
EVALUER LE NIVEAU DE RISQUES RESIDUELS
AMELIORER OU PREVOIR DES MESURES DE PREVENTION ET DE PROTECTION ADDITIONNELLES
NON
RISQUE ACCEPTABLE?
OUI
LE TRAVAIL PEUT ETRE ENTREPRIS
OUI
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13.4 Décomposition du travail en tâches élémentaires Une tâche est une petite partie d'un travail. L'accomplissement de toutes les tâches opérationnelles dans un ordre précis assure l'accomplissement du travail au complet. Il est important de respecter l'ordre d'exécution des tâches. Dans l’évaluation de risques, chaque tâche est consignée selon sa séquence. Il faut noter ce qui doit être fait plutôt que la manière de le faire. Chaque phrase doit commencer par un verbe d'action. Décomposer un travail en tâches exige une connaissance approfondie de celui-ci. Si la désignation des tâches est trop générale, des opérations précises et les dangers qui leur sont associés peuvent passer inaperçus. À l’opposé, un trop grand nombre de tâches peut rendre l'évaluation de risques inutilisable. La décomposition du travail en taches élémentaires permet de faire le tri des opérations et de déterminer le permis qu’il faut pour chaque opération. 13.5 Identification des risques potentiels Il est recommandé d’utiliser l’approche par les barrières faisant obstacle à l'énergie pour l’identification des risques potentiels, c’est une approche très populaire car elle est facile à appliquer et à comprendre, elle a été élaborée J. J. Gibson en 1961 et structurée par W. Haddon en 1966. Selon cette approche, le risque se définit comme un flux énergétique non maîtrisé et un contact possible entre l'énergie et une personne, l’environnement ou une pièce d'équipement pouvant engendrer : 9 des blessures ; 9 des dommages matériels ; 9 une diminution de la capacité d'une accomplir son travail ; ou 9 une détérioration de l'environnement.
personne
à
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L'approche par les barrières faisant obstacle à l'énergie consiste à examiner chaque tâche et à: 9 identifier les sources d'énergie potentiellement dangereuses ; 9 décrire de quelle façon cette énergie peut entrer en contact avec les personnes ou l’environnement ; 9 trouver des barrières susceptibles d'éliminer ou de réduire le risque. 13.5.1 Identification des sources d’énergie potentiellement dangereuses Pour chaque tâche, l’équipe d’évaluation de risques doit identifier tous les types d'énergies potentiellement dangereuses participant à la tâche. L’identification des sources d’énergie potentiellement dangereuses ou de dangers est l’étape la plus importante dans le processus d’évaluation de risques. Les accidents arrivent souvent parce que les dangers inhérents à un travail n’ont pas été identifiés correctement ou n’ont pas été compris. Les différents types d’énergie sont : 9 9 9 9 9 9 9
Pression Température Energie chimique Rayonnement Electricité Hauteur Mouvement
13.5.2 Modes selon lesquels des personnes ou l’environnement, peuvent entrer en contact avec les énergies dangereuses. Cette étape consiste à relever tous les modes selon lesquels des personnes ou l’environnement, pourraient entrer en contact avec ces énergies. Quelques exemples de contact avec une source d’énergie non maîtrisée sont listés ci-dessous : 9 9 9 9 9
chute ; feu accidentel ou non maîtrisé ; explosion ; exposition à la radiation ; exposition au bruit ;
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9 exposition à une atmosphère toxique faible en oxygène ; 9 contact avec un courant électrique ; 9 exposition à une température extrême ; 9 collision contre un objet ; et 9 personne frappée par un objet ; et 9 fuite de produit, émanation de gaz. 13.5.3
et/ou
Barrières pour éliminer ou réduire le risque
Les stratégies usuelles de contrôle des sources d’énergie, classées par ordre de préférence sont : 1. Éliminer les sources d’énergie. 2. Substituer les sources d’énergie dangereuses par d’autres produits moins dangereux ou pas dangereux du tout. 3. Réduire le niveau du risque. 4. Se doter d'un plan d'urgence. 5. Adopter des mesures pour réduire les dommages causés par un accident ou une situation d'urgence.
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13.6 Acceptabilité du risque Le risque est caractérisé par un couple « probabilité d’occurrence / gravité des conséquences » appliqué à un événement redouté. Pour chacune des conséquences attachées à un flux énergétique non maîtrisé, le niveau de risque potentiel sera évalué. Pour cela le recours à une matrice de criticité est nécessaire. A cet effet, La matrice de criticité adoptée pour la Division Production est la suivante :
sévérité
Augmentation de la probabilité P1
P2
Improbable
Peu Probable
Jamais rencontré
Déjà rencontré dans une organisatio n similaire
P3
Probable s’est produit au sein de SH, pourrait se produire pendant la durée de vie de l’installation
G1 Mineure Augmentation de la sévérité
G2 Sérieux
G3 Grave
G4 Catastrophique
Matrice de criticité
P4 Très Probable
S’est produit fréquemment au sein de SH
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13.6.1 Evaluation quantitative de la gravité
sévéri té
Conséquences Personnel
Augmentation de la sévérité
G1 Mineure G2 Sérieux
Environnement
Public
Biens
Mineure
Pas d’incidence
Pas de dommage pas d’arrêt de production
Pollution Interne, maîtrisée
Blessures mineures
Dommages mineurs + arrêt bref de la production
Pollution interne non maîtrisée ou Pollution hors limite maîtrisée
Blessures significatives
Dommage localisé + arrêt partiel d’unité
Décès
Dommage important + arrêt total de la production
Blessures mineures (A.S.A) Blessures significatives (A.A.A)
G3 Grave
Incapacité Permanente ou Décès
G4 Catastrophique
Plusieurs décès
Pollution hors limites de longue durée
13.6.2 Evaluation quantitative de la probabilité La fréquence de survenance de l’événement redouté (nondesiré) sera utilisée pour les besoins de l’évaluation de risques associés à des travaux.
Augmentation de la probabilité Improbable 23%
………………
La pénétration peut être autorisée Sans ARI
Avec ARI
La pénétration ne peut pas être autorisée
7eme
Résultats Résultats Résultats Résultats Résultats Résultats Résultats Résultats Résultats Résultats Résultats Résultats Résultats
Autorisation de continuation / reprise de la pénétration
Transfert de responsabilité entre Quart/Poste
Période de validité du permis à indiquer par le Représentant A la fin de la période de validité du permis Je, Représentant de l'Autorité de Zone, de l'Autorité de Zone déclare avoir personnellement contrôlé le Je, Responsable d'Exécution, m'engage ( 1 Quart/Poste maximum) site de travail ainsi que les précautions. Les conditions du permis sont inchangées J'autorise la continuation / reprise de la pénétration dans l'espace confiné.
Jour Du Date
Au Heure
Date
Heure
Nom
Signature
à respecter et à faire respecter par l'ensemble de mon personne les conditions du permis.
Nom
Pénétration est Tout le personnel a terminée (Aller à la été retiré de l'espace section 11 du confiné permis)
Signature
Toutes les copies du permis doivent être rassemblées à la fin de la journée de travail
Approbation de changement de Responsable d'Exécution Jour
Je, Représentant de l'Autorité de Zone, autorise le changement de Responsable d'Exécution.
Date
Heure
Nom
Je, Responsable d'Exécution Rentrant, déclare avoir lu et compris les précautions. Je m'engage à les respecter et à les faire respecter par l'ensemble de mon personnel.
Signature
Date
Heure
Nom
Signature
Nom
Fonction
Signature
Enregistrement des contrôles effectués par la Structure HSE ou Sécurité Jour
Date
Heure
Observations
Annexe 7 Formulaire du Permis d‘excavation
Système Permis de Travail de Sonatrach/Division Production
Permis No: ………………………..
PERMIS D'EXCAVATION ( Cochez la case appropriée
Ordre de travail No: ……………………………
)
1 DEMANDE DE PERMIS Zone de réalisation de l'excavation :………………………………………………………...……………………………… Date du début de travail prévue Utilité de l'excavation: …………………………………………………………………………………………………………… Date:…………….. Heure:……………………….. ……………………………………………………………………………………………………………………………………………… Date de la fin de travail prévue Schémas joints Date:…………….. Heure:……………………….. Zone 1 Zone 2 Non classée Classification de la zone: Zone 0 Équipement utilisé Méthode d'exécution prévue Mécanique
Manuelle
…………………… Profondeur de l'excavation: Permis demandé par
Nom:……………………... Fonction:……………………
Date:……………… Signature:………
2 PERMIS ET CERTIFICATS ASSOCIES
Autre (Préciser):…………………………………… ………………… Largeur de l'excavation:
Personnel d'exécution
Entreprise Extérieure (Spécifier):……………...… Responsable d'Exécution:………………………………………
Outillage manuel Marteau-piqueur Excavatrice Autres (Préciser):……………………………… ……...………………………………
Permis:…………………………… No:………………………… Permis:…………………………….. No:…………………… Certificat:……………………….. No:…………………… Permis:…………………………… No:………………………… Permis:…………………………….. No:…………………… Certificat:……………………….. No:……………………
3 ÉVALUATION DE RISQUES ET APPROBATION PAR LES SERVICES TECHNIQUE
3.1 Identification des dangers / mesures de prévention par Autorité de Zone Produit véhiculé Pression de service Tuyauteries enterrées? Non Oui Non Oui ……………………… ………………… Isolée? 1) N° d'identification de la tuyauterie:…………………………… ……………………… ………………… Isolée? 2) N° d'identification de la tuyauterie:…………………………… Liste d'identification des tuyauteries jointe Autres tuyauteries enterrées? Oui Non Autres ouvrages enterrés? Oui Spécifier:…………………………………………………………………………………………………… Non Référence du plan utilisé : ,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,, Les travaux d'excavation peuvent être exécutés à condition que les mesures de prévention suivantes soient prises:…………………………………………… ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… Nom:…………………………………… Fonction:………………………. Date:……………………………Heure:……………………………….. Signature:………………………… 3.2 Identification des dangers / mesures de prévention et approbation par le Service Électricité ou le Service Technique Câbles électriques enterrés? Non Oui Non Oui Voltage:…………………… V Isolé? 1) N° d'identification du câble:……………………………………… Voltage:…………………… V Isolé? 2) N° d'identification du câble:……………………………………… Autres câbles enterrés? Oui Liste d'identification des câbles jointe Non Les travaux d'excavation peuvent être exécutés à condition que les mesures de prévention suivantes soient prises:…………………………………………… ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… Nom:…………………………………… Fonction:………………………. Date:……………………………Heure:……………………………….. Signature:………………………… 3.3 Identification des dangers / mesures de prévention et approbation par le Service Contrôle/Instrumentation Câbles de contrôle/instrumentation enterrés? Oui Non Non Oui Voltage:…………………… V Isolé? 1) N° d'identification du câble:……………………………………… Voltage:…………………… V Isolé? 2) N° d'identification du câble:……………………………………… Autres câbles enterrés? Oui Liste d'identification des câbles jointe Non Les travaux d'excavation peuvent être exécutés à condition que les mesures de prévention suivantes soient prises:…………………………………………… ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… Nom:…………………………………… Fonction:………………………. Date:……………………………Heure:……………………………….. Signature:………………………… 3.4 Identification des dangers / mesures de prévention et approbation par le Service Télécommunications et/ou Informatique Câbles téléphoniques enterrés? Oui Cables informatiques enterrés? Oui Non Non N° d'identification du câble:……………………………………………… 1) N° d'identification du câble:……………………………………… 2) N° d'identification du câble:……………………………………… Autres câbles enterrés? Oui Liste d'identification des câbles jointe Non Les travaux d'excavation peuvent être exécutés à condition que les mesures de prévention suivantes soient prises:…………………………………………… ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… Nom:…………………………………… Fonction:………………………. Date:……………………………Heure:……………………………….. Signature:………………………… 3.5 Identification des dangers / mesures de prévention à prendre par le Responsable d'Exécution Mesures de prévention Dangers Terrain meuble / éboulement Barrières de protection Route fermée partiellement Étayage/ Boisage Route fermée totalement Chute de personnes Balisage de nuit Circulation de voiture / engin Autres (Spécifier):………………………………………………….. Évaluation de risques plus approfondie Réf. No:…………………… Autres (Spécifier):……………………………… ………………………………………………… Endossement par l'Asset Manager
4 APPROBATION DU PERMIS
Le permis est approuvé pour une période de : ………… (Jours consécutifs) (Période maximale d'approbation possible: 7 jours consécutifs) à compter du Date:.....….........…... sous réserve que toutes les mesures de prévention énumérées dans l'évaluation de risques soient prises et que les conditions du permis restent inchangées. Nom:…………………………………... Fonction:……………………… Date:………………… Signature:…………………… Autorité de Zone Nom:…………………………………... Fonction:……………………… Date:………………… Signature:…………………… Autre Autorité de Zone Nom:…………………………………... Fonction:……………………… Date:………………… Signature:…………………… Structure HSE ou Sécurité
5 AUTORISATION DU DÉBUT DES TRAVAUX D'EXCAVATION
Je, Représentant de l'Autorité de Zone , déclare avoir personnellement contrôlé le site de travail ainsi que les précautions, et autorise le début des travaux d'excavation. Nom:………..
