32 1 22MB
FORMATION PROFESSIONNALISANTE PRO/EXP3 GROUPE 1
Sécurité Industrielle
Traitements des effluents : eau et gaz (associés et naturel) Hassi Messaoud / Centre IAP – 18-23 Avril 2015 M. José AUGUET
Traitement de l’eau de production
Div ‐ Ref
Plan du cours
Introduction
Réglementation relative aux rejets
Propriétés des émulsions (généralités)
Conception du procédé et caractéristiques des équipements
Conception du procédé : techniques particulières
Traitement chimique
Exemples d'arrangement de traitement de l'eau de production © 2015 ‐ IFP Training
Div ‐ Ref
2
Eau de production – Quantité
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3
Div ‐ Ref
Eau de production – Origine
L’eau de production, une des eaux rejetées dans l’environnement naturel par les sites de production, comprend : de l’eau de réservoir de l’eau de dessalage de l’eau de procédé
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Div ‐ Ref
4
Eau de production – Exemple de composition de l’eau rejetée
Composition moyenne de l’eau de production rejetée dans la Mer du Nord : CHAMPS DE PETROLE
ESSENTIELLEMENT NON‐DISSOUS ESSENTIELLEMENT DISSOUS
32 1 0,8 0,1 0,07 5,5 44
102 80 74 0,6 0,3 5,5 91
0,4 0,16 0,13 0,10 0,08 0,08
14 0,55 0,03 0,10 0,05 0,08
45 0,8 0,6
45 0,8 0,6
1660 3900
1660 3900
(Source : EP/P/PRO/ENV 1994)
Div ‐ Ref
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• Hydrocarbures aliphatiques (mg/l) • Hydrocarbures aromatiques (mg/l) ‐ dont benzène ‐ dont HAP (Aromatiques Polycycliques) ‐ dont naphtalène • Phénols (mg/l) • Acides (mg/l) • Métaux (mg/l) ‐ Zn ‐ Pb ‐ Cu ‐ Ni ‐ Cd ‐ Cr • Sels inorganiques (g/l) ‐ chlorures ‐ sulfates ‐ bicarbonates • Eléments radioactifs (Bq/m3) ‐ radium 226 ‐ radium 228
CHAMPS DE GAZ
5
Plan du cours
Introduction
Réglementation relative aux rejets
Propriétés des émulsions (généralités)
Conception du procédé et caractéristiques des équipements
Conception du procédé : techniques particulières
Traitement chimique
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Div ‐ Ref
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Règlementation relative aux rejets – Normes de rejet
En mer • Limite la plus couramment admise : 30 mg/l (HC dispersés / non‐dissous, mesures infrarouges) • Si non‐spécifiée : même objectif
A terre • Les limites de rejet d’HC varient avec le site. Plus basses qu’en mer • Plus autres paramètres à prendre en compte : DCO (Demande Chimique en Oxygène), DBO (Demande Biologique en Oxygène), Salinité, Solides en suspension, Etc.
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− − − − −
7
Div ‐ Ref
Règlementation relative aux rejets – Normes
Changeante et incomplète. Varie en fonction du pays
Spécifiée par l’autorité compétente
Niveau international : O.M.I. (Nations‐Unies)
Niveau régional : • • • • •
Div ‐ Ref
Niveau local : selon pays
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Parcom (Paris Committee) Osparcon (Oslo Paris Convention) Barcelone Abidjan Etc.
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Règlementation relative aux rejets – Méthodes de mesure des HC
Plusieurs méthodes d’analyse : • Absorption INFRA‐ROUGE (IR) : − Problèmes avec le solvant d’extraction : tétrachloroéthylène – Fréon 112 !!
• Chromatographie : − Difficile à mettre en œuvre sur site détecte de C7 à C40 SEULEMENT généralement 20% de moins que l’IR
• Analyse gravimétrique : − Peu adaptée aux HC légers
• Détection des HC par RAYONS UV : − Attention à l’étalonnage problèmes avec les HC de couleur pâle
Disparité et difficultés liées à la définition d’une méthode de référence
Evolution de la réglementation en cours dans plusieurs pays ATTENTION : LA DILUTION DES EAUX REJETEES EST INTERDITE !!
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9
Div ‐ Ref
Eau de production – Schéma fonctionnel
Collecte des eaux usées en production (huile) Cas général
En mer Gaz Séparateurs d’eau libre
A terre Gaz
Huile Ballon tampo n
Dessaleurs
Gaz Dessaleurs
Gaz Stockage
Condensats
Purges
Eau
Eau
Purges Ballon tampon
Réseau ouvert
Conduite eau de procédé
Réseau fermé
Réseau ouvert
Conduite eau de procédé
Réseau fermé
Décantation
Traitement I+II+…III (poss.)
Décantation
Traitement
Traitement
Traitement
Rejet 2 Objectif : 30 mg/l Production
Traitement biologique Rejet Objectif : 10 mg/l
Production
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Rejet 1 Objectif : 30 mg/l
Div ‐ Ref
Eau
Ballon tampon (possible)
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Eau de production – Séparation par gravité
La loi de STOKES donne l’expression de l’égalité des forces de gravitation et de frottement dans un champ hydrodynamique où la formule de STOKES peut être simplifiée :
V
TERMINAL
g.
(ρW ρHC) . D2 18. μ
EXEMPLE : la vitesse ascendante d’une goutte d’HC d’une densité de 0,92 dans de l’eau douce est environ : Dans de l’EAU DOUCE à 40⁰C
• Goutte d’HC de Φ 150 m :
3,5 m/h
5 m/h
• Goutte d’HC de Φ 15 m :
3,5 cm/h
5 cm/h
• Goutte d’HC de Φ 1,5 m :
0,35 mm/h
0,5 mm/h
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Dans de l’EAU DOUCE à 20⁰C
11
Div ‐ Ref
Plan du cours
Introduction
Réglementation relative aux rejets
Propriétés des émulsions (généralités)
Conception du procédé et caractéristiques des équipements
Conception du procédé : techniques particulières
Traitement chimique
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Div ‐ Ref
12
Emulsions – Différents types
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13
Div ‐ Ref
Emulsions – Conditions de formation et stabilité
Conditions requises pour une émulsion stable : • 2 fluides non miscibles • Agitation (énergie) • 1 stabilisateur (agent de surface, parties hydrophiles et hydrophobes, polaire)
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Div ‐ Ref
14
Emulsions – Conditions de formation et stabilité
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15
Div ‐ Ref
Emulsions – Conditions de formation et stabilité
Div ‐ Ref
EMULSION INTERFACIALE
EMULSION LAITEUSE
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SEDIMENTS
16
Emulsions – Exemple du brut acide
Free water (%)
S e p a ra tio n 8 7 6 5 4 3 2 1
e ffic ie n c y
a t d iffe re n t p H
0 0 0 0 0 0 0 0 0
D A L IA D A L IA D A L IA
0
4 0
8 0 T im e
S e p a r a t io n
1 -p H = 1 -p H = 1 -p H =
6 .1 6 .8 7 .2
1 2 0
(m n )
e f f ic ie n c y
a t
v a r io u s
T A N
9 0 8 0
Free Water (%)
7 0 6 0 5 0 4 0
T A N
=
3 .4 3
T A N
=
1 .1 6
T A N
=
0 .1 8
3 0
1 0 0 0
4 0
8 0 T im
e
(m
1 2 0
n )
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2 0
17
Div ‐ Ref
Emulsions – Cas du CO2 & des naphtenates
Si le CO2 est éliminé par dégazage • L’acidité de l’eau de production décroît (le pH augmente) • Les naphtenates migrent vers l’eau et produisent des émulsions stables
Solution 1 : maintenir l’acidité par injection d’acide acétique
Solution 2 : séparer l’eau à haute pression (pour ne pas éliminer le CO2), puis dégazer
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Div ‐ Ref
18
Traitement de l’eau de production – Exprimer la performance Importance capitale de
Niveau après traitement Efficacité = pourcentage éliminé
• La courbe de répartition granulométrique
Seuil de coupure ( en m)
• Et des problèmes de stabilisation des émulsions
GRANULOMETRE © 2015 ‐ IFP Training
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Div ‐ Ref
Plan du cours
Introduction
Réglementation relative aux rejets
Propriétés des émulsions (généralités)
Conception du procédé et caractéristiques des équipements
Conception du procédé : techniques particulières
Traitement chimique
Exemples d'arrangement de traitement de l'eau de production © 2015 ‐ IFP Training
Div ‐ Ref
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Traitement de l’eau de production – Conception du procédé
Malheureusement, la loi de STOKES ne s’applique pas directement aux émulsions chimiquement stables du type rencontré dans les systèmes de production des champs d’huile/de gaz.