Fonction:………………… Signature:…
Du
Période de validité du permis ( 1 Quart/Poste maximum) Date:……….. Heure:…………. Au Date:………… Heure:…………………
6 ACCEPTATION DU PERMIS PAR LE RESPONSABLE D'EXÉCUTION
Je, Responsable d'Exécution , déclare avoir lu et compris les précautions. Je m'engage à les respecter et à les faire respecter par l'ensemble de mon personnel. Nom:…………………………………… Fonction:……………………….. Date:……………………………Heure:……………………………….. Signature:…………………………
7 REVALIDATION DU PERMIS
Toutes les autorisations de continuation/reprise de travaux d'excavation doivent être enregistrées au verso du permis
8 DÉCLARATION DE SUSPENSION DES TRAVAUX D'EXCAVATION ET ANNULATION DU PERMIS
Les travaux d'excavation sont suspendus pour les raisons suivantes:………………………….……………………… Le permis doit être annulé (Aller à la section 11 du permis) Nom:…………………………………… Fonction:……………………….. Date:……………………………Heure:……………………………….. Signature:…………………………
9 DÉCLARATION DE LA FIN DES TRAVAUX D'EXCAVATION PAR LE RESPONSABLE D'EXÉCUTION
Les travaux d'excavation sont terminés. Nom:…………………………………… Fonction:……………………….. Date:……………………………Heure:……………………………….. Signature:…………………………
10 VÉRIFICATION ET APPROBATION DE LA FIN DES TRAVAUX D'EXCAVATION PAR LE REPRÉSENTANT DE L'AUTORITÉ DE ZONE
Les travaux d'excavation sont terminés. Nom:…………………………………… Fonction:……………………….. Date:……………………………Heure:……………………………….. Signature:…………………………
11 ENREGISTREMENT DE LA FIN DES TRAVAUX D'EXCAVATION ET ANNULATION DU PERMIS
Les travaux d'excavation ne sont pas terminés, un nouveau permis est nécessaire pour terminer ces travaux. Toutes les copies du permis ont été rassemblées, ce permis est annulé. Nom:…………………………………… Fonction:……………………….. Date:……………………………Heure:……………………………….. Signature:………………………… Les travaux d'excavation sont terminés
DISTRIBUTION
Original: Responsable d'Exécution 1ere Copie: Affichage Point Central de Coordination des permis 2eme Copie: Autorité de Zone 3eme Copie: Structure HSE ou Sécurité
7
REVALIDATION DU PERMIS
Le permis a été approuvé pour ………. (Jours consécutifs) (Voir section 4 du permis) à compter du Date:……………………. sous réserve que les conditions du permis restent inchangées
Autorisation de continuation / reprise de travail
Jour
Période de validité du permis à indiquer par le Représentant de l'Autorité de Zone ( 1 Quart/Poste maximum) Du Date
Au Heure
Date
Heure
Transfert de responsabilité entre Quart/Poste Je, Représentant de l'Autorité de Zone , déclare avoir personnellement contrôlé le site de travail ainsi que les précautions. Les conditions du permis sont inchangées. J'autorise la continuation / reprise des travaux d'excavation
Nom
Signature
Je, Responsable d'Exécution , m'engage à respecter et à faire respecter par l'ensemble de mon personne les conditions du permis.
A la fin de la période de validité du permis
Travaux d'excavations terminés (Aller à la section 9 du permis)
Nom
Signature
Toutes les copies du permis doivent être rassemblées à la fin de la journée de travail
Approbation de changement de Responsable d'Exécution Jour
Je, Représentant de l'Autorité de Zone , autorise le changement de Responsable Je, Responsable d'Exécution Rentrant , déclare avoir lu et compris les précautions. Je m'engage à d'Exécution. les respecter et à les faire respecter par l'ensemble de mon personnel.
Date
Heure
Nom
Signature
Date
Heure
Nom
Signature
Nom
Fonction
Signature
Enregistrement des contrôles effectués par la Structure HSE ou Sécurité Jour
Date
Heure
Observations
Annexe 8 Formulaire du Permis de radiographie
Système Permis de Travail de Sonatrach/Division Production
Permis No: ………………………..
PERMIS DE RADIOGRAPHIE ( Cochez la case appropriée
1
Ordre de travail No: ……………………………
)
LIEU DU TRAVAIL ET TYPE DE SOURCE RADIOACTIVE
Lieu des travaux:…………………………………………………………………………… Installation/Ligne/Équipement: ……………………………………………………………… Nature de la source radioactive: …………………………………………………………… Description du travail :……………………………………………………………………………
Identification de La source radioactive
Identification No:…………………………………………… Activité/puissance:…………………………………………
………………………………………………………………………………………………… ………………………………………………………………………………………………… Début prévu: Date:…………Heure:…………… Fin prévue: Date:…………Heure:……………
Manipulateur (Responsable d'Exécution)
Entreprise Extérieure (Spécifier):…………… Fonction:………………………………………….. Nom:………………………………………………….
Permis de radiographie demandé par Fonction:……………………………………………………Date:…………………………………… Nom:…………………………………………
2
PERMIS ET CERTIFICATS ASSOCIÉS
3
MESURES DE PRÉVENTION
4
APPROBATION DU PERMIS
Permis:…………………………….. No:…………………… Permis:…………………………….. No:……………………
Permis:……………………… Permis:………………………
No:…………… No:……………
Signature:…………………
Certificat:…………………… Certificat:……………………
No:………………… No:…………………
Prévoir des moyens nécessaires pour récupérer la source en cas d'incendie Prévoir des moyens pour refroidir la source en cas d'incendie Extincteur Type:…………………………… Informer le personnel travaillant à proximité Nombre:……………………… Délimiter par de signaux/pancartes la zone de danger Autres moyens de sécurité incendie Dose de 7.5 µS/hr ou 0,75 MilliRem/Hr à la limite de la zone de danger ………………………………………………………………… Tableau indicatif pour déterminer les zones de danger Activité de la source Avec collimateur Opération pour ce permis s'effectue Sans collimateur 100 Ci 15 mètres Sans collimateur Avec collimateur 190 mètres 80 Ci 13 mètres 160 mètres Zone de danger déterminée:…………………………………mètres 60 Ci 11 mètres 135 mètres 40 Ci 9 mètres 110 mètres 20 Ci 6,5 mètres 70 mètres Personnel présent dans la zone dangereuse ? - Si oui, indiquer les noms ci-après Noms: ………………………………………… ………………………………………… ……………………………………… ………………………………………… …………………………………………………………………………………………………………………………… Mesures de prévention/protection spéciales Avertissement La source ne doit en aucun cas être laissée sans surveillance. La source doit toujours être mise dans son coffret quand elle n'est pas utilisée Le permis est approuvé, pour le premier jour de travail ( Date:……...…….), sous réserve que toutes les mesures de prévention énumérées dans la section 3 du permis soient prises.
Autorité de Zone Autre Autorité de Zone Structure HSE ou Sécurité
Nom:…………………………..…...
Fonction:……………………………Date:…………………
Nom:…………………………..…...
Fonction:……………………………Date:…………………
Signature:…………………… Signature:……………………
Nom:…………………………..…...
Fonction:……………………………Date:…………………
Signature:……………………
5
AUTORISATION DE DÉBUT DE TRAVAIL DE RADIOGRAPHIE PAR LE REPRÉSENTANT DE L'AUTORITÉ DE ZONE
6
ACCEPTATION DU PERMIS PAR LE RESPONSABLE D'EXÉCUTION
Je, représentant de l'autorité de zone, déclare avoir personnellement contrôlé le site de travail ainsi que les précautions, et autorise le début de travail de radiographie. Le travail de radiographie peut à présent être entamé à condition que les mesures de prévention soient observées en permanence. Période de validité du permis ( 1 Quart/Poste maximum) Nom:……….. Fonction:………………… Signature:… Du Date:……….. Heure:…………. Au Date:………… Heure:………………… Je déclare avoir lu et compris les précautions, je m'engage à les respecter et à les faire respecter par l'ensemble de mon personnel. Nom:……………………………
7
Fonction:…………………
Date:………………………… Heure:……………………
Signature:…………………………
REVALIDATION DU PERMIS Tous les renouvellements d'approbation de permis et autorisations de continuation/reprise de travail de radiographie doivent être enregistrés au verso du permis
8
DÉCLARATION DE SUSPENSION DU TRAVAIL DE RADIOGRAPHIE ET ANNULATION DE PERMIS
Le travail de radiographie est suspendu pour les raisons suivantes:………………………….……………………………………Le permis doit être annulé (Aller à la section 11 Nom:……………………………
9
Fonction:…………………
Date:………………………… Heure:……………………
Signature:…………………………
DÉCLARATION DE LA FIN DE TRAVAIL DE RADIOGRAPHIE PAR LE RESPONSABLE D'EXÉCUTION
Je, responsable d'exécution, déclare que le travail de radiographie est terminé. La source radioactive a été dégagée du site de travail. Nom:……………………………
10
Fonction:…………………
Date:………………………… Heure:……………………
Signature:…………………………
VÉRIFICATION ET APPROBATION DE FIN DE TRAVAIL PAR LE REPRÉSENTANT DE L'AUTORITÉ DE ZONE
Je, représentant de l'autorité de Zone , déclare avoir vérifié l'état du site et l'avoir trouvé dans de bonnes conditions de sécurité et de propreté. Le travail de radiographie est terminé , La source radioactive a été dégagée du site de travail, les opérations normales peuvent reprendre. Nom:…………………………… Fonction:………………… Signature:………………………… Date:………………………… Heure:……………………
11
ENREGISTREMENT DE LA FIN DE TRAVAIL DE RADIOGRAPHIE ET ANNULATION DU PERMIS Le travail de radiographie est terminé
Le travail de radiographie n'est pas terminé, un nouveau permis est nécessaire pour terminer ce travail.
Toutes les copies du permis ont été rassemblées, ce permis est annulé. Nom:…………………………… DISTRIBUTION
Fonction:…………………
Date:………………………… Heure:……………………
Signature:…………………………
Original: Responsable d'Exécution 1 ere Copie: Affichage Point Central de Coordination des permis 2 eme Copie: Autorité de Zone 3 eme Copie: Structure HSE ou Sécurité
7
REVALIDATION DU PERMIS
Jour
Permis approuvé
Approbation du permis
Approbation sous réserve que les conditions du permis restent inchangées
Autorité de Zone
Date
Nom
Fonction
Autre Autorité de Zone
Signature
Nom
Fonction
Structure HSE ou Sécurité
Signature
Nom
Fonction
Signature
2eme 3eme 4eme 5eme 6eme 7eme
Autorisation de continuation / reprise de travail
Transfert de responsabilité entre Quart/Poste
Période de validité du permis à indiquer par le Représentant de l'Autorité de Zone ( 1 Quart/Poste maximum)
Jour
Du Date
Je, Représentant de l'Autorité de Zone , déclare avoir personnellement contrôlé le site de travail ainsi que les précautions. Les conditions du permis sont inchangées. J'autorise la continuation / reprise du travail de radiographie
Au Heure
Date
Heure
Nom
Signature
Je, Responsable d'Exécution , m'engage à respecter et à faire respecter par l'ensemble de mon personne les conditions du permis.
Nom
Signature
A la fin de la période de validité du permis Travail de La source radiographie radioactive a été terminé (Aller à la dégagée du site de section 9 du travail permis)
Toutes les copies du permis doivent être rassemblées à la fin de la journée de travail
Approbation de changement de Responsable d'Exécution Jour
Je, Représentant de l'Autorité de Zone , autorise le changement de Responsable d'Exécution.
Date
Heure
Nom
Signature
Je, Responsable d'Exécution Rentrant, déclare avoir lu et compris les précautions. Je m'engage à les respecter et à les faire respecter par l'ensemble de mon personnel.
Date
Heure
Nom
Signature
Nom
Fonction
Signature
Enregistrement des contrôles effectués par la Structure HSE ou Sécurité Jour
Date
Heure
Observations
Annexe 9 Formulaire du Permis de travaux en hauteur
Système Permis de Travail de Sonatrach/Division Production
Permis No: ………………………..
PERMIS DE TRAVAUX EN HAUTEUR ( Cochez la case appropriée
Ordre de travail No: ……………………………
)
1 DEMANDE D'EXÉCUTION DE TRAVAUX EN HAUTEUR Unité/Zone:………………………………………… Installation/Équipement :……………………………………… Description du travail
Équipement utilisé
Échelle Échafaudage Nacelle Autres (préciser):……………………………………… ……………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………………… Classification de la zone: Zone 0 Zone 1 Zone 2 Non classée
Schémas joints: Début du travail prévu: Date:…………Heure:………… Fin du travail prévue : Date:…………Heure:…………… Discipline
Électricité Inspection
Hauteur de travail: …………………………..
Contrôle/Instrumentation Autre (Préciser):………………………………………………
Mécanique Échafaudage
Personnel d'exécution
Entreprise Extérieure (Préciser):…………… Responsable d'Exécution:………………………… Nombre maximale de personnes sur équipement de Titre:……………………………………Nom:…………………………… Date:…………………………… Signature:…………… hauteur utilisé : ……………
Permis de travaux en hauteur demandé par
2
PERMIS ET CERTIFICATS ASSOCIÉS
3
CONDITIONS A RESPECTER PAR LE RESPONSABLE D'EXÉCUTION Conditions à respecter par le Responsable d'Exécution
Permis:…………………………….. No:…………………… Permis:…………………………….. No:…………………… Permis:…………………………….. No:……………………
Échelle Charge maximale signalée Amarrage en point haut Excède d'un mètre le palier réception Utilisation une seule personne a la fois En bon état Base stable Non peinte (bois) Vent ≤ 45 km / heure Éclairage pour travail de nuit satisfaisant Balisage de la zone de travail Autres (Spécifier):……………… ……………………………………………
Permis:……………………… Permis:……………………… Permis:………………………
No:…………… No:…………… No:……………
Certificat:…………………… Certificat:…………………… Certificat:……………………
No:………………… No:………………… No:…………………
Points à vérifier et à cocher et ce, selon le cas Échafaudage Nacelle Autre(Spécifier):……… Certificat d'échafaudage No:………………… Capacité maximale non …………………………………… dépassée Balisage autour de l'échafaudage …………………………………… Circulation dégagée au bas de l'échafaudage Sol stable …………………………………… Vent ≤ 45 km / heure Sol horizontal …………………………………… Éclairage pour travail de nuit satisfaisant Pas de ligne électrique à …………………………………… proximité Autres (Spécifier):………………………………… …………………………………… ………………………………………………………… Limiteur de course en …………………………………… place et fonctionnel ………………………………………………………… …………………………………… ………………………………………………………… …………………………………… Vent ≤ 45 km / heure ………………………………………………………… …………………………………… Éclairage pour travail de nuit satisfaisant …………………………………… Balisage de la zone de …………………………………… Il est interdit de procéder à des modifications sans travail …………………………………… l'accord préalable du spécialiste échafaudage Autres(Spécifier):……………… …………………………………… ………………………………… ……………………………………
Équipements de protection individuelle pour le personnel d'exécution
Harnais de sécurité Protection des pieds Protection de la tête Ligne de sécurité/vie Protection du corps Protection des yeux Enrouleur à câble Protection des mains Autres (Préciser):……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
4
APPROBATION DU PERMIS
Le permis est approuvé pour une période de : ………… (Jours consécutifs) (Période maximale d'approbation possible: 7 jours consécutifs) à compter du Date:.....….........…... sous réserve que toutes les conditions du permis soient respectées. Nom:…………………………………... Fonction:…………………………… Date:………………… Autorité de Zone Nom:…………………………………... Fonction:…………………………… Date:………………… Structure HSE ou Sécurité 5 AUTORISATION DU DÉBUT DES TRAVAUX EN HAUTEUR
Signature:……………………… Signature:………………………
Je, Représentant de l'Autorité de Zone , déclare avoir personnellement contrôlé le site de travail ainsi que les précautions, et autorise le début des travaux en hauteur.