Cependant, les paramètres de la formule peuvent être utilisés pour améliorer la séparation dans les équipements de déshuilage spéciaux :
V
TERMINAL
(ρW ρHC) g. . D2 18. μ Application limitée Coalescence/floculation Flottation Chaleur (application très limitée)
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Hydrocyclone / centrifugeuse
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Div ‐ Ref
Threshold de déshuilage des procédés de déshuilage – ORDRE DE GRANDEUR UNIQUEMENT !!!! – Traitement Bio.
DISSOLVED
Stripage à la vapeur
DISSOLVED
Membranes
0.3 ‐ 1
Centrifugeuses
3
Filtres Coalescents
TRAITEMENT TERTIAIRE
TRAITEMENT SECONDAIRE 10
Hydrocyclones
8 ‐ 15
Agent Flottation
5 ‐ 20
TRAITEMENT PRIMAIRE
60
Séparateur à plaques
0
Div ‐ Ref
20
40
60
80
100 120 140 160 Diamètre de la gouttelette d’huile (μm)
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150
Bassin API (1h min.)
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Techniques gravitationnelles simples
Paramètre de dimensionnement : temps de séjour
Contraintes techniques : • Faible vitesse du fluide • Pas de cisaillement • Récupération immédiate des HC
Equipements : • Réservoirs nourrices – cuves • Bassins – bacs à boue • Séparateurs API © 2015 ‐ IFP Training
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Div ‐ Ref
Techniques gravitationnelles simples – Réservoir collecteur (sump caisson) Contacteur de niveau Entrée effluent
Pompe Moineau Pompe de refoulement Event
Orifices de trop‐plein Capacité de réception d’huile Enveloppe du COLLECTEUR
Application type : traitement des effluents huileux des drains ouverts (eau de pluie, …) Div ‐ Ref
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Rejet à la mer
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Techniques gravitationnelles simples – Reservoir API
Récupération HC Tranquillisation
Maintien niveau
Décantation
Bassin proprement dit
Compartiment d’entrée
Compartiment de sortie
T séjour 1 heure minimum ≈ 25 m de longueur ≈ 3 m de largeur ≈ 2 m de profondeur
À TERRE !
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EXEMPLE : pour 3000 m3/j
25
Div ‐ Ref
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© 2015 ‐ IFP Training
Div ‐ Ref
© 2015 ‐ IFP Training
© 2015 ‐ IFP Training
28
Div ‐ Ref
27 Div ‐ Ref
Entrée d’eau
Réservoir API – Récupération d’huile – Goulotte
Réglage sous le niveau de l’eau
TUBE FENDU
RESERVOIR IMMERGE
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29
Div ‐ Ref
Réservoir API – Récupération d’huile – Tambour oléophile
Racleur
Tambour oléophile
Cloison de sousverse
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Div ‐ Ref
30
Réservoir API – Effets de la turbulence
Dans la pratique, les bassins sont soumis à une turbulence, déclenchée par le vent, la pluie, les convections thermiques, etc.
PRATIQUE
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THEORIE
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Div ‐ Ref
Intercepteur à plaque ondulée Event Plaques Entrée gaz
Tambour oléophile
SOLUTIONS ALTERNATIVES :
Event Seuil réglable
COALESCENCE
Trop‐plein Entrée eau huileuse
Eau traitée Jet de sable
SEPARATION
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Div ‐ Ref
32
Flottation
Combine bulles de gaz et gouttelettes d’huile
Crée de la mousse à la surface
Conditions : • Bulles fines • Tension superficielle favorable • Impact entre gouttelettes et bulles
Il faut :
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• Générer des bulles fines • Ajouter un agent de surface adapté • Secouer vigoureusement
33
Div ‐ Ref
Flottation
Mousse : huile + eau + gaz
1) GAZ DISSOUS
EAU GAZ Soupape de décharge
2) GAZ INDUIT
Mousse
Div ‐ Ref
7 – 8 min minimum Mousse
TURBINE
Normalement 4 celulles en série (2 min chacune)
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HYDRO‐EJECTEUR
TEMPS DE SÉJOUR :
34
Flottation
Ecrémeur flottant
Entrée
Turbine
Sortie eau traitée
eau huileuse
Sortie HC
Air ou gaz
Joint air ou gaz
Ecrémeur flottant
HC flottants
Zone active
Div ‐ Ref
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Recirculation
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Flottation
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Div ‐ Ref
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Flottation – Wemco
Unité de flottation type WEMCO – YEMEN
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TAUX D’ECREMAGE ELEVE DU FLUX ≈ 5 à 10% RECYCLE
37
Div ‐ Ref
Flottation
1
2
3
4
ENTREE D’EAU
SORTIE D’EAU
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Div ‐ Ref
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Flottation – Unité de flottation compacte (CFU)
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TEMPS DE SÉJOUR ≈ 1 à 2 min (DEUX CAPACITES EN SERIE) PEU DE RETOUR D’EXPERIENCE
39
Div ‐ Ref
Crudesep – Cetco
CRUDESEP ‐ CETCO
Div ‐ Ref
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Testé au Nigeria avec des résultats encourageants… Pas le meilleur site pour des essais (nécessite une pression de quelques bars) Sera testé au Congo… Retour d’expérience insuffisant
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Hydrocyclones liquide‐liquide Surverse, phase légère (huile) Alimentation Accélération vortex Rétrécissement
Ecoulement inverse au centre La phase légère migre vers le centre
Sousverse, phase dense (eau) Div ‐ Ref
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Dispositif de contre‐pression
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Hydrocyclones liquide‐liquide
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Div ‐ Ref
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Hydrocyclones liquide‐liquide
Vortex Alimentation tangentielle
Compartiment à huile
Div ‐ Ref
Tube
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Capacité
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Hydrocyclones liquide‐liquide
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Div ‐ Ref
44
Hydrocyclones liquide‐liquide – Monitoring
LE VORTEX DEVIENT TURBULENT
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ROTATION MINIMALE REQUISE
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Div ‐ Ref
Hydrocyclones liquide‐liquide – Monitoring
Principes de contrôle‐commande : • La vanne LDCV commande l’interface du séparateur • La vanne PDCV permet de maintenir constant le rapport PHUILE / PEAU (1,6 à 2,5) • La vanne LDCV maintient le débit dans la plage de fonctionnement
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Div ‐ Ref
46
Hydrocyclones liquide‐liquide – Monitoring
Le débit maximal dépend de la pression disponible en amont
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Div ‐ Ref
Quand la pression du séparateur est 106) et peuvent être anioniques (copolymères d’acrylamide/acide acrylique), cationiques (copolymères d’acrylamide et monomères d’acrylate) ou non‐ioniques (polyacrylamide)
Ils peuvent se trouver sous la forme de solides (polyacrylamide) ou en solution dans l’eau ou sous forme d’émulsion dans un solvant organique
Une dilution avec de l’eau « carry‐water » est souvent nécessaire
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Ces produits, bien que très efficaces, donnent en général des flocs huileux, qui peuvent être difficiles à recycler, en particulier si de nombreux solides sont présents.