Nom:………..
Période de validité du permis ( 1 Quart/Poste maximum)
Fonction:………………… Signature:…
Du
Date:……….. Heure:………….
Au
6
ACCEPTATION DU PERMIS PAR LE RESPONSABLE D'EXÉCUTION
7
REVALIDATION DU PERMIS
8
DÉCLARATION DE SUSPENSION DES TRAVAUX EN HAUTEUR ET ANNULATION DU PERMIS
Date:…………
Heure:…………………
Je, Responsable d'Exécution , déclare avoir lu et compris les précautions. Je m'engage à les respecter et à les faire respecter par l'ensemble de mon personnel. Nom:…………………………… Fonction:………………… Heure:………………… Signature:……………… Date:……………………… Toutes les autorisations de continuation/reprise de travaux en hauteur doivent être enregistrées au verso du permis
Les travaux en hauteur sont suspendus pour les raisons suivantes:………………………….…………………………… Le permis doit être annulé (Aller à la section 11 du permis) Nom:……………………………
9
Fonction:…………………
Date:………………………
Heure:…………………
Signature:………………
DÉCLARATION DE LA FIN DES TRAVAUX EN HAUTEUR PAR LE RESPONSABLE D'EXÉCUTION
Les travaux en hauteur sont terminés. Nom:……………………………
10
Fonction:…………………
Date:………………………
Heure:…………………
Signature:………………
VÉRIFICATION ET APPROBATION DE LA FIN DES TRAVAUX EN HAUTEUR PAR LE REPRÉSENTANT DE L'AUTORITÉ DE ZONE
Les travaux en hauteur sont terminés. Nom:……………………………
11
Fonction:…………………
Date:………………………
Heure:…………………
Signature:………………
ENREGISTREMENT DE LA FIN DES TRAVAUX EN HAUTEUR ET ANNULATION DU PERMIS Les travaux en hauteur sont terminés
Les travaux en hauteur ne sont pas terminés, un nouveau permis est nécessaire pour terminer ces travaux.
Toutes les copies du permis ont été rassemblées, ce permis est annulé. Nom:…………………………… DISTRIBUTION
Fonction:…………………
Original: Responsable d'Exécution 1
ere
Date:………………………
Heure:…………………
Copie: Affichage Point Central de Coordination des permis 2
eme
Signature:………………
Copie: Autorité de Zone 3
eme
Copie: Structure HSE ou Sécurité
7
REVALIDATION DU PERMIS
Le permis a été approuvé pour ………. (Jours consécutifs) (Voir section 4 du permis) à compter du Date:……………………. sous réserve que les conditions du permis restent inchangées.
Autorisation de continuation / reprise des travaux d'excavation
Jour
Période de validité du permis à indiquer par le Représentant de l'Autorité de Zone ( 1 Quart/Poste maximum) Du Date
Au Heure
Date
Heure
Transfert de responsabilité entre Quart/Poste
Je, Représentant de l'Autorité de Zone , déclare avoir personnellement contrôlé le site de travail ainsi que les précautions. Les conditions du permis sont inchangées. J'autorise la continuation / reprise du travaux en hauteur.
Nom
Signature
Je, Responsable d'Exécution , m'engage à respecter et à faire respecter par l'ensemble de mon personne les conditions du permis.
Nom
A la fin de la période de validité du permis
Travaux en hauteur sont terminés (Aller à la section 12 du permis)
Signature
Toutes les copies du permis doivent être rassemblées à la fin de la journée de travail
Approbation de changement de Responsable d'Exécution Jour
Je, Représentant de l'Autorité de Zone , autorise le changement de Responsable Je, Responsable d'Exécution Rentrant, déclare avoir lu et compris les précautions. Je m'engage à d'Exécution. les respecter et à les faire respecter par l'ensemble de mon personnel.
Date
Heure
Nom
Signature
Date
Heure
Nom
Signature
Nom
Fonction
Signature
Enregistrement des contrôles effectués par la Structure HSE ou Sécurité Jour
Date
Heure
Observations
Annexe 10 Formulaire du Permis d’opérations de levage
Système Permis de Travail de Sonatrach/Division Production
Permis No: ………………………..
PERMIS D'OPÉRATIONS DE LEVAGE ( Cochez la case appropriée
Ordre de travail No: ……………………………
)
1 DEMANDE D'EXÉCUTION D'OPÉRATIONS DE LEVAGE Unité/Zone:………………………………………………… Installation/Équipement:………………………… Classification de la zone: Zone 0 Zone 1 Zone 2 Non classée Description de l'opération de levage…………………………………………………………………………………………
Appareil de levage utilisé
Grue Palan ……………………………………………………………………………………………………………………………………………… Autre(Spécifier):…………………………………… Date de la dernière inspection Poids total de la charge (Kg):……………………………………………… ………………… de l'appareil Schémas et procédures de levage joints: Personnel d'Exécution Début prévu: Date:…………Heure:…………… Fin prévue: Date:…………Heure:…………… Entreprise extérieure Discipline Contrôle/Instrumentation Électricité Mécanique Préciser:……………………………………………… Inspection Responsable d'Exécution Autre (Préciser):………………………………………………… Puits ……………………………………………………… Permis demandé par Nom du conducteur:……………………………… No. de certification du conducteur Nom:……………………………………… Fonction:………………… Date:……………………… Signature:………… ………………………………………………
2
PERMIS ET CERTIFICATS ASSOCIÉS
3
ÉVALUATION DE RISQUES 3.1 Dangers
Permis:…………………………….. No:…………………… Permis:…………………………….. No:…………………… Permis:…………………………….. No:……………………
Transport de charge au dessus de personnes Transport de charge au dessus d'infrastructures Transport de charge au-dessus d'installations de production en service Transport de charge au voisinage d'installations électrique non isolées Levage multiple / en tandem Levage à grue à grande puissance Charge de grande dimension Travail à la limite de capacité de l'appareil de levage Conditions de l'appareil de levage Conditions des élingues et accessoires de levage Qualification du personnel Accessibilité / Visibilité (trajet de la charge) Vent/météo Autres (Spécifier):………………………………………
4
Permis:……………………… Permis:……………………… Permis:………………………
Certificat:…………………… Certificat:…………………… Certificat:……………………
No:…………… No:…………… No:……………
No:………………… No:………………… No:…………………
3.3 Points à vérifier avant et pendant le levage
3.2 Mesures à prendre
Procédure de levage Plan de levage Confirmation du poids de la charge à soulever Détermination du type d'élingues qui convient à la charge Opérateur de l'appareil de levage compétent et agrée Agent pour donner signaux de manœuvre Autres (Spécifier):………………………………. ……………………………………………………… ……………………………………………………… ………………………………………………………
Inspection des points de fixation Inspection des élingues et anneaux Inspection cordes de manœuvre Gréage de la charge par personne compétente Inspection de l'appareil de levage Test des sécurités de l'appareil de levage
Barrer la route à la circulation des véhicules Barrer la route à la circulation des personnes Moyen de communication radio Accessibilité aux équipements d'intervention incendie Maintien des accès dégagés Autres (Spécifier):……………………………………… ……………………………………………………………
Évaluation de risques plus approfondie Réf No:……………………………………. Endossement par l'Asset Manager
APPROBATION DU PERMIS
Le permis est approuvé pour une période de : ………… (Jours consécutifs) (Période maximale d'approbation possible: 7 jours consécutifs) à compter du Date:.....….........…... sous réserve que toutes les précautions énumérées dans l'évaluation de risques soient prises et que les conditions du permis restent inchangées.
Autorité de Zone Structure HSE ou Sécurité
5
Nom:……………………….……………
Fonction:………………………… Date:…………………
Signature:……………………
Nom:……………………….……………
Fonction:………………………… Date:…………………
Signature:……………………
AUTORISATION DU DÉBUT DES OPERATIONS DE LEVAGE PAR LE PRESENTANT DE L'AUTORITÉ DE ZONE
Je, Représentant de l'Autorité de Zone , déclare avoir personnellement contrôlé le site de travail ainsi que les précautions, et autorise le début des opérations de levage. Nom:………..
6
Fonction:………………… Signature:…
Période de validité du permis ( 1 Quart/Poste maximum) Du
Date:……….. Heure:………….
Au
Date:…………
Heure:…………………
ACCEPTATION DU PERMIS PAR LE RESPONSABLE D'EXÉCUTION
Je, Responsable d'Exécution , déclare avoir lu et compris les précautions. Je m'engage à les respecter et à les faire respecter par l'ensemble de mon personnel. Nom:…………………………………...
Fonction:…………………………………………… Date & heure:…………………
7
REVALIDATION DU PERMIS
8
DÉCLARATION DE SUSPENSION DES OPERATIONS DE LEVAGE ET ANNULATION DE PERMIS
Signature:………………………………
Toutes les autorisations de continuation/reprise des opérations de levage doivent être enregistrées au verso du permis Les opérations de levage sont suspendues pour les raisons suivantes:………………………….…………… Le permis doit être annulé (Aller à la section 11 du permis) Nom:…………………………………Fonction:……………………….. Date:……………………………… Heure:……………………………….. Signature:…………………………
9
DÉCLARATION DE LA FIN DES TRAVAUX EN HAUTEUR PAR LE RESPONSABLE D'EXÉCUTION
Les opérations de levage sont terminées. Nom:…………………………………Fonction:……………………….. Date:……………………………… Heure:……………………………….. Signature:…………………………
10
VÉRIFICATION ET APPROBATION DE LA FIN DES OPERATIONS DE LEVAGE PAR LE REPRÉSENTANT DE L'AUTORITÉ DE ZONE
Les opérations de levage sont terminées. Nom:…………………………………Fonction:……………………….. Date:……………………………… Heure:……………………………….. Signature:…………………………
11
ENREGISTREMENT DE LA FIN DES OPERATIONS DE LEVAGE ET ANNULATION DU PERMIS
Les opérations de levage ne sont pas terminées, un nouveau permis est nécessaire pour terminer ces opérations. Toutes les copies du permis ont été rassemblées, ce permis est annulé. Les opérations de levage sont terminées
Nom:…………………………………Fonction:……………………….. Date:……………………………… Heure:……………………………….. Signature:………………………… DISTRIBUTION
Original: Responsable d'Exécution 1ere Copie: Affichage Point Central de Coordination des permis 2
eme
Copie: Autorité de Zone 3 eme Copie: Structure HSE ou Sécurité
7
REVALIDATION DU PERMIS
Le permis a été approuvé pour ………. (Jours consécutifs) (Voir section 4 du permis) à compter du Date:……………………. sous réserve que les conditions du permis restent inchangées
Autorisation de continuation / reprise de travail
Jour
Période de validité du permis à indiquer par le Représentant de l'Autorité de Zone ( 1 Quart/Poste maximum) Du Date
Au Heure
Date
Heure
Transfert de responsabilité entre Quart/Poste Je, Représentant de l'Autorité de Zone , déclare avoir personnellement contrôlé le site de travail ainsi que les précautions. Les conditions du permis sont inchangées. J'autorise la continuation / reprise des opérations de levage.
Nom
Signature
Je, Responsable d'Exécution , m'engage à respecter et à faire respecter par l'ensemble de mon personne les conditions du permis.
Nom
Signature
A la fin de la période de validité du permis
Les opérations de levage sont terminées (Aller à la section 11 du permis)
Toutes les copies du permis doivent être rassemblées à la fin de la journée de travail
Approbation de changement de Responsable d'Exécution Jour
Je, Représentant de l'Autorité de Zone , autorise le changement de Responsable Je, Responsable d'Exécution Rentrant, déclare avoir lu et compris les précautions. Je m'engage à d'Exécution. les respecter et à les faire respecter par l'ensemble de mon personnel.
Date
Heure
Nom
Signature
Date
Heure
Nom
Signature
Nom
Fonction
Signature
Enregistrement des contrôles effectués par la Structure HSE ou Sécurité Jour
Date
Heure
Observations
Annexe 11 Formulaire du Permis d’entrer pour véhicule/engin
Système Permis de Travail de Sonatrach/Division Production
PERMIS D'ENTRER POUR VÉHICULE/ENGIN
Permis No: ………………………..