69
Div ‐ Ref
Traitement chimique – Floculation
A : situation initiale après addition de floculant B : formation de particules solides
D : elles migrent vers la surface du liquide
FLOCS RECYCLAGE ???? Div ‐ Ref
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C : les particules grossissent et s’imprègnent d’huile
70
Traitement chimique – Avertissement
ATTENTION A LA COMPATIBILITE CHIMIQUE !!! POLYMERE ANIONIQUE + CATIONIQUE © 2015 ‐ IFP Training
EMULSION DE POLYMERE + EAU
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Div ‐ Ref
Plan du cours
Introduction
Réglementation relative aux rejets
Propriétés des émulsions (généralités)
Conception du procédé et caractéristiques des équipements
Conception du procédé : techniques particulières
Traitement chimique
Exemples d'arrangement de traitement de l'eau de production © 2015 ‐ IFP Training
Div ‐ Ref
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Exemple 1
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74
Div ‐ Ref
73 Div ‐ Ref
Exemple 2
Traitement de l’eau d’injection
Div ‐ Ref
Plan du cours
Raisons motivant l’injection d’eau
Origine de l’eau
Qualité requise pour l’eau d’injection
Traitements
Equipements
Suivi
Conclusions
Exemples d'arrangement de traitement de l'eau d'injection
EP 20180_a_F_ppt_04 – Traitement de l'eau d'Injection
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2
Injection d’eau – Raisons
Dans un réservoir d’huile, l’huile, le gaz et l’eau se maintiennent en équilibre statique sous l’action de la pression, de la gravité ou des forces de capillarité.
GAZ HUILE
EAU
COUCHE IMPERMEABLE
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EAU
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EP 20180_a_F_ppt_04 – Traitement de l'eau d'Injection
Injection d’eau – Raisons
La production d’huile induit un mouvement des fluides in situ ; ce déplacement fait intervenir des phénomènes moteurs physiques.
Ces phénomènes moteurs naturels sont : • L’expansion monophasique de la ROCHE RESERVOIR et des FLUIDES : gaz, huile sous‐saturée, eau, associée à une chute de pression, • L’expansion du gaz dissous dans l’huile si la pression descend en dessous du point de bulle, • L’expansion d’un aquifère sous‐jacent, • L’expansion d’une accumulation de gaz au toit d’un réservoir (gas cap), • L’imbibition (l’huile est expulsée par l’eau)
L’injection d’eau (ou de gaz) dans le réservoir sert à maintenir la pression. C’est la méthode de récupération d’huile assistée (ou méthode de récupération secondaire).
EP 20180_a_F_ppt_04 – Traitement de l'eau d'Injection
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Injection d’eau – Raisons
But de l’injection d’eau : optimiser la production et améliorer la récupération par : • Un maintien de la pression • Un balayage de l’huile in situ FAILLE
PRODUCTION D’HUILE
PUITS D’INJECTION D’EAU
INJECTION D’EAU
PUITS PRODUCTEUR D’HUILE HUILE
Déplacement ascendant le long d’un front continu
Déplacement radial
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EAU
5
EP 20180_a_F_ppt_04 – Traitement de l'eau d'Injection
Injection d’eau – Raisons
Eau injectée 0
1
100 JOURS 300 JOURS 500 JOURS
13 pieds
EP 20180_a_F_ppt_04 – Traitement de l'eau d'Injection
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1 000 pieds
6
Injection d’eau – Raisons
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EP 20180_a_F_ppt_04 – Traitement de l'eau d'Injection
Injection d’eau – Questions
Stabilité de l’eau ?
QUESTIONS A SE POSER
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EP 20180_a_F_ppt_04 – Traitement de l'eau d'Injection
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Injection d’eau – Geosciences
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EP 20180_a_F_ppt_04 – Traitement de l'eau d'Injection
Injection d’eau – Geosciences – Etapes clés MODELE SEDIMENTAIRE 3D MODELE PROPRIETES DES FAILLES
DONNEES
BOUCLER LA BOUCLE 500
Q100 450 400 350
NP .
300 250
Q50
200 150
MODELE RESERVOIR STATIQUE
100
Q0 50 0 0
2
4
6
8
16
18
20
PROFILS DE PRODUCTION STATISTIQUES
EP 20180_a_F_ppt_04 – Traitement de l'eau d'Injection
SCENARIOS MULTIPLES
IMPEDANCE ACOUSTIQUE
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10 12 14 TIME (YEARS)
10
Plan du cours
Raisons motivant l’injection d’eau
Origine de l’eau
Qualité requise pour l’eau d’injection
Traitements
Equipements
Suivi
Conclusions
Exemples d'arrangement de traitement de l'eau d'injection
EP 20180_a_F_ppt_04 – Traitement de l'eau d'Injection
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Injection d’eau – Problèmes de conception
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EP 20180_a_F_ppt_04 – Traitement de l'eau d'Injection
12
Injection d’eau – Origine de l’eau
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EP 20180_a_F_ppt_04 – Traitement de l'eau d'Injection
Injection d’eau – Eau de mer
QUANTITE DE SOLIDES EN SUSPENSION DANS L’EAU DE LA MER DU NORD A DIVERSES PROFONDEURS
La quantité de solides en suspension dans l’eau de mer dépend du lieu, de la profondeur et de l’influence de la cote et des intempéries.
Les solides en suspension dans l’eau de mer sont essentiellement de nature organique.
En choisissant le lieu de la prise d’eau, il faut bien déterminer la profondeur à laquelle l’eau doit être pompée pour minimiser la teneur totale en solides en suspension (TSS).
NOMBRE DE PARTICULES PAR ml
100000
10000
1000
100 15 m 60 m 100 m 0
5 µ
30 m
10 µ 15 µ 20 µ
30 µ
40 µ
DIAMETRE DES PARTICULES
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Injection d’eau – Eau de mer
PROFONDEUR D’EAU
TEMPETE OU INVERSION DE TEMPERATURE
PRISE D’EAU
TSS
TEMP.
0 m Zone d’activité biologique
5‐10 mg/l 8‐15⁰C
‐30 m Zone de moindre activité biologique ‐60 m
2‐5 mg/l
6‐10⁰C
1‐2 mg/l
4‐5⁰C
1‐5 mg/l
3‐5⁰C
Zone de très faible activité biologique
‐100 m © 2015 ‐ IFP Training
Et toujours loin du point de rejet des eaux huileuses !!
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EP 20180_a_F_ppt_04 – Traitement de l'eau d'Injection
Injection d’eau – Eau de mer – Matière organique
EP 20180_a_F_ppt_04 – Traitement de l'eau d'Injection
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Filtre 100 microns – Echantillon pris en amont – GIRASSOL (ANGOLA)
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Injection d’eau – Besoins d’appoint en eau de mer
Eau de production Besoins en injection
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EP 20180_a_F_ppt_04 – Traitement de l'eau d'Injection
Plan du cours
Raisons motivant l’injection d’eau
Origine de l’eau
Qualité requise pour l’eau d’injection
Traitements
Equipements
Suivi
Conclusions
Exemples d'arrangement de traitement de l'eau d'injection
EP 20180_a_F_ppt_04 – Traitement de l'eau d'Injection
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Injection d’eau – Qualité d’eau requise
Qualité d’eau requise pour la formation • La possibilité d’injecter, à long terme, de l’eau dans un réservoir dépend de nombreux facteurs et est appelée facteur d’“injectivité". • Injectivité = f[P,Q,II(k.h., Krw,µ,B...)...] − − − − − − − −
P Q II H Krw k µ B
pression (différence fond de puits‐couche) débit index d’injectivité épaisseur de la couche perméabilité relative à l’eau perméabilité moyenne dans la zone de drainage viscosité aux conditions de P, T facteur de formation de l’eau
• La qualité de l’eau a une influence sur l’index d’injectivité. Pour que l’II reste constant, tous les autres éléments étant aussi constants, l’eau à injecter ne doit pas développer de problèmes de colmatage, ni dans la liaison couche‐trou, ni dans la formation. Elle ne doit pas non plus induire de phénomènes de réactivité d’argiles ni de phénomène de sulfurogénèse, « souring » (SRB). En fait, l’eau doit être compatible !!!
EP 20180_a_F_ppt_04 – Traitement de l'eau d'Injection
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Injection d’eau – Règle 1/3 ‐ 1/7 (développée par Shell)
Les solides en suspension peuvent poser des problèmes du fait de l’un des mécanismes suivants : • Les particules d’un diamètre supérieur à 1/3 du diamètre des pores obturent les entrées des pores à la surface de la formation pour former un cake de filtration externe; • Les particules d’un diamètre inférieur à 1/3 mais supérieur à 1/7 du diamètre des pores envahissent la formation où ils sont piégés, formant un cake de filtration interne ; • Les particules d’un diamètre inférieur à 1/7 du diamètre des pores ne causent pas de problème à la formation car elles sont transportées à travers elle.
En pratique filtration par du SABLE 5 µm
EP 20180_a_F_ppt_04 – Traitement de l'eau d'Injection
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Exemple : un pore de 30 µm de diamètre implique un seuil de filtration de 4 µm
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Injection d’eau – Compatibilité
Compatibilité chimique • La composition de l’eau (sels dissous) ne doit pas produire pas de précipitats quand elle se mélange à l’eau du réservoir (problèmes de dépôts dans la production) ni de gonflement des argiles. • Exemple : dépôt de sulfate de baryum (impossible à dissoudre).
Compatibilité mécanique • Le seuil de filtration (concernant les particules solides) fait partie des critères de non‐colmatage. C’est un paramètre qui peut être recommandé et mesuré. Les autres paramètres (capacité de colmatage de l’eau), qui dépendent directement du milieu soumis à l’injection, sont plus difficiles à mesurer mais d’une égale importance.
Elimination des bactéries
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• Pour éviter la SULFUROGENESE (SRB – Sulphate Reducing Bacteria), la réduction des sulfates et la formation d’H2S. 1 SOLUTION : injection de NITRATE concurrence entre NRB & SRB. • Pour éviter le colmatage (parfois même des puits et des lignes de production) par prolifération bactérienne (certaines populations de bactéries peuvent doubler en 20 minutes dans des conditions idéales). • Pour éviter corrosion
21
EP 20180_a_F_ppt_04 – Traitement de l'eau d'Injection
Injection d’eau de production – Influence de l’huile et/ou des solides Impact of water quality on injectivity
Stabilisationof injectivityloss ( northsea well )
Field C
Normalised Injectivity 1.00 0.90 0.80
Field B
0.70 0.60 0.50
0
0.40
4 8
0.30
Sea Water
ProducedWater
12 16
0.20
Field A
Inj ect ivit y (ba rrel s per da y / psi )
20
0.10 24
0.00 28
TSS Total suspended solids (mg/l)
01 /0 7/ 92
26 /0 7/ 92
20 /0 8/ 92
14 /0 9/ 92
09 /1 0/ 92
03 /1 1/ 92
28 /1 1/ 92
23 /1 2/ 92
17 /0 1/ 93
0
80 160 240 320 400 480 560 OIW Oil in water (mg/l)
≠ de régime de MATRICE Fractures pouvant atteindre plusieurs centaines de m de long Peuvent atteindre le GAS CAP !!! Bien pour le maintien de la pression mais pas pour le balayage EP 20180_a_F_ppt_04 – Traitement de l'eau d'Injection
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Régime de fracturation des sables consolidés 100 ‐ 200 mD
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Plan du cours
Raisons motivant l’injection d’eau
Origine de l’eau
Qualité requise pour l’eau d’injection
Traitements
Equipements
Suivi
Conclusions
Exemples d'arrangement de traitement de l'eau d'injection
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Probleme de chloration – Elgin‐Franklin PLAQUE TUBULAIRE CONDENSATEUR
BERNIQUES & CRUSTACES
ALGUES
COQUILLAGES BIVALVES
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Filtres en amont des pompes d’eau de mer (Girassol)
ZOOPLANCTON
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ALGUES
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Injection d’eau – Traitement
Objectifs des traitements • En certains points du réservoir, injecter des quantités spécifiques d’eau, de qualité compatible avec la formation, au meilleur coût et durant toute l’exploitation du champ
Objectifs technologiques concernant l’alimentation en eau, de la source à la formation (pression réseau de relevage)
Objectifs de traitements spécifiques visant à obtenir la qualité d’eau requise pour la formation (compatibilité)
Objectifs de protection des installations (colmatage & corrosion) © 2015 ‐ IFP Training
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Injection d’eau – Traitements requis
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EP 20180_a_F_ppt_04 – Traitement de l'eau d'Injection
Traitement de l’eau d’injection – Schéma de principe type (hors SRU) L’architecture d’une chaîne de traitement d’eau d’injection dépend de la provenance de l’eau et de la performance requise
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Plan du cours
Raisons motivant l’injection d’eau
Origine de l’eau
Qualité requise pour l’eau d’injection
Traitements
Equipements
Suivi
Conclusions
Exemples d'arrangement de traitement de l'eau d'injection
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Chloration – Principe ‐
+ Anode
e‐
i Cathode
H2 + AIR RISQUE D’EXPLOSION !!