Dans une zone réglementée ou classée ( Cochez la case appropriée
1
Ordre de travail No: ……………………………
)
DEMANDE D'ENTRER POUR VÉHICULE / ENGIN Type Véhicule / engin
Unité/Zone:………………………………………………… Zone 1 Zone 2 Non classée Classification de la zone: Zone 0 Motif pour entrée:…………………………………………………………………………………………………………
Véhicule léger Camion Nacelle Grue Véhicule lourd …………………………………………………………………………………………………………………………………………… Autre (Spécifier):……………………………………
Itinéraire:…………………………………………………………………………………………………………………………… Immatriculation Plans joints: No:………………………………………………. Début prévu: Date:…………Heure:…………… Fin prévue: Date:…………Heure:…………… Discipline Conducteur Inspection Instrumentation
Électricité Mécanique
Puits Autre (Préciser):…………………………………
Permis d'entrer pour véhicule/engin demandé par
Nom:…………………………………
Responsable d'exécution
Date:……………………………Signature:……………… ………………………………………………………………
Fonction:…………………
2
PERMIS ET CERTIFICATS ASSOCIÉS
3
MESURES DE PRÉVENTION A PRENDRE PAR LE RESPONSABLE D'EXÉCUTION
Permis:…………………………….. No:…………………… Permis:…………………………….. No:…………………… Permis:…………………………….. No:……………………
Permis:……………………… Permis:……………………… Permis:………………………
No:…………… No:…………… No:……………
Moteur diesel Coupe batterie Arrêt d'urgence / admission d'air Pare flamme à l'échappement Autres (Spécifier):………………………………… ………………………………………………………..………… ………………………………………………………..…………
No:………………… No:………………… No:…………………
Vitesse limitée à :……………………… Km/Hr Porter la ceinture de sécurité Respecter le code de la route / signalisation routière Ne stationner que dans les endroits réservés à cet effet Arrêter les moteurs pendant le stationnement Clé maintenue sur véhicule / engin en tout temps Respecter l'itinéraire approuvé Céder la priorité aux véhicules d'intervention
Inspection du Véhicule / engin
4
Certificat:…………………… Certificat:…………………… Certificat:……………………
Conditions à respecter par le conducteur
Véhicule / engin doit être doté de (zone classée):
Maintenance préventive État pneumatique État système de freinage État système d'éclairage Chargement bien arrimé Autres (Spécifier):………………………………… ……………………………………………..………………
Entreprise Extérieure (Spécifier):………………….. Nom::………………………………………
Arrêter tout mouvement en cas d'alarme - Éviter de ne pas bloquer la circulation Suivre les instructions d'évacuation de l'autorité de zone Allumes cigares ne sont pas autorisés Autres (Spécifier):……………………………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………………………………………………… ……………………………………………………………………………………………………………………
APPROBATION DU PERMIS
Le permis est approuvé pour une période de : ………… (Jours consécutifs) (Période maximale d'approbation possible: 7 jours consécutifs) à compter du Date:.....….........…... sous réserve que toutes les mesures de prévention énumérées dans la section 3 du permis soient prises et que les conditions du permis restent inchangées. Nom:…………………………………... Fonction:………………………… Date:………………… Signature:……………………… Autorité de Zone
Structure HSE ou Sécurité
Nom:…………………………………...
Fonction:………………………… Date:…………………
5
AUTORISATION D'ENTRER DU VÉHICULE/ENGIN
6
ACCEPTATION DU PERMIS PAR LE RESPONSABLE D'EXÉCUTION
Signature:………………………
Je, soussigné, déclare avoir personnellement contrôlé le véhicule/engin et autorise son entrée. Période de validité du permis ( 1 Quart/Poste maximum) Nom:……….. Fonction:………………… Signature:… Du Date:……….. Heure:…………. Au Date:………… Heure:………………… Je, Responsable d'Exécution (RE), déclare avoir lu et compris les précautions, je m'engage à les respecter et à les faire respecter par l'ensemble de mon personnel. Nom:…………………………………...
Fonction:…………………………………………… Date & heure:…………………
Signature:…………………………………
7
REVALIDATION DU PERMIS
8
DÉCLARATION DE SUSPENSION DE L'AUTORISATION D'ENTRER DU VÉHICULE/ENGIN ET ANNULATION DU PERMIS
Toutes les autorisations de continuation/reprise d'entrée de véhicule/engin doivent être enregistrées au verso du permis L'autorisation d'entrer du véhicule/engin est suspendue pour les raisons suivantes:………………………….…………………………………………… Le permis doit être annulé (Aller à la section 10 du permis). Nom:…………………………………Fonction:……………………….. Date:……………………………Heure:……………………………….. Signature:…………………………
9
DÉCLARATION DE FIN D'ENTRER DE VÉHICULE/ENGIN PAR LE RESPONSABLE D'EXÉCUTION
Je, Responsable d'Exécution (RE), déclare que l'entrée du véhicule/engin n'est plus nécessaire. Nom:…………………………………Fonction:……………………….. Date:……………………………Heure:……………………………….. Signature:…………………………
10
ENREGISTREMENT DE LA FIN DE L'ENTRÉE DU VÉHICULE/ENGIN ET ANNULATION DU PERMIS L'entrée du véhicule/engin n'est plus nécessaire
L'entrée du véhicule/engin est toujours nécessaire, un nouveau permis est nécessaire
Toutes les copies du permis ont été rassemblées, ce permis est annulé. Nom:…………………………………Fonction:……………………….. Date:……………………………Heure:……………………………….. Signature:………………………… DISTRIBUTION
Original: Vehicule/engin 1ere Copie: Affichage Point Central de Coordination des permis 2
eme
Copie: Autorité de Zone 3 eme Copie: Structure HSE ou Sécurité
7
REVALIDATION DU PERMIS
Le permis a été approuvé pour ………. (Jours consécutifs) (Voir section 4 du permis) à compter du Date:……………………. sous réserve que les conditions du permis restent inchangées
Autorisation de continuation / reprise d'entrer du vehicule/engin Période de validité du permis à indiquer par le Représentant de l'Autorité de Zone ( 1 Quart/Poste maximum)
Jour
Du Date
Au Heure
Date
Heure
Transfert de responsabilité entre Quart/Poste
Je, Représentant de l'Autorité de Zone , déclare avoir personnellement contrôlé le site de travail ainsi que les précautions. Les conditions du permis sont inchangées. J'autorise la continuation / reprise de l'entrée du vehicule/engin
Nom
Signature
Je, Responsable d'Exécution , m'engage à respecter et à faire respecter par l'ensemble de mon personne les conditions du permis.
Nom
Signature
A la fin de la période de validité du permis
L'entrée du vehicule/engin n'est plus necessaire (Aller à la section 10 du permis)
Toutes les copies du permis doivent être rassemblées à la fin de la journée de travail
Approbation de changement de Responsable d'Exécution Jour
Je, Représentant de l'Autorité de Zone , autorise le changement de Responsable Je, Responsable d'Exécution Rentrant, déclare avoir lu et compris les précautions. Je m'engage à d'Exécution. les respecter et à les faire respecter par l'ensemble de mon personnel.
Date
Heure
Nom
Signature
Date
Heure
Nom
Signature
Annexe 12 Formulaire du Permis de fermeture provisoire de route
Système Permis de Travail de Sonatrach/Division Production
PERMIS DE FERMETURE PROVISOIRE DE ROUTE ( Cochez la case appropriée
1
Permis No: ……………………….. Affichage salle de contrôle exploitation et intervention incendie
)
DEMANDE DE FERMETURE PROVISOIRE DE ROUTE
Unité/Zone:……………………………………………………………… Motif de la fermeture provisoire de route
…………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
Fermeture totale
Fermeture partielle Largeur de la route laissée ouverte suffisante pour le passage des engins d'intervention
Route concernée par la fermeture …………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
Route alternative ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
Plan joint (Montrant la route concernée par la fermeture et la route alternative Croquis (Plan de masse)
Fermeture provisoire de route demandée pour la période Du
Date:………………..
Heure:………………..
Au
Date:………………………
Heure:……………………
Permis demandé par Nom:……………………………………Fonction:……………………….. Date:……………………………… Heure:……………………………….. Signature:…………………………
2
PERMIS ET CERTIFICATS ASSOCIES
Permis:……………………………..
No:……………………
Permis:………………………
Permis:……………………………..
No:……………………
Permis:………………………
No:……………
Certificat:……………………
No:…………………
Permis:……………………………..
No:……………………
Permis:………………………
No:……………
Certificat:……………………
No:…………………
3
No:……………
Certificat:……………………
No:…………………
MÉTHODES DE SIGNALISATION DE LA FERMETURE PROVISOIRE DE ROUTE
Barrières Pancartes Feux de signalisation de dangers Autres (Spécifier):………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… ……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
4
APPROBATION DU PERMIS
Nous considérons que la route peut être fermée provisoirement à la circulation Totalement prévues dans le présent permis soient mises en oeuvre.
Partiellement
sous réserve que les méthodes de signalisation
Autorité de Zone
Nom:…………………………………... Fonction:……………………………Date:…………………
Signature:……………………
Structure HSE ou Sécurité
Nom:…………………………………... Fonction:……………………………Date:…………………
Signature:……………………
5
CONTRÔLE DE LA FERMETURE PROVISOIRE DE ROUTE
Je, représentant de l'autorité de zone, déclare avoir contrôlé la fermeture de la route, les méthodes de signalisation prévues sont en place. Heure:……………………………….. Signature:………………………… Nom:……………………………………Fonction:……………………….. Date:………………………………
6
DECLARATION DE LA FIN DE LA FERMETURE PROVISOIRE DE ROUTE
Je, représentant de l'autorité de zone, déclare avoir contrôlé la ré-ouverture de la route, le site est dans de bonnes conditions de sécurité et de propreté. . Heure:……………………………….. Signature:………………………… Nom:……………………………………Fonction:……………………….. Date:………………………………
7
ENREGISTREMENT DE LA FIN DE FERMETURE PROVISOIRE DE ROUTE ET ANNULATION DU PERMIS
Toutes les copies de ce permis ont été rassemblées. Le permis est annulé. Nom:……………………………………Fonction:……………………….. Date:……………………………… Heure:……………………………….. Signature:………………………… DISTRIBUTION
Original: Demandeur du permis 1ere Copie: Affichage Point Central de Coordination des permis 2
eme
Copie: Intervention Incendie 3eme Copie: Structure HSE ou Sécurité
Annexe 13 Formulaire du Permis de travail électrique
Système Permis de Travail de Sonatrach/Division Production
Permis No: ………………………..
PERMIS DE TRAVAIL ÉLECTRIQUE ( Cochez la case appropriée
1
Ordre de travail No: ……………………………
)
DEMANDE DE PERMIS Lieu du travail
Unité/Zone:…………………………………………………..…………………………… Nom de l'équipement:……………………………………………………………..…
No d'identification de l'équipement.:…………………………………
L'équipement électrique identifié ci-dessus a été isolé sous le CERTIFICAT DE CONSIGNATION ÉLECTRIQUE N°…………………………………………………. Description des travaux à entreprendre ………………………………………………………………………………….………………………………………. ………………………………………………………………………………….……………………………………….
Permis demandé par Nom:………………………..………
Fonction:……………...……………
Signature:………………………..……
Date:………………...…… Heure:……………….………
Responsable d'Exécution Nom:……………………
2
Habilitation électrique:…………………
Fonction:…………………………
Valable Du:…………. Au:……………
MESURES DE PREVENTION Habilitation électrique nécessaire pour la réalisation des travaux Domaine de tension
B
H
Nature des travaux
R
C
T
0
1
2
Niveau de responsabilité du responsable d'exécution Ce permis de travail electrique doit être associé à un autre permis de travail
Oui
N
V
Non
Si oui, spécifier le type de permis à utiliser:…………………………………………………………….. Enregistrement des permis et certificats associés Permis:…………………………….. No:……………………
Permis:………………………
No:……………
Certificat:……………………
No:…………………
Permis:…………………………….. No:……………………
Permis:………………………
No:……………
Certificat:……………………
No:…………………
Indiquer les endroits où les isolements ont été effectués et où les étiquettes d'avertissement de danger ont été placées:……………………………………………………………………………… ………………………………………………………………………………….……………………………………….
Indiquer les endroits où l'équipement a été mis à la terre:…………………………………… ………………………………………………………………………………….……………………………………….
Clé / N° cadenas :………………………………………………. ………………………………………………………………………………….……………………………………….
Autres précautions:………………………………………………………………………………………………………………. ………………………………………………………………………………….……………………………………….
3
Aucun autre travail ne sera entrepris APPROBATION DU PERMIS
Permission est donnée pour réaliser les travaux décrits dans la section 1 du présent permis. Autorité de zone
4
Nom:………………………………
Fonction:…………………………Date:…………………
Signature:……………………
ACCEPTATION DU PERMIS PAR LE RESPONSABLE D'EXÉCUTION
J'accepte la responsabilité d'effectuer les travaux décrits dans la section 1 du présent permis. Aucune tentative ne sera faite par moi même ou par le personnel sous ma responsabilité pour effectuer d'autres travaux. Fonction:……………...……………
5
Nom:………………………..………
Signature:………………………..……
Date:………………...…… Heure:……………….………
DÉCLARATION DE LA FIN DES TRAVAUX PAR LE RESPONSABLE D'EXÉCUTION
Les travaux décrits dans la section 1 du présent permis sont terminés. Tout le personnel sous ma responsabilité a quitté le lieu du travail et a été informé qu'il n'était plus autorisé à travailler sous le présent permis. Fonction:……………...……………
6
Nom:………………………..………
Signature:………………………..……
Date:………………...…… Heure:……………….………
ENREGISTREMENT DE LA FIN DES TRAVAUX ET ANNULATION DU PERMIS
Toutes les copies de ce permis ont été rassemblées. Ce permis est annulé. Nom:………………… DISTRIBUTION
Fonction:…………………..
Date:………………….
Original: Responsable d'Exécution 1ere Copie: Affichage Point Central de Coordination des permis 2
Signature:………… eme
Copie: Autorité de Zone
Annexe 14 Formulaire du Permis de limitation d’accès
Système Permis de Travail de Sonatrach/Division Production
Permis No: ………………………..