+ + + + ‐‐‐‐‐
E
X 200 (EXPLOSIVITE H2 : 4 – 99% !!!) + REDONDANCE DES SOUFFLANTES D’AIR
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Na+OCl‐ :hypochlorite de sodium EP 20180_a_F_ppt_04 – Traitement de l'eau d'Injection
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Chloration – Dosage
Jusqu’au point P, le Cl2 est consommé par les matières organiques De P à M, le Cl2 se combine avec les composés d’ammoniaque et d’azote De M à m, le Cl2 en excès se combine avec les chloramines pour donner du dichloramine De m à a, le Cl2 ajouté en excès est du chlore libre
CHLORE RESIDUEL (mg/l)
POINT CRITIQUE OU POINT DE RUPTURE (m) AVEC LES COMPOSES D’AMMONIUM 6 5
a
4 3
M
Résidus libres et combinés
2 1 0
A
m
P
2
3
4
5
6
7
8
9
10
CHLORE INTRODUIT (mg/l)
Injection de 4 – 5 mg/l de chlore ; chlore résiduel libre après filtration fine : 0,5 – 0,7 mg/l EP 20180_a_F_ppt_04 – Traitement de l'eau d'Injection
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1
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Chloration – Equipements
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Chloration – Dépôts sur la cathode
On trouve de l’hydroxyde de magnésium et de calcium à la cathode d’un électrochlorateur à eau de mer.
Il existe plusieurs façons de se débarrasser de ces dépôts : • • •
Inversion de courant, qui inverse très régulièrement les électrodes (anode et cathode et vice‐versa) Modèle produisant un écoulement a grande vitesse, qui élimine les dépôts en continu Nettoyage chimique (non recommandé)
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ELECTRODES A REMPLACER ≈ UNE FOIS PAR AN
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Chloration – Electrode tubulaire concentrique (CTE) ‐ N’kossa
CTE CHLOROPAC Electrode tubulaire concentrique
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Chloration – Electrode tubulaire concentrique (CTE) ‐ N’kossa
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EP 20180_a_F_ppt_04 – Traitement de l'eau d'Injection
Filtration – Nomenclature
EP 20180_a_F_ppt_04 – Traitement de l'eau d'Injection
Unité d’élimination des sulfates (SRU)
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Dessalage de l’eau
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Filtration – Expression des performances – Rapport beta
Efficacité : Ex (%) = ((x ‐ 1)/ x ) 100
Risque de confusion !!!!
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Attention : l’efficacité est parfois exprimée en % masse et pas en % de particules éliminées (nombre)
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Filtration grossière – Filtres régénérables en back flow
EP 20180_a_F_ppt_04 – Traitement de l'eau d'Injection
Exemple : IF 701 A/B (N'KOSSA – CONGO)
Deux pré‐filtres de 500 microns à 530 m3/h
10 cartouches par filtre
Delta P colmatage : 0,5 bar
Pression de service : 7,3 bars
Diamètre extérieur : 508 mm
Hauteur du cylindre : 2 325 mm © 2015 ‐ IFP Training
FILTRES AUTOMATIQUES VWS ‐ HWS
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Filtration grossière – Filtres régénérables en back flow
Filtres regénérables en back flow pour filtration grossière
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EP 20180_a_F_ppt_04 – Traitement de l'eau d'Injection
Filtration grossière – Filtres régénérables en back flow Filtres regénérables en back flow pour Filtration grossière
SENS DE LA FILTRATION
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TISSU A FILS METALLIQUES PROFILES (RECOMMANDE)
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Filtration grossière – Filtres régénérables en back flow
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EP 20180_a_F_ppt_04 – Traitement de l'eau d'Injection
Filtration grossière – Filtres régénérables en back flow
Le lavage à contre‐courant N’EST PAS efficace… Il faut régulièrement ouvrir pour nettoyer !!! EP 20180_a_F_ppt_04 – Traitement de l'eau d'Injection
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Filtre régénérable en back flow pour eau de production (80 µm) COUCAL – GABON
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Filtration – Filtres de sécurité à cartouches FILTRES DE SECURITE A CARTOUCHES Exemple
EVENT
IF 703 A/B/C/D N'KOSSA
FIXATION
3+1 FILTRES DE SECURITE avec poches de 100 µm à 250 m3/h
Delta P colmatage : 0,5 bar
Pression de service : 10,7 bars
Diamètre extérieur : 650 mm
Hauteur du cylindre : 1025 mm
Milieu filtrant : filtre en tissu (monofilaments de polyamide)
SORTIE D’EAU FILTREE
Remplacement manuel des poches
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PURGE
ENTREE D’EAU 43
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Filtration – Filtres à cartouches
CARTOUCHES SUR LEUR SUPPORT CARTOUCHES AVANT ET APRES LA FILTRATION GIRASSOL : Filtration par cartouches (modèle original : 0,5 µm) En aval des filtres à sable (10 µm) Remplacer les cartouches tous les 5 JOURS !!! Changer pour un modèle 5 µm (courant pour protéger le SRU !!!) REMPLACER les cartouches toutes les 8 à 9 SEMAINES (OK)
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IDEE : Éliminer les bactéries pour protéger la SRU
SUPPORT EP 20180_a_F_ppt_04 – Traitement de l'eau d'Injection
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Filtration – Filtres à cartouches CARTOUCHES ET TOILES FILTRANTES
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Filtration – Filtres multimédia (MMF)
TROU D’HOMME
ENTREE
DISTRIBUTEUR D’ADMISSION VIDANGE ANTHRACITE GRENAT FIN
DISTRIBUTEUR D’ADMISSION D’EAU
GRENAT GROSSIER
EXEMPLE :
COLLECTEUR
eau de MER : 20 – 40 m/h 20 – 40 m3/h/m2
EP 20180_a_F_ppt_04 – Traitement de l'eau d'Injection
eau de PRODUCTION : 10 m/h 10 m3/h/m2
BETON
►►►EMPREINTE et POIDS importants
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SORTIE
SOUS‐REMPLISSAGE
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Filtration – Filtres multimédia (MMF)
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EP 20180_a_F_ppt_04 – Traitement de l'eau d'Injection
Filtration – Filtres multimédia (MMF)
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FILTRATION D’EAU DE MER – 16 MMF (GIRASSOL – ANGOLA)
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Filtration – Avantages de la pré‐chloration La pré‐chloration de l’eau de mer a un impact important sur l’efficacité de la filtration : sans chlore libre, cette efficacité chute à environ 50% au lieu de > 95%. EFFICACITE FILTRATION (%)
99 98
Chute de NaClO
97 96 95
TEMPS D’EXPLOITATION
La pré‐chloration permet de DESTABILISER les colloïdes organiques de l’eau de mer.
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EP 20180_a_F_ppt_04 – Traitement de l'eau d'Injection
Filtration – Filtres à précouche
1 à 10 µm ‐ Seule la pression maintient la précouche sensibles aux variations de pression ‐ Terre à diatomées (SILICE pure) abrasion des équipements en aval… EP 20180_a_F_ppt_04 – Traitement de l'eau d'Injection
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NE SONT PLUS utilisés !!!
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Filtration – Filtres à précouche TERRE A DIATOMEES DICB X 200
DICB X 800
DICS X 200
DICS X 800
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Filtration – Filtres à précouche
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Filtration – Cartouche métallique
Filtre PURITECH (cartouche métallique)
Problèmes : • Difficile à nettoyer si Na2SO4)
LC
LC
SORTIE
OXYGEN SCAVENGER
SORTIE
TOUR DE STRIPAGE
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TOUR SOUS VIDE
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Deoxygenation – Production de vide – Pompe à vide SEPARATEUR GAZ
GAZ TROP‐PLEIN
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Désoxygénation – Production de vide – Ejecteurs
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1. Arrivée fluide moteur 2. Mise sous vide – aspiration 3. Tuyère 4. Diffuseur 4.1. Cône de mélange convergent 4.2. Col du diffuseur 5. Refoulement
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Désoxygénation – Production de vide
Ejecteurs
Pompe
Dégazeur eau
Pompe © 2015 ‐ IFP Training
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Desoxygenation – Oxygen scavenger
Le dosage du produit anti‐oxygène (oxygen scavenger) se fait généralement dans le flux d’eau porteur recyclé en provenance des pompes de suralimentation, sur le retour vers la tour (approximativement 1% du débit de la tour) pour donner une bonne distribution dans le puisard.