PERMIS DE LIMITATION D'ACCÈS Proximité d'équipements électriques sous tension ( Cochez la case appropriée
1
Ordre de travail No: ……………………………
)
DEMANDE DE PERMIS
Équipement électrique sous tension Unité/Zone:…………………………………………………..…………………………… Nom de l'équipement:……………………………………………………………..…
No d'identification de l'équipement.:…………………………………
Description des travaux à entreprendre ………………………………………………………………………………………………………. ………………………………………………………………………………………………………. Permis demandé par Nom:………………………
Fonction:…………………………
Date:………………
Signature:……………
Heure:……………
Responsable d'Exécution Nom:……………………
2
Habilitation électrique:…………………
Fonction:…………………………
Valable Du:…………. Au:……………
MESURES DE PREVENTION Habilitation électrique nécessaire pour la réalisation des travaux Domaine de tension
B
H
Nature des travaux
R
C
T
0
1
2
Niveau de responsabilité du responsable d'exécution Ce permis de limitation d'accès doit être associé à un autre permis de travail
Oui
N
V
Non
Si oui, spécifier le type de permis à utiliser:…………………………………………………………….. Enregistrement des permis et certificats associés Permis:…………………………….. No:……………………
Permis:………………………
No:……………
Certificat:……………………
No:…………………
Permis:…………………………….. No:……………………
Permis:………………………
No:……………
Certificat:……………………
No:…………………
Précautions spéciales prises ……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………. ……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………. …………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….
Précautions à prendre lors de la réalisation des travaux ……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………. ……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………. ……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………. …………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….
3
Aucun autre travail ne sera entrepris APPROBATION DU PERMIS
Permission est donnée pour réaliser les travaux décrits dans la section 1 du permis. Autorité de zone
4
Nom:………………………………
Fonction:…………………………Date:…………………
Signature:……………………
ACCEPTATION DU PERMIS PAR LE RESPONSABLE D'EXÉCUTION
J'accepte la responsabilité d'effectuer les travaux décrits dans la section 1 du permis. Aucune tentative ne sera faite par moi même ou par le personnel sous ma responsabilité pour effectuer d'autres travaux. Fonction:………………………
5
Nom:…………………………
Date:……………… Heure:……………
Signature:……………
DÉCLARATION DE LA FIN DES TRAVAUX PAR LE RESPONSABLE D'EXÉCUTION
Les travaux décrits dans la section 1 du permis sont terminés. Tout le personnel sous ma responsabilité a quitté le lieu du travail et a été informé qu'il n'était plus autorisé à travailler sous le présent permis. Fonction:………………………
6
Nom:…………………………
Date:……………… Heure:……………
Signature:……………
ENREGISTREMENT DE LA FIN DES TRAVAUX ET ANNULATION DU PERMIS
Toutes les copies de ce permis ont été rassemblées. Ce permis de limitation d'accès est annulé. Nom:………………… DISTRIBUTION
Fonction:………………….. ere
Original: Responsable d'Exécution 1
Date:…………………. Copie: Affichage Point Central de Coordination des permis 2
Signature:………… eme
Copie: Autorité de Zone
Annexe 15 Formulaire du Permis de test sur équipement électrique haute tension
Système Permis de Travail de Sonatrach/Division Production
PERMIS DE TEST SUR ÉQUIPEMENT ÉLECTRIQUE HAUTE TENSION ( Cochez la case appropriée
1
Permis No: ……………………….. Ordre de travail No: ……………………………
)
DEMANDE DE PERMIS DE TEST SUR ÉQUIPEMENT ÉLECTRIQUE HAUTE TENSION
Unité/Zone:…………………………………………………..…………………………… Nom de l'équipement:……………………………………………………………..…
No d'identification de l'équipement.:…………………………………
Nature des tests à effectuer ………………………………………………………………………………………………………. ………………………………………………………………………………………………………. L'équipement électrique identifié ci-dessus a été isolé sous le CERTIFICAT DE CONSIGNATION ÉLECTRIQUE No:……………………………………….. Permis demandé par Fonction:…………………………
Nom:………………………
Date:……………… Heure:……………
Signature:……………
Responsable d'Exécution Nom:……………………
2
Habilitation électrique:………………… Valable Du:…………. Au:……………
Fonction:…………………………
MESURES DE PRÉVENTION Habilitation électrique nécessaire pour la réalisation des tests Domaine de tension
B
H
Nature des travaux
R
C
T
0
1
2
Niveau de responsabilité du responsable d'exécution
N
Ce permis de test sur équipement équipement électrique haute tension doit être associé à un autre permis de travail
V
Oui
Non
Si oui, spécifier le type de permis à utiliser:…………………………………………………………….. Enregistrement des permis et certificats associés Permis:…………………………….. No:……………………
Permis:………………………
No:……………
Certificat:……………………
No:…………………
Permis:…………………………….. No:……………………
Permis:………………………
No:……………
Certificat:……………………
No:…………………
Les endroits ou les mises à la terre doivent être enlevées pour réaliser les tests sont: ……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………. ……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………. …………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….
Tests/Mesures de prévention supplémentaires ……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………. ……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………. …………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….
3
APPROBATION DU PERMIS (CHARGE DE CONSIGNATION)
Permission est donnée pour réaliser les tests décrits dans la section 1 du permis. Chargé de consignation
4
Nom:………………………………
Fonction:…………………………Date:…………………
Signature:……………………
ACCEPTATION DU PERMIS PAR LE RESPONSABLE D'EXÉCUTION
J'accepte la responsabilité d'effectuer les tests décrits dans la section 1 du permis. Aucune tentative ne sera faite par moi même ou par le personnel sous ma responsabilité pour effectuer d'autres tests. Fonction:………………………
5
Nom:…………………………
Date:……………… Heure:……………
Signature:……………
DÉCLARATION DE LA FIN DES TESTS PAR LE RESPONSABLE D'EXÉCUTION
Les tests décrits dans la section 1 du permis sont terminés. Tout le personnel sous ma responsabilité a quitté le lieu du travail. Tout le personnel sous ma responsabilité a quitté le lieu du travail. Tous les outils utilisés et les connexions temporaires ont été enlevés. Date:……………… Signature:…………… Fonction:……………………… Nom:………………………… Heure:……………
6
APPROBATION DE LA FIN DES TESTS PAR LE CHARGE DE CONSIGNATION ET ANNULATION DU PERMIS
. Toutes les mises à la terre enlevées pour effectuer les tests ont été remises en place. Le Certificat de Consignation Électrique …………………………. No: est de nouveau en vigueur. Toutes les copies du permis ont été rassemblées et le permis est annulé. Date:……………… Fonction:……………………… Nom:………………………… Signature:…………… Heure:…………… DISTRIBUTION
Original: Responsable d'Exécution 1ere Copie: Affichage Point Central de Coordination des permis 2
eme
Copie: Autorité de Zone
Annexe 16 Formulaire du Permis de mise en service d’un équipement ou de système
Système Permis de Travail de Sonatrach/Division Production
PERMIS DE MISE EN SERVICE D'UN ÉQUIPEMENT OU DE SYSTEME ( Cochez la case appropriée
1
Permis No: ……………………….. Ordre de travail No: ……………………………
)
DEMANDE DE MISE EN SERVICE D'UN ÉQUIPEMENT OU DE SYSTEME
Unité/Zone:………………………………………………… Mise en service prévue
Installation/Équipement/Systeme:………………….……………………………………
Date:……………………… Heure:……………………………………..
Mise en service suite à:
Type de travaux de maintenance
Discipline
Travaux de maintenance courte durée
Maintenance préventive
Électrique
Travaux de maintenance longue durée
Maintenance curative
Mécanique
Nouveau (Commissioning)
Inspection interne
Contrôle/instrumentation
Autres (Spécifier):………………………………………
Inspection externe
Inspection / Test pression
………………………………………………………………
Contrôle réglementaire
Sablage/peinture
Autres (Spécifier):………………………
Nettoyage / entretien
……………………………………………
Autres (Spécifier):………………………………
……………………………………………
……………………………………………………
Permis de mise en service demandé par Nom:…………………………………………
2
Fonction:…………………………………………
Date:………………………
Signature:…………………
MESURES DE PRECAUTIONS PAR AUTORITE DE ZONE Mesures de précautions pour le démarrage
Suivre procédures de démarrage jointes
Dé-isolements process effectués et confirmés
Réunion de coordination
Dé-isolements électriques effectués et confirmés
Inspection générale avant démarrage
Dé-isolements mécaniques effectués et confirmés
Effectif suffisant et expérimenté
Dé-isolements contrôles/instrumentations effectués et confirmés
Démarrage de jour uniquement autorisé
Vérification de la disponibilité de l'énergie électrique
Démarrage non autorisé par vent fort
Vérification de la disponibilité de l'air instrument
Inertage à l'azote
Vérification de la disponibilité de circuit de refroidissement
Inertage à la vapeur
Remise en service des systèmes feu et gaz
Ventilation forcée en service
Remise en service des systèmes d'arrêt d'urgence
Autres mesures (Spécifier):…………………………………………………………………………………………………………………………………………………
Le démarrage peut être autorisé sous réserve que toutes les précautions énumérées ci-dessus soient prises. Nom:…………………………………………
3
Date:………………………
Fonction:…………………………………………
Signature:…………………
MESURES DE PRECAUTIONS PAR LE SERVICE TECHNIQUE Mesures de précautions pour le démarrage
Sécurités intrinsèques rebranchées Inspection générale Autres mesures (Spécifier):…………………………………………………………………………………………………………………………………………………
Le démarrage peut être autorisé sous réserve que toutes les précautions énumérées ci-dessus soient prises. Nom:…………………………………………
4
Fonction:…………………………………………
Date:………………………
Signature:…………………
MESURES DE PRECAUTIONS PAR STRUCTURE HSE OU SECURITE Mesures de précautions pour le démarrage Contrôle d'atmosphère
Alentours de l'équipement dégagés de tout objet Sol débarrassé d'hydrocarbures
Gaz combustibles ………………
Accessibilité a l'équipement assurée
%LIE
Date:……………… Heure:…………
Moyens de communication radio
Moyens d'intervention incendie disponibles
Présence d'agent de sécurité
Moyens de lutte contre la pollution disponibles
Présence d'équipe intervention avec camion incendie
Route barrée à la circulation des véhicules
Les dispositifs de protection et de sécurité de l'équipement à démarrer remis en place ou remis en service
Zone de sécurité signalée et interdite d'accès
Autres mesures (Spécifier):…………………………………………………………………………………………………………………………………………………
Le démarrage peut être autorisé sous réserve que toutes les précautions énumérées ci-dessus soient prises. Nom:…………………………………………
5
Fonction:…………………………………………
Date:………………………
Signature:…………………
AUTORISATION DE MISE EN SERVICE Représentant HSE ou Sécuité
Représentant du Sce Technique
Représentant de l'Autorité de Zone
Déclare que toutes les précautions sont réunies et que l'équipement/systeme peut être mis en service
Déclare que toutes les précautions sont réunies Déclare que toutes les précautions sont réunies et que l'équipement/systeme peut être mis en et que l'équipement/systeme peut être mis en service service
Nom:………………
Fonction:………………
Nom:…………………
Fonction:…………… Nom:…………………
Fonction:………………
Date:……………………
Signature:………………
Date:……………………
Signature:………
Signature:…………
DISTRIBUTION
Original: Autorité de Zone 1ere Copie: Affichage Point Central de Coordination des permis 2
eme
Date:……………………
Copie: Service Technique 3ème copie :Structure HSE ou Sécurité
Annexe 17 Formulaire du Certificat de consignation électrique
Système Permis de Travail de Sonatrach/Division Production
CERTIFICAT DE CONSIGNATION ÉLECTRIQUE ( Cochez la case appropriée
)
Certificat No: ……………………….. Ordre de travail No: ……………………………
1 DEMANDE DE CONSIGNATION ÉLECTRIQUE PAR AUTORITÉ DE ZONE Équipement à consigner:………………………………………………………………………..
Installation:……………………………………………………………
No d'identification de l'équipement.:……………………………………………………………..………………………… Nature du travail:…………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
Consignation électrique demandée par
Nom:…………………
Fonction:………………………………..
2 MÉTHODES DE CONSIGNATION
Date:……………….. Heure:………………..
Signature:…………
Indiquer les endroits où les cadenas ont été placés (condamnation)
Mode de séparation Ouverture et verrouillage sectionneur Ouverture et retrait disjoncteur Verrouillage du volet jeu de barres Retrait de fusibles Isolation des transformateurs de tension Court-circuitage des transformateurs de courant Autres (Spécifier):…………………………………………… ……………………………………………………………………
……………………………………………………………………
…………………………………………………………………… ……………………………………………………………………
Indiquer les numéros de cadenas utilisés (identification)
Indiquer les endroits où l'équipement a été séparé ………………………………………………………………………… ………………………………………………………………………… ………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………
Indiquer les endroits où l'équipement a été mis à la terre (y compris mise à la terre temporaire) ………………………………………………………………………… ………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………
No:…………………………………………………… No:…………………………………………………… No:……………………………………………………
Indiquer les numéros des étiquettes d'avertissement de danger No:…………………………………………………… No:…………………………………………………… No:……………………………………………………
Tests / Précautions supplémentaires Vérification d'Absence de Tension (VAT) Autres tests/précautions (spécifier):…………………
…………………………………………………………………… …………………………………………………………………… ……………………………………………………………………
Avertissement:
Tous les autres équipements sont dangereux et ne doivent pas être manipulés
Tout autre test nécessite l'émission d'un permis de test sur équipement électrique 3 Je, Chargé de Consignation, déclare que l'équipement spécifié sur le présent certificat a été consigné et qu'il ne présente aucun danger CHARGÉ DE CONSIGNATION
Nom:…………………
Fonction:………………………………..
Date:……………….. Heure:………………..
Signature:…………
4 AUTORISATION DE DÉ-CONSIGNATION PAR AUTORITÉ DE ZONE Nom:…………………
Fonction:………………………………..
Date:……………….. Heure:………………..
Signature:…………
5 DÉ-CONSIGNATION PAR CHARGÉ DE CONSIGNATION Je, Chargé de Consignation, déclare que l'équipement n'est plus consigné. Toutes les étiquettes d'avertissement de danger ainsi que tous les cadenas de condamnation ont été retirés. Nom:…………………
Fonction:………………………………..
Date:……………….. Heure:………………..
Signature:…………
6 ENREGISTREMENT DE L'ANNULATION DU CERTIFICAT DE CONSIGNATION ÉLECTRIQUE Toutes les copies du présent certificat ont été rassemblées. Ce certificat est annulé. Nom:…………………
Fonction:……………………………….. DISTRIBUTION
Date:……………………
Original: Chargé de consignation 1ere Copie: Autorité de Zone
Signature:…………
Annexe 18 Formulaire du certificat de confirmation d’isolement
Système Permis de Travail de Sonatrach/Division Production
CERTIFICAT DE CONFIRMATION D'ISOLEMENT (CCI) ( Cochez la case appropriée ) CCI N°:…………………………… Installation / Équipement à isoler:……………………………………………………… Motif pour isolement:……………………………………………………………… ……………………………………………………………………….. Plans Joints Liste d'equipements à isoler jointe Plan Piping et Instrumentation (P & I D) joint
Contrôle des Permis de travail autorisés sous les isolements indiqués sur le présent Certificat de Confirmation d'Isolement (CCI)
Type de Permis
Numéro de permis
………………………………..
N°:…………………………
N°:……………………
………………………………..
N°:…………………………
N°:……………………
………………………………..
N°:…………………………
………………………………..
N°:……………………
………………………………..
N°:…………………………
………………………………..
N°:……………………
………………………………..
Type de Permis
Numéro de permis
………………………………..
N°:……………………
……………………………….. ………………………………..
Annulé
DEMANDE D'ISOLEMENT Je, Autorité de Zone, déclare que l'installation/équipement est dans des conditions de sécurité qui permettent son isolement. Après consultation avec le Responsable d'Exécution du travail, je demande que l'équipement soit isolé par les disciplines suivantes: Contrôle/instrumentation
Étiquetté
EQUIPEMENT A ISOLER
Numéro verrou / cadenas
Date:…………
Platiné / obturé
Bridé
Déconnecté
Fermé
Ouvert
PRECISER OUI / NON / NA POUR INDIQUER LA METHODE D'ISOLEMENT
Mécanique
Fonction:…………
Verrouillé / cadenassé
Process Nom:……………
Électrique
Heure:……………
Signature:………
Annulé
N°:…………………………
DEMANDE DE DE-ISOLEMENT Je, Autorité de Zone , déclare que les travaux réalisés sous ce CCI sont terminés et que tous les permis et certificats associés aux travaux ont été annulés. Je demande que l'installation/équipement soit dé-isolé par: Process Mécanique Contrôle/instrumentation
Chargé d'Isolement/Consignation doit signer chaque isolement
Électrique Nom
Fonction
Date
Signature
Chargé d'Isolement/Consignation doit signer chaque dé-isolement Confirmation d'Isolement Nom
Fonction
Date
Confirmation de dé-isolement Signature
Nom
Fonction
Date
Signature
ISOLEMENT PROCESS
ISOLEMENT MÉCANIQUE ou ISOLEMENT POSITIF
ISOLEMENT CONTRÔLE / INSTRUMENTATION Certificat de Consignation Electrique No:…………………………………... Certificat de Consignation Electrique No:…………………………………...
ISOLEMENT ÉLECTRIQUE Certificat de Consignation Electrique No:…………………………………... Certificat de Consignation Electrique No:…………………………………... Certificat de Consignation Electrique No:…………………………………... Certificat de Consignation Electrique No:…………………………………... Je, Autorité de Zone , déclare que tous les isolements ont été enlevés des équipements spécifiés sur ce CCI. Les opérations normales de service peuvent reprendre.
Enrgistrement de l'annulation du CCI Toutes les copies du CCI ont été rassemblées. Ce CCI est annulé.
Nom:…………...Fonction:…………Date:…………Heure:……………Signature:……… DISTRIBUTION
Nom:…………...Fonction:…………Date:………… Heure:……………Signature:………
Original: Affichage Point Central de Coordination des permisere 1 Copie: Autorite de Zone Révision 0 du 05/04/2006
Annexe 19 Formulaire du certificat d’échafaudage
Système Permis de Travail de Sonatrach/Division Production
CERTIFICAT D'ÉCHAFAUDAGE ( Cochez la case appropriée
Certificat No: ………………………..
)
1 DEMANDE DE CERTIFICAT D'ÉCHAFAUDAGE Type d'échafaudage
Fixe
Suspendu
Mobile
Type de travaux prévus
Autre (Préciser):………………………
Travaux légers/pas de stockage
Travaux moyens
Travaux lourds/avec stockage
Autres (Préciser):…………………………………
Charge maximale admissible
………………………….kg
(Préciser):…………………………………...……
Entreprise Extérieure
Échafaudage monté par:
Nom:……………………………
Responsable du montage de l'échafaudage
Fonction:……………………………
Date d'achèvement du montage de l'échafaudage:……………………………. Schémas joints: Certificat d'échafaudage demandé par Nom:……………………………………………… Fonction:………………………………………… Date:……………………………
Signature:…………………………
2 CONDITIONS TECHNIQUES Conditions techniques à vérifier
No.
Oui
1
Est-ce que le sol sur lequel l'échafaudage est monté, est dur et non mouillé?
2
Est-ce qu'il y a des tranchées ouvertes à proximité de l'échafaudage qui pourraient mettre en danger sa stabilité?
3
Y-a-t-il des risques aériens tels que des câbles électriques au voisinage de l'échafaudage?
4
La largeur de l'échafaudage est-elle suffisante? (80 centimètres au minimum)
5
Les lisses sont-elles installées et à 1 mètre du plancher?
6
Les sous-lisses sont-elles installées et à 45 centimètres du plancher?
7
Les plinthes sont-elles installées, continues, parfaitement fixées et d'une hauteur minimum de 15 centimètres?
8
Le plancher est-il jointif?
9
Les planches sont elles en bon état?
Non
10 L'échafaudage est-il attaché à la structure? 11 L'échafaudage est-il contreventé pour renforcer sa stabilité? 12 L'échelle dépasse-t-elle le plancher de travail de 1 mètre minimum? 13 Autres conditions techniques (Préciser):………………………………………………………………………………… 14
………………………………………………………………………………………………………………………
15
………………………………………………………………………………………………………………………
3 INSPECTION DE L'ECHAFAUDAGE Je, Respensable chargé de l'inspection des échafaudages, déclare ne pas avoir détecté de défectuosité dans l'échafaudage inspecté et autorise son utilisation pour une durée de ,,,,,,,,,,,,, jours à compter du: Date:……………. Heure:…………….. Date:………… Nom:……………… Signature:… Fonction:……………………… Heure:…………
4 REVALIDATION/EXTENSION DE LA PÉRIODE D'APPROBATION DE L'ÉCHAFAUDAGE Période de revalidation/extension Date
Échafaudage inspecté par Au
Du Heure
Date
Nom
Signature
Heure
5 ENREGISTREMENT DE L'ANNULATION DE L'AUTORISATION D'UTILISATION DE L'ÉCHAFAUDAGE L'autorisation d'utilisation de l'échafaudage est annulée. Nom:…………………
Date:………… Heure:…………
Fonction:…………………
Signature:……
6 ENREGISTREMENT DE L'ANNULATION DU CERTFICAT D'ÉCHAFAUDAGE Toutes les copies de ce certificat ont été rassemblées. Ce certificat est annulé. Nom:………………… DISTRIBUTION
Fonction:…………………
Original: Affichage Point Central de Coordination des permis 1
Date:…………… ere
Copie: Demandeur de certificat 2
eme
Signature:……
Copie: Personne chargée de l'inspection de l'échafaudage
Evaluation de Risques Réf :……………………………………… Evaluation de Risques effectuée pour (Description du travail) :…………………………………………………………………………………………………………………… ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… Evaluation dirigée par
Description de taches
Niveau de risque:
Nom
Sources d’énergie potentiellement dangereuses
Fonction
Membres de l’équipe d’évaluation
Signature
Modes selon lesquels des personnes peuvent entrer en contact avec les énergies dangereuses
Niveau de risque initial
1
2
3
Nom
Fonction
Contrôle du risque Barrières pour éliminer ou réduire le niveau de risque
Niveau de risque résiduel
1
2
3
Travail autorisé Oui
(1) Risque Non Significatif ou Risque Faible – Risque Acceptable (2) Risque Significatif Maîtrisé ou Risque Moyen - Risque a été réduit à un niveau aussi bas que raisonnablement réalisable (ALARP) (3) Risque Significatif ou Risque Elevé - Risque non acceptable
Non
ENDOSSEMENT PAR ASSET MANAGER
Réf :……………………….…
1. Endossement demandé par :
Date de la demande :
………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………
2. Description du travail :………………………………………………………………………………………………………..
.……………………………………………………………………………………………………………………………………………. 3. Danger(s) motivant la demande d’endossement
……………………………………………………………………………………………………………………………………… ……………………………………………………………………………………………………………………………………
4. Endossement demandé pour la période Du :……………………………………………………….
Au :…………………………………………………….
5. Evaluation de Risques approfondie Effectuée le :
…………………………………………
Dirigée par :
…………………………………………
Réf de l’évaluation de risques :
…………………………………………
Par Responsable Structure HSE ou Sécurité
Par Autorité de Zone
Par L’Asset Manager
Signature
Signature
Signature
6. Approbation
Date
Annexe 21 Exemple de titre d’habilitation électrique
Système Permis de Travail de Sonatrach/Division Production
Exemple de titre d’habilitation électrique basée sur les recommandations du Recueil UTE C-18-510 (Union Technique de l’Electricité et de la Communication)
Nom :
Prénom :
Date de naissance :
Fonction :
Employeur :
Affectation :
Personnel
Symbole d’habilitation
Domaine de tension
Champ d’application Ouvrages concernés
Non-électricien Electricien Chargé de travaux ou d’interventions Chargé de consignation Habilités spéciaux Habilitation valable du :
Au :
L’employeur
Le titulaire
Nom et prénom : Fonction : Signature :
Signature :
Indications supplémentaires
Annexe 22 Différentes habilitations électriques
Système Permis de Travail de Sonatrach/Division Production
Les différentes habilitations électriques Les habilitations électriques sont symbolisées par une ou deux lettres et un chiffre: La première lettre indique le domaine de tension des installations : B : Basse Tension et Très Basse Tension. H : Haute Tension. La seconde lettre précise la nature des opérations que l’agent peut effectuer : R : Interventions de dépannage ou de raccordement, mesurages, essais et vérifications (Ce type d’habilitation ne peut être délivré que pour des installations Basse Tension et Très Basse Tension) C : Opérations de consignation T : Possibilité de travailler sous tension N : Nettoyage sous tension V : Travail au voisinage de pièces nues sous tension Le chiffre précise le niveau de responsabilité de l’agent. 0 : Agent effectuant des travaux d’ordre non électrique et/ou des manœuvres permises (il n’est pas tenu de vérifier l’absence de tension). 1 : Agent exécutant des travaux d’ordre électrique vérifier l’absence de tension).
(il peut
2 : Chargé de travaux d’ordre électrique quel que soit le nombre d’exécutants placés sous ses ordres. HABILITATIONS DU PERSONNEL
Travaux
Opérations
INTERVENTIONS DU DOMAINE BT
Non-électricien
HORS TENSION
B0 ou H0
SOUS TENSION -
-
Exécutant électricien
B1 ou H1
B1T OU H1T
-
Chargé d’intervention
-
-
BR
Chargé de travaux
B2 ou H2
B2T OU H2T
-
Chargé de consignation
BC ou HC
-
BC
-
BN ou HN
Système Permis de Travail de Sonatrach/Division Production
-
Annexe 23 Liste de contrôle d’audit de permis
Système Permis de Travail de Sonatrach/Division Production
Liste de contrôle d’audit de permis de travail Item
1 2
Description Description du travail à réaliser 1.1 Section complète et précise ? 1.2 Type de permis utilisé correct ?
Permis et certificats associés 2.1 Tous les permis et certificats associés sont enregistrés sur le permis ? Evaluation de risques 3.1 Tous les dangers sont identifiés ? 3.2 Les isolements sont identifiés correctement ? 3.3 Préparation des équipements est appropriée ? 3.4 Les types de contrôle d’atmosphère identifiés ?
3
3.5 Précautions à prendre par l’autorité de zone sont identifiées ? 3.6 Précautions à prendre par le Responsable d’Exécution sont identifiées ? 3.7 Equipements de protection individuelle sont identifiés ? 3.8 Mesures de sécurité incendie sont identifiées ? 3.9 Nécessité d’une évaluation de risques approfondie est identifiée ?
4 5 6
7
8
Isolements effectués 4.1 Tous les isolements effectués sont enregistrés ? 4.2 Tous les certificats d’isolement sont référenciés ?
Approbation du permis 5.1 Approbation du permis conformément à la matrice d’approbation des permis?
Certificat de Contrôle d’atmosphère 6.1 Type de contrôle d’atmosphère réalisé selon l’exigence du permis ? 6.2 Résultats des contrôles enregistrés sur le permis ?