Sur la base de l’utilisation de bisulfite d’ammonium comme produit chimique anti‐oxygène, les doses nécessaires sont : • 8 ppm de produit pour 1 ppm d’oxygène • 2,4 ppm de produit pour 1 ppm de chlore • 1‐2 ppm de produit pour déclencher la réaction
A des températures 15⁰C, le temps de réaction est 1 minute. © 2015 ‐ IFP Training
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EP 20180_a_F_ppt_04 – Traitement de l'eau d'Injection
Desoxygenation – Minox Principe : désoxygénation par stripage co‐courant avec régénération du gaz vecteur CH3OH + 3/2O2 CO2 + 2H2O + chaleur
Echangeur de chaleur
DESOXYGENATEU R
Problèmes : • CAPEX • OPEX (durée de vie catalyseur) Mélange • Retour d’expérience ur statique insuffisant • méthanol Eau de mer à traiter • premier modèle : temps de séjour de 20 s • problèmes de moussage, …
METHANOL
VENTILATEUR
Mélange ur statique Séparateur A
Séparateur B
Eau de mer traitée
EP 20180_a_F_ppt_04 – Traitement de l'eau d'Injection
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Régénération du gaz par oxydation du méthanol sur un catalyseur au palladium
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Desoxygenation – Minox
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Désoxygénation : MINOX Skid Heidrun (STATOIL) 1334 m3/h
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EP 20180_a_F_ppt_04 – Traitement de l'eau d'Injection
Plan du cours
Raisons motivant l’injection d’eau
Origine de l’eau
Qualité requise pour l’eau d’injection
Traitements
Equipements
Suivi
Conclusions
Exemples d'arrangement de traitement de l'eau d'injection
EP 20180_a_F_ppt_04 – Traitement de l'eau d'Injection
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Traitement de l’eau d’injection – Suivi
EP 20180_a_F_ppt_04 – Traitement de l'eau d'Injection
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Critères de suivi • Perte de charge sur les filtres • Débit • Teneur en chlore • Teneur en oxygène • Vide ou rapport gaz‐ liquide • Injection de produits chimiques • Indice de colmatage • Sondes de corrosion • Teneur en Fe • Échantillonnage avec kits pour tests bactériens
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Traitement de l’eau d’injection – Suivi
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EP 20180_a_F_ppt_04 – Traitement de l'eau d'Injection
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Traitement de l’eau d’injection – Suivi
Indice de colmatage • IC (3 ; 10 ; 20…) • SDI (Silt Density Index) • Marqueur V30
Time per liter 250
200
seconde
150
100
50
0 0
5
10
15
20 liter
25
Outlet 901A 0,45 micron
IF703 outlet 0,45 micron
IF703 outlet 0,45 micron
30
35
40
IF703 outlet 0,45 micron © 2015 ‐ IFP Training
Inlet IF901A 0,45 micron
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Traitement de l’eau d’injection – Suivi
1/11/86 7h Ic3 = 1.4
x2000
x4000
x4000
x2000
x4000
EP 20180_a_F_ppt_04 – Traitement de l'eau d'Injection
coccolithe
x2000
x4000
ostrocode
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x800
1/11/86 16h30 Ic3 = 15.22
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Traitement de l’eau d’injection – Suivi Exemple : GIRASSOL
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EP 20180_a_F_ppt_04 – Traitement de l'eau d'Injection
Plan du cours
Raisons motivant l’injection d’eau
Origine de l’eau
Qualité requise pour l’eau d’injection
Traitements
Equipements
Suivi
Conclusions
Exemples d'arrangement de traitement de l'eau d'injection
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Conclusions
L’injection d’eau est la méthode de récupération d’huile assistée la plus couramment utilisée dans le monde. La conception et le contrôle des installations doivent être une préoccupation majeure pour les opérateurs.
Le choix de l’injection d’eau exige :
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• Une bonne connaissance tant du réservoir que de l’aquifère, c’est‐à‐dire un minimum d’historique de production. Si l’injection d’eau et la production doivent être menées simultanément, tenir compte de la marge d’incertitude (débit, pression) prise lors de la conception des installations ; • Une définition précise de la qualité de l’eau requise pour la formation en termes de compatibilité ionique, de teneur en solides en suspension, de granulométrie des solides et de capacité de colmatage, d’où la nécessité de réaliser des études et des essais sur des carottes et des échantillons d’eau de réservoir ; • Une alimentation en eau respectant les exigences de qualité, de quantité et de débit ; • Des puits d’injection, implantés judicieusement et avec une complétion assurant une bonne communication avec la formation, adaptée à la qualité de l’eau et aux conditions hydrauliques ; • Les installations de surface nécessaires au traitement, à la distribution et à l’injection de l’eau. Ces installations doivent aussi être prises en compte au niveau de l’exploitation du champ.
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EP 20180_a_F_ppt_04 – Traitement de l'eau d'Injection
PLAN DU COURS
Raisons motivant l’injection d’eau
Origine de l’eau
Qualité requise pour l’eau d’injection
Traitements
Equipements
Suivi
Conclusions
Exemples d'arrangement de traitement de l'eau d'injection
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Exemple 1
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EP 20180_a_F_ppt_04 – Traitement de l'eau d'Injection
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Introduction aux traitements du gaz
RC ‐ PP AUT ‐ 08350_B_F ‐ Rév.1 ‐ 31/03/2015
Sommaire I.
Introduction – Origine du gaz
II.
Caractéristiques du gaz
III.
Composes indésirables
IV.
Points clés
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RC ‐ PP AUT ‐ 08350_B_F ‐ Rév.1 ‐ 31/03/2015
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Sommaire I.
Introduction – Origine du gaz
II.
Caractéristiques du gaz
III.
Composes indésirables
IV.
Points clés
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I ‐ Introduction – Origine du gaz
Origine du gaz Gaz Gaz Stabilisation Séparation Gaz/huile
Dégazolinage Séparation Gaz/condensat
Huile +eau Condensats
Effluents PUITS A GAZ
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Effluents PUITS A HUILE
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I ‐ Introduction – Origine du gaz En savoir plus Le gaz traité sur les installations pétrolières a deux origines: • Les gisements à huiles • Les gisements à gaz
Les effluents de puits comportent généralement trois phases, en quantités plus ou moins importantes : • une phase gaz • une phase huile • une phase aqueuse (eau salée)
On parle donc d’un puits à huile lorsque celui‐ci produit essentiellement de l’huile et que la production de gaz est négligeable. Dans ce genre de cas, le gaz peut même ne pas être valorisé en tant que combustible. En effet, si cela n’est pas rentable, le gaz sera alors soit réinjecté dans le puits soit torché (pour ce dernier cas la réglementation devient de plus en plus stricte, c’est d’ailleurs interdit sur les nouveaux projets).
Les effluents de puits peuvent également contenir des particules solides en suspension tel que le sable, des produits de corrosion ainsi que des précipités lourds à base d’hydrocarbures. Il peuvent aussi contenir, en quantités variables, des gaz acides tel que le CO2 et l’H2S (gaz extrêmement toxique).