Autorisation de début de travail et contrôle des précautions à prendre par l’Autorité de Zone 7.1 Approbation donnée par personne habilitée et période de validité du permis précisée sur le permis ? 7.2 Précautions à prendre par l’autorité de zone sont en place? Acceptation du permis et précautions à prendre par le Responsable d’exécution 8.1 Le responsable d’exécution a signé le permis ? 8.2 Le responsable d’exécution est sur site effectivement ? 8.3 Le permis est disponible sur site ? 8.4 Le personnel d’exécution a été informé des dangers potentiels relatifs à la réalisation du travail ? 8.5 Le personnel d’exécution est doté des équipements de protection individuelle prévus sur le permis ? 8.6 Le personnel d’exécution est-il informé/formé en matière d’actions à prendre en cas d’urgence (incendie, évacuation, accident, etc..)
Cocher la case appropriée Oui Non N/A
Observations
Liste de contrôle d’audit de permis de travail (Suite)
Item
9
10 11 12 13
Description Revalidation du permis 9.1 Extension des approbations du permis conformément à la matrice des approbations des permis? 9.2 Renouvellement des contrôles d’atmosphère réalisés et les résultats sont enregistrés ?
Cocher la case appropriée Oui Non N/A
Observations
9.3 Responsabilité transférée entre les équipes de quart/poste, période de validité mentionnée pour les autorisations de continuation/reprise de travail ? 9.4 Les changements de responsable d’exécution sont autorisés ? 9.5 Le personnel de la Structure HSE ou Sécurité a contrôlé le site de travail ? Déclaration de la fin de travail par le Responsable d’exécution 10.1 Déclaration de la fin de travail faite par le Responsable d’Exécution ? Vérification et approbation par l’autorité de zone à la fin de travail 11.1 Le représentant de l’autorité de zone a vérifié le site de travail et approuvé la fin de travail ? Enregistrement de la fin de travail 12.1 Permis et certificats associés ont été annulés et enregistrés ? Formation et habilitation 13.1 Personnes signataires du permis sont des personnes qui ont reçu une formation ? 13.2 Personnes signataires du permis sont des personnes habilitées ?
Nº de permis audité :…………………..
Type de permis audité :…………………………
(Copies des permis et certificats doivent être attachées à ce rapport d’audit) % de conformité
=
Nombre d’items conformes Nombre d’items audités
x
100
% de conformité = _____________%
Résultats de l’audit (Points critiques relevés)
-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Nom de l’auditeur :……………………….. Date de l’audit :……………………… Signature
:……………………..
Actions décidées par l’autorité de zone -----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Nom de l’autorité de zone :………………..
Date:……………………….Signature :……………………………
Annexe 24 Liste des membres de la Task Force de la Division Production
Système Permis de Travail de Sonatrach/Division Production
LISTE DES MEMBRES DE LA TASK FORCE DE LA DIVISION PRODUCTION
TEMMIM Farid DAHDOUH Amel DJENDER Amel MERDACI Rachid KHALDI El Houari OUGUIS Adel LETIEF Med El Hadi BASACI Mohammed Salah Laouar Mokhtar ABDELOUAHAB Kamel MOAD Abdesselam MAMMERI KHALED FARTAS Boubakeur BENFADEL Allaoua BELAHASKA Salah ZERARI Nesrine TIRICHINE Yahia BOUKOUNACHA Ahmed LABIOD Said ABERBOUR Mourad BOUROUAHA Mostefa, ALLILI Ouramdane, BOUSSAID Mohamed ROUMANE Lakhda BOUHARAOUA Miloud ZOUAOUI Fouad GATI Ahcéne CHEKNANE AbdelKader HEBAB Abdelkader, AKOUIRADJEMOU Mohamed BOUSSALEM Riad ZEGHINA Nabil SAADNA Ayache MOULA Amar BAHARI Ali ABDOUN Abdelkader, BOUZAR Abdelkader ZARITA Yacine LEBOUKH Mohamed GUERGUEB Nabil BESTANDJI Sofiane, NOUBADJI Djillali BRAKNI Achour BOURAS Ali FORTAS Hachani,
Responsable d'activité Ingénieur Sécurité N2 Ingénieur Sécurité N3 Chef de Service Sécurité Nord Ingénieur Sécurité Industrielle Ingénieur Sécurité Industrielle Ingénieur Direction Technique Chef de Service Exploitation Ingénieur Travaux N1 CD Service Maintenance Ingénieur Maintenance Ingénieur Sécurité Industrielle Ingénieur Sécurité Industrielle Chef de Département Exploitation Ingénieur HSE N3 Ingénieur Sécurité Industrielle Chef de Service Exploitation Chef de Service Maintenance Ingénieur Maintenance Ingénieur Exploitant N2 Inspecteur Prévention Ingénieur Sécurité Industrielle Ingénieur Exploitation Chef de Service Process Ingénieur Sécurité Industrielle Ingénieur Exploitation N3 Chef de Division Sécurité Ingénieur Sécurité N2 Ingénieur Sécurité Industrielle Ingénieur Exploitation Ingénieur Sécurité N2 Ingénieur Sécurité N2 Ingénieur Sécurité Industrielle Contremaître Exploitation Ingénieur Sécurité Industrielle Chef de section Sécurité Contremaître Exploitation Chef de Service Intervention Ingénieur Explotation Ingénieur Explotation Ingénieur Sécurité Industrielle Ingénieur Sécurité N3 Chef Service Exploitation Ingénieur Sécurité Industrielle Ingénieur Production
DP/Siége
Hassi Messaoud
Bir brkine
Hassi R’Mel
Oued Noumer Haoud Berkaoui HAMRA Rhourde Nouss
Gassi Touil Ohanet
Stah
In Aménas
Tin Fouyé Tabankort
Opérations simultanées (SIMOPS)
RC ‐ SE TRA ‐ 09230_A_F ‐ Rév.0 ‐ 22/05/2015
SIMOPS
Dans certains cas, des travaux de construction comme par exemple des travaux de levage lourds, des travaux à chaud, des travaux d’ancrage etc., doivent être réalisés à proximité d’installations actives.
Ces travaux créent des situations d’Opérations Simultanées (SIMOPS) de Production et Construction (ou de Production et Forage ou encore les trois en même temps) qui sont susceptibles d’augmenter les risques (voire introduire de nouveaux risques pour les opérations de routine production et entraîner des situations dégradées.
La situation est d’autant plus critique quand les travaux en SIMOPS sont faits par des intervenants ou du personnel non sensibilisé aux risques associés avec ces activités simultanées. © 2015 ‐ IFP Training
RC ‐ SE TRA ‐ 09230_A_F ‐ Rév.0 ‐ 22/05/2015
2
SIMOPS
Les travaux faits en SIMOPS nécessitent une préparation et procédure spécifique pour s’assurer que le risque de faire ces travaux en simultané est réduit à un niveau acceptable et sous contrôle :
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• mise en place d’une organisation spécifique pour gérer les opérations avec définition claire des responsabilités de chacun ; • identification, évaluation et analyse complète des risques (avec visite préliminaire des installations par des représentants autorisés) ; • présentation d’un dossier SIMOPS dûment approuvé ; • mise en application des recommandations découlant de l’analyse des risques (mesures compensatoires spécifiques) ; • coordination des différentes taches et travaux interférant potentiellement en assurant la compatibilité via le système des permis de travaux ; • information et communication avec les différentes parties impliquées (dont réunions spécifiques).
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Exemple de réussite de SIMOPS (et optimisation des arrêts)
Bonne coordination et esprit d’équipe entre entités (production et projets) pour : • analyser tie‐ins, cheminements conduites, isolements ; • revoir procédures, analyses de risques, opérations de levage ; • mettre en place une équipe intégrée pour superviser les contracteurs.
Préparation le plus tôt possible des spools pour tie‐in, des approvisionnements, ressources, barges ... et training approprié.
Planning intégré avec les autres activités d’opérations (par exemple Production/Forage).
Effort pour intégrer les activités offshore et onshore et profiter des arrêts de production coté onshore pour faire des travaux nécessitant un arrêt coté offshore.
Se mettre d’accord avec les contracteurs sur les bonus associés aux jours d’arrêts évités car plus il y a de SIMOPS plus cela est coûteux pour les contracteurs (par rapport à faire la même chose pendant un arrêt).
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Exemple de matrice de décision SIMOPS
Une matrice de décision est préparée par avance pour évaluer les opérations compatibles ou non et identifier les précautions à prendre pour limiter le risque d’interférence.
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Exemple de matrice de décision Travaux simultanés
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Exemple de travaux incompatibles
TRAVAUX à CHAUD
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ouverture gare racleur prise d’échantillons ouverture capacité ouverture lignes wireline/workover remplissage cuves gasoil remplissage cuves chemics
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Travaux incompatibles Afin d’éviter toute concomitance pouvant mettre en danger les hommes et les équipements le Responsable Opérationnel devra analyser les permis de travail et les bons de travail
L’opérateur devra s’assurer qu’aucune autre opération ne puisse entraver la bonne exécution des travaux
Attention, le danger peut venir aussi d’un niveau au dessus de vous, ou d’en dessous
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Exemple de process SIMOPS
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Exemple de SIMOPS : Pose collecteur 30’’
Des procédures détaillées, études de risques et plans de levage ont permis de définir et mettre en place des méthodes appropriées pour un levage lourd à proximité d’installations en service.
Dans cet exemple du levage d’un collecteur 30’’, celui‐ci a été mis en place sous SIMOPS dans une zone très congestionnée, en utilisant un support spécialement fabriqué pour éviter tout dommage aux installations toujours en service
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Les Audits de chantier Suivi et réception de chantier
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Sommaire 1.
But des Audits
2.
Principe des Audits
3.
Les partenaires de l’audit de chantier
4.
Étapes et objectifs des audits de chantiers
5.
L’Audit de Sécurité A. B. C. D. E. F.
L’Audit technique A. B. C.
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Déroulement de l’Audit Technique Les outils de l’Audit Technique Conclusions
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6.
Déroulement de l’audit de sécurité Outils d’observation efficaces Techniques d’observation Techniques de communication Domaine d’observation Conclusions
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1. But des Audits
L’audit fait partie de la démarche qualité de l’entreprise.
Il doit être codifié et connu de tous, adopté et utilisé comme un élément d’amélioration de la performance (technique ou sécurité) de l’EE, comme de l’EU.
L’audit doit être un moyen permettant de mieux connaitre, et de mieux communiquer avec l’EE.
Il permet :
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• D’analyser complètement et méthodiquement la prestation d’une entreprise que l’on utilise, ou que l’on souhaite utiliser, • De définir les critères de choix d’un sous‐traitant et d’en vérifier la concordance avec nos besoins, • D’améliorer la qualité d’une prestation en cours, quel qu’en soit le domaine (technique ou sécurité), • De confirmer par un document argumenté (factuel et non évasif), la bonne ou mauvaise prestation réalisée par l’entreprise extérieure concernée, et son évolution.
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1. But des Audits Une méthodologie ‐ Deux déclinaisons
AUDIT TECHNIQUE
Caractéristiques
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Caractéristiques • Analyse l’organisation du chantier sous l’angle HSE. • Met en évidence le comportement de l’individu. • Se réfère au Code du Travail, règlement intérieur et consignes de sécurité de l’EU. • Sensation de l’audité d’être une "victime".
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• Analyse la performance technique de l’entreprise. • Touche au savoir faire des personnes. • Se réfère à des normes, standards et règles de l’art. • Est facilement mesurable et factuel. • Convivial, entre techniciens.
AUDIT SÉCURITÉ
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2. Principe des Audits Schéma simplifié des Audits
Situation idéale
Situation réelle Certains dysfonctionnements
Conformité au cahier des charges Règles de sécurité des chantiers observées Respect des coûts et délais
Écarts mesurés par l’audit
Détails non respectés Travaux supplémentaires Normes non respectées Hygiène et sécurité mal traités
Fiches d’Audit Nouveaux audits
Actions Correctives
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Technique Sécurité Environnement Respect règles et normes
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3. Les partenaires de l’audit de chantier
Le vérificateur : • personnel du site : membre de l’équipe sécurité, qualité, opérateur, personnel maintenance • il connaît : − − − − −
l’installation, le procédé, les règles du site, les techniques utilisées par l’intervenant, les opérations en cours, les équipements utilisés.
Le responsable de l’activité vérifiée :
Le personnel exécutant • personnes observées et avec qui le vérificateur va communiquer.
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• personnel intervenant : le chef d’équipe, le responsable du chantier.
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4. Étapes et objectifs des Audits de chantier
VISITE
PRÉPARATION
S’arrêter / Observer
Décider / préparer
Volonté, préparation choix du domaine, de l’activité, du lieu de vérification
APRÈS -VISITE
Réagir / communiquer
Communiquer et rechercher l’adhésion de ses interlocuteurs, démontrer par des actions immédiates que l’on travaille ensemble en sécurité, sentiment d’être aidé
Suivre
S’assurer que les actions décidées sont réalisées et efficaces
Analyser les causes des dysfonctionnements observés : - autre façon de conduire l’opération - autres conditions, autres protections, - élimination de l’opération - décider des actions à réaliser
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Marquer un temps d’arrêt pour assurer sa propre sécurité et repérer les actes fugitifs Se concentrer sur le domaine choisi, éviter de se disperser
Rendre compte
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5. L’Audit de Sécurité
AUDIT SÉCURITÉ
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5. L’Audit de Sécurité A. Déroulement de l’Audit de Sécurité
Préparation • Choix du secteur à vérifier − installation, chantier − intervention particulière (levage, graphie, …)
• Choix du domaine à vérifier − − − − − −
réactions des intervenants équipement de protection individuelle et/ou collective position des intervenants ordre et propreté outils, équipements règles de sécurité, procédures de travail
− acte décidé, préparé
• Bilan sur les actions décidées lors de la précédente vérification − suivi nécessaire à la crédibilité de l’acte de vérification de chantier
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• Lieu et heure de réalisation
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5. L’Audit de Sécurité A. Déroulement de l’Audit de Sécurité
La visite • Sur le terrain, en salle de contrôle, le vérificateur − porte ses équipements de protection individuels − respecte les règles du site : code de la route, information en salle de contrôle, port du badge...