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6
I ‐ Introduction – Origine du gaz
Principaux producteurs de gaz
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I ‐ Introduction – Origine du gaz En savoir plus La carte ci‐dessus montre que les principaux producteurs de gaz ne sont pas les principaux consommateurs. Ci‐dessous se trouve la liste des principaux producteurs et consommateurs de gaz en 2011. Les pays en orange produisent plus de gaz qu’ils n’en consomment, il s’agit donc des principaux exportateurs de gaz. Production (Mtep/an) Etats‐Unis 592 Russie 546 Canada 144 Iran 137 Qatar 132 Total 2955
Consommation (Mtep/an) Etats‐Unis 626 Russie 382 Iran 138 Chine 118 Japon 95 Total 2906
*Source BP Statistical Review Vous remarquerez que la production de gaz est souvent donnée en TEP (Tonne Equivalent Pétrole) ou encore en BOE (Barrel of Oil Equivalent) et non pas en m3 de gaz produit. Cela permet de comparer énergétiquement la production de gaz à la production de brut. La TEP est donc une unité d’énergie qui vaut 42GJ, ce qui correspond au pouvoir calorifique d’une tonne de pétrole. Le pouvoir calorifique étant la chaleur de combustion d’un matériaux ou l’énergie dégagée sous forme de chaleur par la réaction de combustion. Ci‐dessous se trouvent quelques exemples de pouvoir calorifique : Pouvoir calorifique
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(MJ/kg) 142 46 47 45
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H2 Méthane CH4 50 Butane C2H8 Essence Diesel
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Sommaire I.
Introduction – Origine du gaz
II.
Caractéristiques du gaz a. b.
Principaux constituants Usage et spécification requises pour les gaz commerciaux
III.
Composes indésirables
IV.
Points clés © 2015 ‐ IFP Training
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a. Principaux constituants
Exemples de composition de gaz en sortie de puits Lacq
Frigg
France
Norvège
Impuretés
26.1
0.7
N2
Azote
1.5
0.4
He
Hélium
‐
‐
H2S
Hydrogène sulfuré
15.3
‐
CO2
Gaz carbonique
9.3
0.3
Hydrocarbures
73.9
99.3
% volumique
Méthane
69
95.59
C2
Éthane
3
3.6
C3
Propane
0.9
0.04
C4
Butanes
0.5
0.01
C5+
Pentanes (+)
0.5
0.06
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C1
11
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a. Principaux constituants En savoir plus Le gaz naturel est principalement constitué d’hydrocarbures légers parmi lesquels on peut citer le méthane (CH4), l’éthane (C2H6), le propane (C3H8) et le butane (C4H10). Dans des proportions moins importantes, le gaz contient aussi des condensats. Les condensats sont des hydrocarbures lourd tel que le pentane (C5H12) et les C5+ (tous composés ayant plus de 5 carbones) qui ont pour propriété principale d’être à l’état liquide à pression et température ambiante. La proportion des hydrocarbures dans la phase gazeuse est directement liée à leur volatilité, cela explique pourquoi le méthane, hydrocarbure le plus volatil, représente le principal constituant des gaz naturels. Selon son origine (type et localisation du gisement), d’autres constituants peuvent être présents dans des proportions très variées, il s’agit des principales impuretés qui polluent le gaz naturel en sortie de puits : Gaz inerte Aucune valeur ajoutée : Azote, Hélium Gaz acide Polluant : Gaz carbonique, Hydrogène sulfuré et autres composés soufrés Autre Eau (sous forme vapeur), Mercure (quelques traces)…
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Le tableau ci‐dessus donne deux exemples de composition de gaz naturel en sortie de puits. Le gaz récupéré à Lacq est un gaz dit acide étant donné qu’il contient plus de 20% d’H2S et de CO2 alors que le gaz récupéré à Frigg est un gaz dit sec car il est essentiellement composé d’hydrocarbures légers (C1 à C4). Nous pouvons remarquer que ces deux exemples ne représentent pas la proportion d’eau qui sort avec le gaz, cependant celle‐ci est rarement négligeable. Cela est dû au fait que la composition en eau mais aussi en mercure, produits chimique et autres dépôts ne soit pas indiquée dans les rapports de PVT (étude des propriétés physico‐chimiques des hydrocarbures contenus dans le gisements : enveloppe des phases, composition…).
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b. Usage et spécification requises pour les gaz commerciaux
Principales utilisation du gaz naturel • Le gaz naturel est un très bon combustible − Production d’électricité dans les centrales thermiques − Production de chaleur dans les chaudières − Source d’énergie pour de nombreux particuliers
• Sur un site le gaz peut avoir d’autres fonctions − ‘’Cyclage du gaz’’: Réinjecté dans le puits, il permet d’optimiser la production en augmentant la pression au niveau du réservoir − ‘’Gaz lift’’ ou extraction par injection de gaz pour certains puits assistés
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− ‘’Gaz moteur’’ au niveau des turbines à gaz qui serviront soit à produire de l’énergie soit à entrainer des machines tournantes
b. Usage et spécification requises pour les gaz commerciaux
Comme tout hydrocarbures, le gaz naturel est un produit combustible qui présente des avantages que d’autres produits n’offrent pas. En effet, la combustion d’hydrocarbure fournit du H2O et du CO2. La proportion de CO2 et d’H2O émises lors de la combustion dépend du rapport H/C de l’hydrocarbure. Plus une chaine carbonée est courte et plus sont rapport H/C est élevé. Ainsi, la combustion du gaz naturel, essentiellement composé de méthane, permettra de limiter les émissions de CO2 (gaz à effet de serre), au vu du rapport H/C de la molécule qui est de 4. Le gaz naturel est par ailleurs un combustible dit propre car il contient naturellement moins d’impuretés que les combustibles plus lourds. Le gaz naturel est donc utilisé comme combustible principal dans des centrales thermiques ou encore dans des chaudières afin de produire de l’énergie (électrique ou thermique). Lorsque la valorisation du gaz naturel n’est pas assez rentable, le gaz sera envoyé directement vers la torche. Cependant, le recours à ce ‘’torchage’’ est maintenant interdit sur les nouveaux projets du fait des impacts environnementaux non négligeable et du gâchis énergétique que cela représente.
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b. Usage et spécification requises pour les gaz commerciaux
Contrainte du gaz naturel • État gazeux aux conditions Standard − Contrainte de stockage − Contrainte de transport et de distribution
• Peut générer une atmosphère explosive en cas de fuite • Impuretés − Risque de corrosion − Risque de bouchage des lignes de distribution − Dangers pour le personnel © 2015 ‐ IFP Training
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b. Usage et spécification requises pour les gaz commerciaux
Le gaz naturel, aux conditions standard, se trouve sous forme gazeuse. Contrairement aux liquides, son stockage, son transport et sa distribution présentent des contraintes. Actuellement, deux solutions de stockage existent : • Stockage sous forme gazeuse : pour être stocké, le gaz naturel sera comprimé soit dans des roches poreuses gorgées d’eau (stockage en nappe aquifère), soit dans des cavités creusées dans des couches de sel (stockage en cavités salines) soit dans d’anciens gisements de gaz dont l’exploitation a été arrêtée (stockage en gisement déplétés). • Stockage sous forme liquide : le gaz sera alors refroidit par des procédés cryogéniques à une température de l’ordre de ‐160oC afin d’être liquéfié. Une fois liquéfié, le gaz est stocké puis transporté sous forme liquide. Le principal avantage est la réduction du volume d’environ 600 fois en passant à l’état liquide ce qui permet de transporter une plus grande quantité par voies maritimes. Il faudra cependant prévoir des usines de regazéification aux points d’arrivées avant de pouvoir utiliser le gaz. Si, sur un site de production, le stockage du gaz naturel n’est pas envisageable il faudra alors le comprimer pour l’envoyer au clients et donc monter à des niveaux de pressions élevées afin de vaincre les pertes de charge dues au réseau. Si, dans ce cas, les installations aval sont dimensionnées pour recevoir une certaine quantité de gaz, tous surplus de production sera problématique et devra automatiquement être envoyé à la torche. Le gaz naturel est par définition un composé inflammable, ainsi tout départ dans l’atmosphère génère une atmosphère potentiellement explosive. Ainsi, des dispositifs de détection sont indispensables sur tout le réseau.