Être exemplaire
• Observation / communication (45’ environ) − doit porter sur les actes et situations dangereux − ne doit pas se limiter uniquement à relever des points d’ordre et propreté, des points matériels − collecter des informations auprès des personnes observées − rechercher des solutions en suggérant, en sollicitant les personnes observées
− avant que la situation ou l’acte dangereux ne se transforme en accident OMT‐AUDCHAN‐5
dans son environnement
Arrêter un travail en cas de danger imminent
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• Réagir par des mesures correctives immédiates
Observer l’homme
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5. L’Audit de Sécurité A. Déroulement de l’Audit de Sécurité
La visite suppose que : • les règles, les procédures, les pratiques ont été définies par : − les règles générales du site − les procédures particulières du site − les procédures particulières de l’intervenant
• les exigences particulières ont été définies par : − le plan de prévention annuel du site pour les entreprises sous contrat − le plan de prévention particulier pour un chantier, un arrêt, … − l’autorisation de travail et les permis complémentaires
• l’ensemble de ces règles, procédures et exigences sont connues : − des intervenants − du vérificateur
• d’encourager les bonnes pratiques • de déclencher la mise en place ou l’amélioration des règles, procédures, exigences couvrant la situation observée
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L’observation et la communication au cours de la visite sont l’occasion :
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5. L’Audit de Sécurité A. Déroulement de l’Audit de Sécurité
Après ‐ visite • Revue des résultats et décisions des actions à mener, − par le vérificateur et le responsable du secteur (chef d’équipe, responsable de l’installation, chef opérateur) − pour que les actes et situations dangereuses ne se renouvellent pas
• Rédaction du rapport de vérification, − par le vérificateur qui conserve une copie pour vérifier le suivi des actions lors d’une prochaine vérification
• Diffusion du rapport au service Sécurité pour :
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− évaluer certaines tendances (port des EPI, respect des règles, ordre et propreté) − identifier les anomalies répétitives demandant une action particulière (défaut de balisage pendant un levage, défaut de mise à la terre, …) − déceler l’efficacité des hiérarchies dans la mise en œuvre de la politique sécurité − relever le niveau d’exigence sécurité, lorsque le niveau préalablement défini a été atteint
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5. L’Audit de Sécurité A. Déroulement de l’Audit de Sécurité
Après ‐ visite • Communication des résultats : − baromètre sécurité du site outil factuel de management de la sécurité − contribution à l ’évaluation des fournisseurs
• Plan d’action et suivi − mesures préventives pour éviter la répétition d’actes ou situations observées − partage de l’information entre les différents secteurs du site
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5. L’Audit de Sécurité B. Outils d’observation efficaces Le comportement qui aboutit à l’acte dangereux ou à la situation dangereuse Résulte de • CONSTAT
• l’ignorance que l’acte est dangereux • l’absence ou l’imprécision des règles • l’inadéquation des règles à la situation • la faiblesse de la culture sécurité dans l’organisation Il faut donc
• STRATÉGIE
Développer la prise de conscience des risques des personnels observés lors des vérifications Ce qui exige
• OUTILS
DES TECHNIQUES RIGOUREUSES D’OBSERVATION
UN SAVOIR ÊTRE RELATIONNEL (Dialogue, écoute)
• RÉSULTAT
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• ENTRAINER L’ADHÉSION • PROGRESSER ENSEMBLE
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Pour
+
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5. L’Audit de Sécurité C. Techniques d’observation
Et avec le sourire ! !
Observer efficacement c’est : • • • • • • •
•
Que se passerait‐il si l’imprévu survenait ? Comment pourrions nous opérer pour que ce travail se fasse dans de meilleures conditions de sécurité ?
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• • • •
prendre le temps être sélectif pour ne pas se disperser savoir ce que l’on va observer avoir l’esprit curieux se garder de la routine ne pas se contenter d’impressions générales, être factuel repérer les points positifs et les points discutables noter les observations pratiquer régulièrement pratiquer méthodiquement avoir une attitude critique pendant l’observation rester positif et souriant
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5. L’Audit de Sécurité D. Domaine d’observation
L’homme dans son environnement de travail • S’arrêter et observer de loin • Réaction des travailleurs : repérer les ACTES FUGITIFS, révélateurs d’actes dangereux possibles.
Observer
− − − − −
Arrêt ou abandon du lieu de travail Mise en place d’une sécurité (prise de terre, verrouillage, …) Modification du travail Changement soudain de position Ajustement, mise en place d’un équipement de protection individuel
• Règles d’ordre et de propreté : observer l’application des règles de base du site, les recommandations de l’autorisation de travail S’interroger
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− Les règles sont‐elles appliquées ? − Le lieu de travail est‐il propre et ordonné ?
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5. L’Audit de Sécurité D. Domaine d’observation • Règles de sécurité et procédures de travail : à partir des règles et procédures, des exigences du plan de prévention, de l’autorisation de travail et des permis associer, observer leur application. S’interroger
− les règles sont‐elles appropriées pour le travail en cours : adaptées, revues, améliorées ? − les règles sont‐elles établies, connues, acceptées, comprises ?
• Outils et équipements : Capacités, équipements thermiques, machines, … doivent être observés. Observer
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S’interroger
− quant à leur état » selon la règle des 5 D : dessus, dessous, dedans, derrière, devant » en utilisant ses sens : écouter, sentir, toucher − quant à leur utilisation » Sont‐ils adaptés au travail en cours? » Sont‐ils utilisés correctement ? » Sont‐ils en bon état ? » Y a‐t‐il un emplacement pour les ranger (flexibles, meule, …) ?
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5. L’Audit de Sécurité D. Domaine d’observation
L’homme au travail • Équipements de protection individuelle − Observer le port des équipements en partant de la tête jusqu’aux pieds » Tête » Yeux et visage
Casque, casque anti-heurts, bonnet de soudeur, jugulaire
» Oreilles » Mains et bras » Tronc
Coquilles anti-bruits, bouchons oreilles
» Pieds et jambes
Chaussures de sécurité, bottes, guêtres
Observer
Lunettes ordinaires (poussière), lunette étanches, lunettes antichoc, lunettes meulage, lunettes soudeurs, lunettes à coque, écrans, masque soudeur Gants cuir, gants néoprène, gants à manchette Tablier cuir, vêtements de protection, (veste, pantalon, bleu), combinaison anti-acide, harnais
S’interroger
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» Sont‐ils adaptés au travail ? » Sont‐ils en bon état ? » Sont‐ils portés correctement ?
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− Concernant les équipements de protection individuelle, il faut rester en éveil :
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5. L’Audit de Sécurité D. Domaine d’observation • Équipements de protection collective Observer
− Observer les moyens à disposition » lave‐œil, douche, extincteur, bâche récupératrice d’étincelles, ...
− Concernant les équipements de protection collective, il faut rester en éveil : S’interroger
» sont‐ils bien positionnés ? » sont‐ils en bon état de marche ? » sont‐ils adaptés et suffisants ?
• Gestes et postures : observer les attitudes des travailleurs en s’interrogeant sur le risque de :
Observer en s’interrogeant
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− position ou geste mal adapté en soulevant, tirant, poussant, essayant d’atteindre un objet − choc contre, se heurter contre quelque chose − coincement dans, entre − chute de plein pied, d’un niveau à un autre, − brûlure par contact avec un corps à température excessive ou avec courant électrique − inhalation, absorption cutanée, ingestion de corps dangereux, toxique
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5. L’Audit de Sécurité E. Techniques de communication
Pourquoi communiquer ? • Créer et entretenir un climat de confiance • Reconnaître ce qui est bien fait, féliciter • Être à l’écoute des préoccupations du personnel sur les risques de leur travail • Partager des techniques qu’ils utilisent pour mener leur travail en sécurité • Savoir tirer des leçons d’une situation • Discuter les idées pour améliorer la sécurité • Casser la routine ‐ rester et se maintenir en éveil • Apprécier l’engagement de chacun en sécurité
La communication est indispensable
à la consécration de l’aspect humain OMT‐AUDCHAN‐5
dans l’audit de sécurité
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• Obtenir l’adhésion aux objectifs et l’application des règles et procédures
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5. L’Audit de Sécurité E. Techniques de communication
Communiquer c’est :
Communiquer ce n’est pas :
• mettre en commun • respecter les autres − écouter activement − savoir accepter les silences pour permettre à l’autre de s’exprimer − regarder l’autre − s’exprimer dans un langage qui aide à la compréhension − se mettre à la disposition de l’autre
• consacrer du temps aux autres • investir de l’énergie pour comprendre les autres :
• • • • • •
une information autoritaire un esprit de méfiance un esprit de clocher une visite "éclair" Un esprit de suffisance considérer l’avis des autres comme négligeable • laisser sans réponse
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− être curieux des expériences et des idées des autres − noter les problèmes et les suggestions exprimés par les autres
• s’obliger à répondre
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5. L’Audit de Sécurité Contact avec les personnes auditées
E. Techniques de communication
Introduction • Briser la glace : dire bonjour • Préciser pourquoi on est là (vérification de chantier) • Faire état de ce qui est bien, des bonnes pratiques que l’on a observées
Dialogue • Faire en sorte que la personne observée − parle − découvre par elle‐même l’acte dangereux et ses conséquences possibles − donne son accord pour travailler en sécurité à l’avenir − s’engage à appliquer la solution éventuellement retenue
Départ • Remercier la ou les personnes © 2015 ‐ IFP Training
− du temps qu’elles vous ont consacré − des idées d’améliorations apportées − leur rappeler qu’elles seront informées des résultats de la vérification
• Dire au revoir. OMT‐AUDCHAN‐5
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5. L’Audit de Sécurité E. Techniques de communication
Le dialogue
Comment aborder le dialogue ?
• POSER DES QUESTIONS OUVERTES − − − − −
Quels sont les risques dans cette zone de l’installation ? Quels risques peut entraîner votre action ? Que peut‐il se passer si un imprévu survient ? Quels seraient les moyens de faire autrement pour limiter les risques ? …
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Ne pas poser des questions qui laissent paraître que vous connaissez la réponse… comme si vous vouliez vérifier que la personne connaît. Poser des questions pour aller au fond des choses.
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5. L’Audit de Sécurité Le dialogue
E. Techniques de communication
Si la personne ne se rend pas compte du risque :
… OSER DIRE ! ! ! − Exprimer votre inquiétude devant l’acte dangereux et ses conséquences pour lui, l’entourage. − Insister sur les conséquences de l’acte dangereux et non sur l’acte lui‐ même » de façon directe » en se tenant aux faits » sans "fioriture" du genre "ce serait mieux si", "il faudrait que"…+
− Décrire brièvement de façon directe mais sans suffisance comment le travail doit être effectué pour être plus en sécurité
Dans les deux cas, il ne faudra jamais mettre l’observée en position d’infériorité OMT‐AUDCHAN‐5
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Le choix de poser des questions ou de dire dépend des circonstances.
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5. L’Audit de Sécurité E. Techniques de communication
Le dialogue
Faciliter l’expression de l’interlocuteur • demander des descriptions faciles (ordre chronologique) • provoquer des explications sur un cas précis • aider la pensée à s’exprimer − trouver le mot qui ne vient pas − résumé la pensée de l’autre pour lui montrer qu’on a bien compris − la ré‐exprimer sur une forme plus claire
Obtenir un approfondissement des explications
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• ne pas avoir l’air de trouver tout facile et évident • relever les contradictions sous la forme "je n ’ai pas bien compris …" • faire un résumer schématique de l’exposé appelant manifestement des compléments
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5. L’Audit de Sécurité E. Techniques de communication
Le dialogue
Ce dialogue permet de découvrir • les problèmes • les idées des personnes sur leur travail, leur service • les facteurs de motivation, d’anti‐motivation
CONSACRER DU TEMPS À CE DIALOGUE ET NE PARLER QUE DE SÉCURITÉ
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5. L’Audit de Sécurité F. Conclusions
Synthèse des points clefs 1
DÉCIDER de faire une vérification de chantier
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− établir le contact avec l’observé − savoir communiquer − restaurer les situations et actes dangereux − questionner, corriger, prévenir − noter les faits, les propositions
− définir le thème − choisir son ou ses partenaires − décider l’heure, le lieu, … 2
OBSERVER avec une liste guide éventuelle 4
RENDRE COMPTE − rédiger un rapport de vérification − proposer des actions et suivre leur avancement
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− déceler les actes fugitifs − déceler les actes dangereux, et les situations dangereuses − connaître les règles et exigences du site
RÉAGIR en communiquant
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5. L’Audit de Sécurité À garder à l’esprit
F. Conclusions
• Réaliser vos vérifications aux heures les plus actives et en priorité dans votre secteur d’affectation. • Organiser et planifier les vérifications pour faire en sorte qu’aucune activité ne soit oubliée sur le site. • Impliquer le personnel opérateur, de maintenance, de laboratoire dans les vérifications. • Faire de la vérification de chantier un acte de communication, dans un état d’esprit positif. • Établir un formulaire de rapport où apparaissent les points positifs. • Communiquer les résultats consolidés des vérifications de chantier au travers d’un baromètre commenté à l’encadrement et au personnel. • Assurer un suivi des actions proposées.
La vérification est là pour aider à améliorer les performances sécurité OMT‐AUDCHAN‐5
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Dans tous les cas, le résultat de la vérification doit servir à l’entité vérifiée pour atteindre ses objectifs en matière de sécurité
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5. L’Audit de Sécurité Cette démarche exige :
UN ESPRIT DE REMISE EN CAUSE
UNE VOLONTÉ D’AGIR
F. Conclusions
DES ÉCHANGES HUMAINS
CONTRIBUTION À L’AMÉLIORATION PERMANENTE DU NIVEAU DE SÉCURITÉ
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6. L’Audit Technique
Voir Module M13 (HSE Projet‐Commissioning)
AUDIT TECHNIQUE
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