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Les impuretés que contient le gaz en sortie de puits peuvent mettre en danger à la fois les installations, le réseau de distribution ainsi que le personnel. En effet, comme nous l’avons vu précédemment, le gaz peut contenir des composés toxiques (H2S), des gaz acides (H2S et CO2) responsables des problèmes de corrosion et de l’eau ou des hydrocarbures lourds qui pourront se condenser et provoquer des problèmes de bouchage.
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b. Usage et spécification requises pour les gaz
commerciaux
Spécifications ‘’British gaz’’ pour un gaz commercial SPECIFICATIONS
UNITÉS
VALEURS
Pouvoir calorifique supérieur
kJ/m3 (1)
entre 38000 et 40500
Indice de WOBBE
kJ/m3 (1)
entre 47300 et 52200
Teneur en H2S
ppm vol.
10 μm) − 2 filtres installés en parallèle : 1 en ligne et un en secours
• un filtre à charbon actif
Ces filtres sont généralement installés à la sortie du ballon de flash
Schéma d’un filtre à cartouche
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− Installé sur un bypass après le filtre mécanique (filtration de 10 à 20% du débit total) − Absorption des hydrocarbures contaminant la boucle de TEG
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d. Equipements connexes En savoir plus La filtration est un point clef pour assurer un bon fonctionnement de l’unité. Elle permet d'éviter les problèmes de moussage, de corrosion et de perte de glycol, en éliminant : • les particules solides (produits de corrosion, sédiments,...) • les hydrocarbures liquides, • les produits générés par la dégradation du TEG.
La filtration est assurée par un filtre mécanique (obligatoire), suivi d'un filtre à charbon actif installé souvent en dérivation. L’ensemble est installé : • le plus souvent à la sortie du ballon de flash, ce qui permet de protéger les équipements en aval et essentiellement le rebouilleur, des particules susceptibles de s'y déposer. Ceci a l'inconvénient de générer de fortes pertes de charge (température basse, donc viscosité élevée), et surtout si la filtration vise des micro particules. • dans certaines unités, à la sortie de l'accumulateur (température élevée, donc faible viscosité), en amont de la pompe (faible pression).
Filtre à charbon actif : • ce filtre permet d'éliminer par adsorption tous les autres contaminants de la boucle de glycol (hydrocarbures liquides, polymères, produits de dégradation du TEG...), qui ne sont généralement pas éliminés par le filtre mécanique. • étant donné l'apparition très progressive de ces contaminants, il suffit de ne filtrer qu'une partie du débit total de la boucle de TEG (10 à 20%). Le reste du débit bipasse le filtre à charbon (installation en dérivation).
Remarque : dans le cas où un filtre à charbon actif est installé, il y a nécessité d'installer en aval de celui‐ci un filtre à particules afin de retenir les particules de charbon pouvant être entraînées avec la solution de TEG.
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Sommaire Rôle & localisation dans la chaîne de traitement
II.
Principe de la déshydratation au solvant – choix du TEG
III.
Mise en œuvre du procédé
IV.
Paramètres opératoires
V.
Injection de produits chimiques
VI.
Evolutions par rapport au procédé conventionnel
VII.
Risques spécifiques au procédé : BTEX
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I.
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IV ‐ Paramètres opératoires Paramètres opératoires Température d’entrée du gaz Température du TEG pauvre Pression du contacteur Concentration du TEG pauvre Taux de circulation du TEG Température de rebouillage © 2015 ‐ IFP Training
Pression du régénérateur
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IV ‐ Paramètres opératoires En savoir plus Température d’entrée du gaz • A pression constante, l’humidité du gaz augmente avec la température, il est donc plus facile de déshydrater le gaz à faible température. • Au dessus de 60oC, l’eau à tendance à rester en phase gazeuse. Des températures ≥ 50oC résultent en des pertes considérables de TEG qui passe en phase vapeur. • D’un autre coté, en dessous de 15oC ‐ 20oC, le TEG peut générer de la mousse avec les hydrocarbures liquides. En dessous de 10oC, le TEG devient trop visqueux.
Température d’injection du TEG pauvre • La température du TEG pauvre doit être maintenue aussi faible que possible tout en étant légèrement au‐dessus de la température du gaz afin de maximiser la capacité d’absorption du TEG tout en évitant la condensation d’hydrocarbures.
Pression du gaz dans le contacteur • Généralement la pression n’a que peu d’influence sur le procédé. Il faut néanmoins rappeler que l’humidité du gaz diminue quand la pression augmente, ce qui diminue la quantité d’eau que le TEG doit absorber.
Concentration du TEG pauvre • La concentration en glycol de la solution de TEG pauvre est LE paramètre essentiel du procédé de déshydratation au TEG : Plus celle‐ci est élevée, plus l’abaissement du point de rosée eau du gaz est important. • On la détermine par la température du rebouilleur, la pression de la colonne de régénération et le taux d’injection de gaz de stripage (s’il y en a). Dans le cas d’un procédé conventionnel (sans injection de gaz de stripage), la concentration en TEG maximale atteignable est de 98,7 %. • Taux de circulation du TEG • Pour une concentration en TEG donnée, l’abaissement du point de rosée eau est aussi fonction du taux de circulation de la solution de TEG : il détermine la quantité d’eau qui peut être éliminée. • Les unités de TEG sont généralement conçue pour un taux de circulation de ≈ 3 gal de TEG/ lb d’eau à absorber, le minimum étant 2 et le maximum étant 7.
Température du rebouilleur • La température du rebouilleur détermine la pureté du glycol pauvre et donc la quantité d’eau que la solution de TEG peut absorber dans le contacteur. Plus la température est élevée, plus la concentration en glycol de la solution de TEG régénérée est importante.
Pression du rebouilleur • Le rebouilleur est opéré à pression atmosphérique ou très légèrement au dessus. • A des pressions supérieures la pureté du glycol est nettement réduite. La colonne de régénération doit donc être proprement ventilée et le garnissage doit être nettoyé ou remplacé périodiquement pour éviter une contre pression excessive sur le rebouilleur.
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IV ‐ Paramètres opératoires
Une solution propre de TEG = facteur clé pour éviter de nombreux problèmes d’opération et de corrosion
La qualité de la solution pauvre de TEG doit être vérifiée régulièrement par des mesures sur le terrain :
Principaux problèmes de contamination du TEG:
pH
7 – 7,5
Teneur en HC